Répertoire des actions, étapes par étapes, pour …ploug22.free.fr/doc/memowin.doc · Web...

Mémoire WINDOWS

WINDOWS est un produit commercialisé par la société américaine MICROSOFT.WINDOWS est un système d’exploitation, et il en existe d’autres : UNIX, LINUX, OS/2, MAC OS, …WINDOWS est une plate forme qui permet de faire « tourner » les programmes compatibles (comme les traitements de textes, les tableurs, les bases de données, les navigateurs, les faxes, les programmes de retouche d’image, de numérisation, d’acquisition vidéo, les jeux, les encyclopédies, les didacticiels…).WINDOWS est un programme qui sert à gérer les composants internes de l’unité centrale (comme la carte mère, le processeur, les barrettes de mémoire vive, le disque dur, la carte graphique, la carte son, le lecteur de disquette 3½, le lecteur de CDROM…) et les périphériques d’un ordinateur (comme la souris, le clavier, le moniteur, l’imprimante, le modem, le scanner, l’unité de sauvegarde externe, le modulateur de tension électrique…).WINDOWS est un environnement graphique, intuitif, WYSIWYG, avec des fenêtres, des barres, des poignées, des icônes, des boutons, des menus déroulant, des menus contextuels, des ascenseurs, des clics de souris à droite et à gauche, des glisser déplacer…WINDOWS existe en différentes versions :

Les versions de WINDOWSPour les particuliers Pour les entreprises

WINDOWS 3.x WINDOWS pour WORKGROUPSWINDOWS 95 WINDOWS NT STATIONWINDOWS 98 SE WINDOWS NT SERVERWINDOWS ME WINDOWS 2000

Ce document est une présentation exhaustive d’un des produits de MICROSOFT.Ce document est une explication simple, précise et concise du système d’exploitation WINDOWS 98.Ce document est un répertoire pratique et efficace des procédures pour configurer, paramétrer et personnaliser la plate forme la plus utilisée dans le monde…Ce document est une formation globale aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, pour être prêt...Ce document est un mémoire organisé par catégorie qui répond à des objectifs concrets :

Le système

L’interface

La configuration

Les fichiers

Les matériels

Les savoir-faire

Les réseaux…

La table des matières

Le système d’exploitation 2

Les nouveautés de WINDOWS 98

WINDOWS 98, c'est WINDOWS 95 + INTERNET EXPLORER 4.0WINDOWS 98 améliore l'affichage

Le CDROM d’installation de WINDOWS 98

Le contenu du CDROM d’installationLa valeur chaîne « SourcePath » du REGISTRE

L’installation de WINDOWS 98

L'installation de WINDOWS 98 requière un minimum d'espace sur le disque dur, de 155 Mo à 350 MoL’installation de WINDOWS 98 peut être une mise à jour, une première installation ou un multi boot…La configuration minimale de WINDOWS 98 (486DX à 66 Mhz, 16 Mo de RAM et 125 Mo de ROM)L’installation à partir du DOS (avec INSTALL.EXE)Les préparatifs avant la mise à jourL’installation à partir d’une version précédente de WINDOWS est une mise à jourLa restauration de WINDOWS 98 peut être effectuée avec des sharewares

Le BIOS

Les BIOS est un programme intégré à l’ordinateurLes paramètres du BIOSLa mémoire CMOS du BIOSL’accès au BIOS (avec les touches F2 ou SUPPR)Le BIOS tunningLa séquence de BOOT du BIOSLe mot de passe du BIOS

Le DOS

Une version du DOS est disponible dans le CDROM d’installation de WINDOWS 98Le DOS est un système d’exploitation mono tâcheLes différentes versions du DOSLes trois fichiers principaux du DOS sont IO.SYS, MSDOS.SYS et COMMAND.COML’interpréteur de commandeL’invite de commande du DOSLa règle des 8.3 pour nommer les fichiers et les répertoiresLes jokers sont des caractères génériques (« ? » et « * »)Le chemin d’accès au fichierLes commandes du DOS ont évoluées avec les différentes versions du système d’exploitationLes fichiers « BATCH »Pour créer un « menu d’ouverture » regroupant tous les noms des fichiers « BATCH » qui ont été créés et les programmes qui ont été installésPour créer un fichier « BATCH » à partir du prompt du DOS (avec la commande COPY CON:)La commande DIRLa commande CDLa commande SUBSTLa commande MDLa commande RDLa commande FORMAT

Mémoire WINDOWS 95 & 98Patrick HAUTRIVE, 170 rue Marcadet 75018 Paris FRANCE

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La commande SYSLa commande LABELLa commande DISKCOPYLa commande DISKCOMPLa commande COPYLa commande COMPLa commande XCOPYLa commande DELLa commande MOVELa commande UNDELETELa commande RENLa commande TYPELa commande MSBACKUPLa commande DATELa commande TIMELa commande VERLa commande HELPLa commande FASTHELPLa commande MSAVLa commande DOSSHELLLa commande DOSKEYLa commande PROMPTLa commande CLSLa commande CHKDSKLa commande MEMLa commande ECHO ON/OFFLa commande ECHOLa commande PRINTLe commutateur (> PRN) signifie en direction de l’imprimanteLa commande @La commande PAUSELa commande PARK

WINDOWS 95

Le système d’exploitation WINDOWS 95 est un système d’exploitation multitâche 32 bitsL’installation de WINDOWS 95L’installation de WINDOWS 95 sur un « réseau poste à poste »La connexion au réseauL’OBSERVATEUR RESEAULe partage des ressources réseauLe client réseau MICROSOFTL’accès réseau à distanceLa connexion directe par câbleLes fichiers systèmesLa configuration des applications DOS sous WINDOWS 95Le mode MS-DOSLe bureauL’EXPLORATEURL’installation des applicationsLa configuration de l’imprimanteLe PANNEAU de CONFIGURATIONWORDPADLe multimédiaLe MODEMHYPERTERMINALLe NUMEROTEUR TELEPHONIQUEMICROSOFT EXCHANGEMICROSOFT FAXMS-BACKUP


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SCANDISKDEFRAGDRIVE SPACE

L’interface utilisateur, le bureau Page 60

Le mot de passe de session et les profils utilisateurs

Le choix d’un mot de passeLe mot de passe de sessionPour ouvrir une session, sans entrer de mot de passe, il faut un seul profil utilisateur (avec le module « mot de passe »)Pour ouvrir une session, propre à chacun, il faut définir plusieurs profils utilisateurs (avec le module « utilisateurs »)

Les logos

Les écrans d’amorçage et de fermeture montrent systématiquement le logo de WINDOWSPour démarrer l’ordinateur sans le logo de WINDOWS (avec MSDOS.SYS)Pour modifier les logos des écrans de fermeture de WINDOWS (avec LOGOS.SYS et LOGOW.SYS)Pour supprimer une image d’arrière plan du bureau comme le logo du constructeur (avec le module « affichage »)

La commande « C:\windows\rundll.exe user,exitwindows »

Pour créer un raccourci sur le bureau qui commande la fermeture du système d’exploitation et l’arrêt de l’ordinateur (avec « C:\WINDOWS\RUNDLL.EXE_user,exitwindows »)

La protection du répertoire C:\windows\

Pour enlever le message d’avertissement qui apparaît quand, en mode d’affichage web, l’utilisateur souhaite accéder avec l’EXPLORATEUR aux répertoires de WINDOWS (avec DESKTOP.INI et FOLDER.HTT)

Le bureau

Le bureau est l’interface du programme WINDOWSPour personnaliser les nombreux paramètres relatifs à l’apparence du bureau (avec le module « affichage »)Pour créer un profil utilisateur qui pourra être chargé dès l’ouverture d’une session (avec le module « utilisateurs »)Pour changer les paramètres et le mot de passe d’un profil utilisateur (avec le module « utilisateurs »)Pour changer de session sans redémarrer l’ordinateur (avec le bouton DEMARRER)Les thèmes de bureauPour désinstaller les thèmes de bureau que propose WINDOWS (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)Pour créer un raccourci sur le bureau (avec un clic droit)Pour supprimer un type de document dans la commande NOUVEAU du menu contextuel du bureau (avec REGEDIT)Pour créer un raccourci correspondant à un type de fichier dans la commande NOUVEAU du menu contextuel du bureau (avec REGEDIT)Pour optimiser la résolution et le nombre de couleurs de l’écran (avec le module « affichage »)Pour changer l’image d’une icône du bureau (avec un clic droit)

Le menu DEMARRER

Le menu DEMARRER est un moyen d’accès aux programmes et aux fichiersPour afficher de petites icônes dans le menu DEMARRER (avec la barre des tâches)Pour aménager le menu DEMARRER (avec un glisser déplacer du clic gauche)


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Pour aménager le menu DEMARRER (avec la barre des tâches)Pour aménager le menu DEMARRER (avec un glisser déplacer du clic droit)Pour aménager le menu DEMARRER (avec l’EXPLORATEUR)

La barre des tâches

La barre des tâches s’affiche en bas de l’écran dès l’ouverture du système

Le bouton DEMARRER

Le bouton DEMARRER regroupe un ensemble de commandes et de dossiers

Les barres d’outils

Les barres d’outils s’insèrent généralement au centre de la barre des tâchesLes boutons des programmes actifs dans la barre d’outilsLa barre systèmePour déplacer la barre des tâches sur l’un des cotés de l’écran (avec un glisser déplacer)Pour réduire toutes les fenêtres actives et faire apparaître le bureau (avec la barre de lancement rapide)Pour installer une application dans la barre de lancement rapide (avec un glisser déplacer)Pour supprimer une application de la barre de lancement rapide (avec un clic droit)Pour restaurer une application réduite dans la barre des tâches (avec un clic gauche)

Les raccourcis clavier

Les raccourcis clavier standardsPour attribuer un raccourci clavier à un fichier ou une icône du bureau (avec un clic droit)

La CORBEILLE

La CORBEILLE est un dossier spécial qui accueille automatiquement tous les objets qui ont été supprimésPour changer la capacité maximale de la CORBEILLE qui est égale par défaut à 10% du disque dur (avec un clic droit)Pour supprimer directement des fichiers, sans passer par la CORBEILLE et sans afficher le demande de confirmation pour vider la CORBEILLE (avec un clic droit)Pour vider la CORBEILLE (avec un clic droit)Pour vider la CORBEILLE (avec un double clic)

Le PANNEAU de CONFIGURATION

Le PANNEAU de CONFIGURATION regroupe les modules de configurationPour afficher les modules du PANNEAU de CONFIGURATION (avec DEMARRER)Pour afficher les modules du PANNEAU de CONFIGURATION (avec l’EXPLORATEUR)Pour afficher les modules du PANNEAU de CONFIGURATION (avec le POSTE de TRAVAIL)Pour afficher les modules du PANNEAU de CONFIGURATION (avec « control.exe »)Pour afficher les modules qui ne figurent pas dans le PANNEAU de CONFIGURATION (avec CONTROL.INI)Pour ne pas faire apparaître un module dans le PANNEAU de CONFIGURATION (avec CONTROL.INI)

Les COMPOSANTS de WINDOWS

Les COMPOSANTS de WINDOWS sont des parties du système d’exploitationPour visualiser, ajouter ou supprimer les COMPOSANTS de WINDOWS (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)Pour visualiser, ajouter ou supprimer les COMPOSANTS de WINDOWS (par l’intermédiaire de l’utilitaire système de nettoyage du disque)

Le COMPOSANT accessibilité


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Les COMPOSANTS d’accessibilité se destinent particulièrement aux personnes handicapées des yeux, des oreilles ou des mainsPour configurer les paramètres du COMPOSANT accessibilité comme la taille des caractères et la LOUPE (avec le menu DEMARRER)Pour configurer les paramètres du COMPOSANT accessibilité (avec le module « accessibilité »)

La souris

La souris permet de pointer les éléments du bureauPour supprimer les pointeurs de souris inutiles (avec le module « souris »)

Le clavier

Le clavier permet de saisir du texteLes touches du clavierPour configurer les paramètres du clavier (avec le module « clavier »)

Les sons

Des sons permettent de reconnaître certains événement systèmePour désactiver tous les sons associés à des évènements de WINDOWS (avec le module « sons »)

Les couleurs

Les nuances de l’affichage s’étalonnent de 256 à des millions de couleursPour créer un profil de couleurs adapté au moniteur et permettant aux programmes de retouche d’images le même rendu à l’écran qu’à l’impression (avec le module « affichage »)

Les polices de caractères

Les polices de caractèresLes polices de caractères WYSIWYGPour supprimer une police de caractères (dans C:\WINDOWS\FONTS)Pour ajouter une police de type TRUETYPE (dans C:\WINDOWS\FONTS)Les entrées des polices dans le REGISTRE (avec la clef FONTS)Pour choisir la taille par défaut des polices (avec le module « affichage »)

Les FAVORIS

Les FAVORIS sont accessibles avec le navigateur ou l’EXPLORATEURLes FAVORIS sont enregistrés dans le répertoire C:\windows\favorisPour ajouter à la liste des FAVORIS une page web ou un fichier (avec la commande FAVORIS/AJOUTER AUX FAVORIS)

Les CHAINES

Les CHAINES sont des sites INTERNET fréquemment mis à jourPour s’abonner à une CHAINE ou à une page web (avec la commande FAVORIS/AJOUTER AUX FAVORIS)

L’écran de veille

Les écrans de veille apparaissent après un délais d’inactivité…Pour choisir un écran de veille (avec le module « affichage »)Pour supprimer les COMPOSANTS des écrans de veille (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)

Les logiciels de configuration, la base de registre Page 84


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Les fichiers systèmes

Les fichiers systèmes sont indispensables au bon fonctionnement du système d’exploitationLes fichiers CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT sont accessibles et modifiables « en mode texte »Un exemple de CONFIG.SYS pour le DOSUn exemple d’AUTOEXEC.BAT pour le DOSLa ligne PATH du fichier AUTOEXEC.BAT

Le fichier système MSDOS.SYS

Pour démarrer une session sans l’image du logo de WINDOWS (avec MSDOS.SYS)Pour désactiver SCANDISK au démarrage d’une session (avec MSDOS.SYS)

L’utilitaire de configuration système MSCONFIG

L’utilitaire de configuration système MSCONFIG réunis les informations des principaux fichiers systèmesPour désactiver le lancement des programmes qui sont dans le groupe DEMARRAGE (avec MSCONFIG)Pour désactiver le lancement automatique de certains programmes systèmes (avec MSCONFIG)Pour désactiver SCANDISK au démarrage de WINDOWS après un arrêt incorrect (avec MSCONFIG)Pour démarrer normalement (avec MSCONFIG)Pour démarrer sans les pilotes de périphériques obsolètes (avec MSCONFIG)Pour redémarrer le système PAS A PAS pour détecter l’origine des défaillances (avec MSCONFIG)

La base de REGISTRE

La base de registre, aussi appelée REGISTRE, est une base de donnée où sont classées les informations principales de la configuration matérielle et logicielle d’un ordinateurLa base de REGISTRE est une base de données avec des clefs, des branches, des entrées et des valeursREGEDIT est un éditeur de la base de REGISTRE (dans C:\WINDOWS\REGEDIT.EXE)Pour lancer REGEDIT (avec DEMARRER)Toute la base de REGISTRE est contenue dans les fichiers systèmes SYSTEM.DAT et USER.DATLes fichiers .REG permettent de modifier la base de REGISTRELe programme TWEAKUI permet de modifier la base de REGISTRELe programme WINDIFF permet de comparer deux fichiers du REGISTRELe programme POLEDIT permet de modifier le REGISTRELes six clefs principales de la base de REGISTRELa clef HKEY_CLASSES_ROOT du REGISTRE gère les extensions, les programmes et le CLSIDLa clef HKEY_USERS du REGISTRE gère les configuration des utilisateursLa clef HKEY_CURRENT_USER du REGISTRE gère la configuration de l’utilisateur en coursLa clef HKEY_LOCAL_MACHINE du REGISTRE gère la configuration matérielle et logicielleLa clef HKEY_CURRENT_CONFIG du REGISTRE gère la configuration matérielle en cours La clef HKEY_DYN_DATA du REGISTRE gère les informations dynamiquesLes programmes SCANREGW et SCANREG contrôlent la base de REGISTRELes différences entre les anciens fichiers systèmes, SYTEM.INI et WIN.INI, et le REGISTRELe REGISTRE remplace les fichiers SYSTEM.INI et WIN.INI mais ceux-ci gardent la prédominanceLes entrées EDITFLAG de la base de REGISTRE protègent les types de fichiersPour lancer le programme SYSEDIT (avec SYSEDIT)Pour créer une copie de sauvegarde de la base de REGISTRE sans écraser celle qui s’est enregistrée automatiquement après le premier lancement correct de WINDOWS de la journée (avec SCANREGW)Pour créer un fichier BATCH qui sauvegarde et ouvre la base de REGISTRE (avec NOTEPAD)Pour créer un autre fichier BATCH qui rétablira la base de REGISTRE avec les copies de sauvegarde des fichiers SYSTEM.DAT et USER.DAT enregistrées dans le dossier C:\SAUVEGARDE (avec NOTEPAD)Pour restaurer sous MSDOS la base de REGISTRE (avec SCANREG.EXE)


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Pour créer une nouvelle clef, dans le volet gauche du REGISTRE (avec un clic droit)Pour créer une nouvelle entrée, dans le volet droit du REGISTRE (avec un clic droit)Pour imprimer tout ou partie du REGISTRE et garder une trace papier (avec REGEDIT)Pour rechercher une clef ou une entrée du REGISTRE (avec REGEDIT)Pour supprimer une clef ou une entrée du REGISTRE (avec REGEDIT)Pour visualiser dans le REGISTRE les programmes lancés automatiquement au DEMARRAGE (avec les clefs RUN et RUNSERVICE)Pour supprimer dans le REGISTRE les noms des programmes qui sont mémorisés dans le menu déroulant de DEMARRER/EXECUTER (avec la clef RUMRU)Pour modifier le chemin d’accès aux fichiers d’installation du CDROM de WINDOWS 98, il faut changer la valeur de l’entrée « SourcePath » dans le REGISTRE (avec la clef SETUP)Pour supprimer dans le REGISTRE les entrées des programmes qui ont été désinstallés mais qui figurent toujours dans la liste du module « ajout & suppression de programmes » (avec la clef UNINSTALL)Pour supprimer dans le REGISTRE les entrées des DLL qui ne sont plus partagés par aucune application (avec la clef SHAREDDLLS)Pour modifier dans le REGISTRE le nom de l’utilisateur et le nom de la société qui ont été enregistrés lors de l’installation du système d’exploitation (avec les entrées « RegisteredOwner » et « RegisteredOrganization »)Pour supprimer la commande déconnexion du menu DEMARRER quand il n’existe qu’un seul profil utilisateur, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoLogOff »)Pour supprimer le message « ◄ CLIQUER ICI POUR DEMARRER » qui s’affiche dans la barre des tâches au démarrage, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoStartBanner »)Pour désactiver la mémorisation et l’affichage des derniers fichiers ouverts dans DEMARRER/DOCUMENTS, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoRecentDocsHistory »)Pour rendre invisible la commande DEMARRER/DOCUMENTS/MES DOCUMENTS, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoRecentDocsMenu »)Pour masquer la commande DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATION et la commande DEMARRER/PARAMETRES/IMPRIMANTES, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoSetFolders »)Pour supprimer l’icône du VOISINAGE RESEAU qui se trouve de fait sur le bureau dès l’ouverture d’une session, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoNetHood »)Les entrées du REGISTRE qui conditionnent l’environnement de l’ EXPLORATEURPour enregistrer (ou exporter) dans un fichier .REG les valeurs des entrées contenues dans le volet droit d’une clef du REGISTRE (avec REGEDIT)Trois méthodes pour importer dans le REGISTRE les valeurs des entrées contenues dans un fichier .REGPour visualiser le contenu d’un fichier .REG et connaître les valeurs des entrées qui y sont enregistrées (avec un clic droit)Pour changer la commande FUSIONNER d’un fichier .REG et préférer la commande EDITION (avec TYPES de FICHIERS)Pour visualiser les différences entre deux versions du REGISTRE à l’aide de WINDIFF, comme par exemple les nouvelles entrées qui apparaissent après l’installation d’un programme (avec WINDIFF)Pour masquer le LOGIN du dernier utilisateur qui s’est connecté au réseau, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « DontDisplayLastUserName »)Pour masquer le LOGIN (le nom du dernier utilisateur) qui figure par défaut dans la boite de dialogue d’ouverture de session, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « DontDisplayLastUserName »)


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Pour masquer la commande DEMARRER/FAVORIS, il faut créer l’entrée « NoFavoritesMenu » dans le REGISTRE (avec REGEDIT)Pour limiter l’accès à l’éditeur de la base de REGISTRE en activant l’entrée « DisableRegistryTools » (avec POLEDIT)Pour limiter l’accès à certains programmes et activer l’entrée « RestrictRun » du REGISTRE (avec POLEDIT)Pour modifier le moment du passage de l’heure d’été à l’heure d’hiver, il faut modifier dans le REGISTRE les valeurs des entrées « DayLightStart » et « StandardStart » (avec REGEDIT)Pour afficher le nom d’une autre ville caractéristique du FUSEAU horaire, il faut changer la valeur de la clef ROMANCE du REGISTRE (avec REGEDIT)Pour définir la résolution de l’écran directement dans le REGISTRE (avec REGEDIT)Pour masquer les flèches des icônes qui montrent que ce sont les raccourcies des fichiers originaux, il faut supprimer l’entrée « IsShortcut » dans le REGISTRE (avec REGEDIT)Pour empêcher que la création d’un raccourci s’accompagne par défaut de l’intitulé « Raccourci vers le_nom_du_fichier », il faut modifier la valeur de l’entrée « Link » dans le REGISTRE (avec REGEDIT)Pour ajouter dans la commande ENVOYER VERS des menus contextuels, la commande IMPRIMANTES récapitulant toutes les imprimantes installées sur l’ordinateur (avec l’EXPLORATEUR)

L’utilitaire INFORMATIONS SYSTEME

L’utilitaire INFORMATIONS SYSTEME rassemble des informations sur le système et d’autres programmes systèmesPour lancer INFORMATIONS SYSTEME (avec MSINFO32)Les programmes systèmes qui s’exécutent dès l’ouverture d’une session et/ou qui fonctionnent en arrière plan sont placés dans une clef RUN du REGISTREPour connaître les programmes systèmes qui sont exécutés dès le démarrage de WINDOWS (avec INFORMATIONS SYSTEME)Pour connaître le pedigree de tous les programmes en cours d’exécution (avec INFORMATIONS SYSTEME)

Le programme du Dr WATSON

Le programme Dr WATSON permet d’effectuer un cliché de la configuration systèmePour lancer le Dr WATSON (avec DRWATSON)

L’utilitaire VUMETRE RESSOURCES

L’utilitaire VUMETRE RESSOURCES permet de visualiser graphiquement l’occupation des ressources du systèmes, de l’utilisateur et du GDIPour lancer le programme VUMETRE RESSOURCES (avec RSRCMTR)

L’utilitaire MONITEUR SYSTEME

L’utilitaire MONITEUR SYSTEME permet de visualiser précisément l’utilisation du processeur, de la mémoire, du disque dur et d’une connexion réseauLes indicateurs du MONITEUR SYSTEME sont classés par catégoriesPour installer le MONITEUR SYSTEME sur le disque dur (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)Pour lancer le MONITEUR SYSTEME (avec SYSMON)Pour sélectionner et afficher un ou plusieurs indicateurs (dans le MONITEUR SYSTEME)Pour créer un JOURNAL consignant toutes les données sélectionnées (dans le MONITEUR SYSTEME)

L’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME ou POLEDIT

L’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME ou POLEDIT permet de restreindre les droits d’un utilisateur et/ou les fonctionnalités d’un ordinateurPour installer POLEDIT ou l’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME (avec le CDROM d’installation)


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Pour lancer l’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME (avec POLEDIT)Pour configurer plusieurs profils utilisateurs (à l’aide de POLEDIT)

L’utilitaire TWEAKUI

L’utilitaire TWEAKUI permet de modifier la configuration système et agit directement sur le REGISTREPour installer TWEAKUI (avec le CDROM d’installation)

L’utilitaire MSD

L’utilitaire MSD est un programme de diagnostic DOS qui récupère les IRQ et l’utilisation de la mémoire

L’utilitaire TASKMAN

L’utilitaire TASKMAN permet d’afficher plusieurs interfaces en même tempsPour visualiser les applications en cours (avec TASKMAN)Pour afficher les fenêtres de plusieurs applications en même temps (avec TASKMAN)

L’utilitaire QUICKVIEW

L’utilitaire QUICKVIEW permet un aperçu rapide des fichiers sans ouvrir l’application associéePour obtenir un aperçu rapide d’un fichier (avec QUICKVIEW)

L’utilitaire DRIVE SPACE 3

L’utilitaire DRIVE SPACE 3 permet de compresser un lecteur ou une partitionPour lancer DRIVE SPACE 3 (avec DEMARRER)

Les fichiers, l’EXPLORATEUR Page 122

L’EXPLORATEUR

L’EXPLORATEUR de WINDOWS permet d’organiser l’ensemble des fichiers du disque durLa structure de l’EXPLORATEUR représente la structure du disque durPour ouvrir l’EXPLORATEUR (avec EXPLORER)Pour ouvrir systématiquement l’EXPLORATEUR à un niveau précis (avec le champ CIBLE)Pour ouvrir le POSTE de TRAVAIL avec deux volets (avec l’EXPLORATEUR)Le mode WEB permet d’afficher le volet de droite de l’EXPLORATEUR avec le format HTMLPour afficher l’EXPLORATEUR en mode WEB (avec l’EXPLORATEUR)Pour personnaliser le fond du volet droit de l’EXPLORATEUR (avec l’EXPLORATEUR)Pour afficher les extensions des fichiers (avec l’EXPLORATEUR)Pour mémoriser les paramètres d’affichage de chaque dossier (avec l’EXPLORATEUR)Pour appliquer les paramètres d’affichage d’un dossier à tous les autres dossiers (avec l’EXPLORATEUR)Pour afficher le chemin d’accès complet d’un dossier dans la barre d’adresse (avec l’EXPLORATEUR)Pour afficher tous les détails d’un fichier, le nom, la taille, le type, la dernière date de modification et les attributs (avec l’EXPLORATEUR)Pour classer les fichiers par ordre alphabétique, par la taille, par le type ou par date et de façon croissante ou décroissante (avec l’EXPLORATEUR)Pour dérouler les listes de fichiers d’une fenêtre ou aller directement sur un fichier commençant par une certaine lettre (avec l’EXPLORATEUR)Pour actualiser les informations de l’EXPLORATEUR, par exemple pour prendre en compte le contenu d’une disquette qui vient juste d’être insérée dans le lecteur (avec l’EXPLORATEUR)Pour imprimer ( sur l’imprimante LTP1) la liste des dossiers et des fichiers du volet droit qui sont contenus dans le dossier sélectionné du gauche de l’EXPLORATEUR, il faut incorporer dans le menu contextuel, une commande spéciale (avec REGEDIT)


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Les fichiers

Pour visualiser les fichiers utilisés par un utilisateur (avec C:\WINDOWS\RECENT)Pour afficher tous les fichiers (avec l’EXPLORATEUR)Pour désactiver les attributs d’un fichier (avec l’EXPLORATEUR)Pour ouvrir depuis le bureau un fichier précédemment ouvert (avec DEMARRER)Pour vider la liste des derniers fichiers consultés qui sont mémorisés dans DEMARRER/DOCUMENTS et effacer la liste des adresses INTERNET mémorisée dans la barre d’adresse (avec DEMARRER)Pour créer le raccourci d’un fichier sur le bureau (avec l’EXPLORATEUR)Les extensions de fichiers sont la marque de l’application et de l’icône qui sont associées à ce type de fichierPour visualiser le nom, l’ extension et l’application associées à un type de fichier qui est installé et reconnu par WINDOWS (avec l’EXPLORATEUR)Pour connaître la commande par défaut d’un type de fichier, et les autres commandes disponibles dans le menu contextuel (avec l’EXPLORATEUR)Pour changer la commande par défaut d’un type de fichier (avec l’EXPLORATEUR)Pour modifier la « ligne de commande » affectée à une commande du menu contextuel d’un type de fichier (avec l’EXPLORATEUR)Pour « OUVRIR AVEC… » un fichier dont le type n’est pas répertorié par WINDOWS (avec l’EXPLORATEUR)Pour « OUVRIR AVEC… » un fichier, mais avec une autre application que celle qui y est associée (avec l’EXPLORATEUR)Pour ajouter au menu contextuel d’un fichier la commande « imprimer » qui permet d’imprimer le dit fichier sans ouvrir l’application associée (avec l’EXPLORATEUR)Pour adjoindre au menu contextuel d’un type de fichier la commande d’ouverture d’une autre application (avec REGEDIT)Pour définir l’ordre dans lequel s’afficheront les différentes commandes du menu contextuel d’un type de fichier (avec REGEDIT)

Les attributs des fichiers

Pour afficher tous les fichiers dans l’EXPLORATEUR quels que soient leurs attributs (avec l’EXPLORATEUR)Pour permettre l’écriture dans un fichier protégé et désactiver l’attribut « lecture seule » (avec un clic droit)

Le dossier « Mes Documents »

Le dossier « Mes Documents » est le dossier privilégié pour stocker les fichiers de l’utilisateurDe nombreux fichiers personnels sont enregistrés dans différents endroitsLe carnet d’adresse « e-mail », les messages entrants et sortants et les liens de sites INTERNET favoris (avec l’EXPLORATEUR)

Les dossiers et les fichiers temporaires

Les dossiers et les fichiers temporaires peuvent être effacés du disque durPour supprimer les fichiers de sauvegarde du système d’exploitation qui sont copiés lors d’une installation d’une nouvelle version du système d’exploitation (avec DEMARRER)Les fichiers temporaires INTERNET mémorisent les sites pour accélérer la navigation des sites fréquemment visitésPour modifier le pourcentage du cache consacré aux fichiers temporaires INTERNET stockés sur le disque dur lors d’une navigation (avec INTERNET EXPLORER)Pour vider le dossier des fichiers temporaires d’INTERNET dès la fermeture du navigateur (avec INTERNET EXPLORER)

Les liens OLE & DDE

Les liens OLE & DDE permettent de relier deux fichiers ensemblesPour copier et lier une image à un fichier texte (avec OLE&DDE)Pour supprimer un lien entre deux fichiers (avec OLE&DDE)


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Pour qu’un fichier incorporé à un autre reste lié à son application d’origine (ce qui facilite les fréquentes modifications) et soit enregistré avec le fichier de destination (avec OLE&DDE)

Les bribes

Les bribes sont des morceaux de document qui se transforment en fichiers quand ils sont glissés déplacés sur le bureau et qui peuvent être relié à un autre document

L’aperçu rapide

Le menu contextuel de certains fichiers propose la commande « aperçu rapide »qui est un des composants de WINDOWSLes types de fichier pour lesquels « l’aperçu rapide » est disponible

Les virus

Les virus sont des fichiers externes dont les intentions

Le programme PGP

Le programme PGP transforme un fichier en le cryptant

Les certificats

Les certificats sont des fichiers d’identification

Les programmes DIRECT X et OPEN GL

Les programmes DIRECT X et OPEN GL sont des morceaux de programmes supplémentaires qui améliorent les performances multimédia du système

Les fichiers AUDIO

Les fichiers AUDIO sont, pour une même qualité sonore, plus ou moins gourmands en octetsPour installer un CODEC AUDIO (avec le module « Ajout de Nouveau Matériel »)Pour connaître les CODECS AUDIO installés (avec le module « multimédia »)

Les fichiers VIDEO

Les fichiers VIDEO sont compressés pour être visualisés en temps réel

Les journaux

Les journaux sont des fichiers qui gardent la trace de toutes les opérations d’une procédure

Les matériels internes et périphériques Page 142

Le processeur

Le processeur est l’élément principal de l’unité centrale d’un ordinateurDes générations de processeursL’architecture du bus de la carte mère

La mémoire de travail

La mémoire vive est une mémoire rapide qui charge les programmes et les données en cours de traitementLa mémoire RAM peut être dynamique ou statiqueLa mémoire conventionnelle, paginé et étendueLa mémoire virtuelle simule une extension de la mémoire vive sur le disque dur


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La mémoire vive se présente sous la forme de barrettesPour connaître la quantité de mémoire vive installée sur l’ordinateur (avec l’EXPLORATEUR)Pour connaître la quantité de mémoire vive installée sur l’ordinateur (avec le module « système »)

La mémoire de stockage

La mémoire ROMLa mémoire de grande capacité qui enregistre toutes les données de l’ordinateur

Les disques durs

Les caractéristiques des disques dursLes disques durs sont de type IDE ou SCSIPour connaître la capacité totale et la capacité disponible d’un disque, d’un lecteur ou d’une partition (avec l’EXPLORATEUR)Pour afficher la barre d’états et connaître le nombre, le type et la taille des fichiers ou d’un dossier (avec l’EXPLORATEUR)Pour gagner le l’espace en éliminant les fichiers d’aide des logiciels maîtrisés (avec l’EXPLORATEUR)

Le système de fichiers

Le système de fichiers (FAT 16 ou FAT 32) détermine la taille et le nombre de CLUSTERS d’un lecteurLe formatage de bas niveau

La mémoire virtuelle

La mémoire virtuelle est une simulation de mémoire vive sur le disque durPour laisser WINDOWS gérer la mémoire virtuelle (avec le module « système »)

Le module « système »

Le module « système » permet d’ajuster la gestion de la configuration matérielle des périphériquesL’optimisation du cache en lecture du disque dur dépend de la quantité de mémoire vivePour ajuster la gestion de la configuration matérielle des périphériques, comme le type de l’utilisation de l’ordinateur, l’optimisation des caches du disque dur et du lecteur de CDROM, et l’accélération graphique (avec le module « système »)

La carte graphique et le moniteur

La carte graphique et le moniteur ont besoins d’être harmonisés pour optimiser l’affichagePour associer le moniteur et la carte graphique, il faut ajouter un profil de couleurs (avec le module « affichage »)Pour ajuster les caractéristiques de contraste, de luminosité et de chaleur des couleurs (avec le module « affichage »)

L’économie d’énergie

Le mode d’économie d’énergie d’un ordinateur dépend du type d’utilisation, du type d’alimentation et des types de matérielsPour configurer le mode veille (avec le module « Gestion de l’Alimentation»)

Les périphériques

Les périphériques sont tous les matériels connectés à l’unité centrale

Les périphériques SCSI


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Les périphériques SCSI sont très rapides

Les pilotes de périphériques

Un pilote de périphérique est un logiciel conçu par le constructeur, et qui assurent la communicabilité entre le système d’exploitation et le matérielPour mettre à jour les pilotes de sa machine via le service INTERNET LIVE UP DATE de WINDOWS MICROSOFT (avec INTERNET)Pour connaître les éventuels conflits de version de pilotes ou de DLL, et être en mesure de les restaurer si nécessaire (avec INFORMATIONS SYSTEME)

Le PLUG & PLAY

Le PLUG & PLAY, cela signifie branchez et ça fonctionnePour sélectionner les pilotes signés ou non (avec SIGVERIF)

Les interruptions IRQs

Les IRQ hiérarchisent les priorités de tous les composants d’un ordinateur afin que chacun puisse accéder au processeurPour connaître les interruptions IRQ libres (avec INFORMATIONS SYSTEME)Pour imprimer les ressources systèmes, IRQ et DMA dédiées aux périphériques (avec le module « système »)Pour désactiver ou modifier les paramètres d’une IRQ (dans le GESTIONNAIRE de PÉRIPHÉRIQUES)

L’agent de pilote d’omission automatique

Pour activer l’agent de pilote d’omission automatique (avec ASD)Pour activer l’agent de pilote d’omission automatique (avec DEMARRER)

Les ports

Les ports sont les « portes » d’entrée et de sortie par lesquels les données sont transférées vers l’intérieur ou l’extérieur de l’unité centraleLe port parallèle est un port à haut débit pour l’imprimantePour vérifier les paramètres ECP du BIOS (avec le module « système »)Le port USB permet de raccorder jusqu'à 127 périphériques

L’imprimante

L’imprimante permet de garder des informations sur des supports papiersPour configurer l’impression, et optimiser les paramètres selon le type de L’imprimante, à aiguille, à jet d’encre ou laser (avec le module « imprimante »)Pour imprimer plusieurs documents en une seule fois à l’aide d’un fichier SPOULEUR (avec le module « imprimante »)Pour éviter un problème de SPOULEUR, imprimer directement sur L’imprimante, et régler un problème d’impression d’images (avec le module « imprimante »)Pour connaître l’état d’avancement des impressions en cours avec le gestionnaire d’impression et éventuellement purger la file d’attente (avec le module « imprimante »)Pour imprimer un fichier sans ouvrir son application associée (avec un raccourcis de l’imprimante sur le bureau)Pour ajouter l’icône de l’imprimante comme destination dans envoyer vers du menu contextuel d’un fichier (avec C:\WINDOWS\SendTo)Pour faire apparaître l’imprimante dans la boite de dialogue d’impression d’une application, il faut que le fichier .INF correspondant au pilote de l’imprimante figure dans le dossier C:\WINDOWS\INF. Si le pilote ne s’y trouve pas, il est possible de le localiser dans le REGISTRE (avec REGEDIT)

Les lecteurs de CDROM et les lecteurs de DVD


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La capacité des lecteurs de DVD est beaucoup plus importante que celle des lecteurs de CDROM

Le scanner

Le scanner permet d’importer et de numériser du texte comme des images

Le modem

Le modem permet de communiquer avec l’extérieur et de se connecter aux réseauxPour installer un nouveau modem connecté au port série (avec le module « modems »)Pour vérifier la configuration du modem, la vitesse de transfert, les tampons, le contrôle d’erreurs, la compression des données, le journal de connexion et l’éventuelle chaîne d’initialisation supplémentaire (avec le module « modems »)Pour effectuer un diagnostic du modem ou connaître la version du pilote et celle du module UART (avec le module « modems »)Pour modifier le délais d’attente dans le REGISTRE afin qu’un modem de type PCMCIA ne soit pas affecté par la fonction de gestion des économies d’énergie (avec REGEDIT)

Les haut-parleurs

Les haut-parleurs permettent d’écouter la musique des CDs, des sites INTERNET et des jeux

Le moniteur

Le moniteur, plus c’est grand et plus c’est confortablePour configurer les propriétés de l’affichage (avec le module « affichage »)

La souris

Les souris ont de plus en plus de boutons

Les disquettes

Les disquettes permettent de stocker des données sur un support amovibleLes disquettes de 3.5 pouces de 1.44 Mo ont conquis le marché

Les savoir-faire Page 167

Rechercher

Les fichiers dont les attributs cachés et systèmes sont actifs n’apparaissent pas avec les paramètres par défaut de l’EXPLORATEURPour créer une icône sur le bureau mémorisant les critères d’un modèle de recherche (avec DEMARRER)

Copier

Pour copier le contenu de la fenêtre active ou faire une capture d’écran (avec la touche IMPR.ECRAN)Pour mettre à jour des fichiers provenant de différentes sources (avec le PORTE DOCUMENT)

Nommer

Les règles de nomage des fichiers sont strictes

Afficher

Le mode d’affichage « CLASSIQUE » s’oppose au mode d’affichage « WEB »Pour passer en mode d’affichage « WEB » afin de sélectionner un fichier en positionnant simplement le curseur de la souris dessus et afin de lancer la commande par défaut avec un seul clic (avec l’EXPLORATEUR)


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Sélectionner

Pour sélectionner plusieurs fichiers consécutifs (avec la touche MAJ)Pour sélectionner plusieurs fichiers un par un (avec la touche CTRL)

OUVRIR AVEC…

Pour ouvrir un document avec une autre application que celle qui est définie par défaut dans les paramètres du type de fichier, il faut OUVRIR AVEC…(avec un clic droit et la touche MAJ)

Désinstaller

L’accumulation des applications inutiles impose de les désinstaller régulièrementPour connaître les applications actives à un moment donné (avec les touches CTRL + ALT + SUPPR)Pour visualiser les applications 32 bits installées sur l’ordinateur et les désinstaller proprement (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)Pour désinstaller les applications 16 bits (avec C:\WINDOWS et C:\WINDOWS\SYSTEM)

Nettoyer

La gestion de l’espace disponible sur le disque dur est crucialePour connaître l’espace libre sur les lecteurs du disques dur (avec l’EXPLORATEUR)Pour nettoyer les fichiers temporaires, les fichiers temporaires d’INTERNET, les fichiers de la CORBEILLE et les fichiers téléchargés (avec le POSTE de TRAVAIL)Pour nettoyer les fichiers temporaires, les fichiers temporaires d’INTERNET, les fichiers de la CORBEILLE et les fichiers téléchargés (avec l’utilitaire de nettoyage de disque)Pour faire apparaître une boite de dialogue qui propose de nettoyer automatiquement le disque quand l’espace atteint une certaine limite (avec l’utilitaire de nettoyage de disque)

Formater

Formater un lecteur permet de tout effacer et recommencer à zéroPour formater une disquette ou un lecteur (avec le POSTE de TRAVAIL)Pour effectuer un formatage rapide et n’effacer que la table d’allocation des fichiers (avec le POSTE de TRAVAIL)Pour formater une disquette (avec l’EXPLORATEUR)Pour créer une disquette système (avec L’EXPLORATEUR)

Personnaliser

Pour attribuer au lecteur de CDROM une lettre qui ne dépende pas du nombre de lecteurs installés (avec le module « système »)Pour affecter dans le REGISTRE les routines d’installation de WINDOWS avec la nouvelle lettre du lecteur de CDROM (avec l’entrée « SourcePath »)

Défragmenter

Défragmenter le lecteur d’un disque dur permet d’accélérer l’accès aux données qui y sont stockéesPour défragmenter un lecteur du disque dur (avec l’EXPLORATEUR)Pour défragmenter un lecteur du disque dur (avec DEMARRER)Pour défragmenter un lecteur du disque dur (avec l’ASSISTANT de MAINTENANCE)Pour défragmenter un lecteur du disque dur (avec DEFRAG)

Scanner

Scanner un disque dur permet de vérifier son étatPour lancer SCANDISK (avec DEMARRER)


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Partitionner

Partitionner l’espace d’un disque dur permet de cloisonner des zones et de séparer les données qui y sont stockéesPour lancer l’utilitaire FDISK de partitionnement du disque dur (avec MS-DOS)

Maintenir

Maintenir, c’est entretenir un ordinateur, souvent fastidieux mais toujours rentablePour lancer l’ASSISTANT de MAINTENANCE (avec DEMARRER)

Sécuriser

Les règles de sécurité sont les vertus de l’internaute : la rigueur, la régularité, la prudence, la discrétion et l’abstinence seules peuvent contrecarrer la malveillance

Echanger

FaxerPour installer les programmes EXCHANGE et MESSAGE API (avec le CDROM d’installation)Pour expédier une télécopie à partir d’un logiciel de traitement de texte, il faut l’imprimer sur le télécopieur (avec WINWORD)ScannerGraver

Optimiser

Pour obtenir les même couleurs à l’écran et sur le papier, il faut installer les profils de couleurs correspondant au moniteur (avec le module « affichage »)Pour configurer le maximum de cache pour le lecteur de CDROM (avec le module « système »)

Dépanner

Le mode d’économie d’énergie APM ne fonctionne pas avec toutes les cartes mères…Pour forcer l’utilisation de la version 1.0 de l’APM avec WINDOWS 98 (avec le module « système »)La configuration du flux du port parallèle dans le BIOS peut-être à l’origine d’impression chaotiquePour lancer le programme de vérification des fichiers systèmes et restaurer un fichier système défectueux (avec SFC)Pour tester le port COM auquel est connecter le modem (avec le module « modem »)Pour ouvrir mécaniquement le boîtier d’un LECTEUR de CDROM ou de DVD (avec un trombone)Le profil matériel enregistre une certaine configuration matérielPour créer un profil matériel (avec le module « système »)Le lancement du système d’exploitation MS-DOS avec la disquette de BOOT permet de résoudre des problèmes de configuration

Booter

Le MENU de DEMARRAGE de WINDOWS 98 apparaît lors du démarrage de l’ordinateur avec une disquette de BOOTLa procédure d’installation de WINDOWS 98 comprend la création d’une disquette de BOOT qu’il faut réactualisée après des changements de configuration


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Les fichiers de la disquette de BOOTUn disque virtuel RAM est créé pendant la phase de démarrage avec une disquette de BOOT et permet de simuler la présence d’un disque durPour créer une disquette de BOOT (avec le module “Ajout & Suppression de Programmes”)Pour relancer l’ordinateur à l’aide d’une disquette de BOOT (avec la disquette de BOOT)La procédure de démarrage du système d’exploitationLe démarrage en mode SANS ECHEC présente l’interface graphique minimum de WINDOWS…Plusieurs journaux retracent le déroulement des procédures effectuées pendant le démarrage…Pour déterminer l’origine d’un problème concernant un fichier ou un pilote introuvable lors du démarrage (avec un esprit de déduction)Pour redémarrer l’ordinateur en mode SANS ÉCHEC, il faut faire apparaître le MENU de DEMARRAGE de WINDOWS 98 (avec les touches F8 ou CTRL)le MENU de DEMARRAGE de WINDOWS 98 (avec les touches F8 ou CTRL)

Sauvegarder

L’enregistrement régulier et la sauvegarde systématique de ses fichiers est le meilleur moyen de ne pas perdre son temps devant un ordinateurMSBACKUP est le programme de sauvegarde de WINDOWSPour lancer le programme de sauvegarde MSBACKUP (avec DEMARRER)Pour lancer le programme de sauvegarde MSBACKUP (avec MSBACKUP)Pour lancer le programme de sauvegarde MSBACKUP (avec l’EXPLORATEUR)Pour effectuer une sauvegarde de ses fichiers personnels sur une disquette (avec MSBACKUP)Pour restaurer une sauvegarde de ses fichiers personnels réalisée sur disquette (avec MSBACKUP)Le MIRRORING est une méthode dynamique de tolérance de panneLe fantôme (GHOST) est une méthode de sauvegarde plus archaïque et plus statique qui requière deux disques durs extractiblesLa tactique du partionnement est une méthode de sauvegarde qui requière un seul disque dur mais de taille conséquente

Planifier

Le PLANIFICATEUR de TÂCHES permet de lancer périodiquement des programmesPour lancer le PLANIFICATEUR de TÂCHES (avec la barre système)Pour lancer le PLANIFICATEUR de TÂCHES (avec DEMARRER)Pour lancer le PLANIFICATEUR de TÂCHES (avec l’EXPLORATEUR)Pour lancer le PLANIFICATEUR de TÂCHES (avec TASK)Pour créer une nouvelle tâche planifiée

Prévenir

D’autres éditeurs de logiciels proposent des programmes pour prévenir les défaillance du système, mais encore faut-il les avoir installés avant la défaillance

Le réseau INTERNET Page 193

La typologie des réseaux

Le modèle OSI

La carte réseau

Les protocoles réseaux

Le réseau INTERNET

Le réseau INTERNET est le réseau des réseaux

Les réseaux PEER TO PEER


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Les réseaux PEER TO PEER sont des réseaux de poste à poste

Le fournisseur d’accès à INTERNET

Les fournisseurs d’accès à INTERNET ne proposent pas tous la même qualité de servicesLes informations pour configurer manuellement une connexion INTERNET sont attribuées par le fournisseur d’accès

Les protocoles

Les chaînes d’initialisation des protocoles de connexionPour modifier la taille des paquets du protocole PPP (ave le module « réseau »)Pour installer le protocole PPTP, Point To Point Tunneling Protocole (avec le module « réseau »)

Les connexions avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE

L’ACCES RESEAU à DISTANCE est l’outil indispensable pour se connecterPour savoir si le composant ACCES RESEAU à DISTANCE est installé sur l’ordinateur (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)Pour savoir si le composant ACCES RESEAU à DISTANCE est installé sur l’ordinateur (avec DEMARRER)Pour savoir si le composant ACCES RESEAU à DISTANCE est installé sur l’ordinateur (avec le POSTE de TRAVAIL)Pour installer le composant ACCES RESEAU à DISTANCE (avec le CDROM d’installation)Pour réduire le temps de connexion (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)Pour connaître l’état du modem grâce à l’affichage d’une icône de deux ordinateurs dans la barre système (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)Pour activer la recomposition automatique du numéro de téléphone du serveur (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)Pour enregistrer le mot de passe de connexion afin de ne pas avoir à le ressaisir à chaque connexion (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)Pour établir une connexion VPN (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)

Le FIREWALL

Le FIREWALL est une mesure de protection filtrant les accès à un réseau local

Les PROXIES

Les PROXIES sont des supers caches INTERNET installés chez le fournisseur d’accès

Le navigateur INTERNET EXPLORER

Le navigateur INTERNET EXPLORER permet de lire les pages HTML des site WEBPour saisir une adresse INTERNET et établir une connexion à un site INTERNET (avec une des nombreuses barres d’adresse)Pour accéder aux paramètres de sécurité afin de restreindre les zones d’accès et de choisir le niveau de sécurité ( id est ) le degré d’ouverture de votre système par rapport aux APPLETS JAVA signées ou non, aux COOKIES, aux PLUGS IN et autres ACTIVE X…(avec INTERNET EXPLORER)Pour créer un raccourci sur le bureau pointant vers un lien hypertexte d’INTERNET (avec INTERNET EXPLORER)Pour étendre la recherche automatique de domaine aux sites français se terminant par .FR (avec REGEDIT)Pour modifier l’adresse INTERNET recherchée par défaut avec la commande ALLER A… / RECHERCHER SUR LE WEB dans l’EXPLORATEUR et le bouton RECHERCHER dans INTERNET EXPLORER (avec REGEDIT)Pour personnaliser la barre d’outils (la barre de boutons) du navigateur et afficher les pages WEB en plein écran avec un simple clic (avec INTERNET EXPLORER)Pour enregistrer intégralement une page WEB avec du texte et des images (avec INTERNET EXPLORER)


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Pour envoyer une page WEB par le courrier électronique (avec INTERNET EXPLORER)Pour afficher le code source HTML d’une page WEB (avec INTERNET EXPLORER)Pour afficher une nouvelle page WEB dans une nouvelle fenêtre et garder ainsi le contenu de la page précédente visible (avec INTERNET EXPLORER) Pour accroître la vitesse de téléchargement des pages WEB en désactivant les composants multimédias et se contenter du texte (avec INTERNET EXPLORER)Pour afficher les composants multimédia même si ceux-ci sont désactivés (avec INTERNET EXPLORER)Pour modifier la taille du cache INTERNET qui stocke les sites déjà visités dans le répertoire C:\WINDOWS/TEMPORARY INTERNET FILES (avec INTERNET EXPLORER)Pour interrompre le téléchargement d’une page WEB (avec INTERNET EXPLORER)Pour lancer le navigateur sans invite de connexion dès le démarrage (avec INTERNET EXPLORER)Pour rechercher un terme dans une page WEB (avec INTERNET EXPLORER)Pour désactiver et interdire le téléchargement des COOKIES, il faut personnaliser les paramètres de sécurité du navigateur (avec INTERNET EXPLORER)Pour ne pas vérifier à chaque ouverture si INTERNET EXPLORER est sélectionné comme le navigateur par défaut (avec INTERNET EXPLORER)

Le logiciel de messagerie OUTLOOK EXPRESS

Le logiciel de messagerie ou de courrier électronique installé par défaut est OUTLOOK EXPRESSPour rapatrier les messages et le carnet d’adresse d’un ancien logiciel de messagerie (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour installer un autre compte de messagerie (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour envoyer et recevoir tous les e-mails de tous les comptes définis sur un ordinateur (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour ajouter une nouvelle adresse e-mail dans le carnet d’adresse (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour enregistrer automatiquement dans le carnet d’adresse, les adresses e-mail des personnes auxquelles l’utilisateur répond (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour compléter automatiquement dans le champ destinataire d’un nouveau message, l’adresses e-mail du correspondant quand il figure déjà dans le carnet d’adresse (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour constituer un groupe de réception qui permet de transmettre le même message à plusieurs personnes (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour écrire ponctuellement un message e-mail avec un papier à lettre (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour toujours envoyer un message e-mail avec le même papier à lettre (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour attacher au message e-mail une pièce jointe sans passer par le DRAG&DROP (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour créer des règles de message s’appliquant au messages entrants ou sortants, et qui permettent de filtrer, d’interdire, d’automatiser des réponses, de copier, de déplacer ou de transférer des messages (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour envoyer un accusé de réception à tous les messages entrants (avec OUTLOOK EXPRESS)Pour connaître les informations d’en-tête d’un message contenues dans le code source en HTML (avec OUTLOOK EXPRESS)

Les moteurs de recherche

Pour se connecter à un moteur de recherche de personnes et connaître l’adresse e-mail d’un correspondant (avec INTERNET EXPLORER)Pour se connecter à un moteur de recherche de personnes et connaître l’adresse e-mail d’un correspondant (avec DEMARRER)

Les groupes de discussion

Les groupes de discussion sont les communautés d’INTERNET

L’éditeur FRONTPAGE EXPRESS

FRONTPAGE EXPRESS est l’éditeur de page HTML livré avec WINDOWS 98

L’ASSISTANT PUBLICATION de SITES WEB


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L’ASSISTANT PUBLICATION de SITES WEB est livré avec WINDOWS 98

Les utilitaires INTERNET

Les POWERTOYS pour INTERNET sont des utilitaires développés par les programmeurs d’I.E.PING est une application réseau qui permet de connaître la durée d’un aller retour pour un paquet de 32 octets entre l’ordinateur et une autre machine cibleWINIPCFG est une application réseau qui permet de connaître l’adresse IP dynamique allouée à l’ordinateur lors d’une connexion à son ProviderTRACERT est une application réseau qui permet de connaître les 20 dernières adresses IP (les routeurs…) parcourues par un paquet avant d’atteindre sa cibleWEBFERRET est une application INTERNET qui permet d’interroger en une même requête plusieurs moteurs de recherche différents en même temps et qui tri les réponses : LYCOS, ALTAVISTA, EXCITE, HOTBOT, WEBCRAWLER, MAGELLAN, INFOSEEK, YAHOO, VERONICA…NETACCELERATOR est une application INTERNET qui permet de télécharger tous les liens d’une page WEB quand le modem reste inactifGETRIGHT est une application INTERNET qui permet de reprendre un téléchargement interrompuNETLAUNCH est un shareware qui permet de planifier la connexion et le lancement des programmes INTERNETNAVISCOPE est un shareware qui permet de ne pas télécharger les publicités des pages Web, de pré charger les liens, de bloquer les « POP UP WINDOWS » et de filtrer les cookies…GODZILLA est un shareware qui permet de télécharger depuis le serveur miroir le plus rapide, de reprendre un téléchargement interrompu, de lister les fichiers d’un site Web et de déconnecter ou d’éteindre l’ordinateur après un téléchargementMEMOWEB est un shareware qui permet d’aspirer des sites entiersADSUBSTRACT SE est un shareware qui permet les même fonctionnalités que NAVISCOPEAFREET SITE VIEWER est un shareware qui permet de visualiser l’arborescence d’un siteNETBOUSSOLE est un shareware qui permet d’accéder à un classement de sites par thèmeWEBSPECTOR LITE est un shareware qui permet d’être prévenu des mises à jour des sites placés dans le dossiers des FAVORISCRUSH POP 2000 est un shareware qui permet de fermer les « POP UP WINDOWS »INTELLI DIAL UP est un shareware qui permet d’optimiser les paramètres de connexionI SPEED est un shareware qui permet d’optimiser les paramètres de connexionREALDOWNLOAD est un shareware qui permet les même fonctionnalités que GODZILLAFLASHGET est un shareware qui permet de décomposer un gros fichier en de petits morceaux afin de le télécharger plus viteCOPERNIC est un shareware qui permet d’interroger plusieurs moteurs de recherche en même temps, de supprimer les doublons dans les réponses à la requête et de les classer par ordre de pertinence

Le SERVEUR WEB PERSONNEL

Le SERVEUR WEB PERSONNEL permet de mettre soi-même en ligne son site INTERNET si l’on dispose d’une connexion INTERNET permanentePour installer le SERVEUR WEB PERSONNEL (avec le CDROM d’installation de WINDOWS 98)

HYPERTERMINAL

HYPERTERMINAL est une application qui permet de connecter deux ordinateurs ensemblesPour démarrer une connexion et communiquer avec un autre ordinateur (avec HYPERTERMINAL)Pour échanger des fichiers (avec HYPER TERMINAL)

SERVEUR RAS

SERVEUR RAS est une application réseau qui permet d’établir une connexion entre deux ordinateursPour établir une connexion RAS (avec SERVEUR RAS)

La connexion direct par câble


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LE SYSTEME D’EXPLOITATION

Les nouveautés de WINDOWS 98

WINDOWS 98, c'est WINDOWS 95 + INTERNET EXPLORER 4.0

Le système d'exploitation WINDOWS 98 est le remplaçant des anciennes moutures WINDOWS 3.x et de WINDOWS 95.

WINDOWS 98 est un système d'exploitation dédié aux particuliers, au grand public, par opposition aux entreprises qui sont souvent organisées en réseaux administrés (à la différence des réseaux "poste à poste"). Toute fois, les systèmes d'exploitation WINDOWS 3.x, 95 et 98 s'intègrent facilement dans des réseaux WINDOWS NT SERVER, mais n'offrent pas les même garanties de sécurité que les ordinateurs qui fonctionnent sous WINDOWS NT STATION (droits d'accès, mots de passe, authentification centralisée, partages des fichiers,…).

WINDOWS 98 n'est pas un système d'exploitation très différent de WINDOWS 95, c'est pourquoi les spécialistes y font référence comme un seul et même système, et l'appèle soit tout simplement "WIN95" ou "WIN 95&98" quand ils sont débonnaires. WINDOWS 98 est une sorte de fusion entre d'une part l'Internet et d'autre part le système d'exploitation 32 bits WINDOWS 95 avec son interface graphique.WINDOWS 98 intègre le navigateur INTERNET EXPLORER 4.0 pour surfer sur le WEB, et permet d'avoir un bureau interactif avec ACTIVE DESKTOP.

WINDOWS 98 gère beaucoup plus de matériels que WINDOWS 95, ce qui en fait un système beaucoup plus PLUG & PLAY.

WINDOWS 98 est beaucoup plus aboutit que WINDOWS 95, plus stable, plus rapide et plus complet…WINDOWS 98 offre par exemple le "PACK PLUS", qu'il n'est plus nécessaire d'acquérir séparément.

WINDOWS 98 améliore l'affichage

WINDOWS 98 permet de modifier la résolution de l'affichage de l'écran sans devoir redémarrer l'ordinateur pour que les nouveaux paramètres soient pris en compte, et permet de changer la fréquence de rafraîchissement du moniteur sans avoir recours à un pilote spécifique pour la carte graphique.

WINDOWS 98 permet d'influer sur l'affichage des couleurs en tenant compte des caractéristiques spécifiques du moniteur et en choisissant un "profil de couleur" plus adapté (DEMARRER/PANNEAU de CONFIGURATION/AFFICHAGE/Onglet PARAMETRES/Bouton AVANCE/Onglet GESTION des COULEURS/Sélectionner un profil de couleur (un fichier au format .ICM) ou ajoutez en un s'il est fournit avec le pilote du constructeur…)

WINDOWS 98 permet d'afficher à l'intérieur d'un dossier de l'arborescence de l'EXPLORATEUR des miniatures (une sorte d'aperçu qui permet de visualiser beaucoup de petites diapositives en même temps). Les fichiers d'images doivent être au format .BMP, .GIF, .JPG,…(pour cela, il faut cliquer avec le bouton droit de la souris sur l'icône d'un répertoire et valider l'option ACTIVER L'AFFICHAGE en MINIATURE). En activant cette fonctionnalité, le menu AFFICHAGE s'enrichit d'une nouvelle commande MINIATURES, et deux fichiers cachés (THUMS.DB et DESKTOP.INI) sont créés et ajoutés dans le dossier.

La boite de dialogue PROPRIETES de l'AFFICHAGE présente un nouvel onglet (Onglet EFFET) issu du PACK PLUS de WINDOWS 95 et permet d'utiliser certaines fonctionnalités qui améliorent le confort (lissage des polices, grandes icônes sur le bureau, contenu des fenêtres visible pendant un déplacement, menus animés et personnalisation des icônes (dans le dossier C:\WINDOWS\SYSTEM\shell32.dll).

Le PANNEAU de CONFIGURATION présente un nouveau MODULE (le module THEMES du BUREAU) issu du PACK PLUS de WINDOWS 95 qui permet de paramétrer la présentation du bureau avec des thèmes qui sont déjà préparés mais pas toujours très seyants...


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WINDOWS 98 offre une interface d'aide plus agréable en HTML et plus pertinente avec une section TROUBLESHOOTING qui permet à l'aide de questions réponses de diagnostiquer un problème et de trouver rapidement la solution (DEMARRER/AIDE).

Le CDROM d’installation de WINDOWS 98

Le contenu du CDROM d’installation

De plus en plus d’ordinateurs sont vendus avec un système d’exploitation déjà installé. Toutefois, il est primordiale de disposer du CDROM d’installation de WINDOWS 98, avec son numéro de licence qui figure sur la boite, et il est indispensable de connaître la procédure d’installation.

Une installation peut-être standard, minimum, destinée aux ordinateurs portables, personnalisée ou complète ; selon le type d’installation, une partie ou la totalité des services (ou des composants) que propose MICROSOFT seront installés et enregistrés sur l’ordinateur.

Le CDROM d’installation de WINDOWS 98 contient les dossiers et les fichiers suivants :

Les dossiers :

ADD-ONS Contient des « suppléments » qui ne sont pas intégrés à WINDOWSCDSAMPLE Contient des présentations vidéos des produits de MICROSOFTDRIVERS Contient les pilotes de périphériques de certains constructeursTOOLS Contient des utilitaires réseaux, MSDOS, WINDOWS 95 et le ressource kitWIN98 Contient les fichiers d’installation de WINDOWS 98

Les fichiers :

AUTORUN.INF Fichier de configuration pour le lancement automatique de l’interface dès l’insertion du CDROM

INSTALL.EXE Exécutable qui lance l’interface d’installation de WINDOWS 98LISEZMOI.TXT Fichier texte qui explique la procédure à suivre pour l’installation

Compte tenu de l’espace mémoire gigantesque qui est désormais disponible sur les PC, il peut-être utile d’enregistrer la totalité des dossiers et des fichiers du CDROM d’installation de WINDOWS 98, lequel représente un peu moins de 600 Méga Octets.Ainsi, la configuration d’un nouveau matériel sur l’ordinateur (par exemple, l’imprimante d’un client branchée sur le portable d’un fournisseur…) est immédiate en faisant appel à la bibliothèque de pilotes PLUG&PLAY du dossier DRIVERS. D’autre part, les fichiers d’installation du dossier WIN98 et les utilitaires du dossier TOOLS sont toujours à disposition…Enfin, il n’est plus nécessaire de transporter ou de manipuler le CDROM, et il est prudent de le garder à l’abris de la lumière, de la poussière et des traces de doigts…Une fois le CDROM enregistré, il sera possible de modifier la valeur « SourcePath » du registre qui par défaut est égale à « X:\WIN98 », avec « X » représentant la lettre affectée au lecteur de CDROM.

La valeur chaîne « SourcePath » du REGISTRE

Le registre contient la clef « SourcePath » qui indique l’endroit ou se trouvent normalement les fichiers d’installation, par défaut cette valeur est égale à « X:\WIN98 », sous-entendu que « X » représente la lettre affectée au lecteur de CDROM.

Il est intéressant de copier sur le disque dur l’intégralité du CDROM, dont le dossier WIN98 qui contient les fichiers d’installation, afin de toujours l’avoir à disposition.Les fichiers d’installation du dossier WIN98 sont en majorité des fichiers compressés, dotés de l’extension .CAB, et représentent environ 100 Méga Octets. Si les fichiers d’installation sont enregistrés sur le disque dur, par exemple, dans le répertoire C:\CDWIN98\WIN98, alors, il n’est plus nécessaire d’insérer le CDROM d’installation de WINDOWS 98 dans le lecteur, et toutes les modifications à venir peuvent être effectuées à partir du disque dur.


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Enregistrer l’intégralité du CDROM d’installation de WINDOWS dans le répertoire C:\CDWIN98 du disque dur. Ainsi les fichiers d’installation sont enregistrés dans le dossier C:\CDWIN98\WIN98. Après avoir copier les fichiers d’installation sur le disque dur, il faut enregistrer dans le registre le nouveau chemin par défaut, c’est à dire le chemin qui sera proposé à chaque fois que WINDOWS aura besoin des fichiers d’installation.

Changer la valeur chaîne dans le registre pour le nouveau chemin indiquant les fichiers d’installation :

HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\SETUP\SOURCEPATH= « C:\CDWIN98\WIN98 »


L'installation de WINDOWS 98 requière un minimum d'espace sur le disque dur, de 155 Mo à 350 Mo

Avant de lancer l'installation de WINDOWS 98, il faut prévoir plus ou moins d'espace sur le disque dur pour enregistrer les fichiers systèmes et les applications fournies avec le système d'exploitation (tout dépend du nombre de composants sélectionnés), en outre il faut prévoir l'espace nécessaire pour décompresser les fichiers du CDROM pendant l'installation, et enfin il faut éventuellement prévoir en plus de l'espace pour conserver l'ancien système d'exploitation…

110 ou 240 Méga Octets pour une installation minimale ou complète

45 Méga Octets qui sont utilisés temporairement pour décompresser les fichiers du CDROM d'installation lesquels sont compressés et n'occupent que 80 Méga Octets

65 Méga Octets pour les fichiers de restauration de l'ancien système

L'espace suffisant pour les applications qui seront installées par la suite et pour conserver les documents

Soit un total de 155 Méga Octets pour une installation minimale, sans possibilité de restaurer l'ancien système, ni d'installer d'autres applications ; ou un total d'au moins 350 Méga Octets pour une installation maximale, mais il faudra encore prévoir de l'espace supplémentaire pour installer d'autre applications…

L’installation de WINDOWS 98 peut être une mise à jour, une première installation ou un multi boot…

Il existe trois types d’installation de WINDOWS 98, selon qu'il y a un système d'exploitation avant l'installation et selon qu'il y a un ou plusieurs système d'exploitation après l'installation :

La mise à jour qui reprend les paramètres et conserve les programmes installés sur une version précédente de WINDOWS (3.x ou 95). L'installation est effectuée à partir du système d'exploitation qui est déjà présent sur l'ordinateur ou à partir de la version DOS de l'ancien système d'exploitation (il faut alors préparer une disquette de démarrage ou disquette de BOOT, prévoir de changer éventuellement la séquence de BOOT du BIOS avec le lecteur A:\ en première place, et enfin rebooter ou redémarrer l'ordinateur avec celle-ci dans le lecteur de disquette et une fois sur le prompt lancer la procédure d'installation...

La première installation, quand il n’y a pas de système d’exploitation et que le disque dur est vierge. L'installation s'effectue alors par l'intermédiaire du DOS, un petit système d'exploitation qui tient sur une disquette (la disquette de BOOT ou disquette de démarrage qui est fournie avec le CDROM d'installation de WINDOWS 98) et qui permet de reconnaître le lecteur de CDROM (d'installer le pilote adéquat ou un pilote générique) et de lancer la procédure d'installation.

Le multi boot pour faire cohabiter plusieurs systèmes d'exploitation, soit parce qu'il existe déjà un système d’exploitation (que ce soit un système DOS, WINDOWS 3.x, ou d'une autre marque comme OS/2, UNIX, LINUX,…) et que l'on souhaite le conserver en parallèle avec WINDOWS 98, soit en installant d'abord WINDOWS 98, puis un autre système d'exploitation. Le multiboot est possible avec d'anciennes versions du DOS ou avec WINDOWS 3.x, mais n'est pas possible avec WINDOWS 95 car l'installation de WINDOWS 98 remplace WINDOWS 95. Le multiboot entre WINDOWS 98 et LINUX


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est possible, il faut installer WINDOWS 98 en premier, et ensuite installer LINUX, et c'est le "chargeur LILO" (LInux LOader) qui s'en chargera. Le multiboot entre WINDOWS 98 et WINDOWS NT est possible, et c'est un "chargeur NT" qui se chargera de l'amorçage. L’installation des fichiers systèmes de WINDOWS 98 s'effectue alors dans une autre "partition système", laquelle peut être formatée avec l'un des deux systèmes de fichier (FAT 16 ou FAT 32) compatibles avec le système d'exploitation WINDOWS 98.Quand plusieurs systèmes d’exploitation coexistent, la "partition primaire" doit être formatée en FAT 16 pour accepter le MULTIBOOT (la FAT 16 ou VFAT est le seul système de fichier qui est compatible avec tous les systèmes d'exploitation compatibles IBM PC du marché). La "partition primaire" doit être formatée en FAT 16 pour que l'option "Démarrer en mode MSDOS" fasse partie des options du menu de démarrage.La "partition primaire" du premier disque dur est aussi appelée "partition active", "partition de démarrage" ou "partition d'amorçage" parce qu'elle est analysée par le BIOS, après la procédure de test effectuée à chaque démarrage de l'ordinateur (le programme POST du BIOS, Power On Self Test, vérifie la bonne configuration matérielle de l'ordinateur, notamment la mémoire vive).

Dans le cas où un seul système d'exploitation est installé sur l'ordinateur, le BIOS recherche sur la "partition primaire" les informations du MBR (Master Boot Record ou table d'enregistrement). Le MBR répertorie l'organisation logique des partitions (la partition primaire, éventuellement la partition étendue et ses différentes partitions logiques,…), les adresses physiques des partitions sur le disque dur, et le type de formatage de celles-ci (c'est à dire le système de fichier de chacune d'entre elles). Généralement, la "partition primaire" est également la "partition système", quand ce n'est pas l'unique partition du disque dur. Le MBR indique au BIOS l'adresse physique sur le disque dur de la "partition système", c'est à dire l'endroit où se trouvent les fichiers systèmes. Autrement dit, le BIOS recherche sur le MBR l'endroit sur le disque dur où se trouvent les fichiers systèmes du système d'exploitation qui doit être lancé automatiquement. Une fois lues les informations du MBR, le BIOS lance le chargement du système d'exploitation, c'est à dire qu'il charge en mémoire vive les fichiers systèmes qu'il va trouver sur la "partition système" qui lui a été indiquée par le MBR.

