REVUE DE PRESSE...REVUE DE PRESSE 05.12.2019 Avenue ID: 347 Coupures: 40 Pages de suite: 41...

REVUE DE PRESSE05.12.2019

Avenue ID: 347Coupures: 40Pages de suite: 41

29.11.2019 Journal du JuraPlantation d'arbres avec le Parc régional Chasseral 01Tirage: 8 408

28.11.2019 rjb.ch / Radio Jura Bernois OnlineLes «graines de chercheurs» de l'école de St-Imier 03

26.11.2019 bauernzeitung.ch / BauernZeitung OnlineAckerbau: Bauern fördern Feldhasen und Feldlerchen 04

01.12.2019 Grüezi / Das Magazin für die SchweizKANTON NEUENBURG 06Tirage: 25 000

25.11.2019 arcinfo.ch / Arcinfo - Express/Impartial OnlineCoupe d'arbres prévue au pied du Mont-Sujet 29

24.11.2019 loisirs.ch / LoisirsBalades avec vue sur le lac 31

24.11.2019 loisirs.ch / LoisirsTerre d’énergies dans le Jura bernois 33

23.11.2019 ArcInfoLa filature de laine file un bon coton 35Tirage: 24 173

22.11.2019 BauernZeitung / Nordwestschweiz, Bern+FreiburgBauern fördern Feldhasen 37Tirage: 9 102

21.11.2019 Le Franc-MontagnardLes parcs naturels régionaux à l'honneur dans «Intervalles» 40Tirage: 2 132

20.11.2019 La Semaine / Journal du district de MoutierDes hommes, des femmes, des parcs 41Tirage: 12 000

15.11.2019 BulCom du district de NeuchâtelValorisez vos laines! 43Tirage: 10 000

15.11.2019 Feuille d'avis du District de CourtelaryCadeaux sous le signe du terroir 44Tirage: 12 000

15.11.2019 Feuille d'avis du District de CourtelaryLes éleveurs de moutons invités à découvrir la filature Laines d'ici 45Tirage: 12 000

21.11.2019 rfj.ch / Radio Fréquence Jura OnlineLes Parcs Chasseral et du Doubs réunis dans la revue Intervalles 46

20.11.2019 canalalpha.ch / Canal Alpha OnlineGalerie de portraits des gens de nos parcs régionaux 47

20.11.2019 rjb.ch / Radio Jura Bernois OnlineLes Parcs Chasseral et du Doubs réunis dans la revue Intervalles 48

15.11.2019 Courrier du district de la NeuvevilleParc régional Chasseral Cadeaux de Noël sous le signe du terroir 49Tirage: 3 600

20.11.2019 Le Quotidien JurassienLes parcs au cœur du dernier «Intervalles» 50Tirage: 17 246

20.11.2019 Journal du JuraDeux parcs vus et revue 51Tirage: 8 408

14.11.2019 Val-de-Ruz InfoDU BOULOT PLEIN LES BRAS 54Tirage: 8 700

08.11.2019 Feuille d'avis du District de CourtelaryUne pétition pour réfléchir à l'avenir de la région de Chasseral et de ses habit ... 56Tirage: 12 000

08.11.2019 Feuille d'avis du District de CourtelaryEffectifs à priori stables pour la gélinotte des bois 57Tirage: 12 000

08.11.2019 Feuille d'avis du District de CourtelaryChantiers nature: 1100 jours de travail en 2019 60Tirage: 12 000

10.11.2019 canalalpha.ch / Canal Alpha OnlineDes projets étudiants pour développer Nods 62

10.11.2019 Il Caffè della domenicaIl paesaggio sfregiato dall'energia eolica 63Tirage: 52 716

10.11.2019 rjb.ch / Radio Jura Bernois OnlineUne nouvelle vision pour développer Nods 64

08.11.2019 ArcInfoLa gélinotte des bois semble se maintenir au Parc Chasseral 65Tirage: 24 173

07.11.2019 arcinfo.ch / Arcinfo - Express/Impartial OnlineLa gélinotte des bois semble se maintenir au Parc Chasseral 67

07.11.2019 Le Quotidien Jurassien«Depuis 2010, les hirondelles de fenêtre sont sur la liste rouge» 69Tirage: 17 246

04.11.2019 RTN - Radio Neuchâtel / Le journal 18.00 | Durée: 00:00:34Parc régional national Chasseral: bilan de l'année 71

05.11.2019 Journal du Jura1100 jours au chevet de la nature 72Tirage: 8 408

04.11.2019 arcinfo.ch / Arcinfo - Express/Impartial OnlineOn a travaillé 1104 jours au Parc Chasseral 74

04.11.2019 rjb.ch / Radio Jura Bernois OnlineSaison positive pour le Parc Chasseral 75

04.11.2019 rtn.ch / Radio Neuchâteloise OnlineSaison positive pour le Parc Chasseral 76

01.11.2019 Feuille d'avis du District de CourtelaryConstruire de nichoirs pour préparer le retour des hirondelles 77Tirage: 12 000

01.11.2019 Journal du JuraUne gélinotte choyée 78Tirage: 8 408

01.11.2019 RTS Couleur 3 / Journal de 7h | Durée: 00:00:20Pétition lancée contre le projet de parc éolien au pied du Chasseral 79

01.11.2019 RTS La 1ère / La Matinale / Journal 6h / Journal 6h30 | Durée: 00:01:10Pétition lancée contre le projet de parc éolien au pied du Chasseral 80

01.11.2019 RTS La 1ère / La Matinale / Journal 6h / Journal 6h30 | Durée: 00:00:17Pétition lancée contre le projet de parc éolien au pied du Chasseral 81

Date: 29.11.2019

Le Journal du Jura2501 Bienne032/ 321 90 00https://www.journaldujura.ch/

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 8'408Parution: 6x/semaine N° de thème: 808.005

Ordre: 1087983Page: 13Surface: 42'989 mm²

Référence: 75578262

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Plantation d'arbres avecle Parc régional Chassera)SAINT-IMIER Trois arbres fruitiers à l'ancienne, qui sont autantde gages d'avenir pour la jeunesse imérienne.

Emmitouflée dans des habitschauds et imperméables, proté-gés par des gants et des bon-nets, une joyeuse bande de20 écoliers âgés de 6 à 7 anss'est activée hier matin à creu-ser trois trous dans les terres dela bourgeoisie. Présent sur leslieux, le président de laditebourgeoisie, Serge Terraz,n'était pas sévère et au con-traire, il se félicitait de voir cesenfants hauts comme troispommes oeuvrer au mieux pourleur futur. C'est sous l'égide duParc régional Chasserai que cesélèves de la classe de 3-4H deBrigitte Schneider creusaient cequi sera le berceau de troisbeaux arbres fruitiers de varié-tés autant locales qu'anciennes,dans une belle allée boisée, cou-rant vers l'est à l'arrière du ci-metière de Saint-Imier.Les deux initiatrices du projet,Aline Brüngger et Caterina Gre-cuccio, du Parc régional Chasse-rai, avaient organisé cette mati-née dans le cadre duprogramme «Graines de cher-

cheurs». L'objectif est de luttercontre la diminution des ver-gers en Suisse et parallèlementde favoriser la biodiversité quileur est associée. L'idée du con-cept «Graines de chercheur» estd'organiser des actions quis'inscrivent dans la durée. «In-utile de planter des arbres unjour et de les laisser disparaîtreplus tard par désintérêt. L'idéalest d'assurer un suivi de chaqueaction proposée aux élèvespour qu'ils se sentent concrète-ment acteurs du projet, dont ilsparleront à leurs parents et auxautres enfants.» Et même si celaétait tout à fait involontaire, laméchante pluie qui a marquél'événement aura sans doutecontribué à le rendre inoublia-ble. Quoi qu'il en soit, l'enthou-siasme des enfants n'en a passouffert, bien au contraire.

Variétés localesC'est avec une joie tout justetempérée par la solennité dumoment que ces enfants ontsaisi pelles et pieux pour creu-

ser le nid de trois plans de, res-pectivement, une poire Fer-natte des Bois, une prune jaunede Mervelier et une pommereine des Reinettes.Des plants de haute tige évi-demment qui, mieux que sim-plement produire des fruits, of-friront après quelques annéesun cadre de vie à tout un cor-tège d'espèces d'insectes et d'oi-seaux en particulier.Mouillés mais contents, les en-fants ont été ensuite conviés àdéguster quelques produits na-turels qui les ont initiés aux sa-veurs naturelles. Parallèlement,Serge Terraz a rappelé que lesnouveaux arbres sont situés surle domaine public et que lesfruits qu'ils ne manqueront pasde donner seront autant debiens publics et que tout lemonde pourra venir se servir defruits à l'ancienne dont les sou-ches ont été préservées par Ré-tropomme, une associationpour la sauvegarde du patri-moine fruitier de Suisse ro-mande. BLAISE DROZ

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Date: 29.11.2019






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En avant, marche... Et cet arbre restera un excellent souvenir à tout jamais. BLAISE DROZ

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Date: 28.11.2019

Radio Jura Bernois Online

RJB -Radio Jura Bernois2710 Tavannes032/ 482 60 30www.rjb.ch

Genre de média: Internet

N° de thème: 808.005Ordre: 1087983 Référence: 75578900

Type de média: Sites d'informationsUUpM: 23'000Page Visits: 250'494

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Les « graines de chercheurs » de l'école de St-ImierDes écoliers de la région ont participé à un atelier en extérieur qui doit les sensibiliser à l’importance des vergers,et leur faire découvrir la diversité des variétés d’arbres fruitiers

Âgés de 6 à 7 ans, les écoliers ont planté quatre arbres fruitiers sur un terrain de la bourgeoisie de St-Imier.

Ils sont tout petits et n’ont absolument pas peur de se mouiller. En ce jeudi pluvieux, une classe de 3-4 Harmos deSt-Imier est allée faire l’école à l’extérieur. Les enfants ont planté des arbres fruitiers à proximité du cimetière.

Cet atelier fait partie du programme « graines de chercheurs » organisé par le Parc Chasseral, en partenariat avecRétropomme, une association qui lutte pour la sauvegarde d’anciennes variétés de fruits oubliés. Les écoliersparticipent à des ateliers tout au long de l’année, dans le but de les sensibiliser à l’importance des vergers et de labiodiversité. /vja


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https://www.rjb.ch/rjb/Actualite/Region/20191128-Les-graines-de-chercheurs-de-l-ecole-de-St-Imier.html

https://www.rjb.ch/rjb/Actualite/Region/20191128-Les-graines-de-chercheurs-de-l-ecole-de-St-Imier.html

Date: 26.11.2019

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BauernZeitung3000 Bern 25031/ 958 33 22www.bauernzeitung.ch



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Ackerbau: Bauern fördern Feldhasen und FeldlerchenAuf Berns Feldern gedeiht feldhasenfreundliches Getreide, in weiten Reihen gesät.

von Simone Barth

Publiziert: 26.11.2019 / 16:02

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Bauten und fehlende ökologisch wertvolle Strukturen machen ihm seinen Lebensraum streitig. Bund und Kantonewollen dem Feldhasen auf der Ackerfläche nun mehr Platz einräumen. (Bild Adobe Stock)

Der Feldhase steht auf der Roten Liste. Das heisst, seit 1950 ist sein Bestand derart stark zurückgegangen, dassseine Art als gefährdet eingestuft wird. Noch gibt es ihn in der ganzen Schweiz. Noch hätte er hier eine guteLebensgrundlage. Was er aber braucht, sind grosse, offene, aber gut strukturierte Feldgebiete, mit wertvollenBiodiversitätselementen. Sein anhaltender Rückgang ist auf die Veränderung seines Lebensraums zurückzuführen.Die Überbauung und die Fragmentierung der Landschaft bedrohen ihn.

Die Landwirtschaft ist zunehmend gefragt

Im Auftrag des Bundesamtes für Umwelt koordiniert die Schweizerische Vogelwarte seit 1991 das nationaleFeldhasenmonitoring in verschiedenen Regionen der Schweiz. «Wichtig ist, dass die verbleibenden offenenKulturlandschaften über genügend naturnahe Strukturen und ökologisch wertvolle Flächen verfügen, damit derFeldhase auf Dauer erhalten bleibt», steht im Schweizer Feldhasenmonitoring 2018, das vom Bundesamt fürUmwelt verfasst wurde. Ins Zentrum der daraus resultierenden Anstrengungen rückt die Landwirtschaft. Dennüberbaute Flächen können vom Feldhasen nie mehr genutzt werden. Also muss er auf den Feldern der Bauernseine Lebensgrundlage bestreiten.


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Date: 26.11.2019

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BauernZeitung3000 Bern 25031/ 958 33 22www.bauernzeitung.ch



Type de média: Presse spécialisée


Passen das Feldhasenprojekt und Berner Pflanzenschutzprojekt zusammen?

Im Rahmen der Massnahme Getreide in weiter Reihe können die Bewirtschafter, die beim BernerPflanzenschutzprojekt mitmachen, zwischen nur chemischer oder nur mechanischer (Einzelstockbehandlungerlaubt) Unkrautbekämpfung wählen. Beide Methoden haben Vor- und Nachteile. Durch das Striegeln könnenGelege der Feldlerche zerstört und Junghasen getötet werden, dafür wird die Ackerbegleitflora als wertvolleFutterquelle nicht vollständig entfernt. Herbizide können über längere Zeit die Ackerbegleitflora stark reduzierenund sind für Biobetriebe nicht möglich. Welche Variante auf der jeweiligen Fläche sinnvoll ist, soll Teil der Beratungsein, so das Lanat.

Bei der mechanischen Variante hat das Striegeln ab 1. Oktober bis Ende Jahr keine Einschränkungen. In dieser Zeitwerden weder Nester noch Junghasen durch den Striegel geschädigt. Von Januar bis 15. April darf maximal einmalgestriegelt werden. In der Hauptbrutzeit von Feldlerche und Feldhase darf nicht mehr gestriegelt werden. «DieMassnahme kann also mit dem Berner Pflanzenschutzprojekt kombiniert werden, wenn die etwas strengerenMassnahmen der Vernetzung eingehalten werden», erklärt das Lanat auf die Frage, ob sich das Projekt zugunstender Feldhasen überhaupt mit den Massnahmen aus dem Berner Pflanzenschutzprojekt vereinbaren liessen.

Einige Parzellen in den Kantonen Bern und Solothurn

In den Kantonen Bern und Solothurn wurde diesen Herbst auf verschiedenen Parzellen Getreide in weiter Reihe zurFörderung der Feldhasen angebaut. «2019 meldeten im Kanton Bern 28 Bewirtschaftende 31 Flächen mit rund 40Hektaren Getreide in weiter Reihe an», wie das Lanat auf Anfrage der BauernZeitung ausführt. Die Massnahme löstVernetzungsbeiträge in der Höhe von 1000 Franken pro ha aus. Diese Kosten werden zu 90% vom Bund und zu10% vom Kanton getragen, teilt das Lanat mit. Wie viele Hektaren in besagter Anbauform diesen Herbst in denBoden kamen, ist allerdings noch nicht bekannt. Hierzu hat das Lanat noch keine Angaben, da diese erst an derStichtagserhebung 2020 angemeldet werden. «Wir hatten aber diverse Anfragen zu der Massnahme ausverschiedenen Regionen des Kantons», heisst es.

Massnahmen auch für Feldlerchen

Bei der letzten Erhebung wurden in den Regionen Naturpark Chasseral, Seeland, Berner Mittelland, NaturparkGantrisch, Emmental und Oberaargau Flächen mit Getreide in weiter Reihe angemeldet. Die Bewilligung dieserMassnahme durch das Bundesamt für Landwirtschaft lag allerdings erst nach der Anbauphase für Wintergetreidevor, deshalb wurden 2019 nur Sommergetreide und Flächen aus bestehenden Feldlerchenförderprojektenangemeldet. Die Massnahme Getreide in weiter Reihe war bis Anfang 2019 in verschiedenen Kantonen alsMassnahme für den Feldhasen bewilligt und nachweislich wirksam, wie das Lanat weiss. Im Sommer 2019 wurdedie Massnahme in den sieben Kantonen AG, BE, BL, LU, SO, ZG und ZH harmonisiert und ist neu auch alsFördermassnahme für Feldlerchen anerkannt. «Die Feldlerche kann mit der Massnahme also auch gefördertwerden», erklärt das Lanat. Zusätzlich zu der Massnahme Getreide in weiter Reihe würden in der Schweiz nochandere Projekte zur Feldlerchenförderung laufen, um den Sturzflug ihrer Bestandszahlen zu stoppen. Denn auch sieleidet, wie der Feldhase, unter der Schweizer Bauwut und dem Verlust ihres Lebensraums.


