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MagazineLe premier magazine gratuit pour les seniors en Bretagne

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SOCIÉTÉLe Magasin d’usine Françoise Saget

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tourismeLa lousiane, l’autre facette des États-Unis

N°7 - Juillet-Août-Septembre 2009

SANTÉLes aides auditives

en numérique

fINANCeSInvestir avec la loi Scellier

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Nos lecteurs sont aussi vos clients : des Seniors actifs

Senior Détente Magazine est dis-tribué dans les salles d’attente, des médecins, des notaires et des offices de tourisme, des terrains de golf, des casinos, des départements du Morbihan et d’Ille et Vilaine et à la Maison de la Bretagne à Paris.

UNe COMMUNICATION CIBLÉe

Senior Détente Magazine - 34 rue Saint-Michel - 35600 RedonE-mail : 09 79 �0 76 50

Site : www.senior -detente.com

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FINISTERECOTES D’ARMOR

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Ille-et-Vilaine :Bain de Bretagne,Bruz,Châteaubourg,Châteaugiron, Combourg, Fougères, Janzé, Mordelles, Plélan le Grand, Redon, Rennes, Saint-Malo, Vitré...

Morbihan :Auray, Baud, Hennebont, Josselin, Locminé, Lorient, Malestroit, Muzillac, Ploërmel, Pontivy, Rochefort en Terre , Sarzeau , Séné, Vannes...

SUDOKUPetite histoireContrairement à ce que l’on pourrait croire le sudoku a été inventé par un suisse au XVIII em siècle. Mais ce sont les japo-nais qui lui donneront ses lettres de noblesse en 2005 lorsqu’un informaticien passionné par ce jeu a en effet réussi à mettre au point un programme infor-matique capable de générer des grilles à l’infini.Bienvenue dans le monde de la Sudokunania.

RègleLa grille proposée compte 9 ca-ses x 9 cases, divisées elles-mê-mes en carrés de 3 x3. Certaines cases sont déjà remplies avec des chiffres de 1 à 9. Le jeu consiste donc à compléter toutes les ca-ses avec des chiffres compris entre 1 et 9, et que chaque ligne et chaque colonne ne contienne qu’une seule fois chacun des chiffres de 1 à 9.Bon jeu !!

Réponses page 25

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L’engouement pour Senior Détente Magazine ne se dément pas et vous êtes de plus en plus nom-breux à nous réclamer les précédents numéros. Vous trouverez donc en page 15, un bon de com-mande pour les recevoir. Mais attention, il n’y en aura pas pour tout le monde. Et pour ceux qui veulent s’abonner à Senior Détente Magazine, rendez-vous page 34.En attendant, nous espérons que Senior Détente Magazine N°7 saura remplir une fois de plus son objectif, à savoir vous égayer tout l’été tout en vous prodiguant quelques bons conseils. Ainsi, dans cette nouvelle édition estivale, vous trouverez dans la rubrique Finances et Patri-moine un sujet consacré à la loi Scellier : un nouveau programme de défiscalisation pour investir dans l’immobilier. Notre rubrique Consommation est quant à elle consacrée au seul magasin d’usine de la région spécialiste du textile de maison : Le magasin d’Usine Françoise Saget au Fougerêts près de la Gacilly. Notre dos-sier Santé est, cette fois-ci, dédié à l’audition et aux nouvelles prothèses auditives devenues des petits bijoux invisibles truffés de technologies.Enfin, côté tourisme, nous vous emmenons à la découverte d’une autre facette des Etas-Unis : La louisiane. Sans oublier nos pages Sortir dans la région avec entre autres l’exposition d’une partie de la collection d’art Contemporain de François Pinault à Dinard.

Bonne lecture.Alain ARTUR.

Directeur de la publication : Alain ArturTél. 09 79 20 76 50 - E-mail : ré[email protected]édaction : 34 rue Saint-Michel. 35600 RedonDirecteur de la rédaction : Alain ArturCollaboration : Finances et patrimoine : Jean-Pierre Saunier, Alain Artur. Alain Gautron.Forme et Santé : Michel Divet. Internet et Informatique : Serge Escalé. Auto/VDL : Marc Allias. Tourisme : Bruno Gomes.Pour joindre la rédaction : Tél. : 09 79 20 76 50Impression : Rapid’Imprimerie - Parc d’activité de la Chaussée - 56220 MALANSAC - Tél. 02 97 66 25 23Rédactrice graphiste : www.marianneguillemet.fr - 06 61 55 28 22Dépôt légal : 3e trimestre 2009 N°ISSN : 1962-2368Senior Détente Magazine est édité par BRETAGNE EDITIONS LOISIRS.Capital : 1 000 euros - SIÉGE SOCIAL : 34, rue Saint-Michel 35600 RedonRCS / 501 802 425 RCS RENNES - TVA Intracommunautaire : FR 73 501 802 425Service commercial : 09 79 20 76 50 - E-mail : [email protected]

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TOURISME ET DÉCOUVERTE

• 0 : La Louisiane, une autre Amérique à découvrir

INTERNET ET INFORMATIQUE

• Page 28 : Bien choisir son ordinateur

AUTO Véhicule De Loisirs

• Page 26 : Le monospace, le vrai passe partout

ACTUALITÉ

• Page 10 : Les tous premiers Senior Games d’Europe aux Pays Bas en septembre prochain

FORME ET SANTÉ

• Page 20 : Mieux entendre avec le numérique

FINANCES ET PATRIMOINE

• Page 12 : La loi Scellier pour investir de nouveau dans l’immobilier

CONSOMMATION

• Page 18 : Le magasin Usine de Françoise Saget

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ACTUALITÉ

Du miel sur les toits de Paris

Le 7 mai d e r n i e r ,

une reine et ses 60 000 a b e i l l e s ouvrières ont pris place sur les toits du Grand Palais à Paris. En effet, Nicolas Géant, apicul-

teur de la Celle-Saint-Cloud, dans la région pa-risienne, a eu l’idée de placer des abeilles sur ce lieu mythique pour démontrer que les « abeilles vivent mieux en ville qu’à la campagne, à cause de la biodiversité » a-t-il expliqué. Ce n’est pas une première à Paris. La capitale compte quel-que 300 ruches. Le premier rucher de Paris a été installé en 1872 dans le jardin du Luxembourg, qui compte aujourd’hui une vingtaine de ruches. D’autres parcs abritent des ruches, ainsi que le toit de l’Opéra Garnier. Notre apiculteur des villes

estime pour sa part qu’« Il y a des milliers de petites fleurs en ville, même de la lavande, alors que la campagne est polluée par les pesticides ». Toujours se-lon Nicolas Géant, une ruche des vil-les peut pro-duire « 50 kg de miel par an, contre 10 à 15 kg pour une ruche des champs ». La première ré-colte du « Miel du Grand Pa-lais » prévue pour la fin de l’été permettra peut-être de vérifier cette hypothèse.

Passé 50 ans, nombreux sont ceux qui souf-frent de troubles du sommeil. Mais des cher-

cheurs américains et taiwanais ont peut-être trouver la parade : la musique douce. Marion Good professeur à l’Ecole d’infirmières Frances Payne Bolton de l’Université Case Western Re-serve à Cleveland, dans l’Ohio est réputée pour avoir démontrer entre autres que la relaxation, la musique apaisante et de faibles doses médi-camenteuses étaient plus efficace que les cal-mants. Cette fois-ci avec l’aide du professeur taiwanais Hui-Ling Lai de l’Université Tzu-Chi de Taïwan elle s’est penchée sur les troubles du sommeil. L’étude, publiée en février dernier dans The Journal of Advanced Nursing, portait sur 60 personnes d’origine taïwanaise, âgées de 60 à 83 ans et ayant toutes des problèmes d’en-dormissement et de sommeil.Pendant 3 semaines leur sommeil a donc été étudié de près. Les patients ont été divisés en 2 groupes de 30 personnes pris au hasard. Un seul groupe a écouté de la musique douce cha-que soir au moment du coucher pendant 45 mi-nutes. Normalement, 30 minutes suffisent pour s’endormir. Ici, l’expérience devait démontrer que « l’auditeur » trouve le sommeil avant la fin de l’enregistrement. La qualité du sommeil du groupe « auditeur » a été mesurée avant de commencer le test puis contrôlée durant les trois semaines qu’a duré l’expérience.Parallèlement et pendant la même période, la qualité du groupe test « sans musique » a aussi

été vérifiée. « le groupe avec musique a montré une amélioration de la qualité du sommeil de 26 % durant la première semaine, puis ce chif-fre a continué d’augmenter au fur et à mesure de l’expérience et de la maîtrise de cette tech-nique de relaxation » ont expliqué les respon-sables de l’étude. En conclusion, le sommeil du premier groupe s’est amélioré de 35 % grâce à la musique ! Les « patients auditeurs » ont non seulement mis moins de temps pour s’endormir, mais ont aussi mieux dormi et fait des nuits plus longues. « La musique est agréable et sans dan-ger. La technique utilisée dans notre étude est rapide et facile à apprendre… et sans effets se-condaires » assure Marion Good.

Quand la musique adoucit… le sommeil

© François TOMASI, Collection Grand Palais

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ACTUALITÉ

Une étude sur les femmes et le vin réalisée pour le salon

Vinexpo, qui avait lieu du 21 au 25 juin à Bordeaux va très cer-tainement affiner la connais-sance sur les consommatrices de vin. Si longtemps, le vin est resté le domaine privilégié de l’homme, aujourd’hui la femme a su s’imposer dans un univers encore quelque peu macho.Pourtant, on ne compte plus les productrices de vin, les œnolo-gues, les sommelières ou enco-

re les critiques de nectars. Res-te que côté consommation, on ne sait pas grand chose sur les modes de consommation des femmes et du vin. Pour remé-dier à cette lacune, l’équipe de Vinexpo a donc pris l’initiative de mettre en ligne sur Inter-net un questionnaire (France, Royaume-Uni, Japon, Allema-gne et États-Unis) pour connaî-tre les valeurs et lescomportements des femmes face au vin. Pas moins de 4 306 femmes dont 533 Françaises y ont répondu. Les résultats ont semble-t-il surpris leurs ini-tiateurs. Les américaines sont beaucoup plus décomplexées que celles des autres pays, ain-si 92 %, d’entre elles affirment boire du vin au moins une fois par semaine. Les Allemandes 66 %, les Anglaises 61 % et les Françaises 52 %. Seules les Ja-ponaises sont plus à la traîne.Côté goût, jusqu’ici, tout le monde s’accorde pour dire que les femmes préfèrent les vins blancs secs ou liquoreux. On a tout faux ! « Nous avions l’ima-ge de consommatrices préfé-rant le vin blanc. Nous avons eu la surprise de constater que ce n’est pas le cas » soulignait Robert Beynat, le patron de Vi-

nexpoles. En effet, les vins rou-ges sont préférés dans les cinq pays : par 79 % des américaines et par 64 % des Françaises ! Et 79 % des femmes « inter-rogées » le préfèrent pour son goût ! Plus encore, dans la tran-che des 18 à 30 ans, ce pourcen-tage monte jusqu’à 88 %.Certains trouveront à redire sur le panel enquêté qui ne peut être représentatif de la popula-tion féminine dans son ensem-ble. Il n’empêche, ces informa-tions révèlent une tendance qui devraient permettre au monde du vin de réfléchir sur sa fa-çon de communiquer en se di-sant peut-être que la femme est l’avenir du vin.

Les femmes préfèrent le rouge au blanc

Au printemps dernier, en Egypte les pouvoirs publics ont dû faire face à une rumeur qui a

pas mal chahuté l’opinion publique.En effet, un texto d’origine non identifiée aurait eu le pouvoir de tuer ceux qui le recevaient sur leur téléphone mobile. L’affaire égyptienne pour-rait prêter à sourire, mais elle a enflé lorsque la presse a relaté qu’un de ces textos maléfiques - comportant une certaine séquence de chiffres -, a tué un homme à Mallawi, au sud du Caire.« Il est mort en vomissant du sang, après une attaque cérébrale, peu après avoir reçu un texto émanant d’un numéro inconnu » pouvait-on lire

dans le « Egyptian Gazette ». « Attention, pré-venait le journal, ne lisez pas de SMS commen-çant par le symbole « + » et se terminant par « 111 ». L’affolement, dans la population fut tel qu’il a fallu l’intervention de l’agence de presse égyptienne Mena et un communiqué du minis-tère de la Santé pour démentir ses allégations et mettre fin définitivement à une rumeur sans fondement bien sûr.Mais depuis, le ministère de l’Intérieur a arrêté trois hommes soupçonnés d’être les auteurs de cette mauvaise blague. Il y a de fortes chances qu’ils ne refassent pas leur numéro d’ici peu.

