Revue de la CRESS N°2

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Revue de la CRESSS Martinique

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Sommaire

Editorial de M. Alex BONVENT

Vice Président Délégué de la CRESS Marti-nique

Agenda

Les Etats Généraux 2011 en France et en

Martinique

La 4ème Edition du Mois de l’ESS 2011

en France et en Martinique

Bilan du Mois de l’ESS 2010

Financements

La Fédération Nationale des Caisses

d’Epargne

Appels à Projet 2011

Actualités Locale

DOSSIER DU MOIS: Le Dispositif Local d’Ac-compagnement (DLA) en Martinique

ZOOM SUR NOS ASSOCIATIONS :

Association synergie pour l’environ-nement et pour valorisation des espèces (SEVE)

Club Omnisport de Dillon Sainte-Thérèse (CODST)

Association AFRO HAND

Association Samaritaine

Asssociation Martiniquaise Education Populaire (AMPE)

Asssociation Mel Makrel

Nos partenaires

Conseil d’Administration

Bureau

Président : Louis-Félix LEDOUX Vice Président Délégué : Alex BONVENT 2ème Vice - Président : Gérard LACOM 3ème Vice - Président : Félix MONTBRUN Secrétaire : Arlette FLAUN Secrétaire Adjointe : Michèle KAAKIL Trésorier : Yves BERTE Trésorière Adjointe : Francette BELLAME

Administrateurs

Paul BIENCONTENT Jean Marc BUSSY Julien GOUAIT Maryse JACQUES-GUSTAVE Roger RENARD Tony NARCISSE Bruno SOREL

Vérificateurs aux comptes

Fred JEAN-BART José DINTIMILLE

Expert Comptable

Sandra MARIE-JOSEPH

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Editorial de Monsieur Alex BONVENT, VICE Président délégué

de la Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire

Martinique .

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Dans le contexte actuel, le monde bouge et les mutations s’opèrent sur l’ensemble du champ sociétal (économique, social, culturel, envi-ronnemental et politique). Nous vivons depuis quelques années une pluralité de crises : crise bancaire et financière d’abord, déclenchée par l’éclatement de la bulle de subprimes (crise immo-bilière) aux Etats-Unis au second se-mestre 2007, crise économique ensui-te. Dans le même temps, l’urgence du réchauffement climatique n’a jamais été aussi présente, tandis que plu-sieurs ressources essentie l les (matières premières énergétique, eau, produits alimentaires de premières nécessités…) sont menacées de pénu-rie. Plus récemment les crises géopoli-tiques (Tunisie, Egypte, Côte d’Ivoire, Lybie) sont venues corser l’échiquier politique mondial. La Martinique n’é-chappe pas aux turbulences sociales. En effet, depuis les grèves générales du premier trimestre 2009, l’Economie locale demeure encore morose (taux de chômage élevé singulièrement au niveau des jeunes). Les contrats aidés ne sont pas renouvelés, l’Etat n’ayant plus les moyens dans la gestion des finances publiques. Malgré cette mo-rosité ambiante, la Cress Martinique avance. Le succès des Etats Généraux à la Région le 10/06/11 en est la preu-ve éclatante. Rappelons ces EG lancés en mars 2011 dans le département, autour d’un certain nombre de théma-tiques correspondent à un processus collectif, innovant et citoyen pour une économie plus respectueuse de l’hu-main et de son environnement. Les réflexions ont permis de faire des pro-positions qui ont été abordées lors

de notre forum le 07/10/11 à l’occa-sion de notre Assemblée Générale avec pour thème : « Les Etats Géné-raux et après ? ». Par ailleurs le 02/12/11, la 4ème édi-tion du mois de l’ESS se tiendra sur le Malécon avec un temps fort, la pré-sentation de l’Observatoire de l’ESS en collaboration avec l’INSEE Martini-que. Plus que jamais la Cress Martinique se doit de fédérer, nous devons sortir de nos sentiers battus pour construire en-semble une Economie Sociale et Solai-re. Nous devons donc : Coopérer, Mu-tualiser, Accompagner et Profession-naliser.

Alex BONVENT, Vice Président Délégué de la Cress Martinique.

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Retour sur les Etats Généraux de l’ESS en France

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La première édition des Etats Généraux de l’ESS a été un véritable succès : plus de 5000 personnes ont investi l’ancienne Bourse de Paris du 17 au 19 juin 2011 pour célébrer une au-tre économie au cours d’un événement festif et citoyen !

