Strategie & Accents Strategie

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14 12 11 10 4 2 Le KIID : informa- tions essentielles pour l’investisseur 2012, un grand cru pour les investis- seurs KBC Equity Fund Technology KBC Equity High Dividend Les actions dont le cours est stable Le rendement dans les monnaies étran- gères Stratégie Accents & ... pour la gestion de votre patrimoine personnel et familial Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance N° 09 - 7 septembre 2012

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Publication mensuelle de KBC Banque & Assurances

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2Le KIID : informa-tions essentielles pour l’investisseur

2012, un grand cru pour les investis-seurs

KBC Equity Fund Technology

KBC EquityHigh Dividend

Les actions dont le cours est stable

Le rendement dans les monnaies étran-gères

Stratégie Accents& ... pour la gestion de votre patrimoine personnel et familial

Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance

N° 09 - 7 septembre 2012

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Qu’entend-on par informations essentielles pour l’investisseur?Le présent document remplace le prospectus abrégé (ou simplifié) actuel. Plus lisible, il fournit des informations claires sur les risques spécifiques et doit permettre une meil-leure comparaison entre les fonds sur le marché européen. La transparence à l’égard de l’investisseur final s’en trouve accrue. Compte tenu du caractère international d’UCITS IV, l’abréviation anglaise KIID est celle que vous verrez le plus souvent. Elle signifie «Key Investor Information Document».

Une nouvelle réglementation européenne est entrée en vigueur le 1er juillet 2011: UCITS IV. ‘UCITS’ regroupe des fonds d’investissement conformes à la Directive UCITS. Dès qu’un tel fonds est enregistré dans un des États membres de l’Union européenne (UE), il peut être vendu partout.Aux yeux du grand public, UCITS IV se concrétise sous la forme du document ‘Informations essentielles pour l’investisseur’ (KIID en abrégé). Vu l’importance de ce document juridique du point de vue de la protection de l’investisseur, son contenu a été fixé dans le cadre d’une Directive européenne. L’harmonisation est donc maximale. La législation belge en la matière est entrée en application le 1er juillet 2012.

Le KIID : informations essentielles pour l’investisseur

A c c e n t s

•Document uniformisé

•À lire avant d’acheter un fonds

Stratégie & Accents 2

Thème

Page 3: Strategie & Accents Strategie

Pour quels fonds un KIID est-il déjà disponible actuellement?

Comment se présente le KIID?Le document se distingue nettement des autres écrits (juridiques et com-merciaux). De conception rigoureuse, il comporte 5 rubriques fixes.La première page présente les ‘Objectifs et politique d’investisse-ment’ et le ‘Profil de risque et de ren-dement’.

La deuxième page présente les ‘Frais’, les ‘Résultats obtenus dans le passé’ et les ‘Informations pratiques’.

Examinons d’un peu plus près les ru-briques de la page 1:

•Objectifs et politique d’investisse-ment.

Cette partie donne une présenta-tion générale des produits dans lesquels le fonds investit: la (les) catégorie(s) d’investissement, les thèmes/régions/ secteurs, etc. À la rédaction du texte, une atten-tion particulière a été apportée en vue d’éviter l’emploi de jargon. Un bref glossaire reprend les quelques termes professionnels employés.

•Profil de risque et de rendement. Ce nouvel indicateur est exprimé

sur une échelle de 1 à 7. Il indique la mesure dans laquelle les investisse-ments sous-jacents (compris dans le fonds) fluctuent.

Le chiffre attribué s’accompagne aus-si d’un contexte expliquant pourquoi le fonds reçoit par exemple l’indica-teur 3 à un moment donné, et où sur l’échelle l’investisseur doit plus ou moins situer le fonds. Cette partie du texte décrit aussi les risques (‘moyens’ ou ‘importants’) et indique si le fonds offre la protection du capital ou non.

Quelle est l’importance du KIID? Quelle est sa place dans le paysage des fonds?

Le KIID doit obligatoirement être fourni au client avant l’achat d’un fonds d’investissement. En appo-sant sa signature au bas du formu-laire de souscription, l’investisseur confirme avoir reçu, lu, et accepté le KIID (un document précontractuel). Outre le KIID, le prospectus étendu et les rapports périodiques subsistent en tant que documents juridiques. De même, la fiche produit et la fiche de fonds conservent un rôle impor-tant. La fiche produit standard est rédigée à chaque lancement et ex-plique de manière plus détaillée les caractéristiques et les atouts du pro-duit. La fiche de fonds (qui remplace la fiche produit environ 3 mois après la période de lancement), propose une photo mensuelle pour chaque fonds, avec des informations sur les investis-sements sous-jacents, l’évolution de la valeur d’inventaire, etc. Vous pouvez voir tous ces documents en un coup d’œil dans la Recherche de fonds KBC. Pour un aperçu des KIID disponibles, nous vous conseil-lons le site www.kbcam.be/kiid/.

