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RÉGIONAL de santé Publique du saguenay–lac-saint-Jean
Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Saguenay–Lac-Saint-Jean
Septembre 2016
Gestion du projet
Ann Bergeron, médecin-conseil responsable en surveillance de l’état de santé de la population
Comité de pilotage et d’harmonisation des travaux
Ann Bergeron, médecin-conseil responsable en surveillance de l’état de santé de la population
Jean François Betala Belinga, médecin spécialiste en santé communautaire
Hélène Gagné, chef de service – protection, participation ad hocIsabelle Leclerc, chef de service – santé au travail, participation ad hocChantal-Anne Moreau, coordonnatrice santé publique
Caroline Tremblay, chef de service promotion-prévention
Marc-Antoine Tremblay, conseiller en communication, participation ad hoc
Rédaction de la première section
Emmanuelle Arth, agente de planification, de programmation et de recherche
Ann Bergeron, médecin-conseil responsable en surveillance de l’état de santé de la population
Marie-Claude Clouston, agente de planification, de programmation et de recherche
René Lapierre, agent de planification, de programmation et de recherche
Fabien Tremblay, agent de planification, de programmation et de recherche
Rédaction de la planification
Le CIUSSS tient à remercier les nombreuses personnes qui ont contribué
à l’élaboration du plan d’action. La liste des collaboratrices et des collaborateurs
ainsi que la liste des consultations sont présentées à la fin du document.
Relecture
Audrey Bolduc, adjointe à la direction
Jean-François Saint-Gelais, adjoint à la présidente-directrice générale relations médias et aux communications publiques
Johane Thériault, agente administrative
Ce document est disponible sur le site
Internet du Centre intégré universitaire
de santé et de services sociaux du
Saguenay–Lac-Saint-Jean à l’adresse
suivante : www.santesaglac.com
Dépôt légal
Bibliothèque et Archives
nationales du Québec, 2016
Bibliothèque et Archives Canada, 2016
ISBN : 978-2-550-76507-3 (version PDF)
Toute reproduction complète ou partielle
de ce document est autorisée à condition
d’en mentionner la source.
© Gouvernement du Québec, 2016
La mission principale du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux
(CIUSSS) du Saguenay–Lac-Saint-Jean est de veiller à la santé et au bien-être de la
population de la région. Les actions de santé publique contribuent à cette mission de
façon particulière, en prenant pour cible des facteurs qui, dans l’environnement social,
économique et physique, ont un impact majeur sur l’état de santé.
Depuis plusieurs années, le bilan de santé de notre population s’améliore, résultant
d’efforts collectifs tels que les actions de prévention visant la réduction du tabagisme
chez les jeunes et les adultes, l’augmentation des taux de vaccination ou encore l’adoption
de comportements sécuritaires sur la route. Ces mesures ont contribué à réduire les
maladies cardiovasculaires, les traumatismes non intentionnels et certaines maladies
infectieuses amenant ainsi une augmentation de l’espérance de vie. De nombreux
partenaires et organisations ont largement contribué à ces efforts collectifs.
Malgré ces acquis, de nouveaux défis et enjeux interpellent les acteurs de santé publique.
Il reste notamment des gains à faire en matière d’habitudes de vie, d’allaitement maternel,
de consommation excessive d’alcool, d’infections transmises sexuellement et par le sang,
et de réduction des inégalités.
Le Plan d’action régional de santé publique propose de nombreux moyens et actions
pour y faire face. Les actions qui y figurent s’inscrivent de manière cohérente et
complémentaire avec les autres services de santé et services sociaux offerts par le
CIUSSS, dans le but d’agir sur les déterminants de la santé et de créer des environnements
sains et sécuritaires.
La santé et le bien-être de notre population constituent notre plus grande richesse.
À travers les actions portées par la Direction de santé publique en partenariat avec le
milieu régional, le CIUSSS entend soutenir et contribuer au maintien et à l’amélioration
de la santé des personnes et des communautés afin qu’elles puissent développer leur
plein potentiel.
Martine Couture
MOt de la PRÉSIDENTE-DIRECTRICE GÉNÉRALE
C’est avec une grande fierté que je vous présente le Plan d’action régional de santé publique
du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-2026. Plusieurs personnes ont contribué de près ou de
loin à l’élaboration de ce plan d’action et nous les en remercions sincèrement.
De nombreux défis restent à relever dans la région. Parmi ceux-ci, mentionnons notamment
le vieillissement en santé de notre population, l’adoption et le maintien d’habitudes de vie
favorables à la santé et au bien-être et l’amélioration des conditions qui y sont propices, tout
particulièrement la réduction des inégalités de santé qui sont causées par des désavantages
économiques ou sociaux.
Mais des gains sont possibles, et nous avons à notre disposition les outils nécessaires afin de
favoriser la santé et le bien-être de toutes et de tous. Et il est de notre devoir d’investir des efforts
pour créer les conditions favorables et indispensables à l’épanouissement de notre population.
La mise en œuvre de ce plan d’action est un défi de taille. Bien que la Direction de santé publique
en soit le maître d’œuvre, elle ne peut y arriver seule. En effet, si l’intervention clinique et
le traitement de la maladie et des problèmes psychosociaux sont des compétences quasi
exclusives du réseau de la santé et des services sociaux, la création de la santé, elle, est une
compétence partagée. Il faut donc réunir tous les partenaires qui peuvent faire une différence
et mettre en commun l’ensemble de nos forces et de nos compétences pour favoriser et
soutenir les comportements sains et sécuritaires de notre population, directement dans son
milieu de vie, à la maison, à l’école, à la garderie, au travail et dans la communauté.
Ce programme ambitieux est donc un outil qui guidera le travail de nombreuses personnes
dédiant quotidiennement leur énergie au maintien et à l’amélioration de la santé et du bien-être
de la population. Ce document se veut également un appel fort à la mobilisation de nombreux
partenaires, dont le réseau de l’éducation, les municipalités, les secteurs socioéconomique et
communautaire pour n’en nommer que quelques-uns, détenant la plupart des leviers d’action
nécessaires à l’atteinte d’objectifs visant des conditions propices à la santé de la population.
Avec ce plan d’action, j’invite donc l’ensemble de nos partenaires à s’engager pour maintenir
et améliorer la santé de la population régionale et agir sur les déterminants de la santé,
notamment par la création d’environnements sains et sécuritaires, le développement du
potentiel des personnes ainsi que le soutien au développement des communautés.
Donald Aubin
MOt du DIRECTEUR DE SANTÉ PUBLIQUE
9 INTRODUCTION
10 SECTION 1 : LES PRINCIPAUX CONCEPTS ET ENJEUX EN SANTÉ PUBLIQUE
10 La santé
11 Les déterminants de la santé
13 La santé publique
14 La responsabilité et l’approche populationnelles
16 Les stratégies de santé publique privilégiées
19 SECTION 2 : L’ÉTAT DE SANTÉ DE LA POPULATION RÉGIONALE : DES PORTRAITS POUR GUIDER L’ACTION
20 Les grands enjeux transversaux
24 Le développement global des enfants et des jeunes
29 L’adoption de modes de vie et la création d’environnements sains et sécuritaires
37 La prévention des maladies infectieuses
39 La gestion des risques et des menaces pour la santé
et la préparation aux urgences sanitaires
41 Sommaire des défis pour améliorer la santé de la population
42 SECTION 3 : PRÉSENTATION DU PLAN D’ACTION RÉGIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE
42 Les acteurs de santé publique
42 Les services de santé publique
43 Les partenaires de santé publique
44 La structure du Plan d’action régional de santé publique
45 Le panier de services
45 Les actions
46 Les moyens pour réaliser l’action
46 La stratégie d’évaluation
47 SECTION 4 : LES AXES THÉMATIQUES
47 Axe S La surveillance continue de l’état de santé
de la population et de ses déterminants
52 Axe 1 Le développement global des enfants et des jeunes
67 Axe 2 L’adoption de modes de vie et la création
d’environnements sains et sécuritaires
83 Axe 3 La prévention des maladies infectieuses
104 Axe 4 La gestion des risques et des menaces pour la santé
et la préparation aux urgences sanitaires
121 Annexe 1 Liste des collaboratrices et des collaborateurs
122 Annexe 2 Liste des consultations
123 BIBLIOGRAPHIE
table des MATIÈRES
12 Figure 1 : Carte des déterminants de la santé
13 Figure 2 : Relation entre les déterminants de la santé
et les piliers du développement durable
15 Figure 3 : Le continuum d’intervention
17 Tableau 1 : Exemples d’actions municipales pour créer
des environnements favorables aux saines habitudes de vie
25 Figure 4 : Enfants de maternelle 5 ans (%) vulnérables dans
au moins un domaine de développement, selon l’indice de défavorisation
matérielle et sociale, Saguenay–Lac-Saint-Jean, 2012
29 Figure 5 : Répartition (%) du nombre de nouveaux cas de cancer,
selon le siège, Saguenay–Lac-Saint-Jean, 2006-2010
43 Figure 6 : Les acteurs et les partenaires de santé publique
44 Figure 7 : Les axes thématiques du PNSP
liste des FIGURES ET
DU TABLEAU
BAPE Bureau d’audiences publiques sur l’environnement
CAMI Centre d’accès au matériel d’injection
CAT Centre d’abandon du tabagisme
CHSLD Centre d’hébergement et de soins de longue durée
CIUSSS Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux
CNESST Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail
CRÉPAS Conseil régional de prévention de l’abandon scolaire
CSST Commission de la santé et de la sécurité du travail
EIE Évaluation des impacts sur l’environnement
GMF Groupe de médecine de famille
ICIDJE Initiative concertée d’intervention pour le développement
des jeunes enfants
INSPQ Institut national de santé publique du Québec
IPCDC Initiative sur le partage des connaissances
et le développement des compétences
ITSS Infection transmissible sexuellement et par le sang
MADO Maladie à déclaration obligatoire
MCI Manifestation clinique inhabituelle
MPOC Maladie pulmonaire obstructive chronique
MRC Municipalité régionale de comté
MSSS Ministère de la Santé et des Services sociaux
OLO Oeuf-lait-orange
OMS Organisation mondiale de la Santé
PARSP Plan d’action régional de santé publique
PIED Programme intégré d’équilibre dynamique
PIQ Protocole d’immunisation du Québec
PNSP Programme national de santé publique
PQI Programme québécois d’immunisation
PRS Plan régional de surveillance
RI Ressource intermédiaire
RLS Réseau local de services
RRAC Ressource résidentielle à assistance continue
RTF Ressource de type familial
SAAQ Société de l’assurance automobile du Québec
SIDEP Services intégrés de dépistage et de prévention
SI-PMI Système d’information pour la protection en maladies infectieuses
SIPPE Services intégrés en périnatalité et pour la petite enfance
TDAH Trouble de déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité
TIR-SBE Table intersectorielle régionale en santé et bien-être
TIR-SHV Table intersectorielle régionale en saines habitudes de vie
TNI Traumatisme non intentionnel
VIH Virus de l’immunodéficience humaine
VPH Virus du papillome humain
liste des ACRONYMES
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-20269
À la suite de la publication du Programme national de santé publique 2015-2025 (PNSP), le
CIUSSS du Saguenay–Lac-Saint-Jean a donc entrepris, conformément à ses obligations
légales, la rédaction du Plan d’action régional de santé publique du Saguenay–Lac-
Saint-Jean 2016-2026 (PARSP).
Certains éléments ont été pris en considération
dans l’élaboration de ce plan d’action :
• l’évolution du portrait de santé et de bien-être
de la population et de ses déterminants;
• les connaissances sur les pratiques reconnues efficaces;
• l’action déjà en cours;
• la nouvelle gouvernance mise en place en avril 2015;
• les plans d’action tripartites (ministère de la Santé et des Services sociaux [MSSS],
Institut national de santé publique du Québec [INSPQ], centres intégrés de santé et
de services sociaux [CISSS] et centres intégrés universitaires de santé et de services
sociaux [CIUSSS]).
Plusieurs activités et moyens se situent en continuité avec ceux déjà entrepris dans la
version du PARSP 2004-2007 et sa mise à jour de 2008, d’autres viennent s’ajouter afin
de compléter cette offre de services. Ce nouveau PARSP reflète aussi les changements de
philosophie apportés dans le PNSP qui contribuent à briser les silos entre les différentes
fonctions essentielles de santé publique, à savoir la surveillance de l’état de santé de la
population et de ses déterminants, la promotion de la santé, la prévention des maladies,
des problèmes psychosociaux et des traumatismes, et la protection de la santé de
la population.
Le présent document s’articule autour de quatre parties. La première partie présente les
principaux concepts qui guident l’action de santé publique. La deuxième partie expose le
portrait de santé de la population régionale et les principaux enjeux auxquels la région
devra faire face dans le futur. La troisième partie s’intéresse plus particulièrement aux
éléments entourant le PARSP. Enfin, la quatrième partie présente les actions du PARSP
selon les axes du PNSP.
intROduCtiOn
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202610
LES PRINCIPAUX CONCEPTS ET ENJEUX EN SANTÉ PUBLIQUEAVANT DE PRÉSENTER LES ACTIONS PRÉSENTES DANS LE PARSP, IL EST IMPORTANT DE DÉFINIR
CERTAINS CONCEPTS ET ENJEUx. AINSI, CETTE PREMIèRE PARTIE PRÉSENTE DE MANIèRE
SyNTHÉTIQUE LES PRINCIPALES NOTIONS FONDAMENTALES DE L’ACTION DE SANTÉ PUBLIQUE.
La santé
Selon la Loi sur les services de santé et les services
sociaux du Québec, la santé est définie comme « la
capacité physique, psychique et sociale des personnes
d’agir dans leur milieu et d’accomplir les rôles qu’elles
entendent assumer d’une manière acceptable pour
elles-mêmes et pour les groupes dont elles font partie ».
Cette conception de la santé englobe trois dimensions
indissociables : la santé physique, la santé mentale et la
santé psychosociale. Elle inclut également la notion de
bien-être de la personne. Dans cette vision dynamique
et positive, la santé résulte d’une interaction constante
entre l’individu et son environnement.
En ce sens, l’environnement ou plus précisément les
environnements socioculturel, politique, économique et
physique, tout comme les milieux de vie dans lesquels
évoluent les personnes, peuvent être considérés comme
le premier système de santé. En effet, la santé commence
longtemps avant la maladie à la maison, à la garderie, à
l’école, dans le milieu de travail et dans la communauté.
La santé se bâtit là où on naît, grandit, apprend, joue,
travaille et vieillit.
La santé mentale positive
Pour mener une vie active et épanouie, il est aussi
important d’avoir une santé mentale optimale.
L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) définit
la santé mentale comme « un état de bien-être qui
permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire
face aux difficultés normales de la vie, de travailler
avec succès et d’une manière productive et d’être en
mesure d’apporter une contribution à la communauté »
(Organisation mondiale de la Santé, 2016). Cette définition
souligne le fait que la santé mentale va bien au-delà de la
seule absence de maladie mentale. L’Agence de la santé
publique du Canada ajoute qu’il s’agit « d’un sentiment
positif de bien-être émotionnel et spirituel qui respecte
l’importance de la culture, de l’équité, de la justice sociale,
des interactions et de la dignité personnelle » (Agence de
la santé publique du Canada, 2006).
