SI - Livre 1 -...

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O. Boussaid, 2016-2017

Master 1 INFORMATIQUE!

L'information est une ressource vitale pour l'organisation au même titre que le capital ou les ressources humaines.

Les systèmes d'information

Nécessité d'une collaboration étroite entre utilisateurset concepteurs.

Coût de l'information :- acquisition, traitement, transport, stockage et aussi le coût de la “non-information”.

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* Absence de conception globale d'un projet informatisation.

* Vision parcellaire des besoins

* Difficulté d'une maintenance efficace* N'intègre pas l'utilisateur dans la conception.

* Difficultés de planification et du suivi du travail.

Ä Apparition des méthodes de conduite de projet

Le projet est découpé en étapes faciles à planifier et à suivre.

Ø Méthode de conception des SI

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PROBLEMES

Historique :* Equipe de J.L.Lemoigne (Université Aix en Provence)* Centre d'Etudes Techniques de l'Equipement sous Hubert Tardieux (CETE).

è Contrat de recherche en 1974 CETIA (ex Centre Technique d'Informatique) èMaître d'œuvre de la méthode en 1977.

Le nom fût déposé en 1978.

M e r i s e : Méthode de conception des SI

Caractéristiques :

È Une vision globale de l'entreprise :la mise en place d'un S.I est liée a la refonte de l'organisation.

È Vision systémique de l'entreprise :d'après les travaux de J.L. Lemoigne et J. Melese et de J. de Rosnay à travers le symbole du macroscope.

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- Schéma Systémique de l'entreprise (d'après J.L.Lemoigne)

Vision systémique d’une entreprise

Informations vers

l'extérieur

InformationsExternes

Flux entrant Flux

sortant

Décisions Informations traitées

Système de pilotage Coordination, objectifs

Système opérant Production action

Système d'informations Mémorisation, Traitement

Informations Collectées

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DEUX APPROCHES :

@ Démarche par NIVEAUX

@ Démarche par ETAPES

Une séparation des données et des traitements :

déjà préconisée (depuis 1965) dans d'autres méthodes, depuis les SGBD suivent cette démarche.

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F niveau technique : moyens techniques nécessaires au projet (matériels, logiciels). Soumis à de fréquents changements. (troisième niveau d'invariance).

Une approche par Niveaux

Différents types de problèmes (changement de matériel, réglementation nouvelle,...) ª d'où différents niveaux correspondant à des préoccupations différentes

F niveau conceptuel :définition des finalités de l'entreprise. ensemble de règles de gestion traduisant les objectifs et les contraintes de l'entreprise. Le SI doit les intégrer. (niveau le plus stable). (ex : gestion du personnel, de tenue de comptabilité , ...)

F niveau organisationnel :organisation à mettre en place pour atteindre les objectifs visés : postes de travail, chronologie des opérations, nature des traitements.

(deuxième niveau d'invariance)

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Tableau des modèles

Niveau Données Traitements

Conceptuel Modèle conceptueldes données

MCD

Modèle conceptuel des traitements

MCT

OrganisationnelModèle logique des données

MLD

Modèle organisationneldes traitements

MOTTechnique

Modèle physique des données

MPDModèle opérationnel des traitements

MOpT2 autres étapes :

- l'étude de l'existant- la validation

Chronologie des étapes : 1) Etude de l'existant : (~50%)2) MCD || MCT et MOT : (~25%)3) Validation : (~10%)4) MLD5) MPD et MOpT (Ensemble) : (~15%)

Remarque : - Production de documents a chaque niveau (Dossier du projet).

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Une approche par Etapes

Ï Evaluer le projet a chaque étape pour mieux estimer les coûts, les délais, et l'implémentation auprès des utilisateurs.

v L'étude préalablev L'étude détailléev La réalisationv La mise en œuvre

@- L'étude préalable :doit être courte, s'appuie sur les différents niveaux des données et des traitements, mais sur les seuls points sensibles . (Résultats de l'étude :

rejet du dossier ;; modification du champ d'étude : autre étude préalable ;; poursuivre le projet).

@- L'étude détaillée :Ø Etablissement des spécifications fonctionnelles externes.Ø Conduite de l'étude préalable.Ø Définition de scénarios de réalisation et de mise en œuvre.Ø Prévision des travaux pour chacun.

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Une approche par étapes

@- La réalisation : se subdivise en étude technique et production des programmes.

- Marquée par la réception contractuelle du projet.

@- La mise en œuvre :mise en place de l'organisation et préparation du lancement.

Définition des structures et procédures transitoires. Information et formation du personnel d'encadrement. Exécution, ... Se termine par la phase de lancement, et par la validation définitive du projet (par

utilisateurs et direction)

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Courbe du Soleil

ETAT ACTUEL ETAT FUTUR

Elaboration des modèles de données

Elaboration des modèles de traitements

- Vues et modèles externes- Fusion- Conflits- M.C.D.

