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Revue de presse Mise à jour Septembre 2017

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Revue de presseMise à jour Septembre 2017

DANS LA PRESSE

ECRITE PAPIER

On parle de nous

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2017

Extrait de l'article de L'Usine nouvelle n° 3499 du 19 au 25 janvier 2017"

Janvier

2017

Décembre

2016

Encadrées et soutenues par les entreprises, les journées de

repos dédiées à des actions citoyennes et sociales se

développent. Cette forme de bénévolat collectif bénéficie

à des associations humanitaires. Un dispositif qui favorise

l’engagement des salariés. Que ce soit dans la société ou

dans l’entreprise.

Pour ces salariés, RTT ne rime pas toujours avec jour chômé

ou week-end prolongé. Le temps d’une journée, ils préfèrent

se retrousser les manches plutôt que se reposer. Leurs

tâches ? Trier des vêtements pour les démunis, collecter des

denrées destinées à une épicerie sociale, aménager les

locaux d’une association caritative ou créer un jardin

partagé… Dans le groupe d’assurance Covéa (Maaf, MMA,

GMF), le dispositif des RTT solidaires a été généralisé cette

année à l’ensemble de ses 20 000 employés. Depuis

septembre dernier, 150 volontaires se sont inscrits à des

chantiers solidaires au cours d’une vingtaine de journées.

« Fidèles à nos valeurs mutualistes, nous avons souhaité que

nos collaborateurs puissent donner de leur temps en

apportant leur aide à une association », explique Renaud

Pesesse, responsable des projets RH. Et ce genre d’initiative

est loin d’être un cas isolé. La Poste, Axa, Macif, ou encore

le cabinet d’audit et de conseil Deloitte donnent l’occasion

à leurs salariés de s’investir dans des activités sociales.

Lien vers l’article complet : http://jgarcialopez.over-

blog.com/2016/12/rtt-solidaires-les-volontaires-s-engagent-

pour-la-bonne-cause.html

Auteur(s) : Par José Garcia Lopez

Paru dans Entreprise & Carrières, N° 1314 du 06/12/2016

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Juin

2013

SUR DES BLOGS

ET DES

WEB-MAGAZINES

On parle de nous

Septembre

2017

Économie sociale

Les modalités collaboratives du mécénat d’entreprise

Le mécénat collaboratif s’impose dans les mœurs des entreprises. Cas concrets.

Le mécénat d’entreprise, qui reprend de la vigueur pour la première fois en 2016, tend à devenir plus

incarné, en systématisant l’implication de l’ensemble des collaborateurs. Les acteurs traditionnels ou

les nouveaux intermédiaires rivalisent d’ingéniosité pour élargir la palette des engagementspossibles : micro-don financier, mécénat de compétences, congé solidaire… Les entreprises y voient

l’occasion de générer de la fierté, décloisonner en interne, répondre aux salariés en quête du sens.

Ces investissements personnels sont, pour les associations et fondations, un gage de pérennité du

partenariat avec l’entreprise.

[…]

Ségolène Delahalle

cofondatrice de Ça me regarde, société coopérative et participative (Scop) qui accompagne les

entreprises dans le développement de leur implication citoyenne

Dans quel but les entreprises font-elles appel à vous ?

Notre objectif est de sortir les collaborateurs de l’entreprise mais aussi de leurs domaines d’expertise :

nous nous distinguons du mécénat de compétences car nous avons l’intention de “faire tomber le

costume”. Nous proposons à nos clients des missions collectives d’une ou deux journées, avec 5 à

400 personnes, mais notre cœur de cible est le groupe de 30-40 personnes. Les salariés travaillent

avec des associations proches de l’entreprise ou de son lieu de séminaire, soit en se portant

volontaires, soit lors de séminaires solidaires.

Quelle est la promesse des séminaires solidaires ?

Il s’agit d’amener de la solidarité dans l’entreprise et de révéler le meilleur de chacun. Nous essayons

de faire germer l’envie d’améliorer le quotidien de l’entreprise, d’y apporter plus de bienveillance.

Les séminaires solidaires peuvent remplacer les activités de type karting ou paintball. Les

collaborateurs qui n’ont jamais travaillé dans ce milieu sont mis à l’aise. Nous faisons un débriefing en

fin de journée pour récupérer les verbatims de chacun. Ils font souvent part de leur fierté et de leur

étonnement. Les collègues se découvrent sous un nouveau jour, certains deviennent bénévoles.

Comment s’organise la rencontre des entreprises et du monde associatif ?

Nous cherchons à comprendre le besoin de l’entreprise puis nous cherchons un projet : par exemple,

faire du maraîchage avec des personnes en insertion, ou réaliser l’inventaire dans une épicerie

solidaire. Il y a eu des pionniers du côté des entreprises et des associations. Au début, ces dernières

étaient un peu frileuses. Puis une association s’est dite intéressée. Elle proposait de l’accueil de jour

pour les SDF, mais ne voyait pas ce qu’elle pouvait proposer à un groupe de salariés. En nous

rendant dans les locaux, nous avons vu qu’elle avait un potager abandonné, et nous avons proposé

que l’entreprise paie une clôture que les salariés viendraient poser. Et depuis le 1er janvier 2012, nous

avons travaillé avec 90 entreprises, réalisé un peu plus de 200 opérations solidaires au profit d’une

soixantaine d’associations.