Le terme « santé mentale positive » réfère entre autres à
la capacité de jouir de la vie. Il « comprend de nombreux
aspects tout aussi essentiels : notre façon de faire face aux
SECTION 1
La santé représente une ressource, « un capital
essentiel au dynamisme et à la prospérité de la société »
(Ministère de la Santé et des Services sociaux, 2015a : 9).
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202611
défis qui se présentent; la façon dont nous ressentons et
utilisons nos émotions pour agir et interagir avec autrui;
le sentiment d’interrelation, le sens que nous donnons
à notre vie, les valeurs et les croyances auxquelles nous
adhérons, les relations que nous entretenons avec nos
milieux social et physique, de même que notre sens de
l’équité et notre respect des différences d’autrui. Ces
aspects, seuls ou réunis, représentent les différentes
dimensions de la santé mentale positive » (Institut
canadien d’information sur la santé, 2009).
La promotion de la santé mentale « consiste à favoriser
l’acquisition d’une santé mentale positive en encourageant
la résilience individuelle, en créant des environnements
de soutien et en étudiant l’influence des déterminants
plus généraux de la santé mentale. Les stratégies axées
sur la promotion de la santé mentale visent toutes les
personnes et les collectivités, y compris les personnes
et les groupes à risque ainsi que les personnes atteintes
d’une maladie mentale » (Institut canadien d’information
sur la santé, 2009).
Les déterminants de la santé
Les déterminants de la santé désignent tous les facteurs
qui influencent l’état de santé de la population, sans
nécessairement être des causes directes de problèmes
particuliers ou de maladies. Les déterminants de la santé
sont rassemblés à l’intérieur de quatre grands champs, à
savoir les caractéristiques individuelles, les milieux de vie,
les grands systèmes administrés par l’État et le contexte
global (figure 1). Ils peuvent être à l’origine d’un problème
psychosocial, d’un traumatisme ou d’un problème de
santé particulier; on les qualifie alors de facteurs de
risque. À l’inverse, ils sont nommés facteurs de protection
lorsqu’ils influencent positivement la santé et favorisent
un développement sain et harmonieux.
Il est courant de penser que les actions sur le système de
soins sont les plus efficaces lorsque l’on vise à améliorer la
santé de la population. Or, les recherches démontrent que
l’état de santé de la population est associé aux environne-
ments socioculturel, physique, politique ou économique
des individus beaucoup plus qu’aux systèmes de soins.
Ainsi, pour les 30 ans d’espérance de vie gagnés au cours du
siècle dernier, huit années seraient attribuables à l’amélio-
ration du système de santé (25 %), alors que près de
22 années (73 %) seraient attribuables à l’amélioration des
conditions de vie, de l’environnement et des habitudes de
vie (Ministère de la Santé et des Services sociaux, 2005).
Les inégalités sociales de santé
Il existe des disparités dans la répartition des déterminants
de la santé entre les différents échelons de la société, en-
gendrant ainsi des inégalités sociales de santé. Les inéga-
lités sociales de santé font référence à des écarts de santé
qui sont associés à des avantages ou des désavantages
sociaux, notamment en termes de revenu, de scolarité ou
d’inclusion sociale (Centre de collaboration nationale des
déterminants sociaux de la santé, 2015). Par exemple, au
Québec, la population des milieux défavorisés a une plus
forte probabilité de mourir prématurément de cancer
(Institut national de santé publique du Québec, 2004). Ce
gradient social de santé est aussi relié à une distribution
inégale systématique et injuste du pouvoir, des ressources,
des biens et des services au sein d’une collectivité donnée.
« De façon générale, plus une personne est pauvre, plus elle risque d’être malade et de mourir jeune, ce
qui entraîne une espérance de vie inférieure à celle des personnes les plus favorisées. De surcroît, plus la
durée de privation socioéconomique est longue, plus les dommages sur la santé s’avèrent importants. »
(Ministère de la Santé et des Services sociaux, 2015a : 27).
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202612
Or, ces inégalités sociales de santé ne sont pas
inéluctables; elles résultent d’une combinaison de
facteurs sur lesquels il est non seulement possible, mais
essen tiel d’agir notamment au moyen de politiques
publiques. Comme elles touchent l’ensemble de la
société et en raison des coûts sociaux importants qu’elles
engendrent de même que de leur impact sur la prospérité
et le bien-être collectif, les inégalités sociales de santé
sont un enjeu fondamental de santé publique.
Les facteurs qui causent bon nombre de problèmes
psychosociaux et de santé actuels sont « souvent en lien
avec des modes non viables de développement, comme
les inégalités sociales persistantes, la dégradation des
ressources et de l’environnement » (Institut national de
santé publique du Québec et Agence régionale de santé
Île-de-France, 2013). Agir ensemble à renverser la vapeur
et favoriser un développement et une santé durables, c’est
faire converger les efforts de tous vers une même finalité :
créer des milieux de vie viables, équitables et en santé
au bénéfice de toute la population. La figure 2 illustre
cette finalité en matière de création d’environnements
favorables aux saines habitudes de vie dans une
perspective de développement et de santé durables.
Le vieillissement de la population et les changements
climatiques constituent d’autres enjeux importants
qui moduleront l’action de santé publique au cours des
prochaines années. Ils sont documentés, tout comme
les inégalités de santé, à la section « L’état de santé de la
population régionale ».
FIGURE 1
Carte des déterminants de la santé
Source : Ministère de la Santé
et des Services sociaux, 2012.
Contexte politique
et législatif
Contexte économique
Contexte démographique
Contexte social et culturel
Contexte scientifique et
technologique
Environnementnaturel et
écosystèmes
Systèmes d’éducation
et de services de garde à
l’enfance
Système de santé et
de services sociaux
Aménagement du territoire
Soutien à l’emploi et
solidarité sociale
Autres systèmes et programmes
Temps
Espace
Milieu familial
Milieu de garde
et scolaire
Milieu de travail
Milieuxd’hébergement
Communauté locale et
voisinage
Caractéristiques biologiques et
génétiques
Compétences personnelles et sociales
Habitudes de vie et comportements
Caractéristiques socioéconomiques
CONTEXTE GLOBAL
SYSTÈMES
MILIEUX DE VIE
CARACTÉRISTIQUESINDIVIDUELLES
ÉTAT DE SANTÉ DE LA POPULATION
Santé globale
Santé physique
Santé mentale et psychosociale
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202613
La santé publique
Au Québec, la santé publique est notamment régie par
la Loi sur la santé publique. Mais s’ajoutent également
d’autres obligations prescrites par la Loi sur les services
de santé et les services sociaux et la Loi sur la santé et
la sécurité du travail. C’est le cadre légal dans lequel
s’inscrivent toutes les actions de santé publique
orchestrées par les CISSS et les CIUSSS au Québec
comme au Saguenay–Lac-Saint-Jean.
Pour l’OMS (2002), « la santé publique recouvre
principalement l’action collective menée par la
société pour promouvoir et protéger la santé
d’une population dans son ensemble ».
L’ancien administrateur en chef de la santé publique du
Canada, le Dr David Butler-Jones, avait une vision assez
proche de celle de l’OMS. Il concevait la santé publique
comme « les efforts concertés déployés par une société
pour améliorer la santé et le bien-être de la population et
réduire les inégalités » (Administrateur en chef de la santé
publique, 2008). Selon lui, « la santé publique englobe les
programmes, services, règlements et politiques qui sont
mis en place par les gouvernements, le secteur privé et
les organismes à but non lucratif dans le souci de garder
l’ensemble de la population en bonne santé » (ibidem).
FIGURE 2
Relation entre les déterminants de la santé et les piliers du développement durable
Source : Institut national de santé
publique du Québec et Agence régionale
de santé Île-de-France, 2013.
ÉCONOMIE PROSPÈRE
• Amélioration des conditions de vie matérielles
• Revenus
• Emploi
• Conditions de travail
SOCIÉTÉ ÉQUITABLEET DYNAMIQUE
• Réseaux sociaux et valeurs culturelles favorables à
la saine alimentation et l’activité physique
• Accès équitableà l’alimentation
• Éducation dequalité pour tous
ENVIRONNEMENTPRÉSERVÉ
• Milieux bâtis, aménagement urbain et transports favorables à la saine alimentation et l’activité physique
• Écosystèmes sains
• Sécurité
QUALITÉDE VIE
MILIEUX SAINS
SYSTÈMEDE SANTÉPROSPÈRE
COLLECTIVITÉS/COMMUNAUTÉS
VIABLES ET ENSANTÉ
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202614
La responsabilité et l’approche populationnelles
Les services et les interventions de santé publique
visent à agir prioritairement sur les déterminants de
l’état de santé. En ce sens, ils s’inscrivent parfaitement
dans le cadre de la responsabilité populationnelle, ce
paradigme qui guide l’action du réseau de la santé.
Cette responsabilité assumée par le CIUSSS est celle de
mobiliser les partenaires d’une région afin de partager
collectivement une responsabilité à l’égard de la santé et
du bien-être de la population qui l’habite. Pour atteindre
cet objectif, le CIUSSS doit :
• favoriser la convergence des efforts pour maintenir
et améliorer la santé et le bien-être de la population;
• agir en amont de la maladie et des problèmes,
sur les déterminants de la santé, en collaboration
avec les autres secteurs d’activités au bénéfice de
toute la population, qu’elle soit atteinte ou non
d’une maladie ou d’un problème;
• rendre accessible un ensemble de services
sociaux et de santé pertinents, coordonnés,
qui répondent de manière optimale aux besoins
exprimés et non exprimés;
• assurer la prise en charge et l’accompagnement
de la personne et de ses proches dans le système
de soins et de services.
Les deux premiers de ces éléments concernent tout
particulièrement la Direction de santé publique et ses
partenaires. Cette convergence des efforts, bien qu’en
amont de la maladie, a des répercussions positives pour
toute la population, y compris les personnes déjà aux
prises avec une maladie, puisqu’elle vise par ses actions
sur les déterminants le développement de conditions qui
favorisent une santé optimale pour tous. Par exemple,
coordonner des actions soutenant l’accès à un revenu
décent, l’accès à une alimentation saine pour tous ou à
un meilleur soutien dans la communauté peut permettre
tout à la fois :
• aux individus atteints d’une maladie chronique de
mieux la gérer, voire d’en ralentir la progression;
• d’améliorer la réussite scolaire des enfants;
• et, aussi, pour d’autres personnes, réduire
considérablement les sources de stress et augmenter
la capacité de faire face à différentes épreuves,
c’est-à-dire leur résilience.
Ces actions sur les déterminants destinées à produire
la santé, ou à accroître les facteurs de protection et
de résilience individuels et collectifs, s’inscrivent en
complémentarité étroite avec celles destinées à réduire
les facteurs de risque et à combattre la maladie.
L’action de santé publique vise donc l’ensemble de la population, indépendamment du fait que
les personnes soient aux prises ou non avec un problème psychosocial ou une maladie, qu’elles
consomment ou non des services dans le but d’améliorer la santé à moyen et à long terme. L’action
de santé publique implique des partenaires tels que la population, les milieux scolaire et municipal,
les organismes communautaires, etc.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202615
Ainsi, les actions pour produire la santé se déploient
à partir d’une approche dite populationnelle, une
caractéristique fondamentale de l’intervention de la
santé publique depuis plusieurs décennies.
C’est d’abord et avant tout une façon particulière
d’aborder les phénomènes de santé. Ceux-ci sont
analysés et décrits sous un angle populationnel à partir,
entre autres, des activités de surveillance de l’état de
santé de la population.
À cette façon d’aborder le problème est associée une
façon singulière d’intervenir pour en modifier le cours
au bénéfice d’une santé optimale pour l’ensemble de la
population. Et ceci au moyen de différentes stratégies
avec de nombreux partenaires concernés ou impliqués de
diverses façons dans l’évolution du phénomène de santé
que l’on appréhende. Ce sont eux, du milieu scolaire,
municipal, communautaire, qui ont souvent des leviers
pour intervenir en créant des conditions propices à la
santé : adoption de politiques publiques saines, création
d’infrastructures ou d’environnements favorables à la
santé et au développement du potentiel des personnes,
qui, encore une fois, se font au bénéfice de l’ensemble de
la population.
FIGURE 3
Le continuum d’intervention
Source : D’après Initiative sur le partage des connaissances et le développement des compétences (IPCDC), 2016.
Ensemble de la population
Action sur les déterminants de la santé
Développement des aptitudes individuelles et sociales
Développement des communautés
Création d’environnements favorables
Adoption de politiques locales favorables à la santé et réduction des inégalités sociales
Organisation des services
PROMOUVOIR
P
RÉVENIR
GUÉRIR
SOUTENIR
Stade non symp-tomatique Stade
précliniqueMaladie
Fin de vie
RéadaptationÉducation
Interventionpréventive
Dépistage
Contrôledes risques
Diagnostic
Soin
Soin palliatif
Invalidité
PRODUIRE LA SANTÉ COMBATTRE LA MALADIE
SERVICES DE LA SANTÉ PUBLIQUE AVEC SES PARTENAIRES
AUTRES SERVICES DU CIUSSS
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202616
Les stratégies de santé publique privilégiées
CETTE SECTION PRÉSENTE QUELQUES STRATÉGIES UTILISÉES DANS LES ACTIONS DE SANTÉ PUBLIQUE.
Le développement du potentiel des personnes
La santé et le bien-être de la population reposent en
partie sur le potentiel des personnes, soit sur leurs
capacités physiques, psychologiques, comportementales
et sociales, à décider pour elles-mêmes et à exercer une
certaine maîtrise sur leur vie (Ministère de la Santé et des
Services sociaux, 2003).
Il est essentiel de reconnaître ce potentiel et d’en
soutenir le développement par des actions axées non
seulement sur l’information, mais aussi sur le maintien
et l’acquisition de compétences qui permettent aux
personnes de faire les choix les mieux éclairés, pour elles-
mêmes et leur famille, quand il est question de leur santé
ou de leur bien-être (ibidem).
La santé et le bien-être passent ainsi par le renforcement
de la capacité d’agir (empowerment) des personnes, c’est-
à-dire leur capacité à prendre des décisions et à exercer
un meilleur contrôle sur leur vie (ibidem).
L’intersectorialité
L’action intersectorielle est incontournable pour les
acteurs de santé publique. Par sa complexité, la santé
appelle des interventions qui dépassent les frontières du
réseau de la santé.
L’action intersectorielle résulte d’un processus
au cours duquel des acteurs issus de plusieurs
secteurs d’intervention (économique, éducation,
aménagement du territoire, etc.) s’unissent pour
agir sur une situation complexe qu’ils ne peuvent
maîtriser seuls.
La réussite de l’action intersectorielle repose ultimement
sur la mobilisation et l’engagement continu des acteurs
impliqués. Aucun des acteurs ne peut imposer ses objectifs
ou ses façons de faire; l’apport de tous est essentiel, à
toutes les étapes. Les projets de collaboration doivent
miser sur les compétences de chacun et être réalisés pour
améliorer la santé et le bien-être de la population.
Au Saguenay–Lac-Saint-Jean, l’action intersectorielle en
santé publique se réalise à partir de divers exercices de
réflexion, de concertation et de réalisations communes
couvrant plusieurs domaines dont, entre autres, la
périnatalité et la petite enfance, la sécurité alimentaire,
les saines habitudes de vie, le développement des
communautés et la prévention du suicide.
