Revue presse Worldwide Festival Leysin 2013

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REVUE DE PRESSE LEYSIN 1 ère EDITION du 20 au 24 MARS 2013

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Gilles Peterson's Worldwide Festival in Leysin, first edition (march 20th-24th)

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REVUE DE PRESSE LEYSIN

1ère EDITION du 20 au 24 MARS 2013

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SOMMAIRE

PRESSE ECRITE

WEB RADIO / TV

p 1 - 9 p 10 - 14 p 15 - 28

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Page 4: Revue presse Worldwide Festival Leysin 2013

Titre : Metro Pays : Uk Tirage : 1 359 044 ex. Langue : Anglais

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Titre : Neue Zürcher Zeitung Pays : Suisse Tirage : 132 660 ex. Langue : Allemand

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Titre : Le Dauphiné Pays : France Tirage : 259 000 ex. Langue : Français

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I'r 'Llbéré Samedi 2 mars 2Ol3 page 13

F0stfigt*ffi\#3Y-[E-VIEUXiltlon de MyriamItrrntemporain, àrye, té1.) 63 43 75 site web.r//www.fondation-lon.com.rclassigue égyptienlorts espaces desns, rue de la Frassel l le de danse), ledi 2 mars de 14h 45 à5, organisé parciation Les Trèfles.t ignements au) 81 65 95.réommaries, tous les'edis. Marchéntaire et produi ts;. tél. 04 50 23 86 00reb.//www'mairie--r,-a^-. , :^ . . . , - f '

Zumides" pour fa i redécouvr i r les zoneshumides de la Haute-Savoie, té|. 06 26 0314 32site web.Http ://www.asters.asso.f r

Opératlon de sauvetage desamphiblens.Réserve naturel le du Boutdu Lac, opération desauvetage des crapaudsqui t tant la forêt pour al lerse reproduire dans leszones humides de laréserve naturelle, té|.

' 0626 0314 32 si te web.Http ://www.asters.asso.f rSalon de la créatlonartlsanaleJusqubu dimanche3 mars, salle Polyvalente,de nombreux art isans etcréateurs seront réunis àla sal le polyvalente deDoussard, pour présenterleurs oeuvres et créations.Ouverture des portessamedi de 14 h à 18 h etdimanchede9hà18h.Entrée l ibre.Collecte de sang moblleA la maison des

AlIlIEGY.[E.j

r+, La promotion de laversion hivernaledu Worldwide Festival est passée aux Glaisins

I e bar restaurant The Mar-L cel, installé aux Glaisins,recevait poru une soirée ex-ceptionnelle le DJ Gilles Pe-terson.

Cette soirée s'inscrit dansrme toumée gui amènera en-suite Gilles Peterson à Beme,Genève et Zurich pour la pro-motion de la version hiverna-fe du Worldwide Festivalgu'ilorganise à Lepin en Suissedtu 20 au24 môrs. Ce festival$riste à Sète depuis plusieurspnnées attirant une foule&glo -saxonne très importan-tÔ. Dans cette nouvelle ver-siôn, le public porura asso-cil'r, s'ille souhaite, skietmu-sfoue avec des forfai tsspéciaux. Le prognamme est

très riche avec notammentHudson Mohawke, Goldie,Mc GQ Rocket Numberline,Neneh Cherry, Machi-nedrum, LV Coreless, KarimaNôze, Benji B Lefto, Anush-ka, DJ Rashad, Deetron Sim-bad, Food For Ya Soul, Thris-tian bPm, Flako, Chief, Tiou-maca, Sassy J KalabreseRumpelsoundsystem, Ga-rfid,Fred Bemard, Romare, NgocLan, Blague & Dkair, Horasse& Lemonick... et Gilles Peter-son. Ce dernier s'est fait con-naître en lançant le label AcidJazz avec Eddie Piller. Ce la-bel a permis l'émergence denoms connus conrme BrandNew Heavies, Jamiroquai,Corduroy, le James Taylor

Quartet ou encore Snowboy.Gilles Peterson esi appré-

cié des inities pouravoirportéles couleurs de la Black Musicen remixant du jazz et de lasoul. Il est rlevenu une'légen-de dans lc monde musical etest actucllement propriétairede labels à Londres et propo-se r(rgulièrenrent des compi-lations de ses ceuwes.

De très nombreux adeptesde cette musique se sont ren-dus au Marccl pour une soi-rée unique ou Gilles Petersonproposait des mix de son cnraccompagné des Super-fr iends. Un moment restéinoubliable pourde ses fans.