Aperçu des fonds dotés d’un KIID (promoteur: KBC, marché belge)Sicav de droit belge

FivestHorizonIN.flanders Index FundKBC Eco FundKBC Equity FundKBC Index FundSivekKBC Master FundKBC Multi InterestKBC ObliKBC Select ImmoKBC Institutional FundPlato Institutional Index Fund

fonds commun d’investissementEODIOD

Sicav de droit luxembourgeoisKBC BondsKBC Renta

Rendement potentiellement plus faible

1 2 3 4 5 6 7

Faible risque Risque élevé

PROFIL DE RISQUE ET DE RENDEMENT

Rendement potentiellement plus élevé

Stratégie & Accents 3

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Nous dressons le bilan intermédiaire de l’année 2012. Si la tendance se maintient, l’année pourrait être un bon cru pour tous les profils de risque. Les actions ont en effet gagné près de 15% à l’échelle mondiale. Les mar-chés obligataires ont également signé une belle progression. L’indice des obligations d’entreprises s’est adjugé plus de 9%, tandis que l’indice des obligations d’État a pris un peu moins de 6%.Ces trois derniers mois, l’aversion pour le risque a pour ainsi dire été inexistante. Les indicateurs conjonc-turels ont toutefois commencé à se dégrader et les risques se sont inten-sifiés : le flou entourant la politique budgétaire américaine, l’impact de la cherté du pétrole et des denrées alimentaires, le financement de l’Es-pagne, le potentiel de croissance de l’Asie,... L’incertitude se renforce, les marchés grimpent. La prudence nous semble être de mise.

Les banques centrales continuent de brider leur taux directeurLes banques centrales veulent mani-festement stimuler la croissance. Le président de la Réserve fédérale, Ben

Bernanke, a déclaré qu’aucun relè-vement de taux n’aurait lieu avant la mi-2013. La Banque centrale euro-péenne opte clairement pour une poli-tique monétaire stimulante. Le 5 juillet, elle a abaissé ses principaux taux de

0,25%. Le taux de dépôt de la zone euro est actuellement le plus bas au monde. Un nouveau relâchement du taux directeur est attendu. Même l’Allemagne semble ne plus s’opposer à une politique monétaire trop géné-reuse pour son économie et risquée en termes d’inflation.

Comment la sécheresse aux États-Unis influence les taux en ChineLa croissance réelle du PIB mondial a atteint 3,3% en 2011. En 2012, la croissance devrait s’établir à 2,53%. L’Asie reste le pôle de croissance

incontesté de l’économie mondiale mais la haute conjoncture s’es-souffle. La Chine affiche encore une croissance de 7% à 7,5% en base annuelle. Les exportations pâtissent en revanche de l’essoufflement de la

croissance occidentale. La demande intérieure demeure toutefois robuste. À la faveur de la décrue de l’inflation (de 6,5% en septembre 2011 à 1,8% en juillet 2012), plusieurs pays dont la Chine ont abaissé leur taux directeur et assoupli les conditions de crédit. Il s’agissait ainsi des premières baisses de taux en quatre ans.La hausse des prix de l’alimentation pourrait empêcher un nouvel assou-plissement de la politique monétaire. La sécheresse aux États-Unis et les mauvaises récoltes en Russie et en Amérique du sud ont en effet déjà en-traîné une flambée des prix du blé, du maïs et du soja.

2012, un grand cru pour les investisseurs

A c c e n t s

•Les banques centrales donnent la

priorité à la croissance plutôt qu’à

l’inflation

•Les obligations ne protègent pas

contre l’inflation

•L’incertitude ne faiblit pas

L’Asie reste le pôle de croissance incontesté de l’économie mondiale

Stratégie

Stratégie & Accents 4

Page 5: Strategie & Accents Strategie

Les bénéfices des entreprises ne surprennent plus Le bénéfice par action des entreprises de l’indice S&P 500 a égalé le niveau record du deuxième trimestre 2011. Le chiffre d’affaires s’est également maintenu au même niveau. Tant les bénéfices que le chiffre d’affaires ont dépassé les prévisions (pessimistes). La croissance est cependant en berne. Pour l’Europe, les données sont encore partielles. En ce qui concerne l’indice EURO STOXX 600, le bénéfice accuserait un recul de 7,6% par rap-port à un an auparavant, tandis que les chiffres d’affaires progresseraient de 2,8%.Il ne s’agirait que d’une courte pause dans la progression de la croissance. Pour l’année civile 2012, les analystes escomptent une hausse de 8% des bénéfices par action aux États-Unis, contre un statu quo en Europe. En 2013, la hausse des bénéfices pour-rait atteindre près de 12% dans les deux régions, ce qui paraît réaliste.

Plusieurs arguments plaident en faveur des actionsLe choix des actions s’impose ne fût-ce que pour les dividendes. Le rendement de dividende des actions européennes s’élève actuellement à

4,15%, soit près de 3 points de pour-centage de plus que le taux des obli-gations d’État allemandes à dix ans. Pour l’investisseur en quête de rende-

ment, il y a en outre peu d’alternatives. Les liquidités ne rapportent quasiment rien. La moindre hausse des taux obli-gataires a pour effet que la perte de cours éponge le rendement courant. Si l’on sait que le rendement des emprunts d’État allemands à 10 ans ne dépasse guère 1,55%, les actions

protègent peut-être mieux contre les risques de taux et d’inflation à long terme.

