Revue de presse "Mois de la bio 2014"

P LECONVERSION

BIOPoitou-Charentes

Des atouts économiques

Des clés pour votre réussite

2014NOVEMBREdu 3 au 28

le mois dela bio revue de

presse

Poitou-Charentes

Articles de presse DU 3 AU 28 NOVEMBRE 2014

Un mois à promouvoir l’agriculture bio p.1623 au 29 octobre 2014

Un mois à promouvoir le bio p.17 23 au 29 octobre 2014

Sud-Charente : deux exploitants bio racontent leur expérience p.18 17 novembre 2014

Mois de la bio 2014 : les rendez-vous à venir en Charente p.19 31 octobre 2014

Un mois à promouvoir l’agriculture bio p.20 21 octobre 2014

Le mois de la bio : la clé de la réussite en Poitou-Charentes p.21 17 octobre 2014

Se convertir à l’agruculture biologique avec des vaches laitières p.22 24 octobre 2014

La bio veut encore gagner du terrain p.23 24 octobre 2014

Mois de la Bio 2014 Poitou-Charentes p.24 16 octobre 2014

Le mois de la «bio» p.25 6 octobre 2014

Le mois de la bio : des clés pour votre réussite ! p.26 17 octobre 2014

Mois de la bio 2014 : les dates à venir en Charente p.27 7 novembre 2014

Mois de la bio 2014 : les dates à venir en Charente p.28 14 novembre 2014

Visite de fermes bio vendredi p.29 13 novembre 2014

Mois de la Bio 2014 en Poitou-Charentes p.4 20 octobre 2014

Claire Tessier incite à l’agriculture bio p.5 3 novembre 2014

Mois de la Bio 2014 p.6 24 septembre 2014

Poitou-Charentes : une filière 100% sans gluten p.7 3 novembre 2014

Filière 100% sans gluten p.8 3 novembre 2014

La luzerne, nouvel eldorado du bio ? p.9 3 novembre 2014

Un choix stratégique réfléchi p.10 14 novembre 2014

Des rotations qui résistent aux aléas climatiques et économiques p.11 24 octobre 2014

Analyser l’existant avant de convertir son élevage de bovins viande en bio p.12 31 octobre 2014

Le mois de la bio, des clés pour votre réussite p.13 28 octobre 2014

Un mois pour se convertir au bio p.14 31 octobre 2014

CHATIGNAC : Visites dans le cadre de la 3° édition du Mois de la bio ce vendredi p.15 14 novembre 2014

Charente

Deux exploitants bio racontent leur expérience p.30 17 novembre 2014

Chez Tata Caro, la viande est bio p.31 21 novembre 2014

Troisième édition du Mois de la conversion : Visite de l’EARL «Chez Tata Caro» p.32 17 novembre 2014

Mois de la Bio 2014 : Dynamique régionale est enclenchée ! p.33 9 janvier 2015

La seule filière 100% sans gluten de France p.34 3 novembre 2014

Oléron : le bio en héritage p.35 3 novembre 2014

Novembre, le mois de la bio p.36 31 octobre 2014

Dans le département p.37 24 octobre 2014

3ème édition du Mois de la Bio p.38 13 octobre 2014

Agrobiologie : la preuve par dix p.39 27 octobre 2014

Le mois de la Bio p.40 1et et 10 octobre 2014

Charente-Maritime

Deux-Sèvres

Mois de la Conversion Bio p.41 17 septembre 2014

Agrobiologie : la preuve par dix p.42

Le mois du bio pour encourager les conversions p.43

Le mois du bio pour encourager les conversions p.44 15 octobre 2014

L’élevage bio veut rattraper un retard important p.45 27 novembre 2014

Actualité - Radio Gâtine p.46

La bio gagne du terrain p.47 19 au 25 novembre 2014

Des clefs pour la réussite de son projet bio p.48 24 octobre 2014

Découverte de la société Ekoranda p.49 22 novembre 2014

Ingrandes p.50 17 novembre 2014

Le bio progresse en région p.51

Le bio fait sa promo dans les fermes du Poitou p.52 27 octobre 2014

Le Mois de la conversion bio p.53 15 septembre 2014

Vienne

Poitou-Charentes

4SOMMaiRE

A la unehttp://www.poitou-charentes.fr/actus-region/a-la-uneCopyright © Région Poitou-Charentes

Accueil » Actualités Région » A la une

Mois de la Bio 2014 en Poitou-Charentes

De 2009 à 2013, les surfacescultivées en bio sont passées de27 000 ha à près de 41 000 haen Poitou-Charentes. Celareprésente donc environ 2,4 %de la surface agricole totale dela région en 2013, soit 833exploitations qui cultivent tout oupartie de leur parcellaire sous lelabel "Agriculture Biologique"(AB).

Durant le Mois de la Bio, du 3au 28 novembre 2014, lesagriculteurs et acteurs du monderural peuvent s'informer et êtreconseillés sur les conversionset aides spécifiques àl'agriculture biologiqueproposées par la Région Poitou-Charentes et ses partenaires.

Située dans la moyenne nationale, ledéveloppement de l'agriculturebiologique est pourtant remarquable enPoitou-Charentes en raison d'un contexte moins favorable par rapport aux autres régions. Leterritoire régional présente en effet un climat moins enclin aux productions arboricoles etmaraîchères que dans le sud de la France. Il est également dépourvu de grandes métropoles, où seconcentre principalement la demande pour les produits biologiques.

Cette dynamique encourageante est liée à l'action du réseau de plus en plus structuré desacteurs de l'AB en Poitou-Charentes, notamment par l'impulsion d'Agrobio Poitou-Charentes etdes 4 groupements départementaux d'Agriculture Biologique.

Ces 5 associations organisent chaque année en novembre le Mois de la Bio, en partenariat avecles Chambres d'Agriculture et le Pôle Conversion Bio Poitou-Charentes. Cet événement a pourobjectifs principaux :

d'informer et de conseiller les acteurs du monde agricole et rural sur l'AB en Poitou-Charentes,de faire un état des lieux des avancées de l'AB sur le territoire régional (structuration desfilières, transformateurs, débouchés, avancées techniques pour la production...),de faire se rencontrer les différents professionnels du monde de l'AB pour faire émerger despartenariats et des projets.

Ainsi, pendant un mois, ce sont près de 30 rencontres, conférences ou visites de terrrain, quisont organisées sur les 4 départements de Poitou-Charentes sur les différentes thématiques del'agriculture bio :

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productions végétales : céréales et oléoprotéagineux, maraîchage et arboriculture, viticulture,productions animales : alimentation et autonomie alimentaire, bovins, petits ruminants,volailles...transformation et commercialisation des produits, vente directe, circuits courts...

Téléchargez le programme des rendez-vous du Mois de la Bio 2014 en cliquant ici

Pour en savoir plus sur la politique agricole de la Région Poitou-Charentes consultez larubrique "Agriculture et ruralité" et téléchargez le Plan régional de développement del'agriculture biologique 2013-2015.

Mot(s) clé(s) : agriculture , agriculture, pêche , élevage

Modifié le 23 oct. 2014

Créé le 20 oct. 2014

Retour aux actualités

2 sur 2 www.poitou-charentes.fr/actus-region/a-la-une20 octobre 2014

Poitou-Charentes

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LUNDI 03 NOVEMBRE 2014 à 08h10

Alors que le mois de "la bio" ouvre aujourd'hui pourinciter à produire et consommer bio, Claire Tessier, estnotre invitée. Elle est coordinatrice du pôle conversionBio en Poitou-Charentes.

Le pôle conversion Bio en Poitou-Charentes aide les agriculteurs à selancer dans la production biologique, et à effecturer toutes les démarches.

A l'occasion du mois de la Bio, Claire Tessier, coordinatrice de ce pôleconversion est notre invitée, interrogée par Isabelle Rivière.

l'invité de 8h10 de Bleu PoitouClaire Tessier incite à l'agriculture bio(Re)écouter cette émissionDisponible jusqu'au 29 juillet 2017

00:0000:00 07:23

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France Bleu Poitou3 novembre 2014

SOMMaiRE

Poitou-Charentes

6SOMMaiRE

InPACT Poitou-Charentes24 septembre 2014

Poitou-Charentes

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« Est-ce le corps humain qui supporte de plus en plus mal les céréales hybridées ? Est-ce dans la tradition française de tout vouloirpanifier et donc d'utiliser essentiellement des céréales avec gluten ? Y a-t-il d'autres causes environnementales ? Ce qui est sûr,c'est qu'on parle de plus en plus d'allergies et d'intolérances au gluten. Et les gens qui en souffrent ont besoin de sécuritéalimentaire, d'une traçabilité renforcée », explique François Marchesseau.

Circuit court

Il n'a pas attendu que Novak Djokovic, le numéro 1 mondial du tennis, ne mette son image au service d'une marque de produitssans gluten pour s'intéresser à la question. « J'ai passé quarante ans dans l'agroalimentaire. En 2005, j'ai décidé de créer ma propresociété de flocons de céréales, en 2007 de basculer sur les graines bio sans gluten. Je savais que le potentiel était important. Legluten, ça plombe. »

Ainsi est née Alisa (1), petite entreprise basée sur la zone artisanale de Montplaisir à Champdeniers, au nord de Niort, et qui estdevenue la première filière 100 % bio et sans gluten de France.

« On achète la matière première dans la région (2). Nous avons passé des contrats avec les agriculteurs. Je m'engage à acheter leurproduit contre un cahier des charges très strict sur leur méthode de production. Nous sommes très exigeants sur la qualité dèsl'entrée, d'autant qu'il y a des analyses à la sortie pour garantir l'intégrité naturelle, sanitaire et gustative de ce que noustransformons. »

Allergènes bannis

La production annuelle d'Alisa est de 1 500 tonnes, mais devrait vite passer à 3 000 dès que les locaux seront agrandis. Le marchéest national et François Marchesseau commence déjà à exporter « vers la Suisse. Ils sont très exigeants sur la qualité. »

Graines, farines, semoules, mélanges ou produits toastés : Alisa fournit les coopératives bio, les magasins de diététiques, les rayonsbio des grandes surfaces… « On achète le sarrasin, on le nettoie, on le décortique, on enlève l'amande centrale et on le broie pourfaire de la farine », poursuit le chef d'entreprise qui emploie huit personnes. Aucune culture conventionnelle n'est traitée chezAlisa. Il n'y a que du pur bio. « Les phénomènes d'allergies sont tellement complexes que nous nous contentons de traiter desgraines sans gluten. Tous les allergènes potentiels connus sont absents de nos produits. »

(1) Alisa : ZAE Montplaisir, 79220 Champdeniers, tél. 05 49 06 11 36. Internet : www.alisa.sarl.fr. (2) Notamment à la coopérativeAgrobio Poitou-Charentes de Saint-Jean-d'Angély.

