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Sdis de la Savoie | 226 rue de la Perrodière | 73230 Saint-Alban-Leysse Tél. : 04 79 60 73 00 | Fax : 04 79 60 74 44 | www.sdis73.fr JUILLET 2010 15 RETOUR SUR LA JOURNÉE NATIONALE 2010 12 JUIN 2010 : LA JOURNÉE NATIONALE DES SAPEURS-POMPIERS À SAINT-JEAN DE MAURIENNE. | P.2 GROUPEMENTS TERRITORIAUX NOUVELLE ORGANISATION AU GROUPEMENT TARENTAISE RESSOURCES GÉNÉRALES | P.6 LE FPTGPSR. POUR RÉPONDRE À DES ATTENTES SAVOYARDES RESSOURCES HUMAINES | P.8 L’ACTION SOCIALE... POUR QUI? POURQUOI?

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Sdis de la Savoie | 226 rue de la Perrodière | 73230 Saint-Alban-LeysseTél. : 04 79 60 73 00 | Fax : 04 79 60 74 44 | www.sdis73.fr

JUILLET 2010 15

RETOUR SURLA JOURNÉE NATIONALE 201012 JUIN 2010 :LA JOURNÉE NATIONALEDES SAPEURS-POMPIERS ÀSAINT-JEAN DE MAURIENNE.

| P.2

GROUPEMENTSTERRITORIAUXNOUVELLE ORGANISATIONAU GROUPEMENT TARENTAISE

RESSOURCESGÉNÉRALES | P.6

LE FPTGPSR. POUR RÉPONDREÀ DES ATTENTES SAVOYARDES

RESSOURCESHUMAINES | P.8L’ACTION SOCIALE...POUR QUI?POURQUOI?

EEn Savoie, comme dans tous les départementsde France, les sapeurs-pompiers ont rendu

hommage, ce week-end, à leurs collègues morts enservice commandé depuis le mois de juin 2009.Cette année, après Albertville l’an dernier, c’est àSaint-Jean de Maurienne que des délégations d’offi-ciers, sous-officiers et hommes du rang du Sdis, destrois groupements territoriaux, des groupementsfonctionnels, des équipes spécialisées, de l’Uniondépartementale, des anciens sapeurs-pompiers etdes Jeunes sapeurs-pompiers se sont retrouvés pourune cérémonie en présence de Rémi Darroux, sous-préfet de Saint-Jean de Maurienne, Jean-MarcLéoutre, président du Sdis, Pierre-Marie Charvoz,conseiller général et maire de Saint-Jean et du colo-nel Xavier Jouannet, directeur départemental.

Les sonneries de la cérémonie étaient assurées par laclique départementale.La matinée avait commencé plus tôt pour les prési-dents d’amicales, chefs de centres et officiers desgroupements qui étaient conviés dès 8 h 30 à deuxréunions successives. Dans un premier temps, l’Union départementale aprésenté son bilan d’activité puis, en lien avec legroupement Ressources humaines, les grandeslignes du rapport Ambition volontariat et lesactions menées en Savoie pour la promotion duvolontariat. Une seconde partie de réunion allaitpermettre de faire le point sur l’avancée des projetsAntares, Artemis et sur la gestion individuelle ainsique sur les projets d’avenir du Sdis (réorganisationterritoriale, congrès national…).

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VERS UNE NOUVELLEORGANISATION

La cérémonie départementale dela journée nationale des sapeurs-

pompiers à Saint-Jean deMaurienne a été l’occasion de

réunir tous les chefs de centres dudépartement. Mon interventionau cours de cette réunion a per-

mis de rendre hommage au travailqu’ils accomplissent au quotidien

et, à travers eux, ce sont tous lessapeurs-pompiers du Sdis 73 que

je remercie pour leurs actions et leur disponibilité.

Cette réunion a également étél’occasion d’aborder l’évolution

des structures du Sdis afin d’optimiser les circuits internespour impulser une réelle dyna-

mique humaine, logistique et opérationnelle. La préparation dece “second souffle” - prescrit dans

le dernier rapport d’inspectionnationale- s’appuie sur le renfor-

cement de l’échelon CSP et permettra ainsi de donner du sens à l’implication de chaque

niveau de responsabilité. Cette réflexion, à laquelle chacun

est associé, pourrait permettreune réorganisation des structures

d’ici la fin de l’année 2010

CCoolloonneell XXaavviieerr JJOOUUAANNNNEETTDirecteur départemental SDIS 73

Edito

DOSSIER

Festival des métiers de la montagne. Cefestival, qui a lieu tous les deux ans àChambéry, rassemble autour de stands etde forums les professionnels et passionnésdu milieu de la montagne. Le Groupe montagne des sapeurs-pom-piers sera présent sur le festival commepour les éditions précédentes en encadrantle parcours aventure pour les enfants, maiségalement à travers un stand et une tableronde ouverte à tous. Le festival sera aussi l’occasion de ras-sembler tous les conseillers techniquesmontagne de la zone Sud-Est pour uneréunion de travail.

12 savoyards le 14 juillet sur lesChamps-Elysées. Après 3 mois d’entraî-nements intenses, 12 savoyards ont inté-gré le détachement de la zone Sud-Estpour défiler sur les Champs-Elysées. LaSavoie était représentée par le comman-dant Prallet du groupement prévention,Gilles Guitton du CS Beaufort, MichelMugnier de Courchevel, Jérôme Dameronet Céline Marot de Moutiers, JulienCombaz et Xavier Miché de Bourg-Saint-Maurice, David Métral et Hubert Pascald’Aiguebelle, Mathilde Cécillon deLanslebourg, Julien Papoz de Valloire etPierre Beauquis d’Aix-les-Bains.

InSDIScrétions ...

12 JUIN 2010 : RETOUR SUR LA JOURNÉE NATIONALEDES SAPEURS-POMPIERS

Avant la cérémonie s’est tenue l’assemblée généralede l’UDSP et une réunion des officiers du Sdis

La clique, les JSP et le détachement 73-74 pour le 14 juillet ont défilé dans les rues de Saint-Jean

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Pendant ce temps, un défilé se préparait à traverser le centre-ville. Il étaitmené par la clique départementale, suivie par la garde départementale dudrapeau, la délégation Savoie-Haute Savoie qui défilera le 14 juillet sur lesChamps-Elysées et les Jeunes sapeurs-pompiers de Saint-Jean et duGuiers.A 12 heures 30, la cérémonie pouvait commencer. Avant la revue offi-cielle par les autorités, les troupes défilantes du 14 juillet se présentaienten ordre serré, chantant en choeurs l’hymne qui sera repris sur les champsElysées : « Courage et dévouement ». Après la revue des troupes, le président du Sdis et le sous-préfet allaientremettre les galons de médecin-commandant à Valérie Borella et les

galons de lieutenant à Gérard Berlioz du CSM les Ménuires et GeorgesRubod du groupement logistique.Au nom du Ministre de l’Intérieur, le sous-préfet remettait ensuite aumédecin-capitaine Jean Dumont d’Aiguebelle, à l’infirmière NathalieVéronèse d’Albertville et au Caporal François Decottignies du CTA lamédaille de bronze pour acte de courage et dévouement suite à leur mis-sion à Haïti après le tremblement de terre dans le cadre de la délégationsécurité civile.Suivait ensuite la remise de la médaille d’honneur des sapeurs-pompierséchelon or à Francis Georges pour 30 ans de service au CSP Saint-Jean deMaurienne.La cérémonie se poursuivaitpar la lecture du message duMinistre de l’intérieur auxsapeurs-pompiers de Francepuis par l’hommage renduaux sapeurs-pompiers décé-dés en service commandé.Tour à tour, le président del’Union départementale, leprésident du Sdis et leconseiller général, puis lesous-préfet et le directeur ontdéposé une gerbe devant lemonument aux morts.La cérémonie se terminaitpar la sortie du drapeaudépartemental.

