J O U R N A L C O M M U N A U T A I R E D ’ A S C O T

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VOLUME 9, Nº3 - NOVEMBRE 2013

Il y a plus de courage que de talent dans la plupart des réussites.

— Félix Leclerc

Regards rencontre Carmen Gadoury

page 12

La nouvelleMaison des

grands-parentsde Sherbrooke

page 8 pages 6 et 7

Ce 10 novembre

Assemblée de quartier du 15 octobre :Ascot en Santé et ses partenaires

toujours en action!

page 5

N ove m b r e 2 0 1 32

RÉDACTIONDaniel St-Onge

C. P. 22002Sherbrooke QC J1E 4B4

Tél. : 819 821-2548journalregards@yahoo.ca

PUBLICITÉFlorent Rousseau :

819 822-3299 / 819 993-2505Réal Blais : 819 563-1067

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Regards est réalisé grâce à la participation financière du Ministère de la Culture et des Communications du Québec, de l’Arrondissement du Mont-Bellevue et de la Caisse Desjardins du Mont-Bellevue de Sherbrooke.

Regards est aussi disponible en format PDF sur le site :www.amecq.ca/journaux_membres/regards/

Dépôts légaux : Bibliothèques nationales du Québec et du CanadaTirage : 4 750 exemplaires Distribution : Publisac Coordination, journalisme et graphisme : Daniel St-OngeRévision et correction : Monique Joyal-PainchaudConseil d’administration : Jn-Guy Saint-Gelais, président; Julie Falardeau, vice-présidente et secrétaire; Gérard-Pierre Ti-I-Taming, trésorier; Evelyne Lapierre, administratrice; Guillaume Corriveau, administrateur; Bruno Léger, membre coopté de l’arrondissement du Mont-Bellevue; Monique Joyal-Painchaud, personne ressource.

Regards est un journal communautaire dont la mission est de participer à la mobilisation des citoyens, des organismes et des institutions du quartier Ascot. Son contenu rédactionnel contribue à mettre en valeur la richesse du tissu social et culturel local. Les opinions émises dans les textes publiés dans ce journal n’engagent que leurs auteurs. Regards ne s’en tient pas responsable.

Ne jetez pas ce numéro de Regards : recyclez son papier!

Prochaine date de tombée des textes et des publicités15 NOVEMBRE 2013

Prochaine date de parution

4 DÉCEMBRE 2013

L’imprimerie à bon prix.• Impressions de tous genres

• En-tête, enveloppe, dépliants, brochures975-1, chemin Hamel

Sherbrooke (Québec) J1R 0P7Tél. : 819.569.0219 - Téléc. : 819.569.8094

econolitho@cooptel.qc.ca

Daniel ST-ONGECoordonnateur du journal Regards

Regards est imprimé par :

Corporation Ascot en Santé819 822-5455 poste 14876

corpoaes@alinto.com819 342-0996

TremblaySa@csrs.qc.ca

En partenariat avec :

Madame Claire Desrochers Roy L’équipe de Regards déplore le décès de

madame Claire Roy, survenu le 5 octobre dernier, suite à un combat acharné contre le cancer. Elle fut jusqu’à son dernier souffle présidente du club Les Copains de l’Âge d’or du Précieux-Sang. Elle fut aussi membre de l’AFÉAS Précieux-Sang et, à ce titre, a fait partie du groupe de joyeuses plieuses du journal à l’époque de sa distribution postale. Ce qui caractérisait Mme Roy, c’était son optimisme inébranlable, sa bonne humeur conta-gieuse et ses petites « jokes » coquines et hilaran-tes. Parions que Saint Pierre lui a demandé de lui en raconter une avant de la laisser entrer au paradis…

Toujours les mêmes ?

www.facebook.com/pages/Ascot-en-Santé/125288147532136

édition de novembre 2013

Encore cette année, Ascot en Santé a convié les bénévoles ayant parti-cipé à Voisinage en fête pour les remercier de leur implication et pour

le travail accompli, dont quelques-uns apparaissent sur notre photo. Ce fut aussi l’occasion de faire le bilan organisationnel de la fête : les bons coups, ce qui a cloché, ce qui serait à améliorer afin de rendre cette belle fête de quartier encore plus attractive. Pour la circonstance, on a dégusté un gâteau et on a procédé au tirage de beaux prix.

Or, il arrive qu’on entende dire que ce sont toujours les mêmes visages que l’on voit à faire du bénévolat lors des activités ou fêtes populaires. Rien n’est plus faux! Voisinage en fête 2013 en a fait encore la démonstration, car bon nombre de nouveaux visages, dont des jeunes issus de l’école inter-nationale du Phare et de la Maison des jeunes Flash, ont joint les rangs des gens impliqués du quartier. Et regardez bien lors du Souk qui arrive : vous serez étonnés et ravis de les voir de nouveau à l’œuvre.

