Rep2400 essai guillemette

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Essai personnel Je tweet, tu m’informes… nous socialisons! par Danielle GUILLEMETTE (GUID22607409) Certificat en études individualisées, concentration relations publiques Faculté de l’éducation permanente Travail présenté à Patrice Leroux dans le cadre du cours REP2400 Internet et relations publiques 19 octobre 2010

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Essai personnel Je tweet, tu m’informes… nous socialisons!

par Danielle GUILLEMETTE

(GUID22607409)

Certificat en études individualisées, concentration relations publiques

Faculté de l’éducation permanente

Travail présenté à Patrice Leroux dans le cadre du cours REP2400

Internet et relations publiques

19 octobre 2010

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Je tweet, tu m’informes… nous socialisons!

Les réseaux sociaux ont été créés progressivement aux États-Unis après

l’arrivée d’Internet, soit dans les années 90. Le concept Web 2.0, lancé par Tim

O’Reilly en 2005, fait également partie du jargon des internautes. Peu importe

l’expression employée (réseau social, réseautage social, etc.), le phénomène

des réseaux sociaux est en train de marquer une page d’histoire importante

dans le monde. Cet avènement technologique bouleverse et modifie la façon

dont les êtres humains entrent en relation avec les autres de leur espèce. Les

réseaux sociaux utilisent plusieurs technologies telles que les blogues, les

Wikis, les sites de partage de photos (Flickr) et de vidéos (YouTube). Qu’est-ce

que cet univers virtuel va changer sur le plan sociologique et politique? Qu’en

est-il des médias traditionnels?

Sociologique (+)

Dans mon jeune temps, pas si lointain quand même, je n’ai que 35 ans,

je correspondais avec mes amis, mes parents et quelques correspondants

venus d’autres continents par téléphone ou par lettre manuscrite. Eh oui, les

sacs que les facteurs de Postes Canada transportaient étaient beaucoup plus

lourds à l’époque qu’aujourd’hui. Le volume de lettres a certainement beaucoup

diminué avec l’arrivée d’Internet. Au revoir les boîtes aux lettres standards,

bienvenue aux boîtes aux lettres électroniques. Le courriel, principalement

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utilisé pour maintenir un lien social, notamment en cas d’éloignement

géographique, a changé la rapidité avec laquelle on rejoint un individu. Plutôt

que de diversifier les moyens de communication, le courrier électronique a fait

en sorte que les moyens dits plus traditionnels ont vite été mis de côté.

Parce qu’avec Internet les messages voyagent à vitesse grand V, je crois

que les gens écrivent beaucoup plus qu’avant. Ils n’écrivent pas mieux mais

plus. La qualité du français ne s’est pas améliorée, j’en conviens. Cela me

hérisse au plus haut point quand je lis des courriels ou des échanges sur les

sites de clavardage remplis de fautes d’orthographe. Il arrive parfois que ces

messages soient incompréhensibles tellement ils sont écrits en abrégé. Selon

ce qu’a rapporté la journaliste Marie-Ève Morasse sur Cyberpresse, section

Technaute, « les téléphones servent moins à parler qu'à texter. Parmi tous les

utilisateurs de téléphones cellulaires aux États-Unis, les jeunes de 13 à 17 ans

sont les plus grands utilisateurs de textos. » En textant, il faut que ça se passe

vite. Pas le temps de prendre le temps d’écrire les mots au complet. Les jeunes

écrivent au son. Quelle horreur! J’ai un fils qui est en 2e année. Il est encore à

l’abri de tout ce phénomène. Je souhaite ardemment qu’il en reste ainsi, mais il

ne faut pas que je me crée de fausses illusions; un jour il aura son propre

compte Facebook et joindra ses amis par cellulaire ou par tout autre moyen

technologique révolutionnaire qui aura vu le jour d’ici là.

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Pour ma part, j’ai vite adhéré à ce mode de vie virtuel. La plupart de mes

bonnes amies viennent d’un peu partout dans la province. Pas juste des villes

voisines, mais d’un peu plus loin. Le courriel m’a permis de garder contact avec

elles, et ce, depuis presque 20 ans. Depuis quelques années, certaines d’entre

elles ont fait le saut comme moi dans l’univers des médias sociaux,

principalement avec Facebook. Je dirais que je suis la plus branchée de toutes.