De nombreux territoires se sont mobilisés et se sont engagés dans la démarche des Etats Généraux. Ainsi, une quarantaine d’élus et de techniciens de collectivités adhérentes au Ré-seau des Territoires Pour l’Economie Solidaire étaient présents à Paris. Parmi eux, Patrick Tillie, conseiller régional ESS Nord-Pas de Ca-lais, qui nous livre ses impressions : « Il était évidemment impossible de tout voir , ou tout entendre au Palais Brogniart les 17, 18, et 19 juin, mais comme beaucoup de per-sonnes j’ai été impressionné par le monde qui a pénétré dans ces lieux pour promouvoir l’ESS, ses activités, sa pensée, ou glaner des idées pour construire des projets. L’impression que cette fois l’ESS était visible, et montrée sous diverses facettes avec beau-coup de monde pour en faire chanter les cou-leurs. Des débats partout, avec des personnes diver-ses, et souvent joyeuses de montrer la tour-mente de notre société et de notre économie, il y a des alternatives sobres et porteuses d’a-venir qui recréent ce qui manque tant au-jourd’hui, à savoir la place de chacun, la va-leur du partage, l’utilité du travail, l’équilibre économique. Bien sûr, personne n’a cherché à masquer les difficultés que rencontrent ceux qui prennent des initiatives dans ce domaine, ni la nécessité de sortir de l’entre soi. Mais les anciens qui s’indignent devant la montée de la pauvreté, de l’intolérance et la réduction des libertés et qui soutenaient cette grande initiative étaient résistants. Ils considéraient que l’honneur de la politique est de vouloir contrôler les mo-teurs de notre société, comme la science, les techniques, l’économie et le profit, comme le

rappelle notamment Edgar Morin. Les Ca-hiers d’Espérance doivent sans aucun doute être salués car ils incarnent la vo-lonté de changer de modèle. Parmi les thèmes que j’ai pu repérer, riches de multiples propositions et analyses :

éducation et accès à une alimentation de qualité, respect de l’humain et de l’envi-ronnement,

Pour une économie de proximité et de soli-darité,

Achats responsables et commande publi-que,

Économie du recyclage et de la réutilisation (la surconsommation).

« Gageons que nous pourrions en re-prendre plusieurs pour notre région et les mettre en valeur ». Source : Patrick Tillie, conseiller régio-nal en charge de l’ESS, Nord-Pas-de-Calais

A l’initiative de Claude Alphandéry et

du Labo de l’ESS, le projet de l’ ESS a

été proposé initialement par un

regroupement d’acteurs de l’ESS.

Objectifs : mettre en mouvement les territoires Convaincre l’opinion Influencer les décideurs

Ce sont les trois défis que le labo se propose de relever pour que le changement de cap économi-que soit un sujet incontournable de la campagne

présidentielle de 2012.

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Synthèse des Etats Généraux de l’Economie Sociale et Solidaire de la

Martinique

Les Etats Généraux de l’Economie Sociale et Solidai-re (ESS) de la Martinique ont débuté le 26 Février 2011 à l’initiative de la Chambre Régionale de l’Econo-mie Sociale et Solidaire (CRESS). Les objectifs de cette démarche sont de mettre en mouvement les territoi-res, de convaincre l’opinion et d’influencer les déci-deurs. Cette opération s’est inscrit aussi dans une dynamique plus large sur l’ensemble du territoire national, avec pour ambition que le changement de cap économique, soit un sujet incontournable à la campagne présiden-tielle 2012.

La réflexion s’est construite à travers les six thématiques suivantes : se loger, habiter Prévenir, se soigner, Produire, consommer, se nourrir Se former, apprendre Financer, épargner

Les participants sont des professionnels de chacune des thématiques et viennent à la fois du privé, du public et de l’ESS. Cette multiplicité des acteurs a entrainé la confrontation de différentes positions et a favorisé le débat. Ainsi, l’ensemble des acteurs ont contribué à la réflexion sur le développement de l’E-conomie Sociale et Solidaire en Martinique, notam-ment par la rédaction de Cahiers d’Espérances au-tour d’indignations et de propositions.

Il en sort, une indignation générale d’un sys-tème économique qui a pour préoccupation principale de créer de la richesse mais qui ne se préoccupe pas ou peu de l’homme et de son environnement. Que fait-on pour les personnes sans emploi, pour les personnes qui vivent sous le seuil de pauvreté ? Que fait-on pour les personnes âgées ? Que fait-on pour les personnes qui n’ont plus les moyens de se soigner ? Que fait-on pour ceux qui ne trouvent pas de logement ? Que fait-on pour un habitat de qualité ? Que fait-on pour notre économie qui souffre et qui reste essentiellement basée sur l’importation ? Comment favoriser un développement local ? Que fait-on des richesses crées ? Comment sont elles réparties ? Que fait-on pour une autre économie ? Que fait-on pour entre-prendre ? Que fait-on pour soutenir l’Econo-mie Sociale et Solidaire ? Les acteurs de l’ESS constatent des carences de l’économie classique et s’indignent du désengagement progressif des pouvoirs publics dans de nom-breux domaines tels que la santé, le loge-ment et l’éducation. Ce sont des secteurs marqués par l’engagement et la présence historique du tissu associatif qui répond aux besoins non satisfaits de la Population.

Par ailleurs, le désengagement public se caractérise aussi par les baisses de subventions et une logi-que d’appel d’offre accrue. Les associations, qui représentant une par importante de l’ESS en Marti-nique, deviennent des prestataires de services à qui on demande d’être de plus en plus performants avec de moins en moins de moyens.