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beaucoup

n.f,.Gilles Pebnon, aooompagné de Maud Couturier; se prépare pour cettesoiÉe exceptionnelle. phoro DUM.K

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Titre : 20 minutes Pays : Suisse Tirage : 210 000 ex. Langue : Français

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L es statistiques impressionnent :71 établissements, 3,5 millionsd’entrées annuelles, 400 créa-tions coproduites chaque saison.

Les Scènes nationales profitent deleur festival L’Effet Scènes (du 18 au24 mars) pour se livrer à une démons-tration de force, mettre en valeur leurrôle et leur réseau qui quadrille toutela France (exceptée la Corse).Le label Scène nationale a été créé en1991 par le ministère de la Culturepour pousser plus loin la décentralisa-tion opérée par les centres dramati-ques ou chorégraphiques nationaux(CDN) cantonnés dans les capitales ré-gionales. Cette deuxième générationde théâtres s’est, elle, installée dansdes villes moyennes avec une missionde diffusion sur les zones rurales envi-ronnantes. Quatre Scènes nationalesse sont successivement implantées enLanguedoc-Roussillon : à Alès (en1991), à Sète et Narbonne (en 1993),et récemment à Perpignan (en 2012).«L’irrigation du territoire qui com-plétera l’œuvre de décentralisation sefera sur notre réseau», affirme YvonTranchant. Directeur à Sète, il plaidepour une programmation «inscritedans la durée, produisant du sens,stimulant la curiosité grâce à desspectacles aboutis et, surtout, en évi-tant de faire des coups sans lende-main».

La danse au pays du rugby

La direction d’une scène nationale estmoins prestigieuse que celle, plusconvoitée, d’un CDN. Mais elle garan-tit davantage de stabilité. «La duréeest une chance pour installer une pro-grammation et créer une relation deconfiance avec le public. A Alès, leCratère est devenu une référence aufil des ans», commente Denis Lafau-rie. Ce vétéran, en poste depuis la nais-sance des Scènes nationales, se félici-te aussi de la prise de conscience descollectivités de tutelle : «Les élus se

sont rendu compte que la culture pou-vait constituer un axe essentiel pourle développement des villes, un vérita-ble investissement qui ne procédaitplus d’une gestion à la bonne fran-quette.»A Narbonne, Dominique Massadau ra-conte comment une population sanstradition théâtrale s’est «approprié »un équipement construit non loin dustade de rugby. La danse s’est alorsinstallée au pays de l’Ovalie.Jean-Claude Gallot, Maguy Marin, Ré-gine Chopinot : les grands chorégra-phes sont venus à Narbonne. ChaqueScène nationale possède une spécifici-té. Mais toutes sont pluridisciplinai-res : art dramatique, musique, cirque,danse...Patron de l’Archipel de Perpignan, letrès Catalan Domènec Reixac dévelop-

pe, lui, «une vocation transfrontaliè-re » avec l’Espagne, privilégiant l’iden-tité méditerranéenne, accueillant descompagnies régionales. Par le biais derésidences, les Scènes nationales ac-compagnent de nombreux artistes.Les coproductions permettent ausside rentabiliser les spectacles. La bais-se des subventions rend impérativecette mutualisation. C’est une spéciali-té de Sète qui possède une unité deproduction. Pour la saison 2014/2015,les quatre Scènes nationales de la ré-gion envisagent un beau partenariatavec le Théâtre national de l’Odéon àParis pour monter Les Fausses confi-dences avec Isabelle Huppert.Les scènes de province peuvent aussijouer les premiers rôles.

JEAN-MARIE [email protected]

FESTIVALL’Effet ScènesDu 18 au 24 mars, L’Effet Scènesdonne un coup de projecteur surla diversité de programmationdes Scènes nationales. Alès montrede la danse, Por un Fio. Narbonneprogramme une Semaine audoisedu jeune public mais aussi un ouvragelyrique, Tosca, présenté par L’OpéraNomade. Sète affiche L’Acteurnucléaire de Claude Buchwald, artisteassocié en résidence pour cettesaison. Perpignan accueille le festivalélectro Tilt ainsi qu’une pièce inspiréede La Chèvre de Monsieur Seguin,adaptée par Jean-Lambert Wild : Com-ment ai-je pu tenir là-dedans?

! www.scènes-nationales.fr

THÉÂTRE Le festival “L’Effet Scènes“ (18 au 24 mars) réunit 69 établissements

Quand les Scènes nationalesjouent les premiers rôlesLes quatre théâtres labellisés de la région unissent leurs forces. Gros plan sur ce réseau.