Pascale FarrerService communication

RECRUTEMENT SPP : LtLaurent Duvernois (GptMaurienne), Sap Maxime Rovelli(CSM Val d’Isére), Sap StevenFerant (CSM Méribel), Sap AlexisPivel (CSM La Plagne), SapJulien Nicolas (CSMCourchevel), Sap Alexis Bessmer(Spasm Moutiers), Sap CharlinePachod (CSM Tignes), SapClément Brun (SCM Val d’Isère),Sap Eric Perrin (Gpt Formation).

ADMINISTRATIFS ET TECH-NIQUES : Sylvie Gauvenet (GptPersonnel), Sauline Rollet(magasin), Armelle Boyer (infor-matique), Gilles Floret (méca-nique).DÉPARTS DANS D’AUTRESSDIS : Cap Guillaume Chaix(Sdis05), Lt-col Florian Souyris(Sdis 81), Sgt Julien Tetu(Sdis83), Sap Jérôme Laurent(Sdis13).

DÉPARTS PATS : DelphineFréfourg (Modane), JérômeBattentier (Fluides), MarlèneCottet (RH-Patrimoine), BrunoHenry (Opérations).DÉPARTS EN RETRAITE : Adj-Chef Robert Pattinier(Chindrieux), Adj-Chef renéLombard, Major Guy Pravaz(CSP Chambéry), Adjudant fran-cis Georges (CSP St Jean), Jean-François Barret (informatique).

NOMINATION : LieutenantGérard Berlioz (CSM Bellevilles),Lieutenant Alain Vaillant (CSMVal d’Isère), Lieutenant GeorgesRubod (Mécanique), Major Jean-Marc Fayard (Prévision), MajorJean-Pierre Deville (CSMMéribel), Major Pascal Ferrand(CSP Albertville), CapitaineSamuel Marchand (CSPChambéry), Lieutenant-colonelPierre Masson (Opérations)

Mouvements de personnel au 1er juillet �010

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UNE NOUVELLE SAISON COMMENCE POUR 97 SAUVETEURS AQUATIQUES

RESSOURCES OPÉRATIONNELLES

32 LIEUX DE BAIGNADE SERONT SURVEILLÉS CET ÉTÉ PAR DES SAPEURS-POMPIERS RECRUTÉSET FORMÉS SPÉCIFIQUEMENT POUR ASSURER

CES RESPONSABILITÉS.

En 2009, environ 770000 000000 ppeerrssoonnnneess ont fréquenté les zones de bai-gnades surveillées de Savoie, avec pplluuss ddee 22 000000 ssooiinnss pprrooddiigguuééss et59 évacuations sanitaires réalisées vers des centres hospitaliers.Rappelons toutefois que le dispositif de surveillance ne dispense pas dela prudence et de la vigilance, surtout envers les enfants. La baignadedoit être synonyme de plaisir pour tous.Enfin, n'hésitez pas à consulter vos sauveteurs en poste, ils sont à votreécoute et à votre disposition pour répondre à vos interrogations et pourvous donner des conseils .

Capitaine Guillaume BourbonService Sauvetage Aquatique

Pour la 19e année consécutive, le SDIS de la Savoie est sollicité par 29communes pour assurer la sécurité de 32 lieux de baignade (plans

d'eau, lacs) du département. Depuis le mois de janvier, le service BNSSAs'active à former et recruter du personnel pour les 97 places de sauveteursaquatiques disponibles cette saison .Afin d'assurer ce recrutement, des stages de formation aux premierssecours en équipe (PSE 1 et PSE 2) et au brevet national de sécurité etsauvetage aquatique (BNSSA) ont été programmés.En complément de ces diplômes, une formation spécifique concernant lasurveillance en lac est imposée à chaque sauveteur aquatique retenu pourla saison. Lors de ce stage sont abordés plusieurs thèmes : révision dusecourisme spécifique aux risques des baignades, rôle des plongeurssapeurs-pompiers, spécificités médicales et pharmaceutiques, sauvetageen milieu naturel, rappels sur rôles et responsabilités. Les cours sont dis-pensés par les différents services duSDIS.Le dispositif de surveillance prendeffet à compter du 12 juin pour lespremiers postes de secours et estcomplet dès le 26 juin. Les ferme-tures sont programmées pour le 19ou le 26 aout selon les communes.Misons sur une météorologie clé-mente pour offrir aux vacanciers etaux savoyards des baignades agréableset en sécurité.

La défense extérieure contre l’incendie des communes est actuellementencadrée par un ensemble de textes allant du Code Général des

Collectivités Territoriales jusqu’à d’anciennes circulaires datant de 1951,1957 et 1967. Elle est placée sous l’autorité et la responsabilité du maire au titre despouvoirs de police administrative, au terme de l’article L2212-2 duCGCT. A ce titre, le maire doit prendre toutes les dispositions utiles pourassurer le fonctionnement normal du service de défense contre l’in-cendie dans sa commune, y compris la réalisation éventuelle deréserves artificielles en zone rurale. L’insuffisance d’implantationde points d’eau nécessaires ou leur défaut d’entretien sont de natureà engager l’éventuelle responsabilité de la commune.Dans la plupart des cas, le maire demande au service de distributionde l’eau potable d’installer des poteaux d’incendie sur le réseau. Cesappareils sont d’un usage rapide et efficace pour les sapeurs-pompiers à condition que le réseau soit effectivement en mesured’assurer le débit et la pression nécessaires, ce qui n’est pas tou-jours le cas, surtout en milieu rural. En confiant au distributeur d’eau le soin d’assurer l’approvisionnement eneau pour les besoins de la lutte contre l’incendie, le Maire n’est pas pourautant dégagé de sa responsabilité, car il lui appartient de contrôler lesconditions dans lesquelles celui-ci exécute ses obligations. Par consé-quent la commune sera considérée comme responsable si, en cas d’incen-die, les équipements se révèlent défectueux ou inaptes à assurer le débitd’eau ou la pression règlementaire et qu’il s’ensuit une aggravation dusinistre (jurisprudences - Insuffisance de pression et de débit à un poteaud'incendie (Tribunal Administratif, Limoges 12/03/1992, Commune deFeytiat et Défaut de fonctionnement de la bouche incendie la plusproche (Conseil d'Etat 23/05/1980, Cie d'assurance Zurich)..

LLeess rrèègglleess dd’’iinnssttaallllaattiioonn,, ddee rréécceeppttiioonn eett ddee mmaaiinntteennaannccee

Elles sont définies par la norme française NF S 62-200 de septembre1990, modifiée en août 2009.Elles stipulent, entre autres, que chaque installation de poteau d’incendiedoit, sous une pression d’un bar minimum en régime d’écoulement mesu-rée en sortie de l’appareil, délivrer le débit minimum suivant :

- 30 m³/h pour un poteau d’incendie de DN 80- 60 m³/h pour un poteau d’incendie de DN 100- 120 m³/h pour un poteau d’incendie de DN 150

Le demandeur doit s’assurer auprès du propriétaire du réseau de la capa-cité de celui-ci à délivrer le débitminimum requis pour l’hydrant àinstaller.L’installation des poteaux d’in-cendie doit faire l’objet d’unevisite de réception en présence del’installateur et du propriétaire del’installation ou de son représen-tant désigné, de l’exploitant duréseau s’il est concerné et éven-tuellement du SDIS.Cette réception doit faire l’objetd’un rapport d’essai dont une

copie sera adressée au SDIS 73 (Groupement Prévision). Le point d’eauest alors intégré dans le logiciel de gestion départementale et pris encompte pour la DECI.Pour garantir la disponibilité continue d’une installation de poteaux d’in-cendie, une inspection et une maintenance régulières doivent être prati-quées.

