Communiqué de presse

Toulouse, le 29 avril 2015

Le spécialiste de la cartographie 3D GAIDDON Software lève 350 000 euros

La start-up toulousaine GAIDDON Software, lancée en 2010, est spécialisée dans le traitement et l’analyse d’images aériennes et satellites. Son concept innovant de reconstruction 3D d’environnements à partir d’une simple photographie aérienne s’adresse aussi bien au marché de l’entraînement (simulation aérienne, défense), qu’au marché de la cartographie au sens large (GPS), ou encore de l’immobilier. Forte de cette technologie unique, la société vient de réaliser une levée de Fonds de 350 000 euros via la plateforme de Crowdfunding WiSeed, abondée par Bpifrance.

Cette levée de Fonds va permettre d’accélérer la croissance de GAIDDON Software et de structurer son développement commercial.

Une technologie exclusive sur un marché de niche

Créée par quatre entrepreneurs, GAIDDON Software est née de la volonté de son fondateur, Fabien

Gaiddon, de développer de nouvelles technologies pour aller plus loin dans l’exploitation de l’imagerie satellite. La start-up propose une offre de produits autour de la cartographie 3D pour différents domaines applicatifs :

x Le marché du « serious gaming », à travers sa

solution SceneryBox pour simulateurs de vol. Celle-ci propose une expérience ultra réaliste

grâce aux données de l’Institut Géographique National qui sont adaptées et fournies aux

utilisateurs de simulateurs de renom tels que

Microsoft Flight Simulator et Lockheed Martin

Prepar3D. GAIDDON Software fournit également des données 3D au marché de la défense

pour l’entrainement des troupes ou encore l’aide au commandement.

x Le marché de la cartographie de manière plus transversale, et notamment le marché du GPS qui tend de plus en plus à afficher des visuels 3D et pour lequel il n’existe pas aujourd’hui d’offre à grande échelle.

L’activité de GAIDDON Software repose sur la vente de licences de son logiciel Digibati. Cette

technologie, s’adresse aux industriels des marchés de la cartographie, de la défense, du serious gaming,

etc. Pour les acteurs ne souhaitant pas s’équiper de cette technologie, la start-up propose également, à

l’aide de Digibati, de livrer des cartographies 3D clé en main, simple d’utilisation grâce à une technologie disruptive développée en interne.

Grâce à ce logiciel, GAIDDON Software se positionne en tant que leader sur un secteur de niche, en

rupture totale avec le reste du marché. Cette technologie innovante est en effet la seule à permettre de modéliser 70% du territoire à partir d’une seule photographie, contrairement à d’autres services de cartographie qui nécessitent plusieurs prises de vues aériennes dans des endroits parfois difficiles

d’accès. Pour reconstruire l’environnement en 3D à partir de cet unique visuel, la technologie de

GAIDDON Software détecte l’emprise de chaque bâtiment sur la photographie, puis analyse leur hauteur à partir de leur ombre portée.

Le faible coût et la rapidité de traitement des données sont deux autres avantages considérables offerts par cette solution.

Une première levée de Fonds pour structurer le développement de GAIDDON Software

Début mars, GAIDDON Software a levé 350 000 euros via la plateforme de Crowfunding WiSeed, abondée par Bpifrance.

Cette somme va permettre à la start-up de lancer la commercialisation de Digibati et de structurer son développement sur de nouveaux marchés tels que celui de l’urbanisme.

En outre, la société travaille actuellement sur le lancement en France d’une application clé en main destinée aux promoteurs immobiliers, leur permettant de valoriser l’implantation d’un projet immobilier au sein de son environnement, et ce, en 3 dimensions afin d’aider leurs clients à se projeter dans leur achat.

A l’horizon 2017, la société prévoit également la sortie de ses technologies en mode Saas pour le Cloud, lorsque le marché sera plus mûr.

« Grâce à cette levée de Fonds, nous allons pouvoir passer de la phase d’amorçage de la solution à une technologie opérationnelle, ce qui représente un vrai soutien à notre croissance. Nous avons choisi la plateforme WiSeed pour une question de proximité géographique, mais aussi et surtout pour sa composante sociétale et son rôle de prescripteur. Au-delà de l’aide financière, la plateforme apporte un soutien à l’entreprise et lui fait profiter d’un véritable réseau », explique Fabien Gaiddon, président de GAIDDON Software.

