Sécurité sociale, par J. Ghestin, Paris, Dalloz, 1972, 103 pp. · PDF...

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  • Document gnr le 24 avr. 2018 02:25

    Relations industrielles

    Scurit sociale, par J. Ghestin, Paris, Dalloz, 1972,103 pp.

    Jean Sexton

    Volume 30, numro 2, 1975

    URI : id.erudit.org/iderudit/028615arDOI : 10.7202/028615ar

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    diteur(s)

    Dpartement des relations industrielles de lUniversit Laval

    ISSN 0034-379X (imprim)

    1703-8138 (numrique)

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    Citer cet article

    Sexton, J. (1975). Scurit sociale, par J. Ghestin, Paris, Dalloz,1972, 103 pp.. Relations industrielles, 30(2), 273274.doi:10.7202/028615ar

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    Tous droits rservs Dpartement des relationsindustrielles de l'Universit Laval, 1975

    https://id.erudit.org/iderudit/028615arhttp://dx.doi.org/10.7202/028615arhttps://www.erudit.org/fr/revues/ri/1975-v30-n2-ri2830/https://www.erudit.org/fr/revues/ri/https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/https://apropos.erudit.org/fr/usagers/politique-dutilisation/http://www.erudit.org

  • RECENSIONS BOOK REVIEWS 273

    of Eastern Europe. Their data shows that in terms of rgional inequality, for example, the ratio of highest provincial income level to the lowest is roughly 2 : 1 whereas other data show that the ratio of highest to lowest rgional in-come for Yugoslavia is roughly 5 : 1. If one looks again at the Yugoslav : Canada comparison of the distribution of personal income, one finds that the Miller and Rein data on inequality in Canada show almost exactly the same degree of inequality that one finds in Yugoslavia. The question of the pos-sibility for income transfer is, therefore, a very real one. Following an interesting analysis of inequality and its sources, the authors conclude with a purely spcu-lative section which has as its thesis that a political consensus for equality will merge from current concerns with inflation and the environment. They see inflation requiring a program of wage and price controls and environmental problems requiring zro conomie growth. I see no current conomie ra-tionale for either of thse and unlike Miller and Rein, I would be willing to wager that either or both policies would be extremely rgressive.

    In the concluding background paper, M. Rein addresses the problem of work incentives versus adequacy as an anti-poverty tool in the GAI. If we assume that a fixed budgetary amount is to be committed to GAI, we then face a trade-off between incentives and adequacy. Other things being equal, a higher in-come floor will necessitate a higher tax rate (reducing work incentives) or con-versely a lower tax rate requires a lower floor (reducing adequacy). This was the dilemma that faced the Senate Commit-tee and led them to recommend a floor below their own poverty line. In this context, it is fortunate that the prelim-inary labour supply results of the GAI experiments suggest that supply re-sponses are not extremely sensitive to tax rate changes. Rein also documents the rather high implicit marginal tax rates in the U.K. for low income families when loss of benefits (such as housing subsidies) are included in the tax calcu-lation. This situation crtes what is referred to as a notch in the pre-and post-tax earnings profile a situation in which the marginal tax rate exceeds 100%.

    This is, in gnerai, an interesting volume although as the remarks above indicate, there are numerous sections that economists, in particular, may find hard to understand or to agre with. This reflects the fact that the papers are extremely wide-ranging in outlook and encompass viewpoints from those who see GAI as the most efficient way of replacing much of the current welfare apparatus within a market economy, to those who see it as a frst step in fun-damental social change. There is, there-fore, a somewhat invitable failure to clearly define the prcise goals of GAI. Very much of the concera with poverty expressed in this volume is relativistic it is not as much concerned with absolute levels of real income as it is with inequality. In the intial stages of GAI, the two approaches are convergent but at some point, the fondamental issue of distribution must be faced more squarely than in much of the GAI literature.

    Douglas A. SMITH Carleton University

    Scurit sociale, par J. Ghestin, Paris, Dalloz, 1972, 103 pp.

    Voici une plaquette prsentant sch-matiquement et brivement la scurit sociale en France. Partie des Mmentos Dalloz, cet ouvrage est surtout destin l'tudiant et la composition typogra-phique est faite de faon frapper la mmoire visuelle du lecteur.

    Malgr le nombre relativement petit de pages, ce livre s'attaque une quan-tit surprenante de sujets. Il ne faut donc pas esprer y trouver un traitement approfondi des points traits.