Le développement des communautés
La communauté est un système social structuré de
personnes vivant à l’intérieur d’un espace géographique
précis (ville, village, quartier, arrondissement). C’est sur
cet espace que l’approche se concrétise.
Le développement des communautés est une stratégie
de santé publique promue dans le Programme national
de santé publique depuis 2003, réaffirmée dans l’édition
de 2015. Au Saguenay–Lac-Saint-Jean, depuis 2003,
en plus d’être une stratégie d’intervention transversale
aux actions de santé publique, le développement des
communautés était un domaine d’intervention à part
entière, en ce sens que des actions ciblées ont été mises
en œuvre pour soutenir un tel développement. Parmi
celles-ci, le projet « Caractérisation des communautés »
qui conjugue des données statistiques et le point de vue
des citoyens pour chaque communauté de la région.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202617
Le développement des communautés est un « un processus de coopération volontaire,
d’entraide et de construction de liens sociaux entre les résidents et les institutions d’un milieu
local visant l’amélioration des conditions de vie sur le plan physique, social et économique »
(Institut national de santé publique du Québec, 2002).
Le développement des communautés cible la commu-
nauté dans son ensemble et fait appel à une volonté de
concertation visant l’établissement de partenariats, de
réseaux d’échanges et de réciprocité. L’intervention
s’appuie sur la participation des citoyens de tous les milieux
de la communauté, travaillant ensemble à l’amélioration
du bien-être et de la santé de leur collectivité.
La création et le maintien d’environnements
favorables aux saines habitudes de vie
Un environnement favorable aux saines habitudes de
vie réfère à l’ensemble des éléments de nature physique,
socioculturelle, politique et économique qui exercent une
influence positive sur les habitudes de vie des citoyens.
Créer des environnements favorables aux saines
habitudes de vie, c’est créer des conditions propices à la
santé et à la qualité de vie. Et cela peut se faire autant pour
certains groupes de la population (les jeunes enfants, les
élèves du primaire et du secondaire, les adultes) que pour
l’ensemble de la population.
L’exemple de la démarche Prendre soin de notre monde
« Prendre soin de notre monde » vise l’amélioration de la
qualité de vie et la création et le maintien d’environnements
favorables à la santé et aux saines habitudes de vie des
citoyens des municipalités québécoises.
Les municipalités (élus et employés) interviennent de
plusieurs façons pour promouvoir de saines habitudes de
vie. Elles disposent de plusieurs moyens pour développer
l’économie locale, préserver l’environnement, dynamiser
la vie communautaire, voir à l’inclusion sociale et à
l’accès au logement. Elles prennent aussi des décisions
d’aménagement du territoire et s’activent à la création et
à l’entretien d’infrastructures de sports et de loisirs telles
que les parcs, les sentiers pédestres, les pistes cyclables.
Ainsi, les acteurs municipaux deviennent des promoteurs
de la santé, en développant des environnements
favorables pour encourager les citoyens à faire des choix
de modes de vie sains pour leur santé (tableau 1).
Activité physique pour tous
Transports actifs
Aménagement du territoire
Saine alimentation
• Offrir des activités sportives gratuites ou à faible coût.
• Soutenir les organismes locaux à améliorer la qualité de vie des citoyens.
• Participer à la reconnaissance des bénévoles.
• Organiser des activités sportives et de plein air avec des partenaires.
• Prêter ou louer du matériel et des locaux communautaires.
• Favoriser le déneigement des rues et des trottoirs pour rendre la marche hivernale sécuritaire.
• Entretenir des sentiers pédestres et des pistes cyclables toute l’année.
• Limiter la vitesse sur certaines rues pour assurer la sécurité des marcheurs et des cyclistes de tous âges.
• Aménager des milieux de vie mixtes, où les résidents peuvent accéder facilement aux commerces, aux lieux de travail et aux écoles à pied ou à vélo.
• Voir au bon éclairage des rues.
• Offrir des trottoirs continus et des passages piétonniers.
• Limiter l’étalement urbain, densifier les zones avec infrastructures.
• Privilégier l’offre d’aliments sains dans les installations municipales et lors des événements populaires (fêtes, festivals, activités de loisirs, compétitions sportives).
• Installer des fontaines d’eau dans les lieux publics.
• Encourager les marchés publics, les kiosques de fruits et de légumes.
• Soutenir l’agriculture urbaine (ex. : plate-bande comestible).
TABLEAU 1
Exemples d’actions municipales pour créer des environnements favorables aux saines habitudes de vie
Source : Réseau québécois de Villes et Villages en santé, 2014.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202618
Les politiques publiques favorables à la santé
Le développement de politiques publiques saines
(incluant les lois, les règlements, les programmes, etc.)
à l’échelle municipale, régionale et provinciale, est un
moyen essentiel pour améliorer les conditions de vie et
l’état de santé de la population. Toute politique publique,
que ce soit en matière de logement, d’éducation, de
transport, de revenu, d’emploi ou d’aide sociale ou
autre, peut influencer la santé parce qu’elle peut en
modifier les déterminants. Le défi est « de reconnaître les
conséquences qu’ont ces déterminants, les groupes qu’ils
touchent, les moments où ils surviennent et la manière
dont ils touchent davantage certaines populations plutôt
que d’autres, etc. » (Centre de collaboration nationale sur
les politiques publiques et la santé, 2016).
Pour formuler des politiques favorables à la santé, il faut
comprendre le mieux possible les conséquences de ces
politiques, que ce soit les conséquences visées ou non
visées. En effet, certaines politiques dont les résultats sont
relativement clairs dans un secteur donné peuvent avoir des
répercussions négatives dans d’autres secteurs (ibidem).
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202619
L’ÉTAT DE SANTÉ DE LA POPULATION RÉGIONALE : DES PORTRAITS POUR GUIDER L’ACTIONDANS SON ENSEMBLE, L’ÉTAT DE SANTÉ DE LA POPULATION RÉGIONALE S’EST
CONSIDÉRABLEMENT AMÉLIORÉ DEPUIS QUELQUES DÉCENNIES. LA BAISSE DE LA MORTALITÉ
PRÉMATURÉE, SOIT CELLE QUI SURVIENT AVANT L’âGE DE 75 ANS, ET LA HAUSSE DE L’ESPÉRANCE
DE VIE TÉMOIGNENT DE CETTE AMÉLIORATION. POUR UN GARçON NÉ DANS LA RÉGION AU DÉBUT
DES ANNÉES 80, L’ESPÉRANCE DE VIE ÉTAIT DE 71 ANS. LE MêME GARçON, NÉ PENDANT LA PÉRIODE
2007-2011, A UNE ESPÉRANCE DE VIE DE 78 ANS, SOIT 7 ANS DE PLUS. POUR UNE FILLE,
LE GAIN EST DE 5 ANS, L’ESPÉRANCE DE VIE ATTEIGNANT 83 ANS.
Ces progrès importants ont été rendus possibles,
notamment grâce à la réduction de la mortalité
cardiovasculaire et de celle attribuable aux traumatismes
non intentionnels (principalement les accidents de la
route), deux causes pour lesquelles les taux de décès
étaient significativement plus élevés dans la région qu’au
Québec. La région a ainsi réduit considérablement l’écart
par rapport au Québec en ce qui a trait à la mortalité
cardiovasculaire, si bien que les taux de décès y sont
maintenant équivalents aux taux québécois. Quant aux
traumatismes non intentionnels, l’écart a aussi été réduit,
mais subsiste néanmoins.
Ces améliorations sont le résultat d’efforts collectifs
destinés à l’ensemble de la population : adoption de
lois et de mesures visant une accessibilité réduite aux
produits du tabac, une réduction de l’exposition à la
fumée secondaire et aide à la cessation tabagique, ou
ciblant l’amélioration de la sécurité des véhicules et du
comportement des usagers sur la route et hors route. La
population elle-même a largement contribué à ce bilan
positif : une forte proportion de fumeurs a cessé de fumer
et les comportements des usagers de véhicules sont
devenus plus sécuritaires.
Malgré ces gains, des problèmes persistent. C’est le cas
notamment du cancer, en particulier celui du poumon,
et de la maladie pulmonaire obstructive chronique
(MPOC), qui font, toutes proportions gardées, davantage
de victimes dans la région qu’au Québec, et cela, depuis
plusieurs décennies. Qui plus est, le Québec lui-même
affiche, pour ces causes de décès, un bilan plus négatif
que plusieurs autres pays.
Par ailleurs, les préoccupations à l’égard de la santé
mentale sont grandissantes. On estime qu’environ une
personne sur cinq sera atteinte d’un trouble mental
au cours de sa vie. En outre, la prévalence de certains
troubles mentaux est en augmentation dans la région,
tout particulièrement les troubles anxio-dépressifs au
nombre desquels on compte notamment la dépression.
La stigmatisation des personnes atteintes d’un trouble
mental, notamment en milieu de travail, constitue un
enjeu primordial de santé publique, entre autres parce
que ce phénomène est un des principaux obstacles à la
quête de soins. On estime que « les préjugés incitent près
de 2/3 des personnes atteintes à ne pas chercher l’aide
dont elles ont tant besoin » (Association québécoise
pour la réadaptation psychosociale, 2014 : 6).
SECTION 2
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202620
L’accessibilité financière des services, notamment en
psychothérapie, pose aussi problème. Il y a donc, à ce
sujet, encore beaucoup de chemin à faire (Fleury et
Grenier, 2012 : 185).
Ce bref survol de l’état de santé de la population régionale
met la table pour un portrait plus détaillé. Ce dernier est
structuré en fonction des axes d’intervention du Plan
d’action régional de santé publique. Ainsi, les éléments
de ce portrait peuvent être aisément mis en lien avec
les objectifs, les services et les actions de santé publique
correspondants. Auparavant, il convient toutefois de
rappeler les grands enjeux transversaux auxquels la santé
publique sera confrontée au cours des prochaines années.
Les grands enjeux transversaux
Le vieillissement de la population
La hausse de l’espérance de vie, conjuguée au phénomène
du baby-boom, engendre un vieillissement rapide de
la population. La région est tout particulièrement
affectée par ce phénomène. Le nombre d’aînés (65 ans
et plus) y augmentera de 42 % d’ici les dix prochaines
années (2015-2025), selon les plus récentes projections
démographiques.
Le vieillissement démographique conduira inévitablement
à une hausse du nombre de personnes aux prises avec
des problèmes de santé chroniques. De plus, le fait que
les aînés ont une espérance de vie de plus en plus longue
accroît les probabilités qu’ils cumulent plusieurs maladies
liées au vieillissement. Bref, on peut s’attendre à ce que
le nombre de personnes atteintes simultanément de
plusieurs maladies chroniques (multimorbidité) ou vivant
avec des limitations ou des incapacités augmente et à
ce que leurs profils soient de plus en plus complexes.
Cet enjeu du vieillissement souligne l’importance d’agir
en amont des problèmes de santé. Une proportion très
importante des problèmes de santé chroniques est
en effet évitable à tous âges par l’adoption de saines
habitudes de vie (absence de tabagisme, alimentation,
activité physique et consommation limitée d’alcool
notamment), elle-même soutenue par le maintien et la
création d’environnements favorables à la santé.
Les inégalités sociales de santé
Les inégalités sociales de santé découlent de conditions
dans lesquelles des individus naissent, grandissent,
vivent, travaillent et vieillissent. Pour une proportion
de la population, ces conditions rendent plus difficile
l’accès à la scolarisation, à des logements décents,
à une alimentation de qualité, à des conditions de
travail adéquates et à un revenu suffisant. Ce qui, en
contrepartie, accroît le risque d’adopter de mauvaises
habitudes de vie et de développer plusieurs problèmes de
santé chroniques. Ces conditions sont aussi appelées « les
causes des causes ». Plus elles persistent dans le temps,
plus les effets sur la santé peuvent être importants.
En ce sens, les inégalités sociales ont un impact majeur sur
les possibilités d’être et de se maintenir en bonne santé
tout comme sur celles d’exprimer sa pleine contribution
dans la société.
Deux personnes surdix (20 %) sont âgées de 65 ans et plus en 2015.
Près de trois personnes sur dix (28 %) leseront en 2025.
LA RÉGION COMPTERA 23 600 AÎNÉSDE PLUS D’ICI DIx ANS.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202621
Dans la région, on estime qu’environ une personne sur
sept vit une situation de défavorisation, soit sur le plan de
la scolarité ou du revenu. Et, dans la moitié des cas, cette
défavorisation est plus accentuée et se traduit par un très
faible revenu, des prestations d’aide sociale, un risque
accru de vivre de l’insécurité alimentaire. Par ailleurs, sur
une note plus positive, notons que la proportion de bébés
nés de mères sous-scolarisées a nettement diminué,
passant de 10 % (2001-2005) à 7 % (2010-2012) dans
la région. Des différences importantes sont toutefois
encore observées au niveau des réseaux locaux de
services (RLS).
Dans la région, environ 1,5 personne sur dix...
> vit sous le seuil de la mesure de faible revenu (15 %);> est sous-scolarisée (15 %);> risque de vivre dans une situation d’insécurité alimentaire (13 %).
Environ deux jeunes de moins de 18 ans sur dix vivent dans une famille monoparentale (22 %).
Environ trois personnes âgées de 65 ans et plus sur dix vivent seules (29 %).
> Un ménage sur cinq (21 %) accorde 30 % ou plus de son revenu total pour se loger.
> Les personnes qui n’ont pas de logement ne sont pas dénombrées, donc absentes de ces données.
QUE SONT LES INÉGALITÉS SOCIALES DE SANTÉ?
« Les inégalités sociales de santé font référence à des écarts de santé associés à des
avantages ou à des désavantages sociaux (ex. : revenu, niveau de scolarité, inclusion sociale).
Ces écarts sont injustes et évitables et il est possible de les atténuer » (Centre de collaboration nationale des déterminants sociaux de la santé, 2015 : 2).
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202622
La littératie en santé
Intimement liée aux inégalités sociales de santé, la
littératie en santé constitue aussi un enjeu majeur en
santé publique.
Les aînés, les immigrants, les personnes sous-scolarisées
et les travailleurs sans emploi possèdent, en moyenne,
des compétences beaucoup plus faibles en matière de
littératie en santé.
Ces résultats soulignent l’importance, d’une part, de
mettre en place des conditions favorisant le maintien
à long terme des compétences en littératie, et d’autre
part, d’adapter le niveau de langage des informations
transmises aux personnes relativement à la prévention
des problèmes de santé et à la gestion de ceux-ci. Cela
est essentiel dans un contexte de vieillissement de la
population et d’accroissement de la prévalence des
maladies chroniques.
La réalité particulière des Autochtones
Le portrait de l’état de santé des populations autochtones
« révèle des écarts notables par rapport à la moyenne de
l’ensemble de la population du Québec pour plusieurs
problématiques » (Ministère de la Santé et des Services
sociaux, 2015 : 25). Ces différences s’expliquent par des
contingences à la fois historiques, politiques et sociales,
lesquelles se traduisent aujourd’hui par de profondes
inégalités sociales entre les membres des Premières
Nations et le reste de la population et par différentes
transformations au niveau du mode de vie de ces derniers.
D’importants écarts sont en effet observables en ce qui
concerne le cumul de déterminants sociaux défavorables
à la santé, que ce soit en matière de revenu, de logement,
d’insécurité alimentaire, d’employabilité et d’éducation.
