SOTO - Centre National des Arts de la Rue Paperie, Centre National des Arts de la Rue ... Et si on...

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SOTO La Paperie, Centre National des Arts de la Rue rue de la paperie - 49 124 St Barthélemy d’Anjou www.lapaperie.fr / [email protected] / +33 (0)2 41 66 04 47 contact presse Olivier Saksik / 06 73 80 99 23 / [email protected] dossier de presse A Angers 27 juin > 1er juillet triptyque en espace public

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S O T O

La Paperie, Centre National des Arts de la Rue rue de la paperie - 49 124 St Barthélemy d’Anjou www.lapaperie.fr / [email protected] / +33 (0)2 41 66 04 47

contact presse

Olivier Saksik / 06 73 80 99 23 / [email protected]

dossier de presse

A Angers 27 juin > 1er juillet

triptyque en espace public

Comment développer une culture qui serait ouverte et découvreuse tout en étant à la fois expérimentale et « populaire » ? Comment la réfléchir sans contingence disciplinaire ? Comment la représenter ? Quelle place économique et artistique peut-elle occuper dans une ville en évitant les recettes faciles, en s’affranchissant de la démagogie populiste du « pour tous », en esquissant un laboratoire démocratique où l’ensemble des langages artistiques puisse être relié ?

Nous avons choisi de travailler dans des lieux vivants, de nous confronter aux gens, de nous frotter à la ville dans des endroits où la pratique artistique pose question. La rue, le trottoir, la cour, l’espace public, l’espace semi-public ou semi-privé, mais aussi le pré, le sous-bois, la porte cochère, la place d’église, le passage piéton, l’abri-bus, le réverbère...Et puis l’envie d’essayer, d’essayer avec les artistes, d’essayer d’autres modes de représentation, d’être dans la recherche, l’expérimentation. Ne rien s’interdire. Et si on se trompe ça serait notre bêtise de Cambrai ou notre tarte Tatin, une réussite quoi !

Toutes les activités de La Paperie répondent à des missions d’Etat. L’association est sous convention triennale avec la Direction Régionale des Affaires Culturelles, le Conseil Régional des Pays de la Loire et la Ville d’Angers. Le Conseil Général de Maine et Loire soutient La Paperie. La Paperie est partenaire d’InSitu, réseau européen pour la création artistique en espace public.

LA PAPERIE - CENTRE NATIONAL DES ARTS DE LA RUE - direction Eric Aubry

Patrice et Yui sont P2BYM, une jeune compagnie qui danse dans l’espace public. Un coup de cœur, une générosité. Ils sont venus au printemps 2010 en résidence. C’était pour Shûten (l’abri-bus), le deuxième volet du triptyque SOTO. Ils voulaient être au coeur de la ville ; se chauffer le matin en studio et travailler l’après-midi sous cet abri-bus, au coeur de la ville, à 50 m de l’Hôtel de Ville. Ils y sont restés 15 jours sous cet abri-bus. Je les ai vu travailler et puis j’ai vu ce qui se passait autour. J’ai vu une vieille dame assise sur le banc les regardant. Le premier jour surprise, le deuxième attentive, le troisième ravie, le quatrième invitant une amie et devisant de l’intérêt ou non de la présence de ces danseurs, puis souriant sous cape, adolescente. J’ai vu ces jeunes qui, tout d’abord les insultent, puis se ravisant, les observent puis s’éloignent d’un geste signifiant : ok tout va bien. Et puis j’ai vu ces gens qui passent dans leur bus et qui voient 3 secondes durant deux danseurs. Et je me m’interroge : quand ils rentrent chez eux, ces gens, qu’est-ce qu’ils leur restent de ces trois secondes ? Et puis j’ai vu celui-là sourire, cet autre se demander pourquoi on jetait l’argent de ses impôts par les fenêtres, et puis j’ai vu un ivrogne, une mère d’enfant avec ses enfants, un vieux monsieur promenant son chien et encore une vieille dame et puis ces collégiens sortant des cours et cette jeune maman avec son bébé dans sa poussette... J’ai vu des gens qui ont vu des artistes travailler sur la durée et j’ai aimé ça. J’ai aimé ce temps long, ce temps de la présence artistique dans la ville, pas un temps parachuté, pas un temps convoqué.

