Sainte Anne Insight #12 – March 2015

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EDITION SPÉCIALE

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• AUSSI DANS CE NUMÉRO SPÉCIAL • PAGE 2 | Denis Brogniart : « une organisation parfaite » • PAGE 3 | Laura :Le coup de bambou sur la tête • PAGE 4 |« Mission accomplie » pour l’équipe de Sainte Anne Island • PAGE 5 | Elodie et Noémie:reines du kayak • PAGE 6 | Les petits plats dans les grands • PAGE 7 | Laura récidive au tir à l’arc • PAGE 8 & 9 | Une soirée enapothéose • PAGE 10 | La chauve-souris en vedette • PAGE 11 | L’aveugle et l’équilibriste • PAGE 12 & 13 |La nuit à la belle étoile• PAGE 14 | Les afficionados • PAGE 15 | Tournage et reportage • PAGE 16 | Souvenir, souvenir…

Passionnant et Palpitant !

Quelle belle aventure ! Les émotions de la Beachcomber Aventure rôdent toujours dans les esprits et dans les cœurs de tous ceux qui ont organisé, participé, collaboré ou assisté à ces merveilleux moments.

C’était un moment historique dans la vie de notre établissement où jamais depuis son ouverture, Sainte Anne Island n’avait connu pareil évènement. Et pour reprendre des termes culinaires, l’organisation et le déroulement ont été savamment préparés avec les meilleurs ingrédients. Ces ingrédients ont été les uns plus précieux que les autres.

D’abord, on ne cessera de souligner le soutien sans faille des autorités seychelloises et en particulier Alain St Ange, le Ministre du Tourisme et de la Culture et son équipe. Ils avaient une profonde conviction dans le montage d’une telle opération et de sa réussite dès les premiers jours. La présence de pas moins de trois ministres et plusieurs hauts cadres du gouvernement lors de la dernière journée témoigne de ce soutien.

Comment ne pas mesurer l’ampleur du rôle essentiel que Denis Brogniart a joué dans la Beachcomber Aventure ! Le présentateur vedette de la télévision française a surtout marqué les esprits par sa simplicité, son sens de l’humain, son amitié, son humilité et sa prestation très professionnelle comme sur un vrai plateau de télévision. Sa maîtrise des épreuves, sa démarche fraternelle envers les participants et les organisateurs, son calme et sa concentration ont forcé l’admiration de tous.

L’admiration pour Denis, les Aventuriers l’avaient déjà avant de fouler le sable de Sainte Anne Island. Nos jeunes amis venus de France ont ajouté toute leur verve et leur enthousiasme au travail de Denis Brogniart. Ils étaient tous comme de joyeux adolescents prenant du plaisir à a�ronter les épreuves dans un esprit de camaraderie et de complicité qui a surpris plus d’un. Pour beaucoup de ces jeunes professionnels du voyage, c’était l’occasion de leur vie et ils n’ont raté aucune seconde de ces moments intenses. Ils étaient sympathiques, délirants et solidaires.

Nos autres partenaires ont apporté leurs saveurs indispensables. L’infatigable Rémi Sabarros qui a vécu la conception et la réalisation de ce projet à chaque seconde. Son implication a été totale et demeure un exemple pour nous tant la précision de ses démarches étaient significatives.

La Beachcomber Aventure n’aurait pas eu cette ampleur locale sans nos amis de la presse. La couverture médiatique très pointue a aidé à présenter et à expliquer cette opération à toute la population seychelloise. L’intérêt que les journalistes ont démontré pour le déroulement de cet évènement a ajouté à son succès populaire.

En�n cette merveilleuse aventure nous a aussi permis de voir une équipe magni�que à l’œuvre. Le dé� pour mes collègues de l’hôtel était immense au départ et au décompte �nal le résultat est exceptionnel. Nos collègues seychellois épaulés par leurs amis venus d’ailleurs ont fait preuve d’une attitude admirable dans toutes les tâches C’était un travail d’artiste pour réaliser l’impossible et ils ont tous réussi au-delà de leurs limites.

La Beachcomber Aventure qui se voulait avant tout une opération commerciale en faveur de notre part de marché touristique en France a �nalement été une superbe histoire de relations humaines, d’abnégation, de motivation, d’émotions et de souvenirs indélébiles.

Comme disaient les Aventuriers : C'est aux Seychelles qu'la vie est belle lala lala !!

Norbert Couvreur

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Sans lui, la Beachcomber Aventure n’existerait pas. Denis Brogniart a marqué cet évènement par son charisme, son professionnalisme et son sens des relations. Cette opération inédite à Sainte Anne a été un succès grâce à son savoir-faire dont il avait déjà fait preuve dans Koh Lanta et d’autres émissions de télévision en France. Au lendemain de la Beachcomber Aventure, Denis a bienveillamment accepté de nous livrer ses impressions.

Denis Brogniart, êtes-vous satisfait du déroulement de la Beachcomber Aventure ?

C’était formidable ! D’abord parce qu’à l’arrivée on est en parfaite adéquation avec ce qu’on avait prévu avec Norbert Couvreur et Rémi Sabarros au départ. Puis il y eu la météo qui nous a gâté. On avait quelques incertitudes au départ, mais on a eu trois jours avec du très beau temps. Pour moi quand je vois les gens avoir le sourire on a toujours l’impression d’avoir rempli notre mission.

Et pour cette mission, il a fallu avoir de bons Aventuriers…

C’était des Aventuriers en or. Ils étaient tous super motivés, ils avaient envie de vivre ça au maximum. Je crois qu’ils se sont donnés à fond dès la première épreuve avec le bambou sur la tête jusqu’au Conseil. Le simple fait de voir tout le monde sur les poteaux sur l’océan était absolument génial !

Vous qui avez l’habitude des plateaux prestigieux à la télévision, n’êtes-vous pas senti trop à l’étroit sur la Beachcomber Aventure ?

Pour moi il n’y pas de petits évènements. Je mets autant de cœur, autant de professionnalisme et d’engagement. Sur cette opération, c’est vrai qu’on avait une équipe réduite par rapport à Koh Lanta où on est plus d’une centaine. Mais ici j’ai eu une équipe formidable avec Alain, Arthur, Elliot et Vincent.

Il y eu aussi une ambiance enthousiaste parmi les Aventuriers durant tout l’évènement.

Pour des agents de voyages, j’ai retrouvé des ré�exes, de la réaction, des mouvements et de l’enthousiasme qu’on constate chez les vrais compétiteurs de Koh Lanta. Ils étaient contents d’être sur les poteaux, de traverser le petit bras de mer entre les îles Sainte Anne et Moyenne. J’ai vu leurs yeux qui brillaient et ce n’était pas une sensation éphémère mais celle qui va durer dans le temps. Ils vont raconter pendant longtemps à leurs amis, leurs collègues, leurs parents et leurs enfants qu’ils ont vécu une aventure unique dans un cadre somptueux. Il y a très peu de personnes qui peuvent vivre une telle expérience à part des candidats de Koh Lanta.

Pour les clients français qui ont assisté à la Beachcomber Aventure, c’était comme-ci ils étaient sur le plateau de Koh Lanta ?

Oui, ça fait quinze ans que je fais ça et Koh Lanta a un poids considérable en France avec presque huit millions de téléspectateurs à chaque émission. Cela a dû surprendre ces clients de voir qu’on organise la Beachcomber Aventure sur le modèle de l’émission de télévision. Je comprends tout à fait leur enthousiasme et là aussi un grand bravo à Norbert qui a su ouvrir cet évènement à ses clients. Il aurait pu verrouiller la Beachcomber Aventure et mettre des paravents entre nous et les clients. Au contraire, il les a invités à assister aux épreuves et même à la soirée de gala.

Vous avez aussi reçu le soutien de plusieurs ministres et haut o�ciels…

J’avais déjà senti cet intérêt à Paris quand j’avais rencontré le Ministre St Ange. Ce n’était pas un intérêt pour la Beachcomber Aventure uniquement mais surtout pour les Seychelles, pour la destination. Cela a été con�rmé lors de la dernière journée par la présence de plusieurs ministres et hauts cadres du gouvernement. C’est très grati�ant pour les agents de voyages qui vendent les Seychelles à longueur d’année de constater qu’on s’intéresse à eux et à leur industrie au plus haut niveau de l’Etat.

Vous repartez heureux de la Beachcomber Aventure ?

Oui, surtout quand je pense que c’est parti d’une rencontre, c’est parti d’un relationnel avec le groupe Beachcomber après plusieurs séjours à Maurice. Puis on a travaillé sereinement et surtout dans la con�ance avec Norbert Couvreur et Rémi Sabarros. C’était une équipe en ordre de marche avec une organisation parfaite. C’était tout simplement passionnant et palpitant !

Une des chevilles ouvrières de la Beachcomber Aventure a été sans conteste Rémi Sabarros, le Directeur de Beachcomber Hotel à Paris. Avec son équipe il a travaillé en amont sur l’opération et il a tenu à suivre tous les participants durant tous les jours des épreuves. C’est un Rémi Sabarros très satisfait qu’on a rencontré au petit déjeuner après la soirée de clôture.

Racontez-nous comment cette opération a été mise en place.

Ça part d’une rencontre avec Denis Brogniart il y a trois ans à l’hôtel Dinarobin à Maurice. Denis était tellement bien accueilli et traité qu’il voulait absolument remercier le groupe Beachcomber d’une façon ou d’une autre. Et c’est là que l’idée d’une opération aventure type Koh Lanta a germé. Puis le temps est passé et on a repris le dossier l’année dernière en parlant avec Norbert Couvreur car dans le groupe, Sainte Anne Island se prêtait parfaitement à ce type d’évènement.

Il fallait maintenant monter l’opération?

Oui, c’était ça le gros morceau: comment, avec qui, quand. Mais l’ingrédient principal du succès était déjà là avec l’enthousiasme débordant que Norbert Couvreur a démontré dès que le projet a été décidé. Il était partant à plus de cent pour cent. C’est dans cette foulée que Norbert nous a accueillis l’année dernière quand Denis a fait un repérage complet de l’hôtel et de l’île avec son équipe. Nous avons alors décidé de monter cette opération en forme d’Incentive pour les agents de voyages. Il y a eu le lancement avec PromoAGV, l’un de nos partenaires à travers le site internet de cette société qui est dédié aux agents de voyages. Ensuite on a enchainé avec le lancement o�ciel au Top Resa 2014

par Alain St Ange, le Ministre seychellois du Tourisme et de la Culture, la Secrétaire Principale Anne Lafortune et Sherin Naiken, la CEO de l’O�ce du Tourisme des Seychelles, Denis Brogniart et bien sûr Norbert Couvreur.

Le lancement terminé, c’était le moment de passer à l’action ?

Tout à fait ! Avec le soutien des autorités gouvernementales, nous avons immédiatement lancé une campagne médiatique. Plus de 550 agents de voyages se sont inscrits pour le Challenge des Ventes. 150 ont e�ectivement vendu l’hôtel et la destination et nous sommes arrivés à 12 meilleurs vendeurs d’entre eux. Après, il a fallu caler toute la partie transfert aérien avec nos partenaires Air Seychelles et Etihad. De son côté Norbert Couvreur mobilisait toute son équipe à Sainte Anne Island. Une mobilisation durant des mois pour préparer cette opération dans les meilleures conditions.

Et comment appréciez-vous le travail e�ectué par l’équipe de l’hôtel ?

Extraordinaire ! On a senti une motivation totale avec beaucoup qui ont travaillé

presque 24/24, tout ça dans la gentillesse et avec professionnalisme. L’objectif a été largement atteint avec un succès retentissant. Ce qui est formidable c’est que ce travail a été e�ectué en majorité par un encadrement seychellois. Norbert a su faire progresser des femmes et des hommes du pays pour relever de tels dé�s et accéder à des postes de responsabilités. Il a su insu�er une motivation débordante dans cette équipe.