Dans le cas du MULTIBOOT, il faut utiliser un petit programme que l'on appèle un "chargeur". Le "chargeur" peut être enregistré soit sur une disquette de boot avec laquelle on démarre l'ordinateur, soit sur la partition primaire" ou MBR. Le "chargeur" interrompt la procédure de démarrage et redonne la main à l'utilisateur, afin que celui-ci sélectionne le système d'exploitation qu'il souhaite charger en mémoire. Le "chargeur" présente un petit menu avec les différentes options disponibles, lesquelles correspondent aux différents systèmes d'exploitation qui sont installés sur l'ordinateur. L'utilisateur sélectionne l'un des systèmes d'exploitation, il valide son choix et le "chargeur" se charge de charger en mémoire les fichiers systèmes correspondants, qu'il trouvera sur la "partition système" correspondante.

La configuration minimale de WINDOWS 98 (486DX à 66 Mhz, 16 Mo de RAM et 125 Mo de ROM)

Processeur 486DX à 66 MhzCarte graphique VGA 256 couleursLecteur de disquette 31/2 pouces16 Mo de mémoire vive (RAM)125 Mo à 360 Mo d’espace sur le disque dur (ROM)Souris à deux boutons compatibles WINDOWS

L’installation à partir du DOS (avec INSTALL.EXE)

L’installation de WINDOWS 98 à partir du prompt du DOS sous-entend que l’ordinateur à déjà démarré et qu’il fonctionne avec le système d’exploitation MS-DOS. Il a fallut pour cela démarrer l’ordinateur avec une disquette de BOOT, laquelle doit contenir le pilote de CDROM du constructeur (ou les pilotes génériques que propose MICROSOFT) afin de pouvoir accéder au lecteur de CDROM et d’utiliser le CDROM d’installation de WINDOWS 98…

Quand l’ordinateur fonctionne sous MS-DOS, un écran noir présente le prompt, c’est à dire une invite de commande :

A:\


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A partir de cette invite, il faut se placer sur le lecteur de CDROM (X:\), en tapant la ligne de commande suivante :

A:\x:

Le prompt change, et présente le lecteur de CDROM (si celui-ci a été reconnu grâce au pilote de CDROM) :

X:\

Il suffit, alors de lancer le programme d’installation qui se trouve à la racine du lecteur de CDROM :

X:\INSTALL.EXE

Les préparatifs avant la mise à jour …

Désinstaller les anciens programmes qui ne servent plus, et nettoyer les dossiers et les fichiers obsolètes et redondants…Contrôler le disque avec un anti-virus à jour…Vérifier le disque avec SCANDISKDéfragmenter le disqueDésactiver l’écran de veilleFermer les programmes TSRCréer une sauvegardeCréer une disquette de BOOT

L’installation à partir d’une version précédente de WINDOWS est une mise à jour (avec WINDOWS 3.x ou 95)

L’installation à partir d’une version précédente de WINDOWS est une mise à jour.

La mise à jour de WINDOWS 3.x ou WINDOWS 95 ne présente aucune difficulté, puisque le fichier AUTORUN.INF doit lancer le programme d’installation dès que le CDROM d’installation de WINDOWS 98 est inséré dans le lecteur.

Il faut pour cela que la fonction de lancement automatique du lecteur de CDROM ne soit pas désactiver dans le registre avec l’entrée « NoDriveTypeAutoRun » de la clef :

HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\POLICIES\EXPLORER

La restauration de WINDOWS 98 peut être effectuée avec des sharewares…

GOBACK 2.2 qui s’accapare le secteur de démarrage du disque dur et empêche le multibootSECONDCHANCE 2.6CONFIGSAFE 2.0

Le BIOS

Le BIOS est un programme intégré à l’ordinateur

Le BIOS (Basic Input Output System) est un programme de configuration qui permet de démarrer l’ordinateur et de reconnaître les principaux composants matériels. Mais, c’est un programme minimal, de bas niveau, qui ne permet pas à l’utilisateur de piloter l’ordinateur. Pour exploiter les ressources d’un ordinateur, l’utilisateur a besoin d’un système d’exploitation (comme MS-DOS 7.0, WINDOWS 3.x, 95, 98, NT, UNIX, LINUX, OS/2, MAC OS...)

Le BIOS est un programme intégré à l’ordinateur qui effectue des tests (POST) sur les différents composants matériels de l’ordinateur et permet d’initialiser le système. C’est le BIOS qui détermine que l’ordinateur est un « PC IBM compatible ».


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Les trois principaux constructeurs de BIOS sont PHŒNIX, AWARD et AMI.

Les BIOS ne sont jamais les mêmes, la présentation, les rubriques, la dénomination des paramètres et les options changent en fonction du constructeur, de la version du programme et des normes technologiques. Les BIOS évoluent avec les progrès de la technologie et la standardisation des produits, toutefois, les paramètres font toujours référence à des principes et des caractéristiques techniques précises.

Les paramètres du BIOS

Les paramètres du BIOS requièrent de connaître l’anglais informatique, mais un bagage technique et des notions élémentaires doivent suffirent.Les paramètres du BIOS peuvent prendre différentes valeurs :

La valeur « ENABLE » signifie disponible, activéLa valeur « DISABLE » signifie le contraire, indisponible, désactivéLa valeur « AUTO » signifie que le système détermine lui-même la valeur optimale.

Le BIOS est un programme de base qui gère les composants de l’unité centrale, les périphériques et le processus de démarrage :

La configuration des composants de la carte mère (SETUP)La mémoire cache du processeur

La mémoire cache interne (CPU INTERNAL CACHE) ou (FIRST LEVEL CACHE)La mémoire cache externe (PIPELINE BURST) ou (SECOND LEVEL CACHE)

L’utilisation des slots PCI et ISA pour la carte graphique.

La configuration du processus de démarrage (BOOT)La séquence de démarrage (BOOT SEQUENCE).Les tests de control (de la mémoire vive) au démarrage (QUICK POWER ON SELF TEST)La recherche du lecteur de disquette (BOOT UP FLOPPY SEEK)La vérification de la parité de la mémoire vive (MEMORY PARITY / ECC CHECK)

La gestion de la sécurité (SECURITY)Le mot de passe BIOS

Le mot de passe de l’utilisateur (USER PASSWORD)Le mot de passe de l’administrateur (SUPERVISOR PASSWORD)

La gestion de l’alimentation en énergie (POWER MANAGEMENT).Le mode d’économie d’énergie (APM)La mise en veille (STAND BY)

La configuration PLUG&PLAY (PNP)L’allocation des ressources :

Les plages réservées d’accès direct à la mémoire (DMA)Les demandes d’interruptions du processeur (IRQ).

La configuration des périphériquesLa souris (PS/2)Le clavier

La gestion du contrôleur des deux canaux IDE de la carte mère, auxquels sont raccordés les disques durs IDE et les lecteurs de CDROM, qui détermine le maître et l’esclave, le prioritaire et le secondaire et qui s’occupe du mode UDMA...

La configuration des interfaces, ports et autres Entrées-SortiesLes interfaces SERIES

Le port COM 1 paramétré par défaut sur DMA=03F8 et IRQ=04Le port COM 2 paramétré par défaut sur DMA=02F8 et IRQ=03

Le port imprimante (PARALLEL port)LPT1 paramétré par défaut sur DMA=0387 et IRQ=07


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LPT2 paramétré par défaut sur DMA=0278 et IRQ=05L’accélération du port parallèle (PARALLEL port mode)

La valeur par défaut est SPP, sinon EPP ou ECP pour accélérer le débitLe port USB

La mémoire CMOS du BIOS

La mémoire CMOS (Complementary Metal-Oxyde Silicium) du BIOS est alimenté par une petite pile qui permet de conserver les paramètres de configuration du programme BIOS quand l’ordinateur est mis hors tension. Les valeurs des paramètres du programme BIOS sont stockées dans la mémoire CMOS de la carte mère. Les informations contenues dans la mémoire CMOS ne sont pas effacées quand l’alimentation générale de l’ordinateur est arrêtée, une pile longue durée alimente la mémoire CMOS pendant l’arrêt de l’appareil.

En évoluant, les cartes mères peuvent profiter d’une mise à jour du BIOS, il faut pour cela que la mémoire CMOS soit reprogrammable, alors la méthode du FLASH peut lui être appliquée.

L’accès au BIOS (avec les touches F2 ou SUPPR)

Pour accéder au SETUP du BIOS, il faut presser une touche du clavier au démarrage dès que l’écran s’illumine :

F2 pour les BIOS PHŒNIXSUPPR pour les BIOS AWARD et AMI

Le BIOS tunning

Le BIOS tunning qui consiste à optimiser les paramètres du BIOS n’est plus vraiment d’actualité avec les progrès réalisés dans la construction des cartes mères, et la programmation des BIOS propose en général les valeurs par défaut les plus appropriées.

La majorité des paramètres du BIOS sont intéressants quand l’on change les composants internes ou les périphériques d’un ordinateur, quand un conflit intervient dans l’allocation automatique des ressources, ou quand l’on souhaite modifier la gestion de l’alimentation électrique…

Par exemple, l’entrée QUICK POWER ON SELF TEST avec la valeur ENABLE permet de faire l’impasse sur le test de contrôle de la totalité de la mémoire vive qui est effectué au démarrage, ce qui permet de gagner du temps sur la procédure de démarrage ; ce test de contrôle sera d’ailleurs effectué par la suite lors du chargement de WINDOWS…

A la suite de nombreux changements destinés à essayer différentes configurations, il est toujours possible d’effectuer un BIOS reset, c’est à dire de remettre à zéro le BIOS et de rétablir l’ensemble des valeurs par défaut.

La séquence de BOOT du BIOS

Parmi les nombreux paramètres du BIOS, il convient de connaître la séquence de boot.La séquence de boot sert à hiérarchiser les priorités des lettres des lecteurs à partir desquels le BIOS va rechercher les fichiers d’amorçages et les fichiers systèmes pour démarrer le système d’exploitation. Par exemple, une telle séquence peut être la suivante :

En premier le disque dur (C:\) où sont placés les fichiers d’amorçage du système d’exploitation, pour accélérer les démarrages courants…En deuxième la disquette (A:\) pour pouvoir booter sur la disquette de boot en cas de problèmes.En troisième le lecteur de CDROM (X:\) pour éventuellement réinstaller le système d’exploitation à partir du CDROM d’installation de WINDOWS 98.

Pour être en mesure d’utiliser la disquette de boot, il est indispensable que l’ordinateur soit « bootable » à partir du lecteur de disquette (A:\). C’est à dire qu’il faut que le BIOS recherche les fichiers d’amorçage et systèmes en priorité sur le lecteur de disquette. Dans ce cas, il faut vérifier et éventuellement changer la séquence de boot dans le BIOS et placer en tête le lecteur de disquette (A:\).


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Le mot de passe du BIOS

Le mot de passe BIOS permet d’interdire l’accès à l’ordinateur en interrompant la procédure d’amorçage, et de protéger le programme de SETUP. Le mot de passe BIOS est très difficile à contourner puisqu’il s’enregistre dans le BIOS, qui est lui-même conservé dans un composant mémoire spécial, le CMOS, situé sur la carte mère.

Les carte mères sont dotées de cavaliers ou d’un interrupteur DIP qu’il faut basculer quelques instants pendant la phase d’amorçage afin d’éviter la demande de mot de passe BIOS. Un autre moyen de contourner le mot de passe BIOS consiste à prendre le risque de retirer la petite batterie d’alimentation électrique pendant quelques secondes afin de vider les paramètres systèmes, comme le mot de passe BIOS et selon les modèles, les paramètres du disque dur (qui devront être retrouvés sur le site INTERNET du constructeur) ; ainsi les valeurs par défaut du constructeur sont d’office réactivées. Si la pile est soudé, il faudra utiliser le fer à souder d’un électricien à faible température, sinon…

Le DOS

Une version du DOS est disponible dans le CDROM d’installation de WINDOWS 98

Avec WINDOWS 98, la version du DOS s’appèle [WINDOWS 98], et certaines commandes du DOS ne fonctionne pas. Le CDROM d’installation de WINDOWS 98 contient quelques-uns uns des programmes du DOS dans le répertoire suivant :

C:\CDWIN98\TOOLS\OLDMSDOS

Le DOS est un système d’exploitation mono tâche

Le DOS (Disk Operating System) permet de gérer les fichiers enregistrés sur le disque dur, comme son nom le suggère, mais aussi, comme tout système d’exploitation, il permet de gérer les composants matériels internes et externes d’un ordinateur. L’utilisateur communique avec sa machine par l’intermédiaire du DOS. Le DOS interprète les commandes saisies par l’utilisateur.Le DOS a été développé par la société IBM (International Business Machine).Le DOS est l’antique système d’exploitation des premiers PC (Personnel Computer pour désigner les micro-ordinateurs commercialisés par IBM). Le système d’exploitation DOS de la société IBM s’est dénommé PC-DOS avec les ordinateurs PC, puis il s’est appelé PS-DOS avec la nouvelle gamme d’ordinateurs PS (Personnel System).

Le DOS a été récupéré par la société MICROSOFT (Contraction de Micro et de Software).Les version du DOS qui ont développé par la société MICROSOFT se dénomment MS-DOS.

Le DOS est un système d’exploitation mono tâche, c’est à dire qu’il ne peut exécuter qu’un seul programme en même temps. La plus part des versions du DOS sont limités à un adressage mémoire de 640 Ko (640 Ko de mémoire conventionnelle).

En 1987, un nouveau système d’exploitation pour PC, l’OS/2 bien que très proche du DOS vient le concurrencer. L’OS/2, conçu pour les processeur 286 et 386, peut adresser la mémoire étendue au-delà de 1 Mo, et la mémoire supplémentaire autorise le travail multitâches intégré en mode protégé. L’OS/2 est un système d’exploitation qui travail en « mode protégé », c’est à dire que le système d’exploitation effectue une gestion de la mémoire vive, l’allocation et l’utilisation de la mémoire est surveillée pour qu’il n’y ait pas de conflit entre différents programmes. L’OS/2 introduit la « mémoire virtuelle », qui simule sur le disque dur une extension de la mémoire vive. L’OS/2 permet également de travailler en « mode réel », afin de rester compatibles avec toutes les applications qui tourne sur DOS (mais l’adressage est limité à 640 Ko). Le démarrage d’un ordinateur peut être configurer en « dual BOOT », ce qui permet de passer facilement de MS-DOS à l’OS/2. En 1988, la deuxième sortie de l’OS/2 version 1.1 intègre une interface graphique, Presentation Manager, qui ressemble à WINDOWS 3.1.

Les différentes versions du DOS…

Le DOS a évolué avec le temps, et il se présente sous différentes versions :


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La version DOS 1.0 acceptait des disques de 320 Ko.La version DOS 2.0 introduit les disques de 360 Ko.La version DOS 3.0 innove avec les disques de haute capacité de 5 ¼ pouces de diamètres.

La version DOS 5.0 proposent une amélioration de l’interface avec le SHELL.

La version 6.21 est la dernière mouture du DOS parce que désormais plus personne ne veut avoir à faire à un écran noir, ni à des lignes de commande absconses. WINDOWS 98 SE (Second Edition) est la dernière version du système d’exploitation de MICROSOFT à s’appuyée sur le DOS. La nouvelle version, WINDOWS ME (Millenium), s’est complètement débarrassée du DOS…

Le DOS est constitué de trois fichiers principaux, IO.SYS, MSDOS.SYS et COMMAND.COM …

Le système d’exploitation DOS est constitué de trois fichiers :

IO.SYSMSDOS.SYSCOMMAND.COM

Les fichiers IO.SYS et MSDOS.SYS sont enregistrés sur la première piste de la disquette de BOOT, ce sont des fichiers cachés qui une fois chargés en mémoire vive permettent de charger le fichier COMMAND.COM. Ensuite, sont exécutés les fichiers CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT qui permettent de configurer le système.

Les fichiers IO.SYS et MSDOS.SYS gèrent le dialogue entre les matériels (Hardware) et les logiciels (Software), tandis que le fichier COMMAND.COM est le programme qui interprète les commandes saisies par l’utilisateur, c’est « l’interpréteur de commandes ».

Certains fabricants fournissent avec leur matériel le système d’exploitation DOS, et certains programmes supplémentaires qui sont en relation spécifiques avec leur matériel.

L’interpréteur de commande

Le programme COMMAND.COM est « l’interpréteur de commande » du DOS.COMMAND.COM renferme des routines qui permettent d’effectuer des opérations simples et courantes sur les fichiers, comme copier (COPY), effacer (DEL), renommer (REN), afficher (DIR), etc.…

Ces commandes courantes sont appelées des « commandes internes » parce qu’elles font parties de COMMAND.COM, lequel reste chargé en mémoire vive.

Les autres commande du DOS, comme FORMAT.COM ou DISKCOPY.COM, sont dites « commandes externes » car il faut les charger en mémoire vive. Les commandes externes sont des programmes qui sont fournis avec le DOS et qui effectuent des opérations complexes et plus rares. Pour exécuter une commande externe, il faut se situer dans le répertoire où se trouve le programme, ou dans un des répertoires qui est spécifié par la commande PATH du fichier système AUTOEXEC.BAT.

Quand un commande est saisie à partir du prompt, l’interpréteur de commande vérifie la bonne syntaxe de la commande, et si c’est une commande interne, il l’exécute, si c’est une commande externe, alors l’interpréteur de commande recherche un fichier exécutable (.EXE, .COM, .BAT) qui porte le même nom que la commande saisie, et s’il le trouve l’exécute.

Les commandes « internes » de COMMAND.COMBREAK CD ou CHDIR CHCP CLS COPY CTTYDATE DEL DIR ERASE MD ou MKDIR PATHREN RM ou RMDIR SET TIME TYPE VERVERIFY VOL

Les commandes « externes » à COMMAND.COMBACKUP CHKDSK COMP DISKCOMP DISKCOPY FDISKFIND FORMAT GRAPHICS mode PRINT RECOVER


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RESTORE SORT SYS TREE XCOPY PARK

Les fichiers qui portent l’extension .EXE, .COM et .BAT sont directement exécutables et n’ont pas besoin d’être suivis de leur extension pour être lancés. L’utilisateur saisie la commande à partir du prompt et valide sa saisie en appuyant sur la touche ENTREE. Si le répertoire actif, n'est pas celui qui contient la commande, alors, soit l’utilisateur change de répertoire actif, soit il saisie le chemin complet de la commande.

Quand la syntaxe de la commande n’est pas bonne ou quand l’interprétateur de commande n’a pu trouver la commande externe ou le fichier batch, alors il affiche à l’écran un message d’erreur puis le de nouveau le prompt :

« Nom de commande ou de fichier incorrect »

L’invite de commande du DOS

Une fois démarré, le système d’exploitation attend l’intervention de l’utilisateur et présente l’invite de commande (le prompt) à partir de laquelle l’utilisateur va pouvoir saisir des lignes de commandes…

Le DOS ne fait pas la différence entre les lettres majuscules et les lettres minuscules pour identifier un lecteur, ou une commande...

L’invite de commande présente l’unité de disque active (autrement dit unité de disque par défaut) :

Pour le premier lecteur de disquette :

A:>A:\>

Pour la racine du premier lecteur de disque dur :

C:>C:\>

Les lecteurs de disquette sont identifiés par les deux premières lettres de l’alphabet qui leurs sont réservées (A:) et (B:), tandis que les lettres suivantes (C :), (D :) identifient les lecteurs de disque qui sont présents (par exemple un disque dur formaté en deux partitions, ou deux disque dur), le lecteur de CDROM utilise la lettre suivante (F :).

Une unité de disque ou autrement dit un lecteur est identifié par une lettre de l’alphabet (de A à Z, soit 26 possibilité…), et pour différencier le lecteur de la lettre proprement dite, un caractère de ponctuation (celui des deux points (:)) a été choisi pour les distinguer. Les deux points sont placés juste après la lettre et surtout sans espace…

Le caractère « Anti-Slash » (\) indique le niveau hiérarchique du lecteur (la racine ou un des répertoires du lecteur actif), et le caractère « supérieur » (>) montre qu’il s’agit de l’invite de commande.

Pour changer le lecteur actif, il suffit de saisir, à la suite de l’invite de commande, la lettre du lecteur souhaité avec ses deux points et de valider la commande en appuyant sur la touche ENTREE :

A:\>C:C:\>A :A:\>

L’apparence de l’invite de commande peut être changé avec la commande PROMPT…

La règle des 8.3 pour nommer les fichiers et les répertoires


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La règle des 8.3 spécifie que les noms de fichiers et les noms des répertoires sous DOS ne doivent pas excédés huit caractères alphanumériques, et qu’ils portent une extension facultative de trois caractères au maximum:

ABCDEFGH.XYZ

Comme le DOS est un produit de la culture anglo-saxonne, les caractères accentués sont rigoureusement interdits pour nommer un fichier. Les noms que se réserve le DOS pour identifier les périphériques (LTP1, LTP2, LTP3, PRN, AUX, COM1, COM2, CLOCK$, CON, NUL, Etc…), comme les noms des commandes du DOS ne peuvent être choisis comme nom de fichier sans occasionner de confusion, ils sont donc également prohibés.Enfin le caractère vide le la barre d’espace ne peut être employé pour nommer un fichier parce que c’est le caractère de séparation…

Les caractères autorisés par le DOS sont les suivants :

Les caractères autorisés par le DOSNom Caractère

Les chiffres De 0 à 9Les lettres majuscules De A à ZLes lettres minuscules De a à zLe ET commercial &Le tilde ~Le dièse #Le A commercial @Le pourcentage %Les parenthèses ( et )Le tiret ou le signe négatif -Les accolades { et }Le soulignement ou underscore en anglais _L’apostrophe ‘L’accent circonflexe ^Le dollar $

Les jokers sont des caractères génériques (« ? » et « * »)

Les jokers sont des caractères utilisés pour remplacer certaines lettres d’un nom de fichier, pour par exemple effectuer une recherche large :

Le point d’interrogation ( ?) remplace un caractère quelconque.L’Astérix (*) remplace une « chaîne de caractère » ou autrement dit un ou plusieurs caractères quelconques qui se suivent.

Les jokers sont des caractères qui ne peuvent pas être utilisés pour nommer un fichier. Par contre, les jokers peuvent être utilisés dans le nom d’un fichier quand celui-ci fait partie d’une ligne de commande DOS.

Par exemple, l’expression « *.* » correspond à tous les fichiers quels que soient leur nom ou leur extension…Par exemple, l’expression « DURAN ? » correspond aussi bien au nom de « DURANT » que celui de « DURANT », ou même « DURANx »…

Le chemin d’accès au fichier

Le chemin d’accès au fichier (PATH en anglais) est l’adresse absolue d’un fichier.Le chemin d’accès au fichier commence part la lettre du lecteur (le répertoire racine (ROOT en anglais) ou le répertoire principal), puis par les noms de répertoires, et enfin le nom du fichier :

LECTEUR + REPERTOIRES + FICHIER

c:\dossier1\dossier2\fichier.ext


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L’adresse relative d’un fichier dépend du niveau du répertoire actif de l’invite de commande. Il n’est pas nécessaire d’indiquer l’adresse absolue quand celle-ci est contenue à l’intérieur du répertoire actif de l’invite de commande.

Le caractère de la barre oblique inversée (\) employé au début d’un chemin d’accès correspond à la racine du lecteur. Il est souvent utilisé pour éviter d’écrire le nom complet (C:\) ou (D:\).

Le chemin d’accès d’un fichier peut contenir jusqu’à 66 caractères.

La structure d’un lecteur s’appèle une arborescence, et représente la succession et l’imbrication des différents répertoires qui y sont contenus. La commande TREE.COM permet d’afficher l’arborescence d’un lecteur.

Un répertoire contient toujours au moins deux autres répertoires qui sont créés en même temps:

Le répertoire désigné par un seul point (.) et qui représente le répertoire lui-même.Le répertoire désigné par deux points en ligne (..) et qui représente le répertoire parent.

Les commandes du DOS ont évoluées avec les différentes versions du système d’exploitation

Les commandes DOS ont évoluées avec les différentes versions du système d’exploitation DOS. Les commandes du DOS, leur syntaxe et leur champ d’application peuvent variés d’une version à une autre…

En général, la syntaxe d’une commande DOS est la suivante :

PROMPT + CHEMIN + COMMANDE + CHEMIN + COMMUTATEUR

Une ligne de commande se doit dans l’absolue de spécifier à la fois le chemin ou se trouve la commande et/ou le chemin ou doit s’appliquer la commande.Le plus simple est de se situer dans le répertoire ou doit s’appliquer la commande, et d’enregistrer toutes les commandes dans un même répertoire (répertoire qui est identifié avec la ligne PATH du fichier AUTOEXEC.BAT).En pratique, tout dépend du répertoire actif, du lieu ou se trouve la commande et de la façon de l’appliquer…

Les commandes DOS sont des abréviations de mots anglo-saxons…La touche F3 permet d’afficher la dernière commande qui a été effectuée.

Les commandes DOS peuvent être accompagnées de clefs (appelées commutateurs).Les commandes DOS ont toutes un commutateur d’aide (/ ?) qui permet d’afficher une explication sur la façon d’utiliser la commande comme la syntaxe de la commande, c’est l’aide qui correspond à la commande FASTHELP.

Le DOS version 6 dispose de plus d’une centaine de commandes.Toutes les commandes du DOS sont expliquées et commentées dans le programme d’aide HELP.COM…

Certaines commandes peuvent être utilisées à la fois à partir de l’invite de commande (le prompt), et comme instructions de configuration dans le fichier CONFIG.SYS ou dans des fichiers « BATCH ».

Les fichiers « BATCH »

Les fichiers « BATCH » sont des fichiers qui portent l’extension .BAT. Les fichiers « BATCH » sont des mini programmes qui permettent de lancer une succession de commandes DOS, ce sont des « programmes de traitement par lots ».

Les fichiers « BATCH » peuvent être appelés par leur nom depuis l’invite de commande du DOS, et comme ils peuvent contenir plusieurs lignes de commande, cela est très utile pour gagner du temps. Les successions de commandes qui se répètent souvent peuvent être écrites dans un éditeur, le fichier peut ensuite être enregistré avec l’extension .BAT ; après cet investissement, il suffit de saisir le nom du fichier, pour que la suite de commandes qui s’y trouve soit automatiquement exécutées. Il est même possible, avec la commande CALL, d’appeler un autre fichier « BATCH » à l’intérieur d’un fichier « BATCH »…


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Des fichiers « BATCH » peuvent être créés pour différentes raisons…Les fichier « BATCH » sont simplement des fichiers texte ou autrement dit des fichiers ASCII, ils peuvent être modifiés dans n’importe quel traitement de texte, mais doivent être impérativement enregistrés « en mode texte » (ou en mode « ASCII », ou en mode « non structuré ») avec l’extension .BAT.

Les fichiers enregistrés en mode texte (qui portent généralement l’extension .TXT) sont des fichiers qui ne comportent que des caractères ASCII, des caractères provenant du clavier, sans mise en page, ni gras, ni italique, ni centrage, ni taille, ni marges…Ainsi, les fichiers ASCII peuvent être lus sur tous les ordinateurs (le fichier peut être lu sans avoir le traitement de texte qui a permis de le créer…)

Quand une ligne de commande commence par les lettres REM (pour REMarque), alors la ligne ne sera pas exécuter, elle sera cependant afficher comme une remarque.

Pour créer un menu d’ouverture regroupant tous les noms des fichiers « BATCH » qui ont été créés et les programmes qui ont été installés

Un fichier « BATCH » peut être utilisé pour répertorier les différents fichiers « BATCH » qui ont été créés, ainsi que les commandes correspondants aux différents programmes qui ont été installés, afin non seulement de se souvenir de leur nom, mais éventuellement aussi d’en faire un « menu de départ », qui s’affichera dès le démarrage du système. Pour faire d’un fichier « BATCH », une commande qui appellera le « menu d’ouverture », il faut placer son nom à la fin du fichier AUTOEXEC.BAT.

La procédure à suivre pour créé un menu d’ouverture s’effectue en plusieurs étapes :

Dans un premier temps, il faut créer le répertoire (C:\BATCHS) qui accueillera tous les fichiers « BATCH » dont celui qui permettra d’appeler le fichier « TEXTE » qui listera les noms des fichiers « BATCH » et les noms des programmes :

C:\>md c:\batchs

Dans un deuxième temps, il faut créer le fichier « BATCH » (MENU.BAT) qui permettra d’afficher le fichier « TEXTE » (BAT&PROG.TXT) qui lui correspondra au « menu d’ouverture » (et dans lequel seront enregistrés tous les noms des fichiers « BATCH » et tous les noms des programmes):

Ouvrir un éditeur de texte ASCIISaisir les lignes de commandes suivantes :

ECHO OFFCD \CLSTYPE C:\BATCHS\BAT&PROG.TXTECHO ON

Enregistrer le fichier « BATCH » (MENU.BAT) en mode texte (ASCII), et avec l’extension .BAT dans le répertoire (C:\BATCHS) :

C:\BATCHS\MENU.BAT

Dans un troisième temps, il faut créer le fichier « TEXTE » (BAT&PROG.TXT) qui listera tous les fichiers « BATCH » et tous les programmes :

Ouvrir un traitement de texteSaisir la liste de tous les fichiers « BATCH » et tous les programmes :

*****Bonjour et bienvenu dans le menu*****

Voici les commandes à saisir à partir de l’invite de commande : « C:\ »

WINWORD pour lancer le traitement de texte (C:\word\winword.exe)LOTUS pour lancer le tableur (C:\lotus\lotus.exe)


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ZBABAZ pour exécuter notre fichier « BATCH » qui fait des miracles (C:\batchs\zbabaz.bat)Etc…

Enregistrer le fichier « TEXTE » (BAT&PROG.TXT) avec l’extension .TXT dans le répertoire des fichiers « BATCH » (C:\BATCHS) :

C:\BATCHS\BAT&PROG.TXT

Dans un quatrième temps, il faut référencer le répertoire des fichiers « BATCH » (C:\BATCHS) dans le PATH du fichier AUTOEXEC.BAT :

Ouvrir le fichier AUTOEXEC.BAT avec un éditeurChercher la ligne de commande PATH et placer après la racine le répertoire des fichiers « BATCH » (C:\BATCHS), séparé des autres répertoires par des points-virgules :

PATH C:\ ;C:\BATCHS ;C:\DOS ;C:\WINDOWS

Enfin, il faut placer la commande MENU à la fin du fichier AUTOEXEC.BAT afin qu’elle soit exécutée (MENU.BAT) à la fin de la procédure de démarrage et qu’elle affiche le « menu d’ouverture » (BAT&PROG.TXT) :

Ouvrir le fichier AUTOEXEC.BAT avec un éditeurPlacer la commande MENU sur la dernière ligne de commande :

MENU

Pour afficher le « menu d’ouverture » à partir du prompt et/ou à n’importe quel moment, il suffit de saisir la commande MENU:

C:\menu

Pour créer un fichier « BATCH » à partir du prompt du DOS (avec la commande COPY CON:)

Attention, la commande « COPY CON:fichier.TXT » efface tout le contenu du fichier.

Il faut se placer dans le DOS, et particulièrement dans le répertoire dans lequel on souhaite enregistrer le fichier « BATCH ».

C:\>

Il faut signifier au système que l’on souhaite copier un texte (COPY) qui sera saisie à partir du clavier (CON pour « console ») et qui sera enregistré dans un fichier (lequel fichier s’ouvrira et en fin de procédure sera enregistré dans le répertoire actif du prompt (C:\>)) sous un certain nom ( :fichier.BAT) :

C:\>copy con:fichier.bat

Il faut ensuite saisir les lignes de commande que l’on souhaite :

Par exemple, pour situer le prompt dans un dossier particulier, puis lancer le logiciel C:\WORD\WORD.EXE afin que le document WORD soit enregistré par défaut dans ce dossier particulier, puis faire revenir le prompt à la racine :

CD C:\WORD\COURRIERC:\WORD\WORD.COMCD \


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Enfin, il faut loger un repère de fin de fichier (F6 qui fait apparaître les caractères « ^z » qui signifient CTRL + Z) et valider l’enregistrement du fichier « BATCH » (ENTREE qui fait réapparaître le prompt) :

F6 + ENTREE

Le signe « : » dans « copy con:fichier.bat » peut être replacé par un espace.En affichant le contenu de « fichier.bat », le signe de fin de fichier (« ^z ») n’est pas visible mais bien présent (c’est un code qui est systématiquement créer par l’éditeur ou le traitement de texte pour marquer la fin du fichier)…

Une autre façon de procéder est d’ajouter une ligne de commande, sans effacer tout le contenu du fichier, cela est particulièrement utile quand l’on ne dispose pas du programme EDIT pour éditer un fichier, et que l’on souhaite ajouter une ligne à un fichier sans pour autant devoir recopier l’intégralité du fichier, comme AUTOEXEC.BAT par exemple:

C:\>copy autoexec.bat+con:autoexec.bat

Apparaissent alors les caractères suivants à la suite desquels il suffit de saisir la ligne de commande supplémentaire (puis presser la touche F6 ou CTRL + Z pour fermer le fichier):

AUTOEXEC.BATCON

La commande DIR

La commande DIR (pour DIRECTORY) permet d’afficher la liste des répertoires et des fichiers qui sont contenus dans le répertoire actif à partir duquel est effectué la commande.

La commande DIR affiche par défaut un nombre de 25 lignes, et la touche PAUSE ne permet pas toujours d’interrompre le défilement des lignes au bon endroit.

Pour afficher les répertoires et les fichiers de la racine du lecteur actif :

C:\>dirC:\DOSSIER1>dir \

Pour afficher les répertoires et les fichiers de la racine d’un autre lecteur :

A:\>dir c:C:\>dir a:

La commande DIR et ses commutateurs :

DIRDIR /WDIR /P

Exemple d’utilisation de la commande DIR du DOSCommande Résultat Fonction

C:\>dir Liste des répertoires et des fichiers Information complèteC:\>dir /w Affiche seulement les noms Information sur cinq colonnesC:\>dir /p Affiche page par page Défilement en mode PAUSEC:\>dir /ad Affiche seulement les répertoires Sélectionner l’affichageC:\>dir /a-d Affiche tout sauf les répertoires Sélectionner l’affichageC:\>dir /O Affiche par Ordre alphabétique Trier l’affichage

La commande DIR affiche :

Le label du volume (le nom du lecteur s’il a été baptisé…)


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Le numéro de série du volume attribué automatiquement et aléatoirement par le système à chaque unité de disque lors de son formatage.Le nom des répertoires et des fichiersL’extension des répertoires et des fichiersLa qualité de répertoire (<REP>)La quantité d’octets occupée par les fichiersLa date et l’heure de création des répertoires et des fichiersLe nombre total de fichierLe nombre total d’octets utilisésLe nombre total d’octets encore disponible sur le volume

La commande CD La commande CD (pour CHANGE DIRECTORY) suivie du nom de répertoire permet de changer de répertoire actif :

La commande CD peut aussi s’écrire CHDIR.

Le DOS mémorise le dernier répertoire d’un lecteur qui a été actif, en changeant de lecteur, puis en revenant dans celui-ci, l’invite de commande présentera le dernier répertoire actif de ce lecteur.

La commande CD et ses commutateurs :

CDCD..CD \

Exemples d’utilisation de la commande CD du DOSCommande Résultat Fonction

C:\>cd dossier1\dossier2 C:\dossier1\dossier2\> Descendre de deux niveauxC:\dossier1\dossier2\>cd \ C:\> Remonter à la racineC:\dossier1\dossier2\>cd.. C:\dossier1\> Remonter d’un niveau

La commande SUBST…

La commande SUBST (pour SUBSTITUTION) permet de substituer le chemin d’un répertoire par une lettre de lecteur.

La commande SUBST s’applique au lettre de lecteur inutilisés de A à E ; pour bénéficier de toutes les lettres de l’alphabet, il faudra peut-être rajouter la commande « LASTDRIVE=Z » dans le fichier CONFIG.SYS.

Pour attribuer la lettre (X) au répertoire « C:\DOSSIER1\DOSSIER2 » :

C:\>subst x: c:\dossier1\dossier2

Une fois la substitution réalisée, il suffira de saisir la lettre (X:) pour activer le dossier « C:\DOSSIER1\DOSSIER2 » :

C:\>x:

Pour se remémorer les substitutions qui sont active, il suffit de saisir la commande SUBST :

C:\>subst

La commande SUBST et les différentes correspondances de répertoires peuvent être inscrites dans le fichier AUTOEXEC.BAT afin qu’elles soient effective à chaque démarrage.

Pour restituer la lettre (D) au lecteur, et désengager la substitution pour le répertoire « C:\DOSSIER1\DOSSIER2 » :


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C:\>subst d: d\

La commande MD

La commande MD (pour MAKE DIRECTORY) permet de créer un répertoire dans le répertoire actif à partir duquel est effectué la commande.

La commande MD peut aussi s’écrire MKDIR.

Pour créer un répertoire TEMP à la racine de (C:\), il faut saisir la commande :

C:\>md temp

La commande RD

La commande RD (pour REMOVE DIRECTORY) permet de supprimer un répertoire, à condition que le répertoire actif ne soit pas celui que l’on essaye de supprimer (il vaut mieux se placer dans le répertoire parent), à condition que le répertoire que l’on souhaite supprimer soit totalement vide.

La commande RD peut aussi s’écrire RMDIR.

Pour supprimer le répertoire TEMP à la racine de (C:\), il faut saisir la commande :

C:\>rd temp

La commande FORMAT

La commande FORMAT permet de formater une unité de disque, que ce soit une disquette ou un lecteur.

Le formatage efface les données, mais dans le cas des disquettes, le DOS vérifie le format, puis enregistre la table d’allocation des fichiers (s’il elle existe) à la fin de la disquette avant d’initialiser une nouvelle table vierge, ainsi, avec la commande UNDELETE, il sera possible de restituer la table d’origine et de pouvoir accéder de nouveau aux fichiers que la disquette contenait (si aucune données n’a été inscrite entre temps…)

Pour formater une disquette (il faut introduire une disquette de 3.5 pouces dans le lecteur de disquette), ou un lecteur (D:):

C:\>format a:C:\>format d:

Pour formater un lecteur (une disquette) et lui attribuer un nom de volume (patrick) en même temps :

C:\>format a: /v:patrick

La procédure de formatage terminée, le DOS affiche un compte-rendu avec éventuellement le nombre de secteurs défectueux.

Il est possible de formater une disquette de 3.5 pouces (dont la capacité est maximale est normalement de 1.44 Mo) pour une capacité de 720 Ko (qui est l’ancienne capacité de la disquette de 3.5 pouces). Pour cela il faut saisir la commande FORMAT avec, selon les versions du DOS, les commutateurs suivants :

Pour le DOS 3.xx :

C:\>format a: /n:9

Pour le DOS 4.xx :

C:\>format a: /f:720


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La commande FORMAT permet également de créer un disquette d’amorçage (disquette de BOOT) qui contient les fichiers systèmes suivants :

Les fichiers systèmes d’une disquette de BOOT du DOSLe DOS de MICROSOFT Le DOS d’IBM

IO.SYS IBMIO.SYSMSDOS.SYS IBMMDOS.SYSCOMMAND.COM COMMAND.COM

Les fichiers systèmes (IO et MSDOS) doivent être impérativement enregistrés sur la première piste du disque d’amorçage (le disque bootable, en l’occurrence la disquette de BOOT). C’est pourquoi, l’on ne peut les charger que sur un disque vierge après formatage. Ces deux fichiers systèmes (IO et MSDOS) ne sont pas listés par la commande DIR…

La disquette de BOOT doit rester vierge afin d’accueillir les fichiers systèmes (IO et MSDOS).Le DOS version 6 occupe 184 320 Octets.

Pour formater une disquette et y enregistrer les fichiers systèmes, il faut utiliser le commutateur (/S) :

C:\>format a: /s

La commande SYS

La commande SYS (pour SYSTEM) permet d’enregistrer les fichiers systèmes du DOS (IO.SYS, MSDOS.SYS et COMMAND.COM) sur une disquette qui est déjà formatée.

Pour enregistrer les fichiers systèmes, c’est à dire créer une disquette de BOOT, avec une disquette formatée, mais vierge (il ne faut pas que la disquette est enregistrée de fichiers) :

C:\>sys a:

La commande LABEL

La commande LABEL permet d’attribuer ou de changer le nom d’un volume (d’un lecteur) :

Pour donner un nom de volume à un lecteur, il faut se placer sur le lecteur en question :

C:\>labelC:\>label a:patrick

La commande DISKCOPY

La commande DISKCOPY permet de dupliquer le contenu d’une disquette (source) vers une autre disquette (cible).La commande DISKCOPY ne fonctionne qu’avec des disquettes de même format.

Pour dupliquer une disquette avec un seul lecteur de disquette :

C:\>diskcopy a: a:

Pour copier la disquette du lecteur A:\ vers la disquette du lecteur B:\ :

C:\>diskcopy a: b:

Après avoir valider la ligne de commande, le programme DISKCOPY demande la disquette source et commence à copier tout ou partie de la disquette (les 18 secteurs des 80 pistes des 2 faces), puis le programme demande la disquette cible et commence à recopier, et de nouveau de mande la disquette source, puis le disquette cible jusqu’à la duplication de la totalité de la disquette source.

Quand la disquette cible n’est pas formaté, DISKCOPY s’en occupera.


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La commande DISKCOPY fonctionne aussi avec une disquette source qui est une disquette d’amorçage.

Le programme DISKCOPY peut vérifier pendant la duplication si celle-ci est identique à l’original :

C:\>diskcopy a: a: /v

La comparaison de la copie avec l’original s’effectue immédiatement après la recopie d’une séquence, mais cette vérification consiste en des calculs spécifiques de conformité et non à une comparaison caractère par caractère. Pour effectuer une comparaison caractère par caractère, il faut utiliser la commande DISKCOMP.

La commande DISKCOMP

La commande DISKCOMP permet de comparer le contenue de deux disquettes.La commande DISKCOMP ne fonctionne qu’avec des disquettes et de même format.La commande DISKCOMP compare au caractère près :

C:\>diskcomp a: a:

La commande COPY

La commande COPY permet de copier un fichier d’un endroit vers un autre.

La commande COPY ne permet pas de copier un seul fichier sur plusieurs disquettes. Le fichier copié avec la commande COPY doit être inférieur à la capacité maximale de la disquette (1.44 Mo).La commande COPY ne copie que les fichiers du répertoire actif (pas les sous-répertoires). Pour copier plusieurs niveaux de l’arborescence, il faut utiliser la commande XCOPY.

La commande COPY est normalement suivie du nom du fichier source et du nom du répertoire de destination.

La syntaxe de la commande COPY dépend du répertoire actif de l’invite de commande. Si le répertoire actif de l’invite de commande contient le fichier à copier, alors il n’est pas nécessaire de saisir le chemin complet d’accès au fichier ; à contrario, il est préférable de saisir le chemin complet du répertoire de destination afin d’éviter toutes confusions possible avec un autre répertoire qui porterait le même nom…

Exemple d’utilisation de la commande COPY du DOSCommande Fonction

C:\DOSSIER1>copy fichier1.ext a: Copie « c:\dossier1\fichier1.ext » sur la disquetteC:\>copy dossier1\fichier1.ext a: Copie « c:\dossier1\fichier1.ext » sur la disquetteC:\>copy \dossier1\fichier1.ext a: Copie « c:\dossier1\fichier1.ext » sur la disquetteA:\>copy c:\dossier1\fichier1.ext Copie « c:\dossier1\fichier1.ext » sur la disquetteD:\>copy c:\dossier1\fichier1.ext a: Copie « c:\dossier1\fichier1.ext » sur la disquetteC:\>copy c:\dossier1\fichier1 a: /v Copie avec vérification

Il est possible de copier plusieurs fichiers en même temps, en utilisant les jokers :

C:\>copy fichier ?.ext a:C:\>copy fich*.* a:C:\>copy fichier ?. ? ? ? a:C:\>copy fichier ?.* a:C:\>copy *.ext a:

Il est possible de comparer les fichiers copiés pendant la procédure de copiage afin de vérifier s’ils sont bien identique :

C:\>copy c:\dossier1\fichier1 a: /v

Comme avec la commande DISKCOPY, la commande COPY, utilisée avec le commutateur (/V), ne compare pas les fichiers copiés au caractère près, mais effectue une somme de test…


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Attention, lors d’une procédure de copiage, s’il se trouve un fichier dans le répertoire de destination qui porte le même nom et la même extension que le fichier source, alors le contenu de celui-ci sera remplacé. La commande COMP

La commande COMP (pour COMPARE) permet de comparer ce qui a été copié d’un endroit vers un autre.La commande COMP compare la taille des fichiers, puis compare caractère par caractère le ou les fichiers qui ont été copiés :

C:\>comp c:\dossier1\fichier1.ext a:\fichier1.ext

La commande XCOPY

La commande XCOPY permet non seulement de copier des fichiers d’un endroit vers un autre (comme la commande COPY), mais aussi de copier un répertoire ainsi que tous les sous-répertoires qui s’y trouvent.

La commande XCOPY est une commande « externe ».

La commande XCOPY est plus rapide que la commande COPY (quand plusieurs fichiers sont à copier) parce qu’elle effectue la lecture de tous les fichiers à copier, puis effectue l’enregistrement de tous les fichiers, tandis que la commande COPY effectue la lecture d’un fichier puis son enregistrement, et ainsi de suite...

La commande XCOPY et son commutateur (/S) permettent de copier un répertoire ainsi que tous les sous-répertoires qui s’y trouvent :

C:\>xcopy c:\dosssier1 a: /s

Le commutateur (/M) de la commande XCOPY permet d’effectuer des sauvegardes sélectives en tenant compte de l’attribut « archive » des fichiers. L’attribut d’archive des fichiers est désactivé quand le fichier a été sauvegardé, et dès qu’un fichier est modifié, son attribut d’archive est activé.

Pour sauvegarder sur disquette (A:) tous les fichiers (*.*) de tous les répertoires (/S), mais seulement les fichiers dont l’attribut d’archive est actif (/M) :

C:\>xcopy *.* a: /s/m

Pour effectuer une sauvegarde complète avec XCOPY, il faut que l’attribut d’archive de tous les fichiers soit activé, puis effectuer une copie de tous les fichiers de tous les répertoires qui ont l’attribut d’archive actif mais sans modifier l’attribut d’archive avec le commutateur (/A) qui ne change pas le bit d’archive :

Dans un premier temps, il faut activer l’attribut d’archive (+A) de tous les fichiers (C:\*.*):

C:\>attrib +a c:\*.*

Dans un deuxième temps, il faut copier tous les fichiers (C:\*.*), dont l’attribut d’archive est actif (/A), de tous les répertoires (/S) sur plusieurs disquettes (A:), mais en ne modifiant pas l’attribut d’archive avec le commutateur (/A) qui ne change pas le bit d’archive :

C:\>xcopy c:\*.* a: /s/a

Pour éventuellement, ne pas sauvegarder certains dossiers, il est possible de jouer sur l’attribut d’archive, en activant tous les fichiers de tous les répertoires, puis en désactivant l’attribut d’archive de tous les fichiers de certains répertoires.

La commande DEL

La commande DEL (pour DELETE) permet d’effacer un fichier.Les commandes DEL et ERASE ont la même fonction.


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Pour détruire un fichier, il faut non seulement être sûr de vouloir l’effacer, mais aussi de fournir le nom et son extension :

C:\>del c:\dossier1\fichier1.ext

Pour supprimer tous les fichiers d’un répertoire :

Soit on se place dans le répertoire :

C:\DOSSIER1>del *.*

Soit on se place dans le répertoire parent :

C:\>del dossier1

La commande DEL ne supprime pas les répertoires, il faut pour cela utiliser la commande RD (REMOVE DIRECTORY). Ainsi, la suppression d’un répertoire et de son contenu s’effectue en deux temps, d’abord il faut supprimer tous les fichiers du répertoire avec la commande DEL, puis supprimer le répertoire avec la commande RD.

La commande MOVE

La commande MOVE permet de déplacer un fichier (ou plusieurs). La commande MOVE permet également de renommer le fichier pendant qu’il est déplacé. La commande MOVE permet enfin de renommer un répertoire.

Pour déplacer un fichier :

C:\DOSSIER1> move fichier1.ext a:

Pour déplacer un fichier et le renommer dans le répertoire de destination :

C:\DOSSIER1> move fichier1.ext a:\fichier2.ext

Pour déplacer plusieurs fichiers, il suffit de séparer les fichiers sources par des virgules :

C:\DOSSIER1> move fichier1.ext,fichier2.ext a:

Pour renommer un répertoire :

C:\>move \dossier1 \dossier2

La commande UNDELETE

La commande UNDELETE permet de récupérer un fichier qui vient juste d’être effacé.

Pour récupérer un fichier effacé, il faut se placer dans le répertoire où il se trouvait et suivre les instructions du programme (notamment il faut saisir l’initiale du fichier effacé qui a été remplacée par un point d’interrogation) :

C:\>undelete

Pour récupérer un fichier en précisant son nom complet :

C:\>undelete c:\dossier1\fichier1.ext

Pour récupérer tous les fichiers dotés de l’extension .EXT d’un répertoire, il faut utiliser le commutateur (/ALL) :

C:\DOSSIER1>undelete *.ext /all


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Quand tous les fichiers d’un répertoire ont été supprimés et que le répertoire lui-même a été également supprimé, alors les fichiers ne peuvent pas être récupérés…

La commande REN

La commande REN (pour RENAME) permet de renommer un fichier.

Pour renommer un fichier :

C:\DOSSIER1>ren fichier1.ext fichier2.ext

La commande TYPE

La commande TYPE permet d’ouvrir un fichier et de lire son contenu.

Pour afficher le contenu d’un fichier :

C:\>type autoexec.bat

Si le fichier texte est très long (supérieur à 1500 Octets), il faut, pour en lire le début, l’afficher page par page et ainsi éviter le défilement jusqu’à la fin du texte.

Pour afficher un texte long avec le commutateur « PIPE » (« | MORE ») :

C:\>type readme.txt | more

Le commutateur PIPE fait intervenir un autre programme, ici le programme MORE.COM.

Pour copier un fichier à la place d’un autre avec la commande TYPE :

C:\type fichier1.txt a:fichier2

La commande MSBACKUP

La commande MSBACKUP permet d’effectuer des sauvegardes et des restaurations totales ou partielles.

La commande MSBACKUP est en réalité un programme issu de NORTON de la société SYMANTEC, et apparaît avec la version 6 du DOS. La commande MSBACKUP remplace les commandes BACKUP et RESTORE qui prévalaient avant MSBACKUP, et qui permettaient d’enregistrer sur plusieurs disquettes de nombreux et gros fichiers (des fichiers dont la taille est supérieure à la capacité maximale d’une disquette), mais il fallait utiliser les commandes BACKUP et RESTORE de la même version du DOS.

Il faut obligatoirement effectuer une restauration pour accéder de nouveau aux fichiers qui ont été sauvegardés parce que ceux-ci sont enregistrés sous un format spécial de sauvegarde qui permet de les compressés et de les divisés, mais qui n’est pas lisible sous DOS sans restauration.

La commande MSBACKUP présente une interface graphique qui permet de sélectionner les fichiers que l’on souhaite sauvegarder et/ou de les comparer avec ceux d’une ancienne sauvegarde. La souris et/ou la touche de tabulation permette de naviguer d’un groupe d’option à un autre.

Pour lancer le programme MSBACKUP du DOS 6 :

C:\>msbackup

Pour sauvegarder un lecteur en entier (avec tous les sous-répertoires) sur disquettes avec la commande BACKUP et le commutateur (/S) :

C:\>backup c: a: /s La commande BACKUP ne sauvegarde pas les fichiers systèmes du DOS.


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Pour restaurer une sauvegarde complète (avec tous les sous-répertoires) d’un disque avec la commande RESTORE et le commutateur (/S) :

C:\>restore a: c: /s

La commande DATE

La commande DATE permet d’afficher et de modifier la « date système ».

Pour afficher la date (et appuyer sur la touche ENTREE afin de valider la date affichée) :

C:\>date

Pour modifier la date, il faut saisir la nouvelle date en respectant le format et les séparateurs proposés entre parenthèses :

C:\>date

La commande TIME

La commande TIME permet d’afficher et de modifier « l’heure système ».

Pour afficher l’heure, les minutes, les secondes et les centièmes de secondes :

C:\>time

Pour modifier l’heure, il faut saisir la nouvelle heure en respectant le format et les séparateurs proposés entre parenthèses, mais il n’est pas indispensable de saisir ni les secondes, ni les centièmes de secondes :

C:\>time

La commande VER

La commande VER (pour VERSION) permet d’afficher la version du DOS qui est installé sur l’ordinateur.

Pour afficher la version du DOS :

C:\>ver

La commande HELP

La commande HELP permet d’afficher une interface graphique qui résume les commandes du DOS ainsi que leur syntaxe.

Les commandes du DOS sont répertoriées par ordre alphabétique, il suffit de taper une lettre sur le clavier pour que le curseur se positionne sur la première commande qui commence par cette lettre, ensuite il faut valider son choix pour faire apparaître l’aide appropriée.

Pour afficher l’aide :

C:\>help

Pour afficher l’aide spécifique à une commande, il faut saisir le nom de la commande :

C:\>help del

La commande FASTHELP


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La commande FASTHELP permet d’afficher une aide succincte. C’est l’équivalent de l’utilisation du commutateur (/ ?) à la suite d’une commande.

Pour afficher l’aide succincte :

C:\>fasthelp

Pour afficher l’aide succincte d’une commande spécifique :

C:\>fasthelp delC:\>del /?

La commande MSAV

La commande MSAV est un programme de détection et de destruction de virus.Cet anti-virus provient des utilitaires de PC-Tools de la société CENTRAL POINT SOFTWARE, et n’est disponible qu’avec la version de MS-DOS 6.

Pour lancer l’interface graphique de l’anti-virus :

C:\>msav

La commande VSAFE permet d’instaurer une surveillance permanente du système. Il suffit d’installer une ligne de commande dans le fichier AUTOEXEC.BAT pour charger le programme VSAFE à l’arrière plan.

La commande DOSSHELL

La commande DOSSHELL permet, à partir de la version 4 du DOS, de disposer d’une interface graphique à la place de l’invite de commande.

Le « SHELL » s’intercale entre le système d’exploitation et l’utilisateur afin de faciliter son travail.

La commande DOSSHELL peut être placé en dernière ligne dans le fichier AUTOEXEC.BAT afin que l’interface démarre automatiquement avec l’ordinateur, le « SHELL » est alors dit « résident ».

Pour lancer le « SHELL » à partir de la ligne de commande :

C:\>dosshell

L’interface graphique du « SHELL » consiste en une fenêtre avec deux volets qui ressemble à l’EXPLORATEUR de WINDOWS 98 (mais en plus dépouillée), et qui présente l’arborescence des dossiers et des fichiers du disque dur. Désormais, c’est la souris qui est l’outils privilégié pour naviguer, sélectionner, lancer, déplacer, renommer ou supprimer. Le dispositif de pointage ressemble à l’écran à un petit carré blanc qui bouge en même temps que la souris.

Toutes les commandes se retrouvent dans la barre de menu qu’il faut activer avec les touches ALT ou F10.

La fenêtre du bas, intitulée « principal » présente d’autres options qui permettent d’ouvrir d’autres fenêtres:

Ligne de commandeEditeurQbasicUtilitaires disques

Utilitaires disques permet de lancer des commandes DOS comme XCOPY, MSBACKUP, FORMAT, UNDELETE, MSAV…

Qbasic est un éditeur de programme…


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Il est possible de basculer de l’interface graphique du « SHELL » vers l’invite de commande du DOS et vice versa…

La commande DOSKEY

La commande DOSKEY permet de mémoriser plusieurs commandes DOS et les faire défiler avec les flèches de direction vers le haut et vers le bas.

Pour mémoriser les commande DOS qui ont été saisies à partir de l’invite de commande, la commande DOSKEY peut être rajoutée à la fin du fichier système AUTOEXEC.BAT ou dès le commencement d’une session DOS :

C:\>doskey

La commande PROMPT

La commande PROMPT permet de changer l’apparence de l’invite de commande.

Pour changer l’invite de commande en « patC:> » :

C:\>prompt pat$p$g

Pour insérer l’heure, la date et un texte à l’invite de commande :

C:\>prompt $p$g_time=$t$_date=$d$_Entrez votre commande :

Ce qui donne, si le répertoire actif est « C:\DOSSIER1> », et après validation trois lignes successives pour le prompt car le signe de soulignement ($_) fait passer à la ligne :

C:\DOSSIER1>Time=12 :3456.78Date=mardi 14 novembre 2000Entrez votre commande :

Pour connaître les codes avec un dollar (« $ ») applicables à certains caractères :

C:\>prompt / ?

La commande CLS

La commande CLS permet d’effacer toutes les commandes et leurs éventuelles réponses de l’écran.

Pour obtenir un écran neuf, avec seulement le prompt :

C:\>cls

La commande CHKDSK

La commande CHKDSK permet d’afficher un bilan sur la mémoire du disque dur.

La commande CHKDSK permet de vérifier la taille des fichiers et de détecter les erreurs de chaînage.Les erreurs de chaînage des fichiers se produisent souvent quand l’ordinateur est réamorcé alors que le prompt n’est pas encore affiché. Les erreurs de chaînage sont de deux sortes :

Les « groupes perdus » sont un chaînage qui n’est plus référencé dans la FAT.Les « références croisés » sont des chaînages différents qui ont la même référence dans la FAT.

Les erreurs de chaînage constituent un disfonctionnement de la FAT (la table d’allocation des fichiers qui est organisée selon les règles du système de fichier qui a été choisi lors du formatage). La FAT est une base de données qui référence les fichiers et leur lieu de stockage respectif sur le disque. La taille des fichiers est


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généralement supérieure à la taille des « unités d’allocation » (CLUSTER en anglais ou blocs) définie par le système de fichier. Ainsi, les fichiers ont généralement besoin de plusieurs CLUSTERS pour être entièrement enregistrés. La FAT référence le nom du fichier, sa place dans l’arborescence du disque et l’adresse de la première unité d’allocation qui le compose. L’ensemble des CLUSTERS d’un même fichier forme un groupe d’unités d’allocation qui sont chaînés entre eux, afin de pouvoir tous les identifier les uns après les autres. C’est ce qui s’appèle le « chaînage des fichiers ». Les erreurs de chaînage signifies que le fichier est inaccessible ou incomplet.

La commande CHKDSK peut être exécutée avec le commutateur (/F) qui fixe ou répare les erreurs :

C:\>chkdsk /f La commande MEM

La commande MEM permet d’afficher un bilan de l’utilisation de la mémoire conventionnelle, étendue...

La commande ECHO ON/OFF

La commande ECHO permet, avec le commutateur ON ou OFF, de respectivement activer ou désactiver l’affichage des commandes DOS.

Pour afficher à l’écran toutes les commandes d’un fichier « BATCH » :

ECHO ON

Pour cacher à l’écran toutes les commandes d’un fichier « BATCH » :

ECHO OFF

La commande ECHO

La commande ECHO permet d’afficher un message.

Pour affiche à l’écran un message d’une ligne :

ECHO voici le message …

La commande PRINT

La commande PRINT permet d’imprimer.

Le travail d’impression passe par un « fichier d’attente d’impression » (un fichier SPOOL ou SPOOLER) qui reçoit le travail d’impression, le stocke et l’envoie au périphérique d’impression (quand celui-ci est prêt) par l’intermédiaire du port parallèle.

La commande PRINT fonctionne comme la commande TYPE, c’est à dire qu’elle fonctionne bien quand il s’agit de fichier texte en caractères ASCII.

Pour imprimer une lettre :

C:\>print C:\dosssier1\lettre1.txt

La première fois que la commande PRINT est utilisée sur un ordinateur, celle-ci affiche un message pour la configuration de l’imprimante :

« Nom d’imprimante [PRN] : »

Il faut valider, en appuyant sur la touche ENTREE, afin d’accepter l’imprimante parallèle standard, ce qui affiche le message suivant :


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« Partie résidente de la commande PRINT installé »

Alors seulement, le fichier « C:\dossier1\lettre1.txt » est envoyé à l’imprimante.

Plusieurs fichiers peuvent être successivement envoyés au « fichier d’attente d’impression », et avant même que le premier travail d’impression n’ait été complètement imprimé. Le « fichier d’attente d’impression » accumulera les travaux d’impression et les redirigera vers l’imprimante au fur et à mesure, mais un trop grand nombre de fichiers en attente dans le fichier SPOOL peut occasionner un engorgement...

Pour stopper l’impression, il faut utiliser le commutateur (/T) :

C:\>print /t

Pour générer une copie de ce qui est affiché à l’écran :

Afficher ce qui doit être imprimer à l’écran, avec un TYPE par exemple…Appuyer simultanément sur les touches MAJ + IMPR.ECRAN.

La « fonction d’impression continue » (ou « l’écho imprimante ») permet d’envoyer à l’imprimante tous les caractères qui s’afficheront à l’écran, et ce tant que la « fonction d’impression continue » n’est pas stoppée.

Pour lancer « l’écho imprimante » :

Appuyer simultanément sur les touches CTRL + IMPR.ECRAN.

Pour stopper « l’écho imprimante » :

Appuyer simultanément sur les même touches CTRL + IMPR.ECRAN.

Pour imprimer une longue liste de répertoire :

CTRL + IMPR.ECRANC:\>dirCTRL + IMPR.ECRAN

Pour imprimer le contenu d’un fichier :

CTRL + IMPR.ECRANC:\>type C:\dossier1\lettre1.txtCTRL + IMPR.ECRAN

Le commutateur (> PRN) signifie en direction de l’imprimante

Le commutateur (> PRN) signifie en direction de l’imprimante. Le commutateur PRN désigne l’imprimante et le signe supérieur (« > ») signifie « en direction de ».

Pour imprimer le résultat d’une commande, c’est à dire pour imprimer ce qui s’affiche à la suite de la validation d’une commande et avant le retour du prompt :

C:\>dir a: > prn

Pour imprimer un fichier :

C:\>type readme.txt > prn

Quand le commutateur (« > ») est doublé (« >> »), cela permet de concaténer (ajouter à la suite) ce qui est envoyé en direction de, et non pas de l’envoyer en remplaçant ce qu’il y avait avant.

La commande @


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La commande @ permet de mettre en ECHO OFF la ligne de commande qui suit.La commande @ s’utilise à l’intérieur des fichiers AUTOEXEC.BAT et /ou CONFIG.SYS.

Pour désactiver l’affichage d’une seule ligne de commande :

@ ce qui suit ne s’affichera pas

La commande PAUSE

La commande PAUSE permet d’effectuer une pause dans le traitement des commandes d’un fichier « BATCH ».La commande PAUSE affiche à l’écran le message « PRESSER UNE TOUCHE POUR CONTINUER ».

La commande PAUSE est souvent employée à la suite d’une commande ECHO qui fait apparaître un message invitant l’utilisateur à effectuer une certaine tâche, comme par exemple insérer une disquette dans le lecteur. L’utilisateur effectue la tâche, puis presse une touche pour relancer l’exécution des commandes du fichier « BATCH ».

Par exemple :

…ECHO veuillez insérer une disquette dans le lecteur A:PAUSE…

La commande PARK

La commande PARK permet de faire atterrir les têtes de lecture du disque dur sur leur zone d’atterrissage. Ainsi les têtes de lecture ne risque pas d’endommager les surfaces du disque dur.

WINDOWS 95

Le système d’exploitation WINDOWS 95 est un système d’exploitation multitâche 32 bits

Le système d’exploitation WINDOWS 95 est un système d’exploitation de la société MICROSOFT.Le système d’exploitation WINDOWS 95 fait suite au DOS.

WINDOWS 3.1 et WINDOWS pour WORKGROUPS 3.11 de la société MICROSOFT ne sont pas des systèmes d’exploitation, en fait ce ne sont que des interfaces graphiques pour le DOS qui est le véritable système d’exploitation.

Le système d’exploitation WINDOWS 95 apporte des avantages indéniables par rapport au DOS :

Un système d’exploitation multitâche pour les ordinateurs compatibles PC. Un système d’exploitation indépendant du DOS, mais compatible avec le DOS (les applications 16

bits DOS peuvent être exécutées dans une fenêtre DOS (avec WINDOWS 95 en arrière plan), ou en mode MS-DOS exclusif).

De nouvelles commandes DOS comme START qui lance un programme DOS dans une fenêtre séparée.

Un système d’exploitation 32 bits (la vitesse d’exécution des applications 32 bits est plus rapide que celle des applications 16 bits).

Un espace d’adressage réservé dans la mémoire vive pour chaque application 32 bits (les conflits d’adressage sont ainsi évités, et quand une application plante, les autres fonctionnent toujours ce qui rend le système plus stable). Les touches CTRL + ALT + SUPPR permettent de fermer une application instable, et permettent de quitter le système d’exploitation WINDOWS 95 (le shell primaire).

Un système d’exploitation PLUG & PLAY qui reconnaît les matériels les plus courant et installe automatiquement les pilotes correspondants (avec le module « Ajout de Périphériques » et « système » du PANNEAU de CONFIGURATION).


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De nombreux accessoires et utilitaires sont fournis en standard (le traitement de texte WRITE, le programme de retouche d’image « bitmap » PAINT), ainsi que des outils systèmes pour défragmenter compresser, contrôler le réseau, Etc…

La gestion des noms de fichiers longs jusqu’à 255 caractères avec des espaces. Le multimédia avec un magnétophone (.WAV, .MID), un lecteur CD AUDIO et un lecteur

multimédia pour lire les vidéos (.AVI). Les échanges de données OLE 2.0 entre différentes programmes permettent de relier ou d’incorporer

des objets (des tableaux, des images, des sons ou du texte) dans un document, et de créer ainsi des « documents composites » issus de différentes applications avec un simple DRAG & DROP.

La configuration des réseaux WORKGROUPS, WINDOWS NT, NOVELL NETWARE (avec le module « réseau » du PANNEAU de CONFIGURATION).

Le partage des ressources à l’intérieur d’un réseaux. La sécurité via la gestion des mots de passe, des privilèges et des groupes d’utilisateurs. La gestion des boites aux lettres avec MICROSOFT EXCHANGE qui remplace MS-MAIL. La répartition des tâches au sein d’un groupe de travail (WORKGROUP COMPUTING). La transmission de données par téléphone (le minitel, la télécopie, INTERNET,

HYPERTERMINAL) qui permet de télécharger des DRIVERS, des SHAREWARES… Une interface graphique améliorée :

Un didacticiel WELCOME.EXE Le bureau et ses icônes POSTE de TRAVAIL, VOISINAGE RESEAU et la CORBEILLE Les raccourcis, le menu contextuel (avec un clic droit) et les bulles d’aide Les fenêtres avec les boutons REDUIRE, RESTAURER et FERMER en haut à droite La barre des tâches qui recueille les boutons des applications actives Le bouton DEMARRER qui facilite l’accès aux programmes L’EXPLORATEUR WINDOWS qui remplace le GESTIONNAIRE de FICHIERS

(WINFILE.EXE), le GESTIONNAIRE de PROGRAMME (PROGMAN.EXE) et le GESTIONNAIRE des TACHES (TASKMAN.EXE).


Faisant suite aux systèmes WINDOWS 3.11 et WINDOWS pour WORKGROUPS, le système d’exploitation WINDOWS 95 précède WINDOWS 98.

C’est en exécutant l’utilitaire INSTALL.EXE que le système d’exploitation WINDOWS 95 est installé sur l’ordinateur. Quand l’ordinateur tourne déjà sous l’une des versions précédentes de WINDOWS, il est préférable de lancer INSTALL.EXE depuis l’interface de WINDOWS 3.11 ou WINDOWS pour WORKGROUPS. Ainsi, de nombreuses applications n’auront pas besoin d’être de nouveau installées, et de nombreux paramètres de configuration, comme la résolution de l’écran, les polices et les options de réseaux seront repris. Pour conserver toutes les applications qui sont déjà installées, il faut choisir le même répertoire d’installation, en général « C:\WINDOWS ». Les fichiers de travail, de groupes et d’initialisation sont adaptés, mais la bibliothèque de liens dynamiques (les DLL) n’est pas mise à jour, et de nombreuses DLL inutilisées restent enregistrées sur le disque dur.

Une solution intéressante est d’installer WINDOWS 95 dans un autre répertoire afin de disposer de l’ancien système et du nouveau.

L’exécution de INSTALL.EXE depuis le prompt du DOS est une véritable installation (plutôt qu’une mise à jour), et requière de l’utilisateur plus de temps, et plus d’informations.

Les quatre différents types d’installation :

L’installation par défaut.L’installation pour les ordinateurs portables avec l’option économie d’énergie (Advance Power Management).L’installation compacte qui requière le moins d’espace mémoire.L’installation personnalisée qui seule permet d’ajouter les composants réseaux, dont le logiciel de messagerie électronique MS-EXCHANGE.

Les trois phases de l’installation :


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La recherche d’information système.La copie des fichiers WINDOWS.La réinitialisation de l’ordinateur.

Quand l’installation ne se passe pas normalement (lors de conflits par exemple), il peut être utile de renoncer à l’identification automatique du matériel pendant la procédure d’installation, et/ou d’utiliser le module « Ajout de périphériques » du PANNEAU de CONFIGURATION après la procédure d’installation.

L’installation de WINDOWS 95 sur un « réseau poste à poste »

WINDOWS 95 permet de configurer des ordinateurs en réseau « poste à poste ». Le réseau poste à poste signifie que chaque ordinateur est à la fois, un client quand il se connecte aux ressources d’un autre ordinateur, et un serveur quand un autre ordinateur se connecte à ses propres ressources. Le réseau poste à poste convient pour les petites structures avec un nombre limité d’ordinateurs.

