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Revue de presse du 22 Mai 2017

Pressespiegel vom 22. Mai 2017

Rassegna stampa 22. Maggio 2017

Date: 22.05.2017

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20 minutes Lausanne1001 Lausanne021/ 621 87 87www.20min.ch/ro

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 111'563Parution: 5x/semaine N° de thème: 042.001

Ordre: 3003849Page: 42Surface: 13'033 mm²

Référence: 65427210

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Cotture (en bleu) contre Kovac: le second l'a emporté.

Lions gagnants d'un rienBASKETBALL La finale se rapproche pour la troupede Jean-Marc Jaumin, désormais à une victoire dubut. Grâce à un succès obtenu à l'arraché hier auPommier (79-77), les Lions de Genève mènent 2-1dans leur demi-finale de LNA face à FribourgOlympic. Fait surprenant: les visiteurs n'ont toutsimplement obtenu aucun lancer franc! Une si-tuation rare, à mettre notamment sur le compte

de la tactique des Genevois, qui ont forcé leursadversaires à tirer de loin. Ce que les Fribourgeoisont plutôt bien fait, Jérémy Jaunin en tête avec unjoli 4 sur 6, avant que Derek Wright ne manquela cible dans les dernières secondes. En face, Ro-berto Kovac (19 points) et Marko Mladjan (16) ontrappelé que les joueurs suisses pouvaient aussiêtre décisifs. Acte W demain, encore à Genève.Dans l'autre demi-finale, Lugano a mis Montheyau pied du mur (2-1 dans la série). -LMO, GENÈVE

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Ticino

20 minuti Ticino6932 Breganzona091/ 985 70 38www.20minuti.ch





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Tigers avanti 2-1BASKET. Il Lugano,

di scena all'Elveti-co, ha vinto gara-3della semifinaledei playoff. Trasci-nati da TristanCarey (43

punti), i Tigershanno scon-fitto il Monthey77-72 portando-si sul 2-1 nella

serie (best-of-five). Il prossi-mo incontro èin program-ma martedìancora

all'Elvetico(19.30).

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24 Heures Lausanne1001 Lausanne021/ 349 44 44www.24heures.ch





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pion de LNB, VeveyRiviera tenté par la LNA

Samedi aux Galeries, les joueurs veveysans ont pu célèbrerune très belle victoire face à Nyon.

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Gérard Bucher Vevey

Les hommes dePaolo Povia n'ontfait qu'une bouchéede Nyon lors dumatch décisif de lafinale. Mais l'avenirest encore incertainLes Galeries du Rivage étaient gar-nies comme au bon vieux temps(ou presque) pour assister au sa-cre de Vevey Riviera Basket,champion national de deuxièmedivision. Un honneur qui ne luiétait pas revenu depuis que leclub de la Riviera était descendude Ligue A, en 2007. Plus collectifset plus déterminés que les Nyon-nais, les joueurs de la Rivieran'ont pas laissé l'ombre d'unechance à leurs contradicteurs. Ilsont même compté jusqu'à31 points d'avance à la 32e minute(70-39). A vrai dire, il n'y a jamaiseu de match entre deux forma-tions qui disputaient leur cin-quième face-à-face lors de cettefinale des play-off.

«C'est sur le plan physique quenous leur avons été supérieurs,analysait à chaud Jérôme Stucheli,meneur du VRB. Nous n'avonspas connu de trou d'air non plus.Je suis heureux pour ce club quiparvient à créer une telle émula-tion autour de lui. L'ambiancedans les tribunes et dans la galeriequi surplombe le parquet était in-croyable.» Stucheli sait de quoi ilparle puisque cela fait trois sai-sons de suite qu'il lève les bras auciel au terme de l'exercice de laLigue B. A deux reprises sous lemaillot du BBC Lausanne en 2015et 2016. «Je dois être une sorte deporte-bonheur», sourit-il.

Paolo Povia insistait pour sapart sur le travail accompli tout aulong de l'année. «Ce titre, ce n'estpas un cadeau, on l'a mérité, sou-lignait le coach italien de Vevey

Riviera Basket. Cette dernièreétape est l'aboutissement d'unlong voyage. Nous avons toujourssu réagir intelligemment aprèsune défaite (ndlr: 5 au total).C'était notre marque de fabriquecette saison.»

Dans l'autre camp, les têtesétaient nettement plus basses. Araison. «C'est une fin amère pournous, relevait Gino Lanisse, pivotdu BBC Nyon. Les Veveysans ontconnu pas mal de réussite. Ilsétaient chez eux. C'est le jeu.» Xa-vier Paredes, dont c'était le matchd'adieu, n'y allait pas par quatrechemins, en revanche: «On s'esttout simplement fait marcher des-sus, admettait-il. Quand noussommes dans la difficulté, nousavons trop souvent tendance àévoluer de manière individuelle.»En clair, tout tourne trop autourde l'Américain Marvin Owens.

Présidente du BBC Nyon, Bar-bara Pythoud-McAllister était mal-gré tout fière de ses protégés.«C'était une belle série, tranchait-elle. On la gagnera l'année pro-chaine.»

Sponsors tentés?Une fois les cotillons retombés, etbalayés, il s'agira pour les diri-geants de Vevey Riviera de se po-ser la question de la montée enLNA. «Nous allons tout faire pour

qu'elle se réalise, s'enthousias-mait René Gubler, un présidenttrempé jusqu'aux os par la tradi-tionnelle douche imposée par lesjoueurs. Nous le devons auxjoueurs et à nos supporters. Toutest réuni pour la promotion, hor-mis un budget idoine. Il nousmanque 200 000 francs pourpouvoir évoluer à l'étage supé-rieur. Nous possédons une sallefantastique, mythique même, etun public extraordinaire. Au-jourd'hui, à Vevey, quand onparle sport, on parle basket. Il fautle savoir. Cela devrait inciter quel-ques sponsors à nous rejoindre.»

Dans les années 50, il existait,en basket, un challenge Nestlé...Dommage que cette multinatio-nale, par peur de devoir arroserles autres clubs de la Riviera, nesoutienne pas davantage le clubphare de la ville.

Vevey - Nyon 82-55 (43-25)(18-15 25-10 20-1219-18)Galeries du Rivage.1250 spect.Arbitres: MM. Hjartarson et Pillet.Vevey: N'Diaye (12), Kashama (13),

Boveda (9), Tolusso, Touré (17);Studer (3), Pessoa, Stucheli (6),Barapila (8), Rajic (12), Andreoli,Ferrari (2).Nyon: Stalder (7), Wolfisberg (10),Ivanovic (5), Lanisse (6), Owens (14);Paredes (6), Dufour (3), Sylla,Zaninetti (3), Eyenga, Moujaes.Stenstrôm (1).Situation finale dans la série:Vevey - Nyon 3-2.

«Nous allons toutfaire pour quela montée en LNAse réalise. Nous ledevons aux joueursainsi qu'à nossupporters»René Gubler Présidentdu Vevey Riviera Basket

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Un nom enfin trouvé?

Dans les coulisses desGaleries, les rumeurs allaientbon train au sujet de la possibleabsorption du BBC Lausannepar Pully Basket.

Lundi 29 mai, l'assembléegénérale de Pully Basket devraitentériner - ou non - un projetqui permettrait à la formationphare du futur club de bénéfi-cier d'un budget «signé» de650 000 francs et d'un entraî-neur, Randoald Dessarzin, auréseau inestimable.

Sans compter un président,Serge Vittoz, de première force.La Ligue A se disputerait doncen alternance à la Vallée de laJeunesse et à Arnold-Reymond.Aux dernières nouvelles, lanouvelle entité, et principalepierre d'achoppement, s'appel-lerait Pully-Lausanne Basket.Un compromis, discuté lasemaine dernière entre toutesles parties, susceptible deconstituer une majorité.A vérifier toutefois!

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La Liberté1705 Fribourg026/ 426 44 11www.laliberte.ch





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Encore battus par Genève, les Fribourgeois doivent gagner demain, puis jeudi pour atteindre la finale

Oly pic n'a plus le droit à l'erreur

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WestherMolteni(à gauche)se casse lesdents surChristopherBraswell LesFribourgeoisont encore unefois beaucoupsouffert dansle jeu intérieur.Keystone

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FRANÇOIS ROSSIER, GENÈVE

Basketball » Battu mardi dernier à domi-cile après avoir longtemps dominé l'acte IIdes demi-finales des play-off face aux Lionsde Genève, Fribourg Olympic se devait deréagir. Sans Travis Taylor, blessé (lire ci-dessous), les Fribourgeois ont montré qu'ilsavaient du répondant. Mais malgré unebelle débauche d'énergie, les hommes dePetar Aleksic n'ont pu éviter une nouvelledéfaite (79-77) hier dans la salle du Pom-mier, non sans avoir vendangé deux ballesde match sur des tirs à trois points manquéspar Derek Wright dans les dix dernièressecondes du match.

Désormais mené 2-1 dans la série aumeilleur des cinq matches, Olympic n'a plusle droit à l'erreur. S'il veut défendre son titrede champion, il va devoir aller s'imposerdemain en terre genevoise, puis l'emporterencore jeudi à domicile lors d'un - pourl'heure hypothétique - match V. Un sacrédéfi pour Arnaud Cotture et ses coéquipiers,qui ont un peu plus de 24 heures devanteux pour résoudre le déficit athlétique queleur proposent des Lions, pas géniaux, maisvraiment géants.

27 lancers francs à 0Avec Braswell (206 cm), Mladjan (205),Ballard et Timberlake (tous deux 194 cm),sans parler des joueurs du banc, Garrett(206) et Gravet (204) en tête, les Genevoisjouent à haute altitude et contrôlent àmerveille le jeu intérieur et les rebonds(43 prises à 25 hier). Malgré toute sa bonnevolonté, Cotture, seul joueur majeurd'Olympic à plus de 2 m, ne peut régater. Eton ne parle même pas des Wright (178 cm),Jaunin (170) et Roberson (181)...Dans cesconditions, il est bien difficile pour Olympicde se frayer un chemin jusqu'au panieradverse.

Pour compenser, les Fribourgeois misentsur leurs forces: vitesse et adresse en attaque,agressivité en défense. Une tactique qui abien failli fonctionner. Privilégiant le jeu enisolation avec des shoots à longue ou à mi-distance, les visiteurs se sont accrochés avecbrio. A l'énergie, ils ont effacé un premier

quart d'heure compliqué (33-25, 13e). Enprovoquant les balles perdues adverses(19 au total) et en arrosant généreusementà 3 points (13 paniers primés), ils se sontmême octroyé 7 points d'avance (38-45,21e). Un écart rapidement comblé par lesGenevois, qui ont forcé la décision lors du«money time» grâce notamment à un Mar -ko Mladjan inspiré. Peu aidé par un trio arbi-tral qui a favorisé le jeu physique des Lionsau point de ne pas accorder le moindre lan-cer franc aux visiteurs (!), Olympic, aprèsavoir longtemps vécu grâce à ses tirs exté-rieurs, est mort à cause de ses tirs extérieurs.«27 lancers francs à 0! Je n'ai jamais vu ça.C'est assez incroyable. Il va falloir être encoreplus agressif mardi», commente ArnaudCotture, l'ailier d'Olympic, forcément mar-qué par ce nouveau revers. «Au terme dumatch 2, nous ne pouvions nous en prendrequ'a nous-mêmes. Aujourd'hui (hier, ndlr),nous nous sommes bien battus, mais nousperdons de deux points. C'est dur...»

«Juste une étape»Au terme de cette bataille acharnée, lesGenevois ne se sont pas emballés. «Ce n'estpas un grand pas vers la finale. C'est justeune étape de plus. Il n'est jamais évident degagner contre Fribourg. Cela ne l'a pas étélors de ce match III et cela ne le sera pas lorsdu match IV», réagit Paul Gravet, l'intérieurdes Lions, qui doivent une fière chandelle àRoberto Kovac (19 points) et Marko Mla-djan (16), deux anciens Fribourgeois qui ontfait très mal à Olympic.

Touché mais pas coulé, Olympic aurabesoin de tout son monde demain pour pro-longer sa saison. Avec un trio d'Américainsqui a joué deux fois moins que le quatuord'étrangers des Lions, un jeu intérieur ensouffrance et deux jeunes de 22 ans (Cot-ture et Jurkovitz) dans son cinq de base,Petar Aleksic va devoir se montrer créatifpour gommer les lacunes de son équipe.«Avec des effectifs aussi différents, noussommes obligés de nous adapter... Nousallons donner le maximum et nous verronsbien...», souffle le coach d'Olympic. »

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LNA PLAY-OFF

Quarts de finale

Fribourg Olympic (1a) - Swiss Central (8e) 3 -0Lions de Genève (4e) - Union Neuchâtel (5e) 3 - 1

Lugano Tigers (3e) - Starwings Bâle (6e) 3 -0Monthey (2e) - Lausanne (7e) 3 -0

Demi-finales au meilleur des 5 matches

Fribourg Olympic (1") Lions de Genève (4 ) 1 -2

67 - 53 I 88 - 96 I 77 - 79 I

Monthey (2 ) - Lugano Tigers (3 ) 1 -2

90 - 78 1 69 - 81 1 72 - 77 I

DATES DES MATCHES

Lugano l'emporteLigue A Grâce à leur AméricainTristan Carey auteur de 43 points,les Lugano Tigers ont dominé Mon-they 77-72 dans l'acte III des demi-finales des play-off. Ils mènent 2-1dans la série. Avec notamment7 paniers à 3 pts, Carey a su serendre indispensable. Et dans lesderniers instants de la partie, il n'apas tremblé au moment de réussirles lancers francs décisifs. » AT5

LUGANO - BBC MONTHEY 77-72

(24-15 21-18 15-21 17-18) 400 spectateurs.Lugano Tigers: A. Louissaint, Carey (43), Stoc-kalper (12), Williams (15), Everett (5); West,Steinmann (2).Monthey: Efevberha (21), Maza (10), Dubas(13), Humphrey (10), Young (14); Heath,Maruotto (4), Fritschi.

