Senior Detente Magazine N°6

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DOSSIERMaisons Bois

FORME ET SANTÉ

N°6 - Avril-Mai-Juin 2009

Se mettreau golf

AUTO électrique

La I-MiEV150 km d’autonomie

20ème FESTIVAL DES ETONNANTS VOYAGEURS A SAINT-MALO

Nos lecteurs sont aussi vos clients : des Seniors actifs

Senior Détente Magazine est dis-tribué dans les salles d’attente, des médecins, des notaires et des offices de tourisme, des terrains de golf, des casinos, des départements duMorbihan et d’Ille et Vilaine et à la Maison de la Bretagne à Paris.

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Senior Détente Magazine - 34 rue Saint-Michel - 35600 RedonE-mail : 09 79 20 76 50

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FINISTERECOTES D’ARMOR

MORBIHAN

ILLEET

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Ille-et-Vilaine :Bain de Bretagne,Bruz,Châteaubourg,Châteaugiron, Combourg,Fougères, Janzé, Mordelles, Plélan le Grand, Redon, Rennes, Saint-Malo, Vitré...

Morbihan :Auray, Baud, Hennebont, Josselin, Locminé, Lorient, Malestroit, Muzillac, Ploërmel, Pontivy, Rochefort en Terre , Sarzeau , Séné, Vannes...

Ouf, ça y est ! Le printemps est enfin de retour. C’est pas trop tôt. Plus de lumière avec des jours qui rallongent, rien que du bon pour le moral. D’autant que s’il fallait écouter lesdiscours pessimistes de certains, on serait encore dans le noir ou le rouge, c’est selon ! Mais, ne parlons pas de choses qui fâchent etregardons de l’avant.Et pour profiter des beaux jours, nous vous avons concocté un magazine tourné résolu-ment vers l’avenir. Ainsi, dans notre rubrique finances et patrimoine, nous vous présentons un dossier consacré aux maisons en bois.Ecologiques, économiques, rapidité de la mise en œuvre, sont au moins trois bonnes raisons pour s‘y intéresser de plus près.Notre rubrique Santé et Forme est quant à elle consacrée au Golf. Sport populaire enAngleterre, il est en revanche dans l’hexagone resté encore trop élitiste. Mais il se démocratise.Parce qu’il allie à la fois respect de lanature et santé, le golf devrait en convaincre plus d’un d’aller faire un petit tour sur les greens. Profitez donc, des portes ouvertesorganisées par les clubs durant cette saison pour vous initier. Ce serait dommage de ne pas en profiter, notamment quand c’est gratuit.Enfin, pourquoi ne pas aller prendre le soleil du côté de la Réunion, Île Petite par excellence.Pour ceux qui désirent recevoir SeniorDétente Magazine rendez-vous pages 6 et 31.

Bonne LectureAlain ARTUR

Directeur de la publication : Alain Artur Tél. 09 79 20 76 50 - E-mail : ré[email protected]édaction : 34 rue Saint-Michel. 35600 RedonDirecteur de la rédaction : Alain Artur Collaboration : Finances et patrimoine : Jean-Pierre Saunier, Alain Artur. Maître Alain Gautron.Forme et Santé : Michel Divet. Internet et Informatique : Serge Escalé. Auto/VDL : Marc Allias. Tourisme : Bruno Gomes. Pour joindre la rédaction : Tél. : 09 79 20 76 50Impression : Rapid’Imprimerie - Parc d’activité de la Chaussée - 56220 MALANSAC - Tél. 02 97 66 25 23Rédactrice graphiste et maquette : Sandrine Chevalier, MOZAÏQUE - Tél. 02 99 72 12 29 - E-mail : [email protected]épôt légal : 2ème trimestre 2009. N° ISSN : 1962-2368Senior Détente Magazine est édité par BRETAGNE EDITIONS LOISIRS.Capital : 1000 EUROS - SIÉGE SOCIAL : 34, rue Saint-Michel 35600 RedonRCS / 501 802 425 RCS RENNES - TVA Intracommunautaire : FR 73 501 802 425Service commercial : 09 79 20 76 50 - E-mail : [email protected]

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TOURISME ET DÉCOUVERTE

Pages 32

● La Réunion, l’île pépite

INTERNET ETINFORMATIQUE

Pages 28

● Des Trucs et des astuces sur Internet

AUTO Véhicule De Loisirs

Pages 25

● Un fourgon , pour aller partout où vous voulez

ACTUALITÉPages 4

● Premier Rallye Raid pour babyboomers au Maroc

FORME ET SANTÉPages 20

● Se mettre au golf

FINANCESET PATRIMOINE

Pages 14

● Construire une maison en bois

ACTUALITÉ

UN RALLYE RAID RÉSERVÉAUX BABYBOOMERS

SPYD Organisation basée à Mérignac (33) vient tout jus-

te de régler les derniers p r é p a r a t i f s d u p r e m i e r r a l l y e r a i d réservé aux seniors : « le B A B Y B O O -

MER’S ADVENTURE RAID MAROC 09 ». En fait, Yann DUFFILLOT, le patron du Raid a tout simplement eu l’idée d’organiser la première course exclusivement réservée aux babyboomers. Le règle-ment est formel, le raid est ré-servé aux pilotes de plus de 50 ans et exclusivement aux autos deux roues motrices. Le raid part de Bordeaux le jeudi 14 mai pour rallier Mar-rakech le mardi 23 mai en passant par Tanger, les dunes de Merzuga et l’ensorcelante Ouarzazate dans le Sud ma-rocain. A noter que les moins de 50 ans pourront également participer à ce nouveau raid mais en binôme avec un Se-

nior dans la catégorie Junior/ Senior. Avec cette catégorie particulière « nous ouvrons la possibilité par exemple à un père et son fils ou sa fille de participer à ce raid. » sou-lignent les organisateurs du rallye. Côté véhicules, 4 catégories ont été élaborées : les “ HISTO-RIC “ avec des voitures deux roues motrices de marques et de modèles ayant participé aux grands rallyes « africains » Sa-fari, Bandama, Maroc, Dakar, et fabriquées antérieurement à 1990. Ce peut être une Alpine 1300, 1600... Citroën DS, CX... Peugeot 504, 505, ou encore une Renault R8, R12, ou un Buggy WV. La deuxième ca-tégorie “CLASSIC” rassemble des voitures deux roues mo-trices fabriquées antérieure-ment à 1990. Chez Citroën, on retrouve les incontournables 2CV, Dyane, Mehari, Visa, GS, LN. Pour Peugeot les 104, 204, 205, 304, 305 sont accueillies à bras ouverts. Enfin chez Re-nault ce sont les R4, R11, R14,

R16 et autres R20. La troisième catégorie dite “RAID” associe les voitures deux roues motri-ces de moins de 6 CV fiscaux fabriquées antérieurement à 2000. Ici, concourront les Ci-troën Saxo, C15, les Peugeot 205, Renault Twingo, R5, R6, Clio. Mais la liste n‘est pas ex-haustive assurent les organisa-teurs “les véhicules étrangers Ford, Datsun, Fiat, Opel. sont les bienvenus “. Enfin dernière catégorie dénommée “SMALL 4x4” réunit les deux roues motrices antérieures à 1990 qui sont sorties en version 4x4 avec un kit style Dangel, Sinpar, Voisin.Renseignements : www.babyboomers-dventure.comTél. : 05 56 97 28 64.

LA SNCF REMBOURSERA LES BILLETSDE TRAIN EN CAS DE RETARD

Aujourd’hui lorsque la SNCF accuse un retard de plus de

trente minutes vous vous voyez remettre en dédommagement une lettre pour bénéficier d’un bon de voyage.

A partir de décembre 2009, La SNCF devrait s’aligner sur une directive européenne qui l’obligera à un remboursement partiel de votre billet. Le rem-boursement devrait être de 25% du prix du billet pour une heure de retard et de 50% pour deux heures. «Nous voulons appliquer ce règlement européen le plus tôt possible, début 2010 ou fin 2009 si c’est possible», a affirmé Mireille Faugère, res-

ponsable des grandes lignes à la SNCF. Du coup, les usa-gers pourront donc se faire rembourser directement sur leur compte bancaire ou opter encore pour des bons-voyages mais seulement pour les re-tards supérieurs à une heure. Pour les retards compris entre trente minutes et une heure, la règle du bon-voyage restera.

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ACTUALITÉ

Médiamétrie qui mesure l’audience des média audiovisuels a révélé dans son

dernier rapport sur la fréquentation du cinéma que l’année 2008 aura été l’année des records. Ainsi, pas moins de 36 millions de Français ont

été se faire une toile l’année dernière. Déjà en 2004 on avait remarqué le boum du ci-néma avec le film « Les Cho-ristes » qui avait raflé la mise. Cette fois-ci, c’est le phéno-mène « Bien-venus chez les Ch’tis » avec ses 20millions de spectateurs

à lui tout seul, qui a très certainement boosté la fréquentation lors du premier semestre 2008. Certes les spectateurs les plus assidus sont tou-jours les jeunes citadins, il n’empêche, les se-niors ont également repris le chemin des salles obscures. Et c’est tant mieux. En fait, depuis le début des années 2000 la tendance se confirme d’année en année. Ainsi, Médiametrie a noté qu’en 20 ans, la part des seniors - les 50 ans et plus, qui vont au cinéma - a progressé de près de 60 %, passant ainsi de 16 % à 25 %. Désormais, les seniors sont une catégorie de spectateurs avec laquelle il faut compter !

Déjà en 2004, on trou-vait davantage d’assi-dus* parmi les 50 ans et plus que dans toutes les autres tranches d’âge y compris les 15-24 ans ! Mieux, en 2008, près de la moitié des 60 ans et plus (47,8%) sont allés au cinéma soit 8 points de plus que l’an-née précédente. Alors qu’en 2000, ils ne ras-semblaient alors que 3 spectateurs de cinéma sur 10 (29,3%) – . Et 56% des 50-59 ans ont

LES SENIORS VONTDE PLUS EN PLUS AU CINÉMA

eux aussi pris leur ticket pour rêver. La pério-de septembre-décembre 2008 est également marqué par un regain impor-tant. Le cinéma jouant peut-être son rôle anti-dépresseur. Nul doute que l’année 2009 sera aussi bé-néfique que 2008 d’autant que l’offre est de plus en plus diversifiée et que les salles sont aujourd’hui de mieux en mieux équipées. (source : http://www.mediametrie.fr)*Les assidus sont allés au cinéma au moins une fois au cours des 7 derniers jours.

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SUDOKUPetite histoireContrairement à ce que l’on pourrait croire le sudoku a été inventé par un suisse au XVIII em siècle. Mais ce sont les japo-nais qui lui donneront ses lettres de noblesse en 2005 lorsqu’un informaticien passionné par ce jeu a en effet réussi à mettre au point un programme infor-matique capable de générer des grilles à l’infini. Bienvenue dans le monde de la Sudokunania.

RègleLa grille proposée compte 9 ca-ses x 9 cases, divisées elles-mê-mes en carrés de 3 x3. Certaines cases sont déjà remplies avec des chiffres de 1 à 9 . Le jeu con-siste donc à compléter toutes les cases avec des chiffres compris entre 1 et 9, et que chaque ligne et chaque colonne ne contienne qu’une seule fois chacun des chiffres de 1 à 9.Bon jeu!!

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Réponses page 35

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ACTUALITÉ

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LES NOUVEAUX BIENFAITSDES OMÉGAS 3 SUR LA MÉNOPAUSE

Les oméga3 et leur influence sur la ménopause ont fait l’objet d’une étude réalisée au Canada

sous la direction du chercheur Michel Lucas pro-fesseur en épidémiologie à la faculté de médecine de Laval au Québec. L’étude a été publiée en février dernier dans l’Américan Journal of Clinical Nutri-tion. L’étude réalisée par l’équipe du professeur Lucas est une première puisqu’elle tente de montrer l’ef-ficacité des suppléments d’oméga 3 pour soulager les symptômes dépressifs légers liés à la méno-pause. 120 femmes âgées de 40 à 55 ans ont ainsi participés à cette étude. Deux groupes ont été constitués. Le premier groupe a pris régulièrement pendant 8 semaines 3 gélules contenant 1 gramme d’oméga3 d’origine marine.