L’installation des composants réseaux peut s’effectuer, soit en même temps que l’installation du système d’exploitation proprement dit (et il faut alors impérativement choisir une installation personnalisée pour activer l’option MICROSOFT EXCHANGE), soit après l’installation de WINDOWS 95.

Dans le cas d’une installation réseau après l’installation du système d’exploitation, il faut s’assurer que les composants réseaux sont bien installés (ceux-ci se trouvent dans l’onglet INSTALLATION de WINDOWS du module « Ajout & Suppression de Programmes » du PANNEAU de CONFIGURATION), et il faut effectuer la configuration des paramètres réseaux (avec le module « réseau » du PANNEAU de CONFIGURATION).

Le module « réseau » du PANNEAU de CONFIGURATION permet d’installer les clients réseaux, leurs protocoles et leurs services, de choisir des drivers adaptés à la carte réseau, d’identifier l’ordinateur et le groupe de travail, et de choisir le type de contrôle d’accès aux ressources partagées du réseau :

Des CLIENTS pour les réseaux MICROSOFT ou NETWARE (si plusieurs clients sont installés, l’un d’entres eux peut être déclaré comme prioritaire).

Des PROTOCOLES réseaux comme TCP/IP, NETBEUI ou IPX/SPX.

Des SERVICES réseaux, comme le partage de fichiers et/ou d’imprimantes (la gestion des partages des lecteurs, des répertoires et des fichiers s’effectue à partir de l’EXPLORATEUR).

Des GESTIONNAIRES de cartes réseaux des principaux constructeurs (des pilotes peuvent être également supprimés), et l’allocation des ressources (IRQ et la plage de l’adressage mémoire).

L’IDENTIFICATION de l’ordinateur (la station de travail) et du groupe de travail auquel il appartient sont très importantes parce qu’elles interviendront par la suite dans l’administration du réseau. L’identification doit être unique pour chaque machine afin de permettre de les différencier.

Le CONTRÔLE D’ACCÈS permet de définir le type d’accès aux ressources du réseau, soit en fonction de la ressource (un mot de passe peut être assigner pour chaque ressource partagée), soit en fonction de l’utilisateur (ou du groupe d’utilisateurs) qui essaye de se connecter à une ressource.

La connexion au réseau

La déclaration d’un utilisateur dans le réseau est effectuée dès le démarrage du système, par l’intermédiaire d’une boite de dialogue qui présente un champ de saisie pour le login ou le nom de l’utilisateur et son mot de passe. Quand l’opérateur décide de fermer cette boite de dialogue sans renseigner les champs et d’annuler ainsi son identification réseau, alors toutes les fonctions réseaux seront verrouillées, par contre les fonctions locales d’une session WINDOWS seront accessibles. En cours de session locale, l’utilisateur qui souhaite se connecter au réseau pour accéder aux ressources réseaux doit fermer la « session locale » et démarrer une « session réseau » (Il faut pour cela cliquer sur DEMARRER/ARRETER).

Les listes de mots de passe sont gérées localement, c’est à dire que dans un réseau poste à poste avec WINDOWS 95, il n’y a pas d’authentification centralisées (comme avec la base SAM des contrôleurs de


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domaine des réseaux WINDOWS NT). Dans un réseau poste à poste WINDOWS 95, plusieurs utilisateurs peuvent avoir le même mot de passe et plusieurs utilisateurs peuvent avoir le même login (mais ce n’est pas très judicieux ! ! !).

La déconnexion au réseau s’effectue en fermant l’ordinateur. Toutefois, si certaines ressources de l’ordinateur sont en train d’être utilisées par d’autres utilisateurs du réseau, alors il est souhaitable de prévenir ceux-ci avant de déconnecter l’ordinateur.

Pour connaître l’état des connexions réseaux à un moment donné, chaque utilisateur peut utiliser l’OBSERVATEUR RESEAU.

L’OBSERVATEUR RESEAU

L’OBSERVATEUR RESEAU permet de connaître l’état des connexions réseaux à n’importe quel moment.

L’OBSERVATEUR RESEAU requière que les services de partage de fichiers et d’imprimantes soient installés sur l’ordinateur (pour les installer, il faut aller dans le module « réseau » du PANNEAU de CONFIGURATION).

Pour lancer l’OBSERVATEUR RESEAU :

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/OBSERVATEUR RESEAU

Pour connaître l’état des connexions d’un ordinateur connecté au réseau:

ADMINISTRATION/SELECTIONNER UN SERVEUR

L’état des connexions peut être affiché de différentes façons :

AFFICHAGE/PAR CONNEXIONAFFICHAGE/PAR DOSSIERS PARTAGESAFFICHAGE/PAR FICHIERS OUVERTS

Pour actualiser les informations qui sont affichées :

AFFICHAGE/RAFFRAICHIR

Pour interrompre une connexion :

AFFICHAGE/PAR CONNEXIONSélectionner la connexion à interrompreADMINISTRATION/DECONNECTER L’UTILISATEUR

Pour fermer l’accès à un fichier :

AFFICHAGE/PAR FICHIERS OUVERTSSélectionner le fichier à fermerADMINISTRATION/FERMER LE FICHIER

Pour annuler le partage d’un répertoire :

AFFICHEGE/PAR DOSSIERS PARTAGESSélectionner le répertoire dont vous voulez annuler le partage (et donc l’accès par le réseau)ADMINISTRATION/ARRETER LE PARTAGE DE DOSSIER

Pour modifier les propriétés d’un répertoire partagé :

AFFICHAGE/PAR DOSSIERS PARTAGES


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Sélectionner le dossier dont vous voulez modifier les propriétés de partageADMINISTRATION/PROPRIETES DU DOSSIER PARTAGE

Pour partager un répertoire :

ADMINISTRATION/AJOUTER UN DOSSIER PARTAGE

L’interruption d’une connexion, la fermeture d’un fichier ou l’annulation d’un partage de dossier peut entraîner la perte de données au sein du groupe de travail, aussi est-il important de prévenir les utilisateurs du réseau d’une telle opération.

Le partage des ressources réseau

Le partage des ressources réseau s’effectue avec l’EXPLORATEUR.

Seules les ressources partagées sont disponibles sur le réseau pour les autres utilisateurs.Les ressources qui sont partagées le reste même après la réinitialisation du système ; il faut enlever le partage afin qu’une ressource partagée ne le soit plus.L’ordinateur qui recueille une ressource partagée doit être initialisé afin que la ressource partagée soit accessible.Les ressources partagées de tout le réseau le sont par défaut pour tous les utilisateurs (sauf si une ressource a été spécifiquement partagée pour tel utilisateur et avec tel mot de passe).

Le mode de partage des ressources est de deux sortes :

L’accès LECTURE SEULE qui interdit de modifier le fichier source.L’accès LECTURE/ECRITURE

Pour définir le partage d’une ressource placée sur l’ordinateur sur lequel on travaille :

Ouvrir l’EXPLORATEURSélectionner la ressources (un lecteur, un dossiers ou un fichier)Clic droit et choisir la commande PARTAGER… du menu contextuel.

Le partage d’imprimante :

Ouvrir le POSTE de TRAVAILDouble cliquer sur le dossier IMPRIMANTESDouble cliquer sur le dossier AJOUT D’IMPRIMANTES

Le client réseau MICROSOFT

Le client réseau MICROSOFT détermine qu’il s’agit d’un réseau WINDOWS (à contrario des client NETWARE qui détermine qu’il s’agit d’un réseau NOVELL).

Le client réseau MICROSOFT (qui est installé avec le module réseau du PANNEAU de CONFIGURATION) permet de choisir entre deux types de connexion vers les ressources partagées :

La CONNEXION RAPIDE qui n’effectue l’inventaire des ressources partagées qu’au moment de l’utilisation, et non au moment de la connexion.

SE CONNECTER ET RETABLIR LES CONNEXIONS RESEAU est un type de connexion plus lent parce qu’il examine au moment de la connexion, toutes les ressources qui sont disponibles, ce qui entraîne une augmentation du trafic réseau.

Pour changer de type de connexion :

Ouvrir le module « réseau » du PANNEAU de CONFIGURATIONSélectionner le CLIENT pour les RESEAUX MICROSOFTCliquer sur le bouton PROPRIETESActiver le bouton radio souhaité


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Refermer la boite de dialogue en validant les changements

L’accès réseau à distance

L’accès réseau à distance est une autre façon de communiquer avec d’autres ordinateurs, mais cette fois-ci, non pas en réseau local de poste à poste, mais par l’intermédiaire du réseau téléphonique commuté (RTC) et d’un modem de part et d’autre.

L’accès réseau à distance permet de joindre différents types de serveurs ou d’ordinateurs, comme NETWARE, WINDOWS 95, WINDOWS pour WORKGROUPS, UNIX et WINDOWS NT.

Pour configurer l’accès réseau à distance :

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/ACCES RESEAU A DISTANCE

La connexion directe par câble

La connexion directe par câble est une troisième méthode pour communiquer entre deux ordinateurs, mais cette fois-ci, non pas en réseau local de poste à poste, ni par l’intermédiaire du réseau téléphonique commuté (RTC), mais grâce à un câble série (COM 1 ou COM 2) ou parallèle (LTP1 ou LTP2).

Les deux ordinateurs doivent utiliser la même interface (série ou parallèle).L’ordinateur « hôte » doit être configuré en premier afin d’attendre l’établissement de la connexion comme le ferait un serveur, tandis que l’autre ordinateur est configuré ensuite, en tant qu’ordinateur « invité », et fera office de client.

Pour lancer une connexion directe par câble :

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/CONNEXION DIRECTE PAR CABLE


Sous WINDOWS 95, les fichiers .INI de WINDOWS 3.x (WIN.INI, SYSTEM.INI, PROGRAM.INI, Etc…) et les fichiers d’initialisation de MS-DOS (AUTOEXEC.BAT et CONFIG.SYS) ont considérablement perdu de leur importance.

WINDOWS 95 peut même se passer de ses fichiers, mais ils sont nécessaires pour assurer la compatibilité du système 32 bits de WINDOWS 95 avec les applications DOS et les applications 16 bits de WINDOWS 3.x.

Les applications WINDOWS 16 bits et les applications DOS utilisent ses fichiers pour charger des gestionnaires de périphériques virtuels, pour lancer des programmes résidents et pour paramétrer certaines variables d’environnement. La base de registre de WINDOWS 95 tient compte également de ses fichiers de contrôle.

Les applications 32 bits, créées spécialement pour WINDOWS 95, accèdent directement aux informations de la base de registre et n’ont pas besoin de ses fichiers.

Pendant le démarrage du système d’exploitation WINDOWS 95, la section [386Enh] du fichier SYTEM.INI est examinée afin d’intégrer dans le noyau les gestionnaires de périphériques virtuels qui y sont mentionnés. Ainsi, les pilotes des applications 16 bits (qui n’ont pas encore été remplacés par des pilotes 32 bits) sont chargés en mémoire conventionnelle.

Pendant le démarrage du système d’exploitation WINDOWS 95, le fichier d’initialisation CONFIG.SYS est également pris en compte afin d’intégrer les gestionnaires de périphériques propres aux applications DOS et WINDOWS 3.x.

Les pilotes 16 bits ont l’inconvénient d’être chargés en mémoire dès le démarrage du système et d’y rester. Ainsi, les pilotes 16 bits occupent des ressources même s’ils ne sont pas utilisés. Les drivers 32 bits ont


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l’avantage d’être plus rapides que les versions 16 bits, et surtout ils ne sont chargés en mémoire que lorsqu’ils sont utilisés.Les gestionnaires 32 bits sont chargés en mémoire étendue (ce qui rend inutile MSCDEX). Ainsi, le remplacement progressif des pilotes 16 bits par des pilotes 32 bits permet de gagner de la place dans la mémoire conventionnelle, et les applications DOS peuvent utiliser la totalité des 640 Ko de celle-ci. L’optimisation du système est réalisée par les gestionnaires 32 bits propres à WINDOWS 95 que sont les VxD (Virtual DeviceX Drivers).Les utilisateurs qui conservent un matériel pour lequel le constructeur n’a pas développé de pilote 32 bits, peuvent toujours l’utiliser en chargeant le gestionnaire 16 bits dans la mémoire conventionnelle avec une commande dans le fichier CONFIG.SYS. Les performances des gestionnaires 16 bits sont moindres que celles des pilotes 32 bits, mais, et c’est l’avantage de WINDOWS 95, ils sont toujours compatibles.

La généralisation des gestionnaires de périphériques et des applications 32 bits permettra de se passer complètement de ses fichiers système qui souvent étaient la source de blocage du système et/ou d’invasion de la mémoire et pour lesquels il fallait « mettre les mains dans le cambouis ».

La configuration des applications DOS sous WINDOWS 95

Pour afficher une fenêtre DOS :

DEMARRER/EXECUTERSaisir « command »

Les propriétés de la fenêtre DOS peuvent être paramétrées, soit en cliquant sur l’un des boutons de la barre d’outils, soit en faisant un clic droit sur le programme C:\COMMAND.COM et en choisissant la commande PROPRIETES du menu contextuel. Ainsi, il est possible de changer plusieurs variables :

La police de caractèreLe nombre de ligneLa fenêtre en plein écranLa désactivation des touches de raccourcis de WINDOWS 95Le rétablissement des même paramètres à chaque démarrageLa gestion automatique ou non de la mémoire conventionnelle, paginée (EMS) et étendueLa fonction mode exclusif pour la souris…

Le mode MS-DOS

De nombreuses applications MS-DOS (comme le jeu DOOM) ont été conçues pour prendre le pouvoir. Elles accèdent directement au matériel (écran, carte son, Etc…), modifient les IRQ, influent sur l’horloge, accaparent , entrent en conflit avec les ressources protégées du système, Etc… Tant et si bien qu’elles ne fonctionnaient pas sous WINDOWS 3.x, et que sous MS-DOS, elles devaient monopoliser le système et être les seules à tourner.

Le système d’exploitation WINDOWS 95 permet de faire fonctionner ces applications MS-DOS « critiques » et de leur octroyer toute la mémoire et tout le contrôle du système. C’est le principe du mode MS-DOS qui donne l’exclusivité à l’application MS-DOS, et une fois terminée, WINDOWS 95 se recharge en mémoire.

Le mode MS-DOS est un mode exclusif.Le mode MS-DOS permet d’adapter spécifiquement et temporairement les fichiers d’initialisation CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT :

Cliquer sur le bouton PROPRIETES de la fenêtre DOS

Clic droit sur l’interpréteur de command (C:\COMMAND.COM)Choisir la commande PROPRIETES du menu contextuel. La boite de dialogue PROPRIETES INVITE MS-DOS apparaît alors.

Onglet PROGRAMMEBouton PARAMETRES AVANCEES…Option MODE MS-DOS


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Le bouton CONFIGURATION propose :

L’accès à la mémoire paginée (EMS)Le chargement du pilote de la sourisL’activation du cache disque (SMARTDRV)L’accès directe au disque dur

Le bureau

L’interface de l’utilisateur est bien plus convivial avec WINDOWS 95. Les améliorations concernent l’aspect du bureau, le maniement de la souris (avec les clic droit et le menu contextuel, les glisser déplacer), la création de raccourcis, Etc…

Le bureau est à la fois dépouillé et le point de départ de toutes les activités de l’utilisateur :

Le bouton DEMARRER :

ARRETER…EXECUTER…AIDERECHERCHERPARAMETRESDOCUMENTSPROGRAMMES

Les icônes du bureau :

Le POSTE de TRAVAILLe VOISINAGE RESEAULa BOITE de RECEPTIONLe PORTE DOCUMENTSLa CORBEILLELes icônes des raccourcis glissés par l’utilisateur…

La barre des tâches avec les boutons des applications actives qui permet de basculer de l’une à l’autre

La barre système qui affiche l’heure et la date

L’EXPLORATEUR

L’EXPLORATEUR qui remplace le GESTIONNAIRES de FICHIERS (WINFILE.EXE) et le GESTIONNAIRE de PROGRAMMES (PROGMAN.EXE) qui existe toujours pour ceux qui ont du mal à s’habituer.

Le GESTIONNAIRE de PROGRAMMES peut redevenir le « shell primaire » qu’il était ; il suffit pour cela de modifier le fichier SYSTEM.INI et de remplacer la ligne de commande « shell=explorer.exe » par « shell=progman.exe ».

Le GESTIONNAIRE des TACHES (TASKMAN.EXE) est également toujours présent.

L’installation des applications

L’installation d’application s’effectue sous WINDOWS 95 de deux façons.

La première méthode consiste à cliquer sur DEMARRER/EXECUTER puis à saisir la lettre du lecteur qui contient l’application à installée, les deux points, le « BACKSLASH » et la commande d’installation (INSTALL par exemple).

La deuxième méthode consiste à utiliser le programme d’installation de WINDOWS 95 :

DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATION


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Module « Ajout & Suppression de Programmes »Onglet INSTALLATION/DESINSTALLATIONBouton INSTALLERSuivre les instructions, sélectionner le lecteur qui contient le programme à installé et appuyer sur le bouton TERMINER.

L’installation des applications .EXE consiste à copier le fichier, mais attention de nombreux programmes sont accompagnés d’une multitude d’autres fichiers sans lesquels il ne peut fonctionner (comme les DLL).

La configuration de l’imprimante

La configuration de l’imprimante sous WINDOWS 95 ne s’effectue désormais plus avec le GESTIONNAIRE D’IMPRESSION, mais avec le dossier IMPRIMANTE.

L’impression sous WINDOWS 95 est plus rapide, grâce au système 32 bits hérité de WINDOWS NT. La qualité d’impression des images couleurs ne requière plus un logiciel de retouche d’image. Il n’y a plus de réduction de la vitesse d’exécution des autres applications actives pendant une impression.

Pour ajouter une nouvelle imprimante :

DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATIONModule « imprimante »Double cliquer sur l’icône AJOUT d’IMPRIMANTE pour appeler l’assistant qui permet de configurer une imprimante localeSélectionner le pilote correspondant au constructeur et au modèle quand l’imprimante se trouve par mis les 800 modèles qui sont proposés, sinon il faut choisir le pilote générique le plus compatible.Choisir le port, en général l’un des ports LTP. Les ports COM doivent être configurés spécialement pour indiquer, la vitesse (9600), le nombre de bits (8), le bit de parité (aucun), le bit d’arrêt (1) et le contrôle de flux (Xon-Xoff).

Une fois ajoutée l’imprimante doit être configurée :

Clic droit sur l’icône représentant l’imprimante dans le module « imprimante » du PANNEAU de CONFIGURATIONChoisir la commande PROPRIETESA partir de là, le nombre d’onglets et de variables dépend du modèle et de ses performances.La mémoire de l’imprimante peut être éventuellement augmentéeLes polices logicielles peuvent être enregistrées (ce sont des polices non proportionnelles, qui sont téléchargées sur le périphérique d’impression, lequel ne les stocke pas dans sa mémoire ROM, et qui sont envoyées à l’imprimante avec une taille et un style fixés). Il est bien sur plus facile de travailler avec une police proportionnelle comme TRUETYPE, qui prend moins de place sur le disque dur, et qui permet d’imprimer les tailles de 4 à 255 points.La taille du papier (A4 en général)


Le PANNEAU de CONFIGURATION permet de définir les paramètres de configuration du système dans son ensemble.

Le PANNEAU de CONFIGURATION est constitué de modules qui correspondent à chaque partie du système :

ACCESSIBILITÉ pour adapter l’affichage aux personnes handicapées.AFFICHAGE pour gérer la taille des polices, le nombre de couleurs, la résolution de l’écran, pour modifier le gestionnaire de la carte vidéo ou celui du moniteur, pour personnaliser l’apparence du bureau, pour choisir un écran de veille et un arrière plan.


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AJOUT de PERIPHERIQUESAJOUT & SUPPRESSION de PROGRAMMESBUREAU de POSTE MICROSOFT MAIL pour gérer la messagerie électronique.CLAVIERCOURRIER & TELECOPIEDATE & HEUREIMPRIMANTESMANETTE de JEUMODEMSMOTS de PASSE pour changer de mot de passe WINDOWS.MULTIMEDIA pour régler le volume d’enregistrement du magnétophone (onglet AUDIO), pour installer un synthétiseur MIDI, pour préciser la lettre du lecteur de CDROM qui permet d’écouter les CD AUDIO, pour visualiser les fichiers .AVI en plein écran (onglet VIDEO), pour hiérarchiser les procédés de compression (CODECS) ou configurer les périphériques multimédia avec l’onglet AVANCEE.ODBCPARAMETRES REGIONAUXPOLICESRESEAUSONS pour attribuer des sons aux événements système (fichiers .WAV).SOURISSYSTEME pour consulter la liste des périphériques installés et leurs gestionnaires respectifs.

WORDPAD

WORDPAD est le traitement de texte livré avec WINDOWS 95. WORDPAD remplace WRITE.WORDPAD permet de générer des documents au format texte (.TXT), texte enrichi (.RTF) et au format WORD 6 pour WINDOWS (.DOC).

Le multimédia

Le multimédia consiste à mélanger plusieurs médias, comme le texte, les images (les desseins, les photographies), les vidéos, le son et bientôt les odeurs…

Le multimédia est la grande nouveauté de WINDOWS 95.

Le LECTEUR MULTIMEDIA permet la restitution de fichier sonores (.WAV, .MID) et des séquences vidéo numériques ( .AVI). Les vidéo sont plus fluides et la résolution meilleure avec l’architecture 32 bits de WINDOWS 95 qui est plus rapide, mais la qualité dépend du nombre de couleurs de la vidéo (256 à 16,7 millions), de la carte graphique et du gestionnaire d’écran.

Le MAGNETOPHONE permet d’enregistrer les signaux acoustiques du canal d’entrée actif (l’entrée du microphone ou le lecteur de CD par exemple). La qualité CD est égale à 44,1 KHz, 16 bits stéréo, et engendre des fichiers très volumineux.

Le CONTROLE du VOLUME permet de sélectionner le canal d’enregistrement et le canal de restitution, et de gérer le volume et la balance (entre les canaux de gauche et de droite).

Le LECTEUR de CD permet d’écouter des CD audio.

WINDOWS 95 autorise la connexion d’instrument MIDI comme des synthétiseurs au PC, et la décompression d’images animées à l’aide d’un matériel MPEG.

Le MODEM

Désormais, avec WINDOWS 95, il n’est plus nécessaire de définir des paramètres de modem pour chaque application, et les éditeurs de programmes de communication ne sont plus contraints de développer un pilote pour chaque modèle de matériel.

La configuration du modem s’applique à toutes les applications communiquant avec cette interface.


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L’installation d’un nouveau modem et la configuration du pilote du modem s’effectuent avec le module « modems » du PANNEAU de CONFIGURATION.

L’installation du modem s’effectue en appuyant sur le bouton AJOUTER qui lance la détection automatique du matériel. Si la détection automatique du modèle échoue, alors il faut choisir par mis la liste des constructeurs et des modèles. La plupart des modems sont compatibles HAYES. Le dernier recours consiste à choisir dans la liste des constructeurs l’option TYPES de MODEMS STANDARD et la vitesse en BPS (Bits Per Second). Le driver ainsi sélectionné correspond au minimum de fonctionnalités, mais l’appareil devrait fonctionner. Quand le gestionnaire de modem compatible WINDOWS 95 est fourni par le constructeur, il permet souvent d’utiliser des fonctionnalités particulières, alors il est possible de le sélectionner et de l’enregistrer avec le bouton DISQUETTE FOURNIE…

L’interface physique est presque toujours le port COM 2 (le port COM 1 étant réservé pour la souris). Les autres ports éventuels comme COM 3 et COM 4 ne sont pas toujours reconnus par le système et doivent être ajoutés dans le module « Ajout de Périphériques » du PANNEAU de CONFIGURATION.

Quand le modem ne réagit pas, le problème peut être occasionné par l’IRQ et/ou la plage mémoire des étendues E/S (Entrée-Sortie) qui sont affectés automatiquement au matériel ; il faut alors modifier ces paramètres avec le module « système » du PANNEAU de CONFIGURATION (onglet GESTIONNAIRE de PERIPHERIQUES, entrée PORTS, bouton PROPRIETES, onglet RESSOURCES). Les réglages de l’IRQ et de la plage mémoire se réfèrent directement au positionnement des cavaliers (JUMPER en anglais) sur la carte modem, et il faudra certainement consulter le manuel livré avec la carte modem et changer la disposition des cavaliers.

Une fois le matériel installé, il faut configurer le gestionnaire. La configuration du pilote s’effectue en sélectionnant le modem, s’il en existe plusieurs, et en appuyant sur le bouton PROPRIETES.

La configuration du modem permet de changer éventuellement différentes variables :

Le portLe volume des haut-parleursLa vitesse maximale de transmission (il faut sélectionner la vitesse la plus élevée, sans cocher la case SE CONNECTER UNIQUEMENT A CETTE VITESSE)

Les paramètres de connexion (onglet CONNEXION) permettent de définir la structure des données transmises :

8 bits en général (rarement 7 bits)AUCUN (NONE) bit de parité (rarement PAIR ou EVEN en anglais, IMPAIR ou ODD)Un bit d’arrêtActiver l’option ATTENDRE LA TONALITE POUR COMPOSER LE NUMEROActiver l’option ANNULER SI L’APPEL N’ABOUTIT PAS DANS et choisissez au moins 60 secondes pour que les deux modems aient le temps de s’accorder sur la vitesse de transmission. Activer l’option DECONNECTER UN APPEL SI INACTIF PLUS DE et choisissez 10 minutes pour ne payer trop longtemps une communication inutilisée.

En appuyant sur le bouton AVANCE…, il est possible de modifier d’autres variables :

Le TYPE de MODULATIONDes registres et des commandes AT dans PARAMETRES SUPPLEMENTAIRESActiver l’option UTILISER LE CONTROLE D’ERREURActiver l’option COMPRESSER LES DONNEESActiver l’option UTILISER LE CONTROLE DE FLUX et le bouton radio MATERIEL (RTS/CTS)

HYPERTERMINAL

Le programme HYPERTERMINAL permet de se connecter à des boites aux lettres électroniques et d’utiliser le PC comme un MINITEL.

Le NUMEROTEUR TELEPHONIQUE


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Le NUMEROTEUR TELEPHONIQUE permet de composer rapidement des numéros de téléphone, de définir plusieurs « lieu d’appel », et d’appeler en utilisant un carte téléphonique…

MICROSOFT EXCHANGE

MICROSOFT EXCHANGE permet d’échanger des messages électronique.

MICROSOFT EXCHANGE succède à MS-MAIL de WINDOWS pour WORKGROUPS, et est l’ancêtre de OUTLOOK de WINDOWS 98.

Pour utiliser les fonctionnalités de MICROSOFT EXCHANGE, il faut dans un premier temps installer les composants de WINDOWS 95 correspondant, et dans un deuxième temps configurer le programme (avec le module « Bureau de Poste Microsoft Mail » du PANNEAU de CONFIGURATION).

MICROSOFT FAX

MICROSOFT FAX permet d’envoyer et de recevoir des télécopies, d’éditer des pages de garde.

MICROSOFT FAX fait partie des composants de WINDOWS 95. MICROSOFT FAX requière l’installation de MICROSOFT EXCHANGE pour pouvoir fonctionner.

MS-BACKUP

MS-BACKUP permet d’effectuer des sauvegardes et de restaurer celles-ci.

Pour lancer MS-BACKUP :

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/BACKUP

SCANDISK

SCANDISK examine un disque dur, une disquette, un lecteur DOUBLESPACE ou DRIVESPACE, et corrige éventuellement les erreurs qu’il détecte. SCANDISK ne peut être utilisé sur un lecteur de CDROM, un lecteur réseau ou un lecteur redirigé avec la commande SUBST du DOS.

SCANDISK vérifie :

Les identificateurs de lecteurLes noms de fichiers longsLes liaisons croiséesLes chaînes perduesLa surface du disque

SCANDISK déplace les données des zones défectueuses et les blocs erronés sont considérés comme inutilisables.

Pour lancer SCANDISK (avec DEMARRER):

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/SCANDISK

Pour lancer SCANDISK (avec l’EXPLORATEUR):

Ouvrir l’EXPLORATEURClic droit sur le lecteur a analyserChoisir la commande PROPRIETES dans le menu contextuelOnglet OUTILSCliquer sur le bouton CONTROLER MAINTENANT


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DEFRAG

DEFRAG est le programme qui permet d’effectuer la défragmentation des fichiers d’un lecteur.

La défragmentation réunis les blocs d’enregistrement d’un même fichier sur une partie contiguë du lecteur et accélère ainsi l’accès au fichier.

Pour lancer DEFRAG (avec DEMARRER) :

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/DEFRAGMENTEUR de DISQUE

Pour lancer DEFRAG (avec l’EXPLORATEUR):

Ouvrir l’EXPLORATEURClic droit sur le lecteur a défragmenterChoisir la commande PROPRIETES dans le menu contextuelOnglet OUTILSCliquer sur le bouton DEFRAGMENTER MAINTENANT

DRIVE SPACE

DRIVE SPACE permet de compresser les données d’un lecteur et ainsi de gagner de l’espace.


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L’INTERFACE UTILISATEUR, LE BUREAU

Le mot de passe de session et les profils utilisateurs

Le choix d’un mot de passe

Un mot de passe trop facile à percer n’est pas d’une grande protection, mais un mot de passe trop difficile risque de nuire à son propre utilisateur.En règle générale, il est préférable de mélanger les types de caractères : lettres, chiffres, caractères spéciaux afin d’augmenter le champ des possibles occurrences ; il est aussi indispensable de choisir un nombre variable mais assez grand de caractères pour composer le mot de passe, ainsi il y aura d’autant plus de caractères à trouver ; enfin la durée de vie d’un mot de passe doit être assez courte, éventuellement changer à chaque utilisation, afin de limiter la période de temps dans laquelle un mot de passe est actif.

Bien entendu, le mot de passe est un moyen d’identifier un utilisateur, c’est pourquoi il doit rester personnel, mais c’est aussi un moyen de filtrer l’accès d’une ressource aux seuls personnes autorisées, aussi n’est-il pas recommandé de le laisser traîner à coté de l’ordinateur, que ce soit noir sur blanc ou de manière symbolique comme une photographie du chien par exemple.Enfin, un mot de passe ne sert à rien si tout le monde le connais, par contre il peut être utile de le placer sous enveloppe cachetée dans un lieu sûr, loin du site, à l’abris des regards, des caméras et des ondes magnétiques…« sécurité oblige »... C’est ce qui se passe dans les grandes sociétés pour le mot de passe de l’administrateur réseau.

Le mot de passe de session

Lors du premier démarrage de WINDOWS, l’utilisateur est convié à saisir un LOGIN et un mot de passe, lesquels lui seront demandés à chaque fois qu’il ouvrira une session. Quand plusieurs personnes se servent d’un même ordinateur, chacun peut avoir son propre profil UTILISATEUR, son propre LOGIN et son propre mot de passe. Pour identifier lequel des utilisateurs est en train d’ouvrir une session, et afin de charger le profil UTILISATEUR correspondant, WINDOWS demande , le LOGIN et le mot de passe de l’utilisateur, avant chaque ouverture de session.

Les mots de passe pour ouvrir une session WINDOWS portent l’extension .PWL et sont enregistrés sous forme codée dans le dossier :

C:\WINDOWS\nom_de_l’utilisateur.pwl.

En démarrant WINDOWS en mode SANS ECHEC, le système d’exploitation fait l’impasse sur l’identification de l’utilisateur ; si le fichier de mot de passe .PWL est supprimé, alors le système présente au démarrage la boite de dialogue pour créer un nouveau mot de passe …

Un programme comme PWLVIEW permet de décoder ce type de fichier :

http://www.webdon.com

Pour ouvrir une session, sans entrer de mot de passe, il faut un seul profil utilisateur (avec le module « mot de passe »)

Quand une seule personne utilise l’ordinateur, ou même si plusieurs personnes se servent du même ordinateur, mais qu’elles utilisent la même configuration matérielle et le même profil UTILISATEUR, alors il devient rapidement fastidieux de devoir rentrer un mot de passe dans la boite de dialogue qui s’affiche à chaque démarrage, il est même agaçant de devoir intervenir, d’autant plus qu’il suffit de fermer la boite dialogue pour passer outre cette formalité.Pour pallier cet intermède inopportun, il suffit de saisir un mot de passe vide et de spécifier que tous les utilisateurs de l’ordinateur utilisent le même profil UTILISATEUR.


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DEMARRER / PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONDouble-clic sur le module MOTS de PASSE (si l'onglet n'est pas visible, alors dans l'onglet profils UTILISATEUR cochez l'option LES utilisateurs PEUVENT PERSONNALISER LEURS PREFERENCES ET PARAMETRES bureau ainsi que les deux sous options qui se dégrisent et redémarrer le système):Onglet MODIFICATION DES MOTS de PASSEBouton CHANGER de MOT de PASSE WINDOWSSaisir l’ancien mot de passeLaisser vide le champ NOUVEAU MOT de PASSE

Onglet profils UTILISATEUROption TOUS LES utilisateurs de CET ORDINATEUR UTILISENT LES MEMES PREFERENCES ET PARAMETRES de bureau

Pour ouvrir une session, propre à chacun, il faut définir plusieurs profils utilisateurs (avec le module « utilisateurs »)

Quand plusieurs personnes utilisent le même ordinateur, il peut arriver que chacun souhaite adapter le bureau à sa façon, protéger ses documents personnels des regards indiscrets des autres utilisateurs, installer ses propres logiciels etc.Ainsi, est-il préférable pour chaque utilisateur d’ouvrir une session WINDOWS qui lui est propre.Par ailleurs, un utilisateur laborieux ou un chef de projets « surbooké » peut trouver intéressant d’avoir, pour lui-même, accès à plusieurs profils UTILISATEUR. Ainsi, dès l’ouverture d’une session WINDOWS, l’utilisateur est en mesure de choisir son profil ou son projet.L’ouverture d’une session charge un profil UTILISATEUR et ne relance pas toute la procédure de démarrage de WINDOWS. Ainsi, pour changer de session, il n’est pas besoin d’éteindre l’ordinateur et de relancer le système d’exploitation, il suffit de faire DEMARRER/DECONNEXION et de saisir le nom d’une nouvelle session.

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONDOUBLE CLIC sur le module utilisateurs

Dans le champ NOM D’UTILISATEUR saisir le nom de l’utilisateur ou celui du projetSUIVANT

Saisir un mot de passe et le confirmer (ou laisser le tout vierge)SUIVANT

Sous la rubrique ELEMENTS activer les options souhaitées, par exemple l’option dossier bureau ET MENU DOCUMENT pour enregistrer la configuration à chaque fermeture et l’option dossier MES DOCUMENTS pour gérer ses propres documentsActiver l’option copier LES ELEMENTS EN COURS ET LEUR CONTENU pour faire un double de la configuration actuelle, ou l’option CREER DES NOUVEAUX ELEMENTS pour restituer la configuration par défautSUIVANT

TERMINER

Les options du module MOT de PASSE ont été automatiquement changées

DEMARRER/DECONNEXIONOUISélectionner le nom de l’utilisateur ou celui du projet dans la boite de dialogueOK


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Les logos

Les écrans d’amorçage et de fermeture montrent systématiquement le logo de WINDOWS

L’écran d’amorçage, qui représente le logo de WINDOWS, apparaît systématiquement au démarrage du système d’exploitation quand les fichiers d’amorçages sont en train d’être chargés. L’écran d’amorçage masque les commandes inscrites dans les fichiers systèmes ; l’activation ou la désactivation de cet écran s’effectue dans le fichier système MSDOS.SYS.

Les deux écrans de fermeture, quant à eux, apparaissent systématiquement à l’arrêt de l’ordinateur. Le premier écran représente, encore, le logo de WINDOWS, c’est à dire une fenêtre multicolore sur fond bleue ciel, et il indique que le système d’exploitation est déchargé. Le deuxième écran de fermeture apparaît à la suite du premier écran de fermeture et stipule en ocre rouge sur fond noir que « Vous pouvez maintenant éteindre votre ordinateur en toute sécurité ». Les images de ces deux écrans de fermeture sont enregistrées dans deux fichiers systèmes :

C:\WINDOWS\LOGOS.SYSC:\WINDOWS\LOGOW.SYS

Les écrans d’amorçage et de fermetures répondent à des caractéristiques graphiques précises et incontournables :

129 080 octets au maximumFormat .BMP uniquementRésolution de 320 de largeur et 400 de hauteur

Pour démarrer l’ordinateur sans le logo de WINDOWS (avec MSDOS.SYS)

Il faut dans un premier temps afficher tous les fichiers (attribut CACHE) et désactiver la protection en écriture (attribut LECTURE SEULE) :

Ouvrir l’EXPLORATEURDEMARRER/PROGRAMMES/EXPLORATEUR WINDOWS

Afficher tous les dossiers, même les fichiers cachésAFFICHER/OPTIONS DES DOSSIERSOnglet AFFICHAGEActiver l’option AFFICHER TOUS LES fichiersOK

Désactiver la protection en écriture du fichierClic droit sur le fichier :

C:\MSDOS.SYS

Choisir la commande PROPRIETESDésactiver l’option d’attribut LECTURE SEULEOK

Dans un deuxième temps, il faut ouvrir le fichier MSDOS.SYS avec l’éditeur NOTEPAD et insérer la commande « LOGO=0 » sous la rubrique [OPTIONS] :

Ouvrir le fichier C:\MSDOS.SYS avec l’éditeur NOTEPADClic droit sur le fichier C:\MSDOS.SYSChoisir la commande OUVRIR AVEC…Sélectionner le programme NOTEPADDésactiver l’option TOUJOURS UTILISER CE PROGRAMME POUR OUVRIR CE TYPE de fichierOK

Ecrire sous la section [Options]


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Logo=0

ENREGISTRER le fichier modifié et réactiver l’option LECTURE SEULERedémarrer WINDOWS pour prendre en compte les nouveaux paramètres

Pour modifier les logos des écrans de fermeture de WINDOWS (avec LOGOS.SYS et LOGOW.SYS)

Il faut dans un premier temps, pouvoir visualiser ces fichiers dont l’attribut est par défaut caché :

Ouvrir l’EXPLORATEURAFFICHAGE/OPTIONS DES DOSSIERSOnglet AFFICHAGEOption AFFICHER TOUS LES fichiersOK

Dans un deuxième temps, il faut par principe de précaution, effectuer une sauvegarde des fichiers LOGOS.SYS et LOGOW.SYS :

Dans l’EXPLORATEUR rechercher les fichiers LOGOS.SYS et LOGOW.SYS dans le dossier :


Sélectionner les deux fichiers en maintenant la touche CTRL enfoncéeCLIC DROIT et choisir copierOuvrir un autre dossier éventuellement dans une autre partition et COLLER les deux fichiers

Dans un troisième temps, il faut modifier les fichiers initiaux avec un logiciel graphique comme PAINT :

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/PAINTFICHIER/OUVRIRDans le champ TYPE de fichiers sélectionner TOUS pour visualiser aussi les extensions. SYSRechercher dans l’arborescence le fichier LOGO :


Modifier à façon les deux fichiers :

Par exemple EDITION/SELECTIONNER TOUTBouton SUPPR et remplir l’espace de noir…

FICHIER/ENREGISTRERFICHIER/QUITTER

Pour supprimer une image d’arrière plan du bureau comme le logo du constructeur (avec le module « affichage »)

CLIC-DROIT sur un emplacement libre du bureauPROPRIETES du menu contextuelOnglet ARRIERE-PLANSRubrique PAPIER PEINT sélectionner AUCUNBouton APPLIQUER

La commande « C:\windows\rundll.exe user,exitwindows »


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Pour créer un raccourci sur le bureau qui commande la fermeture du système d’exploitation et l’arrêt de l’ordinateur (avec « C:\WINDOWS\RUNDLL.EXE_user,exitwindows »)

CLIC-DROIT sur un emplacement libre du bureauNOUVEAU/RACCOURCI

Saisir dans la zone cible :

« C:\WINDOWS\RUNDLL.EXE user,exitwindows »Ou « C:\WINDOWS\RUNDLL32.EXE user,exitwindows »

Il faut un espace entre « C:\WINDOWS\RUNDLL.EXE » et « user,exitwindows » , mais il ne faut pas d’espace après la virgule…

La protection du répertoire C:\windows\

Pour enlever le message d’avertissement qui apparaît quand, en mode d’affichage web, l’utilisateur souhaite accéder avec l’EXPLORATEUR aux répertoires de WINDOWS (avec DESKTOP.INI et FOLDER.HTT)

Chercher les fichiers dans l’EXPLORATEUR :

C:\WINDOWS\DESKTOP.INIC:\WINDOWS\FOLDER.HTT

Renommer ces deux fichiers en remplaçant la dernière lettre de leur extension par un UNDERSCORE : DESKTOP.IN_ et FOLDER.HT_

Le bureau

Le bureau est l’interface du programme WINDOWS

Le bureau est l’interface graphique qui apparaît sur l’écran une fois terminée la procédure de démarrage du système d’exploitation WINDOWS. Par défaut, y figure un certain nombre d’icônes, dont au moins :

Les icônes de gestion des documents :

La CORBEILLELe POSTE de TRAVAILLe dossier Mes DocumentsLe dossier Porte Documents

Les icônes réseaux :

INTERNET EXPLOREROUTLOOK EXPRESSUn assistant de configuration pour la connexion INTERNET…

En faisant un clic droit sur un endroit vierge du bureau apparaît le menu contextuel du bureau.Le menu contextuel du bureau propose différentes commandes, pour créer un raccourci sur le bureau, pour aligner les icônes, etc.

Le menu contextuel du bureau propose la commande NOUVEAU à l’intérieure de laquelle figurent un choix de types de documents qu’il est possible d’ouvrir depuis le bureau, sans passer par l’ouverture préalable de l’application à laquelle ils sont associée. Le choix, des types de documents qui figurent dans la commande NOUVEAU, dépend des applications qui ont été installées sur l’ordinateur. Les applications sont généralement associées à un type de document identifiable par l’extension que portent les fichiers qui en sont issus. L’installation d’une application sur un ordinateur est suivie par le système d’exploitation qui identifie le


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principal type de fichier géré par l’application, et place un raccourci de ce type de fichier dans la commande NOUVEAU du menu contextuel du bureau. Quand de nombreuses applications ont été installées sur un ordinateur, de nombreux types de fichiers figurent dans la commande NOUVEAU du menu contextuel du bureau, et il est parfois urgent d’en limiter le foisonnement, surtout si l’application associée a été désinstallée…

Le bureau est l’interface du programme WINDOWS et symbolise le plan de travail d’un véritable bureau avec des pieds...Juste après une installation, le bureau est d’une apparence standard bleue gris, avec les icônes de base comme la CORBEILLE, le poste de travail, le porte documents et INTERNET explorer…

L’apparence du bureau, les écrans de veille, les paramètres d’affichage peuvent être personnalisées grâce au module AFFICHAGE du panneau de configuration (qui est accessible avec un clic droit sur un emplacement vide du bureau et la commande PROPRIETES).

Les paramètres de l’apparence du bureau peuvent être enregistrés comme un modèle de thème qui se retrouve enregistré dans le répertoire :

C:\Program Files\Plus!\Themes\nom_du_theme.THEME

Chaque profil utilisateur peut personnaliser ses propres paramètres de bureau.

Pour personnaliser les nombreux paramètres relatifs à l’apparence du bureau (avec le module « affichage »)

CLIC-DROIT sur un espace libre du bureauDans le menu contextuel choisir PROPRIETESOnglet APPARENCE

Dans le champ ELEMENTS figurent les nombreux paramètres à configurerSélectionner un élément et dans les autres champs choisir la taille, la couleur…CLIQUER sur le bouton ENREGISTRER SOUS… Dans la boite dialogue saisir un nom pour mémoriser les paramètres, alors les paramètres sélectionnés sont enregistrés comme un modèle

Bouton APPLIQUEROK

Pour créer un profil utilisateur qui pourra être chargé dès l’ouverture d’une session (avec le module « utilisateurs »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule utilisateurs

Bouton NOUVEL UTILISATEUR pour lancer l’assistant de création d’un nouvel utilisateurSaisir un nom identifiantBouton SUIVANTSaisir éventuellement un MOT de PASSEBouton SUIVANT

Choisir les paramètres souhaitésOption copier LES ELEMENTS EN COURS ET LEURS CONTENUS pour reprendre les paramètres en coursOption dossier bureau ET MENU DOCUMENT

Bouton SUIVANTBouton TERMINER


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Pour changer les paramètres et le mot de passe d’un profil utilisateur (avec le module « utilisateurs »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule utilisateursBouton MODIFIER

Pour changer de session sans redémarrer l’ordinateur (avec le bouton DEMARRER)

DEMARRER/DECONNEXION « ___________ »

Les thèmes de bureau

Un ensemble de thèmes de bureau est proposé comme modèles pour personnaliser l’apparence du bureau, mais il est toujours plus convivial de créer soi-même l’environnement de travail que l’on a tout le temps devant les yeux. Une fois les paramètres du bureau sélectionnés il faut absolument les enregistrer comme modèle, ils se trouvent dès lors dans le répertoire suivant :

C:\Program Files\Plus!\Themes\nom_du_theme.THEME.

Les thèmes de bureau, les icônes systèmes, les papiers peints, les sons systèmes et les curseurs proposés par le PACK PLUS se retrouvent dans le répertoire :

C:\Program Files\Plus!\Themes

Pour désinstaller les thèmes de bureau que propose WINDOWS (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)

DEMARRER / PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONAJOUT&SUPPRESSION de PROGRAMMESDans le champ COMPOSANTS sélectionner l’entrée THEMES de bureauCliquer sur le bouton DETAILSDésactiver les options inutilesOK

Pour créer un raccourci sur le bureau (avec un clic droit)

CLIC-DROIT sur un endroit vide du bureauNOUVEAU/raccourciPARCOURIRChercher le fichierOUVRIRRenommer le raccourciTERMINER

Pour supprimer un type de document dans la commande NOUVEAU du menu contextuel du bureau (avec REGEDIT)

Ouvrir la base de REGISTRE

Ouvrir la clef principale HKEY_CLASSES_ROOT

Rechercher et ouvrir l’arborescence de l’entrée correspondant à l’extension qui identifie le type de fichier qui doit être supprimé de la commande NOUVEAU du menu contextuel du bureau (avec le nom du type de fichier…)L’arborescence du volet gauche doit comporter une entrée SHELLNEW qu’il faut supprimer…


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Redémarrer l’ordinateur

Pour créer un raccourci correspondant à un type de fichier dans la commande NOUVEAU du menu contextuel du bureau (avec REGEDIT)

Ouvrir la base de REGISTRE

Ouvrir la clef principale HKEY_CLASSES_ROOT

Rechercher et ouvrir l’arborescence de l’entrée correspondant à l’extension qui identifie le type de fichier qui doit être ajouter dans la commande NOUVEAU du menu contextuel du bureau (avec le nom du type de fichier…)Créer une nouvelle clef et renommer là « SHELLNEW » dans l’arborescence du volet gauche.Créer une entrée de type VALEUR CHAINE dans le volet droit correspondant à la nouvelle clef SHELLNEW, et renommer cette nouvelle entrée « NullFile », et lui laisser la valeur vide « ».


Pour optimiser la résolution et le nombre de couleurs de l’écran (avec le module « affichage »)

CLIC-DROIT sur un emplacement libre du bureauPROPRIETESOnglet PARAMETRESRubrique ZONE D’ECRAN choisir 1024 par 768 pixelsRubrique couleurs sélectionner 32 bits TRUE COLORS

Pour changer l’image d’une icône du bureau (avec un clic droit)

Sélectionner l’icône avec un CLIC DROITPROPRIETESOnglet raccourciBouton CHANGER D’icônePARCOURIR pour sélectionner une icône, un fichier .ICO

C:\WINDOWS\SYSTEM\SHELL32.DLL

OUVRIRSélectionner une icôneOK

Une autre solution est d’utiliser les icônes disponibles sur des CDROMs ou sur INTERNET…

Le menu DEMARRER

Le menu DEMARRER est un moyen d’accès aux programmes et aux fichiers

Les principaux programmes installés sur l’ordinateur sont réunis dans DEMARRER/PROGRAMMES : pour les visualiser, il suffit de cliquer sur le bouton DEMARRER, situé en bas à gauche de la barre des tâches, puis de sélectionner la commande PROGRAMMES dans le menu déroulant qui apparaît ; s’affiche alors, un deuxième menu déroulant qui rassemble les raccourcis des principaux programmes installés sur l’ordinateur. Pour lancer l’un de ces programmes, il suffit alors de cliquer sur son nom.Les raccourcis de ces programmes, pour figurer dans DEMARRER/PROGRAMMES, sont placés pendant la routine d’installation dans le dossier :

C:\WINDOWS\MENU DEMARRER.


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Quand il existe plusieurs profils UTILISATEUR, chaque utilisateur peut disposer de sa propre liste de programmes dans DEMARRER/PROGRAMMES. Les raccourcis des programmes sont placés dans le dossier :

C:\WINDOWS\ profilES\nom_du_profil_utilisateur\MENU DEMARRER.

Les programmes qui figurent dans l’arborescence de DEMARRER/PROGRAMMES peuvent être déplacés, rassemblés dans des dossiers ou supprimés selon l’envie, l’humeur ou les idées de l’organisation de l’utilisateur. Il existe trois façons différentes de procéder à un aménagement du menu démarrer : avec la barre des tâches, avec l’EXPLORATEUR ou avec des glisser déplacer.

Pour afficher de petites icônes dans le menu DEMARRER (avec la barre des tâches)

CLIC DROIT sur la barre DES TACHESPROPRIETESOption AFFICHER DES PETITES icônes DANS LE MENU DEMARRER

Pour aménager le menu DEMARRER (avec un glisser déplacer du clic gauche)

Sélectionner un programmeClic gauche en maintenant la pressionGLISSER-DEPLACER jusqu’à l’endroit souhaité, une petite ligne noire indique l’endroit où le raccourci peut atterrir…

Pour aménager le menu DEMARRER (avec la barre des tâches)

DEMARRER/PARAMETRESbarre DES TACHES ET MENU DEMARREROnglet PROGRAMME DU MENU DEMARRERCliquer sur le bouton AJOUTER

Saisir dans le champ LIGNE de COMMANDE le chemin d’accès et le nom du programme ou cliquer sur PARCOURIRBouton SUIVANTDéterminer un emplacement et/ou un groupe de programmesBouton SUIVANTSaisir le titre du programmeBouton TERMINER

Pour aménager le menu DEMARRER (avec un glisser déplacer du clic droit)

Ouvrir l’EXPLORATEURRechercher manuellement le programme ou lancer une rechercheOUTILS / RECHERCHER / fichier OU dossierSaisir le nom du programme recherché

Sélectionner le programme avec un CLIC DROITDans le menu contextuel choisir la commande CREER UN raccourciSélectionner en fin de liste, au bas de la page, le raccourci du programme avec un CLIC DROITDans le menu contextuel choisir la commande RENOMMER et renommer le fichier.

Effectuer un glisser déplacer, avec le bouton droit de la souris, vers le BOUTON DEMARRER, en laissant le pointeur de la souris sur le bouton DEMARRER quelques instants, celui-ci développe son arborescence. Remonter l’arborescence jusqu’à PROGRAMMES et ainsi de suite…Lâcher le maintient du clic droit sur l’emplacement souhaité, là où apparaît une petite ligne noire.Dans le menu contextuel choisir DEPLACER ICI pour changer le raccourci de place, ou choisir CREER UN OU DES raccourcis ICI.


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Pour aménager le menu DEMARRER (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEUR

C:\WINDOWS\Menu Démarrer

Selon ses propres convenances créer des dossiers, des dossiers à l’intérieur des dossiers, les renommer, et placer les raccourcis des programmes ou des fichiers que l’on souhaite y voir figurer…

La barre des tâches

La barre des tâches s’affiche en bas de l’écran dès l’ouverture du système

La barre des tâches est une barre qui s’affiche en bas de l’écran dès l’ouverture de WINDOWS. La barre des tâches accueille des boutons et des barres :

Le bouton DEMARRERLes barres d’outilsLes boutons des programmes actifsLa barre système

Les propriétés de la barre des tâches peuvent être modifiées en effectuant un clic droit sur la barre des tâches et en choisissant la commande PROPRIETES du menu contextuel, puis l’onglet OPTION de la barre des tâches. Ainsi, la barre des tâches peut être toujours visible, ou être masquer afin de laisser plus de place aux interfaces des programmes. Quand la barre des tâches est masquée, il suffit alors de laisser quelques secondes le pointeur de la souris en bas de l’écran pour la faire réapparaître…

La boite de dialogue des PROPRIETES de la barre des tâches propose également dans l’onglet PROGRAMMES DU MENU DEMARRER de modifier l’arborescence du MENU DEMARRER.

Le bouton DEMARRER

Le bouton DEMARRER regroupe un ensemble de commandes et de dossiers

Le bouton DEMARRER, tout à gauche de la barre des tâches, regroupe un ensemble de commandes et de dossiers, et tout en haut un espace personnalisable ou peuvent se glisser les raccourcis que l’on souhaite y voir :

Le bouton ARRETER..Le bouton DECONNEXIONLe bouton EXECUTERLe bouton d’AIDE

Le dossier RECHERCHERLe dossier PARAMETRESLe dossier DOCUMENTSLe dossier FAVORISLe dossier PROGRAMMES

L’espace personnalisable

Le bouton ARRETER… pour arrêter l’ordinateur ou le mettre en veille, redémarrer WINDOWS ou redémarrer en mode MS-DOS.Le bouton DECONNEXION pour fermer une session et éventuellement en changer.Le bouton EXECUTER pour saisir le nom exacte d’un programme afin de le lancer.Le bouton d’AIDE qui permet d’accéder à l’aide de WINDOWS.

Le dossier RECHERCHER qui permet de rechercher des fichiers OU dossiers dans l’EXPLORATEUR, des PERSONNES dans le CARNET D’ADRESSE ou des sites INTERNET en ouvrant le logiciel de navigation.


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Le dossier PARAMETRES qui permet d’accéder aux modules du PANNEAU de CONFIGURATION, à la gestion des IMPRIMANTES, à la configuration de la barre DES TACHES ET DU MENU DEMARRER, aux OPTIONS DES dossiers, à ACTIVE DESKTOP et à WINDOWS UPDATE.Le dossier DOCUMENTS qui permet d’ouvrir le dossier MES DOCUMENTS et les documents récemment ouverts.Le dossier FAVORIS qui restitue l’arborescence du dossier :

C:\WINDOWS\FAVORIS

Le dossier PROGRAMMES regroupe l’ensemble des raccourcis du MENU DEMARRER.

L’espace personnalisable peut accueillir tous les raccourcis de programmes, de dossiers ou de fichiers que l’on souhaite. Y figure par défaut le raccourci WINDOWS UPDATE qui lance le programme de mise à jour :

C:\WINDOWS\WUPDMGR.EXE

WINDOWS UPDATE lance le navigateur, se connecte automatiquement au site INTERNET de MICROSOFT pour effectuer une évaluation de la configuration matérielle et logiciel de votre ordinateur, et propose le téléchargement des mises à jour…

Les barres d’outils

Les barres d’outils s’insèrent généralement au centre de la barre des tâches

Les barres d’outils s’insèrent généralement au centre de la barre des tâches, c’est là qu’elles apparaissent une fois qu’elles sont crées, soit à n’importe quel endroit du bureau, elles peuvent être en effet extraites de la barre des tâches en effectuant un glisser déplacer sur la poignée située à gauche qui délimite toutes les barres :

La barre de lancement rapideLa barre de liensLa barre d’adresseLa barre du bureauLes barres d’outils personnalisées

Les barres d’outils peuvent être configurées de manière à modifier leur apparence et de façon à indiquer ou non certaines informations comme le titre de la barre, le nom des objets qu’elle renferme etc.…Pour accéder à ces paramètres, il faut faire un clic droit sur la poignée de la barre située à gauche et, cocher ou décocher, les options correspondantes.

La barre de lancement rapide est une barre où peuvent être glissés les raccourcis des programmes les plus utilisés, un seul clic suffit alors pour lancer le programme.

La barre de liens regroupe un ensemble de liens hypertextes pointant vers des sites INTERNET. Un certain nombre de liens y sont déjà préparés, mais d’autres peuvent s’y adjoindre et enrichir la collection :

C:\WINDOWS\Favoris\Liens

La barre d’adresse se présente comme un champ de saisie vierge où peuvent être tapées les adresses de sites INTERNET. C’est la même barre d’adresse qui se retrouve dans le navigateur ou dans l’EXPLORATEUR. La barre d’adresse comporte un menu déroulant indiqué par la flèche vers le bas et propose ainsi les dernières adresses saisies.

La barre du bureau rassemble tous les raccourcis présents sur le bureau.

Les barres d’outils personnalisées rassemble les fichiers de l’un des dossiers de l’EXPLORATEUR.

Les boutons des programmes actifs dans la barre d’outils


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Les boutons des programmes actifs représentent les programmes qui ont étés lancés et qui sont toujours chargés en mémoire vive. Le bouton d’un programme actif porte le nom du programme et le bouton peut être en deux positions exclusives l’une de l’autre : soit le bouton est enfoncé et cela signifie que l’interface du programme apparaît à l’écran, soit le bouton n’est pas enfoncé et cela signifie que l’interface du programme est réduite au bouton de la barre des tâches.

Un clic gauche sur le bouton d’un programme actif restaure le programme et son interface apparaît alors à l’écran.Un clic droit sur le bouton d’un programme actif affiche le menu contextuel qui lui est associé avec les commandes RESTAURATION, REDUCTION et FERMETURE.

La barre système

La barre système, tout à droite de la barre des tâches, rassemble l’horloge et d’autres icônes de programmes systèmes.

L’icône de l’horloge apparaît dans la barre système lorsque l’option est activée dans les PROPRIETES de la barre DES TACHES.L’horloge indique l’heure selon le format qui est spécifié dans le module PARAMETRES REGIONAUX du PANNEAU de CONFIGURATION. Quand le pointeur de la souris reste dessus l’horloge quelques seconde, alors une bulle d’aide affiche le jour et la date. Un double clic sur l’horloge permet d’afficher le module DATE & HEURES du PANNEAU de CONFIGURATION.

Les icônes des programmes systèmes qui figurent dans la barre système sont placés là, soit pendant l’installation du programme, soit lors du lancement du programme.

L’icône du volume apparaît dans la barre système lorsque l’option est activée dans le module MULTIMEDIA du PANNEAU de CONFIGURATION.L’icône des propriétés de l’affichage apparaît dans la barre système lorsque l’option est activée dans le module AFFICHAGE du PANNEAU de CONFIGURATION.

Pour déplacer la barre des tâches sur l’un des cotés de l’écran (avec un glisser déplacer)

Faire un GLISSER-DEPLACER vers l’un des cotés de l’écran

Pour réduire toutes les fenêtres actives et faire apparaître le bureau (avec la barre de lancement rapide)

Cliquer sur l’icône bureau de la barre de lancement rapide

Pour installer une application dans la barre de lancement rapide (avec un glisser déplacer)

Sélectionner l’application dans l’EXPLORATEUREffectuer un GLISSER-DEPLACER

Pour supprimer une application de la barre de lancement rapide (avec un clic droit)

Effectuer un CLIC-DROIT sur l’icôneDans le menu contextuel SUPPRIMER

Pour restaurer une application réduite dans la barre des tâches (avec un clic gauche)

Cliquer sur le bouton représentant l’application

Les raccourcis clavier

Les raccourcis clavier standards

Presque tous les évènements effectués avec la souris sont réalisables avec des raccourcis clavier.

Certains raccourcis clavier sont standards, ils fonctionnent dans Windows et même avec d’autres applications…


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Pour déclencher un raccourci clavier, il suffit d’appuyer sur la touche correspondante ; quand le raccourci clavier est composé de plusieurs touches, alors il faut maintenir appuyées les touches successives.Les programmes comme WORD ou EXCEL possèdent leurs propres raccourcis claviers. Les raccourcis claviers sont alors applicables dans le contexte du programme et déclenchent des fonctions spécifiques du programme parmi celles les plus usitées.

Les raccourcis clavier ne fonctionnent pas toujours quel que soit l’endroit où l’on se trouve, et dépendent de l’interface qui est active…

Fonction Raccourcis claviersAfficher l’AIDE F1RENOMMER l’objet sélectionné F2Ouvrir la boite de dialogue RECHERCHER dans l’EXPLORATEUR

F3CTRL + F

Dérouler la liste de la barre d’ADRESSE F4ACTUALISER ou mettre à jour l’affichage F5ALTERNER entre les volets gauche et droit de la fenêtre, ou entre la barre de liens et la barre d’adresse

F6

ACTIVER la barre de menu F10

AFFICHER le sous dossier dans l’EXPLORATEUR + du pavé numériqueMASQUER les sous dossiers - du pavé numériqueAFFICHER tous les sous dossiers * du pavé numériqueOUVRIR le dossier en cours ou le sous dossier La flèche droite du pavé numériqueFERMER le dossier ou PASSER au dossier supérieur La flèche gauche du pavé numérique

EFFACER une zone sélectionnée SUPPREFFACER DEFINITIVEMENT un fichier MAJ + SUPPRQUITTER une application ALT + F4Stopper le lancement d’un CD MAJAfficher le MENU CONTEXTUEL d’un objet MAJ + F10

OUVRIR un fichier AVEC un autre programme MAJ + CLIC DROITcopier une zone sélectionnée CTRL + Ccopier avec GLISSER DEPLACER CTRL + CLIC GAUCHEDEPLACER avec GLISSER DEPLACER MAJ + CLIC GAUCHEcopier avec GLISSER DEPLACER CLIC DROIT + copier ICICOUPER une zone sélectionnée CTRL + XDEPLACER sur un seul lecteur CLIC DROIT + DEPLACER ICICOLLER une zone copier ou couper CTRL + V

ANNULER la dernière action CTRL + ZDérouler le menu DEMARRER CTRL + ECHAP ou la touche WINDOWS…Effectuer une recherche F3Lancer l’EXPLORATEUR Touches WINDOWS + ERéduire toutes les fenêtres ouvertes Touches WINDOWS + DAnnuler la réduction de toutes les fenêtres Touches WINDOWS + MAJ + MFIN de TACHE d’un programme, et déblocage CTRL + ALT + SUPPRALTERNER l’activité d’une zone F6Active LA barre de MENU F10SELECTIONNER TOUT CTRL + ALa fenêtre PROPRIETES d’un objet sélectionné ALT + ENTREEAfficher la fenêtre PROPRIETE d’un fichier ALT + DOUBLE CLIC

Aller à la FIN d’un document CTRL + FINAller au début d’un document CTRL + ORIGINEAller au début de la page suivante CTRL + PAGE DOWNAller au début de la page précédente CTRL + PAGE UP


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Des raccourcis personnalisables peuvent être associés à des icônes ou des fonctions …Les logiciels de bureautique de MICROSOFT proposent des raccourcis associés aux fonctions les plus usitées.

Pour attribuer un raccourci clavier à un fichier ou une icône du bureau (avec un clic droit)

Presque tous les objets de l’interface de WINDOWS ont un menu contextuel qui apparaît après un clic droit sur l’objet. Les dossiers, les fichiers ou les icônes possèdent chacun leur propre menu contextuel dans lequel apparaissent généralement plusieurs commandes. Parmi ces commandes une seule est écrite en gras pour indiquer que c’est la commande par défaut, c’est à dire la commande qui s’exécute quand l’utilisateur effectue un double clic dessus.Il est possible d’associer à cette commande par défaut un raccourci clavier. Il faut toutefois que la commande PROPRIETES du menu contextuel du fichier ou de l’icône présente l’onglet raccourci, et pour que cela soit le cas, il faut que le fichier ou l’icône soit placé sur le bureau.Seuls les raccourcis des fichiers et des icônes qui sont placés sur le bureau peuvent être associés à un raccourci clavier.Dans INTERNET EXPLORER, des raccourcis clavier peuvent être associés à des adresses INTERNET de la barre de LIENS.Tous les raccourcis clavier créés par l’utilisateur commencent par les touches CTRL + ALT.

Sélectionner un fichier ou une icône du bureau avec un CLIC-DROITPROPRIETESOnglet raccourcisDans le champ TOUCHE de raccourci saisir une lettre, par défaut le raccourci commencera par les touches CTRL + ALTAPPLIQUERFERMER

La CORBEILLE

La CORBEILLE est un dossier spécial qui accueille automatiquement tous les objets qui ont été supprimés

Toutes les racines des lecteurs (C:\, D:\, etc.…) comporte un dossier caché qui s’intitule RECYCLE et qui correspond en français à la CORBEILLE ou la poubelle. Le dossier de la CORBEILLE est un dossier spécial qui accueille automatiquement tous les objets qui ont été supprimés. C’est une sorte de sas par lequel transitent les fichiers, les dossiers et les icônes qui ont été supprimés.

La configuration de la CORBEILLE peut être individualisée pour chaque lecteur ou globalisée pour tous les lecteurs. Le lecteur de disquette ne comporte pas de CORBEILLE, aussi les fichiers supprimés, le sont directement…

Les objets qui figurent toujours dans la CORBEILLE ne sont pas perdus et peuvent être encore restaurés (avec la commande RESTAURER dans l’interface ou dans le menu contextuel de la CORBEILLE, les fichiers restaurés retourne à leur emplacement d’origine). Par contre, si la CORBEILLE est vidée, alors les objets qu’elle contenait sont perdus. En fait, ils sont rayés de la table d’allocation des fichiers (FAT) et ne sont donc plus répertoriés. Ils sont irrécupérables depuis l’interface de WINDOWS, puisqu’ils sont virtuellement effacés du disque dur, mais ils ne sont pas réellement détruits, la place qu’ils occupaient est rendue disponible et peut être à tout moment occupée pour stocker une autre donnée. Seuls des programmes spécialisés dans la lecture octet par octet du disque dur sont capables de retrouver la trace des fichiers disparus et éventuellement de les récupérer…

Il existe des programmes comme NORTON qui effectuent une surveillance de la CORBEILLE et réduit les risques de perte de données, mais encor faut-il installer le programme de surveillance avant que n’advienne le dommage.

Pour changer la capacité maximale de la CORBEILLE qui est égale par défaut à 10% du disque dur (avec un clic droit)

CLIC-DROIT sur l’icône de la CORBEILLE


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Choisir PROPRIETESChanger le pourcentage du disque dur réservé à la CORBEILLE

Pour supprimer directement des fichiers, sans passer par la CORBEILLE et sans afficher le demande de confirmation pour vider la CORBEILLE (avec un clic droit)

CLIC-DROIT sur l’icône de la CORBEILLEChoisir PROPRIETESOnglet GENERALOption UTILISER UN PARAMETRE POUR TOUS LES lecteursOption NE PAS DEPLACER LES fichiers VERS LA CORBEILLE

Désactiver l’option AFFICHER LA DEMANDE de CONFIRMATION de SUPPRESSIONOK

Pour vider la CORBEILLE (avec un clic droit)

CLIC-DROIT sur la CORBEILLEChoisir VIDER LA CORBEILLEOUI

Pour vider la CORBEILLE (avec un double clic)

Ouvrir la CORBEILLE en double cliquant sur son icôneFICHIER/VIDER LA CORBEILLEFermer la CORBEILLE


Le PANNEAU de CONFIGURATION regroupe les modules de configuration

Le panneau de configuration (CONTROL PANEL en anglais) est la réunion d’un ensemble d’icônes qui sont appelés modules. A chaque module correspond un élément de l’ordinateur ou du système d’exploitation, et permet de le configurer…

Les modules du panneau de configuration portent tous l’extension .CPL et se trouvent dans le dossier :

C:\WINDOWS\SYSTEM

Nom du fichier .CPL Module du Panneau de ConfigurationACCESS.CPL Options d’AccessibilitéAPPWIZ.CPL Ajout & Suppression de ProgrammesTIMEDATE.CPL Date & HeuresTHEMES.CPL Thème du BureauDESK.CPL AffichageINETCPL.CPL INTERNETJOY.CPL Contrôleur de Jeuxmodem.CPL ModemsMMSYS.CPL MultimédiaNETCPL.CPL RéseauPASSWORD.CPL Mots de PasseINTL.CPL Paramètres RégionauxSYSDM.CPL SystèmeTELEPHON.CPL TéléphoniePOWERCFG.CPL Gestion de l’AlimentationMAIN.CPL Souris, Clavier, Imprimantes et Polices…

Pour afficher les modules du PANNEAU de CONFIGURATION (avec DEMARRER)


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DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATION

Pour afficher les modules du PANNEAU de CONFIGURATION (avec l’EXPLORER)


C:\WINDOWS\CONTROL.EXE

Pour afficher les modules du PANNEAU de CONFIGURATION (avec le POSTE de TRAVAIL)

Ouvrir le POSTE de TRAVAILDouble cliquer sur l’icône du panneau de configuration

Pour afficher les modules du PANNEAU de CONFIGURATION (avec « control.exe »)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « control »

OK

Pour afficher les modules qui ne figurent pas dans le PANNEAU de CONFIGURATION (avec CONTROL.INI)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « control.ini »OKSous le paragraphe [DON’T LOAD] figurent les modules qui ne sont pas chargés

Pour ne pas faire apparaître un module dans le PANNEAU de CONFIGURATION (avec CONTROL.INI)

Rechercher le fichier « .CPL » pour connaître son nom en anglais (par exemple « modem ») dans le dossier suivant :

C:\WINDOWS\SYSTEM

Ouvrir le fichier CONTROL.INIDEMARRER/EXECUTERSaisir « control.ini »OK

Sous le paragraphe [DON’T LOAD] saisir « modem.cpl=no »

Les COMPOSANTS de WINDOWS

Les COMPOSANTS de WINDOWS sont des parties du système d’exploitation

Les composants de WINDOWS sont des parties du système d’exploitation. Pendant l’installation de WINDOWS, il faut choisir le type d’installation, minimale, standard, complète ou personnalisée. Selon le type d’installation choisie, une partie plus ou moins grande ou la totalité des composants de WINDOWS sont installés.