LLaa rrèègglleemmeennttaattiioonn eenn vviigguueeuurrLa règlementation en vigueur considère que, pour un risque ordi-naire, le besoin en eau moyen est de 120 m³ disponibles en deuxheures, à une distance de 150 mètres du risque à défendre.Toutefois, dans le cas de risques considérés comme faibles, desminorations peuvent être appliquées jusqu’à un besoin de 30 m³

disponibles en une heure à une distance de 400 mètres du risque àdéfendre.

Le Maire peut demander conseil auprès du SDIS sur les pré-conisations réglementaires à respecter. Le SDIS donne un avis consultatif en qualité de conseiller

technique et détermine notamment le volume d’eau en fonction durisque à défendre. Dès l’implantation de l’hydrant, le Maire doit informer le Sdis (serviceprévision). A défaut de visite de réception règlementaire, telle que pré-vue par la norme NF S 62-200, ce dernier procède à une prise en comptedu point d’eau avec des mesures du débit et de la pression de l’hydrant.Ces mesures sont propres à nos services et ne permettent pas la déli-vrance d’une attestation de conformité.La vérification des points d’eau est réalisée une fois par an sous forme dereconnaissance opérationnelle ou de contrôle avec, dans ce dernier cas,les mesures débit/pression.L’entretien et les éventuelles réparations des points d’eau sont à la chargedes communes.

LLeess oobbjjeeccttiiffss ddee llaa ffuuttuurree rrèègglleemmeennttaattiioonn

La méthodologie est basée sur l’analyse des risques, courant (faible, ordi-naire, important) et particulier. La quantité d’eau de référence sera de30 m³ sur 1 heure, 120 m³ pendant 2 heures ou plus en fonction durisque à défendre.Un cadre national va fixer les grands principes par décret et arrêté.Au niveau départemental, un Règlement Départemental de DéfenseExtérieure Contre l’Incendie sera la déclinaison du référentiel national. Ilest actuellement en cours d’élaboration par le SDIS 73.Il est prévu au niveau communalun schéma communal de DECI,facultatif, réalisé à la demande duMaire. Pour la Savoie, les étudesmenées dans le cadre des SchémasDirecteurs d’Alimentation en EauPotable servent de support pourl’analyse de la DECI des com-munes concernées.

Major Jean-Marc Fayard,Service Prévision

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LA DÉFENSE EXTÉRIEURE CONTREL’INCENDIE DES COMMUNES (DECI)

RESSOURCES OPÉRATIONNELLES

Le Groupement Prévisionest à votre disposition

pour tout renseignementconcernant la DECI.

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Conçu et aménagé selon les besoins

et équipements validéspour notre département,

ce camion allie les fonctions incendie

et secours routier.

Courant 2008, sous l’impul-sion du Groupement

Logistique et des unités territo-riales, le comité de direction vali-dait un plan départemental ambi-tieux dans le domaine du secoursroutier. Outre la révision du maté-riel de secours routier et secoursroutier en ravin, la gamme des vec-teurs de transport de ces matérielsétait arrêtée comme suit :- FSR (Fourgon secours routier)- VSR (Véhicule secours routier)- FPTSR (Fourgon pompe-tonnesecours routier)- FPT plus lot d’abordage.Si l’on connait l’imposant FPTSR(développé dans d’autres départe-ments et qui allie les fonctionsincendie et secours routier), lecomité de direction, pour des rai-sons de gestion et de rationalisa-tion des coûts, affichait la volonté

de fabriquer un FPTSR sur la based’un Fourgon pompe-tonnegrande puissance (FPTGP) clas-sique. Ainsi est née l’idée de créerun FPTGPSR.Ce nouveau véhicule ainsi définideviendrait le modèle standard du

FPT du Sdis73 qui pourrait, à laguise des besoins opérationnelset des affectations, posséder ounon du matériel de secoursroutier.L’originalité du dossier quimérite d’être soulignée ici estd’avoir réussi à réaliser unfourgon incendie grandepuissance et de secours rou-

tier de 40 cm de moins qu’unFPTSR classique.Ce lourd dossier avait égalementpour objectif de lancer un plusvaste projet de rationalisation desaménagements des engins opéra-tionnels.Les contraintes techniques impor-tantes d’un tel véhicule ont obligéle groupe de travail piloté par lecapitaine Karine Salavin, officierlogistique du Groupement Aix-Chambéry, à fixer précisément leséquipements et leurs emplace-ments en prenant en compte l’er-gonomie de l’engin. Il en est res-sorti un besoin de figer les empla-cements des matériels présentsdans ces futurs véhicules maiségalement dans tous les engins àvenir, suite à la validation desinventaires en CATSIS (commis-sion technique). L’objectif visé estl’harmonisation des équipementssur l’ensemble du département.Les aménagements sont donc réa-lisés en amont, avant l’affectation,afin de rationaliser les équipe-ments et d’unifier les matériels, etpar conséquent, les méthodes ettechniques opérationnelles.

Cne Karine SalavinCdt Emmanuel Viaud

LE FPTGPSR, UN ENGIN

POLYVALENT PUR SAVOYARD

RESSOURCES GÉNÉRALES

DDééttaaiillss ddee llaa ddéémmaarrcchheeAujourd’hui, 2 FPTGPSR à 6 rideaux sont en cours de réalisation par lasociété GIMAEX, lauréat de la procédure de marché public.La démarche a été la suivante :- visite de la société afin de visualiser le mode de conception et prendre encompte les retours d’expérience d’aménagements des autres départements;- travail avec le bureau d’étude dans le cadre de nos doléances et de nospropositions d’aménagements ;- échanges de remarques afin d’affiner les emplacements des divers maté-riels ;- visites en cours de réalisation chez la société GIMAEX en vue d’ajuste-ment avec les retours des demandes de modification des centres de secoursdestinataires des engins.

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Point sur l'avancée des opérations immobilières validées dans lecadre d'un financement (Conseil Général et secteur 1° appel)

Comme indiqué dans le précédent journal les trois chantiers sont encours:

CCoonnssttrruuccttiioonn dduu CCSSPP MMOODDAANNEE

Construction d'un nouveaucentre de secours avec un centrede formation à ModaneRappel : Coût de l'opération : 8 282 732 € TTCLivraison du bâtiment : novem-bre 2011

CCoonnssttrruuccttiioonn dduu CCSS VVAALL DD''AARRLLYY

Construction d'un centre desecours sur la commune de SaintNicolas la ChapelleRappel : Coût de l'opération : 1 542 000 € TTCLivraison du bâtiment : septem-bre 2011

RReessttrruuccttuurraattiioonn eett eexxtteennssiioonn dduu CCSSMM VVAALLLLOOIIRREE

Restructuration et agrandisse-ment du centre de secours actuelRappel : Coût de l'opération 1 626 500 € TTCLivraison du bâtiment : juin 2011

LLeess ooppéérraattiioonnss eenn ccoouurrss dd''ééttuuddee ::

CS MONTMELIAN : L'équipe lauréate du concours d'architectepour la construction d'un nouveau centre de secours à Montmélianest le cabinet Bernard POCHON de Bourg en Bresse. Présentationdu projet le 8 juillet 2010 aux élus de la Communauté deCommunes et de la Commune de Montmélian et aux sapeurs pom-piers de Montmélian.Coût de l'opération : 5 695 350 € TTC

CSP BOURG SAINT MAURICE : Trois équipes d'architectessélectionnées par un jury de concours ont reçu le cahier des chargesdu concours et remettront leur projet de restructuration et exten-sion du centre de secours fin octobre 2010. Coût de l'opération : 4 828 746 € TTC.