Le second groupe a simplement consommé trois gélules d’huile de tournesol , sans oméga 3 bien sûr. « Les différences que nous avons observées entre les deux groupes ne sont pas anodines, surtout si on considère que les oméga-3 ont peu d’effets secondaires et qu’ils procurent des bienfaits sur le plan de la santé cardiovasculaire » souligne le professeur Michel LUCAS.Etat psychologique amélioré, baisse des bouffées de chaleur, les chercheurs canadiens n’hésitent pas à parler d’amélioration significative. Bref, Les oméga 3 pourraient bien être pour nombre de femmes la solution adéquate de substitution aux antidépresseurs trop souvent prescris.

LE NOUVEAU PETIT FUTÉ PARIS SENIORS

PARIS SENIORS 2009, 2eme édi-

tion, édité par le Petit Futé est enfin sorti. Comme d’habitude, les rédacteurs du Petit Futé sont allés fureter dans tous les coins et recoins, ou presque, de la Capi-tale. Certes ce guide s’adresse principale-ment aux parisiens mais pas seulement. Car il vous permettra aussi d’organiser au mieux votre prochain séjour à Paris avec des visites guidée et insolites . Ainsi pour les adep-

tes des matins langoureux, à vous les meilleurs endroits pour des brunchs improvisés et ce pour toutes les bourses. On a ainsi noté, entre autres, un brunch du di-manche sans chichis pour 17€ par personne à la Ferme Opéra dans le 1er arrondissement. Et ceux qui préférent des univers plus parisiens, pourront se rendre au très sélect hôtel Crillon. Mais il vous faudra débourser entre 66€ et 72€! Vous trouverez

également dans cette dernière édition du PARIS SENIORS 2009 toutes les bonnes adresses des brasseries, salons de thè, et des restaurants pour gastronomes avertis. Les amateurs d’antiquité et brocantes trouve-ront aussi dans cet ouvrage toutes les boutiques et galeries susceptibles de leur permettre de dé-nicher l‘objet rare.Bien évidemment à l’honneur dans cette nou-velle édition 2009, toutes les adresses des musées, des cabarets et des théâtres. Une petite mention pour la rubrique “sortir avec ses petits enfants” qui ne liste qu’une vingtaine de lieux seulement. Bref, le Petit Futé a déniché pour vous une foule d’adresses pour découvrir ou redécouvrir Paris.Prix public : 8€ dans toutes les bonnes librairies.

ACTUALITÉ

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UN CARNET POUR SAUVER DES VIES

Lors d’un accident de la route, c’est souvent la ra-

pidité de l’intervention mais aussi celle des premiers soins prodigués qui permettent de sauver des vies. « C’est suite

à plusieurs malaises au vo-lant, alors que je suivais un traitement médical, que l’idée m’est venue : permettre aux urgentistes en cas d‘accident de connaître tout de suite les informations santé indispen-sables aux premiers soins grâce à un livret de santé » déclare Maxime LAFOSSE qui a donc conçu le tout premier Livret d’Informations Santé. C’est simple, mais il fallait y penser. Tout comme il existe le carnet de santé, il y aura désormais le livret de santé de l’automobiliste ou du motard que l‘on renseignera et que l‘on placera dans la boîte à gants ou son sac. Photo d’identité, date de naissance, groupe sanguin, allergies et maladies connues, traitement en cours, maladie cardiaque, personnes à pré-venir sont autant d’informa-tions qui peuvent sauver des

vies lorsque l’accidenté ne peut communiquer avec les secours. Et pour informer les secours que l’on possède ce livret, un macaron pourra être apposé sur le pare-brise du véhicule ou sur le casque. Car une ver-sion plus petite, taille d’un passeport, est également dis-ponible pour les deux roues et les piétons. Maxime LAFOSSE a réalisé ce livret en colla-boration avec le SMUR et leDr Marc Péron, cardiologue à Versailles.Tous les SMUR et SAMU de France ont été informés de l’existence de ce nouveau li-vret. Et Maxime LAFOSSE es-père bien obtenir la reconnais-sance d’utilité publique, pour rendre ce livret complètement gratuit. Aujourd’hui il est dis-ponible dans les pharmacies au prix de 4,90 € et en vente sur le site www.lissr.com.

LE TÉLÉPHONE PORTABLEDANGEREUX POUR LA SANTÉ ?

Le téléphone portable, dan-gereux pour la santé ?

Pas facile de se faire une idée bien précise sur le sujet. Ainsi, l’étude Interphone lancée en 2000 dans 13 pays (*) devait mettre un terme à la polémi-que. En effet, cette enquête in-ternationale a mesuré l’impact du téléphone sur le cerveau et plus particulièrement au risque de survenue de gliome du cer-veau, de méningiome cérébral, de neurinome du nerf acousti-que et de tumeur de la paro-tide. Et tout le monde attend avec impatience ces résultats. Mais, il faudra attendre encore un peu puisque les résultats dont la publication était prévue

pour la fin 2008 est finalement repoussée pour l’automne pro-chain. « Il faut l’agrément de tout le monde, pour que l’on arrive à publier », assurait le Dr Martine Hours, coordina-trice de l’enquête en France. à nos confrères du « Figaro » en janvier dernier. Reste que ce retard enfle la polémique et soulève de nouvelles inter-rogations. Les opérateurs de téléphonie mobile souhaitent-ils vraiment la publication de ces résultats ? Les téléphones portables seraient-ils nuisibles pour le cerveau ? Non ! préten-dent les accros qui affirment que ce retard démontre tout simplement que les experts

n’ont rien trouvé. Dans l’at-tente des résultats, mieux vaut encore utiliser le plus souvent possible le kit main libre.

(*)France, Royaume-Uni, Al-lemagne, Italie, Danemark, Suède, Norvège, Finlande, Ca-nada, Japon, Nouvelle-Zélan-de, Australie, Israël.

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ACTUALITÉ

LA LEVURE DE RIZ ROUGEPOUR ÉQUILIBRER SON CHOLESTÉROL

En chine, la levure de riz rouge est consommée com-

me un aliment à part entière et ce depuis des siècles. Ces pro-priétés particulières ont été analysées et aujourd’hui on peut l’utiliser efficacement en complément alimentaire car elle peut également équilibrer le taux de cholestérol sanguin. La levure de riz rouge est obtenue par la fermentation d’un cham-pignon microscopique sur le riz.Ce micro-organisme (Monas-cus purpureus) produit un pig-ment rouge caractéristique qui a donné son nom à la levure. Mais surtout, cette levure de riz rouge renferme de la lovas-

tatine, un produit naturel pro-che des satines, médicaments bien connus pour faire baisser la cholestérolémie . En agissant sur le métabolisme du cholestérol, la levure de riz rouge favorise ainsi le bon fonctionnement des artères et réduit les facteurs de risques cardiovasculaires. MGD Na-ture à Hennebont qui commer-cialise le produit préconise 2 à 3 gélules par jour. Disponible dans les magasins diététiques, prix conseillés ; 22,78€. Renseignements MGD

Nature 02 97 85 10 15 ouhttp://ww.mgdnature.com/

LES SECRETS DU STRADIVARIUS RELEVÉS

Pour nombre de mélomanes et musiciens l’acoustique

des violons fabriqués par Anto-nio Stradivarius, il y a plus de

trois ans, restait un mystère. Et c’est le Dr Berend Stoel, de la faculté de médecine de Lei-den aux Pays-Bas qui a enfin levé le voile sur cette énigme. En effet, le docteur hollandais a fait subir une tomodensi-tométrie avec un scanner à plusieurs violons de Crémone. En temps normal, une tomo-densitométrie mesure sans pré-lèvement de tissu, la densité des poumons de malades. Le docteur Stoel a donc conçu un programme informatique particulier pour étudier cette fois-ci les densités de bois à partir de tomodensitomètres médicaux. Ainsi, cinq stradivarius et sept autres violons plus modernes ont été passés au scanner. Résultat, la densité moyenne du bois des violons anciens et de modernes n’affiche pas une différence notable. Toutefois, les différences dans la densité

des couches du bois utilisé se révèlent nettement plus faibles dans les stradivarius que dans les violons modernes. Un examen approfondi a donc pu prouver que juste-ment ces différences de den-sité étaient largement moins marquées dans les stradivarius que dans les violons modernes.On se doutait que les différen-ces de densité du bois agis-saient sur l’intensité des vibra-tions et donc de la production du son. Ce nouvel examen scientifique confirme ainsi qu‘un bois plus homogène produit un son plus plein et plus rond. Mais tout comme la voiture ne fait pas le pilote, le stradivarius ne fait pas le concertiste.

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ACTUALITÉ

LES SUISSES S’INSTALLENT EN FRANCEPOUR ÉCHAPPER AU FISC

Selon le journal «Swissin-fo», des retraités Suisses

choisissent de plus en plus la France pour des raisons fisca-les.En effet, le dispositif fiscal français leur permet d’échap-per à l’imposition des deux pays. Ainsi, les suisses cotisent à deux piliers pour se consti-tuer leur retraite. Au moment de la retraite, le premier est versé sous forme de rente men-suelle. Mais pour le second, nos voisins Helvètes peuvent choisir de le retirer soit sous forme de capital soit de rente. Reste qu’ en vivant en Suisse, ce capital est taxé de 8% à 10%, en fonction du canton de rési-dence. En revanche, en déménageant pour la France, et ce avant de toucher le pactole, les Suisses bénéficient d’une convention signée entre la France et la

Suisse qui leur évitent tout simplement une double impos i t ion .Et comme le droit fran-çais ne prévoit pas de taxer ce type de capi-tal, les exilés suisses échappent non seule-ment à une taxation sur cette somme mais évitent éga-lement de payer l’impôt sur le revenu en Suisse! Certains ont fait leurs comptes et ont tout simplement décidé de passer de l’autre côté de la frontière pour échapper au fisc trop gourmand. Toutefois, pour bénéficier de cette convention si particuliè-re, il doit y avoir changement complet de domicile et l’obli-gation de résider au moins deux ans en France. Lorsque l’on sait que le capital de pré-

v o y a n c e p r o f e s s i o n n e l l e peut varier de 80 000 € jus-qu’à 5 millions €, on comprend mieux l’attirance des Suisses pour les verts pâturages fran-çais. D’autant que ceux qui ont un capital inférieur à 800 000 € échappent aussi à l’impôt sur la fortune, car la majorité des cantons suisses ont maintenu l’ISF.

FACE A LA CRISE, MISEZ SUR LA CULTURE

Les collections de beaux li-vres sont devenus des pla-

cements juteux. Qu’on en juge par l’étude réalisée la banque Lazard. Cette dernière montre ainsi que si l’indice Dow Jones a été multiplié par 13 entre 1977 et 2004, la valeur de l’édition originale du « Discours de la méthode » - premier texte phi-losophique écrit par René Des-cartes et publié en 1637- est passée de 5 183 € à 230 000 € sur la même période. Toutefois, une solide culture littéraire et une connaissance approfondie des techniques de fabrication du livre restent indispensables pour qui veut se lancer sur le marché. Généralement, deux types de

collectionneurs fréquentent as-sidûment les salles des ventes. D’un côté ceux qui se passion-nent pour le contenu et donc aux éditions rares de grands auteurs et de l’autre les afi-cionados du contenant pour les illustrations et les belles reliures. Pour vous initier, sachez que le 9 juin prochain, la maison de ventes Alde organise une vente aux enchères avec des livres réalisés dans les années 1930 par le relieur Henri Creu-zevault pour l’amateur Gaston Gradis. La vente aura lieu à partir de 14h au 7, rue Rossini à Paris. Les premières estimations vont de 800€ à 120 000 € pour les trois volumes de Kim

de Rudyard Kipling reliés par Creuzevault et illustrés par Schmied. Renseignements : ALDE.1 rue de Fleurus75006 ParisTél. : 01 45 49 09 24.