Tous les composants de WINDOWS ne sont donc pas tous forcément installés, et ils ne sont pas tous forcément indispensables ; chaque utilisateur peut faire son choix en fonction de ses besoins et de la quantité d’espace mémoire de libre sur le disque dur.Il est tout aussi facile de supprimer certains des composants installés à un moment donné que d’en rajouter (moyennant le CDROM d’installation).


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Les composants installés sont cochés dans le module AJOUT & SUPPRESSION de PROGRAMMES du PANNEAU de CONFIGURATION.

Pour visualiser, ajouter ou supprimer les COMPOSANTS de WINDOWS (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONAJOUT&SUPPRESSION de PROGRAMMESOnglet INSTALLATION de WINDOWS

Sous la rubrique COMPOSANTS figurent les groupes de composants et la taille de chacunSélectionner un groupe de composantsBouton DETAILS pour visualiser les options du groupe qui sont sélectionnéesCocher ou décocher les options permet de l’ajouter ou de la supprimerOKOK

Pour visualiser, ajouter ou supprimer les COMPOSANTS de WINDOWS (par l’intermédiaire de l’utilitaire système de nettoyage du disque)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEMES/NETTOYAGE de disqueSélectionner le lecteur principal C:\OKOnglet PLUS D’OPTIONSDans l’une des rubriques COMPOSANTS WINDOWS ou PROGRAMMES INSTALLES cliquer sur le bouton nettoyer…

Le COMPOSANT accessibilité

Les COMPOSANTS d’accessibilité se destine particulièrement aux personnes handicapées des yeux, des oreilles ou des mains

L’ACCESSIBILITÉ se destine particulièrement aux personnes handicapées des yeux, des oreilles ou des mains.

L’accessibilité désigne l’un des COMPOSANTS de WINDOWS et doit être installé avec le CDROM d’installation de WINDOWS…

Pour configurer les paramètres du COMPOSANT accessibilité comme la taille des caractères et la LOUPE (avec le menu DEMARRER)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/ACCESSIBILITE

Pour configurer les paramètres du COMPOSANT accessibilité (avec le module « accessibilité »)

DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATIONActiver le module ACCESSIBILITÉ

La souris

La souris permet de pointer les éléments du bureau

La souris est composé d’un bouton gauche, d’un bouton droit et éventuellement d’une molette au centre.

Le bouton gauche sert à sélectionner un objet en faisant un seul clic sur l’objet, celui-ci est mis en sur brillance, et sert également à lancer un programme, ouvrir un dossier ou un fichier.


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Le bouton droit sert à ouvrir le menu contextuel associé à l’objet.La molette permet de se déplacer à l’intérieur d’un document sans bouger la souris, la molette fait descendre ou monter l’ascenseur vertical du document.

Le pointeur de la souris est en général une petite flèche blanche qui bouge exactement comme les mouvements de la souris. Il est possible de changer l’aspect du pointeur, mais le pointeur par défaut est de loin le plus agréable et le plus pratique.Les pointeurs de souris animés utilisent le processeur pour les calculs de mouvements, et de la mémoire pour les stocker dans le répertoire :

C:\WINDOWS\CURSORS

Les paramètres de configuration de la souris sont dans le module souris du panneau de configuration.

Pour supprimer les pointeurs de souris inutiles (avec le module « souris »)

DEMARRER / PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule sourisOnglet pointeursSous la rubrique MODELES sélectionner un groupe de pointeursCliquer sur le bouton SUPPRIMER

Le clavier

Le clavier permet de saisir du texte

Le clavier et la souris sont les deux principaux moyens pour conduire un ordinateur et entrer des informations dans le système. Les paramètres du clavier font partie des premiers éléments à être chargés en mémoire, et la disquette de boot contient des fichiers relatifs à la configuration du clavier.

Chaque pays pratiquement utilise un clavier différent avec des caractères différents, pourtant tous les claviers standards d’ordinateur se ressemblent et comportent 102 touches (les premiers claviers avaient 85 touches).Selon les pays chaque touche correspond à un signe particulier…Les deux principaux types de clavier sont le clavier anglo-saxon dont les touches en haut à gauche commencent par les lettres QUERTY, et le clavier francophone dont les touches en haut à gauche commencent par les lettres AZERTY…

Les propriétés du clavier, comme la langue, la vitesse de clignotement du curseur, ou le délais et la fréquence de répétition des caractères, peuvent être configurés dans le module clavier du panneau de configuration.

Sous certains claviers à 102 touches, il y a un commutateur « XT-AT » qui permet d’adapter le clavier au type de processeur :

XT correspond aux ancien microprocesseurs 8088 et 8086AT correspond aux nouveaux microprocesseurs 80286, 80386 et 80486…

Les touches du clavier

Les 102 touches du clavier peuvent être rassemblées en 5 blocs :

Les touches de l’alphabet (AZERTY ou QUERTY)Les touches de fonction (de F1 à F12)Les touches du pavé numérique (de 1 à 0)Les touches de direction (les flèches qui orientent le curseur)Les touches de gestion (PAUSE, IMPR.ECRAN, VERR NUM, INSERT, SUPPR, ORIGIN, PAGE DOWN et PAGE UP)

Les deux touches CTRL qui sont situées, l’une à droite, l’autre à gauche du clavier, fonctionnent de la même façon et sont, comme la touche ALT, toujours utilisées avec une autre touche.


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La touche ECHAP (ESC pour escape en anglais) permet d’interrompre un processus…

La touche ALT GR (ALTernative GRaphic) permet d’accéder au troisième caractère de certaines touches. L’action de la touche ALT GR peut être remplacée par la combinaison des touches CTRL + ALT.

La touche IMPR.ECRAN (PRINT SCREAN) permet de faire une capture d’écran (hard copy) qui doit être collé…

La touche ARRET DEFIL (SCROLL LOCK) permet de stopper définitivement le défilement d’une suite de caractères…

La touche PAUSE permet d’interrompre momentanément le défilement d’une suite de caractères, lequel reprend en appuyant sur une autre touche…

La touche INSERT permet de basculer, du mode « insertion » qui insère un caractère par mis d’autres dans un texte, au mode « refrappe » qui remplace le caractère juste situé à droite du curseur par celui qui est frappé sur le clavier.

La touche SUPPR permet de supprimer…

La touche FIN permet de bouger le curseur jusqu’en fin de ligne…

La touche ORIGINE (représenté par une flèche dirigée vers le nord-ouest) permet de bouger le curseur en début de ligne…

La touche PAGE UP (PAGE PRECEDENTE représentée par une flèche barrée orientée vers le nord) permet de remonter le curseur de plusieurs lignes vers le haut de la page.

La touche PAGE DOWN (PAGE SUIVANTE représentée par une flèche barrée orientée vers le sud) permet de descendre le curseur de plusieurs lignes vers le bas de la page.

La touche CAPS LOCK, symbolisée par un petit cadenas, permet de verrouiller le mode majuscule.

La touche BACK SPACE, symbolisée par une flèche dirigé vers la gauche, permet d’effacer le caractère juste à gauche du curseur.

La touche TABULATION, symbolisée par deux flèches dirigées l’une vers la droite, l’autre vers la gauche, permet de déplacer le curseur d’un bloc de caractères et/ou de déplacer le champ actif d’un groupe d’option vers un autre.

La succession des touches CTRL + ALT + SUPPR permet de réinitialiser le système, c’est à dire de l’éteindre et de le rallumer, cette action est aussi appelée REBOOT, WARMBOOT ou RESET en anglais.

Sur certains clavier la succession de touches CTRL + ALT F1 permet de basculer le clavier en mode anglo-saxon QUERTY, tandis que CTRL + ALT F2 permet de revenir au mode français AZERTY.

Certains clavier ne disposant pas de la touche ALT GR pour saisir le troisième caractère qui figure sur certaines touches, il faut passer par le code ASCII, en maintenant la touche ALT enfoncée et en tapant sur le clavier numérique le numéro de code ASCII correspondant au caractère...

Pour configurer les paramètres du clavier (avec le module « clavier »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule clavier

Les sons


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Des sons permettent de reconnaître certains événements systèmes

Tous les PC disposent d’un haut-parleur rudimentaire qui permet d’entendre les bips courts ou long qui sont générés par le système quand des erreurs se produisent pendant le démarrage. Ces bips sont codés et permettent de situer ce qui pose problème.

De nos jours, les sons sont générés par de véritables cartes son, capable de reproduire la qualité Haute-Fidélité. Un lecteur de CDROM peut d’ailleurs être utilisé pour écouter la musique numérisée d’un disque compacte.

Les différents événements de WINDOWS et les différentes actions d’un utilisateur peuvent être associés à des signaux sonores regroupés par genres. La configuration de ses associations sonores s’effectue dans le module SON du panneau de configuration.

Les fichiers sonores sont généralement dotés de l’extension .WAV (pour WAVE qui signifie "vague" en anglais) ou .MID (pour MIDI).

Pour désactiver tous les sons associés à des évènements de WINDOWS (avec le module « sons »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule sons

Onglet sonsDans le champ MODELES sélectionner "pas de sons"APPLIQUEROK

Les couleurs

Les nuances de l’affichage s’étalonnent de 256 à des millions couleurs

Les couleurs peuvent être affichées sur le moniteur avec plus ou moins de nuances allant de 256 teintes à des millions de couleurs différentes. Plus le nombre de couleurs est élevés et plus la charge de travail est élevée pour la carte graphique (ou le processeur) qui doit à chaque rafraîchissement du moniteur recalculer les valeurs de tous les pixels de l’écran. Si la valeur d’un pixel ne peut prendre que 256 possibilités, alors l’information est calculée et transmise plus rapidement que s’il existe des millions de possibilités.

Plus le nombre de bits par pixel est important pour déterminer et afficher la couleur d’un pixel, et plus le nombre de couleurs possibles est important :

Bits par pixel Nombre de couleurs possibles4 168 25615 32 76816 65 53624 16,7 millions32 > 16,7 millions

Le rendu des couleurs sur l’écran d’un moniteur n’est pas forcément identique au rendu des couleurs sur une feuille de papier imprimée ; c’est pourquoi il existe des profils de couleur adaptés aux marques et modèles des moniteurs.

Pour créer un profil de couleurs adapté au moniteur et permettant aux programmes de retouche d’images le même rendu à l’écran qu’à l’impression (avec le module « affichage »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule AFFICHAGE


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Onglet PARAMETRESBouton AVANCESOnglet GESTION DES couleursBouton AJOUTERSélectionner dans la liste proposée par MICROSOFT le profil de couleurs adapté au moniteur, ou recourir à une disquette pour sélectionner le profil de couleur proposé par le constructeur.

Les polices

Les polices de caractères

Les polices de caractères sont rassemblées dans le module « polices » du PANNEAU de CONFIGURATION.

L’icône des polices est un grand « A » pour les polices universels (polices bipmap comme MS SERIF ne sont disponibles que dans un nombre limité de taille), tandis que les polices TRUE TYPE sont caractérisées par une icône avec deux grands « TT ».

Les polices TRUETYPE ou POSTSCRIPT sont des polices proportionnelles, construites à l’aide d’une formule mathématique et sont disponibles dans toutes les tailles. La largeur des lettres n’est pas uniforme avec une police proportionnelle, par exemple un « W » prend plus de place qu’un « I ».

Le module « polices » du PANNEAU de CONFIGURATION permet de visualiser les différentes polices qui sont déjà installées, d’en installer d’autres (avec FICHIER/INSTALLER UNE NOUVELLE POLICE), de les classer selon leur ressemblance (avec AFFICHAGE/LISTER LES POLICES SELON LEUR RESSEMBLANCE) ou sans tenir compte des attributs GRAS, ITALIQUE ou SOULIGNE.

Les polices de caractères WYSIWYG

La technologie WYSIWYG (What You See Is What You Get), inventée par MICROSOFT, permet d’afficher à l’écran exactement la même chose que ce qui sera imprimer.

Les polices POSTSCRIPT et TRUETYPE sont des langages de description de page qui permettent le WYSIWYG.

POSTSCRIPT est un langage de description de pages employé par les professionnels du graphisme et de la P.A.O. (Publication Assistée par Ordinateur), tandis que TRUETYPE et OPENTYPE ont été développés par MICROSOFT pour un environnement WINDOWS.

L’interface utilisateur WIMP (Windows Icônes Mouse & Pull down menu) de MICROSOFT utilise, pour afficher les textes des barres (de titre, d’outils, de tâche, d’état, de menu, de lancement rapide et de système), des polices BITMAP reconnaissable à leur extension .FON.

Les polices de caractères sont enregistrées dans le répertoire :

C:\WINDOWS\FONTS

C’est le même répertoire qui s’affiche par l’intermédiaire du module polices du PANNEAU de CONFIGURATION.

Pour supprimer une police de caractères (dans C:\WINDOWS\FONTS)

Supprimer une police de caractère, est un bon moyen de gagner de la place de stockage sur le disque dur. Il suffit pour cela de retrouver la police, de la sélectionner dans l’EXPLORATEUR et de la supprimer.La suppression d’une police dans le répertoire C:\WINDOWS\FONTS supprime également l’entrée correspondante dans le registre, ce qui améliore grandement les performances d’accès du système d’exploitation aux nombreuses entrées du registre.

Il ne vaut mieux pas supprimer le dossier C:\WINDOWS\FONTS car il renferme des données cachées concernant l’affichage de l’interface utilisateur, comme la police MARLETT.TTF pour l’affichage des boutons


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REDUIRE, RESTAURER et FERMER qui figurent en haut à droite de chaque fenêtre WINDOWS, et des caractères spéciaux (WINGDINGS et WEBDINGS).

Pour ajouter une police de type TRUETYPE (dans C:\WINDOWS\FONTS)


C:\WINDOWS\FONTS

fichier / INSTALLER UNE NOUVELLE policeSélectionner le lecteur et le dossier contenant les polices à installéesActiver l’option copier LES polices DANS LE dossier FONTSOK

Les entrées des polices dans le REGISTRE (avec la clef FONTS)

Les polices de caractères sont répertoriées dans le registre, et leur nombre rende plus lent la lecture du registre. La taille d’une clef du registre est limitée à 64 KILO OCTETS, ce qui restreint le nombre de polices qu’il est possible d’enregistrer. La clef FONTS peut gérer 1000 entrées environ. Le chemin d’accès à la clef gérant les polices et permettant de visualiser les extensions .TTF (TrueTypeFont) qui correspondent au type TRUETYPE:

HKEY_LOCAL_MACHINE/SOFTWARE/MICROSOFT/WINDOWS/CURRENTVERSION/FONTS

Les polices systèmes FIXEDSYS ne s’affichent pas dans ce répertoire, il est possible de les rechercher, car elles contiennent toute la syllabe « fix », avec la fonction de recherche et la commande « *fix* ». Par ailleurs seulement « les petites polices » ou « les grandes polices » serons présentes dans le répertoire C:\WINDOWS\FONTS selon l’option choisie dans les paramètres avancées du module affichage du panneau de configuration.

Pour choisir la taille par défaut des polices (avec le module « affichage »)


Onglet PARAMETRESBouton AVANCESOnglet GENERALSous la rubrique AFFICHAGE choisir la grandeur souhaitéeAPPLIQUEROK

Les FAVORIS

Les FAVORIS sont accessibles avec le navigateur ou l’EXPLORATEUR

Le dossier des FAVORIS est un endroit où peuvent être regroupé et classé des adresses de sites INTERNET et des fichiers.

Dès l’installation de WINDOWS, le dossier FAVORIS contient des adresses qui sont déjà répertoriées (ce sont en quelque sorte les favoris de MICROSOFT), y figurent les dossiers CHAINES, LIENS, MEDIA, MISE A JOUR de LOGICIELS et le dossier MES DOCUMENTS.

En naviguant sur INTERNET, il suffit de choisir FAVORIS/AJOUTER AUX FAVORIS…dans la barre de menu pour enregistrer dans le dossier des FAVORIS la page web qui est affichée dans le navigateur. Cette commande figure non seulement dans le navigateur INTERNET EXPLORER mais aussi dans l’EXPLORATEUR et permet d’y enregistrer des fichiers comme un Curriculum Vitae…

Après avoir enregistrer de nombreux FAVORIS, il est prévoyant de les regrouper par catégories, il suffit de choisir la commande FAVORIS/ORGANISER LES FAVORIS…Il est alors possible de créer des dossiers, d’y


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rassembler les adresses récupérées sur la toile et de leur donner un titre explicite, ainsi, il sera plus tard plus facile de les retrouver et de les relancer pour revisiter le site.

Les FAVORIS sont enregistrés dans le répertoire suivant :

C:\windows\favoris

Pour ajouter à la liste des FAVORIS une page web ou un fichier (avec la commande FAVORIS/AJOUTER AUX FAVORIS)

Ouvrir INTERNET EXPLORER ou l’EXPLORATEURSélectionner une page WEB ou un fichierFAVORIS / AJOUTER AUX FAVORISAppuyer sur la touche ENTREE pour enregistrer le site ou le fichier en bas de liste

Dans le champ NOM saisir un nom pour classer le site ou le fichier dès l’enregistrementBouton CREER DANS…pour choisir le dossier dans lequel insérer le nouveau favoriBouton NOUVEAU pour créer un nouveau dossierSaisir le nom de ce nouveau dossier dans l’arborescenceOK

Les CHAÎNES

Les CHAÎNES sont des sites INTERNET fréquemment mis à jour

Les chaînes sont des sites INTERNET qui correspondent normalement à des contenus éditorialistes, qui sont fréquemment mis à jour et auxquels chacun peut s’abonner. L’abonnement à un site comme une chaîne consiste à demander au navigateur d’actualiser la page dès qu’une connexion à INTERNET est établie. Le « fournisseur » de la chaîne sur INTERNET « poussera » via le réseau, l’information actualisée jusqu’à votre ordinateur.Il existe plusieurs sortes d’abonnement à un site car il existe plusieurs types d’actualisation d’une page. L’actualisation peut être systématique ou à la demande.

Les sites WEB sont mémorisés dans le dossier suivant :

C:\WINDOWS\TEMPORARY INTERNET FILES

Pour s’abonner à une CHAÎNE ou à une page web (avec la commande FAVORIS/AJOUTER AUX FAVORIS)

Ouvrir le navigateur INTERNET EXPLORER

C:\PROGRAM FILES\INTERNET EXPLORER\IEXPLORE.EXE

Démarrer une connexion TCP/IP sur INTERNET via votre fournisseur d’accès au réseau Saisir dans la barre D’ADRESSE l’URL du site recherché : http://www.______________.___Bouton OK ou la touche ENTREEQuand la page d’accueil est téléchargée sélectionner la commande FAVORIS suivie de AJOUTER AUX FAVORIS

Choisir l’option NON, AJOUTER SIMPLEMENT AUX FAVORIS pour simplement répertorier le site dans les FAVORIS


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Choisir l’option OUI, MAIS SIMPLEMENT ME NOTIFIER LORSQUE CETTE PAGE EST MISE A JOUR pour une actualisation manuelle

Choisir l’option OUI, NOTIFICATION de MISE A JOUR ET TELECHARGEMENT POUR UNE LECTURE HORS connexion pour une actualisation automatique, mais attention aux pages liées au site, et limiter le niveau de page à 1…

L’écran de veille

Les écrans de veille apparaissent après un délais d’inactivité Les écrans de veille sont des fichiers qui ont pour but de remplacer l’affichage de l’écran après un certain délais d’inactivité.

Le choix de l’écran de veille d’un ordinateur s’effectue dans le module AFFICHAGE du PANNEAU de CONFIGURATION.

Les écrans de veille occupent de la place sur le disque dur et ralentissent considérablement la vitesse de travail du processeur. Les fichiers des écrans de veille sont généralement dotés de l’extension .SCR (pour screan) ce qui permet de les retrouver tous facilement avec l’outil de recherche de l’EXPLORATEUR.

Pour choisir un écran de veille (avec le module « affichage »)


Onglet ECRAN de veille…

Pour supprimer les COMPOSANTS des écrans de veille (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule AJOUT&SUPPRESSION de PROGRAMMES

Onglet INSTALLATION de WINDOWSDans le champ COMPOSANTS sélectionner ACCESSOIRESCliquer sur le bouton DETAILSDans le champ COMPOSANTS sélectionner ECRANS de veilleCliquer sur le bouton DETAILSDésactiver les entrées ECRAN de veille OPENGL et FENETRES VOLANTESOK


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LES LOGICIELS DE CONFIGURATION, LA BASE DE REGISTRE


Les fichiers systèmes sont indispensables au bon fonctionnement du système d’exploitation

Les fichiers systèmes sont appelés ainsi parce qu’ils sont indispensables au bon fonctionnement du système d’exploitation .

Il y a plusieurs types de fichiers systèmes qui ont des fonctions différentes :

Les fichiers d’amorçages, qui sont placés obligatoirement à la racine de la partition active et qui permettent d’amorcer le système d’exploitation (IO.SYS, MSDOS.SYS).

Les fichiers systèmes proprement dits, c’est à dire, les fichiers qui constituent le noyau du système, ces fichiers sont placés dans le « répertoire système » (C:\WINDOWS en général qui est le répertoire par défaut) pour WINDOWS. Pour le système d’exploitation DOS, le fichier système principal est COMMAND.COM qui contient les commandes dites « internes », et le « répertoire système » est en général celui qui contient les programmes qui correspondent aux commandes dites « externes » (C:\DOS).

Les fichiers de configuration du matériel, des périphériques et des logiciels installés (CONFIG.SYS, AUTOEXEC.BAT). Les fichiers CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT sont systématiquement exécutés à chaque démarrage.Etc…

Les fichiers systèmes ont généralement les extensions .EXE, .COM, .BAT et .SYS…

Parmi les fichiers systèmes les plus connus sont :

IO.SYSMSDOS.SYSCOMMAND.COMCONFIG.SYSAUTOEXEC.BATLes fichiers de la disquette de BOOT…Etc…

Les fichiers CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT sont accessibles et modifiables « en mode texte »

Les fichiers CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT sont les deux fichiers qui concernent le plus l’utilisateur averti, parce qu’ils sont enregistrés en mode texte et qu’ils sont donc lisibles par un être humain ; et, ce sont les deux fichiers systèmes qu’il est possible de modifier, soit pour adapter la configuration de l’ordinateur, soit pour y inclure des commandes qui seront exécutées dès l’initialisation de l’ordinateur. Les fichiers CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT sont des fichiers qui sont systématiquement exécutés au démarrage de l’ordinateur.

Les fichiers CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT sont accessibles avec un éditeur de texte, ou dans le DOS avec la commande TYPE pour les lire, et/ou la commande COPY CON pour y écrire (attention la commande COPY CON efface tout ce que pouvait contenir le fichier, il est donc recommandé d’en faire une copie sur papier afin de pouvoir recopier toutes les lignes de commandes qui s’y trouvaient).

Les lignes de commandes des fichiers CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT permettent en général de charger en mémoire des programmes résidents (qui reste en mémoire), des pilotes ou des fichiers de configuration ou des « gestionnaire de périphériques ».

Certaines options se placent dans CONFIG.SYS et d’autres dans AUTOEXEC.BAT, il faut une certaine habitude pour s’y retrouver…


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Les fichiers de configuration, ou les « gestionnaires de périphériques » se chargent dans la mémoire de l’ordinateur par le biais de CONFIG.SYS ou de AUTOEXEC.BAT. Les « gestionnaires de périphériques » contiennent les informations de configuration dont a besoin le DOS pour communiquer avec certains composants matériels de l’ordinateur (une souris, un moniteur, un clavier, Etc…) et/ou utiliser des logiciels spéciaux pour la gestion des disques ou de la mémoire (pour accéder à l’extension de la mémoire).

Les « gestionnaires de périphériques » peuvent être des fichiers exécutables (avec l’extension .EXE, .BAT et .COM), et dans ce cas, il faut les placer dans le fichier AUTOEXEC.BAT (avec simplement le nom du fichier ou de la commande). Les « gestionnaires de périphériques » peuvent être des fichiers de configuration (avec l’extension .SYS), et dans ce cas, il faut les placer dans le fichier CONFIG.SYS (avec un DEVICE=).

La commande DEVICE (qui signifie équipement, dispositif ou matériel en français) s’applique au fichier CONFIG.SYS et correspond au chargement en mémoire de travail (RAM) d’un fichier de configuration qui porte généralement l’extension .SYS (et qui peut être ou non suivie d’autres paramètres). Les fichiers de configuration .SYS doivent se trouver dans un répertoire accessible au DOS, par exemple dans un répertoire identifié par la ligne PATH du fichier AUTOEXEC.BAT (la ligne PATH doit, bien sûr se trouver avant les lignes de chargement des fichiers de configuration).

Sur chaque ligne de commandes figurent un signe égal (=), avec ou non des espaces de part et d’autre, et du texte, en majuscule ou minuscule indifféremment.

Tous les programmes et tous les fichiers de configuration qui sont placés dans les fichiers CONFIG.SYS et/ou AUTOEXEC.BAT sont chargés en mémoire ; ils occupent donc de la place dans la mémoire vive (RAM), place qui n’est dès lors plus disponible pour d’autres programmes, entre autres ceux dont l’utilisateur a effectivement besoin…

Etant donné que de nombreux programmes modifient le contenu des fichiers CONFIG.SYS et/ou AUTOEXEC.BAT, et que cette attitude consomme de la mémoire RAM, il peut être judicieux d’écrire un CONFIG.SYS et un AUTOEXEC.BAT spécial pour les applications qui sont très gourmandes en RAM. Ainsi, il ne peut plus avoir d’installation cumulée, chaque application aura toute la RAM pour elle toute seule, c’est ce qu’on appelle « monter un logiciel en configuration exclusive ».

Lors d’une mise à jour du DOS, ou lorsque de nouveaux programmes sont installés, ceux-ci modifient le contenu des fichiers CONFIG.SYS et/ou AUTOEXEC.BAT, il est alors fortement recommandé d’effectuer une copie des originaux et de changer l’extension des copies pour ne pas les confondre et pouvoir les retrouver par la suite :

Copy autoexec.bat c:\dos\autoexec.oriCopy config.sys c:\dos\config.ori

Il peut être également prudent d’effectuer une sauvegarde des fichiers de la racine :

Copy c:\*.* c:\root\

Un exemple de CONFIG.SYS pour le DOS

Voici un exemple du contenu d’un fichier CONFIG.SYS pour le DOS :

Device=c:\dos\himem.sysDevice=c:\dos\ansi.sysCountry=033 ,c:\dos\country.sysDevice=c:\dos\keybord.sysDevice=c:\dos\display.sys con=(EGA,437)Device=c:\dos\smartdrv.sysDevice=emm386.exe 256Files=15Buffers=15Device=c:\mtmouse\mouse.sys

Bien Sûrs, quelques explications s’imposent, non ?


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HIMEM.SYS concerne l’extension de mémoire vive au-delà de 1 Mo (dès les PC 286 et 386). Le chargement de HIMEM.SYS doit être déclaré sur la première ligne de commande.

ANSI.SYS concerne l’affichage de la couleur ou des caractères en sur brillance.

COUNTRY=033 concerne les paramètres spéciaux de la France, les dates au format français (« jour/mois/année ») par exemple. Le code 033 correspond à la France et toutes les informations concernant chaque pays se trouvent dans le fichier de configuration COUNTRY.SYS.

KEYBORD.SYS est un fichier de configuration concernant les claviers.

DISPLAY.SYS concerne les moniteurs. Les paramètres (EGA, VGA, Etc…) indiquent le type d’écrans installé, et le chiffre 437 correspond au « code page » du jeu de caractères américain (ASCII 8 bits) qui possède les symboles graphiques d’encadrement et les accents des minuscules européennes.

SMARTDRV.SYS concerne la mémoire cache ou « antémémoire », de 256 Ko, si elle existe dans la mémoire additionnelle. Les noms des programmes et des routines les plus fréquemment employés y sont mémorisés afin d’accélérer leur chargement quand ils ou elles sont de nouveau appelés.

EMM386.EXE 256 concerne les Pc 386 et réserve 256 Ko de la mémoire ajoutée comme « mémoire paginée LIM 4.0 » (ou « expanded »), et ce pour les programmes qui ne peuvent utiliser la « mémoire étendue » (ou « extended ») définie par HIMEM.SYS. EMM386.EXE ne peut être activé qu’après HIMEM.SYS.

FILES=15 détermine le nombre maximum de fichiers auquel le DOS peut avoir accès simultanément.

BUFFERS=15 détermine le nombre exact de zones tampons, c’est à dire le nombre de blocs mémoire qui sont réservés pour le stockage temporaire des données qui vont ou proviennent du disque.

MOUSE.SYS est le fichier de configuration de la souris qui a été fourni par le constructeur.

Sur les PC équipé de mémoire étendue, le système est enregistré au-dessus des 640 Ko de mémoire conventionnelle (qui fait partie de la mémoire vive ou mémoire RAM).

Le fichier CONFIG.SYS d’un DOS version 5.0 peut avoir d’autres lignes de commandes, dont certaines dépendent de la mémoire étendue :

Comment un autre fichier config.sys pour MS-DOS 5.0 avec mémoire étendueDevice=c:\dos\setserver.exeDevice=c:\dos\himem.sysDos=high, umbCountry=033, 437,c:\dos\country.sysDevicehigh=c:\dos\display.sys con=(ega,437,1)Devicehigh=c:\dos\ansi.sysDevicehigh=c:\dos\smartdrv.sysFiles=30Buffers=12

COMMENT annonce un commentaire, comme REM pour les fichiers AUTOEXEC.BAT.

SETSERVER.EXE permet de lancer des programmes qui exigent une ancienne version du DOS pour fonctionner correctement.

DOS=HIGH impose le chargement du système en « mémoire haute » (entre 640 Ko et 1024 Ko). UMB permet d’utiliser en plus les 64 premiers Ko de la « mémoire étendue ».

DEVICEHIGH est l’équivalent de DEVICE, mais il charge alors le fichier de configuration en « mémoire haute ».

Un exemple d’AUTOEXEC.BAT pour le DOS


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Le fichier système AUTOEXEC.BAT est un fichier « BATCH » qui contient des instructions qui sont exécutées pendant le démarrage du système d’exploitation.

Voici un exemple du contenu d’un fichier AUTOEXEC.BAT pour le DOS :

@echo offpath c:\ ;c:\batchs ; c:\dos ;keyb fr, 437rem pour le DOS version 3.2, il faut remplacer par « keybfr »prompt $P$Gc:\mtmouse\mouse.com

Le « @ » (A commercial) met le contenu de sa ligne en invisible, et ECHO OFF rend invisible les lignes de commandes suivantes.

PATH détermine l’ordre de recherche des répertoires pour trouver les fichiers exécutables.

KEYB lance KEYB.COM qui doit être à la racine, les paramètres FR pour le clavier AZERTY et 437 pour les caractères graphiques et les minuscules accentuées. Le programme KEYB.COM doit pouvoir exploiter les informations de configuration de KEYBORD.SYS, lequel a été chargé par CONFIG.SYS. Il est possible de spécifier tous les paramètres dans le fichier AUTOEXEC.BAT :

Keyb fr, 437, c:\dos\keybord.sys

PROMPT $P$G détermine l’aspect de l’invite de commande qui montre le répertoire actif.

MOUSE.COM active la souris.

La ligne PATH du fichier AUTOEXEC.BAT

Dans le fichier AUTOEXEC.BAT se trouve une ligne de commande qui commence par PATH. Le PATH indique la liste des répertoires (séparés par des points-virgules) que le système devra explorer pour trouver le programme qui a été demandé par l’utilisateur.

Par exemple, dans le cas d’un utilisateur qui travail sous DOS et qui saisie une commande DOS à partir du prompt, le système doit savoir où, sur le disque dur, il peut aller chercher la commande en question. Ainsi, le fichier AUTOEXEC.BAT d’un système DOS contient la ligne PATH suivie d’une succession de répertoires (séparés par des points-virgules) qui indique au système, où sur le disque dur, il doit chercher les fichiers exécutables qui se terminent par l’extension .COM, .EXE et/ou .BAT. « L’interpréteur de commande » (COMMAND.COM du DOS) recherchera en premier lieu l’exécutable dans le répertoire actif de l’invite de commande, puis successivement et de gauche à droite dans chacun des répertoires qui figurent dans la ligne de commande PATH du fichier AUTOEXEC.BAT.

Quand un utilisateur saisie et valide la commande « A:\FORMAT A: » à partir de l’invite de commande du DOS, le système recherche le programme FORMAT.COM dans le répertoire racine (C:\), puis s’il ne le trouve pas, il se réfère aux différents chemins (PATH en anglais) qui sont indiqués dans le fichier AUTOEXEC.BAT ; le système cherche alors le programme FORMAT.COM dans les différents répertoires qui y sont mentionnés. Une fois trouvé, le système exécute le programme. Si le programme n’a pu être localisé par le système (dans les différents répertoires indiqués par la ligne de commande PATH du fichier AUTOEXEC.BAT), alors il l’indique à l’utilisateur et le programme n’est pas exécuté.

Ainsi, il faut s’assurer que tous les programmes exécutables (.EXE, .BAT et .COM) sont bien enregistrés dans les répertoires qui figurent dans le fichier AUTOEXEC.BAT à la ligne PATH, car sinon, ils ne pourront pas être exécuté.

Un exemple de ligne de commande pour le PATH dans un fichier AUTOEXEC.BAT :

PATH C:\ ;C:\DOS ;C:\WINDOWS


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Un utilisateur qui a écrit de nombreux fichiers « BATCH » peut trouver intéressant de les enregistrés tous dans un seul répertoire. Cet utilisateur averti se devra d’inséré dans le fichier AUTOEXEC.BAT, à la ligne de commande PATH, le chemin de son répertoire spécial pour les fichiers « BATCH ». Mais attention, le fichier AUTOEXEC.BAT doit impérativement se trouver lui à la racine de la partition active (où se trouvent les fichiers d’amorçage) afin d’être exécuté dès le démarrage du système.

Le fichier système MSDOS.SYS

Pour démarrer une session sans l’image du logo de WINDOWS (avec MSDOS.SYS)

Ouvrir l’EXPLORATEUR à la racine C:\Ouvrir le fichier MSDOS.SYS avec l’éditeur NOTEPAD

Ecrire sous la section [Options]Logo=0


Pour désactiver SCANDISK au démarrage d’une session (avec MSDOS.SYS)

Ouvrir l’EXPLORATEUR à la racine C:\Ouvrir le fichier MSDOS.SYS avec l’éditeur NOTEPAD

Ecrire sous la section [Options]AutoScan=0


L’utilitaire de configuration système MSCONFIG

L’utilitaire de configuration système MSCONFIG réunis les informations des principaux fichiers systèmes

L’utilitaire de base de la configuration système s’appèle MSCONFIG et porte le nom d’UTILITAIRE de CONFIGURATION SYSTEME dans le programme INFORMATIONS SYSTEME.

MSCONFIG réunis les informations des principaux fichiers systèmes :

CONFIG.SYSAUTOEXEC.BATSYSTEM.INIWIN.INI

Dans l’utilitaire de configuration système MSCONFIG, chacun des onglets CONFIG.SYS, AUTOEXEC.BAT, SYSTEM.INI et WIN.INI est réservé aux fichiers systèmes et permet d’y effectuer des modifications.

Dans l’onglet GENERAL, le bouton CREER UNE SAUVEGARDE permet de réaliser une sauvegarde de ces quatre fichiers avant toutes modifications ; les copies sont dotées de l’extension .PSS et sont enregistrées dans les même dossiers que les originaux :

C:\nom_du_fichier_de_sauvegarde.PSS (pour config.sys et autoexec.bat)C:\WINDOWS\ nom_du_fichier_de_sauvegarde.PSS (pour system.ini et win.ini)

Ces sauvegardes permettront éventuellement de restaurer le système s’il ne fonctionne plus, en remplaçant les fichiers modifiés par leurs sauvegardes respectives. Muni d’une disquette de démarrage et à l’invite de MSDOS, il suffira de placer le prompt sur le dossier adéquat et de saisir la ligne de commande :

C:


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COPY nom_du_fichier_de_sauvegarde.PSS nom_du_fichier_original.SYSCOPY nom_du_fichier_de_sauvegarde.PSS nom_du_fichier_original.BAT

C:\WINDOWS

COPY nom_du_fichier_de_sauvegarde.PSS nom_du_fichier_original.INI

MSCONFIG permet d’effectuer des démarrages DIAGNOSTIC du système d’exploitation , le système redémarre avec une confirmation PAS à PAS (comme quand l’utilisateur presse la touche F8 au démarrage pour accéder au menu de démarrage de WINDOWS 98).

MSCONFIG permet de désactiver des fichiers systèmes lors du lancement du système d’exploitation, ce qui permet d’orienter les recherches de dépannage et de déterminer ainsi quel est l’origine d’un problème. Les onglets de l’interface de MSCONFIG permettent de désactiver les lignes de commandes qui sont inscrites dans chacun des fichiers systèmes.La désactivation d’un fichier ou d’une ligne de commande facilite les tests et la réactivation est tout aussi simple, il n’y a pas besoin de ressaisir une ligne de commande par exemple…

MSCONFIG permet également de définir quels sont les programmes systèmes qui sont exécutés dès le démarrage du système d’exploitation. L’onglet DEMARRAGE indique tous les programmes systèmes qui tournent en arrière plan ; ce sont les mêmes programmes systèmes qui figurent dans la liste de l’utilitaire INFORMATION SYSTEME (au niveau de l’arborescence ENVIRONNEMENT LOGICIELS puis PROGRAMMES de DEMARRAGE) ; ce sont également les mêmes programmes qui se retrouvent dans la boite de dialogue FERMER LE PROGRAMME après avoir appuyé simultanément sur les touches CTRL + ALT + SUPPR. Certains de ces programmes systèmes, comme « explorer », sont indispensables au bon fonctionnement de WINDOWS…Avec MSCONFIG, la désactivation de l’un de ces programmes systèmes ne requière pas de supprimer les entrées du registre qui leur correspondent, ce qui rend la vie bien plus facile…

MSCONFIG permet de désactiver le lancement du groupe DEMARRAGE, c’est à dire tous les programmes qui ont été choisis par l’utilisateur de l’ordinateur pour être automatiquement lancés à la suite de WINDOWS. Le lancement de ces programmes rallonge le démarrage du système, mais permet de toujours lancer les mêmes programmes, ce qui peut être avantageux pour ceux qui travaillent toujours avec les mêmes applications.Les programmes du groupe DEMARRAGE sont placés dans le répertoire :

C:\WINDOWS\All users\Menu Démarrer\Programmes\Démarrage

Par exemple, si le raccourci d’un document WORD est placé dans le dossier DEMARRAGE, alors le programme de traitement de textes associé sera lancé à la suite de tous les démarrages de WINDOWS et présentera le document choisi.

MSCONFIG permet, avec le bouton OPTIONS AVANCEES, de procéder à des démarrages très sélectifs et réservés aux professionnels des dépannages…

Pour désactiver le lancement des programmes qui sont dans le groupe DEMARRAGE (avec MSCONFIG)

DEMARRER/EXECUTERSaisir “msconfig”

Onglet GENERALOption DEMARRAGE SELECTIFDésactiver l’option CHARGER LES RUBRIQUES DU groupe DEMARRAGE

Pour désactiver le lancement automatique de certains programmes systèmes (avec MSCONFIG)

DEMARRER / EXECUTERSaisir « msconfig »


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Onglet DEMARRAGE (qui affiche les mêmes entrées que celles qui figurent dans INFORMATIONS SYSTEME)Désactiver les programmes systèmes que l’on souhaite ne pas lancer systématiquement au démarrage

Pour désactiver SCANDISK au démarrage de WINDOWS après un arrêt incorrect (avec MSCONFIG)


Onglet GENERALBouton OPTIONS AVANCEESOption DESACTIVER SCANDISK APRES UN ARRET INCORRECT

Pour démarrer normalement (avec MSCONFIG)


Onglet GENERALOption DEMARRAGE NORMAL - CHARGER TOUS LES PILOTES ET LES LOGICIELS périphériques

Pour démarrer sans les pilotes de périphériques obsolètes (avec MSCONFIG)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « msconfig »

Onglet WIN.INI et SYSTEM.INIDécocher les lignes de commande correspondantes

Pour redémarrer le système PAS A PAS pour détecter l’origine des défaillances (avec MSCONFIG)

DEMARRER / EXECUTERSaisir « msconfig »

Onglet GENERAL affiche les modes de démarrage NORMAL, DIAGNOSTIC et SELECTIFChoisir l’option DEMARRAGE DIAGNOSTIC pour un lancement de chaque instruction système une par une avec la validation de l’utilisateurAPPLIQUEROKOUI pour redémarrer l’ordinateur immédiatement

La base de REGISTRE

La base de registre, aussi appelée REGISTRE, est une base de donnée où sont classées les informations principales de la configuration matérielle et logicielle d’un ordinateur

La base de registre, aussi appelée REGISTRE, est une base de donnée où sont classées les informations principales de la configuration matérielle et logicielle d’un ordinateur qui tourne sous WINDOWS 95, 98 & NT.

Les fonctions d’ordonnancement des fichiers SYSTEM.INI et WIN.INI sous WINDOWS 3.x sont remplacées à partir de WINDOWS 95 par la base de registre.

L’utilisateur de l’ordinateur peut effectuer des modifications dans la base de registre par l’intermédiaire des différents modules du PANNEAU de CONFIGURATION.Un outil comme TWEAK UI des POWERTOYS de MICROSOFT (qui se trouve sur le CDROM d’installation de WINDOWS dans le dossier TOOLS\RESKIT\POWERTOY), permet également de modifier certains paramètres de la base de registre.


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Parce que les informations contenues dans la base de registre ne sont pas récupérables, il est très fortement recommandé de bien savoir ce que l’on fait et d’effectuer une sauvegarde de la base de registre avant d’opérer tout changement dans celle-ci.

Il existe des programmes qui permettent de contrôler les entrées de la base de registre comme SCANREG.EXE et SCANREGW.EXE, quant à REGCLEAN.EXE, c’est un programme qui permet de vérifier le registre.

La base de REGISTRE est une base de données avec des clefs, des branches, des entrées et des valeurs

La base de registre contient toutes les informations de configuration de l’ordinateur, quelles soient relatives à la configuration matérielle, la configuration logicielle ou la configuration de l’utilisateur. Toutes les informations de la base de registre sont enregistrées dans deux fichiers systèmes, SYSTEM.DAT et USER.DAT.

La base de registre est constituée de clefs principales, de clefs secondaires, de branches, d’entrées et de valeurs.

Chaque clef du registre contient au moins une entrée « DEFAUT » avec pour valeur « VALEUR NON DEFINIE ».

La dénomination des clefs et des entrées doit respecter un certain nombre de règles : les noms se composent de lettres de A à Z, de chiffres de 0 à 9, d’espace et d’underscore « _ » ; le nom d’une clef ou d’une entrée doit être unique au sein d’un même niveau hiérarchique.

Certaines clefs portent un nom que l’on ne peut modifier sans remettre en question leur fonctionnalité ; c’est le cas des clefs SHELL et COMMAND qui ne seront plus opérationnelles si celles-ci sont renommées.De plus, il existe des entrées invisibles dans le registre, et pour pouvoir les changer, il faut connaître exactement le nom qui leur est attribué.

Il existe trois types d’entrées, de données ou de valeur (les « trucs » sous la colonne NOM dans le volet droit du registre), et à chaque type correspond une fenêtre d’édition particulière :

VALEUR CHAÎNE Chaîne de caractères désignant un chemin ou un intituléVALEUR BINAIRE Binaire hexadécimale de 1 à 16 Kilo Octets avec un

OFFSET non modifiable sur la gaucheVALEUR DWORD Binaire hexadécimale de 4 octets avec entre parenthèse la

valeur décimale

Il est recommandé de sélectionner en sur brillance la partie d’une VALEUR BINAIRE que l’on souhaite remplacer et de saisir les nouvelles données ensuite, car sinon l’éditeur peut ajouter les nouvelles données en décalant simplement les anciennes…

En générale, il faut redémarrer l’ordinateur afin que les nouvelles valeurs inscrites dans le registre prennent effet ; toutefois, pour mettre à jours le bureau, il suffit de presser la touche F5 qui actualise le registre, une autre façon de faire est de presser simultanément les touches CTRL + ALT + SUPPR, de sélectionner le programme EXPLORER et de cliquer deux fois de suite sur FIN de TACHE, ce qui a pour conséquence de relancer EXPLORER.

TWEAKUI et POLEDIT sont des programmes qui permettent de modifier des valeurs dans la base de registre, et ils se retrouvent sur le CDROM d’installation de WINDOWS 98. Il existe aussi de tels programmes en shareware sur INTERNET…Souvent, il est préférable d’utiliser de tels programmes parce que leur interface est souvent plus conviviale et qu’il est plus facile de revenir en arrière, mais aussi parce qu’il n’est pas besoin de connaître la syntaxe exacte des clefs, des entrées et des valeurs et parce que les risques d’erreurs sont bien moindres. REGEDIT est un éditeur de la base de REGISTRE (dans C:\WINDOWS\REGEDIT.EXE)

REGEDIT est l’éditeur de la base de registre qui est fournis avec WINDOWS, mais il en existe d’autres…Le programme REGEDIT affiche les données de la base de registre et permet de les modifier. Le programme REGEDIT se trouve dans le répertoire :


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C:\WINDOWS\REGEDIT.EXE

REGEDIT permet d’effectuer des recherches dans le registre et de trouver toutes les occurrences d’une clef, d’une entrée ou d’une valeur. Les recherches dans la base de registre s’effectuent à partir de l’endroit sélectionné et se déroulent de bas en haut. La boite de dialogue de recherche apparaît avec EDITION/RECHERCHE…. La touche de raccourci F3 permet de passer à l’occurrence suivante.

Pour lancer REGEDIT (avec DEMARRER)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « regedit »ENTREE

Toute la base de REGISTRE est contenue dans les fichiers systèmes SYSTEM.DAT et USER.DAT

Les informations contenues dans le registre sont enregistrées dans deux fichiers systèmes, SYSTEM.DAT et USER.DAT, qui ont par défaut l’attribut caché et qui ne peuvent être lus que par un éditeur de registre comme REGEDIT.

SYSTEM.DAT contient les informations relatives à la configuration matérielle et logicielle de l’ordinateur comme les paramètres PLUG&PLAY et les paramètres des programmes installés.Le fichier SYSTEM.DAT est enregistré dans le dossier :

C:\WINDOWS\SYSTEM.DAT

USER.DAT contient les informations relatives à l’utilisateur comme les paramètres du bureau et les profils utilisateurs.S’il n’existe qu’un seul profil utilisateur, alors le fichier USER.DAT est enregistré dans le dossier suivant :

C:\WINDOWS\USER.DAT

S’il existe plusieurs profils utilisateurs le fichier USER.DAT est enregistré dans le dossier suivant :

C:\WINDOWS\profilES\nom_de_l’utilisateur\USER.DAT

Le fichier USER.DAT peut-être également enregistré sur un serveur réseau et être chargé sur l’ordinateur quand l’utilisateur se connecte au réseau.

Les fichiers .REG permettent de modifier la base de REGISTRE

Les fichiers .REG permettent, quand ils sont exécutés (par exemple en double cliquant dessus), de procéder à des modifications automatiques dans la base de registre, comme l’ajout, la suppression ou la modification.

Les fichiers .REG sont des fichiers ASCII qui reprennent la structure des clefs, des valeurs et des données de tout ou partie du registre. Un fichier .REG commence toujours par le mot clé REGEDIT4, les chemins des clefs sont toujours entre crochets, les noms et les valeurs sont toujours entre guillemets et le signe ARROWBASE « @ » indique la valeur par défaut d’une clef.

Les fichiers .REG peuvent être importés dans le registre ou exportés du registre, c’est à dire que les informations contenues dans un fichier .REG peuvent être incorporées à la base de registre (IMPORTER), et que les informations d’une branche du registre peuvent être enregistrées dans un fichier .REG pour, par exemple les sauvegarder ou les transférer vers le registre d’un autre ordinateur, ou d’un autre profil (EXPORTER). Cette technique de l’exportation puis de l’importation permet d’uniformiser facilement les environnements de plusieurs ordinateurs ou de plusieurs utilisateurs.

Deux fichiers .REG peuvent être utilisés comme « commutateur de valeur », c’est à dire comme un interrupteur, changeant une valeur de 0 à 1 ou de 1 à 0 par exemple, selon que l’on incorpore au registre le fichier .REG qui attribue à telle entrée la valeur 1, ou celui qui attribue à la même entrée la valeur 0.


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Le programme TWEAKUI permet de modifier la base de REGISTRE

Le programme TWEAK UI des POWERTOYS qui permet de modifier de nombreuses clefs du registre se trouve sur le CDROM d’installation de WINDOWS 98 dans le dossier :

TOOLS\RESKIT\POWERTOY

Le programme WINDIFF permet de comparer deux fichiers du REGISTRE

Le programme WINDIFF, qui permet de comparer deux fichiers, peut être utilisé pour comparer deux versions différentes du registre. Le programme WINDIFF est composé de trois fichiers qui se trouvent sur le CDROM D’INSTALLATION de WINDOWS 98 dans le dossier :

TOOLS\RESKIT\FILE\WINDIFF.EXETOOLS\RESKIT\FILE\WINDIFF.HLPTOOLS\RESKIT\FILE\GUTILS.DLL (la DLL qui accompagne l’exécutable)

Pour installer WINDIFF, il faut copier et placer ces trois fichiers dans le dossier du disque dur :

C:\WINDOWS

Le programme POLEDIT permet de modifier le REGISTRE

Le programme POLEDIT.EXE est l’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME, et permet de modifier de nombreuses clefs du registre.

POLEDIT se trouve également dans le CDROM d’installation de WINDOWS 98 dans le dossier :

TOOLS\RESKIT\NETADMIN\POLEDIT

POLEDIT permet de personnaliser les configurations en fonction des profils utilisateurs, des groupes D’utilisateurs et même des profils MATERIELS…

Les six clefs principales de la base de REGISTRE

La base de registre est composée de six clefs principales, appelées « rootkey » en anglais, lesquelles comportent de nombreuses sous-clefs ou clefs secondaires, appelées « subkey » en anglais. Les clefs secondaires sont classées par ordre alphabétique. Les clefs principales commencent toutes par HKEY qui signifie en anglais « handle key ».

Nom FonctionHKEY_CLASSES_ROOT Gère les extensions, les programmes et le CLSID…HKEY_CURRENT_USER Gère les configurations des utilisateurs…HKEY_LOCAL_MACHINE Gère la configuration de l’utilisateur en cours…HKEY_USERS Gère la configuration matérielle et logicielle…HKEY_CURRENT_CONFIG Gère la configuration matérielle en cours …HKEY_DYN_DATA Gère les informations dynamiques…

Parmi ces clefs principales, deux d’entre-elles sont véritablement principales, HKEY_LOCAL_MACHINE qui répertorie toutes les informations concernant la configuration matérielle et logicielle, et HKEY_USERS qui répertorie toutes les informations concernant les utilisateurs. Respectivement, ces informations sont enregistrées dans les fichiers SYSTEM.DAT et USER.DAT.

Les quatre autres clefs principales sont chacune reliées à l’une des sous branches d’une des deux clefs principales. Les informations contenues dans ces quatre clefs sont soit les mêmes que celles qui figurent dans les deux clefs principales, soit elles renvoient aux informations contenues dans l’une des deux clefs principales. Par exemple HKEY_CLASSES_ROOT fait référence à HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\CLASSES.La duplication des informations dans les différentes six clefs principales permettent un accès plus rapide.


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Toutes modifications de la base de registre, qu’elles soient effectuées à partir d’une des deux clefs principales ou à partir des quatre autres clefs, se répercutent et affectent automatiquement l’autre partie de la base de registre.

La clef HKEY_CLASSES_ROOT du REGISTRE gère les extensions, les programmes et le CLSID

HKEY_CLASSES_ROOT répertorie toutes les extensions de fichier et tous les programmes qui y sont associés.Cette clef regroupe un grand nombre de sous clefs qui sont de deux sortes :

Les extensions de fichiersLes noms des programmes installés

Par exemple, l’extension .DOC apparaît dans HKEY_CLASSES_ROOT\.DOC et fait référence au programme de traitement de texte WORD.D’autre part, la clef HKEY_CLASSES_ROOT répertorie tous les différents types de documents, les propriétés qui leurs sont associées, ainsi que, dans la sous clef HKEY_CLASSES_ROOT \ « document »\SHELL, la commande associée à un double clic et les commandes disponibles dans le menu contextuel du dit document. Par exemple, HKEY_CLASSES_ROOT\WORD.DOCUMENT.8\SHELL.Enfin, la sous clef HKEY_CLASSES_ROOT\CLSID, qui renferme les même informations que le fichier REG.DAT de WINDOWS 3.X, contient un grand nombre de sous clefs enregistrées par les applications OLE, DRAG&DROP et les ACTIVE X. Ces sous clefs s’identifient par leur CLASS ID CODE (CSLID), qui est une chaîne de caractère de 16 bits correspondant à 32 nombres hexadécimaux. Cette chaîne de caractère est unique et identique pour tous les ordinateurs. Elaborée, une bonne fois pour toutes par les outils de programmation de MICROSOFT GUIDGEN.EXE et UUUIDGEN.EXE, le CLSID permet d’identifier un programme OLE, DRAG&DROP ou ACTIVE X, et s’enregistre dans le registre pendant l’installation de l’application.Toutes les clefs CLSID sont également enregistrées dans la branche HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\CLASSES et organisée selon l’ordre alphabétique du nom du document ou du nom de l’objet en anglais…Pour connaître le CLSID d’un programme, il faut d’abord connaître le nom du programme ou l’extension qui lui est associée, puis le ou la rechercher dans la branche HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\CLASSES.

Voici les CLSID d’un certain nombre d’objets :

Document WORD {00020900-0000-0000-C000-000000000046}Porte-documents (briefcase) {85BBD920-42A0-1069-A2E4-08002B30309D}Réseau Accès à Distance {992CFFA0-F557-101A-88EC-00DD010CCC48}Imprimante {2227A280-3AEA-1069-A2DE-08002B30309D}INTERNET EXPLORER {FBF23B42-E3F0-101B-8488-00AA003E56F8}INTERNET CACHE FOLDER {7BD29E00-76C1-11CF-9DD0-00A0C9034933}Microsoft Network {00028B00-0000-0000-C000-000000000046}Corbeille {645FF040-5081-101B-9F08-00AA002F954E}Boite de Réception {00020D75-0000-0000-C000-000000000046}Panneau de Configuration {21EC2020-3AEA-1069-A2DD-08002B30309D}Dossier d’URL {FF393560-C2A7-11CF-BFF4-444553540000}

La clef HKEY_USERS du REGISTRE gère les configurations des utilisateurs

HKEY_USERS répertorie toutes les informations concernant chacun des utilisateurs (dont le premier d’entre eux, l’utilisateur par défaut, se retrouve dans la branche HKEY_USERS\.DEFAULT).

Les informations concernant chacun des utilisateurs sont les suivantes :

Les évènements systèmes et les sons associés (APPEVENTS)Les paramètres du bureau et les options du PANNEAU de CONFIGURATION (CONTROL PANEL)Les paramètres de l’écran (DISPLAY)Les chemins d’accès des dernières installations (INSTALLLOCATIONMRU)Les paramètres du clavier (KEYBORDLAYOUT)Les liaisons réseaux et les dernières connexions (NETWORK)Les éventuels profils et adresses des connexions RAS (REMOTEACCESS)Les paramètres des applications installées (SOFTWARE)


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Après une installation de WINDOWS 98, les paramètres qui sont pris en compte sont ceux définis par défaut dans la sous clef HKEY_USERS\.DEFAULT, de même ce sont les paramètres par défaut qui prévalent quand un nouvel utilisateur ouvre une session sans avoir de profil UTILISATEUR propre.Dès qu’un profil UTILISATEUR est créé, une sous clef, HKEY_USERS\nom_du_nouvel_utilisateur, apparaît dans le registre avec tous les paramètres de ce nouvel utilisateur ; en même temps, un fichier nom_du_nouvel_utilisateur.DAT s’enregistre dans l’arborescence du disque dur :

C:\WINDOWS\profilE\nom_du_nouvel_utilisateur\ nom_du_nouvel_utilisateur.DAT

La clef HKEY_CURRENT_USER du REGISTRE gère la configuration de l’utilisateur en cours

HKEY_CURRENT_USER répertorie toutes les informations personnalisées de l’utilisateur en cours de session et sont prises en compte lors de la saisie du LOGIN de l’utilisateur.

HKEY_CURRENT_USER fait référence à la sous clef HKEY_USERS\nom_de_l’utilisateur. Si l’utilisateur en cours n’a pas de profil UTILISATEUR, alors ce sont les paramètres définis par défaut dans la clef HKEY_USERS\.DEFAULT qui sont pris en compte.

La clef HKEY_LOCAL_MACHINE du REGISTRE gère la configuration matérielle et logicielle

HKEY_LOCAL_MACHINE répertorie les informations relatives aux matériels présents, aux pilotes utilisés et aux logiciels installés. Ces données sont valables pour tous les utilisateurs et sont enregistrées dans le fichier C:\WINDOWS\SYSTEM.DAT.

La branche CONFIG concerne les profils MATERIELSLa branche ENUM se rapporte aux composants matériels branchés lors du démarrage de WINDOWSLa branche HARDWARE décrie le processeur, le modem et l’interface sérieLa branche NETWORK recense les informations réseau et les données du fournisseur d’accès à INTERNETLa branche SECURITY est en rapport avec la politique de sécurité de WINDOWS NTLa branche SOFTWARE réunie les données des applications 32 bits et les fichiers .INILa branche SYSTEM regroupe les informations nécessaire au démarrage comme les pilotes de périphériques et les services du système d’exploitation.

La configuration matérielle détectée par le système au démarrage est comparée avec les informations contenues dans les branches CONFIG et ENUM, et dans l’éventualité d’un nouveau matériel, des ressources lui sont attribuée et une nouvelle entrée est créée dans le registre.

Il existe deux types de fichiers particuliers, qui se nomment de la même façon en français « dossier », mais qui concernent deux objets différents, et qui sont répertoriés dans le registre sous deux dénomination différentes.Il s’agit de HKEY_LOCAL_MACHINE\DIRECTORY qui concerne les répertoires ou dossiers de l’arborescence, et de HKEY_LOCAL_MACHINE\FOLDER qui concerne les dossiers systèmes, comme LE POSTE de TRAVAIL et LE PANNEAU de CONFIGURATION qui ne s’ouvre en général que dans une seule fenêtre (à moins de choisir la commande EXPLORE, comme commande PAR DEFAUT dans la boite de dialogue MODIFICATION DU TYPE de fichier…)

La clef HKEY_CURRENT_CONFIG du REGISTRE gère la configuration matérielle en cours

HKEY_CURRENT_CONFIG renvoie à la clef HKEY_LOCAL_MACHINE\CONFIG\000x selon qu’il y ait ou non plusieurs profils MATERIELS, et rassemble les informations concernant la configuration matérielle courante :

Le moniteur (DISPLAY)Le BIOS (ENUM)La configuration INTERNET (SOFTWARE)Les imprimantes, le modem, la carte RNIS (SYSTEM)

La clef HKEY_DYN_DATA du REGISTRE gère les informations dynamiques


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HKEY_DYN_DATA répertorie toutes les informations dynamiques, (id est) celles qui sont modifiées souvent et auxquelles le système accède régulièrement :

La configuration PLUG&PLAY enregistrée lors du démarrage (CONFIGMANAGER\ENUM)Les valeurs statistiques qui apparaissent dans le moniteur SYSTEME (PERFSTATS)

Cette clef peut accueillir certaines informations déposées par des fabricants de matériels…

Les programmes SCANREGW et SCANREG contrôlent la base de REGISTRE

SCANREGW.EXE et SCANREG.EXE sont des programmes qui permettent de contrôler et de générer une copie de sauvegarde de la base de registre et éventuellement de restaurer l’une de ces copies. Ces programmes sont enregistrés sur le disque dur dans les dossiers suivant :

C:\WINDOWS\SCANREGW.EXEC:\WINDOWS\COMMAND\SCANREG.EXE

SCANREGW.EXE est une version WINDOWS de SCANREG.EXE qui lui s’exécute sous DOS ou MSDOS.

Le système d’exploitation WINDOWS 98 lance automatiquement le programme SCANREGW.EXE au démarrage. Le lancement automatique est visible dans le registre à la clef RUN de HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\RUN, l’entrée SCANREGISTRY dans le volet droit indique le chemin du programme suivi du commutateur /AUTORUN.

C’est lors du premier démarrage correct de la journée que SCANREGW effectue une copie de sauvegarde, les autres démarrages du système d’exploitation qui sont effectués le même jour ne produisent pas de nouvelle copie de sauvegarde, ni n’écrasent la première copie de la journée.Il n’est possible de créer qu’une seule copie de sauvegarde du registre par jour, en lançant SCANREGW.EXE, le programme contrôle le registre et, s’il n’a détecté aucune erreur, propose alors d’écraser la première sauvegarde de la journée et de la remplacer par celle qu’il constituera à ce moment. Ce n’est donc qu’en lançant manuellement SCANREGW.EXE qu’il est possible d’écraser la première copie de sauvegarde du registre.

SCANREGW.EXE s’effectue en deux temps, d’abord il vérifie l’intégralité du registre, puis il propose d’écraser la première copie de sauvegarde de la journée. Il est possible de lancer la vérification du registre (1er temps) et de refuser l’enregistrement (2ième temps).

Les copies de sauvegarde du registre sont enregistrées dans des fichiers compressés et numérotés :

C:\WINDOWS\SYSBCKUP\RB00x.CAB

Les sauvegardes du registre sont accompagnées des fichiers SYSTEM.INI et WIN.INI qui faisaient office de registre dans WINDOWS 3.x et qui permettent la compatibilité avec les applications 16 bits. Une copie de sauvegarde est donc composée au minimum des fichiers SYSTEM.DAT, USER.DAT, SYSTEM.INI et WIN.INI.

Le fichier SCANREG.INI contient les paramètres de SCANREGW.EXE :

Le nombre maximum de copies de sauvegarde qui est par défaut égal à 5Le dossier d’enregistrement qui est par défaut :

C:\WINDOWS\SYSBCKUP

Les fichiers qui seront inclus à la sauvegarde…

SYSTEM.DATUSER.DATSYSTEM.INIWIN.INIEtc…


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Les programmes SCANREGW et SCANREG peuvent être exécuter simplement ou avec des commandes qui précisent ce qu’ils doivent faire :

A partir de MSDOS SCANREG /BACKUP Vérifie le registre et effectue une copieSCANREG /RESTORE Affiche les copies de sauvegardeSCANREG /FIX Répare le registre si possible

A partir de WINDOWS SCANREGW Vérifie le registre et propose de le copierSCANREGW /AUTOSCAN Vérifie et effectue une copie du registreSCANREGW /SCANONLY Vérifie le registre seulement

Les différences entre les anciens fichiers systèmes, SYTEM.INI et WIN.INI, et le REGISTRE

La base de registre, qui est le cœur de WINDOWS 95 et de WINDOWS 98, remplace les fichiers SYSTEM.INI et WIN.INI qui étaient utilisés avec WINDOWS 3.x.Le registre a une structure hiérarchique, qui facilite la recherche de données, et peut contenir un très grand nombre d’information en comparaison des fichiers.INI qui ont une structure linéaire et dont la taille était limitée à 64 Kilo Octets.

Lors d’une mise à jour de WINDOWS 3.x vers WINDOWS 98, le programme d’installation intègre, dans la nouvelle base de registre, les informations qui étaient contenues dans les fichiers SYSTEM.INI et WIN.INI. Le fichier SETUPC.INF contient une liste détaillée des entrées déplacées :

C:\WINDOWS\INF\SETUPC.INF

Le REGISTRE remplace les fichiers SYSTEM.INI et WIN.INI mais ceux-ci gardent la prédominance

Les fichiers SYTEM.INI et WIN.INI sont conservés sous WINDOWS 98, ce qui permet aux applications 16 bits de rester compatibles sous WINDOWS 98, et ils sont enregistrés dans le répertoire suivant :

C:\WINDOWS\SYSTEM.INIC:\WINDOWS\WIN.INI

En général, les applications (et particulièrement les applications 32 bits) enregistrent leurs paramètres de configuration dans un seul fichier, la base de registre, et cela conformément à la spécification de MICROSOFT pour WINDOWS 98.

De nombreuses applications 16 bits n’ont pas été reprogrammées, elles tournent toujours et elles ont donc besoin d’enregistrer leurs paramètres de configuration. Les paramètres de configuration des applications 16 bits s’enregistrent, conformément à la spécification de MICROSOFT pour WINDOWS 3.x, dans SYSTEM.INI, dans WIN.INI, ainsi que dans leurs propres fichiers. INI, lesquels se retrouvent également dans le même répertoire :

C:\WINDOWS\nom_du_programme.INI

Toutefois, certaines applications 32 bits (comme SCANREGW.EXE), ont leurs propres fichiers. INI (SCANREGW.INI)…

A chaque démarrage du système d’exploitation, les données du fichier SYSTEM.INI et celles du fichier WIN.INI sont comparés avec les entrées du registre qui leurs correspondent, et s’il existe une différence, alors les valeurs extraites des fichiers. INI prennent le dessus et remplacent les valeurs du registre…!?!?

Pour connaître le contenu d’un des fichiers de configuration (PROTOCOL.INI, SYSTEM.INI, WIN.INI, CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT), il est possible d’utiliser un éditeur de texte ASCII, mais il est plus facile d’employer les services du programme SYSEDIT.EXE qui se trouve dans le répertoire :

C:\WINDOWS\SYSTEM\SYSEDIT.EXE

Les fichiers de configuration. INI sont des fichiers texte ASCII, organisés en plusieurs sections, chacune étant introduite par un mot clé entre crochets…


99

Les entrées EDITFLAG de la base de REGISTRE protègent les types de fichiers

Les entrées EDITFLAG du registre protègent les types de fichiers auxquels ils sont rattachés et verrouillent les paramètres qui leurs sont attribués par défaut.

Par exemple, les documents WORD sont un type de fichier qui se nomme « DOCUMENT MICROSOFT WORD et dont l’extension est toujours .DOC.

Pour accéder à tous les types de fichiers qui sont enregistrés sur un ordinateur, il faut ouvrir l’EXPLORATEUR, sélectionner la commande AFFICHAGE/OPTIONS DES dossiers, puis choisir l’onglet TYPE de fichiers. La liste de tous les types de fichiers apparaît dans l’ordre alphabétique de nom de type de fichier.

Pour accéder à la boite de dialogue qui renferme les options et les paramètres propres à un type de fichier, il faut sélectionner l’un des types de fichiers et en appuyer sur le bouton MODIFIER. La boite de dialogue MODIFIER LE TYPE de fichier apparaît et présente l’ensemble des options et des paramètres associés à ce type de fichier :

L’icône associée au type de fichierLa commande par défaut (celle qui s’applique en double cliquant sur un fichier de ce type)Les commandes qui sont disponibles dans le menu contextuel de ce type de fichieretc.…

En général, toutes les options, tous les boutons et tous les champs de saisie de cette boite de dialogue sont disponibles ; toutefois, il arrive que ce ne soit pas le cas et que le type de fichier soit protégé des modifications intempestives.Par exemple, les fichiers de type « Fichier de commande MS-DOS » qui correspondent aux fichiers dont l’extension est .BAT (les fichiers BATCH) n’offrent pas toutes les possibilités de modification dans leur boite de dialogue. Cette protection s’opère par une sorte de veto prononcé dans le registre et qui est fonction de la valeur attribuée à l’entrée EDITFLAG correspondant au type de fichier.

Tous les types de fichiers ont une entrée EDITFLAG dans le registre, cette entrée est de type DWORD de 4 octets écrits en hexadécimale.La valeur « 00 00 00 00 » attribuée à l’entrée EDITFLAG d’un type de fichier signifie que toutes les options, tous les boutons et tous les champs de saisie de cette boite de dialogue MODIFIER LE TYPE de fichier seront disponibles. Une valeur différente de ZERO signifie que des restrictions seront appliquées.Par exemple, la clef HKEY_CLASSES_ROOT\BATFILE qui correspond au fichier BATCH présente l’entrée EDITFLAG avec la valeur « d0 04 00 00 ».

Les valeurs des entrées EDITFLAG sont écrites en hexadécimale de 4 octets dans le registre, seuls comptent les deux premiers octets et ils se lisent de gauche à droite. A la valeur de ces deux octets en hexadécimale qui se lisent de gauche à droite correspond la même valeur exprimée en binaire de deux octets qui se lisent eux de droite à gauche. Ainsi, le sens de lecture est inversé lors de la conversion de l’hexadécimal vers le binaire. Un octet en hexadécimales peut prendre les valeurs de 00 à FF, soit 16*16 = 256 possibilités. Un octet en binaire peut prendre les valeurs de 0000 0000 à 1111 1111, soit (2*2*2*2)*(2*2*2*2) = 256 possibilités.Par exemple, la valeur des deux premiers octets attribuée à l’entrée EDITFLAG des fichiers BATCH est « d0 04 » et signifie en binaire « 1101 0000 0000 0100 ».

Il suffit de jongler avec les options HEX et BIN de la calculatrice en mode d’affichage scientifique pour opérer la conversion (DEMARRER/EXECUTER saisir « calc » et ENTREE pour obtenir la calculatrice, AFFICHAGE/SCIENTIFIQUE pour obtenir le mode scientifique).

