SIEML. LEFFET DE SERRE Origine de leffet de serre « naturel » Sans cet effet de serre, la Terre...
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SIEML
L’EFFET DE SERRE
Origine de l’effet de serre « naturel »
Sans cet effet de serre, la Terre aurait une température moyenne de -18°C au lieu de 15°C.
Les gaz « à effet de serre »
Cela concerne essentiellement :
Un gaz est dit « à effet de serre » si il est capable d ’absorber du rayonnement infrarouge émis par la Terre
La vapeur d’eau H2O
Le dioxyde de carbone ou « gaz carbonique » ;
CO2 Le méthane, ou gaz naturel ;
CH4
Le protoxyde d’azote ; N2O Des molécules plus complexes telles les halocarbures ; CxHy
FzCl t Un gaz sans émissions directes : l’ozone
Bilan 2001 des changements climatiques : conséquences, adaptation et vulnérabilitéLocalisation Prélèvements Scientifiques
Sur 400 000 ans la température et le Co2 ont toujours corrélés
Tout ce CO2 se retrouve dans l’air, et… une partie y reste
Concentration sur les 1.000 dernières
années.
Source :Climate Change 2001, the scientific
Basis, GIEC
Concentration atmosphérique de CO2 sur les 400.000 dernières années.
Source : Petit & al, Nature, 1999
1000 20001800
Début de la révolution industrielle
20042004
LES CAUSES
Pourquoi émettons nous du CO2 ?
Première cause : il y a de plus en plus d’émetteurs !
Évolution démographique depuis le néolithique (découverte de l’agriculture).
Source : Musée de l’Homme
7 milliards de Terriens en 20117 milliards de Terriens en 2011Répartition par continent
La population mondiale devrait atteindre
9 milliards en 20509 milliards en 2050
Asie
61%
Europe
11%
Amérique latine
9%
Source : Congrès International de la population AFP
Océanie
moins de 1%
Estimation des émissions de
CO2 en 2010 en milliards de
tonnes
Afrique
14%1.2
1
7
9.37.7
Amérique du Nord
5%
1,6
Moyen Orient
Consommation d’énergie
commerciale par habitant en TEP
(tonnes équivalent
pétrole) - hors biomasse
Sources diverses
Pourquoi émettons nous du CO2 ?
Deuxième cause : chaque individu consomme de plus en plus d’énergie
0,00
0,20
0,40
0,60
0,80
1,00
1,20
1,40
1,60
1,80
Consommation totale d’énergie commerciale de l’humanitéen Mtep (millions de tonnes équivalent pétrole). Source Schilling & al + Observatoire énergie + AIE
Depuis que l’homme a découvert les combustibles fossiles, la consommation de l’humanité n’a cessé d’augmenter. Chaque nouvelle source d’énergie est venue se
surajouter aux autres et connaît sa propre évolution exponentielle : aucune substitution ne se constate au niveau mondial. Un Américain consomme 4 fois plus de charbon
qu’un Chinois.
Résidentiel - Tertiaire; 44%
Industrie hors sidérurgie; 19%
Sidérurgie; 4%
Transports; 32%
Agriculture; 2%
Consommation d'énergie par secteur d'activité en 2006
Le charbon continue à jouer un rôle majeur dans les émissions de CO2
Source Agence Internationale de l’énergieRépartition des émissions mondiales de CO2 en 2000 par énergie
gaz
18%
charbon
37%pétrole
42%
autres énergies
3%
LES CONSEQUENCES
CARTE DU CLIMAT EN ANJOU
LA DOUCEUR ANGEVINE, PAS UNE CHIMERE
16°16°
15.5°
15.5°
15°
6.5°
6.5°
Températures
Moyenne annuelle maxi
Moyenne annuelle mini
SOURCE CG49
Elévation des températures moyennes de 1°C sur 40 ans
(selon Météo France)
L’inclinaison de la terre
explique un réchauffement plus rapide au
Nord qu’au Sud
L’hémisphère Nord plus exposé !