LNB MASCULINE

Sa Ma Sa/Di Ma Je Play-off, finale (au meilleur des cinq13.05 16.05 20-21.05 23.05 25.05 matches). Acte V: Vevey Riviera - Nyon 82-55

(43-25); Vevey remporte la série 3-2.

LNA PLAY-OFF

Quarts de finale

Fribourg Olympic (11 - Swiss Central (8e) 3 -0Lions de Genève (4e) - Union Neuchâtel (5e) 3 -1Lugano Tigers (3e) - Starwings Bâle (6e) 3 -0Monthey (2e) - Lausanne (7e) 3 -0

Demi-finales au meilleur des 5 matches

Fribourg Olympic (1") - Lions de Genève (4 ) 1 -2

67 - 53 88 - 96 I 77 - 79 I

Monthey (2 ) - Lugano Tigers (3 ) 1 -2

90 - 78 1 69 - 81 1 72 - 77 I

DATES DES MATCHES

Sa Ma Sa/Di Ma13.05 16.05 20-21.05 23.05

Je25.05

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COUP PAR COUP

COUP DE MASSUETouché à une cheville mardilors du 2e match, Travis

Taylor a assisté en civil à l'acte III decette demi-finale contre les Lions deGenève. Le topscoreur américain duFribourg Olympic, qui tournait à plusde 15 points et 8 rebonds demoyenne cette saison, a laissé ungrand vide dans la raquette fribour-geoise. «C'est notre habituel pointd'ancrage», rappelle le capitaineArnaud Cotture. Ses coéquipiers sesont bien battus pour tenter de lefaire oublier, mais, s'il entend prolon-ger un peu sa saison, Olympic, domi-né 43-25 au rebond, aura besoin deTaylor. Dès demain pour l'acte IV?«C'est une bonne question. On vadire que c'est du 50-50», répondl'entraîneur Petar Aleksic.

COUP DE CHAPEAUDepuis le début de cettedemi-finale, les Lions de Ge-

nève ont décidé de laisser de la place,beaucoup de place à Jérémy Jauninpour l'inciter à shooter à 3 points enespérant que le meneur de jeu, pastoujours très adroit, rate ses tirs. Unetactique qui avait bien fonctionné lorsdes acte (0/5 à 3 points) et (0/2).De quoi faire cogiter Jaunin, qui a...répondu de la plus belle des ma-nières hier avec un superbe 4/6 der-rière la ligne des 6 m 75! «Tout sejoue dans la tête. Malgré mes échecs,j'ai continué à y croire, car je sais queje suis capable de marquer à troispoints», raconte Jaunin, tout sourire.Les Lions vont-ils changer de tac-tique? «Il va falloir s'adapter un peu»,lâche le coach Jean-Marc Jaumin. FR

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SÉRIE NOTRE AVIS

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LIONS DE GENÈVE -FRIBOURG OLYMPIC 79-77(22-17 16-24 22-17 19-19) Salle du Pommier,Grand-Saconnex. 1285 spectateurs. Arbitres: Mi-chaelides, Herbert et Marmy. Notes: Genève sansWilliams (blessé), Parker (surnuméraire), Olympicsans Taylor (blessé). Fautes: 15 contre Genève, 24contre Olympic Sorti pour 5 fautes: Roberson (33').Balles perdues: 19 par Genève, 6 par Olympic.

Genève pts 2pts 3pts If reb pd minBraswell 12 3/4 1/3 3/4 7 1 22Gravet 4 1/2 0/0 2/2 2 1 8Ballard 7 2/5 0/0 3/6 5 5 33Louissaint 2 0/0 0/1 2/2 2 2 17Kovac 19 0/1 4/6 7/8 2 1 35M. Mladjan 16 6/11 1/4 1/2 6 2 32Garrett 11 4/6 1/1 0/1 4 1 18Gruninger 0 0/0 0/0 0/0 2 1 7Timberlake 8 2/4 1/1 1/2 7 5 28

Totaux 79 18/33 8/16 19/27 43 19 200

FR Olympic pts 2pts 3pts If reb pd minD. Mladjan 18 3/5 4/9 0/0 3 2 26Mbala 0 0/1 0/0 0/0 0 0 3Jaunin 12 0/1 4/6 0/0 1 1 19Brown 4 2/6 0/1 0/0 1 2 15Wright 15 3/7 3/7 0/0 3 2 22Molteni 11 4/8 1/4 0/0 3 0 35Cotture 5 1/3 1/3 0/0 3 1 25Leemans 0 0/0 0/0 0/0 0 0 5Roberson 10 5/10 0/0 0/0 3 2 22Jurkovitz 2 0/0 0/0 4 0 28

Totaux 77 19/42 13/30 0/0 25 10 200

SÉRIE NOTRE AVIS

,25% >75%

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Le Matin1001 Lausanne021/ 349 49 49www.lematin.ch





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Les Lions ont remis ça

LAURENT MOREL GENÈVE

BASKETBALL Les Lions deGenève recevront demain FROlympic avec déjà une premièrepossibilité de rejoindre la finaledu championnat. Grâce à undeuxième succès d'affilée, quel-ques jours après l'improbable re-tournement de situation à Saint-Léonard (le coach genevois avaitlaissé ses joueurs, menés de16 points, face à eux-mêmes dèsla mi-temps), les hommes deJean-Marc Jaunin mènent désor-mais z -1. dans leur demi-finale.

La victoire genevoise d'hier aété cueillie dans les toutes der-nières secondes. Après un longchassé-croisé marqué notam-ment par quelques éclairs de gé-nie de Marko Mladjan et de Ro-berto Kovac, les joueurs de la Citéde Calvin ont profité de la mala-dresse fribourgeoise. DerekWright a notamment raté la mireà 2 secondes du terme de la par-tie. Une erreur rédhibitoire que latroupe de Petar Aleksic devracorriger si elle entend prétendre àune place en finale. «Nous espé-rons notamment le retour deTravis Taylor (ndlr: l'intérieur a

été touché à une cheville lors del'acte II), rappelle le technicienfribourgeois. C'est du 50 -50 ac-tuellement.»

Si Fribourg a été dominé dansla raquette (25 rebonds à 43), lestirs longue distance ont été la clédans cette partie où les visiteursn'ont bénéficié d'aucun lancerfranc! Du jamais-vu ou presque,dû notamment à la tactique miseen place par la formation de Jau-min, qui a poussé ses adversairesà tirer de loin. Cela a bien failli seretourner contre les Genevoislorsque l'enfant du club passéchez l'adversaire Jérémy Jaunin(4/6) et l'inusable Dusan Mlad-jan (4/9) ont enquillé les réussi-tes à trois points.

Perdre moins de ballonsSi les Lions entendent s'imposerdemain, ils devront égalementperdre moins de ballons que lorsde cette rencontre (19).D'ailleurs, Paul Gravet ne veutpas vendre la peau de l'ours avantde l'avoir tué: «On reste très loindu but, battre Fribourg n'est ja-mais simple, mais on aura à coeurde gagner à la maison.» Son

coach est du même avis: «On agagné une bataille, mais pas laguerre», rappelle Jean-MarcJaumin. En face, l'espoir reste demise: «On va devoir revenir avecun peu plus d'agressivité même siaujourd'hui, notre trop grandnombre de fautes nous a parfoisempêchés de nous livrer à fond»,a analysé Arnaud Cotture.

LIONS GE - FR OLYMPIC79.77 (38-41)

Le Pommier, 1285 spectateurs.Lions de Genève: Braswell (12), Ballard(7), Kayac (19), M. Mladjan (16),Timberlake (8); Gravet (4), Louissaint(2), Garrett (11), Grüniger.FR Olympic: Wright (15), Molteni (11),Cotture (5), Roberson (10), Jurkovitz (2);D. Mladjan (18), Mbala, Jaunin (12),Brown (4), Leemans.Au tableau: 5e 15-11,10e 22-17,15e 33-30,20e 38-41, 25e 48-47, 30e 60-58,35e 67-68, 40e 79-72

PLAY-OFF LNADEMI-FINALES

Samedi, acte IIILugano - Monthey 77-72 (45-33)Situation dans la série: 2-1

Hier, acte IIILions GE - FR Olympic 79-77 (38-41)Situation dans la série: 2-1

Les séries se disputent au meilleurdes cinq matches Les autres dates: demain (19.30),éventuellement jeudi 25 (19.30).

Le Fribourgeois Brown(au centre) a été muselépar la défense genevoise.

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Le Nouvelliste 1950 Sion027/ 329 75 11www.lenouvelliste.ch





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NICOLA BRIENZA«On a réalisé un pas très important, mais comme

je l'ai toujours dit, Monthey a les armes pour gagner

à Lugano. Cette fois, les petits détails ont fait la

différence. Chaque équipe a eu ses bons moments,

ce qui est normal dans des parties aussi tendues.Sur la fin, on défend mieux et on contrôle

le ballon. Il faudra reproduire ce type de match

mardi.»

LUGANO TIGERS BBC MONTHEY

77 72Istituto Elvetico, 300 spectateurs,

arbitrage de MM. Clivaz, Novakovic et Stojcev.

Lugano: Everett (5), Carey (43), Stockalper (12), Louissaint (0), Williams

(15), puis: Steinmann (2), West (0).

Monthey: Young (14), Efevberha (21), Humphrey (10), Dubas (13), Maza

(10), puis: Maruotto (4), Heath (0), Fritschi (0).

Notes: 19 fautes contre Lugano, 19 contre Monthey dont 5 à Dubas(39'06) et Young (39'26). Technique à Marin Bavcevic (30'29), antispor-

tive à Steinmann (31'26), Williams (35'36). Lugano sans Aw (blessé),

Monthey sans Barac, Sinclair (surnuméraires), Marin Bavcevic (blessé),

Niksa Bavcevic (suspendu). Sortie sur blessure de Heath (6e).Carey et Efevberha sont désignés meilleurs joueurs du match.Au tableau: 5e 14-11, 10e 24-15, 15e 32-26, 20e 45-33, 25e 55-43,

30e 60-54, 35e 65-62, 40e 77-72.

NATHAN ZANA«On rate notre première mi-temps, on n'était pasdans le rythme qu'il fallait, on ne partageait pasassez le ballon. On réagit bien après la pause, enmontrant que gagner à Lugano n'avait rien d'im-

possible. Il nous manque de la patience à la fincontre un adversaire qui comprend très bien le jeu.Si on veut s'en sortir, c'est l'équipe qui doit passerau premier plan.»

Monthey au bord de l'implosionPLAY-OFF Encore battus par Lugano, les Chablaisiens n'ont plus le droit à l'erreurdans cette série. Menés 2-1, ils joueront leur peau mardi, toujours au Tessin.

f

et

Michael Efevberha tente une percée face à Axel Louissaint. L'Américain a bien failli faire tourner le match à lui seul. KEYSTONE

LUGANO TIGERS BBC MONTHEY

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LUGANO

JÉRÉMIE MAYORAZ

39e minute de jeu, la tension està son comble. Au tableau d'affi-chage, un 71-71 de tous les possi-bles. A ce moment-là, chaquepossession, chaque geste vaut sonpesant d'or et peut décider de l'is-sue finale. Après avoir fait transi-ter le ballon par Maruotto etDubas, Young tente d'aller seul aupanier. Son essai se heurte à unmur luganais et provoque l'ired'Efevberha qui, en bonne posi-tion, n'a pas été servi, alors qu'ilvenait d'enchaîner plusieurs ac-tions de classe. Entre les deux«stars» américaines du BBCMonthey, le ton monte d'uncoup. Aux paroles déplacées suc-cèdent les actes, avec un Youngprêt à bondir sur son compa-triote, avant d'être retenu pardeux coéquipiers. Plus que toutesles autres, cette scène traduit lecauchemar vécu samedi par lesChablaisiens.

Incapables, comme mardi der-nier, de contenir les assauts àdistance des Tessinois, ceux-ciont fini par perdre leurs nerfs.Les voilà menés deux à un danscette demi-finale qui est entrain de prendre une tournuredramatique. «Dans les momentschauds, il peut arriver de craquer.Personnellement, je me suis en-gueulé avec Markel (Humphrey)en début de match et cela a provo-

qué une sorte d'électrochoc, je mesuis réveillé», tempérait JonathanDubas, évitant de rentrer dans lapolémique.

Perte de nerfsReste que cette altercation en-

tre Young et Efevberha - le se-cond, fâché, ne resta pas pour re-cevoir son prix de meilleurjoueur - sonna le glas de visi-teurs en perpétuelle quête deliant. Aujourd'hui, le BBCM,grande «famille» en apparence,ne possède plus ce collectif quiavait fait son bonheur plus tôtdans la saison. Actuellement,ses coups d'éclat ne reposentpratiquement plus que sur desoptions individuelles. Habitué àrecevoir l'extra-passe en fin desystème, Maruotto s'est encore

retrouvé sevré de ballons, luiqui n'a tenté que trois tirs longuedistance. Sans génie offensif, lesValaisans auraient pu «se rattra-per» en défense, en muselant lesartificiers tessinois et en durcis-sant le jeu. Là aussi, c'est raté.Dès les premières minutes, unhomme fit feu tous azimuts. Sonnom: Tristan Carey. Son totalfinal: 43 points. Oui, 43 pointsdont un 7 sur 12 à distance quimena les visiteurs à leur perte.Quand on sait que l'Américainavait déjà inscrit cinq tirs priméslors de l'acte II, on se demandepourquoi Monthey lui a une

nouvelle fois laissé le champ li-bre. «On n'a pas réussi à l'arrêter,confirme Jonathan Dubas. C'estune erreur de le laisser rentrercomme ça dans le match. Il y a unmanque de communication entrenous.»

Carey, (encore) oubliéLe show Carey aurait pourtant

pu passer presque inaperçu si les

Chablaisiens n'avaient pas com-plètement cafouillé leurs derniè-res possessions. Car après avoirété menés de quinze longueurs(41-26, 18e), ce sont bien eux quitenaient le bon bout avec quatrepoints d'avance à la 37e. «On doitfaire le pas supplémentaire pouraller chercher la victoire», lâchale coach-assistant Nathan Zana,loin d'être abattu.

Le BBC Monthey n'a plus ledroit à l'erreur. Acte IV mardi,toujours au Tessin. La dernièrequi sonne...