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Date: 01.12.2019

Grüezi / Das Magazin für die Schweiz6006 Luzern

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Genre de média: Médias imprimésType de média: Magazines spéc. et de loisirTirage: 25'000Parution: 6x/année N° de thème: 808.005

Ordre: 1087983Page: 112Surface: 1'384'894 mm²



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KANTONNEUENBUR

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Date: 01.12.2019


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Die Altstadt mit dem Tour esse.

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NEUENBURG -DIE STADT AUS GELBEM STEIN

Die Stadt Neuenburg sticht aus Tausenden heraus, nichtnur dank ihrer schönen Lage am See, sondern vor allemauch aufgrund der Gelbtöne ihrer Bauten - wie wennsie dauerhaft von der Sonne beschienen würden.

Die Gebäude der Stadt sind fast ausnahmslos aus gel-bem Stein gebaut. Je nach Erosionszustand ist er eherheller, nimmt ockerfarbene Töne an oder geht in Oran-ge über. Es handelt sich hierbei um den Hauterive-Stein,ein Kalkstein, der in der Region abgebaut wird und denNeuenburger Sehenswürdigkeiten wie der Stiftskirche,dem Schloss oder der Tour de Diesse ihre schöne gelbeFarbe verleiht.

Das Schloss Neuenburg / Chäteau Neuchätel, welchesNeuenburg seinen Namen gab, thront über der Stadtund liegt zwischen dem Neuenburgersee und dem FlussSeyon. Gleich daneben befindet sich die StiftskircheNeuenburg.

In der Neuenburger Altstadt, im Tour de Diesse (sieheFoto), befindet sich eine kleine Kunst-Galerie.

Im Zuge der Jahrhundertwende erlebt Neuenburg dankder ebenso bahnbrechenden wie vielfältigen Fortschritteder Industrialisierung eine Blütezeit.

Die neuen Besichtigungsprogramme «Das Neuenburgder Belle Epoque» sind davon inspiriert und laden zu ei-ner Zeitreise ein, die Ihnen einen Einblick in das Lebender Neuenburger vor 100 Jahren bietet. Entdecken Siedie Stadt Neuenburg in originellen Besichtigungen undAktivitäten, die die Belle Epoque würdigen.

Dazu gehören geführte Besichtigungen mit allen fünfSinnen, Schnitzeljagd für das junge Publikum und Fahrtauf dem Dampfschiff «Le Netichätel». Dieses 2014 voll-ständig restaurierte Schiff ist ein echtes Kleinod der Bel-le Epoque.

Und wer noch mehr entdecken möchte, kann sich miteiner App auf die Suche nach einem Romantiker derBelle Apoque begeben.

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AUSFLUGSTIPPS

Creux-du-Van ist mit 15.5 km' das grosste Naturschutz-gebiet des Kantons Neuenburg und bietet Lebensraumfur Steinbocke und Gamsen. Der imposante durch Was-ser- und Eiserosion entstandene Felsenkessel in Formeines Amphitheaters hat einen Durchmesser von ubereinem Kilometer.

Unterhalb der Gerollhalde liegt der alte Bauernhofund heutige Berggasthof Ferme Robert, wo sich 1770der Kampf zwischen dem letzten Bär des Cieux du Vanund dem Holzfaller David Ro- bert abspielte Nur we-nige Schritte entfernt spendet die Fontaine Froide kal-tes Quellwasser mit einer Temperatur von drei bis vierGrad.

Der Wanderweg «Quatorze Contours» führt von Noira-igue über Les Oeillons zur Ferme du Soliat hinauf. AlsBelohnung nach der Anstrengung breitet sich ein gran-dioses Panorama über den Neuenburgersee und die Al-pen aus.

Von Creux du Van zum Bielersee führt auch der Ju-ra-Höhenweg. Auf der Wanderung bietet sich ein schö-nes Panorama mit Blick auf das Schweizer Mittelland,den Bieler-, Neuenburger- und Murtensee.

AUSFLUGSTIPPS

CREUX DU VAN

Creux-du-Van ist mit 15.5 km' das grösste Naturschutz-gebiet des Kantons Neuenburg und bietet Lebensraumfür Steinböcke und Gämsen. Der imposante durch Was-ser- und Eiserosion entstandene Felsenkessel in Formeines Amphitheaters hat einen Durchmesser von übereinem Kilometer.

Unterhalb der Geröllhalde liegt der alte Bauernhofund heutige Berggasthof Ferme Robert, wo sich 1770der Kampf zwischen dem letzten Bär des Creux du Vanund dem Holzfäller David Ro- bert abspielte. Nur we-nige Schritte entfernt spendet die Fontaine Froide kal-tes Quellwasser mit einer Temperatur von drei bis vierGrad.

Der Wanderweg «Quatorze Contours« führt von Noira-igue über Les Oeillons zur Ferme du Soliat hinauf. AlsBelohnung nach der Anstrengung breitet sich ein gran-dioses Panorama über den Neuenburgersee und die Al-pen aus.

Von Creux du Van zum Bielersee führt auch der Ju-ra-Höhenweg. Auf der Wanderung bietet sich ein schö-nes Panorama mit Blick auf das Schweizer Mittelland,den Bieler-, Neuenburger- und Murtensee.

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LAC DES TAILLERES

Auf 1'039 Metern Höhe bei La Brvine lädt ein gran-dioses Seegebiet zum Träumen ein.Eine idyllische Seelandschaft im kältesten Hochtal derSchweiz. Der von Tannen und Weiden gesäumte Seeverwandelt sich im Winter häufig in eine natürliche Eis-bahn inmitten einer märchenhaften Schneelandschaft.Ein wahrhaft sibirisches Erlebnis mitten in der Schweiz.

AREUSE-SCHLUCHT

Die Areuse entdecken: Mal breit, mal eng, hier spru-delnd, dort ruhig.Der bezaubernde Wanderweg folgt dem teils dahin-plätschernden, teils tosenden Wasserlauf der Areuse. Erführt über Steinbrücken, Stege und Treppen, durch fel-sige Engpässe und an beeindruckenden schroffen Fels-wänden entlang durch die besonders im Hochsommergeschätzte kühle Schlucht. Die mittelschwere familien-freundliche Wanderung Noriaigue - Boudry führt über11.4 Kilometer und dauert ca. 2.5 Stunden.

SCHLOSS BOUDRY

Im prachtvollen Schloss Boudry mit Museum der Wein-bauregion Neuenburg und Önothek, erfahren Sie vielWissenswertes über Weinanbau und Reifung. In diesemmajestätischen Schloss ist ebenfalls die Kantons-Öno-thek untergebracht, in der Weine der Region Neuen-burg zur Degustation angeboten werden.

WANDERUNG VOM GIPFEL DESCHAUMONT NACH CRESSIER

Vom Gipfel des Chaumont, der von Neuenburg aus mitder Standseilbahn zu erreichen ist, bietet sich ein herr-licher Blick auf das Drei -Seen -Land und die Alpen. Aufeinem idyllischen Spaziergang durch Wälder und Wei-den gelangen die Wanderer zum Dorf Cressier.

Die einfache Wanderung dauert rund 2.5 Stunden übereine Länge von 8.8 Kilometer.

Lac des TaiNres bei La Brimine im Neuenburger Jura.

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Regionaler Naturpark Chasseral - Abendstimmung auf dem verschhetten,lehasseral.Der Chasseral ist mit 1607 Metern die höchste Erhebung im Berner Jura

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CHASSERAL

n Neuchärel, La Chaux-de-Fondsund le bfl lt der Gipfel des Chasseral gleichzeitigHohepunkt und Zentrum des Naturparks, der 387 km2umfasst

Der Rundblick vom Chasseral erstreckt sich von denAlpen bis zu den Vogesen Viele Wanderwege fuhrenuber den felsigen Bergkamm zu verschiedenen Alpwirt-schaften, die «Metaine» genannt werden Sie seivierenkostliche Spenahtaren wie den lokalen Tete de MoineAOP, den Scl izer Gruyeie AOP, Rosn mit Schinkenund naturIlich das eadmonelle Fondue. Der Regional-

bietet authentische Entdeckungsausfluge.

die Themen Natur, Gastronomie und lokalesHan erk Waru t die Welt der Imker kennenler-

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Im Dreieck zwischen Neuchatel, La Chaux-de-Fondsund Biel bildet der Gipfel des Chasseral gleichzeitigHöhepunkt und Zentrum des Naturparks, der 387 km2umfasst.

Der Rundblick vom Chasseral erstreckt sich von denAlpen bis zu den Vogesen. Viele Wanderwege führenüber den felsigen Bergkamm zu verschiedenen Alpwirt-schaften, die «Metairie» genannt werden. Sie servierenköstliche Spezialitäten wie den lokalen Te'te de MoineAOP, den Gruyere AOP, Rösti mit Schinkenund natürlich das traditionelle Fondue. Der Regional-

rk.Chass:eral bietet authentische Entdeckungsausflügeern die Themen Natur, Gastronomie und lokales

Handecrk. Wartuff nicht die Welt der linker kennenler-nenr:i2ine Käserei besuchen, erfahren, wie Murmeltieremiteinander kommunizieren, sich auf einen Barfusswegwagen oder in die besondere Geschichte der Wiedertäu-fer eintauchen:

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JURA-HÖHENWEG - ETAPPE 10: NOIRAIGUE STE-CP,OIXDie technisch leichte, konditionell jedoch schwere 32 Kilometer lange Wanderung, dauert ca. 91/2 Stunden.Höhepunkt der Wanderung ist der Crcux du Van.

MÖNCHSPFADMittelalterlicher 14 Kilometer langer Wanderweg derMönche von Mötiers zum Besuch der Stiftsherren vonMontebenoit.

Der Wanderweg verbindet La Brevine mit Mötiers und

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bietet Gelegenheit, einen Blick ins Mittelalter zu werfenund typische Juralandschaften zu entdecken. Eishöhle,See, Jurakette und Talschluchten - eine Fülle von Na-turschönheiten vor einem historischen Hintergrund.

SKULPTURENWEGEine Wanderung inmitten von Hunderten von Holz-skulpturen.Dieser bezaubernde Wanderweg führt an geschnitztenTierfiguren und in Baumstämme gehauenen Pflanzenvorbei und ist ideal für den Familienausflug sowie alljene, die gern Höhenunterschiede überwinden. Eineeindrucksvolle Landart-Galerie inmitten der Natur. DieWanderung in La Sagne dauert ca. 2 Stunden und führtüber 7.2 Kilometer.

DREI-SEEN-RUNDFAHRT

Eine Schifffahrt auf dem Murten-, Neuenburger-und Bielersee, die alle drei durch ein Kanalnetz mit-einander verbunden sind, sowie auf der Aare, ist einMuss.Die Drei-Seen-Rundfahrt führt von den verschiede-nen Häfen zu bedeutenden Städten, die alle eben-so unterschiedlich wie reich an geschichtlichen undkulturellen Sehenswürdigkeiten sind: Solothurn, dieschönste Barockstadt der Schweiz, Murten und seineStadtmauer, Yverdon-les-Bains mit seinem Thermal-bad, Estavayer-le-Lac, das mittelalterliche Städtchenschlechthin, Neuenburg, die tausendjährige Stadtaus gelbem Kalkstein, und schliesslich Biel, die zwei-sprachige Uhrenstadt mit ihren oft verkannten his-torischen und architektonischen Schätzen.turschönheiten vor einem historischen Hintergrund.

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Badehaus am Neuenburgersee bei Gorgier im EtskleidDer 1907 erbaute Badepavillon im Ortsteil Chez-le-Bart von Gorgier am Neuenburger See was bei de) Erstellungdes Gebaudes noch Teil des Scblosses von Gorgier Der Pavillon dient heute als Lager des oi tischen Werkbol;

Badehaus am Neuenburgersee bei Gorgier im Eiskleid.Der 1907 erbaute Badepavillon im Ortsteil Chez-le-Bart von Gorgier am Neuenburger See war bei der Ersdes Gebäudes noch Teil des Schlosses von Gorgier. Der Pavillon dient heute als Lager des örtlichen Werkhofs.

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AUVERNIER

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AUVERNIER

Auvernier, welches zu den wichtigsten prähistorischen Fundstellen derSchweiz zählt, ist ein traditionelles Weindorf am Ufer des Neuenburgei

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LA CHAUX-DE-FONDS

UHRMACHERKUNSTZeitmessung gehört schon seit jeher zu den grossen lie-rausforderungen der Menschheit. Zuerst wurden Kaien-der zur Bestimmung der Tagesabfolge erstellt. Danachwandte man sich den Stunden zu. Im Laufe der Ent-wicklung entstanden mechanische Grossuhren, danachPendeluhren und schliesslich alle anderen Uhrenarten.Es kommt nicht von ungefähr, dass die Schweizer Jura-kette die Hochburg dieses Präzisionshandwerks ist. Inihren beiden Städten waren die günstigen Voraussetzungfür die Entwicklung der Schweizer Uhrmacherkunst ge-geben: Le Locle und I,a Chaux-de-Fonds, die Karl Marxals «eine einzige Uhrenwerkstatt>, bezeichnete. BeideStädte gehören seit 2009 dem UNESCO-Welterbe an.

JUGEND- UND TANNENSTILDer Jugendstil ist in der Uhrenmetropole La Chaux-de-Fonds allgegenwärtig. Zeugnisse dieses dekorativenStils, der aus der Ästhetik der Natur schöpft, sind über-all in der Stadt anzutreffen. Manchmal sind sie ganz dis-kret im Innern von Gebäuden und Treppenhäusern zufinden, manchmal gut sichtbar an den Fassaden oder beiden schmiedeeisernen Balkonen. Diese Häuser, die sichin Privatbesitz befinden, sind in der Regel nicht abge-schlossen und frei zugänglich, sodass Interessierte sichdie Wandfriesen im Gebäudeinnern anschauen können.

In allen Städten des Jurabogens fällt ein etwas eigenar-tiger dekorativer Stil auf: der Tannenstil. Er wurde vonden Schülern der Kunstschule La Chaux-de-Fonds unterdem Einfluss von Charles LEplattenier in den 1900erJahren ins Leben gerufen. Die Grundidee bestand dar-in, den malerischen Rhythmus der Juralandschaften mitden typischen Tannen in die Jugendstilbauten einflies-sen zu lassen.

Das Kunstmuseum widmet dieser Stilrichtung und ih-ren Vertretern, die in der Tier- und Pflanzenwelt desJuras eine grosse Inspirationsquelle fanden, einen gan-zen Raum - eine herrliche Hommage an die Region.Aber auch die Stadt Neuenburg hat Schätze des Jugend-stils zu bieten. Die Treppenhäuser des Kunsthistori-schen Museums, des Pavillon Hirsch und der BrasserieLe Cardinal wurden unter dem Einfluss des Jugendstilsgebaut und lassen den Besucher in die Belle-Epoque-At-mosphäre von damals eintauchen.

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LE CORBUSIER -DIE ERSTEN SCHRITTE DES MEISTERSLa Chaux-de-Fonds hat sich mit der Uhrmacherkunsteinen Namen gemacht. Sie ist aber ebenso berühmt auf-grund der Tatsache, dass Charles-Edouard Jeannerer,besser bekannt unter dem Namen Le Corbusier, in die-ser Stadt geboren wurde. Für Architekturliebhaber istein Besuch von La Chaux-de-Fonds und l,e Ende un-denkbar, ohne sich nicht auf die Spuren des Werks desjungen Le Corbusier zu begeben.Als dieser noch an der Kunstschule in La Chaux-de-Fonds studierte, wurde er bereits von Charles UEplat-tenier gefördert.

Die Stadt bleibt bis heute von diesem Wunderkind ge-prägt. An der Nr. 38 der Rue de la Serre ziert ein Schilddie Gebäudefassade, um anzugeben, dass Le Corbusierin diesem Haus geboren wurde.

Ihm sind die berühmten Gebäude Villa Fallet und VillaJaquemet et Strotzer zu verdanken, die beide vom Tan-nenstil, der regionalen Ausprägung des Jugendstils, zeu-gen. Das Maison Blanche, das Le Corbusier für seine El-tern bauen liess, weist neoklassische Züge auf und stellteinen Bruch mit dem Tannenstil dar, den Le Corbusierlange pflegte.

Der erfolgreiche Le Corbusier hinterliess auch in LeI,ocle Spuren seines Schaffens. Auf Anfrage des Grün-ders der Uhrenmanufaktur Zenith baute er die Villa Fa-vre-Jacot.

Von den verschiedenen Strömungen, von denen sichder Künstler aus La Chaux-de-Fonds beeinflussen liess,überrascht vor allem sein letzter Bau vor seinem Weg-gang nach Paris: Der orientalische Stil der Villa Turquesticht förmlich aus der Juralandschaft hervor.

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LE LOCLE

Die Industriestadt Le Locle gilt als Wiege der schweize-rischen Uhrmacherei und wurde Ende Juni 2009 zumUNESCO -Welterbe erklärt.

