Contacts pôle public et médiation Manon Albert 02 28 24 28 08 albert@leGrandT.frCaroline Urvoy 02 28 24 28 17 urvoy@leGrandT.fr

SORTIE EN SOIRÉE DANS LES SALLES PARTENAIRESPOUR LES CLASSES DE 3E

COLLÈGES AU THÉÂTRE EN LOIRE-ATLANTIQUE 2012-2013

COLLÈGES CONCERNÉS :

LA VILLE AUX ROSES / CHÂTEAUBRIANT JEAN MERMOZ / NOZAYOn ne paie pas ! On ne paie pas ! (Châteaubriant)Gargantua (Châteaubriant)

SACRÉ-CŒUR / PORNICHET, ÉRIC TABARLY / LA BAULE JULES VERNE / LE POULIGUENOn ne paie pas ! On ne paie pas ! (Pornichet)Présents (Pornichet)

SAINT-JOSEPH / MACHECOUL, SAINTE ANNE / LEGÉAu fil d’Œdipe (Machecoul)Dans l’œil du judas (Machecoul)

SAINT-MARTIN / PONT-CHÂTEAU, LA FONTAINE / MISSILLACSale août (Pont-Château)Le Porteur d’histoire (Pont-Château)

RENÉ GUY CADOU / ANCENIS, LOUIS PASTEUR / SAINT-MARS-LA-JAILLE, AGNÈS VARDA / LIGNÉSale août (Ancenis) Blanches (Ligné)

LES SPECTACLES À VOIR EN LOIRE-ATLANTIQUE

On ne paie pas ! On ne paie pas ! (Châteaubriant / Pornichet)

Gargantua (Châteaubriant)

Présents (Pornichet)

Au fil d’Œdipe (Machecoul)

Dans l’œil du judas (Machecoul)

Sale août (Pont-Château / Ancenis)

Le Porteur d’histoire (Pont-Château)

Blanches (Ligné)

ON NE PAIE PAS ! ON NE PAIE PAS !TEXTE DARIO FO PAR LE THÉÂTRE ICAREMISE EN SCÈNE CHRISTOPHE ROUXEL

« On aura reconnu la pièce de Dario Fo de 1974 qui a été très habilement adaptée au contexte actuel […]. Dire gaiement des choses graves, appeler à "l’indignation ", au sursaut, en faisant rire aux éclats, c’est tout le talent de l’auteur, des inter-prètes et du metteur en scène du Théâtre Icare […] Ah, la belle révolution que cela serait si cette fine équipe la menait ! »

La Provence, juillet 2011

"On ne paie pas ! On ne paie pas !"

C’est le slogan lancé en chœur par un millier de femmes ulcérées par la montée des prix dans un supermarché de la banlieue de Milan. Totalement galvanisées, ces (jusque-là) tranquilles ménagères mettent à sac la grande surface. Antonia a pris part à cette révolte spontanée. Rentrée chez elle les bras surchargés de provisions, elle s’enlise dans une suite de mensonges et d’acrobaties invraisemblables pour ne pas avoir à avouer ce vol à son époux.

Cette farce militante révèle les dysfonctionnements d’une société en crise, une société dans laquelle les rapports d’op-pression, de spéculation et de profit ont acculé les classes modestes à l’indignité. Quarante ans après sa création, la force comique de On ne paie pas ! On ne paie pas ! n’a pas pris une ride. À la tête d’une troupe de comédiens hors pair, le metteur en scène nazairien Christophe Rouxel vous pro-pose un grand éclat de rire politique.

Avec Florence Gerondeau, Delphine Lamand, Frédéric Louineau, Didier Morillon et Didier Royant

Durée : 2h10

OCT VE 19 20:45 THÉÂTRE DE VERRE - Châteaubriant

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NOV VE 16 20:00 QUAI DES ARTS - Pornichet

PRÉSENTSPAR LA COMPAGNIE LES PILLEURS D’ÉPAVE

« Au cœur de nos spectacles, il y a l’Homme, décliné sous des personnages et des situations voyageant du rire au drame, à cheval sur la poésie ou l’absurde. Ses travers nous servent de prétextes pour retourner inlassablement nos besaces de touche-à-tout, en quête de nouveaux reflets, angles de vues, détournements d’images, pour exprimer ce qu’est l’humain. Ici encore, il trônera au centre. Plus que jamais, c’est derrière nos propres nombrils que nous cherchons la matière […] Arpenteurs de nos propres tourments, nous convierons le public à se perdre avec nous, dans ce “road movie” musical en territoire humain. »

La compagnie Les Pilleurs d’épave

Présents est une invitation à l’errance dans la cohue des émotions d’une grappe d’humains empoignant leur époque par les cornes. Vagabondage musical, théâtral et expéri-mental, on divague ici sur le monde et les hommes, armés de mots, d’instruments, d’objets, de masques, de dessins, d’ombres, de lumières...