Lien vers l’article complet : https://www.lenouveleconomiste.fr/lesdossiers/les-modalites-collaboratives-du-mecenat-dentreprise-61176/

Auteur(s) : Par Solange Brousse

Juin 2017

Une deuxième édition de l’opération « Solidarité Au Sens

Propre » avec le Samusocial.

Après une première édition très encourageante, l’opération SOLIDARITÉ AU SENSPROPRE se lance dans une seconde édition. L’opération vise à collecter auprèsdes entreprises et de leurs salariés un maximum de produits d’hygiène et de soinau profit du Samusocial de Paris. SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE se déroule en deuxtemps, une période de collecte puis une immersion au sein de l’association pourles salariés « ambassadeurs ».

De consommation courante, les produits collectés seront ensuite distribués auxpersonnes hébergées dans les centres d’urgence et fréquentant les espacesd’accueil de jour, soit environ 50 000 hommes et femmes en Ile-de-France. Lesproduits peuvent être par exemple des brosses à dents, du shampoing, du savon

ou du gel douche neutre, des peignes et brosses à cheveux, des rasoirs et de lacrème à raser ou bien encore, pour les enfants, des couches, des lingettes, desserviettes hygiéniques ou du lait de toilette.

Une opération en deux temps pour les participants.Du 19 au 29 septembre 2017, ce sera la collecte. Les produits de soins et d'hygiènesont récoltés dans les entreprises. Les 12 et 13 octobre 2017, lors de l'immersion, lessalariés volontaires de l'entreprise se rendront au cœur de la plate-forme logistiquedu Samusocial de paris à Ivry-sur-Seine pour aider au tri des produits et aller à larencontre des travailleurs sociaux. Au moins un salarié volontaire de chaqueentreprise est invité à se rendre au siège du Samusocial de Paris pour trier les donset mieux comprendre leur utilisation. De retour dans l’entreprise, il pourra ainsitémoigner de leur distribution et expliciter le sens de l’action. L’équipe Ça MeRegarde, la SCOP qui pilote l'opération, organise et anime cette immersion avecla présence des responsables de l’organisation.

Les entreprises sont totalement accompagnées dans la démarche.Elles reçoivent un kit d’accompagnement pour aider à la communication, àl'information et à l'animation de l'espace de collecte. L'entreprise estaccompagnée également dans la logistique d’enlèvement des dons et pourl’inscription et l’encadrement des volontaires lors les demi-journées d’immersion et

de tri au Samusocial de Paris. Enfin, afin qu’elles puissent informer les participants,un reporting global est envoyé à l'issue de l'opération à toutes les entreprises.

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en intégralité en suivant ce lien :

https://www.oneheart.fr/news/5938189f8ead0e920c71b5a7/2017-06-07-

une-deuxieme-edition-de-l-rsquo-operation-laquo-solidarite-au-sens-propre-

raquo-avec-le-samusocial#c0X1Wkf3mx

Juin 2017

Une deuxième édition de l’opération « Solidarité Au Sens

Propre » avec le Samusocial.

La 2e édition de l’opération SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE de la Scop Ça MeRegarde sera lancée en fin d’année. Le but ? Collecter un maximum de produitsd’hygiène auprès des entreprises d’Île-de-France et de leurs salariés, au profit duSamusocial de Paris.

Collecte de produits d’hygiène et immersion des salariésAfin d’améliorer le quotidien des 50 000 hommes et femmes hébergés en centred’urgence et fréquentant les espaces d’accueil de jour du Samusocial de Paris, laScop (Société coopérative et participative) Ça Me Regarde a décidé de lancerl’opération SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE. La 2e édition se déroulera en septembreet en octobre 2017, en deux temps :- du 19 au 29 septembre, une collecte de produits de soin et d’hygiène au

bénéfice du Samusocial de Paris se tiendra dans les entreprises participantes d’Île-de-France ;- les 12 et 13 octobre, les salariés volontaires de ces entreprises iront aider au tri desproduits directement au siège du Samusocial de Paris à Ivry-sur-Seine.Roxane Da Cunha, chef de projet solidaire chez Ça Me Regarde,précise également : "Nous faisons aussi en sorte d'entendre les besoins expriméspar l'association. Ainsi, cette année nous insisterons sur la nécessité de collecterdes produits destinés aux enfants."

