Souscription Pour Bangkok

7/21/2019 Souscription Pour Bangkok

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Souscription pour


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Je n’ai que très peu pris le bus à Bangkok, le bateau et la marche à pieds avec un peude tuk tuk et de flying train .....



Mon dossier comprenait cette photocopie d’une carte d’identiJ’imagine que ce fut la personne qui se chargea de m’amede me signaler ? je ne sus jamais exactement quel rapport eut avec cette personne. Je retournais d’ailleurs à l’hopit lendemain pour essayer de trouver quelques informations maproblèmes de langue et le flou artistique général firent qn’en su pas plus et puis de toute façon qu’est ce que cechangerait? On m’avait dépouillé, il n’y avait plus qu’à ser le retour.

J’ai atterri le 13 novembre 2008 au soir à Bangkok, rejoignis lecentre par le bus, trouva un hotel dans un quartier ou ceux ci sontbon marché puis partis dans la rue prendre la température accompagnéd’un Anglais un peu fou passant son temps à se photographier...Ledeuxième soir, je sortis, échangais quelques mot avec 1 jeune femmeparlant peu anglais en mangeant mon assiette sur le bord du trot- toir comme cela se pratiquait à Khoassan road.... Ce fut mon ticket pour l’hopital, endroit duquel je n’ai que quelques sou-venirs diffus sinon celui d’uriner dans un bocal pour l’analyse toxicologique....Endroit dans lequel j’ai du rester une quinzained’heures et dont je suis revenu dans une espèce de vagabondage de l’esprit, incapable de fixer une pensée.

Je n’avais pas la moindre idée de la situation géographique du lieu ou j’étais et regagner mon hotel fut le premier acte semi conscientqu’il me fallu effectuer.Arrivé à l’hotel, je m’allongeais et dor-mis plusieurs heures ..la dose de cheval du produit ingéré me lais- sa presque 24 heures dans un état comateux. Je ne me souvenaispour ainsi dire de rien.....à peine de mon premier passage au postede police.



Premier soir à l’hotel, j’ai pris l’habitude de faire un autoportrait dans la chambre..... pour voir si je grossis

Un flou total d’environ 24 heures dans lequel je me rap-pelle par brides revenir à l’hotel , comment ? je m’en étonne encore, vaguement aller à la police, refaire un somme et à mon réveil le lendemain, avoir la certitude qu’il ne s’agissait pas d’un mauvais rêve mais bien de la réalité.

Je me rappelle encore dans cet état comateux avoir le réflexede mettre la main dans mon sac pour vérifier sans trop croire le contraire que mon boitier avait disparu.Lors de mon second passage à la police touristique près de l’hotel, ayant recouvré un peu mes esprits, on m’indiquaclairement qu’il fallait payer pour enregistrer mon dépot deplainte en anglais ce que j’ai refusé dans un premier temps.Pour eux ce papier était le césame des remboursements futurs et par conséquent, ce papier avait une grande valeur...Bien-venu chez nous....Je me suis alors rendu à l’aéroport dans l’espoir d’y trouver une instance plus .....classique ?



Dépot de plainte pour vol faite à l’aéroport deBangkok ...pas complètement utile comme pièce maisIl m’a pourtant fallu convaincre un policierd’enregistrer cette dernière car je n’avais etce deux jours après le fait d’avoir été «drogué et volé» aucun document officiel de dépot deplainte hormis l’option rémunération pour celleci.J’ai passé une bonne heure dans un pe- tit bureau à la remplir avec un policier ayantquelques notions d’anglais et servant d’inter-prète à celui qui consignait les faits; heureuse-ment que j’aime les ambiances aéroport! d’ailleurs il me fallait revenir le lendemain pour essayer de revendre mon billet d’avion pourRangoon à des gens se présentant au comptoird’air asia, la compagnie refusant le rembourse-ment.



La chambre ressemblait plus à une cellule pour moine qu’à chambre d’hotel.Je n’étais pas venu faire une retraite mais j tais bien m’évader quelque peu et ce pour un mois et demi récage dans lequel j’avais l’impression de baigner depuis qu temps.Opération on ne peut plus successfull! J’étais peu fatigvoyage et le seul coup de barre notoire fut à Bahrein, en trade plusieurs heures et ce à partir de 4h du matin. j’étais vé le soir plutot relax dans cette chaleur, ce bruit et ces odque j’aime par dessus tout, typiques de l’asie.L’odeur des piques....



Je ne reprends pas non plus ce projet pour une question de digje crois que celle ci est aussi difficile aujourd’hui; ce que j’bas me serait bien utile en ce moment.... mais on ne refait pa toire.La plupart des photos furent prises à Khoasan road, endroit ou jmes soirées et mes nuits, ....point de départ de mes ennuis .par bonheur j’échappais aux évènements survenus 8 jours plus tard à lj’eu la très grande frustration si l’on peut dire dans mes dé tions nocturnes de ne pas croiser ni de près ni de loin la moinde problème potentiel, j’avais seulement été au mauvais endroit moment!