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Tout le monde s’accorde pour dire que les campa-

gnes souffrent cruellement d’un déficit de médecins. Et ces derniers, lorsqu’il pren-nent une retraite bien méritée sont rarement remplacés. Aussi, pour remédier a cet état de fait, la petite commune de Saint-Ouen les Alleux, au nord de Rennes, a préféré prévenir que guérir. En effet, en janvier dernier elle a inauguré sa nou-velle Maison Médicale située désormais au 4 rue du Docteur Gorvel. “La structure ouverte début janvier héberge déjà 4 infirmiers, 2 kiné, 1 podologue, 1 diététicienne , 1 cardiologue qui reçoit une fois par semaine et 3 médecins”. annonce Louis BLANDIN adjoint au maire. La petite commune qui compte 1380 habitants, a donc pris les devants. Et son maire Jean Taillandier n’a pas hésité à sui-vre l’idée du Docteur Peltriaux qui est à l’origine du projet. Ainsi, le Docteur Peltriaux à l’étroit dans son ancien cabi-net a sollicité un confrère pour mettre sur pied une nouvelle structure. Du coup, la mairie en a pro-

SAINT-OUEN LES ALLEUXOUVRE SA MAISON MÉDICALE

fité pour les accompagner dans cette démarche en prenant à sa charge la construction de la maison médicale faisant ainsi œuvre de service public en mettant désormais à la disposition de la population une vraie structure médicale comparable à celles que l’on rencontre en milieu urbain. D‘autant que la pharmacie viendra rejoindre le complexe pour la fin de l’année et qu’une société de taxi devrait égale-ment y implanter une antenne avec trois véhicules. L’opération aura coûté 880 000 € financée en partie par la dé-partement la Région Bretagne l’Etat et l’Europe. La mairie étant proriétaire et du terrain et du batiment. L’initiative de Saint-Ouen les Al-leux fait donc figure d’exemple, car les dernières statistiques de La Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES) ne sont pas pour rassurer. Ainsi dans sa dernière étude in-titulée «la démographie médi-cale à l’horizon 2030 : de nou-velles projections nationales et régionales» il apparaît que si la

France comptait, début 2007, 208000 médecins actifs - cet nombre pourtant élevé, devrait chuter de 10 % d’ici à 2019. Et il faudra vraisemblablement attendre 2030 pour retrouver le quorum d‘aujourd‘hui. De plus, sur cette même pério-de, c‘est à dire jusqu’à 2030, la population devrait progresser de 10 %. Cet effet ciseau ferait donc fléchir la densité médi-cale. La densité médicale de-vrait donc globalement chuter, passant de 327 à 292 médecins pour 100 000 habitants pour l’ensemble de la France, DOM compris, entre 2006 et 2030. Reste que «l’évolution de la démographie médicale dépen-dra largement des décisions publiques prises aujourd’hui et de l’évolution des choix in-dividuels des jeunes médecins» annonce la DRESS.Du coup, le nouvel établisse-ment Audonnien, fraîchement inauguré en janvier, et qui reste sans aucun doute une première dans la région, pour-rait bien faire école au niveau national. A suivre...

FINANCES ET PATRIMOINE

QUOI FAIRE ?UNE SCI POUR

Nombreux sont ceux qui désormais ont recours à la création

d’une Société Civile Immobilière pour gérer leur patrimoine

immobilier. Quand créer une SCI et pourquoi faire ?

Maître Alain Gautron, notaire à Saint-Malo nous répond.

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Senior Détente Magazine :Quelle définition donneriez-vous d’une SCI ?Me Alain GAUTRON :La SCI est une société consti-tuée entre plusieurs personnes qui a pour objet la propriété et la gestion d’un bien immo-bilier. Comme toutes sociétés, elle a une personnalité morale autonome qui lui confère une existence juridique distincte de celle de ses membres.Elle a un nom, un domicile et une activité. Elle peut contrac-ter, agir en justice et est tenue d’établir sa propre déclaration fiscale de revenus. Ce dédou-blement de personnalité peut donner l’illusion d’un écran permettant de dissimuler la propriété d’un bien.

Senior Détente Magazine :Existe-t-il différentes SCI et pourquoi ?Me Alain GAUTRON :La SCI la plus fréquemment rencontrée est la société civile immobilière de gestion. Elle a souvent un caractère familial. Elle est propriétaire d’un ou plusieurs biens immobiliers, entrés dans son patrimoine soit par l’apport fait par les associés, soit par l’acquisition réalisée directement par la société. Ses biens immobiliers sont destinés le plus souvent à la location, mais ils peuvent également être mis à la dispo-sition des associés.A côté des SCI de gestion, on rencontre essentiellement les sociétés civiles de construc-tion-vente constituées par les

promoteurs et les SCPI (socié-tés de placement immobilier), encore appelées “pierre-pa-pier”, permettant à des épar-gnants d’être propriétaires de parts d’immeubles de rapport par le biais de parts sociales et de bénéficier ainsi de revenus fonciers sans avoir les soucis de la gestion.

Senior Détente Magazine :Comment fonctionne une SCI ?Me Alain GAUTRON :Lors de sa constitution, les futurs associés signent des statuts, soit sous forme sous-seing privé, soit par acte no-tarié. Cette seconde forme est obligatoire en cas d’apport d’un bien immobilier. Dans tous les cas et compte tenu des enjeux, le recours à un professionnel du droit est très fortement conseillé. Uneannonce légale sera publiée, puis la société sera immatricu-lée au Registre du Commerce et des sociétés. La société de-vra se doter d’un gérant qui tiendra ses pouvoirs soit des statuts, soit des assemblées générales. Le gérant dirige et représente la société. Les dé-cisions les plus importantes sont prises par tous les asso-ciés dans le cadre de l’assem-blée générale. Une assemblée devra se tenir au moins une fois par an pour approuver les comptes. Son procès-verbal sera consigné dans un registre spécial.

Senior Détente Magazine :Quels sont les principaux avan-

tages d’une SCI ?Me Alain GAUTRON :La SCI est le mode d’organisa-tion de la propriété à plusieurs d’un bien immobilier. C’est un remède à l’indivision.Etre propriétaire à plusieurs hors du cadre d’une SCI présen-te de nombreuses contraintes : toutes les décisions ne relevant pas de la gestion courante devront être prises à l’unani-mité.Cette situation est par ailleurs instable au regard de l’adage “nul n’est censé rester en in-division”.La SCI crée une règle majori-taire pour la prise des décisions et lie chacun des associés. La seule faculté pour celui qui ne veut plus être propriétaire est de céder ses parts sociales.Cet avantage peut devenir un inconvénient et spéciale-ment pour des concubins qui auraient fait le choix de la SCI pour détenir leur résidence principale.

Maître Alain GAUTRON


QUOI FAIRE ?UNE SCI POUR

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La SCI permet de dissocier la propriété des murs commer-ciaux ou professionnels de l’entreprise qu’y est exploitée en nom personnel. Ainsi un commerçant, propriétaire des murs de son magasin par le biais d’une SCI, pourra-t-il se verser un loyer, créant ainsi des charges d’exploitation.Tous les associés d’une SCI de gestion sont imposables individuellement au titre de leur quote-part dans les re-venus fonciers de la société. La SCI est dite “translucide” pour l’administration fiscale.L’interposition d’une SCI n’aura que peu d’effets fiscaux.La SCI pourra cependant choi-sir un régime fiscal différent et opter pour le régime de l’impôt sur les sociétés.Les différences notables dans le cadre de l’impôt sur les so-ciétés sont la faculté d’amor-tissement des immeubles et la seule imposition des revenus distribués. Cette option de-vient véritablement attractive si l’on cumule le taux réduit d’imposition des PME, l’abat-tement de 40 % applicable aux dividendes distribués, l’abatte-ment annuel et le crédit d’impôt.La SCI peut enfin faciliter la transmission de son patrimoine.Dans les situations familiales où le patrimoine est important et la fiscalité prévisionnelle de transmission lourde, il peut être opportun de recourir au montage juridique de SCI.Ceci permet de déduire la to-talité du passif social, d’alléger les droits de mutation, de con-tingenter les parts données, de faire un partage sur mesure et d’organiser enfin la gestion fu-ture de la propriété.

Senior Détente Magazine :Qui peut-être associé dans une SCI ?Me Alain GAUTRON :Toute personne physique peut-être associé, ainsi que toute personne morale sous la réserve que son objet social l’y autorise.Les enfants mineurs peuvent être associés mais avec l’accord du Juge des Tutelles.

Senior Détente Magazine :Combien coûte la rédaction des statuts et la création d’une SCI ?Me Alain GAUTRON :Le coût fixe de constitution d’une SCI est de 400 € envi-ron, représentant les frais de l’annonce légale et du Greffe. Les honoraires de rédaction sont proportionnés à l’impor-tance et la qualité des conseils donnés.A ce coût, doivent être ajoutés les frais de l’acte notarié en cas d’apport immobilier, ainsi que la fiscalité spécifique aux apports à titre onéreux (prise en charge par la société d’un passif lié au bien immobilier apporté), aux apports d’im-meubles achevés depuis moins de 5 ans et dont c’est la pre-mière mutation, ainsi qu’aux apports immobiliers faits à une société soumise à l’impôt sur les sociétés.

Senior Détente Magazine :Au final, quelle est la formule la plus avantageuse fiscale-ment ?Me Alain GAUTRON :La fiscalité s’applique sur les revenus du bien et sur sa trans-mission. Son coût ne sera pas le même en situation d’indivi-sion, de SCI translucide ou de SCI soumise à l’impôt sur les

sociétés. Il ne faut pas oublier l’impôt sur la fortune, l’impôt sur les plus-values, la taxation des intérêts produits par les comptes courant, le coût de la dissolution et du partage d’une société, etc....Les paramètres du choix sont multiples et doivent être com-binés au mieux des intérêts des propriétaires.Ces paramètres sont liés à la situation familiale et fis-cale des associés, la nature de l’immeuble, le niveau de ses revenus et surtout les objectifs recherchés. Quel sera à terme le sort de cet immeuble ?Chaque cas étant particulier, il est nécessaire de définir des priorités, de les chiffrer et de comparer.La décision de constituer une SCI ne doit pas être prise au regard des seuls avantages fiscaux.Comme toutes décisions pa-trimoniales importantes, c’est l’ensemble des considérations familiales, affectives, profes-sionnelles, économiques et les perspectives d’avenir qui doi-vent demeurer déterminantes.Il arrive souvent que les no-taires soient consultés pour constituer une SCI et qu’après réflexion ils dissuadent leurs clients de le faire. Il y a un ef-fet de mode propre aux SCI. Si dans certains cas elle s’impose et deviendra même un mer-veilleux instrument de gestion patrimoniale et fiscale, dans d’autre cas elle sera synonyme de lourdeurs, de coûts et d’en-fermement.Il est donc indispensable d’être initié pour pouvoir prétendre goûter aux charmes discrets de la SCI. n


Aux Etats-Unis, au Canada, en Europe du Nord, 90% des maisons

construites chaque année sont en bois. En France, ce mode de

construction a longtemps souffert d’a priori. Mais aujourd’hui,

la maison à ossature bois (MOB) prend racine. Pour preuve, les

entreprises - sur un marché en pleine mutation- sont de plus

en plus nombreuses. Ecologiques, économiques et novatrices dans certains

domaines, les maisons à ossature ont de quoi séduire. La rapidité de mise en

œuvre et la baisse des coûts de construction sont d’autres arguments qui font

mouche. Aperçu.

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La maison en bois ne se résume pas au chalet suisse ou aux

maisons à colombage. Depuis dix ans, nombre d’architectes rivalisent d’imagination et donnent toute la dimension humaine de ce matériau créant ainsi ce qu’il faut bien appeler désormais un urbanisme du bois. D’autant que le bois a le bon goût de se combiner avec tous les matériaux de la construction que ce soit le verre, l’acier ou encore le béton. Mieux, il est capable d’alléger l’esthétisme de structures parfois trop lourdes

LA MAISON EN BOIS,

ou hétéroclites, et par là même de gratifier d’un nouveau cachet des constructions étriquées. Et ce, aussi bien dans le neuf avec des équipements collectifs ou dans l’extension d’une habitation aux combinaisons parfois discutables.

Même sans aucun esthétisme, un bâtiment en bois attirera toujours l’œil et sans l’agresser! Ainsi, prenez un entrepôt en

béton ou en tôle, réhabilité-le, habillé-le de bois et vous le verrez revivre. Côté construction, le bois a également la particularité d’être constructible sur tous les terrains. Terrain en pente, en creux, ou humide, le bois s’immisce partout sans difficulté. Modulaire, souple, moins lourd qu’une construction maçonnée, le bois est sans conteste le matériau idéal pour qui envisagerait une implantation en bord de mer sur du sable, par exemple. La technique du pilotis reste alors

UN MATERIAU TOUTTERRAIN

L’adaptabilité du système à ossature bois permet de créer des maisons pas forcément plus grandes que les maisons maçonnées. En revanche, les prestations extérieures offrent d’autres sensations de confort.