RESULTATS

LNAM

Demi-finale (au meilleur des 5)Lugano - Monthey 77-72

(2-1 dans la série)

Genève - Fribourg 79-77

(2-1 dans la série)

LNBM

Finale (au meilleur des 5)Vevey - Nyon 82-55

(Vevey remporte la série 3-2)

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Date: 22.05.2017






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LES CHIFFRES

8 Le nombre de ballonsperdus par Michael

Efevberha. Et dire que celui-ci afailli être le héros de la soiréeen ramenant presque à lui seulson équipe à hauteur dans le4e quart.

LA QUESTIONQui coache à Monthey?On a vu tour à tour MarinBavcevic et Nathan Zanaprendre la parole. Parfois lesdeux en même temps surcertains temps morts. Assisjuste derrière l'équipe, le vice-président Christophe Roessli aégalement poussé son équipe.Bref, c'était un peu décousu surle banc, à l'image du terrain.Niksa Bavcevic, entraîneur enchef interdit de salle, maisprésent aux abords de l'IstitutoElvetico, manque cruellement.

LA BLESSUREJordan Heath a quitté les siensaprès seulement six minutes.Touché à la cheville, le pivot USdu BBCM boitait bas. Uneabsence de poids dans laraquette qui n'explique pastout. Car même sans son géant,Monthey menait encorede quatre points à la 38e.

«Ils ne peuventpas jouer ensemble.»Entendu, dans les gradins, àpropos de Young et Efevberha.Vrai. Les deux Américains sontcertes extrêmement talentueux,mais ils «mangent» trop deballons. Un, ça va, mais plus...Encore surnuméraires samedi,Sinclair ou Barac devrait avoirune ouverture. Surtout si Heathn'est pas là. lm

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Date: 22.05.2017

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Basketball

1

-

Antonio Ballard et les Lions de Genève peuvent se qualifier pour la finale des play-off dès mardi au Pommier. PIE RRE ALBOUY

Les Lions s'offrent unepremière balle de finale

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Date: 22.05.2017






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Vainqueurs auPommier dimanche,les Genevoismènent désormais2 -1 en demi-finaledes play-off face àFribourg OlympicBenjamin BergerJean-Marc Jaumin est en passe deréussir son pari: à savoir celui dequalifier les Lions de Genève pourla finale des play-off. Dimancheaprès-midi au Pommier, le techni-cien a fait un grand pas dans cettedirection puisque ses hommes,vainqueurs au bout du suspens deFribourg Olympic, mènent désor-mais 2-1 dans leur série aumeilleur des cinq matches.

«Créer un choc»Et ce seulement quatre joursaprès que le Belge a sciemmentlaissé ses «fauves» se regarderdans la glace et se prendre enmain dans la salle de Saint-Léo-nard, alors que tout semblaitperdu. «Croyez-moi, ce n'est pasdans mes habitudes d'abandon-ner mes joueurs, même si c'est cequi a pu transparaître mardi soir,répond, déterminé, le coach. J'aiprovoqué mes gars et ils ont ré-pondu présent. Par mon geste, j'aivoulu créer un choc, les secouer.Maintenant, nous avons gagnéune nouvelle bataille, mais pas laguerre.»

Wright manque le cocheEt le jeune Paul Gravet, 21 ans, delui emboîter le pas: «Nous aurionstort de penser que le plus dur estderrière nous. Nous avons franchiune étape mais nous n'avons en-core de loin pas classé l'affaire.Nous ne devons surtout pas croireque notre place en finale est ac-tée.»

La preuve en est le scénario dedimanche après-midi, dont la vic-

toire aurait très bien pu tomberdans l'escarcelle des visiteurs.Longtemps menés, les Fribour-geois ont pris les devants justeavant la pause (38-41). Mais, privéde leur maître à jouer Travis Tay-lor - qui avait fini la rencontre surun pied mardi soir -, les joueursde Petar Aleksic ont manqué lecoche en toute fin de partie.Quand Derek Wright échouaitdans sa tentative à trois points àquelques secondes de la sirène.

Aussi fou que cela puisse paraî-tre et à leur grand dam, les cham-pions en titre pourront surtout sedemander comment ils ont été enmesure de ne pas se présenter àune seule reprise derrière la lignede lancer franc. «De mémoire,c'est du jamais vu depuis mes dé-buts», s'est étonné Arnaud Cot-ture. Le capitaine fribourgeois adû se pincer pour le croire: «C'està la fin du match que j'ai réaliséque nous n'en avions eu aucun, jene l'avais même pas réalisé encours de partie. Evidemment çan'aide pas quand ton adversaire,lui, transforme 19 de ses 27 lancersfrancs. Nous avons clairementmanqué d'agressivité. Nous allonsdevoir trouver des solutions avantl'acte IV.»

Les Lions ont maintenant uneoccasion en or d'envoyer Fri-bourg Olympic en vacances, dèsmardi soir au Pommier, histoirede s'éviter toute frayeur dans cequi serait une cinquième et ultimerencontre de tous les dangers àSaint-Léonard.

Lions 79 (38)Fribourg 77 (41)

Quarts: 2 2-17 16-24 22 -1719-19.Pommier,1285 spectateurs.Arbitres: MM Michaelides,Herbert et Marmy.Lions de Genève: Braswel12 points, M. Mladjan 16,Timberlake 8, Ballard 7,Kovac 19; Gravet 4, Garrett11, Louissaint 2, Grüninger.Fribourg Olympic: Molteni 11,Wright 15, Cotture 5, Rober-son 10, Jurkovitz 2; Brown 4,Jaunin 12, D. Mladjan 18.Notes: Fribourg Olympic sansFongué ni Taylor (blessés),Lions sans Parker ni Williams(surnuméraires). Sorti pour 5fautes: 33e Roberson.

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Date: 21.05.2017

Le Matin Dimanche1001 Lausanne021/ 349 49 49www.lematin.ch

Genre de média: Médias imprimésType de média: Presse journ./hebd.Tirage: 113'868Parution: hebdomadaire N° de thème: 042.001




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Montheyau pieddu murStefano Lurati

LuganoBasketball La situation se com-plique pour le BBC Monthey,mené 2 -i dans la demi-finale quil'oppose aux Lugano Tigers. Aprèsavoir abandonné l'avantage duterrain mardi passé au Reposieux,les Chablaisiens ont encore chuté.La faute à une ire mi-temps pous-sive au cours de laquelle ils concé-dèrent jusqu'aux points de re-tard (4i -26 à la i7e). Pire, le BBCMeut le malheur de perdre sur bles-sure à la cheville son topscorerHeath au bout de 66 secondes.

Emmené par un Carey en feu(43 points dont 7 tirs primés), lesTigres ont souffert en 2e mi-temps face à une défense valai-sanne revenue à son meilleur ni-veau. De 58-45 (26e), le score bas-culait à 67 -7i à 24i de la fin. Deschoix pas toujours judicieux maisaussi l'inévitable Carey allaient

toutefois peser à l'arrivée. «On afait un bon travail autour del'équipe de Lugano, mais on aoublié Carey», regrette Dubas.

Au pied du mur, Monthey de-vrait modifier une partie de sonquatuor étranger pour le match IVde mardi, les ego d'Efevberha etYoung cohabitant de plus en pluspéniblement.

Lugano Tigers - Monthey77-72 (45-33)

SalleIstituto Elvetico. 400 spectateurs.Arbitres: MM. Clivez, Novakovicet Stojcev.Lugano TigersCarey 43, West, Stockalper 12,Steinmann 2, Williams 15, Louissaint,Everett 5.

MontheyHeath, Maza 10, Maruotto 4, Dubas 13,Humphrey 10, Young 14, Efevberha 21.

Au tableau

5e 14- 11,10e 24- 15,15e 32-26, 20e 45-33, 25e 55-43, 30e 60-54, 35e 65-62,40e 77-72.

Play-off LNA

Lugano Tigers - Monthey 77-72 (45-33)Situation dans la série: 2-1

16.00 Lions de Genève - FR OlympicSituation dans la série:1-1Les séries se disputent au meilleurdes cinq matchesLes autres matches: mardi 23, jeudi 25(évtl.)

Lugano Tigers - Monthey77-72 (45-33)

Salle

Istituto Elvetico. 400 spectateurs.Arbitres: MM. Clivaz, Novakovicet Stojcev.Lugano Tigers

Carey 43, West, Stockalper 12,Steinmann 2, Williams 15, Louissaint,Everett 5.

MontheyHeath, Maza 10, Maruotto 4, Dubas 13,Humphrey 10, Young 14, Efevberha 21.

Au tableau

5e 14- 11,10e 24- 15,15e 32-26, 20e 45-33, 25e 55-43, 30e 60-54, 35e 65-62,40e 77-72.

Demi-finales (acte III). Hier

Lugano Tigers - Monthey 77-72 (45-33)Situation dans la série: 2-1

Aujourd'hui

16.00 Lions de Genève - FR OlympicSituation dans la série:1-1

Les séries se disputent au meilleurdes cinq matches

Les autres matches: mardi 23, jeudi 25(évtl.)

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Date: 20.05.2017






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Ailiers du Fribourg Olympic, Natan Jurkovitz et Arnaud Cotture ambitionnent de partir jouer à L'étranger

Comment passer du rêve à la réalitéFRANÇOIS ROSSIER

Basketball » Clint Capela a quitté labanlieue genevoise à 15 ans. DusanMladjan est parti en Italie à 18 ans,avant de revenir à Lugano puis de re-tenter sa chance en Serbie. Stefan Pet-kovic s'est cassé les dents en Biélorussieà 19 ans, Jonathan Kazadi a attendud'en avoir 25 pour tenter sa chance àOrléans, Harold Mrazek a rejoint l'AS-VEL à 28 ans, etc. Le point communentre tous ces joueurs? Du talent, et laferme volonté de s'exiler pour aller sefrotter à plus fort qu'eux. Tout le resteest disparate.

Natan Jurkovitz et Arnaud Cot-ture, 22 ans cette année, qui se sontimposés comme des pièces maî-tresses du Fribourg Olympic, rêventd'imiter leurs glorieux aînés. Cour-tisé par de nombreux clubs euro-péens, le premier, sous contrat maisau bénéfice d'une clause pour l'étran-ger, va très certainement partir cetété. Le second, qui arrive à la fin deson bail avec Olympic, est égalementtenté par une aventure hors de nosfrontières. Dans les jours à venir, lesdeux jeunes hommes vont devoirprendre l'une des décisions les plusimportantes de leur jeune carrière.Pour faire le bon choix, voici cinqpoints de réflexion incontournables.

L'envie «Depuis que je suis rentré demon année passée aux Etats-Unis(2012/13, ndlr), je me dis que j'aime-rais bien vivre une expérience àl'étranger. Je n'ai pas particulièrementcherché à partir. Ces derniers mois,des agents m'ont contacté pour medire que des clubs s'intéressaient àmoi», expose Natan Jurkovitz.«Lorsque j'ai rejoint l'Académie à 15ans, je me suis dit qu'il était envisa-geable d'aller jouer un jour à l'étran-ger. J'ai envie de poursuivre ma pro-gression, mais je n'en fais pas uneobsession. J'attends d'avoir du concret.

Cet hiver, j'ai fait un stage de deuxjours dans un club français (Dijon,ndlr), mais à part ça, je n'ai jamaisreçu la moindre proposition de contratde la part d'un club étranger», préciseCotture, le capitaine fribourgeois.

Le timing «Le modèle, c'est Jo (Kaza-di, ndlr)! C'est un gars qui réfléchit

beaucoup avant de faireles choses. Il a attendude trouver la bonneopportunité, il estparti à Orléans et il a

réussi», applauditCotture. Pour son

pote, le bon moment ap-proche. «Je finis mes étudescette année. Je pourrai mepermettre une pause afinde me consacrer au bas-ket», a déjà calculé Jur-kovitz. «Pour partir, ilfaut se sentir prêt etéviter de sauter surla première occa-

La desti-nation Les

sion venue»,conseille Jona-

than Kazadi.

deux Fribour-geois ne sont pasen position de faire lafine bouche. «Le but estde partir dans un meil-leur championnat, si-non cela n'en vaut pas lapeine», insistent-ils d'unemême voix. Grâce à son passe-port français, Jurkovitz a lachance d'être considéré commejoueur européen dans plusieurspays. Un statut qui n'a pas laisséinsensible plusieurs clubs italiens etespagnols. «J'ai été surpris d'en-tendre les noms de certaines

grandes équipes qui s'intéressaientà moi, avoue-t-il. Mais depuisquelque temps, je ne les entendsplus trop. Ce sont peut-être lesagents qui voulaient se position-ner...» Seule certitude aujourd'hui:les deux Olympiens veulent des mi-nutes de jeu! «Il sera important deconnaître le projet du club, la visiondu coach et l'effectif de l'équipe. S'il

y a déjà deux Américains au mêmeposte que moi, cela ne sert à rien des'engager», résume Jurkovitz.

Les interrogations Si l'aspect fi-nancier n'est pas prioritaire dans leurdémarche - «On veut jouer et progres-ser, l'argent viendra après» -, les deuxhommes ne cachent pas une certaineappréhension. «La vie ailleurs me faitun peu peur. Se retrouver loin de mafamille, de ma petite amie et même deNatan, ça serait dur», avoue Cotture,qui ne vivrait pas la prolongationde son contrat avecOlympic comme unéchec. «J'adore ceclub! J'ai grandiavec lui et les gensqui le composent.Cela ne me dé-rangerait pasde jouer toutema carrièreici.»

Plus aventurier - «J'adore voyager.J'aurais cherché à partir même si jen'étais pas basketteur» -, Jurkovitz re-doute missi l'éloignement. «J'aime êtreà la maison avec le frigo bien rempli, semarre-t-il. Habiter toutseul, loin des miens,ça me fait peurmais je suisprêt à tenterune nouvelleexpérience.»

