SOCIALISTE Le roi de France en ternit-il autant? La...

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gr ANNEE. f516 M. FLANDIN AU MICRO pr..,IDIN parle beaucoup,' bien que l'heure lu, pa- raisse «imposer des actes plus que des dis- cours o. 11 parle beaucoup à la Chambre, ce qui est son devoir. Il parle beaucoup devant le micro, ce qui est peut-être son plaisir. Mais, bien que les événements fournissent en abondance la ma- liere fraiche, sa parole ne se re- m/urane pas Sensiblement. Hier soir, à Vincennes, il a m- on. Ses thèmes habituels r appel a l'union ries citoyens à ruinas, autour de lui, bien entendu op- s,a1 j l'optimisme, appel au pa- triotisme. Il a réparti quelques pourmades ironiques entre ses diffeenls adversaires qualifiés d, diledanti du pacifisme, d' ob- jecteurs de confiance', et de 'neurasthéniques du Mima so Bien que sa harangue sud court,/ il a Halé ces divers couplets aved une verve un pets ressassée. De-et de-là, quelques rappels hisloriqud qui surprennent s ne eroirail-ori pas à l'entendre, que c'est l'opposi-I tion républicaine contre l'Empiré qui a préparé l'invasion rite clée faite de 1870. Il n'attrait fallu dire cela ni è Gambetta ni à ClegremI eau, ni an vieux Blanspioni eu; petit père Thiers. Je n'aperesis puW triEurTél nog, guidé qui vaille qu'on la signale La France entre dans une anné Rectorale. D'ici un an, une trifild' Bénie de consultations r conseile municipaux, Sénat, Chambre des' députés. Pour la première foi:, ais- tont que je m'en souvienne, M. T'andin s'eabavesduré sur ce ter9 rais ; floc e ptomIèref ois il s'est illthssé non 0.0.40a députés ou ana rit oyons, Mais aux électeurs. Seulement, il leur a parlé pour ne rien dire. Car que peut bien signifier un Med comme celui-ci r s, Votre choix sera vite fait si vous Mme- .; d l'inemm dtt gouvernement qui rai l'honneur de présider, l'anion de ceux qui ne séparent Pas la Fiépublime de la pennon e. Flandin vrao ment qu'une coalition électorale plissé se former à l'image de la coalition ministérielle ? A-t-il rêvé d'agglomérer sur une même liste les amis de 111. Herriot et ceux de MM Marin ou Pernot ; eomple-1-11 vraiment les persuader dose désis- ter les uns pour les autres ? t 31. Flandin sait fort bien qu'und Pareille tentative est pratiquement impossible. Elle est impossible jus- qu'à l'absurde. M. blandin le sait ei bien que sa pensée, sa vraie 'pensée, celle qu'il ne pouvait pas articuler, est toute différente de elle qu'il exprime. Son véritable dessein, celui qu'il poursuit dupais de longues armées, c'est de CORSO- Aider et de sceller l'alliance entre ges républicains Ms centre et le parti radical. Voilà l'opération qu'ors s'efforcera d'exécuter sur le plan élealoral. C'est entre les amis directs de M. Flandin et ceux de st Herriot quo s'établiront les listes COMmunes et que se concluront les désistements réciproques. RepouS-: Ser vers le centre le pile d'adret- tien du parti radical, substituer les accords de concentration aux ae- Com, de o cartel n, tel est l'objce- .Se le dis 95ns nulle émotion, cad cette perspective ne nOus fait pas eMbler. Voici seulement ce qui ténporte. Supposons l'opération accomplie. SuppOsods le groupe Flosdia et le parti Herriot alliés ht associes l'un à l'autre. Il restera dee forées politiques sur leur flarsChe, et spécialement ce qu'on 011/pelle le o liant commun s. en restera aussi sur leur droit,,. à savoir la réaclion tas- eiSte, monarchiste, cléricale. Entre hs Parti, ouvr'ers d'une part la Peaclion déclarée de l'autre, qui Umm. la coalition radiralmeppoo %mate ehoisira-t.elle ? taire Herriot marche avec blondin, [andin marche asec Herriot si, t'est commede. Mais avec qui e1 saMre qui marchera le couple ar,rint-Plandin. Voilà lu Vraie n9eslien. Le prochain discales en- oln-diffissé nous a pportera-t-il la 'dOanse ? LEON BLUM. Hainsieulummuialiumimmumnue LA TEMPERATURE lim. IToulouse t A mul: A l'ombre, 16, au no]eil 23. A 15 heu,' :A l'ombre 19 au aeled 37 A 14 -- L'AGITATION RO ASIE, Un., patronale de tanks au col de Khabar, sur la frimnère Iode-Afghane. mmounliaillimelmolamammunimumsomummomiummillaillatilIMIIIIIII NOUVELLES CONDAMNATIONS DE GREVISTES MILLAVOIS 0.5 nisss (Me. Poncer ut Le tribuns/ de mdldu ndarn quatre ces. On qui éta,eht Anetiles en sois 1.,olation de doinione, outrages à adent, et menace sous condition. Le Janine Case. est ...taonsso à un mois . ortson avec sursis et 26 franco d'accéda , leder ta C T. U., attrapé un moleavec sursis es as francs 'dàsnendà Samna. a six Some a.ec sursis uns, Oeta...tmois de pri,on ferme 26 Marica d, scene. D n'y a pas eu d'incident la sortie. Plusieurs Jeunes gens de Mima sam. «mure parL incuse!, d'outra., A Quant a gr ve proprensent slig an ne sait rien de Isdeinaregle na- trimaie a parti. Fats. ticumnsunualiminl4mitipismellii DE 1,A n NOILMANDIE». Sunt commission rogatoire du juge d'Ir/strie:don deltale, le commissaire Guillaume fol charge de l'eruméte '1 Parts Berne. 2.1 mant L'affaire Tatob a tait l'objet sidourd'ImI, sous la »rd- :sit-lance du conseiller Baumann, cher du Dlpartement fédéral de 1«. Lice et poiise, dline conférellee entre Ise autoistes intéressées de la Contacté. /anon et du canton de BMe.Ville. Y as- sistaient entre autres, le conseiller, On. Canai Motta, chef du département poli.. tique téeral, le conseiner d'EMt Und. ivig, de Hale. Les représentants des autorités ta. Mt« ont Mit un minora sa lie ré- sots. déjà aeguis de renguete, gui u'.t p. encore terminée. Draorês les renseignements recue- ils par La Légation de :Suie° à Berne, dakob se trouve en prison en Alle- n cous complète unanimité pour admettre One le fait d'attirer Talion en Suie.; Pais de l'entrain.. en Alterna. rue doit être considéré cemme une vie. lati011 particulièrement grave de /a souveraineté territoriale de la Suisse, ai ose, lorsque l'affaire aura été défi: nitivement eluoid, elle devra faire robins des sérieuses représenta- tions diMomatiguou auprès du couver. semons allemand. D Les autorités allemandes rmonnaissent e nombreux artistes travaillent , actuelknaent eux bas.reliefs qui g" Jr"""" orneront les halls gigantespes de Berlin, 25 mars. département :politique est en nesse..s d'un rapport NI nlsievori, minisiosdo Berlin. M. DinIchert sIst rendu samedi aprês-midi au ministère des Affaires étrangères du Reich pour attirer rot- tention sur la gravité de la sittion Pour le cas ou d serait Prouvé nos M. Berthod dahob 0000 conduit de Mree On Suisse en Allemagne. lo soLos e, deuxième page). la a Normando woomnimoommommiummunn Albert Prince a-t été le conseiller dubanquier Costachesco? `Le banquier costa,heeco, . errété depuis ,prês deux ans, sens rineuma- Non d'escroquerie, pour-s.tre â des opérations O contre-mu,te, sera in- terroe demain armés-midi Der, M. Vit nes. juge d'instruellog . On sait qu'il a dénonce récemment que. D sera entendu 0 sujet par Commission d'en.... D a déclaré également queld contrat. type proposé A ses cliems avait été nm au point par , conseiller Prince, alors qu'il émit chef n u no 1105 FIa 05150 C'est 055 50 dernier pointm:ré < nivra Pas rexem* lotos000sa Ira, os. Ossu , pie du Reich dans cette voie, mais elle net eurnece ne inammera sas de s'adresser d la Société des Nation, 011111111111111111111111111H1111111111111111111111111111111111I1111111111111111111111111101111111111 Le journaliste ialiob qui fut enlevé à Bâle par les nazis n'a pas été tué , lite trouve en Allemagne, en prison et sera traduit devant * le Tribunal populaire I La Suisee fera une démarche auprès do ! gou emement atlunoe,f pour pro- Isfer contre /e rapt et pour exiéer L,AciiEvEmENT ro remise en liber(' du prisonnier - La Hongrie ne suivra pas l'exemph, de l'Allemagne Bdilapest, 23 mars (die gudd'st). Dans un discours qu'il a prononcé ce 'sle;irlterrilIo'neieer s'o'ul?g7ere' l'Europe se trouve .5 dans une snuaboun extrèmement difficile n. Lé premier mi. bistre a ajouté s L'Allemagne avait demandé réga. 'lité des armements. Comme cela lui kadt refusé, ene se l'est donnée elle. Deemst l'avion qui l'a transporté â Berlin, air foira S vI/Int_Iera pour lts photOgrapbes. SOCIALISTE ro pose LES ENTRETIENS PE. LA M-ATINEE Ce malin, à 10 heures, sir 00/D1 Simon et M. Eden quittèrent hôtel à 9 h. 45 et se rendirent à pied a ParnbaSSade d'Arglet.err; pour y Fronder sir Erie Philipps.. De la, Aa. négociateurs britanniques se dirige, cent, en voitur.,, vers la Onancellerie où les attendaient le g/lance/ler Hitler, M. von Pleurera et M. von Ribbentrop. Au débutde la séance, les minit- tenu britanniques reçurent le texte qu'ils avalent sollicité du criame- lier. En effet, a limue dm conver- .tions d'hier, sir Johrs &mon et-M. Eden, frappés par certaines contra- dictions et certaines imprécisions cabotines aux pactes de sécurité col- leeave, avaient prié Hitler do leur préciser par écrus l'essentiel de son point de vue. Ce matin, les négociateurs alle- mands remirent aux ministres bri- tanniques.usa texte qui formule plus explicitement lets olomblions et I. contre-proposinons que le Innien oppose au pacte oriental. . UN DEJEUNER A L'AMBASSADE D'ANGLETERRE Commencées, comme nous le di- sions, à 10 heures, les conversatiOns furent interrompu. à 13 h. 10. Les ministres anglais et allemands se rendirent alors a l'ambassade de Grande-Bretagne, oh sir Erie Phi- lipps offrait un grand déjeuner diplomatique. La thèse allemande Berlin, 25 mars (dé, Hmms) Hitler, Bohr, et chancelier du Reich, a exposé lui.m,me aur ministres bri- tanniques resnis ce matin dans la nul. Io des conférences de la chancellerie, la poisition de l'Allemagne sur remern. bis des pi,Mlèmes de Politique euro- péenne. D'aprcc des informations re- cueillies dans les milieux de 0 cenfé. rence, Hitler aurait confirmé une fois Oc plus ses intentions Pemjigues.. Pérdai ean.."2T0'OiZoPeeetl'o'n celeérl ue linlizeiion des armements sur la ba- se de l'égalité des dimits et de lu, sécu-' re4:414FPeePE'::eià engemoo que ion autres Etats doivent reconnaître. En entre. E existe à l'heu. re actuelle d. alliances défensives et odensivm dont l'Allemagne doit tenir compte du point de vue de sa sécurité. Il semble que le Puhrer ait tad atm- sien aux accords franco-polonais et au raPproohernent trance.r.se. Le Reich, aurais déclaré Hitler, est prit h nclure des raome de non-acres- s ses voisins Ou 1/1 esrprèt'igalement renforcer le Pacte de Loearne en signant la nven- tion aérienne prévue par protocole Londr.. Il ne veut pou alloess dela Il ne veut pas en particulier enrager dans un systûme de sécurité gui englo berait la Russie. Le Question du Pacte dannblea a La éses ru:Peinent soulevée orenosition allemande est la sui Elle us voit aucune utilité d conclu. mn un pacte qui prétendrait mainte nir l'état de choses actuel. c'est.a.dlri une hostilité permanente entre I,. magne et l'Autriche. En outre, l'Al. magne ne saurait sous,,:rire A aucun engagement permettant à d'adtre, puissances de s'inmuscer dans la pie tique Intérieure de l'AldrichO. Un tel engagement ...Mirait uns ,ginirme.,Inosutiùlgen,tr se IllIzaegraea iVEIClitItS- D[U IlltSORERIE Le gouvernement demandera-t-il à la B4:-..;et de France de lei consentir une avance de trots milliards? -POUR COUVRIR LES DEPENSES DE GUERRE in politique extérieure est à l'ordre du jour du Conseil des ministres qui se réunit ce matin. Un échange de vues se produira dans dente également; qUant à la date' à laquelle les Chambres Pour- raient se séparer. D'une maniere générale, on pense que les députes rejoindront leur oie- eonscripUon vendredl, ponr ismer le départ d. Chambres, M. Flandre renoncera probablement à proposer au Sénat 5100e prononcer munisdustement. sur le projet relais( aux ententes industrial°e. Copendant, l'assemblée du Palais du Luxembourg esj astuce de plusieurs mer. Projeta qMil lui faudra, al le gouvernement rot vraiment pressé de Miro le vide dans 1.11am/erste,. «Médie,» ra- Oidement. gais ne se pourrail-il pas que le Conseil des ministres Mt appel., à se pencher sur l'étal de antre Peso- ayrin 01 à m,ser b certains_ ineyens dont le' gouvermement l'emploi urgent Parlons clair. Pour couvrir une bonne partie des dépenses oceasionek. pur l'aeirava- ilm, des charcie, tni/duires. 15. Flan. ne lbleou,l-t iivL neer...one dé_ ilemrnleeà !a Ennque de France do comentm sElat des arabes cula. or sincérité. ire Our miner, aurait-g au c'est de trouver le moyen de permettre s l'Autriche d'exprimer lsueccocot as volonté politique en venu la droit dès Peuples d dispor d'eux-mémos ci c'est que l'Allemagne cet prote Quant d la nuestioo di/ retour do Reich O la Société usa Nations. Hitler sachant à quel' pdlot eiSa tient à cm, à ses interlocuteurs anglais, Ce IOi montré lavorabla en orineine. Pour. rentrer 0 05050e. rallerag- pose comme adltion préalable lx connalesanee pleine et entiére du égalité des droits. Le Fuhrer, propos,-..auralt Mit allusion O !a o,- 050 désirée par le Reich su staiat I. Soffite deo Nation, On ,,a05 que de puis sa sortie de Genève. le gouvmns. nient du acieb voudrait que le sa, de la Société des Nations fat dor. sant Indépendant ini T,,sité de sailles. (Voir la soi, os deuxième Page. fillIUMINIIIH111111111111111111I1111111111111O Demen UNLEADER ARTICLE D'ALEXANDRE RAUZY On pose actuelisment les hélice, à la IYa.inamde o. qui a « LES PARENTS PAUVRES n spétialemut pad, cette tâche, mise ea gale sèd., l'usade de, Pagsans ummuneuunitutimuulummuntiu tultetunniumuntuouonnuountuundunutunutumunittummutunnunt e e e De l'autonté à h dIscene L'élection de Blois M. Plandin a dit hier au cours de son discours radicalisme t e CEUX ,QUI PRECHENT AVEC LE PLUS DE FLAMME L'AUTORITE, SONT PeuX QUI SONT LE FLUS INCAPABLES DE DISCIPLINE. s Et du ieinare l'étonnement. . Gemme en ne savait .pas que preciament l'autorité et la discipline loin d'aller enmbie, paraissent au contraire sinon d'essence -oppOsée tout au moins oarg lien de mente ' L'esprit do discipline dérive proprement de l'esprit. désnomannues cil ms vrai toutefois qu'on doive concevoir la démocratie comme le régime Où Chapm anCOPte délibérément des restrictions à sa liberté individuelle bour assurer le maximum de liberté collective. L'esprit d'autorité pretend imposer à autrui par la force et la crainte, une obéissance aux régies de la société que la démocratie demanda a la discipline dellnérêment consentie. Rien rie plus naturel que les partisans d'autorité ne sachent pas se clisciph. ner. Ils ne savent cesse qu'et la discipline. Ils ne la valent que °ample un effacement de 1a. volorgé gellenve devant are volonté. iedcsi0000e Plus Paia- Il n'y a nem erra qu'une saute discipline s C011e de ta caserne, celle que chet lenpage ExiCE de Ers stgetà La lour Se las partgans de /Autorité mont capables rie discipline, montreront tien moins diarrammnent'a rAworio, .'étaht aperçue pue l'orga- nisation mer le mérne Man des bonnes volantes deur une uvre commune 505e05 la DiseiplMe, nem se member as rAutorna pour l'anisun. et m révèle, moralement, superieure a l'Autorité. A-t-11. fallu à m. Flanittth l'épreuve du pouvoir pour se rendre compte de oette inaptitude des à » e-se discipliner ? Et ne voit.il pas, comme nous, une relation étroite entre le Pollitique et rEnonsique nue ne terrain même ? Le .capitalistne Pans sa gestion économique, comme dans organisation Politique, est sondé sur ie principe d'api:Orge. De là vient son liman.. achielle devant naskiklissemens da mus en phis accentué de s'Autorité se relever, parce que reluite à la disulinme, et a é Lient ' l'ana ^h" La malheur est pour lm que s'il peau espérer une restauration d'autoidé politique, l'expérience italienne et allemande prouve qu'il ne peut rien en Mien- dro peur sauver son économie, Il lui fatediait esciptiner. Et il en eet d'autant plus Incapable sois recherche mie, plus de vigueur le retour de l'autorité. Que M. Flandin s'y résigne atd lieu d'en marinier si grande m'IMM.,. LEON HUDELLE 1111111111111u111.1111111111111111111111111111111111111111H1111111111111/1111PHIMIIMP11111111 Emoure- de mrsonna!ités, l'ex-kronprinz asàiste emude 'parade militaire. de Berlin dans /es milieux bien informés. fise lus maintenant à trois ml]. lourds? SI. Flundin avait souriant manifes- té en volonté d'inaugurer ruse pu/di- gue- financière qui. par Io jeu des émissions de bons du Trésor à court terme et la pratique do récreomPth levait procurer sr la Trésorerie une aisance 'relative dossier moments le gen,. On assure que le gnsworne50e51 songerait ainsi a se garantir cana., le riSque évenluel d'émissions à pro. Miction médioere. 'Mais il .semble bien qu'eu réalité il n'ait pas trouvé auprês de /a Ban- que de France In concours espéré, et qu'il Se soir beueN'a.la mauvaise vox 10,156 des relents. Par aideurs, it ne parait pae que l'ensemble dm banqués' ait répondu au «sis du gouvernement. //es émissions de Irons ont été de' cHées 'par. Ni. Germain-Martin. Or, É'500 millions de titres seulement ont >êlf sonierik fat lea /amines. Lc Pur. Mme du réescompte accorde 1.r ;s. Banque de France,, et la Publicité faite mer opératioim dans le llarlan de Ii Banque ont,pmit-étre ru. lanti. l'élan des établissements Lui- . ires. ToujOUrS que sen,c1 Le roi des Belges vient de prendre cinq ministres socialistes cl à des leviers ale commande. Le roi de France en ternit-il autant? La parole est à nos royalistes. - C'est en raison des difficultés qu'il rencontreclaus 1eohummen11100 bons, que le nunistère des Finance, a en- visagé :Tévénitia lité :des avarges de la Banque de France. ' Mais ces avances, intordiles-par loi monétaire, ne parleraient être au- torisées que par les Chambrée. Biles revélgaient un carectèms évident' d'inflation ouverte. - Nais cela ransiso n'épntivanle pas 51. de Wendel. !d. de Wendel était hostile, résolument à une poilique de réescompte à faible taux. « Infla- tion », Protestait-P. . Dès lors qu'il s'agit de permettra à l'Ela do couvrir ses dépenses de guerre, parlant d'alimenter les cais- ses des inarchands de canongli est: pans voix. Il o,s lindigne Mua. 11 au école des ine,ices:pius graves enco- re que gen. corhe lesquelles il s'a. *da se valait-il pas d'être souli- gué r Marcel BIDOUX. nustunanuntunneuenunmennusins Vous pourrez the demain La chronique illustrée de la Femme et do la militante, ainsi quo ia suite des amigo,ee slo bédé et Doue.. 2.11..,BOREI)1 'dl MARS 1915 par Paul FAURE L'PLECTION de Blois Puma 511, prendre quelques-uns de nos ca. marades. Je n'ai gprougé, pour ma part, nul étomeasel. Notre candidat. le Dr 011ivier a ob- tenu 2.649 voix, clin candidat com- muniste 411. C'est peu, sans doute, rue tin total de 15.610 suffrages crPriosé,. Mais, peur apprécier sainement la situation, il convient de se reporter à !a dernière consultation devant le même collège électoral. fo ...merl de notle Parti avgit ob. u ten alors 344 voix el le com-mun, 415 (moi 19321. licou vrai qu'en 1929, nous avion: eu 1.471 voix Flux et reflug Dans l'ensemble. donc, progrès au- préciable sur 1929 et relativement con- sidéral* sur, 1992. Polsour oette fois 'nous multiplions po/. boit notre chiffres 'Pr' Quant à la feren lires de rélectiln, elle est toujours la mémo r nous n'au- rons de succès réel et durable qu'après de longs, tenaces el mékhodiquesepforts de propagande. Un résulten getaral Pour mins ne s'imptovise pas, et ce n'el Pos saultai- table. Il faut préalablenwnt mil des sec- tions virantes au cheLlteu de la circons- cription, d'autres dans les communes. partout aise militants qui ont répandu nos tracts, brochures. hvres, journaux; d faut «unir crsé des forces socialistes àgissantel'et 00100100 dans leur sillage un mouvement d'opinion f.oroble. Ala," une ,emPegne demande s'en- cage dans de bonnes.condrheas eh usé- - me quand la vieto!re ne vient pas lout de suite, noire Parsi, ou pahasr et ses doctrine s'implantel dans le ;er- ror ei rien d.!sormais ne semait los en' déloger. PAUL FAURE. Les socialistes voteront contre Dorgèrer Le retrait de ln candirlal rif£17 do nosteur Olivier a Clé dietidn las,FédératIon de Loir-et-Cher - M: mars. (Per téldrhon,Y---0- Le Comité de la Fédération attelallete de Lely-et-Char genv 'Cari ealuvryblur examiner la situation résultant' du pro- inter taur de l'élection léglenthie Sa premiere circonscription de Blois. Le Comité a pris une décision qu'exprime l'ordre du jour el-aprés té rar le comité Fddleation soeia1iste Or borrecoher.vmssessielass2:643.4rec- mars oui lut ord loir e 0555e prend trete des rdeultsts scrutin leeslatlf du 21 mars dona te c,cetosenotton Or 4105, nie decideérlleAdrar rama. ne ta ndiderture de son candidat le docteur a Et eits-incitc..lés électeurs cm rat ont accordes leun sut/rune à rorar a. deuxième tour contre la can/g/Win./ royaiietc du fuer. 1505 ores, s Conflit dans la batellerie Pagne, Sa mars. nouveau cors na est sur le peint geai., entre la lig,iter, et 1. odu,oIrs- puhlies a id suite d'un ateret Inini récemment at do...1001,w et gui rend obligatoire la 55,-m1i05 m-cer,ntoue des bateaux mir teS cannes relgut 10.rn au Rhin et, Id S.rre 2ZrZeltre'itt ses, seraient , Vs A gager pfe.. tien si 0 immédiatomen1 r.ePo.rtés ABONNEMENTS Ifisdaditbo cl Aemininination ...lx s i41LLGySl1 - 280.53 - C. C. PuMninni 5.277 a moi, 22 Ir. G mois, 43 fr.; 1 an, 32 tr. nuerAux A PARIS : 5, rue St-AMIttstin (2) - 1 Quéph. Richelieu (MB° issmcs gumpém ,or anmérc) LE cocuersalan gige-e4m.u.cus POSE D' El 10ES Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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gr ANNEE. f516

M. FLANDIN

AU MICROpr..,IDIN parle beaucoup,'bien que l'heure lu, pa-raisse «imposer desactes plus que des dis-

cours o. 11 parle beaucoup à laChambre, ce qui est son devoir. Ilparle beaucoup devant le micro,ce qui est peut-être son plaisir.Mais, bien que les événementsfournissent en abondance la ma-liere fraiche, sa parole ne se re-m/urane pas Sensiblement.