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UNE ECO-CONSTRUCTION


DURABLE

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une des meilleures solutions du moment. A noter, que contrairement aux idées reçues, l’humidité n’altère pas le bois. En effet, les remontées d’humidité par capillarité sont inexistantes grâce à l’usage d’un matériau barrière qu’on intercale toujours entre les fondations et le bois. Et ce, quelle que soit la nature du terrain. Pour ceux qui redouteraient les mouvements de terrains, on notera aussi que la maison bois contrairement à la maison maçonnée répond mieux aux éventuels mouvements de terrain. Les temples en bois du japon, sont à cet égard des témoins plusieurs fois centenaires de la parfaite adaptabilité de la construction en bois aux zones réputées hyper sismiques.

Par nature, une maison en bois est plus isolée qu’une maison maçonnée. Les études ont montré qu’on pouvait raisonnablement réaliser pas moins de 30% d’économie en chauffage, et même plus. Et quand le fuel domestique oscille entre 70 centimes et 1€, les sommes économisées peuvent se chiffrer en plusieurs milliers d’€!! Autre avantage et non des moindres, la conformité de l’ossature bois aux normes thermiques 2000 et 2005 (RT 2000. RT 2005) (*) qui vous soulage alors de toute dépense supplémentaire. Quant à l’entretien de votre maison en bois, il ne tient qu’à vous d’en faire usage. Car sachez que les traitements protecteurs sont toujours effectués avant la construction. Fongicides, insecticides sont appliqués une bonne fois pour toutes en usine. Quand à l’humidité, comme nous le mentionnons plus haut, son traitement est fondamentalement liée à la conception même de l’architecture de votre maison et donc au respect des techniques

30% D’ÉCONOMIE EN CHAUFFAGE

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La résistance mécanique du bois et sa légèreté en font le matériau de choix pour les charpentes et les pièces maîtresses de toutes les maisons quelle que soit la composition de leurs murs.

- Construction de maisons à ossature bois écologiques,

- Extensions et surélévations,

- Isolation avec des matériaux naturels et sains,

- Conception bio-climatique et étude géobiologique,

- Applicateur Ouate de cellulose “adekouate”

- Maisons bio-évolutives et économiques...

Certifié Qualibat, gage officiel de notrecompétence et de notre sérieux.

UNE ECO-CONSTRUCTION


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de construction en bois. Bref, disons-le sans détours, l’entretien d’une maison en bois peut se limiter aux éventuelles peintures et lasures extérieures !

Si le béton a envahi notre univers urbain, il faut bien avouer aussi que nombre de constructions en bois datant de plusieurs siècles démontrent que le bois sait résister au temps, tout comme la pierre. A Rennes, à Vannes, nombre de maisons à colombages révèlent les qualités intrinsèques du bois. Et peut-être ne le savez-vous pas, mais Notre Dame de Paris est construite elle aussi sur des pilotis datant du Moyen-âge!

Aujourd’hui, les maisons à ossature bois (MOB) sont conçues pour durer et traverser les siècles. Et leur valeur ne se décote pas, loin de là. En fait, tout comme les autres biens immobiliers, c’est toujours la vétusté des lieux qui cause inexorablement la perte de valeur d’un bien immobilier et ce quel que soit le matériau utilisé !Du coup, la valeur et la revente d’une maison en bois ne s’apparente pas à celle d’une maison maçonnée. Economique dans sa consommation, énergétique grâce à une isolation plus performante de nature, patinée par le temps, votre maison en bois reste une valeur sûre. Mais ne nous voilons pas la face, revendre une maison en bois ne se fait pas

la Réglementation Thermique 2000 (RT 2000) fixe une limite maximale

à la consommation énergétique des bâtiments neufs pour le chauffage, la ventilation, la climatisation, la production d’eau chaude sanitaire et l’éclairage. Cette réglementation s’applique essentiellement aux bâtiments neufs (résidentiels ou tertiaires) et aux parties nouvelles dont le permis de construire a été déposé entre le 2 juin 2001 et le 1 septembre 2006. Elle réglemente trois éléments essentiels qui sont : la consommation d’énergie, la température atteinte en été dans les logements et les caractéristiques

thermiques de divers éléments du bâtiment (isolation thermique, perméabilité à l’air, ventilation, chauffage, eau chaude sanitaire, éclairage des locaux et transformation de l’énergie primaire. Le 1 septembre 2006, la RT 2005 est venue remplacer la RT 2000. La Réglementation Thermique 2005 s’adresse aux constructions neuves des bâtiments résidentiels ou non résidentiels dont le permis de construire a été déposé depuis le 1er septembre 2006 (décret n° 2006-592 du 24 mai 2006 et arrêté du 24 mai 2006). Par rapport à la RT 2000, la RT 2005 demande une amélioration de 15% de la performance thermique. Elle s’applique désormais aux travaux de rénovation.

RÉGLEMENTATIONS THERMIQUES 2000 ET 2005

UN BON INVESTISSEMENT

Evolutive et modulable,la construction à ossa-ture bois peut s’agran-dir en fonction de vos besoins

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du jour au lendemain. Le contexte actuel du marché immobilier n’insiste pas forcément à l’investissement dans une maison en bois. Et on aurait tort car, souvent conçue par un architecte, la maison en bois, outre ses qualités démontrées plus haut, s’affirme comme un bien évolutif dans le temps. En effet, la grande adaptabilité du système à ossature bois permet de construire des maisons qui ne seront pas forcément plus grandes en m2 que les maisons maçonnées, en revanche elles vous offriront souvent des prestations extérieures très prisées à savoir des terrasses au volume important, et pour certaines des “galeries” comme disent nos cousins québécois, qui couront tout autour de la maison. Toutefois, il faut le savoir le marché n’est pas encore mature. Et pour les professionnels de l’immobilier encore frileux, il s’agit bien souvent d’un marché de “niche” qu’ils ne connaissent que trop peu. Il faut donc parfois attendre un peu plus longtemps pour revendre une maison Bois. Mais dans les années à venir, la tendance pourrait bien s’inverser car le Grenelle de l’environnement a permis de franchir un grand pas.

Il faut peut-être le rappeler, mais le Gouvernement français s’est fixé pour objectif de diviser par quatre les émissions de gaz à effet de serre par habitant à l’horizon 2050. Et, les mesures prises pour favoriser la construction durable - réglementation thermique 2005, certificats d’économie d’énergie, aides fiscales - vont dans ce sens. De plus, les nouvelles techniques mettent à jour des solutions permettant une isolation renforcée, et ceci avec un minimum de ponts thermiques. Du coup, le bois répond parfaitement à ces exigences car il est peu conducteur de chaleur et permet de loger dans son épaisseur des isolants performant, sans oublier que son utilisation est quasiment neutre en rejet de CO2. Ces qualités expliquent sans doute l’augmentation croissante du nombre de maisons en ossature bois (MOB) construites ces dernières années (+ de 46 % entre 2001 et 2006). On peut donc raisonnablement penser que les MOB sont promises à un bel avenir. D’autant qu à la suite des propositions du Grenelle de l’environnement, la construction de bâtiment à basse consommation (BBC), encouragée par l’attribution de label, sera probablement rendue obligatoire dès 2010 (1re phase) et 2012 (généralisation);

L’AVENIR DES MOB

L’architecture des maisons à ossature bois s’adapte à tous les styles de vie et s’intègre à tous les sites géographiques et sous tous les climats.

Planification et préfabrication diminuent les coûts de construction. Les parois les planchers, les portes et les fenêtre, sont réalisés en atelier en toute saison. Gain de temps optimisation, la construction d’une maison en bois ce réduit à quelques jours.Le second œuvre peut alors commencer sans délai de séchage.


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Notre enquête menée auprès de différents constructeurs de maisons en bois dans la région Bretagne, doublée d’une recherche sur Internet, nous ont amené à conclure que les prix peuvent largement fluctuer. Mais disons que généralement le m2 construit oscille entre 1000€ et 1500€. Et sur Internet, nous avons rencontré une multitude de prix qui allaient du simple au triple. Mais, il faut l’avouer, tout dépend des prestations fournies et des matériaux utilisés.Certains constructeurs comme Construction Bois Ecologique,

1000€ À 1500€ le M² EKKO, JMP Menuiserie, Style Bois Structures sont également capables de s’adapter à tous les budgets et vous accompagnent jusqu’au bout dans votre projet. Ainsi, certains clients se lancent dans l’auto-construction à savoir qu’ils réalisent eux-mêmes les finitions (pose des cloisons, huisserie etc..) mais non sans vous avoir auparavant reçu une formation adéquate dispensée par le constructeur.D’autres sociétés peuvent également vous fournir l’ensemble de la maison en Kit. Ensuite, libre à vous de vous lancer dans la réalisation. C’est certes très économique mais le constructeur se décharge alors

de toute malfaçons, la garantie décennale ne s’appliquant alors que sur les travaux réalisés par l’entreprise. Si vous n’êtes pas un bricoleur averti, mieux vaut laisser faire les professionnels.

1 Source : Lutte contre l’effet de serre dans la construction, juillet 2006, Direction Générale de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Construction.

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Marie-Denise Beaugendre n’a pas assez de mots

pour dire son plaisir d’habiter désormais à Pléssé dans une maison en bois conçue et réalisée par la société Construction Bois Ecologie (CBE) basée à Saint-Nicolas de Redon.Infirmière libérale sur le secteur de Saint-Anne sur Brivay et Campbon au Nord de la Loire Atlantique, Marie Denise Beaugendre a décidé enfin de devenir propriétaire de son logement après des années de location. L’âge de la retraite avançant, elle a décidé d’avoir enfin un chez soit à elle. Mais pas question pour notre nouvelle Pléséenne d’adoption de faire construire n’importe quoi n’importe où. Depuis longtemps, son grand projet était de vivre abord d’une péniche. En effet, notre infirmière qui va par monts et par vaux est éprise de liberté et de contact avec la nature. Le bel esquif aurait été amarré à quelques encablures de

Pléssé à Blain, là où coule le canal de Nantes à Brest. Mais très vite, il lui faut admettre que les multiples contraintes administratives entravent son projet. Marie-Denise se tourne alors vers la construction bois. «Je voulais être le plus près possible du canal de Nantes à Brest. J’ai donc prospecté et j’ai enfin trouvé un terrain à Pléssé» précise Marie-Denise Beaugendre. Tout comme elle l’avait déjà fait pour sa péniche-maison, Marie Denise va à la pêche aux informations sur les constructions en bois.Magazines, salons, recherches sur Internet, elle s’informe le mieux possible et connaît désormais son sujet sur le bout des doigt. Et pas question de la prendre à défaut sur l’utilisation des matériaux.«Je voulais une maison dans le coup, avec un look contemporain et surtout je voulais des matériaux de bonne qualité» insiste Marie-Denise Beaugendre. Et de poursuivre «j’ai bien aimé

POURQUOI J’AI CHOISIDE CONSTRUIRE UNE MAISON EN BOIS

l’approche de CBE et leur dynamisme dans le travail. Leur cahier des charges me convenait bien. Et si le côté écologique est important, il n’est pas rigide. C’est ma première maison et j’en suis très contante. J’ai une isolation parfaite avec de grandes baies au sud et je ne me chauffe qu’avec un seul poêle. Il y a bien sûr des prises pour les convecteurs, mais je n’en ai pas besoin. Et mon fils qui travail lui aussi le bois est très content de ma maison…quand il revient me voir de Nouvelle Calédonie!» Notre infirmière a également apprécié la rapidité des travaux, le montage de la maison de 80 m2 ayant pris à peine 3 mois. Un délai qui permet là aussi de réaliser de substantielles économies sur les loyers. Et puis, Marie Denise effectue elle-même les finitions. Du coup, le mètre carré ne lui revient plus qu’à 1200 € avec une isolation phonique et thermique particulièrement efficace.