Avec une amplitude qui reste à déterminer :
Impacts sur les écosystèmes (affaiblissements, disparitions, déplacements) :
Augmentation du niveau des océans
Impacts sur les courants marins et donc sur les climats régionaux Modification des phénomènes extrêmes (dont pics de chaleur, précipitations intenses, sécheresses, etc) Augmentation du « trou dans la couche d’ozone » Impacts directs sur la santé humaine (déplacement des zones endémiques pour les maladies, conséquences des phénomènes brusques, etc).
Et nous ne ferons jamais le tour de toutes les mauvaises surprises possibles à l’avance, puisque la situation est inédite
Quels seront les impacts du changement climatique ?
Des échanges entre eaux de surface et eaux profondes ont lieu en permanence.
Les eaux profondes remontent les éléments nutritifs (sels minéraux) indispensables à la faune marine de surface.
Modification des courants marins
Un ralentissement de cette circulation profonde :
Modifie la répartition de la chaleur à la surface du globe avec un impactlocal ou régional qui peut être massif (l’Europe en période glaciaire ?),
Diminue les apports minéraux en surface et l ’oxygénation des fonds : pression sur la vie halieutique
ET LA FRANCE ?
Emissions de CO2 dues à l’énergie (2004)
(en millions de tonnes de carbone)
Autres (branche énergie)Centrales électriques
Industrie et agriculture
Résidentiel et tertiaire
Transports (hors soutes)
1970 1975 1980 1985 1990 1995 2000 2004 2010
120
100
80
60
40
20
0
1979
20%
24%
27%
21,5%
7,5%
Année référence : K
YOTO
env 115 env 130
39%
27%
20,5%
8,5%
5%
115
Seuil à
respecter
en 2010
(niveau 1990)
136
17,3
2,26,33,84,1
9,8
118
7,73,52,5
81,7
5
11,4
137,4
1,31,51,2
115
5,6
12,4
138,1
0,41,41,1
116,8
5,7
12,7
(en Mtep)
Production et importation nationale d’énergie primaire (2004)
179,6
229,8
274,3 276,2
4,5 %
Consommation énergétique finale par activité et par énergie (2004)
(en Mtep)
ÉnergiesRenouvelables
Électricité
Gaz
Pétrole
Charbon
133,6142,6
160,3 161,2
Transports
0
20
40
60
80
100
120
140
160
180
AgricultureRésidenti
el et Tertiaire
Industrie
COMMENT CONSOMMONS NOUS L’ENERGIE ?
Les émissions par kWh varient du tout au tout selon l’énergie primaire
Qu’émettre au plus si nous voulons arrêter d’enrichir l’atmosphère en CO2 ?
Émissions de CO2 par habitant en 1998 et « droits maximaux à émettre sans perturber le climat ». Source UNFCCC pour les émissions par
habitant.
Droit maximal à émettre si nous voulons diviser les émissions mondiales de CO2 par 2, avec 6 milliards d’habitants
Idem si nous voulons diviser les émissions mondiales de CO2 par 3, avec 9 milliards d’habitants