La rumeur du texto qui tue

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L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.

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ACTUALITÉ

Savoir Bien vieillir

Savoir Bien Vieillir est un livre écrit à quatre mains : un père et sa fille, Hervé Joly et sa

fille Julie. Le père, Hervé Joly est cardiologue au Centre hospitalier général de Creil depuis 1978.Sa fille est quant à elle journaliste à l’Express. Tous les deux ont donc réunis leur savoir faire pour tenter de répondre aux défis de la vieillesse. Car « Savoir Bien Vieillir » est un guide pour tous ceux qui veulent bien vieillir, mais en anticipant sur les effets de l’âge et ses conséquences.En effet, en 2050 on dénombrera quelque 150 000 centenaires dans l’hexagone (6000 aujourd‘hui). Si l’espoir de vivre plus longtemps est désormais acquis, ses conséquences sociales, sanitaires, financières sont également un défi que l’on devra relever. Hervé Joly et Julie Joly se sont donc attelés à la tache de passer en re-vue tous les problèmes que l’on peut rencontrer lorsque l’on entre dans la vieillesse. Évidem-ment, les aspects médicaux sont abordés de fa-çon concrète et tiennent une large place, mais pas seulement. 3 des 6 chapitres du livre sont en effet consacrés aux aspects médicaux, entre autres : la médecine anti-âge et les secrets de la longévité mais aussi comment entretenir ses organes vitaux le coeur les poumons ou encore vieillir au féminin et au masculin.Les derniers chapitres tout aussi fouillés, pas-sent en revue les aspects plus quotidiens que sont les loisirs, la famille, la solidarité, la dépen-dance, sans oublier comment gérer son argent, assurer ses vieux jours ou organiser sa succes-sion. La dernière partie du livre présente quant à elle, les nouvelles techniques scientifiques qui auront forcément dans les 20 ans à venir un im-pact sur notre façon de concevoir notre avenir et donc notre vieillesse comme les greffes de cellules souches. Bref, ce livre précis, intelligent

est un vrai guide plein de ressources pour aider sans faillir ses proches ou anticiper son propre avenir.

Savoir (bien) vieillir. Hervé Joly, Julie JolyEdition FLAMMARION

Prix éditeur : 21,00 €

Si cet été, vous avez décidé de randonner, ne faites pas comme ce chinois Monsieur Fu qui en buvant à une source

de montagne a malencontreusement gober par le nez un in-trus. Et quel intrus : une sangsue. C’était il y a 5 ans. Et depuis la petite bête y avait pris ces quartiers. C’est ce qu’a rapporté le Quotidien de Canton ’China daily » dans son édition du 28 mai dernier. Notre homme, un guérisseur d’un village âgé de 73 ans souffrait depuis cet randonnée en montagne de saigne-ment nasal. Mais depuis peu les écoulements sanguinolents étaient devenus permanents. Monsieur Fu s’est donc décidé à consulter un de ses confrères. Quelle ne fut pas sa surpri-se de constater la présence dans son appendice nasal d‘ une sangsue longue d’une dizaine de centimètres. Il faut tout de même avouer que Le phénomène est rare, mais on a constaté parfois que le petit invertébré était capable de se nicher sans problème dans des orifices naturels. Alors cet été, ayez l’œil à défaut d’avoir du pif.

5 ans avec une sangsue Dans le nez !©

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Les françaises LeS plus minces DeS eUROPeeNNeS !

ACTUALITÉ

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Au printemps dernier, l’Institut national d’étu-des démographiques a publié une étude qui a fait gros bruit dans le milieu des professionnels de la surcharge pondérale puisqu’elle constate que les Françaises se voient plus grosses qu’elles ne le sont en réalité.Les auteurs de l’étude, qui portait sur 16300 ci-toyens européens, soulignent ainsi que « les fem-mes françaises jugeant leur poids trop faible sont deux fois moins nombreuses que celles effec-tivement en sous poids ». Les balances seraient-elles mal calibrées? Ou feraient-elles une erreur d’appréciation ? Mais non seulement les françai-ses surestiment leur poids réel, mais cerise sur le gâteau, elles sont aussi en moyenne plus minces que toutes les autres citoyennes européennes.Quant à la question du poids idéal, les français déclarent que des IMC(*) compris entre 22 et 19,5 seraient conformes à leurs voeux. En re-vanche, de l’autre côté du Chanel, les sujets de sa gracieuse majesté estiment pour leur part que leur IMC devraient se situer entre 22,5 et 20,7. Bref, les Français ont un idéal de corpulence plus

faible que leurs voisins européens. « Cela pourrait être le signe d’une pression plus forte exercée sur le corps dans leur pays », interprètent les auteurs de l’enquête. Une étude en tout cas qui tombe à pic alors que la France vient tout juste de légaliser la vente des fameuses pilules contre l’obésité.

Calcul du poids idéal , formule de l’IMCDiviser le poids par le carré de la taille en mètreEx : 65kg, 1,72m. IMC = 82 / 1,722 = 82 / 2,9584 = 21,97

IMC (kg·m-�) Interprétation :– Moins de 16,5 dénutrition– 16,5 à 18,5 maigreur– 18,5 à 25 corpulence normale– 25 à 30 surpoids– 30 à 35 obésité modérée– 35 à 40 obésité sévère– Plus de 40 obésité morbide ou massive

Sources : OMS ‘Organisation mondiale de la SantéPour calculer en un clic son IMC : www.imc.fr

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ACTUALITÉ

2 nantais au 1er BABYBOOMeR’S ADVeNTURe RAID AUTOS - MAROC 2009

Le 1er BABYBOOMER’S ADVENTURE aura emmené pas moins de 15 équipages à travers

le royaume CHERIFIEN en passant par TAN-GER, FES, ERFOUD, MERZOUGA, ZAGORA, OUARZAZATE et MARRAKECH. En tout cinq mille kilomètres pour des des véhicules deux roues motrices antérieurs à 1990 et pilotés par des équipages dont l’un des membres est au moins âgé de cinquante ans.Une SIMCA 1100 nantaise pilotée par Didier GAUGAIN et Laurent PREVOST était de la partie. Didier GAUGAIN avait rêvé des raids Paris-Persépolis et Paris-Kaboul. La proposi-tion des Babyboomer’s l’ayant séduite, restait deux freins : d’abord trouver la voiture et en-suite payer l’engagement. « Concernant la voi-ture, j’ai récupéré celle de mon oncle, une Simca 1100 break de 1977 qui dormait quelque part en Mayenne. On en a profité pour acheter une épa-ve pour réaménager la voiture du tonton et ap-prendre la mécanique. » Afin de pouvoir payer les frais d’inscription et les frais d’exploitation, Didier GAUGAIN et son ami Laurent PREVOST ont monté une association intitulée Sim’écur, abréviation de Simca et écureuil puisque les deux compères officient à la Caisse d’Epargne de Nantes.« Nous avons eu l’appui de douze sponsors en numéraires et en prestations qui nous ont per-mis de faire l’acquisition de fournitures scolai-res, sportives et ludiques qui ont étè distribuées tout au long du parcours. Mais nos deux princi-paux sponsors sont nos épouses » insitent nos babyboomers nantais.Si l’aventure vous tente sous d’autres hospices, sachez que les mêmes organisateurs-la société SPYD Organisation - après la réussite de ce raid au Maroc, vous proposent un rallye touristique, du 10 au 17 Octobre prochain en véhicules an-ciens, dénommé : 1er BABYBOOMER’S ADVEN-TURE HEXAGON TOUR 2009.Le Rallye toujours réservé aux pilotes de plus de 50 ans et aux autos antérieures à 1990, suivra les traces des anciens Tours de France Automobile des années 50 à 80 et des hauts lieux de l’his-toire du sport automobile français.Le 1er BABYBOOMER’S ADVENTURE HEXA-GON TOUR 2009 n’est en aucun cas une course de vitesse, mais un rallye touristique avec road book. Avec 2.300 kms de la Bretagne au Pays Basque en passant par 10 cols ou courses de cô-tes mythiques : Mont-Dore, Tourmalet… L’en-semble des routes choisies évite au maximum les grands axes et permet de rouler sur les traces des grands rallymen des années 60/80.

Les frais d’inscription s’élèvent à 2.350 € incluant la demi-pension en hôtels**/*** de charmes.

Renseignements : www.bayboomers-adventure.com ou 05.56.97.28.64

Le Babyboomer‘s Adventure Raid Maroc de TANGER à OUARZAZATE a mis les corps et les voitures à rude épreuve.

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Des semelles contre les micros traumatismes

ACTUALITÉ

Lorsqu’un joggeur du dimanche parcourt en-viron 5 kilomètres, il ou elle aura encaissé

quelque 4200 chocs avec le sol d’une intensité équivalente entre 3 à 5 fois son poids. Et si vous parcourez 10km ce ne sont pas moins de 12000 chocs que supportera votre corps. Et après 40 ans, ces vibrations à répétition peuvent causer de multiples blessures et traumatismes : entor-se, tendinites, mal de dos, cervicalgies, fracture de fatigue. Le pied entre autres aura tendance à s’affaisser pour évoluer vers un pied plat. Pour contrecarrer ces méfaits, la société JLF ADVAN-CED a inventé une nouvelle la semelle mise au point en partenariat avec des pointures interna-tionale dans l’univers de la traumatologie spor-tive et des matières innovantes. VIBRACUT® System, tel est le nom de cette semelle. Elle allie la résistance d’une fibre minérale aux perfor-mances d’une matière polymère à mémoire de forme. La société JLF ADVANCED a donc décli-né cette semelle dernière génération en plusieurs modèles. La Premium for seniors est recomman-dée pour les plus de 40 ans car elle évite l’affais-sement de la voûte plantaire et absorbe les chocs et vibrations. Pour les avoir testées nous-mêmes - sur différents les terrains - nous avons effecti-vement constaté avec satisfaction que le vibra-cut system remplissait correctement son rôle

en absorbant efficacement les chocs permettant ainsi un vrai confort de course et une récupéra-tion plus rapide. La Premium intensity possède une cuvette calcanéenne pour stabiliser l’arrière du pied et éviter des entorses par sollicitation excessive du ligament latéral externe de la che-ville. La Premium endurance avec son insert en VIBRACUT® System absorbe les contraintes du sol. Et le coin pronateur avec cuvette calcanéen-ne postérieure stabilise le talon pour éviter le risque de tendinite. Enfin, la Premium for Wo-men préserve le pied et la cheville contre le re-lâchement ligamentaire fréquent chez la femme qui est souvent à l’origine d’entorses.

Renseignements : Groupe JLF 2 place de la Bourse. 69002 Lyon. Tél. : 04 78 37 07 37

Alli, le miracle anti minceur?

Les patrons du laboratoire GlaxosmithKline (GSK) qui ont lancé la fameuse pilule ALLI-

anti obésité -se frottent déjà les mains. La pilule présentée à grands renforts de publicités était at-tendue avec impatience et les ventes explosent. En effet, depuis le mois de mai, le médicament a reçu le feu vert de Roseline Bachelot suivant ainsi la décision de la Commission européen-ne d’autoriser la vente sans ordonnance de la version allégée d’un médicament qui jusqu’ici ne pouvait être délivré que sur prescription médicale.

Toutefois, le m é d i c a m e n t n’est pas en vente libre. Il doit être pla-cé derrière le comptoir. Et seul le phar-macien est autorisé à le délivrer aux personnes dont

l’indice de masse corporelle (supérieur à 25) indique une réelle surcharge pondérale ou une obésité avérée. Toutefois, on sait aussi que Alli présentée com-me la pilule miracle saura attirer tous ceux qui rêvent de maigrir sans se priver. Et il y fort à parier aussi que certains verront leurs espoirs fondre comme neige au soleil. Car la fameuse pilule Alli est deux fois moins dosée en orlistat (la molécule de la minceur) que le médicament vendu sous prescription médicale. Cette pilule qui agit sur l’absorption des graisses contient en effet de l’orsilat principe actif dosé à 60 mg contrairement au Xenical sous ordonnance dosé lui à 120 mg. A noter également que pour être efficace la prise de ce médicament doit forcément être accompa-gnée d’un régime hypocalorique et d’exercices physiques pour permettre une perte de poids notable. Alli peut aussi avoir des effets secon-daires indésirables au niveau digestif. Du coup, à 50 € la boîte, il est peut-être préférable avant de se lancer de peser le pour et le contre.