Par ailleurs, différents comportements délétères
(tabagisme, consommation d’alcool et de drogues, etc.)
demeurent répandus dans les communautés. En outre,
« l’alimentation des Premières Nations et des Inuits au
Québec a subi d’importantes modifications en quelques
décennies. […] [Additionnée] à un style de vie sédentaire
et exacerbée par les conditions sociales dans lesquelles
vivent plusieurs familles et communautés autochtones,
l’alimentation de type commercial, souvent riche en
sucres raffinés, en gras trans et en sodium et faible
Six adultes canadiens sur dix ne possèdent pas les compétences nécessaires pour répondre adéquatement à leurs besoins en santé et en soins de santé.
QU’EST-CE QUE
LA LITTÉRATIE EN SANTÉ?
« La littératie en santé est la capacité d’obtenir,
de comprendre, d’évaluer et de transmettre
l’information afin de favoriser, de conserver
et d’améliorer sa santé dans divers
contextes et à tout âge. »
(Conseil canadien sur l’apprentissage, 2008 : 9).
« Notre capacité de trouver, de comprendre,
d’évaluer et de communiquer des renseignements
liés à la santé […] est essentielle au maintien
d’habitudes de vie saines, à la prise en charge
de nos besoins en matière de santé et de ceux
de notre famille, à la prise de décisions éclairées
concernant notre santé et à l’orientation
au sein du système de soins de santé. »
(Conseil canadien sur l’apprentissage, 2008 : 31).
LES IMPACTS SUR LA SANTÉ RELIÉS
À DE FAIBLES COMPÉTENCES
EN LITTÉRATIE EN SANTÉ :
• taux plus élevés pour certaines maladies chroniques;
• taux d’hospitalisation plus élevés;
• taux de mortalité plus élevés.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202623
en nutriments essentiels, contribue à l’émergence de
maladies chroniques tels l’obésité, le diabète et les
maladies cardiovasculaires » (Bergeron et autres, 2015 : 1).
À ces différents éléments s’ajoute le fait que les
populations autochtones soient particulièrement
jeunes, bien que la proportion de personnes âgées de
65 ans et plus qui les composent augmente de façon
importante, ce qui soulève plusieurs enjeux de santé
publique particuliers.
On dénombre environ 3 120 Indiens inscrits au Saguenay–
Lac-Saint-Jean en 2011, ce qui représente 1 % de la popu-
lation totale de la région. Une majorité de ces Autochtones
(73 %) réside dans le RLS Domaine-du-Roy, qui abrite la
réserve innue de Mashteuiatsh.
• La communauté innue de Mashteuiatsh compte
un peu plus de 2 210 membres en 2011;
• l’âge médian y est de 35,8 ans, comparativement
à 45,7 ans pour l’ensemble de la région;
• la proportion de la population de 65 ans et plus y est
moins importante (11 % contre 17 % pour la région);
• la communauté de Mashteuiatsh a connu une
importante augmentation de sa population
entre 2000 et 2011 (+ 19 %), alors que celle
de la région diminuait (- 1 %);
• la population âgée de 65 ans et plus a augmenté
de façon plus importante dans la communauté de
Mashteuiatsh au cours de cette période (+ 107 %)
que dans l’ensemble de la région (+ 37 %).
Les changements climatiques
Ces 50 dernières années, les activités humaines ont rejeté
des quantités suffisantes de dioxyde de carbone et d’autres
gaz à effet de serre pour retenir davantage de chaleur dans
les couches basses de l’atmosphère et avoir une incidence
sur le climat mondial. Ces changements climatiques
s’amplifieront au cours du XXIe siècle, selon les scénarios du
Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du
climat (Intergovernmental Panel on Climate Change, 2014).
Les impacts de ces changements climatiques s’observeront
également au Québec et dans la région. On peut prévoir
notamment une augmentation de la fréquence et de
l’intensité des événements météorologiques extrêmes
(tempêtes hivernales, vents violents, pluies diluviennes,
etc.), des vagues de chaleur, des feux de forêt et des
catastrophes naturelles. Ces événements ont des impacts
sur la santé de la population, et tout particulièrement
chez les personnes âgées et certaines tranches plus
vulnérables de la population (personnes en mauvaise
santé ou habitant des logements de piètre qualité,
personnes à faible revenu ou sans-abri).
QUI SONT LES AUTOCHTONES?
Au Québec, le terme autochtone renvoie
spécifiquement aux Inuits et aux membres
des Premières Nations, lesquels forment
onze nations distinctes.
La région abrite une communauté autochtone.
La communauté innue de Mashteuiatsh est
située dans le RLS Domaine-du-Roy. Ceci dit,
on retrouve des membres des Premières
Nations un peu partout dans la région.
LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
AGISSENT DE DIVERSES FAçONS
SUR LA SANTÉ :
• l’augmentation des températures a un effet
sur la pollution atmosphérique en augmentant
la quantité et la nocivité de certains polluants
(ozone, particules en suspension et allergènes);
• une augmentation de la sévérité de certaines
maladies peut être provoquée par des vagues
de chaleur plus importantes;
• plusieurs maladies infectieuses transmises
par les animaux, les moustiques et les tiques
existent. Le climat généralement frais ou
froid du Québec nous a jusqu’ici protégés de
la plupart de ces infections. Cependant, le
réchauffement des températures de même que
la modification des précipitations et du taux
d’humidité pourraient changer la donne.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202624
Le développement global des enfants et des jeunes
Les facteurs de risque associés
à la naissance et à la petite enfance
On recense en moyenne chaque année 2 755 nouveau-
nés dans la région. De ce nombre, certains bébés seront
plus à risque d’avoir certains problèmes de santé ou d’être
hospitalisés à plusieurs reprises en raison de conditions
présentes à leur naissance, telles que la prématurité et le
faible poids.
L’évolution récente de ces facteurs de risque associés à la
naissance est plutôt positive dans la région. Ainsi, si l’on
compare la situation en 2007-2011 par rapport à celle
observée dix ans plus tôt (1997-2001), on constate que :
• la proportion de naissances prématurées
est demeurée stable et se situe environ à 7 %
pour la période de 2007-2011;
• la proportion de naissances de faible poids
également, se situant autour de 5,5 %;
• la proportion d’enfants nés avec un retard de
croissance intra-utérine, soit un faible poids pour l’âge
gestationnel, a légèrement diminué, passant de 8,2 %
à 7,6 %. Cette proportion demeure moins élevée que
celle observée au Québec en 2007-2011 (8,4 %).
Autre élément positif, le taux de grossesses chez les jeunes
filles de 14-17 ans diminue constamment depuis une
quinzaine d’années. De 2010 à 2012, le nombre de gros-
sesses dans cette tranche de la population a été trois fois
moins élevé et le taux, deux fois moins élevé qu’à la fin
des années 90. La disponibilité de la contraception orale
d’urgence en pharmacie à partir de 2002, qui visait à dimi-
nuer le nombre de grossesses non planifiées et le nombre
d’interruptions volontaires de grossesse chez les adoles-
centes, a largement contribué à cette évolution positive.
L’allaitement maternel est reconnu pour
ses effets bénéfiques sur la santé des mères
et des nouveau-nés.
Par contre, les taux d’allaitement dans la région sont plus
faibles que dans le reste du Québec. Moins de femmes
initient l’allaitement maternel à la naissance et une baisse
relativement importante des taux d’allaitement est
observée dès la première semaine de vie de l’enfant. Au
premier contact postnatal effectué par les CLSC, dans les
premières semaines de vie de l’enfant, environ les deux
tiers des bébés sont allaités, alors que ce taux dépasse les
80 % au Québec.
Dans la vie de l’enfant, l’entrée à la maternelle et le
passage à l’école primaire constituent des étapes
importantes. Dans la région, le quart (24 %) des enfants
de la maternelle présentent une vulnérabilité dans au
moins un des cinq domaines de développement présentés
dans l’encadré ci-bas.
La proportion d’enfants vulnérables dans au moins un de
ces domaines est plus élevée :
• chez les garçons (32 %);
• les enfants de moins de 6 ans (30 %);
• ceux n’ayant pas fréquenté un service de garde (36 %);
• ceux vivant dans un milieu défavorisé sur
les plans matériel et social (32 %).
DOMAINES DE DÉVELOPPEMENT
• Santé physique et bien-être
• Compétences sociales
• Maturité affective
• Développement cognitif et langagier
• Communication et connaissances générales
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202625
Même si cette proportion est plus importante dans
les milieux défavorisés, il faut préciser que ces
enfants représentent seulement 180 des 630 enfants
identifiés comme étant vulnérables dans au moins un
des cinq domaines de développement. On retrouve
donc des enfants vulnérables dans tous les milieux
socioéconomiques, d’où l’importance de tendre vers
l’universalisme proportionné dans les actions favorisant
le développement global des enfants. Cette approche
vise à « offrir des interventions universelles à toutes les
familles, mais avec des modalités ou une intensité qui
varient selon leurs besoins » (Poissant, 2014 : 4).
De la même façon, on dénombre des enfants vulnérables
dans tous les domaines de développement, mais la
proportion observée dans celui de la maturité affective
est légèrement plus élevée dans la région (11 %) en
comparaison avec le Québec (10 %).
L’environnement social et
l’adaptation sociale chez les jeunes
L’environnement social dans lequel les jeunes évoluent est
un facteur important de leur développement. La qualité
des relations qu’ils tissent au sein de la famille, avec les
amis et à l’école et le soutien sur lequel ils peuvent compter
ou non dans ces milieux de vie sont déterminants.
Dans la région, un peu plus des deux tiers des jeunes du
secondaire (69 %) bénéficient d’un soutien social élevé
de la part de leurs amis. En d’autres termes, ils peuvent
se confier à eux ou obtenir leur aide dans les périodes
difficiles. Fait à noter, plus de filles (83 %) que de garçons
(56 %) considèrent que leurs amis leur offrent un niveau
élevé de soutien social.
Le soutien social offert par le milieu scolaire semble plus
faible que celui fourni par les amis ou les parents. D’une
part, le tiers des jeunes (33 %) se sentent bien soutenus
par les enseignants ou les autres adultes présents dans
leur milieu scolaire. D’autre part, plus d’un jeune sur
quatre (27 %) se sent mis de côté ou à l’écart à l’école et
près d’un sur quinze (7 %) ne s’y considère pas en sécurité.
Cette proportion est d’ailleurs deux fois plus importante
chez les garçons (9 %) que chez les filles (4 %).
Plus des trois quarts des jeunes de la région (77 %)
affirment bénéficier d’un soutien social élevé dans leur
environnement familial. Ceci se traduit entre autres par
le fait qu’un des parents ou un autre adulte s’intéresse à
leurs travaux scolaires, parle avec eux de leurs problèmes
ou les écoute lorsqu’ils en ont besoin. Cette proportion
s’accroît avec le niveau de scolarité des parents, passant
de 56 % chez les jeunes dont aucun des parents ne détient
de diplôme d’études secondaires à 81 % chez ceux dont
au moins un des parents détient un diplôme d’études
collégiales ou universitaires.
0
20
10
40
30
60
50
80
70
100
90
20a
190enfants
260enfants
180enfants
2530a
Milieu favorisé Milieu défavoriséMoyen
%
a : indique une différence significative au seuil de 5 % entre les deux valeurs.
FIGURE 4
Enfants de maternelle 5 ans (%) vulnérables dans au moins un domaine de développement, selon l’indice de défavorisation matérielle et sociale,
Saguenay–Lac-Saint-Jean, 2012
L’adolescence est une période critique du développement où les jeunes sont
particulièrement sensibles à l’influence des interrelations avec leur famille,
leurs amis, leur école et leur communauté.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202626
Plusieurs jeunes sont victimes d’infractions sexuelles.
En 2012, dans la région :
• les deux tiers des femmes qui ont été victimes
d’infraction sexuelle avaient moins de 18 ans,
ce qui représente environ 140 victimes;
• chez les hommes, on a recensé cette année-là 55 cas
d’infractions sexuelles et la presque totalité des cas (93 %)
sont survenus chez des garçons de moins de 18 ans;
• les auteurs présumés sont presque exclusivement
de sexe masculin (96 %) et sont principalement
des adultes de 18 ans et plus (77 %).
Parmi les jeunes du secondaire, 9 % des filles et 3 % des
garçons ont déclaré qu’ils ont déjà été forcés d’avoir une
relation sexuelle alors qu’ils ne le souhaitaient pas.
La violence dans les relations amoureuses est bien
présente chez les adolescents. Dans la région, le tiers des
filles (35 %) et le quart des garçons (24 %) qui ont vécu
une relation amoureuse au cours de la dernière année
déclarent avoir subi au moins une fois de la violence dans
le cadre de cette relation.
• La violence psychologique (critique exagérée,
attitude de contrôle, mépris) est la forme la plus
fréquente, ayant été rapportée par 25 % des filles
et 18 % des garçons;
• la violence physique est aussi fréquente
chez les deux sexes (12 %);
• enfin, plus de filles (11 %) que de garçons (6 %)
ont déclaré avoir subi au moins une fois
de la violence d’ordre sexuel.
La violence se manifeste aussi à l’école. En 2010-2011,
dans la région, 38 % des garçons et 26 % des filles déclarent
avoir été, au moins une fois pendant l’année scolaire,
victimes de violence à l’école ou sur le chemin de l’école.
• Les menaces verbales sont la principale forme
de violence que déclarent subir les jeunes;
• les agressions physiques, bien que moins fréquentes,
touchent 18 % des garçons et 7 % des filles;
• une proportion non négligeable de filles (8 %)
et de garçons (3 %) déclarent avoir été victimes
de cyberintimidation.
La consommation d’alcool et de drogues chez les jeunes
est particulièrement préoccupante dans la région. En
2010-2011, par rapport à l’ensemble du Québec, les
jeunes de la région étaient proportionnellement plus
nombreux à avoir consommé :
• de l’alcool dans les 12 derniers mois (71 % contre 60 %);
• de l’alcool de façon excessive, soit 5 consommations
ou plus en une même occasion, au moins une fois
dans les 12 derniers mois (54 % contre 41 %);
• de l’alcool avant l’âge de 13 ans (26 % contre 21 %);
• de la drogue au cours des 12 derniers mois
(31 % contre 26 %);
• du cannabis (30 % contre 25 %), de l’ecstasy
(13 % contre 9 %), des amphétamines
(13 % contre 7 %) et des hallucinogènes au
cours des 12 derniers mois (10 % contre 6 %).
Finalement, une proportion plus élevée de jeunes de la
région ont des problèmes évidents de consommation
d’alcool et de drogues qui exigent une intervention
spécialisée (feu rouge à l’indice DEP-ADO) (8 % contre
5 % au Québec). Fait à noter, les garçons de la région sont
davantage touchés que les filles (9 % contre 7 %).
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202627
La santé mentale des jeunes
Si la présence de troubles mentaux chez
les adultes a des effets néfastes tant sur les
plans affectif, social et économique que sur
celui de la santé, chez des jeunes en plein
développement, ces problèmes peuvent avoir
des conséquences dramatiques à long terme.
D’ailleurs, « 50 % des maladies mentales
apparaissent avant l’âge de 14 ans »
(Ministère de la Santé et des Services sociaux, 2015b : 31).