Hier soir, à Vincennes, il a m-on. Ses thèmes habituels r appela l'union ries citoyens à ruinas,autour de lui, bien entendu op-s,a1 j l'optimisme, appel au pa-triotisme. Il a réparti quelquespourmades ironiques entre sesdiffeenls adversaires qualifiés d,diledanti du pacifisme, d' ob-jecteurs de confiance', et de

'neurasthéniques du Mima soBien que sa harangue sud court,/il a Halé ces divers couplets avedune verve un pets ressassée. De-etde-là, quelques rappels hisloriqudqui surprennent s ne eroirail-oripas à l'entendre, que c'est l'opposi-Ition républicaine contre l'Empiréqui a préparé l'invasion rite cléefaite de 1870. Il n'attrait fallu direcela ni è Gambetta ni à ClegremIeau, ni an vieux Blanspioni eu;

petit père Thiers.Je n'aperesis puW triEurTél nog,

guidé qui vaille qu'on la signaleLa France entre dans une annéRectorale. D'ici un an, une trifild'Bénie de consultations r conseilemunicipaux, Sénat, Chambre des'députés. Pour la première foi:, ais-tont que je m'en souvienne, M.T'andin s'eabavesduré sur ce ter9rais ; floc e ptomIèref ois il s'estillthssé non 0.0.40a députés ouana rit oyons, Mais aux électeurs.Seulement, il leur a parlé pour nerien dire.

Car que peut bien signifier unMed comme celui-ci r s, Votrechoix sera vite fait si vous Mme-.; d l'inemm dtt gouvernementqui rai l'honneur de présider,l'anion de ceux qui ne séparentPas la Fiépublime de la pennon e.

Flandin vraoment qu'une coalition électoraleplissé se former à l'image de lacoalition ministérielle ? A-t-il rêvéd'agglomérer sur une même listeles amis de 111. Herriot et ceux de

MM Marin ou Pernot ; eomple-1-11vraiment les persuader dose désis-ter les uns pour les autres ? t

31. Flandin sait fort bien qu'undPareille tentative est pratiquementimpossible. Elle est impossible jus-qu'à l'absurde. M. blandin le saitei bien que sa pensée, sa vraie

'pensée, celle qu'il ne pouvait pasarticuler, est toute différente de

elle qu'il exprime. Son véritabledessein, celui qu'il poursuit dupaisde longues armées, c'est de CORSO-

Aider et de sceller l'alliance entreges républicains Ms centre et leparti radical. Voilà l'opérationqu'ors s'efforcera d'exécuter sur leplan élealoral. C'est entre les amisdirects de M. Flandin et ceux dest Herriot quo s'établiront les listesCOMmunes et que se concluront lesdésistements réciproques. RepouS-:Ser vers le centre le pile d'adret-tien du parti radical, substituer lesaccords de concentration aux ae-Com, de o cartel n, tel est l'objce-

.Se le dis 95ns nulle émotion, cadcette perspective ne nOus fait pas

eMbler. Voici seulement ce quiténporte. Supposons l'opérationaccomplie. SuppOsods le groupeFlosdia et le parti Herriot alliésht associes l'un à l'autre. Il resteradee forées politiques sur leurflarsChe, et spécialement ce qu'on011/pelle le o liant commun s.

en restera aussi sur leurdroit,,. à savoir la réaclion tas-eiSte, monarchiste, cléricale. Entrehs Parti, ouvr'ers d'une part laPeaclion déclarée de l'autre, quiUmm. la coalition radiralmeppoo%mate ehoisira-t.elle ? taire

Herriot marche avec blondin,[andin marche asec Herriot si,

t'est commede. Mais avec qui e1

saMre qui marchera le couplear,rint-Plandin. Voilà lu Vraien9eslien. Le prochain discales en-oln-diffissé nous a pportera-t-il la'dOanse ?

LEON BLUM.

Hainsieulummuialiumimmumnue

LA TEMPERATURE

lim. IToulouse t

A mul: A l'ombre, 16, au no]eil 23.A 15 heu,' :A l'ombre 19 au aeled 37A 14 --

L'AGITATION RO ASIE,Un., patronale de tanks au col de Khabar, sur la frimnère Iode-Afghane.

mmounliaillimelmolamammunimumsomummomiummillaillatilIMIIIIIII

NOUVELLES CONDAMNATIONSDE GREVISTES MILLAVOIS

0.5 nisss (Me. Poncer utLe tribuns/ de mdldu ndarn quatreces. On qui éta,eht Anetiles en sois

1.,olation de doinione, outrages àadent, et menace sous condition.

Le Janine Case. est ...taonsso à unmois . ortson avec sursis et 26 francod'accéda , leder ta CT. U., attrapé un moleavec sursis esas francs 'dàsnendà Samna. a sixSome a.ec sursis uns,

Oeta...tmoisde pri,on ferme 26 Marica d,scene.

D n'y a pas eu d'incident la sortie.Plusieurs Jeunes gens de Mima sam.

«mure parL incuse!, d'outra., AQuant a gr ve proprensent

slig an ne sait rien de Isdeinaregle na-trimaie a parti. Fats.

ticumnsunualiminl4mitipismellii

DE 1,A n NOILMANDIE».Sunt commission rogatoire du juged'Ir/strie:don deltale, le commissaireGuillaume fol charge de l'eruméte'1 Parts

Berne. 2.1 mant L'affaire Tatoba tait l'objet sidourd'ImI, sous la »rd-:sit-lance du conseiller Baumann,cher du Dlpartement fédéral de 1«.Lice et poiise, dline conférellee entreIse autoistes intéressées de la Contacté./anon et du canton de BMe.Ville. Y as-sistaient entre autres, le conseiller, On.Canai Motta, chef du département poli..tique téeral, le conseiner d'EMt Und.ivig, de Hale.

Les représentants des autorités ta.Mt« ont Mit un minora sa lie ré-sots. déjà aeguis de renguete, guiu'.t p. encore terminée.

Draorês les renseignements recue-ils par La Légation de :Suie° à Berne,dakob se trouve en prison en Alle-

n cous complète unanimité pouradmettre One le fait d'attirer Talion enSuie.; Pais de l'entrain.. en Alterna.rue doit être considéré cemme une vie.lati011 particulièrement grave de /asouveraineté territoriale de la Suisse,ai ose, lorsque l'affaire aura été défi:nitivement eluoid, elle devra fairerobins des sérieuses représenta-tions diMomatiguou auprès du couver.semons allemand.

DLes autorités allemandes rmonnaissent

e nombreux artistes travaillent ,actuelknaent eux bas.reliefs qui g" Jr""""orneront les halls gigantespes de Berlin, 25 mars. département

:politique est en nesse..s d'un rapportNI nlsievori, minisiosdo

Berlin.M. DinIchert sIst rendu samedi

aprês-midi au ministère des Affairesétrangères du Reich pour attirer rot-tention sur la gravité de la sittionPour le cas ou d serait Prouvé nos M.Berthod dahob 0000 conduit de MreeOn Suisse en Allemagne.

lo soLos e, deuxième page).

la a Normando

woomnimoommommiummunn

Albert Prince a-t étéle conseiller

dubanquier Costachesco?`Le banquier costa,heeco, . errété

depuis ,prês deux ans, sens rineuma-Non d'escroquerie, pour-s.tre â

des opérations O contre-mu,te, sera in-terroe demain armés-midi Der, M. Vitnes. juge d'instruellog .

On sait qu'il a dénonce récemment

que. D sera entendu 0 sujet parCommission d'en....

D a déclaré également queld contrat.type proposé A ses cliems avait été nmau point par , conseiller Prince, alorsqu'il émit chef n u no 1105 FIa 05150

C'est 055 50 dernier pointm:ré < nivra Pas rexem*lotos000sa Ira, os. Ossu , pie du Reich dans cette voie, mais elle

net eurnece ne inammera sas de s'adresser d laSociété des Nation,

011111111111111111111111111H1111111111111111111111111111111111I1111111111111111111111111101111111111

Le journaliste ialiob

qui fut enlevé

à Bâle par les nazis

n'a pas été tué

, lite trouve en Allemagne, enprison et sera traduit devant *

le Tribunal populaire

ILa Suisee fera une démarche auprèsdo

!

gou emement atlunoe,f pour pro-Isfer contre /e rapt et pour exiéer

L,AciiEvEmENT ro remise en liber(' du prisonnier

-La Hongrie ne suivra pas l'exemph,

de l'Allemagne

Bdilapest, 23 mars (die gudd'st).Dans un discours qu'il a prononcé ce

'sle;irlterrilIo'neieer s'o'ul?g7ere'l'Europe se trouve .5 dans une snuabounextrèmement difficile n. Lé premier mi.bistre a ajouté s

L'Allemagne avait demandé réga.'lité des armements. Comme cela luikadt refusé, ene se l'est donnée elle.

Deemst l'avion qui l'a transporté â Berlin, air foira SvI/Int_Iera pour lts photOgrapbes.

SOCIALISTE

ro pose

LES ENTRETIENSPE. LA M-ATINEE

Ce malin, à 10 heures, sir 00/D1Simon et M. Eden quittèrenthôtel à 9 h. 45 et se rendirent à pieda ParnbaSSade d'Arglet.err; pour yFronder sir Erie Philipps.. De la, Aa.négociateurs britanniques se dirige,cent, en voitur.,, vers la Onancellerieoù les attendaient le g/lance/lerHitler, M. von Pleurera et M. vonRibbentrop.

Au débutde la séance, les minit-tenu britanniques reçurent le textequ'ils avalent sollicité du criame-lier. En effet, a limue dm conver-.tions d'hier, sir Johrs &mon et-M.Eden, frappés par certaines contra-dictions et certaines imprécisionscabotines aux pactes de sécurité col-leeave, avaient prié Hitler do leurpréciser par écrus l'essentiel de sonpoint de vue.

Ce matin, les négociateurs alle-mands remirent aux ministres bri-tanniques.usa texte qui formule plusexplicitement lets olomblions et I.contre-proposinons que le Innienoppose au pacte oriental. .

UN DEJEUNERA L'AMBASSADE D'ANGLETERRE

Commencées, comme nous le di-sions, à 10 heures, les conversatiOnsfurent interrompu. à 13 h. 10.

Les ministres anglais et allemandsse rendirent alors a l'ambassade deGrande-Bretagne, oh sir Erie Phi-lipps offrait un grand déjeunerdiplomatique.

La thèse allemandeBerlin, 25 mars (dé, Hmms)

Hitler, Bohr, et chancelier du Reich,a exposé lui.m,me aur ministres bri-tanniques resnis ce matin dans la nul.Io des conférences de la chancellerie,la poisition de l'Allemagne sur remern.bis des pi,Mlèmes de Politique euro-péenne. D'aprcc des informations re-cueillies dans les milieux de 0 cenfé.rence, Hitler aurait confirmé une foisOc plus ses intentions Pemjigues..

Pérdaiean.."2T0'OiZoPeeetl'o'n celeérl

ue linlizeiion des armements sur la ba-se de l'égalité des dimits et de lu, sécu-'

re4:414FPeePE'::eiàengemoo que ion autres Etats doiventreconnaître. En entre. E existe à l'heu.re actuelle d. alliances défensives etodensivm dont l'Allemagne doit tenircompte du point de vue de sa sécurité.Il semble que le Puhrer ait tad atm-sien aux accords franco-polonais et auraPproohernent trance.r.se.

Le Reich, aurais déclaré Hitler, estprit h nclure des raome de non-acres-

s ses voisins

Ou

1/1 esrprèt'igalement renforcer lePacte de Loearne en signant la nven-tion aérienne prévue par protocole

Londr.. Il ne veut pou alloess delaIl ne veut pas en particulier enragerdans un systûme de sécurité gui engloberait la Russie.

Le Question du Pacte dannblea a

Laéses ru:Peinent soulevée

orenosition allemande est la sui

Elle us voit aucune utilité d conclu.mn un pacte qui prétendrait maintenir l'état de choses actuel. c'est.a.dlriune hostilité permanente entre I,.magne et l'Autriche. En outre, l'Al.magne ne saurait sous,,:rire A aucunengagement permettant à d'adtre,puissances de s'inmuscer dans la pietique Intérieure de l'AldrichO.

Un tel engagement ...Mirait uns,ginirme.,Inosutiùlgen,tr se IllIzaegraea

iVEIClitItS-

D[U IlltSORERIE

Le gouvernementdemandera-t-il à la B4:-..;et

de France de lei consentirune avance de trots milliards?

-POUR COUVRIRLES DEPENSES DE GUERRE

in politique extérieure est à l'ordredu jour du Conseil des ministres quise réunit ce matin.

Un échange de vues se produiradans dente également; qUant à ladate' à laquelle les Chambres Pour-raient se séparer.

D'une maniere générale, on penseque les députes rejoindront leur oie-eonscripUon vendredl,

ponr ismer le départ d. Chambres,M. Flandre renoncera probablementà proposer au Sénat 5100e prononcermunisdustement. sur le projet relais(aux ententes industrial°e. Copendant,l'assemblée du Palais du Luxembourgesj astuce de plusieurs mer. ProjetaqMil lui faudra, al le gouvernementrot vraiment pressé de Miro le videdans 1.11am/erste,. «Médie,» ra-Oidement.

gais ne se pourrail-il pas que leConseil des ministres Mt appel., àse pencher sur l'étal de antre Peso-

ayrin 01 à m,ser b certains_ ineyensdont le' gouvermementl'emploi urgent

Parlons clair.Pour couvrir une bonne partie des

dépenses oceasionek. pur l'aeirava-ilm, des charcie, tni/duires. 15. Flan.

ne lbleou,l-t iivL neer...one dé_ilemrnleeà !a Ennque de France do

comentm sElat des arabes cula.or

sincérité. ire Our miner, aurait-g auc'est de trouver le moyen de permettres l'Autriche d'exprimer lsueccocot asvolonté politique en venu la droit dèsPeuples d dispor d'eux-mémos cic'est que l'Allemagne cet prote

Quant d la nuestioo di/ retour doReich O la Société usa Nations. Hitlersachant à quel' pdlot eiSa tient à cm,à ses interlocuteurs anglais, Ce IOimontré lavorabla en orineine.

Pour. rentrer 0 05050e. rallerag-pose comme adltion préalable lxconnalesanee pleine et entiére duégalité des droits. Le Fuhrer,propos,-..auralt Mit allusion O !a o,-050 désirée par le Reich su staiat I.

Soffite deo Nation, On ,,a05 que depuis sa sortie de Genève. le gouvmns.nient du acieb voudrait que le sa,de la Société des Nations fat dor.sant Indépendant ini T,,sité desailles.

(Voir la soi, os deuxième Page.fillIUMINIIIH111111111111111111I1111111111111O

DemenUNLEADER ARTICLE

D'ALEXANDRE RAUZY On pose actuelisment les hélice, à la IYa.inamde o. qui a« LES PARENTS PAUVRES n spétialemut pad, cette tâche, mise ea gale sèd.,

l'usade de, Pagsans

ummuneuunitutimuulummuntiu tultetunniumuntuouonnuountuundunutunutumunittummutunnunt

e e e

De l'autonté à h dIscene L'électionde BloisM. Plandin a dit hier au cours de son discours radicalisme t

e CEUX ,QUI PRECHENT AVEC LE PLUS DE FLAMME L'AUTORITE,SONT PeuX QUI SONT LE FLUS INCAPABLES DE DISCIPLINE. s

Et du ieinare l'étonnement..

Gemme en ne savait .pas que preciament l'autorité et la discipline loind'aller enmbie, paraissent au contraire sinon d'essence -oppOsée tout au moinsoarg lien de mente

' L'esprit do discipline dérive proprement de l'esprit. désnomannues cil msvrai toutefois qu'on doive concevoir la démocratie comme le régime Où ChapmanCOPte délibérément des restrictions à sa liberté individuelle bour assurer lemaximum de liberté collective.

L'esprit d'autorité pretend imposer à autrui par la force et la crainte, uneobéissance aux régies de la société que la démocratie demanda a la disciplinedellnérêment consentie.

Rien rie plus naturel que les partisans d'autorité ne sachent pas se clisciph.ner. Ils ne savent cesse qu'et la discipline. Ils ne la valent que °ample uneffacement de 1a. volorgé gellenve devant are volonté. iedcsi0000e Plus Paia-

Il n'y a nem erra qu'une saute discipline s C011e de ta caserne, celle quechet lenpage ExiCE de Ers stgetà

La lour Se las partgans de /Autorité mont capables rie discipline,montreront tien moins diarrammnent'a rAworio, .'étaht aperçue pue l'orga-nisation mer le mérne Man des bonnes volantes deur une uvre commune 505e05

la DiseiplMe, nem se member as rAutorna pour l'anisun. et m révèle,moralement, superieure a l'Autorité.

A-t-11. fallu à m. Flanittth l'épreuve du pouvoir pour se rendre compte deoette inaptitude des à » e-se discipliner ?

Et ne voit.il pas, comme nous, une relation étroite entre le Pollitique etrEnonsique nue ne terrain même ?

Le .capitalistne Pans sa gestion économique, comme dans organisationPolitique, est sondé sur ie principe d'api:Orge.

De là vient son liman.. achielle devant naskiklissemens da mus enphis accentué de s'Autorité se relever, parce que reluite à la disulinme, et

a é Lient ' l'ana ^h"La malheur est pour lm que s'il peau espérer une restauration d'autoidé

politique, l'expérience italienne et allemande prouve qu'il ne peut rien en Mien-dro peur sauver son économie,

Il lui fatediait esciptiner.Et il en eet d'autant plus Incapable sois recherche mie, plus de vigueur le

retour de l'autorité.Que M. Flandin s'y résigne atd lieu d'en marinier si grande m'IMM.,.

LEON HUDELLE

1111111111111u111.1111111111111111111111111111111111111111H1111111111111/1111PHIMIIMP11111111

Emoure- de mrsonna!ités, l'ex-kronprinz asàiste emude 'parade militaire.de Berlin

dans /es milieux bien informés.fise lus maintenant à trois ml].lourds?

SI. Flundin avait souriant manifes-té en volonté d'inaugurer ruse pu/di-gue- financière qui. par Io jeu desémissions de bons du Trésor à courtterme et la pratique do récreomPthlevait procurer sr la Trésorerie uneaisance 'relative dossier momentsle gen,.

On assure que le gnsworne50e51songerait ainsi a se garantir cana.,le riSque évenluel d'émissions à pro.Miction médioere.'Mais il .semble bien qu'eu réalité

il n'ait pas trouvé auprês de /a Ban-que de France In concours espéré, etqu'il Se soir beueN'a.la mauvaise vox10,156 des relents.

Par aideurs, it ne parait pae quel'ensemble dm banqués' ait réponduau «sis du gouvernement.

//es émissions de Irons ont été de'cHées 'par. Ni. Germain-Martin. Or,É'500 millions de titres seulement ont>êlf sonierik fat lea /amines. Lc Pur.Mme du réescompte accorde 1.r ;s.Banque de France,, et la Publicitéfaite mer opératioim dans lellarlan de Ii Banque ont,pmit-étre ru.lanti. l'élan des établissements Lui-. ires. ToujOUrS que sen,c1

Le roi des Belges vient de prendrecinq ministres socialistes cl à des leviersale commande.

Le roi de France en ternit-il autant?La parole est à nos royalistes.

- C'est en raison des difficultés qu'ilrencontreclaus 1eohummen11100 bons,que le nunistère des Finance, a en-visagé :Tévénitia lité :des avarges dela Banque de France.' Mais ces avances, intordiles-parloi monétaire, ne parleraient être au-torisées que par les Chambrée. Bilesrevélgaient un carectèms évident'd'inflation ouverte. -

Nais cela ransiso n'épntivanle pas51. de Wendel. !d. de Wendel étaithostile, résolument à une poiliquede réescompte à faible taux. « Infla-tion », Protestait-P.. Dès lors qu'il s'agit de permettraà l'Ela do couvrir ses dépenses deguerre, parlant d'alimenter les cais-ses des inarchands de canongli est:pans voix. Il o,s lindigne Mua. 11 auécole des ine,ices:pius graves enco-re que gen. corhe lesquelles il s'a.

*da se valait-il pas d'être souli-gué r

Marcel BIDOUX.

nustunanuntunneuenunmennusinsVous pourrez the demain

La chronique illustrée de la Femmeet do la militante, ainsi quo ia suitedes amigo,ee slo bédé et Doue..

2.11..,BOREI)1 'dl MARS 1915

par Paul FAURE

L'PLECTION

de Blois Puma 511,prendre quelques-uns de nos ca.marades. Je n'ai gprougé, pour

ma part, nul étomeasel.Notre candidat. le Dr 011ivier a ob-

tenu 2.649 voix, clin candidat com-muniste 411.

C'est peu, sans doute, rue tin total

de 15.610 suffrages crPriosé,.Mais, peur apprécier sainement la

situation, il convient de se reporter à!a dernière consultation devant le mêmecollège électoral.

fo ...merl de notle Parti avgit ob.uten alors 344 voix el le com-mun,

415 (moi 19321.licou vrai qu'en 1929, nous avion:

eu 1.471 voix Flux et reflug

Dans l'ensemble. donc, progrès au-préciable sur 1929 et relativement con-sidéral* sur, 1992. Polsour oette fois

'nous multiplions po/. boit notre chiffres'Pr'

Quant à la feren lires de rélectiln,elle est toujours la mémo r nous n'au-rons de succès réel et durable qu'aprèsde longs, tenaces el mékhodiquesepfortsde propagande.

Un résulten getaral Pour mins nes'imptovise pas, et ce n'el Pos saultai-table.

Il faut préalablenwnt mil des sec-tions virantes au cheLlteu de la circons-cription, d'autres dans les communes.partout aise militants qui ont répandu

nos tracts, brochures. hvres, journaux;d faut «unir crsé des forces socialistesàgissantel'et 00100100 dans leur sillage

un mouvement d'opinion f.oroble.Ala," une ,emPegne demande s'en-

cage dans de bonnes.condrheas eh usé--me quand la vieto!re ne vient pas lout

de suite, noire Parsi, ou pahasr et

ses doctrine s'implantel dans le ;er-

ror ei rien d.!sormais ne semait los en'

déloger.PAUL FAURE.

Les socialistes voteront

contre Dorgèrer

Le retrait de ln candirlal rif£17do nosteur Olivier a Clé dietidn

las,FédératIon de Loir-et-Cher-M: mars. (Per téldrhon,Y---0-

Le Comité de la Fédération attelalletede Lely-et-Char genv 'Cari ealuvryblurexaminer la situation résultant' du pro-inter taur de l'élection léglenthieSa premiere circonscription de Blois.