A propos de GAIDDON Software

Fondée en février 2010 par 4 entrepreneurs et hébergée au sein des pépinières d’entreprises de Toulouse Métropole, GAIDDON Software SAS développe des produits autour de l’harmonisation radiométrique, la reconstruction 3D automatique d’environnements urbains et de photos réalistes pour les simulateurs de vol et le serious gaming. Labellisée Jeune Entreprise Innovante, la société GAIDDON Software axe son développement autour de l’innovation. En mars dernier la start-up a réalisé une levée de Fonds de 350 000 euros via la plateforme de Crowdfunding WiSeed, abondée par BpiFrance. L’expertise de la startup a déjà su séduire des clients prestigieux tels que la région Midi-Pyrénées, Airbus Defence & Space, Veolia et Magellium. Pour plus d’informations sur GAIDDON Software : www.gaiddon-software.com

Contact Presse OXYGEN Charline Kohler Tel : 05 32 11 07 32 charlinek@oxygen-rp.com

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Contact presse : Sarah RESCOUSSIÉ : Relations Presse de Réseau Entreprendre Midi-Pyrénées – 05.61.75.02.36 – srescoussie@reseau-entreprendre.org1

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Pascale CIEUTAT, élue Présidente de Réseau Entreprendre Midi-Pyrénées

Le Conseil d’Administration de Réseau Entreprendre Midi-Pyrénées a élu et présenté à son Assemblée Générale, le mardi 28 avril 2015, Pascale CIEUTAT, à la présidence de Réseau Entreprendre Midi-Pyrénées. Elle succède à David FRAMBOURG, qui exerçait cette fonction depuis 2012. Pascale CIEUTAT est la présidente de l’Agence DTZ Toulouse.

« Réseau Entreprendre représente un vrai enjeu économique pour la région Midi-

Pyrénées ; « Pour créer des emplois, créons des employeurs » ; cette devise d’André

Mulliez a presque 30 ans et reste toujours d’actualité. Je m’attacherai, dans la

lignée de mes prédécesseurs, à faire en sorte que nous puissions accompagner un

nombre croissant de créateurs ou repreneurs d’entreprise ; je souhaite leur

transmettre ma passion d’entreprendre et partager avec eux mon expérience de

patron de PME. J’espère entraîner dans cette voie de plus en plus d’adhérents et

partenaires qui partageront les valeurs de partage, de gratuité, d’échange et

d’accompagnement chères à notre association. »

Pascale CIEUTAT à l’issue de son élection, a indiqué les axes de travail et les enjeux essentiels pour Réseau Entreprendre Midi-Pyrénées :

• Un objectif d’accompagnement ambitieux avec un plancher d’au moins 25 entreprises lauréates en 2015, car la priorité de Réseau Entreprendre est de créer des emplois.

• Augmenter les moyens humains, en atteignant le cap des 110 adhérents pour pouvoir réaliser toutes les missions (parcours du créateur, comité d’engagement, accompagnement des lauréats…).

• Pour permettre d’accompagner les lauréats, trouver les fonds nécessaires pour alimenter le fonds de prêt, en sollicitant de plus en plus nos partenaires institutionnels, financiers et entreprises.

Pascale CIEUTAT : « une entrepreneuse », dirigeante de DTZ Pascale CIEUTAT, 56 ans, a racheté en 1996 l’agence toulousaine d’un cabinet de conseil international en immobilier d’entreprises, il s’agissait de l’agence DTZ JEAN THOUARD. A cette époque en sortie de période de crise économique, l’agence DTZ comptait 2 salariés et un chiffre d’affaire en berne. Aujourd’hui, l’équipe est de 10 collaborateurs, avec un chiffre d’affaire qui a été multiplié par 10. Pascale CIEUTAT est en contact permanent avec le monde de l’entreprise qui représente 100 % de ses clients. Une femme engagée, bénévole Au-delà de cette expérience de chef d’entreprise, Pascale CIEUTAT a également développé des missions de bénévolat en tant que présidente de TOULOUSE ENTREPRISES, qui est un réseau d’échange d’informations destiné aux prestataires de services en entreprise. Plus récemment, en 2012/2013, Pascale CIEUTAT a pris la présidence de l’Observatoire Toulousain de l’Immobilier d’Entreprises (OTIE : association dont l’objet est la production d’études relatives au marché de l’immobilier d’entreprise et aux évolutions annuelles des indicateurs économiques).