On estime que 84 % des jeunes âgés de 12 à 17 ans ont
une santé mentale que l’on peut qualifier de florissante,
dans la région, en 2011-2012. Ces jeunes se considèrent
comme heureux, intéressés par la vie et satisfaits à l’égard
de leur vie. Ils déclarent également, notamment, qu’ils
peuvent apporter quelque chose à la société, et qu’ils
entretiennent des relations chaleureuses et fondées sur
la confiance avec d’autres personnes.
Chez les moins de 20 ans, la prévalence des troubles
mentaux a presque doublé au cours des dix dernières
années. Cela s’explique notamment par l’augmentation
du nombre de diagnostics du trouble de déficit de
l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) (Lesage et
Émond, 2012). Dans la région, en 2010-2011, 20 % des
garçons de 12 à 17 ans et 15 % des filles du même âge ont
déclaré avoir reçu un diagnostic médical de TDAH, des
proportions significativement plus élevées qu’au Québec
(16 % et 13 % respectivement). Une proportion non
négligeable de jeunes de cette tranche d’âge, finalement,
ont déclaré avoir reçu un diagnostic médical :
• d’anxiété (9 %);
• de dépression (4 %);
• de trouble de l’alimentation (moins de 2 %).
La santé physique et les habitudes de vie des jeunes
La santé buccodentaire des jeunes du primaire s’est
améliorée. En 2012-2013, 40 % des élèves de 6e année
du primaire sont touchés par la carie irréversible sur
leurs dents permanentes, une nette amélioration par
rapport à la fin des années 90 (67 %). Cette amélioration
peut s’expliquer en partie par la plus grande proportion
d’élèves ayant au moins une dent permanente scellée,
soit 60 % en 2012-2013 comparativement à 13 % à la fin
des années 90.
Même constat pour les élèves de 2e année du primaire. En
2012-2013, 55 % des élèves étaient touchés par la carie
irréversible contre 71 % à la fin des années 90. La hausse
de la proportion d’élèves présentant au moins une dent
permanente scellée, de 15 % à 49 %, explique ce résultat.
Par contre, les inégalités sociales liées à ce problème
de santé persistent. Chez une minorité d’élèves de 2e et
6e années du primaire (27 % et 13 % respectivement),
on observe la majorité de la carie irréversible (79 % et
68 % respectivement). Les groupes les moins favorisés
économiquement sont les plus touchés.
Le tabagisme a diminué considérablement chez les
jeunes depuis une trentaine d’années. Dans la région,
la proportion de fumeurs réguliers et occasionnels
est passée de 40 % en 1997 à 11 % en 2010-2011. Le
recours à la cigarette électronique constitue un élément
à surveiller. En 2013, plus du quart des jeunes Québécois
du secondaire affirment en avoir déjà fait usage.
La dépression et l’anxiété chez les jeunes sont associées à une faible estime de soi, à un
faible soutien social dans l’environnement familial, à la cyberintimidation, à la violence
subie sur le chemin de l’école et à un risque plus élevé de décrochage scolaire.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202628
La saine alimentation demeure un enjeu chez les jeunes
du secondaire de la région. Plusieurs éléments sont en ce
sens préoccupants :
• seulement le tiers d’entre eux consomment le nombre
de portions de fruits et de légumes recommandé. De
plus, la moitié des jeunes consomment moins de trois
portions de fruits et de légumes quotidiennement;
• un peu plus du tiers (36 %) des jeunes affirment
consommer des boissons sucrées, des grignotines
ou des sucreries au moins une fois par jour;
• 16 % avaient consommé de la malbouffe dans un
restaurant ou un casse-croûte le midi, deux fois ou plus
au cours de la semaine d’école ayant précédé l’enquête;
• 10 % ne prennent aucun déjeuner les jours d’école;
• 10 % consomment des boissons énergisantes
une fois par semaine ou plus.
En outre, on estime qu’environ 2 000 jeunes âgés de 12
à 17 ans souffrent d’insécurité alimentaire modérée ou
grave dans la région en 2013-2014.
Sur le plan de l’activité physique, les jeunes filles sont
encore moins actives que les garçons. Lorsqu’on combine
activité physique de loisir et de transport, 25 % des filles
et 41 % des garçons du secondaire sont considérés actifs.
Autrement dit, ces jeunes font une heure par jour ou
plus d’activité physique d’intensité modérée à élevée. À
l’inverse, 30 % des filles et 23 % des garçons sont classés
comme étant sédentaires.
En ce qui a trait à la sexualité, les données indiquent que :
• 61 % des jeunes de la région ont utilisé un condom
lors de leur dernière relation sexuelle, une proportion
significativement moins élevée qu’au Québec (68 %);
• 45 % des filles et 35 % des garçons âgés de 14 à 17 ans
ont déjà eu une relation sexuelle consensuelle
(orale, vaginale ou anale);
• un jeune sur dix (10 %) a eu une première
relation sexuelle avant l’âge de 14 ans;
• le tiers des jeunes ayant déjà eu une relation
sexuelle vaginale ont eu ce type de relation avec
trois partenaires ou plus au cours de leur adolescence.
La proportion est à peu près la même (29 %) pour
ce qui est des relations orales.
L’UTILISATION DU CONDOM
CHEZ LES JEUNES
En règle générale, les jeunes considèrent
l’utilisation du condom moins importante
lorsqu’ils entretiennent des relations monogames
à long terme, puisqu’ils auraient alors tendance
à penser que le risque d’être exposé à des
infections transmissibles sexuellement et
par le sang (ITSS) est moins élevé. Néanmoins,
l’usage systématique du condom comme moyen
de protection pour soi-même et les autres reste
fondamental notamment pour prévenir les
ITSS, qui sont en recrudescence chez les
jeunes de la région.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202629
L’adoption de modes de vie et la création d’environnements sains et sécuritaires
L’adoption de modes de vie et la création d’environnements
sains et sécuritaires visent à réduire l’ampleur et à
prévenir l’apparition de plusieurs problèmes de santé et
problèmes sociaux évitables. Parmi ceux-ci, les maladies
chroniques et les problèmes liés au poids corporel, qui
affectent une proportion de plus en plus élevée de la
population régionale.
Le fardeau croissant des maladies chroniques
Le cancer constitue la première cause de décès (34 % du
total) et la cinquième cause d’hospitalisation. Chaque
jour, en moyenne, dans la région :
• 5 personnes reçoivent un diagnostic de cancer
(1 700 nouveaux cas/an);
• 7 personnes sont hospitalisées pour un cancer
(2 440 hospitalisations/an);
• 2 personnes décèdent d’un cancer (760 décès/an).
Les nombres de nouveaux cas et de décès pour les
principaux sites de cancer sont en hausse (Tremblay,
2016). Cela est dû essentiellement au vieillissement
de la population. En contrepartie, depuis 2000-2001,
les taux ajustés selon l’âge d’incidence et de mortalité
pour les quatre principaux sites (poumon, côlon-rectum,
sein et prostate) sont en baisse. Ce qui signifie que si la
population n’avait pas vieilli, les nombres de nouveaux cas
et de décès auraient diminué.
La diminution de l’incidence du cancer est en grande
partie due à la forte baisse du tabagisme observée
depuis une trentaine d’années. À ce phénomène s’ajoute
l’amélioration des traitements et des taux de survie pour
certains types de cancer, ce qui explique la diminution
globale de la mortalité par cancer. L’incidence et la
mortalité par cancer du poumon, en hausse chez les
femmes, constituent la seule exception à cette tendance.
La mortalité par maladies cardiovasculaires est en baisse
depuis une trentaine d’années, due notamment au recul
du tabagisme, à une détection plus précoce, de même qu’à
une prise en charge et à des traitements plus efficaces.
Cependant, ces gains sont menacés. La prévalence
de trois importants facteurs de risque de maladies
cardiovasculaires est en hausse, tant au Québec que
dans la région :
QU’EST-CE QU’UNE
MALADIE CHRONIQUE?
Les maladies chroniques sont des problèmes
de santé non transmissibles ayant une évolution
souvent lente et irréversible. Par contre, il est
possible de prévenir plusieurs d’entre elles ou
de retarder leur apparition. Somme toute,
on estime qu’un cas sur deux pourrait être évité
ou repoussé par de saines habitudes de vie.
Trachée, bronches et poumons
17 %
Côlon et rectum
13 %
Sein
13 %Prostate
12 %
Autressièges
45 %
FIGURE 5
Répartition (%) du nombre de nouveaux cas de cancer, selon le siège, Saguenay–Lac-Saint-Jean,
2006-2010
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202630
• l’obésité connaît une progression importante.
Depuis 2000, la proportion d’adultes touchés par
ce problème a presque doublé dans la région, passant
de 10 % en 2000 à 18 % en 2012. L’indice de masse
corporelle (IMC) moyen a augmenté chez les deux
sexes et tous les groupes d’âges. En contrepartie,
la proportion d’adultes affichant un poids normal
a diminué constamment, passant de 52 % en
2000 à 42 % en 2012;
• la prévalence du diabète a augmenté, passant de
5 % en 2000-2001, à 9 % en 2013-2014. Le nombre
de personnes aux prises avec le diabète a doublé,
passant de 9 925 à 20 615. La hausse de l’excès de
poids et de l’obésité observée et le vieillissement de
la population pendant cette période expliquent en
bonne partie cette augmentation. Une croissance
similaire a été observée aussi au Québec et au Canada.
La prévalence régionale demeure toutefois moins
élevée qu’au Québec;
• la prévalence de l’hypertension est aussi en hausse
pendant cette même période, passant de 18 % à 30 %
chez les adultes de 20 ans et plus.
L’évolution observée pour d’autres problèmes de santé
chroniques est également préoccupante :
• les problèmes d’arthrite, d’arthrose et de rhumatisme
sont aussi en croissance. La proportion d’adultes
affectés par ces problèmes est passée de 19 % en
2007 à 22 % en 2012. Cette hausse est cohérente
avec la croissance des problèmes de poids au sein de
la population, ceux-ci constituant un facteur de risque
important des problèmes ostéo-articulaires.
• le nombre de cas prévalents de MPOC a aussi
augmenté, passant de 15 265 en 2001-2002 à
23 200 en 2013-2014, une hausse moyenne de
4 % par année. La progression du nombre de cas est
plus accentuée chez les femmes que chez les hommes.
En 2013-2014, dans la région, 14 % des 35 ans et plus
sont atteints de MPOC.
Les hausses décrites ci-dessus ont logiquement un
impact sur la multimorbidité, soit le cumul, chez un même
individu, de plusieurs problèmes de santé chroniques.
Dans la région, en 2012, un adulte sur sept déclarait
trois problèmes de santé chroniques ou plus parmi les
sept problèmes suivants : asthme, diabète, hypertension,
maladie cardiaque, hypercholestérolémie, MPOC et
problèmes d’arthrite, d’arthrose et de rhumatisme. Cette
proportion risque de s’accroître au cours des prochaines
années, d’où l’importance de tenter d’infléchir cette
tendance par des interventions visant la création
d’environnements favorables à la santé et à l’adoption de
saines habitudes de vie.
« La multimorbidité est un enjeu majeur de santé publique qui interpelle à plusieurs
égards : augmentation des incapacités et perte d’autonomie, réduction de la qualité de vie,
augmentation des effets indésirables des médicaments, etc. »
(Tremblay et Lapierre, 2016 : 1).
« La proportion de la population atteinte de multimorbidité est en augmentation au Québec.
Le vieillissement de la population amplifie ce phénomène, mais il ne suffit pas à l’expliquer. »
(ibidem).
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202631
Les habitudes de vie
Plusieurs des maladies chroniques mentionnées
précédemment partagent les mêmes facteurs de protection :
l’absence de tabagisme, une saine alimentation, une activité
physique régulière. À titre d’exemple, on estime qu’environ
60 % des cas de cancer et 80 % des cas de maladies
cardiovasculaires pourraient être prévenus par ces
facteurs de protection. L’adoption de saines habitudes de
vie et le développement d’environnements les favorisant
constituent donc des éléments majeurs pour assurer
le maintien et l’amélioration de l’état de santé de la
population. Depuis une quinzaine d’années, des progrès
ont été réalisés, mais beaucoup reste à faire.
Le tabagisme a diminué considérablement depuis une
trentaine d’années, principalement grâce à l’adoption de
lois et de mesures en limitant son usage. Chez les adultes
de la région, la proportion de fumeurs est passée de 48 %
en 1980 à 19 % en 2012. Depuis, la situation a peu évolué.
Le recours à la cigarette électronique constitue un
élément à surveiller.
La consommation de fruits et de légumes demeure
insuffisante. Chez les adultes, 18 % ont une consommation
qui correspond aux plus récentes recommandations, soit
au moins sept portions (huit portions pour les hommes
de 18 à 50 ans). Il s’agit d’une baisse par rapport à 2007
(22 %). En contrepartie, 60 % des adultes consomment
moins de cinq portions par jour. Le manque d’idées pour
cuisiner les fruits et les légumes, le manque de temps
pour les préparer et les cuisiner sont les raisons les
plus fréquemment invoquées pour ne pas consommer
davantage de fruits et de légumes, chacun de ces
éléments étant mentionné par un adulte sur quatre.
Pour un adulte sur dix, le prix des fruits et des légumes
ou leur disponibilité à proximité de leur lieu de résidence
constitue un frein. Notons, en outre, que plus de
30 000 adultes de la région déclarent manquer de
nourriture ou s’inquiéter de la qualité, de la variété et de
la quantité disponible.
Chez les adultes, les niveaux d’activité physique stagnent.
Le quart des adultes de la région (24 %) sont considérés
comme sédentaires en 2013-2014, pratiquant des
activités physiques de loisir moins d’une fois par semaine.
À l’autre bout du spectre, 38 % des adultes sont considérés
comme actifs. Ceux ci pratiquent l’activité physique de
trois à sept jours par semaine, dans des séances pouvant
varier de 30 à 50 minutes, dépendamment de l’intensité
de l’effort. Le fait de considérer aussi le transport actif
pour se rendre au travail ou à l’école change peu ce profil,
la proportion de sédentaires diminuant d’un point de
pourcentage (23 %) et la proportion d’actifs augmentant
d’autant (39 %). Cette répartition a peu changé depuis
2005 et correspond à ce que l’on observe au Québec.
Le manque de temps, d’intérêt ou de motivation sont les
raisons les plus fréquemment invoquées pour ne pas faire
davantage d’activité physique. Les adultes de 18 à 44 ans
sont proportionnellement plus nombreux à invoquer le
manque de temps et le fait que l’offre d’activités ou les
horaires ne conviennent pas. Par ailleurs, le coût constitue
un frein pour 14 % des adultes.
« On estime que l’alcool est responsable
de 14,2 % du fardeau de la maladie chez les
hommes et de 3,4 % chez les femmes en
Amérique du Nord. Environ 2 % des décès
sont attribuables à l’alcool au Québec. »
(Institut national de santé publique du Québec, 2010 : 1).
« La consommation excessive d’alcool a
considérablement augmenté au cours des
dernières années au Québec. La proportion de
la population (de 12 ans et plus) consommant
de l’alcool de façon excessive est plus élevée au
Saguenay–Lac-Saint-Jean qu’elle ne l’est dans le
reste du Québec, et ce, depuis au moins 10 ans. »
(Tremblay, 2015a).
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202632
Près du tiers (32 %) des adultes de la région consomment
de l’alcool de façon excessive une fois par mois ou plus,
c’est-à-dire cinq consommations et plus au cours d’une
même occasion. De façon plus précise :
• 13 % des adultes consomment de façon excessive
une fois par mois et 19 %, plus d’une fois par mois;
• la proportion de consommateurs excessifs est plus élevée
chez les hommes et chez les jeunes adultes de 18 à 34 ans.
