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SUNNY SIDE, MARCHÉ DES COPRODUCTIONS

LE SECRET D’UNE COPROD RÉUSSIE

Premières idées, premiers contacts, premières signatures... C’est au Sunny Side of the Doc que nombre des grandes coproductions ont vu le jour, faisant du marché du documentaire un lieu incontournable pour les séries d’envergure internationale.

ASIA-SECRETS LIVES, HIDDEN PLACES

Partenaires allemands, chinois et malai-siens ont trouvé un terrain d’entente à

Asian Side pour mener à bien une coproduc-tion ambitieuse sur la série Asia-Secrets Lives, Hidden Places, montrant comment les hommes s’adaptent aux zones protégées de l’Asie. Asia-Secrets Lives, Hidden Places raconte l’histoire de cohabitations, celles que des hommes et des femmes habitant dans des parcs nationaux asiatiques aux beautés rares ont ap-pris à gérer en imaginant de nouvelles manières de vivre avec une faune et une flore protégées, parfois dangereuses, toujours époustouflantes. Elle aborde cinq histoires de mariages entre l’homme et la nature dans cinq pays asiatiques : l’Inde, la Thaïlande, la Malaisie, le Japon et la Chine. Cette série en 5 x 45 minutes, écrite par Ruth Berry, est aussi l’histoire d’une coproduc-

tion réussie entre les allemands d’Eikon Media et d’Autentic GmbH, les chinois de LIC et les Malaisiens de FINAS (National Film Develop-ment Corporation Malaysia). Le projet a été pitché à Asian Side 2013, suscitant rapidement l’intérêt de FINAS. « Notre présentation à l’Asian Side a été déterminante pour la pour-suite de la série », insiste le producteur Patrick Hörl (Autentic). C’est là que les relations entre les différents partenaires se sont soit établies, soit renforcées, afin de donner naissance à une collaboration harmonieuse. Ainsi, LIC a pris 20% de part de coproduction, assurant en partie le tournage de l’épisode se déroulant en Chine. Il a les droits de la série pour la « Grande Chine », laissant à Autentic la distribution sur le reste du monde. La première saison de la série étant terminée, les partenaires travaillent d’ores et déjà à la production de la saison 2. •

D-DAY, UNE AMBITION HISTORIQUE VIDÉO - Interview de Nicolas Deschamps, MC4

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SUNNY SIDE, MARCHÉ DES COPRODUCTIONSPremières idées, premiers contacts, premières signatures... C’est au Sunny Side of the Doc que nombre des grandes coproductions ont vu le jour, faisant du marché du documentaire un lieu incontournable pour les séries d’envergure internationale.

L’ASSIETTE BRÉSILIENNELa société française FL Concepts et la société bré-silienne Grifa Films se sont connues au Latin Side of the Doc. En quelques années, elles ont construit un pont entre l’Europe et l’Amérique du Sud en pro-duisant des documentaires ensemble. Leur dernière création réveille les papilles. Dans la série L’assiette brésilienne, la chef étoilée brésilienne Bel Coelho explore l’immense diversité de son pays à travers sa cuisine et ceux qui la font.

ARMES CHIMIQUES SOUS LA MERUn tel sujet ne pouvait laisser indifférent… Grâce à Asian Side, partenaires Français (Georama TV/Arte), Japonais (NHK) et Chinois (Heilongjiang TV Station) se sont trouvés pour coproduire Armes chimiques sous la mer. Ce film dénonce les réti-cences des Etats à mettre le prix pour éradiquer les tonnes d’armes chimiques qu’ils ont eux-même déversées sous la mer.

LES ENVOYÉS DE L’ESPACEUne aventure internationale pour un monde durable

Le projet transmedia Les envoyés de l’es-pace s’est structuré et financé au fil de ses

présentations au Sunny Side et à Asian Side.

