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REVUE DE PRESSE

Quelques chiffres 1Le JSL, édition papier 3Le JSL, édition internet 10Le Pays Roannais 69La Renaissance 70Livre d'or 72

Sommaire

6ème Biennale internationale d'art contemporain — Marcigny 71110 — Revue de presse

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Biennale Internationale 2012Artistes primés 2012 :

— prix du jury : Daniel LAFOUGE— prix du public : Marie Christine SOHM— prix de la presse : Bernadette MOREAU

La Biennale 2012 c'est :— 8 lieux, 11 salles d'exposition + le centre d'Art Contemporain— 6 semaines d'exposition— et associé à l'événement : la maison d'Art Bourgogne du Sud et l'Archipel sur le Lac— 12 420 visites dans les salles d'exposition et 2600 au centre d'Art Contemporain— 40 artistes et + de 150 œuvres exposées— Un pays invité d'honneur : le Vénézuela avec 42 artistes et 120 œuvres— Un programme de films avec le cinéma VOX et présence de deux réalisateurs du

Vénézuela— Deux concerts en l'église Saint Nicolas de Marcigny (concert de flûtes et duo orgue

et trompette)— Une fresque de Julio Ravelo peinte sur le mur du stade par 400 participants

bénévoles— Une toile de Julio Pacheco Rivas installée en plein centre ville— Conférence et présence aux différents événements de l'ambassadeur de France au

Vénézuela, M . Jean Marc Laforet— Une exposition de photos du Vénézuela d'Anne Louyot— 28 bancs poèmes exposés au parc municipal en partenariat avec, l'association 2A2B

(les ateliers du Chapeau Rouge) de Souvigny (03), culture et Bibliothèque pour tous,et Marcigny en poésie.

— Un programme d'enseignement d'Art plastique appelé« ARDECOLE » avec toutesles écoles de Marcigny, maternelles, primaires (publiques et privées), le collège et lerelais d'assistantes maternelles.

Merci aux artistes, à nos Établissements partenaires, à nos soutiens, aux 41 Bénévoles qui ontassuré 210 permanences, et à notre stagiaire : Alice Rocher

Les membres de l'association Regard sur l'Artwww.regardsurlart.fr

Quelques chiffres


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Le JSLédition papier

Le JSL du 29 juin 2012

Le JSL du 5 juillet 2012 Le JSL du 22 juillet 2012


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Le JSL du 22 juillet 2012Supplément TV


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Le JSL du 27 juillet 2012


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MARCIGNY. L’ASSOCIATION REGARD SUR L’ART DÉJÀ TOURNÉE VERS LA 6 E BIENNALE.Regard tourné vers l’avenirle 15/01/2011 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

La saison de l’association Regard sur l’art a été riche en événements. Elle a notammentmarqué de son empreinte la saison estivale et touristique.Le président Claude Senecaille a ouvert l'assemblée générale de Regard sur l’art en ayantune pensée émue pour deux précieux collaborateurs de l'association : Raymonde Papillon etDaniel Le Moal, beaucoup trop tôt disparus. Puis, il a remercié la municipalité, représentée parson maire, de son précieux soutien moral et financier.L’été a été marqué par une succession d'initiatives mettant en valeur l'essor fulgurant pris parles événements à caractère culturel. Parmi eux, on se souvient du gala de chants de ClaudeJulien, au Foyer, de l'exposition d'œuvres des Foyers ruraux dans le cadre de l'opération «Colegram », du concert public donné par le groupe Hollowave, de la conférence de BrigitteBarbier, et de la présentation de son film sur le portraitiste Jean Hucleux, la soirée country, duconcert de harpe par Agnès Peytour, de la biennale d'art contemporain, qui a attiré 33 artistesayant présenté 160 œuvres. Cette dernière a enregistré 10 520 visites.Un bureau élargiLa confiance est renouvelée au président Claude Senecaille, qui aura à ses côtés BenjaminTravely (vice-président), Andrée Maillet (trésorière). Michèle Favier et Odile Chapuis(secrétaires). Déjà bien structuré, le conseil d'administration, dont la volonté est à l'image dudynamisme de l'association, se trouve renforcé avec la création de commissions(communication, informatique, logistique, relations, accueil).Les projets pour 2011Il est envisagé de remettre au goût du jour les repas dansant, avec une soirée choucroute,animée par un orchestre, programmée le 19 mars. La soirée country est reconduite pour le 17septembre. La biennale d'art, qui recueille un écho national est directement liée à un rigoureuxplan de financement. Elle bénéficie de l'assurance de subventions des Conseils régional etgénéral, de la ville de Marcigny, et de l’engagement des sponsors. La 6 e édition aura lieu du 7juillet au 26 août 2012, fêtant par la même occasion son 10° anniversaire. Elle aura pourthème central Surprendre, et encore plus ouverte aux sculptures monumentales.Avec le concours du Centre Frank Popper, un projet éducatif doit voir le jour avec participation

Le JSLÉdition internet (www.lejsl.com)

MARCIGNY


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MARCIGNYLe nouveau local de Regard sur l’art inauguréle 26/07/2011 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

À la fin de l’automne dernier, Daniel Le Moal nous quittait pour rejoindre le paradis desartistes, entraînant la fermeture de la galerie Les Arts au soleil. Ce haut lieu culturel a trouvéun relais, suite à la récente acquisition de ce local par la ville. Il sera désormais le PC del’association Regard sur l’art, qui a procédé à son inauguration, en toute simplicité. Réceptionplacée sous le signe de l’émotion pour le président Claude Senecaille et toute son équipe quiont eu une pensée très forte, pour leur ancien membre et ami Daniel, en présence de sonépouse Françoise, très sensible à cet hommage.Daniel, avait pour habitude de signer ses œuvres et peintures « DLM ». Il restera un souvenirde lui, Regard sur l’art ayant eu la délicatesse de dénommer son nouveau local : « EspaceDLM ».À la tête de l’association depuis 2009, Claude Senecaille n’a pas manqué de remercier LouisPoncet, maire, et la municipalité, pour la mise à disposition de ce local, qui va permettre augroupe de bénévoles de travailler collectivement, en toute sérénité, pour mener à bon termeses projets, permettant à tous d’avoir accès à l’art et à la culture sous toutes ses formes.Parmi ces projets, se profile pour 2012 la 6 e Biennale d’art et de sculptures monumentales,sur le thème « surprendre les visiteurs », qui marquera d’ailleurs le 10 e anniversaire del’association. Déjà, 30 artistes de renom ont assuré les organisateurs de leur participation. Est-il besoin de rappeler que la précédente Biennale d’art contemporain avait reçu près de 11 000visites.L’espace DLM est situé au centre-ville, à côté de l’office de tourisme.

et exposition, sur le thème Animal dans l'art contemporain, des collégiens et élèves desécoles Publiques et Ste-Véraise.La 6 e biennale sera mise sur les rails dès mars prochain. L’année 2012 sera consacréeuniquement aux artistes, et à l'édition du catalogue.


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122 inscrits à l école Sainte-Véraisele 19/11/2011 à 05:00 par M. P. (CLP)

MARCIGNY122 inscrits à l’école Sainte-Véraisele 19/11/2011 à 05:00 par M. P. (CLP)

Les locaux réhabilités de l’école privée Sainte-Véraise ont accueilli son assemblée générale.Aux côtés de la directrice Annick Glattard, étaient présents M. Richard, directeur diocésaindépartemental et Gilbert Canfin, adjoint au maire.Annick Glattard a souligné le dynamisme des enseignantes et du personnel, sans oublier lepère Grobot qui contribuent au bon fonctionnement de l’école, et qui accordent une prioritéparticulière à l’éducation et au service des enfants, au même titre que l’Apel et l’Ogec.Au cours de la dernière décennie, les effectifs n’ont cessé d’être à la hausse, pour atteindrecette année 122 inscrits, répartis sur cinq classes (de la maternelle au CM) représentant 84familles. Garderie, étude surveillée et cantine sont des services très appréciés. La viepastorale tient une place de choix, avec en projets : célébration de Marie, visite de la crèchede l’église, célébration de Pâques, opération Bol de riz vendredi Saint, visite de l’église. Lesenfants du CP au CM2 travaillent l’oral avec le Cycle 2 en anglais.Sport et musiqueL’école bénéficie d’un créneau horaire au gymnase pour la pratique du sport. Les enfants sontaccueillis une fois par mois à la bibliothèque et peuvent emprunter des livres.Les intervenants extérieurs se manifestent régulièrement, Eddy Rosso, chef du Réveil musicalpour les classes primaires. La communauté de communes et ses éducateurs assurentl’encadrement d’activités sportives (VTT et séances d’orientation). Une initiation basket a eulieu avec Montceau-les-Mines.Projet annuelLe spectacle de Noël sera présenté salle du Foyer vendredi 9 et mardi 13 décembre à 20heures et aura pour thème « Les animaux », retenu aussi pour la Biennale d’Art en été 2012.Les enfants ont aussi réalisé des objets de déco, certains seront exposés et vendus lors de lafoire aux dindes du 10 au 12 décembre, salle des fêtes.


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MARCIGNY. « REGARD SUR L’ART » A DÉJÀ LA BIENNALE D’ART CONTEMPORAIN DANSLE VISEUR.Regard sur la Biennalele 13/12/2011 à 05:00 par Charlotte Rebet

Elle ne sera lancée qu’en juillet 2012, mais la biennale est déjà d’actualité à Marcigny et chezles bénévoles de Regards sur l’art.Elle revient tous les deux ans, et c’est bien le temps qu’il faut pour que les idées mûrissent.Pour que la Biennale d’art contemporain tisse une toile toujours plus importante sur Marcignyet ses alentours. En 2010, plus de 10 000 visiteurs ont pu admirer les sculpturesmonumentales et expositions aux quatre coins de la ville. Un chiffre qui suffit à résumerl’envergure de la manifestation.Surprendre !Née en 2002 d’une exposition de peintures au jardin public, la Biennale s’apprête à célébrerdix années d’existence. L’objectif n’a pas pris une ride. « Nous voulons promouvoir l’art enmilieu rural, sous toutes ses formes », rappelle le président de Regard sur l’art, ClaudeSénécaille.Du 7 juillet au 19 août, Marcigny vivra donc une fois encore au rythme de l’art contemporain.Après l’Allemagne ou encore le Brésil, le Venezuela sera en 2012 l’invité d’honneur de laBiennale. Partenaire actif, le centre d’art contemporain Frank Popper accueillera pourl’occasion une quarantaine d’œuvres vénézuéliennes. Les fameuses sculpturesmonumentales et réalisations en tous genres prendront possession des lieux publics, parfoisimprobables. Des spectacles vivants, des concerts, sont aussi annoncés pour varier lesgenres.


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MARCIGNY. LA 6 E ÉDITION A CHOISI LE VENEZUELA COMME INVITÉ D’HONNEUR.La Biennale d’art est lancéele 13/03/2012 à 05:02 par Michel Pigeron (CLP)

« Surprendre ». C’est le mot d’ordre de la 6 e Biennale d’art contemporain qui se tiendra du 7juillet au 19 août.L'association Regard sur l'art, qui s'apprête à fêter son 10ème anniversaire, a rapidement prisde la hauteur, avec à l'origine le maire actuel, Louis Poncet, qui a passé le relais à ClaudeSénécaille. Celui-ci a su fédérer les énergies pour mettre en place, avec la plus grandeapplication, l'immense puzzle de la Biennale d'art contemporain, la 6ème du nom, qui tiendrale haut de l'affiche du 7 juillet au 19 août. Le mot d'ordre pour 2012 sera de « surprendre »tous les visiteurs qui bénéficieront d'un accès gratuit, pour admirer art contemporain etsculptures monumentales., au parc municipal, mais aussi au Centre d'art, partenaire privilégié,

Regard sur l’art a à cœur d’impliquer le plus grand nombre pour enrichir cette Biennale. Àcommencer par le cinéma Vox et la galerie de l’Archipel sur le Lac à Saint-Martin. Les élèvesdes trois écoles et du collège de Marcigny vont créer leur propre exposition sur l’animal dansl’art contemporain. Mais la Biennale version 2012 ne se cantonnera pas à Marcigny intra-muros et ira conquérir toutes les communes du canton de Marcigny et probablement deSemur. Les villages pourront accueillir chacun une sculpture étonnante, un « banc poème ».De quoi honorer le thème général retenu pour cette 6 e Biennale : Surprendre !

CE QUI VA CHANGER DANS LE DÉPARTEMENT CETTE ANNÉESaône-et-Loire : ça va bouger en 2012le 02/01/2012 à 08:06...CHAROLAIS-BRIONNAISL’année 2012 ... Côté tourisme, la biennale d’art contemporain de Marcigny fêtera ses 10 anscet été....


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PROGRAMMATION - MARCIGNYLe Centre d’art contemporain en plein essorle 26/03/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

...Expositions... 8 juillet au 30 septembre : « Le Venezuela en arts » (exposition et activités culturellesmultiples dans le cadre de la Biennale)...