Le Comité a pris une décisionqu'exprime l'ordre du jour el-aprésté rar le comité

Fddleation soeia1isteOr borrecoher.vmssessielass2:643.4rec-mars oui lut ord loir

e 0555e prend trete des rdeultstsscrutin leeslatlf du 21 mars dona te

c,cetosenotton Or 4105,nie decideérlleAdrar rama. ne

ta ndiderture de son candidat ledocteur

a Et eits-incitc..lés électeurs cm ratont accordes leun sut/rune à rorar a.deuxième tour contre la can/g/Win./royaiietc du fuer. 1505 ores, s

Conflit dans la batellerie

Pagne, Sa mars. nouveau corsna est sur le peint geai., entre lalig,iter, et 1. odu,oIrs- puhlies a id

suite d'un ateret Inini récemment atdo...1001,w et gui rend obligatoire la55,-m1i05 m-cer,ntoue des bateaux mir teScannes relgut 10.rn au Rhin et, IdS.rre

2ZrZeltre'ittses, seraient , Vs A gager pfe..tien si 0 immédiatomen1r.ePo.rtés

ABONNEMENTS Ifisdaditbo cl Aemininination ...lx s i41LLGySl1 - 280.53 - C. C. PuMninni 5.277

a moi, 22 Ir. G mois, 43 fr.; 1 an, 32 tr. nuerAux A PARIS : 5, rue St-AMIttstin (2) - 1 Quéph. Richelieu (MB° issmcs gumpém ,or anmérc)

LE cocuersalan gige-e4m.u.cus POSE D' El 10ES

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Page 2: SOCIALISTE Le roi de France en ternit-il autant? La …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1935/B315556101...Elle est impossible jus-qu'à l'absurde. M. blandinle sait ei bien que

2 'LE MIDI SOCIALISTE

AL 9 PARLEME14,1A LA CHAMBRE

T. situation des cheminots retraiteset dans quel délai le gouvernmeent tgsaisira /a G /More de la ratification 1,,a, Vie Spoeli y e

,du décret prévu.

M. PIETRI. Il n'y aura Pas lienà nomination d'une Conunission

Il s'inspire des idées suivantes e spéciale ; d'autre part. La ratifies- RUGBYrésorber la surproduction, lutter lion devra être soumise au Parle- 0--

ment dans un délai d'an mois, a olussin DUS RENCONTRESJules ',loch, porte-parole des so- POUR LES MATCH, DE CHAMPIONNATojahstes,

Ms mesuprote

Pourgmg contre l'insuffla D-EXCELLENCESan. res envisaées

les mtraites des cheminots : H ned'aineurs pas comment pourra

contre la concurrence étrangère et

voitSéance dis. matin coefficient pour le bénéfice corn- producteurs pour le succès de Paf-mental, est imposée d'une façon fort cm/il leur propose de s'astreins être ratifie le décret' toi relatif atix

cheminots, étant donné le peu detemps que cette Chambre moribonde

nencore siéger.M. PIETRI. convit,--, de voter

le projet afin que la commissionpuisse commencer ses travaux teplus tôt possible,

VINCENT AURIOL. Commentse fait-il qu'une loi soit nécessairepour M noreination de cette commis-sion

PIETRI. C'est la propositionde résolution Masé qui en a décidé. .

, Paria, 26 mars. moderne. Ainsi, pour un chiffre dre à une discipline librement con-Notre vaillant camarade Albert d'affaires de 11.000 francs, s amant sentie. La mise en ceuvre de la loi

Pantin, interpellateur 'privilégié, a est de 30 francs. SI l'artisan ne résultera moins de l'action de lad-rend aucune matière première rienne sera chmge pour lui au régimeprécédent. Ce sera pour lui l'exo-nération totale; de même sl la ma-tière première lui a été fournie parle client.

ID'autre part, dans tous les cas ma

LI y a taxation, la valeur taxée est' très faible en comparaison du anade revente.

I Mais d y a des tempéraments qu'ilI serait possible d'apporter a, la nie-' eulation qui a été tant critiquée.; Ces tempéraments pourraientI porter sur le coefficient de 20 %a en,le prix d'achat des matières gag-"Mères non transformées, qui pour-rait être substituée au prix de vente

L'administration étant (IMMecentrer dans cette vole, le débatactuel pourrait être ajoumie.

Nombreuses voir, Et en atten-dant ?

M. PIETRI. En attendant, lierecouvrements se feraient de lafaçon la plus libérale, sous le bé-néfice de ces observatiMM;pour l'ajOUrnement des interpella-tions. o

Les interpellateurs ne l'entendentpas ainsi. Partiu réclame le voted'un ordre du Jour demandant /eretour au régime antérieur à la cir-culaire du 30 janvier.

M. Piêtri maintient son point devue ; le ministre responsable estabsent et la Chambre pourra, avantde se séparer, exprimer sa volonté.

son Étatut, ' FRO h . Toute la EhnmbeeTous les artisans, contrairement Parait d'accord pour demander le

aux dispositions 'votées Par le Par. retrait de la circulaire du 12 février sous-officiers de carrière, le Sénatlement, sont maintenant soupais an 1935; vaut donc mieux pour le discute les aceords de Rome,testait obliqeeedee. gouvernement accepter l'ordre du M. Henry ne Jouvenet, rompent-

comptabilité, comment Peuvent-Us jour qui a été déposé. s (Appissdl,s- senr espoue ne, nature de cd, ne-ne défendre contre les évaluations sértientM mords, dont d. emligne l'importance.tonjhum exmmiye, ,n6tait pegdn, Clamsant. Opine djinn lu même /I ne s'agit, pour la partie sujettene

Albert Pantin rappelle I. P.- m. PIETRI. Lei suite du débat . yeerie ruee .qeurî, te,e.euere.jeu.;nistration de leurs loisnelloes ?

Obtenu du gouvernement cetteséance Matinale pour expuser lesdoléances du monde artisanal etplus particuliè.ment pour protes-ter contre les mesures prises parl'administration des contributionsindirectes 'qui, par la circulaire Ms90 janvier 1935; entend faire payeraux artisane l'impôt, sur le M'afrod'affaires sur les .objets oe mar-chandises utilisés h l'occasion deleur travail ou de leur servies.

M. Edouard MOiddlle/Pieede ;Plétad est au banc . du g/Mye/ne-

Le ndnistre de la Marine rem-place, b l'improviste, M. GermainMartin dent la femme vient deMeure.

.INTERPELLATIONDE ALBERT PAIILIN

' Dès son exorde, Albert Paulln'élève - une prot.tation contre ladécision de l'administration a.contributions.

ALBERT PAUME. .-- En vingtannées, un milieu et demi an pentsateliers ont disparu, absorbés parles grandes entrepris., et l'anisa-nat, déjà très atteint par lu. crise,va disparaître si l'on persiste avouloir le dépouiller des privilègesfiscaux qui lui avaient ..été létgitime-ment coneédés en 1933;

C'est contre tout droit qu'en vio-lation d. engagements Pris, legduvernement a. prétendu Modifier

aux artisans et affirme que 1 adnu-nistration a violé la loi.

M. PIETRI L'imposition euchiffre d'affaires de la matiere nontransformée, n'est pas nouvelle.

ALBERT PAULIN. Te puis vousciter l'exemple dm tailleurS, qui nepayaient rien jusquhm sur leursétoffes nén ttaftsformées. D'autrepart, la majoration de 20 ge appli-quée par l'artisan à sa matière Pr°-

,

latif, comme le ptétend l'adminis-tration, niais représente seulementle couverture de ses frais général..

En fait, l'administration a, par sacirculaire, aggravé 'une façon in-supportable les charges qui p.aientsur des travailleurs dont tout lemonde S'accordait à dire qui] fal-lait les encourager.

Au moment aie //industrialismeoutrancier ROMs condUit h licbime,Ii est impossible qu'on oublie lanécessité de sauver /es artisans.

On a dit pbtement qu'il reste deleur arme dans la plerre de sonscathédral., dans pos, meurtensculptés, nos fers forgés, d.a tou-tes ces productions d'art aide sensibilité, qui font l'admirationdu monde entier.

G.. âme gni Manque à l'objetInéraniqUe prao/nit en série 'ap-plaudissements), va-t-on la laissertuer? tApplandissernents).

La production artisanale est, parexcellence la production de qualité.Va-t-on la condamner à périr ?

En terminant Pastan, allaisur tona les bancs, demande au gou-vernement d'annuler la circulaire

Second interpellateur, M. Lereltrs'a.ssocM, au nom du groupe de ladéfense des artisans, à toutes lesdoléances et revendications de

INTERVENTION DE M, COURTIER

Ni Courtier, qui fut Pirdtiateurdu groupe de defense de 1 artisanat,approuve sann restriction les argu-ments dm préoPinants et réclamele retrait dela circulaire du 30 jan-vier less. "

M. couerige, '- on ne Peatfarte payes aux artisans la bacale chiffre d'affaires au moment ouUs mhètent leurs fournitures.

M. PIETRI. .C'est inexact. Lataxe n'est pas perçue au momentde l'achat.

M. COURTIER. Pardon, la Ma-nu/aire du 30 manglier Confirme moninterprétation.,

M. PIETR1. La circulaire enqu.tion rta pas été retenue parl'administration ; ce n'est pas ellequi est appliquée. Un seul texte doitc noter,n'est la mati aire du 12

tévcierM. COURTIER. Je prends acte

de cette déclaration tout en meréservant d'examiner cette circu-laire du 12 février.

Puis flymandments des précédents orateurs et I

aprês des interventions analoguesde MM. Barbot et Brochard, M. PM-tn répond aux interpellateurs.

LA REPONSE DU MINISTRE

M. piétai, apres avoir évequé ladouloureuse circonstance qui luiimpose le devoir de remplacer soncollègue M. Germain Martin, abor-de le fond du débat.

PIETRI. convient en pre-mier lies de remarquer qu'au titrede l'imprg direct, les artisans con-tinuent à relever de la cédule destraitements et salaires.

D'autre part, /es artisans étaientdéjà assujettis tala taxe sur le chif-fre d'affaires pour les produitstransformes par eux.

vier 1235 est extremement faible, adéclame qu'investi pour quelquesJours d'une autorité qu'il n'avait pasce matin, il prend sur lui la respon-sabilité de revenir, pour les artisansau régime antérieur h 1935 et dedonner ainsi satisfaction à leu Ira-vailleurs qui .nt la force et l'ho.

e paye.Notre ami Albert Paulin déclare

enregistrer avec plaisir, au nén sela Chambre tout entière, l'engage-ment que vient de Prendre le gou-vernement, Il ajoute rtil nus aman-mccc ayeç vigilance l'atecution nel'engagement mis par M. Piétri.(Els applaudissements).

Cette aPplieation avait donne lieuà de nombreuses difficultés et c'est 6. àpourquoi pededuietrution

lai 12

deige tion. La crise économique el les dif-_ ficultés financiéres ',montrée ar

dans une circure du Févrierp

1935, les conditions da. lesquelles lee...igelileco.elleWne°Iel,71-,ttutla per.ption devait avoir lieu. de la crise laitière.

Il n'est pas porté atteinte au Des offres uoqopi, none

Pri.°1/te dd in anse impauliamt" peser sur le marché qui étéit déjàproduit'Prepre dut travail. alourdi par l'afflux de produits de

Le régime actert se résume donc qupte goneee,ainsi pour les matières non trans- Le projet contribuera certaine-formées, aucune modification; Pom ment b enrayer une bnisse qui pour-les autres, la Valeur de Id matièreIpreMière reven se, affectée

ministration que de celle des agri-culteurs eux-mêmes.

La disc.sion générale est close etla suite du débat est renvoyée àjeudi matin.

LE STATUTDES GRANDS MUTILES

La Chambre adopte le projet deloi portant ouverture d'un crédit de80 millions en vue de l'applicationde la toi du 22 mam 1935 fixant lestatut des grands mutilés de guerre.LA REVISION DES DECRETS-LOIS

SUR LES PENSIONSOn passe h la discussion du Projet

de loi concernant /a création d'unecommission spéciale chargée de pro-éder à /a révisien des décrets-lois

d'avril, mai et octobre 1934, relatifsau régime deS pensions Civiles et mi-litaires.

M. Varenne, président de /a Cota,missivedes travaux Publies, deman-de si le gouvernement nommera unecommission spéciale pour examiner

M. Pierre Laval a mis le conseilau courant de la situation extérieureet des négociations en murs.L'ORDRE DU JOUR

Après qUoi, l'ordre du Mlle sui-vant, rédigé par MM. Geindrait etMarcombss, est adopté à mai. 1.

La Chambre, soucieuse de con-server au travail artisanal lesavantages qui lui ont oie consentlsPar la loi du 30 Min 1923, prendacte des déclarations du gouverne-ment pour que l'impôt sur le chiffred'affaires ne soit appliqué aux arti-sans que sur les objets non trans-formés par eux, qu'ils vendent É{.leurs clients et, repoussant touteaddition, pasine à l'ordre du jour. n

L'ASSAINISSEMENTDU MARCHE DU LAIT

M, Cassez prend place an banc disgouvernement et on passe aussitôt Aa discussion du projet de loi ten-dant à l'assainissement du marchedu lait.

Léculiei, rapporteur montesées poo.ionn anion,

inoutrent tres reserves sur ces em'retiens des hommes d'Etat

cx auxquels reste suspendue,roc l'instant, l'activité diplomati.mi ne européenne.

En effet, il convient avant de per-ler an jugement d'en attendre les ré-sultats finaux, ceux-ci devant êtreexaminés de concert par MM. Mus-solini, Pierre Laval et sir Jeviin Si-mon, dlors de leur réunion u 11

Et l'ensemble du projet est adoptéà mains levées.

M. Planes demande la parole etpose a question de confiance contrela demande de Planche. Celui-ci in-

csiese ptr,Titais3;: 'vrOre.toje7re"t2IrOe.Pîle'l:contre, la demande de M. Taittingerest inscrite à ?ordre du houSens',lamite de la seussion des projetssur le lait et sur les bouilleurs decru, et la Chambre s'ajourne Medimatin, pour poursuivre la die / ;Mosdu projet sur l'assainisse/sent du

nimbé d lait,Séance levée à 20 h. 15.

AU SÉNATLUN GRAND DEBAT / DISCOURS DE M. r,AVA

51121 LES ACCORDS DE ROME , M, Laval monte ensuite a la tri-perie, 26 mort, Mme, après avoir rappelé les tenta-

tiv. de rapPrOchernentPar ses prédécesseurs, notammentPar M. Barthou, le ministre desAffaires étrangères g,eso reg«,ment sur les conc.sions consenties.

Après le voyage de Rome, je fer./e voyage de Moscou ; n. Pactes

meeeee fade, eg. poune.que pourrast etrefixée.

à la Première rende,r, e de ieueuee unnuee. Le pas dés maintenan , leur Misée°.tort .t de n'avoir oas regle ces te

.Néanmoins, par 513 voix contre fana nais h le dire, pendant que

05, la Chambre se refuse à ajourner questions ues 1919. Ma., a quienla les ministres Anglaid sont encore éle débat et la suite de la discussion nu e, etslài: jou.èyaeo.e,...e.M.m.,. ..d,et. Berlin, l'Allemagne n'aura à s'enest renvoyée à 15 h

d.qheur... .'" ` prendre qu'a elle si s'accomplit sa.séide ?

Seenee de lapide-midiLe

rapporte. conclut ainsi : roue et que ,e, peuples eediumene.Lu séance, qui n'avait été que M. DE JC.1/ VENU te. La sécuri

elle lbeuvre de paix que no. dest-

(App/audissementu).suspendue, reprend sous la prért- de notre frontière du Rhin et la- Il ne s'agit Pas, pour l'Allemagne,dence de M. Moncelle, nantis par nie alliés, Manu dans 15 de revenir à Genève sous Certaine

M. Path est de retour au banc du mesure où notre amitié aves etior condltio.; il s'agit de savoir si ellegouvernement restera étroite. Resserrons done entend participer à laeuvre de l'Ors

Le président donne la parole à cette amibe ; n'oublions pas. corn- ganisation de la paix. Pour nous,notre camarade Castagne., qui, au bien elle est nécessaire pour assurer sachons maintenir et accroître nosnom 010 Parti aPpuie les .nclusions l'indépendance de l'Autriche. La amitiés, mais 11 faut d'abord, que lade Pantin. paix ne se défend pas avec dee dia- France garde forer nécessaire peur

Locuteur s.ialiste formule, en cours, mais P. Une volonté d'a.Ls- assurer elle-même Sa Profs. dé-outre,, quelque, critiques àl'adressetance mutuele (Très bien I/ fense. Pour vivre en pes mond

ces, et il demande au gouverne- guerre eut Sana douté étéévitée,

Idu ministère dea FIrtnees, trop Si l'Aneeteore, les Etats-Unis, forts et unis,soumis ami insPeeteurs a. Fines. Malle avaient averti, en 1914 la I

ment d'annuler la circulaire ne (Applaudissements).janvier 1935. it '/ II faut aujourd'hui que la solda-

LES ACCORDS SONT RATIFIESLe projet eut ensuite eeepte

l'unanimité de 285 votants ale.SATISFACTION EST DONNEE nte se re.erre entre les nation quoi la seance est suspendue.s Après vérification du scrutin, c'eat

itiT X ARTISANS Padnu,,e et 00e disposés.. par 292 voix, chiffres rectifies, qu'ont

avoir reconnu quelarépercussion

Intervenant de son banc, 5/1. PM- a répondre à la justice par plus de été ratifiés les accords de Rome.

c., après avilir exprime le regret P. ve de Rome et le vote d. articles 1 etde force par plm de force. aqu'on ne veuille pas toujours con, 2 du PrOjet sur leg mines domasorgueil., jo oeiu eeprou 1,,,d_ M. Marie Roustan approuve à son Males d'Alger., le Sénat s'ajourne £1.mlnistration de mettre de la clarté tetrt le projet, an nom de la dom- demain 15 hmtres, séance levée aclans ses textes fiscaux et aPree iitièèl0n de. efil.nle. 18 h. 50.

oudgeteg de la eirenieu.e de jun_ a111111111511111118111111810111111111111111111111 II lllll 11111111111E1 lllll 111101111111111111111111

tri, ministre intérimaire des Fin.- lteeee'dle.l.ZeJen treeellent.d

mon, Paris le gouvernement déli- fixée au 15 avril, de manière que

, Après la ratification des accords

ro. P. LAVAL IRA A MOSCOUParis, 28 mars. Tandis qà u matin le projet de AL Pierre Laval

Berlin, le chancelier Iller recevait de so rendre a Moscou aussitôt apr.imam la dennième fais sir John St la réunion du Conseil de la S,D.N.,

lierait sur les grandes negociatio.ns cette visite ait lieu dans /as condi-an cours, tiens les plus favorables des réa-

A l'issue Mi conseil des ministres, lisations positives,tel i a duré de 10 heures midi 45,M. Marcel Régnier a remis à la L'ORDRE DU JOURpresse le ecliimuthiqué suivant DI1551PARLEMENT

Le gouvernement a meute 5m-aminé l'ordre du Mur des travauxParlementaires et dété d'accor

Le conseil a examine l'état des eecgolen iia'sêseedevreterduav24"leeildleaurrttravaux tegis/atifs et l'ordre du 105m en vacances des Chambres les pro-des Chambres. Jets d'assainissement des marchés de

la viande et du lait.Ajoutons quo les matières are-

!tolères dont M. Paul Marchandeau,ministre du Commerce, a demandél'interdiction provisoire d'exporta-Son, concernent le coton, le magné.Mura et les bois de fusil.

A propos des dépenses prévuespour les charges militaires, seloncertaines informations, le gouver-nement devait profiter du Conseildea pour pa-numstres étudter pré

Aboutons c communique leque l'on indiquaitdevoir se monter

Le pourvoi d'Hyacinthe Danseest rejeté'

Paris, 16 mars. A M suite /Msmatches de classement Mspulds Minas.

Le nouveaugouvern Men;

belgeest constitué

compoetionMe, veld imam des rencontres corn,du cabinet

taat pour tee butté/nes de finale dit eget..championnat de France d'excellence qui Peanlsenlnlamnsslmlnisleaase 5,1se joueront lent mars. tantes étranger. van Zeeland (..

A Albi, Aviron buyommis contre Stade th 1 I

loéxigna.ais. Minletres sans portefeuilles t VanA Avignon, R. C. urbaine. oontre R. gerniee eeeneo. 1-1,emmqedenne, d,édruiddee,t. pro a lement IL Pouliot (

Ann,.noà.t;°,c.A,,.. e0...er°"'111de. crie- Ministre de la Défense nationale

IncA Clormonb ViEerrand, G. S. de enne h/et' 'daerMnue'es'. t max-Leo-

leoestr,L.,,Srtaid:, ammude.,,(211r. a11,,.

(catholMum.docesta torbals. Ministre de !Instruction publique tBoveme (libéral'.

Minietre de l'Agriculture M, Des.alerter Rattoliquel.

Ministre ana Affaires économiqueaM. van Imeker (catholique).

Ministre de l'Intérieur t M. Du Pusde Wornaffe (catholique).,iallIneies)4ro de la Imites t Soudan (ha

111.1Martro 05e transports des P.T. Ro.. (meialistel,

lilnietre des Travaux mddics et re,sorption du chdmage De Man Morails le).

Ministre da Travail t 'Manne (no.eialfste).

8); R 11107 fUittre 4sont rembourses à

01,0,,,Tou ,loaiz,,,.U. S. A. Perpignan cornes

Toulon, A.S. blterrolle centre Lyon-Olympique Universitaire.

eglea, Macle Toulousain contesBiarritz Otympique.

ASSOCIATION

LE ONZE DU SLID-EST QUI JOUERACONTRE LF. SUD-LET DE

L'AULEMAGREParle, 26 mars. Ligue Mi Sua-

Est a formé l'egulpe qui remontrera, di-Mandas prochain, au stade. Femeard-Ruisson, celle de l'Allemagne du odete. En vele' la composition

But, Liesse (P. Ch Mite): sriless,

La LOIOrTiire,!allonale

Francium (F. C. Sne), ihardur 11, G. DE LA TROISJEME TRANCHENîmes)dalla. GabrIllargues (F. E Sa-

to), Katicear (S. 0. Mentpellier), LOTS DE 109 FRANCSbit 10. Marseille); avants, Redrtems Tous les billets qui se RrmineptfAlbeis0.4`. C.),oBecuttplu,r).lE.C.AL.01. mlilas

Belo (Antibes G.).Remplaçants : Masset (Antibes), Mar-

tin 10, Aléa,9 9

CYCLISME

Broccardo et Guitnbretièreont gagné la course

des Six-Jours

Les a Six-Jours a se some terminéehier sole, à vs heures, par la vieloge derémige Bromare-Guimbretigm.

Au cours de la comtes, 4571 km. 760ont commets.

vert us classement deS équImeI. Bromeemm.mebretiere, pte fy. Minen.hurg-Vrats, 71.6 f

t1. rotner-I=C1n, 355g nos

wamhee-Rageaud, ptsTous les billets dont le numéro se

xsuae,a-Iranon, usa ras n, cesM3 ms v. niot-Ignat, rts 8. A. ee les chiffres 0577 sont

"Ut'Imnrerembiour' sL par 180.090 francs.

rein:7 LOTS DE 500.000 FRANCS' oing tours e 11, Tasmodne-Dagere Le billet portant le numéro 520.249

16.8 polnts. état remboursé par 500.000 freys...A moloms touer 14. Couper-Femme, Le bluet portant le numéro 954,46

las mime. est remboursé par 500.000 francs.Le billet 'sortant le numéro 323.990

les attentats nazisest remboursé par 50/1.000 Oyama,

Le billet ,portant le numéro 998.498

se multiplient à Dantzig LeelpbeCtPuttrofzu.'à,

Le billet portant in numéro 391.002est rembourse par un million.

billet portant le numéro 967.445est remboursé par un paillon.

