Sans-titre A-Z

SANS-TITRE A-Z

Aveugle avatar avertià perdre ou à lancer aveu accident Âpre à peindre ou à lisser Attesté apprenti avare à plaindre ou à blaserassassin alité Assagià vaincre ou à flancher Abreuvé abruti acculéà vendre ou à baiser amour amarre Amèreà tendre ou à fesser Ardent appétit anal à pendre ou à lécherappel adipeux Alléché à rendre ou à penserAvili applaudis affable à prendre ou à laisseraux ânes Abasourdis

a

cent ans que le

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ont si cons contre le sang

con

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ent dérangé par

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cent ans

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ntenaires cuisent au coeur d'un cercle clos c

jetée, une tâche d'ancre au fond de cette baie en forme de B

baveuse sur les belles fesses du littoral, ce bleu lit oral

vagues à lames bègues, blagues vaines et blêm

es

publient les bans des ablutions

puis d'autre abolitions viendront

béantes sur ces plages miroirs

bagues d'abus salés

billots de bras ballants blottis

jusque dans cette baie

en ballerine balnéaire

balbutier babiller

se demander

comm

ent une baie

si bête, peut

abriter uneform

ede

B

bdans

un

verre

d'e

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il im

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libé

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nnel

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je ti

se m

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tise,

sot

tises

dans

ass

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’air,

abé

céda

ire

comptetonneconnefonce

membremasqué

minevideridemonlivre

butlissebitebile

ménagecouple

truie

boiresue

penser

tenir vierlit

trempetrompe

taxe

classebal

quillesoie

seincouvreflorepasselimite

pêchecri

finibâcle

filebouche

3d

codeperdition

primemarchecryptée

pénalisée

douanepistesidafrichecédée

dalleneigecorpsgèle

testerègletrois

saoulerraison

ranger

belv

édèr

e

lyrique comm

e l'ibériquel'âtre bellâtre d'albâtrece gros tas gros bêtan'a vu ni tes bévuesni ton nez bétonnédit lentem

ent, l'embêtem

entce littérateur hellénisteaffable en pubertéaim

erait bien t'obérerpouvoir t'en lire, t'em

bellirdans assez d'air, abécédaire

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jetée, une tâche d'ancre au fond de cette baie en forme de B

baveuse sur les belles fesses du littoral, ce bleu lit oral

vagues à lames bègues, blagues vaines et blêm

es

publient les bans des ablutions

puis d'autre abolitions viendront

béantes sur ces plages miroirs

bagues d'abus salés

billots de bras ballants blottis

jusque dans cette baie

en ballerine balnéaire

balbutier babiller

se demander

comm

ent une baie

si bête, peut

abriter uneform

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truie

boiresue

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trempetrompe

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classebal

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entce littérateur hellénisteaffable en pubertéaim

erait bien t'obérerpouvoir t'en lire, t'em

bellirdans assez d'air, abécédaire

E P r é l u d e e n e m i n e u rA b o n e n t e n d e u rB o s s a n e u v e e t e n r o u é eC a m é l i a b l a n c s u r l e p i a n oD e l i r i u m s o u p l e e t m a î t r i s éE m i n e u r d a n s u n e m i n e d e d i a m a n t sE n e p r é l u d e é l u d éA m i r a u t é a f f a b l e a f f o l é e d ’a c c a l m i e sBaba au bourbon bossa, beau brési l en brasierC o n t e a u c a r c a n d e c a r a m e l , c a c o p h o n i q u eD ébat dédié aux diss idents des rhododendronsEffilées, les hymnes féeriques, éphémères, phalliquesE t p r é l u d e n t e n e u x m i n e u r s

e

Fuite Fugue.au départfolfuitfêle le bruit des hom

mes

une fuite en tête manque à l'étanchéité du corps

les pieds s'évadent et suintentpar la brèchepar m

onts et par vaux, la vacherielaissée sur le parvisfile au fond d'ailleursla critique aux basquesbasse courderrièreou tout autourfeint de fuirfugue dans une figue ( ou par un autre fruit du hasard )respecte l'artisteil te le rend en chiantson pesant d'art dortse m

onnaiedare dareen pesant d'orcase départfolfuitfeint de fuirune figue écraséerespecte quand m

ême l'artiste

il le lui rend en fugue.