Je n’ai pas de téléphone intelligent, mais je suis sur Facebook, sur Twitter et j’ai

créé mon blogue.

J’adore Facebook. De nature curieuse, j’aime bien voir ce que les autres

font dans la vie. J’ai facilement accès à leurs photos (bien sûr si les paramètres

de sécurité en permettent l’accès). Je trouve que le réseau social Facebook a le

don de rapprocher les gens. C’est un moyen rapide de contacter ses amis ou de

retrouver de vieux amis avec lesquels on a perdu contact. Par ailleurs, je crois

qu’il faut faire plus que d’être derrière son clavier et son écran. En plus

d’échanger dans cet univers virtuel, il faut s’organiser pour établir de vraies

rencontres en chair et en os. Le toucher, l’échange de regards et de sourires, il

n’y a rien de mieux! Certains diront que nous pouvons utiliser la webcaméra,

mais ce n’est pas pareil.

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Sociologique (–)

Tisser sa toile sur le Web, c’est-à-dire laisser une empreinte numérique

dans le cyberespace est un pensez-y bien. Qu’en est-il de notre vie privée?

Jusqu’à quel point suis-je protégée?

Il suffit simplement d’une recherche à l’aide d’un moteur de recherche tel

que Google pour me retracer. Résultat : on sait que j’ai un compte Twitter,

Facebook et Slideshare. Ça ne m’inquiète pas outre mesure, mais si mes amis

ou mes amis d’amis diffusaient une photo ou un commentaire à mon égard, et

ce, sans mon consentement… peut-être que je trouverais ça moins drôle. Je

désire contrôler ce qui est diffusé à mon sujet, mais c’est là le cœur du

problème. Qui a réellement le contrôle?

Par exemple, je me crée un profil à mon image. Je divulgue ce que j’ai

envie. Je mets en place des paramètres de sécurité en lesquels j’ai confiance.

Le jour où je voudrai supprimer mon profil, est-ce que je serai toujours

« retraçable »? Je crois que oui. Une fois que tu as mis le pied dans cet univers

virtuel, c’est pour le meilleur et pour le pire.

Communiquer virtuellement peut créer aussi une sorte d’isolement pour

certaines personnes. T’as beau avoir des centaines d’amis dans le

cyberespace, mais le soir venu, quand tu éteins ton ordinateur, te retrouves-tu

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seul dans ta maison? Avec qui peux-tu maintenant échanger? L’univers où

s’échangent bits et pixels demeure un environnement assez froid, sans grande

émotion. Pour quelqu’un qui est seul et dont ses seuls amis sont ceux sur les

réseaux sociaux, ça doit être la fin du monde quand le réseau informatique

plante. Il doit se retrouver seul au monde en train de faire une crise d’urticaire.

Notre réseau social, le vrai, ne doit pas se limiter qu’au monde virtuel. Chaque

être humain a besoin d’entrer en contact avec du vrai monde.

Lorsque ton réseau social devient antisocial, c’est un peu la catastrophe.

Aux États-Unis, il y a des cas de jeunes qui, à cause de Facebook, se sont

suicidés. Les jeunes sont souvent méchants entre eux. L’école est souvent le

lieu où l’intimidation est fortement présente. Cette intimidation est transportée

sur Facebook : les jeunes créent des pages à propos de leur victime. Comme ils

ne sont pas face à la personne qui subit de l’intimidation, ils peuvent écrire ce

qu’ils veulent. Les répliques et les commentaires peuvent se multiplier par

centaine étant donné que les amis d’amis peuvent y avoir accès, ce qui en rend

la férocité plus accrue. Les étudiants avec peu de moyens de défense sont

soumis à ce genre d’attaque. Ils vivent un enfer qui les amène à une libération

sans retour.

Sur Facebook ou sur tout autre réseau social, on peut devenir qui on

veut. On est le super héros de notre propre histoire. On n’est qu’une personne

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virtuelle, qu’un banal profil. Pour certains internautes, il peut arriver qu’ils

projettent l’image qu’ils veulent être plutôt que celle de qui ils sont vraiment.

Cette situation peut vraiment être dangereuse. Par exemple, dans le cas des

cyberprédateurs sexuels. Cela devient un jeu d’enfant pour eux d’attraper dans

leur toile, pas que virtuelle, mais bien réelle, une proie sans défense. Par

chance, avec un peu de vigilance de la part de tous, il est de plus en plus

courant de pincer ces gens aux intentions malveillantes.

