SOA Infos (octobre 2009)

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0,76 J O U R N A L D I N F O R M A T I O N S M U N I C I P A L E S SOA SOA inf os inf os J O U R N A L D I N F O R M AT I O N S M U N I C I PA L E S octobre 2009 N° 285 RENTRÉE SCOLAIRE : DES EFFECTIFS STABLES (pages centrales) SEMAINE BLEUE « Les couleurs du monde » Du 19 au 23 octobre (page 6) TROPHÉE DES CHAMPIONS Les sportifs étaient à l’honneur le 12 septembre, pour recevoir les trophées d’une saison où l’on enregistre plusieurs titres de champions de France et de nombreuses performances au niveau départemental et régional. Bravo à tous ! Et bonne nouvelle saison ! (page 18)

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magazine muncipal

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J o u r n a l d ’ I n f o r m a t I o n s m u n I c I p a l e s

SOASOAinfosinfosJ o u r n a l d ’ I n f o r m a t I o n s m u n I c I p a l e s

octobre 2009N° 285

RENTRéE SCOLAIRE : DES EFFECTIFS STABLES

(pages centrales)

SEMAINE BLEUE•« Les couleurs du monde »Du 19 au 23 octobre(page 6)

TROPHéE DES •CHAMPIONSLes sportifs étaient à l’honneur le 12 septembre, pour recevoir les trophées d’une saison où l’on enregistre plusieurs titres de champions de France et de nombreuses performances au niveau départemental et régional. Bravo à tous ! Et bonne nouvelle saison !(page 18)

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MARCHÉSMarché couvert et

découvert, place Mendès France, mercredis et dimanches matins de

8 h à 13 h.

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ANNEXE DE LA MAIRIERue Rhin-Danube☎ 01 34 21 25 00Service du logement

Horaires d’ouverture mardi, jeudi et vendredi après-midi de 14 h à 17 h ; mercredi toute la journée de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h.

•Vie pratique

Vous habitez la commune et vos enfants suivent des études au collège, au lycée, ou encore des études supérieures (à l’exception de l’apprentissage). Vous pouvez engager une démarche (le responsable de famille) pour une demande de bourse communale pour vos en-fants mineurs. Un élève majeur, désirant perce-voir cette bourse devra déposer une demande individuelle. Les bourses communales sont attribuées chaque année, en fonction du niveau des ressources des demandeurs (Quotients A, B1, B2, B3 en 2010). Les dossiers sont à reti-rer en mairie à partir du 1er octobre auprès du service scolaire (1er étage). Une fois complé-tés, ces dossiers seront déposés auprès de ce même service (avant le 6 novembre inclus).Vote en ConseilLe montant des bourses est voté chaque année par le Conseil Municipal, en fin

d’année (montants 2010, votés fin 2009). En 2009, 470 jeunes ont été bénéficiaires de bourses pour un budget global pour la commune de 39 715,85 €. Lors de la visite en mairie pour retirer le dossier, le service scolaire vérifiera si vous êtes bien parmi les potentiels bénéficiaires. Pour cela vous devez vous présenter avec votre livret de fa-mille, un justificatif de domicile et votre ou vos avis d’imposition sur les revenus 2008 (avis d’imposition sur le revenu 2009 sur les revenus de l’année 2008). Certains titulaires de bourses communales peuvent aussi avoir droit à une bourse départementale (toujours sous condition de ressources). Lors du re-trait de dossier en mairie, le service scolaire avisera les familles qui peuvent prétendre à cette bourse et leur remettra le dossier cor-respondant. •

BOurSeS COMMuNaLeS Dossiers à retirer et déposer en mairie

avant le 6 novembre 2009

pOLiCeLe bureau de police est situé au centre-ville, 26 rue du Géné-ral Leclerc. Horaires d’ouver-ture du lundi au samedi de 9 h à 12 h et de 14 h à 19 h Tél. 01 34 64 31 16 (Permanence téléphonique jusqu’à 22 h).

MÉDiatHÈqueHoraires d’ouverture : mardi, jeudi et vendredi de 16 h 30 à 19 h. Mercredi et samedi de 10 h à 13 h et de 15 h à 18 h. Contact : 01 30 37 99 74. www.bibaglo.orgDes livres dans mon biberon : s’adresse aux enfants de 9 mois à 3 ans accompagnés : prochains rendez-vous le mercredi 7 oc-tobre et le samedi 17 octobre.Ateliers de conversation phi-losophique : prochaine séance le samedi 10 octobre, « Le passé le plus important pour moi est-il celui de mes souvenirs personnels ? » ; samedi 7 no-vembre, « Des amis peuvent-ils être du sexe opposé ? ».

eNCOMBraNtSProchaines dates de collecte : le lundi 2 novembre (secteur Nord) et le lundi 9 novembre (secteur Sud), pas de collecte en octobre.

eNquÊte puBLiqueDu 14 octobre au 14 novembre 2009, demande de la société SLS Cergy Groupe STEF rela-tive à l’autorisation d’augmen-

ter les capacités de stockage de ses entrepôts frigorifiques situés au 30 av. des Béthunes à Saint-Ouen l’Aumône. Dossier consultable en mairie auprès du service d’accueil. Registre d’en-quête pour recueil des avis.Permanences du commissaire enquêteur en mairie, mercredi 14 octobre, de 14 h à 17 h 30 ; jeudi 22 octobre de 16 h à 19 h ; vendredi 30 octobre, de 9 h à 12 h ; jeudi 5 novembre de 15 h à 18 h ; samedi 14 novembre de 9 h à12 h.

COMMÉMOratiONCérémonie commémorative de l’Armistice de 1918, le mer-credi 11 novembre. Défilé au départ du parvis de l’hôtel de ville à 10 h 45. Dépôt de ger-bes au monument aux morts, au cimetière, en présence des autorités civiles et militaires.

VaCaNCeS De La tOuSSaiNtElle se déroulent du samedi 24 oc-tobre, après la classe au mercredi 4 novembre inclus. Accueil dans les centres de loisirs de la com-mune pendant cette période.

taXe Sur L’ÉLeCtriCitÉJusqu’au 30 novembre 2009, constitution des dossiers pour le remboursement de la part com-munale sur la taxe d’électricité pour les particuliers chauffés à l’électricité. Pour obtenir ce remboursement présentez vous

en mairie, auprès du service des Affaires sociales (1er étage). Pièces à fournir : factures d’élec-tricité 2008, justificatif du mode de chauffage et RIB. Infos au 01 34 21 25 00 Poste 2700.

CLEFLa Coordination Locale pour l’Emploi et la Formation ac-cueille les jeunes de 16 à 25 ans pour toute information sur l’emploi, les métiers, la formation mais aussi la santé, le logement, les loisirs… C’est au 31 av. du Général de Gaulle et c’est ouvert du lundi au ven-dredi de 8 h 45 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 30.Tél/fax 01 30 37 67 77.

FerMe eNCHaNtÉeLe lieu d’accueil enfants-parents situé au 7 avenue de Verdun est ouvert chaque mardi de 8 h 45 à 11 h 30 (hors vacances scolaires).

iNSCriptiONS ÉLeCtOraLeSDes élections auront lieu en 2010. Pour pouvoir voter, il convient de vérifier si vous êtes inscrit sur la liste électorale de la commune. Les demandes d’inscription sont reçues toute l’année en mairie. Pour voter en 2010 les demandes doivent être effectuées avant le 31 dé-cembre 2009.

MAIRIE2, place Mendès-Francetél. 01 34 21 25 00

Les services municipaux de l’hôtel de ville sont ouverts du lundi après-midi au samedi matin de 8 h 30 à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30. Ouverture en soirée le jeudi, jusqu’à 19 h.

urbaniste-Conseil accueil sur rendez-vous, sauf mardi.

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etat CiViL

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NAISSANCES

CHO• UDHARY Alyza Mina Salwarnéele01.05.2009àCormeilles-en-Parisis

DA • SILVA PINTO Enzo Rafaelnéle02.05.2009àCormeilles-en-Parisis

ZAZOUN Katia • néele02.05.2009àPontoise

DA COSTA SAMPAIO • Léanéele03.05.2009àPontoise

EL JOHRI Mehdi • néle15.06.2009àPontoise

DE SAINT ETIENNE--•GALÈS Egan Elliothnéle16.06.2009àCormeillesenParisis

KONE Isaac Yaya • néle18.06.2009àPontoise

BON• Naëlle Jeanne Françoisenéele19.06.2009àPontoise

NG• OUBILI Tiffany Joyce Esthernéele22.06.2009àErmont

ODOROWSKI • Awen Anthony Fredericnéle22.06.2009àPontoise

CAKIN • Wesley Wilson Jean-Pierrenéle24.06.2009àPontoise

LANDU • Enzonéle24.06.2009àParis13e

DIENG • Aminanéele25.06.2009àPontoise

SEMEGA Mody • néle25.06.2009àPontoise

MUTTI Adri• en Charlesnéle25.06.2009àParis20e

LETURM• Y Inès Marie Angeliquenéele26.06.2009àPontoise

LETURM• Y Céleste Marie Bernadettenéele26.06.2009àPontoise

POUGET O• céanenéele26.06.2009àPontoise

BEN AMOR • Inèsnéele27.06.2009àErmont

MAHAVORY Yochka •Ayannnéle27.06.2009àErmont

BOUCHAKOUR • Wijdanenéele28.06.2009àPontoise

LE • CAPLAIN Noé Alain Patricknéle1.07.2009àPontoise

HAMOUDI Dalya • néele1.07.2009àPontoise

BRI• CHE Amélie Dominique Denisenéele1.07.09àPontoise

RIOU • Anaïs Christine Marie-Françoisenéele1.07.2009àPontoise

DELCI Mehdi • néle2.07.2009àErmont

NIAKATE Afatomata •Fatoumata néele6.07.2009àPontoise

DEMAIE Lisa Elodie • néele9.07.2009àCormeillesenParisis

SENOUSSI • Emnanéele9.07.2009àPontoise

BOUMEZBEUR Yac• inenéle11.07.2009àColombes

DELACROIX - - COLIN •Charline Lucienéele12.07.2009àCormeillesenParisis

ALLI• ETTA Charline Karine Virginienéele16.07.2009àPontoise

AUBERT Chl• oé Britanynéele17.07.2009àPontoise

LECOUR Ma• rvyn Michaelnéle17.07.2009àPontoise

TALOULOU DE BALENDET •IvanaAngelicanéele20.07.2009àPontoise

MARIAgES

Le1.08.2009YADA Abdelaziz • et YADA

SaïdaLEKS Christian Robert •

Louis et PINAT Lysiane Florence MichelleLe29.08.2009

MARICEL Dominique •Symphorien et MIHALIK Edina

POTEL Cédric Stéphane •et DOMONT Jessica

AMBLARD Baptiste •Bastien et LO Jezabel

DEROCK Bernard • et SAVARY Denise Lourdes MarieLe5.09.2009

VONG QUAN DUONG •etTANG Thi Kha

DÉCÉS

KANCZUGA Aline •décédéele17/08/2009àl’âgede55ans

VALADON veuve •MONCHANIN Rolande Yvonne Henriette Marcelledécédéele16/08/2009àl’âgede79ans

ZAFAR Iqbal • décédéle30/07/2009àl’âgede50ans

KARSENTI veuve SAHEL •Fernande Fortunéedécédéele5.08.2009àl’âgede87ans

BEFAYT • Stéphane Marie Dominiquedécédéle16.08.2009àl’âgede50ans

PERRO• N épouse MARCEILLE Francinedécédéele13.08.2009àl’âgede55ans

YAN• INDJI Pascal décédéle15.08.2009àl’âgede44ans

LESNIAK Joseph • décédéle25.08.2009àl’âgede85ans

JOUANNY Sylvie •Jeannine Henriette Marcelle décédéele27.08.2009àl’âgede52ans

Je vous l’annonçais dans le programme sur lequel notre équipe a été élue aux dernières élections : notre municipalité ne se place pas dans une attitude de combat vis-à-vis du gouvernement, dont elle ne partage pas les choix. Nous appliquons les lois, nous utilisons les interventions de l’Etat qui nous paraissent utiles (ainsi le programme de « renouvellement urbain » pour Chennevières et le Parc Le Nôtre, ou encore le programme de « réussite éducative » pour les enfants en grave difficulté scolaire). Nous ne passons pas notre temps à brandir des banderoles ou à lancer des pétitions. Mais, dans les domaines où se trouvent directement en jeu l’intérêt de la commune et les conditions de vie des Saint-Ouennais, nous estimons indispensable de vous informer des mesures néfastes et de vous exprimer la position de la municipalité. C’est le cas, à cette rentrée, sur deux sujets importants.