Alors j’ai eu envie qu’on reprenne l’idée de ce temps long non-convoqué dans la ville sur un temps de diffusion. L’idée, c’est ça : jouer SOTO dans la ville, au coeur de la ville. Sans convocation. Soto pour tout le monde, enfin pour tous ceux qui seront là à l’heure et à l’endroit où ce sera joué. Créer cette expérience de l’œuvre confrontée à la ville, à la vie des gens. Accompagner ce projet chorégraphique hors les murs dans une des dynamiques propices à la réinvention de l’ouverture à l’autre. Dans cet espace de frottements, lieu d’expériences artistiques, culturel et humain, faire se rencontrer dans le même temps l’artiste et le voisin. Eric Aubry

NOTE D’INTENTION - PROPOS

dossier de presse # 2

Lieu de recherche, outil de défrichage et d’expérimentation, La Paperie, interroge les propositions artistiques sur un territoire pour les habitants de ce territoire.

Comptant parmi l’un des neuf Centres Nationaux des Arts de la Rue*, les missions de La Paperie, sont :

Chaque année, La Paperie accueille en résidence sur son site, et sur l’ensemble de la région Pays de la Loire, via le dispositif T.E.R**, une quinzaine de compagnies. Ainsi, est donnée aux équipes artistiques la possibilité de créer, de s’essayer, de se frotter, voire de se confronter à la Cité. Ces temps de résidence permettent à de nouvelles formes artistiques d’exister et la rencontre avec la population prend de multiples formes, que d’ailleurs La Paperie imagine avec eux. Gestes effectués en commun, œuvres conçues avec les habitants ou fondées sur le partage. Autant de pratiques contex-tuelles dont la caractéristique est de s’investir dans une action commune envisageant l’habitant du lieu de résidence comme un citoyen et un être « politique ». Evidemment, les artistes qui viennent travailler dans ces espaces ne sortent pas indemnes de ces expériences. Cette nouvelle donne perturbe les tra-jectoires artistiques et les projets initiaux. Ce qui est perturbé, c’est à la fois la forme, le contenu, mais aussi les modalités de production et finalement, le sens politique de l’œuvre qu’ils sont en train de créer. En ce sens, une notion nouvelle s’invente quant aux rapports entre l’artiste et l’habitant, celle d’infusion.

------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- * Les CNAR sont des établissements de référence pour les arts de la rue sur le plan territorial, national et in-ternational. Ils constituent un réseau repéré pour le soutien à la création, à la diffusion et le développement de projets culturels de territoire interrogeant de manière singulière les habitants dans leur rapport à la culture. ** TER : Le projet Territoire En Résidence permet de créer une synergie autour des arts de la rue au travers des résidences délocalisées sur l’espace ligérien. Il fédère en réseau les opérateurs culturels et place les populations aux cœurs des processus de création.

> le soutien à la création par la coproduction et les résidences de création, > l’organisation de la diffusion régulière de spectacles ou de propositions artistiques dans l’espace public, notamment en promouvant des formes innovantes de rencontres entre actes artistiques et population, > assumer un rôle de pôle référent et moteur pour les arts de la rue au niveau de leur territoire et sur les plans nationaux et internationaux.