INTERCOMMUNICATION. La politiqued’interconnexion des centres de secoursconcernant le réseau de téléphonie est encours de finalisation. Cette restructurationsera source d’économie à terme car leslignes téléphoniques entre les centresdeviennent des lignes internes.

FOURNITURES DE BUREAU. La mise enplace d’un catalogue restreint de fournituresde bureau a permis de faire des économiesde près de 15 000 € au Sdis 73.

MARCHÉ DE LA TÉLÉPHONIE. Les éco-nomies réalisées sur le marché de la télé-phonie ont permis d’anticiper la mise enplace des dispositifs de sécurisation duréseau informatique et d’alerte du Sdis.Elles financeront également une partie duprojet DISPOTEL.

CHANGEMENT DU COEUR DE RÉSEAU.La colonne vertébrale de notre réseau infor-matique a changé. Le nouveau coeur de réseau, qui relie l’in-formatique administratif à l’opérationnel,symbolise le regroupement de ces deuxservices.Cette restructuration fera prochainementl’objet d’une présentation plus approfondie.

EXPRESSION DES BESOINS. Commechaque année du 23 juin au 5 septembre sedéroule le recueil des expressions debesoins en matériel et budget pour l’exer-cice 2011. C’est également l’occasion pourle groupement logistique de faire le pointavec les unités territoriales.

En bref...

RESSOURCES GÉNÉRALES

AVANCÉE DES OPÉRATIONS IMMOBILIÈRES

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Né de la volonté commune de l’Etat-major et du conseil d’administration du Sdis, le service Action Socialea été mis en place en 2007 après le recrutement de Nathalie Exertier en tant que conseillère sociale pour

en assurer l’animation. Dès sa création, la volonté était de répondre à 3 objectifs définis par des besoins et desattentes réels : être un lieu d’accueil, d’écoute et d’orientation, proposer un accompagnement dans lesdémarches et apporter des réponses aux besoins sociaux de tous les agents du Sdis, qu’ils soient jeunes sapeurs-pompiers, sapeurs-pompiers volontaires, professionnels ou personnels administratifs et techniques.

L’ACTION SOCIALE :POUR QUI ? POURQUOI ?

RESSOURCES HUMAINES

Créé en 2007, le serviceAction Sociale est depuis

animé par Nathalie Exertier.Il est à la croisée

des services RessourcesHumaines, SSSM et UDSPpour apporter une réponsela mieux adaptée à chacun

des besoins.

RRaattttaacchhéé aauu ppôôllee RReessssoouurrcceess hhuummaaiinneess,, llee sseerrvviicceess dd’’aaccttiioonn ssoocciiaallee eesstt ppllaaccééssoouuss llee ccoommmmaannddeemmeenntt dduu lliieeuutteennaanntt--ccoolloonneell PPaassccaall FFaarroouuiill..PPoouurrqquuooii llee SSddiiss 7733 aa--tt iill ssoouuhhaaiittéé ccrrééeerr uunn sseerrvviiccee dd’’aaccttiioonn ssoocciiaallee??Lt-col Farouil : L’idée a germé une année avant sa création. Au niveau del’Etat Major, nous sentions qu’il y avait un réel besoin d’accompagner les per-sonnels en difficultés, et souhaitions que ce soutien puisse se faire autourd’une structure fédératrice entre le commandement, le SSSM et les structuresexternes. Avant la création du service social, certaines réponses pouvaient être trouvéesau travers de la hiérarchie, grâce aux chefs de centres, aux groupements terri-toriaux et au service RH, d’autres par les services du SSSM, d’autres encorepar l’UDSP et les amicales, où les degrés de réponses pouvaient être divers.PPoouurrqquuooii aavvooiirr rraattttaacchhéé ccee sseerrvviiccee aauu ppôôllee RRHH??Lt-col Farouil : Par définition, nous répondons à des missions humaines quinécéssitent une parfaite confidentialité. Et puis naturellement, par la connais-

sance de nos dossiers, nous sommes au coeur des difficultés des agents par lelogement, le salaire, la carrière, la maladie... Nous travaillons également en étroite collaboration avec les chefs de centresqui vivent au quotidien les épreuves de leurs collègues. Il est aussi dans monrôle de discerner l’orientation de certains dossiers : management? problèmede communication? difficultés professionnelles? discipline? action sociale?PPeeuutt--oonn ddééjjàà ffaaiirree uunn bbiillaann ??Lt-col Farouil : A la vue du nombre de personnes accompagnées, il est indé-niable qu’il y a une réelle demande. Certains agents sont dans une situationprofessionnelle ou personnelle difficile et l’aide personnalisée apportée estd’un réel soutien. Nous avons nos limites mais la plupart des dossiers ont reçu une réponseadaptée avec une mise en relation avec le service le plus compétent. Par le lien avec l’UDSP, nous espérons remettre les amicales au coeur de leursmissions d’aide sociale.

ACTION SOCIALE ET RESSOURCES HUMAINES

Le 8 septembre prochains’ouvrira à l’école départe-mentale du Sdis 73 une nou-velle Formation d’intégrationpour 24 sapeurs-pompiersprofessionnels (FISPP).Pendant 15 semaines, 24stagiaires dont 3 femmesrecrutés pour les départe-ments de la Savoie pour 14d’entre-eux, de la Haute-Savoie pour 8 et du Puy-de-Dôme pour les 2 derniers,

vont suivre la formation quileur permettra ensuite d’inté-grer les centres de secoursoù ils ont été affectés. La for-mation représente 600heures de cours dont 150heures de sport. Elle permetde valider 8 modules aprèsla réussite de 6 évaluationsécrites et 4 épreuves pra-tiques.Les 24 stagiaires de laFISPP 2010 seront accueillispour une grande partie deleur formation à l’auberge dejeunesse d’Aix-les-Bains, quifonctionnera pour l’occasioncomme un centre de secoursoù seront affectés 3 FPT, 3VTP, 1VL, 1 VTU, 1 Cellule,1 VSAV.La formation sera placéesous la direction de l’adju-

dant Jean-ChristopheSandraz, soutenu au niveaude l’école départementalepar le lieutenant HervéLombard, et sera assistépour la formation incendiepar le sergent Mérendet, lecaporal-chef Margueron et lecaporal-chef Louis (du Sdis74), pour le sport par le ser-gent Pascal Henry et lecaporal-chef Lebigot et pourla logistique par le caporalRichard....

Dès à présent, quelquesdates importantes marque-ront les 15 semaines destage : le raid cohésion, du29 septembre au 1er octo-bre, une semaine demanoeuvres sur le plateautechnique de l’ENSOSP du15 au 19 novembre 2010 etla participation aux crossorganisés dans le départe-ment les 25 septembre, 23octobre et 20 novembre.

Formation : La FISPP �010 se prépare

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RESSOURCES HUMAINES

Pour plus de renseignements,contacter Nathalie Exertier

au service Action [email protected]. 06 75 56 96 03

Tel. 04 79 60 76 18

LE FONCTIONNEMENT DU SERVICE D’ACTION SOCIALE

IInntteerrllooccuutteeuurr pprriivviilliiééggiiéé ddaannss lleemmiilliieeuu aassssoocciiaattiiff,, ll’’UUDDSSPP eesstt uunn ppaarr--tteennaaiirree cclléé ddee ll’’aaccttiioonn ssoocciiaallee aauu ttrraa--vveerrss ddeess aammiiccaalleess,, ddee llaa FFééddéérraattiioonn eettddee ll’’UUnniioonn

DDee qquueellss mmooyyeennss ddiissppoossee llaa ffééddéérraa--ttiioonn ddaannss ccee ddoommaaiinnee ??Major Bruno Magne : - une commis-sion nationale administrée par leColonel Bernard Franoz, qui permetd'apporter des idées et des réflexionsaux U.R et U.D sur des dispositifslocaux, proposer des textes législatifsà l'Etat (l'allocation de fidélité, laPFR...), soutenir financièrement lesSP de france en difficultés (tempêteXynthia, inondations ...) ;

- une commission régionale adminis-trée par le Capitaine Jean-PaulBosland, qui permet d'échanger surles difficultés rencontrées dans larégion, de connaître et d'uniformiserles procédures d'aide et d'organiserune première réunion régionaleparents/ODP en 2011 ;- une commission sociale, au sein del'UDSP de la Savoie, administrée parle Lieutenant Gonnet, qui permetd'apporter l'aide nécessaire par lesactions de terrain : soutien financierde nos pupilles, recherche de vête-ments ou de meubles pour la familled'un SP en difficulté, délivrance debons alimentaires etc...