Les autorités ont également soutenu pleinement cette opération…

Vous avez parfaitement raison de le dire. J’ai été très heureux de rencontrer trois ministres, des Secrétaires Principales et d’autres hauts o�ciels lors de la dernière journée des épreuves. Cela à démontrer encore une fois que les autorités aux Seychelles s’intéressent à leur population, à notre industrie et à leurs partenaires. C’était très réconfortant. C’est une grande marque de respect, de con�ance et de gentillesse. Il faut dire que Norbert a fait un travail en profondeur depuis les trois dernières années pour a�ner les relations de notre groupe avec les autorités seychelloises.

Vous garderez surement de très bons souvenirs de cette première édition de la Beachcomber Aventure ?

Absolument et pour longtemps. C’était une opération formidable. La réalisation a été parfaite, l’ambiance a été extraordinaire, les relations entre les participants ont été d’une très bonne camaraderie avec une cohésion exemplaire sans aucun moment d’humeur. Je suis heureux d’avoir accompagné la Beachcomber Aventure dès sa genèse jusqu’à son point �nal.

Denis Brogniart : « une organisation parfaite »

Rémi Sabarros : « une opération formidable »

En route vers l’aventureEn ce lundi 23 février au petit matin, Ils sont descendus

du bateau sur la jetée les yeux encore fatigués. C’est vrai que le voyage depuis Paris avec le long transit à Abu Dhabi n’avaient pas favorisé un bon sommeil. Mais tous

les participants étaient déjà dans l’ambiance en recevant un accueil matinal par toute l’équipe de Sainte Anne Island qui arborait le polo-shirt de la Beachcomber Aventure.

Ils avaient à peine le temps de ranger leurs pulls ou autres vestes - d’ailleurs rendus inutiles pour les jours prochains – qu’ils ont immédiatement posé pour une photo de groupe à côté du salon d’accueil. Leurs vies de vedettes de quelques jours débutaient ! La photo était prévue pour le journal local du lendemain.

Embarquement immédiat sur les voiturettes et direction le salon du bar pour le premier brie�ng. Koogen prenait les opérations en main en leur donnant des informations sur l’hôtel mais la question sur toutes les lèvres était : « où est Denis Brogniart ? Il est là ? Il est arrivé ?» Bien entendu, aucune réponse précise de Koogen ou de sa collaboratrice Germaine ou encore de Kimberley Cunden venue du bureau de Beachcomber à Maurice. La consigne de ‘motus bouche-cousue’ sur les évènements était bien respectée. L’esprit « surprise » et « aventure » était déjà bien présent !

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Les Rouges vs les Bleus

Apres le briefing de l’arrivée, les participants se demandaient toujours à quel moment ils allaient enfin rencontrer Denis et la réponse était que

c’était prévu uniquement l’après-midi. Koogen et son équipe jouait leurs rôles très e�cacement. « La rencontre devait se faire avec un e�et «surprise». Ils n’avaient aucune idée eux si Denis était déjà à Sainte Anne. Le but était de faire une visite d’hôtel et de prendre cette activité comme prétexte. Le plan était de terminer cette visite sur la plage d’Anse Tortue où Denis apparait derrière les rochers, » nous raconte Koogen. « Je leur ai donc dit après la visite qu’on allait faire une photo au bout de la plage avec les roches granitiques en fond. Ils ont mordu à l’hameçon et ils y ont cru jusqu’au bout. »

Et c’est à cet instant que Denis « Le Boss » apparait comme venu de nul part. Une entrée en matière réussie suivie de l’épreuve de Bambou à laquelle ils ne s’attendaient pas.

Aussitôt les explications données par Denis, ils

se sont tous rués vers les bambous et les ont apportés sur la plage où ils ont essayé tant bien que mal à les hisser sur la tête. Des images insolites sur cette plage où des bambous tombaient, ou qui se tenaient sur le front ! A ce

petit jeu, Laura a tiré son épingle - ou plutôt son bambou - du jeu en remportant cette épreuve de mise en bouche. Une bonne opération pour elle qui lui permettait de recevoir une séance au spa comme prix.

Après avoir récupéré du coup de bambous et profité d’un petit moment de farniente à la plage, la soirée du lundi était entre autres consacrée à la formation des équipes.

Le fameux totem était déjà en place au restaurant quand Denis Brogniart a débuté la séance dite de ‘bandanas’. La formation des équipes n’était pas di�cile à régler et la désignation des capitaines encore plus facile. Comme le groupe avait dix membres féminins – Isabelle allait les rejoindre venant de Maurice le lendemain- et deux membres masculins, les participants étaient repartis en deux équipes de six avec un garçon faisant fonction de capitaine de chaque côté. Pour les noms des

équipes c’était très simple car c’était une a�aire de couleur de bandanas, les rouges contre les bleus.

Le décor était planté avec tout l’attirail du parfait aventurier : t-shirt, casquette, sac et bandana avec le logo de la Beachcomer Aventure. Ne restait plus qu’un détail à régler que Denis a vite fait de s’en occuper. Il fallait à chaque équipe un assourdissant cri de guerre

Les rouges ont hurlé : « A Sainte Anne, Les rouges c’est la gagne, aie aie aie ! »

Les bleus ont répondu bruyamment : « A Sainte Anne, on a la gagne ! »

Le coup de bambou sur la tête

ELODIE Une totale surprise ! Il y a eu

du vent et le bambou est tombé ! On s’était à peine remis du voyage de Paris et du transit à Abu Dhabi. On débarque sur une île remarquable et on nous

donne un coup de bambou sur la tête ! Qu’importe, il y a

la mer, le soleil et surtout tous ces visages si souriants…

OLESYA On nous a bien caché cette mise en bouche des bambous ! Koogen, Germaine et Kimberley nous font faire la visite d’hôtel et derrière ces rochers au bout de la plage on voir surgir Denis Brogniart pour nous annoncer que l’aventure démarrait immédiatement. C’était magique ! Les bambous et moi, ça ne fait pas très bon ménage. Le bambou faisait deux mètres et ça pesait lourd, donc di�cile à maîtriser.

ANDRÉ« Nous avons dû aller très loin dans la forêt pour trouver les grosses tiges de bambous que la production nous avait demandées. Il y a certes du bambou un peu partout sur l’île mais les spéci�cations pour l’épreuve étaient très dé�nies, c’est à dire que les troncs devraient être de la même taille et sans aucune courbe. C’est aussi une question de sécurité pour mes collègues travailleurs avec le bambou qui est très dangereux à manier car on se coupe facilement. Bref, quand j’y pense, il aurait fallu faire les participants aller chercher eux-mêmes les bambous et les nettoyer avant de les porter sur la tête ! (rires) Là on aurait rigolé un bon coup… mais on a voulu leur éviter cette tâche ! »

NIGEL« Quand nous avons reçu les troncs de bambous à l’atelier, nous avons commencé à les polir. La surface était assez rugueuse surtout au niveau des nœuds des bambous. Ça comportait un risque de blessure pour les participants. On s’est aussi assuré qu’il n’y avait aucun morceau tranchant de la tige qui pouvait couper la main. Puis on a enveloppé une extrémité de la tige avec du tissu pour permettre un plus grand confort quand on la pose sur la tête. Durant tous ces moments que je préparais ces morceaux de bambou, je ne pouvais m’empêcher de sourire en pensant qu’ils allaient tous devoir tenir ce truc lourd sur la tête sur la plage en plein soleil ! »

ELODIE ELODIE ELODIE Une totale surprise ! Il y a eu Une totale surprise ! Il y a eu

la mer, le soleil et surtout tous la mer, le soleil et surtout tous ces visages si souriants…ces visages si souriants…

« C’ÉTAIT MAGIQUE ! »Elle n’a pas attendu longtemps pour se rendre au spa de l’hôtel. Elle a pro�té pour éliminer toute la fatigue du voyage et le poids du bambou sous les mains expertes des thérapeutes. Fraîchement détendue, Laura annonce la couleur.« Je suis très forte, vous avez vu ! Ce sont des forces qu’on ne voit pas… cette épreuve de mise en jambe, j’allais dire de mise en tête a été une vraie surprise pour nous tous. Et le fait de voir surgir Denis Brogniart à côté des grosses pierres en granite sur une très belle plage, c’était encore plus magique ! Pour parfaire le tout, j’ai remporté l’épreuve et je me suis retrouvée au Spa. J’avais déjà fait quelques jaloux ! »


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Le Dr Obadia a bien résumé la prestation de l’équipe de Sainte Anne Island pour cette première édition de la Beachcomber Aventure.

« C’est une symphonie sans défaut de son magistralement orchestrée par le Maestro Norbert Couvreur et sa garde rapprochée de solistes et de musiciens très performants. C’était une partition merveilleuse ! »

Les employés de l’hôtel ont été à la hauteur du plus grand évènement jamais organisé à Sainte Anne Island. Le plus impressionnant c’était la cohésion démontrée durant tous ces jours et bien avant.

Au fait la préparation avait débuté depuis des mois. «Comme nous avions pris un sérieux engagement vis-à-vis de nos partenaires, nous n’avions aucune marge d’erreur», a précisé Norbert Couvreur. «J’ai mis en place une cellule d’organisation depuis plusieurs mois. Tout devait être parfait car la Beachcomber Aventure n’était pas une simple visite de tour operateurs que nous avons l’habitude d’avoir à l’hôtel. Il faut dire avec du recul que nous avons accompli notre devoir avec brio. Je dois saluer cet esprit d’entraide à tous les niveaux, cette attitude positive et cette attention dans tous les travaux.»

Les propos du Directeur General cadrent bien avec ceux de ses proches collaborateurs. L’infatigable Govind ne lésinait sur aucun e�ort pour apporter sa pierre à l’édi�ce. Tantôt transportant du matériel, tantôt organisant un transfert vers un site, il donnait le ton du travail bien fait. Darryl prenait des photos, donnait un coup de main pour transporter le matériel, réglait les derniers détails sur le placement des invités à table.

Plus loin dans cette édition, on verra comment la restauration a été gérée de fort belle manière alors qu’à la réception et à l’accueil ainsi qu’à l’accompagnement des participants, Koogen et sa collaboratrice Germaine n’hésitaient pas à se surpasser. Tout se faisait dans un esprit de convivialité.

Le directeur �nancier avait délaissé son bureau pour venir épauler l’équipe sur le terrain. Kevin eu la lourde responsabilité de commander le matériel et les accessoires et il s’est assuré que tout soit livré à temps. A la veille des épreuves, il est arrivé avec la commande tant attendue des polo-shirts. Son équipe de la comptabilité également n’hésitait pas à apporter leur aide pour l’acheminement du matériel.

Nichol, le Directeur des Ressources Humaines s’est fait un devoir d’apporter son soutien en fournissant la main-d’œuvre nécessaire pour cette opération d’envergure alors que Gelage s’assurait que tout se déroulait dans les meilleures conditions de sécurité et aidait beaucoup dans la mise en place des épreuves.

Que dire de Charles qui a été transcendant et qui n’a pas hésité à plonger dans l’eau pour l’épreuve des langoustes. Travailleur infatigable car bien servi par sa force physique hors du commun, Charles intervenait dans toutes les opérations au risque de se blesser.

Dans les ateliers, sur le terrain, dans les bois, la présence de David était comme une assurance. La direction technique qu’il a assurée a forcé l’admiration de plus d’un et il n’a pas hésité une seconde à venir mettre la main à la patte quand l’urgence se faisait sentir.

La liste des musiciens pour cette grande partition de la Beachcomber Aventure serait trop longue pour les énumérer tous mais ils sauront se reconnaître quand Denis Brogniart lui-même nous a fait ces commentaires. «Il y a eu surtout une belle cohésion avec l’équipe de Sainte Anne Island. J’avais été impressionné par les premières paroles de Norbert Couvreur dès notre première rencontre à Paris quand il m’avait dit que lui et son équipe allaient être à 100% sur ce coup. Je crois que c’est une mission très bien accomplie. Il y a eu un dépassement de soi-même chez tout le monde. Il y a eu de la concentration, de motivation, une envie de réussir quelque chose de grand. Je l’ai ressenti de la cuisine, en passant par la maintenance et la technique. On a tous travaillé main dans la main. Et puis, il y a Norbert le patron et le grand facilitateur. Il n’a jamais dit: Non ça va être difficile, on ne pourra pas. Au contraire il a répété à chaque fois : On va le faire ! »

Il n’est pas passé inaperçu durant la Beachcomber Aventure. Walter Larue a été l'une des pièces maitresses dans l’organisation de l’évènement. C’est lui

qui a fourni le service bateau pour toutes les épreuves en assurant le transport des participants et des organisateurs mais aussi pour celui du matériel.