Les équipes soutenues et accueillies en résidence d’écriture, de création plateau ou encore en résidence In situ de-puis 2005 : Arthur & Astrid, Carabosse, Cie Lunatic, Filet d’Air, Jérome Thomas, Los Animales, Maboul Distorsion, Midi 12, Ubi, Cie A, Compagnie Le Muscle, Friches Théâtre Urbain, Cie Métis, Cie Pied en sol, Tapis Franc, Trace(s) en Poudre, Trois points de suspension, Cie 36 du mois, Deuxième Groupe d’Intervention, Jacqueline Cambouis, Cie Les Pilleurs d’Epave, Raz’bitume, TM scènes, Uz et Coutumes, Gianni Joseph, Les Goulus, Grognons Frères, Migrateurs Transatlantiques, Lieux Publics, Remise à Neuf, Un air d’accordéon minimum, Vents d’Etoile, ZUR, A vous d’voir, L’Acte Théâtral, Alice Groupe Artistique, Cirque la Cabriole, Caprices de Diva, Caracol-Bambuco, Frichti Concept, Lackaal Duckrik, Opéra Pagaï, Vent Vif, Aftobouss, Atelier de Papier, Cie Ecart, Theater Gajès, Lagunarte, NGC 25, Cie Pudding Théâtre, Syllabe, Cie Thé à la Rue, Uz et Coutumes, Cie Ba-leine-Cargo, Théâtre du Centaure, Cirkatomik, La Française de Comptage, Géométrie Variable, Lézartikal, Collectif Jamais Trop d’Art, Ilotopie, Cie A 3 Branches, Artonik, Cie Ma Petite Cour, Raz’Bitume, Cie Têtes d’Atmosphère, ANO, Les Batteurs de Pavé, Cie Jo Bithume, Goldini, Ilimitrof Company, P2BYM, Perlae, Serial Théâtre, Théâtre du Voyage Intérieur, Group Berthe, Cie Tu t’attendais à quoi , Le LaRIO, Cie Bulle de Zinc, Cirque Exaltés, Créton’Art, Cie Les grands Moyens, Transe Express, Tony Clifton Circus, BaroloSolo, Garniouze, Décor Sonore, Group Berthe, V.O Compagnie, Compagnie Terrain Vague, Nejma, Asphalt Piloten.

dossier de presse # 3

LA PAPERIE

SOTO, dehors en japonais. « Dehors », en espace public, dans les endroits où le corps s’interdit

tout mouvement superflu, ces endroits où les gens se croisent sans se regarder, ces lieux dans

l’espace public où le être ensemble n’est pas synonyme de partage. Ces endroits tellement ba-

lisés et quotidiens que rien ne les prédisposent à l’échange. Mais où le focus se fait instantané-

ment d’un point de vue spectateur, où le moindre geste provoqué, dansé, résonne et prend une

dimension dramaturgique, théâtrale. Sans perturber le rythme de la rue, mais en jouant avec,

juste en nous immisçant, en nous posant là où l’art est improbable. Danser aux frontières du

rapport public / interprète, où tout se mêle. Danser pour un public averti et aussi pour celui qui

passe, celui qui se pose et devient pour un temps, aussi furtif soit-il, spectateur.

lundi 27 :17h30 : SHÛTEN - duo pour un Abribus І arrêt tramway « Foch » (devant la maison bleue)

20h 00 : ÔDAN - HODÔ - duo pour un Passage Piéton І boulevard Foch (proximité salle Chemellier)

22h30 : AKARI NI - duo pour un Réverbère І 14 - 18 boulevard Foch

mardi 28 :12h30 : ÔDAN - HODÔ - duo pour un Passage Piéton І boulevard Foch (proximité salle Chemellier)

17h30 : SHÛTEN - duo pour un Abribus І arrêt tramway « Foch » (devant la maison bleue)

mercredi 29 :5h00 : AKARI NI - duo pour un Réverbère І 14 - 18 boulevard Foch

17h30 : SHÛTEN - duo pour un Abribus І arrêt tramway « Foch » (devant la maison bleue)

20h00 : ÔDAN - HODÔ - duo pour un Passage Piéton І boulevard Foch (proximité salle Chemellier)

22h30 : AKARI NI - duo pour un Réverbère І 14 - 18 boulevard Foch

jeudi 30 :12h30 : ÔDAN - HODÔ - duo pour un Passage Piéton І boulevard Foch (proximité salle Chemellier)

17h30 : SHÛTEN - duo pour un Abribus І arrêt tramway « Foch » (devant la maison bleue)

vendredi 1er :

5h00 : AKARI NI - duo pour un Réverbère І 14 - 18 boulevard Foch

SOTO

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dossier de presse # 4

S O T OTr i p t y q u e e n E s p a c e P u b l i c

lundi 27 :17h30 : SHÛTEN - duo pour un Abribus І arrêt tramway « Foch » (devant la maison bleue)