QQuueell eesstt llee lliieenn eennttrree ll''UUDDSSPP eett ll''aacc--ttiioonn ssoocciiaallee????Major Bruno Magne : Les amicaleset les unions ont été créées, à l'ori-gine, pour répondre aux difficultésde tous les adhérents (maladie, acci-dent, décès, veuves, pupilles...). Lerôle du Lt Gonnet est de suivre plusparticulièrement ces dossiers, d’ap-porter éventuellement des aides

financières validées par le CA del’UD. Il est également l'interlocuteurprivilégié de Nathalie Exertier pourl'accompagner à rencontrer les prési-dents d'amicale, afin d'apporter desréponses rapides et nécessaires.

QQuueellllee eesstt llaa ppoolliittiiqquuee ddee ll''UUDDSSPPddaannss llee ddoommaaiinnee ddee ll''aaccttiioonn ssoocciiaallee??Major Bruno Magne : La commis-sion sociale est une de mes priorités.J'ai souhaité lors de mon élection,nommer à la tête de cette commssionun SP, qui connaisse parfaitement lemaillage et les personnels du départe-ment. Son dévouement et les actionsdéjà réalisées, ont été importantes etle soulagement signalé. En temps decrise et de rigueur, outre de répondreaux accidents en intervention, il meparait aussi important répondre etd'être présent auprés de nos adhé-rents, qui sont en difficulté suite à unpassage difficile dans leurvie. L'Union départementale a unrôle et des actions importantes àmener, que ce soit par elle-même oupar nos amicales.

ACTION SOCIALE ET UDSP

SSeess mmooyyeennss dd’’aaccttiioonn ppeeuuvveenntt êêttrree ddee ddeeuuxx ssoorrtteess ::Par des actions individuelles grâce à l’accueil, l’écoute, l’orientation et l’ac-compagnement individuel (accident, décès, divorce, logement, difficultésfinancières...) en orientant tant que possible vers les services ou adminis-trations les mieux adaptés, ou par la gestion des dossiers d’attributiond’une subvention (séjour d’enfant scolaire ou extra-scolaire, handicapé ounon par exemple).D’autres actions sont menées de façon collective à travers le ComitéMédico-Social (CMS), le Comité des Oeuvres sociales (COS SDIS73),l’UDSP ou par des actions de réflexion, d’information ou de sensibilisa-tion (addictions, handicap...).

LLee CCMMSS,, uunnee ééqquuiippee pplluurriiddiisscciipplliinnaaiirreeLe Comité médico-social se réunit tous les deux mois pour étudier toutesles situations sur l’ensemble du département concernant l’ensemble desintervenants ( JSP, SPV, SPP, PATS). Ce comité est composé du directeurdépartemental, du directeur des ressources humaines et des responsablesmédicaux-sociaux (médecin, infirmière, psychologue, conseiller social).L’ensemble des participant est tenu au secret professionnel et son rôle estd’analyser et d’aider à la prise de décision sur la suite à donner à chaquesituation.L’équipe analyse notamment les inaptitudes professionnelles et opéra-tionnelles, les maladies graves (congés longue maladie et congés longuedurée) et tout dossier individuel le necessitant.

LLee CCOOSS,, ppoouurr ttoouuss lleess aaggeennttssssaallaarriiééss eenn aaccttiivviittéé ((SSPPPP eett

PPAATTSS))Le rôle du Comité des oeuvressociales est d’améliorer les condi-tions des agents grâce à des pres-tations sociales.Ainsi, depuis sa création, lesagents du Sdis peuvent prétendreà des chèques vacances (CV) ouChèques emploi service universel (CESU), des prestations sociales excep-tionnelles à l’occasion de fêtes ou rentrée scolaire, des secours financiersexceptionnels à taux zéro (“coup dur”, évènement, divorce, déménage-ment...).

UUnn sseerrvviiccee ““iinntteerrsseerrvviicceess””En fonction des demandes auxquelles il doit répondre, le service actionsociale est une véritable interface de tous les services et administrationsacteurs de la protection sociale. Ainsi, en externe, il est en relation avec lesassistants sociaux de secteur, les organismes publics (CPAM, CAF,Maison départementale des personnes handicapées, MDJ, MLJ) et privés(assurances, mutuelles...).Au sein du Sdis, il est en relation directe avec la direction et le pôleRessources Humaines, le réseau associatif (UDSP, amicales), les disposi-tifs internes (CMS, COS) ou encore les syndicats.

LLeess lliimmiitteess dduu sseerrvviicceeSi son rôle fondamental est d’êtreun lieu d’accueil social, d’écoute,d’information et d’orientation, ila néanmoins ses limites :- il ne se substitue pas aux déci-sions hiérarchiques mais permetune autre analyse de la situation,-il n’est pas un syndicat mais estcomplémentaire aux actions syn-dicales,- il n’est pas un “passage obligé”.Chacun est libre de s’adresser ounon au Service d’action sociale.

En fonction du nombreimportant de blessés dansune catastrophe, le planORSEC NOVI peut êtredéclenché par le Préfet afind’organiser l’ensemble desservices concourant auxmissions de secours.Le plan ORSEC NOVI est lanouvelle appellation du PlanRouge mis en place par la loide modernisation de lasécurité civile du 13 aout2004 et le décret ORSEC du13 septembre 2005.Le plan ORSEC NOVI estsigné par le Préfet dechaque département. Il fixe

toutes les dispositions d’or-ganisation face à un acci-dent impliquant de nom-breuses victimes.

Un plan adaptable Selon le nombre de vic-times, le plan ORSEC NOVIprévoit un dimensionnementdes moyens de secoursnécessaires.

Déclenchement du planDès réception de l’alerte, lesservices de secours et leSAMU prennent les disposi-

tions opérationnelles pourl’envoi des moyens néces-saires sur les lieux de l’évè-nement. Ils rendent compteau Préfet du premier bilan.La décision de déclencher lePlan ORSEC NOVI appar-tient au Préfet sur proposi-tion du commandant desopérations de secours via leCODIS (Centre opérationneldépartemental d’incendie etde secours).

Moyens opérationnelsIls comprennent les servicesappelés à intervenir dans le

cadre de leurs missionshabituelles. Il s’agit notam-ment des services d’incen-die et de secours, de policeet gendarmerie, de ceuxchargés de l’aide médicaled’urgence (SAMU), desmoyens de sécurité civile(hélicoptères…). D’autresorganismes peuvent se join-dre au plan en fonction desbesoins : transports sani-taires privés, associationsde secourisme détentricesde l’agrément sécurité civile(Croix-Rouge Française parexemple…).