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La décision Si Cotture aimeraitprendre sa décision avant la fin de lasaison, Jurkovitz ne s'engagera pasavant la fin juin. «Je recevrai les résul-tats de mes examens (maturité pédago-gie à l'ECG, ndlr) le 27 ou le 28 juin. Je

ne signerai rien avant!» assure-t-il. Avec l'espoir de faire le

bon choix. «C'est seulementà la fin de l'expériencequ'on pourra savoir sic'était une bonne idée oupas», conclut Cotture. »

Courtisé par plusieurs clubseuropéens, Natan Jurkovitz (aupremier plan) est aujourd'huiplus proche d'un départ queson coéquipier Arnaud Cotture,également tenté par uneexpérience à l'étranger.

Alain Wicht

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Date: 20.05.2017






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«ARNAUD ET NATAN PEUVENT PARTIR, MAIS...»«Je n'empêcherai jamais un jeune Suissede partir à l'étranger, même s'il est souscontrat, mais j'attends de sa part qu'il soitdéterminé. Il doit être prêt à partir aucombat comme un soldat. Je ne veux pasle voir revenir après trois mois», lâched'entrée Petar Aleksic. L'entraîneur duFribourg Olympic prône toutefois la pa-tience. «Avant de s'en aller, il doit s'éta-blir durablement dans le championnat deSuisse, en occupant un rôle majeur du-rant deux ou trois saisons, comme l'a faitJonathan Kazadi (l'ancien capitained'Olympic, parti l'été dernier à Orléans,

ndlr).»Avec Arnaud Cotture et Natan Jurkovitztentés par un départ, Aleksic pourraitperdre deux joueurs majeurs cet été.«Arnaud et Natan peuvent partir. Physi-quement, ils sont capables de s'imposerpartout, juge-t-il. Arnaud est le plus prêt

des deux. Techniquement et tactique-ment, il est au point. En plus, c'est unjoueur perfectionniste qui sait se re-mettre en question. Natan est un joueurcomme chaque équipe aime en avoirdans ses rangs. Il lui manque encore unpeu de dureté. Pour partir, il faut avoir la

rage, comme un chien. Natan est tropgentil. Il doit encore apprendre. Mais lesdeux peuvent devenir des joueurs de trèshaut niveau.»Avant que ses deux joyaux ne prennentleur décision, Aleksic, toujours très pater-nel, s'empresse de glisser un dernierconseil. «Arnaud et Natan sont nés en1995. S'ils partent cet été, ils auront uneannée de moins que les Américains quidébarquent en Europe après leur cursusuniversitaire. L'idéal pour eux serait dejouer une saison en Coupe d'Europe avecOlympic», sourit-il avec malice. FR

L'acte III avec ou sans Travis Taylor?Touché à la cheville lors de l'acte II,l'Américain n'est pas sûr de pouvoirtenir sa place demain à Genève.

Battu mardi soir à domicile, FribourgOlympic va devoir remporter aumoins un des deux prochains matchesà Genève pour garder un espoir de sehisser en finale des play-off de ligue A.Vainqueurs des deux matches de sai-son régulière en terre genevoise etdominateurs lors de 65 des 80 mi-nutes des demi-finales, les Fribour-geois en sont capables. Pour autanttoutefois qu'ils aient retenu la leçon demardi, lorsque, largement en tête, ilsont «arrêté de jouer», pour reprendreles mots de Petar Aleksic. «Nous avonsmanqué de discipline, de patience etd'agressivité en attaque. Nous avonsshooté de loin sans réussite, nousnous sommes frustrés et nous avons

perdu le fil en défense», résume lecoach d'Olympic.

Avant cet acte III qui aura lieu de-main à 16 h, Natan Jurkovitz gardeconfiance. «Je défie les Genevoisd'avoir à nouveau une telle réussite autir! Nous n'avons pas fait un drame decette défaite. Nous savons que nous nesommes pas la meilleure équipe dumonde et que nous n'allons pas ga-gner tous nos matches. A nous denous relever!»

Si l'attitude et la maîtrise des Fri-bourgeois seront importantes, l'issuede cette demi-finale va dépendre engrande partie du bulletin de santé deTravis Taylor. Touché à une chevillelors de l'acte II, l'intérieur américain,le joueur le plus utilisé par Petar Alek-sic depuis le début de la saison, estincertain pour l'acte III... «Pour

l'heure, le médecin n'est pas chaud,mais cela va dépendre de l'évolutionde la blessure et du ressenti de Travis.Sans lui, cela signifie que nous allonsdevoir jouer avec quatre Suisses (Cot-ture, Jurkovitz, Molteni et Leemans,ndlr) dans le secteur intérieur. Si c'estle cas, et sachant que les deux pro-chains matches se joueront à l'exté-rieur, on peut dire que je me retrouvedevant le plus grand challenge depuismon arrivée à Fribourg il y a quatreans», conclut Aleksic. » FR

AU PROGRAMME

Ligue A. Play-off. Demi-finales au meilleur des5 matches. Acte III:Lugano Tigers - Monthey (1-1 dans la série) sa 17 hLions de Genève - Fribourg Olympic (1-1) di 16 h

Ligue B. Play-off. Finale au meilleur des 5matches. Acte V:Vevey Riviera - Nyon (2-2) sa 17 h 30

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Date: 20.05.2017

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BASKETBALL

Le suspensereste entierPLAY-OFFLes matches No 3des demi-finalesdes play-off aurontlieu ce week-end. Le

bilan actuel estd'une victoire partouttant entre Montheyet Lugano ainsiqu'entre Fribourg etGenève. C'est dire

que le suspense resteentier.

Play-off LNA (acte III)Aujourd'hui 17 h: LuganoTigers - BBC Monthey

Dimanche 16 h: Lionsde GE - FR Olympic

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DEMI-FINALE DES PLAY-OFF BBC MONTHEY

Un carré d'asét gerà définir

INFO NF

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Le BBCM a le luxe de s'appuyer sur sixmercenaires, alors que quatre sont autoriséssur la feuille de match. Qui sera alignécet après-midi à Lugano lors de l'acte III?Selon les avis de quatre entraîneurs de LNA,Heath et Humphrey tiennent la corde, alorsque pour les autres, c'est (un peu) plus ouvert.JÉRÉMIE MAYORAZ

Brandon Young, Michael Efevberha,Pani Barac, James Sinclair, MarkelHumphrey et Jordan Heath. En cettefin de saison, le BBC Monthey s'appuiesur six étrangers, alors que le règle-ment n'en autorise que quatre sur lafeuille de match. Une abondance deforces qui peut s'avérer avantageusedans certaines circonstances, maisaussi compliquée à gérer quand il s'agitde contenter tout le monde. Dès leurretour de suspension, Young etHumphrey ont immédiatement re-trouvé leur place dans le cinq de basechablaisien, reléguant du même coupBarac et Sinclair sur le banc. L'arrivée ily a trois semaines d'Efevberha a aussiredistribué certaines cartes. Si bienqu'aujourd'hui le BBCM possède deloin les meilleurs étrangers du cham-pionnat, sans forcément faire des étin-celles. En quête de liant et d'automatis-mes, il court après une véritable cohé-sion de groupe. Un manque de vécucollectif qui s'est traduit mardi soir parun revers sans saveur lors de l'acte IIdes demi-finales des play-off (69-81).Contre un Lugano qui a évolué sur unfaux rythme, les Valaisans n'ont jamaistrouvé la parade, privilégiant les tenta-tives individuelles au lieu de se serrerles coudes. Une prestation alarmantequi a fait naître de sérieux doutes surles capacités de ce BBCM-là à évolueren équipe, pour l'équipe. Qui sera ali-

gné cet après-midi au Tessin, autre-ment dit faut-il changer certains mer-cenaires? Dans le clan chablaisien, lespersonnes contactées n'ont logique-ment pas souhaité dévoiler leur jeu.Alors on est allé poser la question auxquatre entraîneurs de LNA éliminésen quart de finale des play-off.

LNAM

Demi-finale (au meilleur des 5)

Aujourd'hui17.00 Lugano - Monthey

Dimanche

1600 Genève - Fribourg

LNBM

Finale (au meilleur des 5)

Aujourd'hui

17.30 Vevey - Nyon (2-2)

LNAM

Demi-finale (au meilleur des 5)

Aujourd'hui1700 Lugano - Monthey

Dimanche

1600 Genève - Fribourg

LNBM

Finale (au meilleur des 5)

Aujourd'hui

1730 Vevey - Nyon (2-2)

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RANDOALD DESSARZIN (COACH DE LAUSANNE)

«Je vois malBrandon Youngrater un deuxièmematch de suite»

«Monthey sort d'un non-match où tout a été laborieux oupresque. Il y a eu quelques rares coups d'éclat, mais si on necourt pas contre Lugano, on offre la série. Everett a joué enmarchant, ce n'est pas possible. Sur les six derniers matchs,je n'avais jamais vu un Monthey avec aussi peu de liant.Avant de penser à qui sera aligné, il y a un effort global àfournir au niveau de l'intensité. Dans le 3e quart, le BBCM n'acommis aucune faute, il a manqué d'agressivité. A ce rythme,les Valaisans sont clairement en danger. Maintenant, au ni-veau des étrangers, je choisirai Young, Humphrey et Heathpour leur vécu collectif. Young, je le vois mal rater un 2ematch de suite. Après c'est très ouvert. Sinclair a été bon con-

tre nous en quart et c'est un joueur qui partage bien la balle.Efevberha n'est lui pas encore fondu dans le groupe, maisc'est un talent au-dessus de la norme. Lors de l'acte II, il portel'équipe en première mi-temps avant de la bloquer sur la fin.je pense qu'il voudra à tout prix prouver quelque chose à Lu-gano et cela pourrait s'avérer contre-productif. Cela dit, quandon a un élément comme Efevberha, c'est toujours délicat dene pas le faire jouer. Il y a une hiérarchie à trouver au niveaudes joueurs, mais aussi des coachs. Mardi, je n'ai pas com-pris qui était l'entraîneur.»

MANU SCHMITT (COACH D'UNION NEUCHATEL)

«Une équipe,c'est un puzzleoù chacun a une placebien précise»

«En play-off, il n'y a pas de place pour les ego, il en va de l'in-

térêt de l'équipe. Les étrangers du BBC Monthey sont assez in-telligents et expérimentés pour le comprendre. Après si cetteabondance de forces est mal gérée, cela peut devenir contre-productif. C'est le rôle de tout le staff de garder tout le mondeconcerné. Une équipe, c'est un puzzle où chacun a une placebien précise. le n'ai pas tous les éléments en main pour meprononcer sur les étrangers du BBCM. Plusieurs facteurs inter-viennent au moment de choisir qui aligner: la forme, l'adver-saire, les circonstances. je dirai quand même que sur ce qu'ils

ont montré cette saison, Humphrey et Heath méritent leurplace. Au-delà du poste, ils ont un impact non négligeable, cecôté dominant. Pour le reste, chacun a ses qualités et peutamener quelque chose. A ce stade de la compétition, ce nesont pas les statistiques personnelles qui importent et la dé-faite de mardi lors de l'acte II a sans doute résonné fortementdans les têtes valaisannes. Cette série contre Lugano est trèsouverte. Tout le monde est en danger, c'est le propre desplay-off.»

ROLAND PAVLOSKI (COACH DE STARWINGS)

«Young, Efevberha,Humphrey et Heath,c'est la combinaisonla plus puissante»

«Normalement, le problème c'est quand tu n'as pas suffi-samment de joueurs étrangers. Mais quand tu en as trop,cela peut aussi compliquer les choses. Tout le monde veutjouer et c'est normal. Il est important que chaque joueurcomprenne l'objectif à atteindre, qu'il soit sur le terrain ounon. A mon avis, le premier changement que Monthey doitopérer se situe au niveau de l'énergie. Il doit se montrerdéterminé pendant quarante minutes, tout en jouant plusà l'intérieur, son point fort. Après, s'il faut effectuer unchoix au niveau des étrangers, j'opterai pour Young,Efevberha, Humphrey et Heath, la combinaison la pluspuissante que peut proposer le BBC Monthey. j'hésiteraitout de même à lancer Barac pour Young, histoire d'avoir unjeu collectif mieux contrôlé. Barac a beaucoup d'expé-rience, c'est un joueur très intelligent avec un shoot exté-rieur intéressant. Dans ce groupe, il y a beaucoup de ta-lents, mais le plus important reste d'évoluer en équipe.Avec cet effectif, je suis convaincu que les Valaisans peu-vent aller chercher au moins une victoire au Tessin et, sibesoin, conclure positivement la série à domicile. Lugano,plus court au niveau des rotations, risque bien de le payeraprès l'acte III.»

DANIJEL ERIC (COACH DE SWISS CENTRAL)

«Travailler dansla continuité avecles quatre mêmesétrangers»

«je miserai toujours sur Young, Efevberha, Hum-phrey et Heath, pour travailler dans la continuitéet consolider le jeu d'équipe. Ces quatre joueursont l'expérience, le talent et le physique pour eux.Et chacun peut faire basculer un match à lui seul,même si Monthey doit d'abord compter sur le col-lectif pour aller loin, tout en mettant un maximumd'intensité dans son jeu. Même si ce n'est jamais fa-cile d'aller gagner au Tessin, je ne pense pas que lesChablaisiens soient en danger, ils vont jouer demieux en mieux, à l'image d'Humphrey qui a un peuperdu le rythme depuis sa suspension. Efevberhan'est lui pas encore à 100%, mais ça reste un très bonmarqueur qui met les autres en évidence. Monthey doitcroire en ses forces et tout se passera bien. Même sipour moi, aujourd'hui la plus grande absence vient sansdoute de Marin Bavcevic. En termes d'organisation et dedéfense, il était extrêmement important. Et en plus c'étaitune rotation suisse...»