L’Economie Sociale et Solidaire prône l’économie au service de l’homme, mais l’on observe que l’exigence accrue de performance qui pèse sur les organisations de l’économie classique pèse désor-mais aussi aujourd’hui sur celles de l’ESS et que cette obsession du résultat quantifiable influe sur ses pratiques . De même, les indicateurs utilisés dans l’économie classique ne permettent pas une véritable évaluation des structures de l’ESS qui répondent massivement à des objectifs non lucratifs et non quantifiables. Il est donc nécessaire de s’interroger sur l’évaluation de ces organisations. La performance doit être bien définie et prendre en compte l’ensemble des parties prenantes, et toutes les dimensions couvertes par ces entités. Même s’il n’y a pas de concurrence à l’origine dans l’esprit associatif, des conditions similaire au monde de l’entreprise sont introduites, et « les mê-mes causes produisant les memes effets », cela implique des comportements identiques à ceux de l’économie classique.

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Ainsi, il faut s’interroger sur l’adaptabilité et l’efficacité des modèles d’évaluation et de manage-ment des Organisations de l’Economie Sociale et Solidaire (OESS). Les OESS doivent se différencier par leurs pratiques mais aussi par la qualité de leurs services. Le service ou le produit proposé par la structure doit incarner ses valeurs pour mettre en avant sa plus value. Pour cela le secteur de l’ESS doit se professionnaliser tant dans son management que dans son accompagnement afin de développer des logiques gestionnaires en tendant vers une au-tonomie financière. Toutefois, il ne s’agit pas d’entrer dans des pratiques managériales de l’éco-nomie classique. L’ESS doit avoir ses propres pratiques qui respectent ses principes avec une juste adéquation entre gouvernance et production. Enfin, l’ESS ne se réduit pas à l’associatif. Des solutions se trouvent dans le monde coopératif (SCOP, SCIC, groupement, etc) et mutualise afin de mieux s’ancrer dans cette économie qu’elle appelle de ses vœux et qui place l’homme au centre de son action en prô-nant un développement local. Pour cela les acteurs de l’ESS doivent développer et structurer le secteur collectivement et de manière participative à travers un grand projet, et ce, en créant des outils et en mobilisant le grand public et les décideurs politiques sur l’avenir de l’ESS en Martini-que, et pourquoi pas l’Avenir de la Martinique en ESS….

Les organisateurs des Etats Généraux en Martinique :

La Région Martinique accompagne la démarche dans une perspective de soutien à la dy-namique locale de l’ESS

La Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire Martinique est l’organisatrice locale des Etats Généraux

L’Office Caribéenne de Médiation et de Management des Organisations Profession-nelles est chargée d’accompagner la mise en œuvre et de synthétiser les rencontres des Etats Généraux

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Page 7 Revue de la CRESS Martinique / N°2 — Octobre 2011

Avant le lancement de la 4ème édition nationale du Mois de l’Economie Socia-le et Solidaire, qui réunira cette année encore plus de 1500 manifestations partout en France autour du thème : « Devenez Acteur de Changement », le Conseil National des Chambres Ré-gionales de l’Economie Sociale

(CNCRES) entend interpeller les politiques à la veille des présidentielles de 2012. Dans le contexte des présidentielles 2012 : un vote qui compte ! « A l’heure où la dette nationale enfle, où le chô-mage augmente et le mal être au travail s’installe, les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire sou-haitent tirer la sonnette d’alarme auprès des fu-turs candidats. « Nous demandons à être entendus dans le débat public. Le contexte des présidentiel-les s’y prête. Le secteur de l’Economie Sociale et Solidaire présente un large éventail de solutions créatrices d’emplois qui soulignons-le, sont des emplois non délocalisables, de lien social, de déve-loppement durable et d’innovation sociale dans nos régions », déclare Jean-Louis Cabrespines, Pré-sident du CNCRES. L’ESS : une force économique …. Aujourd’hui, l’ESS, c’est : 217 000 établissements 2 millions de salariés, soit 1 % des salariés 55 milliards d’euros distribués chaque an-

née en salaires 5 fois plus d’emplois que dans le secteur

automobile 2 fois plus d’emplois que dans le secteur

agricole Une voix à entendre, une voie à suivre. Au printemps, les acteurs de l’Economie Sociale et Solidaire seront plus de 2 millions d’électeurs po-tentiels (4,6%) à faire entendre leur voix pour dé-fendre une économie qui a du sens. Une raison suf-fisante pour inscrire l’édition 2011 dans une forte volonté d’interpeller les futurs candidats à la pré-sidentielle. Ce qui sera fait fin Octobre, la veille du lancement du Mois de l’ESS.

En Novembre 2011, Devenez Acteur de Changement !

En Novembre : 1500 occasions de devenir acteur de changement ! L’ESS, ca existe depuis longtemps et CA MARCHE ! Rejoignez les acteurs de changement : associa-tions, coopératives, mutuelles, fondations… et par-ticipez vous aussi au mouvement ! Au programme : trouver un job utile, consommer bio, agir collecti-vement, épargner solidaire, entreprendre autre-ment, se déplacer écolo, vivre ensemble, acheter responsable, se protéger mutuellement, 1500 solu-tions pour vivre votre quotidien autrement.