Le plan ORSEC NOVI (Organisation de la Réponse de SEcurité Civile NOmbreuses VIctimes)

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LLe mardi 22 Juin 2010 à 9h40, le CTA-CODIS 73 reçoit un appel« 112 » : le moteur d’un bateau de plaisance avec à son bord 55

passagers (figurants sapeurs-pompiers et personnels administratifs duSDIS de la Savoie) vient de prendre feu et deux explosions se sont faitentendre. Il est immobilisé à 400 mètres au large de la plage de Brison StInnocent. Tel était le scénario retenu par M. le Préfet de la Savoie pour unexercice d’ampleur de Sécurité Civile.

Tout au long de cette manœuvredont les deux objectifs majeursétaient la vérification des procé-dures du Plan de Secours du Lacdu Bourget et la mise en œuvredes procédures et moyens inscritsdans le projet de refonte du planORSEC NOVI, c’est une cen-taine de sapeurs-pompiers et plusde 25 véhicules dont 2 tentesPoste Médical Avancé qui ont étémobilisés.

A ceux-ci, se sont associés les personnels du SAMU 73, du Groupementde Gendarmerie et de sa Brigade Nautique, les moyens héliportés de laSécurité Civile positionnés en Haute Savoie et l’hélicoptère du P.G.H.M.de Modane.Un test grandeur nature qui a permis d’évaluer la mise enœuvre des secours au travers de la coopération interservices notammentdans l’activation du Poste Médical Avancé.

Cdt Thierry Peyressatre

ORSEC NOVI, EXERCICE GRANDEUR NATURESUR LE LAC DU BOURGET

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GROUPEMENT AIX-CHAMBÉRY

LES ELUS DU SECTEUR RECUS AU CSP D’AIX-LES-BAINS.Un mois après sa prise de fonction en tant quechef du CSP d’Aix-Les-Bains, le capitaineClaude Sugny a souhaité réunir tous les élusdu secteur de premier appel au centre desecours. Une première partie de soirée a étéconsacrée à la présentation du fonctionnementet des équipes du centre, notamment les chefsde groupes que les élus sont susceptibles derencontrer sur le terrain, puis le commandantJean-Philippe Moiron a expliqué aux mairesleur rôle en tant que DOS sur une opération de secours et les questions auxquelles ils pourraient être confrontés et surlesquelles ils peuvent anticiper. La réunion se poursuivait par une visite des locaux et des remises puis d’un moment deconvivialité qui fut l’occasion d’échanges très constructifs.

MANOEUVRE EN FEUX REELS A CHAMBÉRY-LE-HAUTPendant 12 demi-journées des mois d’avril et mai, les sapeurs-pompiers de Chambéry et deplusieurs centres de l’Avant-Pays ont pu s’entraîner dans des conditions de feux réels grâceà la mise à disposition d’un bâtiment voué à la démolition sur le secteur des Hauts deChambéry. Par demi-journée, les participants s'entraînaient dans différentes configurationsde feux, d'attaque et de ventilation opérationnelle. Pendant une journée, deux pompiers sué-dois sont venus confronter leurs techniques nordiques aux nôtres.L'autre demi-journée de formation était consacrée à une visite guidée de la ville présentéepar une guide-conférencière qui axait plus particulièrement ses propos sur le patrimoine, l'ar-chitecture et les joyaux du centre ancien, occasion pour les sapeurs-pompiers de porter unautre regard sur leur ville et sur les méthodes d'intervention.

LE CSP CHAMBÉRY EN CENTRE VILLE LE 12 JUIN 2010Le 12 juin, une centaine de sapeurs-pompiers volontaires et professionnels du CSPChambéry étaient mobilisés à l’occasion de la Journée nationale pour des démonstrationsen centre-ville. Toute la journée, le centre de secours s’est délocalisé, le traitement del’alerte et les engins partant de la Place de l’Europe, occasion de présenter le savoir-faire etles spécialités, mais également de passer des messages de sécurité aux populations sur lesaccidents domestiques et les gestes de premiers secours.

PORTES OUVERTES A ENTREMONT-LE-VIEUX.A l’occasion des 30 ans du centre de secours, les sapeurs-pompiers d’Entremont-le-Vieux, sous lahoulette du chef de centre Eric Dufrene et du président de l’amicale, présenteront leur savoir-faire àl’occasion d’une grande journée portes ouvertes le dimanche 29 août 2010 à partir de 10 heures.Pendant toute cette journée se succèderont des manoeuvres de secours impliquant notamment lesspécialités. Ce sera également l’occasion de promouvoir le volontariat, de présenter les matériels,donner des conseils de prévention et de sécurité et pour les plus jeunes, de découvrir le monde dessapeurs-pompiers autour d’ateliers ludiques. En fin de journée, une cérémonie officielle sera l’occa-sion de baptiser le centre de son nouveau nom : Chartreuse Nord.

Nouvelles

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LLa RN 90 présente la particularité d’être l’axe quasi-unique de circu-lation permettant d’accéder aux stations de la Haute-Tarentaise. Sur

cette route, entre Moutiers et Bourg-Saint-Maurice, le tunnel du Siaix,long de 1592 m est le plus important de Tarentaise.. La fermeture de cetaxe entraîne systématiquement d’importantes perturbations dans la cir-culation (bouchons, déviations difficiles à mettre en place), principaleraison pour laquelle l’organisation d’exercices dans l’ouvrage est peu cou-rante. Néanmoins, la Préfecture a souhaité réaliser un véritable exerciceterrain avec l’ensemble des services susceptibles d’intervenir pour un inci-dent majeur dans ce tunnel. Plusieurs réunions préparatoires avec la DIRCE et la GendarmerieNationale ont permis de définir le scénario et les moyens logistiques àmettre en place : - Un AVP PL/VL suivi d’un incendie - 5 VL fournies par la DIR - 12 victimes (7 employés de la DIR et 5 mannequins) - la DIR responsable de l’enfumage du tube (machine à fumée de laSFTRF) - coupure de l’éclairage.Le scénario devait rester crédible pour être « joué » sur un créneau courtde fermeture du tunnel (3 heures de fermeture, 2 heures d’exercice). Pourprofiter au maximum de la coupure, 3 objectifs avaient été fixés : - faire reconnaître le tube à un maximum de personnel, - tester les procédures d’intervention en tunnel, - tester un nouvel OPT (ordre permanent de transmission) car les pro-blèmes de liaison entre les deux têtes de tunnels sont connus de longuedate.

Pour répondre au premier objectif, le scénario prévoyait de faire manœu-vrer l’ensemble des moyens SDIS prévu dans le plan ETARE, c’est-à-dire :

- 3 groupes tunnel (Bourg-saint-Maurice, Moûtiers et Albertville) com-posés d’un VSAV, 1 fourgon incendie tunnélisé, 1 VTU (Véhicule TouteUtilité) tunnélisé, 1 VL chef de groupe chacun, - VRAC la Léchère (Véhicule Réserve d’Air Comprimé) - Officier de garde de Tarentaise et chef de groupe de renfort au PCOsiris, - Véhicule PC. Ont été ajoutés 2 Chefs de groupe renfort (pour les fonc-tions de renseignement et de moyens au PCC (PC Colonne) et un Sous-officier au CRM (Centre de Regroupement des Moyens). La reconnaissance complémentaire et l’extinction finale ont été confiéesau 3ème groupe tunnel (Albertville). Pour répondre au 2ème objectif, un briefing présentant les caractéris-tiques de l’ouvrage et rappelant les procédures d’intervention en tunnel(conditions d’engagement, missions, …) a été fait avant la mise en placedes moyens. Par ailleurs, deux semaines auparavant, l’ensemble de lachaîne de commandement avait participé à deux exercices-cadresconstruits sur un scénario similaire. Enfin, pour répondre au 3ème objectif, le soir de l’exercice le PCC a tra-vaillé sur le talk-groupe SPE2 (« fréquence » spécialisée Antarès) avecles différents chefs de groupe engagés et l’officier du PC Osiris.