«Je suis un partenaire de longue date de Sainte Anne Island. A part du fait que j’assure le quotidien en matière de bateau, je suis toujours présent dans des occasions exceptionnelles. La Beachcomber Aventure étant un évènement unique dans l’hôtel et je ne pouvais pas être absent. J’ai tenu à mettre des embarcations additionnelles à la disposition de mon ami Norbert Couvreur. Il savait qu’il pouvait compter sur moi dans de telles occasions. Pour moi, c’était aussi une façon de vivre des moments extraordinaires et de montrer à nos visiteurs de quoi nous sommes capables. »

Dans l’embarcation Beachcomber Aventure, le Dr Edouard Obadia était le médecin de garde à bord. Il faisait partie intégrante de

l’équipe d’organisation pour s’assurer que les candidats et les autres organisateurs soient en bonne santé et aussi pour prévenir tout risque d’incidents.

«Avec un groupe de vingt-cinq participants et d’organisateurs il fallait prendre des mesures pour s’assurer que tout se déroule dans les meilleures conditions médicales. Il y avait toujours des risques de par la nature des épreuves et de l’environnement dans lequel nous nous déplacions. Heureusement tout s’est merveilleusement bien déroulé. En sus des certi�cats médicaux obligatoires que chaque participant devait fournir, j’ai personnellement e�ectué un examen électrocardiogramme avec chacun. Je dois ici remercier Hélène, l’in�rmière de l’hôtel pour son aide durant cet exercice.»

Les grandes manœuvres

Le Capitaine Walter : «je suis toujours présent»

Un médecin à bord

AURÉLIA« Le travail e�ectué pour cette aventure mérite du 10* ! Aussi bien dans le service, l'accueil et la générosité. La mise en place d'une telle aventure doit être un travail immense ! Tout le monde était organisé, aux petits soins, toujours serviables, toujours souriants... Que de très bons souvenirs.»

ELODIE« Chapeau et merci ! Le personnel a toujours été présent, discret et adorable ! Ils ont été parfaits pendant tout le séjour, nous avons été considérés comme des reines ! Je pense que nous n’avons pas tout vu, mais ils ont dû travailler comme des acharnés et ne pas beaucoup dormir pendant ces 3 jours !Je pense à Govind qui est apparu de nulle part tout en haut d’un rocher avec des serviettes fraîches pendant notre randonnée autour de l’île, je pense à Koogen qui a toujours été présent et qui nous a bien encadrés, Germaine qui nous conduisait partout et qui n’a jamais voulu nous donner le moindre indice sur les épreuves ! Un immense merci à tous, ils ont été formidables ! »

ISABELLE « Superbe organisation. Le personnel et les organisateurs très présents et attentionnés. La couverture médiatique et l’organisation impeccable des épreuves m’ont donné l’impression de vivre le vrai Koh Lanta. »

KARINE « Un boulot ENORME, gigantesque, astronomique … bref du boulot de maître avec du personnel qui a su être partout, même à 4h du mat ! C’était génialissime tout ce travail, cette minutie, ces détails … et encore nous n’avons vu que le haut de l’iceberg ! Tout ce qui s’est fait dans les coulisses de jour comme de nuit est extraordinaire ! Merci à tous d’avoir été si pro, souriants, présents et de nous avoir vraiment transporté dans cette magie. »

SOPHIE« Dès notre arrivée jusqu’au départ, le personnel a été toujours très professionnel avec nous. Toujours souriant, attentionné, je sais qu’ils ont travaillé dur pour rendre notre séjour encore plus mémorable comme le diner au bivouac, ou les petites serviettes rafraichissante pendant la randonnée, ils ont été parfaits. »


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Pendant ce temps…

En arrivant au restaurant le Takamaka ce mardi matin les participants se demandaient tous à quelle sauce Denis allait les manger ou même dévorer. Ils

étaient tous perplexes quant au programme de cette matinée pour ne pas mentionner celui de la journée. En apercevant les kayaks installés comme des bolides de formule un sur une grille de départ de grand prix, ils avaient déjà senti venir une histoire de kayak.

Ce qu’il ne savaient toujours pas, c’est qu’ils allaient devoir traverser le bras de mer séparant Sainte Anne à l’île Moyenne pour atteindre un banc de sable qui se dessinait au fur et à mesure que la marée baissait.

«On sait qu’on va gagner cette épreuve mais l’ennui c’est qu’on est sur cette plage de Takamaka et on ne sait toujours pas quelle sera l’épreuve. Peut-être qu’on va devoir courir un 100 mts au milieu des cocotiers… ! » nous dit Olesya de l’équipe rouge. Réplique immédiate d’Elodie des bleus. « Alors là, je sens qu’on va ramer et vraiment ramer ! Mais qu’importe l’épreuve, on va les manger les rouges. Nous on est venu, on a vu et on va vaincre ! »

Des clients de l’hôtel et le personnel du restaurant étaient là pour les encourager. Un peu plus loin, l’hélicoptère de Zilair décollait tout près de la jetée avec Alain à son bord. Il allait suivre la course d’en haut et pro�ter pour prendre quelques photos de l’ile.

Denis convoque tous les participants et leur annonce en�n la nature de l’épreuve. Quelques visages se crispent. Le groupe est maintenant au complet avec l’arrivée d’Isabelle. On en�le le gilet de sauvetage, on tente de faire quelques entrainements à même le sable. Et c’est parti dans l’eau !

Le spectacle est de toute beauté. Il y a celles qui semblent bien se tirer d’a�aire à l’instar de Noémie et d’Elodie alors que le manque de synchronisation et de vitesse font beaucoup défaut à d’autres. Sur l’eau les cris d’encouragement et aussi de désespoir se font beaucoup entendre et à l’arrivée, Noémie et Elodie remporte l’épreuve pour l’équipe des bleus.

Quelques participants avaient de la peine à reprendre leur sou�e que Denis lançait : «on enchaine les gars !»

Le mardi 24 février, alors que tous les participants dormaient encore, les équipes de Sainte Anne Island étaient déjà à pieds d’œuvre depuis le petit matin. Darryl est

arrivé avec les kayaks à bord de sa camionnette et déjà Govind et Kevin se sont vite mis à l’ouvrage pour coller les étiquettes de la Beachcomber Aventure sur les engins.

Durant ce temps, l’équipe de la maintenance installait les poteaux de départ et un autre groupe faisant déjà route vers le banc de sable non loin de l’ile voisine de Moyenne où allait l’arrivée allait être jugée.

Charles a commencé le transfert des kayaks à côté du restaurant Takamaka quand Darryl est venu prêter main forte. On oublie son titre et sa fonction dans de telles circonstances et on se sert de ses

bras pour faire avancer le travail. Govind et Charles installent les gilets de sauvetage et s’assurent que tout est en place.

Très vite une belle matinée se dessinait sur Sainte Anne et les participants ainsi que d’autres membres de l’équipe de l’intendance se dirigeaient vers le départ.

Tout est �n prêt pour lancer la première épreuve

ELODIE « Je suis ravie d’avoir gagné avec Noémie ! Je voulais gagner au moins une épreuve pendant cette aventure, et grâce à notre binôme, ce fût chose faite… Nous avons pris un bon départ et notre coordination a été super ! Nous n’avons rien lâché jusqu’à l’arrivée et nous avons gardé un bon rythme. La victoire nous a tendu les bras. Quel bonheur !»

LAURA « La traversée a été quand même dure ! Ça fait mal aux bras et avec les courants ça devient encore plus di�cile. Mais on n’est pas déçu même si on est arrivé 5ème Isabelle et moi. Au fait, on s’attendait pas du tout à faire cette traversée en kayak avant que Denis nous impose cette épreuve. »

OLESYA « C’était la catastrophe ! J’étais bonne dernière de l’épreuve. Remarques je ne l’avais jamais fait le kayak. Il faudra que je m’entraîne bien pour la prochaine édition de la Beachcomber Aventure ! Malgré ma dernière place, j’étais très heureuse d’être là ce matin et être dans le groupe en compagnie de Denis. Moi qui viens de Reims dans la Champagne, ça fait un sacré changement en février sur la mer dans un kayak ! »

Quelques participants avaient de la peine à reprendre

n arrivant au restaurant le Takamaka ce mardi matin les participants se demandaient tous à quelle sauce Denis allait les manger ou même dévorer. Ils

étaient tous perplexes quant au programme de cette matinée pour ne pas mentionner celui de la journée. En apercevant les kayaks installés comme des bolides de formule un sur une grille de départ de grand prix, ils avaient déjà senti venir

Ce qu’il ne savaient toujours pas, c’est qu’ils allaient devoir traverser le bras de mer séparant Sainte Anne à l’île Moyenne pour atteindre un banc de sable qui se dessinait au fur et à mesure

«On sait qu’on va gagner cette épreuve mais l’ennui Denis convoque tous les participants et leur annonce

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Le Chef Sanjesh avait décidé de mettre l’inspiration créole à chaque repas de la Beachcomber Aventure. Il avait puisé dans son répertoire créole aux Seychelles et dans

les iles de la région. «Déjà, le premier jour je voulais leur donner ce goût exotique. Nous avons servi de la salade de papaye verte puis on est passé aux ananas, aux concombres et aux mangues assaisonnés de menthe comme entrée et on a enchainé en plat principal avec une rougaille de poisson salé accompagné d’une fricassée de giraumon et du riz. Et on a terminé avec un sorbet fait maison à base d’ananas, de fruits de la passion et du coco. On avait pensé leur o�rir un vrai goût des Seychelles dans l’assiette ! On a dû faire venir le poisson «cordonnier» salé de Praslin car c’était indisponible à Mahe. Depuis très tôt le matin, on a mis le poisson à dessaler dans l’eau pour le ramollir et Nicolas, notre Chef seychellois a concocté la rougaille avec toute sa dextérité durant plus d’une heure. On a poursuivi la découverte des produits des Seychelles durant le cocktail de la première soirée. On leur a fait goûter des frites de bananes, de fruit à pain, de manioc et de patate douce. Des canapés avec du poisson marinés au lait de coco arrosés d’un coulis de mangue. Pour le dîner on a ouvert notre menu pour o�rir celui des îles avec un curry d’ourite au lait de coco, du poisson cuit avec des aubergines, une rougaille de saucisses locales. Nous avons travaillé avec notre équipe au complet durant cet évènement. Je dois dire que ce groupe que je dirige a su être à la hauteur à chaque instant. »

Lors du dîner du bivouac à Anse Manon, le Chef Sanjesh a blu�é tous les invités avec ses langoustes grillées au feu de charbon accompagné de la rougaille de saucisse créole et des lentilles. Pour la soirée de gala, le Chef avait gardé le roi des poissons pour la �n avec un sashimi de Bourgeois ainsi qu’un poisson entier rôti au four, sauce au gingembre.

Le service de restauration a roulé à plein régime et même en mode turbo durant l’évènement. Jean-Loup et son équipe étaient au poste depuis très tôt le matin

jusqu’au lendemain matin ! Tout était plani�é, mesuré et organisé. «Il a fallu assurer tous les repas ou autres cocktails et accueils. Nous avions très souvent des équipes sur plusieurs sites à la fois. Comme pour le premier jour, on était à l’Abondance pour le service des clients car nous étions au complet durant ces jours-ci, nous avions une équipe à Mahe Gateway à Roche Caiman pour l’accueil des participants, une autre à l’arrivée sur l’île et encore une autre pour assurer le petit déjeuner du groupe. Pour cette occasion spéciale, nous avons débuté notre préparation depuis une semaine avec les check-lists des tâches et le matériel qui va avec. Mais il fallait aussi prévoir le positionnement de nos di�érents services. Par exemple, on avait placé les tables du petit déjeuner face à la mer au restaurant l’Abondance, on a organisé plusieurs repas à côté ou même sur la plage sous les palmiers. C’est ça aussi l’esprit d’aventure que nous voulions donner à ces

instants. En voyant les visages de nos invités, je me faisais pas de doute qu’ils étaient heureux, parfois surpris par les épreuves mais toujours conscients qu’ils étaient bien entourés et bien traités. Le plus intéressant, c’est que nous avions l’impression de vivre cette aventure comme eux ! »

Un service sans faille

Les saveurs Seychelloises

instants. En voyant les visages de nos invités, je me

Un service sans failleUn service sans faille


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Pendant ce temps…

Quelques minutes après la course de kayak, Denis n’a donné aucun répit aux agents de voyages. Il a immédiatement

battu le rappel de ses troupes pour leur proposer une deuxième épreuve dans la foulée. Ils sont tous sur le petit banc de sable à côté de l’ile Moyenne. Il est bientôt midi et le soleil brille et un vent sou�e sur petit lopin de sable. La fatigue provoquée par le kayak se fait encore sentir et voilà que Denis leur propose une épreuve d’adresse où les bras et les yeux sont très importants.