UNI ERIRDISCHE MÜHLEN INLE LOCLE

Die Unterirdischen Mühlen in he Locle, einer politi-schen Gemeinde im Kanton Neuenburg, sind 23 Meterunter der Erde. Diese tief unter der Erde installiertenHydraulikmühlen zeugen vom Einfallsreichtum der Be-wohner dieser Region und bilden ein in Europa einzig-artiges Industrieerbe. Begeben Sie sich ins Innere derErde, um mehr über diese erstaunliche Erfindung ausdem 17. Jahrhundert zu erfahren.

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Reise zum Mittelpunkt der ErdeTreten Sie in eine faszinierende Welt von unterirdischen Stollen ein, wo Bergarbeiterwährend rund drei Jahrhunderten dem Berg ein seltenes und wertvolles Gesteinentrissen haben: Den Asphalt.

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ASPHALTMINEN IN TRAVERS

Begeben Sie sich ins Innere der Erde auf die Spuren derMinenarbeiter vergangener Zeiten. In einem Labyrinthunterirdischer Stollen hallt im Mauerwerk noch heutedie harte Arbeit der Bergleute und Pferde nach, die hierden kostbaren Asphalt abbauten. Fassen Sie Helm undTaschenlampe und tauchen Sie ein in die Geschichte desAsphaltabbaus, bevor Sie die berühmte lokale Speziali-tät probieren: einen in Asphalt gekochten Schinken.

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Begeben ie sich ins Innere der Erde auf die Spuren derMinenarbeiter vergangener Zeiten. In einem Labyrinthunterirdischer Stollen hallt im Mauerwerk noch heutedie harte Arbeit der Bergleute und Pferde nach, die hierden kostbaren Asphalt abbauten. Fassen Sie Helm undTaschenlampe und tauchen Sie ein in die Geschichte desAsphaltabbaus, bevor Sie die berühmte lokale Speziali-tät probieren: einen in Asphalt gekochten Schinken.

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MUSEEN

Neben dem Kunsthistorischen Museum in Neuenburg, dem Latälium (das grösste Archäologiemuseum derSchweiz) in Hauterive, dem internationalen Uhrenmuseum in La Chaux-de-Fonds, dem Regionalmuseum vonLa Sagne (Das Tal und seine alten Brauchtümer werden in diesem geschichtsträchtigen Ort mit Stolz zur Schaugestellt.) und dem Volkswrecks Museum und Bar in Val-de-Travers, gibt es noch einige weitere:

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UHRENMUSEUM VON LE LOCLEVom Bauer zum Uhrmacher: Die Uhrmacherei ent-stand aus einem Zeitvertreib heraus. Wenn die Bau-ern im Winter ihrer Arbeit nicht nachgehen konnten,widmeten sie sich einer minutiösen Tätigkeit - der Uhr-macherei.

Im ganzen Juramassiv gehörte diese Beschäftigung zumAlltag. In aller Ruhe sassen die Bauern an den langenWintertagen an den Fenstern, um möglichst viel Tages-licht auf die Uhrwerke zu haben, die sie mit äussersterSorgfalt zusaminensetzten.

Im Verlauf des 19. Jahrhunderts gaben zahlreiche Bau-ern ihren ursprünglichen Beruf zugunsten der profita-bleren Herstellung von Uhrenteilen auf und begannenMaschinen herzustellen, um die Teileproduktion zusteigern. Das Streben nach höheren Produktionskapa-zitäten ging mit einem grossen Einfallsreichtum einher.

Es entstanden kleine Fabriken, die Drehmaschinen,Verzahnungsmaschinen und andere Maschinen herstell-ten, die sich gegenseitig mir Innovation überboten undperfekt auf die Bedürfnisse der Uhrenhersteller zuge-schnitten waren.

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ABSINTH-MUSEUMIN MOTIERS IM VAL-DE-TRAVERS

Auf den Spuren eines wirtschaftlichen, gesellschaftli-chen und kulturellen Abenteuers

Im 19. Jahrhundert generierte die Absinth-Herstellungmit der Ernte, dem Transport und der Destillation vielArbeit im Val-de-Travers und entwickelte sich zu einembedeutenden Wirtschaftsfaktor.Spuren aus dieser Zeit sind heute noch allgegenwärtig.Das Wermutkraut wurde in grossen Gebäuden getrock-net. Davon zeugt heute noch die Trocknungsschuppenin Boveresse, in der eine permanente Ausstellung zumAnbau der Pflanze untergebracht ist.

Verbot und illegale Herstellung

Im Jahr 1908 entfachte die Verbotsdebatte und am 5.Juli desselben Jahres wurde das von den einen vergöt-terte, von den anderen verfluchte Getränk verboten.Grund für dieses Verbot war das Thujon, ein im Absin-th vorhandener Wirkstoff, dem nachgesagt wird, dass erverrückt macht. Die Nachfrage und der Konsum vonAbsinth nahmen - zulasten der Winzer - stetig zu. DieGrüne Fee wurde zum Symbol für Alkoholismus unddadurch zur Zielscheibe der Moralprediger, die sie fürKriminalität, häusliche Gewalt, Demenz und Geburten-rückgang verantwortlich machten.Da das gesetzliche Verbot jedoch erst zwei Jahre später,am 7. Oktober 1910, in Kraft trat, hatten die Schweizergenügend Zeit, um sich einzudecken ... und die Ilerstel-lung des Tranks im Untergrund zu organisieren.Bis zum 1. März 2005, also rund ein Jahrhundert, führtedas rebellische Tal den illegalen Handel unter höchsterWachsamkeit und zunehmender Listigkeit weiter. JedesMittel war recht, um von dem aus den Absinthbrenne-reien austretenden Duft abzulenken. Regnerisches undwindiges Wetter war bei den Schwarzbrennern beson-ders willkommen. Sie zögerten auch nicht, den Mistumzuschaufeln und Autoreifen zu verbrennen, um denbetörenden Duft zu überdecken.Die Trinkweise des Absinths ist ein zeitloses Ritual, dasalle Sinne beansprucht und nach einer festgelegten Ab-folge zelebriert wird. Der Hahn einer mit frischem Was-ser gefüllten 'fischfontäne wird geöffnet, bis die Wasser-tropfen zeitlupenartig in das mit Absinth gefüllte Glastropfen und die Eintrübung anschwellen lassen.

Milchige Spiralen steigen langsam auf, während derRaum von Anisduft erfüllt wird.Verschiedene Brennereien können besucht werden. Ei-nige von ihnen werden von ehemaligen Schwarzbren-nern geführt, die ihre Produktion in aller Legalität undnach bester Tradition wieder aufgenommen haben. Esist eine wahre Freude, sich von ihren haarsträubendenGeschichten in die Zeit im Untergrund entführen zulassen.

Heute ist der gute Ruf des Absinths wiederhergestellt.Das ans 3. Juli 2014 in Motiers neu eröffnete Haus desAbsinths ist ihm gewidmet.

Highlights

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Absinth Herstellung bei Philippe Martin,Destillateur «La Valote Martin», Boveresse,

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ITIONEN / SPEZIALITÄTEN

Absinth Herstellung bei Philippe Martin,Destillateur «La Valote Martin», Boveresse, NE

TRADITIONEN / SPEZIALITÄTE

Absinth Herstellung bei Philippe Martin,Destillateur «La Valote Martin», Boveresse,

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NEUENBURGER HERBSTFEUEREine Tore, auch »Hirtenfeuer» genannt, ist eine Neuen-burger Tradition, die darin besteht, auf einer Weide eingrosses Feuer zu entfachen und in dessen Glut Würs-te und Kartoffeln zu garen. Eine Tore findet traditi-onell im Herbst statt (wenn das Vieh nicht mehr aufden Weiden ist), man kann sie aber das ganze Jahr überveranstalten, vorausgesetzt, man findet ein geeignetesPlätzchen.

Traditionell werden die Würste in mehrere Kohlblättersowie in feuchtes Zeitungspapier eingewickelt. Das früham Morgen entzündete Feuer sollte gegen 10 Uhr nurnoch ein Haufen Glut und Asche sein, in welches mandie Würste und Kartoffeln ohne weiteren Schutz steckt.Die Glut wird anschliessend mit grünen Tannenzweigenbedeckt, die eine weisse, duftende Rauchsäule produ-zieren.

FETE DU FROIDMit dem Vete du Froid wird im Tal La BKvine seinelegendäre Kälte zelebriert. Das nächste Fest findet am 1.Februar 2020 statt.

WEINFESTJedes Jahr am letzten Septemberwochenende wird inder Region Neuenburg der Beginn der Weinlese gefeiertwofür die Innenstadt drei Tage lang für den Autoverkehrgesperrt ist.

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AUF DEN SPUREN DER »GRÜNEN FEE»Das berühmte Val-de-Travers liegt an der so genanntenAbsinth-Strasse, ein der Grünen Fee bzw. «La Bleue»,wie der Absinth auch genannt wird, gewidmeter Par-cours. Ein Ort voller Legenden und Geheimnisse.

Die Heilpflanze

Die Wermutpflanze - «Absinth» (Eindeutschung ausdem Französischen) - gehört zur Gattung des Beifusses.Die mehrjährige, sehr aromatische Pflanze ist in ganzEuropa bis zu einer Höhe von 2'000 m ü. M. verbreitet.Es wurde jedoch festgestellt, dass die Pflanze im Gebietdes schweizerischen und französischen Juras einen un-vergleichlichen Duft entfaltet.

Wermut ist seit der Antike als Heilpflanze bekannt. DieEntdeckung ihrer heilenden Wirkung wird im Mittelal-ter vermutet. Damals wurde sie in der Form von Absin-thwein, einem Gemisch von Weisswein, Anis und Wer-mut, eingenommen.

Die Legende besagt, dass die Rezeptur des Absinths auf»Mutter Henriod» zurückgeht, die Ende des 18. Jahr-hunderts in der Schweiz im Val-de-Travers ein Absin-th-Elixir auf der Basis von hochprozentigem Absinthunter Beimischung weiterer Pflanzen wie Ysop, Melisse,Anis und Fenchel erfand. Aufgrund seiner therapeuti-schen Wirkung wurde das Getränk in der Folge vomArzt Pierre Ordinaire vertrieben.

1797 erwarb Daniel Henri Dubied das Rezept von Mut-ter Henriod und gründete unter dem Namen «DubiedPere et His» die erste Absinth-Brennerei im Val-de-Tra-vers. Sein Schwiegersohn Henri-Louis Pernod distan-zierte sich von Dubied und gründete 1805 die ersteBrennerei auf der anderen Seite der Grenze in Pontar-lier, Frankreich.

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Express/Impartial Online

Arc Info2001 Neuchâtel032/ 723 53 01www.arcinfo.ch



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Home Régions Jura-Jura Bernois

25.11.2019, 14:50

Coupe d’arbres prévue au pied du Mont-Sujet

Des coupes relativement importantes seront entreprises dans les semaines qui viennent. SP-Parc régionalChasseral

Par lgl

Nature Les équipes du parc Chasseral seront à pied d’œuvre ces prochaines semaines au pied du Mont-Sujet entrele village de Lamboing et le terrain de football.

Des branches vont tomber dans les prochaines semaines au pied du Mont-Sujet entre le village de Lamboing et leterrain de football. Mais ce sera pour la bonne cause, prévient le Parc Chasseral dans un communiqué diffusé celundi.

Une partie des grands arbres et des buissons qui composent la haie du pâturage de la Côte seront abattus. Cettetaille doit permettre d’apporter de la lumière au cœur de la structure. «Cette coupe relativement importante estdestinée à favoriser les éléments de la haie les plus riches au niveau de la nature et du paysage et à limiterl’extension de la haie en direction des champs ou des prés», explique l’organisme.

«Soutenir la biodiversité»

«Les espèces qui poussent rapidement, comme le noisetier et le frêne, vont être coupées de manière assezradicale pour favoriser la croissance lente des épineux, par exemple. La coupe irrégulière qui va être effectuée viseà favoriser une haie étagée, diversifiée, en laissant notamment quelques grands arbres isolés. En plus de soutenir


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la biodiversité, une hauteur de haie variable et des buissons diversifiés sont également intéressants au niveau dupaysage», détaille le document.

Financée par le Fonds suisse pour le Paysage, le Parc Chasseral et la commune de Plateau de Diesse, l’opération aété décidée dans le cadre du plan de gestion intégrée des pâturages de la Côte et des Esserts, réalisé par lacommune bernoise.


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Date: 24.11.2019

Loisirs1000 Lausanne 16021/ 721 20 20https://www.loisirs.ch/



Type de média: Magazines spéc. et de loisir


La Neuveville - ChasseralBalades avec vue sur le lac

Au pied du Parc Chasseral et du plateau de Diesse (ou montagne de Diesse), La Neuveville se niche entre le lac deBienne et les vignobles qui le longent. Rendue célèbre par le roman de Friedrich Dürrenmatt "Le juge et sonBourreau", la région possède la particularité de se situer au carrefour de plusieurs sites naturels d’exception, entrelac, montagnes, campagne et forêts.

Activités et agendas de la région

Conditions pratiques

En journée En soirée A l'intérieur A l'extérieur Restauration Mobilite réduite En couple Hiver Été 0 - 3 ans 4 - 6 ans7 - 12 ans 13 - 17 ans Adultes Seniors Gratuit de conditions

Son environnement naturel. Situé à 1607 m d'altitude, le Chasseral compte parmi les plus hauts sommets de larégion jurassienne. En plus d'offrir une vue d'exception face aux lacs de Bienne et de Neuchâtel depuis sa crête , ilrègne sur le Parc régional Chasseral , 400 km2 de nature accessible toute l'année. En été, cet écrin de verdure seprête aux promenades en famille , aux balades à vélo ou à cheval, au parapente et à d'autres activités sportivesinsolites, telles que le trekking en lama ou la balade à dos de chameau . Pendant l'hiver, le parc prend des airs destation de ski où l'on pratique raquettes, ski alpin et ski de fond. En-dessous du parc, le plateau de Diesse s’étendsur une surface de 18 km2, entre le Chasseral au nord, le lac de Bienne au sud et la montagne de Douanne à l’est.Différentes couches, avec chacune ses spécificités naturelles, fragmentent le paysage, depuis le lac jusqu’ausommet de la montagne de Diesse: une bande de vignes en coteaux s’étire entre La Neuveville et Douanne, puis,au-dessus, une zone densément boisée, répartie sur plusieurs hectares entre 500 et 800 m d’altitude environ.Enfin, situé entre 800 et 950 m, le plateau de Diesse étale ses champs de céréales à perte de vue.

Ses villages. Le district de La Neuveville comprend cinq communes: Nods, Diesse, Lamboing, La Neuveville etPrêles. Situés au pied du Chasseral, Nods, Lamboing et Diesse sont les points de départ de plusieurs balades àpied ou à vélo, dans les forêts qui tapissent le versant sud du Chasseral. A proximité de la forêt de Douanne, Prêlesest accessible en funiculaire depuis Gléresse (bord du lac). Installé face à l’ Ile St-Pierre et abritant environ 4000habitants, le village lacustre de La Neuveville est une très jolie bourgade médiévale sur les bords du lac de Bienne(sa plage de sable fin est réputée loin à la ronde). C’est la plus grande commune viticole de la région. Autre villagepittoresque à découvrir: Douanne (Twann). Au bord du lac, il est le point de départ et de passage de nombreuses


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Date: 24.11.2019






balades. Cette cité médiévale s’est aussi fait un nom grâce à ses vins et ses spécialités de poissons du lacreconnus loin à la ronde. Le paisible village de Gléresse, à la frontière linguistique entre la Suisse romande et laSuisse alémanique, est aussi à visiter, notamment son église plantée au milieu du coteau viticole, devenue lesymbole même de la viticulture sur les bords du lac de Bienne.

Ses gorges. Au-dessus de la charmante cité vigneronne de Douanne, une forêt dense abrite les gorges de Douanne. Au début du sentier qui les longe, un petit ruisseau paisible, rien de spectaculaire mais tout de même très joli. Dèsles premières marches franchies, la physionomie du paysage change. De hautes falaises dominent le ruisseau, descascades font leur apparition. Plusieurs passerelles vertigineuses chevauchent le cours d’eau, dont le débit fluctuelui aussi à mesure que l’on s’approche du lac.