Marie-Denise Beaugendre

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L’ossature boisC’est très certainement la technique

la plus utilisée dans l’ouest de la France. L’ossature bois est en quelque sorte la grande sœur du colombage. Entendez par-là que la encore le squelette de la maison est constitué d’un ensemble de montants et de traverses. Toutefois, les sections utilisées sont moins importantes. Le tout forme alors un cadre sur lequel on vient fixer des panneaux à base de bois assurant ainsi à l’ensemble de la construction un maintient et une solidité remarquable. Ensuite, on place entre les montants et les traverses un isolant garantissant à l’ouvrage d’excellentes performances thermiques et acoustiques. A l’intérieur, les murs pourront être couverts de lambris. L’extérieur est constitué dans la plupart des cas d’un bardage bois. Mais on peut lui préférer la pierre ou la brique, suivant ses goûts..

Le bois massif empiléCette technique reste la plus ancienne. On l’utilise toujours pour la réalisation de chalets. Toutefois, les architectes d’aujourd’hui savent réaliser des maisons colorées très contemporaines affichant des volumes

importants dotés également de surfaces vitrées capables d’illuminer les pièces de vie principales.

Le colombageCette technique est apparue en France au Moyen-Âge. Ici, les éléments de bois verticaux s’accordent à des traverses horizontales de fortes sections. Les éléments porteurs sont assemblés par tenon et mortaise et chevillés. Ensuite, on remplit les « vides » avec du torchis, ou bien tout simplement de la terre.

Le poteau-poutreDans la technique du poteau/poutre, poteaux et poutres de très fortes sections composent la structure de la maison pour supporter cloisons, planchers et toiture. Les poutres sont souvent en lamellé-collé, et peuvent afficher des portées de plusieurs dizaines de mètres. Du coup, ce système constructif poteau/poutre restent l’apanage de grands ouvrages : halls de sports, bâtiments collectifs, etc. La technique du poteau/poutre permet en effet de dégager de grands espaces pour installer de larges baies tout en permettant de modifier des parois et des cloisons.

QUATRE TECHNIQUES DE CONSTRUCTION BOIS

CARNET D’ADRESSES DES PROFESSIONNELS DE LA CONSTRUCTION BOIS

CBEConstruction Bois Ecologique18, rue des Chênes. ZA les Bauches44460 Saint-Nicolas de RedonTél. 02 99 72 68 40www.cbe-maison-ecologique.fr

SBSStyle Bois StructureZA de Kervault56230 QuestembertTél. 02 97 26 00 44www.style-bois-structures-56.com

EKKO5, rue de la Chataigneraie BP 2061235606 RedonTél. 02 99 71 16 90www.ekko-redon.fr

JMP MenuiserieJean-Marc Pasco MenuiserieZA Saint-Léonard Nord56450 TheixTél. 02 97 47 38 86www.jmpmenuiserie.net

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Le golf souvent apparenté à un sport d’élite n’en reste pas moins

le deuxième sport pratiqué au monde et ce juste derrière le foot-

ball. Pourquoi? Parce qu’on peut le pratiquer toute sa vie durant,

parce qu’il peut à la fois mélanger compétiteurs et sportifs de loi-

sir, et peut-être aussi parce qu’il se pratique quelles que soient les

conditions météorologiques.Alain ARTUR

FORME ET SANTÉ

SE METTRE

Disons le tout de go, le golf est encore perçu par

les Français comme un sport réservé à une élite. Mais on a tort. En Grande Bretagne et plus généralement dans les pays anglo-saxons, il y a belle lurette que la petite balle blan-che fait se déplacer les foules sur les greens. En France, les aficionados du putting et du swing sont à la traîne mais en constante augmentation. Pour preuve, le nombre croissant d’ouverture de clubs dans l‘hexagone. (pas moins de 580 clubs répartis sur toute la France). Ainsi, en l’espace d’à peine 15 ans, on a enregistré une progression de 40% du nombre des licenciés. Aujourd’hui la Fédération Fran-çaise de Golf annonce fièrement quelque 370 000 membres.Certes, on est loin des chiffres du football, mais on sent bien que le Golf pourrait bien sui-vre la voie tracée par le Tennis

dans les années 80 / 90. Il faut dire aussi que l’arrivée sur la scène internationale d’un jeune Tigger Wood a très largement fait sortir la petite balle blanche de son pré carré pour déborder sur les lignes de cours des autres sports de plein air.

Déjà à l’époque des Romains, il existait un jeu que l’on prati-quait avec un bâton recourbé et une balle de plumes. Aux Pays-Bas, au XIVem siècle, il est fait mention également du «kolf», «club» en hollandais, un jeu se rapprochant le plus du golf actuel. Mais pour d’autres, le golf , le vrai, tire son origine d’un jeu auquel jouaient, il y a plus de cinq siècles, les bergers écossais. Le jeu consistait alors à frapper des pierres avec desbâtons.

Ainsi, dès 1413, les étudiants de Saint-Andrews, entre Édim-bourg et Dundee, innovent

LA PETITE HISTOIRE

Pour certains, GOLF est l’acronyme de “Gentlemen Only Ladies Forbidden” (réservé aux hommes, interdit aux femmes). En réalité, le terme golf vient du vieil écossais «gowf», signifiant «frapper».

Le fameux swing, un geste technique de 1,5 seconde et 69 muscles en action !

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FORME ET SANTÉ

AU GOLFen adoptant des cannes et de véritables balles. Et, le jeu est si populaire que les archers écossais délaissent leur entraî-nement militaire pour jouer au golf ! Du coup, en 1457, un décret royal écossais interdit tout bonnement la pratique du «gowf» car il aurait eu pour conséquence les défaites répétées face aux armées an-glaises!. Cependant, un siècle plus tard, Mary Stuart, future reine d’Écosse, reste une incondi-tionnelle et ranime la flamme de ce qui deviendra un sport nationale. Mais la reconnais-sance officielle du golf, c’est à Leith, un quartier de la ville d’Edimbourg, qu’il faut la cher-cher. C’est ici, en 1744, que les autorités civiles d’Édimbourg admettent les «Gentlemen Golfers of Édimbourg». Dix ans plus tard, le 14 mai 1754, les 22 membres du «Royal and Ancient Golf Club of Saint-Andrews» codifient les 13 premières règles of-ficielles du jeu de golf dont l’application s’étendra ensuite à toute l’Angleterre, aux colo-nies anglaises, puis au monde entier. A noter aussi que ce sont également les britanni-ques qui créent le premier golf du continent, en France, celui de Pau en 1856, puis celui de Biarritz.

Aujourd’hui, pas moins de 100 millions de personnes sont de-venues des adeptes de la petite balle blanche. Et pourquoi pas vous ? Le geste emblématique du golf reste bien évidement le fameux swing. Cette rotation du buste doublée d’un lancement des bras à travers la balle met en

THE GAME

mouvement une chaîne fonction-nelle composée de 13 articula-tions et 69 mus-cles. Un geste dont la durée est en moyenne de 1,5 seconde. Ce geste tech-nique permet ainsi d’envoyer la balle en direc-tion du green. Ce même geste pourra aussi être répété sur le green, mais il ne s’agira alors que d’un un léger mouvement de balancier des bras (putting) pour atteindre le trou. Plus prosaïquement, disons que le golf consiste simplement à envoyer une balle, à l’aide de clubs, dans les dix huit trous successifs d’un parcours. Et ce en la frappant avec le moins de coups possibles. Si cette exi-gence est bien une des attrac-tions de ce sport ce n’est pas la seule. Le parcours lui-même peut être tout simplement le but du jeu.

Mais qu’importe, jeu, sport ou loisir, le golf se pratique avec les mêmes règles partout où que vous vous rendiez. En revanche, il n’y a pas deux parcours identiques car la ma-jorité d’entre eux ne font rien d’autre que d’épouser le relief naturel. Et, s’ils ne sont pas tous implantés sur des sites exceptionnels, ils ont tous un attrait évident. Mais beaucoup plus qu’un sport ou un loisir, le golf est avant tout un plaisir. Et pour reprendre une célèbre citation de Mark Twain le golf c’est “une agréable promenade

gâchée par une petite balle blanche». En effet, la plupart des par-cours se situent dans un envi-ronnement toujours agréable respectueux de la nature. Les terrains de golf n’ont aucune longueur ou forme réglemen-taire. En revanche, la grande majorité d’entre eux se compo-sent de 18 trous numérotés de 1 à 18. Quelques terrains pos-sèdent seulement neuf trous. Chaque trou est alors joué deux fois par partie.Un terrain de 18 trous fait en moyenne 57 hectares. Chaque trou inclut un tee, un parcours ouvert, un green, et souvent un ou plusieurs pièges. Les terrains s’étendent de 5900 à plus de 6400 mètres de lon-gueur. Cette distance est toute la longueur des tees à chacun des 18 trous.L’aire de départ est souvent légèrement surélevée, sur la-quelle sont placées des mar-ques de couleurs qui délimi-tent l’emplacement d’où l’on doit jouer.Le fairway communément ap-pelé piste, est une surface en-gazonnée et bien entretenue, qui relie l’aire de départ au green. Enfin, le green est une surface de gazon très fin et très

LE PARCOURS

Printemps, été, automne, hiver, le golf se pratique en toute saison.

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FORME ET SANTÉ

ras sur laquelle se trouve le trou, signalé par un drapeau.Mais un terrain de golf c’est aussi le rough. C’est à dire tous les espaces naturels en-tourant le trou : hautes herbes, arbustes, forêts. Sans oublier les bunkers qui sont des obs-tacles en creux et remplis de sable. On trouve également des plans d’eau, lacs, ruis-seaux ou rivières, destinés à pimenter le jeu. Ainsi, la balle doit (sauf exceptions) toujours être jouée là où elle se trouve.C’est au joueur de s’adapter au terrain et jouer la balle là où elle a atterri.Reste que pour retrouver vo-tre balle, vous ne disposez en général que de 5 minutes.

Le diamètre minimum d’une balle est de 42,67 millimètres pour un poids maximum de 45,93 grammes. Le diamètre d’un trou de golf est de 108 millimètres.

Et le temps limite pour frapper votre coup est de 40 secondes.

Dans le Morbihan et en Ille et Vilaine, on compte une dizaine de golfs bien répartis sur l’ensemble des deux départements. Certains autour de Ren-nes offrent de belles presta-tions et permettent aux cita-dins de s’évader le temps de taper quelques balles. Dans l’arrière pays à Dol, au Tron-chet à Vitré ou encore Ploër-mel, les terrains impeccables offrent de superbes balades. Enfin, les GOLFS situés sur le littoral présentent quant à eux

Michel Brefort, à Plouhinec dans le Mor-bihan près du golf Saint-Laurent est

président de Seniors Golfeurs de Bretagne. Comme nombre de golfeurs, c’est sur le tard qu’il découvre le golf « je me suis mis au golf lorsque j’ai pris ma retraite, et avec le regret de ne pas avoir commencé plus tôt ! » lâche d’amblée ce président aux 77 printemps aler-tes. «Je croyais comme tout le monde que c’était un sport de vieux» continue avec malice cet ancien ingénieur. « lorsque je suis parti en retraite, je me suis installé à Saint-Laurent et j’ai fait un stage d’initiation. J’avais 60 ans.En fait, contrairement à d’autres sports, le golf a l’immense avantage d’être pratiqué à tous les âges et à toute les périodes de la vie. Pour preuve la doyenne de Senior Golfeurs de Bre-tagne fête ses 88 ans cette année. «Elle ne fait plus de compétition, mais ses 8 à 10 kilomè-tres par parcours » souligne Michel Brefort. Reste que pour pratiquer le golf, Michel Bre-fort reconnaît également qu’il faut quand même un minimum de condition physique. «Pour ceux qui ont eu une activité physique comme le tennis ou du vélo c’est plus facile. Mais ce qu’on oublie souvent, c’est que le golf c’est technique» prévient Michel Brefort. En effet, le golf n’est pas un sport de gros mus-cles capables d’envoyer la balle. Loin s’en faut. Humilité, patience, concentration, technique sont des qualités essentielles pour progresser.

«Il faut apprendre comme un étudiant et met-tre en application ce qu’on a appris. Le vélo, le ski, on peut les apprendre sur le tas et puis se faire plaisir. Pour le golf, c’est différent. C’est très technique et c’est en compétition qu’on progresse le plus. Car on est confronté à plus fort que soit et on veut donc être perfor-mant».Ceux qui attrapent le virus enchaînent sta-ges de perfectionnement et compétitions. Seniors Golfeurs de Bretagne organise ainsi plusieurs compétitions très prisées durant l’année. Mais c’est sans doute la régularité de la pratique qui permet également de pro-gresser. «2 ou 3 fois par semaine», préconise Michel Brefort. Aujourd’hui, Les Seniors Golfeurs de Breta-gne sont en progression régulière car ceux qui auparavant avaient une résidence secon-daire dans la région ont décidé d’y prendre leur retraite. Et, certains ont laissé tomber le bateau de plaisance des vacances, devenu une contrainte, pour le golf. Une bonne façon de passer du blue au greeen sans perdre le nord.