- Circulation des documents- M.O.T.- M.C.T. - Bilan existant

Description conceptuelle

-Scénarios conceptuels- M.C.D. futur -M.C.T. Futur- Validation

Description organisationnelle

- Scénarios organisationnels- M.L.D.- M.O.T

Description physique

- Scénarios de développement et de mise au point- M.P.D.- M.Op.T.- Confidentialité- Ergonomie- Dossier de choix

NIVEAU PHYSIQUE

NIVEAUCONCEPTUEL

NIVEAU LOGIQUE

Recueil des l'Existant

-Définition du champ d'étude- Collecte del'existant- Système documentaire- Entretiens- Description de l'existant

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Etude de l'existant

ENTRETIENS

ABC

CA B

D

D

...

...

xx

x x

MATRICE DES FLUXx

x

A

BC

D

flux 6

flux 2

flux 3flux 4

flux 5

flux 1

GRAPHE DES FLUX

SYSTEME DOCUMENTAIRED1

D2 D3

D5

D7

D8

D6

D4

Processus

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Ü Structuration des informations

Plusieurs approches de modélisations des données :

• Modèle E/A• Modèle Relationnel• Modèle Objet• Modèle XML• …

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LE MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES

Utilisateur 1

Chef de projet

Modèle conceptuel(vues modèles externes)

Administrateur B.D

Applications

- Description de l'organisation - Domaines d'applications - Objectifs -Contraintes

Monde réel

Modèle externe n

Modèle logique(S.G.B.D)

Modèle Interne(Ordinateur)

Vues

Modèle externe 1

Modèle externe 2

Utilisateur n

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Le modèle Entité-Association

C'est un objet de gestion, un individu, un objet concret ou abstrait, ayant une existence propre et utilisé en tant que tel dans le SI. L'objet possède un identifiant et des propriétés. (Conforme aux choix de gestion de l'entreprise).

exemple d'entités (ou d'objets ):

- Client- Livre- Commande- …

ENTITE

- identifiant

- porpriété 1

- propriété 2

F ENTITE

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C’est une donnée élémentaire (conforme au choix de gestion del'entreprise). Elle décrit les entités et les associations.Une propriété (ou rubrique ou attribut) est une information élémentaireprise sur une entité.

Entité Propriété Valeur Livre

Titre

Les systèmes d’information

Auteur B. Ramo Editeur Eyrolles

F PROPRIETE

Exemple :

LIVRE COLLECTION

- L_ID - C_ID- Titre - Nom collection- Auteur - Année- Editeur

Appartenir

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C’est un ensemble de valeurs d'une propriété, indépendamment de l'entité à laquelle elle appartient.

Selon sa nature, un domaine peut être booléen, numérique, caractère, chaîne de caractères,...

F DOMAINE

Exemple :

F NATURE

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Il est appelé également clef d'entité, index, c'est une propriété, parfois plusieurs, permettant d'identifier de manière unique les occurrences d'une entité.

Exemple :"Nom" : ne peut être identifiant à lui seul ;; on choisit alors : "Nom" et "Date de naissance".

Il existe plusieurs types d'identifiants :code non significatif : attribution d'un numéro qui est chronologique parfoissémantiquement indépendant de l'entité, uniquement pour l'identifier.code significatif : dépendant des propriétés de l'entité qu'il identifie.

F IDENTIFIANT

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C’est une relation entre entités. Elle est dépourvue d'existence propre (conforme aux choix de gestion de l'entreprise).

Une association est un événement d'activité ou un fait établi de la vie d'un organisme qui met en relation plusieurs entités.

F ASSOCIATION

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LIVRE COLLECTION

- L_ID - C_ID- Titre - Nom collection- Auteur - Année- Editeur

Appartenir


Association unaire, binaire, ou N-aires.

Peut comporter des propriétés ou pas.

Elle est égale au nombre d’entités participant à celle ci. (dimension souhaitée inférieure ou égale à quatre)

F Dimension d’une association

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Notion d'occurrence :* d'une propriété* d'un objet* d'une relation

Occurrence d'une propriété : elle correspond à une réalisation (une valeur, une unité réelle) appartenant à cette propriété.

Occurrence d'une entité : elle correspond à un ensemble de réalisations de chacune des propriétés appartenant à cette entité.

Occurrence d'une association : elle correspond à une réalisation de chacune des entités participant à cette association.

F Autres concepts

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Chaque ligne de ce tableau correspond à une occurrence d'une entité.