MARCIGNY. LES AMIS DU CENTRE D’ART CONTEMPORAIN ONT TENU LEUR ASSEMBLÉE.Victime de son succèsle 07/04/2012 à 05:00 par Charlotte Rebet

...2012 repart de plus belle avec en ligne de mire la Biennale d’art contemporain de Marcigny,chapeautée par Regards sur l’art cet été. Une exposition majeure rendra hommage auxartistes vénézuéliens, pays invité d’honneur pour cette 6 e édition....

qui accueillera le œuvres d'une soixantaine d'artistes du Vénézuela, qui est cette année l'invitéd'honneur, sous l'impulsion de son Excellence Jean-Marc Laforêt, ambassadeur auVénézuela.Au cours de l'assemblée générale, le président Sénécaille, après avoir remercié lamunicipalité pour son soutien permanent, a mis l'accent sur l'énorme travail de préparation etsur l'action entreprise avec « Ardécole un programme art plastique, avec la participation desétablissements primaires publics et de Sainte-Véraise, de même que le collège, qui ont optépour des structures animalères.La Biennale 2012Outre les invités vénézueliens, une trentaine d'artistes apporteront leur talent, pour donnerl'éclat qu'elle mérite à cette Biennale d'art, désormais devenue internationale.Les communes des deux cantons de Marcigny et Semur seront impliquées, avec l'accueil desbancs-poèmes de l'Association des Ateliers du chapeau rouge de Souvigny. Exposition durantune semaine au parc municipal, pour laquelle Marcigny en poésie et Bibliothèque pour tousprendront une part prépondérante. Vernissage du 30 juin, en présence de Jacques Paris,poète écrivain, musicien, Grand prix de littérature bourbonnaise en 2009.Expo et fresque géanteAutres temps forts : la réalisation d'une fresque géante sur le mur du stade municipal, et celuide l'immeuble situé aux feux de la rue Général-de-Gaulle. Plusieurs animations : exposition àl'Archipel sur le lac, et exposition de photos d'Anne Louyot à l'office de tourisme, conférencessalle du foyer, concerts de musique de Lucile Mathieu et Eddy Rosso, et films du Vénézuélaau Vox seront intégrés à la Biennale.Le projet du circuit touristique culturel, en parallèle avec les villes de Bourbon, La Clayette etParay, est en bonne voie. Un catalogue sera réalisé pour l'expo sur le Venezuela, et pour lesœuvres retenues pour la Biennale, guides indispensables pour les visiteurs.


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MARCIGNYUne stagiaire au Centre d’art et pour la Biennalele 29/05/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Alice Rocher, dans son local de Marcigny, travaille sans relâche à la communication et lapromotion des deux importantes manifestations artistiques de cet été 2012 : au Centre d’art

MARCIGNYSortie des primaires au parc du Palle 13/05/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Le projet d’établissement est l’objet d’une forte implication des élèves de l’école primairepublique. Ceux-ci ne rechignent pas au travail de préparation, et font preuve d’un vif intérêt auprogramme Ardecole sur le thème proposé par leurs enseignantes, sur les animaux dans l’artcontemporain. Projet réalisé dans le cadre de la 6° Biennale internationale de Marcigny, quiaura lieu du 7 juillet au 19 août. Après le séjour de la classe découverte à Palavas-les-Flots,ce sont cette fois-ci 55 élèves des classes CP, CE1 et CE2 qui ont bénéficié d’une sortiepédagogique au centre de loisirs du Pal, faisant appel à l’observation, plus précisément aucœur du parc animalier. Journée découverte initiée et totalement financée par l’associationdes parents d’élèves....

LES PROCHAINES GRANDES MANIFESTATIONS CULTURELLES…le 14/05/2012 à 05:00Les prochaines grandes manifestations culturelles…Le calendrier culturel sera chargé, cet été en Charolais-Brionnais. À commencer par le festivalCampagn’art le 30 juin à Châteauneuf, la 6 e Biennale d’art contemporain de Marcigny du 8juillet au 19 août, les Arts en fête à La Clayette du 20 juillet au 12 août, le festival Saint-Rock le21 juillet à La Clayette, Awaranda les 7, 8 et 9 septembre à Iguerande, M comme Mosaïque àParay-le-Monial, Musique en Brionnais du 2 au 7 août à Varenne-l’Arconce, Suin et Bois-Sainte-Marie, Festival Bourgogne du Sud du 16 juin au 5 août.


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MARCIGNYPREMIÈRES PORTES OUVERTES DE L’ÉCOLE MATERNELLEle 03/06/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Une année scolaire est sur le point de s’achever, il faut déjà songer à la suivante. C’est danscette optique, que l’école maternelle publique des Prairies a organisé sa toute premièrejournée portes ouvertes. Heureuse initiative qui a eu le mérite de mettre en valeur cetétablissement, fréquenté par 82 élèves, répartis sur trois classes, et qui devrait voir seseffectifs grossir. Pour l’occasion, les visiteurs ont pu admirer l’exposition sur les animauxréalisée par les enfants, qui sera présentée avec le programme « Ardecole » dans le cadre dela 6 e biennale d 'Art contemporain.Les familles furent accueillies par Délia Baudet, directrice d’établissement, entourée desinstitutrices de petites, moyennes et grandes sections : Myriam Beauchamp et Sophie Nallet.Celles-ci ont su se montrer des guides avisés, pour la visite des lieux, tout en apportant leurscommentaires sur le fonctionnement de l’école, ses services et ses activités. Samuel Seyeux,président de l’association des parents d’élèves, de même que de nombreux élus, n’ont pascaché leur intérêt, lors de la visite.Les inscriptions pour la rentrée 2012 sont prises à l’école chaque lundi de 8 h 30 à 11 h 30 etde 13 h 30 à 16 h 30 ou sur rendez-vous (tél: 03.85.25.01.69). Se munir du livret de famille etdu carnet de santé.

contemporain qui présentera du 7 juillet au 30 septembre « Venezuela en arts », faisant ainsiécho au pays invité d’honneur de la 6 e biennale internationale. La Biennale d’Artcontemporaine est organisée par Regard sur l’art, inaugurée le 8 juillet. Elle fermera le 19août.Alice, étudiante embauchée comme stagiaire par les deux associations, a une solideformation. Après des études à l’IUP de Dijon, filière Ingénierie des métiers de la culture(musées, patrimoine), elle prépare un sujet de mémoire : présenter l’art contemporain enmilieu rural et nécessité de la médiation. La formation à la médiation culturelle mise en placepar le Centre d’Art est donc au cœur de ses recherches et préoccupations. Son caractèreposé est apprécié par les acteurs locaux quelque fois débordés.


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MARCIGNY. LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES ASSOCIÉS À UN BEAU PROJET ARTISTIQUE.“Ardecole”, pure merveillele 13/06/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Les scolaires de la cité ont participé à l’élaboration d’une exposition artistique qui sera intégréeà celle de la Biennale cet été.En prélude à la 6 e Biennale d’art contemporain, l’association Regard sur l’art a tenu àassocier à cet événement culturel d’envergure, qui se déroulera du 7 juillet au 19 août, lesétablissements scolaires. Les enfants des écoles publiques primaire et maternelle, du collège,de Sainte-Véraise, du Relais assistante maternelle Abise et leurs directrices, ont totalementadhéré au projet et programme d’enseignement d’art plastique, baptisé “Ardecole”.CréativitéIls ont bénéficié de l’aide de Franz Spath, directeur du Centre Frank-Popper, commeintervenant conseiller technique et artistique. Le thème retenu, “animaux et chimères”, afortement inspiré les artistes en herbe, qui ont fait preuve d’imagination et d’un esprit decréativité, comme se plurent à le souligner Louis Poncet, maire, et le maître de cérémonie dela Biennale, Claude Senecaille, président de Regard sur l’art. Les œuvres réalisées par lesscolaires (fresques, sculptures, mosaïques, mobiles, décors muraux, dessins, peintures,photos) ont émerveillé tous ceux qui sont à l’origine et qui ont orchestré cette exceptionnelleexposition. Elle a répondu au vœu de Regard sur l’Art : « surprendre » par son originalité, sonmode d’expression, la disposition, et l’harmonie accordées aux sujets et aux œuvres, quis’inscrivent dans notre époque du XXI e siècle. Élus, enseignants, parents, membres del’association ont pris plaisir à emprunter le cheminement de cette gigantesque galerie d’art quise dresse fièrement dans les écoles et sous la tonnelle du jardin public, où Claude Senecaillea fait part de son admiration, tout en félicitant les acteurs. L’exposition sera intégrée à celle de


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MARCIGNYLes bancs poèmes sont arrivés au Parc Municipalle 28/06/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Sous le coup de baguette magique de l’association Regard sur l’Art, le parc municipal enavant-goût de la 6 e biennale d’art contemporain (du 7 juillet au 19 août) s’est transformé enunfabuleux écrin culturel. Après les œuvres de l’opération Ardecole les pelouses du jardin publicaccueillent jusqu’au 1 er juillet : Les bancs poèmes 2012 des ateliers du Chapeau rouge situésà Souvigny (Allier), initiateurs de nombreuses expositions.Ses bancs, 27 au total, en pierre, bois, résine, d’une grande originalité, susciteront l’admirationdu public, accompagnés par un panneau d’informations et d’un poème. À partir du 1 er juillet,ces bancs seront répartis dans chacune des communes des cantons de Marcigny et Semur,ainsi qu’à Paray, durant toute la durée de la biennale. Deux ou trois seront conservés pour labiennale. Le coup de cœur de Regard sur l’Art s’est porté sur celui dénommé : Monument auxvivants de Brigitte Pellen, réalisé en ciment et en résine.Vernissage des Bancs poèmes, samedi à 15 heures. Lecture de poèmes, en présence del’écrivain Jacques Paris. Chanson française par Joël Jouve.

la Biennale, et dans le catalogue de présentation.


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MARCIGNY. DU 8 JUILLET AU 30 SEPTEMBRE.Venezuela en Artle 29/06/2012 à 05:00

Le Vénézuela, invité d’honneur.Une distinction bien méritée selon Franz Spath, qui a fondé le Centre d’Art contemporainFrank Popper avec Georges Silva. Le Vénézuela est, dit-il, « un énorme réservoir d’artistes ».Parmi eux des « phares » qui ont inspiré l’art cinétique européen : Jesus Raphaël Soto (quiexposera à Beaubourg en 2013), Carlos Cruz-Diez, Alejandro Otero… Tous les grands nomsde l’art vénézuélien contemporain figureront parmi les invités du Centre Frank Popper qui,dans le cadre de la Biennale, s’attache à présenter un panorama complet de l’actualité desarts au Vénézuela (40 artistes, 100 œuvres). L’exposition parcourt tous les styles de l’artethnique (tissages des Warao) à l’art cinétique, variant les approches (photos, vidéo, musique)et s’installe sur les murs de la ville, ostensiblement (voir photo). Le 4 août sera inaugurée lafresque collective réalisée en juillet sous la houlette de son créateur Juvenal Ravelo.CAC, 2 place du prieuré. Tous les jours de15h à19h, gratuit pendant la Biennale. Tel 03 85 2511 03. http://www.cac-frank-popper.fr


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MARCIGNY. DU 8 JUILLET AU 19 AOÛT.L’art contemporain investit la citéle 29/06/2012 à 05:00 par Claude Clerc

La 6 e Biennale internationale d’art contemporain de Marcigny s’est donné un mot d’ordre :« surprendre ». Levons le voile, sans dévoiler.L’aventure commence en 2002 avec une exposition au jardin municipal à l’initiative de M.Louis Poncet : 17 œuvres de Christian Maas et déjà quelques milliers de visiteurs. Devantl’adhésion du public, la formule est reconduite tous les deux ans par l’association « Regard surl’art » créée à cet effet. Chaque édition voit le nombre d’artistes augmenter et le public croître,jusqu’à 10500 en 2010. En dix ans, la biennale est devenue internationale grâce à l’impulsiondonnée en 2006 par le Centre Frank Popper qui reçoit cette année une exposition du paysinvité d’honneur : le Vénézuela.Dans l’esprit du fondateur (aujourd’hui maire de Marcigny), il s’agissait d’animer le village parl’art. C’est chose faite comme le constate avec plaisir Claude Sénécaille, actuel président de «Regard sur l’art ». Il se félicite de l’implication de tous, bénévoles (« Sans eux, nous nesommes rien »), artisans, commerçants, enseignants, associations. Et de citer en exemplesl’après-midi poèmes et chansons du 30 juin animé par « Culture et bibliothèque pour tous »avec « Marcigny en poésie » (à partir de 15h au Parc municipal) et le projet « Ardécole »auquel ont participé tous les établissements scolaires de Marcigny. De la maternelle aucollège, le thème choisi « Animaux et chimères » a visiblement inspiré les enfants dont lesœuvres (fresques, mobiles, dessins, sculptures, mosaïques) côtoieront celles des artistesconfirmés de France, d’Allemagne, du Maroc et du Vénézuela. Plus de 250 œuvres que l’ondécouvrira, seuls ou en suivant un médiateur culturel (2 à 4 circuits par jour au départ del’Office de Tourisme).Les Bancs poèmesEst-ce que l’on s’assoit sur des bancs poèmes ? On peut, mais le mieux sera de regarder etd’écouter ce qu’ont à nous dire (en poésie) ces bancs nés de la main des artistes de Souvigny(Allier). Dès demain, le hasard du tirage au sort les enverra en éclaireurs dans 26 communesenvironnantes. C’est ainsi que rayonne la Biennale !