« Epreuve tir à l’arc » annonce Denis aux concurrents qui voient déjà arriver la cible. Le grand cercle est posé à quelques mètres et commence ainsi une séance qui va tester leur niveau de concentration.

Très vite, c’est la mer qui hérite des �èches tirées par les aventuriers. Le vent s’invite dans l’épreuve et c’est une belle partie de �èches à côté de la cible qui se joue ! Dans ce jeu d’adresse et de contrôle de soi-même, ce lieu en mer ne facilite pas les choses. A quelques mètres en mer, des spectateurs venus de l’hôtel admirent ces jeunes tireurs dans ce cadre magni�que. Au loin, Walter fait tourner son bateau pour avoir une meilleure vue sur la compétition. Norbert Couvreur véri�e

si tout se déroule bien et il n’a aucun souci car les nuages qui menaçaient d’apporter une grosse averse d’été ont �ni par disparaître.

Au �nal c’est encore Laura qui continue à faire son numéro en remportant sa deuxième épreuve malgré des débuts di�ciles. Entretemps, l’Ambassadrice de France Geneviève Iancu et son époux avaient rejoint Rémi et Norbert pour venir encourager les participants. Les photographes demandent une photo du groupe qui et le groupe se dirige ensuite vers l’île Moyenne où Jean-Loup les attendait avec une collation bien méritée.

Plusieurs jours précédant cette épreuve de tir à l’arc, les équipes de Sainte Anne Island étaient déjà sur la brèche dans les ateliers. La cible a été préparée par l’équipe technique de David selon des spéci�cations bien dé�nies. Les travaux d’ajustage, de �nition et de peinture ont duré des jours. Quant aux arcs et les �èches, Rémi Sabarros les avaient achetés à Paris mais l’équipe de l’hôtel a refait la peinture de ces engins. Tôt, en ce matin de mardi, le matériel a été transporté sur site par Charles et son équipe. Tout était en place bien avant que les participants ne débutent cette épreuve.

uelques minutes après la course de kayak, Denis n’a donné aucun répit aux agents de voyages. Il a immédiatement

battu le rappel de ses troupes pour leur proposer une deuxième épreuve dans la foulée. Ils sont tous sur le petit banc de sable à côté de l’ile Moyenne. Il est bientôt midi et le soleil brille et un vent sou�e sur petit lopin de sable. La fatigue provoquée par le kayak se fait encore sentir et voilà que Denis leur propose une épreuve d’adresse où les bras et les yeux sont très importants.

annonce Denis

arriver la cible. Le grand cercle est posé à quelques mètres et commence ainsi une séance qui va tester leur si tout se déroule bien et il n’a aucun

souci car les nuages qui menaçaient d’apporter une grosse averse d’été ont

Les flèches dans la mer LAURA « Super ! Je remporte l’épreuve en individuel et Les Bleus remportent celle par équipe ! On peut pas espérer mieux, n’est-ce pas? Je suis un peu surprise moi-même de ma prestation. C’est la première fois que je pratique ce sport. Au fait, ma première �èche est partie directement dans l’eau mais à force d’insister, j’ai �ni par maîtriser cet engin ! Les bambous et le tir à l’arc, ça fait deux pour moi… »

OLESYA « Pour le tir à l’arc, ce n’était pas évident du tout. Quand on ne l’a jamais pratiqué, c’est compliqué. Il faut tirer sur l’arc, ajuster la �èche, viser. Avec le vent et le soleil, ça ne simpli�e pas la tâche. Tout ça pour vous dire que c’était une épreuve di�cile pour moi. Mais on a bien pro�té des moments si agréables sur ce petit banc de sable. Et que dire de l’organisation sinon qu’elle était parfaite avec toutes les installations faite sur cette petite île et la préparation du pas de tir sur le banc de sable. Parfait ! Et pour moi qui vends les Seychelles tous les jours en France mais qui n’y suis jamais venue, c’était extraordinaire d’e�ectuer ce voyage inaugural pour la Beachcomber Aventure. »


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Le Conseil aux flambeaux

La star de l'aventure

Les Aventuriers ayant terminé les épreuves, ils ont en�lé leurs plus beaux vêtements et ont fait une entrée en fanfare devant les invités

de la soirée. Une entrée au �ambeau avec tout le sérieux digne d’un vrai Conseil que les téléspectateurs voient dans l’émission Koh Lanta. Le dé�lé au �ambeau terminé, chacun a pris place devant Denis qui faisait o�ce de Grand Maître.

Dans ce coin du restaurant Le Robinson, le décor imaginé par la production et réalisé par l’équipe de Sainte Anne Island donnait une atmosphère digne des �lms d’aventure. Les sièges étaient des morceaux de troncs d’arbre. Pour donner encore plus cette sensation de la jungle, une branche de banian agrémentait le décor. Cette énorme branche de plusieurs centaines de kilos a été acheminée par tracteur la veille du Conseil. «Se retrouver dans un décor similaire à celui de Koh Lanta était vraiment impressionnant et très beau et la descente au �ambeau a apporté sa touche théâtrale à la scène,» nous raconte Jérémie.

Commençait alors la séance du Conseil dans une atmosphère solennelle avec les interventions de Denis suivies du vote de chaque aventurier pour désigner un vainqueur.

«J'avoue que nous avons tous été un peu décontenancés quand on nous a demandé de voter pour élire le ou la meilleur/e aventurier/ière car nous n'avons pas passé les épreuves en solo,

mais dans un esprit d'équipe sans compétition et dans le plus grand respect des autres, et l'amusement. Donc élire l'un d'entre nous était compliqué, mais c'est le jeu alors nous l'avons joué jusqu'au bout,» se rappelle Jérémie.

Le vote a bien eu lieu et c’est �nalement Laura qui a été désignée meilleure Aventurière de l’Edition 2015 de la Beachcomber Aventure.

Que ce soit en bois ou en chocolat, le totem a forcé l’admiration de tous lors de cette soirée de gala. Chapeau aux pâtissiers et au sculpteur de Sainte Anne Island qui ont réalisé ces objets d’art à l’hôtel. La grande fête des totems – en bois comme

en chocolat – a clôturé cette soirée de gala avec beaucoup d’émotions. Apres le service du plat principal, les invités et les

Aventuriers furent convies à prendre le dessert au restaurant Le Robinson sur le lieu où Denis avait tenu le Conseil avant le dîner.

Il a d’abord invité l’assistance à suivre un �lm racontant le déroulement de la Beachcomber Aventure depuis l’arrivée des participants jusqu’au Conseil. Elliot, le monteur de service avait abattu un travail énorme pour réaliser ce reportage dans un temps record. Applaudissements des invités, les soupirs des Aventuriers et sourires des organisateurs ont accueilli cette rétrospective �lmée.

C’était ensuite le moment de la cérémonie des totems qui a terminé cette soirée. Tous les Aventuriers ont reçu un totem souvenir des mains des personnalités présentes. Certains savouraient ce moment intensément tellement ils étaient heureux à l’instar de Jérémie. « La plus grand récompense est sans doute d'avoir reçu le totem des Ministres en personne. C’est un symbole fort de notre aventure à Sainte Anne Island. Ces totems trônent aujourd'hui chez nous pour nous rappeler cette merveilleuse aventure. »

A un instant Denis Brogniart a demandé l’attention de tout le monde présent et a annoncé qu’un totem d’amitié a été attribué à Sylvie Prouheze, la plus enthousiaste des a�cionados de la Beachcomber Aventure. Un tonnerre d’applaudissements a salué cette initiative de l’hôtel et Sylvie avait du mal à contenir ses larmes en recevant ce totem d’appréciation et d’amitié.

Et Sophie d’avoir le dernier mot avant de rejoindre tous ses amis qui commençaient à danser sur le sable. «Pour ma part je n’avais jamais regardé Koh Lanta avant de rencontrer Denis Brogniart ici. Il l’a appris et est venu me voir en me disant: alors c’est toi qui n’a jamais regardé Koh Lanta ? Je me suis sentie un peu embêtée mais il plaisantait. Lors de cette soirée je lui ai promis de me rattraper et de regarder toutes les anciennes saisons et bien évidemment la prochaine ! »

La remise des totems en bois terminée, c’était au tour du totem en chocolat de faire son entrée en

guise de dessert ! Un totem qui était la réplique exacte du vrai et qui a été préparé durant des heures par le Chef Pâtissier… et son équipe. Les Ministres Meriton et Alexander ainsi qu’Anne Lafortune et Sherin Naiken ont coupé le gâteau-totem en compagnie de Norbert Couvreur, une façon de célébrer la réussite totale de cette Beachcomber Aventure.

La Remise des Totems

LE BOISDurant plusieurs semaines déjà, Giancarlo était a�airé à sa table de travail installée sous un cocotier à côté de son atelier non loin du Centre de Sport. Ils a passé des dizaines d’heures à réaliser tous les totems distribués lors de la soirée de gala ainsi que le totem géant qui a trôné au Conseil comme lors de la soirée des bandanas. Un travail artistique qui a été reconnu par tous.

LE CHOCOLATQuand INSIGHT est allé rencontrer les pâtissiers à la cuisine la veille de la soirée de gala, la tension était encore palpable. La sculpture des di�érents totems en chocolat était en cours et très souvent le regard se tournait sur le thermomètre pour véri�er la température des lieux de peur que le chocolat soit fondu durant cette opération. Alors que le Chef Ram �nissait le gâteau principal, d’autres travaillaient sur les dizaines plus petits avec une parfaite maîtrise de leur métier.


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À l'heure des discours…

À table…La soirée de gala du mercredi

25 février clôturait la Beachcomber dans les décors somptueux du restaurant

Le Mont Fleuri. Les Ministres, les hauts cadres du gouvernement seychellois, les journalistes de la presse locale, Denis Brogniart, tous les participants de la Beachcomber Aventure, Rémi Sabarros et tous les autres membres des équipes d’organisation et plusieurs clients de l’hôtel étaient les invités de Norbert Couvreur.

Ce soir de gala, le Chef Sanjesh a proposé un menu exclusivement inspiré de la mer et il a surtout mis en vedette «le bourgeois», ce poisson si succulent qui s’accommode à toutes les sauces.

Une soirée où les histoires de la Beachcomber Aventure dominaient les conversations. Les aventuriers étaient dans une

totale décontraction après les trois jours d’épreuves et l’atmosphère était à la célébration. Aurélia l’a bien résumé : «C’était une soirée que j'ai beaucoup appréciée, qui était d'une organisation et d'un service remarquables ! C’était pour nous une occasion de mettre des visages sur des noms, et de

clore cette aventure d'une très belle façon !» Et Karine d’ajouter entre deux bouchées du sashimi : «se retrouver "people" pendant 3 jours c’est un truc de fou: journalistes, photographes, caméraman, ministres, clients de l’hôtel, personnel tous focalisés sur nous ! »

La soirée de gala a été marquée, entre autres, par les discours de plusieurs personnalités. En les accueillant, Norbert Couvreur a exprimé sa �erté pour la

tenue de la première Beachcomber Aventure à Sainte Anne Island. «Nous sommes honorés que notre établissement et les Seychelles aient pu pro�ter des talents et du professionnalisme d’une vedette comme Denis Brogniart pour animer cet évènement historique», a-t-il déclaré. Il a remercié les autorités seychelloises et en particulier le Ministre du Tourisme et de la Culture pour la con�ance dans un tel projet. «Au départ même, Alain St Ange avait montré un vif intérêt pour la Beachcomber Aventure. Je l’en remercie. Il y va de même pour le Seychelles Tourism Board et sa Directrice Sherin Naiken.»