Bruno SOLO, soutien l’édition 20011 « Le cynisme économique et la déshumanisation de nos socié-tés au profit de réflexes bancai-res et financiers nous font aller dans le mur ».

Alors que les politiques semblent débordés par la situation, certains d’entre nous ont compris qu’une autre économie était possible : une éco-nomie où on répartirait mieux les bénéfices et où la richesse serait redistribuée de manière équitable. Cette économie existe : associations, mutuelles, coopératives en sont des illustrations formidables. Face au désespoir généralisé, ne lâchons rien ! Ne cédons pas à la paresse intel-lectuelle en nous contentant de slogans. Se-couons-nous. Réfléchissons autrement à l’avan-cée de ce monde. Nous avons tous un devoir de résistance et une responsabilité personnelle à changer les choses. A ceux qui relèvent chaque jour ceux qui sont à bout de forces et à ceux qui sont à terre, je dis « Restons en colère et soyons curieux ». Alors, ensemble, créons le mouvement ! Rendez-vous en novembre pour le mois d l’Economie Sociale et Solidaire. Parce qu’on peut tous demain devenir des acteurs de changement. Vraiment ! »

Rendez-vous début novembre 2011 pour

cette 4ème édition !

www.le mois-ess.org

Participez aux 1500 manifestations prévues partout en France .

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Page 8 Revue de la CRESS Martinique / N°2— Octobre 2011

Le Mois de l’Economie Sociale et Solidaire en Fran-ce est une initiative des Chambres Régionales de l’Economie Sociale pour faire découvrir au plus grand nombre, pendant un mois, et au travers d’i-nitiatives les plus diverses possibles, une autre façon de concevoir l’économie. Il existe en effet des entreprises responsables qui se distinguent par leur mode d’organisation et leur finalité. Elles ont établi depuis d’un siècle des règles du jeu origi-nales :

-elles rassemblent des personnes mo-tivées par la mise en œuvre d’un pro-jet, -elles concilient objectifs d’intérêt collectif et activités économique, -elles intègrent dans leur organisa-tion et dans leur fonctionnement dé-mocratie, innovation et développe-

ment durable. Ces entreprises sont les coopératives, les mutuelles, les associations, les structures d’insertion par l’acti-vité économique, les fondations… Elles sont présentes sur tous les secteurs d’acti-vités, de la banque à la culture, en passant par le commerce équitable. En France, elles représen-tent plus de 215.000 établissements employeurs, soit 9,1 % des entreprises françaises et plus de 2,2 millions de salariés, soit près de 10% du total de l’emploi salarié en France.

Bilan du Mois de l’ESS 2010 par la Cress Martini-que : 5 novembre 2010 au 2 Décembre 2010

Les objectifs du Mois de l’ESS sont : -sensibiliser, informer et améliorer la visibilité et notoriété de l’Economie Sociale et Solidaire auprès du grand public, des instituions, des entreprises et des journalistes, -mobiliser et faire se rencontrer les acteurs de l’ESS afin de renforcer leur sentiment d’apparte-nance au secteur .

LES ASSOCIATIONS PRESENTES AUX VIILLA-GES : MADIN EKITAB, A L’ECHO DES PITONS, LA GOUTTE D’EAU LORRINOISE, ASSOCIATION LASOTE, ARONPEI, ADIIE, ART TV CARAIBES, SER-VICES PLUS, VENT DAN VWEL, CCNM, CRESS, ACTION SIDA MQUE, LA SMERAG, ASSSOCIATION CIVISME ET FAMILLE, ECO MOBIL, OBJECTIF PREVENTION MQUE, ASSOCIATION SAHAYA MQUE, ECO CIVIS-ME, AMEPAS, PAS A PAS, ABMS, ADPP, ESPACE SUD, LA COMMUNICATION :

Conférence de presse : ouverture de la 3ème édition du Mois de L’ESS à l’Hôtel de Région,

Communication radio, Communication Presse France-

Antilles, TV Magazine.

LES MANIFESTATIONS : 4 villages et, 1 Forum sur les Coopératives, se sont

déroulées sur l’ensemble du territoire de la Martinique autour de 10 théma-tiques.

LES RETOMBEES MEDIAS : Ces différentes manifestations du mois de l’E-conomie Sociale et Solidaire ont permis à tra-vers les interviews et reportages, tant dans la presse écrite, qu’audiovisuelle, de non seule-ment sensibiliser le grand public sur le rôle et l’importance de l’Economie Sociale et Solidaire dans notre département, mais aussi de fédérer et faire se rencontrer l’ensemble des acteurs du secteur afin de créer des synergies entre eux.

LES PARTENAIRES FINANCIERS : CESER ADI CACEM ESPACE SUD BRED CREDIT MUTUEL GROUPE BERNARD HAYOT

Le Mois de l’Economie Sociale et Solidaire, c’est quoi ?

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Acteur de l’Economie Sociale et Solidaire, participez à la

4ème Edition du Mois de l’Economie Sociale et Solidaire 2011 en

Martinique !