3N ove m b r e 2 0 1 3

Il y a beaucoup d’artisans dans le quartier d’Ascot, telle-ment que, lors d’un forum citoyen organisé par Ascot en

Santé, ils ont décidé de se regrouper. De là est née l’asso-ciation LES ARTISANS DU CHANGEMENT.

C’est un groupe ouvert, sans statut légal qui, depuis ses débuts, est soutenu par la Corporation de développement économique communautaire de Sherbrooke (CDEC). Les objectifs de ce regroupement sont principalement d’initier les artisans à l’entrepreneuriat, d’offrir des forma-tions afin de développer des compétences, de permettre le réseautage et une mise en commun de leurs ressources, de mettre en valeur le savoir-faire et la créativité et de faire connaître les services et les produits du milieu afin d’amé-liorer les conditions de vie des artisans.

Les différentes activités organisées par la table de concerta-tion Ascot en Santé (Voisinage en fête, Le SOUK, etc) sont des événements qui permettent aux ARTISANS de se faire connaître et de mettre en valeur leur savoir-faire. LES AR-TISANS DU CHANGEMENT, comme leur nom l’indique, ont aussi comme objectif de s’impliquer dans les projets collectifs de leur communauté en devenant, par leur parti-

cipation citoyenne et leur créativité, des agents de change-ment dans leur milieu. D’ailleurs, vous pourrez venir les rencontrer lors du Souk, le 10 novembre prochain à l’école internationale du Phare. Nous sommes actuellement en re-crutement et nous invitons tous les artisans d’Ascot inté-ressés à se joindre à ce mouvement, de communiquer avec nous pour en savoir davantage.

Carmen Houde : choude@cdec-sherbrooke.caou Sandy Tremblay : TremblaySa@csrs.qc.ca

Carmen Gadoury

Les artisans du changement recrutent !

Lors de l’assemblée de quartier du 15 octobre dernier, nous avons pu constater la diversité culturelle qui carac-

térise notre quartier. Notre communauté est colorée. Mais, elle est aussi dotée de personnes de qualité et de savoir.

Les immigrés ou, mieux encore, ces nouveaux venus contri-buent à donner un cachet tout spécial à nos cultures et à nos coutumes. Les rencontres avec ces concitoyens sont riches et enrichissantes pour toutes les parties. L’intégration se fait d’autant plus facilement que les échanges lors des assem-blées de quartier nous font découvrir de nombreux talents.

Nous devons être fiers de pouvoir vivre dans un milieu aussi diversifié. La communauté d’Ascot rayonne et déborde nos limites territoriales. La grande Ville de Sherbrooke et la région bénéficie de cet apport incroyable de nos diverses communautés culturelles.

Contribuons à perpétuer cette diversité.

Au plaisir.

La diversité

Jn-Guy SAINT-GELAISPrésident du C. A.du journal Regards

N ove m b r e 2 0 1 34

VIE CULTURELLE

Concours d’écriture des arrondissements La Ville de Sherbrooke est heureuse de dévoiler les noms des lauréats et des lauréates du premier concours d’écriture des arrondissements, qui s’est terminé le 31 mai. Ce concours visait à mettre en valeur des lieux emblématiques pour chacun des six arrondissements de la ville : le domaine Howard, le parc Victoria, la rue Queen, les châteaux d’eau, le parc du Mont-Bellevue et le sanctuaire de Beauvoir.

L’Arrondissement du Mont-Bellevue tient à féliciter les lauréats, dont Marc-André Dufour-Labbé, gagnant pour l’Arrondissement du Mont-Bellevue pour son texte Le vieux Dufresne. Avec la collaboration de l’Association des auteures et auteurs de l’Estrie, un recueil des textes gagnants intitulé « Territoires imaginaires » a vu le jour dernièrement et est en vente à la Biblairie G.G.C.

ENVIRONNEMENT

2e collecte spéciale de feuilles mortes – Semaine du 11 novembreLa Ville procédera à la deuxième collecte spéciale de feuilles mortes sur l’ensemble de son territoire dans la semaine du 11 novembre. Pour ce faire, vous devez déposer vos feuilles mortes dans des sacs de PAPIER et laisser ces derniers ouverts puis les déposer en bordure de rue avant 8 h le matin, le jour de la collecte régulière.

Pour plus de renseignements sur les collectes spéciales, consultez le sherbrooke.ca/environnement.

À SURVEILLER

Le Souk – 10 novembreLieu : école internationale du Phare, 405, rue SaraRenseignements : Ascot en Santé, 819 342-0996 ou ascotensante@csrs.qc.ca

Conférence PropoSages – 14 novembreLieu : 500, rue MurrayRenseignements : sherbrooke.ca/villeensante

Dîner spaghetti – Commun’Action Ste-Jeanne-d’Arc – 17 novembreLieu : sous-sol de l’église Sainte-Jeanne-d’Arc, 1000, rue Galt OuestRenseignements : 819 239-9444

Défilé du père Noël – 24 novembreLieu : départ rue King Est, arrivée au marché de la GareTirage d’un crédit voyage pour Walt Disney en Floride et d’un sapin décoré.