On vous savait fan de sport,pas de chanson. Commentest né ce livre?Les Editions du Rocher m’ontproposé des biographies desportifs mais j’ai préféré écriresur la chanson française, monautre passion. D’abord un Fer-rat, un choix de cœur, puis na-turellement Trenet. Pour lecentième anniversaire de sanaissance, je voulais lui rendrehommage et le remettre aucœur de nos vies. Je m’insurgeque l’on ne l’entende plus surles ondes, alors que sa cote estencore immense auprès du pu-blic.

D’où vous vient cet amourpour Charles Trenet?De son passage à l’Olympia en1975. J’ai été captivé par sesmélodies, sa manière si cour-toise d’introduire chaque chan-son, son immense respect de

la langue française. Malheureu-sement, je ne l’ai jamais ren-contré. Je le regrette. J’auraistellement aimé être une petitesouris et assister à ses déjeu-ners au Fouquet’s qui démar-raient à 13 h et s’achevaient à18 h. C’étaient, paraît-il, desinstants merveilleux, pétillantsd’intelligence et de drôleries.

Qu’est-ce qui vous séduitautant chez Trenet?Il y a deux Trenet, l’un mélan-colique qui n’a pas été très heu-reux dans sa vie et l’autre gaiet joyeux. Le premier se ca-chait dans ses chansons. Jen’ai pas voulu faire une biogra-phie mais une déclarationd’amour, un portrait en chan-sons, car elles expliquentmieux que tout quel homme ilétait. Sa ponctualité légendai-re, son côté maniaque… Fidè-le par exemple est sans doute

l’une des plus autobiographi-ques. Mais plus qu’un chan-teur, Trenet était un poète etun grand musicien. Un créa-teur. Pour ce livre, je me suisreplongé avec délectationdans son œuvre. Et puis Tre-net, c’est l’homme d’un pays,d’une région. Je pense tou-jours en écoutant La Mer com-ment il a écrit ce texte dans untrain qui longeait la Méditerra-née et les étangs…

Votre chanson préférée?Fidèle car c’est celle qui illus-tre le plus son amour des pré-noms et des paysages. Maisj’aime aussi des moinsconnues : Mon cœur s’envole,Marie tu dors ou Gilles, jet’achète une automobile. Cesont des merveilles. La vie deTrenet après 1971 me touchebeaucoup.

Recueilli par LAURE JOANIN

Cette nuit, aux Angles, Elisado Brasil était aux platinespour la dernière étape de Ga-rosnow. Mercredi prochain, àLeysin, en Suisse, le festivalSétois Worldwide de Gilles Pe-terson lance son pendant hi-vernal. À la fin du mois, en An-dorre, Electrosnow proposeaussi sa première édition avecune pléthore de DJs. C’est latendance: les stations de ski,soucieuses de diversification,s’ouvrent aux festivals.«Cela permet de renouveler lafréquentation touristique. Laconcurrence fait rage et cer-taines ont une baisse impor-tante de clientèle», analyseBoris Picq de SnapShot, struc-ture montpelliéraine qui orga-nise le Worldwide.«Pour nous, l’idée c’est de sedonner rendez-vous sur lespentes enneigées avec une dé-marche artistique atypique,comme à Sète», résume l’orga-nisateur. Avec trois rendez-vous : l’après-midi en haut despistes sur la terrasse d’unresto-tournant, en début desoirée en bas des pistes et lanuit dans un club de tenniscouvert customisé en salle despectacle. Pour Leyzin, c’estl’équipe montpelliéraine qui adémarché la commune.«Gilles Péterson est franco-suisse et connaît bien le sec-teur. Quand on est arrivés,ils se sont dits : “C’est qui cescow-boys?”, rigole Boris Picq.On leur a montré ce que l’onfait à Sète et le projet a été va-lidé par les habitants.»Pour SnapShot aussi, c’estune façon de se diversifier et,en temps de crise, d’embau-cher. «Le succès commercialde l’édition de Sète nous per-met de lancer Leysin et de re-cruter, nous sommes désor-mais dix personnes.»