Abordant les épreuves elles-mêmes, Norbert Couvreur a félicité les participants pour avoir tout d’abord réussi les meilleurs résultats pour le Challenge des Ventes lancé l’année dernière et ensuite pour leur magni�que prestation lors des épreuves. Dans la foulée, il a salué l’énorme travail abattu par l’équipe de Sainte Anne Island ainsi que celui des partenaires de l’hôtel.

Rémi Sabarros a ensuite succédé Norbert Couvreur au micro pour faire l’historique de ce projet ambitieux. Il a raconté en détails comment cette réalisation est le fruit d’une préparation minutieuse et d’une coordination parfaite entre toutes les équipes en France et aux Seychelles.

Quant à Sherin Naiken, elle a exprimé ses remerciements aux agents de voyages présents

de leur support dans la vente de la destination Seychelles et a salué l’initiative du Groupe Beachcomber et de Sainte Anne Island pour l’organisation d’un tel évènement aux Seychelles.

En s'adressant aux invités, Denis Brogniart a dit toute son appréciation envers la direction de l’hôtel, envers le groupe Beachcomber et envers les autorités seychelloises. Il n’a pas manqué de souligner tout le plaisir qu’il avait eu de côtoyer tous les participants de cette première Beachcomber Aventure et l’a quali�ée de totale réussite.

La Remise des Totems


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Comme une partie de cache-cachePour cette «opération langouste», le travail avait débuté au petit matin quand Charles a organisé le transfert des casiers de l’hôtel vers les bateaux pour être envoyés sur l’ile Moyenne. Spectacle insolite que de voir ces casiers sur les voiturettes et heureusement que les règlements de la sécurité routière ne sont pas très stricts sur l'île!

Après le transfert sur l'île voisine, c’est le courageux Charles qui est entré en action dans l’eau. «Avec l’aide de Govind et de Denis, on a placé quatre langoustes dans chacun des trois casiers à une distance de cent mètres de la plage de l’ile Moyenne.

Nous avions à trouver un site approprié pour ajouter à l’intérêt de l’épreuve. Ce n’était pas aussi évident que cela car le courant nous a joué un sale tour ce jour-là. Résultat: on a dû aller plonger à nouveau et replacer les bouées. »

Mais le travail achevé, toute la satisfaction se lisait sur le visage de Govind après l’épreuve. «Nous avons travaillé depuis six heures ce matin pour cette épreuve de langoustes et c’était un bonheur que de voir les Aventuriers s’amuser comme des gosses pour aller trouver les casiers. On était très heureux comme dans une partie de cache-cache…»

Le dé� que Denis lançait aux Aventuriers en ce mardi après-midi était sans équivoque : «si vous voulez dîner ce soir, faudra aller chercher de quoi manger

au fond de la mer. Le dîner se trouve dans les casiers quelque part dans l’eau. Allez-y!»

Dès ce signal de départ, ils se sont tous jetés à l’eau nageant vers les bouées-repères. Masque et tuba sur le visage, gants à la main, ils ont plongé en apnée pour aller récupérer leurs repas que Govind et Charles avaient dissimulait au fond de l’océan.

Les plus téméraires avaient vite rejoint les sites alors que les autres plus délicats avec la natation, traînaient derrière. Et à ce petit jeu de cache-cache, c’est Jérémie qui a sorti la première langouste de la mer content comme tout d’avoir au moins assuré son et �er pour son équipe des Bleus!

Apres le coup de la langouste, Denis Brogniart réservait les plus belles découvertes culinaires aux Aventuriers sur la plage d’Anse aux Tortues. Il avait

trouvé le complice idéal pour cette opération de charme en la personne du Chef Exécutif Sanjesh.

Les deux compères allait faire déguster – le verbe était trompeur – deux animaux comestibles aux Seychelles mais qu’en tant qu’européens, les agents de voyages avaient très rarement ou jamais vu ces créatures au menu!

Le scenario était bien en place : Les courageux Aventuriers avancent vers une table faite de bambous, Denis apparaît et à côté de lui surgit le Chef Sanjesh. Les cameramen et les photographes ainsi que les spectateurs avec parmi, l’Ambassadeur de France Geneviève Iancu et son époux, sont en attente.

Denis prend un bocal et leur présente un poisson vivant dont l’aspect fait frémir plus d’un parmi les Aventuriers. C’est le spectacle insolite d’une murène des Seychelles autrement connu comme le «kong» ou «concombre de mer» qui donne froid à certains. Denis en rajoute et de fort belle manière dans cette atmosphère de scepticisme. Il leur demande d’avancer vers un palmier situé non loin de la table et là un cri quasi général de frayeur se fait entendre à la vue de cette pauvre chauve-souris accrochée aux branches! Quelques-uns ont fermé les yeux pour ne point admirer l’animal.

L’inévitable survient alors : «Vous allez devoir en manger!» lance Denis tout en leur apportant les casseroles remplies de ces animaux préparés préalablement par le Chef et son équipe.

Il n’y a eu plus de peur que de mal. En �n de compte tous ont déclaré que c’était assez

succulent dans l’assiette, comme quoi il est souvent déconseillé de regarder l’animal avant de le manger…

KARINE Très sympa cette idée d’aller taquiner la langouste avant de la déguster le soir dans cette ambiance «seule au monde» - C’est Koh Lantha version «luxe». Dommage que la marée était basse, cela ne nous a pas permis de faire une petite séance d’apnée. On reviendra surement une prochaine fois et là on n’aura plus à chercher notre dîner au fond de l’eau !

Les repas au fond de l’océan

Le plat de résistance

EN COULISSES L’a�aire de la chauve-souris et du « kong » a été une opération délicate à monter pour les hommes et les femmes en coulisses. Déjà Jean-Loup a dû aller plonger lui-même dans une autre région que Sainte Anne pour capturer un de ces « kongs » et comme c’est un poisson assez dangereux de par ses dents assez tranchantes, l’acheminement vers l’hôtel était compliqué.Quant à la chauve-souris, la di�culté était de trouver une avec sa peau pour donner une image vivante aux Aventuriers. Le Chef Sanjesh et ses plus proches collaborateurs ne se sont jamais découragés et c’est à la dernière minute qu’ils ont pu en�n trouver une bête.

Il n’y a eu plus de peur que de mal. En �n de

Le scenario était bien en place : Les courageux Aventuriers avancent vers une table faite de bambous, Denis apparaît et à côté de lui surgit le Chef Sanjesh. Les cameramen et les photographes ainsi que les spectateurs avec parmi, l’Ambassadeur de France Geneviève Iancu et son époux, sont en attente.

Denis prend un bocal et leur présente un poisson vivant dont l’aspect fait frémir plus d’un parmi les Aventuriers. C’est le spectacle insolite d’une murène des Seychelles autrement

ou qui donne

froid à certains. Denis en rajoute

atmosphère de scepticisme. Il leur demande d’avancer vers un palmier situé non loin de la table et là un cri quasi général de frayeur se fait L’inévitable survient alors : «Vous allez devoir

Il n’y a eu plus de peur que de mal. En �n de compte tous ont déclaré que c’était assez Il n’y a eu plus de peur que de mal. En �n de


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Belle assistance…Belle assistance pour ces deux dernières épreuves de la Beachcomber Aventure sur la plage. Personnalités du gouvernement, journalistes, clients de l’hôtel ainsi que des employés étaient venus encourager les Aventuriers. Le Ministre Alain St Ange avait tenu à marquer cet après-midi de sa présence, Les Ministres Vincent Meriton et Idith Alexander n’avaient pas peur de braver le sable et le vent pour montrer leur intérêt dans cette opération. La Secrétaire Principale

du Ministère du Tourisme, Anne Lafortune et la Directrice de l’O�ce du Tourisme (STB), Sherin Naiken étaient elles aussi venues apporter leur soutien à ces jeunes agents de voyages qui œuvrent tant pour vendre la destination Seychelles en France. Alain de Commarmond, le Secrétaire Principal au Ministère de l’Environnement et Peter Montcherry, Directeur Général de l’Académie du Tourisme des Seychelles complétaient le groupe de personnalités.

Voilà une épreuve qui a dû rappeler vaguement à nos aventuriers ce fameux jeu d’enfant de colin-maillard. Sauf que dans le format que Denis a proposé à

nos amis comportait quelques petites di�cultés pour l’exercice.

Les équipes en binômes se composaient en un «aveugle» et un «guide». L’épreuve consistait à aller dénicher un totem qui était caché à une centaine de mètres sur un parcours tracé au bord de la mer non loin du restaurant Le Robinson. Un parcours sur le sable mais également sur l’herbe avec des courbes aux détours des cocotiers que David et Guillaume du service technique avaient balisés un peu plus tôt.

Départ bruyant devant toutes les personnalités présentes ainsi que de nombreux clients et employés. Les «guides» avaient le droit de toucher leur partenaire «aveugle» mais pas

pour la dernière partie du tracé quand ils ont dû guider leurs partenaires que de la voix et à distance. Ambiance de cour de récréation avec une première partie où on voyait les «guides» carrément tirer leurs amis en toute vitesse. Arrivés à une barrière ils les laissaient partir dans la nature avec la voix comme seule boussole. Inutile de dire que chacun partait de son côté, tournait en rond, murmurait quelques paroles de dépit. A ce petit jeu des yeux bandés, Isabelle a été la plus e�cace en trouvant et en ramenant le premier totem à Laura de l’équipe des Bleus. Impressions d’Isabelle, sans le bandeau sur les yeux! «Très intéressant. E�rayant au début parce que je ne pouvais rien voir mais grâce à l’aide de Laura j’ai pu me retrouver dans cette obscurité. Elle a été une très bonne guide. Sans perdre une minute je me suis dirigée tout droit vers le totem que je devais récupérer. C’est là que Denis Brogniart me lance: mais tu avais un GPS sous ton bandeau, quoi ! Au fait c’est Laura qui était mon GPS!»

Comme il se doit c’est sur cette mer tant réputée des Seychelles que les épreuves de la Beachcomber Aventure allaient prendre �n. Mais pas avec une simple

baignade ou une partie de plaisir ! C’était au contraire un exercice d’équilibriste qui était proposé aux Aventuriers. Le jeu était simple mais sa réalisation était délicate. Il fallait pouvoir rester sur un poteau de quelques centimètres seulement de diamètre enfoncé en mer à des dizaines de mètres de la plage.

Pas de possibilité de période d’échau�ement, il fallait se jeter à l’eau et grimper sur ces poteaux plantés comme des obstacles insurmontables. La lumière sur cette mer au coucher du soleil donnait l'impression insolite d'une image antique. C’était presque des images des personnages historiques avançant vers leur supplice ! C’était un réel supplice pour beaucoup de nos courageux agents de voyages qui ont plutôt l’habitude de

poser leurs mains sur un clavier d’ordinateurs que d’aller poser les pieds sur un poteau en mer !

Avant le top départ de Denis, Govind, Charles et quelques volontaires se jetaient à l’eau pour aller aider les Aventuriers à grimper sur ces fameux poteaux. Une fois installés dessus, c’est alors que Denis s’est avancé vers eux pour leur compliquer la tâche. Comme tout le monde semblaient avoir maîtrisé la technique de la pose tranquille sur les poteaux, commençaient alors l’hécatombe dans l’eau quand Denis leur a imposé des �gures à exécuter: «on lève les bras, on tourne sur soi-même, on lève le pied gauche…». Les chutes dans l’eau s’accompagnaient des applaudissements des spectateurs sur la plage. Et �nalement, Jérémie a été le dernier à se maintenir tout droit, non pas dans ses bottes, mais sur son poteau.