Les envoyés de l’espace, c’est un projet global, une aventure internationale initiée par la société française OXBox productions (Guillaume Roussy) qui consiste en un film d’animation 3D, une série de 60 films courts et un site interactif. Trois moyens de servir une ambition unique, celle de construire le monde durable de demain à travers l’histoire de quelques envoyés de l’espace débarquant sur la terre pour explorer les solutions ima-ginées par l’homme pour aborder son futur. Le projet est né et s’est développé grâce au Sunny Side. « Il a d’abord été sélectionné pour la session de pitch Science au Sunny Side 2011, puis à Asian Side 2012, explique sa conceptrice et réalisatrice Hélène Guétary. Au premier, nous avons rencontré Laurent Dondey, directeur général de La Géode, qui nous a poussé à produire le film long en 3D. Au second, nous avons discuté avec les repré-sentants de la société chinoise CICC, qui ont désiré investir dans la série de programmes courts. Et nous avons trouvé un partenaire canadien, Les productions Thalie (Yves For-tin), qui a choisi de coproduire le film long ». Soutenu également par le programme Media et la société britannique Unanico, le projet transmedia poursuit aujourd’hui sa route et espère bien voir le jour pour la conférence internationale sur le climat (COP 21) qui se tiendra à Paris en décembre 2015. •

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SUNNY SIDE, TERRAIN DES PARTENARIATSLa même passion des uns et des autres à valoriser le documentaire à travers le monde conduit régulièrement les participants au Sunny Side et à l’Asian Side à façonner et conclure des partenariats inédits et ambitieux.

QUAND LA CHINE ET L’EUROPE TRAVAILLENT MAIN DANS LA MAIN

Cinq ans après la création de Asian Side of the Doc et grâce à la tenue de nombreux

workshops, la Chine est devenue un partenaire pérenne pour beaucoup de producteurs européens.

En créant Asian Side of the Doc en 2010, le Sunny Side a fait un pari : rapprocher la Chine et l’Europe pour les inciter à se retrou-ver sur divers partenariats qui enrichiraient le genre documentaire. Aujourd’hui, cinq ans après, la réalité a balayé le rêve et la Chine et l’Europe travaillent main dans la main. Les workshops pour comprendre les mar-chés respectifs se sont multipliés au fil des années et des éditions. Les premiers contacts se sont transformés en relations pérennes, les enseignements théoriques ont donné nais-sance à des premières coproductions. « Le Sunny Side nous a permis d’étudier des cas précis et ainsi de travailler différents modèles de coopération avec des entreprises euro-péennes, souligne ainsi Leland Ling, pdg de LIC China. En fait, dépassant nos différences culturelles, nous avons trouvé, grâce aux nombreuses rencontres mises en place par Asian Side, des terrains favorables pour encourager et multiplier les collabo-rations entre européens et chinois. Lors du dernier Sunny Side of the Doc, après un atelier intitulé « Comment travailler avec la Chine ? », plusieurs producteurs euro-péens sont venus me voir pour discuter de prochaines et éventuelles coproductions », comme par exemple, la société française Mona Lisa venue discuter de la série documentaire Planet Sand. •

BIG CITIES 

COUP D’ENVOI MONDIAL À LA ROCHELLEMettre en valeur les solutions innovantes pour mieux vivre dans les

grandes métropoles du 21e siècle : telle est l‘ambition de la collection documentaire Big Cities. Mais Big Cities, c’est aussi une production internationale inédite réunissant les diffuseurs du monde entier. Au Sunny Side of the Doc 2014 s’est tenue la première réunion du projet Big Cities avec les représentants de presque toutes les grandes organisations régionales de télévision, qui ont décidé de s’y associer : Asian Broadcasting Union (ABU) ; Euro-pean Broacasting Union (EBU ou UER), NORD Vision (chaînes scandinaves),

LE MONDE ANIMAL RASSEMBLE LES SAVOIR-FAIREVIDÉO - Interview de Barthélémy Fougea, Winds Films et de Jacques Perrin, Galatée Films

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SUNNY SIDE, TERRAIN DES PARTENARIATSLa même passion des uns et des autres à valoriser le documentaire à travers le monde conduit régulièrement les participants au Sunny Side et à l’Asian Side à façonner et conclure des partenariats inédits et ambitieux.