«Une équipe,c'est un puzzleoù chacun a une placebien précise»

ROLAND PAVLOSKI (COACH DE STARWINGS)

«Young, Efevberha,Humphrey et Heath,c'est la combinaisonla plus puissante»

DANIJEL ERIC (COACH DE SWISS CENTRAL)

«Travailler dansla continuité avecles quatre mêmesétrangers»

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Date: 20.05.2017






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LE MATCH: UNE REACTION

COLLECTIVE EST ATTENDUESurpris mardi soir dans son Reposieux (69-81), leBBC Monthey a perdu l'avantage du terrain contreLugano. Il se déplace une première fois au Tessincet après-midi (17 h), pour reprendre les comman-des de cette demi-finale. «On a remis les pendulesà l'heure suite à la contre-performance de mardiprécise Nathan Zana, l'entraîneur assistant duBBCM. On ne peut pas se permettre de reproduireles mêmes erreurs. faut défendre plus haut et nepas laisser les tireurs de Lugano prendre con-fiance.» Le festival à trois points des Tessinois avait

conduit les Chablaisiens droit dans le mur endeuxième mi-temps. «Bien sûr que ça fait mal deperdre comme ça, surtout à la maison. Mais ce sontles play-off et tout peut arriver. A nous de réagir etde montrer qubn est une vraie équipe», poursuitNathan Zana. Malade, Ludo Grau est incertain.Dans les rangs luganais, jules Aw est indisponiblesuite à sa sortie sur blessure lors de l'acte II.

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Date: 20.05.2017






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Basketball

_Fribourg Olympie, tombé de haut,est prêt à secouer le PommierCapitaine duchampion en titre,Arnaud Cotture n'apas digéré la défaitede mardi. Réactionattendue dimancheau Grand-Saconnex

Christian Maillard

Mais comment ont-ils pu se fairepareillement hara-kiri, eux qui, surleur nuage, tenaient fortement cedeuxième point dans leurs mains?Est-ce la peur de gagner qui a faitque, mardi, cette belle opportunitéleur a glissé entre les doigts? Alorsque les Fribourgeois, devant leurpublic, avaient fait dans la dentelle,qu'Olympic évoluait en haute défi-nition (59-39, 22e), plus dure a été lachute pour les joueurs de Saint-Léo-nard.

Arnaud Cotture et ses copains,qui dominaient outrageusement lesdébats, ont commencé par tricoteravant d'égarer leur pelote. Ce pour leplus grand bonheur de Lions de Ge-nève, qui ont fini, par miracle, parmalice aussi, par revenir aux re-bonds contre un adversaire piégé parun drôle de coup de poker. Jean-MarcJaumin est-il un génie? En quit-tant son banc à la mi-temps, l'entraî-neur du Pommier a relancé cette de-

mi-finale romande des play-off dontl'acte III se jouera ce dimanche(16 heures) au Grand-Saconnex.Dans quel état d'esprit seront les Fri-bourgeois? Le point avec le capitaine.

Arnaud Cotture, votre équipea -t -elle compris ce qui s'estpassé mardi à Saint-Léonard?J'avoue que c'est le genre de défaitequi n'est pas facile à avaler, surtoutqu'on était en plein contrôle dumatch. On avait, entre guillemets,quasi aucun souci à la mi-temps. Ona vraiment pensé que ça allait êtrefacile, et voilà. On a perdu notreconcentration et on est sorti de lapartie. Du coup, dès que les Gene-

vois ont montré de quoi ils étaientcapables, on a pris un éclat. Impos-sible de se relever. Il va falloir garderça en tête et se dire que, quoi qu'ilarrive, on ne doit pas se laisser sub-merger par une situation similaire

Peut-on parler d'un excèsde confiance?Il est vrai qu'on était très bien dansnotre système de jeu, dans la conti-nuité de nos dernières sorties, oùnos rencontres n'avaient pas ététrop compliquées. On avait eu unpremier tour plutôt facile contreSwiss Central et on a passé pratique-ment les yeux fermés. Puis, samedi,il y a eu un premier acte très solidecontre les Lions, sans oublier cette

bonne première mi-temps mardi.Alors oui, peut-être que nous étionsà la limite de l'excès de confiance.Quand Genève a haussé le ton, on aperdu les pédales...

Que vous a dit votre coachaprès la partie?Qu'il va falloir se réveiller et montrerqu'on sait aussi jouer. Qu'on a ex-plosé en vol alors qu'on avait un sys-tème pour éviter cela. Qu'on sait cequ'il nous reste à faire!

Avez-vous été perturbé par ladécision du coach des Lions dequitter son banc à la mi-temps?Non, car je n'ai appris qu'après lematch ce qui s'était passé. Genève agagné, c'était sûrement le bonchoix. Les Lions ont su se prendreen main pour rester en vie.

Ce coup de poker a-t-il, selonvous, relancé votre adversaireavant cet acte III au Pommier?Oui, je pense que cela va être plusdur pour nous. On a vu un RobertKovac qui s'est vraiment remis enconfiance et Fribourg est bien placépour savoir comment il se com-porte quand il évolue à ce niveau. Anous désormais de les faire douter,de leur montrer qu'on est encore là.On n'a pas dit notre dernier motdans cette série. Attendez-vous à unbeau match de basket dimanche!

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Date: 20.05.2017






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Arnaud Cotture et les Fribourgeois n'ont pas l'intention de lâcher cette demi-finale. KEYSTONE

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Date: 22.05.2017

Freiburger Nachrichten 1701 Freiburg026/ 426 47 47www.freiburger-nachrichten.ch





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Olympic mit dem Rücken zur WandOlympic liegt im Playoff -Halbfinal gegen Genf mit 1:2 im Hintertreffen. Nach der gestrigen 77:79 -Niederlage darf sich der Titelverteidiger aus Freiburg keinen weiteren Ausrutscher mehr leisten.BASKETBALL Das gestrige drit-te Spiel der Halbfinalserie zwi-schen Genf und Freiburg wur-de der Bezeichnung Playoff-Kampf vollauf gerecht. DerPunkteabstand zwischen denbeiden Teams betrug nie mehrals acht Punkte - in der 10. Mi-nute lagen die Genfer mit 22:14in Front. Ausserhalb dieserkleinen Überlegenheitsphasedes Gastgebers lieferten sichdie beiden Kontrahenten einDuell auf Biegen und Brechen.

Am Ende waren es die Gen-fer, die den Sieg bejubelten,nachdem Derek Wright seinenletzten Dreipunktewurf nebenden Ring setzte. Den US-Ame-rikaner für Olympics Nieder-lage verantwortlich zu ma-chen wäre indes ungerecht.Der 30-jährige Spielmacherwar mit 15 Punkten Freiburgszweitbester Werfer - hinter Du-san Mladjan (18) - und hieltsein Team vor allem in derSchlussphase der Begegnungim Rennen.

Spielentscheidend war vielmehr die Tatsache, dass esOlympic nicht gelang, den Aus-fall seiner Defensivleaders Tra-vis Taylor zu kompensieren.Cotture, Jurkovitz, Molteniund Leemans gelangen zusam-men nur zehn Rebounds.

Im vierten Spiel der Best-of-5-Serie morgen in Genf (19.30Uhr) steht Olympic damit be-reits mit dem Rücken zurWand. Es muss ein Sieg her. ms

Der Freiburger Troran Brown (M.) im Dreikampf.

TELEGRAMM

Genf - Olympic 79:77 (38:41)Genf: Braswell (12 Punkte), M. Mladjan(16), Tim berlake (8), Ballard (7), Kovac (19);Gravet (4), Garrett (11), S. Louissaint (2),Grüninger.Freiburg Olympic: Molteni (11), Wright (15),Cotture (5), Roberson (10), Jurkovitz (2); Tr.Brown (4), Jaunin (12), D. Mladjan (18).Bemerkungen: Olympic ohne Fonguund Taylor (beide verletzt), Genf ohneParker und Williams (überzähliger Aus-länder). -5 Fouls: 33. Roberson.

Stand Playoff-Halbfinal (best of 5): 2:1.

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Date: 21.05.2017

Ostschweiz am Sonntag9001 St. Gallen071/ 272 77 11www.ostschweiz-am-sonntag.ch





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Luka Maros von den Kadetten Schaffhausen beim Abschluss.

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Date: 21.05.2017






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Röstigraben trennt Tor und KorbGegensätze Den Schweizer Handballmeistertitel haben Deutschschweizer Teams untereinander ausgemacht. Im Basketball

hingegen wird der deutschsprachige Raum mit Sicherheit leer ausgehen. Die Sprach- ist auch eine Sportgrenze.Philipp Wolf

Die Kadetten Schaffhausen haben es ges-tern geschafft: Sie sind wieder SchweizerHandballmeister. Eines war indes schonzu Beginn der Saison sicher gewesen:Der künftige Meister wird aus derDeutschschweiz stammen. Romandsgibt es nicht in der NLA, allgemein sindsie selten im Spitzenhandball. Lediglichzehn Prozent aller lizenzierten Handbal-ler kommen aus der frankophonenSchweiz. In der kommenden Spielzeitwerden die NLB-Frauen aus Yverdon dasbeste Westschweizer Handballteam stel-len. Bei den Männern ist mit Chef-IbisGenfder höchstklassierte Verein soebenaus der NLB in die 1. Liga abgestiegen.Weder im A-Nationalteam der Männernoch in jenem der Frauen sind Romandsvertreten. Im Unihockey, einer weiterenvon der Deutschschweiz dominiertenSportart, zeigt sich ein ähnliches Bild.Weder in der NLA noch in der NLB istein Team aus der Romandie vertreten.

Beim Basketball ist das Bild ebenfallseindeutig, jedoch mit umgekehrten Vor-zeichen: 55 Prozent aller lizenziertenSpieler kommen aus der Romandie, 33aus der Deutschschweiz und zwölf ausdem Tessin. Das Nationalteam setzt sichin einem ähnlichen Verhältnis zusam-men. In den obersten Basketballligen derMänner und Frauen kommt weniger alsein Viertel der Teams aus dem deutsch-sprachigen Raum. Thabo Sefolosha undClint Capela, die einzigen Schweizer, diebisher in der weltbesten Basketballliga

NBA Fuss gefasst haben, sind Romands.Durch die Schweizer Sportlandschaftzieht sich ein Röstigraben. Drüben spie-len sie Basketball, hüben Handball.

Die Sprachräume als Faktorfür die Verbreitung der Sportarten

Befragt man Verbands- und Clubverant-wortliche beider Sportarten zu denGründen für den Graben, nennen sie alserstes den Einfluss der NachbarländerDeutschland und Frankreich. Handballsei in der Schweiz in den 1960er-Jahrenaufgekommen und habe vor allem in derDeutschschweiz Anklang gefunden, sagtder Präsident von Ch8nois Genf, SimonAeschbacher. Er erklärt dies damit, dassHandball in Deutschland schon damalssehr populär war. Ingo Meckes, ChefLeistungssport und Ausbildung beimSchweizerischen Handballverband,pflichtet ihm bei. Die Sportart fand inFrankreich erst in den 1990er-Jahren einbreiteres Publikum, und erst von da anhabe auch in der Westschweiz das Inter-esse an Handball langsam zugenommen.Derweil war in der Deutschschweiz überdie Jahrzehnte hinweg eine Handballtra-dition entstanden. Diese Verzögerunghallt bis heute stark nach. So sagt Me-ckes, aufder Stufe Leistungssport sei dieRomandie derzeit «im Prinzip nicht ver-treten». Aeschbacher sieht dies ähnlich:«In der Romandie besitzt Hallenhand-ball kein Netzwerk.»

Was Handball in der Deutsch-schweiz, ist Basketball in der Romandie.Geht es nach Valentin Wegmann, Mit-

glied des Exekutivkomitees der SwissBasketball League, ist Basketball in derWestschweiz seit je populär. Pascal Do-nati, Vizepräsident der Starwings RegioBasel, einem der drei DeutschschweizerNLA-Clubs bei den Männern, kommt beider Suche nach Gründen für die derzei-tigen Verhältnisse ins Grübeln. «Es ist,als ob Basketball an der Sprachgrenzeaufhörte », sagt Donati. So sei beispiels-weise Fribourg Olympic noch nie abge-

stiegen, während sich einpaar Kilometerweiter östlich der Basketballclub aus der

Hauptstadt im sportlichen Niemandsland befinde.

Der Graben wird in nächsterZeit nicht zugeschüttet

Die Sprachgrenze ist für Wegmann dennauch einer der Gründe, die heute eineExpansion der beiden Sportarten er-schweren. Da die meisten Basketballtrai-ner Französisch sprechen, können sie ihrWissen in der Deutschschweiz nicht ver-mitteln. Für die mehrheitlich deutsch-sprachigen Handballtrainer gilt dies in

umgekehrter Richtung genauso. Dar-über hinaus schränkt die Sprachbarrieredie Talentförderung ein. Das schweiz-weit einzige Handballleistungszentrumliegt in Schaffhausen. Um dort welscheTalente zu fördern, müssten diese fastzwingend ein Zwischenjahr einlegen, umDeutsch zu lernen, sagt Meckes.

Am Status quo etwas zu ändern, istauch schwierig wegen der geringen wirt-schaftlichen Attraktivität der beidenSportarten. «Der Schweizer Markt setztGrenzen», sind sich die Verantwortli-chen einig. Heute ist der Markt gesättigt,der Kuchen längst verteilt. Handball istin der Westschweiz für Sponsorenschlicht nicht attraktiv. Dasselbe gilt fürBasketball hierzulande. Und wo keinGeld ist, sind die Möglichkeiten, etwasaufzubauen, limitiert. So ist es kaum vor-stellbar, dass der Röstigraben in abseh-barer Zeit zugeschüttet wird.

Dennoch versuchen die Verbände,die untervertretenen Landesregionenzu fördern. Wegmann erwähnt diesbe-züglich die Regionalen Leistungszen-tren in Aarau und Luzern. Meckes weistauf die Zunahme der Lizenzen hin,

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Date: 21.05.2017






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die in der Romandie derzeit am stärks-ten ist. Er ist überzeugt, dass in derWestschweiz Handball noch Potenzialhat. Meckes hofft, dass dieses auchausgeschöpft wird: «Es wäre schön,mittelfristig eine Westschweizer Equipein der NLA zu haben.» Dennoch wird eswohl noch eine Weile dauern, bis einWestschweizer den Meisterpokal in dieHöhe stemmt.