Le rendement de dividende des actions européennes s’élève actuellement à 4,15%

Évolution des marchés d’actions (en euro)Indice 100 = il y a 6 mois

70

80

90

100

110

120

08-2010 11-2010 02-2011 05-2011 08-2011 11-2011 02-2012 05-2012 08-2012 Monde Europe Etats-Unis

Stratégie & Accents 5

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57%

30%

6%

5%2%

27%

46%

20%

5%2%

7,5%

40%

42,5%

2%8%

25%

28%

47%

Dans le portefeuille cible très défensif, nous investissons 12,5% en actions. La position en actions se compose intégralement d’instruments à capital protégé (25%), Leur risque actions s’élève à 50%. La composante obligataire représente 40,5% du portefeuille, y compris la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 12,5% (soit 50% de 25%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 28% directement en obligations. Les liquidités représentent 47% du portefeuille. Les accents se rapportant à des investissements dans d’autres monnaies que l’euro conviennent très peu à un portefeuille très défensif.

Dans le portefeuille cible défensif, nous investissons 27,5% en actions. Les instruments sans protection de capital représentent 7,5% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 40%. Leur risque actions s’élève à 50%. Les obligations re-présentent 62,5% du portefeuille (par rapport à notre norme à long terme de 75%). Il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 20% (soit 50% de 40%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 42,5% du portefeuille directement en obligations. Les liquidités (8% du portefeuille) sont investies en euro. Les accents se rapportant à des investissements dans d’autres monnaies que l’euro conviennent peu à un portefeuille défensif.

Dans le portefeuille cible dynamique, nous investissons 50% en actions. Les instruments sans protection de capital représentent 27% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 46%. Leur risque actions s’élève à 50%. Les obligations représentent 43% du portefeuille (contre une norme à long terme de 50%). Il convient égale-ment de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions à capital pro-tégé, qui occupe 23% (soit 50% de 46%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 20% du portefeuille directement en obligations caractérisées par une durée résiduelle relativement courte (max. 3 ans). Nous gardons 5% de liquidités dans le portefeuille. Tous les accents mentionnés conviennent à un portefeuille dynamique.

Dans le portefeuille cible très dynamique, nous investissons 72% en actions. Les instru-ments sans protection de capital représentent 57% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 30%. Leur risque actions s’élève à 50%. Les obliga-tions représentent 21% du portefeuille (contre une norme à long terme de 25%). Il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 15% (soit 50% de 30%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 6% du portefeuille directement en obligations caractérisées par une durée résiduelle relativement courte (max. 3 ans). Nous gardons 5% de liquidités dans le portefeuille. Tous les accents mentionnés conviennent à un portefeuille très dynamique.

Portefeuille

Stratégie & Accents 6

Stratégie

Actions sans protection du capital

Actions avec protection du capital

Obligations

Immobilier

Placements alternatifs

Cash

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0%

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30%

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EUR

PORTEFEUILLE D’OBLIGATIONS(très) dynamique

Defensief pro�el

AutresUSD

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EUR

PORTEFEUILLE D’OBLIGATIONSdéfensif

AutresUSD

(très) dynamique

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60%

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90%

100%

EUR

PORTEFEUILLE D’OBLIGATIONStrès défensif

AutresUSD

défensif(très) dynamique

Les actions restent le meilleur choixÀ la mi-août, l’indice mondial avait gagné 15% en euro par rapport à son niveau fin 2011. Les inves-tisseurs obnubilés par la crise de l’euro et les autres menaces planant sur l’économie mondiale sont per-plexes et pensent peut-être avoir raté le coche. Les marchés d’actions n’ont pourtant pas ignoré ces risques et la valorisation des n’a donc pratiquement pas augmenté.

L’investisseur en quête de valeur se tourne inévita-blement vers les actions. Par rapport aux bénéfices des entreprises (qui battent tous les records) et à la valeur de leurs actifs corporels et incorporels (qui sont à l’origine de ces records), les actions ont rare-ment été aussi bon marché qu’aujourd’hui. La prime de risque (soit le rendement supplémentaire) que l’on peut encaisser actuellement sur des investissements en actions est exceptionnellement élevée par rapport aux obligations d’État (qui sont chères). Le rende-ment de dividende dépasse déjà largement le taux nominal des obligations d’État, qui couvre à peine l’inflation.