Une 1ère édition en 2015, dont le bilan s’est révélé très positifAfin d’assurer la réussite de l’opération, Ça Me Regarde accompagne lesentreprises en leur fournissant des affiches, des flyers et des cartons logotés,destinés à sensibiliser les salariés et à les inviter à faire don d’articles d’hygiène. En2015, la 1ère édition de SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE avait été un grand succès :près de 4 000 produits avaient été récoltés, dont environ 850 rasoirs, 700 savons etgels douche, 185 paquets de mouchoirs et 95 articles pour bébés. Grâce à cesproduits “Plus de 300 personnes hébergées dans les centres d’urgence duSamusocial de Paris ont ainsi bénéficié, chaque jour de l’année, des soinsd’hygiène participant à leur reconstruction" selon Aline Delettrez, Directrice dumécénat et du bénévolat au Samusocial. Cinq entreprises (Mercer, EDF,Candriam, Coca-Cola et Coved) avaient notamment participé, sur huit sites

différents, et 27 salariés ambassadeurs avaient été mobilisés au centre de tri duSamusocial de Paris.

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en intégralité en suivantce lien :https://www.carenews.com/fr/news/8200-operation-solidarite-au-sens-propre-deuxieme-edition

Mai 2017

L’opération SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE se lance dans une seconde édition

Après une première édition très encourageante, l’opération SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE se

lance dans une seconde édition. L’opération vise à collecter auprès des entreprises et de

leurs salariés un maximum de produits d’hygiène et de soin au profit du Samusocial de

Paris.

SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE se déroule en deux temps, une période de collecte puis une

immersion au sein de l’association pour les salariés « ambassadeurs ».

De consommation courante, les produits collectés seront ensuite distribués aux personnes

hébergées dans les centres d’urgence et fréquentant les espaces d’accueil de jour, soit

environ 50 000 hommes et femmes en Ile-de-France. Les produits peuvent être par

exemple des brosses à dents, du shampoing, du savon ou du gel douche neutre, des

peignes et brosses à cheveux, des rasoirs et de la crème à raser ou bien encore, pour les

enfants, des couches, des lingettes, des serviettes hygiéniques ou du lait de toilette.

Une opération en deux temps pour les participants

- Du 19 au 29 septembre 2017 - La collecte

Les produits de soins et d’hygiène sont collectés dans les entreprises.

- Les 12 et 13 octobre 2017 - L’immersion

Les salariés volontaires de l’entreprise se rendront au cœur de la plate-forme logistique du

Samusocial de paris à Ivry-sur-Seine pour aider au tri des produits et aller à la rencontre des

travailleurs sociaux.

Deux demi-journées de tri au Samu Social de Paris

Au moins 1 salarié volontaire de chaque entreprise est invité à se rendre au siège du

Samusocial de Paris pour trier les dons et mieux comprendre leur utilisation. De retour dans

l’entreprise, il pourra ainsi témoigner de leur distribution et expliciter le sens de l’action.

L’équipe Ça Me Regarde, la SCOP qui pilote l’opération, organise et anime cette

immersion avec la présence des responsables de l’organisation.

Les entreprises totalement accompagnées dans la démarche

Un kit d’accompagnement est fourni pour chaque entreprise ou site participant. Il

comprend :

L’entreprise est accompagnée également dans la logistique d’enlèvement des dons et

pour l’inscription et l’encadrement des volontaires lors les demi-journées d’immersion et de

tri au Samusocial de Paris.

Enfin, afin qu’elles puissent informer les participants, un reporting global est envoyé à l’issue

de l’opération à toutes les entreprises.

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en intégralité en suivant ce lien :

http://www.ressources-solidaires.org/L-operation-SOLIDARITE-AU-SENS

Mai 2017

Les entreprises invitées à participer à la deuxième opération « Solidarité au

sens propre »

Avec 4 000 produits d’hygiène et de soin récoltés, la première édition de « Solidarité au

sens propre » s’était conclue de manière très encourageante. L’opération, organisée par la

SCOP Ça Me Regarde au profit du SAMU social de Paris, est renouvelée pour une seconde

édition.

Solidarité au sens propre » vise à collecter, dans des entreprises, auprès des salariés, un

maximum de produits d’hygiène et de soin de consommation courante. Les produits

peuvent par exemple être des brosses à dents, du shampoing, du savon ou du gel

douche neutre, des peignes et brosses à cheveux, des rasoirs et de la crème à raser ou

encore, pour les enfants, des couches, des lingettes ou du lait de toilette.

Les produits collectés seront ensuite distribués aux gens hébergés dans les centres

d’urgence et fréquentant les espaces d’accueil de jour, soit environ 50 000 personnes en

Île-de-France.

« Donner un flacon de gel douche pour une personne sans abri est plus utile qu’on ne

l’imagine ! Bien plus qu’un simple geste de propreté, le soin d’hygiène quotidien contribue

à la réappropriation d’un corps oublié et à la restauration d’une estime de soi

défaillante », explique Aline Delettrez, directrice du mécénat et du bénévolat au SAMU

social.