Dans un contexte économique où la finance prime sur le travail, l’Economie Sociale et Solidaire regroupe des organisations qui portent un projet collectif et replace l’homme au cœur de l’économie. Mutualité, coopération et mouvement associatif se retrouvent dans une identité commu-ne et proposent un autre modèle, fondé sur les valeurs partagées de la libre adhésion,

de la gouvernance démocratique et de la primauté de l’utilité sociale sur la recherche du profit. Les organisations de l’ESS inventent au quotidien un autre projet de développement et font la preuve qu’il est possible de produire, d’entreprendre, de consommer, de se cultiver et de vivre autrement. Regrouper les acteurs de l’ESS et communiquer vers le grand public sont les deux grands ob-jectifs du Mois de l’ESS. Tout au long du mois de novembre, entreprise, salariés et militants sont invités à organiser des manifestations pour mieux faire connaître leur action et faire valoir que performance économique et l’efficacité sociale ne sont pas nécessairement antinomiques.

Au moins de novembre 2011, il s’agit de donner à tous l’occasion de découvrir que, sur nos terri-toires, dans nos quartiers, des acteurs proposent des innovations sociales qui répondent aux grands défis d’aujourd’hui et de demain : écologie, solidarité, démocratie participative, intégration, etc,… Rassemblées sous un même logo : "Sociale et solidaire, l’économie qui sait où elle va ", les associa-tions, coopératives leurs pratiques, leurs activités, leurs projets… L’Economie Sociale et Solidaire, une force de transformation sociale et une alternative à l’économie dominante ? Autant de problé-matiques qui peuvent être développées sous forme de conférence, portes ouvertes, forums, specta-cles, débats, projections….au cours du Mois de l’ESS. En cette année européenne du bénévolat, le thème principal de cette édition sera celui de l’en-gagement.

Faites-nous part de vos projets et manifes-

tations en les inscrivant sur le site

www.lemois-ess.org

2, Evenements A ne pas manquer!!!!

Vendredi 2 Décembre 2011

Sur le Malecon « Village de l’ESS »

et ,

Lancement de l’Observatoire de l’Economie

Sociale et Solidaire de la Cress Martinique.

Soyez Nombreux!!!!!!!!

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Financement

LA FEDERATION NATIONALE CAISSE D’EPAR-GNE Depuis leur création en 1818, jusqu’à nos jours, les Caisses d’Epargne Françaises ont connu de profondes mutations. Nées institutions philan-thropiques pour promouvoir “le bon usage de l’argent”, elles ont rapidement essaimé sur les térritoires et favorisé l’accultration des Francais à la pratique de l’épargne. Elles ont par la suite, fortes de leur connais-sance de la vie locale et de ses besoins, soutenu de très nombreuses actions de proximité agissant dans le champ de la prévoyance et de la soli-darité. Elles ont ainsi financé, parmi les pre-miers, la création des logements sociaux, des jardins ouvriers et des bains douches, octoyés des aides pour la protection de l’enfance ou le soutien au grand âge. En 1983, les Caisses d’Epargnes longtemps restées , deviennent des banques de plein exercice. En 1999, elles devi-ennent des banques cooperatives et se dotent de sociétaires. Acteurs engagés sur les territoires, les Caisses d’Epargnes continuent, comme elles l’ont fait depuis près de 200 ans, de répondre aux besoins spécifiques des regions et d’y affer-mir les liens avec leurs clientèles. Créé à la faveur de lamétamorphorse cooperative, la Fédération Nationale des Caisses d’Epargne s’at-tache à remplir avec conviction les missions que lui confère la loi du 25 juin 1999 : faire vivre et nourir la relation avec les sociétaires ; définir et connaitre l’engagement des Caisses d’Epar-gne à l’égard de la société ; former les représen-tants élus des sociétaires ; contribuer aux grands choix stratégiques engageant l’avenir du réseau Caisse d’Epargne ; représenter les intérêts des Caisses régionales et promouvoir leur rôle origi-nal sur leurs terrirtoires. Parce qu’elle met en lumière la spécificité de cet ancrage régional, la pérennité et la légitimité de l’action de la Caisse d’Epargne avec ses partenaires et sociétaires, la Fédération est également garantie de la préser-vation et de la mise en valeur du patrimoine his-torique de l’institution, fondement de son iden-tité.