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ACTUALITÉ

LeS 1eR SeNIOR GAMeS eN eUROPe DU 7 AU 12 SePTeMBRe

Les tous premiers Senior Games 2009 auront lieu du 7 au 12 septembre 2009 à MIDDELBURG aux

Pays-Bas, dans la province du Zeeland. Cet événement sportif international réservé aux plus de 50ans devrait attirer pas moins de 4500 compétiteurs sur 22 disci-plines (*). Si aux Etats-Unis, un évènement identique existe depuis longtemps, en Europe c’est une première. Il aura tout de même fallu pas moins de 3 ans de coo-pération intensive entre les différentes fédérations des sports nationaux et les autorités néerlandaise pour que le projet devienne réalité. D’autant que les organisa-teurs espèrent bien faire de ce rendez-vous sportif un événement comparable aux Jeux Olympiques et l’ins-crire non seulement dans la durée mais aussi dans le calendrier sportif international. Du coup, d’anciens champions nationaux, européens, et mondiaux ont déjà répondu oui à cette manifes-tation unique sur le continent européen. Ainsi Rob Barel, triathlonien de 51 ans, ex champion du monde, champion d’Europe de triathlon et de duathlon, s’est engagé pour le triathlon mais aussi pour les épreuves de VTT, d’athlétisme et de natation. « Je crois que ce sera très amusant. Voyons si je peux revivre l’émo-tion olympique que j’ai éprouvée à Sydney» a déclaré le champion lors d’une conférence de presse donnée à Midellburg en juin dernier. L’Europe mais aussi les États-Unis, le Canada, la Nouvelle-Zélande, Israël, et l’Ouzbékistan , en tout pas moins de 23 nationalités, seront représentées

pour cette première édition. Les organisateurs insis-tent sur le fait que toutes les personnes âgées de plus de 50 ans peuvent participer aux Senior Games 2009. Au moment ou nous écrivons ces lignes, l’aîné des participants est un Américain : Roger Gentilhomme, âgé de 100 ans qui devrait participer aux épreuves de tennis et de bowling. Reste que, pour concourir aux compétitions officielles, les candidats doivent satis-faire à un certain nombre de critères de sélection éta-blis en collaboration avec les ligues sportives natio-nales et internationales. Toutefois, en parallèle à des compétitions officielles, se teindront également des activités beaucoup plus récréatives ouvertes à tous quel que soit son âge. On pourra, entre autres, par-ticiper à des stages de plongée ou entreprendre des randonnées pour découvrir la province du Zeeland. Enfin, les organisateurs manquent bras et recher-chent activement des volontaires pour encadrer cette manifestation sportive dédiée aux seniors actifs!

(*) Athlétique, Badminton, Billards, Bowling, Bridge, Cy-clisme, Echecs, Equitation Football, Golf, Judo; VTT, Voi-le, Natation, Pétanque, Tennis de table, Tennis, Tir a l’arc, Triathlon, Volleyball

Renseignements Senior Games 2009;

Achter de Houttuinen 8 Fax: 0031 (0) 118 - 641909 - 4331 NJ Middelburg -PAYS BAS

Tél. : 0031 (0) 118 - 641009 - Fax: 0031 (0) 118 - 641909www.seniorgames2009.com

E-mail: [email protected]

Les premiers jeux “Olympiques” pour les plus de 50 ans se dérouleront aux Pays Bas en septem-bre prochain.

Rob Barel, ex cham-pion du monde, ex champion d’Europe de triathlon qui fête ses 51 ans cette année, est inscrit aux épreuves de VTT, d’athlétisme, de natation et du triath-lon bien sûr! (Senior Games 2009)

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ACTUALITÉ

Le portable qui débouche le nez

Si les ondes des téléphones portables peuvent avoir des conséquences néfastes sur l’orgnisme

humain, d’autres lui ont trouvé des vertus. Ainsi, au Japon, un fournisseur de mélodies pour mobi-les vient en effet de mettre au point des sonneries capables de décongestionner le nez.En fait, les sonneries sont accompagnées de signaux qui déclenchent le vibreur. Il suffirait ensuite, annonce l’opérateur, de placer correcte-ment le téléphone portable sur l’arête de son nez

pendant 30 secondes pour obtenir l’effet décon-gestionnant. La fréquence décongestionnante pour les hommes serait la note la, soit 440 hertz, celle des femmes serait le do, soit 532 hertz. Le procédé serait également efficace pour venir à bout des symptômes d’allergie aux pollens. En revanche, chez les « étrangers au long nez » le système est inopérant puisqu’ils ne réagissent pas aux mêmes vibrations, annonce le fournis-seur.

Après une activité sportive, les articulations ont quelque fois souffert de vos efforts. Pour vous

aider à mieux récupérer, MGD nature a mis au point un kit constitué de 3 produits qui agissent en synergie. L’ARTHROMARINE® Draine, composé de 9 extraits liquides de plantes aux propriétés drainantes et dépuratives, favorisera l’élimina-tions des toxines. MGD nature vous préconise de diluer 3 cuillères à soupe d’ARTHROMARINE® Draine dans 1,5 litre d’eau à boire dans la journée. De son côté, l’ARTHROMARINE® Gélules, pour la souplesse des articulation, est un complément nutritionnel associant actifs naturels marins, oli-go-éléments et vitamine C (Glucosamine et Chon-droïtine, Silice, Manganèse, Cuivre et Vitamine C) pour conserver des articulations souples et mobi-les. Conseils d’utilisation : 6 gélules par jour, avec un grand verre d’eau. Enfin, le troisième élément de ce kit, l’ARTHROMARINE® crème, est une préparation de chondroïtine, de silicium organi-que et d’huile essentielle de cyprès. Cette crème s’applique 2 à 3 fois par jour localement sur les articulations douloureuses. Si la chondroïtine contribue à la formation et à l’entretien du tissu

cartilagineux, le silicium organique, nécessaire au maintien et à l’élasticité des tissus conjonctifs, favorisera quant à lui la mobilité et la souplesse des articulations, tandis que l’huile essentielle de cyprès, aux vertus décontractantes et apaisantes, atténuera vos douleurs articulaires.

Renseignements : MGD Nature 02 97 85 10 15 ou www.mgdnature.com

L’ARTHROMARINe® Kit, pour le bien être de vos articulations

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La loi Scellier va-t-elle réveiller le marché de l’immobilier ? Peut-

être. En tout cas les promoteurs ont trouvé avec cette loi un

nouvel argument pour écouler les invendus. D’autant que dans

une conjoncture morose, la loi Scellier permet de réduire son

imposition et d’anticiper des revenus pour sa future retraite. Le

principe semble simple : réduction de 25% du montant de l’investissement

sur 9 ans. Pour y voir un peu plus clair, Maître Gautron, Vice-Président de la

Chambre des Notaires d’Ille-et-Vilaine, nous fait le point.

Propos recueillis par Alain ARTUR.

la loi scellier va-t-elle réveiller le marché immobilier ?

Senior Détente Magazine :Tout d’abord, dites nous qui peut bénéficier de cette nou-velle loi ?

Maître Alain Gautron :Tous les particuliers qui inves-tissent dans un logement neuf ou à réhabiliter. Les promoteurs en font d’ailleurs un élément fort de leur communication et apposent le label LOI SCEL-LIER sur leurs programmes.Cette réduction d’impôt est très attractive et rencontre déjà le succès qu’avait connu en son temps la loi MEHAIGNERIE.Les particuliers ne connaissent cependant pas toujours bien les ficelles qui permettent de réa-liser une bonne opération de défiscalisation. Il est fréquent de rencontrer des investisseurs désabusés après avoir répondu trop vite au chant des sirènes et s’être laissés séduits par des marchands de produits défisca-lisants.Il est toujours important de bien choisir son conseil, de lui donner sa confiance avec l’ex-périence du temps et de ne se lancer dans ces investissements lourds qu’après avoir obtenu son avis favorable.Un bon investissement SCEL-LIER suppose nécessairement un logement de qualité bien si-tué, c’est-à-dire situé dans un secteur géographique dont on connaît précisément le marché.

Senior Détente Magazine :Quels sont les logements concer-nés ?

Maître Alain Gautron :Ce dispositif concerne les loge-ments destinés à la location non meublée à usage d’habitation principale du locataire, sous la réserve de respecter un plafond de loyer.

Cette réduction d’impôt est également étendue aux locaux anciens affectés à un usage autre que l’habitation et que le contribuable transforme en logement, ainsi qu’à la réha-bilitation de logements qui ne satisfont pas aux caractéristi-ques de décence.

Ces logements doivent se trou-ver dans des zones de déséqui-libre entre l’offre et la deman-de. Un zonage (zones A, B1 et B2) a été créé par arrêté inter-ministériel.Le logement doit respecter les normes en vigueur en matière thermique et de performance énergétique.

Senior Détente Magazine :Quels sont les véritables avan-tages fiscaux de cette loi ?

Maître Alain Gautron :La loi SCELLIER offre une ré-duction d’impôts. On n’est plus

dans le mécanisme des amortis-sements propres aux lois RO-BIEN et BORLOO.Cette réduction est calculée sur le prix de revient du loge-ment retenu dans la limite de 300 000 € maximum.Une seule opération SCELLIER n’est possible par foyer fiscal et par an.

Deux options s’offrent alors au contribuable :

OPTION 1 : Réduction de 25 % du montant de l’investissement pour les logements acquis (ou construits) en 2009 et 2010.

Maître Gautron, Vice-Président de la Chambre des Notaires d’Ille-et-Vilaine

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A compter de l’année 2011, la réduction est ramenée à 20 %.En contrepartie, le contribua-ble s’oblige à louer le logement pendant 9 ans et la réduction est répartie à raison d’1/9e par an.Le loyer est plafonné par décret (système ROBIEN recentré).

OPTION � : L’OPTION SCELLIER SOCIALLe montant de la réduction se poursuit au-delà des 9 ans de location, soit une réduction d’impôts de 31 % en cas de loca-tion pendant 12 ans et de 37 % en cas de location pendant 15 ans.C’est une simple faculté pour l’investisseur de reconduire la location aux termes des 9 ans, par 2 nouvelles périodes de 3 ans.La réduction des 9 premières années est ramenée à 20 % au cas où le logement serait acquis (ou construit) après 2010, soit 26 % pour 12 ans de location et 32 % pour 15 ans de location.La contrepartie de ces réduc-tions supplémentaires est l’obligation de respecter un plafond des ressources du loca-

taire (système BORLOO).Le SCELLIER SOCIAL permet également de bénéficier d’un abattement de 30 % sur les loyers.

Les déficits fonciers, en ce com-pris ceux générés par une lo-cation SCELLIER, restent im-putables sur le revenu général dans la limite de 10 700 €.

Prenons l’exemple de l’achat d’un appartement neuf repré-sentant un investissement de 150 000 €.Si l’acte notarié est signé avant la fin de l’année 2009, l’inves-tisseur pourra réduire l’im-pôt de ses revenus 2009 de 4 166 €.Le mode de calcul de la réduc-tion annuelle pendant 9 ans sera le suivant : 150 000 € X 25 %/ 9.

Senior Détente Magazine :Y a-t-il une date butoir pour bénéficier de cette nouvelle disposition ?

Maître Alain Gautron :Afin de profiter à plein des avantages de la loi SCELLIER il

faut acquérir un logement neuf avant la fin de l’année 2010. La date butoir est la même pour l’achèvement des travaux de ré-habilitation de locaux anciens.A partir de 2011, le taux de la réduction baissera à 20 %.

Senior Détente Magazine :Enfin pour finir pourriez-vous nous dire si l’on peut cumuler Borloo, Robien et Scellier ?