FRANCE
T CO2/habitant
LES ACTIONS
Le cadre International
Le cadre National
Le cadre Local
Rappel du Contexte
1997 Protocole de Kyoto : le cadre
1992 Convention climat Rio : l’objectif
1995 Mandat de Berlin : comment faire ?
1988 Naissance du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) : le problème
2001 à 2004 - Accords de Marrakech, Delhi, Milan et Johannesburg : mise en place d’outils
- La Russie ratifie
Le Cadre International
2000 Adoption du PLNCC
1998 Création du Programme National de lutte contre le changement climatique (PNLCC),
Stabiliser les émissions de gaz à effet de serre en 2010 au niveau de 1990 et diminuer de 20% en 2020
Stabiliser les émissions de gaz à effet de serre en 2010 au niveau de 1990 et diminuer de 20% en 2020
2003 Élaboration du Plan Climat
2005 Loi du 13 juillet d’orientation sur l’énergie
Le Cadre National
2005 Élaboration d’un Plan d’action concerté :
2004 Modification des Statuts SIEML:
- Favorise les programmes d’économies et de maîtrise de l’énergie
- Permet à l’établissement de participer au développement des Énergies Naturelles Renouvelables
Le Cadre SIEML
« Energies 21 »
2002 Décret du 18 Avril 2002 : prescrit la mise en place de schémas de service collectif énergie
1999 Loi d’Orientation pour l’Aménagement et le Développement Durable du Territoire (LOADDT)
Agendas 21 locaux
Plantagenêt 21 Conseil Général
Agendas 21 locaux
Plantagenêt 21 Conseil Général
2000 Loi du 10 février relative à la modernisation et au développement du service public de
l’électricité
Le Cadre Local
Actions du SIEML et de la Collectivité
Problèmes
Informer, Sensibiliser, Impliquer
Bâtiments
communaux
Diagnostic et Audit énergétique sur le patrimoine communal
Causes
Solutions (Hypothèses locales)
Éclairage public
Eau, gaz, etc.
Dans les bâtiments communaux
Analyse et suivi des consommations, état du patrimoine
Remplacement de lampes à incandescence par des lampes basse consommation
Installation de régulateur, délesteur, programmateur, thermostat Amélioration des performances thermiques des locaux anciens (Réglementation Thermique 2006), isolation horizontale et verticale, ventilation, etc. Renégociation des contrats avec le fournisseur
Recours à l’énergie solaire photovoltaïque et thermique Étude sur l’opportunité de recourir à la biomasse
(réseaux de chaleur par exemple)
Actions du SIEML et de la Collectivité
PRINCIPE D’UN RESEAU DE CHALEUR
CHAUFFERIEBATIMENTS PUBLICS
COMMERCES
LOGEMENTSLOCATIFS
BATIMENTS A DESSERVIR
RESEAU DE CHALEUR
MAIRIE
ECOLE
Sur les opérations nouvelles
Démarche HQE en amont (Haute Qualité Environnementale)
Démarche AEU en urbanisme (Approche Environnementale de l’Urbanisme)- Choix énergétiques (solaire, biomasse,
etc.) - Gestion de l’eau, des déplacements, des déchets- Environnement climatique et sonore- Biodiversité et paysage
Actions du SIEML et de la Collectivité
ARCHITECURE BIOCLIMATIQUE ET ENERGIE SOLAIRE PASSIVE
Les techniques qui exploitent d'une manière passive l'énergie solaire le font grâce à des plans architecturaux qui misent sur l'emplacement des bâtiments et l'orientation des fenêtres. Elles sont dites passives parce qu'elles n'exigent pas d'appareils spéciaux.
Espaces tampons
Buanderie, garage
Couloirs …
WC
Bains
WC
Bains
Atelier
Chambre
Chambre
Pièce à vivre
Cuisine
NORD
SUD
OUEST EST
Un exemple de disposition des pièces dans une maison bioclimatique
Sur l’Eclairage Public Remplacement des ballons fluorescents par des lampes basse consommation ( sodium haute et basse pression, lampes fluo-compactes) Remplacement des ballasts magnétiques (classe D, C, B1, B2) par des ballasts électroniques (A1, A2, A3) Mise en place de régulateur et variateur de tension centralisé ou individuel
Homogénéisation des conducteurs Mise en place de réflexions améliorant l’efficacité lumineuse et participant à la lutte contre la pollution lumineuse
Actions du SIEML et de la Collectivité
ENERGIES 21ENERGIES 21
Aides Financières E.N.Rsolaire