La Martinique rejoint la Caisse d’Epargne Provence-Alpes –Corses (PAC), ce qui porte à 27 le nombre des Caisses d’Epargne. Prévue par le protocole de fusion signée entre les deux Caisses d’Epargne le 10 mai 2006, la fusion de-vient effective opérationnellement avec la bascule informatique qui intervient le 10 juin. La Caisse d’E-pargne Provence-Alpes-Corses, qui détenait jusqu’à présent 36,72 % du capital de la caisse d’épargne de la Martinique «était également liée à l’établissement par des conventions d’assistance. La fusion avec la Caisse d’Epargne Provence-Alpes-Corse va donner davantage de moyens à la Caisse d’épargne pour se développer en Martinique où la banque (9 agences, 200 000 clients, 87 collaborateurs) détient aujourd-’hui respectivement 10 % de parts de marché des professionnels, de la gestion privée, de la prescrip-tion immobilière et des collectivités territoriales. Les projets d’Economie Locale et Sociale (PELS). Depuis 2011, les Caisses d’Epargnes financent des projets d’économie locale e sociale (PELS), menés par des associations ou des organismes qui n’ont pas de but lucratif et soutiennent des personnes fragiles ou en quête d’autonomie. Il ne s’agit pas là ’apporter des financements pérennes à des structu-res, mais de financer des projets précis portés par ces structures : achat de matériel, ouverture d’un nouvel atelier, amélioration des conditions de tra-vail, etc… L’emploi microcrédits à la création d’entreprise pour les personnes ayant difficilement accès au cré-dit bancaire, soutien aux réseaux d’accompagnement à la création d’entreprise (ADIE, Boutique de Ges-tion, France Active, France Initiative Réseau), inser-tion par l’emploi (notamment SIAE). L’autonomie maîtrise des savoirs de base, renforcement de l’auto-nomie des personnes âgées, malades ou handica-pées, satisfaction de besoins fondamentaux (se nour-rir, se loger, se vêtir, etc… Les Projets d’Economie Locale et sociale (PELS) constituent un dispositif unique dans le monde ban-caire. Ils ont été mis en place par la loi du 29 juin 1999 relative à l’épargne et la sécurité financière.

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Page 11 Revue de la CRESS Martinique / N°2 — Octobre 2011

Vous avez un projet et vous recherchez un

financement ?

Contactez :

Caisse Nationale des Caisses d’Epargne 50, avenue Pierre-Mendès

75201 Paris Cédex

www.groupe.caisse-epargne.com

OU

Fédération Nationale des Caisses

d’Epargne,5, rue Masseran ,75007 Paris

www.federation.caisse-epargne.fr

Projets financés en Martinique par La Fédération

Nationale Caisse D’Epargne :

Association Aide aux Défavorisés

Association d’action sociale de Martinique

Association martiniquaise pour la promotion

Au travers des PELS, les Caisses d’Epargne affectent chaque année une partie de leurs bénéfices à des projets de développement local social d’emploi , d’aménagement du territoire. Ce soutien peut prendre la forme de subventions de fonds de prêts d’honneur, d’apports en natu-re , en compétences ou en capital . Les Caisses d’Epargnes confirment ainsi leur volume de mettre leur performance économique au service de l’intérêt général. Trois axes nationaux, une sélection locale . Les axes d’interventions des PELS sont définis chaque année par la Fédération Nationale des Cais-ses d’Epargnes. Ils concernent trois domaines : l’autonomie, l’emploi et le lien social. 2007, année de croissance soutenue des PELS. En 2007, les Caisses d’Epargnes ont consacré 55,7 millions d’euros aux PELS, permettant de soute-nir 2 946 projets partout en France. Par rapport à 2006, l’enveloppe locale accordée aux PELS a progressé de 3% et le nombre de projets financé est de 3,4 %. L’enveloppe se répartit ainsi sur trois domaines d’interventions :

L’autonomie des personnes en fragilité, Les activités en faveur de l’emploi et aide à la création d’entreprise, Le développement du lien social entre les personnes (15%), projets d’insertion dans les domai-

nes du sport, de la culture C’est le bilan définitif du soutien des Caisses d’Epargne au développement social et solidaire des régions pendant huit ans, au titre des projets d’économie locale et sociale (PELS).18 858 projets financés à hauteur de 354 millions d’euros !

Financement

Page 12: Revue de la CRESS N°2

Vous avez entre 18 et 30 ans ? Vous avez une vocation dans le domaine de l’art, l’artisanat, les sciences, les techniques, la culture, l’environnement, l’hu-manitaire, l’action sociale ? Vous souhaitez réaliser un pro-jet personnel, original et ou-vert sur les autres ? Le montant actuel de chaque

Bourse est de 7600€. Depuis 1975, plus de 800 jeunes ont été soutenus. Initiatives concernées Le concours des Bourses déclics jeunes de la Fondation de Fran-ce est ouvert chaque année du 1er septembre au 15 novembre de l’année en cours. La partici-pation au concours est gratuite. Les candidats peuvent concourir au maximum deux fois. Comment répondre ?

Complétez le formulaire de présélection en ligne à partir du 1er septembre : www.fondationdefrance.org, rubrique «Nos actions», puis « Bourses et Prix » OU écrivez à Bourses déclics jeunes de la Fondation, 40 avenue Hoche, 75008 Paris, [email protected]

Critères d’éligibilité des pro-jets : Les projets doivent être des projets personnels. Ils peuvent

être issus de tous domaines d’activité. Ils doivent faire preu-ve d’une certaine originalité, créativité, ou innovation. Seront privillégiés les projets d’intérêt général ou à caractère altruiste. Des moyens doivent avoir déjà été au moins partiellement, mis en œuvre pour assurer leur ré-alisation ou le début de leur concrétisation.

Critères éliminatoires des pro-jets : Les projets collectifs. Le finan-cement d’études, de formations ou la validation de diplômes. Les projets de stages obligatoires d’études (en France ou à l’é-tranger). Les projets de création d’entreprise et les projets spor-tifs et notamment les compéti-tions.