Y. P.

PratiqueWorldwide de Leysin sedéroule du 20 au 24 mars.Fidèle à sa philosophied’éclectisme musical,le festival alterne têtesd’affiche (Neneh Cherry,Nôze, Goldie...) etdernières trouvailles deGilles Peterson (Troumaca,Karizma, etc.), le maestroétant bien évidemment là.Infos et tarifs :www.worldwidefestival.comElectroSnow, stationGandvalira en Andorre,les 30, 31 mars et 1er avril,table plus sur les grossespointures techno (MissKittin, Michael Mayer,Carl Craig...). Site :www.electrosnow.com

Les clubbersfont du ski

LIVRE Il publie “Le Roman de Charles Trenet“ aux Editions du Rocher

TENDANCE

" Le Worldwide lance sa versionhivernale en Suisse, à Leysin. DR

" Monfort : « Je m’insurge qu’on n’entende plus Trenet à la radio. » R.d.H

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Nelson Monfort déclare sa flamme à TrenetLe journaliste sportif écrit une biographie du fou chantant qui aurait eu cent ans cette année.

MidiLibre midilibre.frDIMANCHE 17 MARS 2013

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L es statistiques impressionnent :71 établissements, 3,5 millionsd’entrées annuelles, 400 créa-tions coproduites chaque saison.

Les Scènes nationales profitent deleur festival L’Effet Scènes (du 18 au24 mars) pour se livrer à une démons-tration de force, mettre en valeur leurrôle et leur réseau qui quadrille toutela France (exceptée la Corse).Le label Scène nationale a été créé en1991 par le ministère de la Culturepour pousser plus loin la décentralisa-tion opérée par les centres dramati-ques ou chorégraphiques nationaux(CDN) cantonnés dans les capitales ré-gionales. Cette deuxième générationde théâtres s’est, elle, installée dansdes villes moyennes avec une missionde diffusion sur les zones rurales envi-ronnantes. Quatre Scènes nationalesse sont successivement implantées enLanguedoc-Roussillon : à Alès (en1991), à Sète et Narbonne (en 1993),et récemment à Perpignan (en 2012).«L’irrigation du territoire qui com-plétera l’œuvre de décentralisation sefera sur notre réseau», affirme YvonTranchant. Directeur à Sète, il plaidepour une programmation «inscritedans la durée, produisant du sens,stimulant la curiosité grâce à desspectacles aboutis et, surtout, en évi-tant de faire des coups sans lende-main».

La danse au pays du rugby

La direction d’une scène nationale estmoins prestigieuse que celle, plusconvoitée, d’un CDN. Mais elle garan-tit davantage de stabilité. «La duréeest une chance pour installer une pro-grammation et créer une relation deconfiance avec le public. A Alès, leCratère est devenu une référence aufil des ans», commente Denis Lafau-rie. Ce vétéran, en poste depuis la nais-sance des Scènes nationales, se félici-te aussi de la prise de conscience descollectivités de tutelle : «Les élus se

sont rendu compte que la culture pou-vait constituer un axe essentiel pourle développement des villes, un vérita-ble investissement qui ne procédaitplus d’une gestion à la bonne fran-quette.»A Narbonne, Dominique Massadau ra-conte comment une population sanstradition théâtrale s’est «approprié »un équipement construit non loin dustade de rugby. La danse s’est alorsinstallée au pays de l’Ovalie.Jean-Claude Gallot, Maguy Marin, Ré-gine Chopinot : les grands chorégra-phes sont venus à Narbonne. ChaqueScène nationale possède une spécifici-té. Mais toutes sont pluridisciplinai-res : art dramatique, musique, cirque,danse...Patron de l’Archipel de Perpignan, letrès Catalan Domènec Reixac dévelop-

pe, lui, «une vocation transfrontaliè-re » avec l’Espagne, privilégiant l’iden-tité méditerranéenne, accueillant descompagnies régionales. Par le biais derésidences, les Scènes nationales ac-compagnent de nombreux artistes.Les coproductions permettent ausside rentabiliser les spectacles. La bais-se des subventions rend impérativecette mutualisation. C’est une spéciali-té de Sète qui possède une unité deproduction. Pour la saison 2014/2015,les quatre Scènes nationales de la ré-gion envisagent un beau partenariatavec le Théâtre national de l’Odéon àParis pour monter Les Fausses confi-dences avec Isabelle Huppert.Les scènes de province peuvent aussijouer les premiers rôles.

JEAN-MARIE [email protected]

FESTIVALL’Effet ScènesDu 18 au 24 mars, L’Effet Scènesdonne un coup de projecteur surla diversité de programmationdes Scènes nationales. Alès montrede la danse, Por un Fio. Narbonneprogramme une Semaine audoisedu jeune public mais aussi un ouvragelyrique, Tosca, présenté par L’OpéraNomade. Sète affiche L’Acteurnucléaire de Claude Buchwald, artisteassocié en résidence pour cettesaison. Perpignan accueille le festivalélectro Tilt ainsi qu’une pièce inspiréede La Chèvre de Monsieur Seguin,adaptée par Jean-Lambert Wild : Com-ment ai-je pu tenir là-dedans?