SécuritéLe premier concerne les effectifs de la Police Nationale. Le gouverne-ment a l’objectif de supprimer 4000 emplois de policiers en 2010 et autant en 2011. Il était à prévoir que la réduction systématique des postes de fonctionnaires, voulue par M. Sarkozy, s’appliquerait à ce service public essentiel : nous y sommes. La baisse d’effectifs représente presque autant que les départs à la retraite (environ 5000 par an). Résultat, au lieu de 10000 recrutements pour les deux années à venir, il n’y en aura que quelques centaines. C’est un défi au bon sens quand on voit les besoins de présence et d’activité policière dans toutes nos villes. C’est une grave injustice pour tous les jeunes qui se sont préparés à passer les concours de recrutement et qui resteront sur le carreau. Et c’est un risque particulier pour la sécurité des communes comme la nôtre, dont les commissariats sont composés essentiellement de jeunes policiers sortant d’école. Si cette mesure choquante n’est pas annulée, il faut s’attendre à un grave affaiblissement des moyens humains de notre sécurité quotidienne. Il est de mon devoir de vous alerter.

ÉducationL’autre mesure de recul du service public concerne la formation des enseignants des écoles primaires. La majorité d’entre eux sont recrutés par concours après l’Université et suivent une formation professionnelle dans les « instituts universitaires de formation des maîtres » (IUFM) pour acquérir les méthodes d’enseignement. Le gouvernement a décidé de supprimer cette formation au métier et prévoit une formation uni-versitaire supplémentaire. La durée totale de formation restera la même mais la partie pratique, avec des temps de stage devant les classes, sera remplacée par de la formation théorique. Il est évident que ce n’est pas la réponse aux besoins de l’Éducation nationale, qui doit compter sur de jeunes enseignants pleinement préparés à leur métier. La raison première de cette mesure illogique est tout simplement que les jeunes recrutés en IUFM sont dès ce moment fonctionnaires et reçoivent un traitement pendant leur formation professionnelle et leurs stages. S’ils passent la même durée sur les bancs de l’Université, les postes de fonctionnaires correspondants sont supprimés. Cela en fait 16000. On va à l’encontre des intérêts des élèves, mais on « gagne » des emplois de fonctionnaires. Politique à courte vue, qui provoquera des perturbations de longue durée dans la vie de nos écoles si elle entre en application.

Nous ne pouvons, avec bien d’autres élus communaux, que discuter avec le gouvernement pour l’amener à changer ces projets préjudiciables à nos intérêts collectifs ; nous aurons plus de force pour redresser la barre si vous faites part, par votre expression de citoyennes et de citoyens, de votre désapprobation. Et de votre exigence d’un service public de qualité, tant pour la sécurité publique que pour l’Éducation nationale.

Alain Richard

Je dois par ailleurs vous informer que Mme Pélissier, tête de liste de l’opposition aux élections municipales de mars 2008, a perdu son mandat de conseillère municipale à la suite d’une décision de la commission de contrôle des comptes de campagne, confirmée fin juin dernier par le Conseil d’Etat, qui a relevé qu’une faible partie de ses dépenses de campagne avait été payée sur ses comptes personnels et non sur le compte officiel de financement de campagne que doit tenir tout candidat. Ces décisions s’imposent à nous ; elles se fondent sur une interprétation très formaliste des textes. Elles ne mettent en doute ni la bonne foi de Mme Pélissier dans l’organisation de sa campagne ni son honorabilité. Je lui ai témoigné ma sympathie devant cette déconvenue et nous ferons en sorte, par le biais de la participation de membres as-sociés aux commissions municipales que nous avons instaurée, qu’elle puisse garder un droit à la parole dans les affaires de la commune.

C’est Monsieur Eric COLIN, candidat suivant de la même liste, qui lui succède au Conseil Municipal. Je lui ai souhaité la bienvenue parmi nous.

ÉDitOriaL•Du Maire

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Le 19 septembre dernier, une cinquantaine de Saint-Ouennais nouvellement arrivés sur la commune ont participé à une rencontre conviviale en mairie.

Une visite en car de la ville pour visiter les quartiers, découvrir les paysages, les services proposés… Voilà comment le programme initié par la municipalité a débuté pour les familles récemment installées. Frédé-ric Maupin, conseiller municipal délégué à la Com-munication et la Démocratie locale, accompagné de Jean Schram, 2e maire-adjoint délégué aux Finances et au Patrimoine, ont servi de guides, ponctuant la visite d’anecdotes et d’informations pratiques.Au retour, un dialogue en mairie « à bâtons rom-pus » s’est engagé entre élus de la municipalité et habitants, originaires d’un peu tous les quartiers : transports, ordures ménagères, bruit, équipements publics… Autant de thèmes de curiosité bien légiti-mes voire de critiques constructives qui ont permis aux participants de comprendre en partie leur nou-vel environnement et pour la municipalité de pren-dre en compte interrogations et besoins formulés, dans une ambiance conviviale où le dialogue reste la clé de voûte de la rencontre.La mairie propose ce type de partage régulièrement pour permettre aux nouveaux Saint-Ouennais un

échange direct avec l’administration locale. Si vous arrivez en ville, faites-vous connaitre auprès du ser-vice communication pour être invité lors d’une pro-chaine rencontre.

•À l’honneur

Ce 65e rendez-vous avec l’Histoire marquait, le 6 septembre dernier, l’anniversaire de la Libération de la commune, après la Seconde Guerre mondiale.

Souvenir d’un 30 août 1944

déCouvrir Sa ville

Au départ,une visite de la ville en car…

Frédéric Maupin accueile les partcipants.

Jean Schram ponctue le circuit de commentaires pratiques.

Retour en mairie et dialogue direct avec les élus, dont Andrée Salgues, Premier adjoint.

Jeu de question-réponse sur la vie au quotidien à Saint-Ouen l’Aumône.

C’est une poignée de « fidèles » qui s’est recueillie au monument aux morts pour célébrer l’événe-ment qui a marqué de nombreux

esprits et qui a changé la vie des Saint-Ouennais. Représentants des forces armées, de la munici-palité, des anciens combattants

étaient présents en nombre pour que l’histoire de la ville serve aux générations futures.

Andrée Salgues, représentait le Conseil général

Roland Mazaudier, maire-adjoint délégué à l’Administration générale a déposé une gerbe de fleurs au nom de la municipalité

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L’idée centrale du revenu de Solidarité active est double. D’abord, il s’agit de garantir que toute personne alloca-taire des minimas sociaux qui reprend un emploi, même à temps partiel, aura à la fin du mois plus d’argent que si elle n’avait pas travaillé. « Cela pa-raît absurde, mais les systèmes anciens faisaient que, bien sou-vent, travailler quelques heures pouvait faire que la personne avait moins d’argent en fin de mois que si elle n’avait pas travaillé ! » explique Laure Kermen-Lecuir, conseillère municipale déléguée à l’Action sociale et la Solidarité. « Dé-sormais, tout change. Prenons l’exemple d’un demandeur d’emploi, vivant seul, sans indemnisation chômage, béné-ficiaire du minima social qu’est le revenu de Solidarité active

soit environ 450 € par mois. Il lui est proposé quelques heures de travail payées 150 €. A la fin du mois, il est certain d’avoir gagné 93 € de plus, sans perdre son allocation. Et ce jusqu’à ce qu’il trouve un emploi stable et durable.» En fait, il s’agit bien de pouvoir cumuler revenus du travail et allocation, un cumul fixé à 62 % du salaire et dégres-sif jusqu’à 1,04 fois le SMIC pour une personne seule.Le deuxième objectif est de soutenir les familles à reve-nus modestes, dont l’un ou les deux parents travaillent mais qui à la fin du mois ne peuvent boucler leur budget. Vivre à quatre sur un SMIC, c’est vivre sous le seuil de pauvreté. C’est pourquoi le rSa est aussi un complément de revenus pour les foyers qui en ont le plus besoin.

Ce sont ainsi près de 3,7 millions de personnes qui sont concer-nées par cette aide nouvelle, mais la plupart du temps, elles ne pensent pas y avoir droit ! Aujourd’hui, 20 % d’entre elles ont déposé une demande de rSa. Pour savoir si l’on est éligible à ce complément de revenus, il suffit de contacter le CCAS, le service social départemental ou la Caisse d’allocations familia-les (voir nos adresses pratiques en fin d’article). Le calcul prend en compte la situation familiale et le revenu des membres du foyer. Le rSa est versé par la Caf, l’employeur n’est en aucun cas informé ou même concerné. Seule condition nécessaire pour prétendre au rSa : avoir plus de 24 ans, ou moins de 25 ans avec un enfant à charge.Aujourd’hui, 7 millions de personnes - 12% de la popula-

tion - sont considérées comme vivant en dessous du seuil de pauvreté (880 €/mois pour une personne seule). Selon Martin Hirsch, le Haut Commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté, ancien président d’Emmaüs France, ce revenu complémentaire doit permettre à terme à 700 000 personnes de passer au-dessus de ce seuil symbolique d’ici la fin 2010 : « Concrètement, ce sont en moyenne 100 à 200 € supplé-mentaires chaque mois pour les familles concernées. Et ça n’a rien de symbolique ». •

aCtualitéS•CoMMunaleS

le rSa : une aide pour leS travailleurS À revenuS ModeSteS Depuis le 1er juin 2009, le revenu de Solidarité active (rSa) a remplacé le Revenu Minimum d’Insertion (RMI) et l’Allocation de Parent Isolé. Mais il a également ouvert de nouveaux droits pour les foyers à revenus modestes. Des travailleurs qui ne savent pas toujours qu’ils ont droit à ce soutien financier.

Seuil de pauvreté ?le seuil de pauvreté est un

niveau de revenus au-dessous duquel un ménage est

considéré comme pauvre. en France, il est fixé selon l’inSee et dépend de la composition

familiale.1 adulte seul : 880 e/mois 2 adultes sans enfants :

1226 e/mois 1 adulte avec 2 enfants :

1307 e/mois 2 adultes avec 2 enfants :

1716 e/mois

un aCCoMpagneMent individuel depuis octobre 2006, une convention lie la commune

et le département en faveur d’un accompagnement des bénéficiaires du rMi/rSa par l’intermédiaire du Centre pour

l’insertion, la Mobilisation et l’evaluation Sociale (CiMeS). le CiMeS assure un suivi personnalisé afin de favoriser

une insertion sociale et professionnelle réussie grâce à un suivi individuel soutenu et des ateliers collectifs. le CiMeS s’adresse à toutes les personnes au rSa du territoire vexin ville nouvelle. l’implication de la municipalité, via le Centre Communal d’action Sociale et le CiMeS, est déterminante

pour la réussite du dispositif de réinsertion et pour établir un lien de proximité avec les bénéficiaires en voie

d’insertion.

pour en savoir plus sur le rSa : www.rsa.gouv.fr

un engageMent réCiproque

le rSa est un droit à un minimum de ressources et il donne également le droit à des prestations sociales complémentaires

telles que la Couverture Maladie universelle (CMu) et la gratuité des transports en

communs (uniquement en région ile-de-France, passe navigo). en contrepartie, le bénéficiaire s’engage dans un projet

d’insertion ayant pour but d’améliorer sa situation en vue de sortir du dispositif du rSa.

Ce projet fait d’ailleurs l’objet d’un contrat d’engagement réciproque.

le rSa peut être deMandé en 4 lieux

diFFérentS :auprès du CCaS de la mairie1er étage de l’hôtel de villepermanences mardi et jeudi de 14h à 17h (sans rendez-

vous pour les personnes sans enfants) : 01 34 21 25 67

auprès du Service Social départemental (SSd)82 avenue de verdun

à Saint-ouen l’aumône (pour les couples avec enfants)

tél : 01 30 37 77 88 (9h-12h30 / 13h30-17h sauf les lundis

et samedis matin)

auprès de la Caisse des allocations Familiales

2 place de la pergola à Cergy (pour les parents isolés)

tél : 0 820 25 95 10

en vous connectant sur www.caf.fr

C o m b i e n d e Saint-ouennais sont concernés par le rSa ? 522 Saint-ouen-nais bénéficient

déjà du rSa. le nombre total de bénéficiaires potentiels est bien supérieur.