Au total, ce sont donc 45 sapeurs-pompiers qui ont manœuvré, encadréspar 7 animateurs/observateurs positionnés aux points stratégiques del’exercice (entrées du tunnel, lieu de l’accident, PCC) avec un petit coupde pouce de la météo : peu de tirage donc peu de visibilité (moins de10 m) dans le tube. Le dèbriefing commun avec la DIRCE, la Gendarmerie Nationale , lechef du SIDPC (Service Interministériel de Défense et de ProtectionCiviles) en présence du directeur de cabinet du Préfet a permis à chaqueservice d’exprimer un certain nombre de réflexions : - La mise en place du talk-group SPE2 amène un réel confort de travail(liaison fiable et claire malgré la distance entre le PCC et tous les chefsde groupe et le chef de colonne-renfort engagés).

EXERCICE D’AMPLEUR DANS LE TUNNEL DU SIAIXGROUPEMENT TARENTAISE

Mardi 15 juin à 22h30 s’est tenu un exercice organiséconjointement par la DIRCE (Direction Inter-RégionaleCentre-Est), exploitant du tunnel, et le SDIS 73.

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EXERCICE D’AMPLEUR DANS LE TUNNEL DU SIAIXGROUPEMENT TARENTAISE

Après 6 années passées au GroupementTarentaise, le Commandant Pierre Massona rejoint l'Etat-Major au mois d’avril enqualité de chef de pôle des RessourcesOpérationnelles, accedant ainsi au grade delieutenant-colonel. Durant ces années pas-sées au groupement, le CommandantMasson a permis à cette structure de sedévelopper, de trouver sa stabilité et deconforter la départementalisation engagée en 2001.

Son adjoint, le capitaine Philippe Basty, aété désigné pour assurer l'intérim de chef degroupement. Une de ses missions princi-pales durant cette phase d'intérim sera d'as-surer la continuité de commandement.

Pendant ce printemps, dans le même temps,le capitaine Lionel Vayr, ancien chef ducentre de secours principal de Bourg-Saint-Maurice a rejoint le GroupementTarentaise en qualité d'officier logistique. Ilsuccède au capitaine Pierre-PhilippeCroizier, parti diriger l’école départemen-tale du Sdis de la Haute-Savoie, dans ce

poste straté-gique qui nepouvait souffrir plus longtemps d'unecarence.

Ce transfert de compétence a permis aucapitaine Jean-Michel Hatzenberger, quiétait son adjoint, de prendre le commande-ment du CSP Bourg st Maurice.

Au CS Aime, et après plus de 35 années passées au service de la collec-tivité, le lieutenant Robert Jugand a passé le relais à son adjoint le lieu-tenant Hervé Chenu qui devient chef du centre de secours. Une passa-tion de commandement est prévue en septembre. A cette occasion, sescollègues et les officiers du groupement Tarentaise et du Sdis saluerontl’ensemble de sa carrière et le travail accompli dans le développement duvolontariat et l’organisation des secours dans son secteur.

A Beaufort c'est le lieutenant Chaumontet qui, lui aussi après 35 annéesde bons et loyaux services, a quitté ses fonctions de chef du centre desecours, permettant au major Mortier de lui succéder et d’assurer lecommandement de ce centre. Les galons de capitaine honoraire lui ontété remis le 14 juillet, occasion de le remercier pour son engagementpendant toutes ces années aux côtés des sapeurs-pompiers duBeaufortain.

Au Centre de secours principald’Albertville, c'est le lieutenant SébastienGautier qui vient renforcer l'équipe d'enca-drement en tant qu'adjoint au chef du CSP,le capitaine Sébastien Walfard.

Enfin et après 18 mois passés à l'ENSOSP,(Ecole nationale supérieure des officiers de

sapeurs-pompiers),le lieutenantThierry Voisine apris ses fonctions entant qu'officier pré-vision au groupe-ment Tarentaise.

MMoouuvveemmeennttss ddee ppeerrssoonnnneellss aauu sseeiinn dduu ggrroouuppeemmeenntt TTaarreennttaaiissee

- En saison hivernale, les demandes de renforts sanitaires en prove-nance de la Haute-Tarentaise poseraient très rapidement un pro-blème de couverture opérationnelle. - Le plan ETARE doit être modifié pour tenir compte des difficultésliées à la coupure de l’axe (assurer la logistique air, les renforts SP, …)- La DIRCE prévoit de mettre en place une formation de son person-nel pour exploiter la salle vidéo située en tête de tunnel.- les procédures DIRCE de désenfumage vont être retravaillées.

D’une manière générale cet exercice aura permis de nouer des rela-tions constructives avec les responsables et personnels de la DIRCE.C’est ce type de travail interservices qui permet de développer la cul-ture du risque dans les tunnels routiers de Tarentaise. A refaire sansattendre!

Lieutenant Thierry VOISINE

Les travaux d’agrandissement et derestructuration du CSM Valloireont débuté le 8 avril dernier.

La durée prévisionnelle du chantierest de 36 semaines. Pendant ces mois de travaux, lespersonnels du CSM s’adaptentquotidiennement aux contraintesdu chantier, afin de garantir l’acti-vité opérationnelle.Les dalles et les murs extérieurssont bien avancés, le planning estglobalement respecté. Le suivi du chantier est assuré parFrédéric ANDRZEJEWSKI duservice patrimoine en lien avec lesfuturs utilisateurs.

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Depuis le début du mois d’avril, un imposant ballet de pelleteuses et de gruesur les hauteurs de Modane marque la concrétisation d’un ambitieux projet,la construction d’une nouvelle structure pour le service incendie. Sous ladirection de Valérie Menduni du service patrimoine pour le suivi des tra-vaux et du capitaine Frédéric Dutel du groupement Maurienne pour la ges-tion de l’interface avec les futurs utilisateurs, la mise en service de l’impo-sante structure se situe aux alentours de la fin de l’année 2011. Impliqués dans la conception du cahier des charges de ce bâtiment, leseffectifs volontaires et professionnels du secteur pourront ainsi disposer delocaux beaucoup plus adaptés que l’actuel centre datant des années 50devenu sous-dimensionné pour héberger les personnels de garde et abriter

la quinzaine d’engins composantle parc (dont les spécifiques enginsrail-route : le Grande CapacitéRail et l’ensemble Porte CelluleRail et ses trois berces, actuelle-ment stockés dans des locauxdéportés). La construction de ces nouveauxlocaux s’inscrit dans la logiqued’évolution rapide qu’a connu enune dizaine d’années le centre desecours de Modane, principale-ment au niveau de la montée enpuissance des effectifs et desmoyens mais aussi au niveau dela technicité des savoir-faire opé-rationnels (spécificité tunnel,RCH…). De plus, cette nouvellestructure, de part sa conception,verra son utilisation optimisée parla possibilité d’accueillir des stagesde manière récurrente.

MODANE ET VALLOIRE :DEUX CASERNES EN CHANTIER

GROUPEMENT MAURIENNE

adj chef Francis georges rentré volontaire en 1977, SPP1er janvoier 80 retriate 1 er juin 2010, chargé méca-nique logistique pour centre de secours et au delasillonné les routes de maurienne, figure incontournabledu centre

CONSTRUCTION D’UN NOUVEAU CENTRE DE SECOURS à MODANE

TRAVAUX D’AGRANDISSEMENT ET DE RESTRUCTURATION DU CSM VALLOIRE

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UNE PAGE SE TOURNE AU CSP SAINT-JEAN DE MAURIENNEAprès 33 années passées dans le monde des sapeurs-pompiers, une nouvelle vie commence pour l’adjudant-chef Francis Georges qui a fait valoir au 1er juin 2010ses droits à la retraite. Entré SPV en 1977, il a pour-suivi sa carrière au centre de Saint-Jean de Maurienneà partir du 1er janvier 1980 en tant que SPP en prenantune part très active dans la vie du centre et plus large-ment de toute la Maurienne dont il connaît parfaitementtous les recoins.La médaille d’honneur des sapeurs-pompiers échelonor lui a été remise le 12 juin par le maire, Pierre-MarieCharvoz, à l’occasion de la journée nationale en remer-ciement des années passées chez les pompiers.