Ses balades. Elles sont nombreuses ! De Bienne à La Neuveville, un magnifique sentier pédestre sillonne à traversles coteaux du vignoble. Egalement praticable en petit train , le sentier traverse notamment les jolis villagesmédiévaux de Douanne et Gléresse. Il vous sera possible, en saison, de déguster l’un des crus locaux chez unviticulteur du coin. A La Neuveville, la Balade de la Sorcière passe par une dizaine de postes didactiques répartissur 4,4 km, avec un point culminant à 635 m d’où l’on bénéficie d’un superbe panorama. Au fil de la balade, voustraversez le vignoble alentour, puis faites une halte dans un pavillon romantique, avant de vous laisser aller à larêverie dans les jardins sublimes du château de Schlossberg. Un petit ruisseau vous conduit ensuite à une cascadeféerique. Le chemin qui y mène vous laisse entrevoir une vue panoramique sur les Alpes et sur le vignoble de larégion. Au départ de Lamboing, le Sentier des sculptures du Mont Sujet propose quant à lui une baladeenchanteresse dans une forêt peuplée d'étranges créatures. Autres itinéraires très prisés: la boucle Nods-LeChasseral , qui zigzague à travers les pâturages jusqu'à l'un des plus beaux points de vue de Suisse romande, ouencore la rando fraîcheur entre Prêles et la Neuveville , sur les hauts du lac de Bienne. Quant aux groupes dejeunes, ils ne manqueront pas d'essayer le Quiz photos pour ados , une visite interactive de la ville pensée pour leurtranche d'âge, ou encore la balade didactique avec application mobile Drallo La Neuveville . Sur le plateau deDiesse, d’innombrables sentiers parcourent les champs de céréales: une aubaine pour les piétons, mais aussi pourles cyclistes qui affectionnent tout particulièrement ses parcours.

Sa gastronomie. Le lac tout proche fournit la région en poisson, et les fins gastronomes savent les accommoder àtoutes les sauces (perches, sandres, brochets, etc.). Et bien sûr, on ne pourra pas manquer de goûter l’un desnombreux vins issus des vignes qui tapissent les coteaux entre La Neuveville et Bienne, essentiellement duchasselas (50%) et du pinot. Pour une histoire plus détaillée de la viticulture de la région, direction le Musée de lavigne du lac de Bienne "le Fornel", établi dans une superbe demeure du XVIe siècle à Douanne.

Ses incontournables. Les fêtes du vin sont les événements les plus courus de la région. La Neuveville en septembreet Douanne en octobre célèbrent Bacchus en grande pompe…

Idée week-end . Découvrez nos suggestions pour un week-end fun et nature dans le Chasseral . Entre randogourmande, nuit insolite en gîte et parc aventure dans les arbres, respirez une goulée d'oxygène dans le Jurabernois.


Activités de la région Agendas de la région


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St-Imier et régionTerre d’énergies dans le Jura bernois

Énergies renouvelables, tourisme vert et sensibilisation écolo sont les fers de lance de la région de Saint-Imier. Riend’étonnant quand on connaît la situation de cette commune du Jura bernois : nichée au creux d’un vallon, elle estencerclée de toute part de sommets et de parcs naturels. Ici, on se met au vert intelligemment.


Conditions pratiques

En journée En soirée A l'intérieur A l'extérieur Restauration Mobilite réduite En couple Hiver Été 0 - 3 ans 4 - 6 ans7 - 12 ans 13 - 17 ans Adultes Seniors Gratuit de conditions

Sa ville . Berceau de l’horlogerie jurassienne, Saint-Imier conserve peu de traces de son passé. Seuls quelquesbâtiments historiques ont traversé les époques: la Vieille Cure, la Brasserie de la Place, la Maison Terraz (premièremaison d'école), la Tour Saint-Martin (appelée aussi Tour de la Reine Berthe) et la Collégiale. A l’origine villageagricole, le bourg doit son essor à l’apparition de l’horlogerie au XVIIIe siècle. D’ailleurs, la ville est connue bien au-delà de nos frontières grâce aux célèbres fabriques de montres Longines et Blancpain. Pour découvrir cepatrimoine horloger de manière originale, l'application Drallo Saint-Imier propose une balade à la fois didactique,ludique et interactive...

Son environnement naturel . Un pli du Jura confère à la région une géographie particulièrement contrastée. Lamontagne du Droit, crête filant jusqu’à Pierre Pertuis (passage reliant Tavannes à Sonceboz à l’extrémité est duvallon), surplombe tout le vallon de Saint-Imier sur une vingtaine de km et oscille entre une altitude de 1000 et1200 m environ. Un terrain de jeux pour les amoureux de nature, mais aussi un fabuleux terrain d’observation etde découvertes. Cette terre providentielle, préservée d’une urbanisation excessive et relativement peu boisée, estsource d’énergie dans la région: la centrale solaire du Mont-Soleil et les éoliennes du Mont-Crosin , les plusgrandes installations du genre en Suisse, y ont trouvé refuge. Sur l’autre versant, le Parc Chasseral fait office defrontière entre le vallon de Saint-Imier et le plateau de Diesse. Son sommet, culminant à 1607 m, ses crêtes, sesnombreux sentiers et sa biodiversité exceptionnelle en font une destination de rêve pour les randonneurs de toutpoil.

Ses loisirs . L' Observatoire Astronomique du Mont-Soleil est l’une des attractions phares de la région. Doté des


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https://www.loisirs.ch/region/20648/st-imier-et-region


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dernières technologies dans le domaine de l'astronomie visuelle semi-professionnelle, l'Observatoire et sonplanétarium de 4,5 m de diamètre ouvrent les portes du ciel aux visiteurs. Les plus curieux suivront le sentierdécouverte qui part de la centrale solaire pour rallier le Mont Crosin, 4 km plus loin, où trône le plus grand parcéolien de Suisse . Onze panneaux didactiques sur les énergies renouvelables et la nature ponctuent le parcours.Autre attraction qui vaut son pesant d'or: la location de trottinettes tout terrain, de Segways et de vélos électriquespour découvrir ses paysages bucoliques en mode mobilité douce. Pendant l'hiver, Téléski Tramelan est un passageobligé des familles qui profitent des six pistes de ski servies par deux remontées mécaniques. Quant auxgourmands, ils ont les yeux rivés sur Courtelary, au creux du Vallon de Saint-Imier, où la nouvelle chocolaterie CHEZCamille Bloch a ouvert ses portes fin 2017. Au menu: un parcours découverte interactif, des ateliers gourmandspour toute la famille, un shop pour faire le plein de RAGUSA et de TORINO, ainsi qu'un bistrot convivial pourdéguster une spécialité chocolatée

Sa culture . Depuis 1800, Saint-Imier a vu naître quelques-uns des plus grands noms de l’horlogerie. D’ailleurs, unparcours Energies horlogères, entre la gare et le funiculaire , vous fait découvrir cette histoire passionnante, qui aconduit Saint-Imier à se transformer peu à peu en cité industrielle prospère. D’un célèbre Imérien graveur à la courde Louis XVI aux milliers de petites mains anonymes, des luttes de la Fédération jurassienne à la Paix du travail, leparcours Energies horlogères illustre de manière attrayante l’impact de ce fabuleux développement sur la vie de lalocalité. A découvrir sur le parcours: le Musée de l'horlogerie Longines et ses riches collections d’établis d’horlogeret d’outillage. Egalement à visiter, la manufacture d’horlogerie et l’ancienne fabrique Record de Tramelan. Pour lesmoins pressés, direction le Centre interrégional de perfectionnement qui organise un atelier de découverte del'horlogerie à Tramelan.

Sa gastronomie . Saint-Imier produit plusieurs spécialités locales ou propres au Jura bernois: le fromage AOC Têtede moine, le fromage-de-montagne du Jura, la "Jurasèche" (saucisse fumée à la voûte à manger crue), le saucissonde Saint-Imier et la saucisse "Erguël".

Ses incontournables . La semaine de la musique à Saint-Imier (fin juin, concerts gratuits), l’Imériale (grande fêtevillageoise et régionale qui a lieu fin juin), le comptoir imérien au mois de novembre.


Activités de la région Agendas de la région


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Date: 23.11.2019

ArcInfo - L'Impartial/L'Express2001 Neuchâtel032/ 723 53 00https://www.arcinfo.ch/





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Les éleveurs de moutons et les amateurs de laine ont découvert les quatorze machines servant à transformer la matière première. CHRISTIAN GALLEY

La filature de laine fileun bon cotonPAR [email protected]

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Date: 23.11.2019






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CERNIER Tri, lavage, cardage, filageou feutrage: la filature Laines d'ici trans-forme la matière première de l'Arc juras-sien de A à Z. Ce projet, qui a pris formeen novembre 2017, sur le site d'Evologiaà Cernier, va bon train. Hier après-midi,une quarantaine de personnes, éleveursde moutons de la région et autres ama-teurs de tricot, ont pu découvrir les lo-caux. L'occasion de les inciter à collaboreravec l'association et renforcer ainsi l'ap-provisionnement en matière premièrede qualité. La visite a été organisée encollaboration avec les Parcs naturels duDoubs et Chasseral.

Bilan positifA l'origine de la filature, trois femmes dési-reuses de rendre ses lettres de noblesse à lalaine. Après deux ans, elles tirent un bilan po-sitif des nombreuses étapes déjà franchies,confie Coraline Sandoz, présidente de l'asso-ciation, créée en 2004.Les responsables de la filature se sontd'ailleurs formées pour maîtriser les qua-torze machines, financées par l'Office fédé-ral de l'agriculture, à hauteur de300 000 francs, et la Loterie romande, avec60 000 francs. Actuellement, elles collabo-rent avec une vingtaine d'éleveurs pour laconfection de laine filée. Mais l'objectif estd'augmenter ce nombre.«Depuis l'ouverture de la filature, on a senti unbel impact. On constate un regain d'intérêtpour cette matière naturelle. Le but de cette

rencontre est de montrer tout ce qu'on peutfaire avec la laine», souligne Valérie Thiébaut,coresponsable de la filature et éleveuse d'unetrentaine de moutons à Lignières.

Quatre tonnes récoltéesPour maintenir le cap, l'association peutcompter sur les cotisations de ses mem-bres, la vente de ses produits finis et sur-tout sur des mains volontaires. «Le bénévo-lat nous sauve!», s'exclame-t-elle. Quatretonnes de matière première sont récoltéeschaque année à la filature, ce qui corres-pond à quelque 2000 moutons. Trois ton-nes sont achetées par l'entreprise Fiwo,qui les utilise pour l'isolation des maisonsnotamment, 5001 g sont travaillés à façonet 5001 g sont transformés en produits fi-nis. Ceux-ci sont confectionnés avec lameilleure laine.Le canton de Neuchâtel dénombre 2800moutons et le Jura 6000. Difficile, en revan-che, d'avoir les chiffres pour le Jura ber-nois, mais le canton de Berne en possède73 000. «Il y a le potentiel pour valoriser da-vantage de laine», soutient Coraline San-doz. Grâce à l'augmentation de la produc-tion, la teinture a pu être lancée: les pelotessont ainsi hautes en couleur. La filature apu aussi démarrer une nouvelle étape depromotion de ses produits, en proposantses lots de laine provenant à 100% de l'Arcjurassien dans certains magasins de LaChaux-de-Fonds, Bienne et Colombier.

Rapport Page: 36/81

Date: 22.11.2019

BauernZeitung / Nordwestschweiz, BE + FR3000 Bern 22031/ 958 33 29https://www.bauernzeitung.ch/

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse spécialiséeTirage: 9'102Parution: hebdomadaire N° de thème: 808.005




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Bauern fördern FeldhasenAckerbau / Auf Berns Feldern gedeihtfeldhasenfreundliches Getreide, in weiten Reihen gesät.

Bauten und fehlende ökologisch wertvolle Strukturen machen ihm seinen Lebensraum streitig. Bundund Kantone wollen dem Feldhasen auf der Ackerfläche nun mehr Platz einräumen. (Bild Adobe Stock)

Rapport Page: 37/81

Date: 22.11.2019






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Simone BarthBERN Der Feldhase steht auf derRoten Liste. Das heisst, seit 1950ist sein Bestand derart stark zu-rückgegangen, dass seine Art alsgefährdet eingestuft wird. Nochgibt es ihn in der ganzen Schweiz.Noch hätte er hier eine guteLebensgrundlage. Was er aberbraucht, sind grosse, offene, abergut strukturierte Feldgebiete,mit wertvollen Bio diversitäts ele-menten. Sein anhaltender Rück-gang ist auf die Veränderungseines Lebensraums zurückzu-führen. Die Überbauung und dieFragmentierung der Landschaftbedrohen ihn.

Landwirtschaft ist gefragt

Im Auftrag des Bundesamtes fürUmwelt koordiniert die Schwei-zerische Vogelwarte seit 1991 dasnationale Feldhasenmonitoringin verschiedenen Regionen derSchweiz. «Wichtig ist, dass dieverbleibenden offenen Kultur-landschaften über genügendnaturnahe Strukturen und öko-logisch wertvolle Flächen verfü-gen, damit der Feldhase auf Dau-er erhalten bleibt», steht imSchweizer Feldhasenmonitoring2018, das vom Bundesamt fürUmwelt verfasst wurde.

Ins Zentrum der daraus resul-tierenden Anstrengungen rücktdie Landwirtschaft. Denn über-

baute Flächen können vom Feld-hasen nie mehr genutzt werden.Also muss er auf den Feldern derBauern seine Lebensgrundlagebestreiten. In den KantonenBern und Solothurn wurde die-sen Herbst auf verschiedenenParzellen Getreide in weiter Rei-he zur Förderung der Feldhasenangebaut. «2019 meldeten imKanton Bern 28 Bewirtschaften-de 31 Flächen mit rund 40 Hek-taren Getreide in weiter Reihean», wie das Lanat auf Anfrageder BauernZeitung ausführt. DieMassnahme löst Vernetzungs-beiträge in der Höhe von1000 Franken pro ha aus. DieseKosten werden zu 90% vomBund und zu 10% vom Kantongetragen, teilt das Lanat mit. Wieviele Hektaren in besagter An-bauform diesen Herbst in denBoden kamen, ist allerdingsnoch nicht bekannt. Hierzu hatdas Lanat noch keine Angaben,da diese erst an der Stichtagser-hebung 2020 angemeldet wer-den. «Wir hatten aber diverseAnfragen zu der Massnahme ausverschiedenen Regionen desKantons», heisst es.

Und die Feldlerche?

Bei der letzten Erhebung wurdenin den Regionen NaturparkChasseral, Seeland, Berner Mit-

telland, Naturpark Gantrisch,Emmental und Oberaargau Flä-chen mit Getreide in weiter Rei-he angemeldet. Die Bewilligungdieser Massnahme durch dasBundesamt für Landwirtschaftlag allerdings erst nach der An-bauphase für Wintergetreide vor,deshalb wurden 2019 nur Som-mergetreide und Flächen aus be-stehenden Feldlerchenförder-projekten angemeldet.

Die Massnahme Getreide inweiter Reihe war bis Anfang 2019in verschiedenen Kantonen alsMassnahme für den Feldhasenbewilligt und nachweislich wirk-sam, wie das Lanat weiss. ImSommer 2019 wurde die Mass-nahme in den sieben KantonenAG, BE, BL, LU, SO, ZG und ZHharmonisiert und ist neu auchals Fördermassnahme für Feld-lerchen anerkannt. «Die Feldler-che kann mit der Massnahmealso auch gefördert werden», er-klärt das Lanat. Zusätzlich zu derMassnahme Getreide in weiterReihe würden in der Schweiznoch andere Projekte zur Feld-lerchenförderung laufen, umden Sturzflug ihrer Bestandszah-len zu stoppen. Denn auch sie lei-det, wie der Feldhase, unter derSchweizer Bauwut und dem Ver-lust ihres Lebensraums.

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Date: 22.11.2019






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Striegeln - ja, aber ...Im Rahmen der MassnahmeGetreide in weiter Reihe könnendie Bewirtschafter zwischennur chemischer oder nur me-chanischer (Einzelstockbehand-lung erlaubt) Unkrautbekämp-fung wählen. Beide Methodenhaben Vor- und Nachteile.Durch das Striegeln könnenGelege der Feldlerche zerstörtund Junghasen getötet werden,dafür wird die Ackerbegleitfloraals wertvolle Futterquelle nichtvollständig entfernt. Herbizidekönnen über längere Zeit die

Ackerbegleitflora stark reduzie-ren und sind für Biobetriebenicht möglich. Welche Varianteauf der jeweiligen Fläche sinn-voll ist, soll Teil der Beratungsein, so das Lanat.