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Premier rendez-vous le dimanche 8 juillet à 14h30 devant l’Office du tourisme pour un après-midi d’inauguration en musique. Pendant 6 semaines, Marcigny vivra au rythme de laBiennale. Films sur le Vénézuela proposés par le cinéma Vox tous les soirs de week-end,concerts en l’église Saint-Nicolas de Marcigny : le 11 juillet Le Quatuor Sao Yin (flûtistes duConservatoire Royal de Bruxelles) et le 28/07 le Duo formé par Stéphane Kumor à latrompette et Eddy Rosso à l’orgue. Et journée spéciale du 4 août en présence del’ambassadeur de France au Vénézuela.Tous les jours, du 8/07 au 19/08, de 15h à 19h. Gratuit. Église St-Nicolas, 20h les 11/07 et28/07. OT 03 85 25 39 06. http://regardsurlart.fr

MARCIGNY. DERNIÈRE LIGNE DROITE AVANT L’INAUGURATION OFFICIELLE DE LABIENNALE D’ART CONTEMPORAIN.Dans les starting-blocksle 29/06/2012 à 05:01 par Charlotte rebet

La 6 e Biennale d’art contemporain démarre officiellement le 8 juillet. Zoom sur l’événement del’été, voire de l’année, à Marcigny.Les bénévoles de Regard sur l’art peuvent avoir le sourire. Leur Biennale mûrit dans lesesprits depuis près de deux ans, et les premières œuvres de cette 6 e édition sont enfin


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MARCIGNYC’était la dernière séancele 01/07/2012 à 05:00 par Charlotte Rebet

Le bruit répétitif des bobines ne résonnera plus dans la salle de projection du Vox. Le cinémapasse au numérique et à la 3D.Depuis un an, les dossiers s’accumulent sur le bureau de Marc Favier. Et mercredi soir, enfin,

arrivées à Marcigny. C’est la dernière ligne droite avant le coup d’envoi officiel de l’événementphare de cet été. Le président Claude Sénécaille donne le ton : « Cette année, plus encoreque les précédentes, nous voulons surprendre le public ».La surprise, le public l’a déjà ressentie lors du vernissage de l’exposition Ardécole réalisée parles écoliers de Marcigny, premier volet de cette 6 e Biennale. Il en sera sans doute de mêmesamedi pour l’inauguration de l’exposition des « Bancs poèmes ». Quelque 28 bancsartistiques, du design au bizarroïde, accompagnés d’un poème, seront dispatchés danschacune des communes des cantons de Semur et Marcigny. « C’était une manière de pousserla Biennale en dehors des murs de Marcigny et de faire participer tout le monde », indiqueIsabelle Dupont, membre de Regard sur l’art. Cette 6 e Biennale, qui signe aussi ses 10 ansd’existence, sera placée sous le signe du Venezuela, invité d’honneur. Partenaire del’événement, le Centre d’art contemporain accueillera les œuvres d’une quarantaine d’artistesvénézuéliens.Musique et cinémaComme d’habitude, les sculptures monumentales investiront le centre-ville de Marcigny.Peintures et autres photographies prendront possession d’une douzaine de lieux d’expositionpendant six semaines. « Valoriser l’art sous toutes ses formes, en milieu rural », annonceClaude Sénécaille. C’est donc logiquement que le cinéma tiendra sa place, à travers desdiffusions de films vénézuéliens et invitations de réalisateurs proposées par le Vox. Placeaussi à la musique, avec deux concerts à l’église. L’Archipel sur le Lac et la Maison d’art enBourgogne du Sud sont également parties prenantes. Rappelons qu’en 2010, cette Biennaled’art contemporain avait enregistré 10 000 entrées sur deux mois.6 e Biennale d’art contemporain à Marcigny, du 8 juillet au 19 août, www.regardsurlart.frSamedi à 15 heures, au jardin public de Marcigny, inauguration des bancs poèmes.


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FESTIVITÉS. RICHESSE ET ÉCLECTISME SERONT LES MAÎTRES MOTS DE VOTRE ÉTÉEN CHAROLAIS-BRIONNAIS.Les incontournables de l’étéle 01/07/2012 à 05:00 par Charlotte Rebet

De la mosaïque à la photographie, de l’art contemporain au punk-rock… Le Charolais-Brionnais est en ébullition cet été autour de ces festivals et de son patrimoine. Retrouvez tousles bons plans de l’été.Musique...

le cinéma associatif de Marcigny projetait son dernier film en 35 mm. Tout un symbole, etmême une pointe de nostalgie, dans la ville des rencontres de Marcynéma et du cinéma depatrimoine. Les travaux devraient commencer courant juillet, « on espère que tout seraterminé en octobre », indique le président Marc Favier.Ces travaux tant attendus marquent l’arrivée du cinéma numérique et de la technologie 3D. «Aujourd’hui, les pellicules se font de plus en plus rares et nous recevons les films tard. Lenumérique nous donnera une meilleure réactivité dans la diffusion des films par rapport à leurdate de sortie », fait remarquer Marc Favier. L’arrivée de la 3D a quant à elle une belle carte àjouer auprès des jeunes, souvent prêts à se déplacer jusqu’à Paray ou à Roanne pour uneséance.12 000 entréesL’achat d’un projecteur numérique s’impose (100 000 €, largement subventionné par le CNC)comme la construction d’une nouvelle cabine de projection. Le président prometvéritablement, « un nouvel endroit ». Un second volet de travaux vise l’accessibilité de tous,grâce à l’installation d’un ascenseur en façade. Pour ce faire, le conseil municipal a attribuéles marchés pour un chantier d’un peu plus de 70 000 € hors-taxe.Le Vox enregistre 12 000 entrées à l’année, dans une commune qui compte à peine 2 000habitants. Mais que les nostalgiques se rassurent. Le Vox garde précieusement son projecteurargentique, pour quelques cures de cinéphilie.Le Vox participe à la Biennale d’art contemporain avec des films sur le Vénézuela, invitéd’honneur. Plus d’informations dans nos prochaines éditions.


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MARCIGNYLes bancs poèmes ont été distribués !le 01/07/2012 à 17:23 par Charlotte Rebet

Après leur inauguration hier au jardin public de Marcigny, et dans le cadre de la 6e biennaleinternationale d'at contemporain, les bancs poèmes, pièces artistiques seront présents danschacun des village des cantons de Semur et Marcigny.A peine inauguré qu'ils sont déjà partis à la conquête des villages. Les fameux "bancspoèmes" des ateliers du Châpeau rouge de Souvigny, pièce maitresse de la biennale d'artcontemporain de Marcigny, ont fait l'objet d'un tirage au sort hier pour savoir quelle communeparmi les deux cantons de Semur et Marcigny, et également la ville de Paray-le-Monial,recevrait quel banc artistique en exposition.Voici la liste des noms... A vous d'aller les découvrir !Artaix : Le Banc FlambéChenay-le-Châtel : Le temps attendCéron : AmiChambilly : Haiku

Arts...Marcigny. Incontournable, la 6 e Biennale d’art contemporain de Marcigny, c’est 80 artistes,plus de 150 œuvres dans douze lieux d’expositions. Un dixième anniversaire placé sous lesigne du Vénézuela, du 8 juillet au 19 août....


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MARCIGNYBiennalele 02/07/2012 à 05:00

Saint-Martin-du-Lac : Petit homme marcheBourg-le-Comte : Moi je rêveMarcigny : Le banc de paroleMontceaux-l'Etoile : EtreAnzy-le-Duc : Le poète amuseVindecy : GreenBaugy : Le chat et l'oiseauMelay : Ma rondeParay-le-Monial : Ombre et lumièreSemur-en-Brionnais : Rouge et noirSainte-Foy : Le banc soleilSaint-Bonnet-de-Cray : Saint-MayeulMailly : Le criquetSaint-Julien-de-Jonzy : LibertéVarenne-l'Arconce : Banc de poissonIguerande : Un instant pour le rêveSaint-Didier-en-Brionnais : Une saison en enferSarry : Les circonstances favorablesFleury-la-Montagne : DuoSaint-Christophe-en-Brionnais : Le dou sourireLigny-en-Brionnais : Moi je rêveBriant : Les lignes de la vieOyé : Le chat


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MARCIGNYArdecole : un avant-goût de la biennale d’artle 04/07/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Outre les établissements scolaires, le relais assistantes maternelles, conduit par sonanimatrice Myriam Dormoy, a participé au projet Ardécole, sur le thème « Animaux et chimères», organisé par l’association Regard sur l’art et le Centre d’art contemporain, dans le cadre dela 6 e Biennale d’art contemporain.Depuis février, une quinzaine d’assistantes maternelles se sont réunies deux fois par semainepour travailler sur le projet de « La fresque aux doudous ». Pour réaliser cette œuvre, lesdoudous et les enfants ont été pris en photo devant le chêne pédonculé Quercus Robur qui sedresse majestueusement au fond du jardin public. Elle a été réalisée avec la collaborationd’Aurélie Gouy, d’animation jeunesse, qui s’est chargée du graphisme de la photo, et del’entreprise Manhattan, qui a travaillé sur le détail et l’impression de la fresque.Pour signer l’œuvre, les enfants ont laissé sur une toile la trace de leur main. La fresque estexposée au jardin public sous la tonnelle, en attendant la biennale où elle sera disposée à lamairie.

Biennale.Plus de doute, la 6 e Biennale d’art contemporain est bien arrivée à Marcigny. Aprèsles bancs poèmes au jardin public, c’est une fresque de l’artiste vénézuélien Julio PechevoRivas, à hauteur du feu tricolore de la rue du Général-de-Gaulle. Cette œuvre contemporainerestera en place après la Biennale. Photo Ch. R.


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MARCIGNYUn éblouissant prélude à la Biennale d’artle 05/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Surprendre ! Tel est le mot d’ordre que s’est donné l’association Regard sur l’art pour son 10 eanniversaire, et sa 6 e Biennale d’art contemporain qui sera sous les feux de l’actualité du 7juillet au 19 août, avec comme invité d’honneur le Venezuela, et l’exposition de plus de 150œuvres.Après l’opération « Ardecole », c’est le vernissage des Bancs poèmes qui lui a emboîté le pas,faisant l’admiration des invités : Jacques Rebillard, conseiller général de Marcigny, IsabelleLagoutte, déléguée du canton de Semur, Jean-Claude Ducarre, président de la communautéde communes, et des visiteurs. 26 bancs (pierre, métal ou bois) d’aspect artistique et artisanaldes Ateliers du Chapeau rouge (de Souvigny, dans l’Allier, haut lieu des sites clunisienscomme Marcigny), représentés par Jérôme Danikowski, ont trouvé place dans l’écrin natureldu parc municipal. Ces bancs, véritables chefs-d'œuvre vont prendre la direction de chaquecommune du territoire des deux cantons. Seuls, resteront aux côtés des œuvres et sculpturede la biennale : « Le Monument aux vivants » et « Le banc à paroles ».Des éloges ont été adressés à tous les acteurs de cette inauguration spectacle : chanteur(Joël Jouve), poètes (Jacques Charmont et Jacques Paris), artistes, sculpteurs. La mise enscène de Regard sur l’Art et de son président Claude Senecaille est parfaite. Elle a rendu unhommage à la culture citoyenne en milieu rural, tout en valorisant l’art contemporain. Chacuna pu admirer la qualité des œuvres collectives, façonnées de manière harmonieuse par desartistes de talent.Le maire Louis Poncet a félicité Regard sur l’Art, Marcigny en poésie, Bibliothèque pour tous,Le Centre d’art Frank-Popper, pour ce vernissage, où lecture, poésie et chanson française sesont côtoyées.


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MARCIGNY. SIXIÈME BIENNALE D’ART CONTEMPORAIN, DU 8 JUILLET AU 19 AOÛT.La biennale puissance 6le 06/07/2012 à 05:00 par Charlotte Rebet

Le sixième opus de la biennale internationale d’art contemporain de Marcigny démarreofficiellement ce dimanche.À Marcigny, on y vient pour son marché ancestral, sa foire aux dindes ou aux géraniums, ouencore ses rencontres de cinéma. Mais force est de constater que l’art contemporain fait aussipartie de ces emblèmes qui propulsent le chef-lieu brionnais sur le devant de la scène. Levillage d’à peine 2 000 habitants en bord de Loire s’apprête à traverser l’été dansl’effervescence de la biennale et de ses milliers de visiteurs.Imaginez une palette d’œuvres surprenantes, dans des lieux encore plus improbables,jusqu’au lavoir municipal. Les objets les plus variées trônent directement sur la place publiqueà la vue de tous accompagnés par les bénévoles de l’association Regard sur l’art.Des bustes en terre cuite d’Isaa aux arbres un peu spéciaux de Joël Petot, en passant lestotems et autres assemblages de bois peint… Le maître mot de cette biennale anniversaire seconjugue à tous les styles : surprendre !Au tour du VénézuélaQuand ils évoquent « leur » biennale, les bénévoles n’hésitent pas à appuyer sur le caractèreinternational. Et pour cause. Après l’Allemagne, les Pays-Bas et le Brésil, place au Vénézuéla.Plus de quarante artistes vénézuéliens seront présents à travers 150 œuvres au Centre d’artcontemporain Frank Popper. Une collection dépaysante et un aller simple pour l’Amériquelatine, à l’image des « visages de Caracas » sur les photographies d’Anne Louyot. L’artisteJuvenal Ravelo, en résidence à Marcigny pour l’occasion, donnera des couleurs aux murs du

Coups de cœurle 06/07/2012 à 05:00Bancs. Objet simple et universel, le banc se transforme en œuvre d’art pendant cetteBiennale. Banc de poisson, banc flambé, le banc soleil… Une collection bancs-poèmes auxformes et couleurs improbables est à découvrir à travers 26 bourgs autour de Marcigny. Uncircuit s’impose, avec à chaque fois un poème à lire, et une photo à prendre !Fresque. L’art contemporain au cœur du bâti ancien, voilà ce que représente la fresquearchitecturale de l’artiste vénézuélien Julio Pacheco Rivas. Elle a été fixée sur une façade etrestera à Marcigny après la Biennale. À vous de la trouver…


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stade municipal, avec l’aide des habitants.Cerise sur le gâteau, l’entière gratuité des visites illustre à elle seule toute la philosophie del’événement. « Nous voulons rendre l’art accessible à tous, même en milieu rural », lanceClaude Sénécaille, président de Regard sur l’art. Partie d’une petite exposition au jardin publicdu village en 2002, la Biennale est aujourd’hui internationale, bien qu’elle revendique sonidentité rurale, avec toujours plus d’œuvres, et la barre des 10 000 entrées dépassée en 2010.Vernissage le 8 juillet à 15 h à l’office du tourisme.