Outre les facteurs de protection et les facteurs de risque
reconnus présentés dans les pages précédentes, d’autres
comportements peuvent avoir des impacts négatifs sur la
santé. C’est le cas notamment des problèmes de sommeil,
et en particulier de l’insomnie, et des problèmes liés à la
consommation de médicaments.
L’insomnie se caractérise par une inhabileté à initier ou
à maintenir le sommeil. Elle peut aussi prendre la forme
de réveil matinal trop hâtif où la personne se réveille
plus tôt que prévu et n’arrive pas à se rendormir (Centers
for Disease Control and Prevention, 2012). Ce type de
problème, plus fréquent chez les femmes, peut avoir des
répercussions importantes sur la santé tant physique
que mentale.
De plus en plus d’études indiquent que les
problèmes de sommeil persistants accroissent
les risques de développer du diabète ou de
l’hypertension. L’insomnie est également
reconnue comme un facteur de risque de
dépression. De plus, elle accroît les risques
de récidive chez les individus déprimés.
Dans la région, l’insomnie affecte un adulte sur sept (14 %).
Il s’agit donc d’un problème relativement fréquent. Cela
s’explique en partie parce que plusieurs problèmes de
santé physique ou mentale peuvent affecter la qualité
et la quantité de sommeil. C’est le cas notamment des
problèmes chroniques de nature ostéo-articulaire et
respiratoire, mais aussi de l’anxiété et de la dépression.
Un peu plus d’une personne sur dix (13 %) vit de l’insécurité alimentaire.
Plus de trois personnes sur dix (32 %) ont des épisodes fréquents de consommation excessive d’alcool.
À peine deux personnes sur dix (18 %) adhèrent aux recommandations en ce qui concerne la consommation de fruits et légumes.
Plus de trois personnes sur dix (32 %) sont sédentaires.
Près de deux personnes sur dix (19 %) fument de façon occasionnelle ou régulière.
LES HABITUDES DE VIE EN BREF
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202633
Par ailleurs, l’utilisation accrue des technologies de
communication (téléphones intelligents, tablettes
électroniques, etc.) durant les heures précédant
l’endormissement peut perturber la production de
mélatonine pendant la nuit. Plusieurs études récentes y
voient un facteur susceptible d’accroître le risque d’impact
négatif sur la quantité et la qualité du sommeil.
La consommation de médicaments a augmenté
de façon significative au Québec au cours des
années 90.
Le recours grandissant à plusieurs types de
médicaments augmente considérablement le
risque d’interactions et d’effets indésirables.
Plus d’une personne âgée de 65 ans et plus sur deux (55 %)
déclarait avoir consommé quatre médicaments différents
ou plus au cours de l’année 2010-2011.
L’usage d’anxiolytiques, de sédatifs et d’hypnotiques tend
à diminuer chez les personnes âgées de 65 ans et plus
depuis quelques années, mais il demeure toutefois plus
important dans la région qu’au Québec. Entre 2000 et
2008, la proportion de personnes âgées qui consomment
ces types de psychotropes est passée de 41 % à 36 %
au Saguenay–Lac-Saint-Jean et de 34 % à 29 % dans
l’ensemble de la province.
En plus des problèmes de dépendance psychologique
et physique qu’elle entraîne, la consommation régulière
d’hypnotiques est un important facteur de risque de
chutes chez les personnes âgées : 9 % des 65 à 74 ans
et 17 % des 75 ans et plus déclarent avoir consommé
quotidiennement des médicaments prescrits pour dormir
au cours du dernier mois (2012).
La proportion de personnes âgées de 65 ans et plus
ayant au moins une ordonnance potentiellement non
appropriée demeure importante au Québec, et ce, malgré
la diminution observée au cours des dernières années.
Entre 2000 et 2006, cette proportion est passée de 35 %
à 30 % chez les aînés de la province. Cette proportion, à
l’instar de ce qui a été observé plus généralement en ce
qui concerne la consommation de médicaments, demeure
plus élevée dans la région. En effet, en 2006, le Saguenay–
Lac-Saint-Jean est la région du Québec qui enregistre la
plus forte proportion d’utilisateurs âgés ayant au moins
une ordonnance potentiellement inappropriée (37 %).
Les traumatismes non intentionnels
Le maintien de l’état de santé peut être entravé
par la survenue d’un accident. Les traumatismes
non intentionnels (TNI) regroupent l’ensemble
des blessures et des empoisonnements qui
surviennent de façon involontaire et qui sont
principalement attribuables à des accidents
survenus sur la route ou hors route, à domicile
ou lors d’activités récréatives ou sportives.
Dans la région, les TNI constituent la sixième cause d’hospi-
talisation (1 772 hospitalisations par année) et la cinquième
cause de décès (101 décès par an). De plus, comme une
partie importante de ces décès surviennent chez les moins
de 45 ans, les TNI occupent le troisième rang en ce qui a trait
à la mortalité prématurée, soit celle survenant avant 75 ans.
Deux groupes sont particulièrement touchés :
• la population masculine de moins de 40 ans, où les
TNI sont responsables de 29 % des hospitalisations
et 40 % des décès;
• les personnes âgées de 65 ans et plus, où les chutes
accidentelles sont fréquentes (653 hospitalisations
et 36 décès par année).
Chez les aînés, les chutes représentent 82 % des
hospitalisations et 71 % des décès par TNI, et les deux
tiers des cas surviennent chez des femmes.
Depuis le début des années 90, on remarque une
baisse importante des hospitalisations et des
décès suite à un accident de véhicule à moteur.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202634
Fait à noter, le taux de mortalité par TNI dans la région
est significativement plus élevé qu’au Québec. On
constate aussi une surmortalité régionale attribuable
aux accidents de véhicules à moteur ainsi qu’aux chutes
accidentelles. Par contre, depuis le début des années 90,
on remarque une baisse importante des hospitalisations
et des décès à la suite d’un accident de véhicule à moteur,
particulièrement chez les moins de 40 ans.
En ce qui a trait aux intoxications, le nombre d’appels
provenant de la région au Centre antipoison du Québec
est relativement stable depuis le début des années 2000
(environ 1 900 appels par année soit en moyenne cinq
par jour). Près de 90 % des appels sont en lien avec des
médicaments (53 %) et des produits domestiques (37 %).
Le tiers des appels concerne des enfants de 4 ans et moins.
Les risques associés au milieu de travail
Les lésions et les maladies professionnelles
s’inscrivent dans les grandes catégories de
problèmes de santé prioritaires qui peuvent
être évités par des actions préventives.
Depuis les années 2000, une diminution constante des
traumatismes et des problèmes de santé acceptés par la
Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST)
a été observée (Ministère de la Santé et des Services
sociaux, 2011). Certaines problématiques restent
toutefois prépondérantes, surtout en considérant que les
données de déclaration et d’indemnisation peuvent offrir
un portrait qui sous-estime le nombre réel de cas.
En 2013, 3 703 cas incidents de lésions professionnelles
concernant des travailleurs de la région ont été déclarés
et acceptés par la CSST. Les trois quarts de ces lésions
(75 %) surviennent chez les hommes. Deux groupes sont
particulièrement touchés : les hommes de 50 ans et plus
(32 % de tous les cas) et ceux âgés de 25 à 39 ans (21 %).
Les troubles musculosquelettiques sont les plus fréquents
et représentent le quart des lésions indemnisées par la
CSST dans la région. Dans un peu plus de la moitié des
cas, c’est le dos qui est touché et l’effort excessif qui est en
cause. Dans la région, 17 % des travailleurs ont, souvent
ou tout le temps, à manipuler des charges lourdes et 42 %
d’entre eux ont à poser des gestes répétitifs des mains et
des bras, deux conditions qui les rendent plus à risque de
souffrir de problèmes d’ordre musculosquelettique non
traumatiques liés au travail.
La surdité professionnelle est le deuxième problème de
santé le plus fréquent après les troubles musculosque-
lettiques, constituant 13 % des lésions indemnisées dans
la région. Entre 2003 et 2013, le nombre de nouveaux cas
acceptés par la CSST a plus que doublé. La surdité touche
presque exclusivement les hommes. De fait, 17 % d’entre
eux sont exposés au bruit en milieu de travail. Enfin, la
hausse de surdité professionnelle progressive est par-
ticulièrement marquée chez les travailleurs âgés de
55 ans et plus.
Dans la région, une proportion non négligeable des
travailleurs masculins sont soumis à des contraintes
physiques ou sont exposés à des contaminants. Ainsi, 14 %
utilisent des outils ou des équipements qui les exposent à
des vibrations des mains et des bras. De plus, environ un
travailleur sur dix est exposé aux solvants, à la poussière
de bois ou aux fumées de soudage.
Les cancers d’origine professionnelle
résultent de l’exposition, en milieu de travail,
à des agents biologiques, chimiques ou
physiques cancérogènes ou encore de
conditions inhérentes à une activité de travail.
Ils ne se seraient probablement pas développés
si les personnes qui en sont atteintes
n’avaient pas exercé ce travail
(Labrèche et autres, 2013a : 1).
De 3 % à 10 % de tous les nouveaux diagnostics de
cancer seraient liés, en totalité ou partiellement, à des
agents cancérogènes présents dans les milieux de travail
(Labrèche et autres, 2013b). Au Québec, les cancers du
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202635
poumon, de la vessie et de la peau demeurent les plus
fréquemment associés au travail.
Enfin, les travailleurs exposés à des contraintes
organisationnelles et psychosociales présentent un risque
deux fois plus élevé de détresse psychologique. C’est le
cas notamment de ceux qui travaillent dans un contexte
où l’autonomie décisionnelle est faible et la demande
psychologique élevée, une combinaison qui accroît les
risques de détresse psychologique (Vézina et autres, 2011).
Dans la région, en 2008, 14 % des travailleurs se trouvaient
dans une telle situation. De plus, le tiers des travailleurs
indiquent vivre un stress quotidien élevé au travail.
Les risques reliés à l’environnement
Dépendamment de la qualité des équipements
utilisés, le chauffage au bois peut contribuer à
une détérioration de la qualité de l’air extérieur
et de la qualité de l’air intérieur. Si tel est le
cas, cela peut contribuer à l’apparition ou au
développement de problèmes respiratoires,
tels l’asthme, la rhinite allergique hivernale, les
irritations et les infections des voies respiratoires.
Près du tiers des résidents de la région (30 %) utilisent
le bois pour chauffer leur domicile. Dans l’ensemble de
la région, la majorité (59 %) de ceux qui ont recours au
chauffage au bois l’utilise comme chauffage d’appoint. En
contrepartie, pour 36 % des résidents qui ont recours au
chauffage au bois, celui-ci constitue le principal moyen de
chauffage du domicile. Enfin, pour 4,8 % des utilisateurs,
le chauffage au bois constitue un chauffage d’urgence.
La santé des enfants, des femmes enceintes et des
personnes dont les voies respiratoires sont sensibles
s’avère tout particulièrement menacée par la fumée
secondaire de la cigarette. Heureusement, le tabagisme
diminue beaucoup depuis une vingtaine d’années. De plus,
les changements législatifs apportés au fil des ans font
que de moins en moins de personnes sont exposées à la
fumée secondaire. Néanmoins, en 2012, 17 % des adultes
vivaient dans un domicile où au moins une personne fumait
chaque jour ou presque à l’intérieur, ce qui est par contre
moins élevé que ce qui avait été observé en 2007 (28 %).
Les eaux de consommation, de refroidissement
ou récréatives, lorsque contaminées, peuvent
amener des effets négatifs sur la santé.
Dans la région :
• 7 % des adultes disent boire principalement de
l’eau qui provient d’un puits familial, généralement
moins surveillé;
• environ 62 % des adultes boivent principalement
l’eau du réseau municipal sans la filtrer;
• un adulte sur cinq boit principalement de
l’eau embouteillée commerciale (21 %).
La santé mentale
On estime qu’environ 76 % des adultes de la région ont
une santé mentale que l’on peut qualifier de florissante en
2011-2012.
Selon l’OMS, les troubles mentaux
représenteront la première cause de
morbidité dans le monde d’ici 2030.
Près d’une personne sur huit (14 %) est atteinte d’un
trouble mental au Saguenay–Lac-Saint-Jean en 2013-
2014, une proportion significativement plus élevée
que celle observée dans le reste du Québec (11 %). Les
femmes (15 %) sont, toutes proportions gardées, plus
nombreuses que les hommes (12 %) à souffrir d’un tel
problème de santé.
On estime qu’environ deux personnes sur dix seront atteintes d’un trouble mental au cours de leur vie.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202636
Les troubles anxio-dépressifs sont les troubles mentaux
les plus courants : près d’une personne sur dix (8 %) en
est atteinte dans la région en 2013-2014. Ces problèmes
de santé mentale sont beaucoup plus fréquents chez les
femmes (10 %) que chez les hommes (5 %). La prévalence
annuelle des troubles anxio-dépressifs augmente légère-
ment depuis une dizaine d’années dans la région, alors
qu’elle tend à diminuer au Québec (Tremblay, 2015b).
Environ 90 % des personnes décédées
par suicide souffrent d’un trouble mental,
souvent de dépression.
Dans la région comme au Québec, le taux de
suicide est en baisse depuis une dizaine d’années,
bien que cette diminution tende à ralentir.
« La diminution des taux de suicide amorcée au début
des années 2000 est particulièrement prononcée chez
les adolescents et les adolescentes, ainsi que chez les
hommes de 20 à 34 ans. » (Légaré, Gagné et Alix, 2016 : 2).
Somme toute, entre 2007 et 2011, on a recensé en
moyenne 43 suicides annuellement dans la région.
Les problèmes d’adaptation sociale
Dans la région, le quart des adultes évaluent leur niveau
de stress quotidien comme étant élevé. Le phénomène
touche davantage ceux âgés de moins de 45 ans, plus du
tiers d’entre eux considérant la plupart de leurs journées
comme étant plutôt ou extrêmement stressantes.
Au Canada, on estime que « les problèmes
de santé physique et mentale liés au stress
coûtent des milliards de dollars aux employeurs
en demandes de prestations d’invalidité
et en perte de productivité. Ils présentent
des défis pour le système de soins de santé
et sont une source de détresse pour
les travailleurs et leur famille »
(Crompton, 2011 : 54).
Entre 2005 et 2012, le taux de victimisation pour violence
conjugale dans la région a augmenté régulièrement et
s’est stabilisé depuis, alors que le taux a été relativement
stable au Québec. Malgré cette hausse, le Saguenay–Lac-
Saint-Jean est, en 2014, une des régions où le taux d’in-
fractions commises dans un contexte conjugal (236 pour
100 000 personnes) se situe sous la moyenne provinciale
(261 pour 100 000 personnes). Les infractions les plus
fréquentes sont les voies de fait (300 cas déclarés, 52 %
des infractions), le harcèlement criminel (128 cas, 22 %)
et les menaces (86 cas, 15 %). Les cas d’enlèvements ou
de séquestrations ainsi que les agressions sexuelles sont
plus rares. Les taux de victimisation sont quatre fois plus
élevés chez les femmes que chez les hommes. En ce qui a
trait à l’âge, les taux les plus élevés sont observés chez les
individus âgés de 18 à 39 ans.