Pour squatt, un « nœud » de tuyaux et de câbles, réseau improbable symbolisant la jungle contemporaine, le centre névralgique des flux du monde (eau, sang, pétrole, électri-cité, idées, hommes en mouvement...).

On y zappe sans vergogne, s’affranchissant des codes, pour distribuer à la volée clins d’œil décalés, reflets détournés, matières à réfléchir, rire ou rêver. D’introspections intimes en passages de frontières, empruntant fausses pistes dé-routantes et raccourcis abrupts, on vogue sur des courants alternatifs, dans un chassé-croisé de pensées migratoires, d’airs envoûtants, de métaphores graphiques.

Bienvenue en cet atelier du désordre, en ce campement d’hommes fragiles, quêteurs de sens et d’équilibre, dans l’antre chaotique du / des présent(s).

Avec David Humeau, Morgane ‘Momette’ Marqué, Sébastien Gazull, André ‘Ded’ Tapia et Daniel Trutet

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NOV VE 16 20:00 QUAI DES ARTS - Pornichet

SALE AOÛTTEXTE SERGE VALLETTI MISE EN SCÈNE PATRICK PINEAU PAR LA COMPAGNIE PIPO

« Comment le théâtre peut-il être la mémoire d’un fait histo-rique, d’un pogrom, de cet acte tragique… en étant dans notre présent, comment être ici et maintenant en parlant d’hier. […] Il y a une multitude de prolongements où chacun est libre d’entendre ou de ne pas entendre ce qui est dit.

Cette « comédie triste » qui emprunte au vaudeville nous plonge au cœur d’une famille bourgeoise confrontée, presque par hasard, à un évènement tragique. Et c’est là, dans ce dé-calage, dans ce croisement entre « petite » histoire familiale et « grande » histoire tragique que se trouve tout le talent de Valletti. »

Patrick Pineau, metteur en scène

Le 17 août 1893, dans les marais salants d’Aigues-Mortes, s’est déroulé l’un des plus sanglants « pogrom » de l’Histoire française. Des émeutes entre ouvriers ont provoqué la mort de neuf d’entre eux et fait plus de cinquante blessés - tous des Italiens massacrés par des Français. Les assassins furent tous acquittés et l’affaire a été enterrée.

La pièce Sale août raconte cette histoire, sous forme de « vau-deville macabre ». Une pièce qui ne juge pas, qui témoigne, qui fait réfléchir. Une pièce qui apporte une connaissance de l’Histoire et qui suscite une réflexion toujours actuelle sur le comportement de l’homme face à ce qui est différent.

Avec Nicolas Bonnefoy, David Bursztein, François Caron, Célia Catalifo, Laurence Cordier, Jean-Charles Di Zazzo, Pierre Félix Gravière, Mathilde Jaillette, Benoît Marchand, Sylvie Orcier, Patrick Pineau

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JAN ME 30 20:30 CARRÉ D’ARGENT - Pont-Château

Durée : 1h20

JAN ME 16 20:30THÉÂTRE QUARTIER LIBRE - Ancenis

GARGANTUAD’APRÈS L’ŒUVRE DE FRANÇOIS RABELAISADAPTATION, MISE EN SCÈNE ET INTERPRÉTATION JULIEN MELLANO

« Ainsi mis en scène (avec l’avis éclairé de Damien Bouvet), cet incroyable texte conserve une impertinence toujours aussi rafraîchissante. La langue de Rabelais n’entame en rien, au contraire, la force de cet hymne humaniste et tou-jours subversif en faveur d’une éducation fondée sur la plai-sir et la découverte ! »

Télérama, 2011

Voilà une douzaine d’années qu’il combine son intérêt pour les arts plastiques et le bidouillage avec un goût prononcé pour la scène. Figure montante du théâtre d’objet, Julien Mellano crée des spectacles inclassables où il est ques-tion de détournement de formes et de jeux de simulacres. Ainsi, dans Gargantua, c’est à l’aide de serpillères trempées, de vieux traversins, de coussins poussiéreux, de casiers de bouteilles en plastique qu’il fait renaître l’univers loufoque et philosophique de François Rabelais.