Cet écart de valorisation s’explique par l’aversion pour le risque des investisseurs privés et institution-nels, effarouchés par la crainte d’une nouvelle réces-sion mondiale (qui frappera durement les entreprises) et les interminables problèmes de la zone euro. Il y aura toujours des risques, mais nous pensons que si les problèmes de la zone euro sont maîtrisés et si l’épais brouillard qui nimbe la situation budgétaire américaine se dissipe, les fondamentaux retrouve-ront toute leur importance. Un premier facteur fon-damental est le déplacement du centre de gravité de l’économie mondiale vers les marchés émergents où des facteurs démographiques favorables dopent la demande intérieure. Un deuxième élément fonda-mental réside dans le fait que le processus de désen-dettement des pays classiques n’est pas compatible avec une récession interminable , mais avec une croissance un peu plus lente dans l’ancien monde.

Stratégie & Accents 7

Obligations publiques

Obligations d’entreprises

Obligations convertibles

Obligations indexées

Obligations marchés émergents

Monnaies satellites de l’euro du dollar, PLN

Page 8: Strategie & Accents Strategie

Technologie

Le secteur technologique n’est plus le secteur de croissance agressif du temps de la bulle dotcom. Les entreprises de réseaux sociaux ont connu une période agitée mais elles ne représentent qu’un segment rela-tivement limité du secteur. Plusieurs grandes sociétés IT alignent impertur-bablement d’excellents résultats. Elles possèdent des bilans quasi exempts de dettes et disposent des liquidi-tés abondantes, qu’elles reversent de plus en plus aux actionnaires. La technologie devient ainsi un nouveau secteur défensif, moins volatil que le marché au sens large.

La technologie n’est pas davantage un secteur mature dont la croissance s’est totalement effritée, comme pourraient le laisser supposer la valo-risation moyenne et les prévisions de croissance bénéficiaire des analystes. Son potentiel de croissance est sous-estimé. Quatre grandes tendances lui assurent une solide croissance structurelle. La mobilité des données (data mobility) dope le développement et les ventes de smartphones et de tablettes, le salon numérique (digital living room) donne accès à de nom-breuses nouvelles applications au sein même de nos foyers et l’informatique dématérialisée (cloud computing) per-met aux consommateurs de consulter leur réseau personnel et social à tout

moment et en tout lieu. Ces tendances entraînent une croissance exponen-tielle de la mobilité des données. Le secteur va donc profiter du renouvel-lement constant des produits, des in-vestissements dans la capacité, de la rapide demande de remplacement,… Il sera également le premier à tirer parti du redémarrage de la demande d’investissement.

Stratégie

Stratégie & Accents 8

Accents dans le portefeuille

Page 9: Strategie & Accents Strategie

Perspectives économiques03-09-2012 UEM Royaume-Uni Etats-Unis JaponCroissance économique (%)

2011 1,6 0,8 1,8 -0,72012 -0,5 -0,5 2,0 2,22013 0,4 0,9 1,9 1,4

Inflation (%)2011 2,7 4,5 3,1 -0,22012 2,3 2,6 2,1 0,12013 1,5 1,9 2,0 0,1

Taux officiel (%) (*)03-09-2012 0,75 0,50 0,25 0,10Novembre 2012

Février 2013Taux à dix ans (%) (*)

03-09-2012 1,352 1,469 1,563 0,797Novembre 2012Février 2013

Cours de change (**) 1 EUR = GBP 1 EUR = USD 1 EUR = JPY03-09-2012 1 0,79 1,26 98,70Novembre 2012 -Février 2013 -(*) : hausse d’environ 25 points de base à partir du niveau actuel; : hausse d’environ 50 points de base à partir du niveau actuel; etc.;( * * ) : appréciation d’environ 2,5 % envers l’euro à partir du niveau actuel; : appréciation d’environ 5 % envers l’euro à partir du niveau actuel; etc.

Stratégie & Accents 9

0% 5% 10% 15% 20% 25%

Ventilation sectorielle du portefeuille d’actions

Consommation discrétionnaire

Biens de consommation de base

Energie

Matériaux

Industrie

Santé

Finance

Technologie de l’information

Télécommunications

Services aux collectivités

Ventilation neutreVentilation actuelle

Page 10: Strategie & Accents Strategie

KBC Equity Fund Technology est un compartiment de la sicav de droit belge KBC Equity Fund. Possibilité d’entrée et de sortie quoti-dienne. Frais d’entrée : 3%. Frais de sortie: néant. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière sur les parts de capitalisation : 1% en cas de sortie (max. 1500 EUR). Service financier : KBC Bank, CBC Banque et Centea. Les informations clés pour l’investisseur, le prospectus et le dernier rapport périodique sont disponibles gratuitement dans toutes les agences de KBC Bank, CBC Banque et Centea. Précompte mobilier sur les dividendes (actions de distribution) : 21%. En fonction de la situation individuelle de chaque investisseur, le précompte mobilier peut être majoré d’une retenue complémentaire de 4%. Les plus-values (actions de capitalisation) ne sont pas soumises au précompte mobilier.

À court terme, la croissance de l’éco-nomie mondiale va être freinée par les mesures de rigueur de nombreux États occidentaux. Celles-ci sont néces-saires à l’assainissement des finances publiques. Les administrations pu-bliques et les entreprises diffèrent trop souvent leurs investissements dans les nouvelles technologies. Ce report devrait progressivement prendre fin.