Bei der mechanischen Va-riante hat das Striegeln ab

1. Oktober bis Ende Jahr keineEinschränkungen. In dieserZeit werden weder Nester nochJunghasen durch den Striegelgeschädigt. Von Januar bis15. April darf maximal einmalgestriegelt werden. In der

Hauptbrutzeit von Feldlercheund Feldhase darf nicht mehrgestriegelt werden. «Die Mass-nahme kann also mit demBerner Pflanzenschutzprojektkombiniert werden, wenn dieetwas strengeren Massnah-men der Vernetzung eingehal-ten werden«, erklärt das Lanatauf die Frage, ob sich dasProjekt zugunsten der Feldha-sen überhaupt mit den Mass-nahmen aus dem Berner Pflan-zenschutzprojekt vereinbarenliessen. sb

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Date: 21.11.2019

Le Franc-Montagnard2350 Saignelégier032/ 951 16 55www.franc-mont.ch/





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Les parcs naturels régionaux à l'honneur dans « Intervalles »« Des hommes, des femmes et

des parcs», tel est le titre qu'a Inter-valles» consacre aux parcs naturelsrégionaux du Chasserai et du Doubs.Ces institutions, comme d'autres enSuisse, visent à protéger la faune et la

flore, mais aussi à concilier les activi-tés humaines avec elles et à valoriserle patrimoine régional. Vingt femmesou hommes, connues ou non, sedévoilent dans ce N° 115 de la revue.

Ils révèlent leurs relations avec cesparcs, donnant ainsi un visage à cetespace géographique.

L'Arc jurassien compte six parcsnaturels régionaux, dont deux sontsitués dans notre région: celui duDoubs et celui du Chasserai. Deux

institutions voisines qui cherchentnon seulement à préserver la fauneet la flore, mais aussi à assurer undéveloppement durable des activi-

tés humaines et à valoriser les patri-moines régionaux.

Elles répondent donc à la questionqu'Intervalles posait, il y a tout juste 20ans, dans son 54e numéro, «Chasserai »,

sur la nécessité d'organiser la cohabita-tion sur le Chasserai des métayers, dugrand tétras et des vététistes.

Dans cette dernière édition,Intervalles présente ces deux parcs etpart à la rencontre d'une vingtained'hommes et de femme, parmi les-quels plusieurs Francs-Montagnards(Jacques Bassang, Maria-Luisa Wen-

ger).

Propositions de promenades

Fières de leur région, amoureusesde ses paysages et de sa nature maisaussi de ses habitants, ces personnes,connues ou anonymes, livrent un por-trait intime de ce vaste espace géogra-phique. Et, pour partir concrètement àsa découverte, quatre propositions depromenades complètent cet ouvrage.

D'un contenu de 136 pages (plusde 90 illustrations), «Des hommes,des femmes et des parcs» est dispo-nible à l'adresse suivante: Intervalles,c/o Hot's Design CommunicationSA, rue centrale 115, 2503 Bienne,079 935 66 31. LFM/p h a

Goum«, 710 2010

Le parc naturel du Doubs et celui de Chasserai sont mis en lumière dans le tout derniernuméro de la revue «Intervalles». photo archives

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Date: 20.11.2019

La Semaine /Journal du district de Moutier2735 Bévilard032/ 491 60 80www.ijc.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 12'000Parution: 46x/année N° de thème: 808.005




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Revue Intervalles

Des hommes, des femmes, des parcs

Les Roches (1525 m) sur la crête du Chasserai(photo © Gerry Nitsch)

L'étang de la Gruère, des airs de Scandinavie aux coeur des Franches-Montagnes.(photo Fabrice Nobs,

'

Rapport Page: 41/81

Date: 20.11.2019

La Semaine /Journal du district de Moutier2735 Bévilard032/ 491 60 80www.ijc.ch





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La revue Intervalles consacreson numéro 115 aux parcs na-turels régionaux du Chasseraiet du Doubs. Ces deux institu-tions, comme d'autres en Suisse,visent non seulement à protégerla faune et la flore, mais aussi àconcilier les activités humainesavec elles et à valoriser le pa-trimoine régional. Vingt femmesou hommes, connus ou non, liésà ces parcs, se dévoilent et ré-vèlent leurs relations avec cesderniers, donnant ainsi un visageà cet espace géographique. Cenuméro fait aussi écho au cahier54 «Chasserai», qui évoquait leprojet de création des parcs.

L'Arc jurassien a la grande chance decompter six parcs naturels régionaux,dont deux sont situés dans notrerégion: celui du Doubs et celui duChasserai. Deux institutions voisines,qui cherchent non seulement à pré-server la faune et la flore, mais aussià assurer un développement durabledes activités humaines et à valoriserles patrimoines régionaux. Elles ré-

pondent donc à la question qu'Inter-valles posait il y a tout juste 20 ansdans son numéro 54 «Chasserai» surla nécessité d'organiser la cohabita-tion sur le Chassera! des métayers, dugrand tétras et des VTTistes. Au travers

du nouveau numéro, Intervalles pré-sente ces deux parcs et part à la ren-contre d'une vingtaine d'hommes etde femmes qui, à leur façon, sont liésaux parcs du Doubs et du Chasserai.

Propositions de promenadesFières de leur région, amoureuses deses paysages et de sa nature maisaussi de ses habitants, ces personnes,connues ou anonymes, livrent un

portrait intime de ce vaste espacegéographique. Et pour partir concrè-tement à sa découverte, quatre pro-positions de promenades complètentcet ouvrage. (cp-oo)

N° 115 de La revue Intervalles,Hot'Design, Rue Centrale 115,2503 Bienne, tél. 079 935 66 31.Prix de vente: Fr. 30.- + frais deport.

www.intervalles.ch

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Date: 15.11.2019

Bulletin des communes du district de Neuchâtel2072 St-Blaise032/ 756 97 97www.izsa.ch/





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ENTRE-DEUX-LACS

ELEVEURS DE MOUTON

Valorisez vos laines!Bà Cernier la Filature

Laines d'ici tire un bilan positifaprès deux ans d'activité, portéepar ce résultat elle vise à renforcerson approvisionnement en lainerégionale de qualité par un appelLancé aux éleveurs de moutons.La visite des installations de Lainesd'ici à Evologia, organisée le 22novembre prochain, destinée spé-cialement aux éleveurs de moutonsde la région, a pour objectif de créerde nouvelles relations. Ace jour unevingtaine d'éleveurs entreprennentdes efforts notables et appréciéspour améliorer la qualité de la lainede leurs moutons, ce qui se tra-duit par une production lainière de

haute qualité.Laines d'ici a déjà franchi de nom-breuses étapes, formation, maitrise de nouvelles machines, tein-tures lancées, concentration surun travail personnalisé, les lainesse parent aujourd'hui de multiplescouleurs et égaieront demain lesbonnets finis mis en projet.Demeure encore un souhait, celuide proposer un produit avec de lalaine provenant à 100% des Parcsnaturels régionaux du Doubs etChasseraiLes éleveurs intéressés sont priésde s'inscrire jusqu'au 19 novembre,info @lainesdici.ch ou 077 477 94 54.

GC

e'e,"

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Date: 15.11.2019

Feuille d'avis du district de Courtelary2608 Courtelary032/ 944 17 56www.bechtel-imprimerie.ch





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PARC NATUREL RÉGIONAL CHASSERAL

Cadeaux sous le signe du terroirRéelle richesse de notre région, les produits du terroir constituent d'originales idées decadeaux de Noël, qui soutiennent l'économie locale et conviennent à tous les goûts.

Cadeaux d'entreprise ouprésents pour ses prochesà l'occasion des fêtes de find'année: les cadeaux du terroirproposés par le Parc Chasseraisoutiennent l'économie localeet font plaisir à tous les coups.

Constitués à 100 % de déli-cieux produits labellisés Parcssuisses (voir encadré), les Cor-nets Terroir sont à commanderen tout temps et en avance surle site internet du Parc Chasse-rai ou directement auprès desdeux points de vente.- Le Cornet Terroir Les Pâtu-

rages (22 francs) contient un

Le Parc naturel régional Chasse-rai fait partie des territoires d'ex-cellence que forment les Parcsen Suisse. Il est reconnu par laConfédération depuis 2012. Sonbut est de préserver et mettreen valeur son patrimoine et decontribuer ainsi au développe-ment durable de la région. LeParc s'étend sur 38 000 ha etrassemble 21 communes (18 BEet 3 NE) engagées pour une pre-mière période de dix ans.

Le label produits Parcs suissesUne garantie de produits locaux, durable et d'excellente qualité

Tous les produits labellisés dans le Parc Chasserai respectent le cahierdes charges des marques régionales Jura bernois Produits du terroir ouNeuchâtel Vins et Terroir. Délivré par l'Office fédéral de l'Environnement,le label produit Parcs Suisses garantit des produits nés et travaillés dansle Parc Chasserai, une éthique de développement durable

sirop (primevères ou fleur desureau), un paquet de cara-mels, du fromage Jura Mon-tagne et une saucisse.

- Le Cornet Les Moines(30 francs) est constitué d'unebouteille de Pinot noir de laCave de Berne, à La Neuve-ville (5 dl), d'une demi-Tête deMoine AOP et d'un Pavé desMoines.Les bons terroir du Chasse-

rai, d'un montant de 20 francs,30 francs ou 50 francs, sont àfaire valoir directement chezles producteurs ou dans lesrégionaux, ainsi que dans les14 métairies offrant de savou-reuses Assiettes Chasserai. Ilspeuvent être commandés trèssimplement via un formulaire en

ligne sur www.parcchasseral.ch/gastronomie.

D'autres paniers constituésd'excellents produits régionauxsont à découvrir sur www.j31.ch/fr/P42194/les-paniers-du-terroir.

En plus, le Parc lance unconcours sur les réseauxsociaux pour faire découvrir lesproduits aux amateurs. Délaide participation : mercredi20 novembre.I parc chasserai

Points de vente des Cornets Terroir:

Fromagerie des Reussilles,Le Saucy 24a, Les ReussillesHeidi Tschannen,Le Quart-Dessous 3, Corgémont

Le label produits Parcs suissesUne garantie de produits locaux, durable et d'excellente qualité

Tous les produits labellisés dans le Parc Chasserai respectent le cahierdes charges des marques régionales Jura bernois Produits du terroir ouNeuchâtel Vins et Terroir. Délivré par l'Office fédéral de l'Environnement,le label produit Parcs Suisses garantit des produits nés et travaillés dansle Parc Chasserai, dans une éthique de développement durable.

Le Parc naturel régional Chasse-rai fait partie des territoires d'ex-cellence que forment les Parcsen Suisse. Il est reconnu par laConfédération depuis 2012. Sonbut est de préserver et mettreen valeur son patrimoine et decontribuer ainsi au développe-ment durable de la région. LeParc s'étend sur 38 000 ha etrassemble 21 communes (18 BEet 3 NE) engagées pour une pre-mière période de dix ans.

Rapport Page: 44/81

Date: 15.11.2019






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PARCS NATURELS RÉGIONAUX DU DOUBS ET CHASSERAI

Les éleveurs de moutons invitésà découvrir la filature Laines d'iciBasée à Cernier, la filature Laines d'ici se diversifie et continue de développer de nouveaux produits.Un des objectifs fixés à court terme est de renforcer son approvisionnement en laine régionale de qualité.

Pour ce faire, elle organise le22 novembre dans ses locauxd'Evologia une visite spécialede ses installations destinéeaux éleveurs de moutons de larégion, afin de les inciter à col-laborer.

L'association Laines d'icipoursuit son travail auprès deséleveurs de la région pour leurdonner envie de valoriser lalaine de leurs moutons à un prixjuste, grâce à une transforma-tion à la filature. Une visite spé-ciale, dédiée aux éleveurs de larégion en collaboration avec lesParcs naturels régionaux Chas-serai et du Doubs, est organi-sée le vendredi 22 novembre à14 h à Evologia.

L'objectif de cette rencontreest de créer de nouvelles col-laborations qui viendraientconsolider les relations que lafilature entretient aujourd'huiavec une vingtaine d'éle-veurs pour la confection delaine filée. Ceux-ci ont fait desefforts notables et appréciéspour améliorer la qualité de lalaine de leurs moutons, ce quise traduit par la productiond'un fil de très bonne qualité.Les éleveurs intéressés sontpriés de s'inscrire jusqu'au19 novembre (info @lainesdici.ch, 077 477 94 54).

Bilan positif aprèsdeux ans d'activité

Deux ans après son lance-ment, Laines d'ici tire un bilanpositif des activités menées et

des nombreuses étapes déjàfranchies. Les trois instigatricesdu projet ont notamment d0 seformer pour maîtriser leurs nou-velles machines et optimiserle processus de production,entre autres afin de constituerun stock de laine, bien qu'unegrande partie de l'activité dela filature soit concentrée surle travail à façon personna-lisé. Si les premières pelotesmettaient en valeur la couleurd'origine des laines, blancheset brunes, la teinture a pu êtrelancée grâce à l'augmentationde la production. Les laines separent aujourd'hui de multiplescouleurs.

Grâce à un rythme de pro-duction soutenu, la filaturebasée à Cemier a pu démarrer

Photo: Laines

une nouvelle étape de promo-tion de ses produits, en propo-sant ses lots de laine provenantà 100 % de l'Arc jurassien danscertains magasins des villesalentour (La Chaux-de-Fonds,Bienne et Colombier).

Régulièrement sollicitée pourintégrer leur laine dans de nou-veaux projets et réalisations,l'association souhaite à pré-sent embrasser de nouveauxpotentiels de développement,comme celui des produits finis- des bonnets, par exemple -en partenariat avec son réseaud'artisanes. Elle souhaiteraitaussi proposer un produit avecde la laine provenant à 100 %des Parcs naturels régionauxdu Doubs et Chasserai.I parc chasserai

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Date: 21.11.2019

Radio Fréquence Jura Online

Radio Fréquence Jura2800 Delémont032/ 421 70 40www.rfj.ch




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Les Parcs Chasseral et du Doubs réunis dans la revue IntervallesLe numéro 115 de la Revue culturelle du Jura bernois et de Bienne se penche sur la diversité des Parcs régionauxde Chasseral et du Doubs. L’ouvrage, sorti cette semaine, est intitulé « Des hommes, des femmes et deux parcs »

Le Parc Chasseral (Photo : archives)

Six parcs naturels sont recensés dans l’Arc jurassien. Notre région en compte deux : les Parcs Chasseral et duDoubs. Le numéro 115 de la Revue Intervalles, intitulé « Des hommes, des femmes et deux parcs », s’intéresse à ladiversité qui existe dans ces deux parcs naturels. Nicolas Sauthier, responsable communication au Parc régionalChasseral, était l’invité de La Matinale mercredi matin. Il nous explique comment l’aventure a commencé :

Ecouter le son

Le numéro 115 de la Revue Intervalles , intitulé « Des hommes, des femmes et deux parcs », est sorti cettesemaine. /nch


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Rapport Page: 46/81

https://www.rfj.ch/rfj/Actualite/Region/20191121-Les-Parcs-Chasseral-et-du-Doubs-reunis-dans-la-revue-Intervalles.html

https://www.rfj.ch/rfj/Actualite/Region/20191121-Les-Parcs-Chasseral-et-du-Doubs-reunis-dans-la-revue-Intervalles.html

Date: 20.11.2019

Canal Alpha2016 Cortaillod032/ 842 22 56www.canalalpha.ch



Type de média: Sites d'informations

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Galerie de portraits des gens de nos parcs régionaux19 novembre 2019

Galerie de portraits des gens de nos parcs régionaux

La Revue culturelle Intervalles, vient de sortir, avec un focus sur les Parcs régionaux du Chasseral, et du Doubs. Elleconsacre, à cette occasion, une vingtaine de portraits à ceux qui vivent le territoire au quotidien, dans les lieuxauquel auxquels ils sont attachés. Vous les avez cerataintement déjà vus sur Canal Alpha, comme le pionnier duBio dans le Jura : Bernard Froidevaux, l’alternatif imérien Michel Némitz, ou encore l’élu Chaux-de-Fonnier : ThéoHuguenin-Elie.


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Rapport Page: 47/81

http://www.canalalpha.ch/actu/galerie-de-portraits-des-gens-de-nos-parcs-regionaux/

http://www.canalalpha.ch/actu/galerie-de-portraits-des-gens-de-nos-parcs-regionaux/

Date: 20.11.2019






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Les Parcs Chasseral et du Doubs réunis dans la revue IntervallesLe numéro 115 de la Revue culturelle du Jura bernois et de Bienne se penche sur la diversité des Parcs régionauxde Chasseral et du Doubs. L’ouvrage, sorti cette semaine, est intitulé « Des hommes, des femmes et deux parcs »

Nicolas Sauthier, responsable communication au Parc régional Chasseral et co-auteur de ce numéro, lors de sonpassage dans La Matinale.