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THÉÂTRE Le festival “L’Effet Scènes“ (18 au 24 mars) réunit 69 établissements

Quand les Scènes nationalesjouent les premiers rôlesLes quatre théâtres labellisés de la région unissent leurs forces. Gros plan sur ce réseau.

On vous savait fan de sport,pas de chanson. Commentest né ce livre?Les Editions du Rocher m’ontproposé des biographies desportifs mais j’ai préféré écriresur la chanson française, monautre passion. D’abord un Fer-rat, un choix de cœur, puis na-turellement Trenet. Pour lecentième anniversaire de sanaissance, je voulais lui rendrehommage et le remettre aucœur de nos vies. Je m’insurgeque l’on ne l’entende plus surles ondes, alors que sa cote estencore immense auprès du pu-blic.

D’où vous vient cet amourpour Charles Trenet?De son passage à l’Olympia en1975. J’ai été captivé par sesmélodies, sa manière si cour-toise d’introduire chaque chan-son, son immense respect de

la langue française. Malheureu-sement, je ne l’ai jamais ren-contré. Je le regrette. J’auraistellement aimé être une petitesouris et assister à ses déjeu-ners au Fouquet’s qui démar-raient à 13 h et s’achevaient à18 h. C’étaient, paraît-il, desinstants merveilleux, pétillantsd’intelligence et de drôleries.

Qu’est-ce qui vous séduitautant chez Trenet?Il y a deux Trenet, l’un mélan-colique qui n’a pas été très heu-reux dans sa vie et l’autre gaiet joyeux. Le premier se ca-chait dans ses chansons. Jen’ai pas voulu faire une biogra-phie mais une déclarationd’amour, un portrait en chan-sons, car elles expliquentmieux que tout quel homme ilétait. Sa ponctualité légendai-re, son côté maniaque… Fidè-le par exemple est sans doute

l’une des plus autobiographi-ques. Mais plus qu’un chan-teur, Trenet était un poète etun grand musicien. Un créa-teur. Pour ce livre, je me suisreplongé avec délectationdans son œuvre. Et puis Tre-net, c’est l’homme d’un pays,d’une région. Je pense tou-jours en écoutant La Mer com-ment il a écrit ce texte dans untrain qui longeait la Méditerra-née et les étangs…

Votre chanson préférée?Fidèle car c’est celle qui illus-tre le plus son amour des pré-noms et des paysages. Maisj’aime aussi des moinsconnues : Mon cœur s’envole,Marie tu dors ou Gilles, jet’achète une automobile. Cesont des merveilles. La vie deTrenet après 1971 me touchebeaucoup.

Recueilli par LAURE JOANIN

Cette nuit, aux Angles, Elisado Brasil était aux platinespour la dernière étape de Ga-rosnow. Mercredi prochain, àLeysin, en Suisse, le festivalSétois Worldwide de Gilles Pe-terson lance son pendant hi-vernal. À la fin du mois, en An-dorre, Electrosnow proposeaussi sa première édition avecune pléthore de DJs. C’est latendance: les stations de ski,soucieuses de diversification,s’ouvrent aux festivals.«Cela permet de renouveler lafréquentation touristique. Laconcurrence fait rage et cer-taines ont une baisse impor-tante de clientèle», analyseBoris Picq de SnapShot, struc-ture montpelliéraine qui orga-nise le Worldwide.«Pour nous, l’idée c’est de sedonner rendez-vous sur lespentes enneigées avec une dé-marche artistique atypique,comme à Sète», résume l’orga-nisateur. Avec trois rendez-vous : l’après-midi en haut despistes sur la terrasse d’unresto-tournant, en début desoirée en bas des pistes et lanuit dans un club de tenniscouvert customisé en salle despectacle. Pour Leyzin, c’estl’équipe montpelliéraine qui adémarché la commune.«Gilles Péterson est franco-suisse et connaît bien le sec-teur. Quand on est arrivés,ils se sont dits : “C’est qui cescow-boys?”, rigole Boris Picq.On leur a montré ce que l’onfait à Sète et le projet a été va-lidé par les habitants.»Pour SnapShot aussi, c’estune façon de se diversifier et,en temps de crise, d’embau-cher. «Le succès commercialde l’édition de Sète nous per-met de lancer Leysin et de re-cruter, nous sommes désor-mais dix personnes.»