Dès que les entreprises verront aug-menter la demande de biens et de services, le secteur technologique sera l’un des premiers à profiter des nouveaux investissements. Les socié-tés technologiques ont déjà préparé le calendrier de lancement de leurs nouveaux produits. Les dernières ver-sions des tablettes les plus populaires sont prévues au second semestre 2012, ainsi qu’un nouveau système

d’exploitation pour PC, inau-gurant traditionnellement une nouvelle vague d’inves-tissements. La demande de nouvelles technologies va en outre profiter de la demande croissante d’Internet mobile et de l’importance grandis-sante des centres de données pour les entreprises.

KBC Equity Fund TechnologyEn tant que promoteur, KBC propose Technology, un compartiment de la si-cav de droit belge(1) KBC Equity Fund, qui fait l’objet d’une gestion active et investit au moins 75% de ses actifs en actions d’entreprises du secteur technologique réunissant les condi-tions d’une croissance économique accélérée à court ou moyen terme. La volatilité de la valeur nette d’inventaire peut être élevée en raison de la com-position du portefeuille. Le comparti-ment est libellé en dollar américain. Le profil de risque et de rendement est de 6 sur une échelle de 1 (faible risque) à 7 (risque élevé). Cet investissement s’adresse aux investisseurs ayant un profil de risque très dynamique. Par-lez-en avec votre chargé de relations.

(1) Voir aussi la note 1 à la dernière page.

Payer un prix moyen pour des entreprises de croissance matures

A c c e n t s

•Une croissance plus élevée…

•Une valorisation conforme à celle du

marché global

Stratégie & Accents 10

Sous la loupe

Organismes de placement collectif (OPC)(1)

Page 11: Strategie & Accents Strategie

KBC Equity Fund High Dividend est un compartiment de la sicav de droit belge KBC Equity Fund. Possibilité d’entrée et de sortie quotidienne. Frais d’entrée : 3%. Frais de sortie: néant. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière sur les parts de capitalisation : 1% en cas de sortie (max. 1500 EUR). Service financier : KBC Bank, CBC Banque et Centea. Les informations clés pour l’investisseur, le prospectus et le dernier rapport périodique sont disponibles gratuitement dans toutes les agences de KBC Bank, CBC Banque et Centea. Précompte mobilier sur les dividendes (actions de distribution) : 21%. En fonction de la situation individuelle de chaque investisseur, le précompte mobilier peut être majoré d’une retenue complémentaire de 4%. Les plus-values (actions de capitalisation) ne sont pas soumises au précompte mobilier.

Les entreprises qui versent tradition-nellement un dividende élevé donnent ainsi un signal fort aux investisseurs. Au lieu d’investir leurs liquidités excé-dentaires dans des projets prestigieux, qui ne privilégient pas toujours le ren-dement, elles préfèrent les reverser à leurs actionnaires, qui en choisissent eux-mêmes l’affectation. Dans la plu-part des cas, il s’agit d’entreprises matures dotées d’un management réputé. Ce management se concentre essentiellement sur la production d’un bénéfice, car année après année, ce-lui-ci servira à payer des dividendes élevés. Un dividende stable constitue à long terme une part considérable du rendement d’un investissement. Les télécoms, les services aux collectivi-tés et la santé sont réputés pour leur rendement de dividende élevé. La croissance de ces secteurs a cepen-dant manqué de vigueur ces dernières années. Pour limiter les fluctuations

de cours, il est judicieux de sélectionner également les actions à dividende d’autres secteurs de manière à ce que le portefeuille comporte aussi des entreprises réalisant une croissance plus vigoureuse.

KBC Equity Fund High DividendEn tant que promoteur, KBC propose High Dividend, un compartiment de la sicav de droit belge (1) KBC Equity Fund. Le compartiment, qui fait l’objet d’une gestion ac-tive, investit au moins 75% de ses actifs en actions à haut rendement de dividende. Il est libellé en EUR. Le profil de risque et de rendement est de 6 sur une échelle de 1 (faible risque) à 7 (risque élevé). High Dividend

convient aux investisseurs au profil de risque dynamique. Parlez-en avec votre chargé de relations.

(1) Voir aussi la note 1 à la dernière page.

Tout investisseur apprécie un dividende attrayant

A c c e n t s

•Un style d’investissement axé sur la

limitation des risques

•Les managers accordent beau-

coup d’importance à la valeur pour

l’actionnaire

Stratégie & Accents 11

Sous la loupe

Organismes de placement collectif (OPC)(1)

Page 12: Strategie & Accents Strategie

L’incertitude économique, le con-trôle des risques et la quête du rendement semblent être incon-ciliables avec un portefeuille d’investissement. L’investisseur qui choisit la sécurité doit la payer au prix fort. Opter pour le rendement conduit inévitablement aux actions. Les actions sont risquées, mais ce risque peut être limité en privilé-giant la protection du capital ou les actions à faible volatilité. Ces ac-tions protègent contre la tendance baissière des marchés et réduisent le risque d’un portefeuille.