ARTLINE ET CCTV10 SE RETROUVENT AUTOUR DE THE CHINESE SCHINDLERLa société  française Artline Films  (Olivier Mille) et la chaîne publique chinoise  CCTV-10  ont signé au Sunny Side 2014 un  accord de partenariat  por-tant sur le projet initié par CCTV-10,  Oriental Me-mory, the Chinese Schindler. Artline Films s’atta-chera notamment à trouver les financements en Europe et à  élaborer la version internationale  du programme en un  format de 90 mn. Ce documen-taire, qui sera traité en Chine sous la forme d’une série de 4x52  mn, évoque l’action d’un diplomate chinois qui a aidé 4 000 juifs à quitter l’Europe.

BIG CITIES 

COUP D’ENVOI MONDIAL À LA ROCHELLEArab State Broadcasters Union (ASBU), la Copeam et l’Urti pour la Méditerranée et l’Afrique. « Nous avons pu rêver ensemble de la même chose », témoigne Malu Viana Batista, directrice de Tal TV, à l’initiative de Big Cities. Chaque association se fera porte-parole du projet dans sa région, auprès de ses télévisions membres - plus de 500 diffuseurs représentés - pour leur pro-poser d’engager la production d’un volet de la série. Au sein de l’EBU, la RAI italienne et l’UR suédoise sont déjà sur les rangs. La mise en place d’une coordination éditoriale, de formation pour l’ensemble des copro-ducteurs, a aussi été discutée à La Rochelle. Livraison attendue en 2016. •

COLLABORATION CANOPÉ/ONF

Au Sunny Side of the Doc 2012, le réseau Cano-pé (anciennement CNDP) et l’Office National du Film du Canada (ONF) signent un partenariat de coproduction et de partage d’expérience en matière d’œuvres numériques conçues pour la communauté éducative. Ils s’engagent dans une collaboration renforcée avec la mise en place de projets ambitieux nourrissant une offre innovante et adaptée aux besoins et aux usages des publics, plus particulièrement pour la communauté éducative.

LE MONDE ANIMAL RASSEMBLE LES SAVOIR-FAIREVIDÉO - Interview de Barthélémy Fougea, Winds Films et de Jacques Perrin, Galatée Films

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SUNNY SIDE, CENTRE DE RESSOURCES ET DE FORMATION

LA CORÉE SE FORME AU DOC

Fort de ses 25 ans d’expérience, le Sunny Side of the Doc met désormais son expertise au service d’actions de formation et de coopération avec les pays émergents. Pour que le documentaire rayonne partout dans le monde !

Sunny Side of the Doc et RAPA (Korea Radio Promotion Association)

ont organisé une formation à Séoul en mai 2014 pour les producteurs et réalisateurs de documentaires coréens désireux d’accéder au marché international.

Utile et bénéfique ! Tels ont été les mots des producteurs et réalisateurs coréens de docu-mentaires résumant la formation de quatre jours organisée à Séoul en mai 2014 par le Sunny Side of the Doc et RAPA (Korea Radio Promotion Association). Loin d’être théorique et académique, la formation a permis de travailler sur la pratique et la réalité du marché à partir d’études de cas de 11 projets concrets. « Il ne s’agissait pas uniquement d’apprendre à connaître le marché et à s’y préparer au mieux, mais ce fût un réel lancement, dans la

matérialisation et la réalisation de toutes les idées liées à chacune de nos productions », s’enthousiasme ainsi la toute jeune produc-trice Jin Jeon, venue à la formation avec son projet Becoming Who I Was. Les élèves ont ainsi pu se frotter à la mise en situation de leurs projets pendant les sessions de mini-pitch, en ouverture le premier jour de la formation et en clôture après 4 jours intenses où ils ont écouté et assimilé les conseils et expériences de professionnels aguerris comme les produc-teurs Christian Popp et Richard Liang, ou le réalisateur Najeeb Mirza. « Les porteurs des projets avaient besoin de se former aux formats et critères requis par la production internatio-nale », note ainsi Christian Popp, qui salue, comme tous les élèves d’ailleurs, le travail réalisé. « C’était une très belle expérience et un échange particulièrement fructueux ». •

LE BRÉSIL À L’ÉCOLE DU SUNNY SIDEVIDÉO - Interview de Rachel Do Valle, Brazilian TV Producers

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SUNNY SIDE, CENTRE DE RESSOURCES ET DE FORMATION Fort de ses 25 ans d’expérience, le Sunny Side of the Doc met désormais

son expertise au service d’actions de formation et de coopération avec les pays émergents. Pour que le documentaire rayonne partout dans le monde !