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Appels à Projet 2011

De la Fondation de France

Concours 2012

Les Bourses déclics jeunes de

la Fondation de France

Revue de la CRESS Martinique / N°2— Octobre 2011

Appel à Projet 2011 De la Fondation de France

Enfance et Culture Encourager les enfants de 6 à 16 ans

à s’ouvrir aux arts et à la culture

Le rôle fondamental que joue l’é-ducation artistique dans le déve-loppement de l’enfant est aujourd-’hui reconnu, il convient de lui ac-corder toute l’attention voulue. En effet, l’éducation artistique est pluridimensionnelle. Elle permet de développer la sensibilité des en-fants et de les aider à poser un re-gard personnel sur le monde qui les entoure. Les candidats devront être des organismes sans but lucra-tif, associations, établissements publics (dont les établissements scolaires), scènes nationales de spectacles, musées, collectivités territoriales.

Comment répondre ? La présélection des candidatures sera faite sur lettre d’intention t é l é c h a r g e a b l e s u r www.fondationdefrance.org adressée au siège de la Fonda-tion de France par mail et par voie postale. Seules les candida-tures présélectionnées recevront un dossier de demande de sub-vention à compléter. Après instruction, les projets se-ront présentés au Comité déci-sionnaire. Le Comité Enfance, composé d’experts pluridiscipli-naires, se réunit à chaque fin de trimestre. Tous les projets sélec-tionnés feront l’objet d’une éva-luation en vue valorisation. Critères de sélection Les projets éligibles devront : Etre destinés à des enfants

de 6 à 16 ans issus de milieu défavorisés ou de territoire dépourvus d’offre culturelle

Etre co-portés par des artis-tes avérés et des éduca-teurs qualifiés

Mettre en œuvre une dé-marche pédagogique

Proposer un parcours cultu-rel d’accompagnement

Promouvoir des valeurs éthiques autant qu’esthéti-ques.

Toutes les candidatures qui ne répondront pas à l’ensemble de ces critères seront systématique-ment rejetées.

Financement

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Fondation de France , Programme Enfance, 40 avenuie Hoche , 75008 Paris, Tél 01 44 21 31 34, email : [email protected] Appel à projet 2011 Du ministère des solidarités et de la cohésion, la caisse des dépots, l’agence pour la création d’entreprises

Prix national des jeunes entrepreneurs solidaires du 24 octobre 2011 au 30 no-

vembre 2011

Ce concours s’adresse à toute person-ne physique, de moins de 35 ans. Por-

teuse d’un projet de création ou de reprise d’en-treprise, ou ayant déjà créé ou repris une entrepri-se après le 1er janvier 2008, dans une activité re-levant de l’Economie Sociale et Solidaire (ESS) ou intégrant des pratiques s’inspirant de celles de l’ESS. Comment répondre ? Toutes les opérations d’inscriptions et de dépôt de dossier se déroulent directement sur le site de l’Agence Pour la Création d’Entreprises (APCE) du 24/10/11 au 30/11/11. Le dossier de candidature est à télécharger en ligne. Une fois complété, ce dossier sera envoyer par mail avant le 30 novem-bre 2011 minuit uniquement à l’adresse électroni-que suivante [email protected] (tout dossier transmis à une autre adresse ne sera pas pris en compte). Trois prix seront remis : Le prix de l’innovation sociale de 20 000€ Le prix spécial 2012, année internationale

des coopératives de 30 000 € Le prix entreprises en développement de

20 000 €

Pour tout renseignement contacter :

Diane de Mareschal Caisse des Dépots Département Développement Economique et Economie Social et Social 72, avenue Pierre Mendès France

Financement

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Revue de la CRESS Martinique / N°2 — Octobre 2011

Actualités Locales

Le Dossier du Mois LE Dispositif Local D’Accompagnement (DLA) : Le DLA est à nouveau opérationnel après quasi-ment deux années d’absence en Martinique. Le DLA est un dispositif d’appui et de conseil aux structures employeuses qui développent des ac-tivités d’utilité sociale (associations, coopérati-ves, structures d’insertion par l’activité écono-mique. Aujourd’hui, en Martinique, l’association pour l’Accompagnement et le Développement des Compétences Professionnelles (AADCP) a ini-tié et conçu le projet de participer à l’anima-tion de son territoire : c’est dans ce cadre qu’elle a signé une convention avec la Direction des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi (DIECCTE) de Martinique et la Direction Régio-nale Antilles-Guyane de la Caisse des Dépôts et

Ce dispositif a pour principe de base la libre adhésion des structures bénéficiaires et leur participation à chaque étape de l’accompa-gnement. Le dispositif est gratuit pour les structures bénéficiaires d’accompagnement. L’accompagnement des structures s’organise autour de quatre étapes principales : L’accueil, l’information et l’orientation

des structures d’utilité sociale, La réalisation de « diagnostic parta-

gé« »et élaboration d’un plan d’accompa-gnement,

La mise en œuvre des actions d’accompa-

gnement financées par le DLA, Le suivi de l’accompagnement des struc-

tures. Le DLA a également vocation à mobiliser un réseau de partenaires. A ce titre, seront asso-ciés, autant seront associés les différents par-tenaires (service de l’Etat, collectivités, ban-ques, techniciens et experts, acteurs .