Ralentissement de la croissanceLa situation économique s’est dégra-dée cet été. Au deuxième trimestre, la croissance de l’économie mondiale est retombée au maigre taux de 2,1%, nettement inférieur à son niveau ten-danciel de 3 à 3,5%. Peu de pays ont échappé à ce ralentissement. Seul le nouveau monde a affiché une crois-sance du PIB réel de 5%. Les indica-teurs de confiance sont également en baisse à l’échelon mondial depuis le début de l’année. Bien que les béné-fices des entreprises se maintiennent à des niveaux élevés aux États-Unis, la croissance a des ratés. Aux États-Unis, les bénéfices et le chiffre d’af-faires résistent encore. En Europe, les

bénéfices ont baissé mais le chiffre d’affaires a continué à progresser.

L’investisseur est confiantMalgré l’incertitude écono-mique, la propension au risque

augmente, ce qui est assez étonnant. Cela montre que les investisseurs esti-ment que de part et d’autre de l’Atlan-tique, les banques centrales mettront tout en œuvre pour relancer l’écono-

mie. Ils pensent par ailleurs qu’enfin, les moyens mis en œuvre pour com-battre la crise de l’euro ne seront plus des demi-mesures. Depuis le début juin, les Bourses européennes ont dès lors augmenté de près de 15% et les différentiels de taux d’intérêt des obligations plus risquées telles que les obligations d’entreprises se sont encore resserrés. Les investisseurs pensent qu’en dehors des actions, il existe peu d’alternatives rentables.

Bien que la situation économique ne semble pas affecter la propension au risque de l’investisseur et que nous partagions l’optimisme des marchés, nous sommes conscients des risques à court terme. La confiance des entre-preneurs reste en berne et les prix des matières premières repartent à la hausse. Le phénomène est peut-être temporaire mais il empêche un nou-veau recul de l’inflation. Les mesures des banques centrales arriveront-elles à temps ? Les prochains mois vont certainement être agités, non seule-ment en Europe, mais aussi aux États-Unis où la fièvre électorale monte.

Intégrer la sécurité

L’incertitude économique doublée de la quête du rendement et du contrôle

Les actions dont le cours est stable sont le bon choix

A c c e n t s

•Une plus grande attention est portée

au risque

•Une sélection rigoureuse ouvre des

perspectives

Stratégie & Accents 12

Actions en point de mire

Page 13: Strategie & Accents Strategie

Deutsche TelekomDeutsche Telekom est l’une des plus grandes sociétés télécoms intégrées au monde. Elle opère dans les réseaux large bande/fixes, la communication mobile et les entreprises.

Avis : augmenterChangements d’avis durant ces 12 derniers mois : 25-03-2011: de réduire à augmenterCours : 9,39 EURObjectif de cours : 10,30 EUR

National Grid: National Grid est un important distributeur de gaz et d’électricité aux États-Unis et au Royaume-Uni où il souhaite investir 18 milliards GBP au cours des six prochaines années. Cette entreprise de services aux collectivités entend en outre étendre ses activités à l’énergie solaire.

Avis : augmenterChangements d’avis durant ces 12 derniers mois : néantCours : 693,00 GBPObjectif de cours : 790,00 GBP

NestléNestlé est le numéro un mondial de l’alimentation et des boissons et le leader dans le domaine du café, des eaux minérales et de l’alimentation infantile. Il est également action-naire de L’Oréal. Ses marques phares sont Nestlé, Nescafé, Nestea, Maggi et Purina.

Avis : augmenter Changements d’avis durant ces 12 derniers mois : néant Cours : 59,65 CHFObjectif de cours : 68,00 CHF

des risques confronte l’investisseur à un dilemme. Si celui-ci opte pour la sécurité, il paiera ses investisse-ments au prix fort : le rendement des emprunts d’État des pays sûrs ne peut compenser l’inflation escomptée

et les obligations d’entreprises rap-portent moins. S’il souhaite un rende-ment minimal acceptable, il doit choi-sir les actions mais mieux vaut alors intégrer davantage de sécurité, soit opter pour la protection du capital. Cette sécurité peut encore être renfor-cée en optant pour les actions à faible volatilité et au cours plus stable que les actions classiques, soit les actions d’entreprises telles que Deutsche Telekom, Telefonica ou Nestlé. Ces

actions protègent contre la tendance baissière des marchés et réduisent le risque d’un portefeuille. La volati-lité étant plus faible, un portefeuille d’actions défensives a un profil de risque comparable à celui d’un fonds

mixte composé de 60% d’actions et de 40% d’obligations. Mais le rende-ment est en principe plus élevé que ce rapport pourrait le laisser supposer, notamment parce que le rendement de dividende de ces actions est géné-ralement supérieur à celui qui est en vigueur sur le marché. En outre, nous profitons ainsi des gains de cours à long terme des marchés d’actions.