NLA Männer: Basketball- und Handballvereine

Boncourt

Schaffhausen

BaselGossau9 St. GallenWinterthur

Aarau Zürich

Neuchätel BernFribourg

Genf

Lausanne

Monthey

Thun

Luzern Kriens-Luzern

Massagno Lugano

Basketball Handball Karte: sbu


Boncourt Basel 9

SchaffhausenGossau

Winterthur St. Gallen

Aarau Zürich

Luzern Kriens-LuzernNeuchätel Bern

FribourgThun

Massagno Lugano


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Date: 21.05.2017






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Westher Molteni (links, Fribourg Olympic) gegen Antonio Ballard (Lions de Geneve). Bilder: Keystone

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Date: 21.05.2017

Hauptausgabe

Zentralschweiz am Sonntag6002 Luzern041/ 429 51 51www.luzernerzeitung.ch





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Luka Maros von den Kadetten Schaffhausen beim Abschluss.

.Westher Molteni (links, Fribourg Olympic) gegen Antonio Ballard (Lions da Ganeve).

Röstigraben trennt Tor und KorbBildenKeystone

Gegensätze Den Schweizer Handballmeistertitel haben Deutschschweizer Teams untereinander ausgemacht. Im Basketballhingegen wird der deutschsprachige Raum mit Sicherheit leer ausgehen. Die Sprach- ist auch eine Sportgrenze.

Philipp Wolf

Die Kadetten Schaffhausen haben es ges-tern geschafft: Sie sind wieder SchweizerHandballmeister. Eines war indes schonzu Beginn der Saison sicher gewesen:Der künftige Meister wird aus derDeutschschweiz stammen. Romandsgibt es nicht in der NLA, allgemein sindsie selten im Spitzenhandball. Lediglichzehn Prozent aller lizenzierten Handbal-ler kommen aus der frankophonenSchweiz. In der kommenden Spielzeitwerden die NLB-Frauen aus Yverdon dasbeste Westschweizer Handballteam stel-len. Bei den Männern ist mit Chenöis

Genfder höchstklassierte Verein soebenaus der NLB in die 1. Liga abgestiegen.Weder im A-Nationalteam der Männernoch in jenem der Frauen sind Romandsvertreten. Im Unihockey, einer weiterenvon der Deutschschweiz dominiertenSportart, zeigt sich ein ähnliches Bild.Weder in der NLA noch in der NLB istein Team aus der Romandie vertreten.

Beim Basketball ist das Bild ebenfallseindeutig, jedoch mit umgekehrten Vor-zeichen: 55 Prozent aller lizenziertenSpieler kommen aus der Romandie, 33aus der Deutschschweiz und zwölf ausdem Tessin. Das Nationalteam setzt sich

in einem ähnlichen Verhältnis zusam-men. In den obersten Basketballligen derMänner und Frauen kommt weniger alsein Viertel der Teams aus dem deutsch-sprachigen Raum. Thabo Sefolosha undClint Capela, die einzigen Schweizer, diebisher in der weltbesten Basketballliga

NBA Fuss gefasst haben, sind Romands.Durch die Schweizer Sportlandschaftzieht sich ein Röstigraben. Drüben spie-len sie Basketball, hüben Handball.

Die Sprachräume als Faktorfür die Verbreitung der Sportarten

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Date: 21.05.2017

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Befragt man Verbands- und Clubverant-wortliche beider Sportarten zu denGründen für den Graben, nennen sie alserstes den Einfluss der NachbarländerDeutschland und Frankreich. Handballsei in der Schweiz in den 1960er-Jahrenaufgekommen und habe vor allem in derDeutschschweiz Anklang gefunden, sagtder Präsident von Ch8nois Genf, SimonAeschbacher. Er erklärt dies damit, dassHandball in Deutschland schon damalssehr populär war. Ingo Meckes, ChefLeistungssport und Ausbildung beimSchweizerischen Handballverband,pflichtet ihm bei. Die Sportart fand inFrankreich erst in den 19 90er-Jahren einbreiteres Publikum, und erst von da anhabe auch in der Westschweiz das Inter-esse an Handball langsam zugenommen.Derweil war in der Deutschschweiz überdie Jahrzehnte hinweg eine Handballtra-dition entstanden. Diese Verzögerunghallt bis heute stark nach. So sagt Me-ckes, aufder Stufe Leistungssport sei dieRomandie derzeit «im Prinzip nicht ver-treten». Aeschbacher sieht dies ähnlich:«In der Romandie besitzt Hallenhand-ball kein Netzwerk.»

Was Handball in der Deutsch-schweiz, ist Basketball in der Romandie.Geht es nach Valentin Wegmann, Mit-

glied des Exekutivkomitees der SwissBasketball League, ist Basketball in derWestschweiz seit je populär. Pascal Do-nati, Vizepräsident der Starwings RegioBasel, einem der drei DeutschschweizerNLA-Clubs bei den Männern, kommt beider Suche nach Gründen für die derzei-tigen Verhältnisse ins Grübeln. «Es ist,als ob Basketball an der Sprachgrenzeaufhörte », sagt Donati. So sei beispiels-weise Fribourg Olympic noch nie abge-stiegen, während sich einpaar Kilometerweiter östlich der Basketballclub aus derHauptstadt im sportlichen Niemands-land befinde.

Der Graben wird in nächsterZeit nicht zugeschüttet

Die Sprachgrenze ist für Wegmann dennauch einer der Gründe, die heute eineExpansion der beiden Sportarten er-schweren. Da die meisten Basketballtrai-ner Französisch sprechen, können sie ihrWissen in der Deutschschweiz nicht ver-mitteln. Für die mehrheitlich deutsch-sprachigen Handballtrainer gilt dies in

umgekehrter Richtung genauso. Dar-über hinaus schränkt die Sprachbarrieredie Talentförderung ein. Das schweiz-weit einzige Handballleistungszentrumliegt in Schaffhausen. Um dort welscheTalente zu fördern, müssten diese fast

zwingend ein Zwischenjahr einlegen, umDeutsch zu lernen, sagt Meckes.

Am Status quo etwas zu ändern, istauch schwierig wegen der geringen wirt-schaftlichen Attraktivität der beidenSportarten. «Der Schweizer Markt setztGrenzen», sind sich die Verantwortli-chen einig. Heute ist der Markt gesättigt,der Kuchen längst verteilt. Handball istin der Westschweiz für Sponsorenschlicht nicht attraktiv. Dasselbe gilt fürBasketball hierzulande. Und wo keinGeld ist, sind die Möglichkeiten, etwasaufzubauen, limitiert. So ist es kaum vor-stellbar, dass der Röstigraben in abseh-barer Zeit zugeschüttet wird.

Dennoch versuchen die Verbände,die untervertretenen Landesregionenzu fördern. Wegmann erwähnt diesbe-züglich die Regionalen Leistungszen-tren in Aarau und Luzern. Meckes weistauf die Zunahme der Lizenzen hin,die in der Romandie derzeit am stärks-ten ist. Er ist überzeugt, dass in derWestschweiz Handball noch Potenzialhat. Meckes hofft, dass dieses auchausgeschöpft wird: «Es wäre schön,mittelfristig eine Westschweizer Equipein der NLA zu haben.» Dennoch wird eswohl noch eine Weile dauern, bis einWestschweizer den Meisterpokal in dieHöhe stemmt.

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Date: 21.05.2017

Hauptausgabe






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Boncourt Basel 9

SchaffhausenGossau


Aarau Zürich

Neuchätel BernFribourg

Genf

Lausanne

Monthey

Thun


Massagno Lugano



Boncourt Basel

SchaffhausenGossau


Aarau Zürich

Neuchätel Bern

Genf

Fribourg

Lausanne

Monthey

Thun


Massagno Lugano


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Date: 20.05.2017

Freiburger Nachrichten 1701 Freiburg026/ 426 47 47www.freiburger-nachrichten.ch





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Findet Olympic ebenfalls eine Antwort?In der Halbfinalserie zwischen Genf und Olympic steht morgen das wegweisende dritte Spiel an.Wollen die Freiburger den Heimvorteil zurückholen, brauchen sie Antworten auf Genfs Umstellungen.Matthias FaselBASKETBALL Bei ausgegliche-nen Playoff-Serien ist oft ent-scheidend, wer sich besser anden Gegner anpasst. Als dieGenfer am Dienstag im zwei-ten Spiel mit 20 Punkten zu-rücklagen, wurde ihnen klar,dass es so nicht weitergehenkann. Ihre Antwort auf den0:1-Rückstand in der Serie undFreiburgs anfängliche Domi-nanz in Spiel zwei: Zonenver-teidigung. Mit diesem Mittelbrachten sie Olympic aus demKonzept. Unter den Körbenlief bei Freiburg kaum nochetwas. Und aus der durch dieZonenverteidigung des Geg-ners entstandenen zusätzli-chen Freiheit von der Drei-punktelinie konnte Olympickeinen Profit ziehen. Die Frei-burger verwandelten bloss elfihrer 39 Dreipunkte-Versuche.

Am Ende zog das Teamvon Trainer Petar Aleksic mit88:96 den Kürzeren. «Das Pro-blem war eigentlich nicht ein-mal die Genfer Zonenverteidi-gung», sagt Aleksic mit Blickzurück auf die letzte Partie,«sondern die mangelnde In-telligenz, mit der wir daraufreagiert haben». Jeder Spie-ler habe plötzlich schiessenwollen. «Statt geduldig auf-zubauen und den Ball zu pas-sen, wollte jeder das Schick-sal in die eigenen Hände neh-men und den Match selbst ent-

scheiden. Aber so gewinnst dukeine Playoff-Spiele.»

«Kühlen Kopf bewahren»In der Best-of-5-Serie steht es

damit nun 1:1. Morgen (16 Uhr)findet in Genf das wegweisen-de dritte Spiel statt. Nun liegt esan den Freiburgern, zu reagie-ren und Antworten auf GenfsUmstellungen zu finden. «DasWichtigste ist, dass wir kühlenKopf bewahren und den Game-plan nicht vergessen. Wenn unsdas gelingt und wir wieder alsKollektiv auftreten, können wirauf jede Umstellung des Geg-ners eine Antwort finden, dennwir sind ein komplettes Team,das auf sämtlichen Positionenseine Stärken hat», sagt Aleksic.

Klar verbessern muss Olym-

pic sicherlich sein Spiel unterden Körben. Nicht zuletzt durchdie Rückkehr des gross gewach-senen Marko Mladjan war Genfbeispielsweise in der Rebound-statistik am Dienstag mit 41:23haushoch überlegen. «In diesemBereich hat Genf wegen seinenvielen gross gewachsenen Spie-lern Vorteile. Wichtig ist, dasswir sehr aggressiv auftreten, umdagegenzuhalten.»

Entscheidend könnte in dennächsten Tagen auch die Brei-te des Kaders werden. Es gehtSchlag auf Schlag: Am Diens-tag findet, wieder in Genf, be-reits Spiel vier statt. Am Don-nerstag könnte es im FreiburgerSt. Leonhard zur Belle kommen.

Olympic-Trainer Petar Aleksic und seine Spieler sind gefordert. Bild Keystone

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Date: 22.05.2017

Corriere del Ticino6903 Lugano091/ 960 31 31www.cdt.ch





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MARTEDÌ

BASKETI TIGERS POSSONO CHIUDERE

III I Lugano Tigers possono chiu-dere la loro semifinale della LNAmaschile. All'Elvetico va in scenagara-4 della sfida con la compagi-ne vallesana del Monthey, nei cuiconfronti quella ticinese conducecon un parziale di due vittorie auna una. Via del match alle 19.30.

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Date: 22.05.2017






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Basket Tigers, match-ball per la finaleLa squadra di Brienza, che ha battuto il Monthey in gara-3, domani può chiudere la serie«Abbiamo fatto un passo importante, ma ora dobbiamo restare focalizzati sull'obiettivo»MATTIA MEIER

LUGANO TIGERS 77MONTHEY 72

24-15, 45-33, 60-54

Arbitri: Clivaz, Novakovic e Stoicev.

Spettatori: 450.

Lugano Tigers: Everett 5 (0/7 da 2, 1/4da 3,+ 2/2 tiri liberi), Carey 43 (8/12,7/12 + 6/7), Louissant A. (0/3, 0/4),Stockalper 12 (0/3, 4/4), Williams E. 15(6/9 + 3/5); poi: Steinmann 2 (1/4, 0/3),West (0/2). NE: Cafisi, Mussongo.

BBC Monthey: Young 14 (5/8, 0/4 + 4/4),Efevberha 21 (3/4, 4/9 + 3/3), Humphrey10 (3/10,1/2+ 1/2), Dubas 13 (3/5,1/4+ 4/6), Maza 10 (3/4, 1/2 + 1/2); poi:Maruotto 4 (0/5, 1/3 + 1/2), Heath,Fritschi.

Note: Istituto Elvetico. Premio quali mi-gliori in campo: Carey e Efevberha. Altriparziali: 14-11 (5'), 32-26 (15'), 55-43(25'), 65-62 (35').

III «Ho semplicemente fatto la miapartita. Ho trovato da subito un buonritmo e ho cercato di fare il massimoper aiutare la squadra». Le parole so-no di Tristan Carey, pronunciate po-chi minuti dopo aver infilato 43 puntiin gara-3, grazie ai quali il suo Luganoha superato Monthey per la secondavolta nella serie guadagnandosi cosìun ghiotto match-ball da sfruttare do-mani sera nuovamente tra la muraamiche dell'Istituto Elvetico. Una ga-ra-3 portata a casa con merito, ma dasudori freddi quella giocata sabato. Ibianconeri hanno dominato a larghitratti grazie a una fuga con picchi da

+15 nel secondo e terzo quarto, lan- Steinmann e West (2 punti in tre).ciata dal già citato «top scorer», ap- Così coach Brienza è stato costretto apoggiato da Stockalper e da un Wil- spremere i suoi tenori, pagando qual-liams finalmente concreto sotto ca- cosa in lucidità con lo scorrere deinestro. Poi si è però rischiato di perde- minuti. Non a caso gli ospiti hannore nel finale di un quarto periodo di cominciato a rientrare in partita con ilsofferenza, con i vallesani rientrati progressivo calare dell'efficienza of-pian piano in partita, bravi ad erodere fensiva di chiunque non si chiamasseil vantaggio luganese prima ed incre- Carey da parte ticinese. Ma, conside-dibilmente nervosi poi, ad immagine rato il risultato finale, è stato ottenutodi Young e Efevberha, ad un passo dal il massimo della resa.venire alle mani in campo per un pas- «Abbiamo fatto un passo importante,saggio non effettuato con ancora tut- ma ora dobbiamo restare focalizzatito un minuto da giocare e un compa- sull'obiettivo - dice Nicola Brienza -gno in lunetta per il +1 (l'ex biancone- È una serie dura, sono le piccole cosero si è poi subito infilato negli spoglia- che fanno la differenza. Nei momentitoi al suono della sirena disertando la difficili abbiamo comunque semprepremiazione). Un regalo non da poco difeso bene e nel finale ci sono stateper i Tigers, privi sì di Aw ma a loro buone scelte».