Maintenant, à chacun des 16 bits de la valeur binaire correspond une option ou une fonctionnalité de la boite de dialogue MODIFICATION DU TYPE de fichier, cette option peut être active ou non selon que le bit est à 0 ou à 1 :

0000 0000 0000 0000 Toutes les fonctionnalités sont actives (C’est comme si l’entrée EDITFLAG était supprimée du registre)

0000 0000 0000 0001 Masque le nom du type de fichier dans la liste TYPES de fichiers ENREGISTRES


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0000 0000 0000 0010 Masque la liste déroulante TYPE de CONTENU (MIME) dans la boite de dialogue MODIFICATION DU TYPE de fichier

0000 0000 0000 1000 Masque le bouton MODIFIER dans l’onglet TYPE de fichiers

0000 0000 0001 0000 Masque le bouton SUPPRIMER dans l’onglet TYPES de fichiers

0000 0000 0010 0000 Masque le bouton NOUVEAU dans la boite de dialogue MODIFICATION DU TYPE de fichier

0000 0000 0100 0000 Masque le bouton MODIFIER dans la boite de dialogue MODIFICATION DU TYPE de fichier

0000 0000 1000 0000 Masque le bouton SUPPRIMER dans la boite de dialogue MODIFICATION DU TYPE de fichier

0000 0001 0000 0000 Désactive la rubrique DESCRIPTION DU TYPE dans la boite de dialogue MODIFICATION DU TYPE de fichier

0000 0010 0000 0000 Masquer le bouton CHANGER D’icône dans la boite de dialogue MODIFICATION DU TYPE de fichier

0000 0100 0000 0000 Masque le bouton PAR DEFAUT dans la boite de dialogue MODIFICATION DU TYPE de fichier

Plusieurs options ou fonctionnalités peuvent être combinées, il suffit pour cela d’additionner les valeurs binaires. Une fois la valeur binaire déterminée, il faut la convertir en valeur hexadécimale en utilisant la calculatrice en mode scientifique, rajouter les ZERO qui manquent, inverser l’ordre des octets avant de saisir la nouvelle valeur EDITFLAG dans le registre.Par exemple, la valeur binaire « 0000 0100 1100 0000 » s’écrit dans la calculatrice avec l’option BIN sans les ZERO du début « 10011000000 », et se traduit, en choisissant l’option HEX, en valeur hexadécimale « 4CO », mais celle-ci doit s’exprimer avec les ZERO du début, soit huit symboles pour quatre octets « 00 00 04 C0 », et comme il faut inverser le sens de lecture des quatre octets, il faut saisir dans le registre la valeur « C0 04 00 00» pour l’entrée EDITFLAG…(bon courage)

Pour lancer le programme SYSEDIT (avec SYSEDIT)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « sysedit »ENTREE

Pour créer une copie de sauvegarde de la base de REGISTRE sans écraser celle qui s’est enregistrée automatiquement après le premier lancement correct de WINDOWS de la journée (avec SCANREGW)

Copier dans un autre endroit de l’arborescence ou renommer le fichier RB00x.CAB de la journée

Exécuter SCANREGW et enregistrer la nouvelle sauvegardeDEMARRER/EXECUTERSaisir « scanregw »OK

OUI pour accepter d’enregistrer la copie de sauvegarde du registre

Pour créer un fichier BATCH qui sauvegarde et ouvre la base de REGISTRE (avec NOTEPAD)

Il faut dans un premier temps créer un dossier pour accueillir les sauvegardes par exemple C:\SAUVEGARDE

Ouvrir l’EXPLORATEURSélectionner la racine C:\


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Clic droit sur un emplacement vide du volet droit de l’EXPLORATEURNOUVEAU/DOSSIERRenommer le nouveau dossier C:\SAUVEGARDE

Dans un deuxième temps, il faut ouvrir un éditeur de texte et saisir les lignes de commande

Ouvrir un éditeur de texte comme NOTEPADDEMARRER/EXECUTERSaisir « notepad »ENTREE

Saisir les lignes de commande suivantes :

cd C:\windowsattrib -h -r -s system.datattrib -h -r -s user.datcopy system.dat C:\SAUVEGARDEcopy user.dat C:\SAUVEGARDEattrib +h +r +s system.datattrib +h +r +s user.datregedit

Enregistrer le fichier avec un nom parlant et une extension .BAT, par exemple « Sauve_et_ouvre_le_registre.BAT ».

Si l’opérateur n’ouvre la base de registre qu’à l’aide de ce fichier BATCH, alors une copie de la base de registre sera toujours sauvegardée avant toutes modifications hasardeuses. Les attributs hidden, read-only, et system sont enlevés puis restaurés.

Si des profilES utilisateurs ont été créés, alors le fichier USER.DAT de chaque utilisateur est enregistré dans un autre répertoire et il faut adapter le script :

C:\WINDOWS\profilES\nom_de_l’utilisateur\USER.DAT

Les deux fichiers SYTEM.DAT et USER.DAT sont volumineux, il faut donc prévoir de la place pour les accueillir dans le dossier cible.

Il est possible d’utiliser la variable d’environnement %WINDIR% pour indiquer le dossier WINDOWS, alors la première ligne de commande devient superflue et la deuxième doit être de la forme :

attrib –h –r –s %WINDIR%\system.dat

Pour créer un autre fichier BATCH qui rétablira la base de REGISTRE avec les copies de sauvegarde des fichiers SYSTEM.DAT et USER.DAT enregistrées dans le dossier C:\SAUVEGARDE (avec NOTEPAD)

Ouvrir un éditeur de texte comme NOTEPADDEMARRER/EXECUTERSaisir « notepad »ENTREE

Saisir les lignes de commande suivantes :

cd C:\windowsattrib -h -r -s system.datattrib -h -r -s user.datcopy C:\SAUVEGARDE\system.dat copy C:\SAUVEGARDE\user.datattrib +h +r +s system.datattrib +h +r +s user.dat


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Enregistrer le fichier avec un nom parlant et une extension .BAT, par exemple « Restaure_le_registre.BAT »

Avec les deux fichiers BATCH, celui de sauvegarde et celui de restauration, il devient facile de modifier la base de registre à souhait, d’effectuer des tests et de retrouver l’intégralité de son système comme neuf par la suite…Pour lancer les instructions d’un fichier BATCH, il suffit de double cliquer sur celui-ci.

Pour restaurer sous MSDOS la base de REGISTRE (avec SCANREG.EXE)

Relancer l’ordinateur sous MSDOSRedémarrer et appuyer sur F8 quant apparaît le premier écranChoisir l’option MSDOS SEULEMENT dans le MENU de DEMARRAGE

Saisir la commande SCANREG /RESTOREENTREE

Sélectionner une copie de sauvegarde parmi celles qui sont proposées (c’est à dire celles qui sont dans le dossier des copies de sauvegarde de SCANREGW) :

C:\WINDOWS\SYSBCKUP\RB00x.CAB

ENTREE

Pour créer une nouvelle clef, dans le volet gauche du REGISTRE (avec un clic droit)

Ouvrir la base de registre

Sélectionner dans le volet gauche la clef qui devra contenir la nouvelle clefClic droit pour faire apparaître le menu contextuel :

NOUVEAU/CLE

Renommer « NOUVELLE CLE #1 » en choisissant une appellation qui n’est pas déjà utilisée à ce même niveau de hiérarchie.

Pour créer une nouvelle entrée, dans le volet droit du REGISTRE (avec un clic droit)


Sélectionner dans le volet gauche la clef correspondante à la nouvelle entréeClic droit sur un emplacement vide du volet droit du registre :

NOUVEAU/VALEUR CHAINE NOUVEAU/VALEUR BINAIREOu NOUVEAU/VALEURDWORD

Renommer « NOUVELLE VALEUR #1 » en choisissant une appellation qui n’est pas déjà utiliser à ce même niveau de hiérarchie.Attribuer une valeur à cette nouvelle valeur en double cliquant dessus.Selon le type d’entrée, la valeur s’exprime soit en chaîne de caractères, soit en hexadécimale, soit en binaire.

Pour imprimer tout ou partie du REGISTRE et garder une trace papier (avec REGEDIT)

Ouvrir la base de registreSélectionner la clef souhaitéeREGISTRE/IMPRIMERVérifier que l’option PARTIE SELECTIONNER est bien activée afin de n’imprimer que la partie sélectionnée, sinon, il est possible de choisir l’option


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TOUT dans la zone ETENDUE, mais cela peut représenter plus d’une centaine de page difficile à parcourir d’une traite…OK

Pour rechercher une clef ou une entrée du REGISTRE (avec REGEDIT)

Ouvrir la base de registreSélectionner dans le volet droit POSTE de TRAVAIL pour parcourir toutes les clefs principales ou sélectionner l’une d’entre-elles…

EDITION/RECHERCHERDésactiver l’option MOT ENTIER SEULEMENT et activer les options CLEFS, VALEURS et DONNEES afin de procéder à la recherche la plus large possible.Cliquer sur le bouton SUIVANT pour rechercher la première occurrence, puis presser la touche F3 pour les suivantes.La dénomination recherchée s’affiche en sur brillance et le chemin complet de la clef trouvée s’affiche dans la barre d’état de l’éditeur.

Pour supprimer une clef ou une entrée du REGISTRE (avec REGEDIT)

Ouvrir le registreSélectionner la clef dans le volet gauche, ou l’entrée dans le volet droitClic droit sur la sélectionChoisir l’option SUPPRIMER du menu contextuelOUI

Pour visualiser dans le REGISTRE les programmes lancés automatiquement au démarrage (avec les clefs RUN et RUNSERVICE)

Ouvrir le registreDEMARRER/EXECUTERSaisir “regedit”

Chercher les clefs RUN et RUNSERVICES:

HKEY_LOCAL_MACHINESOFTWAREMICROSOFTWINDOWSCURRENTVERSION

RUNRUNSERVICES

Pour supprimer dans le REGISTRE les noms des programmes qui sont mémorisés dans le menu déroulant de DEMARRER/EXECUTER et les adresses INTERNET qui sont mémorisées dans la barre d’adresse (avec la clef RUMRU)

Lancer REGEDIT

Chercher la clef RUNMRU :

HKEY_CURRENT_USERSOFTWAREMICROSOFTWINDOWSCURRENT VERSIONEXPLORERRUNMRU


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L’entrée « MRULIST » dans le volet droit indique par des lettres de l’alphabet le nombre de programmes mémorisés dans DEMARRER/EXECUTER. Les entrées dont le nom est une lettre de l’alphabet correspondent aux noms des programmes mémorisés.

Les adresses INTERNET qui sont mémorisées dans la barre d’adresse figurent également dans le volet droit et sont classées par ordre numérique et commencent toutes par « URLx »…

Sélectionner les noms de programmes ou les URL à supprimerEDITION/SUPPRIMER


Pour modifier le chemin d’accès aux fichiers d’installation du CDROM de WINDOWS 98, il faut changer la valeur de l’entrée « SourcePath » dans le REGISTRE (avec la clef SETUP)

Copier à partir du CDROM d’installation de WINDOWS 98 tous les fichiers d’archive compressés qui ont l’extension. CAB et tous les autres fichiers du répertoire WIN98, les copier sur le disque dur, ce qui représente à peu près 100 Méga Octets de mémoire.

Ouvrir la base de registre et chercher la clef suivante :

HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\SETUP

Remplacer la valeur de « SourcePath » avec le chemin d’accès du disque dur où sont copier les fichiers d’installation du CDROM de WINDOWS 98.


Pour supprimer dans le REGISTRE les entrées des programmes qui ont été désinstallés mais qui figurent toujours dans la liste du module « ajout & suppression de programmes » (avec la clef UNINSTALL)

Ouvrir la base de registreChercher la clef UNINSTALL qui regroupe tous les programmes 32 bits (hormis les applications 16 bits et DOS) dans la branche suivante :

HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\UNINSTALL

Sélectionner la clef avec le nom du programme à supprimer dans la fenêtre de gaucheDans la fenêtre de droite supprimer l’entrées UNINSTALLSTRING qui correspond à la commande de lancement de la routine de désinstallation du programme, et l’entrée DISPLAYNAME qui correspond à l’intitulé du programme qui apparaît dans la liste du module AJOUT & SUPPRESSION de PROGRAMMES.Supprimer aussi la clef dans le volet gauche…


Pour supprimer dans le REGISTRE les entrées des DLL qui ne sont plus partagés par aucune application (avec la clef SHAREDDLLS)


Chercher la clef SHAREDDLLS qui regroupe tous les fichiers .DLL installés sur le système, qu’ils soient encore partagés ou non.


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HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\SHAREDDLLS

Dans la fenêtre de droite figure la colonne NOM qui répertorie le chemin de toutes les DLL, et la colonne DONNEES qui indique en hexadécimal le nombre d’application qui utilisent la DLL. Le nombre ZERO indique que la DLL n’est plus utilisée par aucun programme.Il est alors possible de supprimer l’entrée correspondante dans la base de registre et de supprimer le fichier sur le disque dur (en n’oubliant pas de noter son chemin avant de l’avoir effacer)...


Pour modifier dans le REGISTRE le nom de l’utilisateur et le nom de la société qui ont été enregistrés lors de l’installation du système d’exploitation (avec les entrées « RegisteredOwner » et « RegisteredOrganization »)

Ouvrir la base de registreChercher la clef CURRENTVERSION dans le volet de gauche :

HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION

Dans le volet de droite figurent les valeurs recherchées :

« RegisteredOwner »« RegisteredOrganization »

Changer les valeurs…


Pour supprimer la commande déconnexion du menu DEMARRER quand il n’existe qu’un seul profil utilisateur, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoLogOff »)


Chercher la clef EXPLORER qui regroupe les fonctions liées à l’EXPLORATEUR de WINDOWS :


Dans le volet droit du registre créer une nouvelle valeur en faisant un clic droit sur un emplacement vide, et dans le menu contextuel qui s’affiche, sélectionner la commande NOUVEAU puis VALEUR BINAIRE

Saisir le nom de la nouvelle entrée : « NoLogOff »ValiderDouble cliquer sur la nouvelle entréeSaisir la valeur « 01 00 00 00 »

Redémarrer le système d’exploitation

En attribuant la valeur « 00 00 00 00 » à cette nouvelle entrée, celle-ci se désactive comme si l’entrée avait été radicalement supprimé, alors la commande déconnexion apparaîtrait dans le menu DEMARRER.


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Pour supprimer le message « ◄ CLIQUER ICI POUR DEMARRER » qui s’affiche dans la barre des tâches au démarrage, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoStartBanner »)


Chercher la clef suivante :


Dans le volet droit, créer dans le volet droit l’entrée « NoStartBanner » si elle n’existe pas

Cliquer sur l’entrée et lui donner la valeur « 01 00 00 00 »

Ouvrir l’autre branche :

HKEY_USER\DEFAULT\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\POLICIES\EXPLORER

Rechercher l’entrée « NoStartBanner » et lui donner la même valeur « 01 00 00 00 »


L’utilitaire TWEAK UI des POWER TOYS de MICROSOFT permet également de désactiver l’affichage de ce message. Par ailleurs, si l’option LANCEMENT RAPIDE de la barre des tâches est active, alors la bannière n’a pas la place de s’afficher.

Pour désactiver la mémorisation et l’affichage des derniers fichiers ouverts dans DEMARRER/DOCUMENTS, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoRecentDocsHistory »)

Il est possible d’effacer la liste des fichiers ouverts avec la commande suivante :

DEMARRER/PARAMETRES/barre DES TACHES ET MENU DEMARREROnglet PROGRAMMES DU MENU DEMARRERDans le cadre MES DOCUMENTS cliquer le bouton EFFACER

Si cette solution temporaire n’est pas satisfaisante dans le temps, il est alors possible avec le registre d’empêcher systématiquement la mémorisation de cette liste qui reflète les fichiers et le mode de travail de l’utilisateur de l’ordinateur :


Chercher l’entrée « NoRecentDocsHistory »Si elle n’existe pas, alors il faut la créer en sélectionnant NOUVEAU/VALEUR BINAIRE à l’aide d’un clic droit sur un espace vide du volet droit de la branche suivante :


Attribuer la valeur « 01 00 00 00 » à l’entrée « NoRecentDocsHistory »

Redémarrer l’ordinateur afin que les changements soient pris en compte.


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Maintenant, la mise à jour de la liste des documents ouverts ne sera plus effectuée, par contre les anciennes occurrences sont toujours présentes, il convient alors d’effacer les raccourcis qui sont enregistrés dans le dossier :

C:\WINDOWS\RECENT

Pour rendre invisible la commande DEMARRER/DOCUMENTS/MES DOCUMENTS, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoRecentDocsMenu »)


Chercher l’entrée « NoRecentDocsMenu »Si elle n’existe pas, alors il faut la créer en sélectionnant NOUVEAU/VALEUR BINAIRE à l’aide d’un clic droit sur un espace vide du volet droit de la branche suivante :


Attribuer la valeur « 01 00 00 00 » à l’entrée « NoRecentDocsMenu »

Redémarrer l’ordinateur afin que les changements soient pris en compte

Il est également possible de masquer cette commande à l’aide de l’outil TWEAK UI, en désactivant l’option SHOW DOCUMENTS MENU ON START MENU.

Pour masquer la commande DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATION et la commande DEMARRER/PARAMETRES/IMPRIMANTES, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoSetFolders »)



Chercher l’entrée « NoSetFolders »Si elle n’existe pas, alors il faut la créer en sélectionnant NOUVEAU/VALEUR DWORD à l’aide d’un clic droit sur un espace vide du volet droit.

Attribuer la valeur «1» à l’entrée « NoSetFolders »

La valeur « 0 » permet de rendre visible les deux commandes sans avoir à supprimer l’entrée.

Redémarrer l’ordinateur afin que les changements soient pris en compte.

Pour supprimer l’icône du VOISINAGE RESEAU qui se trouve de fait sur le bureau dès l’ouverture d’une session, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « NoNetHood »)



Clic droit sur un emplacement vide du volet droit et créer une nouvelle entrée en choisissant dans le menu contextuel NOUVEAU/VALEUR CHAINE

Attribuer à cette nouvelle entrée le nom « NoNetHood »


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Double cliquer sur cette nouvelle entrée et lui donner la valeur « 1 »


Une autre façon de procéder est d’utiliser l’utilitaire TWEAK UI

Les entrées du REGISTRE qui conditionnent l’environnement de l’ EXPLORATEUR

Les entrées du registre qui conditionnent l’environnement de l’EXPLORATEUR se trouvent dans la branche :


Fonction Nom TypeDésactiver la fermeture de WINDOWS avec la commande DEMARRER/ARRETER

« NoClose »

Désactiver le lancement automatique du lecteur de CDROM

« NoDriveTypeAutoRun »

Masquer la commande fichier dans la barre de menu de l’EXPLORATEUR

« NoFileMenu »

Masquer les commandes OUTILS/RECHERCHER dans l’EXPLORATEUR et dans DEMARRER

« NoFind » Valeur chaîne

Masquer la commande DEMARRER/EXECUTER

« NoRun » Valeur Binaire

Désactiver l’affichage de l’icône VOISINAGE RESEAU du bureau

« NoNetHood »

Interdire les changements du bureau « NoSaveSettings »Désactiver le message pointant sur le bouton DEMARRER

« NoStartBanner »

Masquer les icônes PANNEAU de CONFIGURATION et IMPRIMANTES du POSTE de TRAVAIL de l’EXPLORATEUR et de la commande DEMARRER/PARAMETRES

« NoSetFolders »

Masquer les icônes du bureau « NoDeskTop » DWORD

Pour enregistrer (ou exporter) dans un fichier .REG les valeurs des entrées contenues dans le volet droit d’une clef du REGISTRE (avec REGEDIT)


Sélectionner la branche et la clef dans le volet gauche de l’éditeur

Dans le volet droit figurent toutes les entrées qui seront enregistrées

Sélectionner la commande REGISTRE/EXPORTER UN FICHIER DU REGISTRE…

Donner un nom explicite et un lieu de stockage au fichier .REG

Trois méthodes pour importer dans le REGISTRE les valeurs des entrées contenues dans un fichier .REG

Dans l’EXPLORATEUR, double cliquer sur un fichier .REG signifie incorporer les valeurs des clefs contenues dans ce fichier à l’intérieur de la base de registre


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Dans l’EXPLORATEUR, faire un clic droit sur le fichier .REG et sélectionner dans le menu contextuel la commande FUSIONNER

Une troisième solution consiste à ouvrir le registre et à sélectionner la commande REGISTRE/IMPORTER UN fichier DU REGISTRE…Puis à rechercher le fichier .REG et cliquer sur le bouton OUVRIR de la boite de dialogue.

Pour visualiser le contenu d’un fichier .REG et connaître les valeurs des entrées qui y sont enregistrées (avec un clic droit)

Sélectionner le fichier .REG dans l’EXPLORATEURClic droit pour afficher le menu contextuelChoisir la commande EDITION

Pour changer la commande FUSIONNER d’un fichier .REG et préférer la commande EDITION (avec TYPES de fichiers)

La commande par défaut des fichiers de type .REG est FUSIONNER, or la commande par défaut est celle qui s’applique avec un double clic, ainsi un double clic sur un fichier .REG incorpore le contenu du fichier directement et automatiquement dans le registre. Il est prudent de connaître le contenu d’un fichier .REG avant de l’importer, en changeant la commande par défaut des fichiers de type .REG et en préférant la commande EDITION, qui se trouve déjà dans le menu contextuel, un double clic ouvre le fichier .REG dans un éditeur :

Ouvrir l’EXPLORATEURAFFICHAGE/OPTIONS DES dossiers…Onglet TYPES de fichiers

Sélectionner dans la liste TYPES de fichiers ENREGISTRES l’entrée INSCRIPTION DANS LE REGISTRE qui correspond au fichier doté de l’extension .REG (l’intitulé d’un type de fichier figure dans le volet droit de l’EXPLORATEUR sous la colonne TYPE).Cliquer sur le bouton MODIFIER

Sélectionner la commande EDITIONCliquer sur le bouton PAR DEFAUTFERMER

La commande FUSIONNER demeure disponible dans le menu contextuel associé aux fichiers .REG, mais désormais, un double clic sur un fichier .REG ouvrira celui-ci dans un éditeur.

Pour visualiser les différences entre deux versions du REGISTRE à l’aide de WINDIFF, comme par exemple les nouvelles entrées qui apparaissent après l’installation d’un programme (avec WINDIFF)

Ouvrir le registreEnregistrer la base de registre REGISTRE/EXPORTER UN FICHIER DU REGISTRENommer ce fichier VERSION1 et l’enregistrer dans C :\SAUVEGARDE

Installer le nouveau programme

Redémarrer l’ordinateur pour que le registre incorpore la configuration du programme qui vient d’être installé…

Enregistrer la nouvelle base de registre dans C :\SAUVEGARDE sous le nom VERSION2

Installer WINDIFF


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Pour installer WINDIFF, il faut copier dans le répertoire C :\WINDOWS du disque dur, les fichiers WINDIFF.EXE, WINDIFF.HLP et GUTILS.DLL qui se trouvent sur le CDROM D’INSTALLATION de WINDOWS 98 dans le dossier TOOLS\RESKIT\FILE.

Lancer WINDIFFDEMARRER/EXECUTERSaisir « windiff » Sélectionner la commande FILE/COMPARE FILES dans la barre de menu de l’interface du programme WINDIFFRechercher le premier fichier, VERSION1, l’ouvrir, puis rechercher le second fichier, VERSION2.

Sélectionner dans la page de l’interface la ou une des lignes qui fait montre qu’il y a des différences entre les deux fichiers.Cliquer sur le bouton EXPAND

Sélectionner la commande VIEW/NEXT CHANGE dans la barre de menu, ou presser la touche F8 pour repérer la différence suivante…

Pour masquer le LOGIN du dernier utilisateur qui s’est connecté au réseau, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « DontDisplayLastUserName »)

Le LOGIN du dernier utilisateur qui s’est connecté au réseau figure par défaut dans la boite de dialogue de connexion au réseau, et peut être une indication précieuse pour un pirate informatique qui veut s’infiltrer :


HKEY_LOCAL_MACHINE\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Policies\Network

Créer une nouvelle entrée en sélectionnant la commande EDITION/NOUVEAU/VALEUR CHAINEAttribuer le nom « DontDisplayLastUserName »Donner la valeur « 1 » à cette nouvelle entrée en sélectionnant l’entrée et la commande EDITION/MODIFIER

Redémarrer le système

Après le redémarrage du système d’exploitation, la boite de dialogue de connexion au réseau se présente sans le nom du dernier utilisateur qui s’est connecté au réseau, et le curseur (le point d’insertion du curseur) clignote dans la zone de saisie de l’utilisateur et non plus dans le champ du mot de passe. L’utilisateur devra saisir désormais son LOGIN et son mot de passe…

Pour masquer le LOGIN (le nom du dernier utilisateur) qui figure par défaut dans la boite de dialogue d’ouverture de session, il faut créer dans le REGISTRE une entrée (avec « DontDisplayLastUserName »)


HKEY_LOCAL_MACHINE\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\WinLogon

Créer une nouvelle entrée en sélectionnant la commande EDITION/NOUVEAU/VALEUR CHAINEAttribuer le nom « DontDisplayLastUserName » Donner la valeur « 1 » à cette nouvelle entrée en sélectionnant l’entrée et la commande EDITION/MODIFIER

Redémarrer le système


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Le point d’insertion du curseur clignote dans la zone de saisie de l’utilisateur

Pour masquer la commande DEMARRER/FAVORIS, il faut créer l’entrée « NoFavoritesMenu » dans le REGISTRE (avec REGEDIT)



Clic droit sur un emplacement vide du volet droit et créer une nouvelle entrée en choisissant dans le menu contextuel NOUVEAU/VALEUR BINAIRE

Attribuer à cette nouvelle entrée le nom « NoFavoritesMenu »

Double cliquer sur cette nouvelle entrée et lui donner la valeur « 01 00 00 00 »


Une autre façon de procéder est d’utiliser l’utilitaire TWEAK UI.

Pour limiter l’accès à l’éditeur de la base de REGISTRE en activant l’entrée « DisableRegistryTools » (avec POLEDIT)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « poledit »OK

FICHIER/OUVRIR et sélectionner un fichier .POL pour charger un fichier de stratégie système ou charger la base de registre avec FICHIER/OUVRIR LA BASE DES REGISTRES…

Double cliquer sur l’icône UTILISATEUR PAR DEFAUT ou UTILISATEUR LOCALOuvrir l’arborescence des « + » jusqu’à SYSTEME/RESTRICTIONSActiver l’option DESACTIVER LES OUTILS D’EDITION de LA BASE de REGISTRES

Ainsi l’entrée « DisableRegistryTools » de la branche HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\POLICIES\SYSTEM est activé avec la valeur binaire « 01 00 00 00 »

Pour limiter l’accès à certains programmes et activer l’entrée « RestrictRun » du REGISTRE (avec POLEDIT)

Lancer l’éditeur de stratégie systèmeDEMARRER/EXECUTERSaisir « poledit »OKOu procéder d’une autre façon :DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME

FICHIER/OUVRIR et sélectionner un fichier .POL pour charger un fichier de stratégie système ou charger la base de registre avec FICHIER/OUVRIR LA BASE DES REGISTRES…


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Double cliquer sur l’icône UTILISATEUR PAR DEFAUTOuvrir l’arborescence des « + » jusqu’à SYSTEME/RESTRICTIONS

Activer l’option N’EXECUTER QUE LES applications WINDOWS AUTORISEESCliquer sur le bouton AFFICHERSaisir les noms des programmes autorisés (au moins EXPLORER.EXE et POLEDIT.EXE pour désactiver cette option) avec leur chemin complet

Ainsi l’entrée « RestrictRun » de la branche HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\POLICIES\EXPLORER est activée avec la valeur binaire « 01 00 00 00 » ; en même temps une sous clef qui porte le même nom « RESTRICTRUN » a été crée sous la clef EXPLORER et dans le volet droit figurent les entrées qui ont pour valeur les noms des programmes autorisés.

Pour modifier le moment du passage de l’heure d’été à l’heure d’hiver, il faut modifier dans le REGISTRE les valeurs des entrées « DayLightStart » et « StandardStart » (avec REGEDIT)

Ouvrir le registre

HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CURRENTCONTROLSET\CONTROL\TIMEZONEINFORMATION

Les valeurs binaires « DayLightStart » et « StandardStart » représentent respectivement le passage à l’heure d’été et celui de l’heure d’hiver. Ce sont les troisièmes place en partant de la gauche des valeurs hexadécimales qui correspondent au mois dans l’année, par exemple, 0a égale 10 en décimal et correspond au mois d’octobre…

Il est toute fois préférable d’effectuer ces changements à travers le module DATE & HEURE dans Le panneau de configuration…

Pour afficher le nom d’une autre ville caractéristique du FUSEAU horaire, il faut changer la valeur de la clef ROMANCE du REGISTRE (avec REGEDIT)


HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\TIMEZONE

ROMANCE (pour la France !)

Dans le volet de droite, double cliquer sur l’entrée DISPLAY et saisir le nom de la ville désirée

Redémarrer

Pour définir la résolution de l’écran directement dans le REGISTRE (avec REGEDIT)


HKEY_LOCAL_MACHINE\CONFIG\0001\DISPLAY\SETTINGS

Dans le volet droit l’entrée résolution peut prendre la valeur “1024,768” par exemple

Redémarrer


113

Cependant s’il existe une autre résolution définie dans une autre branche du registre, alors celle-ci peut prendre éventuellement le dessus en fonction de l’état et du moment dans lequel se trouve l’ordinateur (avant le démarrage, avant l’ouverture d’une session et selon le profil matériel et/ou le profil utilisateur).HKEY_CURRENT_CONFIG défini les données concernant un profil MATERIEL, et HKEY_CURRENT_USER défini les données concernant le profil UTILISATEUR en cours de session, la valeur de l’entrée résolution est toujours définie dans la clef DISPLAY\SETTINGS de la branche correspondante…

Pour masquer les flèches des icônes qui montrent que ce sont les raccourcies des fichiers originaux, il faut supprimer l’entrée « IsShortcut » dans le REGISTRE (avec REGEDIT)


HKEY_CLASSES_ROOT\LNKFILESupprimer l’entrée « IsShortcut »

Redémarrer

Il est possible d’effectuer cette modification à l’aide de TWEAKUI.

Pour empêcher que la création d’un raccourci s’accompagne par défaut de l’intitulé « Raccourci vers le_nom_du_fichier », il faut modifier la valeur de l’entrée « Link » dans le REGISTRE (avec REGEDIT)


HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\EXPLORER

Donner à l’entrée LINK la valeur « 00 00 00 00 »

Pour ajouter dans la commande ENVOYER VERS des menus contextuels la commande IMPRIMANTES récapitulant toutes les imprimantes installées sur l’ordinateur (avec l’EXPLORATEUR)


Le dossier C:\WINDOWS\SENT TO

FICHIER/NOUVEAU/DOSSIERRenommer le dossier avec le CLSID du dossier imprimante :

« imprimante.{2227A280-3AEA-1069-A2DE-08002B30309D} »

ENTREE

L’utilitaire INFORMATIONS SYSTEME

L’utilitaire INFORMATIONS SYSTEME rassemble des informations sur le système et d’autres programmes systèmes

L’utilitaire INFORMATIONS SYSTEME se retrouve dans l’arborescence du menu DEMARRER :DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/INFORMATIONS SYSTEME

L’utilitaire INFORMATIONS SYSTEME peut être lancé avec DEMARRER/EXECUTER :

Saisir « msinfo32 »

L’interface de l’INFORMATIONS SYSTEME propose dans la commande OUTILS de la barre de menu d’autres outils de diagnostic :

Dr WATSONL’UTILITAIRE de CONFIGURATION SYSTEME (MSCONFIG)


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Le VERIFICATEUR de FICHIERS SYSTEMESEtc…

Pour lancer INFORMATIONS SYSTEME (avec MSINFO32)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/INFORMATIONS SYSTEME

Ou DEMARRER/EXECUTERSaisir « msinfo32 »

Les programmes systèmes qui s’exécutent dès l’ouverture d’une session et/ou qui fonctionnent en arrière plan sont placés dans une clef RUN du REGISTRE

Certains programmes systèmes sont inscrits dans le registre pour s’exécuter dès l’ouverture d’une session WINDOWS, certain, comme SCANREGW vérifie l’intégrité de REGISTRE puis se termine, d’autres enfin fonctionnent continuellement à l’arrière plan…

Les entrées du registre commandant l’exécution d’un programme comportent toutes le mot RUN et sont principalement localisées dans la clef suivante :

HKEY_LOCAL_MACHINE/SOFTWARE/MICROSOFT/WINDOWS/CURRENT VERSION/RUN

Le chemin d’une clef dans le volet gauche, et qui permet d’afficher les entrées dans le volet droit, est récapitulé dans la barre d’états de la fenêtre de l’éditeur de registre.

Dans le volet droit, la ligne de commande se termine parfois de l’instruction « /autorun »…

Pour connaître les programmes systèmes qui sont exécutés dès le démarrage de WINDOWS (avec INFORMATIONS SYSTEME)

DEMARRER / PROGRAMMES / ACCESSOIRESOUTILS SYSTEMES / INFORMATIONS SYSTEMEDans le volet droit ouvrir l’arborescence + ENVIRONNEMENT LOGICIEL / PROGRAMMES de DEMARRAGEDans le volet de gauche est indiqué si les commandes sont activées à partir d’une entrée du REGISTRE

Pour connaître le pedigree de tous les programmes en cours d’exécution (avec INFORMATIONS SYSTEME)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEMES/INFORMATIONS SYSTEME

Dans le volet droit ouvrir l’arborescence + ENVIRONNEMENT LOGICIEL / EXECUTION de TACHESDans le volet de gauche est indiqué si les commandes sont activées à partir d’une entrée du REGISTRE

Ainsi, en lançant un programme, puis en visualisant dans l’utilitaire INFORMATION SYSTEME/ENVIRONNEMENT LOGICIEL/EXECUTION de TACHES, de nombreuses informations figurent sur le programme en cours d’exécution :

Le nom du programmeLe numéro de versionLe fabricantLa description du programmeLe chemin sur le disque durLe nom d’ensemble dont le programme fait partie


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Le programme diagnostic du Dr WATSON

Le programme D. WATSON permet d’effectuer un cliché de la configuration système

Le programme Dr WATSON permet d’effectuer un cliché de la configuration système. Le cliché peut être envoyé à une hot line et servir de base pour connaître la source d’un problème.

Dr WATSON est un outils de diagnostic qui fait partie de l’interface du programme INFORMATIONS SYSTEME et qui peut être lancé à partir de cette interface. Le programme Dr WATSON est enregistré dans le répertoire :

C:\WINDOWS\DRWATSON.EXE

Une fois lancée, l’icône du programme Dr WATSON se place dans la barre système. Quand le programme Dr WATSON est lancé, il effectue une surveillance du système en arrière plan et se manifeste éventuellement s’il détecte un problème.Pour effectuer un cliché de la configuration système, il faut ouvrir l’interface du Dr WATSON en double cliquant sur l’icône de la barre système. L’interface du Dr WATSON présente différents onglets :

L’onglet Diagnostic qui indique les éventuels problèmes détectésL’onglet Système qui décrit l’ordinateurL’onglet TACHES qui répertorie les programmes en cours d’exécution pendant le clichéL’onglet Démarrage qui présente les programmes qui s’exécute lors du démarrage du système d’exploitationL’onglet POINTS de Raccordement (HOOKS)…L’onglet Pilotes de Noyau…L’onglet Pilotes Utilisateurs…L’onglet Pilotes MS-DOS…L’onglet Module 16 bits…

Le programme NORTON ANTIFREEZE est plus performant pour analyser et éventuellement prévenir les défaillances du système…

Pour lancer le Dr WATSON (avec DRWATSON)

Il faut dans un premier temps lancer le programme Dr WATSON dans la barre système :

Lancer INFORMATIONS SYSTEMEDEMARRER / PROGRAMMES / ACCESSOIRESOUTILS SYSTEMES / INFORMATIONS SYSTEMEMenu OUTILS/Dr.WATSON, l’icône du docteur WATSON s’affiche alors dans la barre des tâches.

Ou DEMARRER/EXECUTERSaisir « drwatson »ENTREE

Dès lors, la surveillance du système est activée et le Dr WATSON se fera remarquer si un problème est détecté.

Il faut dans un deuxième temps, ouvrir l’interface du Dr WATSON et effectuer un cliché :

Double clic sur l’icône du docteur WATSON qui s’est affichée dans la barre système, un cliché est effectué, l’interface se présente. Choisir AFFICHAGE/AFFICHAGE AVANCEE (ou AFFICHAGE/OPTION pour activer l’option OUVRIR UNE NOUVELLE FENETRE EN mode AFFICHAGE AVANCEE)


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FICHIER/NOUVEAU CLICHE pour éventuellement refaire un tour d’horizon de la configuration de l’ordinateur.

L’utilitaire VUMETRE RESSOURCES

L’utilitaire VUMETRE RESSOURCES permet de visualiser graphiquement l’occupation des ressources du système, de l’utilisateur et du GDI

L’utilitaire VUMETRE RESSOURCES se place dans la barre système et indique graphiquement le pourcentage d’occupation des ressources du système, de l’utilisateur et du GDI (interface graphique).

L’utilitaire VUMETRE RESSOURCES se retrouve dans l’arborescence du menu DEMARRER :DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/VUMETRE RESSOURCES

L’utilitaire VUMETRE RESSOURCES peut être lancé avec DEMARRER/EXECUTER :

Saisir « rsrcmtr»

L’occupation des ressources est variable selon les programmes. Un goulet d’étranglement des ressources a pour effet le ralentissement des applications en cours et en arrière plan. L’interface graphique est alors souvent saccadée, la mémoire vive est généralement saturée, et des échanges fréquents se produisent entre la mémoire de travail et le disque dur. C’est que de trop nombreuses applications tournent en même temps, et/ou que l’une d’entre-elle est très gourmande.

Le VUMETRE RESSOURCES propose une vue très générale, mais ne permet pas d’obtenir des informations précises sur l’occupation des ressources, par contre le moniteur SYSTEME rassemble de nombreux indicateurs…

Pour lancer le programme VUMETRE RESSOURCES (avec RSRCMTR)

DEMARER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEMES/VUMETRE RESSOURCESOK

Ou avec DEMARRER/EXECUTERSaisir « rsrcmtr »

CLIC-DROIT sur l’icône qui s’est installée dans la barre SYSTEME à coté de l’horlogeChoisir DETAILS pour afficher le VUMETRE RESSOURCESOK

L’utilitaire MONITEUR SYSTEME

L’utilitaire MONITEUR SYSTEME permet de visualiser précisément l’utilisation du processeur, de la mémoire, du disque dur et d’une connexion réseau

Le MONITEUR SYSTEME est un utilitaire système qui permet de visualiser de nombreux indicateurs du système, comme le processeur, la mémoire, le disque dur et la connexion réseau.

L’utilitaire Le MONITEUR SYSTEME se retrouve dans l’arborescence du menu DEMARRER :DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/MONITEUR SYSTEME

L’utilitaire MONITEUR SYSTEME peut être lancé avec DEMARRER/EXECUTER :

Saisir « sysmon»

L’interface du MONITEUR SYSTEME se présente vierge à la première ouverture et l’opérateur doit sélectionner lui-même les indicateurs qu’il souhaite visualisés (EDITION/AJOUTER UN ELEMENT). Les


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indicateurs sont succinctement expliqués, il suffit de sélectionner l’indicateur et de cliquer sur le bouton EXPLIQUER.

Les résultats du MONITEUR SYSTEME sont présentés graphiquement et sont calculés dynamiquement selon un intervalle de temps qui peut être défini par l’opérateur avec la commande de la barre de menu OPTIONS/GRAPHIQUE...

L’opérateur du MONITEUR SYSTEME peut lancer, à un moment donné, l’enregistrement dans un journal .LOG, des résultats des indicateurs sélectionnés dans l’interface. Le journal enregistré peut être lu dans un éditeur de texte, et les résultats peuvent être comparés avec ceux d’un autre journal. L’enregistrement d’un journal nécessite l’ouverture du moniteur SYSTEME et la sélection des indicateurs, puis il s’effectue manuellement, en deux temps, d’abord le lancement de l’enregistrement et enfin, l’arrêt de l’enregistrement.

Le MONITEUR SYSTEME ne s’installe pas lors d’une installation par défaut de WINDOWS, mais il fournit des informations beaucoup plus détaillée que le VUMETRE RESSOURCES car il accède à des données dynamiques qui sont enregistrées dans une clef du REGISTRE :

HKEY_DYN_DATA/PERFSTATS

Les indicateurs du MONITEUR SYSTEME sont classés par catégories

Les indicateurs du MONITEUR SYSTEME sont nombreux et sont classés par catégories :

Le noyau (le processeur et les processus) :

Les machines virtuellesLes threadsL’utilisation du processeur

Le gestionnaire de mémoire (la mémoire vive et la mémoire virtuelle) :

Les pages…Le fichier d’échange…

La mémoire cache disque (la mémoire cache du disque dur) :

Les éléments trouvés…Les échecs…Les recyclages…Le tampon…

Le système de fichier (les accès au disque dur) :

La lecture sur le disque dur…L’écriture sur le disque dur…

Le dial up adapter (la connexion réseau) :

Les débordementsLes délais dépassésLes erreurs…Les trames…Les tampons débordésLa vitesse de connexion

Pour installer le MONITEUR SYSTEME sur le disque dur (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATION


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Module AJOUT&SUPPRESSION de PROGRAMMES

Onglet INSTALLATION de WINDOWSSélectionner le groupe de composants OUTILS SYSTEMECliquer sur le bouton DETAILSActiver l’option MONITEUR SYSTEMEOKOKInsérer le CDROM D’INSTALLATION de WINDOWS pour copier les fichiers du MONITEUR SYSTEME

Pour lancer le MONITEUR SYSTEME (avec SYSMON)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/MONITEUR SYSTEME

Ou DEMARRER/EXECUTERSaisir « sysmon »ENTREE

Pour sélectionner et afficher un ou plusieurs indicateurs (dans le MONITEUR SYSTEME)

Lancer le moniteur SYSTEMEDEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEME/MONITEUR SYSTEME

Cliquer sur EDITION/AJOUTER UN ELEMENTSélectionner une catégorie de sources de donnéesSélectionner dans le champ de droite un élément (ou un indicateur)Bouton EXPLIQUER pour obtenir une brève explication de l’élément sélectionnéOKOK pour visualiser le graphique de l’élément sélectionné

Pour créer un journal consignant toutes les données sélectionnées (dans le MONITEUR SYSTEME)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEME/MONITEUR SYSTEME

Cliquer sur FICHIER/COMMENCER L’ENREGISTREMENT DANS LE JOURNALChoisir un nom avec l’extension .LOG et un dossier dans l’arborescence du disque durENREGISTRER pour commencer l’enregistrement des données jusqu’au moment ou l’utilisateur arrête l’enregistrement automatique en cliquant sur FICHIER/ARRETER L’ENREGISTREMENT DANS LE JOURNAL

L’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME ou POLEDIT

L’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME ou POLEDIT permet de restreindre les droits d’un utilisateur et/ou les fonctionnalités d’un ordinateur

POLEDIT est un utilitaire réseau qui permet de définir les droits d’un utilisateur, de limiter l’accès à certaines ressources et d’interdire éventuellement certaines fonctionnalité du système d’exploitation.

POLEDIT s’appelle aussi l’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME et toutes les modifications effectuées à l’aide de ce programme s’enregistrent directement dans la base de registre.

POLEDIT n’est pas installé par défaut avec le système d’exploitation WINDOWS 98. POLEDIT doit être installer séparément.


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Une fois POLEDIT installé, le programme se retrouve dans le dossier :

C:\WINDOWS\POLEDIT.EXE

Pour installer POLEDIT ou l’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME (avec le CDROM d’installation)

Insérer le CDROM d’installation de WINDOWS 98 dans le lecteur de CDROM

DEMARRER / PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule AJOUT&SUPPRESSION de PROGRAMMES

Onglet INSTALLATION de WINDOWSBouton disquette FOURNIE…Bouton PARCOURIR

X:\TOOLS\RESKIT\NETADMIN\POLEDIT

Sélectionner le fichier POLEDIT.INFOKOKSélectionner les deux composants : EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME et STRATEGIES de GROUPEINSTALLEROK

Pour lancer l’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME (avec POLEDIT)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « poledit »

Ou avec le bouton DEMARRERDEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME

La première fois, l’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME s’ouvre vide et il faut le charger avec la base de registre existante ou un fichier. POL qui rassemble des paramètres prédéfinies.

FICHIER/OUVRIR LA BASE de REGISTRE fait apparaître deux icônes : UTILISATEUR LOCAL et ORDINATEUR LOCAL.

Ou FICHIER/OUVRIR et sélectionner un fichier .POL

Pour configurer plusieurs profils UTILISATEUR (à l’aide de POLEDIT)

Il faut d’abord définir plusieurs profils UTILISATEUR :

DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATIONModule MOTS de PASSE

Onglet profils UTILISATEURActiver l’option LES UTILISATEURS PEUVENT PERSONNALISER LEURS PREFERENCES ET PARAMETRES de bureauActiver l’option INCLURE LES ICÔNES DU BUREAU ET DU VOISINAGE RESEAU DANS LES PREFERENCES DE L’UTILISATEURActiver l’option INCLURE LE MENU DEMARRER ET LES GROUPES de PROGRAMMES DANS LES PREFERENCES de L’UTILISATEUROK


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Ensuite, il faut lancer l’éditeur de stratégie système :

Ouvrir l’EDITEUR de STRATEGIE SYSTEME

FICHIER/NOUVEAU permet de créer une nouvelle configurationEDITION/AJOUTER UN UTILISATEURSaisir le nom de l’utilisateurOK et l’icône du nouvel utilisateur apparaît.Double cliquer sur l’icône du nouvel utilisateur ou EDITION/PROPRIETES pour déterminer les restrictions pour ce nouvel utilisateur.

L’utilitaire TWEAKUI

L’utilitaire TWEAKUI permet de modifier la configuration système et agit directement sur le REGISTRE

L’utilitaire TWEAKUI permet de modifier la configuration système et agit directement sur le registre.

L’interface de TWEAKUI est en anglais, mais est bien pratique pour un français qui souhaite intervenir sur le registre sans connaître le nom des clefs ou celui des valeurs. De nombreux paramètres peuvent être modifiés avec TWEAKUI, et il est très instructif de parcourir tout ce qu’il propose, ne serait-ce que pour en apprendre un peu plus sur la construction et l’organisation du système d’exploitation. Les modifications qui sont possibles avec TWEAKUI peuvent être réalisées par d’autres voies, mais TWEAKUI a l’avantage de les proposer en une seule interface ; par ailleurs, TWEAKUI permet presque en un seul clic d’effectuer des changements dans un sens comme dans un autre…

TWEAKUI est composé de différents onglets qui représentent une bonne vue d’ensemble du système :

L’onglet MOUSEL’onglet GENERALL’onglet EXPLORERL’onglet IE4L’onglet DESKTOPL’onglet MY COMPUTERL’onglet CONTROL PANELL’onglet NETWORKL’onglet NEWL’onglet ADD/REMOVEL’onglet BOOTL’onglet REPAIRL’onglet PARANOIA

Dans l’onglet MOUSE se trouve un bouton TIPS qui ouvre la bibliothèque d’aide et un bouton RESTORE FACTORY SETTINGS qui permet de rétablir les valeurs par défaut de WINDOWS 98. D’autre part, tous les onglets proposent en haut à droite un bouton avec un point d’interrogation qui est l’aide contextuelle, il suffit de cliquer sur le bouton d’interrogation puis de cliquer sur l’objet pour lequel vous souhaiter lire l’aide. La bibliothèque d’aide et l’aide contextuelle sont la même chose…

L’utilitaire TWEAKUI n’est pas installé par défaut avec le système d’exploitation, mais TWEAKUI est fourni avec le CDROM D’INSTALLATION de WINDOWS 98 et se trouve dans l’arborescence suivante :

TOOLS/RESKIT/POWERTOYS

Une fois installé, l’utilitaire TWEAKUI se trouve parmi les modules du panneau de configuration.

Pour installer TWEAKUI (avec le CDROM d’installation)


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Insérer le CDROM d’installation de WINDOWS 98 dans le lecteurChercher le fichier « TWEAKUI.INF dans le dossier :

X:\TOOLS\RESKIT\POWERTOYS

Faire un clic droit sur le dossier TWEAKUI.INF et choisir la commande INSTALLERL’icône de TWEAKUI se place dans le panneau de configuration.

L’utilitaire MSD

L’utilitaire MSD est un programme de diagnostic DOS qui récupère les IRQ et l’utilisation de la mémoire

MSD pour MICROSOFT SYSTEM DIAGNOSE est un utilitaire DOS, et qui ne doit tourner que dans une fenêtre DOS.Déjà d’actualité dans WINDOWS 3.11, MSD est disponible sur le CDROM D’INSTALLATION de WINDOWS 98 dans le dossier :

TOOLS\OLDMSDOS

MSD permet d’obtenir des informations sur la configuration générale du système comme les IRQ, l’utilisation de la mémoire vive…

Il est intéressant de placer MSD sur une disquette de boot.

L’utilitaire TASKMAN

L’utilitaire TASKMAN permet d’afficher plusieurs interfaces en même temps

L’utilitaire TASMAN est le « task manager » (gestionnaire de tâche) et permet d’afficher plusieurs interfaces en même temps. Les fenêtres de différentes applications peuvent partager la totalité de l’écran et être affichées en mosaïque verticale ou horizontale.

Le programme se trouve dans le répertoire :

C:\WINDOWS\TASKMAN.EXE

Pour visualiser les applications en cours (avec TASKMAN)

Activer le taskmanager avec DEMARRER/EXECUTERSaisir « taskman »

Pour afficher les fenêtres de plusieurs applications en même temps (avec TASKMAN)

Ouvrir les applicationsOuvrir TASKMAN

FENETRE/MOSAIQUE HORIZONTALE

L’utilitaire QUICKVIEW

L’utilitaire QUICKVIEW permet un aperçu rapide des fichiers sans ouvrir l’application associée

L’utilitaire QUICKVIEW permet un aperçu rapide des fichiers sans ouvrir l’application associée.

QUICKVIEW se trouve dans le répertoire suivant :

C:\WINDOWS\SYSTEM\VIEWERS\QUICKVIEW.EXE


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Pour utiliser QUICKVIEW, il faut placer un raccourci du programme sur le bureau, sélectionner le fichier dont on veut voir l’aperçu et le glisser déplacer sur l’icône de QUICKVIEW du bureau.

La version de QUICKVIEW qui est livrée avec WINDOWS 98 ne permet pas l’aperçu rapide de tous les types de fichiers connus et inconnus, et il faut télécharger une version complète, QUICKVIEW PLUS disponible sur INTERNET à l’adresse des constructeurs de l’aperçu rapide :

www.inso.com

Pour obtenir un aperçu rapide d’un fichier (avec QUICKVIEW)

Dans un premier temps, il faut placer QUICKVIEW sur le bureau :


C:\WINDOWS\SYSTEM\VIEWERS\QUICKVIEW.EXE

CLIC-DROIT sur le fichier QUICKVIEWENVOYER VERS/BUREAU (CREER UN RACCOURCI)

Dans un deuxième temps, il faut glisser déplacer le fichier à voir sur l’icône de QUICKVIEW du bureau :

Sélectionner un fichier dans l’EXPLORATEURGLISSER DEPLACER sur l’icône QUICKVIEW du bureau

L’utilitaire DRIVE SPACE 3

L’utilitaire DRIVE SPACE 3 permet de compresser un lecteur ou une partition

L’utilitaire DRIVE SPACE 3 permet de gagner de l’espace mémoire en compressant un lecteur ou une partition du disque dur.La compression de DRIVE SPACE 3 rassemble tous les dossiers en un seul fichier muni de l’extension .CVF (Compressed Volume File). La contre partie du gain d’espace est la vulnérabilité de ce gros fichier ; en effet, si une partie de ce gros fichier, comme un CLUSTER défectueux, est endommagée, alors c’est l’ensemble des données qui sont perdues.

Une fois les données compressées avec DRIVE SPACE 3, celles-ci sont toujours accessibles, mais il faut patienter le temps de les décompressées…

Un lecteur compressé avec DRIVE SPACE 3 peut être décompressé…

L’utilitaire DRIVE SPACE 3 est fourni avec WINDOWS 98 et se trouve dans le dossier suivant :

C:\WINDOWS\DRVSPACE.EXE

DRIVE SPACE 3 ne peut pas servir avec le nouveau système de gestion des fichiers FAT 32 ; par contre, il prend en charge les lecteurs utilisant la FAT 16 et d’une capacité allant jusqu’à 2 GIGA OCTETS.

Pour lancer DRIVE SPACE 3 (avec DEMARRER)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/DRIVESPACE

Sélectionner le lecteur à compresserCliquer sur COMPRESSER pour voir la quantité d’octets disponible après la compression…DEMARRERCOMPRESSER MAINTENANT


123

http://www.inso.com/

LES FICHIERS, L’EXPLORATEUR

L’EXPLORATEUR

L’EXPLORATEUR de WINDOWS permet d’organiser l’ensemble des fichiers du disque dur

L’EXPLORATEUR de WINDOWS permet d’organiser l’ensemble des fichiers du disque dur.L’EXPLORATEUR de WINDOWS est un mélange de l’ancien EXPLORATEUR et du navigateur INTERNET EXPLORER.

L’EXPLORATEUR propose un classement hiérarchique des dossiers, des fichiers et des programmes installés sur le disque dur.

Lors de l’ouverture de l’EXPLORATEUR, l’interface s’affichera plus vite si le nombre de lecteurs, de dossiers et de fichiers n’est pas trop important, ainsi l’utilisateur aura avantage à savoir organiser son disque dur...

La structure de l’EXPLORATEUR représente la structure du disque dur

Bureau Les icônes du bureau et les sous-dossiers de l’arborescence du disque durPoste de travail L’arborescence du disque durDisquette 3½ (A:\) Le lecteur de disquette 3½

(C:\) Le lecteur de la partition principale activeLe dossier Mes documents Le dossier personnels de l’utilisateurLe dossier Program Files Le dossier des programmes installésLe dossier RECYCLE Le dossier de la poubelleLe dossier WINDOWS Le dossier des fichiers systèmesLes fichiers d’amorçage et les fichiers systèmes du système d’exploitation…

(D:\) Le lecteur de la partition secondaire(E:\) Le dernier lecteur de CDROM ou de DVDImprimantes Le dossier des imprimantesPanneau de Configuration Le dossier des modules de configurationAccès réseau à distance Le dossier de la configuration du modemDossier Web Le dossier des sites INTERNETTâches planifiées Le dossier des tâches planifiées

Mes Documents Le dossier personnel de l’utilisateurINTERNET Explorer Le navigateur INTERNETCorbeille La CORBEILLEPorte-documents Le sas de transfert de documents d’un ordinateur vers un autre

Pour ouvrir l’EXPLORATEUR (avec EXPLORER)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « explorer »

Ou DEMARRER/PROGRAMMES/EXPLORATEUR WINDOWS

Pour ouvrir systématiquement l’EXPLORATEUR à un niveau précis (avec le champ CIBLE)

CLIC-DROIT sur l’icône de l’EXPLORATEUR qui a été placé sur le bureauPROPRIETESOnglet raccourciSaisir dans le champ CIBLE la ligne de commande du programme suivie des commutateurs :

Ex. : « C:\WINDOWS\EXPLORER.EXE_/n,/e,C:\, »


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Pour ouvrir l’EXPLORATEUR avec une nouvelle fenêtre (/n), avec deux volets (/e), et à partir de la racine du disque C:\ (C:\)…

Il est possible d’utiliser ces lignes de commandes avec les commutateurs, soit dans DEMARRER/EXECUTER, soit dans le champ CIBLE (à partir d’un clic droit, puis la commande PROPRIETE, et dans la boite de dialogue PROPRIETE de l’objet, l’onglet raccourci…)

Pour ouvrir le POSTE de TRAVAIL avec deux volets (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEUR à la racine C:\AFFICHAGE/OPTION DES dossiersOnglet TYPES de fichiers

Sélectionner l’entrée dossierBouton MODIFIERSous la rubrique ACTIONS sélectionner la commande EXPLOREBouton PAR DEFAUTFERMERFERMER

Le mode WEB permet d’afficher le volet de droite de l’EXPLORATEUR avec le format HTML

En mode WEB le volet de droite s’affiche comme une page HTML ; ainsi les fichiers graphiques reconnus par l’EXPLORATEUR bénéficient de l’aperçu, les fichiers sélectionnés dans le volet droit comme les images Bitmap et les fichiers POWERPOINT sont visibles. L’affichage en mode Web est une des innovations de WINDOWS 98 et démontre le rapprochement entre l’EXPLORATEUR (EXPLORER) et le navigateur de MICROSOFT (INTERNET EXPLORER).

Une fenêtre particulière de l’EXPLORATEUR peut être affichée comme une page web, et à chaque ouverture de cette fenêtre le mode WEB sera conservé. Par ailleurs, le mode d’affichage d’un volet peut être appliqué à toutes les fenêtres de l’EXPLORATEUR.

L’EXPLORATEUR permet de « naviguer » dans l’arborescence du disque dur, et si l’on passe souvent d’une fenêtre à une autre, alors il est possible d’accéder aux fenêtres qui ont été précédemment « visitées » grâce au bouton PRECEDENT pour revenir en arrière et grâce au bouton SUIVANT pour aller de l’avant. Les dix dernières fenêtres consultées sont disponibles en cliquant sur la petite flèche noire des bouton PRECEDENT et SUIVANT.

Quand une fenêtre de l’EXPLORATEUR est affiché COMME UNE PAGE WEB, alors apparaissent dans la partie gauche du volet droit toutes les caractéristiques d’un fichier sélectionné :

Le nomLe typeLa tailleLa date de la création ou de la dernière modificationLes attributs

Pour afficher l’EXPLORATEUR en mode WEB (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEURAFFICHAGE/COMME UNE PAGE WEB

Pour personnaliser le fond du volet droit de l’EXPLORATEUR (avec l’EXPLORATEUR)


AFFICHAGE/PERSONNALISER CE DOSSIEROption CHOISIR UNE IMAGE EN ARRIERE PLANBouton SUIVANT


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Sélectionner une image au format BMP, GIF ou JPEG, de préférence une image claire…

Modifier selon les besoins l’arrière-plan et la couleur de la légende des icônesSUIVANTTERMINER

Pour afficher les extensions des fichiers (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir la fenêtre de l’EXPLORATEUR

Activer la commande AFFICHAGE/OPTIONS DES dossiersDésactiver l’option CACHER LES EXTENSIONS DES fichiers DONT LE TYPE EST CONNU

Pour mémoriser les paramètres d’affichage de chaque dossier (avec l’EXPLORATEUR)


AFICHAGE/OPTIONS DES DOSSIERSOnglet AFFICHAGERubrique PARAMETRES AVANCESOption MEMORISER LES PARAMETRES D’AFFICHAGE POUR CHAQUE dossier

Pour appliquer les paramètres d’affichage d’un dossier à tous les autres dossiers (avec l’EXPLORATEUR)


AFICHAGE/OPTIONS DES DOSSIERSOnglet AFFICHAGEBouton COMME LE dossier ACTUEL

Pour afficher le chemin d’accès complet d’un dossier dans la barre d’adresse (avec l’EXPLORATEUR)


AFFICHAGE/BARRES D’OUTILSActiver la commande barre D’ADRESSE

AFFICHAGE/OPTIONS DES dossiersOnglet AFFICHAGERubrique PARAMETRES AVANCESOption AFFICHER LE CHEMIN COMPLET DANS LA barre de TITRE

Pour afficher tous les détails d’un fichier, le nom, la taille, le type, la dernière date de modification et les attributs (avec l’EXPLORATEUR)


AFFICHAGE/DETAILS

Pour classer les fichiers par ordre alphabétique, par la taille, par le type ou par date et de façon croissante ou décroissante (avec l’EXPLORATEUR)


AFFICHAGE/DETAILS


126

DOUBLE CLIC sur les EN-TETES de COLONNES pour obtenir un ordre croissantEncore un DOUBLE CLIC sur les EN-TETES de COLONNES pour obtenir un ordre décroissant

Pour dérouler les listes de fichiers d’une fenêtre ou aller directement sur un fichier commençant par une certaine lettre (avec l’EXPLORATEUR)


CLIQUER sur la fenêtre de droite :

Pour descendre, utiliser la touche PAGE DOWNPour monter, utiliser la touche PAGE UPPour aller à la fin de la liste, utiliser la touche FINPour aller en début de liste, utiliser la touche ORIGINEPour positionner le curseur sur un fichier commençant par une certaine lettre, tapez cette LETTRE, pour obtenir la prochaine occurrence, tapez de nouveau la même lettre…

Pour actualiser les informations de l’EXPLORATEUR, par exemple pour prendre en compte le contenu d’une disquette qui vient juste d’être inséré dans le lecteur (avec l’EXPLORATEUR)


AFFICHER/ACTUALISERou F5

Pour imprimer ( sur l’imprimante LTP1) la liste des dossiers et des fichiers du volet droit qui sont contenus dans le dossier sélectionné du volet gauche de l’EXPLORATEUR, il faut incorporer dans le menu contextuel, une commande spéciale (avec REGEDIT)

Dans un premier temps, il faut créer un fichier BATCH DOS :

Ouvrir un éditeur comme WORDPADDEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/WORDPADSaisir les deux lignes de commande :

CD %1DIR>LTP1

Enregistrer le fichier dans le dossier :

C:\WINDOWS\COMMAND

Changer le nom et l’extension du fichier :

« PRINTDIR.BAT »

Dans un deuxième temps, il faut paramétrer le fichier .BAT :

Dans l’EXPLORATEUR sélectionner avec un CLIC-DROIT le fichier :

C:\WINDOWS\COMMAND\PRINTDIR.BAT

Dans le menu contextuel choisir PROPRIETESOnglet PROGRAMMEActiver l’option FERMER EN QUITTANTDans le champ EXECUTER sélectionner l’option REDUITEBouton APPLIQUER


127

OK

Dans un troisième temps, il faut enregistrer une ligne de commande dans le REGISTRE :

DEMARRER/EXECUTERSaisir « regedit »

Rechercher la clef SHELL :

HKEY_CLASSES_ROOT/DIRECTORY/SHELL

Créer une nouvelle clef dans SHELL :CLIC-DROIT sur la clef SHELLChoisir NOUVEAU/CLERenommer cette clef « IMPRIMER »

Sélectionner la nouvelle clef « IMPRIMER »Dans le volet droit double cliquer sur la valeur par DEFAUTDans la boite de dialogue saisir l’intitulé qui apparaîtra dans le menu contextuel de l’EXPLORATEUR, par exemple « Imprimer la liste des dossiers »

Créer une clef dans la clef « IMPRIMER »CLIC-DROIT sur la nouvelle clefChoisir NOUVEAU/CLERenommer cette nouvelle clef « COMMANDE »Dans le volet droit DOUBLE CLIC sur la valeur par DEFAUT Dans la boite de dialogue MODIFICATION de LA CHAINE saisir la ligne de commande :

C:\WINDOWS\COMMAND\PRINTDIR.BAT

Fermer l’éditeur de registre

Les fichiers

Pour visualiser les fichiers utilisés par un utilisateur (avec C:\WINDOWS\RECENT)

Ouvrir l’arborescence de l’EXPLORATEUR

C:\WINDOWS\RECENTC:\WINDOWS\profilES\utilisateur\RECENT, s’il y a plusieurs profils utilisateurs

Le dossier RECENT peut être enregistré avec l’attribut CACHE…

Pour afficher tous les fichiers (avec l’EXPLORATEUR)


AFFICHAGE/OPTION DES dossiersOnglet AFFICHAGEOption AFFICHER TOUS LES dossiers

Pour désactiver les attributs d’un fichier (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEUROu sélectionner un fichier sur le bureau ou ailleurs…

Clic droit sur le fichierPROPRIETES


128

Onglet GENERALDésactiver l’option souhaitée :

FICHIER CACHELECTURE SEULEARCHIVEfichier SYSTEME

Pour ouvrir depuis le bureau un fichier précédemment ouvert (avec DEMARRER)

DEMARRER/DOCUMENTS affiche la liste des derniers documents consultés

Pour vider la liste des derniers fichiers consultés qui sont mémorisés dans DEMARRER/DOCUMENTS et effacer la liste des adresses INTERNET mémorisée dans la barre d’adresse (avec DEMARRER)

DEMARRER/PARAMETRESbarre DES TACHES ET MENU DOCUMENTS

Onglet PROGRAMMES DU MENU DEMARRERRubrique MENU DOCUMENTSBouton EFFACER

Pour créer le raccourci d’un fichier sur le bureau (avec l’EXPLORATEUR)


Sélectionner le fichierCLIC DROITENVOYER VERS…bureau (CREER UN raccourci)

Les extensions de fichiers sont la marque de l’application et de l’icône qui sont associées à ce type de fichier

Un fichier est doté d’une extension en général de trois lettres ( .XYZ ).

L’extension d’un fichier identifie l’application avec laquelle il est associé, l’association entre le type de fichier et l’application s’opère par l’intermédiaire de l’extension, et c’est en général l’extension de l’application qui a crée le fichier ou de l’application qui a permis d’ouvrir le fichier.Un fichier ne peut être doté que d’une seule extension, mais une application peut générer plusieurs extensions.

A chaque extension correspond un type de fichier, et à chaque type de fichier correspond une icône. L’association entre le type de fichier et l’icône s’opère par l’intermédiaire de l’extension.Un type de fichier ne peut être associé qu’à une seule icône, mais cette icône peut être choisie par l’utilisateur.

Dans l’EXPLORATEUR, en mode d’affichage DETAIL, la colonne NOM montre l’icône associé au fichier, et la colonne TYPE indique le nom du type de fichier et par voie de conséquence l’application qui est associée au fichier. Il existe des centaines d’extensions différentes comme il existe des centaines de types de fichier et des centaines d’applications, les extensions et les types de fichiers s’installent automatiquement avec l’application.

Voici quelques-uns uns des types de fichiers :

Le nom du type de fichier L’extension L’application associée« Document MICROSOFT WORD » .DOC WINWORD« Icône » .ICO« Raccourcis » .LNK« Application » .EXE EXECUTABLE


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« Application MS-DOS » .COM EXECUTABLE« Texte de mise en forme » .RTF WINWORD« Son WAVE » .WAV RUNDLL32« Séquence MIDI » .RMI et .MID RUNDLL32« Script d’accès au réseau à distance » .SCP NOTEPAD« Recherche enregistrée » .FND EXPLORER« Raccourci INTERNET » .URL RUNDLL32« Raccourci dans un document » .SHB RUNDLL32« Porte document » .BFC EXPLORER« Piste CD audio » .CDA CDPLAYER« Paramètres de configuration » .INI NOTEPAD« Modèle MICROSOFT WORD » .DOT WINWORD« MICROSOFT HTML Document 5.0 » .HTM et .HTML IEXPLORER« Message de courrier OUTLOOK EXPRESS » .EML MSIMN« Journal du Dr WATSON » .WLG DRWATSON« Inscription dans le registre » .REG REGEDIT« Information de configuration » .INF NOTEPAD« Image JPEG » .JPEG, .JEP et JPG PHOTOED« Image GIF » .GIF PHOTOED« Image BITMAP » .BMP MSPAINT« Fichier thème de bureau » .THEME THEMES« Fichier script BVScript » .VBS WSCRIPT« Fichier MP3 » .MP3 MPLAYER2« Fichier identification numérique » .P7C WAB« Fichier Hyper Terminal » .HT HYPERTRM« Fichier de sauvegarde pour MICROSOFT BACKUP » .QIC MSBACKUP« fichier de police TRUETYPE » .TTF FONTVIEW« Fichier de police » .FON FONTVIEW« Fichier de commande MS-DOS » .BAT EXECUTABLE« Fichier de chaîne » .CDF RUNDLL32« Fichier d’aide » .HLP WINHLP32« Fichier contenant les paramètres de l’assistant » .ACW ACCWIZ« Fichier carnet d’adresse » .WAB WAB« Feuille de calcul MICROSOFT EXCEL » .XLS et .XLB EXCEL« Extension du panneau de configuration » .CPL RUNDLL32« Ecran de veille » .SCR EXECUTABLE« Document WRITE » .WRI WORDPAD« Document texte » .TXT, .DIC et .EXC NOTEPAD« Document MSINFO » .NFO MSINFO32« Document image XIF » .XIF KODAKPRV« Document de sauvegarde MICROSOFT WORD » .WBK WINWORD« Curseur » .CUR« Curseur animé » .ANI« Conversation MICROSOFT CHAT » .CCC CCHAT« Cabinet » .CAB EXPLORER« Assistant MICROSOFT WORD » .WIZ WINWORDEtc…

Pour visualiser le nom, l’ extension et l’application associées à un type de fichier qui est installé et reconnu par WINDOWS (avec l’EXPLORATEUR)


AFFICHER/OPTIONS DES DOSSIERSOnglet TYPES de FICHIERSSélectionner un type de fichier dans la liste de la rubrique TYPES de FICHIERS ENREGISTRES


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Pour connaître la commande par défaut d’un type de fichier, et les autres commandes disponibles dans le menu contextuel (avec l’EXPLORATEUR)



Bouton MODIFIERDans le champ ACTIONS, la commande qui s’affiche en GRAS est la commande par défaut, c’est celle qui s’exécute par un double clic, les autres sont celles qui sont disponibles dans le menu contextuel…

Pour changer la commande par défaut d’un type de fichier (avec l’EXPLORATEUR)



Bouton MODIFIERDans le champ ACTIONS sélectionner la commande souhaitéeCliquer sur le bouton PAR DEFAUT et la commande s’affiche en grasBouton FERMER

Pour modifier la « ligne de commande » affectée à une commande du menu contextuel d’un type de fichier (avec l’EXPLORATEUR)


AFFICHER/OPTIONS DES DOSSIERSOnglet TYPES de FICHIERSSélectionner un type de fichier dans la liste de la rubriqueBouton MODIFIER

Dans le champ ACTIONS sélectionner la commandeCliquer sur le bouton MODIFIERSous la rubrique application UTILISEE POUR EXECUTER CETTE ACTION s’affiche la ligne de commande qui est le chemin d’accès complet du programme, entre guillemet, et suivie éventuellement d’autres signes correspondants aux commutateurs…

Pour « OUVRIR AVEC… » un fichier dont le type n’est pas répertorié par WINDOWS (avec l’EXPLORATEUR)

Une boite de dialogue OUVRIR AVEC se présente à l’utilisateur qui tente d’ouvrir un fichier non répertorié qui n’est associé à aucune application :


Double cliquer sur un fichier non répertorié , comme pour le lancerDans la boite de dialogue OUVRIR AVEC sélectionner l’application qui ouvrira le fichier

Si le programme n’est pas listéActiver le bouton AUTRE pour définir un cheminRechercher le programme dans l’arborescence


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Bouton OUVRIRDans la zone DESCRIPTION DES FICHIERS saisir un nom descriptif pour cette nouvelle catégorieActiver l’option TOUJOURS UTILISER CE PROGRAMME POUR OUVRIR CE FICHIEROK

Pour « OUVRIR AVEC… » un fichier, mais avec une autre application que celle qui y est associée (avec l’EXPLORATEUR)


Maintenir la touche MAJ et en même temps sélectionner le fichier avec un CLIC-DROITChoisir la commande OUVRIR AVEC…Sélectionner l’application souhaitée et désactiver l’option TOUJOURS UTILISER CE PROGRAMME POUR OUVRIR CE FICHIEROK

Pour ajouter au menu contextuel d’un fichier la commande « imprimer » qui permet d’imprimer le dit fichier sans ouvrir l’application associée (avec l’EXPLORATEUR)


AFFICHER/OPTIONS DES DOSSIERSOnglet TYPES de FICHIERSSélectionner le type de fichierBouton MODIFIER

Bouton NOUVEAUDans le champ ACTIONS saisir l’intitulé de la nouvelle commande, par exemple « PRINT » (ou « IMPRIMER »)Dans le champ application UTILISEE POUR EXECUTER CETTE ACTION saisir le chemin d’accès au programme ou utiliser le bouton PARCOURIR

Pour imprimer un document WORD, il faut saisir la ligne de commande suivante :« C:\PROGRAM FILES\MICROSOFT OFFICE\OFFICE\WINWORD.EXE » /p « %1»

OKFERMER

Pour adjoindre au menu contextuel d’un type de fichier la commande d’ouverture d’une autre application (avec REGEDIT)

Dans un premier temps, il faut connaître l’extension du fichier :


AFFICHAGE/DETAILSDans la colonne TYPE figure le nom de l’extensionDans la colonne NOM figure le nom du fichier complet avec son extension

Dans un deuxième temps, il faut connaître l’application qui est associée à cette extension :


Ouvrir la clef principale HKEY_CLASSES_ROOTRechercher la branche correspondant à l’extensionSélectionner la clef de l’extension dans le volet de gauche


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Dans le volet de droite et dans la colonne DONNEES de l’entrée « DEFAUT » figure le nom de l’application associée à cette extension.