Saint-Jean-d'AngélyCognacAngoulêmeVoir tous les commentaires

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Agenais : une arnaque surLe Bon Coin tourne mal

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Bordeaux Arcachon Médoc Libourne Langon La Rochelle Saintes Royan Cognac Angoulême Périgueux Agen Auch Pau BayonneBiarritz Mont-de-Marsan Dax

vendredi 14 novembre 2014

À la uneCommunesSportFaits DiversÉconomieAnnonces

Bordeaux Arcachon Médoc Libourne Langon La Rochelle Saintes Royan Cognac Angoulême Périgueux Agen Auch Pau BayonneBiarritz Mont-de-Marsan DaxExclusivité abonnésVotre édition du soir est disponible sur soir.sudouest.fr

Poitou-Charentes : une filière 100 % sans gluten

0 commentairePublié le 03/11/2014 à 06h00 , modifié le 04/11/2014 à 12h27 parThomas Brosset

Dans les Deux-Sèvres, François Marchesseau s’intéresse au marché du sansgluten. Coups de projecteurs sur certaines filières.

François Marchesseau montrant des graines de sarrasin, telles qu’elles arrivent dans l’entreprise. © Photophoto dr

F

rançois Marchesseau va bientôt tripler la surface de sa société. « On n'a pas assez d'espace pour stocker. On travaille à flux tendu.La filière est en pleine explosion. » Il balaie du bras l'entrepôt où s'entassent des centaines de sacs. Graines de sarrasin, de millet,de quinoa, de riz, de maïs, de légumineuses, de protéagineux. Farines de sarrasin, de millet, de quinoa, de riz, de maïs, etc.

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Et au milieu, une énorme machine qui nettoie, trie, décortique, concasse, moud. Pour transformer les grains en farine. Sans gluten.

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Sud Ouest3 novembre 2014

SOMMaiRE

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Poitou-Charentes : une filière 100 % sans gluten

0 commentairePublié le 03/11/2014 à 06h00 , modifié le 04/11/2014 à 12h27 parThomas Brosset

Dans les Deux-Sèvres, François Marchesseau s’intéresse au marché du sansgluten. Coups de projecteurs sur certaines filières.

François Marchesseau montrant des graines de sarrasin, telles qu’elles arrivent dans l’entreprise. © Photophoto dr

F

rançois Marchesseau va bientôt tripler la surface de sa société. « On n'a pas assez d'espace pour stocker. On travaille à flux tendu.La filière est en pleine explosion. » Il balaie du bras l'entrepôt où s'entassent des centaines de sacs. Graines de sarrasin, de millet,de quinoa, de riz, de maïs, de légumineuses, de protéagineux. Farines de sarrasin, de millet, de quinoa, de riz, de maïs, etc.

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Poitou-Charentes

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3 novembre 2014SOMMaiRE

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10Vie Charentaise


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24 octobre 2014SOMMaiRE

Poitou-Charentes

1231 OCTOBRE 2014

AU FIL DU SILLON Région�

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En bovins viande, lepassage en agriculturebiologique nécessite,avant toute décision,un diagnostic prenanten compte le fonction-nement et les modifica-tions nécessaires.

En viande bovine, commedans tout système, la situationde départ doit être maîtrisée etcompatible avec une futureconversion en bio. Ainsi le fonc-tionnement et le degré de maî-trise du système vont déterminerle niveau de « difficultés » pourpasser en bio. Par exemple lesdegrés d’intensification et d’au-tonomie alimentaire, le devenirdes produits sont déterminants.La décision de l’évolution doitaussi être réfléchie en accordavec les aspirations de l’éleveur.Elle doit s’accompagner d’undiagnostic préalable approfondiqui va permettre d’analyser lefonctionnement en convention-nel et d’envisager les modifica-tions nécessaires au passage enbio. L’éleveur pourra alors ana-lyser la faisabilité du projet etprendre sa décision.

Autonomie alimentairenécessaire

En viande bovine, la maîtrisedes charges est essentielle dansla détermination du revenu. Enagriculture biologique l’autono-mie alimentaire est fortementsouhaitable compte tenu du prixdes aliments. Cela passe par laproduction de fourrage en quan-tité et de qualité pour satisfaireles be soins du cheptel. Produiresans engrais minéraux demande

souvent un peu plus de surfaceet/ou moins de cheptel. La baissede production à l’hectare sera

Analyser l’existant avant de convertir son élevage de bovins viande en bio

Bio�

Mois de la bio 2014 : les rendez-vous àvenir en Charente• Maraîchage : 3 novembre 2014 de 9h30 à 12h30

Retour sur 6 années en maraîchage biologique

• Elevage : 4 novembre 2014L'organisation des filières et l'autonomie alimentaire des troupeaux bio

• Vendre en direct & en bio : 14 novembre 2014à 10h : Retour sur 10 ans d'expérience en volailles bio.à 14h30 : Une installation bien réfléchie de vente directe de viande bio.

• Grandes Cultures : 19 novembre 2014 de 14h à 17h30

L'intérêt des cultures intermédiaires en grandes cultures bio

Inscriptions et informations complémentaires sur le site internet de la Chambred’agriculture de la Charente, rubrique événement (www.charente.chambagri.fr).Contact : Anne-Laure VEYSSET – Tél : 06 25 64 54 [email protected]

Portes ouvertes

Les élevages bovins viande conduits en agriculture biologique obtiennent des résultats trèsvariables mais avec, globalement, une meilleure efficacité économique.

fonction des pratiques et du ni-veau de chargement. En systèmeviande bovine extensif, on ob-serve souvent des apports limitésde 10 à 30 kg N par ha d’herbe.Même avec un changement desystème fourrager, de type deprairies, la baisse de productionfourragère peut atteindre 20 à30 %. Sans surface supplémen-taire, c’est autant de vêlages enmoins. Le chargement passealors de 1,4 à 1,0 UGB par ha.

Plus de légumineuses,de protéines

Si l’autonomie en fourragegrossier est accessible, la couver-ture des besoins protéiques dutroupeau passe par plus de légu-mineuses dans les prairies etéventuellement plus de protéagi-

neux. Les culturesde luzerne et detrèfles peuvent ga-rantir l’autonomieazotée et limiterles baisses de ren-dements. Un com-plément de mé-langes céréalesprotéagineux ré-coltés en grains oude protéagineuxpur, permet deconcentrer enénergie et en azote

des rations de finition N. Le pas-sage en bio s’accompagne, saufagrandissement de la surface

fourragère, d’une diminution ducheptel, le plus souvent entre 15et 25 %. Cette baisse doit être uneopportunité pour réformer lesmoins bonnes reproductrices etpermettre d’améliorer la qualitédu cheptel. En présence de don-nées techniques objectives (crois-sance des veaux, indices, index)le tri sera plus sûr. Le fonction-nement du cheptel restera lemême en bio sous réserve de ladestination des animaux.

Valoriser aussiles mâles

Pour améliorer la rentabilitédu cheptel, la commercialisationdes animaux doit se faire majo-ritairement par la filière bio.Après une période délicate en2012-2013, le prix de vente en fi-lière bio maintient un écart inté-ressant avec le conventionné.Ainsi pour une vache R entre leconventionnel et le bio, l’écart estde 0,40 à 0,50 € par kg de car-casse. Il permet une plus-valueintéressante. Pour valoriser lesmâles qui sont vendus en brou-tards en conventionnel, trois op-tions sont possibles en bio : leveau sous la mère, le baron et lebœuf. Le détail de ces trois des-tinations bouchères est déve-loppé dans la brochure « En-graisser et valoriser les mâles enbio » des chambres d’agricultureet de Idele publiée en mai 2014.Chaque type de mâles est décrit

à partir des observations natio-nales. Pour le veau mâle de raceallaitante abattu à 5-6 mois la dif-ficulté est de pouvoir atteindreun état d’engraissement satisfai-sant. Il nécessite d’avoir desmères très laitières. Pour le ba-ron, les règles de production sontassez contraignantes et coû-teuses. Ce type de produit s’estdonc peu développé. La produc-tion de bœufs est une voie inté-ressante pour beaucoup de sys-tèmes herbagers. Mais il estpréférable de sélectionner lesmeilleurs mâles et de lesconduire en moins de 36 mois.Enfin le contexte de la PAC 2015-2020 (nouvelle définition de ré-férences Pmtva sur la base de lacampagne 2013) devrait modi-

fier le nombre de primes vachesallaitantes par exploitation.

Des économiesassurées

Le passage d’un systèmeconventionnel extensif à un sys-tème bio autonome s’accom-pagne d’économies de chargesd’engrais et d’aliments significa-tives. Un élevage naisseur exten-sif qui apporte 30 kg N par haSAU et achète le complémentazoté pour les animaux va éco-nomiser au minimum 100 € parvêlage en passant à un systèmebio autonome. Les charges destructures restent globalementstables. Cependant la producti-vité des surfaces diminue (char-gement) et parfois celle des ani-maux (moins de poids). Enfin,l’aide à la conversion sur cinq anset au bout de deux ans la plus-value sur les ventes, contribuentglobalement à l’amélioration durésultat. Même en l’absence de larevalorisation des animaux en2012, la conversion restait éco-nomiquement intéressante par lepoids des économies et des aidesdans le cas de système ayant peude changement.

Au final, les élevages bovinsviande conduits en agriculturebiologique obtiennent des résul-tats très variables mais avec, glo-balement, une meilleure effica-cité économique comme lemontrent les analyses de groupesréalisées par le réseau des fermesde référence (chambres d’agricul-ture, institut de l’élevage).

BISSON PASCAL

ÉconomiesLe passage d’un système

conventionnel extensif à unsystème bio autonome

s’accompagne d’économiesde charges d’engrais et

d’aliments significatives.

Vie Charentaise31 octobre 2014

SOMMaiRE

Charente

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Charente

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Charente

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LE CORRESPONDANT

Jean-Yves Delage

Tél.: 05.45.98.25.72Port.: [email protected]é voilà un peu plus de 60ans à Yviers où j’habitetoujours, à proximité del’ancienne ferme familiale,instituteur puis professeurdes écoles, l’heure de laretraite a sonné pour moien septembre 2006.Resté pendant 14 ans à ladirection de l’écoleHonoré de Balzac, àBrossac, mon second etdernier poste après celuide l’école de Laprade,largement impliqué dans lavie locale, une plus grandedisponibilité soudaine (jele pensais...) m’a donnéalors envie de prendre letemps d’écrire quelquespapiers sur la viequotidienne enBrossacais, aux côtés deRaymond Fouché, lecorrespondant local. Apartir de 2008, à lademande de C.L., monrayon d’action s’est aussiagrandi un peu vers leBaignois qui n’avait alorsplus de correspondant. Uncanton inconnu pour moique je découvre toujourssous un angle bienparticulier...Un loisir, un passe-temps(très prenant!) à l’écoutedu terrain pour en relater lavie quotidienne et sesturbulences, une activitésurtout d’une granderichesse en relationshumaines.