Comment expliquez-vous le décalage entre le nombre estimé de personnes entrant dans le dispositif et le nombre d’inscrits réellement ?d’abord beaucoup de gens qui tra-vaillent et n’ont jamais eu droit à rien pensent « je travaille, je n’ai jamais eu

droit à rien, ce n’est pas pour moi. » ils se trompent, le rSa peut aussi les concerner, pour compléter les revenus du travail et améliorer leur quotidien.ensuite, c’est vrai, il faut remplir un dossier administratif, cela peut rebu-ter certains. Mais la commune et ses partenaires mettent tout en œuvre pour faciliter ces démarches, qu’il suffit de faire une fois.enfin de nombreux dossiers de demandes ont été déposés et sont en cours de traitement par les CaF. la montée en charge du dispositif semble se faire de façon régulière, ce qui va permettre au CCaS de bien instruire les dossiers des bénéficiai-

res et au CiMeS de mettre en place des parcours d’accompagnement et d’insertion de qualité.

en quoi le rSa est-il novateur en matière d’aide sociale ?C’est une refonte complète du sys-tème, qui conserve les droits anciens et en crée de nouveaux pour aider les travailleurs pauvres. Mais c’est aussi l’activation du mot « insertion » de l’ex-rMi, qui n’avait pas suffisam-ment été mis en œuvre. le béné-ficiaire du rSa sans activité va être accompagné et soutenu de façon accrue pour retrouver une activité, reprendre une formation...

RenCOntRe AveC LAuRe KeRMen-LeCuiR, COnSeiLLèRe MuniCiPALe déLéguée à L’ACtiOn SOCiALe et LA SOLidARité

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L’événement national est placé sous le signe des technologies nouvelles. « Nous avons déjà large-ment évoqué ce thème avec nos retraités qui sont d’ores et déjà très ‘ branchés ’ » explique la responsable du secteur « Animations retraités » de la mairie. Ainsi le programme saint-ouennais sera-t-il plutôt tourné vers la valeur festive des rencontres, cette fois, avec une idée d’ouverture très large des frontières

de la connaissance. Eclec-tisme et exotisme sont donc des références en ce mois d’octobre pour aller à la découverte des cultures du monde. Le programme (voir plus bas) vous en-gage à voyager sous des horizons très divers et à partager des moments où le plaisir des rencontres et la fête seront les guides. Le lancement officiel de l’événement se fera comme toujours autour d’un apé-ritif au foyer des retraités,

le 19 octobre, en présence de représentants de la mu-nicipalité. L’imprévu et le foyer du Centre sont les deux lieux qui concentrent les activités. Tout au long de la semaine, le foyer accueillera ceux qui vou-dront y déjeuner (inscrip-tion préalable obligatoire). Toutes les personnes ins-crites en mairie recevront à domicile un programme détaillé de l’événement. C’est le moment de rappe-ler aux jeunes et nouveaux

retraités qu’ils peuvent faire cette démarche d’ins-cription pour recevoir une fois pour toute, l’ensemble des informations diffusées par la mairie, de même que les invitations à des ma-nifestations festives telles que le banquet et le goûter annuels ou autre galette des rois en début d’année, ainsi que tous les programmes d’activités et les agendas des animations chaque tri-mestre. •

• ACTUALITÉSCOMMUNALES

DU 19 AU 23 OCTOBRE :« CONNECTEZ-VOUS »SUR LES COULEURS DU MONDE  La « semaine bleue » 2009 se veut avant tout conviviale.

Apéritif de lancementà 12 h au foyer du Centre.

TOUT UN pROgRAMMESEMAINE BLEUE 2009 « LES COULEURS DU MONDE »

DU 19 AU 23 OCTOBRELUNDI 19 

12h : apéritif au foyer des retraités

14h30 : concert à L’imprévuMusiques et danses des Andes avec le groupe 

« pUKAWARA l’étoile de l’aube ».

Après un travail de recherche, le groupe pUKAWARA 

a pu reconstituer un vaste répertoire représentatif de la plupart des musiques traditionnelles de Bolivie, dont il est originaire.Flûtes de pan, quena, charango, percussions, 

chanteurs et danseurs vous emporteront pour un voyage tout en couleurs et rythmes (costumes et instruments 

traditionnels), autour des Andes.

MARDI 2014h30 : jeu des culturesAu foyer du Centre

géographie, histoire, culture générale… nos connaissances sur les cultures du monde sont souvent plus étendues 

qu’on ne le pense. Venez nombreux participer à ce jeu collectif alliant observation, savoir, 

découvertes et bonne humeur. pour renforcer le challenge, les participants 

seront regroupés en équipes.

MERCREDI 21 14h30 : salon découverte des cultures du monde

À L’imprévu (ouvert à tous)Un décor exotique vous attend. Des stands, des animations abritées sous 

des tentes selon certaines traditions, et découvrez, artisanat, musique, 

gastronomie, traditions culturelles au fil des origines 

représentées…participez à la cérémonie du thé japonaise ou 

orientale, découvrez les cultures scandinaves, les traditions africaines, initiez-vous à diverses techniques  artisanales (broderie, teinture…), à la cuisine d’ailleurs ; admirez sari, 

kimono, boubou, djellaba, sarouel…

Cette journée sera également ouverte à tous (accès libre sans restriction d’âge ou de 

provenance). 

JEUDI 22 14h30 : contes amérindiens

A L’imprévuAvec la compagnie 

« Morisse et compagnie ».« La voie rouge »Autour de 3 contes 

traditionnels, l’histoire d’un adolescent qui évoque 

les problèmes des indiens d’aujourd’hui : identité, conditions de vie sur les 

réserves…Un spectacle illustré par un théâtre d’ombres (marionnettes) et de la 

musique.  

VENDREDI 23   14h30 : tout le monde 

danse !À L’imprévu

1ère partie : meddley de danses du monde avec les associations « Count’arty »  

et « Kaleïdanses »Démonstration de danses en ligne des 4 coins du monde : Irlande, grèce, Tyrol, Etats-Unis …

2ème partie : DJ « beat Visuel »

Tous en piste pour un tour de danse.

À noterLe Va et Vient sera

à plein-temps sur la semaine bleue pour favoriserles déplacements des 

personnes à mobilité réduite et leur permettre

de participer au maximumaux activités festives 

proposées (sur inscription, contact en mairie 01 34 21 25 74).

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qu’il aurait pu en outre y avoir des victimes parmi le public.En accord avec le Préfet et les responsables de la Police nationale, avec le concours de la Commu-nauté d’Agglomération de Cergy-Pontoise et du Groupement d’Intérêt Éco-nomique des parcs d’acti-vités, le Maire a décidé de prendre un arrêté de restriction de circulation et d’interdiction de ras-semblements de véhicules à moteur dans les parcs d’activités des Béthunes et du Vert-Galant. L a M u n i c i p a l i t é e s t consciente de la gêne que cette mesure peut représen-ter pour les riverains, pour les activités des industriels et des commerçants des zo-nes mais elle ne doute pas que chacun comprendra sa volonté de mettre un terme à ces rassemblements pour la tranquillité et la sécurité de tous. •

SOA octobre 2009

BIENTôT UNE NOUVELLE RÉSIDENCE SOCIALE INSTALLÉE La résidence « Lucie Aubrac » comptera 75 logements.

« RUNS » DANS LES pARCS D’ACTIVITÉSLE pOINT DE VUE DE LA MUNICIpALITÉ Il faut mettre un terme à ces rassemblements.

ACTUALITÉS •COMMUNALES

La restructuration de l’an-cien foyer SONACOTRA du Vert-Galant est à pré-sent presqu’entièrement réalisée. Sur le site de l’ancien foyer aujourd’hui démoli, deux résidences sociales (chacune de 3 bâtiments) ont été recons-truites. En février 2008 s’est achevée la réalisa-tion de la première ré-sidence, baptisée Marie Curie. Elle a permis de reloger prioritairement des personnes isolées is-sues de l’ancien foyer et également d’accueillir un nouveau public. Cette résidence occupée en to-talité compte 130 petits logements répartis sur 3

bâtiments. Elle est gérée par la société ADOMA, propriétaire bailleur.

Occupation en fin d’année A proximité de ces bâti-ments a été réalisée une seconde résidence (3 bâ-timents également) dont les travaux s’achèvent à présent. Cette résidence baptisée Lucie Aubrac, devrait être occupée d’ici la fin 2009. Elle abritera de petits logements de 16 à 33 m2 (75 au to-tal). Ces logements sont destinés à l’accueil de ménages en parcours d’in-sertion ou à la recherche de logements temporai-

res pour une occupation maximum de 2 ans. Elle est gérée par le même bailleur. Les logements sont équipés et aménagés. Les attributions de loge-

ments s’effectuent sur des contingents répartis entre la Commune, la Région, le Département, la Préfecture et le bailleur. •

Comme vous en avez pro-bablement entendu parler, des rassemblements de voi-tures et de motos ont lieu en fin de semaine, certains se livrant à des compétitions illicites de vitesse, sur des voies des parcs d’activités. Ces rassemblements, qui créent des nuisances sono-res, représentent un risque majeur pour les personnes qui y participent ainsi que pour le public qui vient y assister, inconscient des dangers.La municipalité de Saint-Ouen l’Aumône, avec le concours de la Commu-nauté d’Agglomération, a réalisé de nombreux aménagements de voiries afin de dissuader les pra-tiquants de ces « runs » et « rodéos » : ronds-points, bandes sonores, réduction de la largeur des voies. Ces aménagements ont leurs limites puisque ces voies publiques doivent offrir un accès fonctionnel aux

personnels des entreprises des parcs d’activités et aux transporteurs. A la demande de la muni-cipalité, la Police nationale effectue régulièrement des contrôles. Elle a intensi-fié ses interventions ces derniers mois notamment en bloquant à plusieurs reprises tout le secteur ; devant les réactions in-considérées de certains participants aux « runs » et

« rodéos », ces opérations doivent mobiliser une part très importante des effec-tifs départementaux de la Police nationale.Dans la nuit du vendredi 14 au samedi 15 août, lors de l’un de ces rassemble-ments illégaux, un acci-dent entre deux motos a provoqué le décès de deux motards impliqués. Nous ne pouvons que le regretter profondément et observer

Des aménagements de voirie,à l'exemple de ces bandes sonores,ont été réalisés sur certaines voies des parcs d'activités.

Résidence Lucie Aubrac

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• arrêt sur images

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AU fil des joUrs1 à 8 forUM des AssoCiATioNs : soUs le siGNe de lA diVersiTé

Forte participation au 15ème Forum des associations début septembre. Des rencon-tres majoritairement tournées vers les choix d’activités de la nouvelle saison pour lesquelles tous les participants rivalisaient d’explications pour attirer l’attention des visiteurs. L’OLa faisait le plein dès le samedi (630 personnes inscrites aux activités dès ce jour ! les cours de Danse, de gym tonic, de Yoga et de Qi gong étant les plus demandés). De nouveaux venus présentaient leurs atouts avec pour certains des démonstrations à la clef (rollers, golf, christo-rugby, chorale « musai-ques », squash). Du côté scène on a remarqué aussi la participation de l’association Césaria avec ses jeunes danseurs. Les jardiniers étaient présents comme à l’accoutumée avec leurs récoltes, preuve s’il en faut qu’il est possible de cultiver sous nos climats de fort beaux légumes y compris originaires parfois d’autres contrées.

À noter une délégation sportive impressionnante qui représentait la plupart des disciplines enseignées sur la commune. Les stands des sportifs ont été pris d’assaut dès l’ouverture du forum (les équipes des verts font le plein !).

au moment de l’inauguration officielle de l’événement, Catherine gilbert (présidente de l’Office Local d’animation), andrée salgues (premier maire-adjoint déléguée à la Vie associative) et alain richard (maire) ont tous trois salué la soixantaine d’associations présentes. Ce n’est pas sans humour que le maire a évoqué « les membres actifs des associations, espèce protégée à saint-Ouen l’aumône qui donne un atout et une richesse incontestable à la ville. »

9 à 12 joUrNée dU PATriMoiNe : CUriosiTé de Mise 2009 confirme la tendance, les journées du patrimoine intéressent les foules ! À

maubuisson les visiteurs se sont pressés (400 visiteurs sur les deux jours) pour suivre les visites guidées de l’abbaye, tester la marche sonore (lire p. 13), suivre le concert (140 spectateurs) proposé et pour d’autres, visiter l’église. Les cyclotouristes n’étaient pas en reste pour proposer de leur côté une découverte à la fois culturelle et sportive.