Une opération en deux temps pour les entreprises et les salariés

« Solidarité au sens propre » se déroule en deux temps. D’abord, accompagnées par

l’organisateur « Ça me regarde », les entreprises organiseront la collecte du 19 au 29

septembre 2017. Elles recevront un kit d’accompagnement avec des affiches et des flyers

pour annoncer et expliquer l’opération ainsi que des cartons arborant un logo et un

kakemono pour identifier et organiser l’espace de collecte.

Puis, les 12 et 13 octobre, des volontaires au sein de l'entreprise se rendront au cœur de la

plate-forme logistique du SAMU social à Ivry-sur-Seine pour une immersion au contact de

l’association. Pendant une demi-journée, ces salariés aideront au tri des produits et

rencontreront les acteurs de l’action du SAMU social. Ces ambassadeurs pourront ainsi

mieux comprendre leur utilisation et témoigner de leur distribution et expliquer le sens de

l’action dès leur retour dans l’entreprise.

Un beau succès lors de la première édition

Pour sa première édition, « Solidarité au sens propre » a réussi à embarquer cinq grandes

entreprises qui ont elle-même mobilisé huit sites en tout. Florence Mehl, assistante de

direction chez Mercer et participante à la première édition, se rappelle : « Les salariés ont

apprécié que l'entreprise s'engage dans ce type d'action. On nous a dit qu'il fallait le faire

plus souvent. Car lorsque ces actions sont encadrées, elle sont plus motivantes ».

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http://www.miroirsocial.com/actualite/14661/les-entreprises-invitees-a-participer-a-la-

deuxieme-operation-solidarite-au-sens-propre

Avril

2017

Entrepreneurs & Startups

Avez-vous déjà entendu parler des

séminaires solidaires ?par Julie Galeski

Pour dépoussiérer les séminaires d’entreprises et les rendre

plus utiles, la SCOP Ça Me Regarde veut pousser les

entreprises, petites et grandes, à adopter les séminaires

solidaires.

Seriez-vous prêt à participer à un team building solidaire ?

Pour 88 entreprises, la réponse a été « oui», sous l’égide de

Ça Me Regarde qui organise des séminaires utiles et

responsables. Selon les objectifs poursuivis par l’entreprise et

les besoins des associations, de multiples formats sont

possibles: team-building, convention, session d’intégration,

comité de direction.

« Nous voulions sortir du format habituel des séminaires

d’intégration pour nos nouveaux employés en ajoutant du

sens à ces moments de cohésion. L’enjeu pour nos

nouveaux employés était de réaliser un inventaire, un tri

massif et un classement de vêtements stockés au sein du

Samu social. L’utilité, le « faire ensemble » et l’adhésion

immédiate de tous nos nouveaux employés a permis la

réalisation d’un travail incroyable sur cette journée

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suivant ce lien :

https://www.widoobiz.com/entrepreneurs-startups/avez-

vous-deja-entendu-parler-des-seminaires-

solidaires/79255

Janvier

2017

Société

Ça Me Regarde a vu justepar Philippe RUAUDEL · Publication 20 janvier 2017 · Mis à jour 20 janvier

2017

En France, la Scop Ça Me Regarde propose l’organisation

d’événements et de chantiers solidaires, aux entreprises

soucieuses du développement durable.

Le temps est aujourd’hui une denrée qui se raréfie. Pourtant,

la société coopérative et participative (SCOP) Ça Me

Regarde fait le pari d’utiliser un peu du temps des salariés

des entreprises, au profit d’actions solidaires en partenariat

avec des associations. Ségolène Delahalle et Arnaud Fimat,

deux anciens salariés de Manutan, ayant en commun le

même engagement pour le développement durable, co-

fondent Ça Me Regarde en 2012. Devant le constat d’une

déshumanisation galopante et une crise profonde de sens

de notre société, Ça Me Regarde propose un cadre pour

faire bouger les mentalités et combattre la fatalité. La

structure compte trois salariés. Cependant, l’équipe peut

être renforcée ponctuellement en fonction des différents

projets. L’état d’esprit des Scop permet, notamment, à

chacun d’exposer ses idées et de donner son avis.

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suivant ce lien :

http://www.lesgoodnews.fr/2017/01/20/ca-me-

regarde-a-vu-juste/

Lesgoodnews.fr

Janvier

2017

Une journée solidaire dans une communauté Emmaüs

Ça me regarde organise des séminaires et des RTT solidaires auprès d’une cinquantaine d’associations spécialisées dans la

précarité ou l’environnement. Sous la houlette de cette Scop, Kaizen s’est immergé dans la communauté Emmaüs Liberté à Ivry-

sur-Seine (94) le temps d’une journée solidaire.

Le tri des vêtement est un moment important. Face à cette montagne,

savoir décrocher et admettre qu’on en viendra pas à bout.