Y. P.

PratiqueWorldwide de Leysin sedéroule du 20 au 24 mars.Fidèle à sa philosophied’éclectisme musical,le festival alterne têtesd’affiche (Neneh Cherry,Nôze, Goldie...) etdernières trouvailles deGilles Peterson (Troumaca,Karizma, etc.), le maestroétant bien évidemment là.Infos et tarifs :www.worldwidefestival.comElectroSnow, stationGandvalira en Andorre,les 30, 31 mars et 1er avril,table plus sur les grossespointures techno (MissKittin, Michael Mayer,Carl Craig...). Site :www.electrosnow.com

Les clubbersfont du ski

LIVRE Il publie “Le Roman de Charles Trenet“ aux Editions du Rocher

TENDANCE

" Le Worldwide lance sa versionhivernale en Suisse, à Leysin. DR

" Monfort : « Je m’insurge qu’on n’entende plus Trenet à la radio. » R.d.H

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Nelson Monfort déclare sa flamme à TrenetLe journaliste sportif écrit une biographie du fou chantant qui aurait eu cent ans cette année.

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L es statistiques impressionnent :71 établissements, 3,5 millionsd’entrées annuelles, 400 créa-tions coproduites chaque saison.

Les Scènes nationales profitent deleur festival L’Effet Scènes (du 18 au24 mars) pour se livrer à une démons-tration de force, mettre en valeur leurrôle et leur réseau qui quadrille toutela France (exceptée la Corse).Le label Scène nationale a été créé en1991 par le ministère de la Culturepour pousser plus loin la décentralisa-tion opérée par les centres dramati-ques ou chorégraphiques nationaux(CDN) cantonnés dans les capitales ré-gionales. Cette deuxième générationde théâtres s’est, elle, installée dansdes villes moyennes avec une missionde diffusion sur les zones rurales envi-ronnantes. Quatre Scènes nationalesse sont successivement implantées enLanguedoc-Roussillon : à Alès (en1991), à Sète et Narbonne (en 1993),et récemment à Perpignan (en 2012).«L’irrigation du territoire qui com-plétera l’œuvre de décentralisation sefera sur notre réseau», affirme YvonTranchant. Directeur à Sète, il plaidepour une programmation «inscritedans la durée, produisant du sens,stimulant la curiosité grâce à desspectacles aboutis et, surtout, en évi-tant de faire des coups sans lende-main».

La danse au pays du rugby

La direction d’une scène nationale estmoins prestigieuse que celle, plusconvoitée, d’un CDN. Mais elle garan-tit davantage de stabilité. «La duréeest une chance pour installer une pro-grammation et créer une relation deconfiance avec le public. A Alès, leCratère est devenu une référence aufil des ans», commente Denis Lafau-rie. Ce vétéran, en poste depuis la nais-sance des Scènes nationales, se félici-te aussi de la prise de conscience descollectivités de tutelle : «Les élus se

sont rendu compte que la culture pou-vait constituer un axe essentiel pourle développement des villes, un vérita-ble investissement qui ne procédaitplus d’une gestion à la bonne fran-quette.»A Narbonne, Dominique Massadau ra-conte comment une population sanstradition théâtrale s’est «approprié »un équipement construit non loin dustade de rugby. La danse s’est alorsinstallée au pays de l’Ovalie.Jean-Claude Gallot, Maguy Marin, Ré-gine Chopinot : les grands chorégra-phes sont venus à Narbonne. ChaqueScène nationale possède une spécifici-té. Mais toutes sont pluridisciplinai-res : art dramatique, musique, cirque,danse...Patron de l’Archipel de Perpignan, letrès Catalan Domènec Reixac dévelop-

pe, lui, «une vocation transfrontaliè-re » avec l’Espagne, privilégiant l’iden-tité méditerranéenne, accueillant descompagnies régionales. Par le biais derésidences, les Scènes nationales ac-compagnent de nombreux artistes.Les coproductions permettent ausside rentabiliser les spectacles. La bais-se des subventions rend impérativecette mutualisation. C’est une spéciali-té de Sète qui possède une unité deproduction. Pour la saison 2014/2015,les quatre Scènes nationales de la ré-gion envisagent un beau partenariatavec le Théâtre national de l’Odéon àParis pour monter Les Fausses confi-dences avec Isabelle Huppert.Les scènes de province peuvent aussijouer les premiers rôles.