Le billot portant le numéro 342297est remboursé per un million.

La billet portant le numéro 532.205est remboursé ! g' un million.

Le billet portant in numéro 309.442est remboursé par un million.

LOT DE %some FRANCSLe billet portant le numéro 142.733

est remboursé par 2.500.000 fr.

A Neuteteb, on maçon nommé Mem'UMM,a été attaqué Mea lai par une

LOTS DE 1.000 FRANCSTous les billets qui se terminent

er2 perdeux ieffiredsdd:8 sont rem-Ira

DE 10.100 FRANCSTorts les baleté dont le numéro

80 termine par les trois chiffres 789sont remboursés par 10.000 francs.

LOTS DE 25.009 FRANCSTous /es billets dont le numéro se

termine par les quatre chiffres 7445sont rembourses par 25.000 francs.

Tous les billets dont le numéro setermine par /es quatre chiffres 2705sont remboursés par 25.000 fran..

LOTS DE 10.900 FRANCSTous les billets dont ie numéro se

termine par /es chiffres 9982 sontrembourses par 50». francs.

LOTS DE 100.000 FRANCS

est remboursé per 500.000 fran..LOTS DB UNMILLIONVarsovie, 26 mars. Dans /a Mue

Me d'hier, /es nazis ont commis MMsieurs attentats con leedemcgrates dans lestreagglomérationsde /a banlieue de Dantsig,

bande de 330 mg., parmi ba.uela setrouvait le maire du village. Alméeavoir saccage de fond en comble l'a>rentament, ont assailli et mué decoups Blemeithla, ainsi que sa tommeet ms enfants, Ils les ont ensuite cm.Maints d ORM. dans Im mes doSm' é. moitié nue.

La morse .bande s'est gnaule rendusohm un autre métaledémortate, nomméHaenael. dent targpartemetit etelement min tao Haendel a dû être

./".".Le"d'oollsél-'démrhoôo'reeLlfrIlee a éte et. r rLes passages a niveau

hnéconnaissablef 11 a 555 feté en prlsondans egt état.

Damna les derniers Jose, 4A pesa meurtriers

rrière,

Ut. TRAIN TAMPONNE UN CAMIONQUATRE BLESSES GRAVES

US, do Onelsie ont 850 Ixsaeleaeés dans Rernstenentir-Tern 28 mars.eel'e.oi.e/ee,,°:e l.el°55.3eisqodee',.i. ,,èque votsteue In no-

nna;ea.,,,,eve.c.0,rs 90,

écrit un article enbignant au Sénat de Un mudon de la maison d'alimenta-la Ville libre de faim amer la terreur . tion Verdier, rIscetadalt tmset l'avertiseent que les méthod. In, en direction de (Mousse s.toelles_,por_ rraientcoater Mer k Dong momm meng, nu de mem.,aamao 55le deviendra Jamais. la bouteur du passage a niveau de

Conforte.Madame Maure, garde-barrière, fer-

Ce qui s appelle e à cron.:Ze.anisdoilte, ne Purent freiner tempresttamponnèrent la ba blessa. très

disait même une PEtat se Propose-Pariant de l'accusé Moise 5151515e, qull trad. sur Une IMISIIMM de 80 me.

M. Marchande..., mi.iStre d.Gommer., a fait approuver un dé.omet prohibant, à litre provisoire,l'exportation de certaines matièrespremières intér.stint /a défensenationale.

M. Paul Marchandeau a exposé en-suite au conseil les cc /fions danslesquelles se présentent tes négocia-

nient

tions

colnmalien.erciales

et économiquesen cours, notamment av. le gourer-re it ration des meaures financières dea- avoir la vie dure grime/nem mate Mauve qui ne devait

a 9 tinées à couvrir les dépenses qu'oe- pas tarder 9 memoinber. Elle était mère

Autour du Conseileasionneraient éventuellement les de huit enlan.,charges militaires du pays ; on pré- o.. " " dble IA.h. d. le "." Le train arrivant happe 1e camion

rait de recourir la Banque dc serrurier, sol se présentait hier devant sr.L'EXPOSE DE M.. LAVAL France pour en obtenir des avances la cour (remises, amusé de meurtre,

à près de trois milliards.Or, M. Germain Martin retenu

13515e13515eun fracas effroyable, le train dé-Il aaclese rani n ans ses; ehomme, messieUrs leo Jurés 'nee; le melon °°°°'' n..)apporte un démenti formel a tout cé ent.d.a.t Ph

.,

appris et à tout ce une J'ai en. ..°"°pu recuei/lig â l'Issue du Conseil :grt Le conseil des ministres a été . a.'? Il.... PePe., .....1 P. ieé! C'est une sorte de miracle. Il La locomotive se coucha en travers

nllrunMnantolas ai.' .PPeft. ...à. presque exclusivement °ent consacré à a.. Pmr.°./ g en Il..., .1.. s' t tiré deux balles dans la tenue de la voie, les occupants aminepants du :

Yexposé de M. laaval des entretiens plus d ailleurs que . 1 ty , ministre molto qui ont traversé la tâte de part 5.,, ch., Mt, annuel et oh. mure mal,l'apporteur pour avis de /a cora- nu, n on, ....nni ,,,,,,,,,, nn ann, de la Marine, qui fait l'inter. du m part et me balM dans lo M .,me 888. ,,,,,,x sout sera causale

mission de l'hygiéne, m. Alès inviteses ues à a dopt er ie texte de

4,0,m tame jes

l

cept tal

M qrtt, 4. m'IM. des Finances pendant ehe est restée dans leeerveaq, QI% i

gouverneens angais e iien.blsséee Me transportés pa

collègr

MielqUes joss et gui assistait à In .:,,: .. = 1,ore.,rc.,...,,e .e, ,_,,% , ,la commission de l'agriculture.

Mil a ..° .- . ...d° II.P....° ilo accords do Rome e Londres, de ..l. .....l .." le.-point de vue prophylactique. M. OTOS, de Na ,1DE L'AGRICULTURE Sim t 5L Cd f

bastens. M. S.let, deréaffirmer vait eiii P°°°-.... ° enen, .,,.,.,,,, bertne ntsge

problèmes d'ordre financier nu bud- g t 1 t c .Puis M. Alès insiste en faveur de

cee eeeeneee de out per, séance de la Chambre.on s'en souvient, ans représentas. A ce propos, on déchirait â Pis?: eebercotose pulmonaire dont II Met 'rare et Durand Mur prodiguarent les

de son chine se mut obtures et jou les docteurs Boyals. M. Paul Car-l'amélioration de la qualité du lait, des trois puissances signataires des ""C..èeil deè millièlreè'...te, -- atteint s'est à peu près guérir a Fdie. lems nécessaires.

INTERVENTION DU M/me solidarité, à la veille Il eliii.l°.5- d° Queile aventure! Cest pourtant en

'

aINISTRE du départ pour Berlin de sir Jobn oie' e

lia I mrial , 1 mant. r er e , en, son IR

Uns semblable décision.

oM

on e tté en qui s'in.- r res e, on son egta, était devenu 1 a d

y

e Mmef.!

ts I

, ,.,e dee dy, caraetère erroné ou tendancieux de mut, la femme de mn am!, un photo de den.. graves de /a face es desIntervenant brièvement, M. Cassez 1..JanniesnduceRl.o.irl'l P mes ingormosimm et na ajoutait que gmpbe, qui l'hébergeait. Et se mollet' frimahreS, de embfElet. nem,. et d. I

c'est la surproduction qui esi la pria. Les mlieux gouvernementaux seministre de l'agriculture, expose gne à . rien, ni dent le algue, ni dans phtisique, condamné cromaft,11, II ex !fractures. l

cipaie cause de la crise laitier°.M. CASSEZ. D'ailleurs les pro-

duits de transformation ont été sou-

haeem

mie:.','

P errnMden° Ire

PFine/Incaan l

Mem avait (MM. ddee 900/1& I

919 9.990 1.411 I

ne s--- et l'avait laisse libre choite jourm e nistre des ge Immun de as Manaar a deus,

avait Un vermet sensationnelnen'Le 15 seeeeotee, Il la tsa 0e dma.

cotes 5e San assole sn'sIIe liaIt cama

eueQUATRE NAZIS ,S,01)NT,T CONDAMNES

ntnit,xnVo lles, y,e6na lna;s,.0. .... rvotr,ocrm.; ,.a., ,,veo:ouruLe,.,.. we:ret l-emrl'iLee: Raidi... SI id°°°. 50d'I°d. °

. bramith Dansee Dan Cm,. mreat de /a cam otom que Remis, tenta evt cenevisnegn it-siranZunst e'hed' lS, egre des

Le Conseil, gni avaii aecepté, en i,,..,e. rom de Targe. PM l'amer on, al peu de bonheur de se m'eider. Tac centre la sérnfirt de ratat. Quatre deseOurs e sa erniIo gemme, linvita- ,,,,, co

Ho i d

ces,one,/ de la contrainte pat de Me J.-c- Leérand. l'ont cg:Juan:1 netoostrei"r.vd7'Iqua;l:°tion du gouvernement soviétique ' lon br v ul", néanmelm, 8 xix mimat.° e Id Si romy

rail deventr entastropaRIng pot,' adressée au é nistre des Affairesinonde rural .erglligères a éhalement approult be sans renvin. . , kdire libéré. 'tilants, ont été condamnes h .ott.se muge sur. band à deux a a de preon avec sursis, c'est Planta de° oot.lurêt nun.tot,t6t

pRESQUE FOU PAR SUITEDE MAUX D'ESTOMAC

Volet Pattostation étonnantenom envole Sir H C... a I/ ymois, j'étais une véritable I

'ec:eadt.intrglapotions au chloroterMemesgos tdeeireZ'DÈ

abusas. rique J'al essayé la PoMmaprès en avom prix deuxj'al ressenti me emelt,pu dormir naturellement.à l'employer et le mie.retrouvé l'appétit et

m ou ou ma avnet de a votre >mare mehemus qui ne l'ont pas enempour leurs maux d'estomac

ieme,,m. même la Poudre

exigea l'a veriteeatom ALEX-C-MAGI EAN.n-

Des nouve12eslu journaliste

Jakob(Sults Os la première PASO

M. Di/dollen a été informé qqn sufakob se trouve mollement en oe moiment, sur /e territoire allemand. IlIII

aarrété a/ore qu'il était me

ritoire, mal au ministere dos Memtes étrangérea du Reich, on prétendaita/avoir nullement connaissance teainconstances dans

Alesquell. Jabotaast arrive en llemagne.

La commisalon rogatoire à Paris

parvenir par la voie diptomatiqueLe mmurem général de BA. a

parque de la seine une mmmissloneogatoim demandant une enquOM aurtee faite pouvmt se rattacher it VonAvement u Journaliste allemand m.thitld ' Reit/hCette commission rogatoire a hé

crameniso par M. goums, argen desluaes Mater/merlon, A NI. Guillaume,Jommissere divisionnaire à la goiimludiciatM qui re erfeiturr diverses lx.restillmtt.s et entendre des témoin.

Une dée!arationde Pl" de Moro-Giafferri

Me de Moro-Gbilern qui, cornme enie sali, a accepte de défendre les leorets de Mme dakoh, a lait à la pressela déclaration effluente

tiens de hi source la plus m.

luitien. et la plus arme, ce renseignement

Confirme d'ailleurs PimalmaSien orrcimier que gavais fo/doues eue c'estVue 5501k '5Jacob cal vivent, mil estdéféré au Tribunal racola es allemandst qm sur lui prose la Mrribla menacede la bath, qui vient de tranoher aeoxtêtes de femme I

a Et le ne cals pas, ajouta l'aminesavocat, ne pas saisir les goevernemen.frangeis et misse. e,e. /me ie vais fairesa. retard.

ce que je puis ajouter, c'est rinele noble peuple d'Ilervatie, coi vibre es'0055 au souvenir de Guillaume Tell, estmufemé d'indignation. 90 moi qui le eul'honneur de piaider devant les magietrate suImas, je garde s sanveols Caoet respectueux, ae leu, indépendance/H 1 eompte sur la fierte de ce urnePeuple Pour réelamer Matin. e

L'émotion à LondresR mare L'enleveruse,Berthold barns a créé parmi la colome

d'émigrés allemands lomeonieme un ehrieux mouvement end.. trade. NUIn'Ignore, an effet, l'efftmeité et Va.4Iem -de l'espionnage allemand dans lacapitale britanninne.

Un des age. !lanices dont reneguéte 0e Este vient de ravaler les meaagas, tvesemann, était bien connu aLondres et l'adresse avec MM.navait su dissimuler .ses activités td.mole. assez des moyens mis en mavre par les servieea d'intelligence snAststes.

agesemann vivait à Milton Park.itighgate et lb faisait ramer poue unearhoUtple PersnenH par Mo hItleriengAvant l'arrivée au pouvoir d'Hitler, ilavait fait Muer en Allamssre di° 0Ecsd/neutre/ion nettement pasifiette, et MBarticles antiftmoistee MM/ s'efforçait dePlacer dans la masse lonaminioune nocréditaient la version egn do.s10.sa vio et de see ssidrééens. es viol,tes diatribes contre le chancelier Ri,ler mitragme avalent également parusous as signature, ou rtuter sous lepsmdmyme avait pris, pour Mbter, disait-il. les représailles du présentrégime I Rudolf Schrader n avait culéte. Londres vase la tin de l'année deoMère en prétendant qu'il partait pourl'Amérique du Sud, où H avait a/Me-té;cil ranch

ses déplacements eur le (mutinentétaient fort fréquents, se toi ne Immiielt pas d'étonner ses reiations, auprèsMaquettes 11 se plaignait d'un qua...dénuement.

Autant qu'll soit possible d'en juger,ne parait pas que Pm/Marnent de lm

kolt ait cependant été comploté à Los'dr., mais eur le conttn.t. Illseme aucours Sons des viaites à l'étranger deAVereraluan, e551 ce qu'il est mues.Impossible de pré....

5001 qu'Il en soit que Wememannait été dès 05 début de son Mime leiun espion allemand, au qu'il ait 514gagné ohm tard II ne fait pas dedoute que les services de re.eignemenes nazis font s Londres de consbtérablss progrès,

gsa. gtestas

Le &Mole Ernest Neuman, cher del'Union miliaire, et les membres deson groupe ont été °endente. ohm.II douze ans de servitude pénale; NI.

goums et le baron Repu, chefs de BU-I rion chrétienne sociale, et /es reem-

I scande Mur groupe enl été coadomedsMao,n ruilions de servi ude pénale.

Les quarante autres inculpés 001 éteacquittes.

Le procès duraa depuis plusieurs se-nratms et environ quatre oents thuoieSavaient dédia à la barre.

La VERDICT PROVOQUE A BERLINL'HE EMOTION EXIIMOMUNAIRE

Berlin, 56 mare. raes condamna-tions 4 mort pronemées Per la mi'militaire de Kaunas cnt 01011 01e gran-de some/Jon à Ber/ln.

D. que la nouvelle lui est patmeree,le chancelier Bitte, qui discutait mecIls mintstres britanniques au sujet audAsarmernent, a interrompu la mot.-sation et a entretenu ses nôtre tiu ver-bat de Kens,

Oc ddr, «hier, sir John Simon maltprecisemeni demande au AsichsfuCAMsi ?éventualité curie action violente it

Me.. ',mayes ers anmsagre. AI. mitern'avalt pris a cot égard aucun eree-ment et il est à cranire que les merlan,nations aient, à mus on moins tongueécheance, des constat-tue/mes graves.

L'orasnEration de la presse allers..est son comble; elle coassera los rond

lemnas onume d. victimes de Mur na-lemlite et elle MM nue le verdie{ estin MM aux poupine 'qui ont la sens du

gram à un aide financier, rechemcher ouvrir de nouveaux Mb°,chés.

Le gouvernement demande aux

f

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: SOCIALISTE Le roi de France en ternit-il autant? La …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1935/B315556101...Elle est impossible jus-qu'à l'absurde. M. blandinle sait ei bien que

LA VIE ECONOCe qu'il faut attendre

d'une dévaluationg monde des changes sort d'une

Lcrisepourentrer da. une

autre. Hier la livre sterlinu, au-Laard'hui le belga,

tedenminus

s..

diolntnle esa rteneur-porn's1snir pas

radé dends le début de la crise,ast le franc. Le bloc-or, c'est la,,aam. C'est sur elle que convergent

ms attaques des devises dépréciées.ta position

économique d, ma,ame devient de Plus en phis iule-'aima D'un jour à l'autre le franc'Peut doge jeté à bas de mn piédestal.

ai cal trop tard pour fermer les yeux.

Il tant examiner les conséquencesOomibles d'une dévaluation afin deammr plus sûrement t ses dangers.

On peut trouver, dans les écrits etlen ropos dos partisans de la dévas-,amm, deux séracs Margumentspara /es uns, l'abandon de la paritdu 1928 permettra à la Franee ddévaapper son commerce d'ex.,Muon, es abaissant ses prix expri-més m or. Pour une même quantite

Stertinu de dollars, etc., Onhtlendra un nombre plus élevé de

'mars;il sera moins onéreux pourMs étrangers d'acheter des produitsfenutulu qu'aujourd'hui. Pour la mé-mn raison, notre industrie nationalebi plus mlportante, le tourisme, re-am,ru sa prospérité d'attirerais.am étrangeea reviendront eheaeonSommer nos marchandises. Qu'onmammite aven soin que cette hypo-HEM sum..e qua t. Priv françai,messin stables ou Mairet/materontg. d'une façon peu se.ible relata-aement au taux de dévaluation.

mita pour les autres, les avantagesde la dévahmtion sont essentielle-ment d'ordre Weimar. Que s'est-ilpassé en effet depuis le début de lacrise? Les prix auxquels le produc-teur (paysan, industriel) vend sesmarchandises ont baissé dans desproportio. eo.idarables. Mais unegrande partie de ses dépenses n'ontpas bougé, ainsi il paie autant d'im-pôts qu'auparavant ii continue aservir le même intérêt me les em-prunts qu'il a contractés avant /adépression ou sur les hypothèques

MIRO iiiii IIIIII1111111111/111111111111111

NouvellesFRANCE

Dans le 0011000g de mars sera bisé.rée une autorisation pourJegouverneurgénéral de l'Almam de se Mire avan-cer 400 millions de Mance par la Ban-que de l'Algérie. Cet emprunt, quiPortera intérêt a un taux radait, eMre2 et 4 D. ,eent, dama permettre aux«Moniteurs da aie libérer de dettescontractées à, des taux trop élevés.

Da décret atallait un droit da 59 fr.par quintal sur les licences d'anima,don des cmserves de poisson 00 05crustacés. Ce daolt, et a peur objetOs matages l'industrie de la péchamaritime, semis°, 1 favoriser la pr0duction et la vente des conserves fran-çaises et à alimenter un fonds de>nouvellement de la flotte de paella.

Dans accords raglent 1s5 relationscommerciales de la France d'une partde la Finlande o de la Moeda de Pan.tee amdent l'année M35,ALLEMAGNE

Lee entreprises produis.t les lam.Ma a incandescence h basse tensionont êta groupées en un cartel Magatoise.

Création d'une caisse pour stimulerles exportations de peodults finis assoie artificielle.

En attendant l'organisation maniais.frets, dafinitivo du Reich, quatorzeeireonsestatims amaamiqam 0000aaaes avec, chacune, une chambre decommerce et une chambre a'artismat.

Un accord germano-norvagien tendà remédier au désMtullibre lx °leur.,entre as deux pays. Un solde actif10,0000001 001000 u000,00100 'un favela

a de la Noryage.

AUSTRALIEJusqu'au lac Minet 1920, les expoE

tationa de vi.,le de frigorifiaddestimtion de l'Angleterre Gont in.

Lesdites.

BELGIQUEenculé raval matait don faEnta

de *édit pour les petites et moyennesentreprises. La sociéta Nationale deCrédit à l'industrie leur consentira desavances sur lmrs commandes eu car,net, leurs stems d.e matières première,et de mechtas fabramae.CHINE

Min de 00010000 1e capital des trois100000e0 ehinoises et leur

Mn:mare d'atm/muter leurs avances,.le gouvernement décide de Imamamen mi intérieur de 100 millions dedollars chinois.

ESPAGNE

diecludf2t.S dnlig1110rIs'Peis%tf;'00

ETATS-UNISdurée hebdomadaire du travail a

,n0e,00 ,,,....à 35 heures dans rindusa,

mals 000uIO D. Richberg rem... al.'j0 1l1 IlIon r 10 hOu 00 National.

Morg.entb. déclare que les Mess,envi

.e."era",e;%'' du5" -

an,NDE-PRETAGNEgonvernern.t remplace droi

"r2; 30,,Mo'à °:,t7! 'o';;?b°17njue de 2 à 4 livres stertina4Il s'agit Mun relèvement.

42 p. cent,

fût éliminée Mun assurales Importateurs anglais

Volvant"Irr,IareMUe:,'ear aes Importateurs, en'd. loris saris la Agora

Dar

dont il a flrelle Sen bien, POUr ae-quitter La même obligation, c'est dixsacs de blé, par exemple, qu'il doitdonner au lieu de chm. Pour lesgens dont j'examine maintenant lapensée, ln dévaluation du franc doitmettre fin Ion état do alaises si fu-neste ; doit alléger les charges fixesqui pèsent sur la P.M.U.., Malealivrer la position du débiteurl'égard du créancier.

Que suppose une pareille concep.lion Quelle hypothèse implique-t-elle ? Que les prix français mon-teront. Ce n'est qual cette conditionque cinq mes de blé pourront servirà acquittee la même dette que dixaujourd'hui, que les charges fixesqui pèsent sur la praduction serontallégées, que /e débiteur sera sou.logé

Il a done contradiction entre lesux séries d'arguments. Elles An-en( mutuellement. Si Pen re-

cherche des avantages sur le marchéextarieum il faut que Ion Pah Teste.'stables; si l'on veut comprimer lascharges fixes, il faut que les prixmontent. Pas moyen de sorbe de ceflemme.11 me reste à exanoiner quelle hya

pothèse aurait le plus de chances dese vérifier en France, eu l'année1935, et comment serait affectée lasituation respective des classes so-eiales. Voiei la conclusion que je mepropose de dégager d'un examenapprofondi de toutes les données duproblème ; Si Pon dévalue enFrance, les prix anterleras Monte-mont, les prix de gros plus rapide-ment que le crait de la vie, le Mitde la vie plus rapidement que lessalames, Si nous ne sommeS Pas as-sez vigilants, assez forts, la déva-luation (comme d'ailleurs toute po-litique économique appliquée par ungouvernement capitaliste) sera Poe-...don d'une nouvelle compressiondes traitements et des salaires expri-mes en marchandises. Ce qui croî-tre, ce seront les Profits, unique.ment les profits. Prenons aardes

Marc aolUsERT.MISIIIIIP1111111/111111111111111111111111I1111114

économiquesITALIE

A la suite de l'Instauration du nomv.0 régime 'du commerce extérieur es110110. des négociations eammercimes

nt Ste entamans entre l'Italie etla Gi.dmBretagm. Elles viennentd'Aboutir à la sigaelare d'un amena

e't'io'reteerite861.1etlecruea'a's'EMS exporté« t'année aaerniere, 'etl'Italie s'engage b affecter au règle-ment de ces exportations rintégralitedes limas sterling reçues par ses eaPers-lateurs.JAPON

Falduction de la production des mar-eaandises de coton de 58,8 à Ma p.cent de la capacité des usines.LUXEMBOURG.

Tin coulis. des Manges semblablecontnale belge est institué.