MARCIGNY. LE COUP D’ENVOI OFFICIEL DE LA 6 E BIENNALE D’ART CONTEMPORAINSERA DONNÉ CE DIMANCHE.La montée en puissancele 07/07/2012 à 05:00 par Charlotte Rebet

Du 8 juillet au 19 août, la Biennale reprend ses droits à Marcigny. Un programme spécial enperspective pour les 10 ans de l’événementDe l’eau a coulé sous les ponts de la Loire depuis cette première exposition, en 2002 au jardinpublic. Dix années ont passé. Impulsé par Louis Poncet, devenu maire, ce rendez-vousartistique a grandi, mûri et peu à peu pris des airs de Biennale. « Maintenant, ce sont lesartistes qui viennent à nous. On a dû faire des choix difficiles », assure Isabelle Dupont.L’embarras du choix, gage de qualité, a laissé place à une sélection de 80 artistes triés sur levolet. Les “mensurations” de cette Biennale-anniversaire s’annoncent impressionnantes : 150œuvres, 12 lieux d’expositions, six semaines de biennale. Elle s’impose comme le plusimportant rendez-vous culturel de Marcigny, forte de ses 10 000 entrées en 2010.Une identité ruraleLa philosophie de Regard sur l’art, association organisatrice de l’événement avec la complicitédu centre d’art contemporain Frank-Popper, veut qu’un pays soit mis en lumière. Avec lesoutien de l’ambassadeur de France au Vénézuela, Jean-Marc Laforêt, c’est ce pays latino-américain, au riche patrimoine artistique, qui tiendra le haut de l’affiche. Le centre d’art serainvesti par une collection d’artistes vénézuéliens, « la plus importante jamais organisée enFrance ! », assure Georges Silva, du centre d’art.Si la notoriété de la Biennale dépasse de loin les frontières du Brionnais, les œuvres sortirontpour la première fois de Marcigny pour conquérir chacun des bourgs des cantons de Semur etMarcigny. Chaque village exposera un “banc poème”, mis à disposition par les ateliers duchapeau rouge de Souvigny. « C’est une première. Nous avons tenu à impliquer les villagesalentours pour affirmer notre identité rurale », explique le président Claude Sénécaille. Lesvisiteurs pourront donc déambuler pour découvrir à chaque fois un nouveau banc d’artiste,affublé d’un poème.Autre preuve que cette Biennale est avant tout une œuvre collective : le projet Ardécole,tourné vers les enfants. Toutes les écoles de Marcigny ont ouvert le flot de l’imagination sur lethème “Animaux et chimères” pour créer une exposition. Les habitants pourront égalementmarquer cette Biennale de leur empreinte en participant à une fresque sur les murs du stademunicipal.« Nous voulons montrer l’art sous toutes ses formes », assure, pour finir, Claude Sénécaille.Les sculptures monumentales céderont par moments leur place à la musique et au 7 e artgrâce au cinéma Vox. « Surprendre », c’est le thème, simple, mais on ne peut plus clair, decette 6 e Biennale. Incontournable.Inauguration dimanche 8 juillet : 14 h 30 à l’office du tourisme, 17 h au jardin public.


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Les temps forts de cette 6 e Biennalele 07/07/2012 à 05:00

Œuvre collective : Création d’une œuvre monumentale, avec l’artiste Juvenal Ravelo, sur lesmurs du stade municipal de Marcigny, avec l’aide des jeunes de la région et des habitants deMarcigny. Inauguration le 4 août.Concerts : mercredi 11 juillet, à 20 h, Quatuor Sao Yin (flûtes) et samedi 28 juillet, à 20 h, duoorgue et trompette à l’église Saint-Nicolas.Cinéma Vox : Projections de films sur le Venezuela les vendredis, samedis et dimanche auFoyer. Invitation de réalisateurs vénézuéliens.Les lieux d’exposition : Jardin public, tonnelle des jardiniers, mairie, communauté decommunes, école de musique, bibliothèque, lavoir, l’Archipel sur le Lac, Maison d’artBourgogne du Sud, Centre d’art contemporain, office de Tourisme, local Regard sur l’art.Ouverture : Tous les jours de 15 à 19 h. Entrée gratuite, visites guidées. Pour tousrenseignements : 03.85.25.39.06 ou www.regardsurlart.fr

MARCIGNYLe Vox se met à l’heure du cinéma vénézuélienle 08/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Malgré la réhabilitation de la salle de cinéma, l’association du Vox a tenu à apporter sonpartenariat à la Biennale d’art contemporain. Dans le cadre de l’année du Venezuela, denombreuses projections sont programmées, salle du foyer. Deux temps forts sont à retenir,avec l’accueil de deux réalisateurs pour accompagner leurs films et parler du cinémavénézuélien : Margarita Cadenas, avec son film Cenizas Eternas (cendres éternelles) qui seraprojeté le week-end des 11 et 12 août. Et Atahualpa Lichy, réalisateur de Rio Negro et dudocumentaire Le mystère des lagunes (21 et 22 juillet).Huit films seront à l’affiche les vendredis et samedis à 18 et 21 heures, et les dimanches à 18heures, du 13 juillet au 18 août. Parmi eux des films de fiction : Libertador Morales, 1, 2 y 3Mujeres, Macuro ; des films dramatiques : Rio Negro, Cendres éternelles, Una casa vista almar ; un documentaire : Le mystère des lagunes ; quatre courts métrages.Le programme et les horaires des séances sont disponibles à l’office de tourisme ou en mairie.

en brefMarcignyle 08/07/2012 à 05:00MarcignyOuvert jusqu’au 15 septembre, de 10 heures à 12 h 30 et de 14 à 18 heures.Exposition temporaire « Objectifs/Terres » sur les céramiques de Catherine Vanier et photosde Johannés Von Saurma.Au Centre d’art contemporain (place de l’Église), exposition des œuvres des artistesvénézuéliens, invités d’honneur, dans le cadre de la biennale. Exposition ouverte tous les joursde 15 à 19 heures jusqu’au 31 août.


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Infos« Venezuela en Arts », du 7 juillet au 30 septembre 2012le 09/07/2012 à 05:00« Venezuela en Arts », du 7 juillet au 30 septembre 2012.Centre d’art contemporain Frank Popper, 2 place du Prieuré, 71110 Marcigny. Expositiongratuite durant la Biennale (jusqu’au 19 août), ouverte tous les jours de 15 h à 19 h.Renseignements au 03.85.25.11.03.

EXPO.La 6 e Biennale met à l’honneur le Venezuela. Marcigny la vénézuéliennele 09/07/2012 à 05:00 par Noémie Bertin

À l’occasion de la 6 e Biennale d’art contemporain de Marcigny, une quarantaine d’artistesvénézuéliens exposent au Centre Frank Popper de Marcigny.«C’est la plus grande manifestation d’art du Venezuela jamais organisée en France. »Georges Silva, cofondateur du Centre d’art contemporain Frank Popper, accueille fièrementles visiteurs qui se pressent, ce 7 juillet, au vernissage de l’exposition. Dans l’espace blanc duCentre, s’agencent toiles, photos, sculptures, installations et vidéos. Plus de quarante artistesvénézuéliens contemporains y sont représentés.À l’entrée, de la vannerie traditionnelle, tissée par le peuple amérindien des Warao, est miseen regard avec l’époque contemporaine. « La culture des Warao a imprégné l’art construit, quiest très géométrique », explique Georges Silva, désignant les œuvres d’Octavio Herrera et deMaria Arvelaiz-Gordon.Parmi les clous de l’exposition, figurent deux œuvres, dont une pièce unique, du grand Jesús-Rafael Soto, côtoyés par des chefs-d’œuvre de Carlos Cruz-Diez.Arts cinétique et optiqueL’exposition fait ainsi la part belle aux arts cinétique et optique, dont Soto et Cruz-Diez sontd’illustres représentants. Car Frank Popper, théoricien de cette esthétique née dans lesannées 1960, a légué au Centre une partie de sa collection.Mouvement réels ou virtuels, jeux avec la lumière, mirages, couleurs qui se créent : «Ceseffets plaisent au public, affirme le cofondateur du Centre d’art. Et particulièrement auxenfants, ravis de faire ces expériences optiques », ajoute-t-il.Afin de ne pas laisser les visiteurs seuls devant les œuvres, le Centre a formé lui-même pourl’occasion quarante médiateurs chargés de commenter l’exposition. Un choix dans la droiteligne de la politique du lieu, qui a pour vocation première l’accès à l’art contemporain en milieurural. « En 2005, en créant ce centre avec Franz Spath, nous avons voulu donner à Marcignydes expositions de niveau international », précise Georges Silva. Promesse tenue avec«Venezuela en arts».


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MARCIGNYL’art de recevoir le Vénézuelale 11/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

La 6 e Biennale d’art contemporain avec Regard sur l’art a donné lieu à une doubleinauguration peu commune.Événement culturel majeur, la 6 e Biennale d’art contemporain a pris son envol suite à unedouble inauguration au Centre d’art contemporain et au Parc municipal. Des sculpturesmonumentales aux peintures, en passant par les techniques mixtes et les photographies, sontlivrées à la curiosité des visiteurs jusqu’au 19 août. Elle fête aussi le 10 e anniversaire del’association Regard sur l’art, conduite par Claude Senecaille, qui s’est montré un brillantmaître de cérémonie. Cette Biennale a pris une ampleur nationale, et a pour invité d’honneurle Vénézuela, avec 42 artistes qui présentent leurs œuvres au Centre d’art Frank Popper. L’artsera omniprésent à Marcigny, sur douze sites différents, sous la forme d’une gigantesquevitrine. Les organisateurs ont su donner un reflet exceptionnel à cette exposition, d’où sedégage une expression artistique peu commune, 30 artistes régionaux de renom dévoilentleurs œuvres, plus de 150 réalisations (répertoriées dans un catalogue) ont trouvé place aucœur de la ville. Cette double inauguration s’est faite en présence de la nouvelle députée,Édith Gueugneau. « Coup de cœur pour l’importance accordée à l’art contemporain, et pour lavolonté de rendre la culture accessible en milieu rural » du conseiller général, M. Rebillard. «


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Pari réussi pour cette Biennale, qui s’intègre dans la ville et dans le temps, donnant une imageplus moderne et attractive » avoue le président de la communauté de communes, M. Ducarre.« Un projet ambitieux qui met en relief une œuvre collective originale » ajoute le maire, LouisPoncet « Une immense admiration pour tous les acteurs qui ont relevé le défi : « surprendre ».

MARCIGNYUn concert au fil des quatre saisonsle 14/07/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Dans le cadre de la Biennale internationale d’art contemporain, l’Église Saint-Nicolas vient deconnaître un concert haut de gamme. Une centaine de chanceux se sont laissés bercer aurythme des quatre saisons, en compagnie des flûtes traversières du quator « Sao Yin ».Composé de quatre jeunes artistes flûtistes étudiantes du Conservatoire royal de Bruxelles, lequator se veut le reflet d’une musique accessible à tous. Lucile Mathieu (qui a appartenu auRéveil musical de Marcigny) aux côtés de Rebecca Van Bogaert, Aurore Molard et RenataKambarova ont offert un répertoire riche et envoûtant. De Tchaikowski à Debussy ou Purcell,en passant par les danses roumaines de Bartok, ou encore de compositions personnelles, lesmusiciennes ont su faire apprécier les différents timbres de cette famille (Piccolo, flûte en ut,alto et basse. L’émotion était présente !


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MARCIGNYUn artiste vénézuélien réalise une fresque muralele 17/07/2012 à 05:05 par M. P. (CLP)

Vénézuela en Arts a pris ses quartiers au Centre d' art contemporain, dans le cadre de la 6 eBiennale internationale. Jusqu’au 19 août, tous les jours de 15 à 19 heures, 42 artistesvénézuéliens exposent 120 œuvres. Parmi lesquelles peintures, sculptures, photos,installations, vidéo-musique.L’artiste vénézuélien Juvenal Ravelo réalisera avec une équipe de jeunes du canton, unefresque murale au stade municipal. Son lancement aura lieu lundi 23 juillet à 10 heures enprésence du maire de Marcigny.Pour cet événement, Atahulpa Lichy, réalisateur de Rio Négro, projettera son film sur lesécrans du foyer, samedi 21 juillet à 21 heures et dimanche 22 juillet à 18 heures et 21 heures.Il filmera le début de la mise en œuvre de cette fresque.L’opportunité est offerte de venir réaliser en sa compagnie un bout du mur. L’artiste seraprésent tous les jours de 9 h 30 à 11 h 30 et de 15 à 19 heures du 23 juillet au 3 août. Ilremettra un diplôme de participation.Inscriptions au 03.85.25.11.03.


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MARCIGNYDes films vénézuéliens en boucle à la salle du Foyerle 20/07/2012 à 05:00

Le cinéma Vox se joint à la Biennale d’art contemporain et propose tout l’été des filmsvénézuéliens, diffusés à la salle du Foyer (ouvert à tous, participation libre).Libertador morales, dimanche 22 juillet à 21 h et le 18 août à 21 h.Le mystère des Lagunes, les 22 et 29 juillet et le 10 août à 18 h.Au-delà des apparences, ce soir à 18 h, le 27 juillet à 21 h et le 12 août à 21 h.Chuao, ce soir à 21 h, le 28 juillet à 18 h et le 11 août à 18 h.Cendres éternelles, le 11 août à 21 h, le 12 et le 17 août à 18 h.Rio negro, demain soir à 21 h, le 5 août à 18 h, les 10 et 17 août à 21 h.Una casa con vista al mar, le 27 juillet et le 18 août à 18 hInvités : à noter que samedi et dimanche soir, le réalisateur Atahualpa Lichy (du film RioNegro) sera à Marcigny pour parler de son œuvre. Une autre réalisatrice notoire, MargaritaCadenas, sera l’invité du Vox en août pour une première nationale. Plus d’information dansnos prochaines éditions.