© Ça Me Regarde

« Partir à la découverte des autres et de soi », telle est l’invitation au voyage que je reçois dans ma boîte e-mails. À la lecture de ces mots inspirants, je m’inscris. Et,

par un froid matin de décembre au ciel plombé de particules fines, je délaisse mon vélo pour m’engouffrer dans le métro. Cap sur la communauté Emmaüs Liberté à

Ivry-sur-Seine (94). À 9 heures, m’accueillent Franck Leton, coresponsable de cette communauté, et Arnaud Fimat, cofondateur de la Scop Ça me regarde. Quatre

autres personnes sont du voyage. « L’idée, nous expliquent-ils autour d’un café noir, est de s’immerger dans la communauté Emmaüs. C’est par le travail que la

rencontre avec les Compagnons, qui sont des acteurs et non des bénéficiaires, va se faire. Ils sont 45, et 26 nationalités se côtoient. Beaucoup ont connu la rue. La

clef de cette journée : ne rien en attendre. Simplement vivre le moment présent. » Vaste chantier, même au nom de la solidarité !

Immersion dans le bric-à-brac de la boutique

M’efforçant de mettre en sourdine la petite voix qui, en boucle dans ma tête, rumine le passé et se projette dans l’avenir, je m’ancre dans le présent au milieu d’un

poétique bric-à-brac. Me voici dans la boutique Emmaüs sur laquelle veille Ali, « mon » Compagnon pour la matinée. Vite ! Les clients, de plus en plus nombreux, se

pressent devant le vaste entrepôt. Il faut ranger de la vaisselle, rassembler des tableaux, balayer des débris de verre, mettre des bibelots sur les étagères, réassortir

des lampes… Ouf ! Il est 10 heures. Ouverture des portes. Une foule de points d’interrogation déferle : « Où sont les décorations de Noël ? », « Vous auriez des

objets des années 1920 ? C’est pour une pièce de théâtre. », « Magnifique, ce service ! D’où ça vient ? De l’hôtel de Vendôme ? Oh ! C’est chic. Je vais en faire des

cadeaux ! », « Combien coûte cette lampe ? » Emmitouflé dans un blouson d’hiver, chauffage d’appoint à ses pieds, Ali égrène les prix, serrés comme le café du

matin. Je l’aide à emballer les articles dans du papier journal, tout en engageant la conversation. 12 heures ! Je n’ai pas vu le temps passer. C’est l’heure de

déjeuner.

Le responsable du rayon livres connait les habitués et leur besoins. Il lui arrive de

mettre des livres de coté pour certains d’entre eux. © Ça Me Regarde

Des séminaires et des RTT solidaires

Pour donner le goût des autres, le repas est partagé. Du fumet de soupe monte des cuisines jusqu’à la barbe blanche de l’abbé Pierre dont le portrait surplombe la

salle commune. Le fondateur du mouvement Emmaüs, qui a passé sa vie à demander aux sans-rien « de l’aider à aider les autres », est présent dans tous les

esprits. Comme celui d’Ali, mon Compagnon, cette fois, de table. Tout en mangeant, il me montre, sur son téléphone, les montagnes vertigineuses du Pakistan, son

pays d’origine. Je nous fais atterrir sur le plancher des vaches en lui parlant de la Bretagne, ma région d’origine ! Après le dessert, je retrouve Franck Leton, Arnaud

Fimat et les quatre autres « voyageurs ».

L’occasion de nous dessiller les yeux sur Ça me regarde. Cette Scop propose des séminaires et des RTT solidaires. Comment ? En mettant en relation, dans toute

la France, les RH des entreprises avec une cinquantaine d’associations engagées dans la lutte contre la précarité ou la protection de l’environnement. Fini le Lido ou

le karting pour renforcer la cohésion d’équipe. « De leur côté, précise Arnaud Fimat, les associations bénéficient gratuitement de la puissance de feu des bénévoles

qui débarquent parfois à une centaine pour la journée. Au-delà, l’objectif est de se reconnecter, non seulement les uns aux autres, mais aussi avec soi. » Et de citer

l’exemple d’un participant qui avait pris conscience, en triant les vêtements issus d’une pile qui n’arrêtait pas de grimper, qu’il fallait qu’il lâche prise devant sa pile

de… courriels !

Des valises de vie au centre de tri

Moi aussi, des piles m’attendent : celles des objets qui arrivent au centre de tri. À 14 heures, j’y rejoins un autre Compagnon, Andrzej. Une forte poignée de main se

referme autour de la mienne. Sur son visage, les sillages creusés par une vie d’errance. Avec son accent qui me transporte dans les pays de l’Est, il m’indique les

cartons à déballer et les bacs dans lesquels transiteront les articles : tout-venant, ferraille, livres, appareils électroménagers, jouets, tissus, déchets, etc. Pendant

deux heures, nous faisons le tri dans un silence ponctué d’émotions devant deux valises rétro qui renferment une paire de gants en dentelle, des photos jaunies, un

collier de perles… Le voyage de toute une vie.