On sait toutefois que ces données provenant du
ministère de la Sécurité publique du Québec sous-
estiment le phénomène. Selon l’Enquête sociale générale
réalisée par Statistique Canada en 2009, environ 40 %
seulement des résidents du Québec qui déclaraient avoir
subi de la violence conjugale au cours des cinq dernières
années avaient signalé l’incident aux autorités policières
(Ministère de la Sécurité publique, 2016 : 7). Ce qui permet
de supposer que le nombre de victimes est environ deux
fois et demie plus élevé que celui que l’on retrouve dans
les statistiques du ministère de la Sécurité publique.
L’environnement social
Pour plusieurs des problèmes mentionnés précédemment,
l’environnement social peut constituer un facteur de pro-
tection permettant de réduire l’incidence des problèmes
ou d’en atténuer les impacts lorsqu’un problème survient.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202637
Le réseau social, les relations interpersonnelles
constituent des actifs tant pour l’individu que
pour la communauté dans laquelle il évolue.
Plusieurs études ont démontré des liens
entre le soutien social, l’engagement social,
le bénévolat et le sentiment d’appartenance
à une communauté, d’une part, et divers
éléments de l’état de santé, d’autre part.
Le soutien social est reconnu comme un déterminant
important de l’état de santé et de bien-être des adultes
(Organisation mondiale de la Santé, 2005). Pour environ
les trois quarts des adultes de 18 à 74 ans de la région
(73 %), on peut qualifier la disponibilité du soutien social
comme étant élevée. En outre, cette disponibilité est
modérée pour un adulte sur cinq (20 %). Enfin, 7 % des
adultes de 18 à 74 ans ont un faible niveau de soutien
social. Ces derniers ont un risque accru d’avoir un
mauvais état de santé physique ou mentale. Les hommes
sont proportionnellement plus nombreux que les femmes
à avoir un soutien social faible ou modéré.
L’engagement social est aussi important. Plusieurs études
ont démontré que le bénévolat est associé à une meilleure
auto-évaluation de sa santé, à la satisfaction envers
sa vie, à un risque moindre de mortalité prématurée
et de détresse psychologique. En aidant les autres, les
bénévoles développent un réseau social plus fort, ce qui
réduit le stress et le risque de maladie. Dans la région,
un adulte sur quatre est membre actif ou bénévole
d’une association ou d’un organisme. Le tiers des adultes
bénévoles y consacrent de 5 à 15 heures par mois, alors
que le quart s’y adonnent 15 heures ou plus par mois.
Le sentiment d’appartenance à sa communauté locale peut
se définir comme le degré auquel un individu est, ou se
perçoit être, en relation avec sa communauté. Le sentiment
d’appartenance à la communauté est fortement associé
à l’état de santé autoévalué et est aussi associé à l’état de
santé mentale. Dans la région, une majorité d’adultes (63 %)
ont un très fort (16 %) ou plutôt fort (47 %) sentiment d’ap-
partenance à leur communauté locale. Fait à noter, la pro-
portion d’adultes qui ont un fort sentiment d’appartenance
à leur communauté locale est plus faible dans les territoires
plus urbains et plus élevée dans les territoires plus ruraux.
Dans la région, 71 % des adultes ont confiance dans
le développement futur de leur communauté locale.
Une proportion moindre d’individus (62 %) pense que
leur communauté locale est dynamique, que les gens
s’impliquent et se préoccupent de l’avenir de leur
communauté locale. Enfin, seulement 30 % des adultes
pensent qu’ils ont le pouvoir de changer les choses dans
leur communauté locale.
Tous les éléments mentionnés précédemment constituent
des atouts importants en ce qui a trait à la vitalité des
communautés et au bien-être de leurs habitants.
La prévention des maladies infectieuses
Les taux de couverture vaccinale chez les jeunes de
la région sont très bons. Plusieurs programmes de
vaccination ciblent spécifiquement les élèves de 4e année
du primaire (hépatite B et virus du papillome humain [VPH])
et de 3e secondaire (diphtérie, coqueluche et tétanos [dcaT],
varicelle et autres maladies évitables par la vaccination).
Les données indiquent que :
• la région obtient en 2012-2013 des taux de
vaccination supérieurs à 90 % pour chacun de ces
programmes, ce qui dépasse les cibles du MSSS;
• la proportion d’élèves de troisième secondaire
ayant un statut vaccinal complet pour l’âge
est de 92 % dans la région.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202638
Par contre, en ce qui a trait à la vaccination antigrippale, la
proportion de personnes âgées de 60 ans et plus vivant en
milieu ouvert (non institutionnalisé) qui ont été vaccinées
contre la grippe en 2014-2015 est de 55 % dans la région
alors que l’objectif du MSSS est de 80 %.
En ce qui a trait aux ITSS, les infections à chlamydia, la
gonorrhée et la syphilis sont en progression. En 2014, un
nombre record de 690 cas de chlamydia ont été déclarés,
sur un total de 751 cas d’ITSS. La chlamydia avait fait
l’objet de 489 déclarations par année en moyenne de 2009
à 2013. L’augmentation du nombre de tests de dépistage
à partir de spécimens urinaires plus acceptables pour
la clientèle, l’amélioration de la sensibilité des tests de
détection et une possible hausse du nombre réel de cas
pourraient expliquer la situation. Les pratiques sexuelles
à risque pourraient aussi être en cause. En effet, on
estime que seulement 44 % des 15 à 24 ans ayant de deux
à quatre partenaires utilisent toujours le condom.
Somme toute, les données indiquent, de plus, que :
• les déclarations d’infections à chlamydia
représentent environ 90 % des déclarations
d’ITSS en 2014, les groupes les plus vulnérables
sont les femmes et les jeunes de 15 à 24 ans;
• les 15 à 24 ans représentent 70 % de tous les cas
déclarés de chlamydia et 40 % de ceux de gonorrhée.
L’hépatite C demeure en augmentation chez les
personnes qui font usage de drogues par injection. Après
avoir connu une hausse dans la région du milieu des
années 90 au début des années 2000, l’incidence de cas
déclarés d’hépatite C semble stable depuis. Les nouveaux
cas déclarés chaque année viennent néanmoins s’ajouter
au bassin de personnes infectées et à risque d’être
atteintes d’une infection chronique pouvant mener à des
complications importantes. Non traitée, cette infection
peut conduire à une cirrhose hépatique, un cancer du
foie, voire le décès.
La prévalence de l’hépatite C au Saguenay–Lac-Saint-Jean
est de 0,3 %, ce qui correspond à environ 1 600 personnes
infectées qui vivent sur le territoire. Deux tiers des cas
déclarés sont de sexe masculin.
Le principal facteur de risque de cette infection est le
partage du matériel d’injection non stérile. Les autres
facteurs d’acquisition sont l’usage de drogues par
inhalation avec du matériel contaminé, les soins de santé à
l’étranger, les tatouages, les piercings faits avec des aiguilles
ou de l’encre contaminées, l’acupuncture et le partage
d’articles contaminés (brosses à dents, rasoirs, etc.).
Contractées au cours d’un épisode de soins dans
un établissement du réseau de la santé et des
services sociaux, les infections nosocomiales
constituent une cause majeure de complication
des soins. Elles ont notamment comme impact une
augmentation de la morbidité et de la mortalité,
une prolongation de l’hospitalisation et une
hausse importante des coûts de santé.
Les infections nosocomiales sont en diminution. L’inci-
dence de ces infections a diminué au Québec au cours
des dernières années, en raison d’un ensemble d’actions
de prévention et de contrôle réalisées de façon concertée
pour rendre les milieux de soins et d’hébergement moins
propices à leur éclosion. Dans la région, 18 éclosions
d’infections nosocomiales (Clostridium difficile, Staphy-
lococcus aureus résistant à la méthicilline, entérocoques
résistants à la vancomycine) ont été recensées en 2015,
dont 16 en centre hospitalier et 2 en centre d’héberge-
ment et de soins de longue durée (CHSLD). En comparai-
son, 13 éclosions ont été observées en 2014.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202639
La gestion des risques et des menaces pour la santé et la préparation aux urgences sanitaires
En vertu de la Loi sur la santé publique, les autorités de
santé publique ont le pouvoir d’intervenir pour protéger
la santé de la population lorsque des personnes ou des
groupes d’individus sont exposés à des agents de nature
biologique, chimique ou physique pouvant représenter
une menace à leur santé. À cette fin, une vigie sanitaire est
exercée afin de reconnaître en temps réel d’éventuelles
menaces à la santé et ainsi agir rapidement pour protéger
la population. Cette vigie s’exerce, entre autres, par
l’entremise des maladies à déclaration obligatoire
(MADO). Ce sont des intoxications, des infections ou des
maladies diagnostiquées par un médecin ou confirmées
par un laboratoire qui, selon la loi, doivent être déclarées
aux autorités de santé publique.
À la différence des MADO d’origine infectieuse, qui
nécessitent une confirmation par le laboratoire, les
MADO d’origine chimique doivent être déclarées par
le médecin clinicien dès qu’une atteinte clinique est
constatée et sans égard au résultat du laboratoire. En
dépit de cela, le nombre réel de MADO d’origine chimique
est sous-déclaré, comme démontré par différentes
enquêtes réalisées par les équipes de santé publique
(données non publiées).
Entre le 1er janvier 2011 et le 31 décembre 2015,
211 nouveaux épisodes de MADO d’origine chimique
ont été déclarés au Saguenay–Lac-Saint-Jean, soit une
moyenne d’environ 42 par année. Ces épisodes sont dus
majoritairement à une exposition professionnelle en
milieu de travail (109 épisodes, soit 52 % du total) et à une
exposition environnementale (85 épisodes, soit 40 % du
total). Il est plus rare que l’épisode résulte d’une exposition
à la fois environnementale et professionnelle (12 cas)
ou d’une exposition d’une autre nature (iatrogénique
ou indéterminée) (5 cas). Fait à noter, un épisode peut
impliquer plus d’une personne et peut être causé par plus
d’un agent chimique.
Le monoxyde de carbone est l’agent chimique le plus
souvent à la source de l’épisode, ayant été impliqué dans
84 des 211 épisodes recensés pendant la période 2011-
2015, soit 40 %. Dans la majorité des cas (71), l’intoxication
ou l’atteinte des systèmes résulte d’une exposition de
nature environnementale. Les sources de contaminant
les plus fréquentes sont les véhicules à moteur, les poêles
et les réfrigérateurs. Il est moins fréquent que l’épisode
soit dû à une exposition professionnelle (8 cas) ou à la fois
professionnelle et environnementale (4 cas).
L’amiante est le deuxième agent chimique le plus
souvent en cause, étant impliqué dans 23 % des épisodes
(48/211). Les maladies associées à ces épisodes sont,
par ordre d’importance, le mésothéliome (21 cas),
l’amiantose (18 cas) et le cancer du poumon (9 cas). Dans
la presque totalité des cas (44), il s’agit d’une exposition
professionnelle passée.
Le plomb est le troisième agent chimique le plus souvent
impliqué (18 cas), étant en cause dans 9 % des épisodes
recensés de 2011 à 2015. Dans la presque totalité des cas
(16/18), il s’agit d’une exposition en milieu de travail. La
silice est impliquée dans douze déclarations de silicose,
la presque totalité (11) étant d’origine professionnelle.
Le cobalt a été impliqué dans huit épisodes, la moitié de
ces cas étant d’origine professionnelle et l’autre moitié
d’origine environnementale. Enfin, dans quatre épisodes,
l’agent impliqué était le cadmium.
Les changements climatiques sont un
enjeu fondamental : répercussions sur
l’environnement naturel et les écosystèmes
(vague de températures extrêmes, nouveaux
vecteurs de maladie, etc.) qui peuvent
entraîner des conséquences sur la santé.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202640
Les MADO peuvent aussi résulter d’une exposition à
des agents de nature physique, notamment la chaleur
accablante, en milieu de travail ou dans l’environnement.
Les changements climatiques peuvent accentuer cette
problématique et accroître la fréquence et l’intensité des
événements météorologiques et climatiques extrêmes,
dont les journées de canicule.
Dans la région, au cours des étés 2012, 2013 et 2014,
quatre vagues de chaleur extrême ont été observées. Trois
d’entre elles ont duré trois jours et la quatrième a duré
quatre jours. Les températures maximales et minimales
moyennes ont atteint respectivement 32,1°C et 17,8°C.
En ce qui a trait aux impacts éventuels de ces vagues
de chaleur sur la santé de la population régionale1,
aucune différence significative sur le plan statistique
n’a été observée pour les taux bruts de décès et
d’hospitalisations, comparativement à une période de
comparaison2. Cependant, une hausse significative des
taux d’admissions à l’urgence (6 %) a été observée pendant
la vague de chaleur de 2012 (Lebel et Bustinza, 2013).
De plus, pendant la vague de chaleur de 2014, l’analyse a
révélé une augmentation significative (12 %) du taux de
transports ambulanciers dans la région, comparativement
aux périodes de comparaison. Ce fut le cas aussi dans les
deux autres régions du Québec qui ont connu des vagues
de chaleur pendant l’été 2014 (Bustinza et autres, 2015).
Des agents de nature biologique peuvent aussi constituer
une menace pour la santé de la population. En ce sens,
en raison du taux d’incidence des infections invasives à
méningocoque de sérogroupe B de cinq à sept fois plus élevé
dans la région qu’ailleurs au Québec chez les personnes
âgées de 20 ans et moins, une campagne de vaccination
ciblée contre le méningocoque de sérogroupe B a eu lieu
pour les jeunes de 2 mois à 20 ans résidant ou fréquentant
un établissement d’enseignement au Saguenay–Lac-Saint-
Jean. En date du 31 mars 2015, sur un nombre total de
59 195 jeunes ciblés résidant dans la région, 83 % avaient
reçu une dose et 75 % avaient reçu deux doses. Pour
les bébés âgés de moins d’un an qui nécessitent trois ou
quatre doses selon l’âge à la première dose, 75 % avaient
reçu trois doses et 0,1 % avait reçu quatre doses.
1 Ces impacts sont mesurés pendant la vague de chaleur extrême et les trois jours subséquents.2 Les périodes de comparaison ont été définies comme les mêmes jours de la semaine, correspondant aux dates les plus proches des jours de la vague
de chaleur, pendant les quatre années précédentes. Les périodes de comparaison ne doivent pas inclure des vagues de chaleur extrême.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202641
Sommaire des défis pour améliorer la santé de la population
Le vieillissement de la population : la population du Québec sera d’ici quelques années l’une des plus vieilles
du monde et ce phénomène de vieillissement démographique est tout particulièrement marqué au Saguenay–
Lac-Saint-Jean. Le vieillissement de la population conduira inévitablement à une hausse du nombre de personnes
aux prises avec des problèmes de santé. De plus, le fait que les personnes âgées aient une espérance de vie de plus
en plus longue accroît les probabilités qu’elles cumulent plusieurs maladies liées à l’âge et qu’elles développent
des incapacités.
La persistance des inégalités sociales de santé : l’écart entre les riches et les pauvres continue de s’accentuer
dans la plupart des pays développés et le Québec n’y fait pas exception (Pampalon et autres, 2013). Déterminant
des déterminants, les inégalités sociales ont un impact très important sur l’état de santé de la population, et ce, à
plusieurs égards, notamment sur la littératie en santé, les maladies chroniques et le vieillissement en santé.