13 à 14 BroCANTe : UN Bel ANNiVersAire Pour les stands… il y avait déjà bien longtemps que tout était réservé. 380

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AU fil des joUrsexposants ont contribué à la réussite de l’événement qui fait toujours autant recette. Pour la 20ème édition, des animations ont agrémenté la fête avec la présence de rémy Bricka et les traditionnelles structures gonflables qui attirent toujours les plus jeunes. Nul doute que vous aurez déniché quelque trésor au hasard de votre promenade sur le site !

15 CHrisTo rUGBY PreMiers eNTrAîNeMeNTs Dès le 12 septembre les jeunes sportifs du nouveau club handi-sport de rugby étaient à

l’entrainement. La nouvelle saison est lancée (l’effectif est à la hausse cette année) !

16 Tir dU roY CHeZ les ArCHers L’association des archers de maubuisson a désigné andré godefroy comme vainqueur

le 6 septembre dernier après que celui-ci a abattu l’oiseau dès sa 2ème flèche ! soulagement pour le club qui n’avait pu trouver de monarque en juin dernier malgré de nombreux parti-cipants à l’événement !

17 CHeNNeViÈres : derNiÈre déMoliTioN Courant septembre, les bâtiments 19 et 20 ont été démolis extrêmement rapidement,

grâce à une technique de pelle mécanique dotée d’un bras de plus de 55 m (les tours ont été détruites par le sol, contrairement à la technique du grignotage par étage).

D’ici quelques mois, ce nouvel espace connaitra l’achèvement du parc urbain avec la création de petits jardins thématiques, ainsi qu’un prolongement de voirie entre la rue du Chemin Vert et la rue de Flandres. un programme immobilier en accession sociale à la propriété devrait également voir le jour à terme.

Cette démolition marque l’achèvement de 10 ans de travaux qui ont transformé le visage du quartier et lui ont redonné des espaces à vivre ensemble.

18 ToUTes ColleCTioNs Pour la seconde année consécutive le Club philatéliste a rassemblé des collectionneurs

de tous horizons pour notre plus grand plaisir : timbres, mais aussi numismatique, et bien d’autres choses extraordinaires à découvrir…

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2 669 élèves fréquentent les écoles maternelles et élémentaires de la commune.

classe à l’école élémentaire Rousseau (les effectifs le justifiaient). Au global les nombres d’élèves sont plutôt sta-bles (cf. tableau).

VISITES SUR SITELe Maire et l’adjointe aux Affaires scolaires (accompagnés de la direc-trice générale des Services et de la directrice des Affaires scolaires) devaient effectuer des visites sur site afin de s’assurer des bonnes condi-tions de rentrée. La mise en œuvre de moyens adaptés par la commune, du fait des nouveaux aménagements de temps scolaire faisait partie des observations privilégiées. Dès le lundi suivant la rentrée, les directeurs d’écoles étaient conviés, en présence de l’inspecteur départemental de l’Éducation nationale, à une réunion en Mairie, pour un premier bilan de rentrée. Ils faisaient part de leurs observations (ajustements sur des problèmes matériels : téléphone, fournitures…). Les effectifs, les nouvelles modalités d’inscription et les conditions d’accueil s’agissant de la restauration, la circulation de l’information vers les parents, étaient au cœur des échanges. Des informa-tions relatives à des sujets de proche actualité étaient aussi abordées : l’or-ganisation des écoles dans le contexte évolutif des risques de pandémie

Particularité de cette rentrée 2009, elle se déroulait sur deux jours, compte tenu des aléas de l’organisa-tion du temps scolaire*, selon que les écoles travaillent ou non le mercredi (4 organisations différentes, pour l’année 2009-2010). À Effel et aux Bourseaux, on a repris le chemin de l’école dès le 2 septembre, tandis que pour les six autres groupes scolaires que compte la commune, la rentrée s’effectuait le jeudi 3. Le temps était à chaque fois de la partie, ce qui ne devait pas contrarier les traditionnels regroupements aux portes des écoles, images habituelles de petits groupes, cartable au dos ou sur roulettes (c’est très tendance) et pour les plus jeu-nes, présence attentive des parents, bien décidés à ne les quitter qu’au tout dernier moment, parfois s’attar-dant en classe. En maternelle il est fréquent de voir des papas ou des mamans rester un peu dans la classe, et quitter à regret l’enfant dans son nouvel environnement. Malgré l’at-tention des adultes, il arrive encore de-ci de-là que le chagrin l’emporte sur la curiosité de la nouveauté pour quelques uns… Les comptages de rentrée ont validé la fermeture d’une

(grippe A), les séjours en classe de découverte de la nouvelle saison, les moyens que la commune veut mettre en œuvre pour favoriser l’apprentis-sage de l’allemand dans les écoles.

RESTaURaTIon : pRogRESSIon dES EffEcTIfSDès le 3 septembre, le nombre d’enfants accueillis sur les sites de restauration étaient importants. On enregistrait une semaine plus tard une montée d’effectifs qui portait les chiffres à 967 élémentaires et 544 maternelles ce qui est le plus important effectif de restauration enregistré à ce jour. À noter que 61% des familles ont opté pour inscrire l’enfant à l’année sur 1, 2, 3, 4 ou 5 jours fixes. Les activités autour de la restauration ont repris dès la rentrée (sports collectifs, jeux de société, informatique, selon les sites). De nouvelles activités seront progressivement lancées à l’exemple de la broderie à Prévert et des échecs aux Bourseaux. À noter que pour la semaine du goût qui se déroule du 12 au 16 octobre un concours de dessin sera lancé sur le thème des graines, organisé par la société API. Des prix seront décernés, la partici-pation des enfants étant libre.

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•DOSSIER

RYTHMES ScoLaIRESQuatre organisations différentes

cette annéeÉcoles n’ayant pas classe le mercrediBourseaux : 8h30 à 11h30 et 13h30 à 16h, tous les jours sauf le mercredi. Mercredi de 8h30 à 11h30. aide aux apprentissages de 16h à 17h deux soirs par semaine.Effel : 9h à 12h et 14h à 16h30 sauf mercredi. Mercredi de 9h à 12h. aide aux apprentissages, de 8h20 à 8h50, le lundi, mardi, jeudi et vendredi.Écoles qui ont classe le mercredicinq écoles ont le même rythme sco-laire : Le nôtre, Liesse, La prairie, pré-vert, Rousseau. Les horaires : de 8h30 à 11h30 et de 13h30 à 16h30 (pas de classe le mercredi) et aide aux appren-tissages de 16h30 à 17h30 deux soirs par semaine.L’école Matisse a le même rythme sco-laire que les 5 autres mais organise l’aide aux apprentissages le mercredi de 8h30 à 10h30.

EFFECTIFSÉcoles maternelles Écoles élémentaires

École Nb declasses

MoyennePar classe

Effectif Total Maternelles

Nb de classes Elémentaires

Moyenne par classe

Effectif total Elémentaires

Effel 5 25,20 126 8 24,63 197Prairie 5 28,20 141 6 28,33 170Rousseau 4 21,25 85 5 (-1) 21,80 109Prévert 4 23 92 6 20,83 125Le Nôtre 8 23,25 186 12 24,25 291Matisse 6 28,17 169 9 25,11 226ToTaux 32 46

Écoles primairesNb de classesPrimaires

Moyenne par classePrimaire

Effectif TotalMaternelles

Effectif totalÉlémentaires

Effectif total Primaires hors Clis

Clis

Liesse 17 25,24 190 239 429 11Bourseaux 12 26,00 118 194 312ToTaux 29

Nb totald’élèves

Nb totalde classes

Moyennepar classe

Effectif totalMaternelles

Effectif total Élémentaires

2658 (+ 11 Clis) 107 (+ 1 Clis) 24,84 1 107 1 551

REnTRÉE ScoLaIRE 2009-2010LES EffEcTIfS RESTEnT STaBLES

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accUEIL pÉRI-ScoLaIRE, foRMULES adapTÉESDu côté des accueils du matin et du soir, les activités dès la rentrée ont aussi connu des fréquentations importantes dans certains secteurs. En hausse à Liesse, le soir et le mer-credi (107 enfants le soir et 100 le mercredi pour 75 et 80 l’an dernier) et 30% de plus d’enfants accueillis le matin à Effel (60 enfants en moyen-ne), du fait du nouveau rythme sco-laire. Beaucoup de petits de 2 ans et demi sont accueillis, notamment au Parc (Écoles Le Nôtre et Rousseau). En ce qui concerne les accueils des centres du mercredi une nouveauté cette année, la diffusion aux familles à la rentrée d’un carnet de réserva-tion. Ceci afin de faciliter la bonne organisation des centres (sécurité et encadrement des enfants).

ÉTUdES dIRIgÉES :ToUT EST En pLacELes études dirigées organisées dans les écoles par la mairie avec le concours d’une majorité d’ensei-gnants ont repris dès la rentrée. Toutes les écoles en accueillent (sauf les Bourseaux). Il s’agit de petits groupes d’un maximum de 15 élèves encadrés pour veiller à l’ap-prentissage des leçons données en classe, par les enseignants.

* À noter que pour les écoles des Bourseaux et Effel, la mairie a proposé un tarif spécifique pour l’accueil pré-et post scolaire, à la demi-heure. Ceci pour éviter de bouleverser l’emploi du temps des familles. Elles peuvent ainsi laisser leur enfant à l’école comme auparavant tout en tenant compte des impératifs du nou-veau rythme scolaire. Ceci concerne l’accueil après 16h (16h à 16h30) aux Bourseaux et avant 9h (8h20 à 8h50) à Effel. •

Vous avez fait le tour des écoles à la rentrée, vos impressions ?C’était une bonne rentrée, sans problème. Il fallait être vigilant du fait de quatre scénarii d’horaires différents dans les écoles. Parents et enfants étaient plutôt contents dans l’ensemble. Les travaux prévus ont été faits dans les temps. C’était résolument une bonne rentrée.

cette année on compte 4 rythmes scolaires différenciés. pourquoi cette organisation ?Ce n’est pas le choix de la commune. Ce n’est pas nous qui en avons décidé. Le gouvernement a choisi de faire passer de 26 à 24h le temps scolaire en élémentaire et maternelle et de garder 2h pour aider les enfants en difficulté ou permettre le travail de groupe. La contrainte était de placer ces heures, avant ou après la classe, ou le mercredi. Le souhait de la Municipalité aurait été que les enfants soient à l’école, tous, le mercredi matin. C’est le conseil des maîtres qui a choisi et l’inspecteur qui a validé le choix. La commune s’est pliée aux différentes demandes. À Effel et à Liesse, nous avons joué les médiateurs pour trouver un accord : le choix était un peu compliqué. Il n’y a pas de solution idéale, à l’arrivée

QUESTIonS à ISaBELLE dUcHETMaIRE-adjoInT aUx affaIRES ScoLaIRES

nous avons quatre scénarii. Nous ferons le bilan en fin d’année. Pour que ce ne soit pas trop compliqué pour les parents, la mairie s’est adaptée s’agissant des coûts et des horaires des modes d’accueil. Nous subissons la mesure, mais nous faisons en sorte que cela se passe bien, tant pour les enfants que pour les parents.

comment la commune a-t-elle adapté ses services à ces nouveaux rythmes ?Nous avons du adapter toute l’organisation du personnel : horaires de ménage notamment dans les écoles, et nous avons remanié les tarifs pour moins de rigidité et que les parents ne soient pas taxés au maximum alors que eux non plus n’ont rien demandé. Concrètement, nous avons créé un nouveau tarif pour la demi-heure du matin et la demi-heure du soir pour ceux qui en ont besoin (Effel et Les Bourseaux).