Ressources du territoire, réseaux représentatifs des structures bénéficiaires. Les modalités de contribution des réseaux au dispositif peuvent prendre les formes suivantes : Information, communication, Apport de connaissances sectorielles ou, sur

le bénéficiaire, Contribution au diagnostic, participation au

comité de pilotage et/ou comité technique d’appui,

Le DLA n’est pas une aide financière directe aux structures concernées. Les modalités d’ac-compagnement sont décidées par l’instructeur du DLA Martinique et non par les structures el-les-mêmes. Le DLA n’est pas un dispositif de formation gratuites accessibles à tous sur sim-ple demande.

Comment ca Marche ? Etape 1 : Le diagnostic partagé :

Le DLA permet à la structure de bénéficier d’un diagnostic partagé de sa situation, de sa capaci-té de consolidation économique et de ses besoins d’appui. Ce diagnostic présentera donc la struc-ture (son projet, ses ressources humaines, ses ressources financières et ses activités, ses points forts mais aussi ses limites ou difficultés ren-contrées, quel que soit le domaine, comptabilité, communication, gestion des ressources humai-nes, recherche de financements). Sur cette base, l’instructeur du DLA Martinique propose u plan d’accompagnement qui comprend une ou plu-sieurs actions d’appui sous forme d’ingénieries individuelles ou collectives et qui sera ensuite présenté à un comité technique d’appui (étape 2).

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Page 15 Revue de la CRESS Martinique / N°2— Octobre 2011

C’est un document dit « partagé » car il est rédigé à partir de l’entretien que l’instructeur du DLA Martinique a eu avec la structure et une fois terminé, ce diagnostic est soumis à la structure pour remarques et validation du plan d’accompagnement le cas échéant. Les retours divergents concer-nant le plan d’accompagnement seront mentionnés lors du passage du dossier devant le comité technique d’appui. Etape 2 : Le Comité Technique d’Appui (CTA) Le CTA, composé de référents institutionnels, partenaires financiers et techniques, référents thé-matiques, statue sur l’accompagnement préconisé dans le diagnostic partagé. Il peut valider l’ac-compagnement tel quel, le modifier (inversion, ajout ou suppression d’étapes) ou le refuser. Etape 3 : L’intervention d’un expert Une fois la validation du CTA obtenue, la structure bénéficie d’un accompagnement gratuit réali-sé par un ou des prestatairess, suite à appel d’offres lancé par le DLA auprès de plusieurs presta-taires à partir d’un cahier des charges. Etape 4 : Le suivi de la structure A l’issue de l’intervention, un bilan relatif à l’impact de l’accompagnement sur la structure est réalisé. Ce bilan peur prendre la forme d’une réunion réunissant la structure, le prestataire et le DLA Martinique. Si nécessaire, un plan de suivi est mis au point lors de cette réunion.

Pour tout renseignement A contacter, soit par

Téléphone : 0696. 06 18 96

0596. 73 42 12 OU 0596. 72 64 35

Email : [email protected]

Sur rendez-vous aux adresses suivantes :

53, route de Chateauboeuf à Fort-de-France 15,rue Dufresne Siméon à Ducos

Avec le soutien de :

Actualités Locales

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Actualités Locales :

ZOOM sur nos associations Martiniquaises

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ZOOM sur nos associations Martiniquaises

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ZOOM sur nos associations Martiniquaises

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ZOOM sur nos associations Martiniquaises

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Actualités Locales :

ZOOM sur nos associations Martiniquaises

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L’association AFROP HAND a été financée par la mesure du Fond Social Européen—Mesure 3.3

Actualités Locales :

ZOOM sur nos associations Martiniquaises

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Actualités Locales :

ZOOM sur nos associations Martiniquaises

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ZOOM sur nos associations Martiniquaises

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Actualités Locales :

ZOOM sur nos associations Martiniquaises

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CRESS Martinique

27, Rue Gabriel Péri

97200 Fort-de-France

[email protected]

Tél : 0596 602763—Fax : 0596 78 54 72

La Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire (CRESS) de la Région Martinique est une

association loi 1901 qui regroupe les réseaux de coopératives, mutuelles, associations, fondations

et des grandes entreprises de l’Economie Sociale et Solidaire. La CRESS représente, défend et

anime l’économie sociale et solidaire, en région, et met en place des programmes d’actions au

service du secteur et des adhérents.

Pour tous renseignements contacter :

Revue de la CRESS Martinique / N°2 OCTOBRE 2011

Historique de la CRESS Martinique

1983 Constitution sous forme d’association loi 1901 sous le nom G.R.C.M.A

(Groupement Régional des Coopératives, Mutuelles et Associations) ;

1988 Changement de dénomination : le G.R.C.M.A devient C.R.E.S. Martinique

(Chambre Régionale de l’Economie Sociale) ;

2004 Nouvelle dénomination la C.R.E.S. Martinique de la C.R.E.S.S. Martinique

(Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire de la Martinique.

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NOS PARTENAIRES FINANCIERS :

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