EN BREFle 20/07/2012 à 05:00

MARCIGNYLe cinéma Vox s’associe au thème de la 6 e Biennale d’art contemporain de Marcigny àsavoir, le Vénézuela. Huit films vénézuéliens seront à l’affiche pendant l’été. Les 21 et 22 juilletrendez-vous avec le réalisateur vénézuélien Atahualpa Lichy, qui viendra parler de son œuvreet du cinéma vénézuélien. Sera projeté son film « Rio Negro » ou l’histoire de cette province,gros producteur de caoutchouc dans les années 70, mise a feu et à sang par plusieursdictateurs.Samedi 21 juillet à 21 h/Dimanche 22 juillet à 18h et 21h, salle du Foyer. (Le cinéma Vox étantfermé pour travaux) Entrée libre. Tel : 03 85 25 21 62.


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MARCIGNYLe Venezuela au Foyer ce soirle 21/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Le cinéma Vox accueille, en partenariat avec la Biennale d’art contemporain, un grandréalisateur venezuélien ce soir : Atahualpa Lichy.Malgré la fermeture de sa salle de cinéma pour réhabilitation, l’association Vox, que présideMarc Favier, a souhaité apporter son partenariat à Regard sur l’art dans le cadre de sabiennale, et de l’année du Venezuela. C’est ainsi que huit films, courts et longs métrages surle Venezuela, grâce au soutien de l’ambassadeur Jean-Marc Laforêt, figurent à l’affiche etseront projetés sur les écrans du vendredi, same di et dimanche, à 18 ou21 heures(programme disponible à l’office de tourisme).Samedi : Rio Negro, en présence de son réalisateurLa séance de samedi, à21 heures, se présente comme un temps fort de ce cycle cinémavénézuélien. Elle marquera la rencontre du public avec le réalisateur de ce film dramatique,Atahualpa Lichy. Il parlera de son œuvre avant de retracer la vie du cinéma vénézuélien. NioNegro raconte l’histoire de la province du Rio Negro, gros producteur de caoutchouc dans lesannées 1910, mise à feu et à sang par plusieurs dictateurs. Ce même réalisateur présenteradimanche, à 18 heures, un documentaire Le mystère des lagunes. En soirée à21 heures, lefilm Libertador Moralès » sera projeté avec en tête de distribution : Rafaël Gil, Alba Vallvé etYugui Lopez.Autres films sélectionnés : « 1, 2 y 3 Mujeres », « Mascaras », « Cendres éternelles » ensortie nationale, « Chuao », « Une casa vista al mar », etc.Participation libre.


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EN BREFMarcignyle 21/07/2012 à 05:00

MarcignyJusqu’au 19 août au parc municipal, sculptures monumentales et bancs poèmes des artistesrégionaux ainsi que sur 12 sites différents de 15 à 19 heures : peintures – techniques mixtespar l’association Regard sur l’art. Au Centre Frank-Popper, 42 artistes vénézuéliens présententleurs œuvres en collaboration avec la Biennale....

MARCIGNYL’exposition se poursuit à la Maison d’art Bourgogne du Sudle 22/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

L’art sous toutes ses formes a envahi la ville, où les événements culturels se succèdentdurant toute la période estivale. La 6 e Biennale d’art contemporain, et Venezuela en arts onteu la bonne idée de s’associer des partenaires de choix. Parmi ceux-ci : La Maison d’artBourgogne du Sud, animée avec passion par Sonia Rex, qui accueille régulièrement desexpositions particulières, le plus souvent consacrées à la figuration contemporaine, d’artistesinternationaux et régionaux.On peut actuellement admirer à la galerie, le répertoire apparemment inépuisable du maîtregraveur flamand Pat de Vijlder, en scènes de vie quotidienne tracées avec autant de maîtriseque d’esprit. Des gravures complexes et expressives, sur bois, réalisées à la pointe sèche.Tout près, le jardin des sculptures regorge de sculptures et figurations compactes et denses,en grès et en bronze de la plasticienne suisse : Susan Geel. Les œuvres interpellent le visiteurpar leur réduction à l’essentiel, la recherche de la ligne adéquate et des contours épurés.


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MARCIGNYPique-nique chez les aînés

le 23/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

La météo estivale est propice aux pique-niques en plein air. Une partie des pensionnaires desmaisons de retraite voisines de Marcigny et Semur, et ceux de la RPA, s’est retrouvée autourd’une bonne table, à l’ombre des arbres du parc municipal, pour un pique-nique champêtre etun après-midi détente. L’occasion pour eux de s’émerveiller devant les sculptures de labiennale d’art exposées au jardin public. Une vingtaine d’aînés a pris part à cette rencontreorchestrée par les membres du CCAS : Renée Laurent, Andrée Maillet et Michèle Favier, quiont offert l’apéritif de bienvenue, et par les équipes d’animation des deux Ehpad. Un déjeunerchampêtre préparé par les organisateurs, et partagé dans la bonne humeur, par les convives,auxquels s’était joint Gilbert Canfin, adjoint au maire.

Sonia, la maîtresse des lieux, saura guider vos pas au cœur de cette double exposition.iOuverte du jeudi au dimanche de 15 heures à 18 heures ou sur rendez-vous. Tél. :03.85.25.10.71.


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AU CŒUR DE LA BIENNALESur un socle, des lames de couleurs transparentes de deux mètres de hauteur tournentlentement sur ...le 23/07/2012 à 05:00

Sur un socle, des lames de couleurs transparentes de deux mètres de hauteur tournentlentement sur elles-mêmes dans le sens des aiguilles d’une montre. Les couleurs s’emmêlentet se démêlent au gré de la lumière et de l’angle de vue. Transchromie mécanique, une œuvresignée Carlos Cruz Diez, un maître en matière d’art optique, que vous pourrez contempler aucentre d’art contemporain.Trois fois par semaine jusqu’au 19 août, retrouvez une œuvre de la biennale d’artcontemporain de Marcigny. Tous les jours de 15 à 19 heures.


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MARCIGNYUn grand réalisateur au Voxle 24/07/2012 à 05:02 par Michel Pigeron (CLP)

Dans le cadre de son partenariat à la biennale d’art, le cinéma Vox accueille le réalisateurvénézuélien Atahualpa Lichy.Qui pouvait en douter, l’association du cinéma Vox s’est inspirée de celle Marcynéma pourdérouler le tapis rouge au célèbre réalisateur vénézuélien Atahualpa Lichy, dans le cadre deson partenariat à la biennale d’art. Jusqu’au 18 août, le cinéma vénézuélien est mis àl’honneur, avec la projection de huit films. Parmi eux, Rio Negro, l’œuvre la plus connue deLichy, tournée dans son pays natal en 1989, d’après des faits réels, sur la violence politiquequ’a connu le Vénézuela.Un CV impressionnantPlusieurs longs métrages se veulent une critique sociale sur l’insécurité dans ce pays, sur unepériode déterminée. Accueilli salle du Foyer par le président du Vox, Marc Favier, et desspectateurs, le réalisateur Atahualpa Lichy, promoteur du cinéma sud-américain, a présentéson film référence, avant de retracer brièvement la vie du cinéma vénézuélien, dont lescritiques ont du mal à parler, en raison des difficultés à lui attribuer une classificationspécifique.De 1969 à 1975, il a participé à la création et à l’organisation de la Quinzaine des réalisateursde Cannes. Il est aussi l’auteur de nombreuses mises en scène pour le cinéma et la télévision,avec quelque 60 courts métrages à son actif, qui lui ont valu de participer à plusieurs festivalsde renom.Rio Negro sera à nouveau projeté sur les écrans du Foyer, les 10 et 17 août à 21 heures. Laréalisatrice Margarita Cadenas sera au Vox, le11 août à 21 heures et le12 août à 18 heures,pour présenter son film Cendres éternelles.


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MARCIGNYOsez l’art contemporain !le 25/07/2012 à 05:00 par Charlotte Rebet

La 6 e biennale internationale d’art contemporain rythme l’été à Marcigny. Immersion au cœurd’une visite plus que guidée…«Bienvenue, ici les visites sont accompagnées, suivez-moi… » Georges Silva accueille sesvisiteurs avec une poignée de main ferme et un large sourire. Un groupe vient de passer lepas de la porte, place de l’église, du centre d’art contemporain de Marcigny, en pleineBiennale. Mais pas question de les laisser divaguer d’une œuvre à l’autre, sans décodeur.Ici, on accompagne, on présente, on essaie de provoquer la curiosité quand elle n’est pas déjàlà. « Il y a des œuvres qui demandent de la méditation, sans médiation, les gens passeraientdevant sans s’arrêter », redoute Georges Silva. Non pas qu’elles soient forcémentindéchiffrables, disons plutôt, mystérieuses.« Moi j’aime pas, ça fait poster de chez Ikéa ! »Première œuvre, celle d’un maître de l’art « optique », Carlos Cruz Diez. Admiré par lesconnaisseurs, inconnu des néophytes. « Quelle couleur voyez-vous ? Du jaune ? Regardezd’un peu plus près… », guide Georges Silva, cofondateur des lieux. Les visiteurss’émerveillent d’illusions d’optique, grâce à de simples bandes de couleurs enchevêtrées.Brusquement, l’art contemporain devient plus ludique qu’ils ne l’auraient cru. Cette expositionunique sur le thème du Venezuela, étape incontournable de la biennale d’art contemporain,leur réserve encore sa palette de surprises, des objets amérindiens aux travaux de Soto.Les groupes déambulent d’une œuvre à l’autre. Photographies, peintures, vidéos etsculptures… « Qu’est-ce que vous en pensez ? Ca vous évoque quoi ? Et si vous deviezchoisir un titre à cette photo ? » Par tous les moyens, Georges Silva, médiateur culturel, tented’impliquer son public, et veille à ne jamais laisser filer l’interactivité, pour éviter de tomberdans la visite académique. Certains froncent les sourcils, d’autres passent volontiers leurtour… Mais les réponses sont parfois surprenantes. « Moi je n’aime pas, ça fait poster de chezIkéa ! », tranche Marie-Claude. « Là, je n’accroche pas du tout, c’est trop sombre pour moi »,renchérit-elle un peu plus loin, penchée sur une toile géante hachurée de noir et de blanc.Mais quand l’œuvre plaît, Georges Silva et les médiatrices bénévoles des lieux sautent surl’occasion pour en dire un peu plus sur le travail de l’artiste, sa technique, son message.« On apprécie l’art, mais on n’est pas des connaisseurs, on n’a pas le vocabulaire des artistes! », assure Bernard, un visiteur lyonnais, fidèle de la biennale de Marcigny depuis ses débuts.« Quand on visite tout seul, c’est vrai qu’on peut rester perplexe. Là, on nous tend vraiment lamain », renchérit son épouse. « Pour une petite commune comme ici, c’est surprenant,poursuit un visiteur montcellien, je n’ai pas l’habitude, ça reste un peu abstrait pour moi, maisau moins, ça donner envie de s’y plonger plus longuement ». Une petite victoire du quotidiendans ce lieu très symbolique, le seul centre d’art contemporain de Saône-et-Loire.


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Biennale internationale d’art contemporain de Marcigny, avec Regard sur l’art et le centre d’artcontemporain Frank Popper, dans une douzaine de lieux de la ville. Tous les jours de 15 h à19 h jusqu’au 19 août. Gratuit. www.regardsurlart.fr

AU CŒUR DE LA BIENNALE - MARCIGNYA la découverte de la Biennale d' Artle 26/07/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

L’association Regard sur l’art a su donner une dimension exceptionnelle à sa Biennale. Elleest une véritable invitation à la rencontre d’un patrimoine historique et culturel, à travers douzesites d’exposition. Une première halte s’impose au parc municipal, véritable écrin d’unedizaine de sculptures monumentales, entourées des bancs poèmes. Parmi elles : L’oiseau duvitrail, œuvre en métal cuivré du Niçois Serge Borgogno. Sculpture réalisée sur des supportsmétalliques, complétée par le travail du cuivre repoussé, avec, en fond, des vitraux peints.Trois fois par semaine jusqu’au 19 août, retrouvez une œuvre de la Biennale d’artcontemporain de Marcigny. À visiter tous les jours de 15 à 19 h.


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MARCIGNYUne fresque murale aux couleurs vénézuéliennesle 26/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Parmi les artistes Vénézuéliens en résidence au Centre d’art contemporain, à l’occasion de laBiennale, Franz Spath et Georges Silva ont l’honneur d’accueillir Juvenal Ravelo, quiappartient au mouvement de l’art cinétique.Un séjour en France en 1964, a permis à Juvenal Ravelo d’approfondir ses connaissances surl’art abstrait et le constructivisme. Il est l’un des précurseurs du concept de « l’art de laparticipation de la rue ». Il a instauré une méthode originale, en proposant une relationparticipative esthétique singulière et dynamique au public. Une expérience enrichissante àlaquelle sont conviés le monde associatif et la population de Marcigny, tous les jours, de 9 h30 à 11 h 30 et de 15 à 19 h, jusqu’au 3 août.Juvenal Ravelo, et son adjoint, Adolfo Alayon, sauront vous conseiller pour réaliser ce défi : laréalisation d’une fresque murale sur l’enceinte du stade municipal, à partir de deux ensemblesde modules de couleur.Le lancement de cette œuvre murale a donné lieu au premier coup de pinceau du maire deMarcigny, Louis Poncet, et du président de la communauté de communes, Jean-ClaudeDucarre, imités par le jeune Thomas, petit-fils de Claude Senecaille, président de Regard surl’art.