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Charente Libre

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NOTES RÉCENTES

CHATIGNAC: Réunion du conseil municipal le...

GUIZENGEARD: Les seniors invités de la...

CHATIGNAC: Visites dans le cadre de la 3°...

ORIOLLES: Assemblée générale des Oriollaisce...

BROSSAC: Permanences de la députée Marie-Line...

BOISBRETEAU: Une riche expo à la mémoiredes...

BROSSAC: Sortie des Aînés à l'Ange bleu le...

BROSSAC: Nouvelles plages horaires à la...

ORIOLLES: Les aînés oriollais à l'honneur

PASSIRAC: Poule au pot du comité des fêtes le...

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14/11/2014

CHATIGNAC: Visites dans le cadre de la3° édition du Mois de la bio ce vendredi

Quelque peu en retard au plan national pour le développement de l'agriculturebiologique avec moins de 3% du total de la surface agricole, la région Poitou-Charentes organise, du 3 au 28 novembre une troisième édition du « Mois de laconversion ». Elle propose en liaison avec différents acteurs, chambres d'agriculture,producteurs, coopératives,... diverses rencontres sur la région. Ce sera le cas enSud-Charente ce prochain vendredi 14 novembre sur le thème « Vendre en direct eten bio ».

Alors que le matin, Gérald Legrelleinvite dans sa ferme de « La Rérie »à Pillac à 10H pour faire le point sur10 ans d'expérience de volailles enbio, l'après-midi à 14H30, il serapossible de se rendre « ChezChauvaud », sur la commune deChâtignac, chez Carole et PascalBallu . Le jeune couple vient de fairel'acquisition en mars 2014 d'uneferme avec 19 hectares de terrescultivables mais travaille au total sur

91 hectares de surface agricole utilisable.

« Une installation réfléchie pour selancer principalement dans la ventedirecte de viande bio avec desvaches de race limousine,confient-ils. Ils ont aussi créé l'EARL« Chez tata Caro » qui doit bientôtcommercialiser l'excédent decertaines productions, tels noix, jusde pommes, volailles de la basse-cour... « Un désir de revenir ausystème traditionnel et de valorisernotre production, mais il va nous

falloir une période de deux ans de conversion » note Carole Ballu

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C'est Carole Ballu qui va retracer le « combat » pour l'installation avec pourtant lesaides de Samuel Neau, conseiller agricole en projets bio. « Je ne viens pas de cemilieu-là, avoue celle qui a fait des études de comm ' avant d'être graphiste. J'ai étévite impressionnée par le travail de l'agriculteur et ses contraintes par rapport àl'image que l'on peut en avoir. »

Conduisant ses visiteurs dans lastabulation, Pascal Ballu présenteson cheptel actuel de 71 têtes, sesproductions végétales 2014 et leurmode de conduite. Une conversionbio qui va se dérouler sur 2 ans.

« Beaucoup de contraintes, mais onles accepte, c'est un choix de vie, »conclut le couple.

Contact Earl Chez tata Caro 06 63 31 68 33

J-Y D.

06:38 Publié dans CHATIGNAC | Lien permanent | Commentaires (0)

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16Le Confolentais

23 au 29 octobre 2014SOMMaiRE

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16 17Le Confolentais

23 au 29 octobre 2014SOMMaiRE

Charente

18

Maisons / Villas199 m² - 157000 €CHATIGNAC

Terrains2500 m² - 23000 €CHATIGNAC

Toyota Yaris8390 €COGNAC

Sud-Charente: deux exploitants bio racontentleur expérienceLe 17 novembre à 06h00 par Jean-Yves DELAGE et Jean-Luc TENANT

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Dans le cadre du mois bio, deux agriculteurs du Sud-Charente ont ouvert leursportes dernièrement. Gérald Le Grelle à Pillac. Et le couple Ballu à Châtignac.

Carole et Pascal Ballu donnent des explications devant la stabulation de la ferme bio "Chez tata Caro" àChâtignac.. PHOTO/Photos CL

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TAGS Articles abonnés, Châtignac, Bio, Mansle, Pillac, Chambre d'Agriculture,Agriculture, Gironde

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epictete 17 Novembre 2014, 18:42Après la ferme industrielle des 550 vaches, maintenant le bio. Est ce pourse donner bonne conscience, pour faire un "équilibre"??Alors qu'il faudrait mettre en avant ce qui est pour la vie et le contraire, lebio et l'industrielle ferme concentrationnaire de 550 vaches bourréesd'antibiotiques et écornées.

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C’est à la ferme de Gérald Le Grelle au lieudit "La Rérie" à Pillac qu’avait lieu lepremier rendez-vous organisé en Sud-Charente dans le cadre de la semainebio. Une petite dizaine de personnes se sont retrouvées sur place, venant de larégion de Mansle, de la Gironde ou des environs proches, en compagnied’Évelyne Bonilla de la maison du bio (MAB16) et de Samuel Neau, technicien àla chambre d’agriculture. Parmi elles, deux jeunes demandeurs de conseils pourune prochaine installation envisagée. Âgé de 39 ans, Gérald Le Grelle a...

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Charente Libre17 novembre 2014

SOMMaiRE

Charente

18 19

31 OCTOBRE 2014

AU FIL DU SILLON Région�

6

En bovins viande, lepassage en agriculturebiologique nécessite,avant toute décision,un diagnostic prenanten compte le fonction-nement et les modifica-tions nécessaires.

En viande bovine, commedans tout système, la situationde départ doit être maîtrisée etcompatible avec une futureconversion en bio. Ainsi le fonc-tionnement et le degré de maî-trise du système vont déterminerle niveau de « difficultés » pourpasser en bio. Par exemple lesdegrés d’intensification et d’au-tonomie alimentaire, le devenirdes produits sont déterminants.La décision de l’évolution doitaussi être réfléchie en accordavec les aspirations de l’éleveur.Elle doit s’accompagner d’undiagnostic préalable approfondiqui va permettre d’analyser lefonctionnement en convention-nel et d’envisager les modifica-tions nécessaires au passage enbio. L’éleveur pourra alors ana-lyser la faisabilité du projet etprendre sa décision.

Autonomie alimentairenécessaire

En viande bovine, la maîtrisedes charges est essentielle dansla détermination du revenu. Enagriculture biologique l’autono-mie alimentaire est fortementsouhaitable compte tenu du prixdes aliments. Cela passe par laproduction de fourrage en quan-tité et de qualité pour satisfaireles be soins du cheptel. Produiresans engrais minéraux demande

souvent un peu plus de surfaceet/ou moins de cheptel. La baissede production à l’hectare sera

Analyser l’existant avant de convertir son élevage de bovins viande en bio

Bio�

Mois de la bio 2014 : les rendez-vous àvenir en Charente• Maraîchage : 3 novembre 2014 de 9h30 à 12h30

Retour sur 6 années en maraîchage biologique

• Elevage : 4 novembre 2014L'organisation des filières et l'autonomie alimentaire des troupeaux bio

• Vendre en direct & en bio : 14 novembre 2014à 10h : Retour sur 10 ans d'expérience en volailles bio.à 14h30 : Une installation bien réfléchie de vente directe de viande bio.

• Grandes Cultures : 19 novembre 2014 de 14h à 17h30

L'intérêt des cultures intermédiaires en grandes cultures bio

Inscriptions et informations complémentaires sur le site internet de la Chambred’agriculture de la Charente, rubrique événement (www.charente.chambagri.fr).Contact : Anne-Laure VEYSSET – Tél : 06 25 64 54 [email protected]

Portes ouvertes

Les élevages bovins viande conduits en agriculture biologique obtiennent des résultats trèsvariables mais avec, globalement, une meilleure efficacité économique.

fonction des pratiques et du ni-veau de chargement. En systèmeviande bovine extensif, on ob-serve souvent des apports limitésde 10 à 30 kg N par ha d’herbe.Même avec un changement desystème fourrager, de type deprairies, la baisse de productionfourragère peut atteindre 20 à30 %. Sans surface supplémen-taire, c’est autant de vêlages enmoins. Le chargement passealors de 1,4 à 1,0 UGB par ha.

Plus de légumineuses,de protéines

Si l’autonomie en fourragegrossier est accessible, la couver-ture des besoins protéiques dutroupeau passe par plus de légu-mineuses dans les prairies etéventuellement plus de protéagi-

neux. Les culturesde luzerne et detrèfles peuvent ga-rantir l’autonomieazotée et limiterles baisses de ren-dements. Un com-plément de mé-langes céréalesprotéagineux ré-coltés en grains oude protéagineuxpur, permet deconcentrer enénergie et en azote

des rations de finition N. Le pas-sage en bio s’accompagne, saufagrandissement de la surface

fourragère, d’une diminution ducheptel, le plus souvent entre 15et 25 %. Cette baisse doit être uneopportunité pour réformer lesmoins bonnes reproductrices etpermettre d’améliorer la qualitédu cheptel. En présence de don-nées techniques objectives (crois-sance des veaux, indices, index)le tri sera plus sûr. Le fonction-nement du cheptel restera lemême en bio sous réserve de ladestination des animaux.

Valoriser aussiles mâles

Pour améliorer la rentabilitédu cheptel, la commercialisationdes animaux doit se faire majo-ritairement par la filière bio.Après une période délicate en2012-2013, le prix de vente en fi-lière bio maintient un écart inté-ressant avec le conventionné.Ainsi pour une vache R entre leconventionnel et le bio, l’écart estde 0,40 à 0,50 € par kg de car-casse. Il permet une plus-valueintéressante. Pour valoriser lesmâles qui sont vendus en brou-tards en conventionnel, trois op-tions sont possibles en bio : leveau sous la mère, le baron et lebœuf. Le détail de ces trois des-tinations bouchères est déve-loppé dans la brochure « En-graisser et valoriser les mâles enbio » des chambres d’agricultureet de Idele publiée en mai 2014.Chaque type de mâles est décrit

à partir des observations natio-nales. Pour le veau mâle de raceallaitante abattu à 5-6 mois la dif-ficulté est de pouvoir atteindreun état d’engraissement satisfai-sant. Il nécessite d’avoir desmères très laitières. Pour le ba-ron, les règles de production sontassez contraignantes et coû-teuses. Ce type de produit s’estdonc peu développé. La produc-tion de bœufs est une voie inté-ressante pour beaucoup de sys-tèmes herbagers. Mais il estpréférable de sélectionner lesmeilleurs mâles et de lesconduire en moins de 36 mois.Enfin le contexte de la PAC 2015-2020 (nouvelle définition de ré-férences Pmtva sur la base de lacampagne 2013) devrait modi-

fier le nombre de primes vachesallaitantes par exploitation.