Fuite

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pris des bouts sans dentsson am

ant, un roux :hareng sous les drapsune latine brunedésagrém

ents de la gènepile, le poissonface, le nid cul inerte et nasse

G négatif

j'ai p

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un hashish kebabun oeuf à la cokeun crack monsieurpetit lsd aux lentillese t t a r t e o p i u m

h

dirigisme milleà l'initial ciels et nihiliste un isthmes'imite dans l'idéalmythe délit d'initié ami de l'invisibilité

un désirabilitédésir habilité idiotie délébiles'habille débile idyllique île

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il n'y il n'y a K pasa qu' il n'y a Kun K qu'un Kà mais n'y aL é o n ilil n'y en a qu' aucunun K K faire K duà mais K par K mêmeL é a en K d'au K où k

La libellule laisse aller l’aile le long des halles de Lille en lapant un aloyau halal.Lalala dit elle à l’oreille de l’allemand libéral qui lit Lolita : il a l’air dans la lune.Elle lui dit d’un libre luxe labial qu’elle a lu l’OuLipO : il la bâillonne de l’ongle, il n’allait pas lui lécher l’œil.Plus loin l’abeille baille.Lui lit sur la feuille de journal l’hallali des lapis-lazuli laids en Illinois.Plus loin l’abeille baille aux corneilles, elle se fait belle pour l’allemand libéral :la libellule râle mais il la bâillonne.La belle abeille brille :Elle adule l’idole,Elle élude l’idylle,Elle bat des ailes,Il la viole.

l

mouvement creux du rienmalaise au creux des reinsrien ne bougemais se meut un mal sainsemblant vide de lienentre le creux, le mien, le mal, seinil y a un creux de reins qui se vide de riens entre ses mains

m

Une note se prostitue

Bonne com

me un sorbet glacé

A mauvaise haleine

Et fond sous son coulis de bruits.

Prem

ière pression à froid P

our impression de chaude litanie.

Sorte de belle agacée

Connotée d’op aline, d’am

ours jalousésS

’amenuise, s’harm

onise d’autres notes.M

orfond dans son cachot de bruit.B

onne si jamais dénudée

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eur saison d’effroiP

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’autres notes.B

onnes comm

e des visages hâlésD

essous leur halo de fumée

Sentent la transpiration.

Dénote au travers de l’oreille albinos

Étrange note de synthèse satisfaisante

À connotation d’adage vicié

De son son fardeau de lim

ier,Landau de fum

ier, une noteFait le tapin dans les conduitsE

t n’a de bonne que volonténote. note. note. not. not. not. no. no. no.n. n. n.. . .

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Une note se prostitueBonne comme un sorbet glacéA mauvaise haleineEt fond sous son coulis de bruits.Première pression à froid Pour impression de chaude litanie.Sorte de belle agacéeConnotée d’opaline, d’amours jalousésS’amenuise, s’harmonise d’autres notes.Morfond dans son cachot de bruit.Bonne si jamais dénudéePrimeur saison d’effroiParfois ne prélude qu’à D’autres notes.Bonnes comme des visages hâlésDessous leur halo de fuméeSentent la transpiration.Dénote au travers de l’oreille albinosÉtrange note de synthèse satisfaisanteÀ connotation d’adage viciéDe son son fardeau de limier,Landau de fumier, une noteFait le tapin dans les conduitsEt n’a de bonne que volonténote. note. note. not. not. not. no. no. no.n. n. n.. . .

n

meurtri, sorti, occis

l'autonomie des heures passéesôtons l'ennemi désordre hanté

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distrait l'abbé a pris parti

houblon, démon, pardon

le passé tonitruant meure

effacé ton truand en sueurprélassé titube en noceur

o

meurtri, sorti, occis

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l'antinomie demeure troublée

poussive, hâtive, tardivedix heure passées l'automne oublie

discorde athée tombe à dem

i

Dans une coupelle coulentune tasse de plumes et une épée.Dix cours d'eau filentsous les remparts péremptoiresd'un opéra aux rats.Pour le cynisme pessimisme,qui rime périme : péage d'un âgeoù rient féerie des phrases.Mais par un oratoire du genre opératoire le rein en lice se décompose tel une fleurnourrie de pénurie.Autant rire en nombre, à pleines dents, pédants, happés dans une répétition de reddition en perdition.Ou bien au cul tant occupé, carla péremption de la rédemption devient pérédemption :lorsqu'il est déjà trop tard pour se rendre."Je suis dans le train", ajoute un pet récurrent. p