Exemple :

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Titre Auteur Editeur ParutionLes bases de données J. Piret Eyrolles 2000Informatique M. Lino Vuibert 1998Droit P. Veulin Bordas 2002


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F Association réflexive

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MICHEL

PAUL

BERNARD

HERVE

Est parent de

Est parent de


Participations minimale et maximale des objets à une relation.

exemple :

F Cardinalités

Types de cardinalités :

Association de dimension supérieure à 2 : ==> schéma en épaisseur

0,1 : une seule participation au plus

1,1 : une et une seule participation

0,n : aucune ou plusieurs participations

1,n : une ou plusieurs participations

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Ö Il existe 4 types de propriétés :

F Typologies des propriétés

u Propriété signalétique : Elle renseigne sur l'identification de l'entité. Elle possède une valeur stable :

Exemple : nom, date de naissance d'élève, couleur, libellé d'une marchandise…

u Propriété de situation : Elle renseigne sur l'état d'une entité en activité. Elle possède une valeur stable :

Exemple : la note d'un élève, la quantité en stock d'une marchandise...

u Propriété de commande : Elle renseigne sur la gestion d'une entité. Elle possède une valeur à partir de laquelle des décisions sont prises :Exemple : note éliminatoire d'une épreuve, seuil critique d'un stock,....

u Propriété historique : Elle renseigne sur le passé d'une entité :Exemple : note du trimestre d'un élève, état de stock d'une marchandise le mois dernier…

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- Elle définit en compréhension les valeurs possibles d'une rubrique.

Exemple- Le taux de TVA ne doit pas excéder 19,86% ;; - Le taux de TVA n'est jamais nul.

- Elle définit en extension les valeurs d'une rubrique

Exemple :- Les taux de TVA prennent les valeurs 5,5%, 12,5%, 19,86%.

F Contraintes d’intégrité@ Contrainte d'intégrité associée à une rubrique :

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C'est ce qu'on appelle une dépendance fonctionnelle (d.f.) . Elle assure la cohérence du SI.

Définition :

Deux données sont en d.f., si la connaissance d'une valeur de la 1ière permet de déterminer la connaissance d'une valeur de la seconde.

La 1ière donnée est dite "source", la seconde est le "but".

Exemple :

N° Elève ---> Nom Elève :

« Tout numéro d’élève donne un seul nom d’élève et un seul."

N°Bon de Cde ---> N° camion : "Tout bon de commande ets associé à un seul camion."

@ Contrainte d'intégrité associée à plusieurs rubriques

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F Contraintes d’intégrité

Corollaire :

Deux données sont en dépendance non fonctionnelle si la connaissance d'une valeur de la 1°:

- soit ne détermine aucune connaissance d'une valeur de la 2°,

- soit détermine la connaissance de plusieurs valeurs de la 2°.

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@ Contrainte d'intégrité associée à plusieurs rubriques:


F Contraintes d’intégrité

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Une entité est en 1FN, si d'une part elle possède un identifiant, d'autre part toutes ses propriétés sont élémentaires par rapport aux règles de gestion.

"Adresse" = "Nom rue" + "Numéro." + "Ville"

. ne pas éclater "Adresse", si le système gère les adresses;;

. il faut l'éclater si le système gère "Nom rue", "Numéro", "Ville" séparément.

F NORMALISATION

Première forme normale :

Un objet est en 2FN, si étant déjà en 1FN, chacune de ses propriétés (nefaisant pas partie de l'identifiant) est en dépendance fonctionnelle avecl'identifiant.

Deuxième forme normale :

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Un objet est en 3FN, si étant déjà en 2FN, chacune de ses propriétés (ne faisant pas partie de l'identifiant) est en dépendance fonctionnelle directe avec l'identifiant.

(c.a.d. : une propriété portée par l'objet doit dépendre de l'identifiant - et de tout l'identifiant - de cet objet).

Troisième forme normale :

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Recueil d'information :

Cette étape doit conduire à la conception d'un dictionnaire de donnéesà l'aide d'une grille d'analyse et à la description des règles de gestionet des contraintes d'intégrité.

@ Exemple :

On dispose d’un ensemble de règles de gestion et de trois documents D1, D2 et D3 utilisés pour gérer le cas Manoutil :

Cas Manoutil

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F La société Manoutil est spécialisée dans la vente d’outils de bricolage dans des camions sur les places de marché.

F Les produits sont vendus directement au public par l’intermédiaire de camionneurs qui se rendent sur les places de marché des villes et villages. La semaine précédent une vente, une distribution du catalogue des produits et de bons de commande est effectuée.