COMMENT TRAVAILLER AVEC UN DISTRIBUTEUR ? Au Sunny Side of the Doc comme à Asian Side, de nombreux workshops animés par des profession-nels sont proposés aux participants. Lors de l’atelier «  Comment travailler avec un distributeur  ?  » qui s’est tenu au Sunny Side 2014, les experts Rober-to Salvestrin (Lucky You) et Jan Rofekamp (Films Transit) ont expliqué comment et quand faire appel à un distributeur, la manière dont ils travaillent et collaborent avec les producteurs.

S. SEIDENBERG, FORMATEUR EN CHINEEn janvier 2014 à Pékin, des documentaristes chinois ont participé à quatre journées de forma-tion proposées par le Sunny Side. Quatre jours du-rant lesquels une équipe de six formateurs, dont Steven Seidenberg, a expliqué le marché interna-tional du documentaire avant d’aborder des ques-tions plus concrètes comme le financement par les chaînes, la signature des contrats et la fiscalité en coproduction.

PROJET MENADOCStructurer le documentaire en zone MENA

Former les producteurs de la zone MENA et créer un marché du documentaire :

telles sont les ambitions du projet Menadoc.

Après avoir initié et participé à des actions de formation en Asie et en Amérique latine, le Sunny Side dépose désormais ses valises en Afrique. En mai dernier, au Festival International de Documentaire d’Agadir (Fidadoc) était en effet présenté le projet Me-nadoc, visant à professionnaliser les acteurs du documentaire dans la zone MENA (Moyen Orient et Afrique du Nord). Une première étape consisterait à créer une plate-forme profession-nelle dédiée à la formation de producteurs de documentaires marocains, du Moyen Orient et d’Afrique du Nord. « Le Maghreb compte un grand nombre d’auteurs et de réalisateurs de talent, explique la présidente du Fidadoc, Hind Saïh, également productrice de Bellota Films en France, mais la zone manque singulièrement de producteurs formés au marché international ». Portée par le Fidadoc, la chaîne marocaine 2M et le Sunny Side of the Doc, l’initiative a l’ambition de former les producteurs à des standards de production plus internationaux afin de leur faciliter l’accès au marché mondial. Les producteurs devraient avoir la possibilité de travailler concrètement sur leurs propres projets dans un incubateur, encadrés, soutenus et guidés par une équipe d’experts. Et à terme, la seconde étape du projet Ménadoc devrait voir la création d’un marché du documentaire de la zone MENA vers l’Europe et l’Asie. •

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SUNNY SIDE, CARREFOUR DES INNOVATIONSLe documentaire est un genre mouvant par définition. Le Sunny Side l’a compris depuis longtemps, qui s’attache chaque année et sur chaque marché, à accompagner et favoriser l’émergence de nouvelles écritures, de nouveaux outils et de nouveaux supports de diffusion.

LE CANADA DIGITAL FRAMEWORK SE « VEND » AU SUNNY SIDE

Présent pour la première fois au Sunny Side 2014, le Fonds des Medias du Cana-

da a trouvé les contacts et partenaires pour de nouveaux projets numériques. Le Fonds des Medias du Canada (FMC) est une société sans but lucratif qui consacre chaque an-née quelque 368 M$ canadiens au soutien de l’in-dustrie canadienne TV et des médias numériques. Sa directrice de la gestion des programmes, Na-thalie Clermont, s’est déplacée pour la première fois au Sunny Side en 2014 pour présenter le Canada Digital Framework, un nouvel environ-nement de financement et de mesures incitatives de coproductions internationales en médias nu-mériques. « Le Sunny Side est un événement où les nouvelles formes d’écriture et de production

Le film documentaire Game Fever s’est transformé en série web après son passage à Asian Side of the Doc.