Six parcs naturels sont recensés dans l’Arc jurassien. Notre région en compte deux : les Parcs Chasseral et duDoubs. Le numéro 115 de la Revue Intervalles, intitulé « Des hommes, des femmes et deux parcs », s’intéresse à ladiversité qui existe dans ces deux parcs naturels. Nicolas Sauthier, responsable communication au Parc régionalChasseral, était l’invité de La Matinale mercredi matin. Il nous explique comment l’aventure a commencé :

Ecouter le son

Le numéro 115 de la Revue Intervalles , intitulé « Des hommes, des femmes et deux parcs », est sorti cettesemaine. /nch


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https://www.rjb.ch/rjb/Actualite/Region/20191120-Les-Parcs-Chasseral-et-du-Doubs-reunis-dans-la-revue-Intervalles.html

https://www.rjb.ch/rjb/Actualite/Region/20191120-Les-Parcs-Chasseral-et-du-Doubs-reunis-dans-la-revue-Intervalles.html

Date: 15.11.2019

Le Courrier La Neuveville2520 La Neuveville032/ 751 21 79www.imprimerieducourrier.ch/journal-c...





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Parc régional Chassera)Cadeaux de Noël sous le signe du terroirRéelle richesse de notre région, les produits du terroir constituent d'originales idées decadeaux de Noël, qui soutiennent l'économie locale et conviennent à tous les goûts

Le Parc Chasserai propose deux"Cornets Terroir"ainsi que des bons"Terroir du Chasserai" à fairevaloir chez de nombreux prestataires de larégion. Le Parc lance un concours sur lesréseaux sociaux pour faire découvrir lesproduits aux amateurs. Délai de participation :mercredi 20 novembre 2019.

Cadeaux d'entreprise ou présents pour sesproches à l'occasion des fêtes de fin d'année :les cadeaux du terroir proposés par le ParcChasserai soutiennent l'économie locale et fontplaisir à tous les coups.

Constitués à 100% de délicieux produits labelli-sés "Parcs suisses" les "Cornets Terroir" sont àcommander en tout temps et en avance sur lesite internet du Parc Chasserai.

Le Cornet Terroir "Les Pâturages" (CHF 22.-)contient un sirop (primevères ou fleur desureau), un paquet de caramels, du fromageJura Montagne et une saucisse.

Le Cornet"Les Moines" (CHF 30.-) est constituéd'une bouteille de Pinot noir de la Cave de

Berne, à La Neuveville (5dI), d'une demi-Tête deMoine AOP et d'un Pavé des Moines.Les bons "terroir du Chasserai ", d'un montantde CHF 20.- 30.- ou 50.-, sont à faire valoir direc-tement chez les producteurs ou dans les pointsde vente de produits régionaux,ainsi que dansles 14 métairies offrant de savoureuses"Assiettes Chasserai". Ils peuvent être commandéstrès simplement via un formulaire en ligne surwww.parcchasseral.ch/gastronomie.

Points de vente des Cornets Terroir

Fromagerie des ReussillesLe Saucy 24a2722 Les Reussilles+41 (0)32 487 46 [email protected]

Madame Heidi TschannenLe Quart-Dessous 32606 Corgémont+41 (0)32 [email protected]

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Date: 20.11.2019

Le Quotidien Jurassien2800 Delémont032/ 421 18 18https://www.lqj.ch/





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PUBLICATION

Les parcs au coeur du dernier «Intervalles»

Le nouveau numéro de la revue Intervalles estrégionaux du Chasserai et du Doubs.

Le 115e numéro de la revueculturelle Intervalles, tout

juste sorti de presse, fait lapart belle aux parcs régionauxdu Chasseral et du Doubs enleur consacrant 136 pages detextes et d'images. Préserver lafaune et la flore ou valoriserles patrimoines régionaux fontnotamment partie des mis-sions de ces institutions.«Nous avons souhaité, en col-laboration avec les deux parcs,faire une photographie de larégion et des personnes qui yvivent, au nord et au sud de lafrontière politique», expliqueJulien Steiner, membre du co-mité d' Intervalles et responsa-ble de ce numéro.

consacré aux parcsPHOTO GERRY NITSCH

Vingt portraits pourcomprendre les parcs

Fait original de ce nouveaunuméro, il part notamment àla rencontre de vingt hommes

et femmes, connus ou non, ré-vélant leurs relations avec lesparcs, les forces et faiblessesde ceux-ci. Le lecteur pourraainsi y trouver les témoigna-ges du peintre jurassien Mi-chel Marchand, du directeurde la CEP Patrick Linder ouencore de deux jeunes bénévo-les dans un groupe de Pro Na-

tura. «Avec ces vingt portraits,on remarque que chacun etchacune aime sa région, en est

fier et s'y sent bien, que l'onsoit au nord ou au sud de lafrontière politique entre leJura et le canton de Berne», re-lève Julien Steiner, qui a écritcertains de ces portraits, toutcomme Nicolas Sauthier etFanny Desfray, respective-ment responsables de la com-munication du Parc Chasseralet du Parc du Doubs.

Outre ces vingt portraits,c'est également le rôle de cesparcs qui est étudié et décryptépar l'équipe d'Intervalles.«L'un des grands défis à venirpour les parcs régionaux est deconcilier le développementdurable et l'activité humaine.Ce sont des zones géographi-ques où il faut trouver un che-min commun à la biodiversitéet à l'homme, qui doivent tousdeux y avoir une place», jugeJulien Steiner. Enfin, ce nu-méro propose quatre prome-nades dans les Parcs Chasse-ral et du Doubs pour les dé-couvrir encore un peu davan-tage.

La revue peut être comman-dée sur le site internetwwvv.intervalles.ch. LRO

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Date: 20.11.2019






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Deux p vus et revueINTERVALLES C'est aux Reussilles que le comité a verni le 115e numéro,hier, de son périodique culturel en lien avec le Jura bernois et Bienne.Riche de 136 pages, il s'intéresse aux deux parcs régionaux de la région.

PAR DAN STEINER

ALa diversité des Parcs Chasserai et du Doubs vue par les personnages qui vivent sur leur territoire. PHOTOMONTAGE: STEVE RICHARD/PHOTOS: FABRICE NOBS

40t1

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u'est-ce qui définitune région, un terri-toire? Ses frontièrespolitiques et adminis-

tratives? Ses caractéris-tiques géomorphologiques etnaturelles? Ses aspects sociaux,culturels et économiques, cons-titués au fil des siècles? Pourson 115e numéro, la revue In-tervalles ne cherche pas tant àrépondre à cette question qu'à«mettre en lumière quelquesspécificités d'un espace quis'étend des rives du lac de Bien-ne à celles du Doubs, sans s'ar-rêter sur la frontière politiqueentre le Jura et le Jura bernois»,explique Julien Steiner en in-troduction.Publié trois fois par an, le pério-dique culturel du Jura bernoiset de Bienne donne ici, notam-ment, la parole aux femmes etaux hommes qui vivent dans etfont vivre cet espace: le terri-toire des Parcs naturels régio-naux Chasseral et du Doubs.Vice-chancelier de la citéseelandaise, mais surtoutmembre du comité d'Interval-les et responsable de ce115e numéro, le précité a sou-haité s'intéresser à ces portionsde pays, 20 ans après la publica-tion 54, qui s'intéressait déjàau futur Parc Chasserai.

Personnages hétéroclitesHier, aux Reussilles, elles et ilsétaient plusieurs, de la ving-taine de personnes qui ont ac-

cepté, pour donner vie à ce115e numéro, d'ouvrir leur inti-mité en faisant découvrir unendroit des parcs qui leur estcher ou particulier. «Ce quinous a permis de découvrir deslieux que nous ne connaissionspas...» révèle Nicolas Sauthier,responsable communicationdu Parc Chasserai. Bon, il fautdire que ce dernier s'étend surpresque 400 km2.Et pour sélectionner cette ving-taine de visages, Julien Steineret les collaborateurs des parcsliés à la rédaction de ce numérod'Intervalles avouent un peud'arbitraire. Mais pas que. «Nousavons cherché à panacher enchoisissant des personnes con-nues et d'autres moins, deshommes et de femmes, biensûr, mais aussi des gens prove-nant de secteurs d'activité diffé-rents», explique Julien Steiner.Parmi celles et ceux qui racon-tent leur relation avec leur ré-gion et les parcs en particulier,on retrouve la vigneronne deDouanne Anne-Claire Schottou le chef des Prés-d'Orvin Da-niel Jeandrevin; le chancelierimérien et ancien journalistedu JdJ, Beat Grossenbacher, oule directeur de la Chambred'économie publique du Jurabernois, Patrick Linder; maisencore deux jeunes membresde Pro Natura ou Olivier Barbe-ry, ce Belge qui dirige désor-mais... Ciments Vigier SA.Et de ce troisième magazine

édité en 2019, fruit de presquedeux ans de travail, découlenttrois observations majeures,résume son responsable. «Atravers tous ces témoignages,on note la conscience impor-tante de concilier activités hu-maines et nature, mais aussi lesentiment qu'on pourraitmieux valoriser les parcs etleur région, et enfin l'attache-ment profond de toutes cespersonnes à cette dernière»,synthétise Julien Steiner.

«Jumeaux hétérozygotes»Président de la revue, Jean-Christophe Méroz parle, lui, desparcs en les qualifiant de «ju-meaux hétérozygotes», l'unconstruit autour d'une rivière,l'autre d'une montagne. Maisdeux références visuelles de larégion. Au sens large. D'où cetteconclusion légitime d'OlivierGerber, qui gère la ferme des Pe-tites fraises, aux Reussilles juste-ment: «Aujourd'hui, pas sûr quel'on pourrait construire un telémetteur au sommet du massif,alors qu'il est désormais rassem-bleur et identitaire, avec son al-lure de fusée.» Un parallèle avecla tour Eiffel tout trouvé.Notons encore que quatre pro-positions de balades complè-tent l'ouvrage.

«Des hommes, des femmes et deux parcs»

136 p., 900 exemplaires, www.intervalles.ch.

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CARTE DE VISITE DE DEUX VECTEURS D'IDENTITÉ

4 Parc naturel régional Chasserai388 km2

4 38 600 habitants9 21 communes sur deux cantons: Berne et Neuchâtel4 parc créé en 2002, labellisé en 2012 au niveau fédéral

4 Parc naturel régional du Doubs4 293,7 km24 60 000 habitants (avec La Chaux-de-Fonds et Le Locle)916 communes sur trois cantons: Jura, Neuchâtel et Berne9 parc créé en 1999, labellisé en 2013 au niveau fédéral

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Val-de-Ruz Info2052 Fontainemelon032/ 853 70 64www.valderuzinfo.ch





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DU BOULOT PLEIN LES BRAS

Sommet du Chasserai. (Photo: man).

475 personnes, pour un total de 1'104journées d'activités, ont fourni destravaux volontaires sur le territoire duParc régional Chasserai. Un chiffre im-pressionnant selon les initiateurs desprojets de cette année.

Les pelles, les scies ou encore les sacspoubelles sont rangés: la saison 2019des chantiers nature organisés par leParc régional Chasseral est terminée.De mars à octobre, 475 personnes,contre 577 en 2018, ont fourni du tra-vail volontaire sur le territoire. Cettelégère baisse contraste avec l'augmen-

tation des journées de travail propre-ment dites (soit 1'104 contre 877 en2018).

Actions en faveur de la biodiversité,entretien de chemins pédestres, arra-chage de plantes invasives: les actionsmenées tant par des adultes que par desenfants ou des jeunes en formation ontété très variées. Menés depuis main-tenant six ans, ces chantiers natureallient plusieurs éléments: réalisationd'un entretien en faveur de la nature,du paysage ou du patrimoine, sensibi-

lisation concrète à l'environnement etexpérience de groupe.

Cette année, les principaux secteursconcernés par les travaux ont été leVal-de-Ruz, Saint-Imier et ses envi-rons (Renan, Sonvilier, La Cibourget Mont-Soleil), avec une dizaine degroupes actifs dans des entretiensde haies, la mise en place de tas debranches en faveur des hermines oul'entretien de sentiers pédestres. Deschantiers ont aussi été organisés à Li-gnières et aux Prés-d'Orvin.

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Val-de-Ruz Info2052 Fontainemelon032/ 853 70 64www.valderuzinfo.ch





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En raison d'un printemps difficile quia prétérité les arbres fruitiers de la ré-gion, la récolte de fruits dans les ver-gers a été très modeste.

En 2020, le Parc Chasseral va pour-suivre ses actions en continuant des'appuyer sur le travail mené par lesassociations locales et régionales, sanslesquelles rien ne serait possible. /man-comm

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COURRIER DE LECTEUR

Une pétition pour réfléchir à l'avenir de larégion de Chasserai et de ses habitants

L'Association Sauvez l'Eche-lette lance une pétition deman-dant une conception cohé-rente de valorisation et depréservation de la région desBugnenets-Savagnières. Unecentrale éolienne industriellede 11 machines géantes y estprévue, alors que ce secteur estaujourd'hui affecté au tourismedoux et que la biodiversité et lepaysage y sont préservés.

Voulons-nous un Mont-Cro-sin numéro deux à côté dupremier? C'est à cette réa-lité qu'on assistera si le projetéolien des Quatre Bornes venaità être construit. Or, le secteurqu'il occuperait, à cheval surles cantons de Berne et deNeuchâtel - Bugnenets, Sava-gnières, Creux-Joly, Montagnede l'Envers et Joux-du-Plâne- est aujourd'hui bien préservésur le plan paysager et consti-tue un refuge pour la biodi-versité: l'aigle royal y déploie

ses ailes et les chauves-sou-ris y élisent domicile l'été. Lesespèces menacées y sont nom-breuses.

La région est attractivegrâce au tourisme doux, étécomme hiver. «Pas besoin deprendre sa voiture et d'allerjusqu'en Valais pour profiterde pistes de ski dans un cadremagnifique », estime ClaudeSchônenberg, Président del'Association Sauvez l'Eche-lette. Protéger le climat passeaussi par la promotion d'untourisme de proximité, quiprofite en plus à l'économielocale.

Un paysage préservé estd'ailleurs la raison d'être prin-cipale du Parc régional Chas-serai. Si tous les sites éoliensactuellement prévus dans leJura bernois sont construits, ilfaudra tirer un trait sur ce fan-tastique instrument de déve-loppement régional. Les Parcs

naturels régionaux apportentpourtant une réponse à la pro-blématique actuelle du climat.Ils soutiennent la biodiver-sité, encouragent un tourismedoux, et offrent toute une séried'activités de sensibilisation àla nature.

Porteurs de la pétition, lesriverains du projet éolien desQuatre Bornes estiment qu'unetransition énergétique qui seferait au détriment des êtreshumains est vouée à l'échec.Or, c'est exactement ce qui sepasse: alors que la région offreun bon potentiel de développe-ment d'énergies renouvelablescomme la biomasse ou le pho-tovoltaïque, on mise sur l'éolien,cher, nuisible et inefficace.

La pétition est disponible surle site internet de l'association.claude schônenberg,

président

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RÉGIONALIONAt SE

Rntif àpAsriori stablespour la gélinotte des boisEmblématique de forêts d'altitude diversifiées, la rare et discrète gélinotte des bois a fait l'objet de sept ansde relevés de terrain au Parc Chasserai. Inscrite sur liste rouge, la petite poule forestière semble se maintenirsur le territoire du parc.

Les analyses menées sonttoutefois à prendre avec despincettes. L'avenir de la géli-notte des bois dépend en par-tie de travaux d'améliorationde son habitat, menés par lesforestiers avec le soutien duparc naturel régional.

est très rare d'observer unegélinotte des bois sur le terrain.Cet oiseau est extrêmementdiscret et reste cloîtré à l'abridu couvert végétal, C'est surdes indices de présence ausol, comme ses crottes ou sesempreintes, que se sont basésles relevés de terrain menéspar réquipe du Parc Chasse-rai durant deux phases (entre2013 et 2015, puis entre 2015et 2019). La première périodevisait à déterminer l'état initialde la situation de l'oiseau, lasecoide à évaluer son évolu-tion.

Au final, ces sept annéesd'analyse montrent que lasituation de la gélinotte semblestable, mais reste peu confor-tabledans le Parc Chasserai,qui onstitue la limite nord desa répartition actuelle régulièredans l'Arc jurassien. Elle estenco.e relativement bien pré-sente dans certains secteurs,mais les densités semblentfaibles et même des habitatsqui paraissent rassembler tousles atouts pour l'accueillir sont

inoccupés. Ce bel oiseau auplumage gris parsemé de rouxparaît s'en sortir un peu mieuxsur la partie neuchâteloise duParc. La fameuse forêt jardinéesemble davantage lui convenirque les futaies régulières duJura bernois.

Selon-les analyses des pho-tos aériennes menées pourorganiser les relevés de ter-rain, seules une minorité deforêts peuvent potentiellementconvenir à la gélinotte, plus dela moitié étant clairement ina-daptées, le plus souvent parcequ'elles sont trop régulièreset trop peu structurées, man-quant de lisières internes outrop pauvres en résineux. Cesderniers représentent le meil-leur abri contre les prédateursen hiver. La gélinotte, séden-taire, donnait en effet parfai-tement tous les recoins de sonterrain. Pour rester à l'abri demartres et autres prédateurs,elle se cache dans les densesfrondaisons des sapins blancset autres épicéas.