Les modalités d’inscription de la restauration scolaire ont évolué cette année, comment cela s’est il passé à la rentrée ?Cela a été un peu compliqué à mettre en place, c’est une nouvelle façon de travailler pour tous. On a beaucoup expliqué, et 15 jours après la rentrée, tout a été bien calé. Avec les parents on continue à expliquer et on poursuit les inscriptions pour ceux qui n’avaient pas bien compris le système. La nouvelle formule a été largement plébiscitée : 62 % des familles ont opté pour des inscriptions à jours fixes. C’est une bonne chose pour arrêter les dérapages qui coûtaient à la collectivité et aux familles.

d’autres nouveautés à évoquer ?Souhaitons la bienvenue aux nouveaux directeurs : Mme Binet à Effel, M. Dauphin à Rousseau et Mme Lucot à La Prairie. Les élections de parents aux conseils d’écoles auront lieu le 16 octobre prochain, nous les encourageons à participer et souhaitons que les nouveaux élus soient de bons relais vers tous les parents.

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SOA OCTOBRE 2009

• ÉconomieLA mAiSon DÉPARTemenTALe De L’ÉDUcATion eT De LA FoRmATion : Un concePT noVATeUR Ouverte le 1er septembre 2009, sur le site de l’ancienne école Pasteur, la Maison Départementale de l’Éducation et de la formation (MDE) regroupe diverses missions de l’Éducation nationale pour l’ensemble des acteurs du Val d’Oise.

Sur 1600 m2, la MDE affiche son look moderne et lumineux. La réhabili-tation de l’ancienne école Pasteur est une réussite ar-chitecturale qui accueille à la fois cette nouvelle structure et une toute nou-velle crèche. Les services installés désormais dans le bâtiment étaient aupa-ravant éclatés sur tout le département. La Maison de l’Éducation accueille à présent le centre départe-mental de documentation pédagogique (librairie, médiathèque, ressources images), des conseillers pédagogiques et les servi-ces de formation continue de l’Éducation nationale. Avec ses 5 salles de for-

mation, elle fournit une capacité annuelle de 750 journées de formation, ainsi que l’accueil de séan-ces d’animation et d’autres manifestations.

Une expérience nouvelleLa Maison Départemen-tale de l’Éducation est un concept très innovant, c’est la première fois en France que toutes ces missions complémentai-res sont réunies dans un seul et même site. Le but affiché est de mettre à disposition de tous les acteurs de l’éducation (enseignants, inspecteurs, chefs d’établissement, éducateurs spécialisés, parents, etc.) un certain nombre de services des-tinés à les accompagner de façon personnalisée dans leurs missions. Il s’agit également de créer des synergies et du dialo-gue entre tous les acteurs et de créer encore plus de dynamique dans la formation continue des enseignants.

Technologie et modernité« Entrer à la Maison de l’Education, c’est être de plain-pied dans l’école du 21ème siècle » selon Fran-çois Détrée, directeur de la structure. « Ici, les 350m2 de la médiathèque et de la librairie permettent de mieux mettre en valeur les ressources dont nous dis-posons. Les usagers peu-vent s’installer et travailler dans un cadre agréable et lumineux. L’originalité est aussi dans notre es-pace de démonstration et d’animation qui présente des outils numériques (ta-bleau numérique interactif, classe mobile, dispositif de visioconférence…). Il y a un avant goût de l’école de demain ici. » •

QUeLQUeS cHiFFReS…

La maison départementale de l’Éducation est un bâtiment communal qui garde sa vocation première passant d’un groupe scolaire à un

pôle de ressource pour les enseignants.coût de l’opération : 2 millions d’euros HTSubvention du conseil général : 942 000 €

Subvention de l’Agence nationale de Rénovation Urbaine : 620 000 €Reste à la charge de la commune : 438 000 €

ce bâtiment communal fait l’objet d’une convention d’occupation pour une durée de 10 ans par les services de l’Éducation nationale.

en SAVoiR PLUSLe cDDP DU VAL D’oiSe le centre départemental

de documentation pédagogique apporte

ressources documentaires sur tous supports, conseils et animations. Particularité : la médiathèque propose le prêt de séries de livres de littérature pour la jeunesse en trente exemplaires pour

toute une classe, des mallettes thématiques de documents…

ici tout est consultable à distance avec quelques clics

sur internet.

LA FoRmATionLes services de la formation

continue de l’inspection académique du Val d’oise ainsi

que l’antenne de formation de cergy ont été transférés dans ce nouveau bâtiment

doté de salles de formations entièrement numérisées.

DeS conSeiLLeRS PÉDAgogiQUeS

ils ont pour mission d’accompagner les

équipes pédagogiques de circonscription et les écoles dans le cadre des

préconisations ministérielles. ils initient ou accompagnent

de nombreux projets pédagogiques, animent des ateliers de pratiques hors

temps scolaire et sont porteurs de projets fédérateurs dans le domaine de l’action culturelle.

Le DeUxième concoURS De cARiSTeS D’ÎLe-De-FRAnce

L’entreprise Procarist, spécialisée dans la for-mation des conducteurs de chariots organise pour la seconde année consé-cutive un grand concours de conduite d’engins le 16 octobre prochain dans ses locaux (37 avenue des Béthunes). Épreuves de 8h30 à 12 heures, une quarantaine de candidats des entre-prises du val d’Oise sont attendus.

En savoir plusau 01 30 37 02 52

meRcReDi 14 ocTobRe Le gie DeS PARcS D’AcTiViTÉS oRgAniSe Le « FocUS emPLoi »

Du 15 septembre au 15 octobre, les entreprises Saint-Ouennaises des parcs d’activités (plus de 850 entre-prises et 14 000 salariés) organisent des temps forts au service de l’emploi local dont le 14 octobre : journée de promotion de l’emploi, apprentissage et alternance, recrutement et embauche.

De 10 heures à 16 heures au restaurant interentreprises de la Bouverie II (avenue des Béthunes)Renseignements au 01 34 22 33 33 et sur www.giedesparcdactivites.com

François Détrée, directeur de la MDE.

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1313

L’abbaye de Maubuisson est largement connue et recon-nue dans le petit monde de l’art contemporain. Associée au musée de l’Éducation du Val d’Oise, les deux sites départementaux ont conçu avec l’artiste Pierre Redon une Marche Sonore lancée lors des Journées du patri-moine. Ce parcours dans la ville est un projet hybride, entre création graphique, sonore et documentaire qui révèle le territoire de Saint-Ouen l’Aumône à travers ses habitants, le son dans les paysages et l’écologie. La création vise d’abord à nous questionner sur notre relation au lieu, au territoire et à l’environnement. C’est en explorant les friches in-dustrielles, les chemins de fer

abandonnés, les méandres de l’abbaye de Maubuisson… parfois recolonisés par la nature qu’on découvre une ville où l’homme marque son environnement et où l’environnement le marque. La Marche est une expé-rience à part entière, véritable expérimentation esthétique et environnementale. En fila-grane résonne la question « quel est le lien qu’entretient le citadin avec son environ-nement ? »

comment ça marche ?Les promeneurs sont invités à emprunter les baladeurs MP3 auprès de l’abbaye de Maubuisson et achètent une carte (une par groupe ou par famille) qui comporte l’itinéraire du parcours avec des repères visuels. Ce plan est à la fois une création graphique et un support in-dispensable à la randonnée de 3 heures (temps moyen estimé de la marche avec 1h20 d’écoute). La Marche se présente comme un par-cours à suivre, une enquête

où le marcheur fait des pau-ses qui sont des moments d’écoute des créations so-nores et des entretiens avec des Saint-Ouennais. Les promeneurs restituent en-suite le baladeur MP3 et gardent la carte, ainsi qu’un CD contenant tous les en-registrements. De pas en pas, c’est une ville qui vit, qui respire et qui s’écoute. Jamais les Saint-Ouennais n’ont été aussi connectés avec leur environnement. Rendez-vous à l’abbaye de Maubuisson pour une promenade insolite… •

Une mARcHe SonoRe AU cŒUR De LA ViLLe C’est en accueillant l’artiste Pierre Redon que l’abbaye de Maubuisson a pu voir naître son projet de Marche Sonore « Vestiges ou les fondements d’une cyberécologie. »

Zoom •

inFoS PRATiQUeS :où, QUAnD, commenT ?

Rendez-vous au pavillon d’accueil

de l’abbaye de maubuissonHeures de départ : en semaine à 13h, sauf le mardi, les week-

ends et jours fériés à 14hTarif : 10 € la carte de la

marche pour un groupe ou une famille et 1 € pour la location du mP3 (se munir de sa carte d’identité pour louer un mP3)

Abbaye de maubuisson, rue Richard de Tour,

renseignements au 01 34 64 36 10

et sur www.valdoise.fr

PieRRe ReDon en QUeLQUeS moTS…

Artiste multimédia et environnemental, fondateur du collectif d’artistes L’oreille

electronique à Limoges, Pierre Redon a participé à de nombreux projets collaboratifs

avec des vidéastes, des performeurs, des plasticiens et des danseurs. Actuellement, ses recherches personnelles

sont tournées vers les questions de l’écologie et croisent le cinéma, le

documentaire, la création sonore. Responsable du studio multimédia, Les Sœurs grées et de la résidence d’artiste la Pommerie / Appelboom (www.lapommerie.org), lieu

de production artistique et de recherche, il met en œuvre un programme avec des artistes

invités autour des questions de territoire.

en savoir plus sur www.pierreredon.com

SOA OCTOBRE 2009

Lors des Journées du patrimoine, les premiers marcheurs Saint-Ouennais ont pu découvrir la Marche Sonore.

Durant un an, Pierre Redon a travaillé en résidence à l’abbaye de Maubuisson pour constituer son œuvre.

QUeSTion à PieRRe ReDon

comment est né le projet de marche Sonore « Vestiges ou les fondements d’une

cyberécologie » ?J’ai été sollicité par la directrice

de l’abbaye de maubuisson sur le thème de l’eau. Je suis venu, j’ai regardé un petit peu le ru de Liesse et je me suis dit, pour l’instant il n'y a pas

grand-chose à faire, c’est dans un état catastrophique. il suffit

de regarder, tout est dit, la nature est en souffrance. Après

on peut parler des solutions éventuellement possibles mais ça n’est pas mon rôle, je ne suis pas technicien de l’eau.

ensuite ont émergé la question de l’urbanisme, la question de

la construction de la ville et des différentes strates et couches de constructions de l’espace urbain, à la fois les projets

urbanistiques gérés d’en haut comme la ville nouvelle posée et puis les quartiers qui sont un peu plus auto-construits, et travailler sur ces rapports à la ville. Finalement dans la

continuité de mes recherches, je me suis plus recentré sur la question de l’urbanisme mais toujours dans cette

perspective écologique. J’ai mis en perspective les questions, de l’homme en rapport à son environnement, avec l’idée de l’abbaye comme lieu qui s’est

lentement intégré dans une ville et une humanité en mutation. à travers l’abbaye, qui est une trace de l’histoire, je me disais qu’ici il y avait eu une certaine autonomie au niveau agricole et une relation directe avec

l’environnement qui maintenant est complètement différente. L’idée, c’est un peu de partir de la question des vestiges, pour voir comment l’homme

urbain s’est peu a peu détaché de son environnement pour produire ses besoins vitaux, comment il a mis en système cette relation fondamentale.

J’ai donc déjà rencontré plusieurs acteurs du territoire, agriculteur, jardinier, gérant de supermarché, etc. Toute une

série de gens qui partent d’une relation plus ou moins directe avec leur environnement pour

s’alimenter, habiter... etc.

PieRRe ReDon à SAinT-oUen L’AUmônePierre Redon a été accueilli en résidence durant un an à l’abbaye de maubuisson. Un travail d’investigation a alors été mené et densifié par des recherches au musée de l’education sur les relations à la nature dans l’enseignement depuis le début du siècle jusqu’aux années 50. Des textes et des illustrations tirés d’ouvrages didactiques ont ainsi servi à la création artistique. La marche Sonore s’offre au marcheur comme une œuvre ouverte, une expérience sensible des lieux où se tissent dans un itinéraire choisi, la marche, la voix, le son et la

cartographie. Le parcours emprunte les méandres de la ville, et révèle les caractéristiques par les relations affectives que les personnes

rencontrées ont avec le territoire.

Page 14: SOA Infos (octobre 2009)

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SOA OCTOBRE 2009

•Tribunede l’opposiTion

• Archivesle nouveAu proGrAMMe de resTAurATion d’Archives esT enGAGÉ Agir pour la préservation du patrimoine

saint-ouennais, c'est le sens du travail engagé.