Des économiesassurées

Le passage d’un systèmeconventionnel extensif à un sys-tème bio autonome s’accom-pagne d’économies de chargesd’engrais et d’aliments significa-tives. Un élevage naisseur exten-sif qui apporte 30 kg N par haSAU et achète le complémentazoté pour les animaux va éco-nomiser au minimum 100 € parvêlage en passant à un systèmebio autonome. Les charges destructures restent globalementstables. Cependant la producti-vité des surfaces diminue (char-gement) et parfois celle des ani-maux (moins de poids). Enfin,l’aide à la conversion sur cinq anset au bout de deux ans la plus-value sur les ventes, contribuentglobalement à l’amélioration durésultat. Même en l’absence de larevalorisation des animaux en2012, la conversion restait éco-nomiquement intéressante par lepoids des économies et des aidesdans le cas de système ayant peude changement.

Au final, les élevages bovinsviande conduits en agriculturebiologique obtiennent des résul-tats très variables mais avec, glo-balement, une meilleure effica-cité économique comme lemontrent les analyses de groupesréalisées par le réseau des fermesde référence (chambres d’agricul-ture, institut de l’élevage).

BISSON PASCAL

ÉconomiesLe passage d’un système

conventionnel extensif à unsystème bio autonome

s’accompagne d’économiesde charges d’engrais et

d’aliments significatives.

Charente Libre31 octobre 2014

SOMMaiRE

Charente

20Le Confolentais


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Proposé par

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Informations départementales :

Méteo locale

Actualités du département

Le mois de la bio : la clé de la réussite en Poitou-charentesDu 03 au 28 novembre - Charente (16)Portes ouvertes

Poitou-Charentes

Programme :

10 000 hectares supplémentaires sont attendus d’ici fin 2015 pour couvrir les besoins des filières bio en Poitou-Charentes.Durant LE MOIS DE LA BIO, agriculteurs, techniciens spécialisés et opérateurs économiques, vous informent et répondent à vos questions.

Des atouts économiques, Des solutions techniques et Un signe officiel de qualité

Informations pratiques :

programme : VOIR PIECE JOINTE

www.penser-bio.fr/

Contact :

@Mail :

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Plein Champ7 octobre 2014

SOMMaiRE

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22Vie Charentaise


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22 23Vie Charentaise


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Le journal d'une élue locale en Poitou-Charentes

JEUDI 16 OCTOBRE 2014

Mois de la Bio 2014 Poitou-Charentes

Conférence de presse de Lessac

Chez Mautré

CQFD: Les surfaces en bio de Poitou-Charentes sont passées de 27000 ha en 2009 à près de 41 000 en 2013. La surface agricolecultivée en bio représente donc environ 2,4 % de la surface agricoletotale de la région en 2013. On compte dans la région fin 2013, 833exploitations qui cultivent tout ou partie de leur parcellaire sous le label"Agriculture Biologique".

Cette dynamique, se situant dans la moyenne nationale, est pourtantremarquable. En effet, le contexte régional est plus défavorable audéveloppement de l'AB que dans les autres régions où elle connait unessor important (pas de grandes métropoles, un climat moinsfavorable aux productions arboricoles et maraîchères que dans le sudde la France...).

Madeleine Ngombet

Vice Présidente du Conseil RégionalPoitou Charentes

Message de bienvenue

Bonjour et bienvenue sur ce blog. J'ylivre des parcelles de mon parcours et demon action d'élue, à votre information et àvos analyses critiques. Bon surf.Madeleine

Mieux me connaître

Madeleine Ngombet

Née le 27 Avril 1963 au Cameroun. Mariée,3 enfants Chirurgien-dentiste. MONPARCOURS - Je viens du Cameroun(Afrique Centrale). J'y ai vécu toute monenfance, jusqu'à 16 ans. J'ai ensuite faitmes études secondaires et supérieures àBordeaux. J'ai été élevé dans le culte del'école, mes deux parents étaient alorsinstituteurs. Je leur dois ma réussiteprofessionnelle. Installée à Confolens(Charente Limousine) depuis 1996, unchoix dont je suis heureuse. MESVALEURS sont celles d'une gauchemoderne et réaliste: - Le volontarismepolitique, la volonté de « changer la vie ». -L'éducation: la clé de l'égalité des chances.

1 sur 5 Nouvelle Fabrique Confolentaise16 octobre 2014

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Charente

24 25Coordination rural 16


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2 17 OCTOBRE 2014

Alerte vols en nombre dans les exploitations agricoles du Sud Charente. Des consignesde sécurité et de prévention sont disponibles sur le site internet de la Chambred’agriculture (www.charente.chambagri.fr) rubrique Mon exploitation > Préventionet protection. Soyez vigilants et n’hésitez pas à contacter la gendarmerie.

Aujourd’hui 900 producteurs sont en bio enrégion soit 3,5 % de la SAU cultivée en AB.La 3e édition du Mois de la Bio qui se dérouleraau mois de Novembre, a pour objectif de fairedécouvrir l’agriculture biologique aux pro fes -sionnels agricoles pour dynamiser son dé ve -lop pement et répondre ainsi au programmeAm bition Bio qui vise le doublement des surfa -ces en bio d’ici 2017.Le Pôle conversion bio Poitou-Charentes quiréunit plus de 40 partenaires dont les Chambresd’agriculture, met en place des journées portesouvertes et tables rondes où vous pourreztrou ver des réponses à vos différentes questions:Comment les productions bios se valorisent-elles? Comment les revenus sont-ils assurés?Quelles sont les aides? Quels sont les résultatstechniques? La bio est-elle envisageable surmon exploitation?Pour cette 3e édition, 4 journées seront pro -posées en Charente et l’accent sera mis sur:- les céréales et protéagineux avec la forteim plication des opérateurs économiques quiencouragent la production. Actuellement,8000 ha seraient nécessaires dans le GrandOuest pour satisfaire les besoins en alimentationanimale. A ce titre, nous visiterons l’exploitationde jeunes installés en céréales bio à RanvilleBreuillaud qui valorisent notamment les culturesintermédiaires dans leurs assolements.- l’élevage avec une journée multi-filière à la

MFR de la Péruse avec pour thématiquel’organisation des filières et l’autonomie ali -mentaire des cheptels en bio.- le maraîchage diversifié en développementdepuis plusieurs années en raison d’un grandnombre d’installations en légumes bio, spécifi -quement « hors cadre familial ».- la vente directe, avec la valeur ajoutée dulabel bio pour commercialiser ses produitsfermiers.- la nouvelle PAC et les aides dédiées à laconversion à l’Agriculture biologique qui serontaugmentées, l’aide aux cultures passant de200 €/ha à 300 €/ha.Ces journées s’adressent à tous les profes -sionnels de l’agriculture, les partenaires duPôle Conversion Bio Poitou-Charentes vousy attendent nombreux!

Contact : Anne-Laure VEYSSET Animatrice filière bio – Chambre d’agricul-ture de la Charente – Té[email protected]

Retrouvez tous les évènements du Mois dela bio en région et inscrivez-vous surwww.charente.chambagri.fr rubrique « Agriculture Biologique ».

Le mois de la Bio : des clés pour votre réussite !

Directive Nitrates : Prescriptions du momentGestion des intercultures longues:Destruction des Couverts végétaux:La destruction des repousses de céréales oudes CIPAN (cultures intermédiaires piège ànitrates) est autorisée dès le 16 novembre.Les 2 mois de présence doivent toutefois êtrejustifiés: date de l’implantation ou de la dernièreintervention de travail du sol, date de destruction.En cas de récolte tardive, la date de destructionest repoussée d’autant de jours nécessairespour respecter les 2 mois de présence.Cas du Maïs ensilage suivi d’une culture deprintemps: selon la date de récolte la gestiondu couvert diffère:- avant le 15 octobre: Implantation de CIPANavec maintien pendant 2 mois.- après le 15 octobre: pas de CIPAN obligatoiremais un bilan azoté post-récolte.

Méthodes de destruction:La destruction chimique du couvert est interditesauf TCS (technique culturale simplifiée). Onentend par TCS, l’absence de labour.Autres moyens de destruction:- gel si le choix de l’espèce s’est porté sur uncouvert gélif. (Notons que le roulage, accentuel’effet des premières gelées),- broyage, travail de sol.

Epandage de matières organiques surCouverts:Il est possible d’épandre des matières organiquessur CIPAN (interdit sur repousses) dans lalimite de 70UN efficace/ha.

Exemple : un lisier de bovins à 3UN/m3 à ladose de 40 m3/ha apportera 120UN/ha mais12UN/ha efficace (10 %).L’épandage peut avoir lieu à l’implantation,pendant la végétation mais 20 jours avant ladestruction du CIPAN.

Mulching:Cette technique est prise en compte commeun couvert végétal avant une culture de printemps2015. Après récolte de Maïs, Tournesol ouSorgho, les pailles doivent être broyées etenfouies dans les 15 jours qui suivent la récolte.

ZAR : Zone d’actions renforcéesIl s’agit de zones sensibles de captages Grenelleou non.Ces captages dégradés ont des teneurs ennitrates proches ou au-delà des 50 mg/L. Pourtoutes les parcelles situées dans ces zones,les mesures applicables sont plus sévères.Les prescriptions à suivre sont dans l’immédiatles suivantes:- mise en place d’une bande double densitéde 20 m de long sur 3 de large- analyse de reliquat azoté post récolte surune parcelle de Maïs.

Vous pouvez situer vos parcelles sur le sitePégase: http://carto.pegase-poitou-

charentes.fr/1/protection_nitrate_agri. map

Contact: Sylvain JONETTE – Té[email protected]

Rencontre MADE IN VIANDEMardi 28 Octobre 2014 - Journée de promotion de la viande

La Chambre d’agriculture de la Charente, l’abattoir de Confolens et l’Union des bouchers de laCharente sont heureux de vous inviter à cette manifestation de valorisation des produits etsavoir-faire.Au programme :- de 9h00 à 11h00: visites d’élevage à CHASSENON (Lieu-dit Salles) ou AVAILLES-LIMOUZINE(Lieu-dit Le Cerier). Rendez-vous directement sur les fermes ou à l’abattoir de Confolens pourun départ groupé à 9h00.- de 11h00 à 13h00: visite guidée de l’abattoir de Confolens- de 13h00 à 14h30: dégustation de viande sur plancha- de 14h00 à 14h30: point presse- de 14h30 à 16h00 : conférence-débat « valorisation des produits et savoir-faire, pour ledéveloppement économique du territoire charentais ».Informations complémentaires et inscriptions sur le site internet de la Chambre d’agriculture dela Charente www.charente.chambagri.fr rubrique événement.