La gélinotte des bois seretrouve principalement dansles sites les plus élevés, depréférence en versant sud, oùles buissons, les clairières etles lisières internes dont ellea besoin peuvent se dévelop-per le plus facilement. Le ParcChasserai - et l'association

Sorbuscôté neuchâtelois - tra-vaillent main dans la main avecles forestiers concernés poureffectuer des coupes cibléesou prodiguer des surle terrain pour une- gestionforestière compatible avec lesbesoins de la gélinotte.

Les Offices cantonaux desforêts, la Station ornitholo-gique suisseles propriétaires et gardeforestiers sont trèsqués dans les démardhes, quidurent depuis une quinzained'années. Elles étaient dans unpremier temps orientées sur lasauvegarde du grand tétras,malheureusement disparu denos régions entretemps. Ellesont été recentrées sur la géli-notte, mais sont tout autantprofitables à la bécasse desbois ou au merle à plastron, parexemple. Pour l'instant, le suivide la gélinotte au Parc Chasse-rai est en pause. Les donnéesrecueillies constituent unebase qui pourra être renouve-lée au besoin. Mais les travauxd'amélioration de son habitat- et donc de celui de toute lacommunauté d'espèces desforêts de montagne - conti-nuent. parc naturel régionalchasserai

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Un habitat favorable à la gélinotte des bois est constitué notammentde résineux à branches basses, de buiàsons à baies et de petites clairières.Photo: Parc Chasserai

Un travail de master à l'institut WSL et à l'Université de Viennea permis de développer un modèle d'habitat qui montre où se trouventles forêts favorables (en vert) et celles qui présentent un potentield'amélioration sans trop d'effort (en jaune).Photo: C. Rechsteiner et Parc Chasserai

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Le relevé visait aussi à tester une méthode standardisée de suivi. [ac-compagnement du relevé par des scientifiques de la Station ornitholo-gique suisse a permis de montrer que la probabilité de trouver des indicesdans une placette où la gélinotte est présente se situe aux alentoursde 50 % seulement. Un relevé nénatf ne signifie donc pas forcémentque la gélinotte est absente. De plus. cette probabilité de trouver desindices varie en fonction de la qualité de la couche neigeuse: lors d'hiversbien enneigés, les crottuies s'accumuient dans le manteau neigeux et seretrouvent en surface lorsque la fonte est progressive et laisse le tempsaux observateurs d'effectuer les relevés. Ces conditions sont réuniesde manière variable d'un hiver l'autre. La comparaison entre les deuxphases de relevé, qui montre une apparente stabilité de sa répartition, est

donc à prendre avec des pincettes.

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PARC CHASSERAI

Chantiers nature: 1100 jours de travail en 2019Avec l'arrivée des brumes et des froids automnaux, la saison 2019 des chantiers nature organiséspar le Parc régional Chasserai est à son terme. Le bilan de l'année écoulée est très positif.

De mars à octobre, trèsexactement 475 personnes onteffectué des travaux volon-taires sur le territoire du Parc,représentant un total impres-sionnant de 1104 journées detravail. Par rapport à 2018,il s'agit d'une légère baissequant au nombre de partici-pants (557 en 2018), mais uneaugmentation des journées detravail (877 en 2018).

Actions en faveur de la bio-diversité, entretien de che-mins pédestres, arrachage deplantes invasives: les actionsmenées tant par des adultes

que par des enfants ou desjeunes en formation ont étédiversifiées. Dans le détail,22 groupes de travail consti-tués de 19 classes d'école,2 entreprises et une associa-tion ont été enregistrés. Leschantiers nature, menés par leParc Chasserai depuis mainte-nant six ans, allient plusieurséléments : réalisation d'unentretien en faveur de la nature,du paysage ou du patrimoine,sensibilisation concrète à l'en-vironnement et expérience degroupe.

Cette année, les principaux

Chantier nature, photo: joyauxapartager

secteurs concernés par lestravaux ont été le Val-de-Ruz,avec cinq chantiers menés,Saint-Imier et les environs(Renan, Sonvilier, La Cibourg etMont-Soleil), avec une dizainede groupes actifs dans desentretiens de haies, la mise enplace de tas de branches enfaveur des hermines ou l'en-tretien de sentiers pédestres.Des chantiers ont aussi étéorganisés à Lignières et auxPrés-d'Orvin.

En raison d'un printemps dif-ficile qui a prétérité les arbresfruitiers de la région, la récolte

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de fruits dans les vergers n'apu être effectuée cette sai-son que par une seule classed'école sur une demi-journée.En 2018, elle avait occupé unedemi-douzaine de classespendant toute une semaine àCourtelary, Orvin et dans le

Val-de-Ruz. Le Parc Chasse-ra) va poursuivre en 2020 lesactions menées dans le cadrede ces chantiers nature, encontinuant de s'appuyer surle travail mené par les asso-ciations locales et régionales,sans lesquelles aucune de ces

actions ne serait possible. Cesont elles qui mettent leurscompétences et leurs colla-borateurs à disposition pouraccompagner ces groupesavec beaucoup de profession-nalisme. I parc naturel régionalchasserai

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Date: 10.11.2019

Canal Alpha2016 Cortaillod032/ 842 22 56www.canalalpha.ch



Type de média: Sites d'informations

Lire en ligne

Des projets étudiants pour développer Nods10 novembre 2019

Des projets étudiants pour développer Nods

Hier matin, à la salle du Battoir à Nods, des étudiants en master d’architecture ont présenté leur vision du futurpour le village, en lien avec les questions de mobilier urbain, de mobilité et de tourisme. Sous l’impulsion de laCommune, avec le soutien du Parc Chasseral, ils ont présenté 3 projets de constructions provisoires aux Niolas. Àla fin de cette consultation, les villageois ont voté à main levée. C’est un couvert dédié au tourisme multifonctionnelqui a été choisi. Il sera installé mi-décembre, par des artisans de la commune et avec du bois local.


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http://www.canalalpha.ch/actu/des-projets-etudiants-pour-developper-nods/

http://www.canalalpha.ch/actu/des-projets-etudiants-pour-developper-nods/

Date: 10.11.2019

Il Caffè della domenica6600 Locarno091/ 756 24 40www.caffe.ch/





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LE PAROLE

Franco Zantonelli

Le pale eoliche? Mettetele daun'altra parte! Da noi imbrut-tiscono il paesaggio. Eppure,

come ha dichiarato il direttoredell'Agenzia internazionale per leenergie rinnovabili, a partire dagliultimi mesi del 2017 "i costi perprodurre nuovi impianti rinnovabi-li per la produzione di energia elet-trica - sfruttando la forza del vento- sono risultati più bassi dei costiper la realizzazione di nuove cen-trali alimentate da fonti tradiziona-li". Cionostante ha suscitato unalevata di scudi il progetto di realiz-zare 11 pale eoliche nel parco re-gionale giurassiano Chasseral.

A fianco degli oppositori si èmobilitato l'ex-olimpionico di scialpino Didier Cuche. "Per me - hadetto - la salute è importante, tut-tavia reputo aberrante costruirequeste 11 pale che non produrran-no che un millesimo dell'energiadi cui abbiamo bisogno in Svizze-ra". Siamo alle solite: "Not in myBack Yard", si usa dire negli StatiUniti, quando una comunità localeinsorge contro la realizzazione diopere di interesse pubblico sulproprio territorio. Che le faccianoaltrove!

Il paesaggiosfregiatodall'energiaeolica

***

E se si provasse con una com-pagnia virtuale? Lo sarebbe pure,si spera, anche l'eventuale fregatu-ra. L'aeroporto bernese di Belp, ri-dotto nelle medesime condizioni diquello di Agno, a causa del falli-mento di Skywork, l'unica compa-gnia che lo serviva, tenta di risolle-varsi creando un vettore quanto-meno fantasioso. Si chiamerà Fly-bair, un gioco di parole che riman-da agli orsi, simbolo della capitale eche dovrebbe essere dotata di uncapitale di 2,5 milioni, da raggiun-gere tramite un crowfunding, conuna partecipazione pubblica nonsuperiore ai 250 mila franchi.

Flybair, che da maggio prevede

P

di servire 8 destinazioni per le va-canze estive, conta di appoggiarsisu due vere compagnie: Lions Aire German Airways. Magari può es-sere uno spunto di riflessione perchi ha a cuore le sorti di Lugano-Agno, visto che anche per lo scaloticinese c'è chi ha ipotizzato lacreazione di una compagnia dome-stica. Virtuale o meno ancora nonlo si è capito.

Farinet addio! La moneta locale,creata in Vallese per sostenere ilcommercio di prossimità, a fine an-no scomparirà dalla circolazione erimarrà una valuta da collezionisti.Dopo due anni e mezzo, nonostan-te venisse accettato da un centina-io di commercianti, il Farinet è sta-to sconfitto dai sistemi di paga-mento elettronico.

Altre monete locali esistononella Svizzera Romanda e sono, al-meno in apparenza, figlie della crisifinanziaria del 2008. Lo si può ve-dere come un tentativo dei cittadi-ni di riappropriarsi del circuito mo-netario. Anche se per difendere ilFarinet nessuno ha escamato"whatever it takes", come feceDraghi per l'Euro.

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Date: 10.11.2019






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Une nouvelle vision pour développer NodsDes étudiants de la Haute école spécialisée bernoise ont consacré un semestre à l'étude la commune de Nods. Ilsse sont notamment penchés sur les questions de mobilier urbain et de mobilité

Les habitants de Nods ont assisté à la présentation des projets. (photo: Parc régional Chasseral)

Quel regard portent des étudiants sur la commune de Nods ? Dans le cadre du projet « Habiter Nods », mené encollaboration avec le Parc régional Chasseral et la commune, des étudiants de la Haute école spécialisée bernoiseont consacré un semestre à l'étude de la localité. Ils se sont penchés sur deux grandes thématiques: la premièreest le mobilier urbain et la seconde englobe la mobilité, la stratégie énergétique et le tourisme.

Parmi toutes les propositions, deux projets ont été sélectionnés par un jury le 30 octobre. Les étudiants proposentla construction d'un couvert en bois multifonctionnel. Les habitants de Nods ont été invités à une séanced'information publique samedi, afin de découvrir la démarche et les propositions des étudiants. La responsable duprojet au sein du Parc Chasseral, Géraldine Guédon-Annan, explique le lancement de la démarche :

Ecouter le son

La proposition qui sera retenue aboutira à la construction d'un couvert par des artisans de la commune et avec dubois local. Cet objet témoin sera installé de façon provisoire dans le centre de la localité. /mdu


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https://www.rjb.ch/rjb/Actualite/Region/20191110-Une-nouvelle-vision-pour-developper-Nods.html

https://www.rjb.ch/rjb/Actualite/Region/20191110-Une-nouvelle-vision-pour-developper-Nods.html

Date: 08.11.2019






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La gélinotte des bois est très discrète. Ses traces dans la neige sont l'un des rares indices de sa présence. PARC CHASSERAL - SHUTTERSTOCK

La gélinotte des bois semblese maintenir au Parc ChasseralPAR BAYRON.SCHWYN@ARC I N F 0.0 H

Il est très rare d'observer une gélinotte desbois sur le terrain. Cet oiseau est extrême-ment discret et reste cloîtré à l'abri de la vé-gétation. C'est sur des indices de sa pré-sence au sol, comme ses crottes ou sesempreintes, que se sont basés les relevésde terrain menés par l'équipe du ParcChasseral durant deux phases, entre 2013

et 2015, puis entre 2015 et 2019, indiqueun récent communiqué. «La première pé-riode visait à déterminer l'état initial de lasituation de l'oiseau, la seconde à évaluerson évolution.»

Sept ans d'analyseet d'observationAprès sept ans d'analyse, les observateurs

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estiment que la situation de la gélinottedes bois est stable, mais qu'elle reste peuconfortable sur le territoire du Parc Chas-seral. Le site constitue la limite nord de sarépartition régulière dans l'Arc jurassien.«Elle est encore relativement bien pré-sente dans certains secteurs, mais les den-sités semblent faibles et même des habi-tats qui paraissent rassembler tous lesatouts pour l'accueillir sont inoccupés»,précise encore le document.

Forêts davantage favorablesdans la partie neuchâteloise du parcCet oiseau au plumage gris parsemé deroux parait s'en sortir un peu mieux sur lapartie neuchâteloise du parc. La forêt jardi-née semble davantage lui convenir que lesfutaies régulières du Jura bernois.Selon les analyses de photos aériennes,seules une minorité de forêts peuvent po-tentiellement convenir à la gélinotte, plusde la moitié étant clairement inadaptées.

«A prendre avec des pincettes»L'accompagnement du relevé par desscientifiques de la Station ornithologiquesuisse de Sempach a montré que la proba-bilité de trouver des indices dans un lieu oùla gélinotte est présente se situe aux alen-tours de 50%. Autrement dit, un relevé né-gatif ne signifie donc pas forcément que lagélinotte est absente.Cette probabilité de trouver des indicesvarie également en fonction de la qualitéde la couche neigeuse. «La comparaisonentre les deux phases de relevé, qui mon-tre une apparente stabilité de sa réparti-tion, est donc à prendre avec des pincet-tes», est-il admis

Pas de nouveau relevéprévu pour l'instantPour l'heure, aucun nouveau relevé n'estprévu dans le Parc Chasseral. Mais les tra-vaux d'amélioration de son habitat - etdonc de celui de toute la communautéd'espèces des forêts de montagne - conti-nuent. COMM BSC

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Date: 07.11.2019






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Home Régions Val-de-Ruz

06.11.2019, 16:22

La gélinotte des bois semble se maintenir au Parc Chasseral

La gélinotte des bois est très discrète. SP

Par BSC

Faune La rare et discrète gélinotte des bois a fait l’objet de sept ans de relevés de terrain au Parc Chasseral.Inscrite sur liste rouge, elle semble se maintenir sur le territoire du parc, mais les analyses sont à prendre avec despincettes.

Il est très rare d’observer une gélinotte des bois sur le terrain. Cet oiseau est extrêmement discret et reste cloîtré àl’abri. C’est sur des indices de sa présence au sol, comme ses crottes ou ses empreintes, que se sont basés lesrelevés de terrain menés par l’équipe du Parc Chasseral durant deux phases, entre 2013 et 2015, puis entre 2015et 2019 (lire l’encadré), indique un récent communiqué. «La première période visait à déterminer l’état initial de lasituation de l’oiseau, la seconde à évaluer son évolution».

Après sept années d’analyse, les observateurs estiment que la situation de la gélinotte est stable, mais qu’ellereste peu confortable dans le Parc Chasseral. Le site constitue la limite nord de sa répartition régulière dans l’Arcjurassien.

«Elle est encore relativement bien présente dans certains secteurs, mais les densités semblent faibles et mêmedes habitats qui paraissent rassembler tous les atouts pour l’accueillir sont inoccupés», précise encore ledocument.


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https://www.arcinfo.ch/articles/regions/val-de-ruz/la-gelinotte-des-bois-semble-se-maintenir-au-parc-chasseral-879608


Date: 07.11.2019






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Minorité de forêts favorables

Cet oiseau au plumage gris parsemé de roux paraît s’en sortir un peu mieux sur la partie neuchâteloise du Parc. Laforêt jardinée semble davantage lui convenir que les futaies régulières du Jura bernois. Selon les analyses dephotos aériennes, seules une minorité de forêts peuvent potentiellement convenir à la gélinotte, plus de la moitiéétant clairement inadaptées.

Pour l’heure, aucun nouveau relevé n’est prévu dans le Parc Chasseral. Mais les travaux d’amélioration de sonhabitat – et donc de celui de toute la communauté d’espèces des forêts de montagne – continuent.

Un travail de master montre où se trouvent les forêts favorables pour la gélinotte des bois (en vert) et celles quiprésentent un potentiel d’amélioration sans trop d’effort (en jaune). Crédit: SP-C. Rechsteiner/Parc Chasseral

Pas forcément d’indices

L’accompagnement du relevé par des scientifiques de la Station ornithologique suisse a permis de montrer que laprobabilité de trouver des indices dans un lieu où la gélinotte est présente se situe aux alentours de 50%, expliqueun récent communiqué du Parc Chasseral. Autrement dit, un relevé négatif ne signifie donc pas forcément que lagélinotte est absente.

Cette probabilité de trouver des indices varie aussi en fonction de la qualité de la couche neigeuse. «Lacomparaison entre les deux phases de relevé, qui montre une apparente stabilité de sa répartition, est donc àprendre avec des pincettes», est-il admis.


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Date: 07.11.2019






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CENTRE DE NATURE LES CERLATEZ

«Depuis 2010, les hirondelles de fenêtre sont sur la liste rouge»

Les nichoirs sont réalisés à partir de cartons à oeufs PHOTOS KBR Les parents donnent un coup de main pour la colle d'amidon.