F Pour acheter un outil, un client doit remplir lui-même son bon de commande(Document D1), et se rendre au camion qui effectue la vente. Le bon de commande sera complété par le camionneur après la vente

F L’affectation d’un camion à un camionneur n’est pas systématique mais conjoncturelle. F Les camionneurs sont rémunérés selon un taux de commission individuel appliqué au montant

hors taxe des ventes effectuées. (Document D2). F Le taux de TVA est fixé à 19,6%.F Lorsque le total des commissions ne dépasse pas 200€, Manoutil assure à ses employés un

forfait de 200€.F Les quantités de marchandise transportées dépendent de la contenance du camion. F Le réapprovisionnement d’un camion est la différence entre les ventes précédemment réalisées

et les quantités de produits admises.F Une liste de réapprovisionnement est établie (Document D3).

Cas Manoutil : règles de gestion

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Elle permet de concevoir un document qui recense les différentes propriétés figurant sur l'ensemble des documents existants.

La grille d'analyse

N° Camionneur X X N° Camionneur Nom camionneur X X Nom camionneurN° Camion X X N° Camion Catégorie X CatégorieN° Bon de Cde X X N° Bon de Cde Référence X X RéférenceDésignation X X DésignationQté Cdée X Qté CdéeP.U. XMontant T.T.C. X ANet à pâyer X ATaux Commission X Taux CommissionMontant H.T. X ACommission X LTotal commssion X AMontant commission X AQté vendue X AQté admise X Qté admiseRéappro. X A

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Remarques

þ Une rubrique est dite paramètre si sa valeur peut être constanteou prévisible et dont l'utilité est ponctuelle.

Exemple: date, ou N° bon de cde qui n'est jamais réutilisé.

þ Une rubrique est dite arithmétique si elle est calculée à partird'autres rubriques.

Exemple: A3 :Montant H.T. = MontantT.T.C. * (1 – 0,1986)

þ Une rubrique est dite logique si elle résulte de l'application d'unerègle de gestion.

Exemple : L : Si Total-commission < 200 €Alors Commission := 200 €Sinon Commission := Total-commissionFinSi

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Dans le DD, ne figurent que les données qui ne sont ni de type paramètre, ni de type arithmétique et ni de type logique.

Cependant, exceptions faites pour :

• les données calculées d'utilisation fréquente,• les données calculées de type situation ou historique?• les paramètres utilisés comme identifiants (cas des codes non significatifs).

1 Constitution du dictionnaire de données

Rubriques Domaine Naure Longueur Type

N° Camionneur N° entiers 4

Nom camionneur Noms chaînes car

N° Camion N° entiers 3

Catégorie chaînes car 2

N° Bon de Cde N° entiers

Référence références entiers

Désignation chaînes car

Qté Cdée réels

Taux Commission réels

Qté admise entiers

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v Etablissement de la matrice réduite aux index d'ordre 1

Rubriques 1 2 3 41 - Nom Camionneur X

2 - N° Camion X3 - N° B. de Cde 4 - Référence

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w Construction de la Structure d'Accès Théorique (S.A.T.)

3 - N° B. de Cde

1 – N° Camionneur2 - N° Camion

4 - référence

Désignation

Taux Commission

12 - (3) + (4)

Qté cdée

13 - (2) + (4)

Qté admise

P.U.

CatégorieNom camionneur

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@Remarques :

G Chaque index d'ordre 1 représente une entité ayant pour identifiant l'indexet pour propriétés les buts des D.F., dont la source est l'index en question.

G Chaque index d'ordre N > 1 représente une association ayant pouridentifiant (articulé) l'index et pour propriétés les buts des D.F., dont la sourceest l'index en question.

G Les D.F. entre index représentent des C.I.F.

G On peut compléter le schéma par des associations non porteuses depropriétés et qui sont exprimées par les règles de gestion (ce sont lesassociations conceptuelles).

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x Construction du Modèle Conceptuel des données (MCD)

1,n

1,n

1,n

1,1

C.I.F.

Contenir

- Qte admise- N° Camion, Référence

Vendre

- Qte vendue- N° Bon de Cde, Référence

1,n

1,n

1,1

1,n

CAMIONNEUR

- Nom camioneur-Taux Comm.

- N° camioneur

CAMION

- Catégorie- N° camoin

OUTIL

- Désignation- P.U.

- Référence

BON DE COMMANDE- N° Bon de cde

C.I.F.

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Remarques :Si le temps (date, ...) intervient dans l'identification d'un événement, il est parfoisplus intéressant de le définir comme entité, plutôt qu'une propriété.

Si une associat ion a son identifiant comme étant propre à elle (vraiment), elle peutêtre transformée en entité.

Pour chaque association du modèle, établir les cardinalités pour chaque entité en définissant ses participations minimum et maximum à l'association.

Rappel des différents types de cardinalités:

0,1 1,1 0,n 1,n

y Etablissement des cardinalités

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