/MEXIQUELa Banque du Mexique aehète 32,0001

onces Mea au gouvernement des Etats-Unis. .. i

ROUSIAN/E I

Le budget de 1935-19« salave h nemilliards de lei : 20,5 milliards pour. budget ordinaire, 2 milliards pour

Incde '1.en=c1I'd!'''Pr>eolro:',eze,90e,d.

TCHFC0sL055I1SQUIELa g.antie que le gouvernement

amorde aux exportateur. eut Portée de350 millions de couronnes à lait mil.lions.

[SECTIONS,

MILITANTS

el MUNIMPALITEE du PARTIVoire semas est m voue

adr.ser, Doue te. v. livrée etcos fournitures de librairie. a a

Librairie Populaire do Partigai affecte tom see amènes. a laPronagande eesitae as voua paru

la vengeancedes Ombres

Je nen garde nos mcIo,certitude... Si Phénaretos centinuail1 trafic de son trere, je n en seraispas autrement surpris,

Je répète donc ma qrastiensVos projets ?...

Regarder ce qui ce Pesa° s'a-tour d, moi. Aller peut-etre la se-maine prochaine ri Louksor...

Amcalter ln Vallée des Rois 1...Je rennais visiter sans la pré-

mn. de Lord BerringtoraIc. Pour le reste, je suis seul... Etail s'agissait du hachich, en mêmeni.e temps que... d'autre chose-- Stupid I lança Sir Prescott, en

dépit de son sévère contrôle sur litamême. ne pourrais riens., à moi.

EUILLETON DU a MIDI a

Le Comte nationalde la Fédération des Métauxs'est réuni au siège de la C. G.T.

I! a notamment adopté une résolution à l'égarade l'unité syndicale

Le Comité Mena national de la Fé.dératisai dee métaux s'est 0011 0000,au stage do la C. G. T., mus la masadence de Embat (Roanne), délégua du13e groupes

Aprne avoir adressé un témoignageIn sommeille fraternelle et sas seuhaitsdo prompt rétablissement au camaradeLaon Demstare, délégua du le 0000000.

rets.10 par la maladie, lm Mie..OSA entendu les commentaires «PartasPal. Cansail.. au nom du bureau fiaaéral, sur le rapport du seeratariat.

Des pracislons ont été Murai. no-tamment en ce qui concerne l'attitude40 10 fédération au cours des >matesgrèves de 'Mita-St-Lège, Louvrall,Illeuves.MaiSells, Citroën, 00 10, mdet de

la propagande effectuée en faveur desrevendications fédérales, depuis la der.niare session du «mité 1001010.

Apnée observatio. de PasqualintMe groupe), DaMer (9e groupe), Le.mixe (C. El, Sealulin (10e groupe),000 10. E.), Imhoff (Ile groupe), Dhontlie groupe), Cuissot (ler groupe), lecomité fédéral a tira la leeon d. rasSentes gMves et délicate particuliase.ment le syndicat de NeuvesMaisonspour la Conduits du mouvement décien.ohé par .1. dans cette Mastite.

Le rapport du secrétariat est ensuiteadopta à runanimita.

Les délégués out ensuite discuté lailliestioft de l'unité syndicale apres lmmuance.00 apporta00 par le bure.sra /es conditions dans lesquelles futapPligliée la décision de la précédentesession du s'ermite M'aérai.

La 000000 0400 des >présentantsdes différents groupes région.. per-met de constater que la commlast00eMoutive est unanimement aPPloava.rmar l'attitude observée par elle enexacution de la dêeision de la sessionprécédente du comité fêlé..

En ce qui concerne l'attitude 5 ob-server pour Pavent, un large &lan-ge de mes a neu auquel pr.nent partChevaline, p.r le bureau t'aérai.Cuissot (ler groupe), Imboff 111e 5000'1001, Roy (C. E.), Dhont (ae grauPel,JeannM (10e groupe), Dolmer 19egramma Lemire (C. Ml.

Successivement, le aroMarne de Fmerg.lque, de Mmité d'action et

des syndicats uniques ont Me discutésPas les délégués de grenues et par lesmembres de la commission exécutiveA risme de ce dab,e, la résolution suav.to a été elopt.

LA RESOLUTION ADOPTEF

Sur ruait& orgaaiqueLe comité tâtés-as national.dyrét examen dee Canditiens dans

lesquelles fat /saliques la rdsolutionunanimement adoptae à sa session du7 octobre 1934,

Constate que la commission exPasti-ve fédérale s'est reendiarediehh'aanfohmée a xtte résolution en redfieréhantest cossera ares/able sur Pindapendance

7.1%triteZ:li emsereul;satliturte In déliée'

elle a lade l'entrevue du 13 janvier 1.23.

Le empila fédéral maton55 confianteet précise d cet Corea cate tordee dis.positame efertutaire.s Ornasse etre pri-ses pour interdire formellement es eu>pêche, motte...nt Pingérenee desparas politique. et autres pressentent*«Mamers ont tenteraient de diriger

111111111111111111111[111111111111111111111111tiMm111111111111.1111MMIR111111111111U111111

Les bienfaits de l'occupation Le fascismeet la natalitéD'après PEconomista européen, la

répartition des propriétés privées en0501100 000 ProPaHande

26.153 propriétaires europée00 ment orchestrée, la natalité est enpossédera 2.345.667 beetares, et megresmon de l'outre cote des Alpes.619.544 propriétaires indigènes Les chiffres de 1934 montrent quesédant 7.562.977 hectares, le chiffre des naissances est le plus

Pas mal pour les Européens. bas qui ait été enregistré' depuisDans un pays où ils sont des porgardsation des statistiques du

étrangers, ils possèdent à 26.000 le royaume, c'est-à-dire depuis 1880.Est-ce que la population commen-

cerait à cimier de l'avenir paradi-siaque du fascisme?

1/ est bien évident que si l'on enpage Mu le présent, l'avenir n'estpas souriant...

14111 Ethibpie,larannée de Musso-lini trouvera beaucoup plus de ha-vres et d'épidémies que de lauriers.

La légende raconte que la distanceest courte du Capitole h la Rochetarpeienne.

quart de la propmete fonmere,600.000 indigènes les trois autresquarts et le reste de la populationindigame, rien du tout.

De plus, parmi les propriétaires,l'Européen possède une moyenne deerra de 101 hemtares, 0000 000 dou-zaine d'hectares au PrePriétairadigène.

Vous pouvez eine certain, eu ou-tre, que la valeur de l'hectare del'européen doit être infiniment su-périeure à .1Ie de l'hectare de Pra-digéne, car les envahisseurs Montpas pros les plus mauvais morceaux. cupation, n'ait pas encore saisi l'ion-

0100001-sonos aprés cela que Pan- portance des' serai,m que la civili-Mg' algé , apM 01 00 d'oc- sation française lui a rendus!

ma, EdmondRomazières

sroyersou quia vu tous les noua

, anal deo. I

que vous ne m'aidiez... Serieuse-ment, Monsieur Prescott, s'il s'agis-sait de protéger Lord Remington,pour la femme duquel vo00 me dites-avoir mie si grande amitié, ne volstrouverais-je pas près de moi ?

L'Anglais lui tendit la main.Si vous parlez comme cela,

Monsieur Crapotte, il n'y a pasmoyen de dire non. Du reste, en cemoment, nos tractations commercia-les surtout en coton sommeil-lent... La crise I... Mais si vo. étieztombé sur la Grande Affaire dahachich, ne vo. dissimulez pas quevotre vie courrait quelliaes dangerssérieux.

Je ne m'occupe jamais d'uneaffaire sans courir des risques.

au d'influencer au mima, de partionsmpauistes paras«, Me débats, Ses 00.eislens et Vache,' de romanisatime,,O lue.

Cre qat signifie sas, dans l'unité syn.dicale reconstituée, te liberté 0510001'closde toute coneeié an d'Ordre cor-Pareil/ et soda/ reste metiare, niaisSac les apurants d'aPad. Plea+ Oumoins passagers bai e0000leutsae0510-t, Ise doiMat aboutir en aucun cas etsous uree ferme quelconque au renoua,icment d'expériences comme cellesdes matités syndicalistes révolution-najaes de 1921 et 192a.

00008 ers ceaditio«, il affirme d no.-veau son intention d'aboutir I eet ese-eard préalable et marottite la commis-ai,,, 000naibos pose

1:'PefreaZt o;.*.Imgaseenent d toute autre discussion

En proclamant feaseemeatsir de réaliser le regrontsemeatnitif des métallurgistes organisés, Pm.la reconstitution totale de ln vicai,fédérati., il adresse an ferrent a.Pe/ eux tmenineters intaaesses, notant.ment d aux qui anartlemmat à 'le-ea.isation unitaire,

eest suMout d'eue, c'est de Leurvolonté de faire triompher dans teurmima le principe /ms/amant-id de Pindépendance du syndiaaliserte avec talates les garanties etalutaires qu'il MO,vue dapend maintenant la raalisatioaOr Vanité Omanime loyale et durable.

Su l'unité d'actionEn approuvant les aOsPemes /*tarte,

de ta commission mactitive à az fédéra-tion unitaire, le Comité fédéra, natio-na: rauperat gtai M'unité orgentemconstitue Ta meilleure forme J'actioncommune, pares qu'elle détruit Péan,vogue et rama« la confiance cime lestrarealeurs rassemblés dam la mémeorganisation. alors que l'unité d'actionpratiquée suivant la formule a unitai-re o lalese subsister l'état de scissionet accroit encore la confusion agace«00e qui en résulte.Appelé d tirer la leçon de altesses

grèves récentes, et en raison de ladivergence persistante de méthodesqu'elles ast permis de constater-, leL'ensilé fédéral national resamsrtandeIII syndloals fédérase. Mie lee adaoncorporative Mcale Peat Placer Malecette situation portiaurigra, d'dyteettant que possible 00 partage des canon-meutes dans la direction des mauve.mente reuendicatifs.

les syndicab aviverEn confirmant sa condamnaGon an.

térteure Menet les syndicats dits salames 05 000/105 le Comité fédéras natio-nal constate que les organisations fédé-rées int ont participé d Mar camait.fion n'ont pas respecta utattasfédéraux, notamment sa es gai emsces-ne tarifait 4.Le Comite fédéral natio,. attirel'attention dee Idesslicals placés danscette rit«tion irréinsliare seer quafieamas., toutes dispositions estila afin

M.Ye 4=4;7goderai. -

1?n conséquence, le Comité /égardnational 11(17,S78.015 appel fraternel aubon sens des militants et deS Slesdleuéebai, en toute bonne lot, se sont engagésdent celle

lvoie,d

p.r revenir au rempeut dea iscipline fédérale et emi,0150700e, et mettre fln a une potina»contraire d l'esprit des /datais fémoral,00et mnfédémlo ainsi qu'a la raaltsatioado Io m'attable mita.

Ils pourraient, ici, être Plusgraves.

Qu'à Ceylan 7... Croyez-v.1W..J'en suis persuadé... Je connais

l'Inde. Mais j'ai du temps libre, etl'amour de l'aventure... Nous par-lons de réalités, bien entendu.

C'est-a.dirc, pour couS, /a con-trebande.

Of Course La Car en ce quicerne la Vallee desèllois...

Si je vous demande votre aide,les périls seront égaua, ne l'oubliezpas.

Ils m'amuseront.Merci... Ce que je désire, en

premier Peu, c'est être présenté àLady Berrington. A moins qu'elle netrouve un peu.., emissant de rece-voir un policier 000 000e.,.

Quelle idée 0 En Angleterre,nous n'avoua usas les même. M'ail,géS qu'en France, à propos des dé-tectives et des danseuses.

Quand Pourrez-va. .. Me-ner auprès d'elle ?

Tout de suite, niions le vou-lez. Lady Harrington lit fouleraspendant une heure ou deux, après lebrealdast. Elle se lève fat.

Nous alloris au Sémiramis ?...Le temps de faire avancer Pau-

tomobile.Revaut le palace, croisaient des

vendeuses de violettes. HerbertPrescott en rafla un demi-panier.

Le conseil opportun!L. autorités .glaises s'alarment du

nombre croissant d'amidena mortels d'au.ta, et le ministre des Transports,Belisha, vient, 00 nom du gouvernement,d'adresser no appel de prudence à tous losgroupements automobilistes du Royaume.

Le primat 'd'Angleterre, archevêque deCanterbury, a répondu rua Kb...Fatimainquiètes du gouvernement m alertant safidèles qui fréquentent la roule en ciennien.Ln! le septième commandement de Dieu eTu ne tueras peint I

Cet appel solennel au respect de la vied'autrui prend à cette heure une significa-tion qui n'échappe pas au ridicule et d

l'hypocrisie.Au moment où les goavernanena, que

tolèrent la hommes, n'opposent d Ieffsoya.Me assassinat collectif qui se prépare quedes palabres ou du surenchères de risqueset de prétextes, do pareilles attentions fanlsursauter les épaules.

Je ne nie point le risque routier et maoc 11)1)00 s'émeut a I naiveile de ces tropnombreux accidents clus à la maladresse, dl'imprudence, à la roolupsé de la vitesse. Levotant en 0000000 1011,0500 une nouvelleel féconde cause de penpleme00 de eine-fières et j'applaudirais mec mesures et auxconseils qui sont de nature 1 limiter ce.

tragique bilan si...Six. Ire mêmes conseilleurs, effrayés d(

quelques centaines de morts accidentelles,n'allaient d'un coeur léger au massacre demillions défi. humains.

L'humanité, plus que jamais imbécile,

se laine conduire à l'abattoir avec l'aveu-glement béat d'un troupeau de moulons ousoma la solennelle bêtise d'un groupe d'oiess'en allant au hachis en acclamant le foie

gras.Que représente /c bilan de la route san,

01mb è <été de celui qui liquidera la

guerre Prochedne IEt réséèque de Canterbury peut faire de

son septième commandement un usage pl.

Tu ne tueras Psi. !Il ne faut pas lancer cet mei o.k.

ment aux fous du 0000nt,11 faut le crier dé.ae3pérément aux hystériques de la gloire

00105011e. du prestige, aux profiteurs de

la mea aux inconscientm victimes qui ma,d'ont au pas cadencé ms au pas de l'oie

/e gouffre ol J'ose..00 tad° la a.

GEDEON.

MIUMMUHUHUUMMUUMMUHUU

1"1.c Parti Socialiste

contre les doux ans'r

L,ssrnlisosà et fédérations qui n'ordpas encore passé leurs command*du numéro spécial du POPULAIREconsacré au problème deedeux ans,sont priées de le faire de toute

urgence.

Nous rappelons que ce numéro contient

le grand discours

que Léon Blum a pronooml

à la Chambre le 15 mars

ainsi que le MANIFESTE DU PARTI

EN VUD-DES ELECTIONS MUNICI-

PALESet des adicles de PAUL FAURE, de

JEAN LEBAS d de BRACKE

Ce numéro à quatre pagesest en vente aux prix de

L'exemplaire 0 fr. 25 (franç.)Le cent 0100, aLe mille 200 fr.

Les commandes accompagnées de busmontant doivent être adressées à .I.

LEPAS, adnumstrateur-delegue du Po.'hilaire, 9, me Victor-Massé, Paris-90

(Compte chèque postal: 279-37)

Avec la' hauteur dent les gentlemende la vieille Albion conservent lesecreL il jeta au tcherkesse t

Lady BerringtonaLe Russe Medina et les mena

vers la terrasse ensoleillée mi cettedame était assise dans un large fau-teuil, avec un livre ouvert sur lesgeneux. Pendant qu'il s'approchaitd'elle, Vincent put mieux détaillerle profil pur stuqua Pige .nféraitun supplément de noblesse, les 500m.cils minces et três arqués, /a ltwoehaute, divisée nettement, lump10 defabrique anglo-saxonne. Elle tour-na la tète, aperçut Prescott et sou-rit. Ses yeux étaield bruns, brillantset très doux,

Herbert prononça deux ou troisphrases en anglais, puis i/ présentason compagnon, dont il expliqua laqualité.

Crapotte baisa la inaM longue, unpeu trop mince, et dit t

Madame, personne ne m'a de-mande de ntecruper d'une ebosequi, en fait, ne me regarde pas, etqui Mexiste peutèèlre que dans moncerveau.

Asseyez-vous donc, afonsieur,interrompit-elle en français.

Il reprit, almès aveir approchéune chaise

Hier soir, j'étais l'invité de 0,1.

Prescott on diner pendant lequelnous acons apprit la mort de al. Faim

PREJUGES ANTIGEMOCRATIQUES

L'erreur de l'inspection primaire

NoTRepensée première a été de oms-

ler à trois le nombre de nos articlessur cette matière. nous parait

pourtant utile de les comPléter Pa unOnsitrième.

L'une des causes de l'erreur, avons-nous dit, d'avoir exigé anti-reglementaire-Ment, 21 et as points pour l'admissibilitéet l'admission, c'est d'avoir considéré ceteXamen comme un concours exclusive-ment 000110,04 aSSIllel le recrutement desinspecteurs primaires et des directeurs d'é-Oies normales.

Nous voulons démontrer que, même en-visagé 00 00001 de vue de ce recrutement,le certificat d'aptitude d l'inspection desécoles primaires et aéla direction des Mo-i. normaks doit réglementairement pourle meilleur bien de l'enseignement gène-ral et celui du double recrutement ci-des-sus indiqué, rester un examen MXmoyennes de se et de so.

Cet examen doit, comme le Certificatd'Etudes primaires, comme les brevets, lebaccalauréat 00 0000 les examens 011000"0000, comporter une session annuelle, ré-gulière, automatique, et cela quel quesoit le nombre de diplômes de délivrés.Ce retour annuel, obligatoire, à 0000110 01à simple session de nos examens, m'ilexiste pléthore ou vol de diplômés, 001 10strict corollaire de l'obligation de l'ins.truction, eSiensive et intensive, guipose à la nation,

Ers an sens, le Certificat d'Aptitude àl'Inspection, n'est qu'une sate eortes-Pondant supérieur du Certificat d'Aptit....de Pédagogique (C.A.P.). L'inspectioncertifie des aptitudes à la direction péde,gogique de circonscriptions d'écoles. LeC.A.P. atteste des aptitudes lia directiond'Scoles primaires et leur impuision pé-dagogique. Cette simtlitude des buts desdc. examens, leur périodicité annuellecommune, leur intégration hiérarchiquedans un même système organique, nousaideront a mieux comprendre, par révolu-on de l'un d'eux, dans 0000 00m les

textes en vigueur, qu'il faut respecter,orientent l'évolution de fi.re, au oeil-leur intérêt de l'instruction générale dei

personnel tout entier, puis du recraternentparticulier des inspecteurs primaires etdes directeurs d'écoles.

Au début de l'organisation Primaireactuelle, avant 1086 et 1887, à ces dates,puis so, 15 ou se années, ensuite le titre 00000010.d'instituteur était décerné, non 10000 /es 1-..1.1.na.CHARLEY.

annassimiumiumiutiaimmumminumutioniummuniatinumuismon1

ui est à défendre?La Adaration nationale des groupa lm que soient lmou opinions philo.,

mente professionnels ,1'0010010010 005 et ahiques iam.ge. qui ent besoiad'instituteurs fait paraître dans la mune defense que la représenteMnarmee du Nord, à la date du 7 mars, Malle du personnel au 01m150 00510.le compte rendu d'une audience que tatlf, au consela départemental, 10 001'.. Mallarmé a 500000110 00 ses 1M

gués. Il y est dit a que le ministresaet Meta00 entièrement d'accord avecla Fédération ear la nécessité de 01en.ser les attributions et les r.ponsebtMas des différents ormarsmes et d'am15000 010101toue les membres de rense0.gamme, quel. que soient leurs uP,nisas t'ait.. Ou Plalitadisindéle,défense 00 leurs droits et de Murs haUMM légitimes.

Purs vient In formule de« Pour tous renseignements, 1110000.

La Fédération nationee en questionne compte pl. guère que trais semtiens numéelquement import.tes dans

OOooO.ere'eltle'rer.J'ed'en n'am d'autres . peu partout

Le a Syndicat prof.sionnet a quiest tantôt a syndicat a et tantôt « ami-cale a ne manque Pas aMada.e.

Quellm sont dan e, pour lu fondre.naisse, ka opinions politiques mises àl'index ?

hed="1'rarjaait'flatc'i'er,Bonapartiste ?

Qaels sont les instituteras frappésDes communistes et des secialistes.Mais le socialisme .t à l'index depuismagtemps. 00 00000100 MM, je reçusde Materas reprosaam d'une inspectrice0000001e 005 100100 materuelles Pouravala a transformé une affaire no af-faire politique a. Or, qu'avais-Je fait ?J'avale tout simplement demandé it M.Ingfiels, député, maire de TOurceing,de vérifier l'effectif Mune écote mate,nella

apis« s un maire socialiste,aae.ae horreur r Quelle honte ! Et cespendant... Mteammtiost générale desinstitutrices récoles maternenes, dontUnie t'inspectrice gêné:rale est Men>bre d'honneur, n'avait-elle pas commed000d.conseil, en 1921, af. Régnier, sé-«Mur de l'Allier

Que la rédératicra dm groupementsProfessionnels se rassure. Elle ne COM°.ts pas de martgre, et 5110 Men compte-ra jamais. Certaines a mima00 poila.ques ne seront Jamais suspect. àdes chefs.

D'autre part, y a-ail Mea nom desgens 000l &aven etre défendus, quel.

C'est tout à C0100 hOnnelir, ma-dame, et j'avoue que votre épouvantefut un facteur important de ma réso-

'

qui se trompe, eux ou moi; mais cequ'il y a de terrible, c'est rate lesdeux hypothèses, celle de la ven-geance des Ombres, et celle que, sansdoute à tort, k laisse grandir dansma pensée, condamnent mon n ri.

Hier soir, madame, je disais à100000 que le fait inquiétant dans lamort de Fanmouth c'est qu'il était

instituteurs, mais aux seuls moitres pou,vus d'un brevet, lequel -chasse défini«,verne00 la lettre d'obéerience et, surtetta '-d'un C.A.P., -corrapenttaht inférieur da'Certificat d II.pection c'est ainsi quele règlement modèle des Ecoles primairesélémentaires, 1118 Eavier taa7, emPiobile mot c Instituteurs, dans le sens où, au,bord 510, nous disons a Directeur n.

De nos jours, grâce à la périodicité 'anI'molle des sessions de brevets et deA.P., grâce à l'exigence, pour l'admissi-bilité et l'admission d ces examens, demoyennes réglementaires, une bohltions'est réalisée. Tous les rnaitres sont desinstituteurs, qu'ils soient pourvus ou nond'une direction d'école. Tous ont le bre.vet élémentaire,- ou le brevet supérieur,Cl d'autres diplOnes secondaires, en te-nant lieu. Tous ont le C.A.P., ce corresspondant intérieur de l'Inspection. Indisopensable autrefois pour la direction d'uneécole de plus de deux classes, le progrèsdes et de l'instructions la ail.,sion des Manions ne l'ont plus laissé in.,disperisable que pour la atuarisation des',mitres. On sait égaiement que le mêmeprogrès, la périodicité annuelle des exa.mens, avec leurs moyennes réglementai-

000 0004100Les portes de l'Enseigne-ment de candidats, qui attendent un eoste,pourvus et de B.S. et de C.A.P., aut.fois si rares.

Ils a longtemps que dans les écolesprimaires, la presque totalité des i.titsfiteurs-adjoints sont comme le directeur,pourvus de C.A.P.