Contact presse :

Sarah RESCOUSSIÉ : Relations Presse de Réseau Entreprendre Midi-Pyrénées – 05.61.75.02.36 – srescoussie@reseau-entreprendre.org2

Pascale CIEUTAT est devenue membre de Réseau Entreprendre Midi-Pyrénées en 2010, et Administratrice en 2013. « J’ai été attirée par les valeurs d’éthique, de gratuité, de réciprocité que Réseau Entreprendre souhaitait transmettre. Je me suis très vite impliquée dans la vie du réseau puisque je m’y sentais bien. J’ai participé aux comités d’engagement, aux parcours du créateur, mais ce qui m’a vraiment passionné c’est l’accompagnement de jeunes créateurs d’entreprise. J’ai eu la chance d’en accompagner deux (Sandrine QUEYROI d’EASY TRI et Sébastien DREUX d’IMMAUTAN CONSEIL). Parallèlement je suis rentrée au Conseil d’Administration il y a 2 ans, et j’ai pris en charge la commission recrutement d’adhérents ». Pour mener à bien son mandat, Pascale CIEUTAT est entourée d’un Conseil d’Administration engagé à ses

côtés :

• Jean-Robert SERNY, vice-Président département Tarn-et-Garonne

• François THIBERT, vice-Président département Gers

• Jean-Marc BINSON, Trésorier

• Cécile CAZAUX, Secrétaire

• Jean-Louis ARNAL

• Frédéric FAURÉ

• Christophe MARCILLY

• Sébastien PERROT

• Henri POUJOULA

• Didier SIMON

A PROPOS DE RÉSEAU ENTREPRENDRE

« Engagés pour votre réussite ! »

QUI SOMMES-NOUS ? Un réseau de chefs d’entreprise créé en 2001 par des entrepreneurs engagés, sous l’impulsion nationale d’André Mulliez. Notre conviction : « Pour créer des emplois, créons des employeurs ». Notre vocation : contribuer à la réussite de nouveaux entrepreneurs à potentiel (lauréats) en leur proposant un accompagnement humain et financier, gratuit et dans la durée, réalisé par des chefs d’entreprise passionnés, expérimentés et en activité. NOS CHIFFRES CLÉS

- 100 adhérents bénévoles - 175 entrepreneurs accompagnés depuis 2001 - 83% des entreprises accompagnées sont toujours en activité après 3 années d’existence - 2 600 0000 euros de prêts d’honneur accordés - Plus de 2 000 emplois créés ou sauvegardés RÉSEAU ENTREPRENDRE MIDI-PYRÉNÉES

Hôtel d’entreprises du Ramier 19, chemin de la Loge – 31400 TOULOUSE 05.61.75.02.36 – midi-pyrenees@reseau-entreprendre.org Pour en savoir plus www.reseau-entreprendre-midi-pyrenees.fr

Entreprises Midi-Pyrénées Mai 2015 25

L ’ I N D U S T R I E E T L E B Â T I M E N T T O U J O U R S P L U S V E R T S

4 entreprises régionales s’engagentpour compenser leurs émissions de gaz àeffet de serre !

Compenser ses émissions de CO2 en investissant dans des forêts de la région.

L’entreprise Malet, Le Nouveau LogisMéridional, Scopelec et Veolia ontfait appel au consortium Alséidepour compenser leurs émissions de

gaz à effet de serre qui ne peuvent être niévitées, ni réduites. Alséide réunit Biocenys,le Conservatoire des Espaces NaturelsMidi-Pyrénées, l’Ecole d’ingénieurs de Pur-pan, le bureau d’études Gilles Barreau spé-cialisé en expertise forestière et Taoma quia sollicité ces entreprises pour leur propo-ser une solution inédite et innovante autourdes forêts locales.