Dans un troisième temps, il faut rechercher la clef SHELL qui gère les COMMANDES de l’application :

Rechercher dans la clef principale HKEY_CLASSES_ROOT la branche correspondant au nom de l’application.

Cliquer sur le + de la clef correspondant à l’application pour ouvrir l’arborescence des sous-clefs de l’application.

Cliquer sur le + de la sous-clef SHELL pour ouvrir l’arborescence qui renferme des sous-clefs dont l’intitulé correspond aux verbes, aux actions ou aux commandes du menu contextuel du type de fichier.

Clic Droit sur la clef SHELL de la fenêtre de gauche pour faire apparaître le menu contextuel.Choisir NOUVEAU/CLE afin de créer une nouvelle sous-clef.Renommer cette nouvelle sous-clef avec un intitulé éloquent, un verbe ou une action…

Sélectionner cette nouvelle sous-clef.Dans le volet de droite double cliquer sur l’entrée DEFAUT.Dans la boite de dialogue MODIFICATION DE LA CHAINE saisir dans le champ DONNEES DE LA VALEUR le libellé qui figurera dans le menu contextuel de ce type de fichier, par exemple « ouvrir avec ______ ».OK

Re-sélectionner avec un clic droit cette nouvelle sous-clef dans le volet de gaucheDans le menu contextuel choisir NOUVEAU/CLERenommer cette nouvelle sous-clef « commande »Dans la fenêtre de droite double cliquer sur l’entrée DEFAUT.Dans la boite de dialogue MODIFICATION de LA CHAINE saisir le chemin d’accès complet de l’application.

Il est plus sûr de copier la ligne de commande dans la clef de l’application (dans la clef principale HKEY_CLASSES_ROOT, puis la clef de l’application et enfin dans les sous-clefs SHELL/OPEN/COMMAND). Double cliquer sur l’entrée DEFAUT pour faire apparaître en sur brillance la ligne de commande à recopier. CTRL + C pour copier la sur brillance.

Retourner dans la nouvelle sous-clef COMMANDE pour y coller la ligne de commande. CTRL + V pour coller.Incorporer dans la saisie de l’adresse des GUILLEMETS, un ESPACE et %1 à la fin.

Fermer REGEDIT

Il est possible d’incorporer un « & » (« et commercial » en anglo-saxon) devant une des lettres du libellé de la valeur par défaut de la sous-clef « éloquente » qui s’affiche dans le menu contextuel du fichier, alors, la lettre devant laquelle est placé le « & » devient un raccourci clavier. Il est nécessaire de s’assurer au préalable de l’unicité de ce raccourci clavier ainsi créer. Une série de verbe comme open, print sont assez canoniques pour se traduire en français automatiquement.

Pour définir l’ordre dans lequel s’afficheront les différentes commandes du menu contextuel d’un type de fichier (avec REGEDIT)

Ouvrir le registre


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HKEY_CLASSES_ROOT/« le_nom_de_l’application »/SHELLSélectionner la sous clef SHELLDans la fenêtre de droite double cliquer sur l’entrée DEFAUTDans la boite de dialogue MODIFICATION de LA CHAINE saisir dans le champ DONNEES de LA VALEUR l’ordre successif des différentes commande dans leur expression verbale, séparer par des virgules et des espaces. Le premier verbe s’affichera en gras dans le menu contextuel du fichier et s’exécutera avec un double clic sur le fichier.

Les attributs des fichiers

Tous les fichiers possèdent quatre attributs :

Nom des Attributs Fonction Nom en anglais AbréviationLecture Seule Interdire les modifications Read Only RArchive Marquer le fichier Archive AFichier Caché Cacher le fichier Hidden HFichier Système Marquer le fichier System S

Les attributs des fichiers sont visibles dans la boite de dialogue PROPRIETES (avec un clic droit, sur le fichier depuis l’EXPLORATEUR, ou sur l’icône depuis le bureau).

Les attributs des fichiers sont également visibles dans l’EXPLORATEUR en sélectionnant le mode d’affichage DETAILS, alors figure une colonne attributs dans le volet droit qui affiche l’abréviation des attributs actifs.

Les fichiers dont l’attribut « Fichier Caché » est activé apparaissent en grisé pâle dans l’ EXPLORATEUR.

Pour afficher tous les fichiers dans l’EXPLORATEUR quels que soient leurs attributs (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEURAFFICHAGE/OPTIONS DES DOSSIERSOnglet AFFICHAGEActiver l’option AFFICHER TOUS LES FICHIERS

Pour permettre l’écriture dans un fichier protégé et désactiver l’attribut « lecture seule » (avec un clic droit)

Clic droit sur le fichierPROPRIETESDésactiver l’option LECTURE SEULE

Le dossier « Mes Documents »

Le dossier « Mes Documents » est le dossier privilégié pour stocker les fichiers de l’utilisateur

Le dossier « Mes Documents » est le dossier privilégié pour stocker les fichiers de l’utilisateur.Les profils utilisateurs peuvent avoir leur propre dossier « Mes Document ».

Le dossier « Mes Documents » peut être renommer pour une meilleur visibilité et se trouve :

Le bureauC:\Mes Documents

Mais, il existe d’autres fichiers semi-personnels que l’utilisateur crées sans le savoir. Ces fichiers semi-personnels sont stockés dans d’autres endroits :


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De nombreux fichiers personnels sont enregistrés dans différents endroits

Dénomination LocalisationLe dossier Mes Document Le bureau

C:\Mes DocumentsLe dictionnaire personnel C:\WINDOWS\Application Data\Microsoft\Épreuve\nom_du_dictionnaire.dicLe carnet d’adresse des e-mails du programme de messagerie (comme OUTLOOK)

C:\Windows\Application Data\Microsoft\Addressbook\nom_de_l’utilisateur.wab

Les messages entrants et sortantsLes sites INTERNET en HTML

C:\WINDOWS\Temporary INTERNET Files

Le dossier FAVORIS des sites INTERNET visité avec le navigateur (comme INTERNET EXPLORER)

C:\WINDOWS\Favoris

Les modèles de document WORD

C:\WINDOWS\Application Data\Microsoft\Modèles

Les paramètres de configuration du bureau

C:\Program Files\Plus!\Themes\nom_du_theme.THEME

La configuration utilisateur C:\WINDOWS\USER.DATC:\WINDOWS\profilES\nom_de_l’utilisateur\USER.DAT

La configuration matérielle et logicielle

C:\WINDOWS\SYSTEM.DAT

Le login et le mot de passe C:\WINDOWS\nom_de_l’utilisateur.pwl

Le carnet d’adresse « e-mail », les messages entrants et sortants et les liens de sites INTERNET favoris (avec l’EXPLORATEUR)

Le carnet d’adresse conserve les adresses e-mails des messages qui sont envoyés et/ou reçus avec le logiciel de messagerie électronique. Le carnet d’adresse est un fichier qui peut éventuellement être transféré d’un logiciel vers un autre, mais selon le logiciel de messagerie ou selon le fournisseur d’accès à INTERNET, le carnet d’adresses se trouve dans des répertoires différents.

Le carnet d’adresse des e-mails du programme de messagerie OUTLOOK de MICROSOFT est enregistré dans le répertoire suivant :


Chez d’autres prestataires, le carnet d’adresse, les liens favoris et les e-mails entrants et sortants sont enregistrés dans leurs propres dossiers :

Chez AOL :

Ldb\Addrbook.indLdb\Addrbook.lstORGANIZE

Chez COMPUSERVE :

Support\Addrbook.datFCABINET

Avec INTERNET EXPLORER 4 et/ou OUTLOOK EXPRESS :


Avec INTERNET EXPLORER 5 :


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C:\WINDOWS\FAVORIS

Avec NETSCAPE :

NETSCAPE\NAVIGATOR\BOOKMARKS.HTMLNETSCAPE\NAVIGATOR\USERS\nom_de_l’utilisateur\BOOKMARKS.HTML

Les dossiers et les fichiers temporaires

Les dossiers et les fichiers temporaires peuvent être effacés du disque dur

Les dossiers temporaires accueillent des fichiers dont normalement la durée de vie est limitée. Les applications (dont WINDOWS 98) ont parfois besoin au cours de leur routine d’installation de stocker des fichiers temporairement.

Les fichiers temporaires sont généralement dotés de l’extension. TMP et stockés dans le répertoire :

C:\WINDOWS\TEMP\nom_du_fichier_temporaire.TMP

Ces fichiers sont souvent crées par des programmes d’installation et, une fois l’installation terminée, n’ont plus besoin d’être sur le disque dur, autant les supprimer et libérer de la place.

Certains programmes renomment les fichiers en cours d’utilisation avec un tilde « ~ », comme MICROSOFT WORD…

Pendant la procédure d’installation d’une mise à jour du système d’exploitation WINDOWS, une sauvegarde du système précédent est réalisée et cette sauvegarde n’est plus indispensable si le nouveau système fonctionne correctement…

Il est possible de créer dans le fichier AUTOEXEC.BAT une commande référençant un fichier temporaire exclusif :

SET TEMP=C:\TEMP

De la même façon, il est possible à chaque démarrage de WINDOWS de commander au fichier AUTOEXEC.BAT de supprimer les fichiers temporaires :

DEL C:\TEMP\*.*

Pour supprimer les fichiers de sauvegarde du système d’exploitation qui sont copiés lors d’une installation d’une nouvelle version du système d’exploitation (avec DEMARRER)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEMES/NETTOYAGE de DISQUE

Sélectionner le lecteur à nettoyerOKOnglet NETTOYAGE de DISQUESous la rubrique fichiers A SUPPRIMERActiver l’option SUPPRIMER LES INFORMATIONS de DESINSTALLATIONBouton OKBouton OUI

Les fichiers temporaires INTERNET mémorisent les sites pour accélérer la navigation des sites fréquemment visités

Les fichiers temporaires d’INTERNET permettent d’accélérer la navigation des sites qui ont été déjà visités et qui ont été enregistrés dans le « cache INTERNET », aussi est-il judicieux de garder sur son ordinateur les


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fichiers graphiques et les images des sites fréquemment visités, ainsi le téléchargement est d’autant plus rapide. En effet, les fichiers graphiques et les images sont très longues à téléchargés, et seuls les actualisations sont téléchargées.

Les fichiers temporaires d’INTERNET se trouvent dans le répertoire suivant :

C:\WINDOWS\Temporary INTERNET Files

La taille du cache INTERNET peut être agrandie ou réduite selon les besoins et l’activité de l’utilisateur.

Pour modifier le pourcentage du cache consacré aux fichiers temporaires INTERNET stockés sur le disque dur lors d’une navigation (avec INTERNET EXPLORER)

Ouvrir INTERNET EXPLORER

OUTILS/OPTIONS INTERNETOnglet GENERALSous la rubrique TEMPORARY INTERNET FILES cliquer sur le bouton PARAMETRES

Dans la zone ESPACE DISQUE A UTILISER scratcher ou saisir le nombre d’octets maximum du cache INTERNET.

Option AUTOMATIQUEMENT pour n’actualiser une page que lorsqu’elle est nouvellement visitéeOKOK

Pour vider le dossier des fichiers temporaires d’INTERNET dès la fermeture du navigateur (avec INTERNET EXPLORER)


OUTILS/OPTIONS INTERNETOnglet AVANCEES

Dans le groupe sécurité activer l’option VIDER LE DOSSIER INTERNET TEMPORARY FILES LORS de LA FERMETURE DU NAVIGATEUROK

Les liens OLE & DDE

Les liens OLE & DDE permettent de relier deux fichiers ensembles

Dynamic Data Exchange et Object Linking and Embedding sont des procédés permettant de réaliser un lien entrer deux objets, comme par exemple une image dans un texte sera automatiquement actualisée dans le fichier texte quand celle ci sera modifiée à l’aide d’un programme de retouche d’image.C’est un collage spécial et dynamique entre deux fichiers pouvant appartenir à deux applications différentes.

Le fichier lié ne s’incorpore pas et n’accroît pas la taille du fichier relié, seule figure la référence du lien.Attention à ne pas changer l’adresse du fichier lié dans l’arborescence du disque dur…

Pour copier et lier une image à un fichier texte (avec OLE&DDE)

Ouvrir un traitement de texte qui gère les liens OLE & DDE, comme WORD

Positionner le curseur à l’endroit de destinationINSERTION/IMAGE/A PARTIR DU FICHIER…Sélectionner une image dans l’arborescenceN’activer que l’option LIER AU FICHIER


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Bouton INSERER

Pour supprimer un lien entre deux fichiers (avec OLE&DDE)

Ouvrir un traitement de texte qui gère les liens OLE & DDE, comme WORD

EDITION/LIAISONSSélectionner le fichier dont il faut rompre le lienROMPRE LA LIAISON

Pour qu’un fichier incorporé à un autre reste lié à son application d’origine (ce qui facilite les fréquentes modifications) et soit enregistré avec le fichier de destination (avec OLE&DDE)

Ouvrir le traitement de texte WORDOuvrir un document

Positionner le curseur à l’endroit d’insertionINSERTION/OBJETOnglet CREER D’APRES LE fichierN’activer que l’option DISSOCIER DU TEXTESélectionner le fichier avec PARCOURIROKOK

En double cliquant sur l’objet incorporé, c’est l’application d’origine qui s’ouvre…

Les bribes

Les bribes sont des morceaux de document qui se transforment en fichiers quand ils sont glissés déplacés sur le bureau et qui peuvent être relié à un autre document

Le presse papier permet de transférer, un paragraphe par exemple, d’un endroit du document vers un autre, ou d’un document vers un autre. Le presse papier se remplit avec les commandes copier (CTRL + C) et couper (CTRL + X), mais le contenu du presse papier s’écrase et est remplacé quand un autre objet est copiée ou coupée dans le presse papier…

Pour pallier cet inconvénient, il est possible de créer autant de bribes que l’on souhaite sur le bureau.

Pour créer une bribe, il faut sélectionner un objet comme un paragraphe par exemple, et avec le bouton gauche de la souris, faire un glisser déplacer sur le bureau. Une bribe est créée et apparaît sur le bureau. La bribe est un document qui contient l’objet qui a été déplacé sur le bureau. La bribe peut être alors insérée dans n’importe quel autre document avec un glisser déplacer à l’endroit d’insertion.

Pendant les glisser déplacer, un petit carré et une petite croix signale le déplacement de la bribe.

L’aperçu rapide

Le menu contextuel de certains fichiers propose la commande « aperçu rapide » qui est un des composants de WINDOWS

Le menu contextuel de certains fichiers propose la commande « aperçu rapide » qui est un des composants de WINDOWS.

La commande aperçu rapide n’est disponible que si le composant Aperçu Rapide du CDROM d’installation de WINDOWS 98 à été installé sur l’ordinateur. Une deuxième condition est qu’il faut qu’une DLL ait été programmée pour gérer l’aperçu rapide pour ce type de fichier.

Les DLL sont des extensions de l’application associée à un type de fichier. Les DLLs permettant l’affichage du contenu d’un document (sans ouvrir le document avec l’application qui lui est associé) sont enregistrées dans le même répertoire que celui qui accueille le programme QUICKVIEW.EXE :


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C:\WINDOWS\SYSTEM\VIEWERS\

Les types de fichier pour lesquels « l’aperçu rapide » est disponible

Tous les types de fichier qui sont répertoriés dans le système ne bénéficient pas de la fonction de l’aperçu rapide.

L’extension Le type de fichier.ASC ASCII.BMP Windows Bitmap.CDR Corel Draw 4 et 5.DIB Windows Bitmap.DLL Dynamic Link Library.DOC MS WORD 2, 6 et 7, et WINWORD 97.DRW Micrographic Draw.EXE Fichiers exécutables.INF Fichiers d’installation WINDOWS.INI Fichiers de configuration WINDOWS.MOD Multiplan 3, 4 et 4.1.PPT Power Point 4.PRE Freelance.RLE Run Length Encoded Bitmap.RTF Rich Text Format.SAM Ami Pro.WB1 Quattro Pro WINDOWS.WDB Base de données MS WORKS.WK1 Lotus 1-2-3 versions 1 et 2.WK3 Lotus 1-2-3 version 3.WK4 Lotus 1-2-3 version 4.WKS Lotus 1-2-3 et MS WORKS 3.WMF Méta Fichiers WINDOWS.WP5 WordPerfect 5.WP6 WordPerfect 6.WPD WordPerfectDemo.WPS Traitement de textes MS WORKS.WQ1 Quattro Pro DOS.WQ2 Quattro Pro DOS version 5.WIR WRITE.XIC Tableau EXCEL.XLS EXCEL 4, 5 et 97

Les virus

Les virus sont des fichiers externes dont les intentions

Que ce soit MACAFEE VIRUSSCAN, NORTON ANTIVIRUS, PANDA ou THUNDERBYTE ANTIVIRUS, les antivirus ont besoin d’être actualisés régulièrement afin de contenir dans leur base de donnée toutes les SIGNATURES des derniers virus, mutants ou pas…

Le danger provient principalement des applets java qui sont installés sur l’ordinateur lors d’une navigation INTERNET et qui sont des petits programmes qui tournent en local et permettent de réduire les téléchargements.

Il existe plusieurs sortes de virus qui peuvent être classé selon la manière qu’ils opèrent, selon les dégâts qu’ils occasionnent ou selon la cible qu’ils visent d’atteindre.Les virus s’attaquent principalement aux données stockées sur l’ordinateur mais peuvent aussi atteindre le comportement de celui-ci. Les donnés systèmes ou personnelles sont susceptibles d’être lues, déplacées, modifiées ou effacées ; par ailleurs de nouvelles données peuvent être placées dans l’espace mémoire et faire croire que vous en êtes l’auteur. Les noms des virus permettent souvent d’en parler mais rarement de se prémunir


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contre leurs effets : il y a les CHEVAUX de TROIE, les HOAXES, les BOOTSECTORS, les PIECES JOINTES aux e-mails, les MACROSVIRUS…

Les virus se transmettent par contact, en téléchargeant des fichiers depuis INTERNET, en cliquant sur un fichier joint à un message électronique, en insérant une disquette ou un CD dans son lecteur etc.…C’est pourquoi, il est nécessaire de vérifier et de contrôler tous ce qui rentre et tous ce qui sort de la petite boite noire, il peut être pertinent de savoir également ce qui se passe à l’intérieur de la boite opaque, afin d’évaluer la pérennité et la valeur des informations sur lesquelles reposent les décisions !

Il existe plusieurs constructeurs d’anti-virus :

MACAFEENORTONTHUNDERBYTEPANDAEtc…

Le programme PGP

Le programme PGP transforme un fichier en le cryptant

Pretty Good Privacy est un excellent shareware de cryptage des fichiers, dont les algorithmes ont été révélés à la NSA (National Security Agency) à la suite d’un procès.

En France, PGP est en libre d’accès, toutefois, il est obligatoire de faire une déclaration ou même une demande d’autorisation auprès du Service Central à la Sécurité des Systèmes d’Information (S.C.S.S.I.) qui dépend du Premier ministre ; la simple utilisation privée est tolérée quand le chiffrement n’excède pas 40 bits.

La règle de cryptage de PGP consiste à échanger sa clef publique avec ses correspondants et à conserver sa clef privée pour décoder les messages des correspondants qui sont codés avec sa propre clef publique.Il est nécessaire de bien faire attention que seul le correspondant choisi reçoive la clef publique, afin d’être certain que les messages cryptés émanent bien de lui. Comme une communication n’est pas sécurisée avant que la règle de cryptage soit établie, il convient de faire parvenir les clefs publiques par un autre moyen qu’une connexion électronique, de la main à la main ou par carte postale…

PGP propose plusieurs type d’algorithme, mais le plus performant est l’algorithme de DIFFI-HELLMANS/DSS.D’autre part, plus la taille de la clef est grande et plus il est difficile de déchiffrer le message crypté.

PGP est téléchargeable gratuitement sur INTERNET :

www.pgpi.com

PGP est utilisable pour crypter les e-mail aussi bien que les données internes.

PGP se configure pendant la procédure d’installation.Après l’installation de PGP, une icône s’est insérée dans la barre système et la commande PGP dans le menu contextuel.

Les certificats

Les certificats sont des fichiers d’identification

Les certificats numériques sont une sorte identification qui permettent de s’assurer de l’origine d’un document.

Les certificats sont émis par des sociétés dont la probité est reconnue et respectée. Pour obtenir un certificat, il faut en faire la demande à l’organisme de certification, et après un échange d’information, le certificat est émis et envoyé au demandeur.


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Quand un document est envoyé avec un certificat ; le destinataire peut s’assurer de l’origine du document en vérifiant le certificat auprès de l’organisme de certification. L’un des organismes de certification parmi les plus importants est VERISIGN et délivre des certificats sur le site suivant :

http://www.verisign.com

Les programmes DIRECT X et OPEN GL

Les programmes DIRECT X et OPEN GL sont des morceaux de programmes supplémentaires qui améliorent les performances multimédia du système

DIRECT X est une interface multimédia regroupant différents composants et destinée à produire des effets spéciaux pour les jeux.

Les versions 6.0 ou 7.0 de DIRECT X présentent différentes parties correspondant à différents effets :

DIRECT3DDIRECTDRAWDIRECTPLAYDIRECTSOUNDDIRECTMUSIC

OPEN GL développé par SILICON GRAPHICS est livré avec WINDOWS 98 et représente le concurrent de DIRECT3D de DIRECT X.

Les fichiers AUDIO

Les fichiers AUDIO sont, pour une même qualité sonore, plus ou moins gourmands en octets

Les fichiers audio sont des fichiers sonores qui contiennent de la musique, des bruitages…

Un enregistrement de qualité CD (à 44,1 kHz) requière selon les normes plus ou moins de place :

La norme .WAV requière 1,4 Méga octet par seconde d’écouteLa norme MPEG 3 requière douze fois moins de place pour la même seconde d’écoute….

Il existe différentes normes de fichiers audio :

.WAV

.AIF

.MID

.AU

.MP3Etc…

Les fichiers MPEG 3 ou MPEG AUDIO ou MPEG LAYER 3 ne sont pas lisibles par WINDOWS 98 et nécessites un programme de lecture spécial, comme REALPLAYER…

Le shareware MPEGDJ GOWAVE permet de convertir les fichiers .WAV en MPEG 3.

Les CODECS AUDIO comme ADPCM, CCITT et IMA-ADPCM permettent de compresser et de décompresser les fichiers audio.

Pour installer un CODEC AUDIO (avec le module « Ajout de Nouveau Matériel »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule AJOUT de NOUVEAU MATERIEL


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SUIVANTSUIVANTOption NON, LE périphérique NE FIGURE PAS DANS LA LISTESUIVANTOption NON, JE VEUX CHOISIR LE MATERIEL A PARTIR D’UNE LISTESUIVANTSélectionner l’entrée CONTROLEURS SON, VIDEO ET JEUSUIVANTDans les champs CONSTRUCTEURS et MATERIELS sélectionner CODECS AUDIO MICROSOFT et la norme à installer.Insérer le CDROM D’INSTALLATION WINDOWSCliquer sur le bouton disquette FOURNIE…

Pour connaître les CODECS AUDIO installés (avec le module « multimédia »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule MULTIMEDIA

Onglet PERIPHÉRIQUESDans le champ périphérique MULTIMEDIA ouvrir l’arborescence CODECS de COMPRESSION AUDIOSélectionner une normeCliquer sur le bouton PROPRIETES

Les fichiers VIDEO

Les fichiers VIDEO sont compressés pour être visualisés en temps réel

Le Motion Picture Expert Group (MPEG) a crée des algorithmes complexes pour obtenir une compression importante et de bonne qualité pour transférer les séquences vidéo et être visualiser en temps réel.

MPEG 1 fonctionne avec une carte de décodeur.MPEG 2 est simplement un programme qui permet de compresser à un taux de 30 pour 1, et à une résolution d’image de 720x480 qui est la qualité de la télévision.

Les journaux

Les journaux sont des fichiers qui gardent la trace de toutes les opérations d’une procédure

Les journaux sont des fichiers qui gardent la trace de toutes les opérations d’une procédure…

De nombreuses opérations du système d’exploitation sont enregistrées dans des fichiers appelés JOURNAUX en français et LOG en anglais.

Ces fichiers comportent les lettres LOG dans leur nom ou portent l’extension .LOG.Les journaux peuvent donc être retrouvés dans l’EXPLORATEUR avec la fonction OUTILS/RECHERCHER/FICHIERS OU DOSSIERS et le critère « LOG » contenu dans le nom.

Des journaux sont créés systématiquement lors de certaine procédures :

SETUPLOG.TXT conserve les informations concernant l’installation de WINDOWS. Ce fichier permet de connaître l’ordre dans lequel les composants sont installés, permet de savoir si l’installation d’un composant a réussie ou échouée, et permet de reprendre une installation interrompue à l’endroit ou elle s’est arrêtée.

BOOTLOG.TXT est crée pendant le démarrage de WINDOWS et conserve les informations relatives aux pilotes chargés et aux composants initialisés.


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NETLOG.TXT est crée quand la présence d’une carte réseau est détectée par le système d’exploitation et conserve les informations relatives à la connexion et aux composants réseaux.

DETLOG.TXT concerne tous les composants matériels PLUG & PLAY qui sont détectés automatiquement lors de l’installation de WINDOWS et pendant le démarrage du système quand un nouveau périphérique a été nouvellement installé.


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LES MATÉRIELS INTERNES ET PÉRIPHÉRIQUES

Quand on parle d’ordinateurs, on parle de « compatibles IBM PC », c’est à dire des micro-ordinateurs (par opposition aux mini-ordinateurs et/ou aux supercalculateurs comme les CRAYs) qui ont été commercialisés par la société IBM. L’objectif du compatible IBM PC était de proposer une machine à bas prix, destiné au plus grand nombre d’utilisateurs (Personnal Computer), et surtout avec une architecture ouverte (par opposition à une architecture propriétaire pour laquelle seuls les produits du constructeur sont compatibles entre eux et avec sa machine).

L’ordinateur (ou poste de travail) se compose de l’unité centrale (CPU pour Central Processing Unit en anglais) qui renferme les matériels internes, et des périphériques qui, comme le clavier, la souris, le moniteur ou l’imprimante, sont reliés à l’unité centrale par des cordons ou des câbles.

Les matériels (le Hardware) s’opposent aux logiciels (le Software), et maintenant il y a le réseau (Netware ou Middleware)…

Le processeur

Le processeur est l’élément principal de l’unité centrale d’un ordinateur

Le processeur est l’élément principal de l’unité centrale d’un ordinateur.

C’est le processeur qui gère les instructions de base comme les appels de données, le calcul des opérations et les enregistrements des résultats. Ces trois instructions de base constituent un processus pendant lequel le processeur va chercher une information, la transforme et l’enregistre. En fait, les deux fonctions principales du processeur sont l’adressage et le calcul. L’adressage consiste pour le processeur à chercher et à restituer de l’information en faisant des allers-retours avec la mémoire RAM. Le calcul correspond au traitement de l’information.

Un processus s’effectue pendant environ un cycle du processeur, et la durée d’un cycle dépend de la vitesse du processeur. Le processeur tourne à une certaine fréquence mesuré en HERTZ, c’est à dire à un certain rythme. Plus la fréquence est grande et plus le nombre de cycle par seconde est important.

Plus un processeur tourne vite et plus il est rapide pour traiter les processus et les instructions de base qui lui sont dévolus. A chaque cycle, environ un processus est accompli ; ainsi plus la fréquence est grande et plus le processeur peut traiter un grand nombre d’instruction de base en une seconde. Toutefois, la véritable mesure de la rapidité d’un processeur est le MIPS (Millions d’Instruction Par Seconde) qui dépend bien sûr de la fréquence du processeur, mais aussi de la quantité de mémoire RAM, de la vitesse du BUS de la carte mère, de la vitesse d’accès aux données du disque dur, et du nombre de processus que requière une d’instruction pour s’effectuée, et du nombre d’instructions que requière la réalisation d’une certaine tâche avec un certain logiciel…

Un programme est constitué d’instructions, lesquelles sont divisées et interprétées en processus par le processeur. Le processeur traite les processus les uns après les autres, ainsi un programme qui comprend beaucoup d’instructions requière beaucoup de cycles pour traiter les processus et par conséquent plus de temps pour s’accomplir.

En général, plusieurs programmes tournent en même temps, et les processus de chacun de ces programmes en cours sont traités dans l’ordre de leur priorités qui leur sont attribuées. La priorité d’un processus est indiquée par l’IRQ, par exemple une IRQ égale à ZÉRO (l’horloge système) passe avant toutes les autres, c’est la priorité maximale, et une IRQ égale à SEIZE passe après toutes les autres.Ainsi, un processeur multi-tâches est un processeur qui gère plusieurs programmes en même temps, et plus le nombre de programmes qui tournent en même temps est important, et plus le processeur doit traiter un grand nombre de processus.

Il est recommandé de choisir un processeur à la hauteur de ces propres besoins, par exemple un traitement de texte est en moyenne bien moins gourmand en ressource qu’un programme de retouche d’image ou qu’un jeux en 3D...Par ailleurs, si un nombre important de programmes tournent régulièrement en même temps, alors un processeur rapide s’impose. Ainsi les serveurs de fichiers, d’applications, d’imprimantes, ou un Contrôleur Principale de


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Domaine qui gère l’authentification des connexions réseaux, ont besoin d’un processeur rapide pour répondre à la demande des clients…

D’autre part, un processeur ne doit pas tourner tout le temps à 100% de ces capacités, car sinon il chauffe rapidement et met en danger la pérennité de ces composants qui peuvent brûler et fondre éventuellement. C’est pourquoi souvent les différente tâches d’un réseau sont dédiées à plusieurs ordinateurs, et c’est pourquoi certains serveurs sont dotés de plusieurs processeurs qui travaillent en parallèle…

Enfin, les capacités d’un processeur doivent être homogènes et de même niveau que les autres composants de l’ordinateur. Ainsi, la vitesse du bus de la carte mère ne doit pas ralentir l’acheminement des données vers le processeur, la carte graphique 3D peut soulager le travail du processeur en prenant en charge les calculs des polygones, la taille et la vitesse de transmission de la mémoire vive doit être à la hauteur, comme la vitesse d’accès aux données sur le disque dur…

Des générations de processeurs

Les processeurs ont évolués avec le temps et les cycles technologiques qui sont orchestrés par les deux principaux constructeurs de processeurs du monde que sont INTEL et AMD.Il existe plusieurs générations de processeurs qui se caractérisent par leur conception, leur vitesse et leur jeux d’instruction de base.

Le processeur des premiers IBM compatibles PC tournait à 4,77 Mhz.En 1992, le meilleur choix en terme de puissance et de rapidité était le processeur 80486 de chez INTEL qui combinait en une seule puce, un microprocesseur 80386, un coprocesseur arithmétique et un cache mémoire de 8 Ko. Le processeur 8086 était disponible à 25 Mhz, 33 Mhz ou 50 Mhz, et considéré comme trop rapide pour certaines applications.

Tous les processeurs PENTIUM utilisent le socle 7 (socket 7 en anglais) de la carte mère, mais tous ne proposent pas l’OVERDRIVE qui permet de réguler la fréquence et la tension du courrant électrique.

Les PENTIUM II peuvent aller jusqu’à la fréquence de 400 MHz.

Les PENTIUM III sont des processeurs de 6ième génération qui intègrent un nouveau jeu de 70 instructions basé sur la technologie SIMD (Single Instruction Multiple Data) et des registres dédiés. Les premiers PENTIUM III ont été bridés et ne pouvaient pas être « overclocker » ; de plus ils étaient identifiables par un numéro de série qui permettait de les repérer sur INTERNET... La caractéristique du PENTIUM III est d’améliorer le traitement des images en trois dimensions…

L’architecture du bus de la carte mère

L’évolution de l’architecture de bus a été déterminante pour les différentes générations de processeurs qui se sont succédées. Le bus se trouve sur la carte mère et relie tous les composants de la carte mère (processeur, mémoire vive, carte d’extension, ports d’interface, Etc…). Le bus est la route empruntée par les données pour aller d’un circuit vers un autre. La largeur du bus correspond au nombre de bits qui sont transférés en même temps, en parallèle. La largeur des bus a évoluée.

L’architecture des busProcesseur Bus

8088 et 8086 8 bitsAT, 80286 et 80386SX 16 bits80386 et 80486 32 bits

Le bus ISA (Industry Standard Architecture) a une largeur de 8 ou 16 bits et fonctionne avec les machines PC, XT et AT. Le bus ISA ne fonctionne pas sur 32 bits.

Le passage à un bus de 32 bits a suscité une compétition entre les constructeurs pour établir le standard du marché.


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Le bus MCA (Micro Channel Architecture) d’IBM est un bus 32 bits. La carte mère est plus petite, consomme moins d’énergie, mais les slots d’extension ne sont pas compatible avec ceux des ordinateurs PC, XT et AT. Le bus MCA est apparu avec la ligne des PS/2 d’IBM qui introduisait le standard VGA pour les moniteurs et le lecteur de disquette 31/2 pouces.

Le bus EISA (Extended Industry Architecture) de la société COMPAQ est un bus 32 bits qui a été construit pour concurrencer le bus MCA de chez IBM. Le bus EISA gère les données plus rapidement que le bus ISA grâce à un contrôleur spécial, DMA (Direct Memory Access), qui permet un accès directe à la mémoire. Le bus EISA reste compatible avec les cartes d’extension ISA parce que les slots ont la même taille.

Les bus EISA et MCA sont incompatibles, et les composants qui vont sur l’un ne vont pas sur l’autre…

La mémoire de travail

La mémoire vive est une mémoire rapide qui charge les programmes et les données en cours de traitement

La mémoire vive ou la mémoire RAM (Random Access Memory en anglais) est une mémoire volatile.La mémoire RAM est un type de mémoire qui reste active tant que l’ordinateur est sous tension, quand l’ordinateur est éteint, toutes les données inscrites dans la mémoire vive se volatilisent et disparaissent.

La mémoire vive charge les programmes et les données en cours de traitement. C’est la mémoire de travail de l’ordinateur, c’est la mémoire qui alimente le processeur en information.

La mémoire conventionnelle, paginé et étendue

Lorsque le DOS a été conçu, le processeur des ordinateurs IBM PC XT et compatibles ne pouvaient adresser au maximum que 1024 Ko ou 1 Mo de mémoire. Un ordinateur qui ne peut adresser que 1024 Ko, cela signifie qu’il ne peut localiser que 1 024 000 emplacements différents de mémoire, ou qu’il ne peut connaître que 1 024 000 adresses différentes. A chaque adresse correspond une donnée, et pour accéder à cette donnée, l’ordinateur a besoin de connaître son adresse, c’est à dire l’endroit exact dans la mémoire où cette information est stockée.

La capacité maximum d’adressage des IBM PC est égal à 1 Mo, mais seule une partie peut être utilisée par les applications DOS, et cette partie des 1 Mo est appelé « mémoire conventionnelle ». Les autres parties étaient réservées pour un usage différent.

La mémoire conventionnelle correspond aux premiers 640 Ko (moins une petite partie au début qui est réservée aux données du BIOS).

Afin de dépasser les limites de la mémoire conventionnelle (640 Ko), plusieurs sociétés, MICROSOFT, INTEL et LOTUS, se sont associées pour définir la « mémoire paginée ». La mémoire paginée permet d’aller au-delà des 640 Ko adressable et permet donc d’augmenter la mémoire utilisée par les applications DOS. Il devient possible d’augmenter la mémoire RAM installée sur un ordinateur et d’aller au-delà des 1 Mo. La mémoire paginée est aussi appelée « spécification LIM », « mémoire EMS » ou « fenêtre EMS ». Pour utiliser la mémoire paginée, il faut que l’application DOS soit compatible, et il faut installer un « gestionnaire de mémoire paginée » (le gestionnaire EMS est un fichier qui s’appèle EMM.SYS ou EMM.DRV, et qui doit être chargé en mémoire vive grâce à une commande DEVICE dans le fichier système CONFIG.SYS). Le gestionnaire de mémoire paginée permute les données entre la mémoire conventionnelle et la mémoire paginée.

La technologie a évoluée et les ordinateurs munis des microprocesseurs 80286, 80386 et 80486 peuvent « physiquement » adresser plus de 1 Mo. Les ordinateurs AT peuvent adresser jusqu’à 16 Mo, et les ordinateurs 386 et 486 peuvent adresser jusqu’à 4 Go. La mémoire supérieure au premier 1 Mo est appelée la « mémoire étendue ». Pour utiliser la mémoire étendue, il faut là aussi installer un « gestionnaire de mémoire étendue » ; et il faut que les applications DOS qui l’utilisent soit compatibles.

Au-dessus de 1 Mo, les modules de mémoire ou les cartes de mémoire qui sont ajoutés sur la carte mère doivent être identifiés par celle-ci comme mémoire additionnelle (qu’il s’agisse de mémoire paginée ou étendue). Des cavaliers sur la carte mère permettent cette identification. Parfois, pour les ordinateur AT, il faut aussi définir l’ensemble de la mémoire (mémoire conventionnelle, paginée et/ou étendue) dans la mémoire ROM du composant CMOS. Les modules de mémoire ou les cartes de mémoire possèdent également des cavaliers ou des


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commutateurs qui permettent d’établir le type de mémoire, paginée ou étendue, et permettent de définir leur « adresse de base » (c’est à dire à quel niveau dans toute la mémoire).

La mémoire RAM peut être dynamique ou statique

La mémoire RAM peut être dynamique ou statique :

La mémoire RAM dynamique (DRAM) stocke les charges électriques (qui correspondent à un bit égale à un) pendant une courte période de temps, et les données qui ont besoin d’être conservées pendant une période plus grande, reçoivent une nouvelle charge électrique, on dit qu’elles sont « rafraîchies ».

La mémoire RAM statique (SRAM) maintient la charge électrique.

La mémoire virtuelle simule une extension de la mémoire vive sur le disque dur

Si la mémoire vive est insuffisante, alors un fichier d’échange est créé sur le disque dur pour simuler une extension de la mémoire vive, c’est la mémoire virtuelle.La vitesse d’accès à la mémoire vive est beaucoup plus rapide que la vitesse d’accès au disque dur, c’est pourquoi il vaut mieux que les données dont a besoin le processeur soient déjà chargés en mémoire vive.

La mémoire vive se présente sous la forme de barrettes

La mémoire vive se présente sous la forme de barrettes qui s’enclenchent dans des connecteurs placés sur la carte mère. Ainsi la mémoire vive est juste à coté du processeur, et le temps de circulation des bits est faible...

Les premiers PC ne disposaient que de très peu de mémoire vive et celle-ci était constituée de circuits intégrés appelés des « puces RAM ». Les « puces RAM » avaient une capacité de stockage de 16 Ko, de 64 Ko, de 256 Ko ou de 1 Mo. Par exemple, une puce de 256 Ko x 1(bit-wide) peut stocker 256 000 bits, mais il en fallait huit pour enregistrer 256 000 caractères de huit bits. Les « puces RAM » étaient plus ou moins rapide, le temps nécessaire pour recevoir et mémoriser une données s’exprime en nanosecondes (un billionème de seconde), et la rapidité des puces étaient de 80, 120 ou 150 nanosecondes. Les « puces RAM » étaient dites « bit-wide » (x 1), c’est à dire qu’il fallait huit « puces RAM » pour stocker un octet, chaque puce conservait un des huit bits de l’octet. Chaque bloc de mémoire était constitué d’un ensemble de « puces RAM », d’au moins huit pour un octet et parfois de neuf pour la parité. Un bloc de mémoire était identifié comme un module. Il existait le modules SIMM (Single Inline Memory Modules) et les modules SIPP (Single Inline Pin Package). Les « puces RAM » ou les modules pouvaient se trouver directement sur la carte mère ou sur une « carte mémoire » installée sur un des slots de la carte mère.

La technologie des mémoires vives a évoluée avec le temps et les connecteurs de la carte mère se sont adaptés aux nouvelles barrettes de mémoire vive. Les mémoires vives sont de moins en moins chères, d’une capacité de stockage de plus en plus grande et d’une vitesse de transmission de plus en plus rapide.

Les différentes normes de mémoire vive ne sont pas toujours compatibles.

Les normes PS/2 à 72 broches et DIMM à 168 broches n’ont pas le même nombre de broches et ne peuvent donc pas être montées sur les mêmes connecteurs. Désormais, toutes les cartes mères sont équipées de module DIMM dont la vitesse d’accès est de 10 NANOSECONDES. Tous les modules de mémoire vive d’une carte mère doivent avoir la même vitesse d’accès, sinon c’est la vitesse la moins rapide qui s’impose...

Les modules de mémoire vive qui contrôlent la parité des octets enregistrés dans une cellule de mémoire disposent d’un nombre de puces impaire et d’un neuvième bit qui compte le nombre de UN en rapport aux nombres de ZERO. Le nouveau mode de contrôle qui succède au mode PARITY, et qui équipe désormais les modules DIMM s’appèle ECC (Error Correction Code).

Les nouvelles cartes mères munies de module DIMM sont généralement équipées de quatre connecteurs dont, désormais les modules ne sont plus obligatoirement de même taille, ni en nombre pair.

Avant de changer les barrettes de mémoire vive, il convient de débrancher l’alimentation secteur et de décharger l’électricité statique du corps humain en touchant du métal.


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Pour connaître la quantité de mémoire vive installée sur l’ordinateur (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEURCLIC-DROIT sur LE POSTE de TRAVAILPROPRIETES

Pour connaître la quantité de mémoire vive installée sur l’ordinateur (avec le module « système »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONDOUBLE CLIC sur le module SYSTEME

La mémoire de stockage

La mémoire ROM

La mémoire ROM (Read Only Memory) est une mémoire permanente, non volatile et en lecture seule.Le contenu d’une mémoire ROM ne s’efface pas quand l’ordinateur est mis hors tension, c’est une mémoire qui conserve les données qui y sont inscrites quand l’ordinateur n’est plus sous tension.

C’est une mémoire destinée aux informations qui ne doivent pas être perdus et qui n’étaient à l’origine que lues, c’est à dire qu’il n’est pas possible d’écrire sur ce type de mémoire (sauf pour les mémoires EPROM (Erasable Programmable ROM) plus récentes qui permettent de mettre à jour les programmes BIOS).

La mémoire ROM peut être un composant électronique de la carte mère (mémoire CMOS) qui permet de stocker par exemple le programme du BIOS.

La mémoire CMOS stocke les informations d’amorçage, le programme d’autotest du système et des informations propres à l’ordinateur.

Il existe différentes types de ROM :

La ROM (Read Only Memory) pour laquelle, il n’est pas possible d’écrire.

La PROM (Programmable Read Only Memory) pour la quelle, il est possible d’écrire une seule fois lors d’un processus appelé « burning ». Les informations ne sont pas écrites lors du processus de fabrication du composant électronique mais plus tard.

L’EPROM (Erasable Programmable Read Only Memory) pour laquelle, il faut un équipement spécial si l’on veut effacer (avec des rayons ultraviolets de haute densité) et réécrire des informations dessus.

La mémoire de grande capacité qui enregistre toutes les données de l’ordinateur

La mémoire de grande capacité correspond à la mémoire du disque dur, des disquettes ou des supports de stockage comme les bandes DAT...

La mémoire de grande capacité est une mémoire qui conserve ses données quand l’ordinateur est mis hors tension, et heureusement car sinon il faudrait, soit garder constamment l’ordinateur allumé, soit réinstaller à chaque démarrage le système d’exploitation, les périphériques et tous les programmes…

La mémoire de grande capacité, qui avec les progrès de la technologie se mesurait en Méga Octets il y a encore quelques années, se mesure aujourd’hui en Giga Octets, et dès demain en Tera Octets…

Les disques durs

Les caractéristiques des disques durs

Un ordinateur possède au moins un disque dur afin de stocker de grande quantité d’information. L’ordinateur peut avoir plusieurs disques durs en interne, connectés à la nappe de la carte mère, et/ou en externe connectés à des ports.


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Le « disque dur » s’appelle ainsi par opposition aux premières unités de stockage qui étaient disponible sur un PC : les disquettes 5 pouce ¼ qui étaient des unités de stockage externes et qui étaient des « disques souples ».

La densité d’information (comme la vitesse de rotation) est bien plus élevée sur un disque dur que sur une disquette.

Un disque dur est un boîtier compact et hermétique qui renferme un moteur des plateaux et des têtes de lecture. Le boîtier d’un disque dur ne doit pas être démonté (en dehors d’une chambre blanche, sans poussière ni bactéries…)

Les disques durs sont constitués d’un ou de plusieurs plateaux en aluminium épais qui tournent très vite, dès le démarrage du système, et jusqu’à sa fermeture (à moins que le disque dur ne soit mis en veille).Le disque dur est également constitué d’autan de têtes de lecture que de plateaux. Les têtes de lecture sont accrochées à des bras qui se déplacent de la périphérie jusqu’au centre. Les têtes de lecture d’un disque dur sont en permanence en train de voler sur un coussin d’air à quelques millième de millimètres des plateaux. Aussi est-il dangereux de bouger l’unité centrale quand le disque dur est en activité, parce que les têtes de lecture peuvent atterrir en plein milieu des plateaux et endommager irrémédiablement le disque dur…

Les caractéristiques principales d’un disque dur sont les suivantes :

La capacité de stockage.La vitesse de transfert des données du disque dur vers la mémoire en lecture et en écriture.La vitesse de rotation des plateaux pour accéder aux données inscrites dans les clusters et les secteurs.

Un disque dur est constitué de plateaux, lesquels sont divisés en pistes circulaires ou concentriques qui sont numérotées à partir de zéro pour la première piste près du bord extérieur. Tous les plateaux ont le même nombre de pistes, et toutes les pistes qui portent le même numéro sur chaque plateau forme un cylindre. Chaque piste est divisée en secteur (ou segment).

Les pistes qui sont proches du centre doivent, dans un espace plus restreint (le périmètre est plus petit), contenir le même nombre de secteur (et le même nombre de bits), que la piste la plus éloignée du centre. La densité des bits est donc plus élevée dans les secteurs des pistes proche du centre. La densité plus élevée induit un risque d’erreur plus élevé que ce soit pour l’écriture ou la lecture ; et pour pallier ce problème, certains ordinateurs augmentent automatiquement l’intensité du champ magnétique des têtes de lecture à partir d’un certain cylindre. Ce processus s’appelle la « pré compensation d’écriture ».

Les disques durs sont de type IDE ou SCSI

Il existe deux types de disques durs :

Les disques IDELes disques SCSI

Les disques durs de type E-IDE équipent la plupart des ordinateurs et sont régulés par un contrôleur spécial sur la carte mère. Le disque dur le plus rapide se raccorde au canal primaire IDE 1 (le maître) et le plus lent au canal secondaire IDE 2 (l’esclave).

Les cartes mères équipées de contrôleur SCSI intégré sont jusqu’à 20% plus performant et permettent de raccorder en chaîne jusqu’à 7 périphériques SCSI.

Les disques durs dont la vitesse de rotation des plateaux atteint 7200 tours minute s’échauffe rapidement et requière un ventilateur pour diminuer la température.

Pour connaître la capacité totale et la capacité disponible d’un disque, d’un lecteur ou d’une partition (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir le POSTE de TRAVAILCLIC-DROIT dans le volet droit sur le lecteur recherché


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PROPRIETESUn camembert montre graphiquement le nombre d’octets de l’espace utilisé et disponible

Pour afficher la barre d’états et connaître le nombre, le type et la taille des fichiers ou d’un dossier (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEURAFFICHAGE/BARRE D’ETAT

Pour gagner le l’espace en éliminant les fichiers d’aide des logiciels maîtrisés (avec l’EXPLORATEUR)

Pour gagner de l’espace à tout prix, il suffit d’éliminer tous les fichiers inutilisés mais qui sont installés par défaut ; il est alors possible de n’installer que les composants essentiels d’un logiciel en choisissant une INSTALLATION PERSONNALISEE. Par exemple les fichiers d’aide avec l’extension .HLP ou les extensions .HTML et .CHM pour les fichiers d’aide récents de MICROSOFT. Une recherche s’effectue avec la commande « *.HLP » pour afficher tous les fichiers qui se terminent avec l’extension .HLP.

Le système de fichiers

Le système de fichiers (FAT 16 ou FAT 32) détermine la taille et le nombre de CLUSTERS d’un lecteur

Le système de fichier (FAT, FAT 32, NTFS, Etc…) correspond au type d’organisation du disque dur.Le système de fichiers FAT 32 (qui est spécifique à WINDOWS 98) permet de gérer jusqu’à 2 GIGA Octets de données dans une même partition, parce qu’une valeur de 32 bits est utilisée pour l’adressage mémoire des clusters. Le nombre maximal de clusters sous FAT 32 est de 4 294 967 296, la taille d’un CLUSTER est alors de 32 Ko, et la taille maximal du lecteur est de 2 TERRA Octets.

Plus les clusters sont petits et moins l’espace est gaspillé (l’enregistrement d’un fichier occupe au moins un CLUSTER), ce qui offre la meilleure occupation de l’espace, mais ce qui ralentit la lecture d’une information (un fichier est enregistré dans un plus grand nombre de clusters quand ceux-ci sont de petites tailles).

La taille des clusters dépend de la taille du lecteur et du système de fichiers (FAT) :

Système de Fichiers FAT 16 et VFATTaille du lecteur Taille des clusters

Jusqu’à 32 Mo 512 Octets = 1 secteurDe 32 à 63 Mo 1 024 Octets (1 Ko) = 2 secteurs De 64 à 127 Mo 2 048 Octets (2 Ko) = 4 secteursDe 128 à 255 Mo 4 096 Octets (4 Ko) = 8 secteursDe 256 à 511 Mo 8 192 Octets (8 Ko) = 16 secteursDe 512 à 1 023 Mo 16 384 Octets (16 Ko) = 32 secteursDe 1 024 à 2 048 Mo 32 768 Octets (32 Ko) = 64 secteurs

Système de Fichiers FAT 32Taille du lecteur Taille des clusters

Jusqu’à 260 Mo (MEGA Octets) 512 OctetsDe 260 Mo à 8 Go (GIGA Octets) 4 096 Octets (4 Ko)De 8 à 16 Go 8 192 Octets (8 Ko)De 16 à 32 Go 16 384 Octets (16 Ko)A partir de 32 Go 32 768 Octets (32 KO)

Plusieurs types d’erreurs peuvent se produire en relation avec la FAT.

Les erreurs de chaînage des fichiers se produisent souvent quand l’ordinateur est réamorcé alors qu’il était en train d’enregistrer des fichiers.Les erreurs de chaînage sont de deux sortes :


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Les « groupes perdus » sont un chaînage qui n’est plus référencé dans la FAT.Les « références croisés » sont des chaînages différents qui ont la même référence dans la FAT.

Les erreurs de chaînage constituent un disfonctionnement de la FAT (la table d’allocation des fichiers qui est organisée selon les règles du système de fichier qui a été choisi lors du formatage). La FAT est une base de données qui référence les fichiers et leur lieu de stockage respectif sur le disque. La taille des fichiers est généralement supérieure à la taille des « unités d’allocation » (CLUSTER en anglais ou blocs) définie par le système de fichier. Ainsi, les fichiers ont généralement besoin de plusieurs CLUSTERS pour être entièrement enregistrés. La FAT référence le nom du fichier, sa taille, ses attributs, sa place dans l’arborescence du disque et l’adresse de la première unité d’allocation qui le compose. L’ensemble des CLUSTERS d’un même fichier forme un groupe d’unités d’allocation qui sont chaînés entre eux, afin de pouvoir tous les identifier les uns après les autres. C’est ce qui s’appèle le « chaînage des fichiers ». Les erreurs de chaînage signifies que le fichier est inaccessible ou incomplet.

Le formatage de bas niveau

Le formatage de bas niveau s’oppose au formatage haut niveau.

Le formatage de bas niveau est un formatage complet qui crée la structure du disque (le nombre de pistes et la taille des secteurs), et qui crée la table d’allocation des fichiers (la FAT).

Le formatage de haut niveau est un formatage simple et plus rapide qui ne crée que la table d’allocation des fichiers (FAT).

Un disque est construit avec une capacité maximale calculée en octets. La capacité totale d’un disque peut être divisée en lecteur, c’est le partitionnement du disque. Chaque lecteur, ou chaque partition, est ensuite organisés selon les règles du système de fichier choisis lors du formatage de bas niveau.

Le formatage de bas niveau consiste à créer un système de repère dont dépendra le classement et l’enregistrement des données. Un disque ne peut pas être utilisé sans formatage de bas niveau, cette opération prépare et organise le disque afin qu’il puisse enregistrer et restituer des données. Le formatage de bas niveau structure la surface des plateaux d’un disque en fonction des règles d’un système de fichiers. Le formatage de bas niveau divise un lecteur en pistes et en secteurs, et y écrit une en-tête qui est utilisée par le système d’exploitation pour localiser les fichiers qui y seront enregistrés.

La mémoire virtuelle

La mémoire virtuelle est une simulation de mémoire vive sur le disque dur

Quand la quantité de mémoire vive est insuffisante, une extension de celle-ci est simulée sur le disque dur.

Pour laisser WINDOWS gérer la mémoire virtuelle (avec le module « système »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule SYSTEMEOnglet PERFORMANCESBouton MÉMOIRE VIRTUELLEActiver l’option LAISSER WINDOWS GERER LES PARAMETRES de MÉMOIRE VIRTUELLE

Le module « système »

Le module « système » permet d’ajuster la gestion de la configuration matérielle des périphériques

Le module système permet d’ajuster et d’optimiser la gestion des périphériques en fonction de leurs caractéristiques propres :

Le disque dur Le type d’utilisation de l’ordinateur :


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Ordinateur de bureauPortable ou Station d’accueilServeur réseau

L’optimisation du cache

Complète

Le lecteur de disquette

Le lecteur de CDROM

L’optimisation du lecteur en fonction de sa vitesse

CDROM quadruple vitesse ou plus

L’optimisation de la taille du cache supplémentaire

Grande

Les lecteurs de disque amovible

L’optimisation du cache en lecture du disque dur dépend de la quantité de mémoire vive

La lecture des informations sur le disque dur est rapide quand les informations sont bien rangées et que le disque dur est régulièrement défragmenté. C’est un premier point, et c’est déjà très important parce que la défragmentation épargne les têtes de lecture du disque dur.

La lecture des informations sur le disque dur peut être améliorée grâce à l’optimisation du cache en lecture. En effet, lors d’un accès au disque dur, sont chargées en mémoire vive non seulement les informations demandées par le processeur, mais aussi les informations qui sont placées sur le disque dur à la suite de celles qui ont été demandées, ce sont les informations du cache en lecture qui anticipent les besoins ultérieurs du processeur.

Plus la taille du cache en lecture du disque dur est importante, et plus la quantité d’information chargée en mémoire vive est importante. Pour que le cache en lecture du disque dur soit performant, il faut que sa taille soit grande, mais pour qu’il soit pertinent, il faut que les informations chargées soient utiles, c’est à dire qu’elles soient demandées par le processeur, et pour qu’elles le soient, il est indispensable que le disque dur soit défragmenté afin de rassembler en un même endroit les informations concernant un même objet. Ainsi les informations du cache ont de grandes chances d’être utiles car elles concernent le même objet, et quand elles sont appelées par le processeur, elles sont déjà disponibles en mémoire vive et sont donc traitées très rapidement…

Par ailleurs, lors d’une opération de défragmentation, non seulement les informations concernant un même objet sont rassemblées à l’intérieur d’un même espace de mémoire, mais aussi les différents objets qui sont régulièrement appelés en même temps peuvent être enregistrés les uns à coté des autres…Par exemple, pour écrire une lettre, il faut lancer une application de traitement de texte comme WINWORD, laquelle fait appelle à d’autres objets, à d’autres fichiers, comme des DLL pour effectuer certaines opérations, comme le pilote de clavier pour saisir des caractères ou le pilote de la souris, mais aussi comme le document qui contient le modèle de la lettre…Toutes les applications qui sont lancées sur un ordinateur sont en quelque sorte surveillées : lors du lancement de l’application, tous les objets qui sont chargés en mémoire vive pour les besoins de la dite application, sont répertoriés dans un fichier de protocole. Les fichiers de protocole permettent de connaître tous les objets qui sont associés à une application. Tous les fichiers de protocole sont enregistrés dans le répertoire suivant :

C:\WINDOWS\APPLOG\

Les noms des fichiers de protocole sont formés par le nom de l’application suivi d’une extension de trois lettres. Par exemple « WINWORD.LGC ». La dernière lettre de l’extension correspond à la lettre du lecteur ou se trouve


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l’application (en l’occurrence le « C » de l’extension « .LGC » indique que le traitement de texte « WINWORD » est stocké sur le lecteur « C:\ »).

Pour ouvrir un fichier de protocole, il suffit de choisir un éditeur de texte comme NOTEPAD. Les fichiers de protocole qui sont enregistrés dans le répertoire C:\WINDOWS\APPLOG\ indiquent non seulement les applications qui sont utilisées par l’opérateur, mais aussi la façon dont il les utilise…

Les fichiers de protocole sont utilisés pendant l’opération de défragmentation afin d’identifier les associations entre les différents objets d’un ordinateur et de mesurer leur fréquence d’utilisation, ce qui permet de rapprocher sur le disque dur les objets qui forment les « couples les plus fidèles » et de placer les objets les plus utilisés par l’opérateur dans « la zone d’accès rapide du disque dur » (c’est à dire les pistes les plus prêtes des têtes de lecture).

Ainsi, lors du lancement d’une application, les objets associés à l’application sont dans un premier temps chargés en mémoire vive, grâce au cache en lecture du disque dur, puis sont dans un deuxième temps chargés en mémoire conventionnelle afin d’être exécutable le plus rapidement possible…

Les versions antérieures de WINDOWS 98 utilisaient le programme SMARTDRIVE pour trier et optimiser l’emplacement des objets stockés sur le disque dur. Le programme est situé dans le dossier suivant :

C:\WINDOWS\SMARTDRV.EXE

Avec WINDOWS 98, cette fonction est réalisée par « MAPCACHE »…

L’optimisation du cache en lecture du disque dur dépend de la quantité totale de mémoire vive et du type d’utilisation de l’ordinateur.Par exemple, les jeux récents proposent des graphismes en 3D de plus en plus précis et de plus en plus changeants, ces applications ludiques sont très gourmande en mémoire vive et font très souvent appel au disque dur (pour la mémoire virtuelle) ainsi qu’au lecteur de CDROM (pour les vidéos et autres fichiers graphiques), l’utilisation de ces jeux peut être améliorée en considérant l’ordinateur comme un serveur de fichier.Si la quantité de mémoire vive est limitée, alors il vaut mieux la réservée aux logiciels plutôt qu’au cache (d’autan plus que les logiciels sont de plus en plus gros…)

Aujourd’hui, 64 Méga octets de mémoire vive permet de faire tourner la majorité des applications standards (en dehors des applications graphiques) et l’optimisation du cache en lecture peut être « complète »… Pour ajuster la gestion de la configuration matérielle des périphériques, comme le type de l’utilisation de l’ordinateur, l’optimisation des caches du disque dur et du lecteur de CDROM, et l’accélération graphique (avec le module « système »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule SYSTEME

Onglet PERFORMANCESBouton SYSTEME de FICHIERS

Onglet disque dur :

Sélectionner ORDINATEUR de bureau pour une utilisation normal…Sélectionner SERVEUR RESEAU pour accélérer les accès au disque dur qui sont fréquents avec les jeux vidéo…

Pousser le curseur de l’OPTIMISATION DU CACHE EN LECTURE jusqu’à COMPLETE pour lire le maximum de données (il faut disposer d’une quantité de mémoire vive raisonnable).

Onglet CDROM :


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Sélectionner CDROM QUADRUPLE VITESSE OU PLUS si le CDROM est récent et performant.

Placer le curseur TAILLE DU CACHE SUPPLEMENTAIRE au maximum, jusqu’à GRANDE pour lire le maximum de données.

Onglet PERFORMANCESBouton GRAPHIQUES :

Placer le curseur en position maximum pour L’ACCELERATION MATERIELLE COMPLETE des paramètres graphiques.

La carte graphique

La carte graphique et le moniteur ont besoins d’être harmonisés pour optimiser l’affichage

La carte graphique et le moniteur ont besoins d’être harmonisés pour optimiser l’affichage, le rendu des couleurs, des contrastes, du scintillement.

Une des grandes nouveautés de WINDOWS 98 est de permettre l’utilisation de deux moniteurs différents afin d’accroître la surface d’affichage et de répartir les fenêtres ouvertes en même temps. Deux moniteurs nécessitent deux cartes graphiques qui doivent être des périphériques PCI…

Pour associer le moniteur et la carte graphique, il faut ajouter un profil de couleurs (avec le module « affichage »)


Onglet PARAMETRESBouton AVANCES

Onglet GESTION DES COULEURSCliquer sur le bouton AJOUTER pour ajouter un profil de couleurs à associer à l’écran

Sélectionner le profil correspondant ou un profil génériqueCLIC-DROIT sur le profil pour ouvrir le menu contextuelChoisir PROPRIETESOnglet INFORMATIONS SUR LE PROFIL pour obtenir certaines information sur le profil sélectionnéOK ou ANNULERCliquer sur le bouton AJOUTER pour ajouter le meilleur profilAPPLIQUEROK

Pour ajuster les caractéristiques de contraste, de luminosité et de chaleur des couleurs (avec le module « affichage »)


Onglet PARAMETRESBouton AVANCES

Onglet couleurs pour ajuster le contraste et la luminositéAjuster la valeur de GAMMA correspondant à la chaleurRégler les proportions des couleurs primaires ROUGE, VERT et BLEU


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Le bouton DEFAUT réintègre les valeurs d’origine

L’économie d’énergie

Le mode d’économie d’énergie d’un ordinateur dépend du type d’utilisation, du type d’alimentation et des types de matériels

En cour d’utilisation normale, tous les composants d’un ordinateur sont utilisés et ils sont tous alimentés normalement par un courant électrique issu du secteur ou d’une batterie (pour un portable ou un UPS par exemple). Quand l’ordinateur n’est plus utilisé, l’alimentation électrique n’est plus nécessaire, et certains composants de l’ordinateur peuvent être plus ou moins désactivés ce qui réduit la consommation d’énergie inutile.

Selon le type d’utilisation, le type d’alimentation et/ou le type de matériel, la gestion de l’énergie d’un ordinateur se conforme à des critères différents.Par exemple, l’alimentation d’un ordinateur par une batterie est limitée dans le temps et requière une gestion de l’économie d’énergie qui évite les gaspillages.A contrario, un ordinateur qui est utilisé comme serveur doit rester disponible tout le temps afin de recevoir et de traiter les demandes de connexion.Enfin, si le processeur se réactive très rapidement, il n’en est pas ainsi du disque dur qui doit prendre le temps de relancer les plateaux et de faire décoller les têtes de lecture, pareillement l’écran noir du moniteur prend un certain temps pour alimenter de nouveau tous les pixels…

Il existe différents modes d’économie d’énergie qui peuvent s’appliquer à différents types de matériel :

Le mode VEILLE pour le processeur, le moniteur et les disques dursLe mode STAND BY pour les moniteursLe mode WAKE ON LAN pour les connexions réseaux.

Le mode veille est le premier mode d’économie d’énergie, le système et ses composants ne sont plus en activité ; ils sont en attente d’une intervention de l’utilisateur et sont réactivés instantanément dès que celui-ci se manifeste. Il suffit d’appuyer sur une touche du clavier ou de bouger la souris pour réveiller le système. Le mode veille s’établit ou bout d’un certain temps d’inactivité à partir duquel le processeur ralenti, l’écran passe à l’affichage de l’écran de veille, et le disque dur est désactivé…

Le mode STAND BY du moniteur s’applique après le mode de mise en VEILLE. Le mode STAND BY désactive l’écran de veille et coupe l’alimentation du moniteur, mais requière un peu plus de temps pour réactiver l’affichage.

La fonction WAKE ON LAN n’est disponible que si la carte mère est dotée de raccords réseaux pour permettre les connexions à distance. L’ordinateur qui est mise en veille se réveille quand une demande de connexion lui parvient…

Pour configurer le mode veille (avec le module « Gestion de l’Alimentation»)

DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATIONModule GESTION de L’ALIMENTATION

Onglet mode de GESTION de L’ALIMENTATIONChoisir le mode qui correspond au type d’utilisation de l’ordinateur :

ORDINATEUR de BUREAUORDINATEUR PORTABLETOUJOURS ALLUME

Choisir le temps d’inactivité qui déclenche la mise en veille des composants de l’ordinateur :

MISE EN veille de L’ORDINATEURMISE EN veille du MONITEUR


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ARRET des DISQUES DURS

APPLIQUEROK

Les périphériques

Les périphériques sont tous les matériels connectés à l’unité centrale

Tous les périphériques (moniteur, souris, clavier, imprimante, scanner, disques externes, modem etc.…) sont des matériels qui complètent l’unité centrale et qui lui permettent de s’ouvrir à l’extérieur afin d’exporter, d’importer, d’archiver des données. Ces matériels ont tous besoin d’être reconnus par le système d’exploitation.

L’opérateur de l’ordinateur effectue des actions qui sont comprises et gérées par le système d’exploitation, lequel les traduit et les redirige vers le périphérique concerné qui au bout de la chaîne exécute l’opération commandée. Pour assurer cette communicabilité et cette compréhension entre les différents intervenants (l’utilisateur, l’unité centrale et les périphériques) des interfaces sont nécessaires : le système d’exploitation (en abréviation OS pour Operating System en anglais) fait le lien entre l’utilisateur et l’unité centrale, les pilotes de périphériques font le lien entre l’OS pour lequel ils ont été conçu et le périphérique.

Les pilotes sont généralement fournis avec le périphérique à l’intérieur d’une disquette ou d’un CDROM, sinon ils peuvent être disponible dans le CD d’installation de WINDOWS 98 et c’est ce qui en fait un système d’exploitation PnP puisqu’ils sont déjà installés, enfin le dernier recours reste alors de télécharger le pilote correspondant à l’OS sur le site INTERNET du constructeur, s’il existe…

Les périphériques SCSI

Les périphériques SCSI sont très rapides

Les périphériques SCSI s’opposent à l’autre technologie, les périphériques IDE ATA.

Les périphériques SCSI (Small Computer System Interface) sont généralement les plus rapides mais plus chers.Les périphériques SCSI s’organisent autour d’un contrôleur SCSI sur la carte mère et constituent une chaîne SCSI qui peut comporter jusqu’à sept périphériques différents, et qui sont tous contrôlés par le contrôleur SCSI.

Les périphériques SCSI externes doivent être allumés avant de mettre l’ordinateur sous tension, parce que le contrôleur SCSI vérifie la bonne installation de la suite de périphériques qui forment la chaîne SCSI, ensuite le contrôleur vérifie chaque périphérique.

Les pilotes de périphériques

Un pilote de périphérique est un logiciel conçu par le constructeur, et qui assurent la communicabilité entre le système d’exploitation et le matériel

Un pilote de périphérique est un logiciel conçu par le constructeur, et qui assurent la communicabilité entre le système d’exploitation et le matériel.

Les pilotes sont indispensables au bon fonctionnement d’un système informatique.

Le système d’exploitation gère tous les composants de l’ordinateur et doit faire en sorte que tout fonctionne correctement et harmonieusement. Ces composants, comme les périphériques proviennent d’origines diverses et fonctionnent différemment.

Les périphériques ont besoin de se faire reconnaître auprès du système d’exploitation et doivent indiquer au système d’exploitation comment ils travaillent.Ces procédures de commandes et de communication sont propres à chaque constructeur. Les pilotes sont là pour adapter le périphérique au système d’exploitation et vice versa.