Maître Alain Gautron :Pour un même logement, cer-tainement pas.En revanche, il est tout à fait possible de cumuler ces régi-mes pour des logements dis-tincts.A titre exceptionnel, jusqu’au 31 décembre 2009, un parti-culier peut acquérir deux loge-ments neufs et choisir un mé-canisme d’amortissement pour l’un et une réduction d’impôts pour l’autre.

Réaliser un investissement dans le cadre des dispositions de la loi SCELLIER est une très bonne opportunité dès lors que l’investisseur choisit un pro-gramme de qualité.Dans le cadre d’une option SCELLIER SOCIAL et un in-vestissement de 300 000 €, la réduction d’impôt pourra at-teindre 111 000 € sur 15 ans.Attention en revanche en ma-tière de transmission : il ne sera pas possible de donner la nue-propriété d’un bien béné-ficiant de la réduction d’impôt SCELLIER.

Les questions à se poser sont nombreuses.Quelle option choisir ? Dans quelle zone se trouve le pro-gramme ? Le montant du loyer prévisionnel ne dépasse-t-il pas le plafond ? Quelles sont les perspectives de revente au terme des 9 ans ou des 15 ans ?La prudence est de rigueur et je vous invite à consulter votre notaire avant toute décision.

Sur un investissement de 150 000 €, avec un acte notarié signé avant la fin de l’année 2009, la loi Scellier vous permet de réduire l’impôt de vos revenus 2009 de 4 166 €.

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FORME & SANTEN° 1 : LES VERTUS DE LA MACA, UN VIAGRA NATUREL VENU DU PEROUN°2 : LE SUCCES DES COMPLEMENTS ALIMENTAIRESN°3 : LA MARCHE NORDIQUEN°4 : LES BIENFAITS DE LA THALASSON°5 : LE SPORT APRES 50 ANSN°6 : SE METTRE AU GOLF

FINANCES & PATRIMOINEN°1 : SUCCESSION CE QUI A CHANGEN°2: UNE PISCINE POUR VALORISER VOTRE PATRIMOINEN°3 : IMMOBILIER , FAUT-IL INVESTIR N°4 : DOSSIER ENERGIES RENOUVELABLES (1)N°5 : DOSSIER ENERGIES RENOUVELABLES (2)N°6 : LES MAISONS BOIS

INFORMATIQUE & INTERNETN°1 : MIEUX UTILISER VOTRE MESSAGERIE ELECTRONIQUEN°2 : S’EQUIPER ET INSTALLER UNE VIDEOCONFERENCEN°3 : RANGER SES PHOTOS SUR SON ORDINATEURN°4 : RETOUCHER SES PHOTOS EN TOUTE SIMPLICITEN°5 : COMMENT CHOISIR SON NETBOOKN°6 : TRUCS ET ACTUCES SUR INTERNET

TOURISME & DECOUVERTEN°1 : LES ILES DE LA GOUADELOUPEN°2 : MAROC ET TUNISIEN°3 : LA GALICE, L’ESPAGNE VERT EMERAUDEN°4 : REALISER UN TOUR DU MONDEN°5 : TOUT SUR LE TROC MAISONN°6 : LA REUNION, L’ILE PEPITE

AUTO & CAMPING-CARN°1 : UN CAMPING CAR POUR LES PROCHAINES VACANCESN°2 : BURSTNER FËTE SES 50 ANSN°3 : LES ALARMES POUR VDLN°4 : AUTOSTAR, LE HAUT GAMME, TOUJOURS!N°5 : PHOENIX POUR VOIR LA VIE EN GRANDN°6 : UN FOURGON POUR ALLER Où VOUS VOULEZ

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Vous avez envie de changement sans pour autant vous lancer dans

un déménagement ou le rachat d’une autre habitation, alors

optez pour l’extension bois. Avec des délais d’exécution plus

courts que dans la construction traditionnelle, les extensions

bois recomposent votre espace de vie sans bourses déliées.

Par Alain Artur

recomposer son espace

Nous l’avons vu dans notre pré-cédent N°6 de Senior Détente

Magazine (Avril Mai Juin 2009) le bois possède de nombreuses qua-lités et s’intègre parfaitement avec tous les éléments constitutifs d’une construction, qu’il s’agisse de la pierre, du béton, brique, métal et bien sûr l’ossature bois. Il n’empê-che, avant toute démarche, nous vous conseillons de vous rendre à la mairie de votre domicile pour consulter le fameux P.L.U (Plan Local d’Urbanisme). Le PLU vous permettra en effet de prendre con-naissance des éventuelles servi-tudes. Si votre propriété se trouve à proximité d’un site classé, il y a fort à parier aussi que vous devrez soumettre votre demande d’exten-sion aux architectes des Bâtiments de France. Ces derniers ont pour tache de vérifier que le projet (for-me de la construction et matériaux utilisés) répond aux normes en vi-gueur. De leur côté, les architectes du CAUE (Conseils d’Architecture, d’Urbanisme et d’Environnement) sauront vous guider dans vos dé-marches, et ce gratuitement. Nor-malement, ces architectes ont soit des permanences en Mairie ou au siège du CAUE local.

UNE FACTURE ALLÉGÉE

Entre déménager, rechercher une autre maison ou imaginer une ex-tension, beaucoup optent main-tenant pour la seconde solution plus pratique à mettre en œuvre et beaucoup moins onéreuse. En fait, si les professionnels recon-naissent que les coûts de cons-

truction sont quasiment identiques dans le traditionnel ou dans le bois, tous s’accordent aussi pour dire que la durée du chantier a des incidences sur le montant final de la facture. Et là, l’extension bois tire son épingle du jeu. Environ 1 200 à 1 500 €/m² habitable, alors que l’extension maçonnée tourne autour des 2000€ le m2.L’extension bois permet aussi un de gain en surface habitable non négligeable. On compte généralement entre 10 à 15% de surface en plus avec une extension bois car les murs sont moins épais que celle d’une structure maçonnée et avec des performances en isolation thermi-que avérée. Le bois est en effet réputé pour ses atouts thermi-ques. La souplesse d’utilisation du

bois laisse également place à l’imagination. Tout est possible ou presque. Mais l’autre avantage et non des moindres de cette technique est sa facilité d’exécution. En effet, autant un bâti maçonné peut subir les aléas climatiques engendrant parfois des dépassements dans les délais de réalisation et générant un chantier encombrant et salissant, autant la solution dite “sèche” du bois s’affran-chit de ces contraintes. Ainsi, la préfabrication des pièces en atelier vous assure une rapidité d’exécution sans oublier qu’il vous sera également possible, dans la plupart des cas, d’habiter votre maison pendant les travaux. Mais tout le monde ne vit pas à la campagne et les terrains en ville sont souvent trop exigus pour

Une extension bois, comparée à une structure maçonnée, c’est 15% de surface en plus.

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avec les extensions boisenvisager des extensions horizon-tales. Alors quand la surface vient à manquer au sol, il faut regarder vers le ciel. La surélévation est sans doute la solution d’agrandis-sement idéale pour gagner de la place…en hauteur.

L’OUVERTURE VERS D’AUTRES ESPACES

Surtout, cette technique est une façon intelligente de soulager une construction maçonnée pour re-looker une façade trop monotone. Le bois permet en quelque sorte la rupture...dans la continuité !En milieu urbain, la surélévation s’avère souvent l’unique solution pour créer de nouvelles surfaces habitables. Et, elle l’est d’autant plus, lorsque le bâti existant ne dispose pas de murs porteurs suffisants. Le bois s’impose tout naturellement pour sa légèreté, permettant des constructions di-rectement sur l’ancienne maçon-nerie. La surélévation en bois est donc quasi une nécessité pour qui veut agrandir son espace de vie en milieu urbain. Enfin, contraire-ment à l’extension horizontale, une surélévation quelle qu’elle soit, permet d’augmenter la surface habitable sans modifier l’emprise au sol. Pour résumer, la suréléva-tion en bois offre donc l’avantage d’augmenter sa surface habitable sans achat supplémentaire de fon-cier, d’optimiser une acquisition en créant une plus-value à votre bien immobilier, mais aussi de ren-forcer votre isolation et donc de prétendre au crédit d’impôt et au nouveau prêt de développement durable à taux zéro. Reste que, comme pour toute procédure d’ex-tension individuelle, la surélévation nécessite l’obtention d’un permis de construire. A noter également que si la surface hors oeuvre nette (SHON) de votre habitation après surélévation dépasse les 170 m2,

le recours à un architecte est non seulement indispensable mais obligatoire.

LES TERRASSES EN BOIS

Une extension ce peut également être une terrasse qui dés le prin-temps vous permettra d’agrandir votre espace de réception. Nor-malement, si votre terrasse ne dépasse pas 60 cm de hauteur, ni les 20 m2 de surface, vous n’avez, pas besoin de permis de cons-truire. Il n’empêche, il est tout de même préférable de consulter les services de votre mairie pour être en conformité avec les limites de propriété de vos voisins. Dans la plupart des cas, les terrasses sont implantées près d’une porte ou d’une porte-fenêtre. Cependant d’autres préféreront l’installer un peu plus loin dans le jardin, afin de profiter d’un coin plus tranquille ou autour d‘une piscine. D‘où la né-cessité d‘être en conformité avec les imites de propriété. Mais c‘est peut-être aussi l‘ensoleillement qui vous guidera dans l‘implan-tation votre terrasse. En effet, les surfaces les plus ensoleillées se trouvent au sud et à l’ouest. En re-vanche, une terrasse orientée au nord sera nécessairement moins ensoleillée et du coup plus sensible

à l’humidité et aux moisissures. Car, ce que craint avant tout une terrasse en bois, c’est l’eau. Là en-core pensez aux écoulements en prévoyant une légère pente pour éviter la stagnation des eaux de pluie. Pensez également à l’orien-tation des vents dominants. Il vous faudra peut-être vous protéger avec des coupe-vents .Dans tous les cas veillez à ce que le bois uti-lisé soit un bois sec et bien ventilé. Car le bois exposé aux intempé-ries est un matériau vivant sensi-ble aux variations de température et au taux d’humidité.Enfin, côté tarifs, les prix varient na-turellement en fonction de la taille, du choix de la technique (lames de bois ou caillebotis) et de l‘essence du bois utilisé. Généralement, une terrasse en lames de pin traité, est facturée entre 40 à 60 € le m2. Mais, si vous optez pour un bois exotique comme, L’IPE du Brésil, le Bangkirai d’Asie ou le teck de Birmanie, les prix peuvent grim-per facilement jusqu’à 200€ le m2. Mais vous serez tranquille pendant au moins 60 ans!!

Une extension bois, comparée à une structure maçonnée, c’est 15% de surface en plus.

La terrasse en bois se dilate et grise avec le temps. Le choix de l’essence du bois est donc pri-mordial.

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Le trèfle à 4 feuilles, sur fond fuchsia, ceinturé par la signature Françoise Saget est une marque reconnaissable entre toutes. Et c’est normal.

En s’appuyant sur la qualité, des prix au plus juste et une proximité avec sa clientèle, Françoise Saget est devenue une référence dans l’univers

du textile de maison. Et, son magasin d’usine, implanté aux Fougerêts, tout près de la Gacilly, reste unique dans la région.

SOCIÉTÉ CONSOMMATION

Le magasin usine françoise Saget,

Créée par Yves Rocher, mais désormais indépendante du

groupe de cosmétique Yves Ro-cher, la marque Françoise Saget a su s’imposer dans le milieu du linge de maison. Pour preuve, la « Fédération des Professionnels Parisiens de la Chambre d’Hô-tes » l’a utilisée pour confection-ner son stand, au 1er salon de la chambre d’hôtes à Paris les 28 et 29 mars derniers. « C’est pour nous une grande satisfaction que d‘avoir été choisi. Et ce n‘est pas par hasard. » souligne Jean-Luc Hercelin le directeur de Françoise Saget aux Fougerêts. En effet, la marque au trèfle à quatre feuilles fait appel à un bureau de stylis-tes pour développer ses propres gammes et élaborer toutes les collections d’après des thèmes définis, comme le font toutes les grandes maisons de couture. « Nous fabriquons avant tout du linge de maison qui dure dans le temps et donc moins soumis aux modes comme dans l’habille-ment. Mais notre gamme évolue d‘année en année » précise le directeur.Et, la société implantée en pleine campagne peut s’enorgueillir de traverser la crise sans dommages. Car le succès de l’entreprise re-pose également en grande partie sur l’implication des membres qui la composent. « Tous ont l’envie de bien faire » répète le directeur. Réception, contrôle qualité, stoc-kage, expédition tout est réalisé aux Fougerêts. De même, toutes les commandes par courrier sont traitées ici, tout comme le sont les appels téléphoniques. « Nous avons notre propre centre d’appels

car nous voulons garder une re-lation forte avec notre clientèle. C’est notre force. » Et ce n’est pas pour rien si le leitmotiv de Jean-Luc Hercelin reste « la proximité avec le client, toujours ! ».