Compenser ses émissions en préservantles forêts localesL’idée est de donner la possibilité aux en-

treprises de compenser leurs émissions degaz à effet de serre en préservant les forêtslocales. L’entreprise stocke ses émissions,sur des parcelles cadastrales certifiées,dans des forêts privées qui sont prises engestion par le consortium. Ces forêts deviennent une ressource pourvaloriser le territoire (création de filière bois,sentiers de promenades, …). Elle contribueà créer des réservoirs de biodiversité enabondant à un fonds spécifique visant à

acquérir de vieux massifs très riches en biodiversité. Ceux-ci sont ensuite cédésgracieusement au fonds inaliénable duConservatoire des Espaces Naturels. Ce"esolution est particulièrement innovante car

c’est la première fois que sont conciliées,dans une gestion globale, toutes les ap-proches : la sylviculture, la biodiversité, lestockage carbone et la valorisation de la dé-marche.

Les motivations des 4 pionniersCarole Burgué-Mazars, chargée de mission environnement chez Malet : nous menons des travaux sur la RN88 àproximité d’Albi et nous avons trouvé intéressant de pouvoir participer à la valorisation du territoire sur lequel nous tra-vaillons. Nous avons donc souhaité aller au-delà de nos obligations règlementaires et stocker une partie des émis-sions qu’émet ce chantier dans des forêts locales. Nicolas Réocreux, chef de projet au Nouveau Logis Méridional : nous sommes très impliqués dans le renouvelle-ment urbain du quartier des Izards à Toulouse avec la réhabilitation de la Cité Blanche. Depuis déjà 1 an nous avons in-tégré la biodiversité dans notre projet comme créateur de lien social. Compenser les émissions liées au déroulementdu chantier nous paraissait faire sens avec ce"e démarche. Anthony Carle!i, responsable QHSE chez Scopelec : Labellisés ISO 26000, nous sommes engagés dans une dé-marche RSE depuis plus de 2 ans. Notre bilan carbone souligne que notre source principale d’émissions de CO2 estnotre flo"e de véhicules. A défaut de pouvoir réduire cet impact inhérent à notre contexte métier, le projet Alséidenous permet d’y apporter une réponse concrète, pérenne et en accord avec notre volonté d’ancrer nos actions envi-ronnement sur le territoire.Jean-François Rezeau, directeur chez Veolia du territoire Midi-Pyrénées Atlantique de l'activité recyclage et valori-sation des déchets: ce projet permet de concrétiser nos objectifs environnementaux par des actions concrètes lo-cales et responsables. Ce qui nous a séduit dans ce"e démarche, au-delà de la compensation des émissions, c'est decontribuer à la création de réservoirs de biodiversité en Midi-Pyrénées. Veolia étant, par ailleurs, très engagé dans laprise en compte des espèces et écosystèmes au sein de ses différentes activités.

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L ’ I N D U S T R I E E T L E B Â T I M E N T T O U J O U R S P L U S V E R T S

Quels avantages ? Même si cela a du sens de compenser dansdes projets de pays du Sud, l’entreprisepeut avoir envie d’agir sur son territoire.«Les forêts pilotes sont en Midi-Pyrénéesmais l’action est reproductible dans toutesles régions de France» relève EmmanuelleParache, dirigeante de Biocenys.L’entre-prise reçoit un certificat de stockage de sesémissions, une a!estation de sa participa-tion au fonds ainsi que des rapports an-nuels sur les forêts Alséide. Elle a, parailleurs, la possibilité d’emmener ses parte-naires, clients ou collaborateurs dans les fo-rêts du consortium en compagnie d’unexpert forestier et d’un naturaliste pour unedemi-journée d’expérience autour du chan-gement climatique, du carbone ou de la bio-diversité.

Comment participer ? Il faut définir un nombre de tonnes équiva-lent CO2 à compenser, ce calcul peut s’ap-puyer par exemple sur les bilans carboneréalisés. L’entreprise verse ensuite un mon-tant forfaitaire au consortium pour partici-per au projet. Dans les forêts maîtrisées enMidi-Pyrénées, 150 tonnes équivalents CO2

correspondent environ à 15 hectares de fo-rêt gérée, dans laquelle les émissions sontstockées, soit 7500 arbres. L'entreprise per-met l'acquisition de 1.5 hectare de vieillesforêts.