JEAN-MARIE [email protected]

FESTIVALL’Effet ScènesDu 18 au 24 mars, L’Effet Scènesdonne un coup de projecteur surla diversité de programmationdes Scènes nationales. Alès montrede la danse, Por un Fio. Narbonneprogramme une Semaine audoisedu jeune public mais aussi un ouvragelyrique, Tosca, présenté par L’OpéraNomade. Sète affiche L’Acteurnucléaire de Claude Buchwald, artisteassocié en résidence pour cettesaison. Perpignan accueille le festivalélectro Tilt ainsi qu’une pièce inspiréede La Chèvre de Monsieur Seguin,adaptée par Jean-Lambert Wild : Com-ment ai-je pu tenir là-dedans?

! www.scènes-nationales.fr

THÉÂTRE Le festival “L’Effet Scènes“ (18 au 24 mars) réunit 69 établissements

Quand les Scènes nationalesjouent les premiers rôlesLes quatre théâtres labellisés de la région unissent leurs forces. Gros plan sur ce réseau.

On vous savait fan de sport,pas de chanson. Commentest né ce livre?Les Editions du Rocher m’ontproposé des biographies desportifs mais j’ai préféré écriresur la chanson française, monautre passion. D’abord un Fer-rat, un choix de cœur, puis na-turellement Trenet. Pour lecentième anniversaire de sanaissance, je voulais lui rendrehommage et le remettre aucœur de nos vies. Je m’insurgeque l’on ne l’entende plus surles ondes, alors que sa cote estencore immense auprès du pu-blic.

D’où vous vient cet amourpour Charles Trenet?De son passage à l’Olympia en1975. J’ai été captivé par sesmélodies, sa manière si cour-toise d’introduire chaque chan-son, son immense respect de

la langue française. Malheureu-sement, je ne l’ai jamais ren-contré. Je le regrette. J’auraistellement aimé être une petitesouris et assister à ses déjeu-ners au Fouquet’s qui démar-raient à 13 h et s’achevaient à18 h. C’étaient, paraît-il, desinstants merveilleux, pétillantsd’intelligence et de drôleries.

Qu’est-ce qui vous séduitautant chez Trenet?Il y a deux Trenet, l’un mélan-colique qui n’a pas été très heu-reux dans sa vie et l’autre gaiet joyeux. Le premier se ca-chait dans ses chansons. Jen’ai pas voulu faire une biogra-phie mais une déclarationd’amour, un portrait en chan-sons, car elles expliquentmieux que tout quel homme ilétait. Sa ponctualité légendai-re, son côté maniaque… Fidè-le par exemple est sans doute

l’une des plus autobiographi-ques. Mais plus qu’un chan-teur, Trenet était un poète etun grand musicien. Un créa-teur. Pour ce livre, je me suisreplongé avec délectationdans son œuvre. Et puis Tre-net, c’est l’homme d’un pays,d’une région. Je pense tou-jours en écoutant La Mer com-ment il a écrit ce texte dans untrain qui longeait la Méditerra-née et les étangs…

Votre chanson préférée?Fidèle car c’est celle qui illus-tre le plus son amour des pré-noms et des paysages. Maisj’aime aussi des moinsconnues : Mon cœur s’envole,Marie tu dors ou Gilles, jet’achète une automobile. Cesont des merveilles. La vie deTrenet après 1971 me touchebeaucoup.

Recueilli par LAURE JOANIN

Cette nuit, aux Angles, Elisado Brasil était aux platinespour la dernière étape de Ga-rosnow. Mercredi prochain, àLeysin, en Suisse, le festivalSétois Worldwide de Gilles Pe-terson lance son pendant hi-vernal. À la fin du mois, en An-dorre, Electrosnow proposeaussi sa première édition avecune pléthore de DJs. C’est latendance: les stations de ski,soucieuses de diversification,s’ouvrent aux festivals.«Cela permet de renouveler lafréquentation touristique. Laconcurrence fait rage et cer-taines ont une baisse impor-tante de clientèle», analyseBoris Picq de SnapShot, struc-ture montpelliéraine qui orga-nise le Worldwide.«Pour nous, l’idée c’est de sedonner rendez-vous sur lespentes enneigées avec une dé-marche artistique atypique,comme à Sète», résume l’orga-nisateur. Avec trois rendez-vous : l’après-midi en haut despistes sur la terrasse d’unresto-tournant, en début desoirée en bas des pistes et lanuit dans un club de tenniscouvert customisé en salle despectacle. Pour Leyzin, c’estl’équipe montpelliéraine qui adémarché la commune.«Gilles Péterson est franco-suisse et connaît bien le sec-teur. Quand on est arrivés,ils se sont dits : “C’est qui cescow-boys?”, rigole Boris Picq.On leur a montré ce que l’onfait à Sète et le projet a été va-lidé par les habitants.»Pour SnapShot aussi, c’estune façon de se diversifier et,en temps de crise, d’embau-cher. «Le succès commercialde l’édition de Sète nous per-met de lancer Leysin et de re-cruter, nous sommes désor-mais dix personnes.»