SOPHIE « Bien évidemment les poteaux c’est l’épreuve mythique de Koh Lanta et on sait que c’est la dernière. Pour ma part j’étais très à l’aise sur les poteaux, j’ai des petits pieds et du coup j’avais une bonne stabilité. Il fallait garder son calme et ne pas se laisser déconcentrée. Dans ces instants, j’ai beaucoup pensé à mon petit garçon Nolan. C’était fort parce qu’avec beaucoup de personnes sur la plage à nous regarder et de nous soutenir, on sentait qu’on avait de l’importance. C’est sûrement l’épreuve que j’ai le plus appréciée. »

JÉRÉMIE « Ce fut un e�ort dur et considérable pour moi car

je ne suis absolument pas sportif et pour la

première fois j'ai réussi lors de cette épreuve après ces deux jours. C’était tout de même éreintant à trouver la force

nécessaire en moi pour réussir mais je devais

gagner. C'est là que j'ai découvert le dépassement de soi pour son équipe et pour mes proches aussi, montrer que dans certaines situations on peut aller au-delà de ce qu'on pense être capable de faire. Je le dois à l'entourage qui était présent, mon équipe, nos valeureux adversaires et amis et bien entendu tout le personnel. J'ai trouvé cette force dans ces éléments et ce cadre magni�que qui nous entouraient. Laisser couler les émotions sur soi comme l'eau a�n de se dépasser et arriver à quelque chose de magni�que et dont je me souviendrai toujours. Magni�que ! »

Les yeux bandés, les pieds dans le sable

Haut perchés sur l’océan

poser leurs mains sur un clavier d’ordinateurs que d’aller poser les

Avant le top départ de Denis, Govind, Charles et quelques volontaires se jetaient à l’eau pour aller aider les Aventuriers à grimper

Haut perchés Haut perchés Haut perchés JÉRÉMIE JÉRÉMIE JÉRÉMIE « Ce fut un e�ort dur et « Ce fut un e�ort dur et considérable pour moi car considérable pour moi car

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Le dîner sur la plage L’animation surprise

L’Opération «Anse Manon»Elle avait réellement débuté depuis trois jours avec le transfert du matériel lourd vers le site. Pas moins d’une douzaine de convois par bateau ont été nécessaires pour acheminer tables, couverts, appareils de cuisson, groupes électrogènes, ustensiles et d’autres outils. Govind nous a expliqué comment l’équipe de Sainte Anne Island a préparé cette évasion : «Il ne faut pas oublier que l’hôtel était rempli pour toute la durée de la Beachcomber Aventure. Il fallait assurer le service clientèle habituel et mettre en place cette opération avec la plus grande minutie. Apres l’acheminement du gros matériel trois jours avant, Le Chef Sanjesh, Charles, Jean-Loup et moi-même sommes partis à Anse Manon la veille pour s’assurer que tout le matériel était sur site. Le jour du bivouac, on était une équipe d’au moins une vingtaine à nous rendre à Anse Manon pour préparer la soirée et la nuit. Le service de restauration a fait la mise en place pour le diner, les amis de la cuisine

s’occupaient du dîner, et mon équipe mettait tout en place pour la nuit. Même si c’était en plein air, on voulait donner aux Aventuriers un certain confort. Nous avons placé des serviettes enroulées pour servir comme oreiller sur les hamacs ainsi qu’une couverture. Bref, c’était un travail d’équipe hors-pair »

Pour André, le travail de nettoyage du site a également requis des jours de travail et il se dit très heureux d’avoir pu accomplir cette tâche à temps: «Le nettoyage et la préparation du lieu du bivouac et du dîner à Anse

Manon ont constitué une tâche majeure pour mon équipe. Cet endroit n’avait jamais été nettoyé et nous avons dû enlever toutes les lianes et les buissons à terre. Nous avons fait très attention à ne rien couper comme arbres et nous nous avons seulement nettoyé le sol. La distance de l’hôtel, les difficultés d’accès et le soleil ont rendu ce travail assez dûr, mais en le faisant nous avions tous un sourire aux lèvres car nous savions que les participants n’étaient pas courant qu’ils allaient y passer la nuit à la belle étoile sur ces lieux après une soirée bien animée ! »

Après un apéritif très mérité, le feu de charbon a commercé à griller les langoustes qui étaient repêchées des casiers à la mi-journée près de l’île

Moyenne. Le Chef Sanjesh était à la manœuvre sur l’appareil barbecue alors que Jean Loup servait les apéritifs. Darryl s’était recyclé en Chef Barman avec Nichol et Gelage comme superviseurs alors que Govind s’occupait des invités. D’un autre côté Charles discutait avec Walter alors que David étaient trop occupé avec le groupe électrogène. Et Norbert Couvreur, d’un œil expert, admirait son équipe au travail.

L’apéritif est surtout l’occasion pour les Aventuriers de se raconter leur journée d’épreuves et de se détendre. Le dîner servi, toute l’équipe apprécia le menu proposé par le Chef avec les fameuses langoustes et des petits poissons grillés. Aurélia en était admirative : «la restauration était d'une très bonne qualité et parfois avec des moyens très di�ciles durant cette soirée sur la plage déserte ! Il n'y avait rien à la base et ils ont réussi à faire un repas, une soirée, une ambiance des plus grandioses ! On ne voit ça que dans les �lms ! »

Le dîner à peine entamé, voilà que les convives étaient grati�és d’un spectacle « live » version Walter et sa troupe improvisée. Le Capitaine en�le sa guitare autour du cou et débutait son

show. Walter est connu pour ses talents de musiciens et sa passion pour la guitare est connue dans tout Mahé. Un vrai passionné de cet instrument, il en collectionne plusieurs dans ses bureaux.

Ce soir-là, Walter était déchainé et en�la des balades « country » pour commencer mais le rythme des îles l’attirait très vite. David délaissa ses outils et entrait dans le spectacle en saisissant une autre guitare, un autre enleva le couvercle d’une glacière en guise de la fameuse « Ravanne » et les vibrations des îles envahirent tous les Aventuriers. Les uns après les autres commencèrent à bouger et à danser sur ce rythme que seuls les enfants des îles savent o�rir.

Très vite, la danse devint plus intense et animée sur le sable avec un déhanchement digne des meilleurs danseurs et danseuses du « moutya » ou du « séga ».

La surprise si agréable était totale et si bien appréciée !

Evasion à Anse Manon !S’il fallait raconter la vie à Anse

Manon en ce mardi 24 février, des pages ne su�ront pas, tellement ces moments passés dès

l’après-midi jusqu’à lendemain matin étaient intenses, riches en surprises et anecdotes. Ce sont de tels moments qui deviennent cultes dans un évènement comme la Beachcomber Aventure parce que tous ceux ou celles présentes vont sûrement en parler pour longtemps encore.

Donc pour raconter ces péripéties, il faut tout d’abord les placer dans le contexte de cette aventure, dans sa série d’épreuve, Denis avait imaginé de pousser la surprise au maximum. Il allait demander aux Aventuriers de faire une marche dans les hauteurs de Sainte Anne jusqu’à Anse Manon en un bel après-midi. Tout à fait classique !

Mais là où l’histoire a pris son épaisseur, c’est que Denis leur avait réservé des surprise avec la complicité amusée de l’équipe de l’hôtel. Les Aventuriers ont d’abord entamé les pistes à travers montages et glacis avant d’atteindre Anse Manon sur la côte est de l’île. Et première grosse surprise: des tables digne d’un restaurant de l’hôtel était installées à même le sable avec le couvert rigoureusement place comme pour un diner de gala ! Spectacle qui forçait l’admiration des Aventuriers. Ils n’étaient pas au bout des surprises…

L’animation surpriseLe dîner à peine entamé, voilà que les convives

étaient grati�és d’un spectacle « live » version Walter et sa troupe improvisée. Le Capitaine en�le sa guitare autour du cou et débutait son

show. Walter est connu pour ses talents de musiciens


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EDITION SPÉCIALE

La nuit à la belle étoile

L’animation surprise

C’est une nuit qu’ils ne sont prêts d’oublier compte tenu de la surprise qui l’a entourée et des conditions qui l’ont

marquée. C’est après le dîner que Denis commence à faire monter la pression en inventant une histoire de bateau qui ne peut accoster à Anse Manon pour cause de courant et qu’il fallait faire une petite marche sur la plage pour rattraper le bateau un plus loin. Le convoi se met en route avec les pas un peu lourds après le dîner copieux et la danse dans le sable.

Après quelques dizaines de mètres, Denis révèle à tout le groupe qu’en réalité ils allaient dormir à la belle étoile dans une petite clairière qu’André et ses hommes avaient aménagée pour eux. Les Aventuriers retrouvent vite leurs esprits et réalisent qu’ils vont bien devoir y passer la nuit, du moins ce qu’il en restait. C’est la ruée vers les hamacs soigneusement attachés aux palmiers et la bonne humeur est montée d’un cran avec ces instants dignes de la vie d’un boy scout.

Les petites plaisanteries ont fusé de tout part mais déjà certains ont commencé à dormir pour compenser tous les e�orts de la journée et de la soirée. Quelques-unes qui n’arrivaient pas à trouver sommeil ont rejoint tous les autres membres de l’équipe sur la plage où ils étaient installés pour se reposer. Le petit matin a rattrapé tout le monde en les réveillant avec une petite averse comme pour compenser la douche !

Noémie a trouvé les paroles très justes en guise de chanson pour résumer sa nuit à Anse Manon :

« C'est aux Seychelles qu'la vie est belle lala lala

C'est aux Seychelles qu'y a du soleil lala lala

Si t'es pas bien, si t'es chagrin lala lala

Viens aux Seychelles y'a plein de copains lala lala »

Le jeudi matin, à peine remis de leur bivouac mémorable et après un petit déjeuner que Charles leur avait préparé sur la

plage, les Aventuriers étaient déjà en ordre de marche vers les hauteurs de Sainte Anne.

Cette île regorge de sites magni�ques entre criques perdues, collines et

vallées riches de trésors exotiques. Riche aussi de ses vestiges historiques datant du début du siècle dernier quand Sainte Anne représentait une position stratégique pour le pays contre toutes attaques ou invasions.

C’est dans cette perspective écologique et historique que Govind, Koogen et Charles ont dirigé le groupe tout en leur faisant découvrir ces vues magni�ques et ces témoins d’une histoire intéressante à plus d’un titre.

Là les oiseaux les accueillaient, là-bas, les chauves-souris perchées sur les arbres s’envolaient et encore plus loin, ils apercevaient des banians géants. Les efforts du matin se faisaient ressentir après la folle soirée du bivouac et la nuit à la belle Etoile. Mais pour leur faciliter la tâche, des cordes bordaient les sites les plus en pente et ils ont �nalement atteint les fameux canons de Sainte Anne.

C’est ce moment que choisit Denis pour demander de déchiffrer son

énigme : « Je mets mes dents entre tes dents, que suis-je ? » Il faut dire qu’à cet instant de la matinée, les esprits n’avaient pas encore tout à fait repris et que les jambes soufraient un peu, donc pas les conditions idéales à ré�échir sous un grand arbre perdu dans la forêt de Sainte Anne. C’est l’équipe des Rouges qui a �nalement donné la bonne réponse, le nom un ustensile utilisé le matin même au petit déjeuner: la fourchette !

Evasion à Anse Manon !

Lplage, les Aventuriers étaient déjà en ordre de marche vers les hauteurs de Sainte Anne.

Cette île regorge de sites magni�ques entre criques perdues, collines et

vallées riches de trésors exotiques. Riche aussi de ses vestiges historiques datant du début du siècle dernier quand Sainte Anne représentait une position stratégique pour le pays contre toutes attaques ou invasions.

L’énigme : une histoire de fourchette


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EDITION SPÉCIALE

C’est une histoire faite de surprises et surtout d’une profonde amitié qui s’est déroulée dans les coulisses

de la Beachcomber Aventure. Elle se raconte en quelques mots : David et Christelle font une surprise à leurs voisins et amis Alain et Michèle Ledoux en les précèdent à Sainte Anne Island. «On avait déjà réservé pour venir ici et bien entendu on fait part de ce voyage à nos amis,» nous dit Michèle. «Nos amis ne nous ont rien dit et ils réservent eux aussi pour Sainte Anne Island. Que voyons-nous sur le ponton de l’hôtel en arrivant sur le bateau ? David et Christelle qui nous attendent ! On a failli tomber à l’eau ! Christelle a menti a tout le monde (rires) en inventant une histoire de vacances en République Dominicaine… Bref c’est la preuve de cette belle amitié s’il en fallait une.»