distrait l'abbé a pris parti

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le passé tonitruant meure

effacé ton truand en sueurprélassé titu

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Que se passe-t-il ? rien Qu’arrive-t-il bien ?Qu’enlève-t-on ? toutQue mange-t-on ? vousQu’en dira-t-on ? nonQu’une avarie oui Qui recommence si Quidam se lance pense

qNar

quoi

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onde

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Narquois, condescendant, suffisant de ne pas y toucher,malade et fatiguée de rien,l’hôtesse de France pilote en Nikes :c’est dans un bol pur de royale forceDiction climatisée, polluée d’un con irrespirable et privé de lacunes.Pas catholique d’autoroute, ni pourcentage d’humidité de repos, de jeux, de stationnement pour handicapés.Un commis assainisseur fier de lui milite pour une secrète banque.Le fond effraye. Je nie, libre comme la fille de l’extracteur du temps.

r

Oui en glaise

nécéssairesau m

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Si un espion d'ex URSS (ou USSR) se lit un SAS, c'est un SOS

Si un ancien de l'OAS veut s'inscrire au PS sous prétexte qu'il a eu son BTS, c'est un LSD

Si un SDF vivant d'SNCF se plaint de l'ISF, c'est un SOS

"SVP encore un serment de silence pour le SS sinistre qui a crucifié la SDN."

Si la DST s'attaque à la DGSE au sujet de secrets d'USA, c'est un LSD

Si un soudard du CSA vient déposer son sexe à la SACD et ses fesses à la SACEM, c'est un SOS

Si le SAMU dit RAS à un blessé qui cultive en son sang MST, SIDA ou herpès, c'est un LSD

"grâce à mon GSM de chez SFR je signe des SMS et même des MMS mais je reste au SMIG"

s

Tue la

petite en

tutu !

Tu te tâte et têtu tu t’entêteTon têtard te titille à tâtonsTa petite en tutu t’attendsToi tu t’apprête à l’attentatTa tête étreinte en ses tétés

Titu

s te

traî

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us le

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buns

tent

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casqueb umillierpointe

p o i la i l eterrain

voyage lisse et linéaire dansla main d'un hiver volatil et bleu

u

Violence n’a d’égal que sensibilitéElles se rejoignent ça m’est égalBrûlure au second degréLes nerfs en étoiles d’araignéeSensibilité gagne la violence à être connueFrottements étincelle brûlureUne étoile flambe comme de la laine d’acierViolence sensible Violence sans cibles Sentence véhémente

v

Sens viol Essence (houle)Violon (hanse)Havre de paix (coule ou fond)Bulbe nerveux sombreN’à d’égal que sensibilitéÉquivalence en ce sens libreÇa n’est égal à rienSensibilité zéroViolente étoile filanteVice et versa et fissaÉvince et verse son sang servile en versL’étoile tisse un blabla faisceau de nerfsCordes sensiblesBrûlures tous azimuts Zénith violent comme de l’essence d’acier

Double VDoublé de veloursDouble de vitesse

Ma double vie :Un double va et viensDoublement vicieuxDédouble ma vue

Double VDoublé de veloursDouble de vitesse

Ma double vie :Un double va et viensDoublement vicieuxDédouble ma vue

w

croix de fercroix de bois croix de guerrecrois ou ne me crois pas il existe un laxatif nommé laxismesi je mens je traverserai le Styx du film Xles aimants en gammes de mérites, au sens du corps beau des pots pleins les bras, avec d'instables tassements de désir qui se feront signe et saigneront, à jeun de décence : morsure, mort sûre que la torture

x

Jubilations Anachroniques de Zèbres ZaïroisJoutes

Amicales

de Zébus

ZozotantsJungle d'Absurdités dans le Zoo de Zerm

attJob,

Allah,

Zabulon, Zacharie

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Avec Zozos

et Zazous

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Oui en glaise

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textes Benjamin Fain-Robert

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