L’Église Notre-Dame, l’Abbaye de Seuilly, le Château du bois de Vède, Gargantua, Grangousier, Picrochole, le Frère Jean des Entommeures… Seul sur scène, Julien Mellano nous propose de flairer et de savourer la substantifique moelle qui se cache au cœur de toute chose. Il crée une fresque assaisonnée d’excentricités et d’aventures, dans laquelle le géant Gargantua devient le porte-parole d’un humanisme fabuleux.

Interprétation Julien Mellano

Durée : 1h20 © J

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JAN JE 24 20:45 THÉÂTRE DE VERRE - Châteaubriant

BLANCHESDE FABRICE MELQUIOT PAR LE THÉÂTRE DE L’ÉPHÉMÈRE MISE EN SCÈNE DIDIER LASTÈRE

« La mise en scène restitue ces "instantanés de vie" en tableaux. Parfois très brefs, au son d’une musique efficace que l’on doit à Niobé, ils donnent un vrai dynamisme à cette pièce. Le duo émouvant et épatant de comédiennes permet de refréner les larmes et de rire avec elles. »

Ouest-France, octobre 2010

Ouais, petite fille rêveuse et flegmatique passe le plus clair de son temps avec sa Mémé Blanche, son excentrique grand-mère. Ensemble, elles jouent au badminton avec un volant invisible, dansent à la guinguette du coin, se ra-content des histoires sur les grandes femmes de l’Histoire... Et puis, Pépé Lulu est mort il y a trois mois. Mémé Blanche a besoin de compagnie et elle commence sérieusement à dérailler ! Ouais ne comprend pas. Ses parents disent que Mémé Blanche aurait une chose dans la tête, ce « truc avec un nom bizarre ». Mémé Blanche, elle, prétend plutôt que c’est Léon Zitrone qui la lui a volée.

Ce dialogue, drôle et touchant, met des mots simples et tendres sur la maladie d’Alzheimer. C’est par le jeu cette petite fille accompagne sa grand-mère dans sa descente au cœur de cette maladie. Jeu de l’enfance, jeu du théâtre. Un texte plein de tendresse et de rires partagés, Ouais amène toute sa force de vie, sa course effrénée, chaque jour après l’école pour retrouver sa grand-mère qui lui ressemble tant et qui lui transmet un autre regard décalé sur la vie.

Avec Solenn Jarniou et Louise Kervella

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FÉV VE 15 20:30 LE PRÉAMBULE - Ligné

Durée : 1h15

AU FIL D’ŒDIPED’APRÈS L’ŒUVRE DE SOPHOCLE PAR LA COMPAGNIE LES ANGES AU PLAFOND MISE EN SCÈNE CAMILLE TROUVÉ

« Si l’on a voulu faire revivre ce mythe, vieux de plus de 2500 ans c’est qu’il nous semble parler avec force du monde d’aujourd’hui. Cet espoir fou qui conduit les hommes à se jeter à la mer, pour espérer déjouer le sort… Et finalement, en remontant le fil des origines, le courage qu’il faut pour comprendre d’où l’on vient, qui l’on est, même si cela doit nous brûler les ailes. Œdipe nous interroge sur notre liberté, notre capacité à changer le cours de nos vies. Sa trajectoire questionne avec force le rapport de l’homme à ses actes. Sommes-nous maîtres de notre destin ? Sommes-nous res-ponsables de nos actes ? Nos actions ne révèleront-elles pas après coup leur sens véritable, aboutissant à un résultat inverse de celui visé ? »

La compagnie Les Anges au plafond

Un radeau qui s’arrache du sol pour voler dans les airs. Des marionnettes de taille humaine qui tombent des cintres… A l’aide d’un jeu de fils et de bobines, c’est à la verticale que se construit, ici, le destin du roi de Thèbes. « Perches, poulies, trappes, tout sera manipulé en direct, à la vue du spectateur, témoin privilégié, complice ou voyageur, explique la met-teure en scène Camille Trouvé. Rien ne lui sera caché, tout sera déjà là, enfoui ou suspendu, attendant que la flèche de l’histoire mette en branle les rouages de la machine. »

Après avoir tenté « de défroisser » le mythe d’Antigone avec Une Antigone de papier, la compagnie Les Anges au plafond tente « de démêler » celui d’Œdipe. Aux sons d’une trom-pette bouchée et d’une guimbarde chinoise, c’est un Œdipe rock qui prend ainsi forme devant nous. Un Œdipe qui part à la découverte de sa propre histoire, qui se fait déchiffreur d’énigme et se heurte à son propre mystère.