Directive nitratesTravaux de mise aux normes des installations de stockage des effluents d’élevage:déclarez-vous avant le 1er novembre 2014 auprès de la DDT!Contact : Sylvain JONETTE - Chambre d’agriculture de la Charente - Tél.0545244940 [email protected]

Programme des journées en Charente :• Légumes : Lundi 3 Novembre 9h30 - 12h30

Chez Nicolas BINTEIN – Le bourg au Lindois : Retour sur 6 années en maraîchagebiologique ; valorisation locale – installation hors cadre familial

• Elevage : Mardi 4 Novembre9h30 : MFR de la Péruse - 14h30 : GAEC du Couradet à SurisL’organisation des filières et l’autonomie alimentaire des troupeaux bio ; aides PAC,commercialisation, conduite et alimentation des troupeaux - En partenariat avec Biolait,Corali et Huré Agri consult (Repas buffet bio le midi sur inscriptions – 10€/personne)

• Vendre en direct et en Bio : Vendredi 14 Novembre10h : retour sur 10 ans d’expérience en volailles bios – chez M. Gérald LE GRELLE –La Rérie à Pillac14h30 : une installation bien réfléchie de vente directe de viande bio – Chez M. et MmeBALLU – Chez Chauvaud à Châtignac

• Céréales et protéagineux : Mercredi 19 Novembre 14h - 17h30Chez Anthony VIAUD – Orfeuille à Ranville Breuillaud

L’intérêt des cultures intermédiaires en grandes cultures bio : retour après deux annéesde conversion. Zooms sur les rotations, itinéraires techniques et matériels spécifiques.

Vols dans le Sud-Charente Actu 1617 octobre 2014

SOMMaiRE

Charente

26 272 7 NOVEMBRE 2014

Les céréales se caractérisent par une valeur énergé -tique voisine d’une unité fourragère avec de faiblesécarts selon leur nature. L’avoine reste une exceptionavec moins de 0,8 UFL par kg brut. La teneur en azotedes céréales reste modeste et oscille entre 60 et 70g de PDI. En conséquence, la nature de la céréaleinflue peu sur son taux d’incorporation car, dans laplu part des cas, c’est l’azote qui reste le facteur limitantde l’équilibre de la ration. Seule l’avoine qui présenteune faible valeur énergétique oblige à majorer lesquantités de céréales de 30 % par rapport à l’orgeou au triticale. Pour toutes les autres céréales, c’estleur prix qui fait la différence du coût de la ration.

Des céréales toujours entièresAplatir, concasser ou broyer les céréales n’amélioreen aucun cas leur valorisation par les brebis. Celafavorise même les acidoses car l’amidon de la céréaleest alors libéré très rapidement. Les quelques grainsaperçus dans les crottes restent insignifiants au re -gard des quantités ingérées et valorisées. Enfin, lefractionnement de la ration est conseillé au dessusd’un kg distribué quotidiennement aux brebis (céré -ale + complément azoté). En dessous et en dehorsdes périodes de transition alimentaire (rentrée en

bergerie par exemple), la ration peut être distribuéeentièrement le matin.

Les activités du CIIRPO sont financées par l’UnionEuropéenne et les conseils régionaux Limousin, PoitouCharentes et Centre.

Laurence SAGOT, Institut de l’Elevage/CIIRPONathalie AUGAS, Chambre d’agriculture

Chronique OvineMaïs, orge, triricale : quelle céréale acheter pour les brebis ?

Vivre et entreprendre en Production Laitière demainLe 13 novembre prochain se tiendront les Assissesdu Lait des territoires Charente-Dordogne, afin dedonner aux éleveurs laitiers des clés pour comprendreles perspectives d’avenir de la filière et des outilspour permettre d’assurer leur pérennité. Rendez-vous au Centre Culturel de Boulazac (24) à l’espaceAGORA.

Programme10h30 : accueil11h : présentations• Les perspectives de l’économie laitière mondialeet nationale et les atouts de la filière régionale

• Table ronde et témoignages d’éleveurs locaux etinternationaux

12h30 : buffet

14h : annonces de mesures d’accompagnement parles acteurs de la filière

15h15 : fin de la réunion

Des transports collectifs pourront être mis en placepour les éleveurs les plus éloignés.

Contact pour les inscriptions : Isabelle SORTON - Tél. 05 45 24 49 18 ou sur lesite internet de la Chambre d’Agriculture, rubrique« Evènements – Assises du lait ».

Retour sur la journée MADE IN VIANDEPromouvoir la filière viande locale

Mardi 28 octobre, l’union des bouchers de Charente, l’abattoir deConfolens et la Chambre d’agriculture ont co-organisé une journéepour promouvoir la filière viande locale, dans le cadre de la semaine« Made in viande ». Au programme: visites de deux fermes d’élevage,visite de l’abattoir de Confolens, dégustation de viandes locales à laplancha et discussion-débat pour la promotion et le développementde la filière. Déjà, un prochain rendez-vous est fixé aux Gastronomadespour des animations entre éleveurs et bouchers, et une conférencesur la viande locale.

Contact : Sandrine CAZAUX – Tél. : 06 25 06 36 71

© C

IIRPO

Incorporer du maïs, de l’orge, du bléou du triticale ne change pas lacomposition de la ration

Visite de l’abattoir de Confolens.

RENDEZ-VOUS

Journée équine Charente — VienneConcilier bien-être du cheval et activités équestresLe mardi 18 novembre à 9h30, rendez-vous au Centre Equestrede Grand Poitiers pour visiter ses aménagements réalisés pour lebien-être des chevaux et assister aux ateliers et conférences avecdes professionnels de la filière.Retrouvez le programme complet de la ma nifestation sur le siteinternet de la Chambre d’agriculture www.charente.chambagri.fr,rubrique Evénements. Inscription obligatoire.Contact : Sabrina PEYRILLE — Chambre d’agriculture de la CharenteTél. 06 21 21 83 03 — [email protected]

Visite d’une vitrine de couverts végétauxVenez visitez une vitrine de couverts végétaux le 14 novembre 2014à Brie sous Barbezieux et échanger sur les cultures intermédiairesavec les conseillers Chambre.Depuis 2013, le Sud Charente est concerné par l’extension de lazone vulnérable. Avec cette nouvelle disposition réglementaire liéeà la directive nitrates, toutes les parcelles en zone vulnérable doiventêtre couvertes à l’automne. Cette obligation impose de modifier laconduite durant l’interculture.La Chambre d’agriculture travaille depuis plusieurs années sur lescultures intermédiaires afin de transmettre un maximum de référencesaux agriculteurs. Pour cela elle a mis en place, entre autres, unevitrine de couverts végétaux dans le Sud-Charente sur laquelle ellevous accueille afin de pouvoir aborder différents points sur ce sujet.Cette visite apportera des réponses à vos questions « quoi faire ?comment ? quand ? ». Au programme : le type de rotation sur la parcelle et la durée decouverture du sol souhaitée, la facilité d’implantation de la cultureintermédiaire et son mode de destruction, les espèces ou mélangesqui peuvent être des solutions adaptées pour nos types de sol etenfin la présentation des différents couverts mis en place. S’en suivraun exercice pratique au champ : la pesée de biomasse et le calculde la restitution d’azote. Plus d’information sur le site internet de la Chambre d’agriculture dela Charente, rubrique Evénements.Contact : Lise GOUAUD - Conseillère grandes culturesTél. 06 14 09 65 46

Mois de la bio 2014:les dates à venir en CharenteVendre en direct & en bio :14 novembre10 h : Retour sur 10 ans d’expérience en volailles bio.14 h 30 : Une installation bien réfléchie de vente directe de viandebio.Grandes Cultures : 19 novembre de 14h à 17h30L’intérêt des cultures intermédiaires en grandes cultures bioInscriptions et informations complémentaires sur le site internet de la Chambre d’agriculture de la Charente, rubrique événement(www.charente.chambagri.fr).Contact : Anne-Laure VEYSSET — Tél. 06 25 64 54 55 [email protected]©

CA1

6

Actu 167 novembre 2014

SOMMaiRE

Charente

28Actu 1614 novembre 2014SOMMaiRE

2 14 NOVEMBRE 2014

Le 5 novembre dernier, les apprentis cuisiniers du campusdes métiers de Chasseneuil ont dégusté des fromagesde chèvre charentais et découvert la filière lors d’unatelier animé par Harmony BOUTIN, conseillère caprinede la Chambre d’Agriculture de la Charente. Suite à cetatelier, ils créeront des recettes à base de fromage dechèvre qu’ils présenteront aux Gastronomades surl’espace « Terre de Charente et Savoir-faire ».

La Chambre d’agriculture de la Charente et la Chambre desMétiers et de l’Artisanat travaillent en partenariat pour l’édition

2014 des Gastronomades. Dans ce cadre, elles ont proposéaux élèves de la section cuisine un tour d’horizon de la filièrecaprine ainsi qu’un cours de dégustation de fromages dechèvre fermier. Harmony BOUTIN, conseillère caprine de laChambre d’agriculture de la Charente, a présenté la filièrecaprine à ces élèves en reprenant dans sa globalité laproduction fromagère : de l’alimentation de la chèvre à latransformation du fromage. Puis, elle leur a expliqué commentdéguster un fromage en s’appuyant sur plusieurs critèrestechniques comme la croûte, la coupe, la texture… et finalementcomment choisir un fromage en fonction du plat envisagé.Cette leçon a une vocation pédagogique pour les apprentis,futurs cuisiniers et utilisateurs de produits locaux, qui doiventconnaître au mieux la globalité de la filière des produitsutilisés.Ces élèves et leur professeur auront l’occasion de nousprouver qu’ils ont bien retenu leur leçon lors des Gastronomades,le samedi 29 novembre de 10h à 12h. En effet, une animationde 2h sera proposée aux visiteurs de la manifestation surl’espace « Terre de Charente et Savoir-faire ». Les élèvesinitiés réaliseront un plat à base de fromage de chèvre etseront accompagnés d’éleveurs caprins qui expliqueront auxconsommateurs leur métier.

Contact : Jennifer LEOUTRE - Tél. 05 45 24 49 [email protected]

Gastronomades : les futurs cuisiniers s’initient au fromage de chèvre charentais

750 m² de stands, animations, dégustations. Restauration sur place.

Place du champs de Mars - Entrée de la bulle.Programme inédit.


Place du champs de Mars - Entrée de la bulle.Programme inédit.


Place du champs de Mars - Entrée de la bulle.750 m² de stands, animations, dégustations. Restauration sur place.

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territoire.