16 heures : c’est la pause ! On termine la journée par un compte rendu et un rituel qui consiste à donner une citation résumant notre expérience. Cette journée

m’aura permis de ressentir sur le terrain que tout est interdépendant. Je me suis ainsi reliée à moi, aux autres venus d’un ailleurs et à la nature que l’on détruit pour

emmagasiner des biens matériels qui finissent en piles chez Emmaüs. Alors, je choisis le poète antillais Édouard Glissant : « Agis en ton lieu, pense avec le

monde. »

Aude Raux

Lien vers l’article en ligne : https://www.kaizen-

magazine.com/journee-solidaire-communaute-emmaus/

Décembre

2016

Crédit Agricole T&S mise sur la solidarité pour dépoussiérer le séminaire

d’intégration

Marc Do Van Tuan est directeur des ressources humaines et de la communication de

Crédit Agricole Technologies et Services. Avec son équipe, il a décidé d’entamer une

démarche de management innovante axée sur la solidarité en dépoussiérant l’exercice

du séminaire d’intégration des nouveaux collaborateurs. Prudent à l’origine sur ce projet,

la première session d’intégration, nouvelle formule, en lien avec la SCOP Ça me regarde et

le Samu social, a eu un effet positif sur les nouveaux collaborateurs et reçu une « adhésion

immédiate».

Pourquoi avoir choisi le solidaire comme socle pour vos séminaires d’intégration ?

Marc Do Van Tuan : Nous souhaitions sortir du format habituel des sessions d’intégration

pour nos nouveaux employés chez Crédit Agricole Technologies et Services en ajoutant

d’avantage de sens à ces moments de cohésion. Nous avons laissé mûrir notre réflexion :

la crainte de sortir des sentiers battus et de ne pas réussir à embarquer le collectif nous

invitait à avancer avec retenue. Après cette belle phase de construction du projet, de

défi de nos attendus avec l’équipe de Ça me regarde (la SCOP qui nous a accompagnés

sur le projet), nous nous sommes lancés avec leur appui sur une première initiative en

partenariat avec les responsables et l’équipe du Samu social de Paris.

L’enjeu concret et solidaire de la journée a-t-il ensuite pris corps dans le projet de

l’entreprise ?

Marc Do Van Tuan : L’enjeu était de taille pour nos nouveaux employés : réaliser un

inventaire, un tri massif et un classement de vêtements stockés au sein du Samu social

mais impossible à effectuer rapidement par ses propres équipes du fait de la volumétrie

(alors que cet approvisionnement sur le terrain est indispensable pour les maraudes et les

précaires). L'effet de cette action a été saisissant : ancrée sur le sens, l’utilité et le « faire

ensemble », l’adhésion immédiate de tous nos nouveaux employés a permis la réalisation

d’un travail incroyable sur cette journée. Ce projet a été encadré de bout en bout par

Arnaud Fimat et Ségolène Delahalle (les co-fondateurs de Ça me regarde) et le lien a été

immédiat avec la responsable du Samu social de Paris.

Au final, comment les collaborateurs ont-ils vécu cette expérience et qu’en reste-t-il ?

Marc Do Van Tuan : Chacun des collaborateurs et managers de Crédit Agricole

Technologies et Services est reparti avec un sentiment de fierté d’accomplissement,

d’authenticité et de découverte des autres, sur une action qu’ils ont porté « ensemble » et

qui correspond aux valeurs de notre entreprise. Une vraie démarche professionnelle et

humaine qui amènera d’autres expériences demain avec l’équipe de Ça me regarde.

Lien vers l’article en ligne :

http://www.miroirsocial.com/actualite/14067/credit-agricole-t-s-mise-sur-la-la-solidarite-

pour-depoussierer-le-seminaire-d-integration

Décembre

2016

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suivant ce lien :

http://www.rse-magazine.com/Les-RTT-solidaires-seduisent-

de-plus-en-plus-d-entreprises_a1963.html

Donner aux salariés l’occasion de s’engager dans des

causes solidaires est une pratique vertueuse qui porte

beaucoup de fruits : engagement, esprit d’équipe,

confiance en soi. Des arguments qui semblent porter

puisque de plus en plus d’entreprises se lancent dans

cette voie, raconte le journal Les Echos.

RSE Magazine le souligne chaque jour, il existe une

variété immense de leviers pour que l’entreprise ait un

impact social et vertueux sur la société. En même temps

que le concept de responsabilité sociale des entreprises

prend de l’ampleur, des pratiques se répandent vitesse

grand V.