Magasin d’usine, le coin des affaires

Si la marque Françoise Saget est créée en 1982, ce n’est qu’en 1986 que le magasin d’usine voit le jour. Un délai somme toute né-cessaire pour que les collections antérieures puissent véritablement

être vendues en magasin d’usi-ne (cf. Ce que dit la loi). Unique dans la région, le magasin est accolé aux bureaux et au centre d’expédition. Il répond en cela à cette même exigence de proxi-mité.« Lorsque nous l’avons ouvert en 1986, c’était tout petit et ce n’était ouvert que l’après-midi. Mais il y avait déjà pas mal de monde à venir » se souvient Sylvie Guille-mot responsable du magasin. « Certaines personnes pensent, à tort, que le magasin n’est pas

UN MAGASIN QUI TIENT SES PROMESSES

A Ploërmel, Maryvonne Etienne vient d’emménager dans son nouvel appartement. Un lieu qu’il lui faut maintenant décorer. Et pour ce faire, Maryvonne ira au magasin usine de Françoise Saget. « Vous savez, cela fait bien des années que je connais Françoise Saget » annonce d’emblée Maryvonne Etienne. Une fidélité sans faille qui tient en grande partie à la qualité des produits. « Au début, j’achetais pour moi, puis pour les enfants : mes fils, mes belles filles et maintenant pour mes petits enfants. J‘achète par téléphone après avoir lu le catalogue. Mais, j‘aime bien également me rendre au magasin d’usine ». En fait, se rendre régulièrement aux Fougerêts est devenu un rituel. Et c’est donc accompagnée de ses amies, qu’elle passe une matinée bien remplie « Au magasin, on voit mieux la texture et les coloris des tissus ». Et puis, il y a « le coin des affaires ». « C’est très intéressant, on y fait vraiment des affaires. Tenez, j’ai trouvé une robe de

Le magasin d’usine est ouvert toute

l’année y compris le 14 juillet

et le 15 août

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Le trèfle à 4 feuilles, sur fond fuchsia, ceinturé par la signature Françoise Saget est une marque reconnaissable entre toutes. Et c’est normal.

En s’appuyant sur la qualité, des prix au plus juste et une proximité avec sa clientèle, Françoise Saget est devenue une référence dans l’univers

du textile de maison. Et, son magasin d’usine, implanté aux Fougerêts, tout près de la Gacilly, reste unique dans la région.

SOCIÉTÉ CONSOMMATION

comme un porte bonheur !Le magasin usine françoise Saget,

ouvert au grand public. Bien au contraire, tout le monde peut venir » insiste Sylvie Guillemot. Aujourd’hui la magasin d’usine affiche quelque 600 m2 d‘exposi-tion. Désormais, l’établissement est ouvert toute l’année du lundi au samedi. Et en juillet et août, un chapiteau de 200 m2 vient compléter l’édifice pour répondre à la demande de la clientèle et aux touristes de passage.En tout, pas moins de 50 000 personnes viennent chaque an-née acheter au meilleurs

prix parures de lit, couettes, peignoirs, pyjamas, nappes tor-chons mais aussi rideaux cous-sins ou encore vêtements pour les petits. Et par définition, Le magasin d’usine pratique des prix plus bas. « Notre but, c’est de faire profiter aux clients des meilleurs prix. Pas question ici de réaliser des marges supplé-mentaires. » Mais pas question non plus de présenter des pro-duits bas de gamme. « Nous vendons avant tout des fins de séries, des retours mais pas de

produits de malfaçon. Nos pro-duits doivent être nickels même s’ils ont un an ! » insiste Jean-luc Hercelin.Les habitués le savent bien qui re-viennent régulièrement faire leur emplettes ici où chacun se connaît.En période crise, allier la qualité et le prix, c’est que du bonheur !

CE QUE DIT LA LOI

Les magasins d’usine sont régis par la loi. Ainsi l’Article 30 de la loi du 5 juillet 1996 précise « La dénomination de magasin ou de dépôt d’usine ne pourra être utilisée que par les producteurs vendant directement au public la partie de leur production non écoulée dans le circuit de distribution ou faisant l’objet de retour. Ces ventes directes concernent exclusivement les productions de la saison antérieure de commercialisation, justifiant ainsi une vente à prix minoré. ».

INFOS PRATIQUES

FRANçOISE SAGETLa motte 56 200 Les Fougerêts

Du lundi au samedi de 10h à19h en été et de 10h à 18h en hiverwww.francoisesaget.com

Tél. : 0892.02.75.76 (0,34 €/min à partir d’un poste fixe) de 8 h à 20 h

et le samedi de 8 h à 18 h.

A noter que le magasin est ouvert 5 dimanches et 3 jours fériés par an.Pour 2009, le magasin est ouvert le mardi 14 juillet, le samedi 15 août, et les dimanches 6 septembre,

4 octobre et 6 décembre.

Pour Sylvie Guillemot comme pour Jean-Luc Hercelin et l’ensemble du personnel Françoise Saget, la satisfaction du client est une priorité

chambre pour seulement 9 €. Et c’est de la super qualité, croyez-moi » lance fièrement Maryvonne. Et elle a raison, car tous les produits mis en vente dans le magasin ne sont pas des malfaçons. Mais surtout, Maryvonne en habituée des lieux, sait parfaitement programmer ses visites. « Vous achetez, par exemple, des serviettes par correspondance. Il suffit ensuite d’attendre un peu avant d’aller au magasin, pour dénicher la nappe qui ira avec les serviettes. Et comparé aux prix pratiqués dans les commerces de ville, c’est imbattable ».

Le magasin d’usine est ouvert toute

l’année y compris le 14 juillet

et le 15 août

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En France, environ 6 millions de personnes souffrent de

difficultés d’audition, notam-ment de presbyacousie, c’est-à-dire de perte auditive liée à l’âge. La nature est ainsi faite que plus on avance en âge et plus l’audition tend à perdre de sa performance. En fait, la presbyacousie est à l’oreille ce que la presbytie est à l’œil. Ce terme un peu barbare désigne ainsi l’ensemble de la voie audi-tive affecté par le processus du vieillissement. Généralement, la presbyacousie, tout comme la presbytie, peut commencer autour de 40 ans, puis se ren-forcer vers 55 ans. Toutefois, cette diminution auditive s’ins-talle progressivement. Et sou-vent, la personne concernée ne constate pas d‘emblée sa perte auditive, tout simplement parce que son cerveau a su mettre en place des mécanismes de subs-titution. Et par là même accepte

mal qu’on puisse évoquer une perte d’audition. Reste que ce sont principalement les sons aigus qui sont affectés. Les gazouillements des oiseaux, la sonnerie du téléphone, ou en-core le carillon de la sonnette ne sont plus perçus. Mais, les pre-miers signes de la presbyacousie apparaissent généralement avec des difficultés de compréhension en milieu bruyant.

DES TESTS POUR DÉPISTER

En effet, les bruits de fond sont souvent des obstacles ma-jeurs pour la personne atteinte de presbyacousie qui dés lors identifie péniblement les mots et donc entend difficilement. Ce peut être pendant une réunion de travail ou tout simplement lors d’une soirée en famille. Mais au quotidien, les premiers signes qui doivent faire sus-

pecter une baisse auditive sont généralement le fait de faire répéter régulièrement ses inter-locuteurs, se plaindre de bour-donnement dans les oreilles, de souffrir de vertiges, de parler fort ou encore d’augmenter le volume sonore de sa télé. Les spécialistes sont unanimes, si on ne distingue plus les sons lors d’une conversation chucho-tée dans une ambiance cette fois-ci silencieuse, soit des sons de 30dB (cf Encadre L’échelle des sons), alors il est important de consulter. Pour dépister cet-te presbyacousie, les médecins ORL réalisent des tests indolo-res en milieu bruyant pour jus-tement confirmer cette dégra-dation auditive. Un test d’audiométrie tonale et un test vocal confirment ainsi que les fréquences aiguës sont effectivement les premières touchées, puis les médianes et les graves. Le test du chucho-tement est un autre examen permettant au médecin de dia-gnostiquer et de bien évaluer le degré du handicap auditif. Pendant ce test, le patient se bouche alternativement l’oreille opposée à celle évaluée, le mé-decin derrière le patient chu-chotant des séquences de mots et de chiffres. Suivant le nom-bre de séquences reconnues correctement, on pourra alors graduer le handicap. Ensuite une visite chez l’audio-prothésiste vous permettra de choisir l’appareillage le plus

mieux entendre pour rester à l’écoute

Disons-le tout de suite, les aides auditives souffrent d’un déficit d’ima-

ge. Pour nombre de personnes, le port d’une aide auditive s’appa-

rente à un signe de vieillissement, doublé d’un manque d’esthétisme.

Mais l’avènement du numérique a changé la donne, en faisant en-

trer l’audition dans l’univers de la haute technologie.

Par Michel DIVET

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Les nouvelles prothèses auditives allient à la fois esthétisme et technologie de pointe. >>>>

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adéquat pour pallier à cette dé-faillance d‘audition car ce n’est pas en se privant d’une aide auditive, que l’on pourra obliger son oreille à faire de l’exerci-ce. L’audioprothésiste procède également à des tests pour dé-terminer l’appareil qui vous sera le mieux adapté. Il vous prendra aussi l’empreinte de votre con-duit auditif pour réaliser votre prothèse parmi les centaines de références fabriquées par une dizaine de marques.

L’AIDE AUDITIVE DANS L’èRE DU NUMÉRIQUE

Sur les 6 millions de Français ayant des difficultés d’audition, seulement moins de 15% sont appareillés alors qu’ils sont en moyenne 18% en Europe. Pourquoi? La pression sociale du jeunisme y est pour beau-coup. L’image du vieillissement ou encore la vexation que pour-

rait susciter le port d’une aide auditive sont des freins réels. Ajoutons à cela les à priori sur l’esthétisme des dits appareils ou du moindre confort. Ainsi, selon une enquête Ipsos-Malakoff Médéric sur “L’image des appareils auditifs en Fran-ce”, menée dans le cadre de la 12e journée nationale de l’audi-tion, 18% des Français jugent que “ce n’est pas esthétique” et 10% estiment que “cela fait vieux”. On comprend mieux ainsi pourquoi les français ne

veulent pas s’équiper. Il y a en-core une dizaine d’années, les équipements auditifs étaient, il faut bien l’avouer, de simples amplificateurs. Quant à l’esthé-tisme de l’appareil, ce n’était pas vraiment une priorité pour les constructeurs. Et peu nom-breux étaient les appareils ca-pables de s’adapter à différents milieux sonores. Autant d’obs-tacles pour le développement des appareils auditifs, et plus encore pour ceux qui en avaient le plus besoin.

LE SySTèME AUDITIF HUMAINL’oreille comprend 3 parties, l’oreille externe, l’oreille moyenne et l’oreille interne.L’Oreille externe est constituée du pavillon, du conduit auditif externe, qui pénètre dans le rocher. L’Oreille moyenne est composée de la caisse du tympan et la trompe d’Eustache. La trompe d’Eustache est un fin conduit qui s’ouvre d’un côté dans la caisse du tympan, et de l’autre dans le rhinopharynx.

L’Oreille interne est formée d’un système de canaux osseux remplis d’un liquide, la périlymphe à l’intérieur de laquelle se trouvent des canaux membraneux qui sont eux-mêmes remplis d’un autre liquide, l’endolymphe, et qui portent des cellules sensorielles sur leur paroi.

1) Pavillon - 2 ) Conduit auditif externe - 3) Tympan - 4) Chaîne ossiculaire : a) Marteau b) Enclume C) Etrier - 5) Caisse du tympan - 6) Trompe d’Eustache - 7) Cochlée (organe de l’audition) - 8) Organe de Corti contenant les cellules ciliées internes et externes - 9) Nerf auditif : nerf cochléaire et vestibulaire - 10) Appareil vestibulaire (organe de l’équili-bration).