RENCONTRE AVEC MICHEL BREFORTPRÉSIDENT DE SENIORS GOLFEURS DE BRETAGNE

des parcours plus qu’agréa-bles. Les vues sur mer sont imprenables et le dépaysement est complet pour qui veut allier sport et détente. n

LES GOLFS

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FORME ET SANTÉ

Les “clubs” pour frapper la balle sont au nombre de 14 au maxi-mum. Il y a le putter, les fers et les bois. Généralement, on utilise une série de 9 fers qui ont des portées de 120 m à 170 m. Le PW (pitching wedge)permet de courtes approches et le SW (sand wedge) de sortir d’un bunker.Les bois au nombre de trois, ont des portées plus longues de 160m à 230m.

L’ÉQUIPEMENT

Le putter quant à lui, facilite l’approche du trou sur le green.Pour une initiation, choisissez la location.Pour un équipement complet, il vous encoûtera entre 200 et 300€ pour une série de 9 fers. Vous pouvez également opter pour les équipements d’occasion qui sont souvent de bonne qualité.

OU JOUER AU GOLF ?

DANS LE 56

- Val Queven Kerruisseau56530 QUEVENTél : 02 97 05 19 18

- Ploemeur OcéanSaint-Jude-Kerham56270 PLOEMEURTél. : 02 97 32 80 90

- Saint-LaurentPloemel56400 AURAYTél. : 02 97 56 85 18

- BadenKernic56870 BADENTél. : 02 97 57 18 96

- Rhuys -Kerver 56730 St GILDAS de RHUYSTél. : 02 97 45 30 09

- Lac au DucLe clos Hazel56800 PLOERMELTél. : 02 97 73 64 64

DANS LE 35

- RennesLe Temple du Cerisier35136 St Jacques de laLandeTél. : 02 99 30 18 18

Formule Golf, filiale du groupe SAUR regroupe 21 Golfs en France dont 6 dans le Morbihan et 1 en Ille et Vilaine. Depuis 1988, date de la prise en gestion du premier parcours à Baden, For-mule Golf gère de plus en plus de parcours et propose désormais des formules d’abonnement pour tous. On retiendra entre autres la formule Pass. Ce pass n’est pas nominatif, vous pouvez donc le partager avec votre famille.

LES AUTRES GOLFS

DANS LE 35

Golf des RochersLe Moulin des Rochers35500 VITRETél. : 02 99 96 52 52Golf Club Saint-MaloDomaine de Saint-Yvieux35540 LE TRONCHETTél. : 02 99 58 96 69Domaine des Ormes Les Ormes35120 EPINIACTél. : 02 99 73 53 00Dinard Golf53 bd Houle35800 St-Briac sur MerTél. : 02 99 88 32 07Golf de Cicé blossacDomaine Cicé Blossac35AAA BRUZTél. : 02 99 52 79 79Golf de la Freslonnière Le Bois Briand35650 Le RHEUTél. : 02 99 14 84 09

Dans le 44

Golf de la BretescheDomaine de la Bretesche44780 MISSILACTél. : 02 51 76 86 86

Dans le 56

Golf de CadenLe Four Bourdin56220 CADENTél. : 02 97 66 11 81

AUTO

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LA VOITURE ELECTRIQUE SOUS TENSION

Ca y est, les petites citadines électriques font leur entrée en force dans

les différents salons automobiles à travers le monde. Preuve que le

marché bouge. Si les japonais ont une longueur d’avance, en Europe

les ingénieurs y travaillent aussi.

Mitsubishi avec sa i-MiEV, pourrait bien emporter la

prestigieuse compétition de la Voiture Verte Internationale. Elles étaient 20 au départ. Le jury, composé de 59 journalistes automobiles des quatre coins du monde, a choisi l’innovatrice i-MiEV et deux autres finalistes parmi ces dernières. Le véhicule gagnant sera annoncé le 9 avril 2009, lors du Salon International de l’Auto de New York. Emissions d’échappement, consommation de carburant et conception du groupe motopropulseur rendant le véhicule plus éco-énergétique, étaient les principaux critères de sélection. La mini-urbaine nippone avec ses quatre places pour 3,40 m, son moteur électrique de 64 ch, alimenté

L’I-MIEV DE MITSUBISH

par 180 kilos de batteries lithium-ion nichés sous le plancher, à la place du réservoir, avaient de quoi séduire. D’autant que la i MiEV affiche un poids total de 1080 kg, une vitesse maxi de 130 km/h et une autonomie d’environ 150 km. Estimées pour une durée de vie de dix ans, les batteries de l ’ i MiEV se rechargent en 7 heures sur une prise 220 V, ou en 30 mn sur une borne de recharge rapide. Mitsubishi prévoit d’en vendre 2.000 au Japon en 2009, 4.000 en 2010 avec une éventuelle commercialisation en Europe, et 10.000 en

L’empire du soleil levant n’est pas le seul à avoir quelques longueurs d’avance en matière de voiture électrique. L’Europe du Nord est également bien positionnée. La Think Cvity du Norvégien Jan-Olaf Willums est une petite citadine électrique construite à Aurskog, dans le nord-est d’Oslo. Son autonomie est de 180 km avec une vitesse de pointe de 100km/h, c’est beaucoup moins que la Imiev de Mitsubishi et la Peri de Great Wall Motor qui proposent une vitesse de 130km/h. Toutefois, la Think Cvity sera disponible dès cette année dans certains

2011. Son prix n’est pas encore arrêté, mais il devrait s’établir autour de 30.000$, (21.000€).Du coup, en cumulant Le «bonus écologique» de 5 000€, plus le «super-bonus» ou prime à la casse de 1000€ soit 6000€ en tout, la I Miev devient une voiture abordable et très compétitive. Reste que la prime à la casse n’est valable que jusqu’au 31 décembre 2009. A moins que…

...ET LA THINK CITY VENUE DU NORD

pays européens pour environ 20 000€. Auxquels il faut ajouter le prix de location des batteries de 150 € par mois. C’est donc du côté de la conception de la Think City qu’il faut chercher les innovations. En effet, La Think City a été pensée, construite pour être entièrement recyclée. Des atouts écologiques indiscutables, mais seront-ils suffisants pour que le courant passe entre la Think City et les futurs acheteurs, rien n’est moins sûr.

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La Think City existe également en version cabriolet

La i- MiEV se recharge en 7 heures

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VÉHICULE DE LOISIRS

: une question de tailleles fourgons FONT VENDOME ont pourtant le vent en poupe. Qui donc? Les fourgons bien sûr!Ils sont peu nombreux sur le marché du camping-car, mais ils

Dans la famille des fourgons, on distingue généralement d’un côté les aménageurs

et de l’autre les fabricants. Ces derniers sont entrés dans la phase industrielle de leur métier avec des productions pouvant dépasser les 400 unités par an. Les premiers travaillent de façon très artisanale et sont très proches de leurs clients et donc capables de répondre aux moindres de leurs desiderata. Reste que ces prestations particulières ont forcément un prix. Mais la tendance est à la rationalisation et la spécialisation.Désormais, certains fabricants se consacrent exclusivement à la construction de fourgons aménagés. Disons, qu’ils ont maintenant pignon sur rue et sont depuis longtemps reconnus pour leur savoir-faire d’aménageurs utilisant toujours des matériaux de qualité. En revanche, vous ne pourrez plus leur demander du sur

mesure. D’ailleurs, comme leurs concurrents des grandes marques de camping-cars, les principaux constructeurs de fourgons proposent maintenant des catalogues très biens fournis.Font Vendôme, constructeur installé en Dordogne, fait partie du peloton de tête. Il faut dire aussi que le constructeur périgourdin a tout de même 28 ans d’expérience derrière lui. Du coup, son catalogue affiche une gamme très étendue de fourgons. Du premier modèle deux places sur monospace jusqu’au fourgon plus sophistiqué et très équipé 4 places, chacun trouvera forcément un gabarit à ses exigences.Outre ses incontournables Brantôme et Bel Horizon qui ont fait la réputation de la marque, cette année, trois nouveautés font leur apparition dans le catalogue 2009 : L’Evasea, Le Venise DUO et le Quator. Ces deux derniers modèles nous ont particulièrement séduits.

Le Quator, sur Fiat Ducato version long surélevé, est disponible en trois motorisations 2,2 JTD de 100CV ; en 2,3 JTD 120 CV et enfin en 3,0 JTD 160 CV. Mais surtout on retiendra la modularité de l’espace occupé. En effet, ce Fiat Ducato long et surélevé a permis aux concepteurs d’inclure dans le plan d’implantation une chambre longitudinale avec lits superposés et escamotables, permettant ainsi un rangement supplémentaire pour y mettre des vélos, entre autres. Côté équipement, le Quator a tout d’un grand puisqu’il est doté d’un réservoir d’eau propre de 100 litres, d’un réfrigérateur gaz trimixte de 97 litres et d’un chauffe-eau Trumatic. La partie séjour est, quant à elle, équipée d’une dînette amovible 4 places, deux sièges pivotants (conducteur et passager). Enfin, la salle de bain

LE QUATRO

située en arrière est accessible soit par l’intérieur soit par l’extérieur. Une bonne idée lorsque l’on revient de la plage ou de randonnée.PRIXFIAT DUC. 2,2 L 100CV 42500 €FIAT DUC. 2,3 L 120CV 43500 €FIAT DUC. 3,0 L 160CV 45500 €

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VÉHICULE DE LOISIRS

: une question de tailleles fourgons FONT VENDOME ont pourtant le vent en poupe. Qui donc? Les fourgons bien sûr!Ils sont peu nombreux sur le marché du camping-car, mais ils

Le Venise DUO ,toujours sur Fiat Ducato version long surélevé, est disponible lui aussi en trois motorisations à savoir 2,2 JTD de 100CV; en 2,3 JTD 120 CV et en 3,0 JTD 160 CV. Mais, c’est plutôt l’implantation des espaces de vie qui retient notre attention. En effet, le Venise DUO a été conçu tout spécialement pour le couple. D’ou son nom « Venise DUO ». Tout un programme, mais qui tient ses promesses.La partie dînette est ainsi recentrée sur l’avant avec les sièges pivotants du conducteur et du passager procurant ainsi un espace agrandi pour la salle de bain avec bac à douche et caillebotis. La cuisine qui lui fait face est dotée d’un bac évier en inox avec couvercle affleurant et 2 feux gaz. Cet espace bien délimité laisse place alors à la partie couchage proposant une chambre arrière avec lits jumeaux à sommiers à lattes. A noter aussi que ces deux modèles, le Quator et le Venise Duo, sont pourvus de marche pieds électriques. C’est toujours ces petits détails et la finition qui font la différence. Font Vendôme expert en la matière l’a bien compris.

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LE VENISE DUO

PRIXFIAT DUC. 2,2 L 100CV 40800 €FIAT DUC. 2,3 L 120CV 42500 €FIAT DUC. 3,0 L 160CV 44500 €

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INTERNET ET INFORMATIQUE

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Internet est une véritable mine d’information. Encore faut-il savoir

trouver les informations recherchées. Nous vous livrons ici les con-

seils les plus utiles pour mieux utiliser Google, référence mondiale

des outils de recherche sur Internet, sans procédures compliquées.

Prêts à vous lancer ? Allons-y !

Par Serge ESCALÉ.

TROUVEZ CE QUE

Avant de commencer, rappelons que Google ( www.google.fr en français) est un site accessible depuis votre navigateur, Inter-net Explorer Firefox ou Safari, depuis le champ de recherche en haut et à droite de la fenêtre comme dans la capture d’écran ci-dessous. Il peut également être lancé depuis la liste de vos liens favoris.

