SARAL et les glaces F. Rémy

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SARAL et les glaces F. Rémy Les collègues du Legos: A. Kouraev, T. Flament, A. Michel, D. Blumstein... Ceux de CLS: A. Ollivier, N. Tran, L. Amarouche Et notre PI: Jacques Verron

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SARAL et les glaces F. Rémy Les collègues du Legos : A. Kouraev, T. Flament, A. Michel, D. Blumstein ... Ceux de CLS: A. Ollivier, N. Tran, L. Amarouche Et notre PI: Jacques Verron. Glace polaire et réchauffement climatique. Glace de mer Très sensible - PowerPoint PPT Presentation

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Page 1: SARAL et les  glaces F. Rémy

SARAL et les glaces

F. RémyLes collègues du Legos: A. Kouraev, T. Flament, A. Michel, D. Blumstein...Ceux de CLS: A. Ollivier, N. Tran, L. AmaroucheEt notre PI: Jacques Verron

Page 2: SARAL et les  glaces F. Rémy

Glace polaire et réchauffement climatique

Glace de merTrès sensible Important acteur du réchaufement

Glace continentalePlus inerte Niveau de la mer

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Recul des glaces de mer Arctiques

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Quid de l’épaisseur ?

Mesure hauteur de la glace par rapport à la mer x 10

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Pôle Sud: l’Antarctique 30 millions de km3 de glace ...

m/an

T. Flament

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Altika sur SARALDe très nombreux atouts

1- même orbite qu’ERS-1, ERS-2, EnvisatPrès de 20 ans de mesures continues

Impératif pour les glaces continentales

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Altika sur SARALDe très nombreux atouts

Ku2-5 m

Ka2-10 cm

2-En bande Ka (37 GhZ), la profondeur de pénétration est environ 50 fois inférieure qu’en ku (13.6 GhZ)

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Altika sur SARALDe très nombreux atouts

3- Ouverture d’antenne plus petite, (0.55° au lieu de 1.22 en Ku)Faisceau plus fin

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Altika sur SARALDe très nombreux atouts

4-En bande Ka, la largeur de bande entraîne une résolution verticale de 30 cm au lieu de 45 cm en Ku L’échantillonnage est plus fin qu’en ku (13.6 GhZ)

Forme d’onde avec moins de pénétration, moins d’antenne et mieux échantillonnée

5- En Ka, PRF supérieure, deux fois plus de données le long de la trace (tous les 175 m au lieu de 350 m)

6- Première fois qu’un capteur actif et passif à visée verticale vont voler ensemble.

En Ka ...

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On est prêt !