Pourquoi une solution autour dela forêt ?Emmanuelle Parache : «Les forêts rendentdes services essentiels : production dedioxygène, purification de l'atmosphère,maintien des sols, préservation de la res-source en eau, valorisation du paysage, activités récréatives... Elles sont aussi unlieu privilégié d’accueil de la biodiversité etde stockage des émissions carbone. L’évaluation de l’ensemble des services quela forêt rend, comparée à la valeur de la fo-rêt par rapport à sa seule fonction d’appro-visionnement en bois, est multipliée par 5.C’est dire si elle est importante. La forêtfrançaise est étendue, plus de 16 millionsd’hectares, mais sa gestion n’est pas opti-misée. Parallèlement les vieilles forêts, lesplus riches en biodiversité, se raréfient. Lasolution Alséide permet aux entreprises departiciper à l’amélioration de ce!e gestion forestière, en respectant les possibili-tés de productivité bois et en prenant en compte la biodiversité. Par le biais duconventionnement Alséide, des forêts deviennent ainsi des acteurs actifs de l’économie locale».

Consortium AlséideBiocenys : société coopérativequi accompagne les entrepriseset les collectivités dans la priseen compte de la biodiversité.Conservatoire d’Espaces Natu-rels Midi-Pyrénées, associationloi 1901, dédiée à la préservationdu patrimoine naturel de Midi-Pyrénées qui présente un intérêtou un potentiel écologique, biologique ou géologique. L’Ecole d’ingénieurs de Purpanet son équipe de recherche Biodiversité, Télédétection etTerritoire/UMR1201 DynaforINRA/ INPT. Gilles Barreau, bureau d’étudesspécialisé en expertises agri-coles, forestières. Taoma,conseil et formation dans lesnouvelles pratiques pour un développement durable des territoires.

Emmanuelle Parache, dirigeante de Biocenys.

Transition énergétique : Tisséo SMTCse dote de 25 bus hybrides diesel-électriques

Pour répondre aux objectifs natio-naux de croissance verte, Tisséo alancé une «mission énergie et déve-loppement durable». L’un des en-

jeux identifiés est la stratégie de parc busvisant à supprimer progressivement, à l’ho-rizon 2030, les véhicules tout diesel de sonparc.Lors de son dernier comité syndical, leSMTC a entériné la commande en 2015 de25 autobus urbains de 18 mètres à motori-sation hybride destinés à l’exploitation delignes du réseau urbain Tisséo de l’agglo-mération toulousaine. C’est la société Heu-liez Bus qui fournit ces véhicules dont lepremier devrait circuler dès la rentrée 2016.L’avantage principal de ces bus se situe auniveau de la très faible émission de bruit auxarrêts et une consommation réduite en par-ticulier sur les lignes les plus fréquentées.En termes de consommation, le gain de ga-zole est de 25 à 35 % pour les véhicules hy-brides par rapport aux véhicules diesel.Le véhicule hybride permet de traiter plu-sieurs problèmes en même temps : la pol-lution atmosphérique, le bruit, l’économiede carburant…L’autobus hybride Diesel électrique supprime la boîte de vitesses et permet de

propulser le véhicule directement par le mo-teur électrique, lui-même alimenté par unegénératrice électrique. Des ba!eries per-me!ent de stocker et restituer l’énergie.Le but étant de consommer moins de car-burant, l’économie prévue est de 25 à 35%.Elle dispose également d’une fonction ZéroEmissions aux arrêts : l’arrivée et le départaux arrêts se fait en mode électrique pur,donc pas d’émissions de rejets ni de bruitlorsque le bus s’approche des clients à l’ar-rêt.Ce!e technologie est particulièrementadaptée aux vitesses réduites et aux arrêtsfréquents (typologie de ligne qui garantit lemeilleur rendement de la solution hybride); elle sera donc réservée aux lignes de buscirculant dans un milieu urbain dense..