Avec sur le radeau Brice Berthoud, Wang Li, Piero Pépin et Marc Martinez

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Durée : 1h20FÉV JE 21 20:00

THÉÂTRE DE L’ESPACE DE RETZ - Machecoul

DANS L’ŒIL DU JUDASPAR LE THÉÂTRE DU RUGISSANTMISE EN SCÈNE ARNAUD VIDAL

Dans l’œil du judas se tient à la croisée du théâtre musical, de la marionnette et de l’univers forain. Prise dans les rais d’une machinerie compliquée en forme d’œil, une façade en coupe laisse voir les différents logements de l’immeuble au bord de la ruine où Giacomo a grandi. Au moment de rencon-trer la mort, celui-ci se souvient du drame qui s’y est joué alors qu’il était tout gamin et n’a cessé depuis de hanter sa mémoire. D’un étage à l’autre, c’est toute une galerie de portraits qui se dessine. Personnages plus ou moins sympa-thiques mais somme toute assez ordinaires : pépé alcoolo, concierges mauvaises langues, gamins turbulents, mégères et mari jaloux…

Jusqu’à ce que l’arrivée d’un nouveau locataire vienne tout dérégler. Sa discrétion, son accent, sa détresse apparente, tout excite la curiosité malsaine des voisins, tout le désigne à la vindicte populaire. De bruits de couloirs en suspicions, guidés par quelque mauvais esprit, ils en viennent à imagi-ner un ignoble stratagème pour lui porter un coup fatal.

Fruit d’une écriture collective, Dans l’œil du judas est un conte sur la rumeur et le racisme ordinaire où l’on verra com-ment, soumis à l’effet de groupe, de braves gens peuvent se muer sans état d’âme en véritables bourreaux.

Avec les marionnettistes Stéphane Boireau, Laurent Cabrol, Elsa de Witte, Tamara Incekara et Cathy Chioetto

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Durée : 1h20MARS SA 16 20:30

THÉÂTRE DE L’ESPACE DE RETZ - Machecoul

LE PORTEUR D’HISTOIREPAR LA COMPAGNIE MISES EN CAPSULESMISE EN SCÈNE ALEXIS MICHALIK

« Partant d’une réflexion, de mots jetés sur un grand tableau, puis d’un fait divers en particulier, Alexis Michalik nous en-traine comme par magie dans un univers, qui de réel devient romanesque sans qu’on devine où cela a basculé.

Cinq comédiens donnent vie avec brio à une multitude de personnages et de récits qui s’imbriquent les uns dans les autres, dans une mise en scène haletante, quasi cinémato-graphique qui ne laisse aucun moment de répit au specta-teur. […] Un jeune auteur et metteur en scène prometteur, sans nul doute à suivre.»

Froggy’s delight, janvier 2011

Qu’est-ce qu’une histoire ? Qu’est-ce que l’Histoire ? Qui sommes-nous ?

Armés de cinq tabourets et deux portants à costumes, cinq acteurs vont tenter, sur un plateau nu, de répondre à ces trois questions, en emportant les spectateurs avec eux dans une épopée philosophique, une enquête à travers les âges, un voyage aux confins du passé, de continents en conti-nents.

Cette odyssée minimaliste traversera peut-être, outre notre époque, le Moyen-Âge, le XIXe siècle, la chute de l’Empire romain, la Révolution ou la Grèce antique, avec énergie, hu-mour et émotion.

Avec Amaury De Crayencour, Éric Herson-Macarel, Évelyne El Garby Klai, Magali Genoud et Régis Vallée

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AVR ME 10 20:30 CARRÉ D’ARGENT - Pont-Château

Durée : 1h30

LES SALLES PARTENAIRESPOUR LA SORTIE 3E EN SOIRÉE

ANCENISThéâtre Quartier LibrePlace Rohan44150 Ancenis

CHATEAUBRIANTThéâtre de Verre27 Place Charles de Gaulle44110 Châteaubriant

LIGNEEspace Culturel Le PréambulePlace de Presteigne44850 Ligné

MACHECOULThéâtre de l’Espace de Retz 14 rue de la Taillée44270 Machecoul

PONT-CHÂTEAUCarré d’argentRue du Port-du-Four44160 Pont-Château

PORNICHETQuai des Arts2 Avenue Camille Flammarion 44380 Pornichet

84, rue du Général Buat

44001 Nantes Cedex 1

02 28 24 28 24