Les RTT solidaires séduisent de plus en

plus d’entreprises Sébastien Arnaud

Novembre

2016

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en suivant

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RTT solidaires : s’engager sur une ou

plusieurs journées

JULIE LE BOLZER Le 25/11/2016 à 07:00

Tendance - Les RTT solidaires se

développent. En permettant aux

salariés de participer à des actions

qui ont du sens et d’apporter un

soutien logistique aux associations,

ces journées contribuent également à

décloisonner les équipes d’une même

entreprise.

http://business.lesechos.fr/directions-ressources-

humaines/management/developpement-

personnel/0211523169174-rtt-solidaires-s-engager-sur-une-ou-plusieurs-journees-302600.php

Octobre

2016

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RTT solidaires : un pari gagnant pour l’entrepriseFaire le tri de vêtements avant la distribution aux plus démunis, participer

à un atelier d’aide à l’emploi des plus pauvres, aider à la restauration d’un espace vert… Pendant une journée, grâce à leur entreprise, des salariés volontaires se mettent au service d’une association. C’est le principe des journées solidaires. Une expérience émotionnellement forte et stimulante pour les salariés, mais qui a aussi un véritable intérêt pour les entreprises. Explications.

Vers le blog : http://www.novethic.fr/Vers l’article : http://www.novethic.fr/empreinte-

sociale/conditions-de-travail/isr-rse/conges-

solidaires-un-pari-gagnant-pour-l-entreprise-144131.html

Septembre

2016

Des RTT solidaires au sein d'associations

caritatives pour recréer du lien entre salariés

Donner une journée de RTT pour aider une association caritative en découvrant par la même occasion le bénévolat et des collègues qu'ils n'auraient sinon jamais croisés: c'est ce que propose une scopqui a convaincu plusieurs grands groupes de sa démarche.Les salariés des entreprises intéressées peuvent ainsi s'inscrire à une ou plusieurs journées d'immersion totale au sein d'associations caritatives de recyclage, réinsertion, dans des foyers d'hébergement ou au sein d'écoles de la deuxième chance, expliquent à la presse Arnaud Fimat et Ségolène Delahalle, fondateurs en 2012 de cette scop (société coopérative et participative) baptisée "Ca me regarde" et qui compte trois salariés.Une fois le projet défini avec l'entreprise, les salariés volontaires posent une journée de RTT, de récupération ou de congé payé. Le jour J, ils peuvent tout aussi bien monter un atelier recherche d'emplois pour des jeunes, aider aux tâches d'une épicerie solidaire, trier des vêtements ou des objets, nettoyer un espace naturel, réhabiliter les locaux d'un centre d'hébergement ou concevoir une campagne de communication pour une association.

Septembre

2016

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Vers l’article :

http://lentreprise.lexpress.fr/actualites/1/actualites

/des-rtt-solidaires-au-sein-d-associations-

caritatives-pour-recreer-du-lien-entre-salaries_1839809.html

Des RTT solidaires au sein d'associations

caritatives pour recréer du lien entre salariés

Donner une journée de RTT pour aider une association caritative en découvrant par la même occasion le bénévolat et des collègues qu'ils n'auraient sinon jamais croisés: c'est ce que propose une scopqui a convaincu plusieurs grands groupes de sa démarche.Les salariés des entreprises intéressées peuvent ainsi s'inscrire à une ou plusieurs journées d'immersion totale au sein d'associations caritatives de recyclage, réinsertion, dans des foyers d'hébergement ou au sein d'écoles de la deuxième chance, expliquent à la presse Arnaud Fimat et Ségolène Delahalle, fondateurs en 2012 de cette scop (société coopérative et participative) baptisée "Ca me regarde" et qui compte trois salariés.Une fois le projet défini avec l'entreprise, les salariés volontaires posent une journée de RTT, de récupération ou de congé payé. Le jour J, ils peuvent tout aussi bien monter un atelier recherche d'emplois pour des jeunes, aider aux tâches d'une épicerie solidaire, trier des vêtements ou des objets, nettoyer un espace naturel, réhabiliter les locaux d'un centre d'hébergement ou concevoir une campagne de communication pour une association.

Mai

2016

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Vers le blog : http://www.metiseurope.euVers l’article : http://www.metiseurope.eu/ca-me-regarde-tout-le-monde-y-gagne_fr_70_art_30357.html

Octobre

2015

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Vers le blog http://www.youphil.com/Vers l’article en questionhttp://www.youphil.com/fr/article/08065-team-building-solidaire-nouvel-atout-entreprises?ypcli=ano

Mai

2015

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Vers le blog www.20minutes.frVers l’article en question www.20minutes.fr/lyon/1611419-20150519-lyon-salaries-benevoles-jour-chez-emma-rtt

Mai

2015

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Vers le blog www.lavie.frVers l’article en question www.lavie.fr/solidarite/carnets-citoyens/dans-le-val-de-marne-des-rtt-solidaires-bouleversent-la-vie-des-salaries-05-05-2015-62810_459.php

A LA RADIO

ET A LA TELEVISION

On parle de nous

Janvier

2017

http://www.france2.fr/emissions/mille-et-une-

vies/diffusions/16-01-2017_541419

Lorsque le monde du travail rencontre celui des ONG

Novembre

2016

https://www.youtube.com/watch?v=yC-

sr6Xw4vY&feature=youtu.be&list=PLbgfbH83Y

YQlsVpv4RV9EJJMGAbPya6yx

Août

2016

Ça Me Regarde, la société qui invente les RTTSOLIDAIRES ! C’et le sujet de La Bonne Idée du Jour,chronique présentée par Véronique Jacquier