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Votre participation à la réalisation de cette peinture murale cinétique et à ce projet vous vaudrade recevoir un magnifique diplôme dédicacé par l’artiste, heureux de partager cette expérienceavec la population de Marcigny.

MARCIGNYLe Vénézuela à l’honneurle 27/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Le réalisateur et cinéaste Atahualpa Lichy, et l’artiste Juvenal Ravelo, ont reçu la médailled’honneur de la ville des mains du maire, Louis Poncet.En 2009, la municipalité avait déjà eu l’honneur d’accueillir Jean-Marc Laforêt, ambassadeurde France au Vénézuela, et son homologue. C’est dire que de solides liens se sont tissésentre les deux pays.La biennale d’art a pris une nouvelle dimensionLa biennale d’art contemporain bénéficie à nouveau de la présence du réalisateur et cinéasteAtahualpa Lichy, qui a présenté, en étroite collaboration avec le cinéma Vox, et grâce à la forteimplication de son président Marc Favier, son film Rio Negro, et de l’artiste Juvenal Ravelo, enrésidence au centre d’art, qui réalise jusqu’au 3 août une fresque murale au stade municipal.Deux événements, qui ont valu à ces éminents représentants de l’art au Vénézuela de se voirremettre, par le maire Louis Poncet, la médaille d’honneur de la ville. En retour, ce dernier, demême que Claude Senecaille, président de Regard sur l’art, se sont vus offrir un tee-shirt


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MARCIGNY. Samedi 4 août.Une fresque pour la Biennalele 27/07/2012 à 05:00 par Céjy

La 6 e Biennale Internationale d’Art Contemporain accueille le Venezuela en invité d’honneur.Empreinte d’une autre culture…La 6 e Biennale Internationale d’Art Contemporain et de sculptures monumentales transformela ville en une véritable galerie, en salle ou à ciel ouvert. 42 artistes, venus du monde entier,France, Allemagne, Maroc exposent quelque deux-cents oeuvres qui ont pris place dansdifférents lieux de la ville. La manifestation est réalisée en partenariat avec le Centre ArtContemporain Franck Popper et l’association Regard sur d’Art.Le Venezuela, pays invité d’honneur, offrira un aperçu du talent d’une quarantaine d’artistes dece pays, qui présenteront cent-vingt œuvres. « Venezuela en Art » se veut le plus exhaustifpossible à côté des œuvres contemporaines. Une salle du Centre d’Art Contemporain estconsacrée à la présentation d’art ethnique Warao.Une fresque collectiveAfin d’ouvrir la création à tous les publics, l’artiste vénézuélien Juvenal Ravelo conduit unprojet gigantesque, qui marquera de manière indélébile cette Biennale.Il accueille le tout public au stade pour la création d’une peinture murale collective sous formed’ateliers de 9h30 à 11h30 et de 15h à 19h (s’inscrire au 03 85 25 11 03)Juvenal Ravelo a conçu le projet de Marcigny, qui est une grande première, afin de laisser uneoeuvre pérenne, « un présent au présent » (Prévert). Le cinéaste Atalhulpa Lichy réalisera unfilm sur la peinture murale de Juvenal Ravelo.Les murs du stade municipal prendront des couleurs de soleil et l’empreinte d’une autre

personnalisé.Les personnes présentes se sont accordées à reconnaître la dimension prise par la 6 ebiennale grâce à son caractère international et la mise en valeur des expositions et activitésculturelles qui l’accompagnent. La mise en œuvre et réalisation de la fresque murale sont à lafois une démarche collective, et une action de participation. Les associations locales, lesjeunes et la population sont invités à contribuer à la réalisation de l’œuvre, en prenant lepinceau quelques minutes.L’atelier est ouvert tous les jours de 9 h 30 à 11 h 30 et de 15 à 19 heures, vous serez accueilliet conseiller par l’artiste.


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culture. L’inauguration de cette oeuvre magistrale se fera en présence de son créateur JuvenalRavelo, de Son Excellence l’Ambassadeur de France à Caracas, Jean-Marc Laforêt, quidonnera une conférence sur l’art actuel vénézuélien à 16h. Exceptionnel à Marcigny.Inauguration de la peinture murale samedi 4 août à 17h. Exposition Venezuela au CAC, tousles jours jusqu’au 19 août de 15h à 19h, entrée gratuite. Puis du 1 er au 30 septembre, lesvendredis, samedis et dimanches, de 15h à 18h. Entrée : 4 €, 2 €. Renseignements : 03 85 2511 03

MARCIGNYDuo Orgue et cuivre en l' Eglise de Marcignyle 27/07/2012 à 05:00

Concert.Sculptures, peintures, photographies et techniques mixtes, ainsi qu’activitésculturelles se côtoient dans le cadre de la biennale internationale d’art contemporain deMarcigny. L’association Regard sur l’art a tenu à intégrer à sa 6 e biennale, des spectaclesvivants. C’est ainsi que l’église Saint-Nicolas s’apprête à accueillir un concert qui va ravir lesmélomanes, demain à 20 heures. Ce concert sera donné par un duo inédit d’orgue et cuivre.L’occasion d’applaudir à la trompette, le directeur du réveil musical Eddy Rosso, diplôméd’état, qui est d’ailleurs aussi, professeur de clarinette. Il sera accompagné, à l’orgue rénovéde l’église, par Stéphane Kumor, professeur de l’école de musique de Vesoul. Un duoétonnant qui nous promet une soirée musicale de très haute tenue. Photo M. P. (CLP)


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AU CŒUR DE LA BIENNALEL’originalité, le désir de surprendre et l’esprit créatif des artistes sont le fil conducteurdes ...le 29/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

L’originalité, le désir de surprendre et l’esprit créatif des artistes sont le fil conducteur desexpositions d’exception de cette 6 e Biennale d’Art, qui poursuit, au-delà de toutes lesespérances, sa folle aventure. Plusieurs sculptures monumentales se dressentmajestueusement sur les pelouses du jardin public. Parmi elles, Le grand diable morvandiauen acier peint, réalisé par Bernard Morot-Gaudry, installé à Autun, et qui porte la doublecasquette de sculpteur et peintre. Il a créé de nombreuses sculptures monumentales, en acier,en pierre ou en bois, et participé à de multiples expositions internationales.iTrois fois par semaine, retrouvez une œuvre de la Biennale d’art contemporain de Marcigny.Les visites sont gratuites et ont lieu tous les jours de 15 h à 19 h


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MARCIGNY. LA BIENNALE D’ART CONTEMPORAIN INCITE AUSSI LES HABITANTS ÀPRENDRE LES PINCEAUX.Quand le public prend le pinceaule 29/07/2012 à 05:00 par Charlotte Rebet

En pleine Biennale d’art contemporain, Marcigny accueille un artiste vénézuélien pour unprojet artistique participatif.Un stade banal le long d’une route départementale. Des automobilistes qui défilent sansdévier du regard. Sous leurs yeux, un long mur d’un blanc immaculé, promis à une destinéeartistique. Alors que la Biennale d’art contemporain de Marcigny accueille quelque 200 œuvrespendant l’été, les habitants sont eux aussi incités à participer.Arrivé tout droit du Venezuela, l’artiste Juvenal Ravelo propose tous les jours aux volontairesd’apporter un coup de pinceau, aussi modeste soit-il, à son projet : une peinture murale d’unequarantaine de mètres de long du stade. « Dans son pays, ce concept d’art dans la rue et deréappropriation de l’espace urbain à travers l’art fonctionne très bien. Nous ne savions pastrop ce que ça allait donner ici à Marcigny ! », redoutait Georges Silva, du centre d’artcontemporain Frank Popper.Une première mondialeMais très vite, le projet expérimental se transforme en succès populaire et dépasse lesespérances. Dès les premiers jours, le public se prend au jeu, et cet atelier peinture un peuspécial ne désemplit pas, tandis que le mur prend peu à peu des couleurs.La simplicité et la convivialité du projet plaisent. À des kilomètres du stéréotype de l’amateurd’art contemporain, le projet attire tous les styles. Des touristes étrangers curieux aux mèresde famille venues divertir leurs enfants. Régulièrement, on repasse même par curiosité,simplement pour voir comment la peinture grandit sur le mur, et se fraye une place dans ledécor marcignot. « Je trouve ça génial, ça égaye le quartier, ça donne une originalité qu’il n’y apas ailleurs et c’est amusant d’y participer », témoigne une riveraine, appareil photo en main.Ce concept d’œuvre populaire sur l’espace public, c’est précisément Juvenal Ravelo qui en aété l’initiateur au Venezuela au milieu des années 70. Très populaire en Amérique latine, iln’avait encore jamais déballé ses pinceaux pour une telle œuvre en dehors de son pays.


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Marcigny est donc « une première mondiale », comme se plaisent à répéter les protagonistesdu projet.Un diplôme en primeL’artiste, lui, voit son œuvre se concrétiser jour après jour et savoure l’émulation qui se créétout autour : rires, sourires, photos souvenirs et bouche à oreille. La démarche fait autantpartie de l’œuvre que le résultat final. « C’est une œuvre optique et cinétique. Les gens quipasseront en voiture auront une impression de mouvement sur le mur, explique Georges Silva». Chaque participant repart avec un diplôme signé par l’artiste. « Ca donne une dimensionsupplémentaire à la biennale, c’est un gage sur la pérennité de l’Art contemporain à Marcigny», se réjouissent Louis Poncet, maire et fondateur de la Biennale. Cette peinture muralegéante restera longtemps en place pour le rappeler aux habitants.Inauguration de la peinture le 4 août. Biennale d’art contemporain : visites tous les jours de 15h à 19 h. Gratuit. www.regardsurlart.fr

AU CŒUR DE LA BIENNALE - MARCIGNYAu coeur de la Biennalele 30/07/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Dans le cadre de la Biennale, le Centre d’art contemporain abrite l’exposition « Vénézuela enArts », qui regroupe quelque 120 œuvres de 42 artistes. Peintures, sculptures, photos, vidéos,espace sonore y ont trouvé place, de même que l’art amérindien du peuple Warao. Notreobjectif s’est fixé sur une technique mixte de Luis Alberto Hernandez : Portes de l’éternité.Trois fois par semaine jusqu’au 19 août, retrouvez une oeuvre de la Biennale de Marcigny.Visites gratuites tous les jours de 15 à 19 h.


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MARCIGNYUn duo orgue et trompettele 31/07/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Quelque 200 mélomanes sont tombés sous le charme des virtuoses que sont Eddy Rosso etde son ami Stéphane Kumor.Construit en 1895 par la Manufacture lyonnaise, Michel Merklin, l’orgue de Marcigny de typeromantique a fait l’objet d’une totale restauration et ré-harmonisation, l’an dernier, suivie de sabénédiction avec un concert d’Anthony Le Roux. À l’occasion de la Biennale, et à l’initiative deRegard sur l’art, l’orgue de l’Église Saint-Nicolas a retrouvé une seconde jeunesse, sous laforme d’un concert exceptionnel, qui a réuni un duo orgue et cuivre de très haute tenue.Quelque 200 mélomanes sont tombés sous le charme des virtuoses que sont Eddy Rosso,directeur du Réveil musical de Marcigny, à l’orgue, et de son ami Stéphane Kumor, professeurde trompette et de jazz à l’école de musique de Vesoul. Duo qui s’est agrandi avec laparticipation de Marjorie Laforêt, professeur de trombone. Le public est resté en extase,envoûté par le programme concocté par Eddy et Stéphane, faisant la part belle à la musiquebaroque allemande et italienne du XVII e et XVIII e siècles, Aria et petit prélude et petite fugueen mi mineur de J.-S. Bach. L’organiste et le trompettiste ont reçu un triomphe pour ce concertdominé par l’interprétation de l’ Avé Maria de Charles Gounod et Giulio Caccini, Parisangelicus de César Franck, en passant par la suite du premier ton de Jacques Booyvin ouencore Aria Con Variazioni de G.-F. Heandel.


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MARCIGNYAu coeur de la Biennale d'artle 01/08/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Les visiteurs continuent à affluer sur les sites d’expositions de la Biennale d’art contemporainqui ne fermera ses portes que le 19 août.Parmi les sculptures monumentales, celle réalisée par Mireille Belle : Réflexion en résinepolyester, 1,90 m sur socle, ne laisse pas indifférent.L’artiste alterne le travail en atelier avec les symposiums, aventures tant artistiquesqu’humaines.La terre reste son matériau de prédilection, mais elle travaille aussi la résine, le bois, lesassemblages, la neige, la glace et a pérennisé quelques œuvres en bronze.De la rencontre entre ses mains et la matière, surgissent des êtres neufs, émouvants, sansartifice.