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Les pilotes de périphériques sont périodiquement améliorés par les constructeurs de matériels afin de mieux s’adapter au système d’exploitation qui lui aussi progresse. Ainsi, pour un même matériel, il existe souvent plusieurs pilotes de périphérique, chacun de ses pilotes sont adaptés à un système d’exploitation ou à une version d’un système d’exploitation…Toutefois, il existe des pilotes dits « génériques » qui fonctionnent avec différents types de matériels ou avec différents systèmes d’exploitation…

Les dernières versions des pilotes sont généralement disponibles sur les sites INTERNET des constructeurs de matériels et sur les sites INTERNET des éditeurs de système d’exploitation.

Les pilotes des principaux types de périphériques fabriqués par les principaux constructeurs figurent sur le CDROM D’INSTALLATION de WINDOWS 98 dans le dossier DRIVERS.

Pour mettre à jour les pilotes de sa machine via le service INTERNET LIVE UP DATE de WINDOWS MICROSOFT (avec INTERNET)

Préparer le numéro d’identification de la licence de WINDOWSPréparer-vous à laisser MICROSOFT examiner votre configuration par INTERNET…

DEMARRER/PARAMETRESWINDOWS UP DATE

Sélectionner MISE A JOUR de PRODUITS dans la page d’accueil du site de MICROSOFTAccepter l’examen à distance du système d’exploitation de votre PC…Sélectionner la catégorie pilotes de périphériquesAccepter l’examen à distance des pilotes installés sur votre PC…

Si les examens préconisent une mise à jour, c’est que de nouvelles versions sont disponibles et qu’elles sont peut-être plus efficaces que celles dont vous disposées déjà, alors prenez la décision de les téléchargées :

Saisir le numéro de licence du système d’exploitation WINDOWSTélécharger les nouveaux pilotes et prévoyer éventuellement de les enregistrer sur une disquette afin de ne pas effectuer la même procédure en cas de réinstallation complète du système…

Pour connaître les éventuels conflits de version de pilotes ou de DLL, et être en mesure de les restaurer si nécessaire (avec INFORMATIONS SYSTEME)

DEMARRER/PROGRAMMESACCESSOIRES/OUTILS SYSTEMEINFORMATIONS SYSTEMEMenu OUTILSCommande GESTIONNAIRE de CONFLIT de VERSION

Le PLUG & PLAY

Le PLUG & PLAY, cela signifie branchez et ça fonctionne

Le PLUG&PLAY est un concept destiné à l’origine pour le grand public et aussi un petit peu pour concurrencer la convivialité du système d’exploitation de MACINTOSH… C’est l’informatique qui va à la rencontre de l’utilisateur… L’utilisateur n’est plus sensé devenir informaticien pour se servir d’un ordinateur…Le PLUG&PLAY a pour ambition de rendre plus facile (mais plus opaque) l’utilisation d’un ordinateur et de mettre l’installation de périphériques à la portée de tous.

La technologie PLUG & PLAY permet de reconnaître les nouveaux périphériques qui sont branchés à l’unité centrale, d’affecter automatiquement les ressources nécessaires (mémoire, IRQ etc.….), d’enregistrer les paramètres dans la base de données du registre et d’éviter les conflits éventuels. Ensuite, le pilote du périphérique est installé.


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Au démarrage de l’ordinateur, WINDOWS 98 recherche si un nouveau composant est présent sur un connecteur de la carte mère ou sur un port extérieur. Quand un nouveau composant est détecté, il fournit au système d’exploitation son code Plug & Play qu’il lui octroi automatiquement les ressources nécessaires (IRQ, Adresses Mémoires) ce qui évite les conflits. Ces informations sont enregistrées dans la base de registre et ensuite WINDOWS recherche dans sa base de données C:\WINDOWOWS\INF le pilote adéquat pour l’installer.

Le système d’exploitation WINDOWS 98 identifie le nouveau périphérique et recherche le fichier .INF contenant le pilote du périphérique dans le répertoire suivant :

C:\WINDOWS\INF

Certains pilotes ont pu provoquer des problèmes et ne s’adaptaient pas correctement avec WINDOWS, aussi MICROSOFT, pour se décharger de sa responsabilité, a instauré une norme à laquelle devaient se soumettre les constructeurs de périphériques afin d’obtenir une « signature » validant ou certifiant la conformité du pilote avec le système d’exploitation.

Parfois WINDOWS ne détecte pas le pilote installé et demande au démarrage de le réinstaller. Il suffit souvent de le supprimer dans le GESTIONNAIRE de périphériques et de le réinstaller aussitôt. Si le problème persiste, il convient de demander au constructeur de périphérique une mise à jour du pilote ou un pilote authentifié par MICROSOFT, et s’il n’en existait pas, il faudrait se contenter du pilote générique de MICROSOFT que le système propose automatiquement.

Pour sélectionner les pilotes signés ou non (avec SIGVERIF)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « sigverif »

Ou DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEME/INFORMATIONS SYSTEMEOnglet OUTILCommande OUTIL/OUTIL de VERIFICATION de SIGNATURE

Sélectionner le piloteBouton DETAILS pour afficher les propriétés du pilote et de sa signature

Les interruptions IRQs

Les IRQ hiérarchisent les priorités de tous les composants d’un ordinateur afin que chacun puisse accéder au processeur

Les IRQ hiérarchisent les priorités de tous les composants d’un ordinateur afin que chacun des composants puissent à tour de rôle accéder aux ressources du processeur et ce pendant un certain temps système …

Une IRQ est une ressource système attribuée à chaque élément fondamentale d’un ordinateur, et qui sert à donner la main à cet élément.

Les IRQ (Interrupt ReQuest) sont au nombre limité de 16 dans le système d’exploitation de MICROSOFT.Les IRQ sont hiérarchisées de ZERO à 15 et attribuées selon les besoins à chaque composant de l’ordinateur afin de permettre en fonction de leur propre ordre de priorité de donner la main au composant qui dès lors peut accéder au processeur qui traite alors leurs instructions.

Les IRQ sont un moyen d’ordonner les multiples demandes de chaque composant du système informatique. Quand il y a un conflit d’IRQ, c’est comme si deux personnes voulaient s’asseoir en même temps sur la même chaise…et un ordinateur a besoin de discipline…

Par contre, la même IRQ peut être attribuée à deux composants différents dans la mesure où ils ne fonctionnent pas en même temps. Si les deux composants qui partagent la même IRQ fonctionnent en même temps, alors le système d’exploitation ne peut déterminer lequel des composants a la priorité, il se bloque et c’est le conflit. Les


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IRQ sont partagées parce qu’elles sont en nombre limité et que de nos jours de nombreux composants sont connectés à l’unité centrale…

Une IRQ en conflit se signale avec un point d’interrogation jaune dans le GESTIONNAIRE de périphérique.

Pour connaître les interruptions IRQ libres (avec INFORMATIONS SYSTEME)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEME/INFORMATIONS SYSTEME

Ouvrir dans le volet de gauche l’entrée RESSOURCES MATERIELLES /IRQ

Pour imprimer les ressources systèmes, IRQ et DMA dédiées aux périphériques (avec le module « système »)


Onglet GESTIONNAIRE de PÉRIPHÉRIQUESBouton IMPRIMEROption TOUS périphériques ET INFORMATIONS SYSTEMEOK

Pour désactiver ou modifier les paramètres d’une IRQ (dans le GESTIONNAIRE de PÉRIPHÉRIQUES)

Clic droit sur l’icône du POSTE de TRAVAILPROPRIETESOnglet GESTIONNAIRE de PÉRIPHÉRIQUES

Sélectionner le composant matérielBouton PROPRIETES

Onglet GENERALDésactiver l’OPTION DESACTIVER DANS CE PROFIL MATERIELLe composant désactivé se signale par une croix rouge

Onglet RESSOURCESSélectionner l’IRQBouton MODIFIER LES PARAMETRESSélectionner une IRQ disponible

L’agent de pilote d’omission automatique

Pour activer l’agent de pilote d’omission automatique (avec ASD)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « asd.exe »

Pour activer l’agent de pilote d’omission automatique (avec DEMARRER)

Ou DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEME/INFORMATIONS SYSTEMEOnglet OUTILCommande OUTIL/AGENT de PILOTE D’OMISSION AUTOMATIQUE

Les ports

Les ports sont les « portes » d’entrée et de sortie par lesquels les données sont transférées vers l’intérieur ou l’extérieur de l’unité centrale


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Les ports sont les « portes » d’entrée et de sortie par lesquels les données sont transférées vers l’intérieur ou l’extérieur de l’unité centrale.

Il existe différents types de port ou de connectique en fonction du type de branchement, de leurs fonctions :

Nom Type de connections

Type de branchements

Nature des broches mâles ou femelles

Nombre de broches

Fonctions

Prise d’alimentation Câble Alimentation Electrique

Prise du moniteur Câble Alimentation Graphique

Socle d’accueil de portable

Boîtier encastrable

Configuration pour un portable de bureau

Ports PS/2 Câble Souris, ClavierPorts SERIES Câble Souris, Clavier,

ModemPorts USB Câble Souris, Clavier,

ModemPorts TV Câble Alimentation TVPorts Parallèles (LTP1 et LTP2)

Câble Haut débit pour Imprimantes, Scanner, Lecteur externe

Ports Radios Ondes radios RéseauxJack de Micro MicroJack de Haut-parleurs Sorties AudioPC CARD PCMCIA de type I et II

Mémoires, Modem, Carte Ethernet

Port INFRA ROUGE Ondes lumineuses

Souris, Clavier, Modem

Le port parallèle est un port à haut débit pour l’imprimante

Le port parallèle est un port (c’est à dire une « porte » d’entrée et de sortie de l’unité centrale).Le port parallèle est un port qui transfert les données à l’intérieur et vers l’extérieur de l’ordinateur en mode parallèle, c’est à dire que plusieurs octets sont transférés en même temps.

Les scanners et les imprimantes se raccordent aux ports parallèles (LTP1 et LTP2) de l’unité centrale. Les raccordements s’effectuent en chaîne, l’imprimante constituant le dernier maillon.

Les périphériques gérant le port ECP (Extended Capabilities Port) communiquent avec le système d’exploitation pour transmettre, lors de l’installation PLUG&PLAY, des informations sur le modèle (informations qui sont comparées avec celles contenues dans le fichier. INF, et qui permettent de choisir le meilleur pilote pour gérer le périphérique), et lors de leur utilisation, des informations concernant leur état de marche (bourrage de papier, absence de papier, épuisement de l’encre ou du toner).Le câble qui permet de communiquer dans les deux sens porte sur la gaine l’indication de la norme IEEE 1284.Le BIOS doit être configuré pour prendre en compte les fonctionnalités ECP.

Pour vérifier les paramètres ECP du BIOS (avec le module « système »)


Onglet GESTIONNAIRE de PÉRIPHÉRIQUESélectionner et ouvrir l’entrée port(COM et LPT1)Sélectionner port imprimante ECP (LPT1)


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Cliquer sur le bouton PROPRIETES

Le port USB permet de raccorder jusqu'à 127 périphériques

Les ports USB (Universal Serial Bus) permettent de raccorder jusqu'à 127 périphériques, ils sont PLUG&PLAY et sont reconnus immédiatement par le système d’exploitation, ils sont HOT PLUG, c’est à dire qu’ils peuvent être utilisés à chaud, sans avoir à redémarrer l’ordinateur...

L’imprimante

L’imprimante permet de garder des informations sur des supports papiers

L’imprimante permet d’imprimer des documents et de garder des informations sur des supports papier.

Il existe différents types d’imprimantes selon le mode d’impression :

Matricielle ou à aiguillesJets d’encreLaser

Il est rare aujourd’hui de se voir confronter à des imprimantes à aiguilles qui ne sont plus commercialisées.

Les imprimantes à jets d’encre sont moins chères à l’achat mais plus coûteuses à l’usage, en effet, les « consommables » qui représentent les fournitures dont il faut s’approvisionner souvent comme les cartouches d’encre (trois pour les couleurs fondamentales (CYAN, MAGENTA et JAUNE) et une pour le noir) sont chères et s’épuisent rapidement. Les petites bulles d’encre projetées sur le papier sont de plus en plus précises et se mesurent en DPI dans le sens de la largeur et de la hauteur (Dots Per Inch en anglais, correspond au nombre de points par pouce (un pouce=25,4 millimètres)).

Les imprimantes laser sont plus professionnelles, de meilleure qualité, plus rapide avec un nombre de page imprimé par minute plus important, le coût d’une page est moins chère mais le coût du matériel représente un investissement de départ.

Les paramètres de l’imprimante peuvent être configurés :

pour intercaler une feuille blanche entre différents travaux d’impressionpour orienter le papier à l’horizontal (paysage à l’Italienne), à la verticale (portrait à la Française)pour choisir le format du papier (A4, A3, etc.…)pour choisir l’encre, couleur ou noir et blancpour choisir la qualité de l’impression, supérieur, brouillon…

Le pilote de l’imprimante est primordial pour imprimer rapidement et économiquement, aussi est-il recommandé d’actualiser son pilote sur le site INTERNET du constructeur.

Lorsque l’unité centrale communique les informations d’impression à l’imprimante, une icône représentant une imprimante apparaît dans la barre système près de l’horloge.

Lorsque le même document est ouvert sur différents ordinateurs qui ne sont pas équipés du même système d’exploitation, de la même imprimante, qui n’ont pas les mêmes polices installées ou qui ne partagent pas la même zone imprimable ou la même mise en page, il arrive parfois que ce document n’apparaisse pas exactement de la même façon ; c’est parce que WINDOWS cherche les polices les plus appropriées et change éventuellement la mise en page.

Quand la taille du tampon de la mémoire de l’imprimante ne permet pas d’imprimer un document dans son entier, il faut essayer de réduire la qualité de l’impression pour gagner de l’espace.

Malgré la technologie WYSIWYG (What You See Is What You Get), la sortie papier n’est pas strictement identique à l’apparence sur écran. Aussi est-il préférable d’utiliser des polices de caractères TRUETYPE conçues pour WINDOWS.


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Pareillement, le rendu peut-être différent pour un même document présenté sur des ordinateurs différents et qui n’ont pas les même polices d’installées, ni les mêmes marques ou modèle d’imprimantes, ou bien une configuration des paramètres d’impression différentes, ainsi le système d’exploitation doit redéfinir le document avec éventuellement une nouvelle mise en page.

Pour configurer l’impression, et optimiser les paramètres selon le type de L’imprimante, à aiguille, à jet d’encre ou laser (avec le module « imprimante »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule IMPRIMANTE

CLIC-DROIT sur l’icône de l’imprimanteChoisir PROPRIETES dans le menu contextuel

Onglet GENERAL pour intercaler une page de séparation entre différents documents…Onglet DETAILS pour configurer le port et le pilote…Onglet PAPIER pour le FORMAT A4 et l’orientation PORTRAIT…Onglet GESTION DES COULEUR pour configurer les couleurs et la résolution…Onglet CONFIGURATION pour connaître la taille de la mémoire TAMPON de l’imprimante et déterminer la qualité de l’impression…

Pour imprimer plusieurs documents en une seule fois à l’aide d’un fichier SPOULEUR (avec le module « imprimante »)


CLIC-DROIT sur l’icône de l’imprimanteChoisir PROPRIETES dans le menu contextuelOnglet DETAILSDans le champ IMPRIMER VERS changer le port LTP1 au profit de FILE (fichier en anglais)

Pour envoyer tous les fichiers à imprimer vers le fichier SPOULEUR qui contient les commandes pour lancer l’impression, procéder de la même façon FICHIER/IMPRIMER

Avant d’imprimer tous les documents il convient de redéfinir le port LTP1 dans les paramètres de l’imprimante…

Les fichiers du SPOULEUR sont tous élaborés de la même façon :

EMF________.TMP

L’interface GDI (Graphique Device Interface) produit les informations EMF (Enhanced Metafile Spooling).

Pour éviter un problème de SPOULEUR, imprimer directement sur L’imprimante, et régler un problème d’impression d’images (avec le module « imprimante »)


CLIC-DROIT sur l’icône de l’imprimanteChoisir PROPRIETES dans le menu contextuelOnglet DETAILS


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Bouton PARAMETRES DU SPOULEURActiver l’option IMPRIMER DIRECTEMENT SUR L’IMPRIMANTE

L’option .RAW en remplacement de .EMF permet parfois de régler les problèmes d’impression des images…

Pour connaître l’état d’avancement des impressions en cours avec le gestionnaire d’impression et éventuellement purger la file d’attente (avec le module « imprimante »)


DOUBLE CLIC sur l’icône de l’imprimanteFICHIER/PURGER LES DOCUMENTS D’IMPRESSION pour supprimer toutes les impressions en cours

Pour imprimer un fichier sans ouvrir son application associée (avec un raccourcis de l’imprimante sur le bureau)

Créer un raccourci de l’icône de l’imprimante sur le bureauSélectionner le fichier à imprimer et le GLISSER DEPLACER sur l’icône de l’imprimante

Pour ajouter l’icône de l’imprimante comme destination dans envoyer vers du menu contextuel d’un fichier (avec C:\WINDOWS\SendTo)

Ouvrir le dossier suivant dans l’EXPLORATEUR :

C:\WINDOWS\SendTo

Glisser déplacer dans ce dossier un raccourci de l’icône de l’imprimante du module imprimante du PANNEAU de CONFIGURATION

Pour imprimer un document dans l’EXPLORATEUR ou sur le bureauSélectionner le document avec le CLIC-DROITChoisir ENVOYER VERS/IMPRIMANTE

Pour faire apparaître l’imprimante dans la boite de dialogue d’impression d’une application, il faut que le fichier .INF correspondant au pilote de l’imprimante figure dans le dossier C:\WINDOWS\INF. Si le pilote ne s’y trouve pas, il est possible de le localiser dans le REGISTRE (avec REGEDIT)


Ouvrir la clef suivante :HKEY_LOCAL_MACHINE/SYSTEM/CURRENTCONTROLSET/SERVICES/CLASS/PRINTER

Sélectionner l’entrée INFPATH dans le volet de gaucheLire le nom du fichier dans le volet de droiteSi le fichier n’apparaît pas, il faut réinstaller le pilote

Le fichier PRTUPD.INF est aussi indispensable et se trouve sur le CDROM D’INSTALLATION WINDOWS 98 et dans le répertoire :

C:\WINDOWS\INF

Les lecteurs de CDROM et les lecteurs de DVD


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La capacité des lecteurs de DVD est beaucoup plus importante que celle des lecteurs de CDROM

La capacité des lecteurs de DVD est beaucoup plus importante que celle des lecteurs de CDROM.

Le lecteur de DVD (Digital Versatile Disk) enregistre les données de l’intérieur vers l’extérieur en spirale et nécessite un laser plus fin que celui d’un CDROM. Un disque CDROM peut emmagasiner jusqu’à 650, voir 700 MEGA OCTETS tandis qu’un DVD peut recevoir jusqu’à 17 GIGA OCTETS sur les deux faces et sur deux couches.

La vitesse du lecteur est une caractéristique importante parce qu’elle détermine la vitesse de lecture et d’accès aux informations contenues sur le support. La vitesse des lecteurs s’échelonne de 2x à 40x.

Le scanner

Le scanner permet d’importer et de numériser du texte comme des images

Le scanner permet d’importer et de numériser du texte comme des images.

La propreté du verre et la faible luminosité extérieure sont très importantes pour la qualité de la numérisation.

Les scanners utilisent principalement l’interface TWAIN pour transmettre les données numérisées.

Le niveau de détail de 300 dpi (Dots Per Inch) est largement suffisant et raisonnablement volumineux.

Un scanner allié à une imprimante forment ensemble une photocopieuse…

Le modem

Le modem permet de communiquer avec l’extérieur et de se connecter aux réseaux

Le modem permet de communiquer des informations sur des réseaux.

Le modem est la contraction de MOdulateur et de DEModulateur.Les données traitées dans l’ordinateur sont digitales (ZERO ou UN) et ont besoin d’être transformées en analogique (des courbes de fréquences) pour circuler sur les câbles téléphoniques. Ainsi, les données numériques sont modulées pour sortir de l’ordinateur et démodulées pour rentrer dans un autre ordinateur.

Les modems se présentent de différentes manières :

Le modem interne avec une carte d’extension placée sur la carte mère.Le modem externe avec un boîtier connecté au port série ou au port USB.Le modem PC CARD, qui prend la forme d’une carte PCMCIA pour les portables.

Le standard V.34+ permet un taux de transfert de 33 600 bps (Bit Per Seconde), tandis que le standard V.90 roule à un maximum de 56 000 bps.

Les dernières version des pilotes des modems compatibles avec la machine et le système d’exploitation sont généralement disponibles sur le site INTERNET des constructeurs.

Les modems sont configurés et pilotés par un jeu d’instruction comme les commandes AT compatibles HAYES, l’inventeur de la Modulation et de la Démodulation. Les communications entre modems sont régies par le pilote universel UNIMODEM.DLL qui envoi une chaîne d’initialisation.

Deux fichiers sont indispensables à la communication entre modem et se trouvent dans le répertoire :

C:\WINDOWS\SYSTEM\COMM.DRVC:\WINDOWS\SYSTEM\ SERIAL.VXD

Les informations relatives à la configuration du ou des modems sont enregistrées dans la base de registre:


164

HKEY_LOCAL_MACHINE\System\CurrentControlSet\Services\Class\Modem\0000

Pour installer un nouveau modem connecté au port série (avec le module « modems »)

Brancher le modem et allumer l’ordinateur…

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule MODEMS

Cliquer sur le bouton AJOUTER et suivre les instructions de l’assistant d’installation qui vérifie les ports pour détecter le modem…

Ou cliquer sur le bouton MODIFIER pour choisir dans la liste des constructeurs le modèle de modemOu cliquer sur le bouton disquette FOURNIE… pour sélectionner le pilote du modem à partir d’une disquette ou d’un CDROMOu sélectionner un pilote générique dans la liste des modems standards…

Pour vérifier la configuration du modem, la vitesse de transfert, les tampons, le contrôle d’erreurs, la compression des données, le journal de connexion et l’éventuelle chaîne d’initialisation supplémentaire (avec le module « modems »)


Onglet GENERALSélectionner le modem s’il en existe plusieurs…Cliquer sur le bouton PROPRIETES

Onglet GENERAL pour ajuster LA VITESSE MAXIMALE

Onglet connexionCliquer sur le bouton PARAMETRES DU PORT pour ajuster les tampons de réception et d’émission qui stockent les donnéesOption UTILISER LES TAMPONS FIFO et le module UART 16 650 qui converti les données entrantes séquentielles en un flux parallèle de 16 bits

Onglet connexionCliquer sur le bouton AVANCESOption UTILISER LE CONTROLE D’ERREURS pour corriger les erreurs éventuelles de transmissionOption COMPRESSER LES DONNEES pour compresser les données sortantes et décompresser les données entrantesOption UTILISER LE CONTROLE de FLUX avec l’option MATERIEL si le câble du modem prend en charge RTS et CTS, sinon l’option LOGICIELOption AJOUTER AU JOURNAL pour mémoriser l’état de chaque connexion dans le fichier modem.TXT ou le fichier .LOG du constructeur du modemDans le champ PARAMETRES SUPPLEMENTAIRES il est possible de saisir une chaîne d’initialisation particulière…

Pour effectuer un diagnostic du modem ou connaître la version du pilote et celle du module UART (avec le module « modems »)

Brancher et allumer le modem

DEMARRER/PARAMETRES


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PANNEAU de CONFIGURATIONModule MODEMS

Onglet DIAGNOSTICSélectionner le port de communication comme COM 1Bouton INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES pour effectuer un test de communication avec le port sélectionné et affiche la version UART et l’interruption IRQBouton PILOTE affiche la version du pilote du modem

Pour modifier le délais d’attente dans le REGISTRE afin qu’un modem de type PCMCIA ne soit pas affecté par la fonction de gestion des économies d’énergie (avec REGEDIT)


Sélectionner la clef suivante :HKEY_LOCAL_MACHINE/SYSTEM/CURRENTCONTROLSET/SERVICES/CLASS/MODEM

CLIC-DROIT sur l’entrée modem du volet de gaucheChoisir dans le menu contextuel NOUVEAU/VALEUR DWORDDans le volet droit, renommer l’entrée « ConfigDelay »Valider

CLIC-DROIT sur la nouvelle entréeChoisir MODIFIER dans le menu contextuelAttribuer la valeur décimale 3000 pour trois secondes…

Les haut-parleurs

Les haut-parleurs permettent d’écouter la musique des CDs, des sites INTERNET et des jeux

Un haut-parleur est toujours présent sur les PC, mais c’est un haut-parleur minimum qui permet d’entendre les bips qui signalent les types d’erreurs lors du démarrage…

Mais, il est souvent intéressant de disposer de véritables haut-parleurs pour bénéficier d’une qualité sonore haute fidélité…Pour cela, il faut une carte son « compatible SOUND BLASTER PRO » et des haut-parleurs intégrés ou externes qui offrent de meilleures vibrations.

Le son est de bien meilleure qualité quand les enceintes sont extérieures et ne provoquent pas des distorsions du champ électromagnétiques du tube à électrons du moniteur ce qui modifierait l’image ; aussi est-il toujours préférable de positionner les enceintes à au moins 50 centimètres de l’écran. Le son SURROUND est très spectaculaire car il s’entend de toute part et entoure les auditeurs.

Les haut-parleurs actifs sont munis de leurs propres amplificateurs et se raccordent toujours à la carte son via le port LINE OUT.

Les haut-parleurs passifs se raccordent sur le port SPK (SPeaKer out) et sont alimentés par l’amplificateur intégré à la carte son.

Le moniteur

Le moniteur, plus c’est grand et plus c’est confortable

Le moniteur c’est l’écran qui affiche l’interface texte ou le bureau. Plus la taille du moniteur est grande et plus le confort de lecture est agréable (il n’est pas nécessaire d’imprimer un texte pour ne pas se faire mal au yeux.

Les paramètres importants concernant l’affichage et les moniteurs sont les suivant :


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La taille, exprimée en pouces et mesurant la diagonale (15, 17, 19, et jusqu’à 25 pouces)La résolution (800x600, 1024x768, 1280x1024, 1600x1200)La fréquence de rafraîchissement, qui indique combien de fois chaque pixel de l’écran est régénéré (75 MHz)Le PITCH, qui correspond à l’espace entre chaque pixelLe nombre de couleurs (de 256 à 16 millions)

Pour configurer les propriétés de l’affichage (avec le module « affichage »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule AFFICHAGEOnglet PARAMETRES et le bouton AVANCES

La souris

Les souris ont de plus en plus de boutons

Sur les PC, la souris comporte deux boutons avec lesquels l’utilisateur produit un simple clic ou un double clic :

Les clics gauches pour sélectionnerLes clics droit pour afficher le menu contextuel de l’objet sélectionnéLe double clic pour ouvrir un fichier dans son application associée ou pour lancer un programme. le double clic lance la commande attribuée par défaut à un type de fichier (cette commande s’affiche en gras dans le menu contextuel)

Les souris modernes sont dotées parfois d’une petite roulette entre les deux boutons laquelle permet de faire défiler un texte sans avoir à bouger la souris, ce qui est très utile pour parcourir les textes longs ainsi que les sites INTERNET dont la mise en page dépasse la capacité de l’écran.

Les capteurs des souris s’encrassent et doivent être nettoyés régulièrement en enlevant le capot sous la souris et en dépoussiérant la boule et l’intérieur…

Les disquettes

Les disquettes permettent de stocker des données sur un support amovible

Les disquettes permettent de stocker et de transporter des données sur un support amovible et distinct de l’ordinateur.

Une disquette est essentiellement constituée d’une feuille en plastique recouverte d’une couche magnétique, un mince disque de MYLAR de 5.25 ou de 3.5 pouces de diamètre. Le diamètre d’une disquette se mesure en pouce et un pouce est égal 2.54 centimètres.

Les disquettes sont magnétisées sur les deux faces, c’est pourquoi on les appèle des disquettes à double face (FF, DF et 2F). Les disquettes à simple face n’existe plus, tout comme les disquettes à simple densité.

Les disquettes peuvent être classées selon leur diamètre et leur type de densité, ce qui détermine leur capacité :

La capacité des disquettesDouble Densité (DD) Haute Densité (HD)

Disquette de 5 pouces ¼ 360 Ko des PC XT 8088 et 808640 pistes de 9 secteurs

1.2 Mo des PC AT 8028680 piste de 15 secteurs

Disquette de 3 pouces ½ 720 Ko80 pistes de 9 secteurs

1.44 Mo des PC AT 80286, 80386 et 80486

80 pistes de 18 secteurs


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Une disquette n’est pas constituée d’un unique sillon en spirale qui part de la périphérie vers le centre, comme les disques vynil des 33 et 45 tours qui permettent d’écouter de la musique. Au contraire, une disquette est constituée de pistes concentriques sur chaque face.

Le support magnétique d’une disquette est organisé pendant la procédure de formatage qui inscrit le tracé des pistes (track en anglais) et des secteurs. Il y a sur une disquette 40 ou 80 pistes, et chacune de ces pistes est divisée en secteurs (9, 15 ou 18 secteurs selon les types de disquettes), la capacité d’un secteur est toujours de 512 Octets.

La piste de départ est la piste ZERO proche de la périphérie, la dernière piste est la piste 79 proche du centre.

Les disquettes de 3.5 pouces de 1.44 Mo ont conquis le marché

Mieux protégée contre la poussière grâce à son volet métallique et contre les chocs grâce à son boîtier, la disquette 31/2 s’est imposée comme le standard du marché.

La disquette possède un volet d’interdiction d’écriture qui, quand il est ouvert (quand on peut voir au travers) interdit l’écriture (mais permet toujours la lecture), et quand il est fermé permet la lecture et l’écriture.

La deuxième fenêtre indique, quand elle est percée, qu’il s’agit d’une disquette de grande capacité, c’est à dire de 1.44 Méga Octets, c’est la grande majorité des cas de nos jours. Quand cette fenêtre est fermée, cela signifie qu’il s’agit d’une disquette de 720 Kilo Octets.

Pour être utilisable une disquette vierge (comme toute autre unité de disque) doit être formatée.Le formatage consiste à graver sur le support les pistes qui recueillera les données.

Les disquettes doivent rester à l’abris des aimants ou de toutes autres sources magnétiques, de la lumière, de la chaleur, de la poussière et des traces de doigts…


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LES SAVOIR-FAIRE

Rechercher

Les fichiers dont les attributs cachés et systèmes sont actifs n’apparaissent pas avec les paramètres par défaut de l’EXPLORATEUR

Les fichiers dont les attributs sont cachés, ou les fichiers systèmes ne sont pas détectés par une recherche dans l’EXPLORATEUR.

Pour créer une icône sur le bureau mémorisant les critères d’un modèle de recherche (avec DEMARRER)

DEMARRER/RECHERCHERFICHIERS OU DOSSIERSDéfinir les critères de rechercheDans OPTIONS désactiver ENREGISTRER LES RESULTATSDans fichier choisir ENREGISTRER LA RECHERCHE

Copier

Pour copier le contenu de la fenêtre active ou faire une capture d’écran (avec la touche IMPR.ECRAN)

Pour copier une image de la fenêtre actuellement active, appuyez sur les touches ALT+IMPR.ÉCRAN.Pour copier une image de l'écran tout entier, appuyez sur la touche IMPR.ÉCRAN. Pour coller l'image dans un document, cliquez dans le menu EDITION de la fenêtre du document sur la commande COLLER.

Pour mettre à jour des fichiers provenant de différentes sources (avec le PORTE DOCUMENT)

Le PORTE DOCUMENT permet de gérer des documents stockés sur différents supports, avec des dates différentes et des contenus différents. Le PORTE DOCUMENT permet d’actualiser ou de mettre à jour des documents qui ont été travaillés à différents moments et/ou sur différents ordinateurs.

Nommer

Les règles de nomage des fichiers sont strictes

WINDOWS 98 accepte les noms de fichier de 254 caractères ( y sont compris le point, les trois lettres ou signes d’extension du fichier, et le zéro final…

Les caractères interdit dans le nom d’un fichier sont les suivant :

\, », /, *, ?, ,, <, >, |

De préférence, il vaut mieux utiliser l’alphabet anglo-saxon, et ne renommer ou ne déplacer que les fichiers que vous avez vous-même créés.

Les extensions de fichier indiquent un type de fichier et elles correspondent aux applications qui permettent de les ouvrir et de les modifier.

Afficher

Le mode d’affichage « CLASSIQUE » s’oppose au mode d’affichage « WEB »

En mode d’affichage « CLASSIQUE », qui est le mode par défaut, la sélection d’un objet, d’un bouton, d’une icône ou d’un fichier s’effectue par défaut avec le clic gauche de la souris. Il est possible pour les gauchers


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d’inverser les fonctions attribuées aux boutons de la souris avec le module « souris » du panneau de configuration.

En mode d’affichage « WEB », la sélection d’un objet est effectuée en positionnant le curseur de la souris sur l’objet. Le mode d’affichage « WEB » divise par deux le nombre de clics de l’utilisateur.

Pour passer en mode d’affichage « WEB » afin de sélectionner un fichier en positionnant simplement le curseur de la souris dessus et afin de lancer la commande par défaut avec un seul clic (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEURAFFICHAGE/OPTIONS DES DOSSIERSOnglet GENERALOption PERSONNALISER A PARTIR de VOS PARAMETRESBouton PARAMETRESOption OUVERTURE D’UN ELEMENT PAR SIMPLE CLIC

Sélectionner

Pour sélectionner plusieurs fichiers consécutifs (avec la touche MAJ)

Maintenir appuyer la touche MAJCLIQUER sur le dernier élément de la liste ou actionner les flèches de direction……

Pour sélectionner plusieurs fichiers un par un (avec la touche CTRL)

Sélectionner un premier fichierMaintenir appuyée la touche CTRLCLIQUER sur le deuxième fichier etc.…

OUVRIR AVEC…

La commande OUVRIR AVEC… qui se trouve dans le menu contextuel permet d’ouvrir un fichier en choisissant l’application. La commande OUVRIR AVEC…se présente après un double clic sur un fichier qui n’est pas associé à une application, ou après un clic droit sur un fichier tout en maintenant la touche MAJ.

La boite de dialogue qui permet de choisir une application propose l’option TOUJOURS UTILISER CE PROGRAMME POUR OUVRIR CE fichier qui si elle est activée implique l’association durable et générale entre ce type de fichier et l’application sélectionnée, l’association s’appliquera à tous les fichiers du même type.

Pour ouvrir un document avec une autre application que celle qui est définie par défaut dans les paramètres du type de fichier, il faut OUVRIR AVEC…(avec un clic droit et la touche MAJ)

Dans l’EXPLORATEUR sélectionner un fichier avec un CLIC-DROIT et simultanément en appuyant sur la touche MAJ

OUVRIR AVEC…dans le menu contextuelSélectionner une application pour lire le fichierOK

Désinstaller

L’accumulation des applications inutiles impose de les désinstaller régulièrement

Toutes les applications installées sur une machine ne sont pas forcément indispensables, certaines au fil des essais sont même inutiles et peuvent permettre de gagner le l’espace sur le disque dur, d’autres sont peu fiables pour la stabilité du système et requière la désinstallation immédiate.


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Avant de désinstaller n’importe quel programme, il convient de s’assurer de fermer toutes les applications actives.

Souvent les programmes sont installés et désinstallés sur un ordinateur via un « ASSISTANT » qui vérifie certains paramètres et conserve les différents emplacements des fichiers installés.

De nombreux logiciels utilisent le même programme pour l’installation et la désinstallation de l’application :

INSTALLSHIELD

Certains logiciels, comme les antivirus, créent dans la clef RUN du registre une commande de lancement automatique au démarrage du système d’exploitation. En supprimant une entrée dans le volet de droite, le programme ne sera pas lancer automatiquement au démarrage

HKEY_LOCAL_MACHINE/SOFTWARE/MICROSOFT/WINDOWS/CURRENTVERSION/RUN

Les commandes de lancement des routines de désinstallation sont en parties situées dans le REGISTRE dans la clef suivante :

HKEY_LOCAL_MACHINE/SOFTWARE/MICROSOFT/WINDOWS/CURRENTVERSION/UNINSTALL

Parfois, le compteur des applications des programmes partagés par plusieurs applications est à zéro ; dans ce cas, et s’il n’y a pas d’incertitude pour l’assistant de désinstallation, alors le programme partagé est supprimé ; par contre, lorsqu’une incertitude persiste, l’assistant propose, soit de conserver le fichier, soit de le supprimer. Les entrées de fichiers partagés se trouvent dans la clef du registre suivante :

HKEY_LOCAL_MACHINE/SOFTWARE/MICROSOFT/WINDOWS/CURRENTVERSION/SHAREDDLLS

Beaucoup de fichiers, dont il est impossible de déterminer la provenance, se retrouvent dans les répertoires stratégiques de WINDOWS :

C:\WINDOWSC:\WINDOWS\SYSTEM

Souvent, l’assistant de désinstallation supprime bien les fichiers mais laisse le dossier qui les contenait, aussi est-il nécessaire de détruire ces dossiers manuellement avec l’EXPLORATEUR.

Les applications 16 bits conçues pou WINDOWS 3.x ne peuvent être désinstallées avec l’assistant de désinstallation ; ces applications 16 bits utilisent les fichiers WIN.INI et SYSTEM.INI pour gérer leur configuration.

Après une désinstallation, il peut-être utile de réaliser une DEFRAGMENTATION afin de réorganiser le disque dur.

Pour connaître les applications actives à un moment donné (avec les touches CTRL + ALT + SUPPR)

Appuyer simultanément sur les touches CTRL + ALT + SUPPR

Pour visualiser les applications 32 bits installées sur l’ordinateur et les désinstaller proprement (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONAJOUT&SUPPRESSION de PROGRAMMESOnglet INSTALLATION&DESINSTALLATION permet de visualiser et de désinstaller les logiciels 32 bits inscrits dans le registreSélectionner l’application à désinstaller


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Cliquer sur le bouton AJOUTER&SUPPRIMERSuivre les instructions de l’assistant de désinstallation…

Pour désinstaller les applications 16 bits (avec C:\WINDOWS et C:\WINDOWS\SYSTEM)

Dans un premier temps :

Ouvrir l’EXPLORATEURSélectionner le dossier de l’application à désinstallerSupprimer le dossier et les fichiers qu’il contient avec la touche SUPPR ou la commande SUPPRIMER du menu contextuel.

Dans un deuxième temps :

Ensuite, il existe peut-être des fichiers de l’application munis de l’extension .INI qu’il faut supprimer dans le dossier :

C:\WINDOWS\nom_de_l’application.INI

Dans un troisième temps :

Enfin, il faut avec l’utilitaire de configuration système MSCONFIG supprimer manuellement les entrées qui demeurent dans les fichiers systèmes :

WIN.INISYSTEM.INI

DEMARRER/EXECUTERSaisir « msconfig »

Dans les onglets SYSTEM.INI et WIN.INI développer les rubriques en cliquant sur le + correspondant à l’application à désinstaller, puis désactiver les options cochées

Bouton APPLIQUEROK

Dans un quatrième temps :

Redémarrer l’ordinateur pour que les changements soient pris en compte…

En désactivant une entrée dans MSCONFIG, l’utilitaire de configuration système change le fichier texte en plaçant un point virgule devant la ligne pour empêcher son exécution, et une remarque « rem Tshoot » indiquant que c’est l’utilitaire MSCONFIG qui a effectuer ses modifications. Il est possible d’effectuer ces modification directement dans les fichiers SYSTEM.INI et WIN.INI du répertoire C:\WINDOWS.

Nettoyer

La gestion de l’espace disponible sur le disque dur est cruciale

Le système d’exploitation WINDOWS occupe entre 170 et 300 MEGA OCTETS pour seulement le noyau système et ses composants.

L’espace du disque dur est occupé par de nombreux autres fichiers et programmes, parmi les autres programmes installés, il faut compter sur les logiciels des suites bureautiques (comme MICROSOFT OFFICE), les logiciels de jeux très gourmands, et les sites WEB stockés sur le disque dur, cela fait déjà beaucoup d’espace à consacrer aux applications pour être en mesure de commencer à travailler…

De nombreux fichiers s’accumulent sur le disque dur dans les répertoires suivants :


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Les fichiers temporaires (C:\WINDOWS\TEMP)Les fichiers temporaires d’INTERNET (C:\WINDOWS\TEMPORARY INTERNET FILES)Les fichiers de la CORBEILLE (C:\RECYCLED)Les fichiers téléchargés (Cookies, ACTIVE X et JAVA…)

Pour connaître l’espace libre sur les lecteurs du disques dur (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEUR ou LE POSTE de TRAVAILSélectionner les lecteurs en maintenant la touche CTRL ou sélectionner les icônes représentants les lecteurs en déplaçant le pointeur de la souris maintenue sur le clic gaucheCLIC-DROIT sur l’ensemble sélectionnéDans le menu contextuel choisir PROPRIETES

Pour nettoyer les fichiers temporaires, les fichiers temporaires d’INTERNET, les fichiers de la CORBEILLE et les fichiers téléchargés (avec le POSTE de TRAVAIL)

Ouvrir l’EXPLORATEUR au niveau du poste de travailSélectionner le lecteur à nettoyer

CLIC-DROIT pour afficher le menu contextuelCommande PROPRIETESBouton NETTOYAGE DU DISQUESous la rubrique FICHIERS A SUPPRIMER sélectionner les options à supprimées correspondant aux répertoires précitésOKOUIOK

Pour nettoyer les fichiers temporaires, les fichiers temporaires d’INTERNET, les fichiers de la CORBEILLE et les fichiers téléchargés (avec l’utilitaire de NETTOYAGE de DISQUE)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEMES/NETTOYAGE de DISQUE

Sélectionner le lecteur à nettoyerOKOnglet NETTOYAGE de DISQUESous la rubrique FICHIERS A SUPPRIMERSélectionner les options souhaitéesOKOUI

Pour faire apparaître une boite de dialogue qui propose de nettoyer automatiquement le disque quand l’espace atteint une certaine limite (avec l’utilitaire de NETTOYAGE de DISQUE)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEMES/NETTOYAGE de DISQUE

Sélectionner le lecteur à nettoyerOKOnglet PARAMETRESOption NETTOYER AUTOMATIQUEMENT LE DISQUE SI L’ESPACE DISPONIBLE DEVIENT FAIBLEOK

Formater


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Formater un lecteur permet de tout effacer et recommencer à zéro

Le formatage d’une disquette ou d’un lecteur permet d’effacer toutes les données contenues sur une disquette ou sur un lecteur. Le formatage peut s’opérer dans l’interface MS-DOS avec le programme FORMAT, ou dans l’interface de WINDOWS.

Le formatage peut être simple (rapide) ou complet :Le formatage simple permet de supprimer seulement les noms et les adresses des fichiers contenus dans l’index de la FAT (table d’allocation des fichiers), les fichiers en eux-mêmes ne sont pas supprimés, mais seulement la liste qui les répertorie et qui permet de les retrouver…Dans ce cas une nouvelle FAT vierge est constituée.Le formatage complet supprime non seulement la FAT en la reconstituant, mais aussi tous les fichiers…

Pour formater une disquette ou un lecteur (avec le POSTE de TRAVAIL)

Ouvrir l’EXPLORATEUR ou le POSTE de TRAVAIL :

A:\ et B:\ pour les lecteurs de disquettes 3½ poucesC:\ pour la partition active de la partition primaire qui contient obligatoirement les fichiers d’amorçage pour démarrer et qui contient très souvent les fichiers systèmes pour lancer le système d’exploitation.

D:\, E:\ etc.… pour les partitions logiques de la partition élargie

X:\ pour la dernière lettres disponibles et qui échoue au lecteur de CDROM

CLIC-DROIT sur le lecteur à formaterChoisir la commande formater dans le menu contextuel

Pour effectuer un formatage rapide et n’effacer que la table d’allocation des fichiers (avec le POSTE de TRAVAIL)

Ouvrir l’EXPLORATEUR ou le POSTE de TRAVAIL

CLIC-DROIT sur le lecteur ou la partition à formaterformaterChoisir dans la zone TYPE de FORMATAGE l’option RAPIDE, alors les données peuvent être récupérées avec des utilitaires comme DISKEDIT de NORTON UTILITIES de SYMENTEC ou NUTS&BLOTS de MCAFEE NETWORK ASSOCIATESCliquer sur DEMARRER

Pour formater une disquette (avec l’EXPLORATEUR)


Vérifier si LA PROTECTION EN ECRITURE de la disquette laisse passer la lumière afin de pouvoir écrire sur la disquette.


Placer la disquette dans le lecteur de disquette :

A:\


Ouvrir l’EXPLORATEUR ou le POSTE de TRAVAILCLIC-DROIT sur le lecteur A:\ de disquettes


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Choisir la commande formaterOption COMPLET pour remplacer les données par le nombre hexadécimal « F6 »…Option AFFICHER LE RESUMER UNE FOIS TERMINER pour connaître éventuellement le nombre de secteurs défectueux, si c’est le cas, jetez la disquette…

DEMARRER pour lancer la procédure de formatage, alors une copie de la FAT est effectuée à la fin de la disquette, puis WINDOWS vérifie si aucun secteur n’est défectueux et attribue automatiquement aux support de données une identification cryptée sous la forme d’un nombre aléatoire qui prend la place du nom de volume quand il n’a pas été rempli…

Pour créer une disquette système (avec L’EXPLORATEUR)

Une disquette système contient les fichiers systèmes suivants :

IO.SYSMSDOS.SYSDRVSPACE.BINCOMMAND.COM

La disquette système n’est pas remplie au maximum et pourrait contenir d’autres fichiers…

Placer une disquette dans le lecteur A:\ et vérifier si LA PROTECTION EN ECRITURE laisse passer la lumière...

Ouvrir l’EXPLORATEUR ou LE POSTE de TRAVAILCLIC-DROIT sur le lecteur A:\ de disquettesOption copier LES fichiers SYSTEMESDEMARRER

Personnaliser

Pour attribuer au lecteur de CDROM une lettre qui ne dépende pas du nombre de lecteurs installés (avec le module « système »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONDOUBLE CLIC sur le module SYSTEME

Ou CLIC-DROIT sur l’icône POSTE de TRAVAILPROPRIETES

Puis onglet GESTIONNAIRE de PÉRIPHÉRIQUESOuvrir la branche consacrée au CDROMDOUBLE CLIC sur la commande du lecteur de CDROM ou un CLIC-DROIT suivi de PROPRIETESOnglet PARAMETRESSous la rubrique LETTRES de LECTEUR RESERVEES sélectionner les lettres de l’intervalle qui sera réservé au lecteur de CDROM

REDEMARRER

Pour affecter dans le REGISTRE les routines d’installation de WINDOWS avec la nouvelle lettre du lecteur de CDROM (avec l’entrée « SourcePath »)



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Ouvrir la clef HKEY_LOCAL_MACHINESOFTWARE / MICROSOFT / WINDOWSCURRENT VERSION / SETUPDans le volet de droite DOUBLE CLIC sur la chaîne SOURCE PATHDans la boite de dialogue MODIFICATION de la CHAINE saisir la lettre du lecteur de CDROM

Défragmenter

Défragmenter le lecteur d’un disque dur permet d’accélérer l’accès aux données qui y sont stockées

Le disque dur est composé de plateaux (des disques) qui sont lisibles recto verso et qui sont divisés en secteurs, lesquels sont organisés en grappes (clusters) qui contiennent selon le type d’organisation choisie un certain nombre d’octet de stockage. Les caractéristiques d’un disque dur, outre le nombre de tour minute des disques et la vitesse d’accès, dépendent du système de fichier FAT 16 ou 32 (File Allocation Table ), NTFS (pour la sécurité des données gérées avec WINDOWS NT)…

Tous les fichiers sont enregistrés sur le disque dur. Avec l’utilisation de nombreux logiciels et de nombreux documents, les fichiers sont lus sur le disque dur (ROM)et chargé en mémoire vive (RAM) afin d’être utilisés et traités par le processeur, puis ils sont restitués à l’unité de stockage. Ces différents et nombreux va et vient instaurent un morcellement des données, c’est à dire que les blocs de données constituant un fichier sont dispersés ici et là.

Quand un fichier, qui est composé de plusieurs blocs, est appelé en mémoire, la lecture de ses différents blocs prend du temps et use les têtes de lecture et d’écriture du disque dur. Les performances d’accès aux informations stockées sur le disque dur périclitent avec le temps, aussi est-il souhaitable de réunir les blocs qui constituent un seul fichier en un seul endroit : c’est le mécanisme de défragmentation.

Certains types de fichiers ne sont pas concerné par la défragmentation, comme les fichiers CVF (Compressed Volume File) qui sont les fichiers enregistrés dans un lecteur compressé, il en est de même pour les fichiers qui possèdent l’attribut LECTURE SEULE, SYSTEME ou CACHE.

Avant de lancer une défragmentation, il faut s’assurer qu’aucun programme ne fonctionne (même un anti-virus qui tourne en arrière plan), et qu’aucune écriture n’est réalisée sur le disque dur sinon le processus de défragmentation recommence depuis le début à chaque écriture….

De nombreux outils de gestion de disque comme NORTON permettent d’effectuer les défragmentations…

Pour défragmenter un lecteur du disque dur (avec l’EXPLORATEUR)

Ouvrir l’EXPLORATEURClic droit sur le lecteur C:\, D:\, E:\…PROPRIETESOnglet OUTILSBouton défragmenter

Pour défragmenter un lecteur du disque dur (avec DEMARRER)

DEMARRER/PROGRAMMESACCESSOIRES/OUTILS SYSTEMEDEFRAGMENTEUR de DISQUE

Pour défragmenter un lecteur du disque dur (avec l’ASSISTANT de MAINTENANCE)

DEMARRER/PROGRAMMESACCESSOIRES/OUTILS SYSTEMEASSISTANT de MAINTENANCE qui effectue trois opérations de maintenance du disque dur :

Un SCANDISK


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Un NETTOYAGE des fichiers temporairesUne DEFRAGMENTATION du ou des lecteurs du disque dur

Pour défragmenter un lecteur du disque dur (avec DEFRAG)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « defrag_/all » pour lancer le programme de défragmentation sur tous les lecteurs

Scanner

Scanner un disque dur permet de vérifier son état

Scanner un disque dur régulièrement permet de vérifier la surface et d’en corriger les erreurs, d’effectuer des tests d’écriture et de lecture, de vérifier les zones de stockage des fichiers systèmes, de vérifier les nom de fichiers, bref d’entretenir le disque dur et d’en assurer la pérennité.

Le programme de WINDOWS qui scanne le disque dur se trouve dans le répertoire suivant :

C:\WINDOWS\COMMAND\SCANDISK.EXE

Un autre outil appelé DISKMINDER de NUTS & BOLTS est un outil de diagnostic de disque dur et est téléchargeable sur le site :

http://www.mcafee.com

Des outils appelés WINDOCTOR, NORTON CRASH GUARD, ANTI-FREEZE sont disponibles dans les fameux NORTON UTILITIES…

Pour lancer SCANDISK (avec DEMARRER)

DEMARRER/PROGRAMMESACCESSOIRES/OUTILS SYSTEMESCANDISK

Choisir l’option type d’analyse MINUTIEUSE afin de vérifier la surface du disque dur et valider l’option CORRIGER AUTOMATIQUEMENT LES ERREURS

Bouton OPTIONS pour vérifier les ZONES SYSTEMES ET de DONNEES et permettre d’EFFECTUER LE TEST D’ECRITURE qui sur chaque CLUSTER effectue une opération d’écriture et de lecture pour vérifier si le CLUSTER n’est pas endommagé

Bouton AVANCES pour configurer le comportement de SCANDISK, par exemple la vérification des noms en doubles prend beaucoup plus de temps et risque de supprimer un même fichier enregistré dans des dossiers différents

Partitionner

Partitionner l’espace d’un disque dur permet de cloisonner des zones et de séparer les données qui y sont stockées

FDISK est le programme de partitionnement de disque de WINDOWS.

L’utilitaire FDISK lancé sous MSDOS est un outil basic (mais suffisant) qui permet de diviser l’espace du disque dur en plusieurs partitions :

La PARTITION PRINCIPALEEt éventuellement une PARTITION ETENDUE qui peut contenir une ou plusieurs partitions :


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LECTEURS LOGIQUES

Au moins une partition doit être désignée comme étant la PARTITION ACTIVE, la PARTITION ACTIVE contient les fichiers d’amorçages qui permettent de lancer le système d’exploitation.

La première partition est dénommée C:\, les partitions suivantes sont dénommées par les lettres suivantes de l’alphabet.

A la suite de la création d’une partition ou d’un lecteur logique, il est possible de donner un nom à la partie du disque dur ainsi crée, le nom ainsi donné s’affichera dans l’EXPLORATEUR.

La suppression d’une partition ou d’un lecteur logique entraîne la suppression de la FAT et donc du système d’adressage des fichiers contenus à l’intérieur de cette partition ou de ce lecteur logique.

Il existe d’autres utilitaires de partitionnement :

PARTITION IT de QUATERDECKPARTITION MAGIC de POWERQUEST

Ces programmes de partitionnement ont l’avantage, par rapport à FDISK, outre de partitionner un disque dur à l’aide d’une interface graphique en couleur, de permettre de partitionner un disque sans reformater la table d’allocation des fichiers (la FAT) et de modifier la taille des partitions existantes (ce qui permet de changer la taille d’un ou de plusieurs lecteurs d’un disque dur, sans pour autant perdre toutes les informations qui y étaient stockées, et donc sans devoir sauvegarder ses fichiers, ni réinstaller les programmes…)

Le programme FDISK se trouve sur la disquette de démarrage de WINDOWS 98 et se lance au démarrage de l’ordinateur avec la disquette à l’intérieur de son lecteur (encore faut-il que le lecteur de disquette soit configuré dans le BIOS comme faisant partie de la BOOT SEQUENCE).

Avant de partitionner un disque dur, il est indispensable de déterminer le type de table d’allocation des fichiers (FAT) :

FAT 16FAT 32NTFS

Le type de FAT détermine la gestion de l’espace mémoire et la taille des clusters, c’est à dire la taille minimum de l’unité de stockage, c’est à dire l’espace minimum de mémoire qui sera consacré au stockage d’un fichier.

La gestion de disque de grande capacité, comme FAT 32, n’est gérée que par WINDOWS 98.

Le système de fichiers FAT 16 est quant à lui reconnue par tous les systèmes d’exploitation de MICROSOFT et permet les DUAL BOOT :

WIN 3.xWIN 95WIN 98WIN MEWIN NTWIN 2OOO…

Dans un DUAL BOOT, la partition active doit être formater en FAT 16 afin d’être lisible par les différents système d’exploitation.Les fichiers d’amorçage des différents systèmes d’exploitations ( WIN 95, WIN 98 ou WIN NT ) se trouvent sur la partition active en FAT 16. La procédure d’amorçage cherche et reconnaît la partition active et, dans le cas d’un DUAL BOOT affiche un menu de démarrage qui propose les différents systèmes d’exploitation installés. La partition active doit être en FAT 16 afin de pouvoir lire les fichiers d’amorçage des différents systèmes d’exploitation.


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Pour lancer l’utilitaire FDISK de partitionnement du disque dur (avec MS-DOS)


S’assurer que le lecteur de disquette (A:\) fait bien partie de la BOOT SEQUENCE du BIOS et qu’il se situe « en pôle position » par rapport aux autres lecteurs.


S’assurer du bon fonctionnement de la disquette de démarrage de WINDOWS 98, et s’assurer qu’elle contienne l’utilitaire FDISK.


Redémarrer l’ordinateur avec la disquette de démarrage dans le lecteurA l’invite du prompt de MSDOS indiquant le lecteur A:\

saisir « fdisk »

Maintenir

Maintenir, c’est entretenir un ordinateur, souvent fastidieux mais toujours rentable

A l’usage, un ordinateur a besoin d’entretient, et il faut prendre le temps de la toilette pour décrasser, dépoussiérer, détacher et débroussailler le clavier, l’écran, les ports, l’intérieur de la caisse, la souris et les fils électriques et les câbles réseaux. En effet, la chaleur du processeur, l’électricité statique du moniteur et des mémoires attirent inexorablement la poussière, les microbes et les acariens ; pareillement, l’obstination, la fatigue, l’énervement, l’impatience et la frustration attire immanquablement les tâches de café, les miettes de sandwichs et parfois les gouttes de transpiration…

Outre les dégradations physiques extérieurs, un ordinateur doit faire face à la désorganisation interne. En effet, avec le temps, les nombreux appels du système au disque dur, pour charger les applications ou pour enregistrer les documents, occasionnent de nombreux et successifs déplacement des fichiers. C’est la fragmentation du disque dur, les fichiers sont généralement enregistrés dans plusieurs clusters et progressivement ces clusters sont de plus en plus dispersés. Cette dispersion ralentie l’accès aux données et accroît la charge de travail et les déplacement des têtes de lecture du disque dur. C’est pourquoi, il faut régulièrement défragmenter le disque dur.

Par ailleurs, la navigation sur INTERNET accumule l’enregistrement des sites visités, des cookies etc.…

Enfin, la procédure d’installation de WINDOWS, comme celle d’autres applications, requière l’enregistrement de fichiers temporaires qu’il est possible de supprimer une fois l’installation terminée avec succès.

Il est nécessaire de procéder régulièrement à l’entretient du disque dur, ou autrement dit à sa maintenance :

Défragmenter les clustersNettoyer les fichiersScanner la surface du disque durEtc…

Ces trois opérations de maintenance peuvent être effectuées séparément ou ensemble avec l’ASSISTANT de MAINTENANCE.

Pour lancer l’ASSISTANT de MAINTENANCE (avec DEMARRER)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/ASSISTANT de MAINTENANCE

Sécuriser


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Les règles de sécurité sont les vertus de l’internaute : la rigueur, la régularité, la prudence, la discrétion et l’abstinence seuls peuvent contrecarrer la malveillance

Pour résumer :

Faire des doubles de ses fichiers, de ses programmes avec des copies de sauvegardePréserver son identité en utilisant des pseudonymesCoder ses documents et ses messages, crypter les informations qui transitent sur les réseauxFiltrer les accès avec des mots de passe confidentiels, compliqués et renouvelésTester systématiquement ce qui rentre et ce qui sort avec un anti-virus régulièrement mis à joursEffacer ses traces en nettoyant les listes d’historique…

SAUVEGARDER régulièrement et complètement les informations personnelles sur un support amovible comme des disquettes, des CDROM ou des lecteur ZIP externes.

CONSERVER ces données dans un lieu sûr, tant du point de vue des indiscrétions humaines que des catastrophes naturelles. Les caisses en plomb sont reconnues par les assureurs comme protégeant les supports du magnétisme…

EFFACER les données dépassées en formatant les supports de données qui sont obsolètes, en vidant le cache INTERNET, l’historique du navigateur, en effaçant les documents récemment utilisés dans DEMARRER/DOCUMENT, la CORBEILLE, les adresses mémorisées dans la barre d’adresse etc. :

C:\WINDOWS\DOWNLOAD PROGRAM FILESC:\WINDOWS\TEMPC:\WINDOWS\TEMPORARY INTERNET FILESC:\WINDOWS\HISTORIQUEC:\WINDOWS\RECENTEnfin, vider régulièrement la CORBEILLE…

VERROUILLER le bouton de l’allumage l’ordinateur avec un cadenas, ou la fonction KEYLOCK…

PROTEGER l’accès au BIOS, au système d’exploitation et l’identification réseau à l’aide de mots de passe judicieusement choisis, gardés confidentiels et régulièrement renouvelés…

DISSIMULER les documents importants avec L’attribut CACHE des propriétés d’un fichier et l’option ne pas afficher les dossiers cachés dans l’EXPLORATEUR (cette solution ne dupe pas les initiés…)

CRYPTER les données avec un logiciel de cryptage comme PGP…

CONTROLER tous les fichiers et les programmes extérieurs, les pièces jointes aux messages e-mail avec un ANTIVIRUS à jour, les accès à l’ordinateur avec un logiciel d’administration comme NORTON YOUR EYES ONLY (logiciel payant et en version anglaise uniquement qui permet d’administrer les mots de passe, de crypter ses documents personnels sur le disque dur)…

METTRE A JOUR régulièrement une disquette de BOOT…

Echanger

Faxer

WINDOWS 98 contrairement à WINDOWS 95 n’a plus de logiciel de télécopie intégré, il faut pour cela acheter OUTLOOK 98, ou utiliser OUTLOOK 97.Le logiciel WINFAX STARTER EDITION de SYMANTEC s’intègre dans OUTLOOK 98.

Des SHAREWARES existent mais en version d’essai :

MIGHTYFAX, FAX2000 sur le site :

http://www.ccr.net/software/fax2000.htm


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KARNAK 98 version 3.0 sur le site INTERNET de SARASOFT qui permet la télécopie et la reconnaissance de caractères OCR

Sur le CDROM D’INSTALLATION de WINDOWS 98 figure deux logiciels qui permettent d’envoyer des faxes, le programme EXCHANGE (WMS) et le programme MESSAGE API (AWFAX) qui est le service de télécopie rudimentaire de MICROSOFT.:

TOOLS/OLDWIN95/MESSAGE/WMS.EXE TOOLS/OLDWIN95/MESSAGE/AWFAX.EXE

Pour installer les programmes EXCHANGE et MESSAGE API (avec le CDROM d’installation)

Insérer le CDROM d’installation de WINDOWS 98

DOUBLE CLIQUER sur l’icône WMS.EXE dans le répertoire du lecteur de CDROM:

TOOLS/OLDWIN95/MESSAGE/WMS.EXE


DOUBLE CLIQUER sur l’icône AWFAX.EXE dans le répertoire du lecteur de CDROM :

TOOLS/OLDWIN95/MESSAGE/AWFAX.EXE


Ensuite, il ne reste plus qu’à configurer MICROSOFT FAX pour EXCHANGE…

Pour expédier une télécopie à partir d’un logiciel de traitement de texte, il faut l’imprimer sur le télécopieur (avec WINWORD)

Ouvrir le traitement de texte WINWORDOuvrir un documentCTRL + P pour afficher la boite de dialogue IMPRIMERDans la zone imprimante changer pour le pilote de télécopie qui fait partie de la liste des imprimantesCliquer sur le bouton PROPRIETES pour ajuster les paramètres du pilote de télécopieLancer l’impressionSaisir le numéro de télécopie du destinataire

Scanner

Généralement un scanner va de trio avec un logiciel de retouche d’images et un logiciel de reconnaissance de caractères.

Une interface TWAIN réceptionne les données numérisées. Selon le type de numérisation, du texte, des images en couleurs ou en noir et blanc, la taille du fichier sera plus ou moins important. La résolution de 70 dpi (dots per inch) à 4800 dpi influe également sur la taille du fichier, souvent 300 dpi sont suffisants, cela dépend de l’utilisation souhaitée…

La numérisation requière au moins 64 Mo de mémoire vive pour obtenir des temps de réponses supportables et beaucoup de Go Octets sur le disque dur pour conserver les documents et les effets : filtrés, moirées et contrastés…


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Il faut ajuster les couleurs, les étalonnées pour obtenir la meilleure adéquation entre le rendu du moniteur et celui de l’imprimante.

Graver

La gravure d’informations, de programmes, de textes, d’images ou de sons, consiste à lire les informations à partir d’un support et à les enregistrer sur un autre support, en l’occurrence un CD RW enregistrable.

La vitesse de lecture et la vitesse d’écriture doivent être cohérentes, plus précisément il faut que la lecture n’aille pas plus vite que l’écriture, sinon le flux risque de déborder la mémoire tampon qui ajuste le flux sortant et le flux entrant.

Pour optimiser la gravure, il est possible d’enregistrer les données sur un disque dur rapide. Il faut créer une partition de la taille du CDROM (750 Mo) sur le disque dur le plus rapide et enregistrer les données à graver sur cette partition, puis défragmenter la partition afin d’optimiser le flux des données et procéder au gravage de la galette…

Optimiser

Pour obtenir les même couleurs à l’écran et sur le papier, il faut installer les profils de couleurs correspondant au moniteur (avec le module « affichage »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule AFFICHAGEOnglet PARAMETRESBouton AVANCEESOnglet GESTION DES COULEURSBouton AJOUTER

Pour configurer le maximum de cache pour le lecteur de CDROM (avec le module « système »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule SYSTEMEOnglet PERFORMANCESBouton SYSTEME de FICHIERSOnglet CDROMPositionner le curseur TAILLE DU CACHE SUPPLEMENTAIRE au maximumSélectionner CDROM QUADRUPLE VITESSE OU PLUS dans la liste déroulante OPTIMISATION DES ACCES POUR

Dépanner

Le mode d’économie d’énergie APM ne fonctionne pas avec toutes les cartes mères

Un mode d’économie d’énergie permet à WINDOWS de s’arrêter quand il n’est pas occupé et de consommer moins d’électricité ou de ressource de la batterie. C’est l’APM (Advanced Power Management) qui en est à sa version 1.2 pour WINDOWS 98, mais il arrive que cette version ne fonctionne pas avec certaines cartes mères, ainsi, soit la carte mère est mise à jour, soit vous utiliser la version 1.0 de l’APM.

Pour forcer l’utilisation de la version 1.0 de l’APM avec WINDOWS 98 (avec le module « système »)

Clic droit sur l’icône POSTE de TRAVAIL du bureauChoisir la commande PROPRIETESOnglet GESTIONNAIRE de PÉRIPHÉRIQUESSélectionner la branche PÉRIPHÉRIQUES SYSTEMESélectionner l’option PRISE EN CHARGE de la GESTION de L’ENERGIE AVANCEE


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Bouton PROPRIETESOnglet PARAMETRESActiver l’option FORCER LE MODE APM 1.0OKOK

La configuration du flux du port parallèle dans le BIOS peut-être à l’origine d’impression chaotique

Parfois, le périphérique d’impression est mal configuré et imprime n’importe quels caractères à la place du beau texte que l’on attendait. Ce problème peut provenir de la configuration du port parallèle qui transmet au périphérique d’impression plus de données que celui-ci ne peut gérer.

Les réglages du port parallèle sont situés dans le BIOS, et selon le constructeur, AWARD, AMI, PHŒNIX, ils sont identifiés différemment.

Une autre cause d’impression désordonnée peut être un pilote de port défectueux. Le fichier désignant le pilote de port s’appèle LPT.VXD et fait partie des fichiers systèmes.

Pour lancer le programme de vérification des fichiers systèmes et restaurer un fichier système défectueux (avec SFC)

DEMARRER/EXECUTERSaisir « SFC.EXE »

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESOUTILS SYSTEME/INFORMATIONS SYSTEME

Menu OUTILCommande VERIFICATEUR DES FICHIERS SYSTEME

Pour tester le port COM auquel est connecter le modem (avec le module « modem »)


Onglet DIAGNOSTICSSélectionner le port COM 1 ou COM 2Bouton INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES

Pour ouvrir mécaniquement le boîtier d’un lecteur de CDROM ou de DVD (avec un trombone)

Il peut arriver qu’un lecteur de CDROM ou de DVD se bloque et ne s’ouvre plus, c’est pourquoi il existe un tout petit trou de la taille d’une aiguille ou d’un trombone sur la face avant du lecteur. En prenant la précaution d’éteindre et de débrancher l’ordinateur et en y introduisant l’objet filiforme, le lecteur s’ouvre mécaniquement.

Le profil matériel enregistre une certaine configuration matérielle

La configuration de tous les composants matériels installés sur la machine est enregistrée dés l’installation comme la « configuration d’origine » et correspond au profil matériel par défaut.

Il est possible de définir une nouvelle configuration avec certain composant désactivé. Chaque composant matériel peut être défini comme faisant partie ou non d’une certaine configuration.

Chaque configuration représente alors un profil matériel différent, ce qui peut-être utile pour différents utilisateurs ou pour tester une configuration avec un nouveau composant.

Si au moins deux profils matériels coexistent, alors, au démarrage de WINDOWS, lors du chargement en mémoire du système d’exploitation, les différentes configurations seront proposées à l’utilisateur et le chargement de la configuration choisie sera effectué.


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Pour créer un profil matériel (avec le module « système »)


Onglet PROFILS MATERIELSBouton copier pour dupliquer la « configuration d’origine »Renommer le nouveau profilSélectionner le nouveau profilOnglet GESTIONNAIRE de PÉRIPHÉRIQUES

Ouvrir les branches de chaque type de périphériquesSélectionner un des composantsCliquer sur le bouton PROPRIETESOnglet GENERALActiver ou non selon le besoin l’option DESACTIVER DANS CE PROFIL MATERIEL et/ou l’option EXISTE DANS TOUS LES PROFILS MATERIELSOKOK

Redémarrer WINDOWS

Le lancement du système d’exploitation MS-DOS avec la disquette de BOOT permet de résoudre des problèmes de configuration

Le démarrage de l’ordinateur à l’aide de la disquette de boot consiste à charger en mémoire le système d’exploitation DOS qui est livré avec WINDOWS 98. Le système d’exploitation DOS est le précurseur des systèmes d’exploitation pour PC, et MICROSOFT en a développé plusieurs versions avant de commercialiser WINDOWS pour faire concurrence à APPLE…

Le lancement du DOS de la disquette de boot est utiliser pour :

Résoudre des problèmes de configurationManipuler les fichiers du disque durRedéfinir des partitions sur le disque durFormater une partitionRéinstaller WINDOWS 98 comme neufEtc…

Booter

Le MENU de DEMARRAGE de WINDOWS 98 apparaît lors du démarrage de l’ordinateur avec une disquette de BOOT

Le redémarrage avec la disquette de boot fait apparaître le MENU de DEMARRAGE de WINDOWS 98 :

1. DEMARRER AVEC PRISE EN CHARGE DU CDROM2. DEMARRER SANS PRISE EN CHARGE DU CDROM3. AFFICHER LE fichier HELP qui présente dans un fond bleu l’ensemble

des fichiers de la disquette de boot et quelques procédures de dépannage…

Une fois le lancement du DOS terminé, l’écran de l’ordinateur est noir et présente le PROMPT, c’est à dire une ligne de commande “A:\” à partir de laquelle les commandes du DOS sont saisies et exécutées.