Politique

En Iran, au printemps 2009, le site Facebook a été bloqué par les

autorités iraniennes, quelques jours seulement avant les élections

présidentielles. Selon certaines sources, le gouvernement a agi ainsi afin de

contrer toute influence qu’aurait pu avoir l’un des candidats à la présidentielle

sur les citoyens. Le gouvernement ne voulait pas que ses idées, plutôt

modérées, plus « occidentales » changent la mentalité et la perception qu’ont

les gens de ce pays par rapport à leur gouvernement actuel.

Les pays dont le gouvernement est plus autoritaire, donc moins

démocratique, sont susceptibles de vouloir contrôler l’information qui circule

partout, surtout dans les réseaux sociaux. Avant, l’opposition gouvernementale

utilisait des tracts pour faire connaître leur opinion. Maintenant, en moins d’une

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heure avec les réseaux sociaux, les groupes politiques ont la possibilité de

transmettre leur idéologie partout à travers la planète.

Même si les dictatures à travers le monde s’opposent farouchement à la

propagation d’information dans le cyberespace, ces applications sociales et

virtuelles ne sont pas étanches. Il y aura toujours quelqu’un quelque part qui

sera en mesure de diffuser une information importante. Même ici au Canada, les

politiciens ne sont pas encore prêts à faire le saut dans les réseaux sociaux par

peur de ne pas être en mesure de tout contrôler. Je crois qu’il ne faut pas

censurer ce que les gens ont à dire. Vive la liberté d’expression! Cela peut plaire

ou choquer, mais c’est là où réside toute la beauté de la chose : ça amène des

discussions franches et directes.

De nos jours, rien ne peut rester caché. Par exemple, un cas de brutalité

policière pourrait être rapporté par des citoyens qui diffuseraient sur les réseaux

sociaux ce qu’ils filmeraient à l’aide de leur cellulaire.

Autre cas, les policiers de Toronto ont fait appel au réseau social

YouTube afin de pouvoir retracer un homme accusé d’avoir agressé un bébé.

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Selon un article diffusé sur le site Internet CBC News, le 8 octobre 2010,

le Canada est le premier pays à diffuser une alerte AMBER1 sur Facebook. Une

page a été créée à cet effet. Comme Facebook compte plus de 500 millions de

membres, cette collaboration aidera peut-être à retrouver plus rapidement les

enfants disparus.

Tous ces exemples de « bon citoyen » démontrent que les réseaux

sociaux sont d’une grande utilité. Le fait d’être perpétuellement sous l’œil de Big

Brother amènera les gens à changer leur comportement en public ou du moins

à tempérer leur humeur en cas de conflit.

La force et la faiblesse en même temps, c’est que monsieur-madame-

tout-le-monde peut s’improviser journaliste. Comme les réseaux sociaux ne sont

pas vraiment régis par des lois, c’est un système un peu désorganisé, où

l’information que les gens diffusent n’est pas toujours corroborée, ça peut faire

en sorte qu’un petit feu de paille devienne un méchant gros feu de forêt.

1 C’est un système d’information rapide mis en place lorsqu’une disparition d’enfant est signalée. Vu que les premières heures sont cruciales dans ce type de situation, l’alerte AMBER (Alerte Médiatique But Enfant Recherché) sollicite, par divers moyens de diffusion, la participation de la population afin de retrouver rapidement un enfant victime d’enlèvement et dont la sécurité physique ou la vie est en danger.

(Source : http://www.sq.gouv.qc.ca/prevenir-la-criminalite/programmes/alerte-amber.jsp)

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Les médias sociaux percent l’univers des médias traditionnels

Les réseaux sociaux sont en train de dépasser les médias traditionnels

comme première source d’information. Il n’est plus nécessaire d’attendre le

journal sur le seuil de notre porte le matin pour obtenir les dernières nouvelles. Il

suffit de naviguer sur Internet pour dénicher la nouvelle de l’heure ou le potin à

la mode. Plusieurs journaux ont leur version Web comme La Presse avec son

site Cyberpresse. Avec les agrégateurs et les alertes Google par exemple, il est

facile et rapide d’être informé à la minute près avec les applications sociales

disponibles sur nos portables par exemple (cellulaire, etc.).