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MARCIGNYÉchos de la biennalele 03/08/2012 à 05:00

Échos de la biennale.Il ne vous reste plus qu’aujourd’hui pour apporter votre coup de pinceauà la peinture murale, orchestrée par l’artiste vénézuélien Juvenal Ravelo, sur le mur du stademunicipal. Dans le cadre de la 6 e biennale d’art contemporain de Regard sur l’art, et del’exposition Venezuela en Arts au Centre d’art contemporain. Ce projet a rencontré un véritablesuccès populaire auprès des habitants. Une œuvre optique et cinétique, composée de formesgéométriques de couleurs, a été réalisée et restera en place. Inauguration prévue demain.Conférence. Toujours dans le cadre de cette biennale dédiée en grande partie au Venezuela,l’ambassadeur de France dans ce pays d’Amérique latine, Jean-Marc Laforêt, tiendra uneconférence sur le dialogue France-Vénézuela à travers l’art. Rendez-vous à 16 heures à lasalle du foyer. Photo Charlotte Rebet


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MARCIGNYBiennale : la peinture murale au stade a réuni plus de 300 participants !le 03/08/2012 à 10:52 par Charlotte Rebet

Lancée il y a deux semaines, cette oeuvre participative a remporté un succès fou, dans lecadre de la Biennale d'art contemporain. Un projet artistique totalement inédit en Saône-et-Loire, et même en France !"C'est inespéré, on ne s'attendait pas à un tel succès populaire, c'est une grosse surprise".Dans la droite lignée de la Biennale d'art contemporain qui bat son plein en ce moment, lecentre d'art contemporain Frank Popper s'était lancé un défi haut en couleurs. Celui d'inviterl'un des plus grands artistes vénézuéliens dans la cité brionnaise, et de lui confier laréalisation d'une peinture murale de 50 m sur le mur du stade municipal de Marcigny. Cetteoeuvre, lancée le 23 juillet dernier, a attiré en deux semaines plus de 300 participants, soitenviron 500 contributions car de nombreuses personnes sont venus à plusieurs reprisesapporter leur coup de pinceau, séduites par la démarche.Cette peinture murale, succession de formes géométriques de couleurs, produit un effetd'optique et de mouvement à ceux qui passent devant, en voiture ou à pied. "Participer àl'élaboration d'une œuvre d'art contemporain, pendre les pinceaux et mettre la main à la pâte,permet au public de mieux comprendre l'acte créatif parfois si mystérieux", explique GeorgesSilva, cofondateur du centre d'art contemporain Frank Popper. Prise d'assaut par les habitantset des curieux venus parfois de loin, cette oeuvre a pris forme très rapidement, boostée parson aspect ludique et très accessible, même chez les plus jeunes.Du haut de ses presque 80 ans, Juvenal Ravelo a fait le voyage depuis Caracas, pour venirdiriger la peinture des 50 mètres du mur du stade de Marcigny. C'était la première fois quequ'une telle réalisation de « peinture participative » de cet artiste s'effectue en dehors duVenezuela : comme l'a affirmé l'artiste : « c'est une première mondiale ». Après un telengouement, cette peinture restera en place de longues années sur ce stade autrefoismonotone, pour rapeller que l'art contemporain conforte sa place en milieu rural à Marcigny etsa biennale internationale.Inauguration de la peinture de Juvenal Ravelo demain en fin d'après-midi, après uneconférence exceptionnelle qui sera donnée par l'ambassadeur de France au Venezuela enpersonne, à 16h à la salle du Foyer de Marcigny.


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La 6e Biennale d'art contemporain, organisée par Regard sur l'art et le centre d'artcontemporain, dure jusqu'au 19 août. Ouvert tous les jours de 15h à 19h, gratuit. Douze lieuxd'exposition, environ 200 oeuvres dans la ville et aux alentours.

AU CŒUR DE LA BIENNALE - MARCIGNYAu coeur de la Biennake d' Artle 05/08/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Dans le cadre de sa biennale, l’association Regard sur l' art organise un concours pourdécerner un prix aux artistes sélectionnés. Elle met pour cela à la disposition des visiteurs unebrochure illustrée. Trois prix seront attribués le 19 août : ceux du public, du jury et de lapresse. Nous vous invitons à découvrir aujourd’hui une des œuvres d’Isabelle Allain : Sélèné,portrait en plâtre patiné. L’artiste de région lyonnaise travaille la terre depuis 15 ans. Cettedécouverte a été pour elle une révélation, une évidence. Elle présente, pour cette biennale deMarcigny, son travail sur les bustes et portraits. La terre fait appel à ses sens tactiles, visuels,elle est un catalyseur de mémoires.iTrois fois par semaine, retrouvez une œuvre de la Biennale d’art contemporain de Marcigny.Les visites sont gratuites et ont lieu tous les jours de 15 à 19 heures.


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MARCIGNYConférence de l’ambassadeur Jean-Marc Laforêt sur le Venezuelale 07/08/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Le Venezuela est l’invité d’honneur de la Biennale d’art internationale de Marcigny, avec laprésence d’œuvres de 42 artistes au Centre Frank-Popper. Grâce au Vox, huit films sur cepays sont à l’affiche salle du Foyer, dont Cendres éternelles, présenté par sa réalisatrice,Margarita Cadenas les 11 et 12 août. Cet événement culturel, pour lequel il a apporté unecollaboration active, nous vaut la présence de son excellence Jean-Marc Laforêt,ambassadeur de France au Venezuela, qui a donné une conférence au Foyer, devant uneforte audience, vivement intéressée par la vie de cet état fédéral d’Amérique du Sud de 912000 m², et qui compte une population de 28 millions d’habitants.Les trois quarts de celle-ci sont dans les montagnes du Nord, avec sa capitale, Caracas.Les deux ressources essentielles du pays restent le cacao et le pétrole autour de la lagune deMaracaïbo. L’ambassadeur s’est montré un brillant orateur pour répondre à la curiosité et auxquestions du public, impatient de faire plus ample connaissance avec cette contréedécouverte par Christophe Colomb en 1498, qui possède un riche passé historique :proclamation de l’indépendance, avant d’être livrée aux Espagnols (1821/1830). Le rôleimportant mené par Simon Bolivar, génie militaire et politique, organisateur de la Fédération de


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la Grande Colombie, avant de démissionner. Depuis 1999, le chef de l’état vénézuélien estHugo Chavez.Il faut souligner l’importance et l’influence culturel de la France dans ce pays, qui s’estbeaucoup américanisé. Le sport n° 1 est le base-ball, les centres commerciaux sont trèsfréquentés (cinémas, restaurants) le whisky est la consommation préférentielle, le tourisme esttrès développé au Venezuela, où il reste beaucoup à faire dans le domaine de l’écologie.

AU CŒUR DE LA BIENNALE D’ART - MARCIGNYAu coeur de la Biennle d' Artle 07/08/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Alexandre Compagnon, artiste autodidacte, dont la peinture et les arts plastiques sont lemétier, met en place des œuvres qui permettent au spectateur de ressentir des sentimentsauxquels les mots ne peuvent conduire. Construire une image qui questionne l’intellect. Notreinstinct même.Souvent, le sentiment qui prédomine est la peur. Par exemple, dans sa peinture sur laquelles’est porté notre choix Le peintre (peinture acrylique). Il s’agit de la peinture de la toileblanche, ce peut également être la fascination.


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MARCIGNYLa peinture murale du stade inauguréele 07/08/2012 à 05:01 par Michel Pigeron (CLP)

Juvenal Ravelo, artiste vénézuélien, a fait don d’une fresque murale à la ville. Ce projet arassemblé pas moins de 400 participants.La municipalité et l’association Regard sur l’art et le Centre contemporain Frank Popper,maître d’œuvre de la sixième Biennale d’art internationale, viennent d’hériter d’une bien belledotation de la part de Juvenal Ravelo, artiste peintre vénézuélien de notoriété internationale,précurseur de l’art cinétique.En l’espace de deux semaines, il a mené à bon port, aux côtés de son assistant Adolfo Alayon,son projet, une première en Europe : une fresque murale participative de 85 m² au stademunicipal, avec, comme symbole, la fragmentation de la lumière et de la couleur. Peinturemurale qui a réuni autour de l’artiste 400 participants de 4 à 83 ans, le premier coup depinceau étant donné par Louis Poncet, le maire et Jean-Claude Ducarre, président de lacommunauté de communes, et le dernier, par Jean-Marc Laforêt, ambassadeur de France auVénézuela. Cette expérience enrichissante, qui a permis la réalisation d’une œuvred’exception, tient lieu de message, pour valoriser l’art contemporain qui prend la forme d’unmusée en plein air. Sous la conduite de Juvenal Ravelo, tous les acteurs de cette peinturemurale sont devenus de véritables petits artistes. Au cours de cette inauguration, une plaque aété dévoilée, en présence de Mme Comombo, vice-présidente de la culture au conseilgénéral, Jacques Rebillard, conseiller général, Jean-Claude Capiez, adjoint au maire, ClaudeSenecaille, président de Regard sur l’art, Franz Spath et Georges Silva, cofondateur duCentre d’art contemporain, Carlos Cruz-Diez, artiste de renom, du réalisateur Atahualpa Lichy,et des personnalités déjà citées.


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MARCIGNYUne première nationale au Voxle 09/08/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (clp)

La réalisatrice vénézuélo-française Margarita Cadenas sera présente au cinéma Vox pourprésenter ses œuvres.Dans le cadre de la biennale d’art contemporain de Marcigny, le cinéma Vox invite à découvrirsur les écrans de la salle du foyer, l’univers de Margarita Cadenas : une rétrospective del’œuvre de cette réalisatrice vénézuélo-française, avec son univers toujours entre deuxmondes.Au programme, découverte de ses documentaires et courts métrages ainsi que son œuvreplus récente en tant qu’auteur, productrice et réalisatrice : Cendres éternelles, en avant-première nationale (samedi 11 août à 21 heures) entrée libre. Ce film fut nominé dans lasélection officielle 2011 au World Film Festival de Montréal, au Canada, avant de poursuivreson voyage sur les écrans en Europe.Avec Macondo, projeté le 12 août à 18 heures, Cadenas montre la florissante sociétévénézuélienne de la fin du siècle dernier jusqu’à « nous faire sentir l’agonie d’un pays ».En 2009, l’accueil du public au Venezuela a retenu Macondo à l’affiche pendant denombreuses semaines et fut présenté à Paris, à la Maison de l’Amérique latine, dans le cadredes rencontres internationales Paris – Berlin – Madrid.


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Diffusé sur la chaîne OdysséeMargarita Cadenas relate à propos de son documentaire Au-delà des apparences (dimanche12 août à 21 heures) : « Le point de départ de ce film fut la vive passion que les IndiensYanomamis ont suscité chez les anthropologues et la façon dont ils ont été considérés. »En 2006, c’est au Collège de France qu’a eu lieu la première d’ Au-delà des apparences, qui aété diffusé sur la chaîne Odyssée et a fait son parcours dans les salles de la cinémathèquevénézuélienne.Ces films seront accompagnés de Mascaras. Les quatre courts métrages Mascaras/Masques,développés en une minute chacun, parlent d’une idée générale sur quelques « péchés de lasociété ». Etd’une production de Margarita Cadenas, Chuao, la Vallée Merveilleuse, undocumentaire (samedi 11 août 18 heures) diffusé par la chaîne Ushuaïa.Margarita Cadenas sera reçue par la municipalité de Marcigny, vendredi 10 août à 18 h 30 ausalon d’honneur, en présence de l’ambassadeur de France au Venezuela, Jean-Marc Laforêt.

AU CŒUR DE LA BIENNALE - MARCIGNYAu coeur de la Biennale d' Artle 09/08/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

Les visiteurs et vacanciers continuent à affluer sur les 12 sites qui abritent jusqu’au 19 aoûtinclus, les merveilleuses expositions : sculptures, peintures, photographies, techniques mixtes,de la biennale d’art internationale d’art contemporain. Elle a trouvé place parmi les grandsévénements culturels de l’été, du département. Sous la tonnelle du jardin public, deux œuvresfont sensation. Celles de Sylvain Lécrivain, issu des Beaux-Arts de Reims. Se côtoient : uneguitare sèche, en résine polyester, bois et cordes, et Psyché, en pâte à papier, bois, ossaturemétal, sur un socle en béton. L’artiste trouve la source de la diversité de sa création tant dansles rapports de l’homme à la terre, que lorsqu’il cite Shakespeare : « Le monde est une scène».Trois fois par semaine, retrouvez une œuvre de la Biennale d’art contemporain de Marcigny.Les visites sont gratuites et ont lieu tous les jours de 15 à 19 heures.


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LOISIRSUn week-end de cinéma vénézuélienle 11/08/2012 à 05:00

Rétrospective de l’œuvre de Margarita Cadenas :Aujourd’hui à 18 h, « Chuao, la valléemerveilleuse ». À 21 h, « Les cendres éternelles ». Demain à 18 h, « Macondo ». À 21 h, « Au-delà des apparences ». Entrée libre, projection à la salle du Foyer. D’autres films vénézuélienssont programmés jusqu’au 19 août, date de clôture de la Biennale d’art contemporainorganisée par Regard sur l’art et le centre d’art contemporain Frank Popper. Gratuit, tous lesjours de 15 h à 19 h. Douze sites d’expositions dans le centre-bourg de Marcigny.