’ai laissé en sommeil ce projet de «souscription pour Bangkok» car je doisouer avant tout que c’est plus l’histoire de ces quelques photos que leevenir de cette souscription que j’ai envie de raconter. Et si celle ci’a rien d’extraordinaire en soi on ne peut pas non plus la quelifier detalement banale.

es énormes panneaux publicitaires furent sans aucun doute ce qui attiraon oeil en premier lieu, on en croisait tout le long de la route entre’aéroport et le centre ville, on en voit peu en france qui ont cette en-rgure, ces espèces de carcasses géantes de métal incontournables ici danse paysage urbain.



Pour que la journée soit complète, en visitant un temple, un apparemment réputé si j’en crois ce que je vis sur le net par me fit l’article sur les bijoux. L’achat de bijoux est un phén assez répendue que j’ai croisé et pratiqué dans quelques pay lez savoir pourquoi, je me suis laissé tenté et attendant le cplusieurs semaines voici ce que je trouvais comme commentaires sbijouterie.

je fis donc un achat ( on dirait avec le recul une forme de cje mis 3 mois à récupérer après moultes échanges de mails avec jouterie, je croyais en fait le bijou perdu à jamais et il m’en couté 500 euros de plus et si celui ci fut je pense quelque p té....les tropiques semblaient m’ennivrer au delà du raisonnaUn mot d’ordre est désormais gravé en toutes circonstances «mépeut toujours se raviser, l’inverse, pas facile.

Change de travellers pour partir en Birmanie 3 jours plus tard.Ce pays n’acceptait ni cartes de crédit internationales ni papiermonnaie d’aucunes sortes.»Ne comptez que sur l’argent liquide» a spécifié un certrain guide....Neuf cent soixante sept dollars en liquide perdu le soir même...budget pour 3 semaines réduit à un soir, peut mieux faire!



Ne jamais perdre de vue les fondamentaux, j’étais venu pour lfois totalement confiant, pas une ombre au tableau lorsqu’on en tour de soi. Copie à revoir.

Et pour les produits illicites ? il n’y avait aucun problème...n’est de peut etre faire un plus long séjour touristique...maispaysages.

ne photo ...au cas ou celle devant etre envoyée différerait de celleçue! Il faut quand même une bonne dose de naiveté pour ne pas avoirirectement à l’esprit qu’elle ne peut surtout et avant tout jamais arri-r...

mon retour j’ai fait quelques découvertes sur le net, le nombre dersonnes arnaquées ou volées en Thailande est en fait assez considé-ble. Le nombre de touristes que je vis à police me le confirma, le seul

ndroit sur la planète ou j’arrivais avec une décontraction totale, tant deiscours entendus sur la gentillesse des Thailandais, pays qui dans’imaginaire visiblement était l’endroit ou rien ne pouvait se passer ...



Il ne manquait plus que le chameau, sommes nous réellement en Thailande ?

J’ai trainé toute une semaine dans cette rue de khoasan road jusqu’àdes 3-4 heures du matin, heure ou tout se calme faute de clients,heure ou les rats viennent se rassasier librement, je n’ai pas eu un instant le sentiment d’insécurité...

je m’y suis plu, c’était un tel mélange de décadence et d’actualité.Un erzatz «cour des miracles» .....bon enfant cependant.Je fis donc des photos avec ce qui me restait, de la tri X poussée, un35mm quasi toujours pleine ouverture.



Il m’est arrivé assez souvent de penser en faisant les ph en me plantant de façon parfois limite agressive devant gens, «vas y , fais moi une réflexion!» j’avais été un pecoué et de me rendre compte que malgré les heures tardivmes déambulations pas une ébauche de situation à risque n eu lieu m’avait quelque peu dérouté.

Ces photos furent faites après mon absence momentannée de la scène, il me fallu me bouger la carcasse pour en avoir en-vie...on m’avait laissé le Leica et une dizaine de films, in-croyable, de nos jours, on ne vole même plus les Leica...la barbarie est revenue!



Je passais pas mal de temps à règler les problèmes d’intendanner aux assurances, prendre contact avec la banque, prendre un tour etc...je cherchais différents endroits pour téléphoner, j’avaméros gratuits pour la carte bleue par exemple mais essayez de dans ces lieus internet «long call» internationaux...

Il m’est je l’avoue un peu arrivé de perdre mon sang froid...face de gens qui veulent vous faire payer le prix fort de numéque ce soit à l’hotel ou dans ces boutiques à touriste... alorj’ai téléphoné puis je suis partir refusant de payer.....marre dmé

Indifférence .. et un copain le temps d’une poignée de main.