Le Conseil municipal a décidé le 23 avril dernier d’une nou-velle opération de restauration d’archives dans le contexte d’un programme pluri annuel de sauvegarde du patrimoine. Les motifs pour lesquels un document est retenu pour être restauré sont variés, le choix s’est porté cette fois, sur des do-cuments en mauvais état ou manquant totalement de reliure ou de couvrure ou encore du fait de la fragilité du support (papier journal). L’objectif est de permettre d’assurer la consultation publique de ces documents, une fois restaurés. Ce sera le cas en fin d'année pour ceux qui actuellement sont dans les mains des professionnels chargés de leur redonner une seconde vie. Les services communaux font appel à des artisans (il en existe peu) spécialisés dans ce travail mé-ticuleux et de haute technicité. Par ailleurs, notons que la Commune poursuit sa politique de numérisation d’archives. Cette année, ce sont les listes électorales de la ville pour la période 1914-1945 (documents restaurés en 2007, dont l’encre est instable et s’efface avec le temps) qui seront nu-mérisées. Ceci dans un souci de conservation pérenne de leur contenu. L’intérêt de la numérisation est aussi de permettre des consultations sans solliciter l’original dans le cas où les documents sont trop fragiles.

Précieuse mémoireLe programme 2009 va permettre de restaurer des docu-ments très divers. Quatre registres d’État civil (1848-1902) sont concernés. Il s’agit de poursuivre le programme entamé en 1999 avec les documents les plus anciens (datant du XVIè siècle) et les plus abimés. On remonte à présent la chronologie tout en sachant que les registres les plus récents sont déjà numérisés et ne courent pas les mêmes risques de

Dans la confrontation démo-cratique qui nous oppose à la Municipalité, au-delà des critiques, nous avons toujours voulu être une force de pro-positions. Ma rencontre informelle, en août, avec Monsieur le Maire a confirmé ce positionnement puisque les sujets que j’ai évo-qués pour le bien des Saint-

Ouennais étaient au diapason et pris en considération, que ce soit : - la lettre ouverte des habitants d’Epluches qui dénonce un accès absurde rue Colette. Il génère au quotidien des pro-blèmes de tranquillité et de sécurité avec les étudiants du LEP (invasion de l’espace boisé et des immeubles, provocation

En vertu de l’article 39 du règlement intérieur du conseil municipal, il est instauré une tribune d’expression des élus issus des listes n’ayant pas obtenu la majorité aux élections municipales de mars 2008. La responsabilité juridique et éditoriale du texte revient au seul groupe signataire.

Groupe d’opposition municipalLISTE ENSEMBLE, RÉUSSIR NOTRE VILLE

des gamins se rendant à Effel). Des solutions sont à trouver rapidement avec la Région, la SNCF (passage de Pont Petit) la STIVO (positionnement des arrêts de bus) Nous souhaitons l’amélioration du Quartier. Les voiries, rue du Mail (création d’une vraie piste cyclable) trai-tement en boulevard urbain de la rue d’Epluches avec un giratoire devant Leclerc, un feu tricolore au croisement rue du Château/ rue St Hilaire. Une implanta-tion de chicanes pour réduire la vitesse, rue de la Chapelle, à proximité de l’école. - l’arrêt des rodéos de motos dans la zone industrielle, avec ce drame qui a coûté la vie à deux jeunes gens.- les travaux quais du Halage /Ecluse avec la perte du nombre d’arbres, la nécessité d’une signalétique pour la sécurité sur la piste cyclable, l’instal-lation de vrais bancs publics,

l’aménagement de la Place Carnot.- la réfection des trottoirs, les ravalements et la propreté en centre ville, surtout rue du Gal Leclerc.- les mesures à mettre en place dans les écoles pour une éven-tuelle pandémie grippale.- l’avancement du projet d’une structure d’accueil pour les personnes âgées à côté de la SNO.- la reconstruction à Blanche de Castille, le déplacement de la distillerie Haugel, etc.Après toutes ces bonnes résolu-tions pour la rentrée que nous souhaitons suivies d’effet, je termine en citant Le Zohar : « Un homme doit vivre de façon à pouvoir dire chaque soir : Je n’ai pas perdu ma journée ».

L’Équipe d’oppositione-mail [email protected]él. 06.05.28.28.28 •

péril. Un registre des passeports (1810-1838) est également traité. Il s’agit d’un document à caractère unique, cette seule période ayant produit ce type d’enregistrement des deman-deurs de passeports. Il a une particularité intéressante, les passeports de l’époque étant des chirographes. On trouve ensuite un livre des mutations de propriétés (1820) et des documents ayant trait à la Caisse des Ecoles : un registre des comptes-rendus de séances (1921-1948) et de la Commission scolaire : registre des délibérations (1882-1945). Ces docu-ments restituent l’actualité de la vie scolaire sur une longue période et notamment pendant les deux guerres. Trois listes de dénombrement (recensement) de 1891,1886 et 1968 sont également restaurées, elles ont été abimées et nécessitent des soins de sauvegarde. Enfin, une collection de 13 journaux municipaux (1959-1962) sera restaurée du fait de la fragilité du papier journal pour permettre la mise à disposition auprès du public. Derniers ouvrages traités cette année, les registres de délibérations du Conseil municipal (1908-1913).Tous ces documents pourront être consultés à la demande auprès du service communal des archives. La restauration a aussi pour but d’en faire des archives résolument vivantes comme en témoigne le travail fait l’an passé sur les ouvrages évoquant la période de la Seconde guerre mondiale qui ont ainsi pu être mis dans les mains des collégiens qui étudiaient la période dans le contexte d’un atelier pédagogique. •

vieux recueils avant restauration.- population de 1831- liste électorale 1920

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15

chronique hisToriquepar serGe lesMAnne

1816. non Au reMplAceMenT du ponT !pAssÉ •

15•cAdrede vie

comment ça marche ?Quelques petits rappels pour mémoire…Seuls les habitants des sec-teurs pavillonnaires (près de 3000 foyers) trient les déchets verts et les fermen-tescibles. Ils sont dotés de bio-seaux pour les déchets alimentaires et de sacs pa-pier pour les déchets verts. Les collectes sont effec-tuées par la Communauté d’Agglomération, chaque mardi sur la commune. Au plan pratique on sort les sacs et récipients la veille de la tournée après 20 heu-res ou le matin même avant 6 heures. Il arrive parfois que les sacs ne soient pas ramassés du fait d’erreurs de tri. C’est l’occasion de rappeler ce qui parfois pê-che dans la compréhension des règles. Les bio-seaux ne doivent pas contenir de mélange avec des déchets

ménagers courants ni avoir de sac plastique au fond du seau. Un conseil : utilisez du papier journal au fond du bio-seau pour emballer vos déchets cela contiendra le jus et les odeurs. Vous pou-vez aussi vider le contenu du bio-seau dans les sacs pa-pier, ils sont acheminés vers la même unité de compos-tage. Par ailleurs, Il ne faut pas présenter plus de 4 sacs papier à chaque tournée de collecte. Ne mettez pas de terre, de grosses souches ou de gros branchages avec les déchets verts. Ces déchets servent à faire du compost il faut donc qu’ils puis-sent favoriser ce recyclage. Les sacs papier ne doivent contenir que des tontes de gazon, des feuilles et des petits branchages (élagage de haies par exemple). La taille des branchages ne doit pas être supérieure à 5cm

de diamètre et il convient de les présenter en fagots ficelés, d’un mètre de long maximum, à la collecte.

emballages, verre, papier…Tous les habitants sont concernés par le tri des emballages, qu’ils habitent en pavillons ou immeubles. Les habitats individuels disposent de sacs jaunes et les habitats collectifs de conteneurs à couvercle jaune dans leurs résiden-ces. Le tri des emballages demande aussi un peu de vigilance sur ce que l’on jette, par exemple sachez que le polystyrène n’est pas accepté. Un guide de tri est disponible à la demande en mairie pour rappel des consignes d’usage. Pour le verre et le papier, des gros conteneurs sont placés en ville sur la voie publique

Tri sÉlecTiF une seconde nATure ?emballages, déchets verts, verre, papier, je trie tu tries nous trions…

Depuis nombre d’années à présent nous pratiquons le tri sélectif dans nos quartiers. Pour beaucoup les gestes de tri sont ancrés dans nos habitudes. C’est significatif d’une avancée sensible des mentalités dans le respect de l’environnement.

Au début du XIXe siècle, le vieux pont de pierre établi sur l’Oise au XIe siècle est en très mauvais état. Le châtelet qui défend l’entrée du pont côté Saint-Ouen l’Aumône (désigné « porte de Paris » ou « porte de l’Aumône » par les Pontoisiens) est depuis longtemps ruiné, il a été construit sur un îlot ; des habitations s’y sont accolées. Pour des raisons défensives, la voie d’accès au pont, protégée par deux puissantes tours, n’était pas dans l’axe du pont, elle franchissait trois arches qui menaient au châtelet. En 1804, on transforma cet accès, les trois arches furent remplacées par une seule arche de 10 mètres (dénommée arche Martin) construite dans l’axe du pont.Le pont supporte deux moulins, des commerces (des bouchers notamment) et des habitations. Deux arches séparent les deux moulins, une arche marinière de 9,75 mètres et une arche plus petite de 5,28 mètres. L’arche marinière menace ruine. En 1816, on a entrepris, pour faciliter la navigation de remplacer ses deux arches par une seule de 14,32 mètres. Un pont provisoire en bois a été édifié. Des batardeaux ont

été dressés pour faciliter les travaux, les eaux abondantes, détournées de leur cours naturel ont frappé dure-ment les culées des autres arches, à tel point que l’une d’elles donne des inquiétudes sur sa solidité.L’administration des ponts et chaus-sées pense que le vieux pont devient irréparable, qu’il est impossible d’en construire un neuf au même empla-cement et envisage d’en ériger un nouveau dans un autre quartier. Les principaux habitants et propriétaires de la ville de Pontoise et de l’Aumô-ne, « la très majeure partie posses-seurs de maisons de commerce et d’établissements en tous genres qui doivent leur aliment et leur prospérité au passage du pont », adressent une supplique au baron Destouches, préfet du département de Seine-et-Oise, pour s’opposer à ce projet :« Daignez, Monsieur le Préfet, vous porter par la pensée sur ce pont que vous traversâtes, naguère lorsque vous vîntes pour la première fois nous honorer de votre présence. Voyez ces maisons de commerce qui l’avoisinent. Epiciers, bouchers, boulangers, marchands de fer, dra-

piers, traiteurs, serruriers, chapeliers, fariniers, tout cela, faute d’aliment tomberait dans la plus complète désuétude si le pont, dont elles sont l’introduction et l’ornement, était reporté ailleurs.Voyez ce moulin, objet de la magni-ficence de nos Rois, qui contribue à soulager l’humanité souffrante, parce qu’il appartient à l’Hôtel-Dieu de Pontoise, fondé par Saint-Louis, moulin qui produit plus de 5 000 francs de revenu net, et qui se trouve sur l’une des arches encore solide. Qui indemnisera l’hospice d’une diminution aussi sensible dans ses ressources annuelles déjà trop exi-guës ?Voyez, cet autre moulin, également placé sur la partie tout nouvellement restaurée des trois premières arches. Sa suppression serait inévitable.Voyez ces sept habitations toutes commerçantes, la plupart neuves, formant comme un pâté sur le pont entre sa partie vieille et l’arche neuve. Leur destruction serait la suite, mal-heureusement nécessaire du chan-gement de pont.Voyez, si ce n’est pas trop fatiguer votre attention, ce quartier populeux,

appelé le Pothuis, entièrement habité par des gens de rivière et par les mariniers dont le service continuel et de tous les instants exige que leurs demeures soient rapprochées du pont comme elles le sont. Qui consolera ces malheureux de la pri-vation de leur état, ou plutôt qui leur fournira les moyens et l’emplacement pour construire de nouvelles maisons auprès du nouveau pont ?voyez enfin ce faubourg de la basse-Aumône, si florissant par son roulage. Que deviennent et le nouvel établissement de la poste (aux che-vaux), embelli tout récemment par le propriétaire qui l’occupe et qui, même en ce moment y fait des aug-mentations, et les cinq vastes auber-ges et les vingt ou trente maisons de commerce qui s’y trouvent, si on ne restaure pas le pont actuel ? Tout cela reste désert et le désespoir est la seule ressource de beaucoup de citoyens qui ne possèdent aucune autre propriété. »À suivre… •Sources : Archives municipales de Pontoise et, M. Gourdet, Service de la Navigation de la Seine.