INTERVIEW PAR CHARLOTTE REBET - MARCIGNY.Margarita Cadenas, réalisatrice vénézuélienne, présentera son dernier film. Invitée demarque à la biennalele 11/08/2012 à 05:00 par par Charlotte Rebet

La réalisatrice vénézuélienne Margarita Cadenas vient présenter à Marcigny, pour la premièrefois en France son dernier long-métrage : « Cendres éternelles ».Dans le cadre de sa biennale d’art contemporain sur le thème du Venezuela, Marcigny et lecinéma Vox accueillent Margarita Cadenas. Réalisatrice vénézuélienne de renom, elleprésente ce week-end son dernier film. Une première en France.Vous êtes née au Venezuela où vous êtes une cinéaste très connue, plus qu’en France oùvous vivez pourtant depuis 30 ans. Quel est votre parcours ?Je suis arrivée en France jeune, je n’avais que 23 ans. Je voulais devenir productrice decinéma après des études au Venezuela et en Grande-Bretagne. En France, j’ai trouvé dutravail et mes premiers plateaux de tournage grâce à la Société française de production. J’aidû apprendre le français en trois mois ! Ensuite j’ai beaucoup travaillé dans la publicité, pourAir France, Toyota, L’Oréal avant de créer ma société de production. J’ai réalisé des téléfilmsd’aventure pour TF1, et puis progressivement, j’ai arrêté de produire pour les autres, j’ai


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produit pour moi.Vous n’hésitez pas à aborder des sujets difficiles et parfois très polémiques à travers vos films.D’où vous vient cette tendance ?Lors de mes études au Venezuela, mon premier travaille a été le journalisme. À 20 ans, j’étaisreporter à la télévision. J’ai gardé un peu cette âme de journaliste ce qui explique que je suissurtout intéressée par les sujets qui demandent à être éclairés, ou qui révoltent. D’ailleurs monprochain film parlera de la guérilla des Farcs en Colombie.Quelle a été pour vous la différence entre la télévision et le cinéma ?Quand on écrit pour la télévision, et en particulier pour le TF1 des années 90, on est trèsparamétrés. On doit créer quelque chose de commercial, qui plaise et qui ne donne pas envieaux téléspectateurs de zapper. Après j’ai commencé à faire des documentaires et ça a été trèsdifférent. On traite des sujets dont on se sent obligé de parler car c’est nécessaire, pas etparce qu’on nous l’a demandé. Aujourd’hui, je ne me considère pas comme formatée. Jetouche à tout, et c’est à chaque fois une occasion différente de s’exprimer.Ce sont pourtant vos expériences avec TF1 qui vous ont permis de découvrir votre passion…Oui. Nous sommes allés tourner « Barrage sur l’Orénoque » au Venezuela, et c’est à cemoment-là que je me suis prise de passion pour le peuple Yanomani et leur culture. Cetteethnie d’Amazonie vénézuélienne a vécu jusque dans les années 60 de manièrecomplètement isolée du monde. Aujourd’hui c’est un laboratoire vivant pour lesanthropologues du monde entier. Mais la pénétration de l’occident a changé leur histoire etc’est désormais un peuple menacé.C’est justement aux Yanomani que vous consacrez votre dernier long-métrage, « Cendreséternelles », à voir ce week-end à Marcigny…J’ai mis dix ans à réaliser ce film. Pour connaître et comprendre leur culture, j’ai fait beaucoupde recherches, d’investigations. Il y a eu aussi un très gros travail des acteurs qui ont dûapprendre la langue, entrer dans ce monde dans le plus grand respect de la culture Yanomani.Au final, et c’est le plus important, ce film évoque le lien invisible et universel entre une mèreet sa fille.

AU CŒUR DE LA BIENNALE - MARCIGNYAu coeur de la Biennale d' Artle 12/08/2012 à 05:00 par M. P. (CLP)

À l’initiative de l’association Regard sur l’art la 6 e biennale est l’expression d’une présenceforte de l’art contemporain dans la ville, tant à l’extérieur : jardin public, que dans les sallesd’ex


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xpositions, dont l’accès est gratuit. Une visite s’imposait à la salle de musique, où sont misesen valeur les œuvres de Marie-Christine Sohm, sculpteuse passionnée sur métal, dans sonatelier de Meurthe-et-Moselle. Elle tire d’élégantes et sensuelles silhouettes élancées à partirde morceaux de ferrailles uniformes, tourmentées et battus par le temps. Le couple est sonsujet de prédilection. Notre choix s’est porté sur « la femme et l’enfant ». Marie-ChristineSohm a été récompensée dans de nombreux salons, notamment en 2011, où elle futmédaillée de bronze de l’Académie Arts et Lettres Sciences.Trois fois par semaine, retrouvez une œuvre de la Biennale d’art contemporain de Marcigny.Les visites sont gratuites et ont lieu tous les jours de 15 à 19 heures.

MARCIGNYMargarita Cadenas, hôte de la Municipalitéle 13/08/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Le Venezuela est l’invité d’honneur de la6 e Biennale d'’art contemporain. Événement cultureld’envergure, qui possède un écho international grâce aux efforts conjugués de ses principauxacteurs que sont la municipalité, les associations Regard sur l’art et Cinéma Vox, le centred’art Frank-Popper.Les portes du salon de l’Hôtel de Ville se sont une nouvelle fois ouvertes, pour accueillirMargarita Cadenas, scénariste, réalisatrice et productrice de talent, franco-vénézuélienne,venue présenter, en collaboration avec le Vox, et pour la plus grande fierté des défenseurs del’art, son film Cendres éternelles en avant-première nationale, et pour la première fois enFrance. Qui pouvait imaginer que Marcigny, petit bourg du Brionnais, bénéficierait de cetteprimeur, et tiendrait des liens et échanges importants avec le Venezuela, à travers laprogrammation de cette Biennale.Le maire Louis Poncet a souligné le rôle prépondérant mené par Jean-Marc Laforêt,ambassadeur de France au Venezuela, très attaché à notre région et présent pour cettecérémonie au cours de laquelle la médaille d’honneur de la Ville a été remise à MargaritaCadenas, visiblement très émue. Cette dernière a assuré son admiration de pouvoir participerà cette vitrine culturelle, avant de confier son sentiment sur le livre d’or : « Je tiens à remercierprofondément tous les instigateurs de cette Biennale. C’est un honneur de me trouver danscette accueillante petite ville, et recevoir toute la chaleur de ses habitants ».


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MARCIGNYImmersion chez les Yanomanile 13/08/2012 à 05:06 par Charlotte Rebet

La cinéaste vénézuélienne Margarita Cadenas a fait salle comble au Foyer pour l’avant-première de son film Cendres éternelles.Avec son dernier long-métrage, Cendres éternelles, Margarita Cadenas voyage de pays enpays, de festivals en festivals. Un périple cinématographique international qui l’a conduite, ceweek-end, à Marcigny, comme toute première destination française. C’est donc un public deprivilégiés qui a pris place, samedi soir, dans la salle du Foyer, pour accueillir la cinéastevénézuélienne, invitée de marque du cinéma Vox et de la Biennale d’art contemporain.Un de ses documentaires, Chuao, la vallée merveilleuse, ouvrait la soirée avant la projectiondu film attendu de tous. Cendres éternelles est une immersion, tirée d’une histoire vraie, aucœur du peuple amazonien des Yanomani. Cette ethnie était parmi les plus isolées du monde,il y a encore 50 ans. Après près de deux heures d’émotions, Margarita Cadenas prend lemicro et s’explique, avec un accent non-dissimulé, devant une salle pleine.« Ce ne sont pas des figurants mais de vrais Yanomani. Il a fallu les convaincre de jouer, dansle respect de leur culture. Nous avons fait un important travail de reconstitution », explique-t-elle. La réalisatrice conclut ainsi10 années de travail, et de recherches très poussées pours’immiscer au plus près de la culture Yanomani. À travers cette fiction, qui retrace les liensentre une mère et sa fille, Margarita Cadenas espère transmettre un peu de sonémerveillement : « Je veux faire connaître cette culture qui est en train de disparaître ». Larétrospective s’est terminée, hier soir, par la projection de Macondo et Au-delà desapparences, pour avoir un aperçu complet de l’œuvre, émouvante, de Margarita Cadenas.


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AU CŒUR DE LA BIENNALE - MARCIGNYAu coeur de la Biennale d' Artle 14/08/2012 à 05:00 par Photo M. P. (CLP)

Moins d’une semaine, et la Biennale internationale d’art contemporain de Marcigny fermerases portes. Il n’est pas trop tard pour découvrir et admirer les splendides œuvres des artistes.Notre coup de cœur sera aujourd’hui pour les acryliques sur métal qui portent la griffe de

Christiane Bruley. Native d’Alsace, cette artiste vit et travaille à Dijon. Elle expose dansdifférentes régions de France, mais aussi en Suisse, Allemagne et Pologne. Entrée libre de 15à 19 h, pour exprimer votre vote pour le prix du public.

AU CŒUR DE LA BIENNALE - MARCIGNYAu coeur de la Biennale d' Artle 16/08/2012 à 05:00 par Michel Pigeron (CLP)

Jusqu’au 19 août, les œuvres et réalisations des artistes régionaux et Venezueliens sont livrésà la curiosité des visiteurs. Ces derniers ont pu vérifier la dimension supplémentaire acquise


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par la 6 e Biennale internationale d’art contemporain. Un aboutissement qui vient récompenserla somme d’efforts déployés par l’association Regard sur l’Art, qui fête pour l’occasion son 10e anniversaire. Nos pas se sont dirigés aujourd’hui vers les techniques mixtes, sable de Loireet acryliques de Bernadette Moreau, abritées par le bâtiment de l’École de musique. L’artiste achoisi de mettre en valeur et d’utiliser les sables naturels de la Loire, travaillés en couchessuccessives, avec divers ajouts de graviers ou morceaux de bois flottés, complétés, si besoinpar de la couleur.Une dernière pour cette édition 2012, retrouvez dimanche une œuvre de la Biennale d’artcontemporain de Marcigny.Les visites sont gratuites et ont lieu tous les jours de 15 à 19 h.

ART CONTEMPORAIN. LA 6E BIENNALE INTERNATIONALE SE CLÔTURE AUJOURD’HUI.La biennale touche à sa finle 19/08/2012 à 05:00 par Charlotte Rebet

La 6 e biennale est d’ores et déjà un succès qui restera dans les annales. Pour ses 10 ans, leprogramme était particulièrement dense.Six semaines d’exposition, douze lieux à visiter, 200 œuvres dispatchées à travers Marcigny etses environs…Après deux ans de préparation, la 6 e biennale internationale d’art contemporain de Marcignys’achève ce soir. Les calculs sont encore approximatifs mais le président de Regard sur l’art,Claude Sénécaille, a le sourire. « Si tout va bien nous devrions dépasser les 12 000 entréesau cumul sur les sites, contre 10 500 en 2010 ».


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2 500 visiteurs au centre d’art contemporainIl faut dire que cette biennale, signant les 10 années d’existence de l’événement, avait vu leschoses en grand autour d’un thème on ne peut plus clair : surprendre ! La collection des bancspoèmes a drainé un public spécifique avec des ventes à la clé. Mention spéciale pour leprogramme Ardécole qui a vu participer les cinq écoles et le collège de Marcigny à un projetd’arts plastiques.Cette édition 2012 doit aussi son succès à la synergie entre les forces vives de la culture àMarcigny. Le Centre d’art contemporain a vu au moins 2 500 visiteurs passer ses portes pourvoir la plus grande exposition d’art venezuelien en France depuis 20 ans. La peinture muraledu stade municipal, chapeautée par l’artiste Juvenal Ravelo, a reçu la participation de plus de300 personnes. Le cinéma Vox a réussi un coup de maître en invitant successivementAtahualpa Lichy et Margarita Cadenas, deux réalisateurs venezueliens de renom, pourquelques cures de cinéma, salle du foyer.Allier évident, l’office du tourisme a joué son rôle de communication, et, est l’un des premierstémoins de la fréquentation. « C’est indéniable, ça apporte des visiteurs supplémentaires àMarcigny avec une belle affluence cette dernière semaine », constate Nicole Pellarini,directrice de l’office du tourisme.Une affaire de bénévolesPour garantir un accueil sept jours sur sept, l’association Regard sur l’art a assuré 210 gardes.Une équipe d’une quarantaine de personnes s’est relayée pour recevoir le public sur cinqsites, du jardin public à l’école de musique. Un rôle pris très à cœur. « On essaie simplementde mettre le visiteur sur la première marche en direction de l’art contemporain en expliquant, ànotre modeste niveau », affirme Jean-Pierre Dumay, l’un des bénévoles.Le centre d’art contemporain a aussi traversé ces six semaines de biennale à grand renfort debénévoles. Douze médiatrices culturelles formées par Georges Silva ont permis aux visiteursde ne pas se confronter, seul, aux œuvres. Après un nouvel été placé sous le signe de l’artcontemporain, Marcigny s’apprête donc à retrouver une vie normale, avant un dernier tour debiennale d’ici ce soir.Ouvert aujourd’hui, de 15 à 18 h. Au cinéma Vox : Tocar y luchar, de Beto Arvelo, à 18 h 15 àla salle du foyer.

£ART CONTEMPORAINMarcignyle 19/08/2012 à 05:00

MarcignyC’est le dernier jour pour pouvoir admirer les 200 œuvres d’art à travers 12 lieux, à Marcignyet dans ses environs. La sixième biennale aura accueilli près de 12 000 spectateurs, avec unsuccès toujours au rendez-vous. Bancs poèmes, peintures murales, ou encore sculptures, unegrande variété d’arts était représentée. Plus de 60 artistes étaient notamment présents aujardin public et dans différents lieux de la ville.Jusqu’à aujourd’hui, visites gratuites, de 15 h à 18 h.Rens. Regard sur l’art — M. Sénécaille 06 01 93 25 32


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MARCIGNYBiennalele 21/08/2012 à 05:00

Biennale.La 6 e biennale d’art contemporain de Marcigny a fermé ses portes dimanche.L’association Regard sur l’art (photo) ne tardait pas à annoncer, parmi les 200 œuvresexposées pendant six semaines, les différents prix. Le prix du public est décerné à Marie-Christine Sohm. L’artiste basée en Meurthe-et-Moselle était visible à l’école de musique, àtravers ses sculptures en métal représentant des personnages. Le jury de la biennale,composé d’une dizaine de personnes, a eu un faible pour les sculptures en bois de DanielLafouge, exposées à la mairie et face au cinéma Vox. Le prix de la presse revient auxtechniques mixtes de Bernadette Moreau qui façonne le fleuve de la Loire avec, notamment,son sable naturel. Ces trois artistes sont d’ores et déjà les invités d’honneur de la prochainebiennale, en 2014. Photo Charlotte Rebet


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Le Pays Roannais


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La Renaissance


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Livre d'or


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