Même les chaînes de télévision qui diffusent les nouvelles en continu

commencent à ressembler à de vraies pages Web avec toute l’information qui y

défile au bas de l’écran et quelques fois à droite. L’information prend plus de

place que la nouvelle elle-même.

Même si Twitter compte près de 145 millions de membres à travers le

monde, les Québécois ne partagent pas encore son engouement. Malgré cela,

les médias traditionnels québécois ont décidé de s’y attarder. Il n’est pas rare de

voir un lecteur de nouvelles faire référence à ce qui a été écrit sur Twitter par

exemple. Cela change beaucoup la façon dont l’information est traitée et

diffusée.

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Selon le Cefrio, les blogues et les réseaux sociaux comme Facebook n'en finissent pas de gagner des adeptes au Québec. En 2010, c'est 42 % des adultes québécois qui ont visité un site de réseautage social, une augmentation de 12 % par rapport à 2009. La même tendance s'observe sur les blogues, puisque 33 % des adultes avaient visité un blogue en 2010, contre 28 % l'année précédente. Les internautes ont l'embarras du choix. Encore aujourd'hui, on estime qu'il se créée 95 000 nouveaux blogues chaque jour. L'étude du Cefrio a été menée auprès de 1 001 adultes québécois en mars 2010. Sa marge d'erreur est de plus ou moins 3,4 %, 19 fois sur 20.2

Selon un sondage Ipsos, commandé par BRANCHEZ-VOUS.com, un

internaute québécois sur quatre est abonné à Facebook. Avec toutes ces

statistiques, il est maintenant évident que les internautes s’informent à même

les réseaux sociaux. C’est pour cette raison je crois que les médias traditionnels

ont pris la voie de l’autoroute virtuelle. C’est un moyen bidirectionnel d’obtenir et

de recevoir de l’information nouvelle. Pour les citoyens, cela leur donne une voix

pour s’exprimer. Pour les médias, cela leur permet de mesurer le pouls de ce

que les gens pensent d’un tel événement.

2 JOLICOEUR, Anne-Marie. « Communiqué de presse – Les médias sociaux explosent au Québec », Cefrio, 5 octobre 2010 (site consulté le 14 octobre 2010). http://www.cefrio.qc.ca/fileadmin/documents/Communiques/communique_NETendances_final.pdf

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Conclusion

Bref, les réseaux sociaux sont là pour rester. Ils permettent de rejoindre

directement la population mondiale sans passer par le filtre des médias

traditionnels. Une communauté virtuelle est née, elle a tant à dire. Les gens ont

beaucoup plus de moyens qu’auparavant pour faire passer leur message. Ils

n’ont plus besoin de la télévision ou des journaux, ils n’ont qu’à se tourner vers

le Web et faire le travail eux-mêmes.

Les médias traditionnels survivront, mais collaboreront étroitement avec

les réseaux sociaux. Un dialogue s’est déjà amorcé entre eux. Que ce soit au

Téléjournal de Radio-Canada ou au Banquier de TVA, une invitation à les suivre

est lancée aux téléspectateurs, soit sur Facebook, soit sur Twitter.

Dans certains milieux de travail, par exemple les relations publiques, il est

important de laisser sa trace numérique. En publiant des articles pertinents, en

discutant sur des forums, cela permet d’accroître notre visibilité.

Le monde de l’information est en train de changer. Il se peut fort bien que

dans les prochaines années, les journalistes, qui arriveront les premiers sur la

scène d’un événement important, prennent les premières images à l’aide de leur

iPhone et soient en mesure d’être les premiers à les diffuser.

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Les réseaux sociaux tels que Twitter, fondé en 2006, et Facebook, fondé

en 2004, rejoignent des centaines de millions de gens à travers la planète. Voici

le nouveau canal de communication de l’avenir. Grâce à la popularité de

Facebook (c’était quasiment incontournable), le réalisateur David Fincher a

adapté le livre de Ben Mezrich et réalisé le film Le réseau social (The Social

Network) qui est en tête du box-office québécois.

Qu’on aime ou non, les réseaux sociaux sont là pour rester. Aussi bien

s’en faire des alliés et les utiliser intelligemment. Je suis curieuse de voir ce que

les nouvelles technologies nous apporteront de plus dans les prochaines

années.

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Bibliographie

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