Vers le podcast : http://www.sudradio.fr/Podcasts/La-bonne-idee-du-jour/ca-me-regarde

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Mai

2015

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http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-

alpes/2015/05/20/rtt-solidaires-chez-emmaus-

venissieux-728231.html

Mai

2015

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Après 8 ans d’exercice, les Carnets de campagne, riches demilliers d’innovations sociales, culturelles et économiques enFrance et aussi en Europe, prennent une autre dimension enouvrant davantage de dossiers pratiques liés à l’emploi, à laculture, à l’éducation, à la formation, à l’action sociale et auxmobilisations citoyennes tout en maintenant leur principe dedépart d’interroger les acteurs locaux. Les carnetss’enrichissent également d’annonces d’événements quifleurissent chaque année partout en France

http://www.franceinter.fr

http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=

1085211

Février

2015

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Journal du 12.45 de M6 du 24 Février 2015 :

Reportage sur les RTT solidaires. L’entreprise

lyonnaise APRIL est montrée en exemple avec son

dispositif de RTT SOLIDAIRE. Bruno Rousset, fondateur

du Groupe d’assurances APRIL y témoigne

également.

www.6play.fr/m6#/m6

Septembre

2014

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La Quotidienne met à son dossier du jour : JE VEUX FAIREDU BENEVOLAT ! L’entreprise GMF partage sonprogramme SOLID’ACTIONS qui propose à sescollaborateurs de découvrir le bénévolat entrecollaborateurs sous la forme de RTT Solidaire. FrançoiseSeurot Mathon, Dir. RSE de l’entreprise en partage lesenjeux.

http://vimeo.com/108095328

Juillet

2013

4 Juillet 2013, le journal de 20h de TF1 présente

les séminaires solidaires… : Les collaborateurs de

l’entreprise NEPSEN s’activent au cœur du Haras

de la Grande Maison, un site de l’association

ANDES ou maraichage et chantier d’insertion

donnent du sens à la rencontre.

https://vimeo.com/70468148

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DANS LES AGENCES

DE PRESSE

On parle de nous

Octobre

2016

Des RTT solidaires au sein d'associations caritatives pour recréer du lien entresalariésParis, 11 oct. 2016 (AFP)

Donner une journée de RTT pour aider une association caritative en découvrantpar la même occasion le bénévolat et des collègues qu'ils n'auraient sinon jamaiscroisés: c'est ce que propose une scop qui a convaincu plusieurs grands groupesde sa démarche.

Les salariés des entreprises intéressées peuvent ainsi s'inscrire à une ou plusieursjournées d'immersion totale au sein d'associations caritatives de recyclage,réinsertion, dans des foyers d'hébergement ou au sein d'écoles de la deuxièmechance, expliquent à la presse Arnaud Fimat et Ségolène Delahalle, fondateurs en2012 de cette scop (société coopérative et participative) baptisée "Ca meregarde" et qui compte trois salariés.

Une fois le projet défini avec l'entreprise, les salariés volontaires posent une journéede RTT, de récupération ou de congé payé. Le jour J, ils peuvent tout aussi bienmonter un atelier recherche d'emplois pour des jeunes, aider aux tâches d'uneépicerie solidaire, trier des vêtements ou des objets, nettoyer un espace naturel,réhabiliter les locaux d'un centre d'hébergement ou concevoir une campagne decommunication pour une association. Vingt journées ont ainsi été organisées cetautomne avec 150 inscrits chez Covea, groupe mutualiste d'assurances qui réunitla GMF, la MAAF et MMA et compte plus de 20.000 collaborateurs, explique

Renaud Pesesse, responsable aux ressources humaines. Il se félicite des "très bonsretours" des participants qui ont "vécu ensemble une expérience forte sans laquelleils ne se seraient jamais croisés".

Chez Sanofi, 110 salariés lyonnais ont testé l'expérience sur cinq journées et"certains ont souhaité la poursuivre", dit Christophe André, un des responsables deces questions au sein du groupe. Il y voit "l'occasion de développer le rôle social del'entreprise", de "recréer du lien" et de "la cohésion" au sein des équipes. "Capermet des rencontres improbables", ajoute-t-il, estimant que cette expérience"réhumanise l'entreprise".

Chez Mercer, groupe américain en conseil qui compte 300 salariés en Franceauxquels sont offerts ces RTT solidaires, une douzaine puis 35 y ont participé endeux ans avec Emmaüs et le Samu social de Paris, dit Laetitia Mortreuil. A l'instar deses homologues, l'entreprise se défend d'utiliser cette initiative pour son image etparle de "bien-être au travail".

Une soixantaine d'associations et 74 entreprises ou groupes ont fait appel à "Ca meregarde", parmi lesquels La Poste, Deloitte, BNP Paribas, Lagardère, Paul ou Suez,selon ses fondateurs.ls/db/fm