Il traguardo è dietro l'angolo. La finaleè a soli 40 minuti di distanza.«Servirà l'aiuto di tutti», aveva detto ilcoach italiano prima di gara-3. Sabatonon è stato necessario. Domani po-trebbe esserlo.

volta «beneficiari» dell'infortunio (se-rio sembrerebbe) di Heath, «top sco-rer» vallesano, un minuto dopo il suoingresso in campo, e arrivati agli ulti-mi minuti del match di sabato con ilfiato corto, colpa di una rotazione ri-dotta e per una volta poco efficiente.Sì perché intorno alla prestazione ba-listica di Carey (15/24 dal campo e ilgioco da 4 punti sul 67-71 che ha sal-vato la partita con 90" sul cronome-tro), oltre appunto a «Stocki» e Wil-liams, i padroni di casa offensiva-mente non hanno avuto molto altro;poco da Everett, svagato e tutt'altroche lucido in diversi frangenti, conuna serie di brutte decisioni solo inparte compensate dai 10 assist finali;non tanto di più dai vari Louissant,

SEMIFINALIBEST OF FIVE

Gara-3:

Ginevra Lions - Olympic FR

Nella serie: 2-1

Lugano Tigers - Monthey

Nella serie: 2-1

79-77

77-72

Domani gara-4:



19.30

19.30

PLAYOFF


Gara-3:


Nella serie: 2-1


Nella serie: 2-1

79-77

77-72

Domani gara-4:



19.30

19.30

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Date: 22.05.2017






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PROTAGONISTA Sabato, all'Istituto Elvetico, il bianconero Tristan Carey ha messo a segno43 punti in gara-3 della semifinale contro i vallesani del Monthey. (fo togonnella)

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Date: 22.05.2017

Giornale del Popolo6903 Lugano091/ 922 38 00www.gdp.ch/





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III I

I

I Lugano Tigers, reduci dal break incasa del Monthey, si sono ripetuti an-che all'Elvetico, in gara-3, allungandoil passo quindi nella semifinale playoff:la finale è ora vicinissima.

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Date: 22.05.2017






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BASKET Tigers, match-ball per la finaleLa squadra di Brienza, che ha battuto il Monthey in gara-3, domani può chiudere la serie«Abbiamo fatto un passo importante, ma ora dobbiamo restare focalizzati sull'obiettivo»MATTIA MEIER


24-15, 45-33, 60-54


Spettatori: 450.

Lugano Tigers: Everett 5 (0/7 da 2, 1/4da 3,+ 2/2 tiri liberi), Carey 43 (8/12,7/12 + 6/7), Louissant A. (0/3, 0/4),Stockalper 12 (0/3, 4/4), Williams E. 15(6/9 + 3/5); poi: Steinmann 2 (1/4,0/3),West (0/2). NE: Cafisi, Mussongo.

BBC Monthey: Young 14 (5/8, 0/4 + 4/4),Efevberha 21 (3/4, 4/9 + 3/3), Humphrey10 (3/10,1/2+ 1/2), Dubas 13 (3/5, 1/4+ 4/6), Maza 10 (3/4, 1/2 + 1/2); poi:Maruotto 4 (0/5, 1/3 + 1/2), Heath,Fritschi.


III «Ho semplicemente fatto la miapartita. Ho trovato da subito un buonritmo e ho cercato di fare il massimoper aiutare la squadra». Le parole so-no di Tristan Carey, pronunciate po-chi minuti dopo aver infilato 43 puntiin gara-3, grazie ai quali il suo Luganoha superato Monthey per la secondavolta nella serie guadagnandosi cosìun ghiotto match-ball da sfruttare do-mani sera nuovamente tra la muraamiche dell'Istituto Elvetico. Una ga-ra-3 portata a casa con merito, ma dasudori freddi quella giocata sabato. Ibianconeri hanno dominato a larghitratti grazie a una fuga con picchi da

+15 nel secondo e terzo quarto, lan- Così coach Brienza è stato costretto aciata dal già citato «top scorer», ap- spremere i suoi tenori, pagando qual-poggiato da Stockalper e da un Wil- cosa in lucidità con lo scorrere deiliams finalmente concreto sotto ca- minuti. Non a caso gli ospiti hannonestro. Poi si è però rischiato di perde- cominciato a rientrare in partita con ilre nel finale di un quarto periodo di progressivo calare dell'efficienza of-sofferenza, con i vallesani rientrati fensiva di chiunque non si chiamassepian piano in partita, bravi ad erodere Carey da parte ticinese. Ma, conside-il vantaggio luganese prima ed incre- rato il risultato finale, è stato ottenutodibilmente nervosi poi, ad immagine il massimo della resa.di Young e Efevberha, ad un passo dal «Abbiamo fatto un passo importante,venire alle mani in campo per un pas- ma ora dobbiamo restare focalizzatisaggio non effettuato con ancora tut- sull'obiettivo - dice Nicola Brienza - .to un minuto da giocare e un compa- È una serie dura, sono le piccole cosegno in lunetta per il +1 (l'ex biancone- che fanno la differenza. Nei momentiro si è poi subito infilato negli spoglia- difficili abbiamo comunque sempretoi al suono della sirena disertando la difeso bene e nel finale ci sono statepremiazione). Un regalo non da poco buone scelte».per i Tigers, privi sì di Aw ma a loro Il traguardo è dietro l'angolo. La finale

di distanza.

rio sembrerebbe) di Heath, «top sco-volta «beneficiari» dell'infortunio (se- è a soli 40 minuti

«Servirà l'aiuto di tutti», aveva detto il

rer» vallesano, un minuto dopo il suo coach italiano prima di gara-3. Sabato

ingresso in campo, e arrivati agli ulti- non è stato necessario. Domani po-

mi minuti del match di sabato con il trebbe esserlo.

fiato corto, colpa di una rotazione ri- PLAYOFFdotta e per una volta poco efficiente.Sì perché intorno alla prestazione ba- SEMIFINALIlistica di Carey (15/24 dal campo e il BEST OF FIVEgioco da 4 punti sul 67-71 che ha sal-vato la partita con 90" sul cronome- Gara-3:

tro), oltre Lions Olympic FR 79-77e appunto a «Stocki» e wil-liams, i padroni di casa offensiva Nella serie: 2-1

LuganoTigers Monthey 77-72mente non hanno avuto molto altro;

Nella serie: 2-1poco da Everett, svagato e tutt'altroche lucido in diversi frangenti, con Domani gara-4:una serie di brutte decisioni solo in Ginevra Lions - Olympic FR 19.30

parte compensate dai 10 assist finali; Lugano Tigers - Monthey 19.30

non tanto di più dai vari Louissant,Steinmann e West (2 punti in tre).


24-15, 45-33, 60-54


Spettatori: 450.

Lugano Tigers: Everett 5 (0/7 da 2, 1/4da 3,+ 2/2 tiri liberi), Carey 43 (8/12,7/12 + 6/7), Louissant A. (0/3, 0/4),Stockalper 12 (0/3, 4/4), Williams E. 15(6/9 + 3/5); poi: Steinmann 2 (1/4, 0/3),West (0/2). NE: Cafisi, Mussongo.

BBC Monthey: Young 14 (5/8, 0/4 + 4/4),Efevberha 21(3/4, 4/9 + 3/3), H umphrey10 (3/10,1/2+ 1/2), Dubas 13 (3/5,1/4+ 4/6), Maza 10 (3/4, 1/2 + 1/2); poi:Maruotto 4 (0/5, 1/3 + 1/2), Heath,Fritschi.


PLAYOFF


Gara-3:


Nella serie: 2-1


Nella serie: 2-1

79-77

77-72

Domani gara-4:



19.30

19.30

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Date: 22.05.2017






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t

PROTAGONISTA Sabato, all'Istituto Elvetico, il bianconero Tristan Carey ha messo a segno43 punti in gara-3 della semifinale contro i vallesani del Monthey. (fotogonnella)

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Date: 22.05.2017

La Regione Ticino6500 Bellinzona091/ 821 11 21www.laregione.ch





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BASKET

Primo match ball peri Tigers, avanti 2-1 nellaserie di semifinale

»,rww

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Date: 22.05.2017






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SPICCHI DEL LUNEDI

Alti e bassi di un successoserie di semifinale.Tigers avanti 2-1 nella

(Incontro dapprimadominato, poi sofferto evinto all'ultimo minuto.di Dario 'Mac' BernasconiLa partita è iniziata nel miglioredei modi, soprattutto dopo il 10-11 al quando i bianconeri han-no saputo piazzare un 11-0, condue triple di Stockalper per il 21-11 al 7 Va pur detto che al 5' si èinfortunato Heath (da 66" incampo) e per i vallesani è statoun brutto colpo. Chiuso il primoquarto avanti di 9, 24-15, i padro-ni di casa sono stati devastanti,dopo aver subito un 9-0 con tretriple di Maruotto. Prima Stoc-kalper e poi Carey, con tre tripleconsecutive, hanno proiettato ilLugano avanti di 15, 41-26 alInerzia che è continuata per i re-stanti minuti, prima di andarealla pausa a +12, 45-33.Nel terzo quarto, dopo un 4-0 ini-ziale dei vallesani, ancora Stoc-kalper e Carey a ricacciare indie-tro gli ospiti con un 6-0, 51-37.Vantaggio che è durato sino al 5;58-45. Poi è salito in cattedraEfevberha, con due triple conse-cutive. I bianconeri si sono incep-pati su un parziale di 2-9: 60-54all'ultima pausa

Si lotta su ogni pallone

Il +7 al 3' è stato il massimo van-taggio nell'ultimo quarto, perchéil Monthey ha stretto le file delladifesa, il Lugano non ha più gio-cato con sufficiente calma, favo-rendo il rientro ospite. Ci si èmesso anche Novakovic con unassurdo fallo antisportivo a Wil-liams, pagato con 5 punti e unatripla di Efevberha dallo spoglia-toio: 67-68 al Nemmeno il time-out di Brienza ha portato frutti,perché i vallesani sono scappatiavanti di 4, 67-71, con un parzialedi 9-0 fra il 5' e l'8'. Carey ha messoun 3+1 fondamentale, per l'ulti-mo pareggio a quota 71. Errori dauna parte e dall'altra, Maruottoha infilato un solo libero su 2. A54" dalla fine Everett non ha sba-gliato dalla lunetta, Carey lo haimitato, dopo l'errore da tre di

Maruotto a 34" dalla sirena: 75-72.Efevberha ci ha provato da tre,ma sul rimbalzo bianconero Wil-liams è andato a schiacciare ildefinitivo 77-72.Una vittoria costruita con ungrande dispendio di energie psi-cofisiche, anche perché il Mon-they ha saputo tornare in partitacon carattere. Il Lugano si è peròmostrato ancora una volta piùsquadra, all'immagine di qual-che battibecco fra alcuni giocato-ri vallesani, e ha avuto un Careystratosferico con 43 punti. Moltobuona la prova di Williams, conuna doppia doppia, 15 punti e 10

rimbalzi, mentre capitan Stoc-kalper è stato bravissimo a ricu-cire e riallungare in alcuni mo-menti topici. Louissaint (0/7),

TTPRESS/F. AGOSTA

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Date: 22.05.2017






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non è stato quello di Monthey, maha difeso bene, mentre Stein-mann non era in giornata Eve-rett con un orrendo 1/11 non haavuto vita facile anche in regia,ma ha fatto la sua parte in difesa,come West con 5 rimbalzi impor-tanti. Mancava Aw, ma l'assenzadi Heath è stata un fardello nonda poco per Dubas e compagni.Felice Brienza: «Una semifinaledei playoff è così, con queste ca-ratteristiche. Alla fine sono stati idettagli a fare la differenza Noiabbiamo sprecato qualche palladi troppo, loro un paio di tiri nelfinale. Le cifre sono molto simili,per cui non poteva che finire così.Adesso prepariamoci per il pri-mo match point».

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Date: 20.05.2017






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Basket All'Elvetico per allungareTornati dal Vallese con 1'1-1 in tasca, i Tigers proveranno ad azzannare MontheyIl tecnico Nicola Brienza predica calma: «È una serie di semifinale equilibrata»MATTIA MEIERIII Sbancata Monthey nel secon-do episodio della semifinale, iLugano Tigers sono tornati dalVallese con in tasca l'1-1 nellaserie e il vantaggio del fattorecampo, con cui cercare di co-struirsi il primo «match ball»questo pomeriggio tra le muraamiche dell'Istituto Elvetico.Per farlo, occorrerà dare conti-nuità alla prestazione del matchdi martedì scorso, giocato conintensità e mentalità da playoff.Una prestazione che ha denota-to anche una certa maturità daparte dei bianconeri, come ciconferma coach Nicola Brienza:«Condivido, in gara-1 non ave-vamo giocato la pallacanestroche avremmo dovuto giocareper batterli» spiega l'allenatoredei bianconeri. «Nella secondapartita invece c'è stata una ri-sposta, abbiamo messo in prati-ca quello che ci eravamo prefis-sati, ma tutto nasce dalla con-centrazione dei ragazzi. Primadi gara-2 non abbiamo dovutostravolgere niente, abbiamoparlato, riguardato il primo in-contro per cercare di capire glierrori e poi martedì abbiamomesso a frutto tutto questo incampo. Sintomo appunto digrande concentrazione e vogliada parte di tutti, sicuramenteun'ottima base su cui lavorare».