RENDEZ-VOUS

Mois de la bio 2014 :les dates à venir enCharenteVendre en direct & en bio : 14 novembre10 h : Retour sur 10 ans d’expérience en volailles bio. ChezGérald Le Grelle - La Rérie - Pillac14 h 30 : Une installation bien réfléchie de vente directe deviande bio. Chez Carole et Pascal Ballu - chez Chauvaud- Chatignac

Grandes Cultures : 19 novembre de 14h à 17h30L’intérêt des cultures intermédiaires en grandes cultures bioRetour après deux années de conversion. Zooms sur lesrotations, itinéraires techniques et matériels spécifiques.Chez Anthony Viaud - Orfeuille – Ranville Breuillaud

Inscriptions et informations complémentaires sur le site dela Chambre d’agriculture de la Charente, rubrique événement(www.charente.chambagri.fr).Contact : Anne-Laure VEYSSET - Tél. 06 25 64 54 55 [email protected]

Journée équine Charente - VienneConcilier bien-être du cheval et activités équestresLe mardi 18 novembre à 9h30, rendez-vous au CentreEquestre de Grand Poitiers pour visiter ses aménagementsréalisés pour le bien-être des chevaux et assister aux atelierset conférences avec des professionnels de la filière.

Retrouvez le programme complet de la ma nifestation surle site de la Chambre d’agriculture www.charente.chambagri.fr,rubrique Evénements. Inscription obligatoire.Contact : Sabrina PEYRILLE - Chambre d’agriculture de la CharenteTél. 0621218303 - [email protected]

Le Rallye de l’élevageLes différentes commissions des filières élevages ont souhaitédéployer des journées techniques sur le terrain. Ainsi unejournée départementale par filière va être organisée à partirde décembre, sur une durée de 15 jours. Ces journéespermettront à chaque éleveur de pouvoir obtenir de l’informationtechnique sur différents sujets d’actualité mais égalementde trouver un lieu d’échange.• le 2 décembre 2014 : journée fourrages

Venez avec vos fourrages, partez avec vos analyses (1 analyse gratuite/élevage) (Barbezieux)

• le 4 décembre 2014 : journée ovineL’identification électronique, comment la valoriser ?(Etagnac)

• le 11 décembre 2014 : journée lait - bovin et caprin Produire du lait demain : La qualité, un élément clef de laréussite (Taponnat)

• le 12 décembre 2014 : journée bovin viandeL’engraissement, créateur de valeur ajoutée (Salles Lavalette)

Contact : Julie RENARD - Chambre d’agriculture de la CharenteTél. 05 45 84 43 75 - [email protected]

Charente

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LE CORRESPONDANT

Jean-Yves Delage


CATÉGORIES

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Charente Libre

JANVIER 2015

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NOTES RÉCENTES

GUIZENGEARD: Emilie Piton va faire le tour de...

SAINTE-SOULINE: Chasse à courre au lièvrece...

BROSSAC: Réunion de l'association ArtBrossac...

PASSIRAC: Dix ans pour "Bavouille et Patouille"

BROSSAC: Réunion du club lecture ce samedi10...

ORIOLLES: Cérémonie des voeux ce samedi 10janvier

SAINT-FELIX: Voeux du comité des fêtes et dela...

BROSSAC: Cérémonie des voeux à la populationce...

SAINT-FELIX: La crèche a accueilli ses visiteurs

BROSSAC: A la découverte de Blanche-Neige...


geneaux sur BROSSAC: Le marché brossacaischange de place

Paul sur BROSSAC: Second Marché de Noël à"La...


céline sur BROSSAC: Toutes les joies de

« BROSSAC: Un Brossacais au service du Secours populaire français | Paged'accueil | SAINT-VALLIER:"Glaces de la ferme" au Salon Saveurs des

plaisirs gourmands »

17/11/2014

CHATIGNAC: Troisième édition du Moisde la conversion Bio: visite à l'EARL"Chez tata Caro"

Aujourd'hui, quelque 900 producteurs de la région Poitou-Charentes sont en bio, soit3,5% de la surface agricole utilisable. Le Pôle conversion bio de la région organise,du 3 au 28 novembre une troisième édition du « Mois de la conversion ». Besoinsdes marchés, aspects techniques et agronomiques, commercialisation en direct,aides PAC et démarches à effectuer,... des thèmes qui sont abordés au cours dejournées en liaison avec les différents acteurs, des chambres d'agriculture, auxproducteurs en passant par les coopératives. C'était le cas en Sud-Charente cevendredi 14 novembre sur le thème « Vendre en direct et en bio ».

« L'opportunité voilà un an dereprendre la suite de mes parentsqui cultivaient en conventionnel surSainte-Souline puis en mars 2014d'acheter cette ferme « ChezChauvaud » à Châtignac. 35hectares d'un seul tenant, avec lesbâtiments d'exploitation pour nousinstaller, explique Pascal Ballu. Uneétendue totale de 91 ha, surlaquelle nous voulonsprincipalement produire en bio de

la viande bovine limousine pour la vente directe en caissettes sous vide. »

Ce vendredi après-midi, dans lecadre de la 3° édition du « Mois dela conversion bio » le couple Ballureçoit une dizaine de personnesintéressées par les premiers pas deleur installation. Une visite guidéepar Evelyne Bonilla, animatrice de laMAB 16.

«J'ai été ouvrier agricole unevingtaine d'années dans différentesexploitations, un parcoursenrichissant de la Gironde au Tarn,où j'ai rencontré mon épouseCarole, confie Pascal. Une envie derevenir en Charente avec un choixde vie axé sur la production bio etla vente de nos produits en contactavec le consommateur »

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17/11/2014

CHATIGNAC: Troisième édition du Moisde la conversion Bio: visite à l'EARL"Chez tata Caro"

Aujourd'hui, quelque 900 producteurs de la région Poitou-Charentes sont en bio, soit3,5% de la surface agricole utilisable. Le Pôle conversion bio de la région organise,du 3 au 28 novembre une troisième édition du « Mois de la conversion ». Besoinsdes marchés, aspects techniques et agronomiques, commercialisation en direct,aides PAC et démarches à effectuer,... des thèmes qui sont abordés au cours dejournées en liaison avec les différents acteurs, des chambres d'agriculture, auxproducteurs en passant par les coopératives. C'était le cas en Sud-Charente cevendredi 14 novembre sur le thème « Vendre en direct et en bio ».

« L'opportunité voilà un an dereprendre la suite de mes parentsqui cultivaient en conventionnel surSainte-Souline puis en mars 2014d'acheter cette ferme « ChezChauvaud » à Châtignac. 35hectares d'un seul tenant, avec lesbâtiments d'exploitation pour nousinstaller, explique Pascal Ballu. Uneétendue totale de 91 ha, surlaquelle nous voulonsprincipalement produire en bio de

la viande bovine limousine pour la vente directe en caissettes sous vide. »

Ce vendredi après-midi, dans lecadre de la 3° édition du « Mois dela conversion bio » le couple Ballureçoit une dizaine de personnesintéressées par les premiers pas deleur installation. Une visite guidéepar Evelyne Bonilla, animatrice de laMAB 16.

«J'ai été ouvrier agricole unevingtaine d'années dans différentesexploitations, un parcoursenrichissant de la Gironde au Tarn,où j'ai rencontré mon épouseCarole, confie Pascal. Une envie derevenir en Charente avec un choixde vie axé sur la production bio etla vente de nos produits en contactavec le consommateur »

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C'est Carole Ballu qui va retracer le « combat » pour l'installation avec pourtant lesaides de Samuel Neau, conseiller agricole en projets bio. « Je ne viens pas de cemilieu-là, avoue celle qui a fait des études de comm ' avant d'être graphiste. J'ai étévite impressionnée par le travail de l'agriculteur et ses contraintes par rapport àl'image que l'on peut en avoir. »

Conduisant ses visiteurs dans lastabulation, Pascal Ballu présenteson cheptel actuel de 71 têtes, sesproductions végétales 2014 et leurmode de conduite. Une conversionbio qui va se dérouler sur 2 ans.

« Beaucoup de contraintes, mais onles accepte, c'est un choix de vie, »conclut le couple.

Contact Earl Chez tata Caro 06 63 31 68 33

J-Y D.

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LÁgriculteur Charentais 30 octobre 2014 à 08h00 | Par Laurence Guilemin

Bio Mois Du Bio

Un mois pour mieux comprendre les atouts de la bio et avoir toutes les clés pour convertir sonexploitation

Abonnez-vous Réagir Imprimer Envoyer

Voilà maintenant trois ans qu’est organisé le mois de la bio.Cette année, cet événement se déroulera du 3 au 28novembre sur le territoire picto-Charentais. «Ce moment fortest organisé par le Pôle conversion bio de Poitou-Charentes»avance Patrick Dauron, son président, qui rappelle que ce pôlea été le premier créé en France et qu’une quarantaine departenaires économiques, de l’amont et de laval sont associésà cette structure.Zoom sur des filières émergentesAu total, une trentaine derendez-vous est fixée, à destination des professionnels, avecdes thèmes aussi divers que les besoins des marchés, lesaspects techniques et agronomiques, la commercialisation endirect, les aides Pac et les démarches à effectuer. Toutes lesfilières sont représentées. Certaines, émergentes, seront

mises en avant, à l’image la luzerne bio. Il s’agit de monter les intérêts de cette culture dans une rotation, demieux connaître les débouchés en circuits courts, en circuits longs. Cette journée se déroulera le vendredi 28novembre, à Verdille (16), à la société Durepaire. Autre filière, celle 100 % sans gluten, avec une journéedédiée, le mercredi 12 novembre, à Champdeniers (79), avec la société Alisa.Dans le département, lemaraîchage et la viticulture seront proposés à travers des visites et des tables rondes (lire encadré). «Enviticulture, depuis quatre ans, on assiste à une demande de plus en plus importante, notamment sur le littoral.Les exploitants liés à des coops proposent une gamme de produits diversifiés et s’intéressent de plus en plus àla bio» explique Karine Trouillard, en charge de la conversion bio au Gab 17.

Lire la suite dans notre édition du 31 octobre

Dans le département

- Mardi 4 novembre, aux Serres des Anglois, à Angoulins sur Mer, pour aborder la qualité d’uneproduction de légumes bio, «comment optimiser la rentabilité économique de son exploitation enlégumes bio ?»- Jeudi 20 novembre, à la coop viticole de St Pierre d’Oléron, à partir de 9 h : «quelles opportunitéspour les coopérateurs de l’union des coops oléronnaises ?» et l’après midi, à partir de 14 h,témoignage de Pascal Favre, viticulteur qui a converti son exploitation en bio. Renseignementssur le programme complet : www.penser-bio.fr

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L’agriculteur Charentais24 octobre 2014

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Deux-Sèvres

visuel mois de la bio; ABPC

Productions bio ABPC

Visite de l'EPLEFPA de L'Oiselleriechez Pascal Rousteau à Bréville(16) ABPC

Claire Tessier

Télécharger les documents : Programme Mois de la bio 2014 (PDF - 757,86 ko)

13/10/14Deux-Sèvres - Agriculture biologique

3ème édition du Mois de la Bio

Depuis 2012, le Pôle conversion bio organise pendant un mois une trentaine de journées destinées aux professionnels de l'agriculture. Besoins des marchés,aspects techniques et agronomiques, commercialisation en direct, aides PAC et démarches à effectuer, autant d'exemples de thèmes qui sont abordés dans toutesles filières régionales.Comment les productions bio se valorisent-elles ? Comment les revenus sont-ils assurés ? Quels sont les résultats techniques ? La bio est-elleenvisageable sur mon exploitation ?Des agriculteurs, des techniciens spécialisés et les opérateurs économiques, toutes filières confondues informent lesprofessionnels et répondent à leurs questions lors des 25 événements proposés.