La procédure d’installation de WINDOWS 98 comprend la création d’une disquette de BOOT qu’il faut réactualiser après des changements de configuration


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Dès la première installation du système d’exploitation, la procédure intègre la création d’une disquette de BOOT ou disquette de démarrage.

Les fichiers de la disquette de BOOT doivent rentrer dans la limite des 1,44 Méga Octets d’une disquette de 31/2 pouces:

Des pilotes de CDROM pour pouvoir réinstaller WINDOWS 98…La configuration matérielle et la configuration logicielle:

AUTOEXEC.BATCONFIG.SYS

L’interpréteur de command du système d’exploitation MS-DOS et des programmes pour l’affichage, le CDROM, etc.…:

COMMAND.COMMODE.COMMSCDEX.EXERESTART.COM

Des fichiers compressés et les programmes pour les extraire:

DRVSPACE.BINEDB.CAB qui contient les fichiers compressés…EDB.SYSEXTRACT.EXEEXT.EXE

Un programme de recherche de la mémoire vive, le gestionnaire de mémoire étendue XMS, et le programme de création d’un disque virtuelle pour la phase de démarrage:

FINDRAMD.EXEHIMEM.SYSRAMDRIVE.SYSSETRAMD.BAT

Des fichiers de démarrage du système d’exploitation WINDOWS 98:

IO.SYSMSDOS.SYS

Des programmes de création de partition, de diagnostic, et de formatage du disque dur:

FDISK.EXECHKDSK.EXESCANDISK.EXEFORMAT.COM

Des programmes pour changer les attributs d’un fichier et un éditeur de texte:

ATTRIB.EXEEDIT.COM

Des fichiers d’aide et un programme de débogage…

README.TXTHELP.TXTHELP.BATP


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DEBUG.EXE

Etc…

Quand la configuration matérielle ou logiciel évolue, il est important d’actualiser la disquette de BOOT afin que celle-ci tienne compte des changements.

Les fichiers de la disquette de BOOT

Certains fichiers de la disquette de BOOT sont dotés de l’attribut caché et il faut donc pour tous les visualiser activer l’option AFFICHER TOUS LES FICHIERS en ouvrant l’EXPLORATEUR et AFFICHER/OPTION DES DOSSIERS.

La liste des fichiers contenus dan la disquette de BOOT est la suivante :

Nom FonctionAspi2dos.sys Pilote de CDROM Real-Modus AdaptecAspi4dos.sys Pilote de CDROM Real-Modus AdaptecAspi8dos.sys Pilote de CDROM Real-Modus AdaptecAspi8u2.sys Pilote de CDROM Real-Modus AdaptecAspicd.sys Pilote de CDROM Real-Modus AdaptecAutoexec.bat Fichier BATCHBtcdrom.sys Pilote de CDROM Mylex/BusLogicBtdosm.sys Pilote de CDROM Mylex/BusLogicCommand.com Interpréteur de commandeConfig.sys Fichier systèmeDrvspace.bin Pilote de compression MICROSOFT DRIVESPACEEdb.cab Fichier de compression contenant les programmes d’extractionEdb.sysExtract.exe Extracteur du fichier compressé Edb.cabFdisk.exe Programme de création de partition de disque durFindramd.exe Recherche le lecteur RAM lors du démarrageFlashpt.sys Pilote de CDROM Mylex/BusLogicHimem.sys Gestionnaire de mémoire XMSIo.sys Fichier de démarrage du systèmeMode.com Modification des paramètres d’affichage, comme le nombre de lignesMsdos.sys Information sur les options de démarrageOakcdrom.sys Pilote de périphérique général pour les lecteurs de CDROM ATAPI Ramdrive.sys Définit un disque virtuel pendant la phase de démarrageReadme.txt Document contenant les informations de la disquette de bootSetramd.bat Définit le premier lecteur disponible sous forme de disque virtuelP Document contenant les informations de la disquette de boot

Les fichiers suivants peuvent aussi faire partie de la disquette de boot :Country.sysDisplay.sysEGA.cpiFindcd.exeKeyb.comKeybord.sysMscdex.exe

Les fichiers suivants sont compressés dans le fichier edb.cab :Attrib.exe Ajoute ou supprime les attributs des fichiersChkdsk.exe Programme affichant le statut du disque durDebug.exe Programme de débogageHelp.bat Ouverture du fichier Readme.txtHelp.txt Document contenant des informations sur la résolution de problèmesEdit.com Editeur de texte en mode réelExt.exe Nouveau programme d’extraction de fichiers


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Format.com Programme pour formater du disque durMscdex.exe Extension de fichier de CDROM de MICROSOFT pour MS-DOSRestart.com Application MS-DOSScandisk.exe Programme de vérification de l’état du disque durScandisk.ini Fichier de configuration de Scandisk.exeSys.com Programme de transfert des fichiers systèmes dans une disquette de bootUninstal.exe Programme de désinstallation de WINDOWS 98

Un disque virtuel RAM est créé pendant la phase de démarrage avec une disquette de BOOT et permet de simuler la présence d’un disque dur

En redémarrant l’ordinateur avec une disquette de boot, un disque virtuel RAM de 2 Méga Octets est créé dans la mémoire vive afin de simuler la présence d’un disque dur.

Le disque virtuel RAM est en mesure de charger les programmes de diagnostics, les pilotes de CDROM et les programmes du dossier “ebd” de la disquette de boot sans avoir besoin d’utiliser le véritable disque dur qui peut-être ne fonctionne pas...

Le disque virtuel RAM est temporaire et s’accapare pendant ce laps de temps la lettre attribuée au lecteur de CDROM, laquelle est décalée, passant, par exemple, de D:\ à E:\.

Pour créer une disquette de BOOT (avec le module “Ajout & Suppression de Programmes”)

Insérer une disquette dans le lecteur de disquette

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule AJOUT & SUPPRESSION de PROGRAMME

Onglet disquette de DEMARRAGEBouton CREER UNE DISQUETTEUne disquette de boot est très utile en cas de plantage, aussi est-il judicieux de la tester tout de suite après l’avoir enregistrée…

Pour relancer l’ordinateur à l’aide d’une disquette de BOOT (avec la disquette de BOOT)

Dans un premier temps:

Eteindre l’ordinateurDans un deuxième temps:

Rallumer l’ordinateur et ouvrir le programme SETUP du BIOS:

Appuyer sur F2 pour les BIOS PHŒNIXOu appuyer sur SUPPR ou CTRL pour les BIOS AWARD et les BIOS AMI

Rechercher l’entrée de la SEQUENCE de BOOT et placer le lecteur de disquette (A:\) en priorité afin de s’assurer que le programme du BIOS recherchera en premier lieu dans ce lecteur les fichiers d’amorçages et les fichiers systèmes.Eteindre l’ordinateur pour que les nouveaux paramètres soient pris en compte

Dans un troisième temps:

Insérer la disquette de BOOT dans le lecteur de disquette (A:\)Rallumer l’ordinateurChoisir l’option souhaitée dans le MENU de DEMARRAGE de WINDOWS 98:


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1. DEMARRER AVEC PRISE EN CHARGE DU CDROM2. DEMARRER SANS PRISE EN CHARGE DU CDROM3. AFFICHER LE fichier HELP qui présente l’ensemble des fichiers de la

disquette de boot et quelques procédures de dépannage…

La procédure de démarrage du système d’exploitation

Pendant le démarrage du système d’exploitation, il n’y a normalement rien à faire, si ce n’est de mettre l’ordinateur sous tension.

Toutefois, si un problème se présente pendant ou après le démarrage, alors WINDOWS redémarre automatiquement en mode SANS ECHEC.

Le démarrage en mode sans échec présente l’interface graphique minimum de WINDOWS

Le mode sans échec est une version allégée de WINDOWS qui ne charge que le noyau du système, c’est à dire les principaux fichiers systèmes, ainsi ne sont pas chargés les pilotes de la plupart des composants constituants l’architecture de l’ordinateur, comme par exemple la carte graphique (la résolution de l’écran est alors au minimum, VGA 640x480).

Le mode sans échec lance WINDOWS sans les fichiers de configuration CONFIG.SYS et AUTOEXEC.BAT.

Le mode sans échec présente une interface graphique minimum de WINDOWS avec laquelle il est possible de repérer et de réparer les éventuels problèmes…

Plusieurs journaux retracent le déroulement des procédures effectuées pendant le démarrage

Les fichiers “LOG” sont des journaux qui retracent ce qui s’est passé pendant une procédure.

Le fichier BOOTLOG.TXT retrace toutes les opérations qui ont été effectuées pendant le démarrage et permet de connaître celles qui se sont accomplies avec succès (SUCCES) ou non (FAILURE) et ainsi de repérer l’étape qui pèche. D’autres fichiers “LOG”, comme SETUPLOG.TXT, DETLOG.TXT et NETLOG.TXT, permettent de rechercher la source des éventuels blocages de WINDOWS.

Pour déterminer l’origine d’un problème concernant un fichier ou un pilote introuvable lors du démarrage (avec un esprit de déduction)

Quand WINDOWS affiche un message comme quoi il n’a pu détecter tel fichier ou tel pilote, plusieurs situations sont envisageables:

Soit, le fichier ou le pilote est endommagé, défectueux, illisible…Il faut alors le réparer ou le remplacer.

Soit, ils ont été supprimés par erreur ou par malice…Il faut le réinstaller au bon endroit.

Soit une ligne de commande est restée dans SYSTEM.INI ou dans CONFIG.SYS alors que le périphérique, ou le logiciel a été supprimé…Il faut chercher à différents endroits et répondre aux questions suivantes qui permettent de trouver la source du problème:

Dans DEMARRER/PROGRAMMES ou dans DEMARRER/PROGRAMMES/DEMARRAGE, est-ce qu’il y a des programmes désinstallés qui y figurent toujours ?

Dans WIN.INI ou dans SYSTEM.INI, est-ce qu’il y a des lignes de commande du type LOAD=”nom_du_programme” qui correspondent à des applications 16 bits désinstallés?


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Si oui, il est alors judicieux d’inscrire devant la ligne de commande l’expression “REM”, comme remarque, et un espace “ “ afin de désactiver la ligne sans pour autant l’effacer, puis, après avoir enregistrer la modification, de relancer WINDOWS.Si cela ne fonctionne pas, alors il faut enlever la remarque qui a été placée dans le fichier et essayer avec une autre ligne de commande.

Dans la base de registre, est-ce qu’il y a des entrées obsolètes dans la clef : HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\MICROSOFT\WINDOWS\CURRENTVERSION\RUN ?

Pour redémarrer l’ordinateur en mode SANS ÉCHEC, il faut faire apparaître le MENU de DEMARRAGE de WINDOWS 98 (avec les touches F8 ou CTRL)

Eteindre l’ordinateur et attendre 15 secondes pour que l’électricité statique de la mémoire vive se volatilise et se réinitialise.

Rallumer l’ordinateur.Appuyer sur la touche F8 (avec WINDOWS 95, il fallait appuyer sur la touche CTRL) quant apparaît en haut à gauche de l’écran noir le message “DEMARRAGE de WINDOWS 98”.

Choisir dans le MENU de DEMARRAGE de WINDOWS 98 l’option (n° 3) :

Mode sans échec (pour charger uniquement le noyau de WINDOWS 98)

le MENU de DEMARRAGE de WINDOWS 98 (avec les touches F8 ou CTRL)

1. Normal Charge complètement WINDOWS 982. Journal de démarrage (BOOTLOG.TXT) Décrit le processus de démarrage3. Mode sans échec Charge le noyau de WINDOWS 984. Confirmation pas à pas Charge WINDOWS 98 pas à pas5. Ligne de commande uniquement Charge DOS6. Invite MS-DOS en mode sans échec uniquement Charge DOS sans pilotes

Sauvegarder

L’enregistrement régulier et la sauvegarde systématique de ses fichiers est le meilleur moyen de ne pas perdre son temps devant un ordinateur

Personne n’est à l’abris d’une défaillance du système d’exploitation et spécialement du système WINDOWS dont la réputation de robustesse, de stabilité et de fiabilité n’est pas à ce jour celle dont rêve les utilisateurs de plus en plus nombreux…

Il est indispensable de se prémunir contre les faiblesses du système et de respecter son propre travail:

“Enregistrer et sauvegarder régulièrement votre travail !!!”

Quand vous travaillez, par exemple sur un texte WORD, enregistrez régulièrement (toutes les dix minutes ou au moins une fois en fin de journée) votre document sur le disque dur, ainsi les saisies sont définitives.

Ensuite, pour contre carrer les éventuels catastrophes du disque dur, sauvegarder régulièrement (tous les jours ou au moins une fois par semaine) les dossiers qui contiennent vos documents sur des supports externes et indépendants du système.

Il existe de nombreux support de sauvegarde et WINDOWS 98 en accepte la plupart:


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DisquettesDisques dursDisques amoviblesLecteurs ZIPLecteurs JAZZStreamersBandes DATSites INTERNET qui hébergent gratuitement jusqu’à 100 Méga Octets…

Il existe différents type de sauvegarde :

La sauvegarde intégrale qui copie tous les dossiers et tous les fichiers d’un disque dur.La sauvegarde partielle, sélective différentielle…La sauvegarde de tolérance de panne :

RAID 0 qui est le MIRRORINGRAID 5 qui est une duplication du disque dur principal sur au moins trois autres disques dur et avec un bit de parité pour le contrôle d’erreurs.

MSBACKUP est le programme de sauvegarde de WINDOWS

MSBACKUP.EXE est le programme de sauvegarde de WINDOWS, et il se retrouve dans le répertoire suivant:

C:\Program Files\Accessoires\BACKUP\MSBACKUP.EXE

Quand MSBACKUP est lancé pour la première fois, le programme recherche les périphériques de sauvegarde susceptibles d’être connectés à l’ordinateur et sur lesquels il est susceptible d’effectuer la sauvegarde ; s’il n’en trouve pas, il en informe l’utilisateur par un message et propose d’ouvrir tout de même l’interface du programme.

MSBACKUP s’ouvre avec une succession de boites de dialogue qui orientent l’opérateur :

Soit vers la création d’une nouvelle sauvegardeSoit vers l’ouverture d’une ancienne sauvegardeSoit enfin vers la restauration d’une ancienne sauvegarde

Il est possible de protéger les sauvegardes réalisées par un mot de passe, ce qui interdit l’accès aux sauvegardes aussi bien pour en connaître le contenu que pour procéder à la restauration d’une sauvegarde…

MSBACKUP permet également de sauvegarder la base de registre.

Certains constructeurs de support de sauvegarde ont développé leur propre logiciel de sauvegarde :

COLORADO BACKUP de HP effectue des sauvegardes…

DRIVEIMAGE de POWERQUEST effectue une image d’un disque dur. Une image est la copie exacte d’un disque dur tel qu’il est, la totalité du disque est copié, bit à bit, c’est pourquoi les deux disques (l’original et la copie) doivent être de même capacité (à moins qu’il y ait une procédure de compression des données).

Pour lancer le programme de sauvegarde MSBACKUP (avec DEMARRER)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/SAUVEGARDE

Pour lancer le programme de sauvegarde MSBACKUP (avec MSBACKUP)

DEMARRER/EXECUTERSaisir “msbackup”


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ENTREE

Pour lancer le programme de sauvegarde MSBACKUP (avec l’EXPLORATEUR)

Double cliquer sur le fichier :

C:\Program Files\Accessoires\BACKUP\MSBACKUP.EXE

Pour effectuer une sauvegarde de ses fichiers personnels sur une disquette (avec MSBACKUP)

Insérer une disquette vierge et formatée dans le lecteur


Activer l’option CRÉER UNE NOUVELLE OPERATION de SAUVEGARDEOK

Activer l’option SAUVEGARDER TOUS LES fichiers SELECTIONNESSUIVANT

Sélectionner dans l’arborescence le dossier contenant les fichiers personnels, la coche de couleur grise dans le volet de gauche indique qu’un ou plusieurs sous-dossiers ont été cochés.

Option TOUS LES FICHIERS SELECTIONNES pour sauvegarder l’intégralité des fichiers sélectionnés, ou l’option FICHIERS NOUVEAUX OU MODIFIES pour ne sauvegarder que les modifications apparues depuis la dernière sauvegarde.SUIVANT

Le nom attribué par défaut à la sauvegarde est :

C:\Sauvegarde.qic

Cliquer sur le bouton à droite qui permet de parcourir l’arborescence (choisir éventuellement le nom d’un fichier correspondant à une précédente sauvegarde).Attribuer un nom explicite au fichier de sauvegarde afin de pouvoir le reconnaître en cas de restauration.Sélectionner le lecteur A:\ pour effectuer la sauvegarde sur une disquette.

Opter pour la vérification et/ou la compression des fichiers sauvegardés selon que vous avez du temps et peu d’espace…SUIVANT

Attribuer un nom explicite à cette opération de sauvegarde afin de pouvoir la reconnaître et la relancer plus tard.DEMARRER

Cliquer sur le bouton RAPPORT et vérifier que tout s’est bien dérouléOKOK

Pour restaurer une sauvegarde de ses fichiers personnels réalisée sur disquette (avec MSBACKUP)

Insérer la disquette sur laquelle ont été sauvegardés vos fichiers personnels

Lancer MSBACUP


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Option RESTAURER LES FICHIERS SAUVEGARDESBouton OK

Sélectionner la source à partir de laquelle vous restaurer vos fichiers, en l’occurrence à partir du lecteur de disquette, soit :

A:\nom_de_la_sauvegarde.qic

Bouton OUVRIR

Sélectionner le jeu de sauvegarde s’il y en a plusieurs…OK

Cocher dans l’arborescence les fichiers que vous voulez restaurer…Bouton SUIVANT

Choisir l’option EMPLACEMENT D’ORIGINE pour restaurer les fichiers là d’où ils viennent, ou l’option AUTRE EMPLACEMENT…Bouton SUIVANT

Préciser éventuellement l’emplacement de destination…

Choisir l’option NE PAS REMPLACER LES FICHIERS SUR MON ORDINATEUR ou une autre option…DEMARRER

Cliquer sur le bouton RAPPORT et vérifier que tout s’est bien déroulerOKOK

Le MIRRORING est une méthode dynamique de tolérance de panne

Le mirroring (le miroir) est une méthode dynamique de tolérance de panne (RAID 1) qui consiste à dupliquer systématiquement et simultanément l’intégralité d’un disque dur, système, applications et données. Il faut pour cela deux disques durs et un programme qui écrit deux fois toutes les modifications.

Le fantôme (GHOST) est une méthode de sauvegarde plus archaïque et plus statique qui requière deux disques durs extractibles

Une autre façon de procéder, la méthode fantôme (GHOST en anglais) est un peu plus archaïque, plus statique. Cette méthode consiste à préparer sur un deuxième disque dur, de préférence de la même marque et du même modèle, la copie conforme de l’installation du premier disque dur, mais cette fois-ci avec seulement le système d’exploitation et les applications installées. Ainsi, en cas de problèmes, il suffit de changer de disque dur et d’importer ses documents sauvegardés sur un support externe pour continuer à travailler…

Le fantôme est une image du disque dur, c’est à dire que l’intégralité d’un disque est recopiée sur un autre disque. La copie s’effectue bit par bit, ainsi la structure des données du disque original se retrouve entièrement et identiquement sur le disque image. Par opposition à la sauvegarde qui ne copie que les dossiers et les fichiers existant, l’image copier tous, même les vides. L’image a certains inconvénients, l’image fait perdre de la place et du temps parce que les vides sont pris en compte ; et, quand l’image est recopiée, celle-ci recopie la configuration spécifique et les identifiants de la machine (comme le nom de la machine, l’adresse IP, le domaine d’appartenance pour un réseau…) qui sont spécifiques à la machine à partir de laquelle l’image a été réalisée…L’avantage, c’est que c’est très rapide…

Toutefois, il n’est pas possible d’installer simultanément WINDOWS sur deux disques durs en même temps, qu’ils soient de type SCSI ou IDE. Aussi, est-il nécessaire de procéder en deux étapes:


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Dans un premier temps, il faut installer WINDOWS et toutes les applications sur un premier disque dur,

Dans un deuxième temps, il faut débrancher le premier disque dur, brancher le deuxième, redémarrer l’ordinateur et installer WINDOWS et les même applications sur le deuxième disque dur. Si les deux disques durs sont de type IDE et s’ils étaient branchés simultanément sur l’ordinateur, l’un comme maître et l’autre comme esclave, alors il sera nécessaire pendant les débranchements successifs de changer les JUMPERS de l’esclave en maître, mais très peu de temps…

La tactique du partionnement est une méthode de sauvegarde qui requière un seul disque dur mais de taille conséquente

Avec un seul disque dur, rien n’est encore désespéré. Il est possible de partitionner un seul disque dur en deux lecteurs et, s’ils ont chacun une taille suffisante, d’effectuer une sauvegarde complète de l’un vers l’autre. MSBACKUP est capable d’effectuer une sauvegarde complète en choisissant l’option SAUVEGARDER LE POSTE de TRAVAIL, (ce qui peut éviter les problèmes avec le fichier SWAP qui sert à copier les fichiers d’un point vers un autre, et qui ne peut se copier lui-même pendant une opération de “copier/coller”). Le fichier SWAP se trouve dans le répertoire suivant:

C:\WINDOWS\WIN386.SWP

Planifier

Le PLANIFICATEUR de TÂCHES permet de lancer périodiquement des programmes

Le planificateur de tâches permet de planifier le lancement d’une application et sa périodicité.

Par exemple, il est possible de lancer le programme de sauvegarde MSBACKUP à chaque démarrage, seulement il faudra soi-même choisir l’opération de sauvegarde à réaliser…

Pour lancer le PLANIFICATEUR de TÂCHES (avec la BARRE système)

Double cliquer sur la petite icône avec le cercle rouge d’une horloge dans la barre des tâches, et qui présente la bulle.

Pour lancer le PLANIFICATEUR de TÂCHES (avec DEMARRER)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/OUTILS SYSTEME/TACHES PLANIFIÉES

Pour lancer le PLANIFICATEUR de TÂCHES (avec l’EXPLORATEUR)

Double cliquer sur le dossier :

C:\WINDOWS\Tasks

Pour lancer le PLANIFICATEUR de TÂCHES (avec TASK)

DEMARRER/EXECUTERSaisir “tasks”

Pour créer une nouvelle tâche planifiée

Lancer le planificateur de tâches

Double cliquer sur l’icône CREATION D’UNE TACHE PLANIFIÉESUIVANT

Sélectionner le nom du programme parmi ceux qui sont proposés ou cliquer sur le bouton PARCOURIR pour rechercher soi-même le programme.


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Dans cette fenêtre figure également la précieuse information du numéro de version du programme qui est installé.

Attribuer un nom à la tâche planifiéeIndiquer le moment de lancement du programme : l’heure, la date et la périodicité…Activer éventuellement l’option OUVRIR LES PROPRIETES AVANCEES de CETTE TACHE QUAND JE CLIQUERAI SUR TERMINERCliquer sur le bouton TERMINER

Prévenir

D’autres éditeurs de logiciels proposent des programmes pour prévenir les défaillances du système, mais encore faut-il les avoir installer avant la défaillance

Il existe un programme plus performant pour analyser et éventuellement prévenir les défaillances du système :

NORTON ANTIFREEZE

Un logiciel disponible en shareware sur INTERNET, permet d’aller très loin dans le contrôle de la configuration de l’ordinateur, y compris de connaître des informations sur la carte mère :

SANDRA 99

Une des solutions qui s’offre à celles et à ceux qui souhaitent en savoir plus sur WINDOWS est celle qui consiste à aller voir dans l’AIDE de WINDOWS en faisant DEMARRER/AIDE. Là se trouve également un chapitre sur “la résolution de problème”.


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LE RÉSEAU INTERNET

La typologie des réseaux

Il existe différents types de réseaux qui peuvent être classés en fonction de différents critères :

L’étendue géographique :

Les réseaux locaux : LAN (Local Area Network)Les réseaux régionaux : MAN (Metropolitan Area Network)Les réseaux internationaux : WAN (Wide Area Network)

La gestion des comptes et des postes :

Décentralisée : Les réseaux PEER TO PEER ou de poste à posteCentralisée : Les réseaux avec un administrateur qui gère un ou plusieurs DOMAINESOrganisée : Les réseaux organisés en groupe de TRAVAIL

Le mode de transmission des données :

Le transfert analogique avec un modem LARGE BANDE ou BANDE de BASE

Le support physique de transmission :

La paire torsadée ordinaire (Unshield Twisted Pair) ou blindée (Shielded Twisted Pair)Le câble coaxial fin (Thin Ethernet) ou épais (Thick Ethernet ou Yellow Snake)La fibre optique qui véhicule la lumièreLes ondes radios

La connectique :

Les prises RJ45 pour la paire torsadée (10 BASE T ou 100 BASE T)Les connecteurs BNC (en forme de T) pour le câble coaxial, qui sont connectés à un boîtier (TRANSCEIVER), dont le segment peut atteindre 185 mètres et se termine par des bouchons (TERMINATOR) avec une résistance de 50 Ohms.Les prises RG 58 pour le câble coaxial finLes prises AUI (Attachement Unit Interface) ou DIX (Digital Intel Xeros) pour le câble coaxial dont le segment peut atteindre 500 mètres.

La typologie géométrique (logique ou physique) :

Le busL’étoile avec au centre un noyau ou un nœud qui prend la forme d’un boîtier (HUB) et qui concentre et distribue les données.L’anneau (TOKEN RING) utilisé par IBM, avec un jeton circulaire qui octroie le droit de parler, et un Boîtier central (Multistation Access Unit) constitue en fait une typologie physique en étoile qui est appelée déterministe car elle détermine qui émet et pour combien de temps.

Le débit mesuré en fréquence :

Le bus permet d’aller soit à 10 Mhz, soit à 100 MhzL’étoile permet d’aller jusqu’à 10 MhzL ‘anneau permet d’aller jusqu’à 16 Mhz

La méthode d’accès au réseau :


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Le CSMA/CD (Carrier Sense Multiple Access / Collision Detection) permet un accès au réseau aléatoire, les stations émettent quand elles le veulent ce qui engendre des collisions, mais les stations écoutent le support et détecte les trames qui sont rentrées en collision quand deux stations ont émis en même temps. Le CSMA/CD est une méthode non déterministe ou autrement dit « aléatoire ».

Le jeton pour les typologies en anneaux d’IBM et parfois en bus.

Des normes ont été recherchées par des organismes comme l’ISO (International Standard Organisation) et l’IEEE (Institut of Electrical and Electronics Engineers) afin de standardiser les produits et de permettre une très large interconnexion des systèmes hétérogènes...

Le modèle OSI

La communication entre ordinateurs doit obéir à certaines règles. Comme pour la poste, une lettre doit être incluse dans une enveloppe, laquelle doit porter l’adresse du destinataire avec son code régional, l’adresse de l’expéditeur, et un timbre correspondant à un tarif différent selon l’acheminement rapide ou lent ; puis l’enveloppe doit être postée dans une boite aux lettres, recueillie par un préposé, classée et regroupée dans un sac, transportée dans un camion, puis un avion Etc…

Les données transmises entre deux ordinateurs sont enveloppées dans des « paquets » (un bloc de bits plus ou moins nombreux), lesquels sont véhiculés sur le support qui est utilisé pour relier les ordinateurs entre eux. Ces paquets sont constitués de plusieurs couches, comme des poupées russes, les données brutes sont « en capsulées » par les informations de la couche suivante et ainsi de suite...

Le modèle ISO se décompose en 7 couches. A chaque couche correspond un programme qui est chargé d’interpréter les informations qui lui sont fournies par la couche inférieure et de fournir des informations (des services) à la couche supérieure. Chaque couche est spécialisée dans le traitement d’une certaine catégorie d’information. Chaque couche est codée par le système de l’émetteur, puis décodée par le système du récepteur.

Les sept couches du modèle OSI représentent un modèle théorique et conceptuel pour standardiser les communications entre ordinateurs :

Les sept couches du modèle OSINuméro Nom Fonction7 application Dialogue homme/machine. Interface entre l’utilisateur et l’application qui gère

les messages affichés à l’écran et les ressources partagées.6 PRESENTATION Formatage, compression et cryptage des données. Cette couche gère la façon

dont sont présentées les données.5 session Mise en œuvre et synchronisation de la connexion avec un autre poste. Cette

couche gère les noms d’utilisateurs et leurs mots de passe.

4 TRANSPORT Cette couche gère l’acheminement des données et les éventuelles erreurs. Les données sont divisées ou regroupées pour former des paquets de même longueur.

3 RESEAU Cette couche gère la distribution des paquets, à la bonne adresse et par le chemin le plus rapide (routage).

2 LIAISON Cette couche gère les trames et les en-têtes qui les séparent.1 PHYSIQUE Cette couche gère le type de support, les spécifications électriques (codage,

modulation…) et mécaniques (brochage…).

Le modèle IEEE 802 affine les recommandations décrites dans le modèle OSI en précisant les spécifications des trois couches les plus basses :

Les spécifications du modèle de l’IEEENuméro Noms Fonction3 RESEAU LLC (Logical Link

Control)802.2

2 LIAISON MAC (Media Access 802.3 802.4 pour les 802.5 pour les


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Control) CSMA/CD pour Ethernet

bus à jeton (Token Bus)

anneaux à jeton (Token Ring)

1 PHYSIQUE

La carte réseau

La carte réseau est indispensable pour se connecter à un réseau. La carte réseau doit être compatible avec le bus de la carte mère sur laquelle elle est installée.

Il existe différents types de bus sur les cartes mères :

ISAEISAMCAVESAPCI

Il est possible et même recommandé de posséder une carte réseau qui propose les trois types de connexion, ce qui permet d’évoluer :

BNC pour raccord Ethernet à coaxial fin avec un connecteur en « T » AUI à 15 pins pour raccord Ethernet à coaxial épais et Token RingRJ45 pour raccord Ethernet à paire torsadée

Une fois que la carte réseau est installée, il faut installer le pilote du nouveau matériel, et le protocole réseau.

Les protocoles réseaux

Les protocoles réseaux permettent à deux stations d’un même réseau de communiquer entre elles parce qu’elles partagent les même règles de communication. Les protocoles réseaux sont des couches logicielles qui sont chargées sous forme de pilotes.

Il existe différents types de protocoles réseaux et ils peuvent être classés selon différents critères, soit en fonction de la société qui les a développé, soit en fonction de leur routabilité :

NETBEUI (Net Bios Extended User Interface) initialement développé par IBM, c’est le protocole standard de la société MICROSOFT. Ce n’est pas un protocole routable.TCP/IP (Transmission Control Protocol / INTERNET Protocol) développé par l’armée américaine, c’est un protocole qui a été repris et amélioré par l’université pour les systèmes d’exploitation UNIX. C’est un protocole routable et c’est le protocole du réseau INTERNET.IPX/SPX (Internetworking Packet eXchange / Sequenced Packet eXchange) a été développé par la société NOVELL pour son système d’exploitation réseau NETWARE. C’est un protocole routable mais c’est un protocole dédié aux système d’exploitation de NOVELL.DECNET de la société DIGITAL.VINES de BANYAN CORPORATIONAPPLETALK de APPLEEtc…

Un protocole routable est un protocole qui gère l’adresse du destinataire et qui n’encombre ni ne surcharge le réseau. Les protocoles routables conviennent pour les grands réseaux de type WAN, tandis que les protocoles non routables sont efficaces dans les petits réseaux.

Le réseau INTERNET

Le réseau INTERNET est le réseau des réseaux

INTERNET est le réseau des réseaux parce qu’il a la particularité d’interconnecter différents sortes de réseaux qui ne partage pas forcément les mêmes supports, ni le mêmes protocoles de transmission.


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Généralement pour accéder au réseau des réseaux, l’utilisateur a besoin de s’abonner à un fournisseur d’accès (Provider en anglais).

Les réseaux PEER TO PEER

Les réseaux PEER TO PEER sont des réseaux de poste à poste

Une solution réseau économique consiste en un réseau PEER TO PEER par câble BNC pour chaque poste et deux types de connecteurs, une terminaison et un répartiteur en "T". Les postes d’un réseau doivent tenir des conventions rassemblées en un protocole ; la communication entre les postes passe par des services et des clients.

Le fournisseur d’accès à INTERNET

Les fournisseurs d’accès à INTERNET ne proposent pas tous la même qualité de services

Différents critères rentrent en jeux pour choisir un bon fournisseur d’accès :

Les informations pour configurer une connexion sont-elles accessibles et complètes :

Un CDROM de connexion est-il nécessaire, gratuit, suffisant et rapidement obtenu ?Le login et le mot de passe sont-ils envoyés par la poste pour plus de confidentialité ?Est-il possible de s’abonner « on line » depuis le site INTERNET du provider ?

Le type d’abonnement :

Au forfait, à quantité de temps de connexion payé d’avance et créditée pour une certaine périodeA la minute de connexionGratuitement…

La qualité du réseau :

La largeur de la bande passanteLe nombre d’abonnés qui occupe la bande passant en même temps

La qualité des services annexes :

Le nombre de compte d’adresse électronique personnelles (en général au moins 5)La possibilité d’héberger son site personnel et la quantité de mémoire disponible (en général au moins 100 Méga Octets)La possibilité d’accéder à ses messages électronique depuis le site du provider (et donc depuis n’importe quel ordinateur connecté au réseau…)La confidentialité des informations privées fournies au provider (l’indiscrétion et l’usage commercial des questionnaires marketing auxquels il faut répondre et qui permette d’identifier le profil de consommateur de l’abonné, la boite aux lettres est-elle surchargée régulièrement de publicité et/ou de propositions commerciales…)Les services proposés sur le site du provider :

Taux d’occupation de la bande passanteUn contenu éditorialiste concernant les événements d’actualités… L’indépendance et la pertinence des informations présentées, leur actualisation journalière…Le nombre de bandeaux publicitairesMoteur de rechercheIndex répertoriant les sites par thèmesListe des meilleurs sites…Liste des sites les plus visités…Serveur de discussion, chat et rencontre par thèmes…Proxy


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Cours pédagogique pour les débutants…

Le point d’accès au réseau :

En appel local, le coût de l’appel entre le poste et le provider est réduit au minimum…Avec un numéro de téléphone national pour se connecter à un tarif téléphonique local…

La hot line:

Le prix d’accès à la hot lineLa durée de la garantieLa compétence, l’écoute et la patience des personnes qui répondent, et la pertinence de leur réponsesLa surcharge des demandes et du standardLes différents moyens d’accéder à la hot line (par téléphone, par courriers électroniques…)Les horaires d’ouverture (24h/24h, le soir et le week-end…)

Les informations pour configurer manuellement une connexion INTERNET sont attribuées par le fournisseur d’accès

LE NUMERO de TELEPHONE pour joindre le serveur (c’est le point d’accès)Le LOGIN ou nom de l’utilisateurLe PASSWORD ou le mot de passe vérifié à chaque connexionL’adresse E-MAILLe nom du DOMAINE du providerLes adresses DNS primaires et secondairesL’adresse du serveur de courriers entrants POPL’adresse du serveur de courriers sortants SMTPL’adresse du serveur de NEWSL’adresse et le port du PROXY HTTPL’adresse et le port du PROXY FTPLe contact de la HOT LINELes conditions de résiliation de l’abonnement…

Les protocoles

Les chaînes d’initialisation des protocoles de connexion

Les protocoles de connexion utilisent des chaînes d’initialisation pour établir une connexion avec un autre modem ; ces chaînes d’initialisation sont enregistrées dans des scripts (des fichiers dotés de l’extension .SCP) qui sont localisés dans le répertoire :

C:\PROGRAM FILES/ACCESSOIRES

Les scripts sont écrits en un langage de programmation spécifique aux connexion réseaux, et ils obéissent à des conventions, des procédures, des variables…

Il est possible de consulter et de modifier ces chaînes d’initialisation :

CIS.SCP pour la connexion à COMPUSERVEPPPMENU.SCP pour la connexion à un serveur PPPSLIP.SCP et SLIPMENU.SCP pour la connexion auprès d’un hôte SLIP sans et avec menu

Les données qui transitent sur le réseau par l’intermédiaire du protocole PPP (Point to Point Protocole) sont fractionnées et transmises par PAQUETS depuis l’émetteur et sont rassemblées chez le récepteur.

Pour modifier la taille des paquets du protocole PPP (ave le module « réseau »)

DEMARRER/PARAMETRES


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PANNEAU de CONFIGURATIONModule RESEAU

Onglet CONFIGURATIONSélectionner le composant réseau CARTE D’ACCES A DISTANCEBouton PROPRIETESOnglet AVANCESDans le champ PROPRIETES sélectionner l’entrée TAILLE de PAQUET IPDans le champ VALEURS remplacer la mention AUTOMATIQUE et sélectionner la taille souhaitée :

PETITE pour 576 OCTETSMOYEN pour 1000 OCTETSGRANDE pour 1500 OCTETS

OKOK

Pour installer le protocole PPTP, Point To Point Tunneling Protocole (avec le module « réseau »)

DEMARRER/PARAMETRESPANNEAU de CONFIGURATIONModule RESEAU

Bouton AJOUTEROption carteDans le champ CONSTRUCTEURS sélectionner MICROSOFTDans le champ carte RESEAU sélectionner la mention CARTE de RESEAU PRIVE VIRTUEL MICROSOFTOK

Redémarrer l’ordinateur…

Les connexions avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE

L’ACCES RESEAU à DISTANCE est l’outil indispensable pour se connecter

Le composant ACCES RESEAU A DISTANCE doit installé sur l’ordinateur afin de pouvoir créer une connexion et de la configurée…

Pour savoir si le composant ACCES RESEAU à DISTANCE est installé sur l’ordinateur (avec le module « Ajout & Suppression de Programmes »)

DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATIONModule « Ajout & Suppression de Programmes »

Onglet INSTALLATION de WINDOWS pour afficher tous les composants de WINDOWS installésSélectionner le composant COMMUNICATIONCliquer sur le bouton DETAILS

Si le composant ACCES RESEAU à DISTANCE est coché, alors c’est qu’il déjà installéSi le composant n’est pas coché, alors il faut l’installer

Pour savoir si le composant ACCES RESEAU à DISTANCE est installé sur l’ordinateur (avec DEMARRER)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/COMMUNICATIONS/ACCES RESEAU à DISTANCE


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Pour savoir si le composant ACCES RESEAU à DISTANCE est installé sur l’ordinateur (avec le POSTE de TRAVAIL)

Cliquer sur l’icône POSTE de TRAVAIL sur le bureauL’icône ACCES RESEAU A DISTANCE doit être présente

Pour installer le composant ACCES RESEAU à DISTANCE (avec le CDROM d’installation de WINDOWS 98)

Insérer le CDROM d’installation de WINDOWS 98 dans le lecteur

DEMARRER/PARAMETRES/PANNEAU de CONFIGURATIONModule « Ajout & Suppression de Programmes »

Onglet INSTALLATION de WINDOWS pour afficher tous les composants de WINDOWS installésSélectionner le composant COMMUNICATIONCliquer sur le bouton DETAILSCocher le composant ACCES RESEAU à DISTANCEOKCliquer sur le bouton APPLIQUER, et un message vous informe éventuellement d’insérer le CDROM d’installation de WINDOWS 98 dans le lecteur.Cliquer sur le bouton PARCOURIR pour sélectionner le chemin ou se trouve le composant à installé, c’est à dire sur le CDROM d’installation de WINDOWS 98 et dans le répertoire WIN98, soit avec « X » représentant la lettre attribuée au lecteur de CDROM :

X:\WIN98

Cliquer sur le bouton INSTALLER et conserver tous les fichiers les plus récent si la question vous est posée…

Pour réduire le temps de connexion (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRESCOMMUNICATION/ACCES RESEAU à DISTANCE

CLIC-DROIT sur l’icône de la connexionChoisir PROPRIETESOnglet TYPE de SERVEURDésactiver l’option SE CONNECTER A UN RESEAUOK

Pour connaître l’état du modem grâce à l’affichage d’une icône de deux ordinateurs dans la barre système (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)


CLIC-DROIT sur l’icône de la connexionChoisir PROPRIETESOnglet GENERALBouton CONFIGUREROnglet OPTIONSActiver l’option AFFICHER L’ETAT DU modemOKOK


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Pour activer la recomposition automatique du numéro de téléphone du serveur (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)


Dans la barre de menu CONNEXION/PARAMETRESOnglet GENERALActiver l’option RECOMPOSER et choisir la fréquence et l’intervalle pour recomposer le numéro du serveur si celui-ci est occupé…

Pour enregistrer le MOT de PASSE de connexion afin de ne pas avoir à le ressaisir à chaque connexion (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)


DOUBLE CLIC sur l’icône de CONNEXIONActiver l’option ENREGISTRER LE MOT de PASSE

Le mot de passe ne sera mémorisé qu’après une première connexion réussi ; pour être sûr que le mot de passe sera mémorisé, il faut parfois l’effacer, décocher la case, rouvrir la boite de dialogue, ressaisir le mot de passe (sans faute) et recocher la case ENREGISTRER LE MOT de PASSE…

Pour établir une connexion VPN (avec l’ACCES RESEAU à DISTANCE)

Installer le protocole PPTP

DEMARRER/PROGRAMMES /ACCESSOIRES/COMMUNICATION/ACCES RESEAU à DISTANCE

DOUBLE CLIC sur l’icône NOUVELLE CONNEXIONNommer la connexionSélectionner le périphérique MICROSOFT VPN ADAPTERBouton SUIVANTSpécifier l’adresse IP, ou indiquer le nom de l’hôte…Bouton SUIVANTBouton TERMINER

Le FIREWALL

Le FIREWALL est une mesure de protection filtrant les accès à un réseau local

Les PROXIES

Les PROXIES sont des supers caches INTERNET installés chez le fournisseur d’accès

Le navigateur INTERNET EXPLORER

Le navigateur INTERNET EXPLORER est le logiciel de navigation proposé par MICROSOFT.

NESCAPE COMMUNICATOR est un autre navigateur qui propose à peu près les même fonctionnalités que I.E., et il existe en version standard ou professionnel.

Il existe d’autres navigateurs :

OPERA est très rapide, il existe en français et est d’origine norvégienne :

http://www.operasoftware.com


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http://www.operasoftware.com/

BROWSE98 affiche deux pages Web côte à côte et requière un autre navigateur…

http://www.ftppro.com

NEOPLANET requière aussi un autre navigateur et change l’apparence d'I.E. en une interface plus moderne :

http://www.neoplanet.snap.com

Par ailleurs, les interfaces des logiciels de bureautique de la suite OFFICE 97 de MICROSOFT permettent d’afficher et d’éditer des page WEB…

Le navigateur INTERNET EXPLORER contient un « œuf de pâque » qui est un générique de toutes les personnes ayant participées au développement du programme:

Pour le faire apparaître, ouvrez I.E., cliquez sur la commande ?/A PROPOS D’INTERNET EXPLORER de la barre de menu, maintenez les touches CTRL + MAJ et faites glisser l’icône d’I.E. sur le globe, puis faites le glisser vers le texte, cliquez sur le bouton DEVERROUILLER, puis tout en maintenant CTRL + MAJ refaites glisser l’icône d’I.E. vers le globe et lâchez tous…

Le navigateur INTERNET EXPLORER permet de lire les pages HTML des site WEB

Le navigateur INTERNET EXPLORER, comme NESCAPE COMMUNICATOR, permet de butiner (Browse en anglais) sur le réseau INTERNET en cliquant sur des liens hypertextes, comme un mot souligné ou une image, qui renvoient vers une autre page HTML appartenant ou non au même site.

Des logiciels SHAREWARES pour naviguer sur INTERNET existent et sont disponibles sur le WEB :

OPERABROWSE98NEOPLANET…

La mémoire cache INTERNET permet de sauvegarder sur le disque dur les pages HTML des sites WEB visités. La navigation sur les sites mémorisés est accélérée puisque seulement les éléments actualisés sont téléchargés. La taille de la mémoire cache dépend de l’espace disponible sur le disque dur et des habitudes de navigation de l’internaute…

La navigation sur la toile requière :

Une ligne et un abonnement téléphonique pour joindre le point d’accès le plus proche du Provider

Un modem pour transformer les données digitales d’un ordinateur en données analogiques lesquelles seront transportées sur la ligne téléphonique RTC

Un abonnement chez le Fournisseur d’accès à INTERNET (Provider en anglais) pour accéder au réseau

Un ordinateur et un navigateur pour y saisir une adresse URL, télécharger et lire les pages des sites INTERNET écrites en HTML

La configuration d’une connexion INTERNET passe obligatoirement par trois étapes :

La configuration du modemLa configuration des paramètres de connexion du Provider dans l’ACCES RESEAU A DISTANCELa configuration du navigateur

Pour saisir une adresse INTERNET et établir une connexion à un site INTERNET (avec une des nombreuses barres d’adresse)


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http://www.neoplanet.snap.com/

http://www.ftppro.com/

Se connecter au RTC (Réseau Téléphonique Commuté) via le modemSaisir l’adresse URL (Uniform Ressource Locator) dans la barre d’adresse soit :

Du navigateur INTERNET EXPLORER

De la barre des tâches du bureau avec un CLIC-DROIT/BARRE D’OUTILS/ADRESSES

De l’EXPLORATEUR

Depuis le champ de DEMARRER/EXECUTER

A partir d’un traitement de textes comme WORD avec AFFICHAGE/BARRE D’OUTILS/WEB

Pour accéder aux paramètres de sécurité afin de restreindre les zones d’accès et de choisir le niveau de sécurité ( id est ) le degré d’ouverture de votre système par rapport aux APPLETS JAVA signées ou non, aux COOKIES, aux PLUGS IN et autres ACTIVE X…(avec INTERNET EXPLORER)


OUTILS /OPTIONS INTERNETOnglet sécurité et Onglet AVANCEES

Ou un DOUBLE CLIC sur l’icône à droite de la barre d’état représentant une mappemonde…

Pour créer un raccourci sur le bureau pointant vers un lien hypertexte d’INTERNET (avec INTERNET EXPLORER)


Ouvrir une page WEB ou lancer une navigationSélectionner et GLISSER DEPLACER le lien hypertexte sur le bureau ou sur l’emplacement réservé au bureau dans la barre des tâches

Pour étendre la recherche automatique de domaine aux sites français se terminant par .FR (avec REGEDIT)


Rechercher la clef suivante :

HKEY_LOCAL_MACHINE/SOFTWARE/MICROSOFT/INTERNET EXPLORER/MAIN/URLTEMPLATE

CLIC-DROIT sur la clef URLTEMPLATE du volet gaucheChoisir NOUVEAU/VALEUR CHAINEDans le volet droit chercher l’entrée dont le nom porte le numéro le plus grand et renommer la nouvelle entrée avec le numéro d’ordre suivant…CLIC-DROIT sur la nouvelle chaîne du volet droitChoisir MODIFIER dans le menu contextuelSaisir « www.%.fr »OK

Pour modifier l’adresse INTERNET recherchée par défaut avec la commande ALLER A… / RECHERCHER SUR LE WEB dans l’EXPLORATEUR et le bouton RECHERCHER dans INTERNET EXPLORER (avec REGEDIT)


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Rechercher les clefs MAIN et SearchURL dans la branche suivante :HKEY_LOCAL_MACHINE/SOFTWARE/MICROSOFT/INTERNET EXPLORER

/MAIN/SearchURL

Dans le volet droit modifier les adresses INTERNET enregistrées par défaut et les remplacées par de nouvelles, mais avec le chemin completOK

Pour personnaliser la barre d’outils (la barre de boutons) du navigateur et afficher les pages WEB en plein écran avec un simple clic (avec INTERNET EXPLORER)


AFFICHAGE/BARRE D’OUTILS/PERSONNALISERDans le volet de gauche sélectionner le bouton PLEIN ECRANIntercaler un SEPARATEURCliquer sur le bouton AJOUTER entre les deux voletsDans le volet de droite sélectionner le bouton ajouté et cliquer sur le bouton MONTER ou DESCENDRE pour modifier l’emplacement du bouton dans la barre d’outilsFERMER

Pour enregistrer intégralement une page WEB avec du texte et des images (avec INTERNET EXPLORER)


Ouvrir une page WEB…

FICHIER/ENREGISTRER SOUS…

Ou si les images ne sont pas enregistrées EDITION/PAGE pour ouvrir FRONT PAGE EXPRESS :

FICHIER/ENREGISTRER

Pour envoyer une page WEB par le courrier électronique (avec INTERNET EXPLORER)


Ouvrir une page WEB…FICHIER/ENVOYER/PAGE PAR COURRIER ELECTRONIQUE pour ouvrir le logiciel de messagerie électronique OUTLOOK EXPRESSSaisir l’adresse e-mail du destinataireCliquer sur le bouton ENVOYER

Pour afficher le code source HTML d’une page WEB (avec INTERNET EXPLORER)


Ouvrir une page WEB…AFFICHAGE/SOURCE


205

Pour afficher une nouvelle page WEB dans une nouvelle fenêtre et garder ainsi le contenu de la page précédente visible (avec INTERNET EXPLORER)



Maintenir la touche MAJ et cliquer sur le lien pour ouvrir une nouvelle fenêtre avec la nouvelle page web…

Ou FICHIER/NOUVEAU/FENETRE pour afficher la même page web dans une nouvelle fenêtre…

Pour accroître la vitesse de téléchargement des pages WEB en désactivant les composants multimédias et se contenter du texte (avec INTERNET EXPLORER)


OUTILS/OPTIONS INTERNETOnglet AVANCESDans le groupe des composants multimédias désactiver le chargement des images, des animations, des vidéos et des sonsAPPLIQUEROK

Pour afficher les composants multimédias même si ceux-ci sont désactivés (avec INTERNET EXPLORER)


Ouvrir une page WEB sans les composants multimédias…CLIC-DROIT sur l’espace réservée à l’imageChoisir AFFICHER L’IMAGE pour télécharger l’image

Pour modifier la taille du cache INTERNET qui stocke les sites déjà visités dans le répertoire C:\WINDOWS/TEMPORARY INTERNET FILES (avec INTERNET EXPLORER)


OUTILS/OPTIONS INTERNETOnglet GENERALBouton PARAMETRES dans la zone TEMPORARY INTERNET FILESDéplacer le curseur pour augmenter la taille du tampon…

Pour interrompre le téléchargement d’une page WEB (avec INTERNET EXPLORER)


Ouvrir une page WEB…Appuyer sur la touche ECHAP

Pour lancer le navigateur sans invite de connexion dès le démarrage (avec INTERNET EXPLORER)


OUTILS/OPTIONS INTERNETOnglet CONNEXIONSOptions NE JAMAIS ETABLIR de connexionAPPLIQUEROK


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Pour rechercher un terme dans une page WEB (avec INTERNET EXPLORER)



EDITION/RECHERCHER (DANS CETTE PAGE)Ou CTRL + F :

Saisir le terme recherchéSUIVANT

Pour désactiver et interdire le téléchargement des COOKIES, il faut personnaliser les paramètres de sécurité du navigateur (avec INTERNET EXPLORER)


OUTILS/OPTIONS INTERNETOnglet SÉCURITÉOption PERSONNALISER LE NIVEAUBouton PARAMETRESDans le groupe COOKIESActiver l’option DESACTIVER les cookies pour la sessionActiver l’option DESACTIVER les cookies stockés sur l’ordinateurAPPLIQUEROK

Pour ne pas vérifier à chaque ouverture si INTERNET EXPLORER est sélectionné comme le navigateur par défaut (avec INTERNET EXPLORER)


OUTILS/OPTIONS INTERNETOnglet PROGRAMMESDésactiver l’option AU DEMARRAGE, VERIFIER SI INTERNET EXPLORER EST LE NAVIGATEUR PAR DEFAUT

Le logiciel de messagerie OUTLOOK EXPRESS

Le logiciel de messagerie ou de courrier électronique installé par défaut est OUTLOOK EXPRESS

Comme MS EXCHANGE, le logiciel de messagerie INTERNET OUTLOOK EXPRESS est fourni avec WINDOWS 98 ; c’est la version allégée de OUTLOOK 98 qui permet d’envoyer et de recevoir des messages électroniques, dits « e-mail », à toutes personnes disposant d’une adresse du type [email protected] attribuée par le fournisseur d’accès à INTERNET.

Pour envoyer et recevoir des e-mails il faut disposer d’un compte de messagerie ou autrement dit d’une adresse e-mail…

OUTLOOK EXPRESS est la version light et gratuite de OUTLOOK, et ne dispose pas d’un calendrier pour gérer les rendez-vous comme peut le faire OUTLOOK…

Pour rapatrier les messages et le carnet d’adresse d’un ancien logiciel de messagerie (avec OUTLOOK EXPRESS)

Ouvrir OUTLOOK EXPRESS

Lancer l’assistant d’importation des messages puis du carnet d’adresse :


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FICHIER/IMPORTER/MESSAGESFICHIER/IMPORTER/CARNET D’ADRESSE

Sélectionner l’ancien logiciel de messagerieBouton SUIVANTOption TOUS LES dossiersBouton TERMINER

Pour installer un autre compte de messagerie (avec OUTLOOK EXPRESS)


OUTILS/COMPTESOnglet COURRIERBouton AJOUTER puis courrier pour lancer l’assistant de création de comptes…

Pour envoyer et recevoir tous les e-mails de tous les comptes définis sur un ordinateur (avec OUTLOOK EXPRESS)


OUTILS/ENVOYER ET RECEVOIRENVOYER ET RECEVOIR TOUT

Pour ajouter une nouvelle adresse e-mail dans le carnet d’adresse (avec OUTLOOK EXPRESS)


Cliquer sur le bouton NOUVEAU CONTACT pour obtenir la boite de dialogue PROPRIETE qui gère les informations concernant un contact

Pour enregistrer automatiquement dans le carnet d’adresse, les adresses e-mail des personnes auxquelles l’utilisateur répond (avec OUTLOOK EXPRESS)


OPTIONS/OUTILSOnglet GENERALOption METTRE AUTOMATIQUEMENT LES PERSONNES AUXQUELLES JE REPONDS DANS MON CARNET D’ADRESSE

Pour compléter automatiquement dans le champ destinataire d’un nouveau message, l’adresses e-mail du correspondant quand il figure déjà dans le carnet d’adresse (avec OUTLOOK EXPRESS)


OPTIONS/OUTILSOnglet ENVOYEROption COMPLETER AUTOMATIQUEMENT L’ADRESSE E-MAIL EN COMPOSANT

Pour constituer un groupe de réception qui permet de transmettre le même message à plusieurs personnes (avec OUTLOOK EXPRESS)


OUTILS/CARNET D’ADRESSEFICHIER/NOUVEAU GROUPENommer ce nouveau groupe


208

Cliquer sur le bouton SELECTIONNER LES MEMBRES

Pour écrire ponctuellement un message e-mail avec un papier à lettre (avec OUTLOOK EXPRESS)


MESSAGES/NOUVEAU MESSAGE AVEC…/LIERRE par exemple…

Pour toujours envoyer un message e-mail avec le même papier à lettre (avec OUTLOOK EXPRESS)


OUTILS/OPTIONSOnglet MESSAGESous la rubrique PAPIER A LETTRE activer l’option COURRIERCliquer sur le bouton SELECTIONNER…Sélectionner dans la liste le fichier souhaité muni de l’extension .HTM

Pour attacher au message e-mail une pièce jointe sans passer par le DRAG&DROP (avec OUTLOOK EXPRESS)


Créer un nouveau message :

FICHIER/NOUVEAU/MESSAGE de COURRIER

Ou MESSAGE/NOUVEAU MESSAGE

Ou cliquer sur le bouton NOUVEAU MESSAGE

Composer le message puis pour insérer la pièce jointe :

INSERTION/PIECE JOINTE

Ou Cliquer sur le bouton JOINDRE dans la barre d’outils

Sélectionner un fichier son, vidéo, ou texte dans l’arborescenceBouton JOINDRE

Pour créer des règles de message s’appliquant aux messages entrants ou sortants, et qui permettent de filtrer, d’interdire, d’automatiser des réponses, de copier, de déplacer ou de transférer des messages (avec OUTLOOK EXPRESS)


OUTILS/RÈGLES de MESSAGE/COURRIERSélectionner les conditions et les actions souhaitées…Nommer la nouvelle règleOK

Pour envoyer un accusé de réception à tous les messages entrants (avec OUTLOOK EXPRESS)


OUTILS/GESTIONNAIRE de la BOITE de RECEPTIONAJOUTERCocher l’option TOUS LES MESSAGESCocher la case REPONDRE AVEC…


209

Cliquer sur le bouton PARCOURIR pour sélectionner un fichier de réponse automatique qui sera stocké dans le dossier BOÎTE D’ENVOI et qui sera envoyer lors de la prochaine connexion…

Pour connaître les informations d’en-tête d’un message contenues dans le code source en HTML (avec OUTLOOK EXPRESS)


CLIC-DROIT sur le message sélectionnéChoisir PROPRIETES dans le menu contextuelOnglet DETAILS pour afficher les informations d’en-tête concernant l’expéditeur …

Cliquer sur le bouton SOURCE DU MESSAGE pour obtenir le code source du message en langage HTML, et chercher les informations d’en tête placées au début…

Les moteurs de recherche

Pour se connecter à un moteur de recherche de personnes et connaître l’adresse e-mail d’un correspondant (avec INTERNET EXPLORER)


Se connecter au site suivant :

http://people.yahoo.com

Saisir dans les champs adéquats les critères de recherche :

Le nom et le prénom…

Cliquer sur le bouton SEARCH pour lancer une requête dans l’annuaire…

Pour se connecter à un moteur de recherche de personnes et connaître l’adresse e-mail d’un correspondant (avec DEMARRER)

Une autre façon de procéder est de cliquer sur le bouton DEMARRER du bureau et de sélectionner la commande RECHERCHER/PERSONNES :

Dans le champ REGARDER DANS sélectionner l’un des moteurs de recherche de personnes qui s’y trouvent déjà :

YAHOO ! PEOPLE SEARCHBIGFOOTINFOSPACEINFOSPACE BUSINESSSWITCHBOARDVERISIGNWHOWHEREEtc…

Saisir les critères de recherche :

Le nom et le prénom…

Cliquer sur le bouton RECHERCHER…


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Les groupes de discussion

Les groupes de discussion sont les communautés d’INTERNET

Les groupes de DISCUSSION sont le moyen de faire partie intégrante de « la communauté INTERNET », et la chance de pratiquer la NETIQUETTE qui est le code de déontologie, l’éthique sensé être pratiqué sur INTERNET...

Pour participer à un groupe de discussion, il faut installer un logiciel de discussion qui gère les échanges de messages en direct.

L’IRC (Inter Relay Chat) est un système client serveur qui gère instantanément les dialogues des participants. Un logiciel client qui permet de se connecter à un serveur peut être télécharger à l’adresse suivante :

http://www./mirc.co.uk

Pour dialoguer sans logiciel client mais au seul moyen de son navigateur, c’est possible en se connectant sur le site suivant :

http://fr.maxichat.com

MICROSOFT COMIC CHAT est un programme de dialogue en ligne qui représente les participants sous la forme de bande dessinée et qui est livré avec WINDOWS 98.

NETMEETING est aussi livré avec WINDOWS 98 mais s’adresse plus à des professionnels adeptes de la visioconférence. Cette application requière une carte son FULL-DUPLEX, une connexion réseau rapide comme NUMERIS, un microphone et une caméra…

L’éditeur FRONTPAGE EXPRESS

FRONTPAGE EXPRESS est l’éditeur de page HTML livré avec WINDOWS 98

L’éditeur de page HTML FRONTPAGE EXPRESS de MICROSOFT est la version allégée de FRONTPAGE 98.FRONTPAGE EXPRESS dispose d’une interface graphique pour facilité la création de pages WEB.

L’ASSISTANT PUBLICATION de SITES WEB

L’ASSISTANT PUBLICATION de SITES WEB est livré avec WINDOWS 98

L’ASSISTANT PUBLICATION de SITES WEB est un assistant pour publier un site WEB.

Les pages WEB créées avec FRONTPAGE EXPRESS peuvent ensuite être publiées sur le réseau et/ou chez un fournisseur d’accès, à l’aide de l’ASSISTANT PUBLICATION de SITES WEB.

Les utilitaires INTERNET

Les POWERTOYS pour INTERNET sont des utilitaires développés par les programmeurs d’I.E.

Les POWERTOYS pour INTERNET sont des utilitaires développés par les programmeurs d’INTERNET EXPLORER et sont téléchargeable à l’adresse suivante :

http://www.microsoft.com/ie/ie40/powertoys

Les POWERTOYS sont un package de 7 utilitaires qui facilitent l’exploitation d’INTERNET EXPLORER, et qui se placent soit dans la barre de liens, soit dans le menu contextuel de la page Web :

Open Frame in New WindowsQuick Search


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Zoom In/Zoom outImage TogglerText HighlighterWeb SearchLinks List

PING est une application réseau qui permet de connaître la durée d’un aller retour pour un paquet de 32 OCTETS entre l’ordinateur et une autre machine cible

Etablir une connexion au réseau INTERNET

Émuler une session MS-DOS :DEMARRER/PROGRAMMES/COMMANDE MSDOS

Dans le répertoire :

C:\WINDOWS

Lancer la commande PING suivie d’un espace et d’une adresse IP (ping @IP) :

Saisir : « ping XXX.XX.XX.XX »Saisir : « ping WWW._______.FR »

Suivie de la touche ENTREE…

Des paramètres peuvent être adjoint à la commande PING :

Ping –l @IP pour définir la taille d’un paquetPing –n @IP pour définir le nombre de paquets à envoyerPing –t @IP pour envoyer en permanence des paquets

Appuyer sur CTRL + C pour interrompre l’attente, l’envoie de paquets et/ou la restitution des mesures…

WINIPCFG est une application réseau qui permet de connaître l’adresse IP dynamique allouée à l’ordinateur lors d’une connexion à son Provider

Etablir une connexion au réseau INTERNET pour obtenir une adresse IP dynamique qui sera valable jusqu’à la fin de la connexion.

DEMARRER/EXECUTERSaisir « winipcfg »OK

TRACERT est une application réseau qui permet de connaître les 20 dernières adresses IP (les routeurs…) parcourues par un paquet avant d’atteindre sa cible

Etablir une connexion au réseau INTERNET

Emuler une session MS-DOSDEMARRER/PROGRAMMES/COMMANDE MSDOS

Dans le répertoire :

C:\WINDOWS

Lancer la commande TRACERT suivie d’un espace et d’une adresse IP (tracert @IP) :


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http://WWW._______.FR/

Saisir « tracert XXX.XX.XX.XX »Saisir « tracert WWW._______.FR »

suivie de la touche ENTREE…

WEBFERRET est une application INTERNET qui permet d’interroger en une même requête plusieurs moteurs de recherche différents en même temps et qui tri les réponses : LYCOS, ALTAVISTA, EXCITE, HOTBOT, WEBCRAWLER, MAGELLAN, INFOSEEK, YAHOO, VERONICA

Installer le méta moteur de recherche WEBFERRET sur l’ordinateur, le télécharger à l’adresse suivante :

http://www.ferretsift.com/netferret

DEMARRER/RECHERCHER/WEB-PAGESOption ALL KEYWORDS pour utiliser tous les critères de recherche…

NETACCELERATOR est une application INTERNET qui permet de télécharger tous les liens d’une page WEB quand le modem reste inactif

Télécharger la version d’essai de 15 jours sur le site suivant :

http://www.imsisoft.com/

GETRIGHT est une application INTERNET qui permet de reprendre un téléchargement interrompu

Télécharger le shareware à l’adresse suivante :

http://www.headlightsw.com/getright.html

NETLAUNCH est un shareware qui permet de planifier la connexion et le lancement des programmes INTERNET

NAVISCOPE est un shareware qui permet de ne pas télécharger les publicités des pages Web, de pré charger les liens, de bloquer les « POP UP WINDOWS » et de filtrer les cookies

GODZILLA est un shareware qui permet de télécharger depuis le serveur miroir le plus rapide, de reprendre un téléchargement interrompu, de lister les fichiers d’un site Web et de déconnecter ou d’éteindre l’ordinateur après un téléchargement

MEMOWEB est un shareware qui permet d’aspirer des sites entiers

ADSUBSTRACT SE est un shareware qui permet les même fonctionnalités que NAVISCOPE

AFREET SITE VIEWER est un shareware qui permet de visualiser l’arborescence d’un site

NETBOUSSOLE est un shareware qui permet d’accéder à un classement de sites par thème

WEBSPECTOR LITE est un shareware qui permet d’être prévenu des mises à jour des sites placés dans le dossier des FAVORIS

CRUSH POP 2000 est un shareware qui permet de fermer les « POP UP WINDOWS »

INTELLI DIAL UP est un shareware qui permet d’optimiser les paramètres de connexion

I SPEED est un shareware qui permet d’optimiser les paramètres de connexion

REALDOWNLOAD est un shareware qui permet les même fonctionnalités que GODZILLA


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http://WWW._______.FR/

FLASHGET est un shareware qui permet de décomposer un gros fichier en de petits morceaux afin de le télécharger plus vite

COPERNIC est un shareware qui permet d’interroger plusieurs moteurs de recherche en même temps, de supprimer les doublons dans les réponses à la requête et de les classer par ordre de pertinence

Le SERVEUR WEB PERSONNEL

Le SERVEUR WEB PERSONNEL permet de mettre soi-même en ligne son site INTERNET si l’on dispose d’une connexion INTERNET permanente

Le SERVEUR WEB PERSONNEL permet de se passer d’un fournisseur d’accès et de publier son propre site, soi-même et sur son propre disque dur ; il faut pour cela disposer d’une adresse IP et d’une connexion à INTERNET permanente, et il faut accepter de laisser son ordinateur toujours allumer et connecter afin d’attendre et de recevoir les demandes de connexion au site.

Pour installer le SERVEUR WEB PERSONNEL (avec le CDROM d’installation de WINDOWS 98)

Insérer le CDROM D’INSTALLATION de WINDOWS 98 dans le lecteur

DEMARRER/EXECUTERSaisir et valider la ligne de commande suivante :

X:\add-ons\pws\install.exe où X est la lettre du lecteur

DOUBLE CLIC sur la nouvelle icône située dans la barre des tâches pour ouvrir le gestionnaire de serveur…

HYPERTERMINAL

HYPERTERMINAL est une application qui permet de connecter deux ordinateurs ensembles

Fournis avec WINDOWS 98, le programme HYPERTRM.EXE permet de connecter deux ordinateurs ensembles afin d’échanger des données. Il est enregistré dans le dossier :

C:\PROGRAM FILES\ACCESSOIRES\HYPERTERMINAL\HYPERTRM.EXE

Pour démarrer une connexion et communiquer avec un autre ordinateur (avec HYPERTERMINAL)

Veiller à vérifier si l’ordinateur appelé n’est pas occupé, si son programme HYPERTERMINAL est lancé et si dans le menu APPEL, la commande ATTENDRE UN APPEL est activée afin de décrocher et de négocier la vitesse de transmission des données quand l’appel arrivera…

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/COMMUNICATION/HYPERTERMINAL pour ouvrir une fenêtre contenant le programme HYPERTERMINAL

DOUBLE CLIC sur l’icône HYPERTRM.EXENommer la connexion…Choisir une icône pour représenter cette connexion…OK

Saisir le numéro de téléphone correspondant à l’ordinateur avec lequel établir une connexion…

Sélectionner un modem…Cliquer sur le bouton COMPOSER UN N° pour établir la connexion…


214

Quand le message CONNECT apparaît, la communication est établie entre les deux ordinateurs et chacun peut échanger du texte à l’aide du clavier…

Pour échanger des fichiers (avec HYPERTERMINAL)

Du point de vue de l’émetteur :

TRANSFERT/ENVOYER UN FICHIERSélectionner le fichier à transmettre avec le bouton PARCOURIRCliquer sur le bouton ENVOI…

Du point de vue du récepteur :

TRANSFERT/RECEVOIR UN FICHIERDéfinir le dossier cible qui enregistrera le fichier reçuDéterminer le protocole de communicationCliquer sur le bouton RECEPTION…

SERVEUR RAS

SERVEUR RAS est une application réseau qui permet d’établir une connexion entre deux ordinateurs

Le programme SERVEUR RAS (Remote Access) permet d’établir une connexion RAS avec le protocole PPP (Point to Point Protocol) qui utilise les couches TCP/IP, IPX/SPX et NETBEUI.

La connexion RAS permet d’accéder à des fichiers partagés, mais le programme SERVEUR RAS ne permet pas de prendre le contrôle d’un autre ordinateur à distance, pour cela il faut d’autres fonctionnalités qui sont présentent dans le logiciel PC ANYWHERE…

Le protocole PPTP (Point to Point Tunneling Protocole) permet d’utiliser les réseaux privés virtuels (VPN) via les WAN (Wide Area Networks) basés sur TCP/IP…

Pour établir une connexion RAS (avec SERVEUR RAS)

Les ressources de l’ordinateur distant doivent être partagées…

DEMARRER/PROGRAMMES/ACCESSOIRES/COMMUNICATION/ACCES RESEAU A DISTANCE

Dans la barre de menu activer la commande CONNEXION/SERVEUR D’ACCES DISTANTOnglet du modem souhaité…Option AUTORISER L’ACCESBouton TYPE de SERVEUR

Choisir dans le menu déroulant DEFAULT pour essayer PPP, puis WINDOWS FOR WORKGROUPS…OK

APPLIQUER

Une nouvelle icône apparaît dans la barre des tâches et affiche l’état du serveur…

La connexion direct par câble

La connexion direct par câble est le moyen le plus simple pour échanger des données entre deux ordinateurs PC tournant avec le système d’exploitation WINDOWS 98.

Placé dans le répertoire :


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C:\WINDOWS\DIRECTCC.EXE

La connexion direct par câble requière un câble connecté entre les deux ordinateurs sur le même port :

Câble série sur COM 1Câble parallèle sur LTP1

Le programme DIRECTCC.EXE doit être exécuté sur les deux ordinateurs, l’un en tant que « Hôte » et l’autre en tant que « Invité ». C’est l’invité qui accède aux ressources de l’hôte.


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