20h 00 : ÔDAN - HODÔ - duo pour un Passage Piéton І boulevard Foch (proximité salle Chemellier)

22h30 : AKARI NI - duo pour un Réverbère І 14 - 18 boulevard Foch

mardi 28 :12h30 : ÔDAN - HODÔ - duo pour un Passage Piéton І boulevard Foch (proximité salle Chemellier)

17h30 : SHÛTEN - duo pour un Abribus І arrêt tramway « Foch » (devant la maison bleue)

mercredi 29 :5h00 : AKARI NI - duo pour un Réverbère І 14 - 18 boulevard Foch

17h30 : SHÛTEN - duo pour un Abribus І arrêt tramway « Foch » (devant la maison bleue)

20h00 : ÔDAN - HODÔ - duo pour un Passage Piéton І boulevard Foch (proximité salle Chemellier)

22h30 : AKARI NI - duo pour un Réverbère І 14 - 18 boulevard Foch

jeudi 30 :12h30 : ÔDAN - HODÔ - duo pour un Passage Piéton І boulevard Foch (proximité salle Chemellier)

17h30 : SHÛTEN - duo pour un Abribus І arrêt tramway « Foch » (devant la maison bleue)

vendredi 1er :

5h00 : AKARI NI - duo pour un Réverbère І 14 - 18 boulevard Foch

dossier de presse # 5

ÔDAN-HODODuo pour un Passage Piéton

Rien n’est permis sur un passage piéton, à part avancer. Mais que

peut-il se passer d’autre sur ces bandes successives ?

Comment danser au milieu d’un flux hyper codé et régulé sans

le perturber ? Quelle place pour le spectateur acteur ? Comment

résonne une présence récurrente d’artiste qui utilisent la danse là

où le corps s’interdit tout mouvement superflu ? Dans ôdan- hodô

nous allons investir par le corps ce lieu où l’horizontalité impose

un seul axe et deux directions. Utiliser et étirer cette suspension

inutilisable car trop courte. Prendre le temps de danser en faisant

comme les autres. Se rendre d’un point A à un point B en passant

à une de ces bandes blanches ordinaires, rassurantes. Être sur dix

pas au rythme des autres, de tout les autres.

durée : 30 min

dossier de presse # 6

S H Û T E NDuo pour un Abribus

Droit comme un I, je m’éloigne à peine de l’abribus de peur que

le chauffeur ne me voit pas, de peur qu’il me rate. Je me place de

façon à être visible. C’est qu’il y a du monde, et les places sont

chères. Du monde qui comme moi reste aimanté à cette balise, qui

semble porter le poids de chaque jour dès le matin, qui comme

moi serait mieux ailleurs, et ne demandait pas tant de promis-

cuité. Gênante, brutale, imposée, obligée. Malgré le dehors, l’es-

pace vital de chacun se réduit, à chaque seconde, chaque corps

semble se visser un peu plus à sa place, à la verticale. La verticali-

té, ce verrou qui annule le déplacement. Ce verrou qui n’empêche

personne de respirer, ce verrou qui finalement, n’annule pas le

mouvement.

durée : 30 min

AKARI NIDuo pour un Réverbère

Chercher une trajectoire éclairée loin des trajectoires balisées.

Passer de l’ombre à la lumière et voir mon ombre suivre mes pas

mis en lumière. Passer par la lumière avec pour ombre mes mou-

vements piégés par la lumière. Se déplacer ne suffit plus à se

détacher de ce que l’on laisse, se déplacer n’affranchit jamais.

Puisque l’on emporte toujours l’ombre de ce que l’on quitte, la

lumière pour permettre à nos ombres de continuer d’exister. Tant

que rien ne nous manque alors c’est que nous avons raison. Mais

la raison n’empêche jamais le rien de nous manquer. La nuit pour

rappeler l’abîme, la lumière pour danser, danser pour s’éclairer.

dossier de presse # 7

durée : 30 min

BIOGRAPHIES

Patrice de Bénédetti Né à Marseille en 1971, Patrice de Bénédetti

monte le groupe Tarif Réduit en 1989 avec lequel

il sillonnera l’Europe jusqu’en 1998. Deux ans plus tard, il découvre le théâtre de rue

avec la compagnie Karnavire. Passant rapide-

ment de technicien à comédien, il jouera dans

tout le répertoire de la compagnie; expérience

qu’il approfondira avec la compagnie Inflammable

en intégrant le spectacle « scènes de ménage ».