Le mois de la bio : les rencontres pour les "pro" !

Nous avons cherché à proposer aux professionnels de l'agriculture un programme qui combine :

- La présentation des filières "porteuses" en agriculture biologique : celles où les opérateurs économiques partenaires du pôle nousenvoient des signaux positifs !

- La conduite d'une exploitation agricole en bio d'un point de vue, technique, économique et humain.

A titre d'illustration :

Les coopératives et négociants en céréales et oléoprotéagineux recherchent de la production biologique. Actuellement 8 000 hectares seraient nécessaires sur legrand ouest pour satisfaire les besoins en alimentation animale (volailles principalement.)

La filière viande, bovine et ovine, qui s'est structurée ces dernières années recherche également des animaux. Les consommateurs diminuent globalement leurconsommation de viande mais la part de la viande de qualité augmente.

Les transformateurs bio ouvrent les portes de leurs entreprises en montrant la valorisation des produits.

Des agriculteurs témoignent, et avec des démonstrations, des résultats d'essais, ils développent des solutions techniques innovantes. En production végétale, desfaçons culturales permettent d'augmenter la fertilité des sols et de gérer l'enherbement. Pour les élevages, ils maitrisent l'alimentation et la reproduction dans lerespect du règlement de l’agriculture biologique.

Des producteurs envisagent leur métier autrement, avec la maitrise de la commercialisation de leurs produits, et la rencontre avec les consommateurs qui sont deplus en plus nombreux à souhaiter une production de proximité et de qualité. Ceci est particulièrement vrai sur les productions de légumes, viticulture, volailles, viandedécoupée et vendue en direct. (renvoi aux évènements 7 à 11, et 24 à 26 du programme)

Une nouvelle politique agricole commune et un soutien des collectivités qui facilitent la période d'adaptation de l'entreprise et du producteur vers la bio. En effet, lacompensation financière est revalorisée pour les productions de notre région. L'aide à la conversion en céréales et oléoprotéagineux passe de 200 à 300 € euros del'hectare. La puissance publique envoie donc un signal fort aux agriculteurs.

Pour les futurs agriculteurs, des actions en direction des établissements de formation

La mission du Pôle conversion est de développer les conversions à l’agriculture biologique, aujourd'hui mais également à moyen et longterme. En ce sens, la formation et la sensibilisation des futurs professionnels agricoles sont intégrés au projet de développement de labio.D'autre part, le ministère de l'agriculture et plus particulièrement son réseau éducatif "Formabio" font partie des partenairesinconstitutionnels du pôle conversion bio Poitou-Charentes.

Dans ce contexte, il nous est apparu essentiel de proposer spécialement des actions pour ces publics d'apprenants et de formateurs.Ilsplébiscitent chaque année ces rencontres avec les agriculteurs bio de la région. L'an dernier 300 élèves, étudiants, ou stagiaires ont ainsiété accueillis avec quarante enseignants et formateurs du ministère de l'agriculture, des établissements publics et privés.

Sept fermes biologiques ouvriront leurs portes cette année et l'objectif est inchangé :

Consacrer une demi-journée pour approcher un système biologique, visiter une entreprise et échanger avec un producteur et un technicien sur les résultats technico-économiques.

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Deux-Sèvres - Agriculture

Agrobiologie : la preuve par dix27/10/2014 05:32

Nous l'écrivions récemment – NR du 15 octobre –, le mois du bio est organisédu 3 au 28 novembre par le pôle conversion bio Poitou-Charentes. Cetteinstance partenariale est initiée par le réseau bio et les chambres d'agricultures.

Dix rendez-vous sont programmés en Deux-Sèvres : vendredi 7 novembre de 11 h à16 h chez Alain Fradin à « Semoussais » à Aubigné, autour de la production devolailles et céréales bio ; mercredi 12 à 14 h chez Alisa à Champdeniers, pour unefilière céréalière et oléoprotéagineuse sans gluten ; jeudi 13 à 10 h à l'atelier dedécoupe Sovileg à Thouars et à 14 h à la ferme de Philippe Pousin à « Luneaux » àTessonnière, pour un marché ovin viande rémunérateur ; les 13, 19 et 28 novembre àla chambre d'agriculture, pour une formation sur la base d'un projet de maraîchage bio ; vendredi 14 de 14 h à 16 h 30 à EARL La Foye à Vasles, pour la filière viande bovinebio ; mercredi 19 de 14 h à 17 h à l'atelier de découpe de la SVEP à la ZAC de laBressandière à Châtillon-sur-Thouet ; jeudi 20 de 10 h à 12 h au centre Brillaud àSecondigny, pour une réunion d'information sur la conversion et les aides bio ; lundi24 de 14 h à 17 h chez Gaël Marchand à « Puy-Gazard » à Combrand, pour la racelimousine ; mardi 25 de 9 h à 17 h à Parthenay, pour un colloque sur l'élevage bio ;jeudi 27 de 14 h à 17 h chez M. Aminot, GAEC Le Tureau à Tessonnière, pour laproduction de lait de vache bio.

Plus de détails sur www.penser-bio.fr/ -le-mois-de-la-conversion

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A l'atelier de découpe Sovileg à Thouars le 13 novembre.

Le reste de l'Actualité en vidéo : La fusée Antares explose peu après son décolla

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Dix rendez-vous sont programmés en Deux-Sèvres :

vendredi 7 novembre de 11 h à 16 h chez Alain Fradin à « Semoussais » à Aubigné, autour de la procéréales bio ;

mercredi 12 à 14 h chez Alisa à Champdeniers, pour une filière céréalière et oléoprotéagineuse sans g

jeudi 13 à 10 h à l'atelier de découpe Sovileg à Thouars et à 14 h à la ferme de Philippe PousTessonnière, pour un marché ovin viande rémunérateur ;

les 13, 19 et 28 novembre à la chambre d'agriculture, pour une formation sur la base d'un projet de ma

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jeudi 20 de 10 h à 12 h au centre Brillaud à Secondigny, pour une réunion d'information sur la conversio

lundi 24 de 14 h à 17 h chez Gaël Marchand à « Puy-Gazard » à Combrand, pour la race limousine ;

mardi 25 de 9 h à 17 h à Parthenay, pour un colloque sur l'élevage bio ; jeudi 27 de 14 h à 17 h chez Tureau à Tessonnière, pour la production de lait de vache bio.


Le mois du bio pour encourager les conversions

Le lancement de l'opération régionale (du 3 au 28 novembre) a été annoncé mardi matin chez Alexiséleveurs bovins, producteurs de lait bio à Tessonnière.Avec 2,7 % de la surface utile, l’agriculture biologique peine, malgré la demande des consommateurs,le 3 e Mois de la conversion.

L'offre est toujours inférieure à la demande. Le bio, c'est un vrai marché et une réelle opportunité territoires. Président d'Agrobio Poitou-Charentes, Guillaume Riou, de Marigny, est conscient qu'avecagricole utile et 3,5 % des exploitants dans la région (2,8 % et 262 exploitants dans les Deuxbiologique n'est pas suffisamment implantée. « Elle représente une diversification et un défi techniquejeunes », a observé hier matin à Tessonnière Yann Liaigre, président départemental, à l'occasion 3eMois de la bio et de la conversion sur la ferme d'élevage d'Alexis et Jean-Luc Aminot.

10 rendez-vous en Deux-Sèvres

Comme en 2012 et 2013, la fédération régionale de développement de l'agrobiologie, dans sa missionpromotion des actions de développement, accompagne l'organisation, par son pôle conversion bijournées destinées aux professionnels de l'agriculture, dont 10 rendez-vous en Deux-Sèvres. Parmfigurent les besoins commerciaux, l'agronomie, la vente en direct, les aides européennes. Derrière cdes questions fondamentales : quelle valorisation pour le bio ? Pour quels revenus ? Avec quels réenvisageable sur mon exploitation ?Cette fois, l'accent sera mis sur les céréales et oléoprotéagineux, avec une forte implication desnégociants, sur la filière viande, bovine et ovine, avec un colloque régional sur l'élevage bio, sur le males meilleures pistes de commercialisation, avec une journée régionale « légumes », sur l'augmentationla conversion à l'agriculture biologique, sur la formation des futurs agriculteurs, avec plus de 300 élèvformation professionnelle attendus sur des fermes bio.

Bourse aux vêtements àVasles

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mardi 25 de 9 h à 17 h à Parthenay, pour un colloque sur l'élevage bio ; jeudi 27 de 14 h à 17 h chez Tureau à Tessonnière, pour la production de lait de vache bio.


Le mois du bio pour encourager les conversions

Le lancement de l'opération régionale (du 3 au 28 novembre) a été annoncé mardi matin chez Alexiséleveurs bovins, producteurs de lait bio à Tessonnière.Avec 2,7 % de la surface utile, l’agriculture biologique peine, malgré la demande des consommateurs,le 3 e Mois de la conversion.

L'offre est toujours inférieure à la demande. Le bio, c'est un vrai marché et une réelle opportunité territoires. Président d'Agrobio Poitou-Charentes, Guillaume Riou, de Marigny, est conscient qu'avecagricole utile et 3,5 % des exploitants dans la région (2,8 % et 262 exploitants dans les Deuxbiologique n'est pas suffisamment implantée. « Elle représente une diversification et un défi techniquejeunes », a observé hier matin à Tessonnière Yann Liaigre, président départemental, à l'occasion 3eMois de la bio et de la conversion sur la ferme d'élevage d'Alexis et Jean-Luc Aminot.


Comme en 2012 et 2013, la fédération régionale de développement de l'agrobiologie, dans sa missionpromotion des actions de développement, accompagne l'organisation, par son pôle conversion bijournées destinées aux professionnels de l'agriculture, dont 10 rendez-vous en Deux-Sèvres. Parmfigurent les besoins commerciaux, l'agronomie, la vente en direct, les aides européennes. Derrière cdes questions fondamentales : quelle valorisation pour le bio ? Pour quels revenus ? Avec quels réenvisageable sur mon exploitation ?Cette fois, l'accent sera mis sur les céréales et oléoprotéagineux, avec une forte implication desnégociants, sur la filière viande, bovine et ovine, avec un colloque régional sur l'élevage bio, sur le males meilleures pistes de commercialisation, avec une journée régionale « légumes », sur l'augmentationla conversion à l'agriculture biologique, sur la formation des futurs agriculteurs, avec plus de 300 élèvformation professionnelle attendus sur des fermes bio.