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PRENDRE UN RENDEz-VOUS CHEz L’ORL Avant de vous rendre chez un médecin oto-rhino-laryngologiste, vous devez consulter votre médecin traitant. En ne respectant pas ce « par-cours de soins », votre visite chez l’ORL ne sera pas remboursée par votre Caisse d’assurance maladie. L’examen du tympan et le conduit auditif externe détermine s’il s’agit d’une otite, d’un eczéma ou tout simplement la présence de cérumen qui pourrait être la cause de vos troubles d‘audition. Le test de l’audiométrie évalue le type et le degré de perte auditive. L’examen dure en général une 30 minutes et est indolore.

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Mais le numérique a tout changé. Il a fait entrer l‘audition dans le monde du XXIe siècle. Les appa-reils dernière génération se sont miniaturisés et sont équipés de puces devenues intelligentes.Aujourd’hui, le numérique a la particularité de pouvoir analyser l’environnement sonore. Différents types de sons peu-vent donc être distingués (bruit de fond, conversation). Pureté

du son, suppression de la distor-sion, des bruits de fond, qualité du son, autant de performances qui améliorent nettement le con-fort d’écoute. Cependant, l’effi-cacité de la prothèse auditive dépendra à la fois de la nature et du niveau de la perte auditive. Reste que les capacités d’adap-tation à différents univers sonores des aides auditives sont vraiment étonnantes.

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LE PHENOMENE ACOUPHENES

Les acouphènes sont dans 95% des cas, des bruits (sif-flements, bourdonnement)entendus seulement par ce-lui qui en souffre. Les 5% des cas restant concernent des bruits d’origine vasculaire ou musculaire.L’acouphène il se situe le plus souvent au niveau de l’oreille interne. Mais son ori-gine n’est pas encore bien connue. Selon une équipe de recherche du CNRS, c’est un signal nerveux anormal fa-briqué au niveau de l’oreille interne ou du nerf auditif qui serait interprété par les voies auditives centrales comme un bruit. Il semble également que la charge émotionnelle joue un rôle important : plus on s’inquiète d’entendre ces drôles de bruits et plus ils risquent de persister.Les appareils intra auriculaires se placent dans le conduit auditif

à l’entrée de l’oreille. Pratiquement invisibles, ces prothèse sont réalisées sur mesure avec au préalable une prise d’empreinte de l’oreille.

Installé au pôle médical à Bruz au sud de Rennes, Yannick DIRAND audioprothésiste, nous parle de son métier.

En quoi consiste votre travail?J’adapte des aides auditives numériques sur-me-sure aux patients atteints de surdité. J’ai ouvert ce centre de proximité « Bruz Audition », où je suis présent tous les jours de la semaine, justement pour effectuer un suivi rigoureux, car les réglages effectués par l’audioprothésiste restent primor-diaux.

Qui peut venir vous voir ?Chaque personne concernée par un trouble de la compréhension et faisant anormalement répéter ses interlocuteurs est invitée à venir passer un test de dépistage auditif gratuit à but non médical.

Quel est le meilleur moment pour s’ap-pareiller?Mis à part le fait de retrouver une bonne audition, l’appareillage a aussi pour rôle de stimuler l’oreille abî-mée. On la garde ainsi active plus longtemps. Alors plus on s’y prend tôt et mieux c’est.

Quelle est la durée de vie d’une aide auditive?Une aide auditive dure en moyenne de 5 à 6 ans. De mon côté, je garantis tous mes appareils pen-dant 4 ans. Et, j’insiste, il ne faut jamais hésiter à venir régulièrement faire contrôler et régler son appareil.

BRUZ AUDITION 14 place du vert Buisson. 35170 BRUZ

Tél. : 02 23 50 13 37

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yANNICk DURAND, AUDIOPROTHÉSISTE à BRUz

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Automatisme, multiprogrammes, personnalisation, miniaturisation, finesse des réglages, l’appa-reil est devenu un concentré de technologie mais qui pour être exploité à 100% de ses qualités sonores Haute Définition a be-soin de réglages particulièrement fins que seul un audioprothésiste sérieux est à même de vous four-nir. D’autant qu’il existe plusieurs sortes d’appareils auditifs.

LES DIFFÉRENTS APPAREILS

Une prothèse se compose de trois éléments : un micro, le corps de la prothèse, qui adapte le son au type de surdité de l’individu, et un haut-parleur qui restitue le son, sans oublier la pile qui alimente l’appareil. On distingue générale-ment 3 sortes de prothèses : Les contours d’oreille, Les intra auriculaires et les intra conques. Les contours d’oreille se placent derrière le pavillon. Un petit tube mène à un embout qui se loge dans le creux de l’oreille. Ces ap-pareils sont préconisés pour tous les types de surdité, légère comme profonde. Les intra auriculaires, se positionnent directement dans le creux de l’oreille. La prothèse audi-tive se prolonge alors jusque dans le canal auditif. Toutes les parties de la prothèse sont placées dans un tube adapté aux dimensions de

votre oreille. Ce type de prothèse auditive remplit la plupart du creux de l’oreille, le prothésiste ayant pris soin auparavant de réaliser une empreinte de votre oreille.Enfin, les intra conques se posi-tionnent à son entrée. Plus petits et de couleur chair, ils sont hyper discrets. Cette prothèse auditive fonctionne généralement de la même façon même si elle est quasiment invisible. Toutefois, rappelons ici que les prothèses auditives ne peuvent

pas redonner l’ouïe à une per-sonne qui l’a perdue. D’ou l’utilité de consulter rapidement. Un bon audioprothésiste vous fera tou-jours un test gratuit. Et si, il y a nécessité de consulter un ORL, il saura vous le dire. Quand on constate une baisse d’audition, il faut réagir ! Le fatalisme n’est plus aujourd’hui de rigueur, des solutions existent, ne vous en privez pas. Entendre mieux, c’est rester à l’écoute des autres.

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REMBOURSEMENT, COMMENT FAIRE ?

Les aides auditives peuvent être remboursées par votre Caisse d’assurance maladie à condition d’avoir été prescrites par un ORL. C’est en effet l’ordonnance délivrée par le médecin qui permet le remboursement. A noter aucune entente préalable avec le Cnam n’est nécessaire, toutefois la liste des produits et prestations (LPP) sert de référence à votre caisse pour vous rem-bourser. Demandez donc cette liste à votre audiopro-thésiste.

Leseuildel’auditionaétéfixéà0dB. Au-dessous de cette valeur, les sons ne sont plus distingués par l’oreille humaine. La majorité des sons de la vie quotidienne sont compris entre 30 et 90 décibels. Au-dessus de 90 dB, les sons dé-tériorent l’oreille interne et peu-vent provoquer une surdité ou des acouphènes. A noter également que Si à 95 dB, il faut plusieurs an-nées pour remarquer une dégra-dation de l’audition, en revanche, au-dessus de 100 dB quelques heuresd’expositionsuffisentpourconstater des dégâts majeurs. Pour réduire ce risque : abaisser le niveau sonore mais aussi de ré-duire sa durée d‘exposition.

0 dB : Seuil de perception de l’oreille humaine0 à 30 dB : Chuchotement30 à 40 dB : Appartement tranquil-le40 à 50 dB: Conversation normale50 à 60 dB: Lieux de vie, maga-sins, 60 à 80 dB: Voix criée80dB:Rueàforttrafic85 à 90 dB : Limite de nocivité 90 dB : Danger100 dB: Discothèques110 dB: Tronçonneuse120 dB : Voiture de course130 dB: Avion a réaction au décol-lage

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L’idée est simple : aménager un véhicule pour qu’il puisse à la

fois être doté d’un vrai confort de couchage, de sanitaires, d’une cuisine, tout en ayant les attributs d’une voiture capable d’afficher 4 ou 5 places sur sa carte grise. Simple. Mais pas facile à réali-ser. Et si la tendance est au mini-malisme, n’allez pas croire pour autant que les constructeurs de camping-cars, et à fortiori ceux qui vous transforment un monos-pace en un vrai camping-car, mé-nagent leurs efforts. Chez Stylevan, on se concen-tre avant tout sur la capacité du véhicule à se mouvoir là où les autres ne peuvent aller. Oubliées les barres des 2,10m érigées

comme autant d’interdits, finie la recherche laborieuse d’un stationnement en pleine ville. Mieux, certains parkings sou-terrains, vous sont désormais accessibles. Il faut dire aussi que les adeptes du monospace aménagé ne veulent pas sim-plement sortir leur véhicule pour des week-ends prolongés. La plupart du temps, nombreux sont ceux aussi qui souhaitent pou-voir l’utiliser au quotidien. Bref, le monospace aménagé devient un véhicule multifonctions, certaines professions n’hésitant pas non plus à s’en servir comme d’une annexe de leur bureau. Nos ingénieurs auxerrois privilé-gient évidemment le côté loisir et le confort en offrant sur des surfa-ces réduites de vrais espaces de vies et de couchage. Pari gagné pour Stylevan qui depuis plus de 20 ans a su se tailler une place

AUTO VÉHICULE DE LOISIRS

le vrai Passe-partoutMonospace aménagé,

Le concept du camping-car passe-partout n’est pas une idée nouvelle

dans l’univers des véhicules de loisirs. Seulement, il faut de la constance

et une bonne dose d’ingéniosité pour aménager un monospace en vrai

camping-car. La société bourguignonne Stylevan installée à Bazarnes

dans l’Yonne, s’en est fait une spécialité.

Par Alain ARTUR

La rehausse “made Stylevan” (relevable ou fixe) agrandit non seulement l’espace vital mais of-fre aussi un deuxième couchage pour deux personnes. Douche,

toilettes chimi-ques à cassette avec cuvette orientable équi-pent le 3006.

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AUTO VÉHICULE DE LOISIRS

le vrai Passe-partoutMonospace aménagé, bien méritée au sein de la grande famille des camping-cars. On re-tiendra surtout, les toits relevables ultra plats, archétype même de cette maîtrise des espaces. Cer-tes, vous ne trouverez pas de lan-terneau pour l’aération, mais des ouvertures en front de pare-brise ou de hayon vous assureront une parfaite ventilation d’autant que ces orifices sont également dou-blés d’une moustiquaire. Appré-ciable lorsqu’on prévoit une halte nocturne au bord d’un plan d’eau!Cette rehausse ultra plate “made Sytlevan” a été conçue en co-que polyester permettant ainsi de passer sous la barre des 2m (1m99).Le modèle 3006 sur base Trans-porter Volkswagen est même doté de 2 baies coulissantes type Seitz avec moustiquaires et sto-re intégré. Le couchage double relevable (1.12x1.86) est quant à lui assisté par vérins. Ce mo-dèle est également commercia-lisé dans une version surélevée avec une coque polyester renfor-cée avec isolation rigide mousse polyuréthanne stabilisée avec 2ème coque polyester intérieure et couchage supérieur double abaissable. Mais, la hauteur at-teint les 2.52m. Côté isolation , Stylevan a opté pour la laine de roche et trisilor. Le plancher hydrofuge, posé sur support mousse de très haute densité, est également isolé avec du trisilor. La cuisine équipée

c o m p r e n d un réchaud 2 feux, 1 évier affleurant, 1 réfrigérateur de 60 litres à compression avec range-ments hauts et bas. On notera aussi la présence d’une pen-derie et des rangements en arrière de la porte latérale avec façade in-clinée pour faciliter la circulation dans l’habitacle. A noter aussi, la table démonta-ble et escamotable qui autorise la mise en place d’une banquette convertible capable d’offrir un couchage de 1,18m sur 1,88m. Mais surtout, on retiendra l’exis-tence de vraies toilettes à cas-settes avec un accès direct par la porte arrière ainsi que le bac à douche encastré dans le plan-cher arrière avec couvercle et rideau de séparation. (Réservoir d’eau propre : 90 litres). Assurément, un équipement qu’apprécieront tous ceux qui vont par monts et par vaux, le temps d’un week-end, mais qui ne négligent pas pour autant leur confort. Surtout lorsque l’on re-vient soit d’une randonnée ou d’une pêche à pied en bord de mer.