Le jour oà, par suite des mêmes proè,grès, par application des mêmes moyensnes à l'examen, tora les professeurs d'el'cotes normales ou d'écoles primaires sifisérieuses seront, .comme /es instituteurs,adjoints, pourvus du méme examen queleurs directeurs, 00 100110 ou cheisirinspecteurs et les directeurs d'écoles 01-x1100 parmi les ple digaes, ou iosritnerI cet effet un concours supplémentaire:Dans Van et dans feutre cas, 50 0011 poutle plus grand bleede l'enseignement engénéral et, en partaidier; du double 000100000000 des inspecteurs primaires et desdirecteurs etdirectrioes d'écoles normales,

Et cette eempélition générale d tous lesexamens est un moyen plus sür Wen rele,ver leur niveau général que de transam,mer tels ou tels d'entre 050 00 pseudoe

mil supérieur, ne permet pas 05000°rer ? Il y a peut-être les Davidées 1Hélas, « leurs actes parlent pour el.les m et Mas souvent cem les 5005 auMu dé' Iodé soies' EVidemMent. eau:. infamies Cégétistes, il My autan

Pas MatMire de montrabot. On ne ramettrait pas de crucifix dans une écale. Od 00 sucrait toué.. 0010111, 000:1'est la easition de la Fédération naaa.riale dee greupements preessionnei,au sujet de l'affaire de montre.,

Y mail parmi nous des moyants eadaient été mokstés? Je conne, biend. institutrices protestantes au eathmtiques. Je Men -cannais pas une sendodui ait êta brimée pur des collèguesathées 00 11011100005 par des chefs 41

cause de ses opintens 'religieuses Moredon a,Matanearnmons ? Pou

vise dm cas de fammithme dant les bd.aéficieres seeent 050 francs-maçons,je veux Men engager un match avecles dialgesate du a syndicat 0001000000'001 a du Nord. Ils m'en désignera.tant qu'ils voudront, s'as le peuvent:Pour chacun d'eux, Je dééigne dena per.sonnes non francs-ms:épelle,: à coupsûr, et 001 000000 eu une carlike M-ira-facile. Je ne prendsal mes exenapas que &ma I. Maternelles. J'aies.que je n'appartiens ni n'appartiendm,jamais S aucun grompement maçon.alqam

P0000000 ne pas dirootout-de-sralls,que la Fédémiimaale.s. groupements pr0fesaronnele essaie de regagner le Masain perdu au prOfit des gromementscégétistes, et qu'elle Tondrait entre am

ehosa. 1 lu Ptaportionneile suaélections pour le conseil désmatemen,te; la reprasaaation particullare d,..105010ut/1o. Mamies maternelles audaconseil, pour s'Installer par ruse là m.elle ne peat Imeadae'Pled Par a..rageas.? Nous de savons tem et cala no nous émeut guère. Dans que,:ql. semaines, la Fédésation-Symticat,Amicale prend.ra 'la bûche 1 elle 04J'aura PaS, -

Renée DEO H 1 L AG E,

membre dtatimiunnuite dm oadtdi départemental du Nard,(diellA0 d la Bourse du rra.vaii de Lille,

teggmmmummmemairemurframmermammimmtimeirebTalmegrainreemmiliceirauseemminaniTtprenemespemeeirmeememeà r quelconque-

pi po: 7que e faites imerire A\ ufpi

nnr E Participer n

EPI E lin Car Ille CORI defe ScluénecaUsts iPAHCMEt

eavraceacChwe'Insat L. h É eaficosaama 'Carnet Bonia ses bé- Cr . e

mouth... J'ai été témoin de votre sal- le «Image le moins importera} de lasissement. laissions

E0 de ma faiblesse, prononça-t- même idée quemmoi.., Laelle... J'étais allée vers cette salle, même... gémit Lady Seraing./ eneamule si Miehltie ehom m'y aPlms buismnt la Mie.lait... Un pressentiment... Je suis Elle balbutia, pauvre ferme ,abiaconfuse de m'être donnée en spec- ode dans l'épouvante ;

Job mut a mon man.-- Jr Icsufadae da revenir... Je voudrais par-tir pour Louksor, mais si vous coll.naissiez Lord Remington, monsieur,vous sauriez qu'on n'enteeint pas Se,

suivre... Je vous en supplie... Allezlà-bas! Avertissemle!... Faites-lecomprendre qu'il va moudra..

J'ai en effet l'intention de merendre dans la Haute-Egypte, répan-dit posément Crapotte; 10115 je nevoudrais pas partus sano passade,grailla. données qui me Pei-moites,.

1,11 Preschtt limmeme, madame. de.., travaillera, si votre mari Men.Et les journaux. Et les égyptologues. tendait Mas raison.Je pense que le pays vit sous Inc es- Interrogez-moi, amimie., je&cc d'auto-suagestion. vous dirai tout ce que je sais.

Elle tendit la main. Ne croyez pas à une curiositésans excuse, rnadann. J'ai donné àne veux pas me demander m. amas., an

Elle ferma le /ivre, le laissa torn- &usions... Et 0 ma interdat de leber a côté d'elle et kignit les mai..Ses lévres tremblaient. La terreurpalissait ses yeux.

Vous aussi, monsieur?... Vouscroyez 01000010e mort. n'est pas natu-

0s0o11-0Îe: l'O"Zeeripcoeo, ltoduteenilehrsesaenria'voix... On no05 raconte que les die.,

vous communiquera, ct 5h semblaraaae.

Elle s'accroehait à un espoirVais, ramènerez mon mari,

n'esace pas? 11 vous écoutera. 1/aime beaucoup les Français. La ven.gemme des Pharaons ne le Parasei:ara tout de mémo pas jusqu'au Caire.

(A suivre.)

LE 1\411)1 1,001,10 ai

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: SOCIALISTE Le roi de France en ternit-il autant? La …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1935/B315556101...Elle est impossible jus-qu'à l'absurde. M. blandinle sait ei bien que

Les " Petits concerts historiques"e La comédie lyrique_ en un acte ou

le /mer de rideau n, tel était le thèmeconcert donné ardi.par « Les pec

Lits macerts historiques e, fondés etdirigés par la parfaite artiste qu'estMlle Sam Gatin.u,- de l'Opéra-Comi-qua

Ce concert, agrémenté d'une rapidecauserie d'Helêne de Caillas, à la foiePiquante et spirituelle, comprenait desextraits choisis d'une vingtaine el, ac-tes a plus ou moins eélEbres, remar-Mablement Interprétés par Jolie Cati-nem, au talent si Mt' et si direct, assistée du bon harytm André Mondé et Micharmant ténor Rami Nargys.

Pour terminer, première représent»ton de e Là Bergamote P, fraîche etgracieuse pastorale lie serie, de Mal.Paul Busnot et Alfred Henry. avecl'expressive musique de Jean Id.

Le sucés de cette soirée, de hautn'eût-artistique d'un bout .a d'autre. aÉn gra1111,-000.1. et 'Pistent... mdritê.

meeemensvemotenaveveaerreeggedineeetne

Comment veniez-vous être persfaitement art courant de Tact'«dit Parti sOCialiete et yens eted

aetr tetor 44181ihnilitilmismisiinGuisimMM111191111

MORT DE L'ACTEUR MOISSI

moingr â Vienne. était considéré,.1111.1e le plus grand Retour despave de langue allemande. I/ étaitvelu/ jeter e Eamlet P, à Parie,

en 192811111111111111111111111111111111911111011IMUld

ta souriante Madame Baudet]Pièce eiC2 <zèles

de Mid. Denys 0001, et A0001 OnEE

, La repré.ntation- de ricèarma .Reare n'offrait. pas »Moment

rhtérbtqui s'attacheà Cule Caere

ê Demy. Amie/ et d'André Obey'c'était encore une egas.it de a fairele Patin u et d, mesurer la roule par.Courlis depuis que la coopérative des.Phatique fondée par Memel Semer, sousFe nom du Clama Sodivoge, da jouageour la premlnfnI On Après les coulis de tonnerreBe Bernsteln,ise tecarres sentiment»lai-de Bataille, les sonnant. »mptuo-nitésde d'An... et le sombre ventItroutrevie ...Se par Maeterlinck, ré'

l'époque ou une équipe de Jeuneslueurs dégageait de ea gangue grise labanalitéoturtldleme pour en eMratreUnenubstanee dramatique si précieusebt di vraie, qu'on la vit. aux feux dela rampe, étinceler du plus bel éclat.

Cette équipe reprenait un peu la tra.ditioadm Thédfre Libre, mais en ven.idant.4 us réalitn.son tragique étouffé,en fourrant le le.It du drame dans labite de bous les heure,/ Le thème de La Aourian.êtête Bel.4et est...nu, c'est l'histoire d'un ecurdjordesecord entre un tyranneau de maribt-une épouse trop vibrante. Léon Ber.huard et Béatrice Brette, les incarnentCl hieut qu'Ils ont sa Dons garder, dateeue prinue 1rstahenr, l'inquiétude con.

ben., la sincérité douce-amère et le'dharma puissant qui firent trloMPherila pillee 11 y a anatedû. ...S. Quandfr coup de revolver de Beudet a a ea-halysé l'émotion mil troublait l'aledu s'aggravait u chaque réplique, touma salle a manifesté l'admiration mie/le

géprouvalt pour des auteurs qui avalentfait vivre devant elle un homme etune femme « comme tout le monde P.

Que Ig piète alt perdu un peu destai duvet 00 /a buée de l'aube printa-nière, ee doux pollen bleuntre qui res-semble à /a buée de l'aul. prin.nere,

possible. Ce Obil pas à cela querete senge en assistant it la r.eptionBe lette uvre au TI.Ilre Fronçai,!Au reste. songe-bon. g Ou se laisselenveabir Dar .c vague mélancolie COI.

nui vomi etreint lorsqu'un navire aboulon pas amarres, Celui, est miro

Un film interdit par la censure :ZÉRO DE CONDUITE

Jean Vigo est mort récemment. E e Pension..., lingOs aux hommesavait vingt-neuf an, Mais qu1 se sou- mossiers, 'Mtos et malpropres, écoliersviendra ben,. de ce ,eune metteur sans passé autre que celui Ove vara.en »Me sensible et charmant, eh ces qui s'ad:évent, sans aveMr autrenon mux tut pressmtaient en lui le que celai de la terne année scolaire,plus grand créateur d'images ttançaial petits d'hommes. révoltés centre 1111-butor souviendra de lui, puisque son Justice, /es eales manies, révigLemntuvre essentielle g(ro de Conêleite est instinctivement , contes tout ce mitencore interdite par le comité de un écrase, détruit leurs élans, leur per.Aure, oc ram.eis de barbu. stupides »made, leur vitalité. Désir de liberté,h qui noua devons die Incongruités angoissant tu force d'être amer.oomoieini000rdilr.;,'rdoelevotlrh'oulvau Viol,0000 0e nimveut, et tant de turpitudes qui font egiece de ppmegageg, ect pbee 1001,rougir de henIs les spectateurs dans entra,. gel, 010e eueei cocce.00u..tee salles, dans le sens soatal que certaine l'au.Quand J'ai connu Vus. il « tournait P raient voulu, I/ s'est libé10 du souci desur les mals de Nme es petit tilt laÀte pubitc. Son dégoût reste dégoûtA propoé de niiCU, nui rural, Signa,. Sa haine nese changepoint Quelqueà l'attention du puldie. Qumques jours sentiment chaMtable. La souffranceaprès os mort, eu a projeté sou der. obeeure de ses ...ventre d'enfance neMer ouVrage Aie.. (Le Chaland Mt saurait aller de pair avec la prudence,Passe) auquel des préoccupations com timidité dont on les affuble. La pem-mercides l'avaient empêché de donner sac do rpmfeateger reste mire eurbeurame00 nél.eseire et sur de sa per- tio., esomalie. Idous ne verrons pas te film dontVigo avait souffert, connue tant, pprffleuee gen 2e le saverepepPmmai nel, des ...nos de bulle 'In' la cruauté et du dégoût qui collent auxrant sen nen.io fll.'nnre, n,BBlisouvénirs et °méme aux p.i.. den.Petite ville de hrovinee, limo d, en.. fan». Nous e le verrons p., .rd...présentait doue pour lut quel. censure mi protège la pornographienues souvenirs tristes et misdrabinû et /a hétise,pexclut la vérité et PM.,ail lui étaient Mers. Usance du Mnémit. La vérité est polirIl avait fait te film avec le sent. elle subveindon l'intelligence est per-me. poignant de venger la ramceur et nideuse.

l'amertume de nem /mites», MM, Elle adrole ennemis g l'humour, lannle et anémiée dans les »migres, pot.. beauté et l'or aie, car ce sont la desdesoirs des c bahuts u, flues, n ne forces centre resbluelles elle se sait !m-ucus est pas permts de voir oette yu.vre qui date déjà de trois ans. Elle a Oloitserrooeété projetée sur les écrans de ip Bei.signe 11g ce pelota,e du parti pourront peutdrede projeter'neve't en séances privées. Cette jusio consen

a Ennui homicide de petite vina pro- ...ion eet bien due à la mémoire devindale. a bahut x son.» et puant Jean Vigo, mort I vingt-neuf ans,Pions lamentaMes, brimés, ba.u., n'amtat pu donner sa meeure et rebe-c..ue breantes et sales, reectoires voir sa récompense, comme I. Jeunesgraisseux, dimanchee on le vide et le 001m de la littérature et de l'histoirenéant deviennent paipabAs, tout cela mi, trop tôt, descendent au Pomba.0se retrouve au long de que, Ics rdr. le tteur,meurtri, mins avoir été conPlots à l'ombre du plia , 0, soles,chas.. sa. Issue. Roger LESaATS.

Eim. une Cr, E an et connue. Id vogue.en Wats Mutin., eur les calmes eauxofficielles. ocre un poga préservé descurieuses tempêtes de la vie, perlantdec passagers eid, au bout du vmase,pourraient bien être des captif:.

000/Me piète en un acte. de 101 ClauOo'

Roper,lari. precedelt lu re-ardsentation de La entichai. MurOetC.I. On y voit un haut dignitairede le phil.ophie convoiter un posteimp t nt avec la smnuandlse d'unprinVdeeatit uc saietta détente Parune vitrine. Toute celte cartie est tor

'

t

.1graduée et remarquablement bien

ilrervée. Mais toreqdun `mue de télé-Phone apprend au phflesoPbe nusgâteau est h sa portée, la mtiété mproduit avant même 0,11 r alt mordu.Cette meeut eu Oeu 'one'

PAZ:

,itin1115111/1111111111111M111111111111111111111111iiililli1111111111RID

SECTTORS, MILITANTS

ET MUNICIPALITES no PARTIVotre devait en de vens

nitreuse., pour toue vo. Sem etam, fommItures 0e /lb... Ils

Moraine Populaire du PartiSsIuOeOi.00s..aebaadeos.4Preresande feetl.Ss,s5,spaeto

emermannemaanmaluirrauaraamanarmam

Camarade0 ai-ta falt 1m 1Muné

IttoLe .dre et la plupart des personne,

en d'Itto sont mule., au einéma,car le filen, ralrIde par M. Jea.n Bene.Invy et Mue Marie Bustelc, as dérouledans l'AM. marocain, à deux Idiome,ires d'altitude eh il y a huit ou dix ana;Ihm tribu. qtgi refuse de se soumettre,finit par se livrer, »ut son chef ouise défend, aide par sa 0111, lita', e/ceUebi est tu». Ainsi temuine lafum après bien d'autrBs événement,itto, en 11101. _1100 la tomme d'unArabe eldà somnia D'autre part, IsmCdocin-major des troupes fran.ises,mi a gagné la confiance dm populi,tiens, a boa voila 'plus Ut, pour cequi est qualifié de pacification, quedes amas de fusils et des tanks.

Sans doute y ad-11, dans ltto, intri.sues damour et complications dive.sep mais I," r s'inspire d'unétat coq,. no, generale,

lavs

Be haut en bas. Norme Shearer et Charles Laughton dans e LesBatmetts de Wimpole Street a. Mmv Blanche Montel, gui interprêtean théâtre de la NouvelleComédie le personnage féminin de e Géré-nada à Trois o. Fernand Graeey, interprète principal dans le film

e Monsieur Sans-Gêne e,Ci-contre.. La petite Bédatieux, l'écolier de e Zéro de Conduite te

AVIS AUX BIBLIOPHILES

Une annexe de la Bibliothèque Nationale, destinée à conserver la for-midable collection sans cesse croissante de journeaux et revuesdu monde entier, a été construite à Vemaillest L'imposant edwics

enntient aa 15 hilometpos ég revoni,

détails, «Il ...Mme de mal.,dies, de troupeaux ou de'Maecumulafc peur trompeter un;bleau vaste.

Op tableau dit, quelques beurtsDans nen.mhle, u mtér.se. On y ..-.entre d. préoisions d:amenait.. Unincident semb»midue a pour héros vuArabe qui soute cloua les remèdesenvoyés d'Europe au.

Une femme, gui a Pour ennie sel'dats en général , même en particulier,jolie un rale curieux. On ne lut repro-chera que de d'Imiter dans me amie.Imce, ce qui nous donne au momenton elle le lait.

La diphtérie dont souffre Pendantdu toubib parait un instant devoirêtre m.rtrière, car le père, qui men.,que de sérum. n'a p. Pair de »voirM'On pmt essuyer (par suoctone, jecroie) de .ulager le Pet. aubade.

Le marne docteur voudrait resterau Mame, il aime son sacerdoce, ma''

.une femme craint pour leur en.nt. Le toubib, alors, promet grener

. Stabat, ou on vient de le nommer.Remontrant d., aveugles mil implo,rent ses soi. pour leurs entants,change d'avis g ei Ils ont beaoin demol Evidemment, on comprendeet kerne, mais s'il partait, Je suP-P.a que .n successeur serait ameldévoué que .

des abject°ouo ne brisent ces l'inte-cêt une Ion nome I une »lion parfoisgente. mais que Con sent souventmadie. -

Les Chleuhs ont belle allure. On levvoit thora lèura roles. aille StummD...y vit le sien, cend d'uno jeuneComme et mère. Mile Sylve. Pelletierreprésente avec intentgence la fille a%dna. Stmone Beriao, qui par.le arabe, interprète /tto av50 virilité,jet M. Hubert Prélier est un sympathi-que toubib.

AbyssinieCa Irien mile. documentaire. On

n'y insiste sur rien et ...é Imagese greauv,%gleebeeene%ee.tre CresueL,,es

alors m'il venait de livrer un avion u'flithlople, ne nous apprend pas toutce que nous enseignerait un volumede dm cents nages, mats E ins.trait et nous intéresse sur des Peinte

r..articuliers,que no. ne ...minions

La capitale, avec jempermr dee.-dant des nègres et, du on, du roi Sa-lomon ou de la relue de Saba (ou deedeux?), omble une ville Men tracée.Nous voyons aussi. autour des souve-rains, des personnages importants vintus comme des ambascadeurs européensa peine phis chamarrés, line manhtumilitaire se fait entendre. Les tara-boers et clairons louent a leur tour,

tous oes ex.t.ants, noirs, »nt»romandau per un titane, venu deSuisse. secoue montre eues/ la pop.Biton se rendant a 105115e, D'outres4.105 cc succèdent avantt que nous.yone conduits loin ao ville, parmidee p.mitlfs qui, Mar Parvenir à rem-ocr mue .d. rEsioni on manque leneces.saire, disputent lems voisins,la nourriture en se battent avoo eux.

slcuatOs,Desactes dm sauvagerie %pop jet

Des danses d'un caractére singufier.des dei.. 001 font 0111dgenir, ne elle.tent peu de deductimis puisqu'il nes'agit pas d'une étude »minee.

Le film n'a pas setdement une vertudocumentaire, il a de la force ou de/a st-âce. Des timides et des ombres

leur sisnugur 11'1.'rc7p0r0es'arerirao' durs.'''

Le VertigeDei, M.' Marcel L'Herbier fit un

tilm de la pece de M. Charres Mére,le Vertige, au temps on le eindna setaisait. èhèd, Paul Schiller et RenéGarissart. tout en modilMnt la fin dela comédie, ont remis à l'écran desPe.ounases eyne espèce théâtrale quiPresque toujours rappelle de l'argent.Que 10n doive ou pu.se coolie ou instant à Mammite des pantins que Vonnoue Y montre, on ne lanfirmera pas,mais qu'ils noue ennuient. on no .edoie., =na plden.s.eelgt,,pa.rlee,n,e0et.asis-

.1111tailoilf, veux générai russe, aépousé la jeune et Jolie Natacha. Il l'a-

amicale avec le lieutenant Dimitrief,qu'il sassasina. En Fane,n il sesto',per::auntr:foLs,..neoosn.ve:amlieondtro,rpo

Lu maltr.se do M. Henri de Casetl quiressemble Dimi.ief comme une15 d'eaud'eau une autre.

le

1f,.nMe :m"Inte"beticiere:ml'Henri la rejoint et, après une l.

nc de dembfolib, A général meurt dans

Ce Me00 pas abeolument dans l'ordred. .its qui Mennent d'être résumésque se déroute le draine. Cent aine cple'Une/trie punit sedene. parmi 4106

11'n'se sq'ubvel0US7'111.17

Cala

'001":1,1-011e, oiuoe 1t

s'appelle Cliarane013 et OCCUpe un hautp.te au Ministère français d. Affai-res Etrangères, pue le rôle d'un ani-mateur de l'Intrigue phis ou moinsgalif.r et in.enté. en partie, pourdmner une note comique intermitten.te. M. Pauley le »présente rondement.

lote aussi des danses russes dansun cabaret. Et Futilisation des aboulene dmne aucun cachet ti

Le dialogue ne respire pas »uventlu 1100-cl,duo 'esfrve 'n nenT preeides identités. Plue tard, on en.ndpeu prés Me eltt de m....g Tlehede lire ia vérité dans mm yeux et, situ la deMnes, teinte' s.

La mise en ecene est convenable.L'interprdation ne mérite que desemplira.ls pour sa »urageuse atten.don. Tous les .teurs s'efforce., avec,alent, de se vêt, ne vraisemblance:0. Jean 1001051, Mlle All. Field, qui:out en paraissant souvent, a la chem

André Burgère, Pierre Moreno, An.mea. Enselman Mmes aeletiy, Sachet

n'est pas le cas de M. Panier:pas devoir trop parler, »

Charles JOUET.

/MM DE PARAITRE_

Opérette de M, And. J3enbeààpsique de M. Louis I.,

Los Nouveautés continuentconsacrer à la comédie musice,ne me sen.is, aujourd'huidulgence tou00 printanière,réserves b formuler au sujetledit lorsqu'il s'agit de 20.ter, De n'est certes pas lufera oublier I. maîtres dede Jacques Offenbach à Ang,er. L'originalité iliedre dominant de ses airsmaclés U plusiell. emLouis Laitay a la chameinterprètes Dranem et Suzanne De,.ly. SI bien que ses refrains PPMet.être retenus par le pelle qui e,tient hien d'autres.

Le la.er Barde.se,t austunetet sans pidtentions. Ambroi

cornetorue;-,,ed'in:nul:CUI à une grande

artistemus...du nom de Homme.eenedi. par Suzanne Dehohy.001000e, Ovo ?010 °bàahcIsr0emi0otl.acrno0u10cqtrel-ile parai., Aussi disstmule-telle%mem qu'elle a delni uouraient dé'. la rendre grandmèce.Ambroise qut a veillé, qui veille en.>re sur A bonheur de .s jeunes nersennes eu, tint pour lui une tend> ai.Melon 11 7e surnomment Tonte, «

Les dem filles sont marees.l'une d'eles, Janine, petite fille treemoderne. est tombée sur un mari eace.nter, tendis nue l'autre, Arlette,

aératable Cendrillon, est tombde sur epmari bamhccheur. Toutes I. del. veu.lent divorcer. Tonton et Hou.t.croient M. malins en dégoûtantmari d'Ariette, du vice, et cetui

dtli.aine,de la vertu. Mais He ne par.,»eut qu'à rendre les deux divorces ie.vitales.