Eclairage Publicsolaire
Bâtiments Publics
Bois Energie Cogénération
Bio Gaz Méthanisation
Par candélabre équipé d’un programmateur 20% plafonnés à 400€
Chauffe eau solaireDe 20% à 30% plafonnés de 800€ à 1 200€
Etude de faisabilité 20% plafonnés à 800€
Etude de faisabilité 20% plafonnés à 800€
Par équipement dédié à la signalisation routière, aux abri-bus, aux détecteurs de présence25% plafonnés à 550€
Etude de faisabilitéchauffage solaire thermique 20% plafonnés à 800€
Travaux, construction du réseau de chaleur, au ml de conduite posée20% plafonnés à 25€/ml
Travaux, infrastructure,génie civil, matérielDe 15% à 25%
Installation champ photovoltaïque alimentant un réseau EP ou injectée dans le réseau DPDe 15% à 25% plafonnés de 1 500 € à 2 500 €
Solaire, thermique, chauffage centralDe 20% à 30% plafonnés de 2 000€ à 3 000€
Infrastructure, chaudière, équipement, génie civil, plateformes, rampes de convoyageDe 15% à 25% plafonnés de 20 000€ à 30 000€
HYDRAULIQUE GEOTHERMIE
Etude de faisabilité 20% plafonnés à 800€
Etude de faisabilité 20% plafonnés à 500€
Travaux, installation, matériel, raccordement au réseau 15% plafonnés à 15 000€
Travaux, matériel 15% plafonnés à 3 000€
Aides Financières Maîtrise de l’Énergie (MDE)
ENERGIES 21ENERGIES 21
EN ECLAIRAGE PUBLIC POUR LES BATIMENTS COMMUNAUX
POUR LES AUDITS ET DIAGNOSTICS ENERGETIQUES
Par variateur centralisé dansl’armoire de commande pour des projets neufs ou d’importantes réhabilitations
25% plafonnés à 1 500€
Travaux d’isolation thermique faisant suite à un diagnostic énergétique communal
De 15% à 25% plafonnés de 3 000€ à 5 000€
En complément des aides de l’ADEME
De 15% à 25% plafonnés de 1 000€ à 2 000€ du coût de l’étude
Par appareillage installé dans chaque candélabre
60€ à 80€ par unité
Financement d’appareillage facilitant l’utilisation rationnelle de l’énergie et les économies, lampes basse consommation, délesteurs, programmateurs sur opération globale De 20% à 30% plafonnés de 500€ à 800€
Acquisition ou financement d’une caméra infra-rouge détectant les ponts thermiques, outil de sensibilisation et d’orientation
3 000€ par équipement
DE L’ACTION COLLECTIVE…
AU COMPORTEMENT INDIVIDUEL …
Syndicat Intercommunald’Energiesde Maine et Loire
Eau, énergie : la douche est source de vigueur et …d’économies.
La douche rapide plutôt qu’un bain : efficacité et économies !
Pour éviter le gaspillage, utilisez un verre d’eau et ne laissez pas couler le robinet. Ouvert, il débite 12 litres à la minute.
L’eau potable est une ressource vitale et précieuse qui se raréfie. En France, nous en consommons environ 150 litres par jour et par habitant, principalement pour l’hygiène. Or, moins de 50 % des eaux usées domestiques seront assainies avant leur retour à la nature : réduisons notre consommation et nos pollutions.
Économies d’énergie réalisables :
Douche rapide : 5 fois moins d’eau et d’énergie consommées
que pour un bain, Chauffage : 1 °C en moins = 7 % d’énergie consommée en moins
Le bois est une énergie économique, locale, renouvelable et non polluante.
Un chauffe-eau solaire peut couvrir 70 % des besoins en eau chaude et peut être subventionné sous forme de crédit d’impôt ! Il est temps de changer .
Maison vide, consommation réduite : baissez les radiateurs avant de partir. A votre retour, adaptez la température à chaque pièce ; et oui ! le chauffage représente jusqu’à 70 % de sa consommation d’énergie :
16 °C pour la chambre
19 °C dans les autres pièces 21 °C pour la salle de bains
Aération ? 10 minutes suffisent...chauffage éteint, bien sûr.
Puisque la cuisine devient un nouvel espace de vieen famille, c'est le lieu idéal pour faire de nouvelleséconomies !Chaque Français produit en moyenne 440 kg d'orduresménagères par an dont 40 % d’emballages…
Choisissez les produits les moins emballés, suivez les instructions de votre mairie en matière de tri sélectif, et pensez toujours que le meilleur déchet est celui que l’on n’a pas produit !