1) Saisissez au moins trois termes de rechercheLes débutants sur Google trouvent surtout des infor-mations … qu’ils ne cherchent pas. Pour obtenir des résultats pertinents, il est essentiel de saisir au minimum 3 termes, les plus proches possible du thème qui vous intéresse. Il est très important de bien choisir ces termes. Dans le champ de saisie, saisissez les termes de votre recherche en ajoutant un espace entre les mots-clés. Google interprète tous les termes saisis comme si vous aviez placé l’opérateur «Et» entre eux. Concrètement, si vous saisissez location maroc appartement agadir, Google cherchera : location ET maroc ET appartement ET agadir. Si vous avez mal orthographié certains mots, Google vous sug-gère des termes approchants. Cette fonction est très utile car les suggestions de Google sont souvent pertinentes.

Les chiffres que vous voyez dans cette figure correspon-dent aux principales fonctions de Google.

2) Evitez les recherches en langage naturelGoogle ne comprend pas bien les requêtes formulées dans notre langage de tous les jours. Si par exemple, vous saisissez «Je cherche un restaurant sur la ville de Lorient », votre outil de recherche va retourner une multitude de résultats inap-propriés. Pourquoi ? Les mots «un, «sur», «la» et «de» sont des termes génériques sans signification précise pour Goo-gle. Les mots «je» «ville» et «cherche» ne sont pas davan-tage explicites pour le moteur de recherche et donnent des résultats trop vagues. Mieux vaut saisir « restaurant » « Lorient » (sans les guillemets) beaucoup plus simple et efficace.

3) Filtrez les résultatsSi les résultats de votre re-cherche contiennent des mots indésirables, il est facile de les supprimer. Supposons que vous souhaitez des renseigne-ments sur le tourisme à Paris mais sans aucune mention des

hôtels de la capitale, afin de rendre les résultats plus lisi-bles. Vous saisirez les termes suivants: tourisme paris en ajoutant le signe « moins » comme suit : -hôtels. Si vous voulez, par exemple, vous in-former sur des faits récents concernant un sujet d’actua-lité, demandez à Google de n’afficher que les résultats cor-respondant à une période dé-terminée, dernières 24 heures, 7 derniers jours ou 31 derniers jours. Pour cela, cliquez sur Recherche avancée (chiffre 6 dans la capture d’écran à l’éta-pe 1 de cet article) et choisissez la période désirée dans la liste Date.

4) Améliorez la recherche à partir des résultats ob-tenusGoogle a beau être l’outil de re-cherche le plus puissant d’In-ternet, votre jugement reste parfois primordial pour trier le bon grain de l’ivraie parmi la pléthore de résultats qu’il vous retourne. Si vous n’êtes pas sa-tisfait, affinez la recherche en cherchant des termes plus pré-cis dans le court descriptif qui

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VOUS CHERCHEZTROUVEZ CE QUE accompagne chacun des sites. Dans notre exemple, si vous cherchez des informations sur la voile en Bretagne, vous trou-verez le mot « croisière » dans l’un des descriptifs. Ajoutez ce mot aux autres termes d’une nouvelle recherche. Vous cons-tatez que les résultats sont beaucoup plus pertinents et moins nombreux que lors de votre première requête. Pour élargir la recherche, cliquez sur Pages similaires ce qui affiche une sélection de site autour d’un thème. Les clubs de voile par exemple.

5) Retrouvez les pages d’un site disparu Si tout ou partie d’un site a disparu, vous pouvez encore retrouver certaines de ses pa-ges. En effet, Google conserve le résultat des recherches de millions d’internautes dans une zone de mémoire dite « cache ». Pour les retrouver, il suffit de cliquer sur le lien En cache placé à côté de l’adresse du site.

6) Recherchez un mot oublié dans une expres-sion familièreVoici une astuce fort utile si vous avez un trou de mémoire. Si, par exemple, vous ne vous rappelez plus de la fin de l’ex-pression «Il pleut comme à Gravelote», ajoutez une étoile aux termes suivants : «Il pleut comme à *» . Google va ajou-ter le terme « Gravelote » que vous avez oublié ! Surprenant et efficace, n’est-ce pas ? Li-bre à vous de placer plusieurs caractères « étoile » selon vos besoins. Par exemple «* sa langue au *» (soit « donner

sa langue au chat » mais vous l’aviez deviné …). Notez que beaucoup de caractè-res spéciaux sont interdits dans le champ de recherche de Google : ;, ,, ., ?, (, ), [, ], @, /, *, <, >.

Google complète automati-quement une expression ou un dicton connus si vous ajoutez le caractère étoile * à la place du mot que vous avez oublié.

7) Recherchez des infor-mations dans un site par-ticulierCertains sites importants com-prenant de nombreuses pages et informations proposent un outil de recherche interne moins per-formant que celui de Google.Pour trouver rapidement des mots clés dans un site spécifique, voici un petit truc, très efficace. Cliquez sur le lien Recherche avancée puis saisissez l’adresse du site sans indiquer les caractèreshttp://www . Par exemple, pourhttp://www.nouvelles-frontieres.fr saisissez tout simplement n o u v e l l e s - f r o n t i e r e s . f r .Saisissez ensuite tous les mots à trouver sur le site dans Page contenant puis les termes de recherche dans le champ Tous les mots suivants. Pour voir le résultat de votre requête, cli-quez sur le bouton Recherche Google. Rien ne vous empêche d’ajou-ter d’autres critères à votre re-cherche (date, langue type de document recherché, etc.)

8) Traduisez les textes en langue étrangèreSi vous n’êtes pas familier avec la langue de Shakespeare ou d’autres langues étrangères, ne renoncez pas à consulter le site. Lorsque la page des résultats de recherche de Google s’affiche, cliquez sur le lien Traduire cette page placé à côté du site que vous voulez traduire. La qualité de la tra-duction n’est pas parfaite mais permet de comprendre le sens général d’un texte.

Une fonction méconnue de Google vous permet d’effec-tuer les 4 opérations mathé-matiques de base, addition, soustraction, multiplication et division. Pour multiplier deux nombres, vous devez saisir dans le champ de recherche, les deux nom-bres séparés par le caractère étoile comme suit : 49*26. Pour une division, tapez 89/42. Autre fonction utile et méconnue, la conversion de devises. Saisissez par exem-ple : 89 euros en dollars. Le résultat s’affiche en gras au début des résultats.

QUAND GOOGLESE TRANSFORMEEN CALCULETTE


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9) Trouvez un site en un clicVous ne souhaitez pas exa-miner une longue liste de ré-sultats ? Saisissez les termes de votre recherche puis cli-quez sur le bouton J’ai de la chance. Vous obtiendrez ainsi le premier résultat de la liste. Par exemple, si vous saisissez senior, vous obtenez directe-ment la page d’accueil du site senior-detente.com. Notez ce-pendant que si vous effectuez une recherche plus approfon-die, mieux vaut cliquer sur le bouton Recherche Google, pour choisir un résultat plus pertinent.

10) Prolongez la rechercheAutre fonction intéressante et trop peu utilisée car peu visi-ble, la présence d’une section Recherches apparentées au bas de la page des résultats.Si vous saisissez par exemple,

le nom d’une ville ou d’un pays que vous souhaitez visiter, Google vous propose d’autres thèmes de recherche concer-nant l’histoire, les photos, la géographie des lieux, la météo, etc. En cliquant sur l’un des liens, Google affiche toutes les sites autour du thème choisi.

11) Les services incontour-nables de Google Outre la recherche, Google propose de nombreux services bien pensés pour l’utilisateur. Revue de détail de nos services préférés de Google.Cartographie (maps.google.fr) Un service de recherche de plans et d’itinéraires. Enri-chi depuis peu par le module Streetview qui propose une véritable immersion dans le monde physique. Avec la sou-ris, vous vous déplacez dans les rues de votre ville comme si vous étiez vraiment au vo-lant de votre voiture, avec une vision panoramique. Pour l’heure, Paris, Lyon, Marseille, Toulouse, Saint-Malo, Pau sont couvertes par ce service et d’autres devraient suivre dans les mois à venir.

Planisphère (earth.google.fr) Google Earth permet de sur-voler votre ville, vos lieux de vacances où qu’ils se trouvent, zoomer sur un lieu familier, faire apparaître les routes et voies de communication sur une carte, mesurer très préci-sément des distances. Les pos-sibilités de Google Earth sont très étendues dans le domaine de la cartographie. Barre de bureau (desktop.google

.com) Avec les services (wid-gets) de Google Desktop, ac-tualités, e-mail, météo, etc. il n’est pas nécessaire d’ouvrir votre navigateur internet pour profiter des gadgets de Win-dows Vista, même avec Win-dows XP. A noter, un très bon système de recherche de mots ou d’expressions qui vaut bien celui qui est fourni avec Win-dows Vista.Messagerie Gmail(voir sur google.fr).Si vous souhaitez utiliser un très gros espace de stockage pour transmettre des vidéos, présentations…etc. Gmail est la messagerie qu’il vous faut. Consultable depuis n’importe quel lieu connecté à Internet, il permet un suivi des messa-ges par conversation et dispose d’un mode de classement très performant. Mobilité (m.google.fr) Pour pro-fiter sur votre mobile des servi-ces de Google spécialement con-çus pour lui : recherche Google, Google Maps, Gmail, Picasa Web, etc. Il suffit de saisir vo-tre numéro de portable dans le champ adéquat et vous recevez un lien qui vous permettra d’accéder à tous les services. Prise de notes(www.google.com/notebook).En anglais. Un service bien utile pour prendre des notes lorsque vous surfez et que vous cherchez dé-sespérément un stylo ou du papier pour noter rapide-ment une informa-tion urgente. Ce service s’intègre à votre navigateur si vous le souhaitez.

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Les pages web sont parfois très longues et occupent plusieurs hauteurs d’écran. Et, la recherche peut vite devenir fastidieuse. Une fonction très utile, vous permet de trouver les mots recherchés en quelques secondes, qui surligne chaque occurrence du mot rencontrée. Pour cela, pressez simultanément sur les touches clavier Ctrl + F puis saisissez le mot dans le champ Rechercher en bas et à gauche de la page web. Le mot que vous recher-chez apparaît alors en sur-brilliance. S’il y a plusieurs occurrences de ce mot dans la page, vouis pouvez les afficher successivement en cliquant sur le bouton Sui-vant.

RECHERCHERDANS UNE LONGUE

PAGE WEB

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TOURISME DÉCOUVERTE

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Dans l’océan indien, l’Ile de La Réunion occupe une place à part.

Plus sportive, plus active, plus spectaculaire que ses voisines

les Seychelles ou l’Ile Maurice, La Réunion est une île-pépite,

riche d’une nature luxuriante et d’une culture métissée.

Par Bruno Gomes

Avis aux amateurs de sen-tiers de randonnées, de vol-

cans, de végétation tropicale et de forêt primaire, de récifs co-ralliens où plonger et... de va-nille ! Préparez-vous à devoir faire un voyage en avion de 11 heu-res depuis Paris, destination l’aéroport de Saint-Denis de la Réunion. Tout d’abord, faisons les présentations. Située à 560 kms à l’est de Ma-dagascar, La Réunion est ce caillou volcanique presque en-tièrement rond de 140 kms sur 70 et dont les principales vil-les portent des noms de saints : le chef lieu Saint Denis au nord (135 000 habitants), Saint Benoît à l’est, Saint Joseph et Saint Pierre au sud, Saint Leu et Saint Paul à l’ouest. Officiellement Département d’Outre Mer depuis 1946, l’île était pourtant rattachée au royaume de France depuis 1638 sous le nom d’Ile Bourbon, bien

à l’énergie pureLa Réunion, l’île

que découverte par le naviga-teur portugais Pedro de Masca-renhas, celui-là qui donna son nom à l’archipel des Mascarei-gnes.A cette époque, le royaume de France n’attachait que peu d’importance à ses îles lointai-nes de l’océan indien et des an-tilles. Les premiers habitants étaient donc soit des mutins, soit des prisonniers, soit des colons attirés par l’aventure et par l’exploitation des richesses naturelles, secondés par les es-claves importés de Madagascar, des côtes est africaines puis par des populations immigrées ve-nues d’Inde.