SOA OCTOBRE 2009

(Points d’Apport Volontai-res). Pour tout problème ou de-mande d’information s’agis-sant des collectes, n’hésitez pas à appeler les services techniques en mairie au 01 34 21 25 68.Informations sur le site In-ternet de la commune www.ville-saint-ouenlaumone.frGuides de tri, plaquette sur Points d’Apports Volontai-res, auprès de l’accueil, en mairie. •

le Tri en quelques chiffres

les collectes sélectives sur la commune ont produit…

en 2008 et en moyenne (kg/an/habitant)

emballages : 329,62déchets fermentescibles :

102,23Journaux magazines : 9,76

verre : 16,15

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•�AGENDAdes�anciens

SOA OCTOBRE 2009

Rencontre avec les membres de l’UNLI (Président : Christian Eve)

Présentez-nous�votre�association�?L’Union Nationale des Lo-cataires Indépendants est un mouvement national qui existe depuis 1983 et qui, d’année en année, est de plus en plus implanté dans

Rencontre avec les membres de l’association des résidants Touraine-Picardie de Chennevières (Présidente : Josette Béguin)

Quelles�sont�les�missions�de�votre�association�?Nous sommes une asso-ciation de défense des locataires associée à la confédération nationale du logement. Être locataire, c’est un statut qui est régi par un certain nombre de textes juridiques pas tou-jours faciles à comprendre, alors nous aidons à y voir clair, par exemple en véri-fiant le montant des charges qu’il nous est demandé de verser, en faisant remonter les petits soucis que nous

les quartiers. L’association n’a qu’un seul but affiché : la défense des locataires. Aujourd’hui à Chennevières, nous sommes une vingtaine de membres et notre inter-locuteur est évidemment l’OPIEVOY, le propriétaire bailleur des logements.

comment�défendez-vous�les�locataires�?Par la force collective de notre mouvement, nous établissons déjà un équili-bre entre les locataires et le bailleur. Nous sommes vigilants à faire respecter la réglementation et à alerter les pouvoirs publics des

rencontrons parfois dans les parties communes… Nous avons aussi l’envie de participer aux anima-tions du quartier (la fête de quartier, etc.)

comment�vous�est�venue�l’idée�de�cette�association�?C’était en 2005, nous avions bénéficié de la réhabilita-tion des immeubles en mars 2004 et de la résidentialisa-

• RencontReassociatiVe

Deux ou trois questions aux :

Jeudi 15 octobreCiné-Foyer au foyer du Centre à 14 h 15« De l’autre coté du lit »De Pascale Pouzadoux

Jeudi 29 octobreSortie à ParisVisite de l’Arc de TriompheDépart du foyer à 12h45(Transport en car)Sur inscription

Samedi 31 octobreLoto A 13h30 au foyer du CentreAnimé par Mmes Massines, Bucheli et Bertrand

Jeudi 5 novembreBelote à 14hau foyer du CentreAnimé par Mmes Dangoisse et Bucheli

Vendredis 6 et 13 novembreStage d’initiationà la communication par ordinateurInitiation à la communication

associations�de�RÉsidants�dU�QUaRtieR�de�cHenneViÈRes

par InternetSalle du CIMES (1er étage au dessus du foyer du Centre)Sur inscription

Mardi 10 novembre Scrabble en duplicateA 14h au foyer du CentreAnimé par M Magnan

difficultés que parfois nous rencontrons. Nous avons une mission d’information auprès des locataires parce que c’est en connaissant bien ses droits et ses devoirs qu’il sera le plus apte à bien vivre dans son logement. Nous ne sommes pas un mouvement d’opposition par rapport au bailleur, au contraire, nous sommes amenés également régu-lièrement à rappeler aux locataires leurs devoirs et les notions de civisme pour que tout le monde vive bien ensemble. Finalement, nous sommes un interlocuteur qui permet l’expression des

locataires d’une seule voix, notamment lors des assem-blées générales. Plus nous aurons d’adhérents et plus notre message portera.

tion et un certain nombre de problèmes sont apparus dans les travaux (aucune isolation avec nos façades en faux PVC et soit-disant double vitrage…) alors que nos loyers ont été augmen-tés. Alors nous avons décidé de ne pas être passifs devant cette situation et d’apporter notre pierre à l’édifice si on peut dire. Lorsqu’on habite un immeuble, on se rend compte de choses du quotidien que le bailleur ne peut pas toujours cerner (une rampe d’escalier usée,

un ascenseur trop souvent en panne, des problèmes de bruit de voisinage…) Nous n’obtenons pas satis-faction à chaque demande, mais nous sommes pris au sérieux et le bouche à oreille dans le quartier fait que nous sommes de plus en connus. Nous sommes aujourd’hui 7 membres ac-tifs mais nécessairement, l’association est vouée à se développer.

association�des�RÉsidants�toURaine-PicaRdie�de�cHenneViÈRes

22�place�champagnetèl�:�01�30�37�68�91ou�contact�par�[email protected]

UnLi

tél�:�06�24�97�72�14ou�contact�par�mail

[email protected]

Lors du forum des associations, deux membres du bureau de l’UNLI ont tenu un stand toute la journée, pour mieux se faire connaitre auprès des habitants.

Les membres du bureau de l’ARTPC(au centre, la présidente)

La résidence Touraine Picardiedepuis les travaux de rénovation…

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Andrée Salgues à votre écouteConseiller général du canton de Saint-Ouen l’Aumône – Méry-sur-Oise, Andrée Salgues tient des permanences s’adres-sant aux habitants des deux communes. Prochai-nes dates, le samedi 24 octobre 2009 de 9 heu-res à 11 h 30 en mairie de Saint-Ouen l’Aumône et le samedi 17 octobre 2009 de 9 heures à 11 h 30 en mairie de Méry-sur-Oise. Pour limiter l’attente, il est nécessaire de prendre ren-dez-vous en téléphonant au 01 34 21 25 63.

Des permanences métiers sont tenues en mairie par un représentant de la Dé-fense, un mercredi par mois de 14 heures à 16 h 30 pour informer les jeunes sur les métiers proposés par les différentes armées. Ces permanences permettront aussi de recueillir des in-formations sur les journées d’appel de préparation à la Défense. Prochains ren-dez-vous : 14 octobre et 18 novembre.

La Marine Nationale re-crute. Vous avez entre 17 et 25 ans, de niveau troisième jusqu’à BAC +2, la nationalité fran-çaise, vous savez nager et avez accompli la Journée d’Appel de préparation à la Défense. La Marine vous propose, pour un an, quatre ans, ou plus, des métiers passionnants dans des domaines variés : combattant, bureautique, technique maritime ou aéronautique, mais aussi infirmier, cuisinier, pom-pier, comptable, etc. Venez vous renseigner au Centre d’information et de Recru-tement des Forces Armées de la Marine 7 place de la Piscine à Pontoise.Tél : 01 34 43 94 00.www.devenirmarin.fr

L’OLA a ouvert de nouvel-les activités à la rentrée où il reste encore des places : peinture sur porcelaine

pour adultes (le vendredi matin de 10 heures à 12 heures), capoeira pour les enfants de 7 à 11 ans et 11 ans et plus le samedi matin ; théâtre pour les 7 à 11 ans et 11 ans et plus le mercredi… En savoir plus : Tél 01 34 64 05 16.

L’agence Nationale de l’Ha-bitat et l’Etat propo-sent un coup de pouce aux propriétaires les plus modestes pour réduire leurs dépenses d’énergie : l’éco-subvention. Cette mesure permet d’aider au financement des travaux d’économie d’énergie immédiatement rentables afin de réduire les factures d’énergie.En savoir plus sur les me-sures envisagées : contac-tez les télé-conseillers au 08 20 15 15 15 ou consultez le sitewww.ecosubvention.fr

L’ATVO (association de Taekwendo du Val d’Oise communique sa nouvelle adresse pour son site In-ternet : http://atvo.fr

L’association de quartier d’Epluches organise un Loto le samedi 17 octobre à 14h à la maison de quar-tier d’Epluches. En savoir plus : Tél 01 34 64 10 23.

Amnesty International (Groupe de Cergy Pon-toise) communique qu’il organise une exposition « Défenseurs des Droits hu-mains » du 20 novembre au 20 décembre à l’hôtel de ville d’Eragny. 16 pho-tographies de Christian Courrèges représentant des Défenseurs soutenus par le mouvement.

L’association La joie de vivre propose une sortie (repas avec revue) à la Distillerie à Grancières en Beauce avec spectacle (Génération Tubes 60-80), le 28 novembre 2009.En savoir plus :Tél 01 34 64 29 35.

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cHRoniQUe •• associationsde�La�mÉdiatHÈQUe

dU�sang�neUfdans�Le�PoLaR�fRançais

Au début des années 70, le polar français sort de ses gonds bien huilés, avec l’arrivée de nouveaux auteurs. Mai 68 est passé par là… Manchette en tête, puis Vau-trin et Fajardie revendiquent un roman à la fois social et policier, dénonçant avec virulence l’injustice, le racisme, les magouilles du pouvoir. Le Néo Polar est né.

Une décennie plus tard, le flambeau est repris notam-ment par Daeninckx et Jonquet, qui se documentent mé-ticuleusement, et ancrent leurs histoires noires dans une réalité toujours plus dure. D’autres auteurs s’engouffrent dans la brèche : Benacquista, Pouy et bien d’autres.

Puis rien de nouveau, le polar s’essouffle… Les thrillers « à l’américaine » prennent le pas sur le roman noir… Jusqu’à aujourd’hui… Car (roulements de tambour), les nouveaux Zorro du polar sont arrivés ! Nourris de BD, de musique, de cinéma, ils mettent en scène des héros sans futur, sans croyance, mais pas sans humanité. Les plus représentatifs de ce Nouveau Polar Nihiliste sont Antoine Chainas et DOA. A leur lecture, on ne peut qu’être bluffé par la qualité de leur écriture et la force de leurs intrigues. Ces deux-là et quelques autres (Thilliez, Ferey…) nous font entrer en enfer, celui des trafics, des cités glauques, des marginaux, des déviances les plus terrifiantes. Mais cet enfer est fascinant, bouleversant, alors on en redemande !

Hommage�

à�tHieRRy�JonQUetMauvaise nouvelle pour le po-lar. Thierry Jonquet est mort cet été, dans l’indifférence mé-diatique la plus totale. L’auteur de Moloch, Mon vieux, Mygale méritait pourtant qu’on parle de lui, car non seule-ment il était un grand écrivain, mais il était aussi un homme intègre, perpétuellement en colère contre les injustices sociales.

Petit hommage à ce géant du polar, à travers la plume de son « confrère » Tonino Benacquista : « Jonquet sculpte la fiction, c’est le matériau qu’il façonne pour lui donner une âme, le même qu’Highsmith ou que Simenon, il est difficile d’en citer beaucoup d’autres… »

En octobre, le polar made in France sera à l’honneur à la médiathèque,

avant de s’évader à travers toute l’Europe en Novembre… On vous en reparlera.

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SOA octobre 2009

Émotion d’abord parce que plusieurs personnalités di-gnes de l’estime publique ont été récompensées. A l’applaudimètre on citera Denise Pivard qui, en re-nouvelant sa 50ème ad-hésion à l’ASSOA, entre dans la légende du club avec une carrière spor-tive exemplaire tant en

Vos impressionssur la saison sportive qui s’achève ?C’est une très bonne saison avec encore des titres de c h a m p i o n s d e F r a n c e à l’exemple des juniors chez les Cougars, de Carlos Fernandes (vétéran homme) du CSPTT, de Freddy Narranin et Donia Yacoubi en karaté, du Quatre de couple sans barreur junior garçon (Cédr ic Couderc - Clément Trouche - Maxence

Tellier -Arthur Cluzel) de la SNO en Aviron, d’Elisabeth Teunissen, championne de France vétéran en Squash. Par ailleurs dans de nombreuses disciplines nous avons des champions de très bon niveau à l’échelle du Département et de la Région. 2009 a été un bon cru.

Comment la municipalité encourageles clubs sportifs ?Déjà en allouant un très gros budget aux sportifs (420 000 rien que pour les subventions aux associations en 2009). Ensuite en ayant des équi-pements qu’on entretient, qu’on développe, à l’exemple en 2008, du nouveau terrain synthétique à Escutary et, en 2009, d’aménagements pour l’accessibilité des handicapés au Parc des Sports. On met aussi des moyens humains à disposition, tant en matière de maintenance des équipements que d’aide à la mise en place des manifestations (équipes du Service des Sports), c’est très important.