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1,9 TDI 102 cv long 48 559 € T.T.C

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L’informatique est un des rares domaines où les prix sont en baisse

constante alors que les performances augmentent. Dans ce gui-

de d’achat (1re partie), vous trouverez tous les conseils pour vous

équiper d’un ordinateur, portable ou de bureau, en fonction de

vos besoins.

Par Serge ESCALÉ.

ordinateurbien choisir votre

Oubliez les gros boitiers qui trônaient dans les bureaux ou les chambres. Aujourd’hui, les ordinateurs porta-bles et les « tout-en-un » sont en passe de s’imposer dans les foyers. Esthétiques et très maniables, ils permettent de travailler, jouer, surfer sur Internet et réaliser des montages vidéos pour les modèles les plus puissants. Et cela, sans vous ruiner. Si vous n’êtes pas un joueur ou un créateur multimédia exigeant, inutile d’acheter le dernier cri de la technologie, de nombreux mo-dèles sur le marché répondent à vos besoins.

MAC OU PC, QUE CHOISIR ?

C’est la première question à vous poser. Vous avez le choix aujourd’hui entre deux mondes. Celui du PC (Personnal Compu-ter) et de celui du Mac (MacIn-tosh d’ Apple). Le vif débat entre les thuriféraires des deux bords n’est pas tranché et ne le sera sans doute jamais. Nous allons cependant vous li-vrer quelques clés pour vous aider à choisir. Si le marché a très nettement tranché en faveur du PC avec plus de 9 utilisateurs sur 10, les adeptes du Mac ne désarment pas et sont même en légère augmentation.

Vous souhaitez uneutilisation simple et une

machine esthétique :Optez pour un MacIntosh

Pourquoi alors choisir un Mac alors que tout semble plaider en faveur du PC ? Tout d’abord, il s’agit de machines à l’esthétique

soignée, aux lignes affinées, qui peuvent prendre place dans un salon. Même si le monde PC a fait des efforts sur ce plan, un Mac affiche un beau design. En-suite, les débutants ou allergiques à l’informa-tique ne sont pas rebu-tés par des manipula-tions difficiles. Sitôt l’appareil déballé et branché sur les prises électrique et téléphone, vous pouvez l’utiliser et surfer sur Internet. L’usage au quotidien d’un Mac est très intuitif et vous n’aurez jamais à vous poser de questions sur des réglages tech-niques. D’autre part, les Mac sont peu ciblés par les virus et autres codes malicieux qui empoison-nent la vie d’un utilisateur de PC sous Windows. La raison principale tient au fait que les créateurs et utilisateurs de virus ne s’intéressent qu’à l’immense communauté Windows, bénéficiant ainsi d’un énorme es-pace de nuisance. Cerise sur le gâteau, vous pouvez maintenant utiliser aussi Windows sur votre Mac pour ex-ploiter les innombrables sites de jeux et de programmes qui exis-tent dans le monde Windows.Notez aussi qu’ils sont moins su-jets aux problèmes, blocages et incidents divers que les PC. Ces derniers sont tenus, à chaque nouvelle version de Windows, de rester compatibles avec les in-nombrables programmes et ma-

tériels (graveurs, imprimantes, etc.) existants. Une gageure diffi-cile à respecter. Seule ombre au tableau, les Mac sont plus chers à l’achat à performance égale.

Pour un grand choixde logiciels

et un prix plus abordable :

choisissez un PC

Côté PC, l’immense majorité des ordinateurs utilise Windows dont la dernière version est Windows Vista. Il existe un autre système,

iMac d’Apple : des lignes agréables et une simplicité d’utilisation incontestable.

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ordinateurbien choisir votreLinux et ses multiples déclinai-sons mais il est surtout réservé à un public averti qui ne représente que moins de 1 % des utilisa-teurs. Premier atout, le PC bénéficie d’un énorme choix de titres de jeux pour tous les âges et de lo-giciels de toutes catégories pour travailler, créer dans les domai-nes de l’image ou de la musique. C’est la conséquence de la posi-tion dominante de Windows dans le monde entier. Autrefois insuffisant, le confort d’utilisation s’est beaucoup amé-lioré depuis Windows XP encore très présent chez les particuliers en entreprise. Reconnaissons que la dernière version, Win-dows Vista n’est pas vraiment une réussite. Il nécessite une machine puissante et récente pour s’exécuter confortablement. En outre, des fenêtres de confir-mation s’ouvrent à tout bout de champ dès lors que l’utilisateur tente de modifier des réglages sur son ordinateur. Le remplaçant de Vista, Windows 7 qui va être proposé au cours de l’année 2009 devrait tenir compte des déboires de son prédéces-seur et s’avérer plus performant et convivial sans innovations ta-pageuses et inutiles.Les utilisateurs confirmés de PC dotés des boitiers classiques ap-précient le fait de pouvoir assem-bler eux-mêmes tous les compo-sants de leur machine (disques, mémoire, carte graphique, lec-teurs, etc.). Et surtout de la faire évoluer très rapidement. L’offre des constructeurs est dans ce domaine, abondante et très fré-quemment renouvelée. Les adep-tes du Mac disposent de bien moins de possibilités d’évolution. Revers de la médaille, il faut réel-lement avoir un niveau minimum de connaissances avant d’ouvrir

le capot de son PC. Si vous êtes débutant, rassurez-vous, en cas de problème important, les PC de marque (HP/Compaq, Dell, Lenovo, etc) permettent de sau-vegarder vos photos, vidéos, mu-siques et fichiers essentiels puis de restaurer Windows en quel-ques minutes.

Sans entrer dans la technique, aujourd’hui, il faut disposer d’un or-dinateur doté au minimum de 2 Go de mémoire vive et d’un disque dur de 250 Go pour faire tourner conforta-blement Windows Vista et tous les programmes asso-ciés à ce système. Rendez-vous dans notre prochain N°8 de Senior Détente

Magazine. Nous vous ferons dé-couvrir les nouvelles tendances des “ Tout en Un” et ce qu’il est prudent de prendre comme ex-tension de garantie, sans oublier un tableau des prix pour que vous puissiez choisir au mieux votre prochain équipement.

Windows 7 va remplacer Windows Vista au cours de l’année 2009.

Le PC bénéficie d’un énorme choix de logiciels de toutes catégories pour travailler, créer dans

les domaines de l’image ou de la musique.

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Difficile d’imaginer la Louisiane sans ses plantations qui vous plon-gent dans «Autant en emporte le vent». Au 19éme siècle, plusieurs centaines de plantations de canne à sucre bordaient le fleuve Missis-sippi Ces maisons prestigieuses furent malheureusement détruites lors des combats de la Guerre de Sécession. Une quarantaine de ces maisons de plantations échap-pèrent à la destruction et la moitié d’entre elles furent rénovées. En suivant la route des plantations au départ de la Nouvelle-Orléans, on découvre plusieurs styles, plu-sieurs histoires. Destrehan Plan-tation, avec son style colonial an-tillais du 18éme siècle et l’histoire de ses propriétaires français, affi-che un visage plus chaleureux que la très chic Oak Alley Plantation et les imposantes colonnes de la façade néo-grecque, sans oublier sa très réputée allée de chines. En

1858, le propriétaire de Nottoway Plantation avait voulu ce qu’il y avait de plus grand et de plus cher pour affirmer sa fortune. Les visi-tes organisées, par des guides en costume d’époque, permettent de découvrir les pièces à vivre de la maison (en anglais et parfois en français sur demande) A noter que seule la plantation Houma House est l’une des rares à encore être habitée par son propriétaire.

LA CULTURE CAJUN à L’HONNEUR

Après les robes 19éme siècle, changement de décor avec une vi-site dans les bayous. Les bayous sont les cours d’eau dans les zo-nes marécageuses du sud de la Louisiane. Une excursion à bord de petits canots, avec guide, vaut le détour. Alligators, ragondins, oiseaux migrateurs, hérons, aigret-

tes aigles, sous-bois composés de cyprès géants, le silence du spec-tacle naturel y est saisissant. Les sorties durent d’1h30 à 2h (des swamp tours). Le mieux est de se rendre à l’ouest de la Nouvelle-Or-léans, avant d’arriver à Lafayette et rejoindre par exemple les bayous Lafourche, Teche ou encore l’At-chafalaya, le plus grand. Ce mon-de des bayous est indissociable de l’histoire des «cajuns». En effet, la culture cajun résonne encore dans l’histoire des habitants de la Louisiane, surtout dans le sud, Lafayette étant le point central de la planète cajun. Pourtant, l’origine du mot est à chercher beaucoup plus au nord, en Acadie, alors ter-ritoire de la Nouvelle-France en 1713, devenu aujourd’hui le Nou-veau-Brunswick du Canada. Les colons français installés dans ces territoires d’Amérique du nord, vier-ges de toute culture en firent une terre vivable et prospère jusqu’à ce que l’Acadie revienne à l’An-gleterre, par la signature du Traité d’Utrecht en 1713. Refusant de faire allégeance à la couronne bri-tannique, les acadiens furent tout simplement expulsés manu militari sur des navires sans destinations. C’est le «grand dérangement». En 1785, 7 navires et 1 500 acadiens débarquent à la Nouvelle-Orléans. Les bayous du sud de la Louisiane seront leur nouveau pays. La forte identité culturelle de ce groupe est intimement liée à la francophonie bien que l’usage du français fut interdit au début du 20éme siècle jusqu’en 1955. Et aujourd’hui seu-lement 10% des 90 000 cajuns parlent encore français. Incontour-nable, la culture cajun se découvre d’abord par la musique, la cuisine et les cajuns eux-mêmes! La musi-

TOURISME DÉCOUVERTE

La Louisiane, sur un

Ses imposantes demeures des plantations du 19e siècle ramènent im-

manquablement à rejouer Scarlett O’Hara. Mais la Louisiane, c’est

aussi les bayous et sa culture cajun francophile. Sans oublier ces airs

de jazz et de blues joués dans les rues du Vieux Carré de la Nouvelle-

Orléans. Suivez le guide.

Par Bruno Gomes

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Le Natchez, le seul et unique bateau à vapeur de la Nouvelle Orléans sur la Mississippi River.

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que zydeco, avec ses accordéons, ses violons ses guitares, ses chants enjoués, ses rythmes rapides ap-parentés au folk ou à la country, est un condensé de culture cajun. Côté gastronomie, les restaurants dits cajuns, sont réputés pour leurs écrevisses et leurs fameuses soi-rées «Fais dodo», avec orchestres zydeco et ambiance très convivia-le. A Lafayette. L’Acadian Cultural Center, situé à 10 minutes en voi-ture de Lafayette, et dont l’entrée est gratuite, est un passage obligé pour en savoir plus sur les modes de vie et destin des acadiens.

JAzz à TOUS LES

ÉTAGESImpossible de venir en Loui-siane sans ren-contrer le Jazz. Dés votre arrivée à la Nouvelle-Or-léans, vous serez déjà dans l’am-biance, car l’aé-roport internatio-nal porte le nom du plus célèbre des trompettistes de Jazz né ici : Louis Amstrong. Jazz, blues, ces

musiques sont intimement liées à l’histoire de la ville, de la Louisiane, et plus généralement des popula-tions noires des états du centre-sud des Etats-Unis. Mais, c’est à la Nouvelle-Orléans qu’ apparais-sent les premiers clubs de jazz, dans le Vieux Carré ou French Quarter, au début du 20éme siè-cle, notamment avec le style musi-cal Dixieland, autre petit nom de la Nouvelle-Orléans. Les passionnés vous diront même que le mot jazz est dérivé du terme créole français, «jaser». C’est dans l’ancien quar-tier des maisons closes, Storyville, que le jazz est devenu un style musical. Billie

Holiday, Ella Fitzgerald, Count Ba-sie, Fast Weller, tous les grands noms sont passés par la Nouvel-le-Orléans. Et les musiciens sont encore nombreux à venir cher-cher l’inspiration dans les rues du French Quartier. Aujourd’hui en-core, et en dehors de la période du festival de Jazz, les clubs de jazz proposent pour des prix allant d’une simple consommation à 15 $ des concerts de groupes connus ou inconnus mais toujours d’un très bon niveau. …Sur Frenchmen Street, au Snug Harbor ou dans la salle du Spotted Cat, la légende musicale de la Nouvelle-Orléans est toujours vivante. A vous de jouer.