«Au départ nous avions décidés d'aller à Sainte Anne Island car nous voulions revenir aux Seychelles et aller dans un hôtel Beachcomber,» nous raconte Christelle. «Quand nous avons regardé sur le site internet, on a eu coup de cœur pour l'hôtel. Et sans le savoir, nous consultions le même que Michèle et Alain ! Après un contretemps nous avons décidé de ne pas partir, par contre nos voisins ont réservé. Finalement, un mois avant leur départ, nous avons décidé de leur faire une surprise et donc de venir à Ste Anne.»

Deuxième surprise : nos strasbourgeois tombent sur la Beachcomber Aventure avec Denis Brogniart. Dès leurs

arrivée, Alain, Michèle et leur petite fille Marie sont immédiatement briefé par Christelle: «Tu sais pas ma chère ! Denis Brogniart est dans l’hôtel !» Michèle et Alain n’en reviennent pas. «C’était inespéré. Rencontrer une telle vedette comme Denis et surtout pouvoir suivre la Beachcomber Aventure avec son ambiance formidable et son organisation parfaite, c’était un vrai bonus de vacances.»

Entre deux séances de bronzage sur le transat face à la mer, nos amis de Strasbourg s’organisaient pour suivre les épreuves et c’est surtout les rencontres qui leur ont fait plaisir nous dit David. «Depuis notre retour

en France, nous revivons ces moments merveilleux passés sur cette île, avec ces belles rencontres. Nous en parlons avec Alain et Michèle dès que nous nous voyons (très souvent) et regardons les photos. Nous reviendrons vite, on espère.»

Michèle, Alain, Marie, Christelle et David les fameux voisins du Four Banal à Strasbourg nous ont même réservé une belle �n de cette histoire en nous présentant un nouveau couple de voisins qui venaient d’arriver à l’hôtel. Sébastien et Marie-Pierre n’avaient pas voulu rater cette réunion de famille à Sainte Anne Island ! La bande de Strasbourg était au complet.

Sylvie Prouheze n’a rien raté de la Beachcomber Aventure. Elle était sur toutes les épreuves sur terre comme sur mer. Elle

a bien mérité son titre de «meilleure supportrice» lors de la remise des totems à la soirée de gala. Toujours accompagnée de Robert son époux, Sylvie portait un intérêt particulier aux participants et surtout à Denis Brogniart qu’elle ne connaissait qu’à travers la télévision bien sûr. «On connait bien Koh Lanta et j’ai blu�é mes enfants en leur envoyant des photos avec la vedette de cette émission ! Je crois que c’est tout à fait normal de venir encourager ces ‘grands enfants’ dans leurs e�orts. Robert et moi avions le devoir de participer à cet évènement à notre façon.»

C’est à travers une petite a�chette destinée aux clients que Sylvie et Robert apprennent que la Beachcomber

Aventure allait se tenir durant leur séjour. Sylvie est toujours très surprise. «C’est un petit miracle je dirai, C’était la cerise sur le gâteau ! Côtoyer Denis, les ministres et les hauts o�ciels qui sont si humbles, si accessibles, découvrir toute l’équipe de Sainte Anne Island, c’était un réel bonheur pour nous.»

C’est tout à fait par hasard que ce couple français était présent durant ces jours-ci. «On voulait une destination un peu soleil. On a surfé sur internet et comme on n’est jamais venu dans l’Océan Indien, on a voulu découvrir cette région. Donc les Seychelles et Sainte Anne Island ! Nous n’avons pas été déçus une seconde, il y a une telle générosité ici, dans la nature, dans la mer et chez tous les employés de l’hôtel. Tout ça grati�é d’un temps magni�que avec le soleil des tropiques. C’est des vacances qu’on n’est pas prêts d’oublier ! »

L’Afficionado

La bande de Strasbourg

ALAIN ST ANGE «Ces jeux d’aventure sont le résultat d'une étroite collaboration entre le ministère, l’O�ce du Tourisme (STB) et le groupe Beachcomber. Notre objectif était de mettre les Seychelles dans l’esprit des agents de voyages pour qu’ils puissent vendre les Seychelles avant toute autre destination. Nous avons o�ciellement lancé cette campagne au Top Resa à Paris l’année dernière. Je suis heureux du résultat obtenu et même Denis Brogniart est enchanté par le parcours réalisé. Maintenant ces agents en France deviendront nos ambassadeurs. Faire avancer le tourisme pour nous est une a�aire très sérieuse et c’est pour cela que nous avons eu une importante délégation présente pour la �n de cette Beachcomber Aventure. Le Ministère du Tourisme et le Ministère des Sports ont comme un objectif commun dans ce sens: exploiter toutes les niches possibles pour que les touristes viennent aux Seychelles.»

VINCENT MERITON « La Beachcomber Aventure représente dé�nitivement une nouvelle piste à développer. Nous avons toutes les facilités sportives et les conditions naturelles aux Seychelles et nous pouvons accueillir ce même type d’aventures sportives dans le cadre de tels évènements. Avec le succès de l’Eco-Friendly Marathon, nous comptons aussi vendre les Seychelles comme un pays où aventure rime avec plaisir», a-t-il souligné. »

SHERIN NAIKEN « Cet évènement démontre l’étroite collaboration entre le groupe Beachcomber et le STB durant toute l’année. C’est toujours un plaisir de travailler avec les partenaires qui ont pour but de promouvoir et vendre les Seychelles comme une destination paradisiaque. Nous espérons que les agents de voyage ont eu plus d’outils de promotion pour leur vente. En tout cas je salue cette initiative fantastique du Directeur Général de Sainte Anne Island. »

La bande de StrasbourgLa bande de StrasbourgLa bande de StrasbourgLa bande de Strasbourg

Cet ancien joueur de rugby professionnel du Racing Club de France est aujourd’hui, de par son métier, un �n connaisseur de la destination Seychelles et de l’Océan Indien, entre autres. Entre deux épreuves de la Beachcomber Aventure, il nous a livré quelques brèves impressions.

SON PARCOURS

« Apres une riche carrière comme rugbyman, j’ai fait le saut dans le monde du tourisme et du voyage. J’ai trois agences sous franchise Thomas Cook. On est dans l’Ouest de Paris avec une clientèle assez aisée qui demande du soleil en hiver. Je dois dire qu’on en fait de beaux dossiers ! Cela fait une quinzaine d’année que je suis dans ce métier et je m’y plait de jour en jour. »

L’OCÉAN INDIEN

« C’est des destinations qui se vendent bien en hiver chez nous et un peu mieux en été maintenant. Il y a des clients qui préfèrent cette période de l’année avec un climat où il n’y a pas trop de chaleur et un temps sec. Et puis les vols sont moins chers en cette période. Remarquez qu’avec l’arrivée des grosses compagnies comme Emirates et Etihad, on a plus de sièges au départ de Paris, de Nice et de Lyons. »

L’ILE MAURICE ET LES SEYCHELLES

« Gros avantages pour ces destinations par rapport aux autres régions du monde. Il y a d’abord le décalage horaire qui n’est pas si important et c’est parfait pour les familles avec des enfants. Puis on a des vols de nuits qui sont plus pratiques et qui fait perdre moins de temps de vacances et aussi les prestations hôtelières sans oublier le côté francophone de ces destinations.»

Norbert Sarde L’Océan Indien a plusieurs atouts


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EDITION SPÉCIALE

Il était partout sur la Beachcomber Aventure avec ses confrères Alain Issock, Elliot Belli et Vincent Glatre.

Avec sa caméra, Arthur Boisnard n’a raté aucune séquence et ses images projetées lors de la soirée de gala démontraient tout son talent. Il est aussi réalisateur pour la télévision et il fait maintenant partie de l’équipe de Denis Brognairt. « Ça fait deux ans que je suis dans l’équipe de Koh Lanta et déjà travaillé sur la dernière émission réalisée en Malaise. J’ai connu Denis sur l’émission Auto Moto de TFI et je fais toutes les présentations en plateau depuis la saison dernière.»

Pour ce baroudeur, travailler sur une émission comme Koh Lanta apporte une autre dimension. «Oui, c’est très particulier avec un matériel très lourd et en compagnie de plus de 10 personnes. Il y a tout le travail de montage et de démontage des installations pour les jeux et les régies. C’est énorme. »

C’est justement lors d’un tournage que Denis Brogniart a demandé à Arthur de faire partie de son équipe pour la Beachcomber Aventure. «Je me plais bien. Les participants et tout le personnel de l’hôtel sont tous très sympas. Il y a une vraie ambiance. Et pour mon métier c’est super que se retrouver dans un tel cadre, les lumières, le sable blanc, les cocotiers.»

Philippe Bourget du Quotidien du Tourisme avait fait le déplacement pour la couverture de la Beachcomber Aventure : «E�ectivement, je travaille pour Le Quotidien du Tourisme, le journal

très connu des professionnels du tourisme en France et même à travers le monde. Je vais faire une double page en racontant le quotidien des agents de voyages qui participent à cet évènement. Ce sera un peu une mise en scène de cette opération. Apres je vais faire un article sur l’hôtel et je vais surement écrire sur la destination.

Je pense que ce genre de manifestation comme La Beachcomber Aventure ne peut que conforter l’image haut de gamme que la destination Seychelles a en France.

J’estime que venir participer à la Beachcomber Aventure est très valorisant pour les agents de voyages. Vous savez, Koh Lanta est très populaire en France parmi une certaine tranche d’âge et le fait d’être avec Denis Brogniart sur un tel évènement doit leur faire

énormément plaisir, eux qui ont si bien vendu des séjours à Sainte Anne Island.

Je fais aussi un papier pour le Quotidien du Médecin. Vous savez, les médecins ils voyagent beaucoup et tous les jeudis il y a une rubrique sur le tourisme. Dons attendez-vous à voir débarquer beaucoup de médecins à Sainte Anne Island prochainement !»

JÉRÉMIEUn grand merci à tous les journalistes et les équipes de tournage pour nous avoir permis de vivre cela comme si nous étions des stars. Je ne m'en rends pas encore compte aujourd'hui, mais voir et recevoir par mail des articles de presse où nous sommes à l'honneur est vraiment touchant.

KARINE Se retrouver «people» pendant 3 jours c’est un truc de fou: journalistes, photographes, caméraman, ministres, clients de l’hôtel, personnels

Caméra au point

Dans la presse française

La population seychelloise a été bien tenue au courant de la Beachcomber Aventure. La presse écrite locale a largement couvert l’évènement durant plusieurs jours en plaçant cette opération dans ses vraies perspectives touristiques. Déjà avant même le début, les journaux en faisaient état sur les préparatifs à l’hôtel. Today titrait : «Le Grand Show à Sainte Anne». Les reportages ont suivi pour raconter le déroulement et la fin de la Beachcomber Aventure. Nation mentionnait le fait que «Beachcomber Aventure 2015 s’est terminée en apothéose» et Today avait choisi «Sea, Sun, Sand and Aventure !»

Thursday 5 March, 2015 p10

Will Beachcomber Aventure, Sainte Anne Resort’s very

own version of Survivor and Koh Lanta achieve what its or-ganisers set out to do, namely increase Seychelles’ visibility in the French market? Only time will tell but this didn’t stop the tourism authorities in Sey-chelles, as well as the manage-

ment of Sainte Anne Resort, from expressing their satisfac-tion with what they believe was a very successful gambit.

Last week, Beachcomber Group (a Mauritian hotel group that owns the Sainte Anne Re-sort) organised Beachcomber Aventure, a challenge based on Koh Lanta, a French real-ity television series, on Sainte

Anne Island. The challenge re-grouped 12 of the best French sales representatives from the following travel agencies in France: Eureka, Kuoni, Jet Tours, OIT Hotels, Havas Lori-ent, Celtea Voyages, Gérard Pons Voyages, Havas Voyages, Norest Voyages and Thomas Cook. They were selected to take part in Beachcomber

Aventure on the grounds that they sold the most trips to Sey-chelles in general and Sainte Anne Resort in particular.