Plantations de café puis de can-ne à sucre ont fondé l’histoire économique de l’île. Mais bien plus que l’activité humaine, c’est la nature qui a véritable-ment façonné l’identité de l’île

et de ses 760 000 habitants ac-tuels. L’île est entièrement d’origine volcanique. Ce qui lui vaut son surnom de montagne en pleine mer. En fait, deux massifs mon-tagneux composent la Réunion. Le plus ancien et le plus vaste est aussi le plus élevé puisqu’il abrite le point culminant, le pi-ton des Neiges à 3069 m. d’al-titude, au centre ouest de l’île. Ce massif s’est en fait construit sur les restes de quatre vol-cans successifs dont on peut aujourd’hui admirer les cratè-res géants aux versants abrupts de 1000 m. de haut, que l’on appelle des cirques, baptisés Cilaos, Salazie et Mafate. Plus à l’est, séparé par les plai-ne des Cafres et des Palmis-tes, on trouve le second mas-sif montagneux, plus tardif et moins élevé, mais dont le vol-can est toujours en activité : le très réputé Piton de la Four-naise (2631 m. d’altitude). La

UNE MONTAGNE EN PLEINE MER

Le cirque deSalazie, le plus vert des cirques de la Réunion pour des randonnéesaccessibles à tous.

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TOURISME DÉCOUVERTE

à l’énergie pureLa Réunion, l’île diversité des paysages au sein même de ces massifs volcani-ques est spectaculaire. En effet, les grandes pentes ex-ternes, descendant parfois jus-qu’à la mer, sont le résultat des coulées de lave qui ont façon-né ces pentes fluides depuis des centaines de milliers d’an-nées. Ensuite, le centre des deux massif présente lui des reliefs contrastés, «résultat de combinaisons d’effets d’effon-drements et d’une érosion tor-rentielle extrêmement actives» explique les responsables du Parc National de la Réunion, créé en 2007 et qui couvre 42% de la superficie totale de l’île. La montagne volcanique est re-couverte de végétation et par-semée de cascades, donnant une sensation de fraîcheur tro-picale, à découvrir tout au long des sentiers de randonnée.

Trois GR sillonnent le parc. Et leurs multiples variantes per-mettent à chacun de trouver le bon équilibre entre durée, dif-ficulté et volonté ! Le cirque de

Mafate est à ce titre considé-ré comme un must immanqua-ble de même que le volcan de la Fournaise. D’autres activité permettant d’en prendre plein les mirettes : le canyonning ou descente en eaux vives, le VTT ou encore le parapente sans oublier, le survol en ULM ou en hélicoptère (survol complet du volcan de 45 mn pour 240 €). Vous l’aurez compris, les véri-tables richesses de l’île se trou-vent à l’intérieur.

Quant au littoral, il tente de se frayer un chemin dans ce relief abrupt, au pied des montagnes. A l’ouest, ne vous laissez pas berner par le nom de la côte, dite «sous le vent» car elle n’y est pas exposée, au contraire de la côte est. Les plages se si-tuent donc davantage à l’ouest, autour de Saint Gilles et Saint Leu, capitales touristiques et hôtelières de l’île. Si le farniente vous ennuie et que l’altitude vous effraie, la Réunion vous offre une autre activité : la plongée. Grâce à

son passé volcanique, les fonds marins présentent de superbes reliefs avec des tombants abri-tant une faune et une flore co-rallienne, ainsi qu’une longue barrière de corail de 25 kms. Quelques spots, concentrés à l’ouest : Tour de Boucan, Pain de sucre, Roches merveilleu-ses, Maison Verte ou encore Le Corail Garden. Quelle que soit l’activité pratiquée, des clubs spécialisés et les offices de tou-risme locaux sauront vous gui-der en toute sécurité et dans les meilleures conditions. Dernier détail : n’oubliez ni vo-tre appareil photo numérique, ni ses batteries, ni sa pochette de protection, le souvenir n’en

sera que plus grand !

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LE CIRQUE DE MAFATE UN MUST

Office de Tourisme de La Réunion90 rue la Boétie - 75 008 Paris - Tél. 01 40 75 02 79Site : www.la-reunion-tourisme.comFormalités : Carte d’identité ou passeport en cours de validité pour les ressortis-sants français ou de l’U.E.Décalage horaire : +3h en hiver ; +2h en été.Santé : L’épidémie de chikungunya maîtrisée, mais la Réunionreste une destination tropicale. Il est donc recommandé d’utiliser des répulsifs sur les zones de peau découvertesY aller :Depuis Paris, le vol pour l’aéroport de Saint Denis - Roland Garros dure 11 heures.Air France assure 9 vols hebdomadaires depuis Orly Ouest. Air Austral opère 7 vols depuis Paris Charles de Gaulle 2A. Corsair-fly propose de 7 à 9 vols hebdomadaires au départ de Paris Orly.

INFORMATIONS PRATIQUES

PLONGÉE DANS LA FLORE CORALLIENNE

En baie de Saint-Leu, la plon-gée est possible toute l’année et quel que soit votre niveau.

LES TOURS OPÉRATEURS

Allibert, Atalante, Austral La-gons, Aventure et Volcans, Chamina, Club Aventure, Do-natello, Exotismes, Jet tours, Kuoni, La Burle, Nomade, Nouvelles Frontières, Richou Voyages, Sport Away, Terres d’aventure, Tirawa, UCPA, Ul-traMarina, Voyages Terrien, Voyageurs du Monde.

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TOURISME

DÉCOUVERTE

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Du samedi 29 mai au lundi 1er juin, la cité corsaire sera en

ébullition. En effet, l’équipage de Michel Lebris jette son encre à Saint-Malo pour livrer un nouveau chapitre du festival des étonnants voyageurs.

Un rendez-vous incontournable pour les bibiovores qui chaque année sont de plus en plus nombreux à longer les remparts d’intra-muros pour rejoindre le

20ème FESTIVAL DES ETONNANTS VOYAGEURS A SAINT-MALO

palais des congrès sur le Sillon où là, lecteurs et auteurs se rencontrent pour partager, découvrir ce que demain sera fait. «Un monde, sous nos yeux, disparaissait et avec lui ce que nous pensions des repères assurés, un autre naissait, fascinant, inquiétant : n’étaient-ce pas aux artistes, aux écrivains de nous le donner à voir, en inventer la parole vive ?» tel était le but rechercher par Michel Lebris lorsqu’il crée les Etonnants Voyageurs. Non seulement, le festival n’a jamais failli à sa parole, mais il aura aussi durant ces 20 dernières années essaimé sur les quatre continents de Missoula dans le Montana aux Etats-Unis en passant par Dublin , Sarajevo , au Mali à Bamako, en Haïti à Port-au-Prince et Haïfa en Israël. Cette année, Christian Garcin avec «la Piste mongole», Thu Huong DUONG avec «Au

Zenith» ou encore Florence ARTHAUD et son «Un Vent de Liberté», seront au rendez-vous. L’affiche programme quelque 200 auteurs. Impossible ici de tous les nommer. Pour planifier vos rencontres : rendez-vous sur www.etonnantsvoyageurs.com A noter également cette année, en parallèle du festival, la projection de 150 documentaires et films de fiction avec pour thème majeur «Les Séries».«un phénomène à creuser.Où nous découvrons qu’elles sont le fait d’abord de scénaristes - et de scénaristes écrivains... Que les plus populaires sont celles qui nous donnent à voir le monde d’aujourd’hui, un peu comme les romans-feuilletons du XIX ème «annonce Michel Lebris. Mais le festival c’est aussi une immense librairie de 5000 m². De quoi ravir les plus exigeants.

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La base sous-marine de Lorient est encore aujourd’hui considérée comme une des plus grandes forteresses du XX ème siècle. Construite pendant la seconde guerre mondiale, d’octobre 1941 à Janvier 1943, c’est sur la presqu’île de Kéroman que les Allemands ont réquisitionné quelque 20 hectares de terrain. Ici, la base sera destinée à caréner, à réparer et à ravitailler les sous-marins allemands. La construction se fera en plusieurs tranches successives. Mais, c’est le bloc 3 qui reste le plus imposant. Long de 170m et large de 142 m, ce troisième bloc - qu’on nomme le K3 - a été édifié avec pas moins de 200 000m3 de béton! Ce qui l’a rendu quasiment indestructible. Le plafond affiche une épaisseur de 7 m et n’a même pas chancelé lors des attaques aériennes de l’aviation britannique qui lâchait pourtant des bombes de 4 et 5 tonnes. C’est dire l’invulnérabilité de

Visiter La base sous-marinede Lorient

la bâtisse. La visite guidée de la base se finit justement sur le toit du K3 où vous pourrez profiter d’un panorama exceptionnel sur la rade de Lorient. A ne pas manquer par beau temps.

Pour s’y rendre prendre la zone portuaire en arrivant à Lorient puis suivre les panneaux «Espace visite». Horaires des visites : Les mercredis, samedis et dimanches à 14h30. Tarifs : 7€50/adulte - 4€/ de 12 à 17 ans - Gratuit - 12 ans. Réservation :au 02 97 21 00 52 / 06 20 17 30 82

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N°7JUILLET 2009

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N°5 - Janv. Févr. Mars 2009

LA TENDANCEDU TROCMAISON


SANTÉLe sport après 50 ans

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TOURISME

La Réunion,

l’île pépite


DOSSIERMaisons Bois

FORME ET SANTÉ

N°6 - Avril-Mai-Juin 2009

Se mettreau golf

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La I-MiEV150 km d’autonomie

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Forme et SantéMieux entendre

Dans le prochain N°

Tourisme et découverte spécial USA Dossier patrimoine

Extension bois

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Sur la commune de Carentoir, dans le

hameau qui aujourd’hui s’appelle Le

Temple, une des premières Commanderies

de l’ordre des Hospitaliers de Saint-Jéru-

salem, plus connue sous l’appellation des

Templiers a vu le jour sur les terres Bretonnes.

La commanderie remonterait à 1182. Elle a

été érigée sur des terres cédées par le Duc

de Bretagne. Elles portaient le nom de «Ka-

rantoe», du breton Ker-en-Touer signifiant le

village des Couvreurs. Ce patronyme tire son

nom de la existence de carrières de pierres

et d’ardoise dans le pays.

La commanderie se situe à seulement 3

kilomètres de l’actuel bourg de Carentoir.

Ici, les moines soldats édifient une église,

mais surtout ils bâtissent une commanderie.

Dans les années qui suivent leur arrivée, les

Templiers font prospérer leur domaine tant est

si bien qu’ils supplantent très vite les autres

commanderies de Bretagne. La commanderie

de Carentoir devient même une Préceptorie(*)

ayant ainsi la mainmise sur les autres établis-

sements de l’Ordre du Temple disséminés sur

l‘ensemble de la Bretagne.

Aujourd’hui, de ce passé glorieux des Tem-

pliers, seuls quelques vestiges rappellent la

présence de l’ancienne commanderie dont

une tour octogonale adossé à un manoir.

D’autres matériaux ont très certainement

été récupérés et réutilisés pour la construc-

tion des habitations aux alentours. L’église

de Carentoir qui fut rebâtie au cours des

siècles suivants n’a conservé de cette épo-

que qu’un arc roman d’origine En revanche,

elle détient en ses murs un vrai trésor en la

présence unique d’un gisant en bois encore

bien conservé. Toutefois, délaissée pendant

de nombreuses années, ce n’est que depuis

peu qu’on a redécouvert tout son intérêt. Du

coup, des travaux de rénovation entamés

depuis plus d’un an, empêchent toute visite

des lieux. Mais les alentours valent le détour .

Une randonnée vers le cimetière et le Manoir

qui le jouxte vous permettent d’imaginer ce

que pouvait être la vie de ces moines soldats

à cette époque.

L’autre curiosité est « le chêne de la chapelle

de Fondelienne». L’histoire veut que lors de

l’arrestation de tous les Templiers sur le territoire

de France, le fameux vendredi 13 octobre

1307, les templiers de la commanderie, qu’on

appelait aussi «moines rouges», furent tous

massacrés au pied d’un chêne. Ce chêne était

situé près de la chapelle de Fondelienne, à mi-

chemin entre la commanderie et le bourg du

Temple. De cet événement tragique, naîtra une

tradition du droit d’asile du Temple. Et, durant

plusieurs décennies, cet arbre devint un lieu

de refuge appelé « le chêne de la Sauvegarde

». Ainsi, nul n’avait le droit de saisir l’accusé

qui se réfugiait

sous l’ombrage

de cet arbre pro-

tecteur .

(*)La Préceptorie :

centre habité, par

une petite com-

munauté, regrou-

pant une maison

conventuelle, un

poste fortifié et

un domaine agri-

cole..

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Senior Detente Magazine N°6

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