    En plus d'une introduction gnrale prsentant la formation du concept de scurit sociale (chap. 1) la scurit so-ciale et les structures de la socit (chap. 2) et les grands problmes internatio-naux de la scurit sociale (chap. 3), cet ouvrage est divis en trois parties incluant au total quelque vingt chapitres.

    La premire partie de cette plaquette s'attaque au rgime gnral de scurit sociale, la seconde prsente les rgimes spciaux et la troisime tudie les ac-tions complmentaires.

    Scurit sociale peut donc tre un ou-vrage utile pour rfrence rapide et pour

  • 274 INDUSTRIAL RELATIONS INDUSTRIELLES, VOL. 30, NO 2

    renseignements gnraux. On devra ce-pendant fouiller ailleurs pour trouver des tudes plus approfondies.

    Jean SEXTON Universit Laval

    Organizational Behavior : Critcal Inci-dents and Analysis, par John F. Mur-ray et Thomas J. Von der Embse, Co-lumbus, Ohio, Charles E. Merrill Pub-lishing Compay, 1973, 304 pp.

    Comme le titre l'indique, ce volume est un recueil d'incidents critiques cou-vrant les aspects les plus importants de la dimension humaine des organisations de travail. L'introduction prsente l'in-cident critique comme un instrument d'apprentissage, diffrent de la mthode des cas en administration. De fait, l'in-cident critique cherche plutt dve-lopper chez l'tudiant une habilet identifier et analyser une situation, sans procder la recherche de solu-tions possibles, puisque la situation analyser est dcrite en utilisant un mini-mum d'information. Cet instrument p-dagogique est conu de manire per-mettre l'tudiant de reconnatre des concepts et des thories dj exposs par un professeur ou dans des textes choisis. Il vise donc dvelopper chez l'tudiant la comprhension des concepts et des rsultats de recherche en les applicant l'tude de situations trs particulires. Il fait aussi largement appel la facult d'imagination chez l'tudiant qui doit indiquer la nature de l'information addi-tionnelle qui serait ncessaire une ana-lyse plus pousse de la situation.

    La deuxime partie du recueil com-prend trente incidents distribus gale-ment sous les thmes suivants: la percep-tion, la motivation, la communication, les statuts et les rles, le conflit, l'au-torit, le pouvoir, le leadership, le chan-gement et le climat organisationnel. Chaque situation est suivie d'une analyse que l'tudiant peut utiliser pour vrifier dans quelle mesure il a russi recon-natre et appliquer les lments con-ceptuels et thoriques que les auteurs voulaient mettre en vidence dans la description de la situation. La troisime partie est une prsentation en vrac de situations non-regroupes sous un th-me particulier, mais couvrant une ou plusieurs dimensions des sciences du

    comportement appliques l'tude des organisations.

    Il m'arrive assez souvent d'utiliser cet instrument au cours de mon enseigne-ment. Pour les tudiants qui ont dj une exprience des organisations de tra-vail, cet instrument s'avre rentable au plan pdagogique, puisqu'ils ont plus de facilit que les tudiants rguliers re-constituer les lments d'une situation et identifier les complments d'infor-mation qu'il faut apporter. Les tudiants rguliers qui possdent des connaissan-ces plutt sommaires de la structure et du fonctionnement des organisations se trouvent dsempars , dmunis, devant la pnurie d'informations. Ceci devient pour eux une excuse pour ne pas fournir l'effort qu'on attend d'eux. Il s'agit alors d'utiliser cet instrument pour introduire le sujet qu'on veut traiter ; ou encore, illustrer un thme que l'on vient de d-velopper devant eux. Ce sont l, mon avis, les limites que comporte l'utilisa-tion de cet ouvrage.

    Laurent BLANGER Universit Laval

    Trait de droit administratif canadien et qubcois, par Ren Dussault, tomes I et II, Qubec, P.U.L., 1974, 2016 pp.

    Ce trait constitue une magistrale syn-thse du droit administratif. L'auteur y tudie, par une approche intgre et ordonne, la plupart des problmes juri-diques qui se rapportent l'administra-tion publique. Le lecteur sentira tout au long de l'expos un indniable souci de raliser un quilibre entre les objectifs de la recherche scientifique et ceux de la pdagogie.

    Le plan de l'ouvrage est classique et de consultation facile. Trois parties, dont deux font l'objet du tome premier, re-groupent successivement les matires concernant l'organisation, les pouvoirs et le contrle de l'administration. Ces trois parties sont prcdes d'un chapitre pr-liminaire de type introductif. La lecture de l'ouvrage est rendue agrable par un style alerte et concis. L'auteur fait un usage cons