TOURISME DÉCOUVERTE

air de retrouvailles

TOUR-OPÉRATEURS ET AGENCES DE VOyAGES

Boomerang Voyages, Comp-toir des Etats-Unis, Jetset Voyages, Kuoni / Vacances Fabuleuses, Vacances Tran-sat, Jet tours, La Maison des Etats-Unis, Nouvelles Fron-tières, Roots Travel, Thomas Cook, Voyageurs du Monde…

CONTACTS

Bureau d’information de la Nouvelle-Orléans et de la Louisiane en France, Express Conseil, 5 bis Rue du Louvre - 75001 ParisTél. : 01 44 77 87 00

www.louisianatravel.com:sitedel’officedeTou-risme de l’état de Louisiane (en anglais).

www.neworleanscvb.com:siteofficieldel’Officede Tourisme de la Nouvelle-Orléans (en anglais également).

Ambassade américaine de Paris, 2 Rue Saint-Florentin - 75001 ParisTél. : 0810 26 46 26, http://french.france.usembassy.gov

Oak Alley ; son allée majestueuse de chênes tricentenaires, ses guides costumés et ses bungalows pour qui souhaite passer une nuit sur place

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Quel est le motard qui n’a pas rêvé un jour de s’offrir

l’Amérique?Traverser les USA en Harley-Davidson, rouler sur la mytique 66 Road d’est en ouest au départ de Chicago? Reste qu’il faut encore mon-trer patte blanche et afficher quelques tours au compteur. Certains loueurs peuvent ainsi vous demander une expérience dans la conduite de grosses cy-lindrées d‘au moins deux ans!.Et, les plus avertis des motards savent aussi que la période bé-nie pour se faire les States se situe entre mai et septembre. Si vous optez pour l’hiver, seul le climat sub-tropical de la Floride est propice aux bala-des. Et bien souvent, vous re-trouverez sur la route d’autres motards francophones venus du Canada qui le temps d’une quinzaine viennent prendre le soleil du côté de Myrtel Beach ou de Miami. Mais attention aux limitations de vitesse, car la police de la route de l’autre côté de l’Atlantique est intrai-

table, et il faut souvent payer rubis sur ongle pour repartir. Pour une première fois, mieux vaut choisir la formule accom-pagnée d’un guide, même si les circuits sont très prisés comme ceux des états de l’ouest : la Californie, le Nevada, l’Utah, l’Arizona, le Nouveau Mexique et le mythique Colorado. Cette formule vous permet surtout

de profiter pleinement de votre séjour. La plus part du temps une voiture accompagnatrice sert d’atelier de réparation au cas ou, mais elle est surtout là pour transporter vos baga-ges jusqu’à la prochaine étape. Souvent ce sont des motels en bord de route. Mais certains loueurs proposent aussi des auberges de charmes qui valent le détour. Côté budget comp-tez au tour de 2000€ par per-sonne pour un circuit de 7 jours 8 nuits qui peut comprendre par exemple un A/R Paris las Vegas : 580€/personne, plus 800€ de location/personne sur Harley Davidson Electra Glide. Sont également à votre charge les petits déjeuner les repas du midi et du soir plus les frais d’essence bien sûr.

Pour aller plus loinAgence Twintour

Domaine Jean-Jacques Rousseau 74290 Veyrier-du-Lac

Tél. 33 (0) 6 70 55 91 35

Traverser les etats-Unis en Harley Davidson...

Le rêve américain par un amé-ricain : un tableau de Tom Fritz intitulé “At A Hunnert Mile”. Tom Fritz est aujourd’hui considéré comme l’un des meilleurs artistes de sport automobile.

© Tom Fritz

Si dans les années 20 le ré-seau ferroviaire des Etats-

Unis comptait pas moins de 400 000 km de voies ferrées, aujourd’hui seuls 250 000 km sont exploités et principalement par la société Amtrak. Le nom Amtrak vient d’un mélange des mots « American » et « Track », mais son nom officiel reste le « National Railroad Passenger Corporation», première com-

pagnie privée de chemin de fer aux USA. La société ferroviaire dessert plus de 500 destinations per-mettant de découvrir autre-ment le continent nord-améri-cain. Amtrak relie ainsi chaque jour quelque 5200 gares dans 46 états. Mais deux trains mythiques au nom évocateur sont particulièrement prisés : le CALIFORNIA ZEPHIR et le SOUTHWEST CHIEF. Le pre-mier part de Chicago pour ral-lier San Fransico en Californie. Entre ciel et terre, le Zephyr of-fre des panoramas extraordinai-res sur les Rockies Moutains, et plus à l’Ouest la Sierra Nevada. Le SOUTHWEST CHIEF rallie quant à lui Chicago à LosAnge-les. Le parcourt, parfois creu-sé dans les Canyons, traverse les vastes étendues de l’Ouest américain, franchit le puissant Mississippi et 8 Etats pour vous

permettre d’admirer les prairies verdoyantes qui ondulent sous le vent et des couchés de soleil spectaculaires. A bord, vous pourrez choisir entre différen-tes classes de confort : Coach Class (Classe Economique), les «cabines Superliner» : idéales pour un couple. La «Viewliner Roomette» avec des sièges in-clinables de chaque côté de la baie vitrée se transformant en lit ou l’option «Viewlibner Be-droom» : des cabines 2 à 3 per-sonnes disposant de toilettes et douche privéesPrix approximatif sur le Cali-fornia Zéphyr pour un billet en Coach Seat : 145 $ US soit à 107,30€

Renseignements :www.amtrak.com

En France, Tél. :01 53 25 03 56. E.mail : [email protected]

...ou en train avec le Amtrak!

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SORTIR

Du samedi 25 au dimanche 26 juillet, troubadours, ma-

nants damoiseaux et damoisel-les accompagnées de leurs che-valiers servants vont investir la bonne ville d’Hennebont. Les festivités commenceront dés 9 h le samedi. . A 11 h, est prévu un défilé à travers les rues de la ville avec les comédiens de Saga Scénie, les Compagnons de L’Aurore, la compagnie Les Pies, Les Dragons du Cormyr, la Compagnie Du Puits Ferre,

Daniel et Françoise Guichard et les danseurs de la troupe Rigourden, les musiciens de la troupe Waraok, la chorale Chœur Ardent et enfin le Cercle d’Escrime Ancienne de Marly-Le-Roi. Au programme, pêle-mêle sur le site de la Poterie des specta-cles de tournois de chevalerie présentés par la Troupe Equi-passsion et des combats bur-lesques chorégraphiés par le Cercle d’Escrime Ancienne de Marly-Le-Roi. A la Tour Saint-Nicolas, Philippe Barre expo-sera ses écus peints gravés de la période du Moyen Age. Place d’en bas, la Taverne de la Cita-delle proposera des combats à pied, du tir à l’arc et des scè-nes de théâtre humoristiques. Place de la Mairie, le Lycée du Talhouet vous fera découvrir une exposition de plantes mé-diévales. Tandis que le jardin de la basilique accueillera un campement des Archers Broc Waroc avec une initiation au tir à l’arc.

Et pour ceux qui veulent se res-taurer : 3 lieux pour 3 formules différentes. Place Mourdiah : menus à la carte. Quai du pont Neuf : le traditionnel cochon grillé. Tour St Nicolas : res-tauration rapide. Samedi soir : bal médiéval, place Mourdiah, animé par les musiciens de Waraok et Daniel et Françoise Guichard accompagnés des danseurs de la Troupe Rigour-den. Ne pas oublier non plus, ce même samedi soir 25 juillet, le spectacle nocturne donné par la troupe Saga Scénie intitulé La Tour aux sortilèges. Enfin, dimanche soir 26 juillet, le clou de ces festivités : 2 spectacles de feux et d’artifices interpré-tés par 2 troupes différentes : les Compagnons de L’Aurore et Les Dragons du Cormyr. Qu’on se le dise!!! .

Renseignements :OT d’Hennebont, place Foch. Tél. : 02 97 36 24 52. E.mail : tourisme.

[email protected]

Hennebont à l’heure médiévale les 25 et 26 juillet!

© O. T. Hennebont

Le Festival Interceltique de Lorient, considéré comme le

plus grand rassemblement mon-dial des cultures celtes fêtera cet-te année La Galice du vendredi 31 juillet au dimanche 9 août. Pas moins de 700 000 festivaliers et 45000 artistes sont attendus pour cette 39éme éditions. La province espagnole n‘est pas une inconnue du public puisqu‘elle est présente depuis une bonne trentaine d‘années au festival. Mais cette année, invitée d‘hon-neur, elle s‘apprête à mettre les bouchers doubles pour que sa prestation reste gravée dans les esprits des festivaliers. La Galice investira donc le samedi 1er août à 21h30 la scène du Grand Théâ-tre pour sa soirée de Gala. Mais, c’est le jeudi 6 août à 22h00 que le plus populaire des galiciens, l’incontournable Carlos Núñez, se produira accompagné de Lenine, artiste brésilien d’excep-

tion. A cette même soirée, vous pourrez également voir évoluer le fameux Bagad de Lann Bi-houé. Ambiance assurée. Mais l’événement majeur du festival reste bien sûr la Grande Parade des Nations Celtes programmée le dimanche 2 août à 10h00. Et si vous avez raté la grande para-de, vous pourrez vous rattraper ce même dimanche vers 19h00 avec le Triomphe des sonneurs. Plus de 3000 sonneurs et dan-seurs traverseront ainsi Lorient. Mais, Le festival Interceltique, c’est aussi l’occasion de décou-vrir gratuitement les sports bre-tons avec le Championnat de Bretagne des Sports Athlétiques Bretons qui se tiendra le Diman-che 9 août à 13H00 au Terrain du ROL Kerolay. Au programme, entre autres : lancer du poids de 20kg, le lever d’essieu de char-rette de 47,5kg et le lancer de la gerbe en hauteur! Pendant tout

le Festi-val se tient aussi Le Quai du Li-vre. Instal-lés le long du Quai de Rohan, E d i t e u r s , l i b r a i r e s et auteurs vous ac-cueilleront pour faire d é c o u v r i r une littéra-ture bien vivante, emprunte de la culture bretonne et celtique.

Renseignements : Festival Interceltique

11 Espace Nayel - 56100 LorientTél. : 02 97 64 03 20

www.festival-interceltique.com

39e festival Interceltique de Lorient

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Déjà à Venise en juin der-nier, François Pinault avait

fait sensation en inaugurant son deuxième centre d’art contem-porain à la Pointe de la Douane après celui du Palazzo Grassi. A la Pointe de la Douane, les pre-miers visiteurs ont ainsi décou-vert, l’œuvre de l’italien Mauri-zio Cattelan : 9 formes humaines sous des draps sculptés dans du marbre blanc de Carrrare telles

des victimes de la mafia sicilien-ne. Maurizio Cattelan a travaillé un temps dans une morgue et a certainement gardé de cette expérience un goût particulier pour le macabre. Il n’empêche aujourd’hui, c’est une superstar de l’art contemporain, dont les œuvres battent souvent des re-cords d’enchères dans les salles de vente. Mais, à Dinard cet été, au Pa-lais des Arts, François Pinault présente une autre exposition intitulée « Qui a peur des artis-tes?». L’exposition regroupe une soixantaine d’œuvres, créées par trente artistes sélectionnés par Caroline Bourgeois, com-missaire de l’exposition « Qui a peur des artistes ? ». Le thème de l’exposition est quant à lui centré sur les histoires liées à la religion et à la mort, émotions et sensations garanties.Sans être l’égale du Palazzo Grassi ou de la Pointe de la Douane, l’ex-position « Qui a peur des artistes

? » n’en reste pas moins un événe-ment culturel de taille car la col-lection François Pinault Founda-tion est l’une des plus importantes collections privées mondialement reconnues. En effet, depuis trente ans, François Pinault soutient des artistes nationaux et internatio-naux connus et inconnus et s‘est ainsi constitué une collection de plus de 2000 oeuvres. A noter que pour partager avec le plus grand nombre sa passion pour l’art contemporain, Fran-çois Pinault a également décidé d‘offrir cette exposition estivale au public puisque son accès est gratuit. Profitez-en!

Informations pratiques :Palais des arts - 2 boulevard Wilson

Jusqu’au 13 septembreLe Palais des arts de Dinard

est ouvert tous les jours, du lundi au dimanche de 11h00 à 19h00

Tél. : 02.99.46.50.63Entrée libre

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