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Sapeurs pompiers, professionnels ou volontaires, personnels administra-tifs et techniques, jeunes sapeurs pompiers, vous pouvez, un jour, êtreconcernés par des difficultés financières, un déséquilibre de votre budget.Le service d’action sociale est très sollicité par les demandes liées à des dif-ficultés financières soit passagères, le « coup dur », soit à des situationsd’endettement qui nécessitent une étude plus approfondie, soit à dessituations de précarité plus complexes.

CCoommmmeenntt ppeeuutt--oonn êêttrree eennddeettttéé ??- perte d’emploi,- divorce,- évolution de la famille,- accumulation excessive de prêts à la consommation....Quelle que soit l’origine, des solutions peuvent être étudiées

QQuuaanndd uunn ppaarrttiiccuulliieerr eesstt--iill ssuurreennddeettttéé ??- le montant des dettes du ménage, ou de la personne, par rapport aux res-sources dépasse 30 à 33%- lorsqu’il y a deux impayés,- vous êtes alors inscrit au FICP (Fichier National des Crédits auxParticuliers) et on ne peut plus trouver de prêteur pour réaménager vosdettes.

QQuuii ppeeuutt ll’’aaiiddeerr ??Le réseau autour de la personne : - Les services sociaux de secteur dont il dépend,- Les structures associatives proches de l’intéressé,- Votre service d’action sociale du SDIS peut vous écouter, orienter etaccompagner dans la recherche de solutions en lien avec le délégué socialde l’UDSP, référent fondamental dans le réseau associatif interne.Avant tout, il faut dédramatiser la situation et réagir au plus vite !

QQuueelllleess ppeeuuvveenntt êêttrree lleess ssoolluuttiioonnss ??1.« un coup dur passager » :

Selon l’événement, les mutuelles et assurances privées peuvent être despartenaires.Les structures associatives peuvent soutenir leurs adhérents par des aidesponctuellesLe Comité des Œuvres Sociales (COS SDIS 73 réservé aux agents) peutconsentir une aide financière exceptionnelle remboursable sur étude dudossier auprès du service d’action sociale en complément des aides asso-ciatives.

2. l’endettement est plus important, votre banque n’est plus unpartenaire privilégié, il faut trouver une autre solution :Des structures existent :- CREDIALYS : n° vert dédié aux sapeurs pompiers : 0 800 614 614 Société de courtage qui intervient dans le prêt immobilier et la restructu-ration de prêt, recommandée par la FNSPF (Fédération Nationale desSapeurs Pompiers de France).

- ORGANISMES DIVERS :• AVICAP 73 : 04 79 440 770Société de courtage locale qui effectue une analyse personnalisée,conseille et oriente vers le meilleur taux grâce à un partenariat avec denombreux établissements financiers. Etude gratuite.• C.S.F. Crédit Social des Fonctionnaires :

0 810 06 5000 ou 01 53 34 44 17Réservé aux fonctionnaires, le groupe CSF étudie les meilleurs taux• Autres (...)

BANQUE DE FRANCE :Tout particulier qui rencontre des difficultés sérieuses pour rembourserses dettes peut saisir la commission de surendettement.Il faut remplir un dossier que l’on peut se procurer auprès de la Banque deFrance, des C.C.A.S. ou des services sociaux de secteur.Elle a pour mission de traiter le dossier en recherchant un accord entre leparticulier et les créanciers.

O.D.P. : dossier SOL EN FA (solidarité enfants famille) : Tout sapeur pompier ou personnel administratif et technique en grandedifficulté peut obtenir de l’aide auprès de l’œuvre des pupilles après étudedu dossier par le Président de l’UDSP en collaboration avec le serviced’action sociale du SDIS.

LE SURENDETEMENTCela n’arrive pas qu’aux autres ! Il faut réagir !

ACTION SOCIALE

DDeess qquueessttiioonnss,, bbeessooiinn dd’’aaiiddee,, nn’’aatttteennddeezz--ppaass !!

Réagissez alors qu’il est encore temps, et contactezvotre service d’action sociale du SDIS : NathalieEXERTIER – 06.75.56.96.03 - 04.79.60.76.18 –[email protected]

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UNION DÉPARTEMENTALE

LE MONT-BLANC POUR 4 PUPILLESQuatre orphelins des sapeurs-pompiers de France sont montés au sommet du Mont-Blanc le vendredi 2 juillet der-nier, avec Thomas HUGUES le journaliste de France 5 parrain de l'ODP depuis 7 ans. Monter sur le toit del'Europe est un beau symbole : ils sont quatre (dont Jérémy Exertier, pupille savoyard) a avoir relevé le challenge,proposé par l'ODP et l'équipe montagne du SDIS 74.Il a donc fallu : traverser la vallée blanche, passer une nuit au refuge des Cosmiques, escalader la Pointe Lachenal,franchir le Mont-Blanc du Tacul et le Mont Maudit pour arriver au Mont-Blanc.D'après Thomas HUGUES : "les pupilles ont fait preuve de caractère, de maturité et de volonté, ils ont incarné lesvaleurs de la montagne que sont la solidarité, l'humilité et le respect.Arrivés sur le toit de l'Europe, les pupilles ont eu une grande pensée pour leurs pères.

Info Sdis 73 n° 15 : 3er trimestre 2010Directeur de la publication : Colonel Xavier Jouannet

Rédaction et réalisation : Pascale Farrer| ISSN : 1770-393XConception graphique : www.philippe-guitton.com | 06 25 79 60 57

Impression : Arc Isère La Ravoire | Crédits photos : SDIS 73

ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE L’UDSPComme chaque année, l'assemblée générale a eu lieu en présence des présidents d'amicale etchefs de centre de notre département. Une année particulière tout de même, puisque le sou-hait était de se réunir à l’occasion de la journée nationale des sapeurs-pompiers du 12 juin àSaint-Jean de Maurienne.Le Centre de Secours avait fait le nécessaire pour nous recevoir au mieux dans les remises duCSP tous les participants ont apprécié l’accueil du personnel et du chef de centre.L'ordre du jour a été le suivant :- accueil par le Capitaine Christophe Brusson- ouverture de l'assemblée par le Président Bruno Magne- rapport moral du secrétaire-général Cdt Alain Prallet- forum sur le rapport Luc Ferry "ambition volontariat"- point sur les sujets d'actualité- questions diversesLe bilan comptable de l'année n'a pas été validé, puisqu'il sera présenté lors d'une prochaine réunion organisée pour les présidents d'amicales au 2ème semestre (séminaire d'apprentissage à la gestion d'une amicale).L'ordre du jour a été épuisé en milieu de matinée.

UNE CONVENTION ORIGINALEAVEC L’AUTO-ÉCOLE DU CHÂTEAU

Au mois de mars dernier, Fabrice Brunet, responsable de la commissionsecourisme a signé au nom de l’UDSP une convention de partenariat avecMonsieur Nuno Fernandes, directeur de l’auto-école du Château deChambéry. Ce dernier va en effet proposer à tous les stagiaires qui s’inscrivent pour pas-ser le permis de conduire dans son établissement, de passer gratuitement lePSC 1, qui, en cas d’accident, positionne le citoyen comme le premiermaillon de la chaîne des secours en France en réalisant les gestes de premierssecours.