La littératie en santé : on estime que six adultes sur dix ne possèdent pas les compétences nécessaires pour
répondre adéquatement à leurs besoins en santé et en soins de santé. La capacité de trouver, de comprendre,
d’évaluer et de communiquer des renseignements liés à la santé est essentielle au maintien d’habitudes de vie
saines, à la prise en charge des besoins en matière de santé et de ceux de sa famille, à la prise de décisions éclairées
concernant sa santé et à l’orientation au sein du système de soins de santé (Conseil canadien sur l’apprentissage, 2008).
Les maladies chroniques : dans la région, plus d’un adulte sur deux souffre d’au moins une maladie chronique.
La prévalence de plusieurs de ces problèmes de santé est en augmentation, en particulier chez des groupes d’âges
plus jeunes chez qui ces maladies sont généralement beaucoup moins fréquentes. L’apparition de la plupart de
ces problèmes de santé peut être évitée ou repoussée par de saines habitudes de vie.
La santé mentale : les préoccupations à l’égard de la santé mentale sont grandissantes. On estime qu’environ
une personne sur cinq sera atteinte d’un trouble mental au cours de sa vie. Qui plus est, la prévalence de certains
problèmes de santé mentale est en augmentation, à tel point qu’on estime qu’ils pourraient devenir, d’ici quelques
années, la première cause d’incapacité dans la population (Fleury et Grenier, 2012).
Les impacts des changements climatiques : le climat change, ce qui a un impact significatif sur la santé de
la population, et tout particulièrement chez les personnes âgées (vagues de chaleur extrême, feux de forêt,
catastrophes naturelles, etc.). Principalement engendrés par l’activité humaine, les changements climatiques vont
s’accentuer au Québec et dans le monde, selon un très large consensus scientifique actuel (Intergovernmental
Panel on Climat Change, 2014).
Les particularités locales : plusieurs enjeux sont partagés à l’échelle de la région, mais d’importantes
particularités sont observables pour chacun des six réseaux locaux de services et des communautés qui les
composent. Il y a donc des besoins spécifiques qui nécessitent des actions adaptées à ces différentes réalités.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202642
PRÉSENTATION DU PLAN D’ACTION RÉGIONAL DE SANTÉ PUBLIQUELE PNSP DÉFINIT L’OFFRE DE SERVICES EN SANTÉ PUBLIQUE ET PRÉVOIT DES RESPONSABILITÉS
TRIPARTITES AFIN D’ORIENTER LE DÉPLOIEMENT DES SERVICES PAR LE MSSS, L’INSPQ AINSI QUE
LES CISSS/CIUSSS. CE PROGRAMME EST ACCOMPAGNÉ DE CINQ PLANS D’ACTION THÉMATIQUES,
SOIT UN POUR CHAQUE AxE DU PNSP (FIGURE 7).
Le Plan d’action régional de santé publique est la
déclinaison régionale du PNSP, c’est-à-dire qu’il présente
le panier de services de base qui est sous la responsabilité
du CIUSSS pour maintenir et améliorer la santé et le bien-
être de la population du Saguenay–Lac-Saint-Jean. Il est
donc adapté aux besoins et au contexte régional.
Les acteurs de santé publique
Le directeur de santé publique est responsable de la mise
en œuvre du Programme national de santé publique
et des services qui y sont décrits dans les cinq plans
d’action thématiques qui l’accompagnent. Pour ce faire,
le directeur de santé publique coordonne une équipe de
professionnels qui travaillent sur diverses thématiques
au sein de la Direction de santé publique du CIUSSS, ce
sont les acteurs de santé publique.
Les services de santé publique
Les services offerts par la Direction de santé publique
sont de trois types : des services directs à la population,
des services de soutien ou des services de collaboration.
Les services directs à la population
Les services directs à la population visent l’ensemble de la
population ou des groupes d’individus qui présentent des
déterminants communs à différents problèmes de santé
évitables.
Dans ces services, le CIUSSS s’adresse directement à la
population ciblée :
• information et sensibilisation;
• interventions auprès de la population d’une
communauté ou d’un groupe d’individus;
• interventions de protection de la santé
et exercice des pouvoirs d’autorité.
SECTION 3
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202643
Les services de soutien
Il s’agit de services déployés à l’intention des acteurs
provenant du secteur de la santé et des services sociaux
et d’autres secteurs d’activités ou en collaboration avec
ceux-ci. Ici, l’action de santé publique est de soutenir la
prise de décision d’un partenaire dont les actions ont un
impact sur la santé de la population :
• expertise-conseil;
• partage de connaissances, dont des données
sur l’état de santé;
• formation;
• production et diffusion d’outils.
Les partenaires de santé publique
ACTEURS DE SANTÉ PUBLIQUE
Direction de santé publique (professionnels et médecins)
SERVICES DE SANTÉ PUBLIQUE
- Services directsà la population
- Soutien- Collaboration
Public – MSSS et autres organisationsdes paliers national et international :• Directions générales du MSSS• Instituts (INSPQ, INESS)• Ministères et organisations relevant
d’autres gouvernements• Etc.
Parapublic et privé – Réseau de la santéet des services sociaux et partenairesdes réseaux territoriaux de services :• Direction générale du CIUSSS• Organismes communautaires• Groupe de médecine de famille
et cliniques médicales• Pharmacies• Autres ressources privées• Etc.
Privé :• Ordres professionnels• Fédérations et associations professionnelles• Fondations• Etc.
PARTENAIRES DU SECTEUR DE LA SANTÉ ET DES SERVICES SOCIAUX
PARTENAIRES D'AUTRES SECTEURS D’ACTIVITÉ
Public :• Ministères et organismes gouvernementaux
responsables de différents secteurs (famille, éducation, solidarité sociale, travail, sécurité publique, bioalimentaire, aménagement du territoire, transports, environnement, développement économique)
• Municipalités locales et MRC • Ministères et organismes relevant
d’autres gouvernements • Etc.
Parapublic : • Réseaux (services de garde
éducatifs à l’enfance, éducation)
Privé : • Organisations à but non lucratif
(regroupements, associations)• Entreprises privées• Fondations • Etc.
Communautaire : • Organismes communautaires • Communautés locales • Groupes de citoyens • Etc.
Source : D’après Ministère de la Santé et des Services sociaux, 2015.
FIGURE 6
Les acteurs et les partenaires de santé publique
DÉFINITION DE
L’EXPERTISE-CONSEIL
Offrir de l’aide à la décision, par le transfert de
connaissances, le soutien au développement de
compétences, l’accompagnement dans l’analyse
ou l’émission d’avis professionnels et scientifiques.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202644
Les services de collaboration
Il s’agit pour la Direction de santé publique de s’associer
à un autre acteur dans l’exécution de son mandat. Cette
fois, le service offert relève davantage d’un travail de
synergie entre deux partenaires :
• animation ou participation à
des instances de concertation;
• contribution à l’organisation des services
de santé et des services sociaux préventifs;
• contribution à la planification et à la mise en
œuvre d’initiatives ou de politiques publiques;
• accompagnement;
• partenariat;
• intervention dans le cadre d’ententes formelles.
Les acteurs de santé publique disposent donc de plusieurs
moyens d’actions et d’influence, mais ne détiennent
pas tous les leviers pour agir sur les déterminants de la
santé. C’est pourquoi, ils doivent nécessairement être
en interaction constante avec différents partenaires,
qu’ils proviennent du réseau de la santé, d’une autre
direction du CIUSSS ou, plus fréquemment encore, de la
communauté élargie. Les partenaires de la Direction de
santé publique sont donc variés et peuvent provenir de
différents secteurs d’activités : public, gouvernemental,
parapublic, privé ou communautaire (figure 6).
La structure du Plan d’action régional de santé publique
En complément aux acteurs nationaux (MSSS et INSPQ)
et aux responsabilités qui leur sont dévolues, l’offre de
services de santé publique du CIUSSS du Saguenay–
Lac-Saint-Jean se décline, à l’instar du PNSP, autour de
quatre axes thématiques et d’un axe transversal, soit la
surveillance de l’état de santé de la population (figure 7).
FIGURE 7
Les axes thématiques du PNSPAXE 1
Le développement global des enfants et des jeunes
AXE 2
L’adoption des modes de vie et la création d’environnements sains et sécuritaires
AXE 3
AXE 4
La prévention des maladies infectieuses
La gestion des risques et des menaces pour la santé et la préparation aux urgences sanitaires
Surveillance continue de l’état de santé de la population et de ses déterm
inants
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202645
Rappelons aussi que plusieurs enjeux transversaux doivent être couverts par l’action de santé publique :
• le vieillissement de la population;
• les inégalités sociales de santé;
• la littératie en santé;
• la réalité autochtone;
• les changements climatiques.
Le panier de services
Le panier de services, prescrit par le PNSP et décliné dans
le PARSP, est un panier de base qui est offert à l’ensemble
de la population du Québec et qui se veut évolutif dans
le temps en fonction des problèmes émergents qui pour-
raient survenir et des nouvelles connaissances scientifi ques.
De nouvelles actions pourraient voir le jour, d’autres
pourraient être modifiées pour mieux répondre aux
besoins de la population. Ainsi, le CIUSSS entend saisir les
opportunités qui se présenteront dans le but d’améliorer
la santé et le bien-être de la population régionale.
Les actions
Les actions présentées dans le PARSP sont celles qui sont
sous la responsabilité du CIUSSS. Il faut toutefois savoir
que d’autres actions de santé publique sont réalisées à un
niveau plus central, soit par le MSSS ainsi que par l’INSPQ.
Plusieurs principes orientent concurremment les actions
du PARSP, c’est-à-dire les conditions à respecter dans
les interventions menant à l’amélioration de la santé et
au bien-être de la population :
• offrir des services reconnus efficaces, qui répondent
aux besoins exprimés et non exprimés de la population;
• faciliter l’accès aux services;
• améliorer les services déjà offerts,
renouveler et adapter l’offre de services;
• communiquer des messages pertinents,
cohérents, accessibles et efficaces;
• renforcer la capacité d’agir des personnes et
des communautés sur leur environnement et
de prendre en charge leur développement.
Les conditions de réalisation
Les priorités d’action et le choix des moyens pour les
réaliser répondent aux conditions suivantes :
• l’intégration des services de santé publique
au sein du continuum des services du CIUSSS;
• la cohérence dans l’intervention à travers des
plans ou des stratégies d’action qui s’adaptent
à la réalité du territoire;
• l’interdépendance de certaines actions qui
agissent simultanément sur un ensemble
de facteurs de risque ou de protection;
• la mise en œuvre d’actions réalistes et efficaces
qui tiennent compte du contexte financier et
de la disponibilité des ressources humaines.
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-202646
Les moyens pour réaliser l’action
Ainsi, les actions qui découlent du PNSP et des plans
d’action tripartites qui le complètent et qui sont sous la
responsabilité du CIUSSS sont déclinées dans le PARSP
sous forme de moyen plus opérationnels. Les moyens
retenus ne sont pas exhaustifs, mais sont davantage des
indicateurs macroscopiques permettant d’identifier la
mise en œuvre des actions à réaliser. Cependant, on y
retrouve de plus les moyens qui sont particuliers à la
région et qui peuvent s’adresser à une situation régionale
spécifique ou une vision particulière.
La stratégie d’évaluation
L’évaluation est une « démarche qui
consiste à porter un jugement de valeur
sur une intervention en mettant en œuvre
un dispositif permettant de fournir des
informations scientifiquement valides et
socialement légitimes sur cette intervention
ou sur n’importe laquelle de ses composantes
aux différents acteurs concernés, de façon
à ce qu’ils puissent, en fonction de leur
champ de jugement, prendre position sur
l’intervention et construire un jugement
qui puisse se traduire en actions »
(Contandriopoulos et autres, 2000).
L’évaluation du PARSP se réalise tout d’abord sous
la forme d’une reddition de comptes au MSSS et à la
population. Ensuite, la stratégie d’évaluation du MSSS
inclut des cibles et des objectifs nationaux à atteindre en
matière de services offerts et d’actions à réaliser.
Aussi, s’ajoutent des indicateurs et des cibles régionales
de mise en œuvre aussi bien pour les actions nationales à
portée régionale que pour les actions à portée strictement
régionale. Ces indicateurs peuvent rendre compte
spécifiquement que l’action a été réalisée, d’autres sont
des indicateurs dits « proxy » qui indiquent que l’action
est en cours de réalisation.
Un plan d’évaluation tenant compte des attentes
ministérielles et des besoins régionaux en termes de suivi
complétera le plan d’action régional afin d’en apprécier la
mise en œuvre et la performance.
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Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-2026121
GROUPE DE TRAVAIL AXE SSurveillance continue de l’état de santé de la population et de ses déterminants
Emmanuelle Arth
Ann Bergeron
Marie-Claude Clouston
René Lapierre
Fabien Tremblay
GROUPE DE TRAVAIL AXE 1 Le développement global des enfants et des jeunes
Caroline Benoit
Marie-Claude Clouston
Martine Fortin
René Larouche
Chantale Ménard
Chantal-Anne Moreau
Caroline Tremblay
GROUPE DE TRAVAIL AXE 2 L’adoption de modes de vie et la création d’environnements sains et sécuritaires
Emmanuelle Arth
Robert Colpron
Patrick Lapointe
Isabelle Leclerc
Stéphane Leclerc
Andre Marchand
Chantal-Anne Moreau
Kathleen Pelletier
David Simard
Caroline Tremblay
GROUPE DE TRAVAIL AXE 3 La prévention des maladies infectieuses
Sylvie Belley
Jean François Betala Belinga
Manon Brisebois
Hélène Gagné
Linda Gagnon
Lynn Potvin
GROUPE DE TRAVAIL AXE 4La gestion des risques et des menaces pour la santé et la préparation aux urgences sanitaires
Sylvie Belley
Jean François Betala Belinga
Harold Bherer
Hélène Gagné
Léon Larouche
Michel Savard
SECRÉTARIAT
Audrey Bolduc
Madeleine Tremblay
liste des COLLABORATRICES ETDES COLLABORATEURS
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1
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-2026122
liste des CONSULTATIONS
anneXe
2 7 JUIN 2016 Comité de gestion
9 JUIN 2016 Comité de coordination clinique
14 JUIN 2016 Professionnels des RLS La Baie et Jonquière
15 JUIN 2016 Partenaires externes La Baie; partenaires externes Jonquière
17 JUIN 2016 Professionnels des RLS Domaine-du-Roy et Maria-Chapdelaine;
partenaires externes Domaine-du-Roy
21 JUIN 2016 Partenaires externes Maria-Chapdelaine
22 JUIN 2016 Professionnels du RLS Lac-Saint-Jean-Est;
partenaires externes Lac-Saint-Jean-Est
28 JUIN 2016 Professionnels du RLS Chicoutimi
29 JUIN 2016 Partenaires externes Chicoutimi
5 JUILLET 2016 Direction du programme jeunesse
Plan d’action régional de santé Publique du Saguenay–Lac-Saint-Jean 2016-2026123
ADMINISTRATEUR EN CHEF DE LA SANTÉ PUBLIQUE (2008). Rapport de l’administrateur en chef de la santé publique sur l’état de la santé publique au Canada 2008 : S’attaquer aux inégalités sociales, Agence de la santé publique du Canada, Ottawa, 128 p.
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RÉGIONAL de santé Publique du saguenay–lac-saint-Jean