En 2003, il quitte les deux compagnies pour

rejoindre le collectif marseillais Ex-Nihilo comme

musicien puis comme danseur, notamment sur la

dernière création « trajet de vie, trajet de ville ».

En 2009, il intègre le collectif Le Nomade Village

avec qui il travaille sur des ateliers pédagogiques.

Il collabore avec la compagnie Us et Coutumes

en tant que chorégraphe et compositeur sur la

dernière création. Enfin, en association avec Yui Mitsuhashi, il fonde

la compagnie P2BYM axée sur la danse en es-

pace public. Leur travail porte actuellement sur

un triptyque danse «SOTO» : le passage piéton «

ôdan-hodô » / l’abribus « shûten » / le réverbère «

akari ni ».

Yui Mitsuhashi Née à Sapporo au Japon en 1983, Yui Mitsu-

hashi effectue sa formation en danse à Sapporo

Buyoukai et Mizukami Ballet. Elle intègre dès 1999 l’Ecole Supérieure de

Danse Rosella Hightower à Cannes. De 2002 à

2004, elle se produit dans de nombreux spec-

tacles pour le Cannes Jeune Ballet. En 2004, elle rejoint le Ballet Preljocaj (G.U.I.D)

pour y interpréter des extraits du répertoire dans

des lieux inattendus. De 2007 à 2009 elle est interprète pour la com-

pagnie Ex Nihilo (Marseille) et danse dans «trajet

de vie, trajet de ville », « loin de là » et « calle

obrapia#4 ». Elle a notamment dansé au sein de l’Opéra

National de Lorraine, l’Opéra de Marseille et avec

les compagnies Enfin Le Jour, K3MK, Médit, La

Locomotive, Uz et Coutumes, Madame Olivier,

Le Nomade Village. Elle est interprète-traductrice

(français-japonnais-anglais) pour le Ballet Seminar

à Sapporo Art Park. En 2008, elle fonde la compagnie PBYM en as-

sociation avec Patrice de Bénédetti.

dossier de presse # 8

www.p2bym.net / [email protected]

CALENDRIER DE DIFFUSION

dossier de presse # 9

du lundi 27 juin au 1er juillet 2011

Evenement La Paperie > Angers [49] - SOTO

du mercredi 20 au dimanche 24 juillet 2011

Chalon dans la Rue (Off) > Chalon [71] - SOTO

du jeudi 11 au samedi 13 août 2011 Fest’arts > Libourne [33] - ÔDAN - HODÔ

du mercredi 17 au samedi 20 août 2011 Festival Eclat (Off) * > Aurillac [15] - SHÛTEN

du jeudi 20 au dimanche 23 octobre 2011

Théâtre Les Bambou > Saint Benoit de la Réunion [97] * - SOTO

* En attente de confirmation

Ingrid Monnier chargée de tournées / +33 (0)6 87 54 28 95 / [email protected]

PARTENAIRES

Co-productions / Aide à la création

• La Paperie, Centre National des Arts de la Rue > Angers [49]

• L’Usine, lieu conventionné dédié aux Arts de la Rue > Tournefeuille [31]

• L’Atelline, lieu de fabrique Arts de la Rue > Villeneuve-lès-Maguelone [34]

• Espace Périphérique, lieu de résidence dédié aux formes contemporaines des arts du cirque, de la rue et de la marionnette > Parc de La Villette - Paris [75]

• Le Nomade Village > Marseille [13]

• Fondation E.C.Art Pomaret > Paris [75] Soutiens • Pavillon Noir, Centre Chorégraphique National - Ballet Preljocaj > Aix-en- Provence [13]

• Compagnie Kelemenis > Marseille [13]

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