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Métiers d'hommes, métiers de femmes

Il se masturbait au travail devant sa collègue

Incendie dans une chèvrerie : deux hangars détruits

AGRICULTEURS Réunions sur la directive nitrates

" Battle gourmande " au foie gras et homard...

Deux-Sèvres - Agriculture

Le mois du bio pour encourager les conversions15/10/2014 05:38

Avec 2,7 % de la surface utile, l’agriculture biologique peine, malgréla demande des consommateurs, à faire son trou. D’où le 3 e Moisde la conversion.

L'offre est toujours inférieure à la demande. Le bio, c'est un vrai marché et uneréelle opportunité économique pour les territoires. Président d'Agrobio Poitou-Charentes, Guillaume Riou, de Marigny, est conscient qu'avec 2,7 % de lasurface agricole utile et 3,5 % des exploitants dans la région (2,8 % et 262 exploitantsdans les Deux-Sèvres), l'agriculture biologique n'est pas suffisamment implantée.« Elle représente une diversification et un défi technique, notamment pour lesjeunes », a observé hier matin à Tessonnière Yann Liaigre, président départemental, à

l'occasion de la présentation du 3e Mois de la bio et de la conversion sur la fermed'élevage d'Alexis et Jean-Luc Aminot.


Comme en 2012 et 2013, la fédération régionale de développement de l'agrobiologie,dans sa mission de coordination et de promotion des actions de développement,accompagne l'organisation, par son pôle conversion bio, d'une trentaine de journéesdestinées aux professionnels de l'agriculture, dont 10 rendez-vous en Deux-Sèvres.Parmi les thèmes abordés figurent les besoins commerciaux, l'agronomie, la vente endirect, les aides européennes. Derrière ces têtes de chapitre, des questionsfondamentales : quelle valorisation pour le bio ? Pour quels revenus ? Avec quelsrésultats ? Le bio est-il envisageable sur mon exploitation ?Cette fois, l'accent sera mis sur les céréales et oléoprotéagineux, avec une forte implication des coopératives et des négociants, sur la filière viande, bovine et ovine, avec uncolloque régional sur l'élevage bio, sur le maraîchage diversifié et les meilleures pistes de commercialisation, avec une journée régionale « légumes », sur l'augmentation desaides dédiées à la conversion à l'agriculture biologique, sur la formation des futurs agriculteurs, avec plus de 300 élèves ou stagiaires de la formation professionnelle attendussur des fermes bio.

Programme téléchargeable sur www.penser-bio.fr


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Le lancement de l'opération régionale (du 3 au 28 novembre) a été annoncé mardi matin chezAlexis et Jean-Luc Aminot, éleveurs bovins, producteurs de lait bio à Tessonnière.

Le reste de l'Actualité en vidéo : Marine Le Pen: le changement de nom du Fron

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La Nouvelle République15 octobre 2014

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LUNDI 1 DÉCEMBRE 2014 | 17H11



Pierre Sabourin concrétise son rêve de théâtre

Appel aux bénévoles pour le portage

Sans le sou, il laisse mourir son molosse

Un motard de haut niveau a été reçu à la mairie

Coupe de France : Bressuire sourit, Istres grimace

Deux-Sèvres - Parthenay - Agriculture

L'élevage bio veut rattraper un retard important27/11/2014 05:35

L’agriculture biologique a mis en avant ses atouts, tout au long dece mois. Mardi, à Châtillon, c’est l’élevage qui était au centre despréoccupations.

Comment l'agriculture biologique peut-elle soutenir l'élevage dans un contexteextrêmement difficile pour la production de viande ? » C'est cette question qui aété placée au centre de la réflexion, ce mardi, lors du colloque organisé parAgroBio, l'organisme de développement de l'agriculture biologique. « Avec encorollaire, poursuit Guillaume Riou, président d'AgroBio Poitou-Charentes, des'interroger sur la façon dont l'élevage peut apporter un plus dans le système del'agriculture biologique. Une agriculture qui veut s'inscrire dans un système deréflexion globale où le respect des équilibres est essentiel et où l'on retrouve desmaîtres mots comme autonomie et agronomie. Et dans cette réflexion globale autourde l'agriculture biologique, il est évident que l'élevage bio prend toute sa place ! »

Une demande en hausse de 5 % par an

Ce n'est donc pas par hasard que la Gâtine, terre d'élevage par excellence avait étéchoisie. « On se trouve ici dans un bassin de production et qui possède des instruments de transformation et des acteurs économiques qui sont nos partenaires dans cetteinitiative. Le tout dans un contexte régional favorable au développement de la filière biologique avec notamment la volonté de rattraper un retard bien réel puisqu'en Poitou-Charentes, la surface agricole en bio ne représente que 2,5 % de la surface totale, soit moitié moins par rapport à la moyenne nationale. Et très loin des objectifs affichés parle ministre de l'agriculture qui souhaite voir, en France, cette surface de 5 % en bio, passer à 10 % en 2017. Pour parvenir, à 20 % en 2020, objectif inscrit dans le Grenelle del'environnement ».Mais Benoît Biteau, vice-président régional d'AgroBio se veut confiant dans le développement de la filière : la demande est bien réelle et elle est croissante. Elle s'affiche même à+ 5 % par an pour la viande bovine et ovine bio, alors que le marché est plutôt en régression. « En Poitou-Charentes, la dynamique de développement est là. Mais nous neserons évidemment pas à 10 % en 2017. L'objectif, c'est plutôt autour de 5 %, soit le doublement. Et même dans une région comme celle-ci où la production d'une viande dequalité comme celle de la Parthenaise, permet déjà de mieux valoriser la production, c'est en limitant ses coûts que l'agriculteur est gagnant de se convertir en bio. »Mais la filière bio n'a pas que des objectifs économiques, loin de là : « On se satisfait évidemment de ce développement. Mais nos logiques à nous sont surtout des logiques deprévention. Autour de la qualité de l'eau, du respect de la biodiversité et des équilibres, de la santé et du climat. D'une agriculture paysanne et pourvoyeuse d'emplois,aussi. »Des arguments qui devraient intéresser…


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L'élevage bovin bio a aussi le vent en poupe. - (Photo archives NR)

Le reste de l'Actualité en vidéo : France : des patrons battent le pavé contre les

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La Nouvelle République27 novembre 2014

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LUNDI 24 NOVEMBRE 2014 | 08H19



Neuville : le nouveau centre commercial gagne du terrain

POITIERS Les cambrioleurs des Restos du coeur arrêtés

Les voleurs écoulaient sur une brocante

ingrandes

Que reste-t-il des projets routiers de Ségolène Royal ?

Vienne - Ingrandes - Ingrandes

Découverte de la société Ekoranda22/11/2014 05:34

Fin 2013, il a été décidé de transformer les céréales avec un nouveau procédépar extrusion sur le site Terrena d'Ingrandes. Ce dernier utilise la cuisson descéréales sans séparer la matière grasse et prépare l'aliment pour une meilleuredigestion des animaux. L'entreprise a modifié ses chaînes de production poursatisfaire la demande forte du marché d'oléoprotéagineux bio destinés à l'alimentationanimale. Pour mettre en place sa nouvelle filière, Terrena s'est rapprochée de lasociété Valorex d'Île-et-Vilaine et Sofiprotéol pour créer ensemble la société Ekoranda.

L'usine tourne déjà à plein régime

Le Pôle conversion bio régional, en partenariat avec la coopérative Terrena, aproposé une journée découverte dédiée aux céréales et oléoprotéagineux bio dans laVienne. Mardi, tous les agriculteurs qui souhaitaient découvrir la nouvelle entité, sesbesoins et ses réalisations ont été reçus par Gilles Rambault, responsable agriculturebio, aidé de Didier Nocquet, responsable production, tous deux de chez Terrena. Ilsont présenté la nouvelle société puis ont proposé une visite.Les lin, lupin et soja forment la base de leur besoin pour être transformés ensuite engranulés suivant la demande des clients. L'usine tourne actuellement en trois huit, cequi représente une douzaine d'emplois sur le site. Les commandes sont traitées etlivrées en 48 heures. La prévision des 500 hectares de culture de lin pour l'année encours a atteint en réalité 1.100 hectares, ce qui diminue d'autant les importations dugroupe Terrena, qui souhaite s'approvisionner en production bio régionale. La production de l'usine de l'année 2014 utilisera de 25.000 à 30.000 tonnes de céréales produites enpartie localement. Elle tourne au maximum de sa capacité de transformation actuelle. Le bio est traité pour l'instant dans l'usine de la société Valorex, qui ne peut produire lesgranulés traditionnels. Le site d'Ingrandes a la capacité de changer de production sur la même chaîne à tout moment.


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Participants et organisateurs lors de la visite de la société Ekoranda.

Le reste de l'Actualité en vidéo : Juppé-Sarkozy: le match a commencé

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SOMMaiRE

Vienne

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LUNDI 17 NOVEMBRE 2014 | 19H04



Un salon pour se marier et faire la fête

Il prend un coup de couteau et c'est un peu de sa faute

Une loggia qui change la vie des locataires de Beaulieu

JUSTICE Les décisions du tribunal de commerce

Les amateurs peuvent-ils entretenir leur corps aussi facilement que lessportifs professionnels ?

Vienne - Ingrandes -

ingrandes17/11/2014 05:20

> Agriculture bio. Le Pôle conversion bio régional, en partenariat avec la coopérative Terrena, invite tous les agriculteurs à Ingrandes sur Vienne le mardi 18 novembrepour une journée dédiée aux céréales et oléoprotéagineux bio dans la Vienne. Programme de la journée : le matin à partir de 9 h 30, présentation des techniques grandescultures, aides PAC et filières biologiques ; l'après-midi dès 14 h : visite de la nouvelle usine Ekoranda de cuisson extrusion des oléoprotéagineux. S'inscrire auprès de ClaireTessier, par mail pô[email protected] – pat téléphone au 05.49.29.17.17. Pour plus d'info et inscriptions en ligne : www.penser-bio.fr/Mois-de-la-conversion-bio-2014.


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Châtellerault | 17/11/2014

AgendaCanton de Châtellerault. Nicole Runfola, tél. 06.0...

Le reste de l'Actualité en vidéo : Le Français Maxime Hauchard, 22 ans, bourreau

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52La Nouvelle République


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52Chambre d’agriculture 86

15 septembre 2014SOMMaiRE

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Revue de presse "Mois de la bio 2014"

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