Y. P.

PratiqueWorldwide de Leysin sedéroule du 20 au 24 mars.Fidèle à sa philosophied’éclectisme musical,le festival alterne têtesd’affiche (Neneh Cherry,Nôze, Goldie...) etdernières trouvailles deGilles Peterson (Troumaca,Karizma, etc.), le maestroétant bien évidemment là.Infos et tarifs :www.worldwidefestival.comElectroSnow, stationGandvalira en Andorre,les 30, 31 mars et 1er avril,table plus sur les grossespointures techno (MissKittin, Michael Mayer,Carl Craig...). Site :www.electrosnow.com

Les clubbersfont du ski

LIVRE Il publie “Le Roman de Charles Trenet“ aux Editions du Rocher

TENDANCE

" Le Worldwide lance sa versionhivernale en Suisse, à Leysin. DR

" Monfort : « Je m’insurge qu’on n’entende plus Trenet à la radio. » R.d.H

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Nelson Monfort déclare sa flamme à TrenetLe journaliste sportif écrit une biographie du fou chantant qui aurait eu cent ans cette année.

MidiLibre midilibre.frDIMANCHE 17 MARS 2013

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Titre : Midi Libre Pays : France Tirage : 155 026 ex. Langue : Français

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Titre : Eco des Pays de Savoie Pays : France Tirage : 12 000 ex. Langue : Français

PRESSE

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Titre : L’Essor Savoyard Pays : France Tirage : 6 400 ex. Langue : Français

Titre :Sonomag Pays : France Tirage : non communiqué Langue : Français

PRESSE

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TV-RADIO

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1Du 27 mars au 3 avril 2013 - N° 653 - www.leregional.ch

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Vevey est champion romandEmmené par son attaquant vedette Fabien Favre, Vevey a écrasé Lancy-Chênois 33 à 19 dimanche 24 mars. En gagnant son ultime rencontre de la saison, le club de la Riviera devient champion romand de 2e ligue et obtient sa promotion en 1re ligue Suisse. Face à ce nouveau défi, le club devra se doter des moyens financiers nécessaires à renforcer l’équipe s’il veut affronter ses futurs adversaires à armes égales. Le point avec son président. page 26

S.Trolliet

Du 28 mars au 3 avril 2013 - N° 653- www.leregional.ch

Ça déraille aux CFF

A chaque augmentation de leurs tarifs, les CFF expliquent avoir de hautes exigences pour la sécurité des voya-geurs. Mais, au vu des der-niers événements, nous comprenons enfin pourquoi les trains suisses sont si chers. Il suffit de reprendre le faux syllogisme des CFF: Dérailler coûte cher! Les bons trains ne déraillent pas. Donc les bons trains ne coûtent pas cher... Ah! ...mais alors, ils sont où ceux-là?Mais l’on peut adopter une autre logique. Les bons trains coûtent cher! Les bons trains qui déraillent coûtent encore plus cher. Donc, plus on déraille aux CFF ...mieux ça vaut.. car ça rapporte.Allons-nous vers un bonus au déraillement?Les CFF travaillent sur une puce permettant le paiement automatique de chaque ticket. Prévoient-ils dans ce déve-loppement que les voyageurs ne soient débités que lorsque les trains sont à l’heure, sans dérailler ni collision, aussi minime soit-elle? A moins que la logique continue et qu’ils soient débités deux fois au moindre incident? Affaire à suivre sur la bonne voie sans trop dérailler! Nina Brissot

OPINION

DR

Bex célèbre la gym et l’amourDu 11 au 13 avril, le gala annuel de la société de Gym de Bex rassemblera 1000 personnes pour un spectacle alliant gym rythmique et ballets chorégraphiques, sur fond d’histoire d’amour. page 26

Pully a mal à ses trainsLe Conseil communal octroie 4.3 mil-lions au réaménagement de la gare. Mais des critiques s’élèvent contre la desserte de la ville: «Deux trains par heure, c’est peu!». page 7

Collombey s’inquièteLa faillite de Magro menace 60 emplois à Collombey. Selon le syndicat Unia, un espoir sub-siste: la direction serait en quête d’un éventuel repreneur. page 21

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Beverly Rais : [email protected] Franck Alfier : [email protected]

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