Il arrive qu’un projet évolue après avoir été soumis une première fois au regard des professionnels. C’est le cas de Game Fever, un

film documentaire de Hervé-Martin Del-pierre, initié par la société française Zed. « En recherche de financement, nous avons présenté notre projet aux investisseurs poten-tiels à Asian Side of the Doc en mars 2014, explique la productrice Christine Le Goff. C’est là que nous nous sommes rendus compte que les nouveaux médias, plus que les chaînes de télévision classiques, portaient un intérêt tout particulier à la thématique de notre projet. Il explore le monde particulier des pro-gamers, ces joueurs professionnels de jeux en réseau, et part à la rencontre des plus connus d’entre eux, sud-coréens notam-ment ». En quelques semaines, la productrice retravaille le projet qui mue en une série web-doc interactive de 52 épisodes de 10 mn spécifiquement produite pour les plates-formes généralistes comme Youtube et Daily-motion, les chaînes internet spécialisées sur le gaming comme Twitch et U-Stream, et des sponsors qui ciblent la génération des 15-34 ans comme Red Bull ou Coca-Cola. Et si la série vit désormais sa vie, le film, pour autant, n’est pas abandonné, mais sa produc-tion interviendra dans un second temps. •

GAME FEVER

Du film au transmedia

CUBAN HAT : INCUBATEUR DE TALENTS VIDÉO - Interview de Giulia Frati et de Diego Briceno

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SUNNY SIDE, CARREFOUR DES INNOVATIONSLe documentaire est un genre mouvant par définition. Le Sunny Side l’a compris depuis longtemps, qui s’attache chaque année et sur chaque marché, à accompagner et favoriser l’émergence de nouvelles écritures, de nouveaux outils et de nouveaux supports de diffusion.

LE CANADA DIGITAL FRAMEWORK SE « VEND » AU SUNNY SIDE

du documentaire, notamment pour les médias numériques, s’expriment largement. De notre côté, nous finançons de plus en plus de projets pour les médias numériques et nous recherchons constamment des partenariats avec l’étranger dans le but de compléter nos financements ». Regrettant qu’il y ait encore trop peu de coproduc-tions en médias numériques, notamment entre le Canada et l’Europe, Nathalie Clermont est venue au Sunny Side pour prendre des contacts. Son bilan ? « Il est clairement positif car j’ai rencontré aussi bien des producteurs que des agences de fi-nancement à l’international. Plusieurs discussions initiées avant le Sunny Side se sont poursuivies durant la manifestation et de nouvelles rencontres ont aussi eu lieu. Certains projets ont des chances de se concrétiser sous peu ». •

Sans outil performant, pas de belles images. Les constructeurs et loueurs se déplacent régulièrement au Sunny Side pour présenter leurs nouvelles caméras et leurs nouveaux services. A l’image de Sony, qui exposait au Sunny Side 2014 ses caméras 4K et ultra HD ou d’Audiovisuel Broadcast, qui proposait une offre inédite de services sur mesure.

L’’AUTRE VIE DE GÉNÉRATION QUOI ? Quand la jeunesse française dit ce qu’elle est et ressent, cela donne Génération Quoi  ?, une série pour France 2, mais surtout un site internet pris d’as-saut par les intéressés. Rêvant d’entendre s’exprimer et interagir la jeunesse européenne, son producteur, Christophe Nick (Yami 2), a lancé au Sunny Side 2014 un ambitieux projet européen reprenant le concept original français, avec la production de 4 films et la mise en ligne d’un site internet par pays. A suivre...

www.generation-quoi.france2.fr

LES NOUVEAUX OUTILS DU DOC

CUBAN HAT : INCUBATEUR DE TALENTS VIDÉO - Interview de Giulia Frati et de Diego Briceno

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