The idea of the sales chal-lenge, Norbert Couvreur, the general manager (GM) of Sainte Anne, explains, came af-ter a strategic meeting held at Constance Ephelia in Septem-ber last year between the min-istry of Tourism, the Seychelles Tourism Board and a group of top French tour operators in a bid to counteract the arrivals deficit from the French mar-ket. The challenge started last Monday and came to a close last Wednesday after three days of intense physical activi-ties. A gala ceremony was held

at Sainte Anne Resort with the participants and the famous presenter of Koh Lanta, De-nis Brogniart, who agreed to host the adventure which was filmed in its entirety.

Different challenges, such as the bamboo game in which participants had to balance heavy bamboo rods on their heads and hold them there for as long as possible and the kayak challenge where they were given kayaks and told to paddle to a nearby sandbank as quickly as possible, were ex-pertly organised.

For the last challenge, which took place on the afternoon of Wednesday 25 February, the participants had to stand on wooden poles that had been se-curely fitted in the sand. This physical endurance challenge required that each participant balanced on their perches in the sea for as long as possi-ble. Additional rules were an-nounced as the game unfolded, such as participants having to raise a leg or putting their hands above their heads, etc.

The 12 participants man-aged to heroically stay put for at least 46 minutes and then one by one, began to topple into water. Because Beach-comber Aventure was played out in three days rather than the many weeks that Koh Lan-ta takes, TV presenter Denis Broignard explained that they couldn’t adhere to the tradition of eliminating participants in order to identify a winner. In-stead, on the final day, a “coun-cil” reminiscent of a tribal council complete with its mys-tical atmosphere, was held and participants were asked to pick the winner.

The winner of the game was Laura Susanetto.

The gala evening was at-tended by Tourism Minister Alain St Ange, Social Affairs and Sports Minister Vincent

Meriton, Employment Minis-ter Idith Alexander as well as the Seychelles Tourism Board’s CEO, Sherin Naiken.

Sainte Anne’s general man-ager said that the experience, which was a novelty for the ho-tel, was much appreciated by the French speaking tourists who were at the hotel. “Can you imagine their joy when they realised that something akin to Koh Lanta was going to take place on the island and that, to top it all, Denis Broig-nard was also on the island for the show!”

This, he says, will go a long way in improving the visibility of the Sainte Anne Resort and Seychelles as a whole. “Those people will talk about what they experienced, they will tweet about it, post photos on Facebook. For their part, the participants got to live a one in a lifetime experience with

a TV star and they will share their experiences. Also, they now know more about Sey-chelles and this will help them sell the destination more ef-fectively”.

The adventure and the re-sources invested for the or-ganisation of such an event will pay off, Norbert Couvreur said.

“This was a way for Sainte Anne Island and Beachcomb-er Group to show its support to the Seychellois authorities in their bid to re-conquer the French market. This is why we have done our part so that the Seychelles destination can gain something from our ef-forts. And in fact, I’m glad to see that, thanks to the way we have motivated French sales representatives to sell Seychelles and Sainte Anne, French arrivals have gone up,” Mr Couvreur also said.

Sainte Anne Resort

Denis Broignard surrounded by the participants and the mystical “totem” at the council.

Denis, the totem and me: Laura, the proud winner of the Adventure.

The famous TV host giving instructions to the participants.

All in a day’s work: the last challenge of the adventure.

Participants head to the council with their torches.

Sea, sun, sand and adventure! As a reward for having sold Sainte Anne Resort and Seychelles to French tourists, the 12 best sales representatives were selected to take part in a Survivor-style challenge. After

three days of grueling challenges, the sales representatives flew back last Thursday, having lived a once in a lifetime experience thanks to Beachcomber; an investment Sainte Anne Resort’s GM says will pay off in the future.

Wednesday 25 February, 2015 p7

Koh-Lanta anyone? This French reality television series and France’s ver-

sion of “Survivor” is currently being played out on Sainte Anne Island under the name of “Beachcomber Adventure”. This initiative, says Norbert Couvreur, the general man-ager of Sainte Anne Resort, is a luxury version of Koh Lanta and regroups 12 of the best French sales representatives from the following travel agen-cies in France: Eureka, Kuoni,

Jet Tours, OIT Hotels, Havas Lorient, Celtea Voyages, Gérard Pons Voyages, Havas Voyages, Norest Voyages and Thomas Cook.

These travel representatives were selected to take part in Beachcomber Adventure on the grounds that they sold the most trips to Seychelles in general and Sainte Anne hotel in partic-ular. The idea of the sales chal-lenge, Mr Couvreur explains, came after a strategic meeting held at Constance Ephelia in

September last year between the ministry of Tourism, the Seychelles Tourism Board and a group of top French tour op-erators in a bid to counteract the arrivals deficit from the French market.

The sales challenge was launched by Tourism Minister Alain St Ange, Sainte Anne GM, Norbert Couvreur et De-nis Brogniart, the famous pre-senter of TV series Koh Lanta, at the last Top Resa market in Paris.

Mr Brogniart has agreed to host the adventure that is be-ing filmed in its entirety. The challenge started on Monday on Sainte Anne, with partici-pants facing their first trial, the « bamboo game ». They had to balance a heavy bamboo rod on their heads and hold it there for as long as possible! This took place on Takamaka beach.

The rule is that participants are not informed in advance of the next challenge. For instance yesterday, soon after breakfast, they were taken to the beach and shown some kayaks, hand-ed life jackets and instructed to kayak to Moyenne Island! It was no easy ride, Sainte Anne’s GM told TODAY!

Then they had to reach the nearby sandbank where they were invited to take part in an archery competition.

And after the second chal-lenge, just as all participants were starting to feel hungry, they were shown lobster pots in the sea with live lobsters in them and were told they had to go grab their lunch! And, because one of the aims of the organisers of the chal-lenge is to make participants discover Seychelles, they were also presented with a dead bat that they had to clean for their lunch!

In the afternoon, the 12 sales representatives were told they were going for a walk. One hour later, they found them-

selves on the other side of the island on Anse Manon. There, they were informed that they would actually have to sleep on the beach! But before partici-pants succumbed to exhaus-tion, they were also informed that Sainte Anne would serve them a sumptuous dinner on the beach, as a way of making up for all the hardships of the day!

Today will be last day of the adventure and the sales repre-sentatives will be subjected to challenging tasks before the tribal council, in the true spirit of the Koh Lanta series. It will meet in the evening to pick the winner or winners of the chal-lenges and the adventure will culminate in a gala soiree at Sainte Anne resort.

It is not known at this point whether the Seychelles adven-ture will eventually be screened on French TV, Mr Couvreur said, even if the trip was ex-haustively filmed. A journalist from the specialist publication,

Quotidien du Tourisme has ac-companied the team. “This was a way for Sainte Anne Island and the Beachcomber group to show its support to the Sey-chellois authorities in their bid to seduce the French market. This is why we have done our part so that the Seychelles des-

tination can gain something from our efforts. And in fact, I’m glad to see that thanks to the way we have motivated French sales representatives to sell Seychelles and Sainte Anne, French arrivals have gone up,” Mr Couvreur told TODAY.

Beachcomber Adventure

They sold Seychelles and Sainte Anne resort and they did it well!

The archery challenge on the sand bank.

Kayak away to Moyenne Island.

The bamboo game :How long could you last?

Challenges galore on Sainte AnneAs a reward for having sold the Sainte Anne Resort and Seychelles to French tourists, the 12 best sales representatives were selected to take part in a sales challenge “Survivor

style”…

Monday 23 February, 2015 p8

Ce mois de février verra l’un des grands évènements de cette année à Sainte Anne

Island avec la « Beachcomber Aventure ». Cette opération de charme est menée par l’hôtel Sainte Anne Island et le Beach-comber Hotels en partenariat

avec l’Office du Tourisme des Seychelles (STB), Air Seychelles et la société française Promo-AGV.

Les épreuves de « Beachcomb-er Aventure » seront étalées sur deux jours, les 24 et 25 février et ressembleront à celle de « KOH

LANTA », la célèbre émission aventure de la télévision fran-çaise TFI. Mais la version Sainte Anne Island donnera un cachet original à ces épreuves en alliant l’effort physique au luxe! Les 12 participants, tous meilleurs ven-deurs de l’hôtel en France depuis le lancement d’un Challenge des Ventes à Top Resa l’année dernière, seront confrontés à des épreuves les unes plus com-pliquées que les autres que Denis Brogniart (présentateur de la cé-lèbre émission KOH LANTA).

Denis Brogniart, sera accom-pagné d’Alain Issock, le photog-raphe de KOH LANTA. Il sera aussi aidé dans sa tâche par des représentants du Groupe Beach-comber de Maurice et de Paris. Mais le plus gros effectif de sup-port viendra naturellement de Sainte Anne Island. Préparation des transferts, organisation des épreuves, organisation de la res-tauration, du logement à l’hôtel et ailleurs sur l’ile, mise en place des soirées spéciales, présence d’une équipe médicale, autant de taches qui attendent les employés cette fin de mois de février.

Beachcomber Aventure, com-me nous l’explique Norbert Couvreur, le Directeur Général de l’hôtel, dépasse largement le cadre de Sainte Anne Island. « C’est une façon pour Sainte Anne Island et le Groupe Beach-

comber d’apporter son soutien aux autorités seychelloises dans la reconquête du marché tour-istique français. C’est pourquoi nous déployons tous ces efforts afin que la destination Seychelles en sorte gagnante. La participa-tion a dépassé de loin nos at-tentes initiales. Nous croyons que cela a constitué une impul-sion majeure à nos efforts visant à accroître notre part du marché touristique en France, et ce Chal-lenge a aussi aidé la destination à regagner une partie du terrain perdu sur ce marché. Cet évène-ment mettra aussi les Seychelles à l’honneur dans les médias pendant des jours en France. De nombreux journalistes ont déjà exprimé leur intérêt pour la couverture de cet événement.»

Les participants à Beachcomb-er Aventure, tous des professi-onnels du voyage, attendent ces épreuves avec impatience. Un programme très alléchant pour ne pas dire très surprenant les attend au tournant ! Chaque épreuve comportera son lot de surprises et d’appréhensions et les participants auront à faire preuve d’adresse, d’imagination, de courage et sur-tout d’enthousiasme. Ils seront dirigés par « Le Boss » Denis Brogniart et à la fin des épreuves le plus méritant des deux jours sera proclamé, celui ou celle qui aura fait le plus de progrès et qui aura démontré la capacité à se transcender, à dépasse ses peurs et ses phobies dans la bonne hu-meur, l’entraide et la solidarité.

Une vraie aventure…L’idée d’un tel évènement

Sainte Anne Island avait été lancée il y plusieurs mois à Par-is par son Directeur General Norbert Couvreur avec Denis Brogniart et Rémi Sabarros, Directeur de Beachcomber Ho-tels en France. « Oui, c’est une grosse machinerie que nous avons mise en place au niveau de l’organisation. Tout l’hôtel sera mobilisé avec cette opéra-tion et pour donner encore plus d’ambiance, l’hôtel sera au com-plet durant tout le déroulement de Beachcomber Aventure », nous dit Norbert Couvreur, ajou-tant que « l’envergure de cette organisation a mobilisé tout le personnel depuis plusieurs se-maines déjà. »

Tourisme

Denis Brogniart (à gauche) et Norbert Couvreur lors du lancement à Top Resa.

Un site paradisiaque attend les heureux participants.

Beachcomber Aventure : le grand show à Sainte Anne IslandUne version luxe de la célèbre mission KOH LANTA aux Seychelles ! Cette aventure du groupe Beachcomber est une façon pour Sainte Anne Island et le Groupe Beachcomber

d’apporter son soutien aux autorités seychelloises dans la reconquête du marché touristique français, dit le directeur de l’établissement, Norbert Couvreur.

Tournage et reportage

BEACHCOMBER AVENTURE 2015

Sainte Anne Insight #12 – March 2015

Documents

Transcript of Sainte Anne Insight #12 – March 2015