Anche loro potrebberovenire qui e vincerealmeno una partita

E con la serie che si sposta a Lu-

gano, per i Tigers arriva anchel'opportunità di andare in van-taggio e mettere Monthey con lespalle al muro: «È una seriemolto equilibrata, come è capi-tato a noi anche loro potrebberovenire qua e vincerne almenouna. Da parte nostra non avre-mo più il viaggio, il che ci puòdare quel po' di energia in piùda sfruttare soprattutto nelleprime battute del match. Ma ri-badisco che la chiave è semprela stessa, ovvero riuscire a fare ilnostro gioco, il che significacontrollare il ritmo della partitae non lasciarlo in mano loro. Unritmo che sia controllato, dice-vo, perché di certo con giocatoricon le nostre caratteristiche,prendi Williams ad esempio,non puoi correre su e giù per ilcampo tutto il tempo».Jules Aw però, infortunato a unpiede, ha con tutta probabilitàchiuso qui la sua stagione:«Quando perdi un giocatorenon è mai facile, ma nei playoffAw aveva fin qui giocato già po-co. Quindi è un'assenza cui sia-mo abituati e poi abbiamo unasquadra esperta, con giocatoricome Stockalper, Everett, Wil-liams, ma anche Steinmann,tutti ragazzi che sanno cosa vuoldire giocare i playoff e che san-no come dare una mano ai com-pagni. E oggi avremo bisogno ditutti, non basterà giocare in 5,ognuno dovrà essere pronto adare qualcosa in campo. Cosami aspetto da Monthey? Io soquel che farei se fossi il loro alle-natore, ma non posso certo dir-velo (ride ndr.)».

SEMIFINALI

BEST OF FIVE

Gara 3:


Nella serie: 1-1


Nella serie: 1-1

Oggi 16.00

17.00

PLAYOFF


Gara 3:

Ginevra Lions - Olympic FR oggi 16.00Nella serie: 1-1

Lugano Tigers - Monthey 17.00

Nella serie: 1-1

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Date: 20.05.2017






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BASKET Oggi (17.00) gara-3 delle semifinali - Il Lugano ospita il Monthey

Dai college ai playoff:la carica giovane di Cafisi

Mattia Cafisi,

è tornato19 anni,

recentementedal Nord America,

con tanta vogliadi far bene.

(foto Reguzzi)

%

Questa sera, all'Elvetico, I Tigers vanno a cacciadel sorpasso nella serie contro i vallesani.Ne parliamo con il talento ticinese Mattia Cafisi,che dichiara: «Quando sono sotto pressione,i nostri avversari sono tutt'altro che imbattibili»

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Date: 20.05.2017






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MARCO GALLI

Il grande successo conseguito mar-tedì scorso in gara-2 alla Reposieuxha rilanciato le quotazioni del Luganoche ora, giocando in casa la terza sfida,ha addirittura l'occasione di operare ilsorpasso e di portarsi a un punto dallafinalissima visto che anche la quar-ta sfida è programmata sulle rive delCeresio, martedì prossimo (la serieè "best of 5"). I bianconeri insommavogliono ancora stupire contro un av-versario che quest'anno vuol fare ditutto per festreggiare al meglio il 75° difondazione. Il modo in cui Stockalper ecompagni hanno domato i romandi fadavvero sperare in bene, anche se neiplayoff occorre avere sempre i piediben saldi per terra perché ogni mini-mo calo può essere fatale. Per tastareil polso ai Tigers abbiamo interpellatoMattia Cafisi, che da un mese circa siè riaggregato ai bianconeri dopo avertrascorso otto mesi negli Stati Uniti perallenarsi ad alto livello nel Colorado inun importante college: la Sunrise Chri-stian Academy, a Wichita (Kansas).

Mattia, martedì avete letteralmen-te ammutolito il pubblico vallesa-no con una prova superlativa.Siamo davvero contenti di aver rad-

drizzato la situazione, non era sempli-ce vista la caratura tecnica dell'avver-sario. Va detto che in gara-1 siamo statisfortunati perché abbiamo dovuto farei conti con diversi infortuni - Eric Wil-liams in primis - e questo ci ha creatonon pochi problemi. Nella seconda sfi-da invece siamo riusciti ad esprimercial meglio, anche perché siamo statomolto più attenti nel limitare i contro-piede ed i canestri facili dei vallesani.Insomma, il Lugano... seconda ver-sione è stato semplicemente molto piùsolido e pratico ed ha quindi meritatoampiamente la vittoria.

Era importante soprattutto il lavo-ro in retrovia conoscendo il talentoed i centimetri dei romandi.Sapevamo che lavorando bene in di-

fesa sarebbe stato determinante e cosìè stato, il Monthey spesso ha faticatoa trovare i suoi spazi per concludere.Quando sono sotto pressione, i nostriavversari sono tutt'altro che imbatti-bili.

Il Lugano ha pure dimostrato unagrande concentrazione nei mo-menti topici di gara-2.Nei playoff non devi mai perdere la

testa, noi abbiamo saputo giocare sem-pre con la giusta intensità e continuità,rispettando alla lettera le indicazionidel nostro allenatore. Contro questotipo di avversari occorre essere semprepropositivi e concreti. Nel primo quar-to, malgrado la percentuale molto più

bassa al tiro rispetto ai vallesani, siamosempre riusciti a tenere nel punteggio.Lì abbiamo capito che potevamo direla nostra fino in fondo. Fondamentaleè stato anche essere riusciti ad imporreil nostro gioco ed il nostro ritmo.

Oggi dovrete confermarvi anche inattacco. Martedì avete saputo col-pire molto e con precisione anchedalla lunga distanza.In un incontro dove la posta in palio

è altissima, i 3 punti possono veramen-te fare la differenza. Noi finalmenteabbiamo saputo manovrare e trovarei giusti spazi per andare a segno conuna certa continuità, fatto questo cheha non poco destabilizzato il Monthey.È assolutamente importante tirare almomento giusto, e per fare ciò occorreche la squadra sappia manovrare confluidità attorno al perimetro per per-mettere al giocatore di andare a colposicuro, naturalmente potendo ancheusufruire di un appoggio sicuro sottoil canestro per assicurarci un discretonumero di rimbalzi.

Sei stato per otto mesi negli StatiUniti nel Colorado dove ti sei potu-to preparare con allenatori di unacerta caratura e sotto gli sguardidi un certo Danno Gallinari (stel-la dei Denver Nuggets in NBA).Un'esperienza che ti è servita peraumentare il tuo bagaglio tecnico.Assolutamente sì, ho potuto acqui-

sire importanti nozioni che mi hannopermesso di progredire su certi fon-

damentali. Ci siamo allenati 3-4 volteal giorno, ho potuto irrobustirmi sulpiano fisico ed inoltre anche sul pia-no umano questa è stata una trasfertamolto pagante.

Sei tornato a Lugano insomma piùrinfrancato e coach Brienza ti con-

sidera visto che sei il primo sostitu-to del play titolare Everett.Sentire la fiducia del proprio tecnico

è importante, ti fa aumentare la consa-pevolezza nei tuoi mezzi. Come i mieicompagni, io cerco sempre di farmitrovare pronto al momento giusto,ogni singolo elemento della squadradeve sempre dare il massimo, spe-cie ora che siamo nei playoff. Brienzaquando mi chiama in causa mi chiedesempre di dare la giusta energia, di fargirare bene la squadra e di smistare lapalla al giocatore giusto per il tiro. Ogniautomatismo deve essere perfetto peravere i risultati sperati.

Ritieni che vincendo questa sfida ilLugano ha concrete possibilità diaccedere alla finale?Nei playoff bisogna essere razionali

e mai guardare troppo lontano. Biso-gna fare un passo alla volta. Ho sem-pre avuto fiducia in questo gruppo edè ovvio che vincendoi anche questapartita metteremmo una grande pres-sione sulle spalle dei vallesani, chequest'anno hanno grandi ambizioni.Abbiamo ottime qualità tecniche edun sufficiente tasso di esperienza persuperare il Monthey.

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Date: 20.05.2017






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I romandi hanno principalmen-te quattro punti forti, ossia Heat,Dubas, Efevberha e Maruotto. Chidi questi toglieresti volentieri dalcampo?Direi sicuramente uno tra Heat Du-

bas visto che il Monthey può far valereuna batteria di lunghi pu profonda ri-spetto alla nostra squadra. Ad essereonesti talvolta accusiamo qualche pro-blemino in questo settore, per questaragione dovremo far valere un grandemovimento ed i giusti "taglia fuori"soprattutto sotto il nostro tabellone.Come ho detto nutro comunque moltafiducia in questo Lugano e la vittoriaottenuta martedì ci lancia sicuramen-te in vista dell'odierna sfida che si an-nuncia ancora molto combattuta finoalla fine.

QUI LUGANO: Brutta tegola per gliuomini di Brienza che hanno persoAw per un infortunio. La sua stagione èda considerarsi conclusa. Tutti gli altrisono invece arruolabili per gara-3.

LNAM, SEMIFINALI, GARA-3

Lugano - Monthey

Ginevra - Friborgo

oggi 17.00 (s: 1/1)

domani 16.00 (s: 1/1)

beneficenza con i Tigers

Oggi, in occasione di gara-5 tra Tigers e Mon-they, il club luganese organizza la 3a giornatadel progetto benefico "Tigers Cares". Essa saràa favore dell'associazione ticinese Chaba, attivain Thailandia. Chaba sarà presente al match e sipotrà sostenerla con l'acquisto di gadget o conofferte libere. Nello specifico, il ricavato saràdestinato al. progetto "Mamma/bambino: unio-ne da proteggere" che sostiene le madri giovanie sole in situazione precaria nel nord del Paese,di modo che non debbano abbandonare i figli.

LNAM, SEMIFINALI, GARA-3

Lugano - Monthey

Ginevra - Friborgo

oggi 17.00 (s: 1/1)

domani 16.00 (s: 1/1)

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BASKET I LEGA NAZIONALE A

'è i rea a co er-are

Il tecnico bianconero, però, mette in guardia i suoi: 'Attenzione ai vallesani, avranno preparato le contromosse' TI PRESSI) AGOSTA

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Date: 20.05.2017






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Dopo aver espugnatoMonthey, martedì, oggiil Lugano va a cacciadell'allungo, sulla stradache porta alla finaledi Dario 'Mec' Bernasconi

È tempo di gara 3, nelle semifina-li playoff. Con due serie in perfet-ta parità. Infatti, sia il Lugano(che oggi ospita il Montheyvetico, alle 17), sia il Ginevra (chericeve l'Olympic) sono riusciti aconquistare una vittoria esternamartedì, mettendo a loro favore ilfattore campo. Ciò significa chenei prossimi due incontri casa-linghi tanto i ticinesi, tanto i gi-nevrini potrebbero staccare il bi-glietto per la finale. Un'opportu-nità che ha come scoglio l'equili-brio visto nelle due precedentigare, pur se con dinamiche diver-se. Nella prima partita, infatti, ledue squadre che giocavano incasa non hanno lasciato scampoalle avversarie, mentre nella se-conda il Lugano ha dominato e ilGinevra ha saputo recuperareben quindici punti di scarto al-l'Olympic, con la complicità deipasticci dei burgundi.

All'Elvetico mancheràl'apporto di Aw. Brienza:`Gli altri, tutti quanti,dovranno dare qualcosain più per compensare'

Tuttavia, Nicola Brienza, il coachbianconero, ha una visione digara 1 un po' diversa dalla nostraE ci spiega il perché: «La prima

sfida - dice -è stata determinatada una nostra incapacità a conte-nere i ritmi dall'avversaria nelprimo quarto, perché da quelmomento in poi siamo stati inpartita. In gara 2, invece, abbia-mo fatto tesoro degli errori fatti eabbiamo vinto».Quali errori, in particolare? «In-nanzitutto mettendo in praticauna difesa più attenta, con unWilliams in campo che sa il fattosuo. Inoltre, in attacco abbiamocontrollato bene e abbiamo avu-to un'ottima circolazione di pal-la, ciò che ci ha permesso deibuoni tiri, che abbiamo poi sapu-to `mettere'».Cosa ti aspetti dalla partita dioggi? «Il Monthey avrà certa-mente ragionato sulla sua pre-stazione di martedì, quindi avràpreparato le contromosse perrenderci la vita difficile. Ovvia-mente noi non siamo stati certo abearci di quanto fatto, ci siamopreparati».Finora, nelle cinque gare fin quigiocate, voi siete in vantaggio 3-2.«È vero, ma non illudiamoci: ivallesani hanno tutto il potenzia-le per poter espugnare l'Elvetico.Se noi dovessimo avere dei cali,loro ne approfitterebbero certa-mente, perché la qualità non faloro difetto».Il vostro gioco di squadra si è ri-velato il migliore: cosa si può faredi più? «I dettagli fanno la diffe-renza in questo tipo di partite. Unrimbalzo, una palla persa o recu-perata: a volte basta davvero unnonnulla per cambiare la partita

Ed è su questi dettagli che abbia-mo lavorato, perché le sfide deiplayoff hanno tutte il peso di unafinale, quindi non ti sono conces-si sbandamenti».Nell'occasione dovrete fare ameno di Aw, una pedina moltoimportante nell'economia dellerotazioni. «Purtroppo è così: Ju-les non ce la farà a tornare incampo, per cui dovranno esserebravi tutti gli altri, tutti quanti, adare quel qualcosa in più percompensare».Cosa vorresti, pensando al matchdi stasera? «Vorrei un grandepubblico, quello che abbiamo vi-sto raramente in casa e che in oc-casioni come queste fa la diffe-renza. Mi auguro proprio che tut-ti gli amanti del basket, a comin-ciare dai nostri tifosi, siano pre-senti a darci stimoli in più. Cosache ci è spesso mancata in pas-sato».

Basket e solidarietà

Continua, nell'ambito di "LuganoCare", la promozione del Basketclub Lugano a favore di enti be-nefici. Quest'oggi, in occasionedella sfida con il Monthey, l'ospi-ta è il Chaba, l'associazione dellefamiglie adottive thailandesi chesi occupa anche di sostenere pro-getti mirati nel Paese asiatico, afavore - in questo particolaremomento - del sostegno alimen-tare alle giovani madri abbando-nate. Un momento di sano altrui-smo, che speriamo coinvolga congenerosità tutto il pubblico pre-sente all'Elvetico.

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