Inévitable est .pourtunt trop vite ditIl s'agit d'une comédie musicale et leMilge des dénouements plus oe.timistes encore que ceux d'Alfred CI»pus. Les époux se réconcilieronl nonsans que Janine et Arlette aient fait.

Mamme, lu connal.ance d'une maris eurent tmmpés et contentesqui est dans /es meilleures Bad,

iions comiques.Eabil besoin do vanter Dranem gGoguenard et souriant, il Marque cg

001 sceau tous les rôle, Tanteh 11 seneue pn marguillier cafard et onctueus.tantôt en viveur a. melon gris, mmantsur1 e tables avec une agni. de jeunehomme. Et 00011e que soit la transfoai,maton c'est toujours le même Dra.nem â l'ironie tranquille et bonhommes

dusanne Dehelly est encore en pro.Sri.. Son flegme et sa voix gmailIeu.se font merveille. Et il faut la voir,en grande vedette de mmele-hall, dan.»r une danse cubaine avec mitant desouplesse que d'entrain malicieux

Détachons de cette troupe tresmogêne Germain Champell, Robert Par.thes, Lesteliy, un peu bellâtre à mongni et qui sait peubetre trop Oeilune jolie voix, Dany-Lerys et Germai.OS Roger qui chantent comme dejobeux pinsons, Viviane Roman» etHeld Perla.

Louis LEVY.

iMINGIN1111/111111111111111111MIGNIIIIIII

Ma Soeur AnneConte en cers en 4 cules

de M. André rues.

Mainte préceptes sont â sin, dune.cetto Maranante pi.m en vers qu'in.,terprête avec tant de talent la p-ad.lente troupe de l'Odeon. I

Maints préceptes et maintai recetttes : commmt faire des vece.exPncomme faire de la p»sie ale. uclair de lune .de carton,.commru.d

euirle,.ciirr dee aube, Aes, e

:itS,'gi.''...outbs Coes, il faut retenir leJudicieux conseil que donne une ester,clarisse à un prince et â son bon Peal

Cl prince a maidtenn l'Ordire,,n,ap;;i

'y';j:a.iis:ilErr2e 5005, 1irie: du ,..,i,es révèle tel qu'il est : tendre, Pd.,ble humain e généreux. ta 1.1.1111:

esmet..'g're' edinléc'e'sd'econgUrt:' '

t2lirepP2E14'va,arenrnet:Ies'Zioun::s7,,e'eill.t.:001.

l''''ea711 gn'::br' elvu'uas uretbt Ar m'n1';:e:ilu'equ'7u:lee: i ae'ili:a iln'.0:',: e's1'

la douceur mieux que la violenoe. sqla voix suave de retentir :

QUand la guerre s'abattra sur. vo..,,é fe,eellepg Les Jr,eni,epe., àeleiez.v...,,,...

.1a Seo. Anne, nom en prenenti

4eLoortszïgg:mrudreoinandera,1,1:s na

Aux maggcbands de canons,Mao pourom:z.x oélébrer la saa,.

N:u'

Répandue sur toute la terre,

Nous le jurons,La d:7:u;det I

il IIIIIII 11111 IIII 1111 Ill1:1171d1111:111

PAS.

1110

AUX FOLIES-WAGRAM

Cceurs en rodageL'opérette de MM. Max EiLdY et

ques Darieux rompt par la m0001 001 est présentée avec la cItou traditionnelle de l'opérette mode

Caus e Curs en rodage P

trois aCtes de la MCCe. nu.Par contre le sujet est bien cm._ -

tonne/. Une jeune Mie, Lisette, traillepar son fiancé. a rayé les hommes desa vie g elle ne veut pAe As renntMes elle, exception faite des Mmesque.

ers sr.eet,,,et eu: le,ner-ireolevtee.n.urre,

dnill:re: e douceura''elitn.

Max Revel a trouv Un ample'peut faire apprécier sesehaMeur et surtout ses dons, ex..manière originale de danser, eu sec n

acte, tout particulièrement, ne mea.

L7a'eer:v1151 1q0ne''''L'c'feep:°'.2'Perrorllité. Toutefois certaine morceaux/ement conaposés, trop habilementêtre. permettent à Hélène Regel!a une voix agréable, à la joie Sei

?o'dTbe'S'imMonred:I'Veièr'e du loir,précier leurs nearen.U'ellnir,71-1=Rrcrarll ehantemat la romance, ne paraii.nr dénouer A situation. C.ffit pour s'imposer au PMI»Ire leur part d'apnlaudieseme

M. Pau/ Mie dirige I'0n0hc0Ir555athabileté et eon.ibue avec toutedoupe a faire de

n'un spectacle amusantgalet&

le théatre AUX NOUVEAUTES

" TONTON

ggel 4 Lit 0,111)1 1101 0111

le cinémawasommuomSUR LES ECRANS

LEON BLUM

La Jeunesseet le SocialismeCONFERENCE PRONONCEE

LE 30 JUIN 1934

FRANCO k. 20'er

FAR.arateednIE POPULAIRE12, RUE FEYDEAU, /2Chimie postal g 701-en

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 5: SOCIALISTE Le roi de France en ternit-il autant? La …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1935/B315556101...Elle est impossible jus-qu'à l'absurde. M. blandinle sait ei bien que

L'OnT-ILS ASSASSIte?ms relaté comme nos Parmi eut, Paul DEJEAN, 36 ans,dans notre numéro de représentant de commerce, ...me.-

ledleuse agression tant tant mem Jean-Jaures, encaissa dees auditeurs et orateurs multiplm coups de matraque et de

mn pacifiste et antlfas- poing arnéricain.mercredi soir à l'amphi- 11 encaissa et ne dit rien.Sénéchal, avec le con- Main assailli de douleurs internes

ère de Gosse, professeur de plus en plus intolérables u ne-atholique. sait rentrer à, l'hôpital où 1/ nem-

eunion n'avait aucunes- rait lundi matin.ê,e politique. Elle était discrète Dans, l'esprit de tous ceux qui

quasi académique. eteaent auprès de l mue mercredi sa.e.weprinl easujumnoedoute ne subsLste Déjean

remuai contre des adver; Il aurait decineacirtsé tel coupe reçuetuels. AsseSsine

cistes, race Jeunesses pot Aussi l'autopsie de son Cadavretes le saVatent. a-t-elle été ordonnée, et M. I,ceils fipourquoi irent Irruption fessent' Sorel, médecin

alé i dira 1

eLMS cettesalle tranqullle, attentive bientôt si la mort la nonce-

aeauXidéesqu'exprimait juste a ce quenee des Coups, commeline

aur selst esitrsetpêtr stsaspos,est

dans son entourage, ou si clicest due a d autres

causesea . M ulluMais mente dansl'hrLe Pers de Garce fut préservé plus favor ble aeta'eeparent dans

mj,deusement trace uxce au courage donc oseraante 'a leu cals

dc etelqum auditeurs que slyttAspo- ne nue ,yot, rides sparts csttn fin

rekraiS ceuxml prirent » peur eu reaAatiteeenedoenrsareemn toUseraceZsl'avis du

religieux.médecin.

oduldnummesumoumminumenesimmlimomiliummunolloinumint

A LA CONQUETE DE L'OPINION

L. LOI rIE CEUX ANS, C'EST LA GUERRE

En France, la lei de deux ans.En Allemagne, le service militaire abli ustoira

Partout, /a course am armementssue l'on poursuivre jusqub la catastrophe finale.

hues les ETPDIANTS SOCIALISTES assistez en mas. au

GRAN!) MEE'reem PUBLIC ET CON a MICToiRE

mi aura lieu imidi 2S mars, à mi heuresSALLE as CONSERVATOIRE

Sous la présidence deACHILLE AMAN

Secrétaire des Etudiants Socialiste,avec le concours de

.50.1 la pronagandeJsEtRoN:sgstilersG CIL

De/eau°BENIN ROUPIERE

des E. S.FALCUCCI

Agrégé i.e l'Université,deleyue de la Fédération Socialiste

rie la Haute-Garonne

iffil000nimundoomiluttosoliMillotsummininniumeillimmilimmoup

L'intolérabie dot de M. Pigny

Celte fois, Ici, Pigny a dépassé lar-gement les limites de la désinvoltureen obligeant des milliers de citoyensO se déplacer POLIR RIEN, coranrequête, pour justifier de la lcgiOi-mité de leur inscription sur les lutesélectorales.

Il faut disuleper et dénoncer ceProcédé de beauf l Les conjurésdans l'espoir de frapper l'imagina-lies populaire ont demande la ra-Malien des listes électorales de plusde dix-huit cents citoyens.

Pareille nouvelle, quand no veelel'assène en plein front, ne lesseSoc de vous ébranler.

c Fichtre e pensmt-on,Seulement les conjurés ont pris au

basard sur la liste des inscrits, lesnoms qui leur plaisaient le moins etsans /es mnnaltre, sans savoir s'ilS'agissait d'absents, de morts, d'Afftrjehiens ou de Malgache, Mt de-Mande la radiation de loua ces gens-

' Or TOIIS CES GENS-LA SONTFORT BEGGLIEREAIENT INS -CRITS, ils habitent Toulouse, ils Y

.

travaillent, el le juge est obligé dea débouter le demandeur et de main.

Seoir Ms inscriptions.Seulement. le /Me se voie menti

eus jours-ci de plusieurs centainesd'affaires de se genre Pour desqueaudience.

Pilas eitOyens dont 111, Pigny mn-teste la validité d'inscription sontSI;m3 des travailleurs et US Perdent;eu moins une demi-journée.

Sils sont emploYès, il lem fauf,Mreander au patron l'autorisation,éa avrils, et ils perdent le salaire'e eur emi-jOurC'est un excès que certainement

la loi ne doit pas permettre.Déjà, plusieurs victimes de M. Pi-

any, dont un ingénieur, convoqué -nnMur où sa présence à son atelierRait indispensable, ont videmmenProteste., La question se ,pose de Savoir silms employés prives el'4e partie debur salaire par la fantaisie de ALeigny, ne sont pas en droit à lui de.Mander indemnité.

En touM équité, oui.11 est inadmissible qu'on M.sisier

original, se paye le luxe de faire dé-

411.1111MÉMIMISMIBMIMIIMIn

AU CAPITOLEjeudi 28 Mars

0131011111610E

, POISSONSVIVANTS DAN8

4 ROUGESDOCAI 'POUR TOUTACHAT'. 20 FlIANOISte

T_AU-DE5SUS

place tous les choc cos In TO1110usedont le nom lui déplatt, pour lesobliger à entendre le juge leur dire:e on vous a fait venir inutilement s.

inulilcmcci SuitMais pour rien, c'est trop fort

mmore les plaintes de AI. Pign»avaient un semblant de fondement

Mais elles n'on ont aucun.Et le luee lui-même demeure éber-

lué devant un parme sans.gene.C'est se moquer à la iois de la

Justice, du juge, des employes et desemployeurs.

A cem vont être ses jours-civictimes des procédés de M. Pignenous conseillons de faire constaterles dvmsuoges qu'ion errhiaa000rtd'en demander rendu...meutPigny, puisque c'est lui qui les faitdeplaeer ainsi qu'en fait bd le texte.de /a citation suivante, reçue partous ceux que M. PagnYi desecavréigDguenard et humoriste se permetde dermes pour se payer leur tête.

JUSTICE DE PAIXDU

CANTON CENTREDE TOULOUSE

Rue Montero/

Le jure de Paix dg canton X... de Ie..Muse informa M. Z..., domicilié ri Tou.hune (El l'adresse) que la décision de lecornmigan municipale de Toulouse. endate du viner MM écrier 1905 unis meieué /e oisives. le M Z sur la lia étau

torde dcl, chie commune a êe frappéed'appel pat M Hippolyte Pirny. IO élu-r,!saur, domicilie à Toulouse, rue Bayard,54 bis naos. 4édameion m Grejle demie Justice de Paix, en date du dix huitMars 1935, et l'invite en conséquenm,comperattre (ici la dare) à nerej heures enaudience publique au prétoire de la Met,créa Prix post Oka gai.; eu, la dc appetas s"d appartteu sa.

Fait as prétoire da la fuetice de Pairdo canton Centre de Toulouse, le

120 m... 1935.

brivrudeC'est purement et siMPleineet une

pué brimadc envers des inconnu,10.0s COS inconnus, on s'est préa-

lablement agsuré qu'ils n'étaient nibarons, ni vicomtes, ni chefs d'in.dustrie, et qu'ils étaient en artisans

M. Pigny os pas fait ça de sa cre-usé initiative. I/ l'a fait après avoirpris avis des autres °animé, les-quels, desceuvrés comme lui, ontpensé s'amuser en faisant perdream autres, leur temps et leur Dogent.

Soca-nous free les Grands Magasins

fleuri EMS DE NI«ment le AVRIL, à TOULOUSE

8, ras St-Roone, on dépôt Régional.lent ee qui concerne l'habillement

HOMMES, JEUNES GENS, ENFANTS

PRIX i"""'",est'..7;onraels

comptes, exPliclimit-11, étaient fré-qmmment contrôlés, il lui mentdonc été inipossible de commettredes détournements.

LES CONFRONTATIONSDevant ces affirmations, M. Baise

oonvoqua M. Courrèges et les uemhommes furent mis en présence.

Le chef comptable fournit, h l'an-nui de ses accusations, le résultatde ses vérifloations. Il cita des faitsRai furent vérifiés et qui tournMentà la confusion de Louis l'aveu, quia été déféré au parquet, hier mardi.

ENROUELe procmeur de laRépublique a

ouvert me information judiciairecontre Favet

Celui-el a Sté pkésentê deveattBard., juge d'instruction, charge

trlPat, 13, bOulevard de la Gare, de l'affame, mais ll a demandé dese présentait la sûreté Mar Mem renvoyer l'interrogatoim à me datePlaînte mese "fi el0100Yé: Mi Lieute Mérita.. lorsqu'il aura; fait choixsFeamment,toomptable dans cet établis- j

En vérifiant les cOMPtes des eiS-semences sociales, au mois de dé-cembre 1934, M. Goluneges se renditcompte que Favet avait commisd'Importantes 1110m/sato., et

, axait même emporté chez lui, lesispsiseteseises deimpptasssoblnesn.sides assurames

M. Gourreges lui fit demander c. A la suite de nombreuses plombs,documenta. Après plmieurs lettrm déposffis soit à la police sait auqui lui furent adreSSéeS, Favet ren- Pareet, M. add., chef de Ir smeggvoya les pièces dm assmances assisté du sous-brigadier Moncamp,honni o, mais ne revint pas au et de l'agent G.tagné, a procédé,bureau. conformément auc instructions du

Il fit prévenir M, Courrèges, de parquet, a. Parrestation de M. Feuilleson prochain départ pour Marseille, Santucci, banquiermemister, 6, ruedurant qu'il ecrivait a sa femme: de Rémusat.qu'il allait se suicider, ne pouvant L'enquête a permis de constatersurvivre b son déshonneur. que le passif de Santmel s'élevait a

Cependant l'employé indélicat ne plus de 310.900 franm et était es;quitta pas son domicile. Sentiellement constitua par la va-

Pendant ce temps, le chef camp- leur des titres qui lui avaient detable de s l'Eléphant Noir » procê- confiés par ses clients.doit b une sérieuse vérification des Le banquier-reinisier avait effemcomptes et s'aperçut que certains tivement vendu ces titres, minaversements n'avalent pas été effee- n'avait pas versé le montant à sestués depuis /e mn octobre 1932, ee clients,que sur les livraisons de cafés au Appelé fia s'expliquer. Sant0001comptant, Favet avait détourné une reconnu lés affirmations des niai-dizaine de inIlle francs. Mante et a déclaré, pour sa défense.

M. Courregm rendit coiripte oc gne son actif, nue réalisable, il gisson expertise la maison qui tus vrai; à Meure actuelle, lui permet-donna mandat pour déposer une, trait de rembourser en Partie sesplainte en abus de confiance contre dettes.Louis Favet. Après interrogatoire du chef de la

L'ARRESTATIONsûreté, le banquier a été déféré auparquet et prémnté M. Gleises,

Le chef de la sûreté, M. Balse, Juge d'instruction qui l'a faitdonna aussitôt mission à ses agents écrauer sous Ifinculpation d'abus dede, rechercher le comptable. Le confiance.sous-brigadier Escribe et l'agent Dans l'ansés-midi d'hier, les mei-Ferrlol l'appréhendaient mardi dans lés ont été apposés sur les bureauxdans la matinée. de Saritucd.

Encore deux affaires

d'abus de confiance

UN CoMPTArim M'am,n'IMPORTANTS DETOURNEmENTS

Lundi, M. Alfred Columelle, chefcomptable de la maison de cafée l'Eléphant Nais », agence Cales-

-

REPONSE A UNE INFAMIELe journal des conjurée, poussant doute la famille du mort et SOIt

Podieux aussi loin que l'ineptie, en seule.est arrivé, dans Son dernier numéro, Elle vient de le fairo, avec unepour le facile et vain plaisir de spontanéité pathétique en adres-s charrier e un de nas Plus aimés tant h Ilêtar la lettre ci-dessous,camarades, à une aecusatim envers, signée de Madame Elillières et delaquelle Liétar aiaralt marque1fous SM OnISSffe.comme nous, simplement du mé-pris, st la juste indignation de ToUMuse, le 24-3.A5,famille Biltières, ne no. amenait Cher Monsieur Lietterpas à reteter sur l'auteur le fieldont il a voulu envelopper o0S1 . VO' score ee" "" '.Mn' d' latreftlet. .,, /mon /a pius odtense pqr le parka

Cet entrefilet est eut rédigé Il ne nous plan pas de relever lesa Le camarade Lietar fut ehoiet 0,:mragettsds attaques dirierées contre

co raison de son caractere peu 1,..off., ,,ff, -I, fp, dovoyant pour aller porter Inc voeux I ogggigge

1 frpa'e

do eonseil municiPal - noie essM 'e de vous s'aft; erniVenil'affectueuse sincérité ne faisait e.r: ;Une amertume de Plus aida tristesde doutes pour personne Cali ,

ras, au eours de 10 m.dieffe qiit Alger,pc sev,ta,i _t sssesnagosstser etc,/ istlisotrpessaseettdessa ,é71 upnestpsgt.raniffses;

502/Konné combien se mission poei- 9,00,k, d, b10,,,,,,u,0vett etre délicate et fut, parait-il, ont aussitôt gagné notre affectionsMacho... reçu Pan In 5e0es0 me- car elles vous témoignaient1MM pas Penô carte grande amitié et toute sa confiance.On sentiments lui portaient la Plu- plus qu'aucun autre vous les me.pari de ses arlioints et conseillers ,ti,et qui fut patement reneird Per ee Nous n'oubtiorons jamais votre«fila 00asidé, remercions odieuse dépotement, votre délicatesse et esMellifeetetlen grand réconfort que votre Preaekee

Tant de perfidie; tant d'osbeina. nets e append e" "e""e de"-ton à remuer les cadavres pourleur prêter parolm et sentimentsqu'il ne peuvent démentir, vouslaisse pantois et vous laisse suPPo-ser jusqu'où nos adversaires Pous-seront dans cette voie, lorsque lebee cloue sur le terrain de 111 pole-

ils ne sauront plus pourfaire dû bruit qu'insulter et aboyer.

Mais st quelqu'un en cette affaire mi, pour aaaisr 15 mntdl'O0 500Lintime peut apporter un témoi- Ienarades, ffhésite pas à salir unbouge &Me de foi, c'est bien sans mort?

UNE QUESTION

A « L'EXPRESS »

Mercredi soir .e réunion estu-diantine se déroulait dans l'amphi-filaire du Sénechal.

DossIers ôtudignes allèrent la trou-hlor, et matramor les auditeurs engénéral e un des oralf ars en Pertieujlier : le Père de Gorce, professeur al'Institut Catheligne.

Les perturbalenrs cini allèrentchercher à l'antérieur leurs victimes

fa:11'1n?s seseesa Peatatrileoat. s er 'abrer erseu des blessés.

De toute évidence la responsabilitédoit être toute entière reportée surces Jeunesses Parlotes.

o L'Exprem tlltussAtelaiidrit:e relaie les

Si l'aa'c"onW'rence avail. dé organisépar les J. Psi les perturbateursavaient été les Etudiants Pacilistes,que n'aurait ppi die n l'Express s, Decenelle indignation il eut été secoué.

Mals sur les perturbateurs de mer-credt dernier, s l'Espress r n'a for-mulé aucune appréciation,

Simplement sa relation semblaittzlseirstascshiasettuse interligne sa satisfac-

1.eut-être pas eu de placepour nDprecier le geste desr

Nous lui posons donc /a questine :Qu'en p ,e-5413APneeuJe-t-il en dé5ePPr050e-t-11?

frrt11711111111/1111111111111111114M611101111

O. cOstegS. M. rue de Rémusat SIgangas de magie*

assee 5,A main ess...meig

j istion:sysetrelgscthsef de la Mirette, Face' .nia avoir comme irrese

T

eleéltetrtaesseser Ive ta

Le Bige a décerné un mandat dedépôt mentre Louis Favet, tomculpatton d'abus de confiance qua-lifié. R a été ensee écrOué a lamaison d'arrêt,

UN BANMI*E.R.REMISIEREST ARREME

loureuses.Oublies la peine qu'a pu Carrer la

Méchanceté de ces individus et re-cevez, cher Monsieur méta', Ce ',in-cern témoignage de notre gratitudeet de notre, a/Mettons

Cette réponse de la fertune et desfils de Eillières suffira-t-elle pourimposer silence au triste ponocrateS

Chez les PoilusyEDERITION NATIONALE

DEE MUTILES ET SEFORMelsD'AMIES-GUERRE

La P500001 ou Nationale dee Mutileset neforneas diapres GUerre, Section Ri-glonnlo da Toulon., nous commue-

Les Reformes te'Apres-OMMe (Hers-Gamme 1914-1118) peesionnés au Utrede /a Mi du 31 uses tuie qui, par mead'mcidenes, de blessates QU de 40-dies, survenus contrantes ou aggravéeaimes 15 cessation des I cnlElhbl f0 cl.1000e 1010) et du fait du SCOViCO

BON, amputés, aveugle, Patapld.glques, blessée martiens aveu épilepsie,equivalchN épileptique° ou alienatemmmtale ne Muémane pas de ta loimouds stidici Oct lamas invellmevotée par le Parlement et qui vient d'a-tin proinblguEe pals mise en Empli.-tien dos disposttimie qu'elle contient.

Notre groupement ae toc dans l'onU-netidter nit, orgee DUO° au point cour as

/akar toute rênctIon tendancieuse dn l'o-pinien publique mal renseignee sur lesMis qM nous rJaissent

ADICALEbas ANCIENS DU eine 1104. die

Seége use ail Cam Clapié(Armles du immole/

Tous leo Anciens du 7mo d'Infmterieat leurs amie sont cordialement nornde

assister à la Soir. de Gala qui seradonnde le samedi, 30 mers prochain, d21 heures, dans les salons de UMM deParle, rue Gambetta, au bénéfice da laCaisse de Secours do l'And.le.

Cone son., dont le suer. est car-ta. grâce as eoncours

0,0,00,Uaoop

e ou on aura le pleustr

18 Min le rang de ceux nue pasSalentDie de Mets en ment ç A bas lefaseisirvel

Car c'est. dopas le 15 depuiScette soirée honteuse de mitmlre lé-gal que les e hommes d'ordreZnint la police d'Etat avec le plus

I e)eS etailiieneg qu'ils rêvent de la euirfréquemment recommencer

C'est su vérité grand dommagequ'ils n'aient pas assisté samedi der-nier, à Paris, au massacre délibéré,par cette police d'Etat, des Hi 000 po-nts mmeerçants véritables, Gen al.boni protester, paerflquement, muresdu Sénat.