Dans notre stratégie, nous privilégions également le thème des actions à divi-dende élevé, soit les actions d’entre-prises solides de qualité actives dans différents secteurs et régions, affi-chant d’excellents bilans et offrant aux investisseurs un afflux de revenus par le biais d’un dividende élevé. Les ac-tions au dividende généreux affichent un rendement stable et cadrent en outre parfaitement avec une stratégie acheter-et-conserver. Ces entreprises ont aussi fortement tendance à rache-ter leurs actions ou se font racheter, ce qui génère encore un rendement supplémentaire.

Les actions défensives sont moins volatiles

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Indice mondiale Act ions à fa ible volat i l i té

Les actions à faible volatilité protègent contre la tendance baissière des marchés

Stratégie & Accents 13

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Page 14: Strategie & Accents Strategie

La note de solvabilité des marchés émergents ne cesse de s’améliorer. Il est normal qu’un débiteur doive payer moins d’intérêts lorsque sa solvabilité s’améliore. Les taux du marché que les marchés émergents paient sur leurs emprunts d’État n’ont que peu baissé par rapport à leur qualité qui est en hausse. Le différentiel de taux d’intérêt avec les obligations européennes est de ce fait très attrayant. Un investis-

sement en monnaies des marchés émergents offre également une meilleure répartition monétaire.

Accorder une place de choix aux marchés émergents

Outre les obligations d’entreprises, les obliga-tions à haut rendement en devises étrangères apportent la diversifica-tion indispensable au portefeuille obligataire. Nous sommes partisans

d’un portefeuille amplement ventilé entre les régions, faisant la part belle aux marchés émergents. Ceux-ci affichent des fondamentaux écono-miques sains, les pouvoirs publics

sont moins endettés qu’en Occident et leurs budgets sont davantage en équilibre. L’assainissement des fi-nances publiques n’y est la plupart du temps pas à l’ordre du jour. Au besoin, les dirigeants politiques pourraient li-bérer des moyens pour relancer l’éco-nomie. Ce qui est une bonne nouvelle, car les plans d’austérité de nombreux pays occidentaux compriment la croissance de l’économie mondiale, freinant les exportations des marchés émergents. Un atterrissage forcé est toutefois loin de se produire.

Chercher le rendement dans les monnaies étrangères

A c c e n t s

•Opter pour des débiteurs de qualité

•Privilégier les marchés émergents

Nous donnons la préférence à une très large ventilation

Stratégie & Accents 14

Obligations en point de mire(1)

(1): voir aussi la note 2 à la dernière page

Page 15: Strategie & Accents Strategie

Les cours de change des marchés émergents sont encore largement inférieurs à leur niveau d’avant la crisePays Cours actuel Sommet 2008 Écart en % par rapport au sommet

Mexique (MXN) 13,1 9,86 -24,6%

Brésil (BRL) 2,0 1,56 -22,7%

Corée du Sud (KRW) 1131,2 935 -17,3%

Philippines (PHP) 42,3 40,27 -4,7%

Thaïlande (THB) 31,5 31,09 -1,2%

Hongrie (HUF) 275,7 228,0 -17,3%

Pologne (PLN) 4,1 3,20 -21,3%

Turquie (TRY) 2,2 1,70 -23,8%

Russie (RUB) 39,5 34,0 -14,0%

Le rendement des obligations d’État occidentales est maigreEn termes de valorisation, les obli-gations des marchés émergents conservent tout leur attrait en raison des taux d’intérêt plus élevés, surtout par rapport aux obligations d’État oc-cidentales. Actuellement, le taux d’in-térêt des obligations allemandes et américaines est extrêmement bas. En revanche, les obligations des marchés émergents libellées en monnaie locale ont un rendement moyen supérieur à 3,5%. Parmi les fonds obligataires à haut rendement, nous optons dès lors pour une répartition très diversifiée,

incluant des obligations d’Amérique latine, d’Europe centrale, d’Asie et de Scandinavie.

Limiter l’incertitudeUn investissement en obligations à haut rendement en monnaies étran-gères contribue à une meilleure répar-tition de la part obligataire du porte-feuille. Il permet une diversification en dehors de l’euro. Outre un ren-dement plus élevé, les investisseurs peuvent aussi profiter d’une apprécia-tion éventuelle de la monnaie face à l’euro. Les cours de change de la plu-part des marchés émergents sont en effet encore loin de leur niveau d’avant la crise (cf. tableau ci-dessus).

Les principaux facteurs de risque pour les marchés émergents sont une récession mondiale et l’instabilité poli-tique. Les risques politiques restent très imprévisibles. C’est pourquoi il est recommandé de bien ventiler le portefeuille obligataire entre les mon-naies, les régions et les débiteurs. Pour limiter le risque sur débiteurs, nous donnons la préférence aux débi-teurs de qualité dotés au minimum de la note investment grade. Nous fixons en outre une limite inférieure pour le rendement : celui-ci doit dépasser le taux des emprunts d’État allemands d’au moins 0,50 point de pourcentage pour la même durée résiduelle.