Qu’est ce qui faitla force des clubsde la commune ?Nous avons des clubs tous tournés vers l’éducation, le sport de masse. La meilleure preuve ? Aujourd’hui nous avons à la fois des champions chez les plus jeunes et aussi chez les vétérans !

Que pouvons-nous attendre de la saison 2009/2010 ?De grands espoirs. Pour la première fois les Cougars disputeront une compétition

européenne et on espère de bons résultats. On espère que le foot se maintiendra à son niveau (le plus haut niveau historique atteint pas la section football de l’ASSOA). Pour le hand on leur souhaite aussi de se maintenir et pourquoi pas de remonter en N1 ! Espoir aussi que les choses se passent bien avec la Formation et que les clubs comme l’Athlétisme, le Christo-Rugby (sport adapté) aient des résultats et prennent du plaisir à pratiquer leur sport. Enfin, la promotion des jeunes, c’est le moteur, c’est pour ça surtout que la municipalité aide les clubs. •

qualité qu’en diversité et Luis Goncalves, joueur en équipe première du RCACP qui a repris le chemin du stade après un courageux combat contre la maladie. Emotion aussi avec le témoignage de la sœur d’un des joueurs de rugby handisport, autiste, particulièrement impli-

qué dans son sport avec Christo-rugby. Convivia-lité ensuite, parce que l’on perçoit le respect de tous pour les performances tant individuelles que collec-tives au moment de la lecture d’un palmarès très riche en bons résultats (voir encadré). Convivia-lité aussi pour l’encoura-gement vers les bénévoles et formateurs (notamment pour la formation des jeu-nes). Le sport à Saint-Ouen l’Aumône reste avant tout une école de vie, ce pour-quoi il a une place si im-portante dans la cité. A noter au côté de Gilbert Derus (Maire-adjoint aux sports) pour la remise des trophées, la présence ac-tive de plusieurs conseillè-res municipales : Laure Kermen-Lecuir, Françoise Lescoët et Marie-Joëlle Lieges. •

Clubs réCompensésACVo - AssoA GymnastiqueChristo rugby - les CougarsCspTT 95 - AssoA Football

AssoA Judo - AssoA KaratérCACp - sno - AssoA Tennis

sQuAsH 95 - AssoA Tir à l’ArcAssoA Athlétisme

Champion 2009 : Denise pivard

palmarès complet sur le site Internet de la ville

www.ville-saintouenlaumone.fr

•SportbeAu FIXe eT pluIe De méDAIlles sur nos sporTIFs Émotion et convivialité ont présidé à la cérémonie 2009

du « trophée des champions ».

QuesTIons à GIlberT Derus mAIre-ADJoInT AuX sporTs

AGenDA

◗ HandballSamedi 24 octobreASSOA / Saint-Valéry en Caux (N2)20 h 45à la salle Armand Lecomte

Samedi 14 novembreASSOA / Bois-Colombes (N2)20 h 45à la salle Armand Lecomte

Denise Pivard,“champion” 2009

Luis Goncalvez

Honneur aux Cougars,dont les juniors

sont champions de Francecette année.

Gilbert Derus (à gauche) aux côtés de l'ASSOA Footballet du président Darnet.

Page 19: SOA Infos (octobre 2009)

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SOA octobre 2009

en noVembre, plACe Au FesTIVAl THéÂTrAl Du VAl D’oIse Comme chaque année, L’imprévu participe au Festival Théâtral du Val d’Oise. Pour cette 27ème

édition, pas moins de 30 villes mettront à l’honneur la création contemporaine. Deux spectacles à découvrir en famille seront à l’affiche à L’imprévu, Vole ! et les Fourberies de Scapin : coup de projecteur sur l’art de la marionnette, fil rouge de toute la saison.

on en parle •

Rendez-vous le 8 novem-bre avec le Theater Tap-toe et son spectacle à voir en famille, « Vole ! ». La compagnie belge tourne depuis plus de 30 ans dans le monde entier en faisant découvrir l’art de la marion-nette. « Vole ! », une de ses dernières créations, est une aventure poétique, visuelle et sans parole, composée de marionnettes, d’ima-ges, de cinéma et de mu-sique. Le spectateur, par le ton singulier et la féerie du spectacle, se laisse bercer et emporter par l’histoire, tout en étant impressionné par la prouesse technique. Venez suivre ce petit gar-çon, Sjoerd, qui se cache dans un panier à linge et devient globe-trotter embar-qué dans une montgolfière. Un voyage fantastique, en-tre terre et mer, au pays des songes et des rencontres rappelant les voyages initia-tiques. Mélange inventif de

jeu burlesque et de théâtre de marionnettes, les enfants restent bouche-bée face à un voyage vertigineux et extraordinaire, tandis que les adultes, songeurs, cher-chent à comprendre com-ment une telle illusion peut avoir lieu sous leurs yeux.

molière, un classique jamais démodéLe texte, chacun le sait, est déjà un chef-d’œuvre en lui-même. Mais que dire d’un spectacle nominé aux Molières en 2008 où le pari d’un seul acteur, Jean Sclavis, est celui de faire vivre « Les fourberies de Scapin » avec 8 marion-nettes quasi à taille hu-maine (1m40) ? C’est tout simplement époustouflant pour les yeux, tant l’esthé-tique et la création plasti-que viennent servir le texte riche et philosophique. Les marionnettes ont toutes été conçues par la spécialiste française du genre, Emilie Valantin qui a fondé le Théâtre du Fust, célèbre compagnie lyonnaise, dans les années 70.Dans cette mise en scène, Jean Sclavis interprète un Scapin vil et manipulateur et nous renvoie à des no-tions qui ont traversé toutes les époques depuis le XVIIe

On a aimé : les AnImATIons Du ForumBravo aux associations qui ont donné du temps pour illustrer leurs activi-tés avec des démonstra-tions de leur talent comme le club de rollers de Méry (acrobaties), le Golf de Maubuisson et ses anima-tions « testez-vous club en mains »… ou encore les jeunes danseurs de Césa-ria… lors du Forum début septembre. •

siècle : les conflits de gé-nération, la désobéissance, le désir d’émancipation, le désir amoureux, le goût de l’argent, les vies familiales et secrètes… Accompagné d’une musique inspirée de celles du XVIIe siècle, Jean Sclavis relève avec brio ce défi de faire vivre 8 marion-nettes hautes en couleurs créant une véritable illusion jubilatoire sur scène. •

Vole !, Theater Taptoe A voir en famille - dès 4 ans

Dimanche 8 novembre16 heures à l’imprévu

Tarif plein : 11 € ;réduit : 10 € ;

moins de 16 ans : 5 € et abonnement : 8 €

réservations au 01 34 21 25 70

les Fourberies de scapin par le Théâtre du Fust - Dès 12 ans

samedi 14 novembre21 heures à l’imprévu

Tarif plein : 13 € ;réduit : 11 € ;

moins de 16 ans : 5 € et abonnement : 8 €

réservations au 01 34 21 25 70

la billetterie est ouverte pour tous les spectacles de la saison. privilégiez

l’abonnement (à partir de 4 spectacles).programme disponible en mairie, sur le site internet de la ville ou par courrier sur simple

demande. Vous pouvez également vous inscrire à la newsletter pour tout connaitre

des prochains spectacles(contact : [email protected])renseignements au 01 34 21 25 70

speCTACle CompleT pour JulIeTTele 17 oCTobre proCHAIn à l'ImpréVu.

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à L’AFFICHEMercredi 14

et saMedi 17 octobre

Le théâtre UVoL ¼propose aMiLec (marionnettes de la compagnie L’ange carasuelo)Réunissant plusieurs techniques de marionnettes et d'ombre, des images numériques manipulées en temps réel et un décor mobile, Amilec interroge en douceur les rapports humains, la relation à l'image et inverse les stéréotypes du conte traditionnel pour un parcours initiatique qui met la liberté au centre de l'histoire.

Maison de quartier de ChennevièresMercredi 14 octobre à 14h30 et Samedi 17 octobre à 16h30Tarif : 5 € (tarif Plein), 4 € (tarif réduit) Réservations au : 01 34 21 85 79

saMedi 17 octobre

La médiathèque ¼stendhal propose une lecture découverte avec thierry Lenain pour les 6-10 ansLes comédiens du Théâtre de la Forêt interpréteront des passages de Mademoiselle Zazie, Menu fille ou garçon ? Vive la France, l’amour hérisson… et bien d’autres romans…

16 heures à la médiathèque StendhalRéservation fortement conseillée au 01 30 37 99 74

Juliette (coMPLet) ¼dans le cadre du festival VoiX/Publics

Mercredi 21 octobre

La médiathèque ¼stendhal propose un goûter parlotte avec thierry Lenain pour les 6-10 ans« ça me fait plaisir d’écrire pour les enfants » dit Thierry Lenain ; ça nous fera plaisir de parler avec lui de ses livres. Auteur de plus de 60 livres pour enfants, quel que soit le sujet dont il s’empare, il écrit avec une justesse remarquable.

15h30 à la médiathèque StendhalRéservation fortement conseillée au 01 30 37 99 74

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•RENDEZ-VOUS

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directeur de la publication : Alain Richard

rédaction : Mireille Quantin, Vincent Echasserieau au 01 34 21 25 00

Mise en page et photogravure :Nord Compo : 03 20 41 40 01

impression : DB Print : 03 20 28 83 20

Nombre d’exemplaires : 10 000Dépôt légal à parution

à suIvrEJUsqU’aU 24 octobre

Exposition photo : ¼thierry bouët, « Première heure »Qui a dit que les nourrissons étaient tous mignons ? Thierry Bouët nous présente un diaporama intéressant et émouvant d’un moment de vie rarement exposé.Hall de l’hôtel de Ville, entrée libre (voir horaires p. 2)

JUSqU’EN maRS 2010L’abbaye de Maubuisson ¼

propose une exposition d’ORLaN : « Unions mixtes, mariages libres et noces barbares »Connue internationalement, Orlan, depuis les années 60, a fait de son corps le support d’une œuvre qui interroge les pressions contemporaines, politiques, religieuses ou sociales qui s’exercent sur l’individu et en particulier les femmes. Critique de la standardisation sociale, utopie de la mixité, mutisme, ethno et techno cyber, copie et clonage… autant de thème décapants abordés par l’exposition.

Abbaye de Maubuisson (rue Richard de Tour)Renseignements au 01 34 64 36 12

2020

AvANT - PrEMIèrE

saMedi 7 NOVEmbRE

Le théâtre UVoL ¼propose thèm’a rencontres : saint-Germain-des-présAu détour d’un café ou d’une ruelle, les artistes aiment se retrouver dans Saint-Germain-des-prés, pour partager un brin de culture et de liberté. Ce café artistique et littéraire a vu naître le théâtre d’avant-garde avec Ionesco, Cocteau ou Becket. N’oublions pas les chansonnettes de Brassens, Ferré ou Brel qui ont illuminé les places de ce quartier pittoresque.20h45 à la salle de spectacle de la Maison de quartier de ChennevièresTarif plein : 8 €, Réduit : 7€, passe culture : 5 €Réservation au 01 34 21 85 79

DimaNchE 8 NOVEmbRE

Marionnettes : Vole ! ¼(dès 4 ans) theater taptoe (dans le cadre du Festival théâtral du Val d’oise) Vole ! est une des dernières créations du Theater Taptoe (lire p.19).16 heures à L’imprévuTarif plein : 11€, Réduit : 10€, Abonnement : 8€Moins de 16 ans : 5€Renseignements et réservations au 01 34 21 25 70

saMedi 14 NOVEmbRE

théâtre - marionnettes : ¼Les Fourberies de scapin – théâtre du Fust (dans le cadre du Festival théâtral du Val d’oise)Un spectacle qui dépoussière la tradition moliéresque et épouse l’esprit originel du texte. En manipulant à vue 8 marionnettes à taille humaine, le comédien réalise une vraie performance et campe des personnages hauts en couleurs. Du grand théâtre (lire p.19).

21 heures à L’imprévuTarifs plein : 13€, Réduit : 11€, Abonnement : 8€, Moins de 16 ans : 5€Renseignements et réservations au 01 34 21 25 70