Ils ont été remis par la police d'Etatcomme de trais e Emme munnun

2,1t.Iselle Souri

- @MIN honte I NOUS, corunereants patentés, Dallés mu. de

vnbgalass» C'est sans doutelue nous agensies Mmes intérlts.

IS111111111.1111111t11111111511111111111111111111/1211211m11111111111111111111111111/1/1111H111111

d'entendre de réputds, artistes toutou-

' ri'lille,c7r'pe'rTne1tradeionet",:'Pe00100111e moment.

Les danseurs bourrant s'en donner aoreue lote sous remprIsd et le charmedu 00100. orchestre a Melodian Joua »

d,reteocirtloon

P. Am., ler Prix du bons,

L'entrée sera gratuite sur oarte crin-vitation et les membres de

l'Anionsurprésentation de leur carte d'ami,rent.

police d'ÉtatLos plots, Il- commerGets du «Oc toison hoinalfie coniMeiMane >

Comité Mascuraud qui se donnent un disait Fun.assureur imam umdre; les preten us s Vlan! pour ton hortnateté a et unhonunes d'ordre de la Paix sociale ...de matraque.,qui approuvent la tentative d'assaut e No. sommes patentés a diMienedo Palais-BoulMon et les matra- les autres.gueurs des J. P.; les contribuables Boum! un coup de crosse dansis syndiqués r qui refusent de payer l'estomac.les seuls impôts menmunaux et ap- n Voilà pour la patente o.Prouvent les me/larges fiscales Mra- c C'est avec nos inapôts que voussautes de l'Etat, réclament à me et à êtes Payés criait un autrc.cris la police d'Etat. a Allez ouste a; jeté comme on

lls regrettent qu'on n'ait pas Si- met dans le camion de la police, etgouille la foule qui siMait M. Tar- eu poste, passage Atelier.dieu. On ne Geut pas se réjouir, mais

La police d'Etat rent en effet, sans nous sommes obligés de constater queaucun doute, massacrée. ces 10000 commerçants n'ont pas la

Ils se félicitent m'on nit verse le même mentalité que ceux qui ban-quetaient aVee Marchandeau, Pigny,

Calannagi et mena commer-çants ou industriels du même acabit,rlscusi aU igues.

Mals au fait, cette triste et scanda-leuse m'extase qui se termine par descentaines de .blessés, peurquoigrande presse en général, et celle deToulouse, en particulier, n'en ad-ellejoint parle

Pourquoi cet étouffement?La bastennade aux petits commer-

çants, c'est donc aux yeux de nos Iconfrères événement banal et sansconsistânce ?

Ils auraient tien pu au moins ledire.

Alsis pas un mot, pas un.Comprendrez-vous, Petits comme,

cents?

ele taa DO. commerçant, na/blessés 50 .0p0fiextant dere,, ie- jet' tna n ii.

COURRIER OES TIIÉATRES

Théâtre du Capitole

« LA WALKYRIESunn égaler les belles .1/M4:da-

tions de la Tetralogie dont pas mald'habitués se plaisaient, hier, à etc.001mle souvenir, la reprise de e La

COMBATTANTS Gia FRONT" ;Walkyrie » a été fort Satisfaisantee A e.

(Section Quest) Mnt David a rendu,avec une 1000.rob adhéree. sont Priée d'a..- ble vaillance et un organe auquel on

ter I la réunion .traordinaire qui aura souhaiterait plus d'éclat et d'homo-lieu demain jeudi, 28 mars, 6 21 heures, généité llone endolorie et vibrantetaro immun, Place de la Patte dei., de Brunnhilde.

(Congres de Revek.ossasomasoessooseamesioseiesione

LE BEN1TOL molle Mute deveux, détruit Pellicules, guénitques. Notice gratis, 21, r. Matabiau

Chez nos Boulistes

Réunion de la Comrnimion desMuances, aujourd'hui mercredi, 27mars, h 17 heures, salle de la Biblio-thèque, au Capitole.

11111111111/01111011111e111111111111I11111111111

Inauguration de la nouvelle

bibliothèque municipale

L'inauguration do la nouvelle Bi-bliothèque Munidpa/e, rue de Péri-gord, aura lieu samedi Proehain 30mars, 9 16 heures.

Le lendemain dimanche, le publicsera admis librement à visiter lesnouveaux locaux de 14 o 1B heures.

Si M'Il Caro ne rend pas boute lar!tasucer;iestdIse neittlansmyliessamscrimeu

petmoi. son expérience, sonatemepére-ment dramatique et une bonne mu-sicalité.

kruiteta

Nul/e voix mieux que ce/le de3f aAnduran-Marre 010 cenvient aurôle de Fricka, cette min stylet dela façon la plus consciente de sol-in-eine traduit b mergaiile toute la

BOULE NOIRE DEBONNEFOYrblesse du personnage lel Andu-

un-Marre a un bel avenir devantr. Il n y a que du Men dire de

Pa005jels par osa Claverie qui s'est révélédanstue,Oiéas mas bao, ,.otan, H le chante avec la traditionynement entraîne, rnanclle derMer, avec

levra camarades des Free,. Boula au vue e l'opéra qui est la tradition svag-Mienne, une voix au timbre Ires

je,217-1 leeeUes R mnore et bien stylêe.LeL.mus ayant menet, pour former lm

nuadreum officielles il, été décidé à1 Es. de la remo.re no' ses réunieoaurait lieu à cet effet, au caPd Borie, lejeudi 28 mutant à 18 h. 30.

Tous Ie.:moue sem imemineui Mité.d y «asiate,

1111111111111111111111111111111111111111111111111g1

Les « adimx O du M acte chantésavec un magnifique éclat ont va/ule plus 1e0time suceès au très sym-pathique artiste mei est un dm pl.briilsots anciens élèves de notreConservatoire. Ni. Faniard a traduitavec simplicité et beaucoup de natu-rel le rôle de Siegmund, la voix d'untimbre velouté et agréabte //auto.-né dans le médium, s'assourdit un

AUCAPITOLE isimisdarisl'atîct es 10 est

M. Tomatis dessiné avec érter-gle la figure .mbre de Hundmg etlui prête sa solide et rude voix gui

tes, nous les citerons dans l'ordre

doon:

direon: ers ont droit

rao.n.nee :pen.t.,,miBeuoit

quelques 015-s v à queLes huit Walkyries avec des mé-

riteBadZ, Nloibniev, Bascou, Nichiren,Lavareille, Boue.

/A mise en scène est conforme àh tradition c'est le plus bel éloge Ique nous puissions faire à M. Do-yens, qui s'est efforcé avec les;moyens dont el dispose de respecterla pensée du maitre de Bayreuth.

Mais j'ai gardé pour la fin /e chefd'orchestre PL Cluytens, il n comluitla partition avec une fiévreuse ten-dresse, av00 une profonde véritéd'accent et /a plus parfaite compré-hension musicale. M. Chlytens nousquitte, nous sommes nombreux

Pas de bonnes confttures... sans de regretter son départ et à souhaiterbonnes oranges juteuses et savou- urdocnyool qu'il nous revienne Men-remes. La marque a SELECTION >renferme ces qualités essentielles., 4o ce yeux Pas terminer Orcomp-;Demandez-la partout ou défaut le Ie.'. >ses ms etiennôr lemala-

Maisond-Dernard.PUIODEMONT. 26 14, er. Iite.papetlônItiiieseix.trettisoxliic,m:eutriesIese.ssstfispuervs-:

nau111112111sell14111111.11m11111111111MenSPI avait donc personne dans les con-

couEONNES moscrumems hisse pour 10 traiter comme ilo. CoSTES, M. rue de Rémusat se el'aureit mérité ?

Mals domielle - 'rataplan. 203.9.0 .CLATJDE-JEAU.1

Mindel-de là Ili110E115-51./FLOESE

S - alélndies ounneen.12'11. -- Ore/astre dessers13 u 15.- Orffiesm.ayeiphonaple.13 50.5-5-6hant-epeee,

deriamit e/NrreartrgiaLdree1î;Irea1.:

dealene.0>ir-Iopérettenes E em

" " .eererite-O.oarnrareila21 h. T- 5 -..E.100550iene

51 obbrotaas..22 h. - Au caveau de dix hettres.Pantalsk radiophonique.22 et 10. °pesetas minute.. PrincesseCom-lea22 h, Mt- InfermemesII h. 20. - ThCiffe.

Le quenF Wheure dee. alld1..num.

23 IL ,t5. ehi'llagalog,,a4genein.

2.: la,19.-...-Gruestrff de sabin21 ,liefordalla.0 h. 15..e.. Ains-d'OpemerecmiouO hSi - AlLeichinrilerts.0, 30. -F15 fla.teiesii..

'ni,,E soupe

liA01(1:05ULOUSEhorrstrarre Orbi ',Min

Nous apprenons -quo endieit, rue:,di 25 ma. lervitestredéjà .0as ares écoulé avec ,plaislr. <10,-neva un nows/at concert, .rinnt.16 er-granime °MW saura cmuinme4 »PU»

En effet, de 21 n. 45 A 22 6, ire fis in-temratcront

(Raide Duchesse., caser.,dOtremmic -

2 lel Vue', iiffellSgr Este, P. LI',Singing 11 Ida norme . mi-

reau Lanza.:A travers fr1 bills b Mitais le y h

Aantirm winernan Teese.ne,antenio Bei-a

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MOULCUE-PYRXNEESI,,. 30 /2, I: et 10h. 30. - Journse

Poli, présode par NI. beets lespine.110. - Concert.12 h. 15. - Relais de Lyon. Concert.1i h. - »Jsfluee.01 im, - Musque On cha,mbre avec m

concours du quintette de la Magon.18 S. SP. - ItadLO-jeLDnal rte France.nu h. M. - 110101. de Bordeaux-La-

tayelee. netrarinission depuis le Grand-Théâtre de Bardeaux.

00 00 d'fintbsien i las aernirresvelles 0e ra scirde.

Les (Livres hiqtlesCERCLE PIERRE-MAURY I

Ce soir, e. 21 heures, a son siflge,salle des Atm de l'école maternelle,le cercle Fieiré-Mitury se réunir en.semblée generale, au cours dele.quelle seront discutées les sues-Bo. à Ford°, MM JOUr de-lu pro-Mame os000ublco gçwtralea de laLigue de Pensemstement.

Seront également mises au pointles dorméres questions de détailconcernantla fête du 3 avril que lecercle organise dans la salle du

Cinéo r, le Mercredi 3 avril, ensome,

Tous leu membres actifs et hem»arearm du cercle se do/vent dg:ges-tes ce soir à cette réûnion all canede laquelle ils auront en outre leplaisie,. d'écouter me ?usGeLi stuf

lperoees;e11eIr poseAdent de la Fédération departaamentale de la taque de l'enseigne..

PATRONAGE LAIQIDU 110GTH1144.414(

Grimpe Seolaire de Sonnini,Dans -lagallie alu -Cisiuna-leMigoo h

coquelleireentuléroregge drapeaux ride plantes vertes ifie les soma ethsservices municipal>, le conseil d'ariaministratton du Patronage Lento° dîtDocteur 1:Me/Gavage organisé, le mer-credi 20 courant, au profit m

oeuvres smiaies et laut.olo,ro.,m irée arUstique à l'oc... du tgrage do sa tombola 005511e110.

Disons tout de suite que le publi,a répandu a Eattéfite des organie gteins et que celle manifestationque prendra date dans notre fun.bourg de Bosbotnre.

Remarqué dans l'assistance Mit.Dussdl, 041u %Tire; Hyon, en.

leis,"Mmetirler's-muniC'apetermer;lette, du Cercle Laique Pinel-Deltomles malt/esses et manses du grouphscolaire et de nombreux mues dadhérents des divers cercles loup, -de la voile; s'étaient fait excuser 0.Julien, maire de Toulouse; M. Pim,pecten" d'Académie et Ni, nome.troc Primaire retentis par les desolide leurs charges.

En première partie, la Chorale el -tantine du patronage et ses sOlishMlles Dupuy-Pouech, Péraldo,marque, Belbexe,Eche, Bedel, sous ka direcemn de leur

l. art , a

cos les applaudissements et les sep.polo, une vingtame de inormangleur copieux répertoire. line mentiontote speciale doit être decernee à MlleBelbeze, la benjamine de la Chorale18 ans la), qui détailla au pianoy Les plaintes dune Poupée » de Ceseer Franck 01 00 e Premier Menin,de Van de Velde; à Mlles Pur'Lamarque, dont leS voix (ktcharmèrent l'assistance; à M.qui dut bisser l'air data4-,Mireille (Gounod): enfin, atia trur,solistes de hautbois et de c./minet°.

L'Avenir Miesic4 de Bonhoum,sous la direction sic M. Majoumh,exécute b la perfeehon quelqui.niorceaux d'orchestre particulier:inent been choisis.ittierdgesstelnLeoteressismsperovsisssati joenssdens

cédèrent la place à leurs aînés, et,c'est sous dm tonnerres d'applaudis-semelles et des his enthousiastes, uneMme Chaun5-lasson et M, José sa,-vat, du Théâtre do Capitole, interpré-tèrent les morceaux de chant

per,auprogramme.Eniln, Penfant du quartier L'Bail

comique troupier, dans ses dernier,créations, apporte la note gaie à III,soirée rélissie en tous mdnts.

Les rires redoubl&ciit, lormuc»ection artistique du patronage or z

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 6: SOCIALISTE Le roi de France en ternit-il autant? La …images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1935/B315556101...Elle est impossible jus-qu'à l'absurde. M. blandinle sait ei bien que

6

rcai,iairund;saouveouvproictsunaLonsernatiaadesIrait. trois,oc!! ioor vi a lrtcde.. Cmcsaevstiva dii las dr eruila, ci-l! o r''lra''P Hurla lu 0:11, coCi. iups, acces, séecaruiode, en

orase I , . , ocr tari, iii ', lei.- tes aei,iuéme et trolsieme rsord,t delant,lncr',r,,,'raiàMnioi'rorri'ri...........

BICYCLETTES NEUVES gruean-tirs trois Ressentes toua irenu deisbricevnn,

Ilaunuma Dccc Encras

ueueo!egecrmrsmuo,0rnpriarnteni100e le coesomeaateou ou pendaitsurpomebie cl lamas

Il est urine! indiepsueutile d'oruej-'mcirnea!u!sun lrnitiécretam'r,!i.Iiorel001e, dccl ianécces!!uc'impccr.

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ciseLaIs.. est ,ejuidI,,,bie dlsement. polir mai e!'line mnme depaiirilii Ire sues! lOUe aulel ie'tiaateaatu comvrrirerralenuiac.duoairlessuures .uirvauetea. (Itérer! tille,, eleraeuabcc

u lancier 19Es) rSlace'isrriudu de psivaaair.ilç'iaerrn UN CR50 osapanaiT

per- ctim,JreI'rueu, r c_e jeune Mao melon, anuc010 dl mur-vIre Ar.oeita en anIs ,l'etaener lli nia. deaeeaenai a Cnarn-Uaacedo, u ourle

'rievde!ao sermiarnunce 0100 ioralou iuorciruu,

,rr jeu, diigcaiacracn liiiu',iiddaaarir lu ehoenrocre ace AcenSes pianorm rosiuuiasnas!r . 01: Oupiote

Iut,iblitSeulrOts de bailla, de 1000-

d 19 dI l I li

VO O S G CANUtlaaev ecep!ueeisrc, li ra! 'a 'lie! ldlte J,nrree Ouvre! decieuceart 51

raie ccc les ail,ueatsaas cc uea! deeea Gce-rrrr.S0,rum.M cirer u porie plsre,eciaO punir lie lune ais tes chefs de eccirs flocule r co ne sceuodrmem ottaeail!r mss lait rnnreailer folies elior- pear uml le ion oc b main, ruvgus, "et en ails jaau!flé 95cc la renie'.vr rouir sommr dc lit teatite coulera clouede Eh! taillis aIs acictuiece ale la lIc sarliniucce. accula bordage db Il culuanlrctina du livret dc Ioini!iv. 5cv'.

.0 Cc_SORE OC SOfAbliIn Arc ri Abolie, dernroae.'

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lOir repoun dc cccam ic:

)!UTE.SLIT$

1191. les pcéeidrieiu leu vu_li' l_1 d'ancaclra elseileic le sarl ai estessen plu lareterleei, Ibirresu da L'abi-

1035, filai de rma,teia'. leu poupooe. ' un coucou clIui',c 5 000mbre

hunE dr rpoaaupeisws j1 laairriou!itè o' du cm900irrll civnneilocoevrpue!anlaste'ilsorrccira! à !rri'nerlien en 1000m' arr es objeis dOuve anrrcr dv III te. er

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cou etlscli!, il hp bourru ètce ire- no mrli go Nnacennyl n pIlla Plouciesesté plot d'uic cadileot par 250 sueeiO. rvunrcs r000000 av 10e deeoodrecnmcsor

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En cc ccli eneeri'rco leu .srrriétla demraaa lIa 1Cc lnrinbers. elles sec ri; USE aUTO RErSoavEnroui i-Ils' ratios d'erse lsr'iliueiiu r_'auicmureoeporieuuira s III. 0100eclause émis lac aIr, Bvod ce.

Conditiririiail'atlrileeut!Olrr tu eo,rrurit ercn licol do-c e eu e'-Irfeselrrue t,- isaralele r LIer 1_ ris corroo roue in sccivcc do la ailenin.

3g set. 'r ri-ries cl c.r,rploc icrris'ir- Obouac vure e e dc la Cn'nmbnile.nbrur!c badiane gratoitru, Le corne ueocaasalt uue course go

lelédeiblir de 'Itcnrsu'rirler' depoil cvr lc'omeierr nos lui lei ri'.rc, liltila ce rIe lu melu- M. Boaodreea n cocos pv.se,euran golion !couorrululs. coevrouro. mare,,, marnhbe o sa plainte

'ItIduilie rl'ar'gesl , boire dsprri., contre incorcu punr On! d'eumacr,S élis aq uqml'1pa,,,,tltl'9' de louai-ulule do lcerrnse, u COUPS 51E BROC

'IlédailIr ilor i bips depuis 5 ans 11mo loir, rocs 55 hsvmcci 15. Ope,au muros tdolasro de lu mcduilie rommrsua ce o. premnereocu. cirai nu,cl'ncgçnt, forme qu'orme inolme acnro rIe iruuenr,

Rappel dc Médnile d'in de la Mrl- ceunevie deouoi rare bucegue tdraésluolilé Compter ou ucrrirc li rrmrv de v,,r le oaa v-la Daroaale.préaidcuer d'ave Socletr il' Sur 11cc xl n-lmlvtllri'rtéiredcpmuiu tu aol liter,' sen Or u car les erras ru

saler dc la Irlodailiir d'Or,u deciaca loba couru aura vruleeom,nehrprile. ia aumaum alune Sdodrrac,virovrn 0mo al. sIlo siail ils trapeee Iicoupnaabmmn,,.lcue,

LI gactorrpéelnneuamrrre In uleo.

LE OEVELOPPEIOENT sel nIa coumama,c vue cerlron dc latin La CONancrSrvIATlOSa 0ES Faillis mue deorlo, aorol ave den PAres oncle

ou La HAUTE-CanONNE cci nul 1051e nr,ngu.

Ii rut lcd miloclable o! luirirvunirR llcOtur-mreri

dec 1mai10 de iaH,volre-uaeoOce pro-nccooeeoleras,uiv er roc e,

vient en acundc parier de l'almueuec pur caurrêrecor

POUR NOS FRUIIS

GuOUPE BERNARO LnESBALSRIo,, no do acuopo, auloo,d'floo

01, 27 insu b900,a al huies coécrire, no

Ciedec duiuuc'.I. Adhésion., Cclissl,nm,e' 2. Las .509.Aclrcimi da la Snorruu: 1. Dahue eoiruiqonsou la, Ossu Ans, 4. Rappomls ladc,nun.O. Ruppois no Envases Nar,rnui: 6. Eau

dal°o,ms,rc desir.b an,.Le M serra me ci l',qeusclmcd »

7. Quremmuus dicacscu.L'Imcucurur,vbliiommaom niaIs pose vos

las camacudes vumrcnonaru mus da,D'euc dnrmd races.

T cci nlvt,c InToosvooleelusoncca.Nonsmccslc,nnmuausmscsdescuinucc

.orrlrsornescbiaccrucés.Las ,aorsmfldia ,rr',,rrs urim Icuc plum ami'

oui rIs ir,.'ms duou'oaceilla.lis y, rsob.removi eus.

COMOIrSSIIuN DE PEDACTION

A n Les o.rnmo,udca Oe,beis ni i.0000ecI auniC-cc .io»rt'urvc,Oasnic,l 11haucia,cous !'é,,i',.IV.

Le Sneeitommn.

aoluriléi médilu ra etle suodilel hôtelier, lu peeuuu eéaio-, AMIC,5eLE DES ANCIENS ELEVISciote, ira ropreicOlsntc dcl 10 PrOpe'' DE Is'ECOLE DO RONDgende loliriatique et Os pruducteafl Tuas leI sanic do l'écule du Nerd

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e lu roalisellua du 1rrugcaiurrne sra'- l Nui doute que Ir moulue o010rulvoeu :

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porie clIC lu pecdmre!ioa iiree dci cunt b l'oeuvre aénemeuee que in.Ielriiu de bIOS, 1o5,itl' clair! 11 de' eescultd d'erguevisntica n'eul tracé, 00"

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COMMISSION EXECUTIVEFEOERaLE

Les sOemsens de la Csmmc»siar au!.assise ladereil ssral ineilte u Ouliausrla réna,ln qui sues lias Uojaard'lsur,eseearldi 55 mura. I II Seines, b laOieirle, salle de la Blbliacslqse.

Le soarêlaire bldiralJ. KIaSQUERE,

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Etuatints SociIstes

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CAIbStO b'ASOURu'arlEOO SOCIALESe LE TRAVAIL u

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COInIITE 0ES LOISIRS OilVuiEiISNo,os lier, On, sou ,,vcslcitss d,s dma,,

acouccecsurcoimus sa Enroué das Lois,,,léorieuri hcocc,nn, Grmoivue, Taceie. 0cc.!,du rio vi, bian cemnlc,n 50 ceésns,nm duCommln ma caris, de inorssdhémnnu rouelac luire rncceominul 51 mnmucsnncnaued

uumécos d'icsecidliuos ooncedna,I lac,

COMMISSiON 010 FETESOU SYNDICAl' DIS E1uIPLOYEa

DE COMMERERLa Sccd,vus dae EunpIopae do Commun

la dc da Flidueisi an Toolaiec, supreOeq,i'oriaauedo evicéa cecco' crIa eOici'n d'oc0,1 aume ici b dimucruhu II crase 1901.21hIncs, dur é1 antI, dns FéO,a do Foonsdu Pnepe. 61, rondo Tuai.

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Réou,cu dv Cumiva Rooronsi do Modiin inadi dl mIss 915.621 hienne, 10 Feradv Pnopin, 69, ou, do Isa,. Lceaeedru,,. .0. Ormilbors

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na bec le 10Cemur,rrooio,en dacdnoo1ce'cois

na clubs oui enurrinc 1000e,lsocs déléuuésisla séoc,ne do Com,IRveicnab du 2v rouis, no Foo,c dv P.ipl

'icusccl Tuuius»aic. Ccuemrn, éuslnm t

ru000q,uéu. Couse do I eo,il O G,i,ulbai.L s e,eeélaire Oéndlul Rosé tluur,ai.

DIMaNCHE r aVIL, A GRISOLLES,GRaNDE MasaIFESTaTIaN

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ciéa du SeIns EllOailIislr.Curouar l'ue dnlc,ue, In Ccqurlioci Cri-lia s cpdonrecucammneeoo

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