Les boissons very strong avaient leur importance...beaucourabateurs pour les bars, ce qui était apréciable avant tout les petites échoppes ambulantes ou l’on pouvait manger po euro tantôt une assiette de nouilles, tantot des brochettepour les plus audacieux des scorpions, des sauterelles g et je ne sais quel autre insecte sur lequel j’aurais sadoute hésité.



Je fasisais des photos, la jeune femme attendait 2 de ses parties acheter des vêtements. Elles me demandèrent si d’ sur la grand place voir les festivités m’intéressait, pourquoi L’une d’elle achetait en cours de route ces petits encornetritifs....

Je me suis donc assis comme beaucoup de gens le fond pourmanger l’assiette de pate achetée à un marchand ambulant... et là j’ai discuté avec la personne assise à coté, la soeur duroi était morte la veille et près du palais, des festicvités....vraiment rien mais vraiment aucune bizarrerie dans la situation



J’ai été susrpris de voir à quasi chaque entrée de bar 2, ou plus de jeunes filles dont ma foi j’étais bien incapablde déterminer l’age exacte, 15,16, 17 ans ? elles me par saient en tous les cas très jeunes...et semblaient hors con

sexuel.

J’ai en fait principalement déambulé le long de Khaosan roaddurand huits jours, y cherchant toutes sortes de situations, es- sayant à tout hazard de scruter si je reconnaissais un visage sans vraiment y croire. J’y retourneras un jour ...



Il n’est pas toujours évident de se dire que l’on est en tuation d’embrouille surtout lorsque rien ne le laisse prque l’on a l’impression d’etre dans une situation cent vécue, que nulle volonté de quoi que ce soit transparait

Nous dirigeant vers le palais j’eu une fraction de seconde l’impression qu’un de ces encornets avait un gout différent, çac’est avec le recul. Puis 5 ou 10 mn plus tard un frisson meparcourru l’échine, pure réaction instinctive, un danger imminent?



J’ai attendu quelques instants, elle m’avait vu et ne voulait pas s’en retourner..je n’ai pas in- sisté.

Prétextant une envie très pressante, après une dizaine de minutesà regarder les festivités, j’ai voulu leur fausser compagnie, uned’elles à tenu à me montrer un grand hotel pas loin ou jepourrais aller... c’est fou ce qu’ils sont serviables, cher le service, mais serviable ....



Je suis rentré seul dans l’hotel, elle n’est pas rentrée, j’aicherché les toilettes, y suis rentré, une personne s’y trouvait déjà, nettoyant apparemment une tache sur un vètement.

Dans ube petite ruelle attenante à khoasen road



Après une dizaine de minutes de tentatives et je vous assure10mn dans un endroit calme ça compte, je n’y arrivais pas.Je regardais ma montre, cela faisait plus d’une demi heure

Il y a parfois des situations qui pretent au ridicule, dans les toi-

lettes j’ai tant bien que mal essayé de me faire vomir au cas ou,mais je faisais énormément de bruit dans cet endroit si calme avec toujours cet homme à 2mètres très silencieux.

En plein centre de Bangkok , de nombreuses personnes fonthalte sur ce lieu de culte.



En général après une demi heure, toute produit ingéré commence son effet, cela faisait même un peu plus, je me suis dis queparano, je n’avais pas entendu parlé de ce genre d’histoire en lande... .

Je décidais donc de sortir et ne voyant plus personne, j’alla trer tout simplement à l’hotel mais elle me rattrapa à la sorvisiblement m’avoir cherché, cela aurait du m’inquiéter mais tou tellement bien, la drogue devait commencer à faire son effet.



A l’entrée d’un parking, il y a le ventilateur, j’aime . s’il ne tourne pas.

On a toujours l’air con lorsqu’on est un touriste!Et puis effectivement cette saloperie semblait annihiler tous les centres de la vigilence, je repartais vers la foule avec elle et puis plus rien.....



Ici c’est pris du pont ...il a pas de nom

Cette photo ira très bien avec ma série «je ne fais que passer»



J’ai beaucoup aimé les balades sur les canaux, enfin je disbalades , je veux dire déplacements, rapides, pas chers, effi-caces.



sur la route de l’aéroport....

Ayant surtout vécu la nuit durant 8 jours j’étais quelqupeu décalé sur le sommeil mon avion décollait à 7heures matin, le dernier bus pour l’aéroport était à une heure et premier trop tard pour que je sois à l’heure avec surtout ce énorme possibilité de ne pas se réveiller.Je n’avais plus d’argent excepté pour ce ticket de bus.Jepouvais pas et ne voulais pas rester, je décidai de déambuljusqu’au matin dans l’aéroport, j’embarquais, m’assis da l’avion et ne le vis pas décoller.Je ne suis donc jamais totalement parti de Thailande, il faudra y retourner.

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