Notre sélection d’obligations(1)

Monnaie Emprunt Prix d’émission ou cours indicatif

Coupon Rating Rendement(en %)

Contre-valeur en EUR (*)

Marché primaire

AUD MERCEDES-BENZ AUSTRALIA4.125% 04-09-201204-09-2015

100,68 04/09 A- 3,88 1652,40

Marché secondaire

NZD

NEDERLANDSCHE WATERSCHAPSBANK4.250% 26-07-201226-07-2017

100,90 26/07 AAA 4,04 645,24

TRYRABOBANK NEDERLAND7.000% 17-08-201217-08-2015

101,40 17/08 AA 6,46 444,65

NOKANZ BANKING CORP3.750% 23-05-201223-05-2017

102,80 23/05 AA- 3,10 1423,47

AUDTOYOTA MOTOR CREDIT CORP4.375% 05-07-201205-07-2017

100,35 05/07 AA- 4,29 1674,12

(1) Voir note en dernière page.(*) Contre-valeur en EUR des coupures minimales y compris les intérêts courus. Cours de change indicatif : 30-08-2012

Stratégie & Accents 15

Page 16: Strategie & Accents Strategie

Il y a quelques semaines, nous étions encore convaincus que l’inflation reculait. La récente flambée des prix du brut et les mauvaises récoltes nous incitent toutefois à revoir notre jugement. L’inflation va se maintenir à un niveau élevé pendant une période prolongée.

En septembre 2011, elle culminait à 3% dans la zone euro et à 3,9% aux États-Unis. L’effritement du prix du brut à l’automne 2011 a entraîné sa décélé-ration progressive. Les banques centrales ont toutefois relâché leur lutte contre l’inflation, soutenir la croissance étant en effet leur priorité maximale depuis l’éclatement de la crise du crédit. Aujourd’hui, la tension entourant l’Iran entraîne une nouvelle flambée du prix du pétrole et la sécheresse propulse les prix du marché du maïs et du blé vers de nouveaux sommets.

Parution du prochain numéro le 5 octobre 2012

WWWPlus de renseignements sur: www.kbc.be/investir

(1) Une sicav (société d’investissement à capital variable) est un organisme de placement collectif (OPC). Une action achetée dans une sicav donne droit à une partie du résultat en fonction du montant investi. Le capital investi peut toutefois perdre de sa valeur. L’investissement dans une sicav permet de répartir les risques et facilite l’accès aux bourses et marchés étrangers. Les investissements en OPC sont couverts par le fonds de protection des dépôts et instruments financiers. Cela signifie qu’une intervention peut être obtenue auprès du fonds de protection à hauteur de 20 000 EUR au maximum si un établissement de crédit ou une société de bourse détient des droits de participation d’OPC pour le compte de ses clients et ne peut fournir ou restituer ceux-ci à leurs propriétaires légitimes. Il convient de noter que la perte de valeur éventuelle d’un OPC par rapport à son prix d’acquisition n’est pas couverte par le fonds de protection.(2) Une obligation est un titre de créance émis par une entreprise, un organisme public ou un Etat, remboursable à une date et pour un montant fixés au préalable et produisant un intérêt.

Arrêt sur image

Adresse de la correspondance:KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 6, 1080 Bruxelles.

Stratégie & Accents est une publication de KBC Asset Management SA (KBC AM). Les données servant de base aux projections, scénarios, pronostics et cours cibles proviennent de sources fiables et de recherches propres. Cette recommandation n’entre pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’arrêté royal du 3 juin 2007 énonçant les règles destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements, et tombe par conséquent sous la définition légale de la communication publicitaire. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effectuer des transactions sur l’action concernée avant la diffusion de la recommandation. Cette publication ne constitue pas un conseil en investissement personnalisé. L’investisseur doit encore déterminer, de préférence avec son conseiller Epargne et Placements ou son chargé de relations, si l’action cadre avec son profil de risque et son portefeuille de placement. KBC AM ou toute autre société du groupe KBC ne peuvent pas être tenues responsables d’une imprécision ou d’un oubli éventuels dans les données communiquées.

Editeur responsable / rédacteur en chef:Alex Wolfers, Product & knowledge management KBC AM / Christiaan De Moor.

Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse:KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations purement factuelles, telles qu’une description des activités de l’entreprise, le graphique illustrant l’évolution du cours de l’action, les événements les plus récents survenus dans l’entreprise et les résultats et prévisions communiqués par celle-ci dans son rapport annuel ou ses communiqués de presse.D’autre part, l’analyste financier y expose son opinion sur l’entreprise. Il en décrit les points forts et les points faibles et indique, dans son avis global, les motifs à la base de sa recommandation. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré.

Fréquence des changements d’avis:Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis.

Méthode de recommandation:Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro 01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC.

Pour certains éléments essentiels de la recommandation d’investissement, qui n’ont pu être repris sur la fiche faute de place, nous vous renvoyons aux «Directives générales régissant les recommandations d’investissement de KBC Asset Management» sur www.kbcam.be/equities.

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