Le moment privilégié de la journée pour réunir la famille, ce sont les repas !
Une casserole à fond plat adaptée à la plaque pour éviter de perdre de la chaleur inutilement. Pour conserver la chaleur, mettre un couvercle sur sa casserole. Evitez d’ouvrir le four pour vérifier la cuisson du rôti.
La voiture, ça coûte cher, ça pollue… Les transports en commun utilisent moins d’énergie qu’une voitureindividuelle. Par exemple, le tramway consomme 15 fois moins d’énergie par km et par personne.
Choisissez de préférence des produits locaux et de saison, cela permet de réduire le recours aux serres chauffées et aux transports aériens et routiers, qui génèrent pollution et gaz à effet de serre.
Aujourd’hui, le gros électroménager doit afficher uneétiquette énergie, ce qui facilite les achats malins…
A comme « ah quel bon choix »G comme « gourmand »
Et il y a même des étiquettesA+ et A++ pour les appareilsles plus économiques.
Pensez à utiliser le micro-ondes pour réchauffer rapidement les petits plats Evitez de placer le frigo à côté d’une source de chaleur comme une fenêtre ensoleillée ou un four car, dans ce cas, il consomme beaucoup plus ! L'air doit circuler derrière le frigo ! ne le coller pas trop au mur et pensez aussi à nettoyer la grille arrière.
La consommation de froid coûte cher. Surveillez vos congélateur et frigo pour ne pas dépenser plus qu’il n’est nécessaire.
Règlez correctement le thermostat du réfrigérateur : 4 °C c’est largement suffisant. Vérifiez que la porte du congélateur soit bien fermée.
Dégivrez régulièrement ces appareils de froid (tous les 6 mois) car 4 mm de givre peuvent déjà faire doubler la consommation.
Profitez-en pour vérifier l’étanchéité des joints.
Triez le linge pour choisir le programme le plus économique : une lessive à basse température (30 °C ou 40 °C) consomme 3 fois moins d’énergie qu’un cycle à 90 °C et préserve le linge.
Programmez l’essorage pour faciliter le séchage et utilisez le fil à linge qui est gratuit et ne consomme pas d’électricité !Plus de la moitié de ce qui passe par nos éviers, WC… retourne à la nature. Pensez à l’action de vos détergents sur la faune et la flore, et choisissez de préférence des produits « verts », portant des écolabels officiels (NF Environnement…). N’hésitez pas à réduire les doses prescrites : cela marchera aussi bien.
Qui consomme 3 à 5 fois moins qu’une ampoule normale tout en durant 6 à 8 fois plus longtemps ? L’ampoule basse consommation !
Des ampoules bien nettoyées, c’est 40 % de flux lumineux gagné !
Programmez l’appareil pendant les heures creuses nous permet seulement de réduire la facture !
Une lampe halogène consomme autant qu’une vingtaine d’ampoules basse consommation !
Evitez les piles ! Le mercure d’une seule pile peut intoxiquer jusqu’à 500 litres d’eau. Préférez des piles rechargeables, branchez vos appareils sur le secteur ou, mieux, choisissez des chargeurs solaires ou à dynamo.
Avant d’aller se coucher, le dernier réflexe de la journée est d’éteindre les appareils en veille… Et oui tout le monde a le droit de dormir !
En veille, un magnétoscope consomme 80 % de son énergie.
Avant de se coucher, fermez les volets et les rideaux dans chaque chambre pour s’isoler de l’extérieur.
Baissez le chauffage pour la nuit…
Protégez la forêt : évitez d’acheter des produits en bois tropicaux non-certifiés ; ils peuvent être à l’origine de la déforestation. Il existe des labels comme le label FSC (Forest Stewardship Council), qui garantissent la traçabilité desproduits et une gestion des forêts respectueuse de l’homme et de la nature. »
SOURCES ET SITES UTILES
www.sieml.fr
www.ipcc.ch
www.effet-de-serre.gouv.fr
www.manicore.com
www.fnccr.asso.fr
Syndicat Intercommunald’Energiesde Maine et Loire