Il est important d'essorer la pâte

Une trentaine de personnes s'estréunie samedi après-midi au

Centre Nature Les Cerlatez afin departiciper à un atelier de constructionde nichoirs à hirondelles organisépar les parcs du Doubs et du Chasse-ral. Parmi les participants, des famil-les, des couples, mais également desadultes venus seuls. On peut le dire:tous les publics sont sensibles à lacause. Et on vient de toutes les ré-gions, que ce soit des Franches-Mon-tagnes, de la vallée de Delémont, duClos du Doubs, du Jura bernois, etmême de Bienne.

Un atelier pour sensibiliserla population

Le mélange doit adhérer aux coques.

Nous y sommes. L'après-midi dé-bute par une introduction théorique.La directrice du Centre Nature Del-phine Devenoges présente, illustra-tions à l'appui, les caractéristiquesqui différencient les hirondelles defenêtre des trois autres espèces enSuisse - rustiques, de rochers et derivage: «Vous voyez, elles ont un ven-tre blanc et une queue échancrée.»Toute la troupe ouvre grand les oreil-les. Certains enfants n'hésitent pas àprendre la parole pour poser desquestions. La biologiste de formationpoursuit: «Savez-vous comment dif-férencier les martinets des hirondel-les? Les premiers possèdent des ailesplus grandes, qui leur permettent de

L'aspect final du produit, séché

mieux voler.»La parole est ensuite donnée à Ro-

main Fürst, chargé des Espèces etHabitats au Parc Chasseral, qui dres-se un constat sans appel: «En 3o ans,on a observé une diminution de 30%

des couples nicheurs. Et depuis 2010,les hirondelles de fenêtre sont sur laliste rouge.» Mais à qui la faute? Il ré-pond: «Il y a moins de lieux adaptéspour les nids, à cause de la modifica-tion de l'architecture des bâtiments.De plus, elles manquent de maté-riaux de construction pour leursnids. Le goudronnage en est le fautif.Enfin, les pesticides et l'uniformisa-tion des paysages diminuent le nom-bre d'insectes, leur nourriture.»

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Date: 07.11.2019






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Selon Romain Fürst, chacun peutcontribuer, chez soi, à réaliser ungeste simple en faveur des popula-tions d'oiseaux: éviter l'utilisation depesticides dans son jardin et favori-ser des plantes et des fleurs, maiségalement installer des hôtels à in-sectes.

Une mère de famille des Cerlatez,venue avec ses enfants, prend la pa-role, expliquant la raison de sa parti-cipation à cette après-midi: «On aconstruit une nouvelle ferme, et onremarque qu'il n'y a pas beaucoupd'hirondelles. On a envie de partici-per à leur promotion autour de cheznous.»

Des cartons à oeufs, de la colled'amidon et de l'eau

Une autre solution pour venir enaide aux migrateurs: poser des ni-

choirs. Place d'ailleurs à la construc-tion de ces derniers, à l'aide de maté-riaux recyclables. Delphine Deveno-ges reprend les commandes: «Ils'agit d'une méthode que le CentreNature a mis en place en collabora-tion avec les Ateliers protégés duNoirmont. Ce sont eux qui ont réaliséles coques. Vous allez voir, trois in-grédients vont suffire. Des cartons àoeufs, de l'eau et de la colle d'ami-don.»

La directrice réalise aussitôt unedémonstration devant l'assemblée.Première étape, «préparer la bouil-lie», en déchirant les cartons à oeufs àdisposition pour en faire de petitsmorceaux, qui sont ensuite mélangésavec de l'eau, et mixés. Les enfantss'exclament: «On dirait du steak ha-ché!» La maîtresse des lieux conti-nue: «La première phase est facile,

mais il va falloir que la pâte puissecoller sur les coques.» La mixturepréalablement préparée est ensuitepassée à travers des égouttoirs, pouren ôter le surplus d'eau.

Puis, il faut préparer la colle d'ami-don, et enfin mélanger la pâte aveccette dernière: «Il est important qu'ily ait des grumeaux, pour que les hi-rondelles puissent s'accrocher sur lesnids. Si c'est lisse, elles ne pourrontpas le faire.» L'étape finale consiste àprélever des morceaux de la prépara-tion afin de recouvrir les coques, petità petit: «Attention toutefois à ne pasrétrécir l'entrée.»

La démonstration effectuée, cha-cun a pu mettre la main à la pâte afinde confectionner, par groupe, un ni-choir que les participants ont ramenéà la maison, ou tout simplement lais-sé entre les mains des parcs.

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Date: 04.11.2019

RTN - Radio Neuchâtel

RTN- Radio Neuchâtel2074 Marin032 756 01 40www.rtn.ch

Genre de média: Médias Radio/télévisionType de média: Radio


Langue: Français Temps d'émission: 18:00

Durée: 00:00:34Taille: 0.5 MB

Parc régional national Chasseral : bilan de l'annéeEmission: Le journal 18.00

Le bilan de l'année de mars à octobre est très positif, selon l'association. Les actions en faveur de la biodiversitéétaient nombreux.


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Rapport Page: 71/81

https://avenue.argusdatainsights.ch/kundenartikel/2019-11/1087983/75322598.mp3

Date: 05.11.2019






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1100 jours au chevet de la naturePARC CHASSERAL Bilan très positif pour la saison 2 019 des chantiers.

Près de 480 personnes, dont plusieurs enfants, ont effectué des travaux volontaires sur le territoire du ParcChasserai cette année. #JOYAUXAPARTAGER

Avec l'arrivée des bru-mes et des froids au-tomnaux, la saison2019 des chantiers na-

ture organisés par le Parc régio-nal Chasserai est à son terme. Lebilan de l'année écoulée est trèspositif. De mars à octobre, trèsexactement 475 personnes onteffectué des travaux volontairessur le territoire du Parc, repré-sentant un total impression-nant de 1104 journées de tra-vail. Par rapport à 2018, il s'agitd'une légère baisse quant aunombre de participants (577 en2018), mais une augmentationdes journées de travail (877 en2018).

Actions en faveur de la biodiver-sité, entretien de chemins pé-destres, arrachage de plantes in-vasives: les actions menées tantpar des adultes que par des en-fants ou des jeunes en forma-tion ont été diversifiées. Dans ledétail, 22 groupes de travailconstitués de 19 classes d'école,2 entreprises et une associationont été enregistrés. Les chan-tiers nature, menés par le ParcChasserai depuis maintenantsix ans, allient plusieurs élé-ments: réalisation d'un entre-tien en faveur de la nature, dupaysage ou du patrimoine, sensi-

bilisation concrète à l'environ-nement et expérience degroupe.

Pour le bien des herminesCette année, les principaux sec-teurs concernés par les travauxont été le Val-de-Ruz, avec cinqchantiers menés, Saint -Imier etles environs (Renan, Sonvilier,La Cibourg et Mont-Soleil), avec

une dizaine de groupes actifsdans des entretiens de haies, lamise en place de tas de bran-ches en faveur des hermines oul'entretien de sentiers pédes-tres. Des chantiers ont aussi étéorganisés à Lignières et auxPrés-d'Orvin.

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Date: 05.11.2019






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En raison d'un printemps diffi-cile qui a prétérité les arbresfruitiers de la région, la récoltede fruits dans les vergers n'a puêtre effectuée cette saison quepar une seule classe d'école surune demi-journée. En 2018, elleavait occupé une demi-dou-zaine de classes pendant touteune semaine à Courtelary, Or-vin et dans le Val-de-Ruz. Le ParcChasserai va poursuivre en 2020les actions menées dans le cadrede ces chantiers nature. C-MPR

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Date: 04.11.2019






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Home Régions Jura-Jura Bernois

04.11.2019, 14:38

On a travaillé 1104 jours au Parc Chasseral

Des élèves en plein travail derrière le collège du Pâquier. ARCHIVES MATTHIEU HENGUELY

Par lgl

Nature La saison 2019 des chantiers nature s'achève au Parc régional Chasseral. On a travaillé dur sur les flancsde la montagne et aux alentours, 1104 jours pour être exact.

Entretien de chemins pédestres, taillage de haies, arrachage de plantes invasives: on a travaillé dur dans le ParcChasseral cette saison. En tout, très exactement 475 personnes ont effectué des travaux volontaires.

Cela représente un total de 1104 journées de travail, contre 577 participants pour 877 journées de boulot en2018. Dans le détail, 22 groupes de travail constitués de 19 classes d’école, deux entreprises et une associationont mis du leur sur le territoire du parc.

Tas de branches pour les hermines

Des chantiers ont notamment été menés au Val-de-Ruz et à Saint-Imier et ses environs où des bénévoles ontentretenu des haies, des sentiers pédestres ou mis en place de tas de branches en faveur des hermines.

Petit bémol: «En raison d’un printemps difficile qui a prétérité les arbres fruitiers de la région, la récolte de fruitsdans les vergers n’a pu être effectuée cette saison que par une seule classe d’école sur une demi-journée.»


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https://www.arcinfo.ch/articles/regions/jura-jura-bernois/on-a-travaille-1104-jours-au-parc-chasseral-879181

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Date: 04.11.2019






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Saison positive pour le Parc Chasseral1104 jours ont été travaillés durant la saison 2019 des chantiers nature du Parc régional Chasseral

Des chantiers ont notamment été menés par des élèves. (photo: Parc Chasseral)

La saison 2019 des chantiers nature du Parc régional Chasseral est arrivée à son terme. Le bilan de l’annéeécoulée est très positif selon l’association. De mars à octobre, 1104 jours ont été travaillés par 475 personnes. Ils’agit d’une légère baisse du nombre de participants, mais d’une augmentation des journées de travail.

Le Parc Chasseral mène chaque année des actions en faveur de la biodiversité, et réalise l’entretien de cheminspédestres et l’arrachage de plantes invasives. Cette année, les principaux secteurs concernés par les travaux ontété le Val-de-Ruz, avec cinq chantiers menés, St-Imier et les environs (Renan, Sonvilier, La Cibourg et MontSoleil),avec une dizaine de groupes actifs dans des entretiens de haies, la mise en place de tas de branches en faveur deshermines ou l’entretien de sentiers pédestres. Des chantiers ont aussi été organisés à Lignières et aux Prés-d’Orvin. /comm-mdu


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https://www.rjb.ch/rjb/Actualite/Region/20191104-Saison-positif-pour-le-Parc-Chasseral.html

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Date: 04.11.2019

Radio indép. Neuchâteloise Web

RTN2074 Marin032/ 756 01 40www.rtn.ch




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Saison positive pour le Parc Chasseral1104 jours ont été travaillés durant la saison 2019 des chantiers nature du Parc régional Chasseral

Des chantiers ont notamment été menés par des élèves. (photo: Parc Chasseral)

La saison 2019 des chantiers nature du Parc régional Chasseral est arrivée à son terme. Le bilan de l’annéeécoulée est très positif selon l’association. De mars à octobre, 1104 jours ont été travaillés par 475 personnes. Ils’agit d’une légère baisse du nombre de participants, mais d’une augmentation des journées de travail.

Le Parc Chasseral mène chaque année des actions en faveur de la biodiversité, et réalise l’entretien de cheminspédestres et l’arrachage de plantes invasives. Cette année, les principaux secteurs concernés par les travaux ontété le Val-de-Ruz, avec cinq chantiers menés, St-Imier et les environs (Renan, Sonvilier, La Cibourg et MontSoleil),avec une dizaine de groupes actifs dans des entretiens de haies, la mise en place de tas de branches en faveur deshermines ou l’entretien de sentiers pédestres. Des chantiers ont aussi été organisés à Lignières et aux Prés-d’Orvin. /comm-mdu


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Date: 01.11.2019






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PARC CHASSERAL

Construire de nichoirs pour préparerle retour des hirondellesLes Parcs du Doubs et Chasserai organisent à nouveau, en collaboration avec le Centre Nature Les Cerlatezet les Ateliers protégés du Noirmont, un atelier de construction de nichoirs à hirondelles cet après-midi et samedi

Entièrement gratuit et ouvertau public, cet atelier permettra àchacun, adultes comme enfants,de découvrir une techni que deconstruction à base de maté-riaux recyclés. L'objectif est decréer des nichoirs qui pourrontêtre posés au printemps pro-chain par les participants eux-mêmes ou par les parcs régio-naux et leurs partenaires, avantl'arrivée des hirondelles.

Du vieux papier, un carton àoeufs, un peu de bois, du fil defer et de la colle d'amidon lesnichoirs à hirondelles peuventêtre construits très simplement,à partir de matériaux de recy-clage courants. Le temps d'unatelier gratuit et ouvert à tousau Centre Nature Les Cerlatez,les participants pourront sefamiliariser avec une techniquede construction innovante etludique pour créer des nids à lafois solides, légers et adaptésaux besoins des hirondelles.Chacun pourra emporter sacréation à la maison ou alorsla laisser sur place afin que cesnichoirs puissent être posésau printemps prochain par lesParcs naturels régionaux et leurspartenaires.

Un soutien aux hirondellesLes populations d'hirondelles

de fenêtre ont chuté d'un tiersdans nos régions depuis lesannées 1990. Cette espèceinsectivore souffre de la dispa-rition des insectes et des bou-leversements climatiques. Les

sites de nidification adéquats etla terre argileuse dont elles ontbesoin pour construire leurs nidsse font par ailleurs de plus enplus rares. Poser des nichoirs,c'est donc donner la possibilitéaux hirondelles de perpétuerla jolie tradition de faire le prin-temps.

Programmede la demi-journée

Mot de bienvenue de la partdes Parcs Chasserai et duDoubs, présentation sur leshirondelles de fenêtre (biologie,démographie, enjeux et actionspossibles), fabrication desnichoirs en matériaux recyclés,apéritif offert à base de produits

labellisés des deux Parcs.Samedi 2 novembreDe14h à 17hCentre Nature les Cerlatez,Les Cerlatez, 2350 SaignelégierMatériel: habits adaptés au brico-lage (utilisation de colle d'amidon)et boîtes d'oeufs en carton grisou marron à recycler (optionnel)

Public: adultes et enfantsaccompagnés à partir de 6 ans

Inscriptions jusqu'au 1er novembre16h, maximum 20 participantsCentre Nature Les Cerlatez032 951 12 [email protected]

Photo: Parc Chasserai

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Date: 01.11.2019






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Une gélinotte choyéeEffectifs a priori stables pour le discret volatile.

PARC CHASSERAL

Emblématique des forêts d'al-titude diversifiées, la rare etdiscrète gélinotte des bois afait l'objet de sept ans de rele-vés de terrain au Parc Chasse-ral. Inscrite sur liste rouge, lapetite poule forestière semblese maintenir sur le territoiredu parc, mais les analyses sontà prendre avec des pincettes.Son avenir dépend en partie detravaux d'amélioration de sonhabitat, menés par les fores-tiers avec le soutien du parc na-turel régional.

Il est très rare d'observer unegélinotte des bois sur le ter-rain. Cet oiseau est extrême-ment discret et reste cloîtré àl'abri du couvert végétal. C'estsur des indices de présence ausol, comme ses crottes ou sesempreintes, que se sont basésles relevés de terrain menéspar l'équipe du Parc Chasserai.Ces sept années d'analysemontrent que la situation de lagélinotte semble stable, maisreste peu confortable dans leParc Chasseral, qui constitue lalimite nord de sa répartitionactuelle régulière dans l'Arc ju-rassien. C-MPR

La petite poule forestière est extrêmement discrète. PARC CHASSERAL

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Date: 01.11.2019

RTS Couleur 3

RTS Radio Couleur 31010 Lausanne058 236 36 36www.rts.ch/couleur3/





Pétition lancée contre le projet de parc éolien au pied du ChasseralEmission: Journal de 7h

Une pétition contre le projet de parc éolien des "Quatre Bornes", à cheval sur les cantons de Berne et de Neuchâtel, aété lancée en faveur de la faune et la flore. Les opposants estiment que ce parc n'a pas sa place au milieu du parcnaturel du Chasseral.


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Date: 01.11.2019

RTS La 1ère

RTS Radio La 1ère1010 Lausanne 10058/ 236 36 36www.rts.ch/la-1ere/





Pétition lancée contre le projet de parc éolien au pied du ChasseralEmission: La Matinale / Journal 6h / Journal 6h30


Le commentaire de Claude Schönenberg (président de l'Association Sauvez l'Echelette)Mentionné: le parc éolien Mont Crosin


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Date: 01.11.2019

RTS La 1ère

RTS Radio La 1ère1010 Lausanne 10058/ 236 36 36www.rts.ch/la-1ere/





Pétition lancée contre le projet de parc éolien au pied du ChasseralEmission: La Matinale / Journal 6h / Journal 6h30



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