Renseignements et billets : bureau d’arrondissement du Mont-Bellevue 819 563-3993

Bureau de l’Arrondissement : 819 563-3993

VIE DÉMOCRATIQUE / Calendrier – Novembre 2013Date Heure Séance Lieu18 novembre 19 h Conseil municipal Hôtel de ville (191, rue du Palais)25 novembre 19 h Conseil d’arrondissement du

Mont-BellevueBureau d’arrondissement du Mont-Bellevue (600, rue Thibault)

Les ordres du jour sont disponibles, le matin même de la séance, dans la section :• « Conseil municipal » du sherbrooke.qc.ca/mairie pour les ordres du jour du conseil municipal;• « Séances du conseil d’arrondissement » du sherbrooke.qc.ca/viedemocratiquemb pour les ordres du jour du conseil d’arrondissement du Mont-Bellevue.

De gauche à droite : Le maire Bernard Sévigny, la présidente du comité culture Diane Deslisle, Marc-André Dufour-Labbé et le président du conseil de notre arrondissement Serge Paquin.

5N ove m b r e 2 0 1 3

Première assemblée de quartier depuis le début de l’été, celle du 15 octobre

aura été le théâtre d’une belle brochette de nouvelles sur divers projets porteurs du milieu communautaire, ainsi que des actions d’Ascot en Santé et de ses partenaires.

Entre autres, José Barrera est venu rendre compte du succès du volet jardinage du projet Aînés immigrants actifs dans leur communauté. Une incroyable expérience interculturelle vécue au Jardin collectif des Nations, transmise via une jolie vidéo. Pour sa part, Anne-Stéphanie Aubé a présenté le Centre d’intégration au marché de l’emploi (CIME) : organisme destiné aux femmes ayant besoin d’accompagnement en recherche d’emploi, en maintien d’emploi ou en démarche d’orientation en ce sens.

Parmi les actions présentes et futures d’Ascot en Santé, on a su ce qui avait trait au Souk, au projet « Je lis dans mon quartier » (les maisonnettes bibliothèques), aux axes Vivre ensemble et Économie au quotidien du plan d’action. À ce, Carmen Houde a annoncé qu’on en était à l’étape « connaissance de la réalité économique du quartier », et pour laquelle on pourra compter sur la collaboration de Commerce Sherbrooke. Ce dernier s’engage à tracer un profil socio-économique du quartier dès le début de 2014 et d’en rendre compte à Ascot en Santé.

Puis, Sandy Tremblay a fait un bilan très prometteur de l’expérience du kiosque de fruits et légumes à Voisinage en fête, créé par le comité Offre alimentaire. Eh bien, tout s’est vendu! Dans le même cadre, Sandy a présenté l’idée du comité d’envisager la création d’un café-bistro et d’une épicerie coopérative. Un dossier à suivre, car des rencontres sont prévues pour en jeter les bases éventuelles.

Enfin, la grande brassée a été l’occasion pour certains organismes de présenter diverses belles initiatives en cours ou en gestation, attestant encore une fois que Ascot en Santé et ses partenaires sont toujours en action!

Texte et photos : Daniel St-Onge

Assemblée de quartier du 15 octobre :Ascot en Santé et ses partenaires toujours en action!

L’annonce par Guy Boucher que le dossier de la maison de quartier a été mis « sur la glace » pour un temps indéfini, fut, somme toute, accueillie avec compréhension. Comme il a tenu à le préciser : le projet n’est pas mort pour autant; on s’y consacre depuis trop longtemps pour qu’il soit abandonné.

Carmen Houde rendant compte du processus en marche dans le cadre de l’Axe du plan d’action d’Ascot en Santé « Économie au quotidien ».

À la journée portes ouvertes du Centre communautaire de loisir SherbrookeLe dimanche 15 septembre dernier se

déroulait la journée portes ouvertes du Centre communautaire de loisir Sherbrooke afin de souligner son 50e anniversaire. L’évé-nement fut un franc succès avec 500 visi-teurs qui ont découvert un Centre dynamique offrant une multitude de services.

L’assemblée générale annuelle est une autre activité ouverte à tous qui se tiendra le jeudi 28 novembre dès 17 h. Pourquoi y partici-per? Pour connaître davantage votre Centre et pour nous transmettre votre opinion. Un goûter sera servi.

Pour plus d’informations : 819 821-5601 ou www.loisirsherbrooke.com.

(Texte et photo : CCLS)

N ove m b r e 2 0 1 36

Pour l’édition 2013 du Souk à l’école du Phare, l’Accorderie de Sherbrooke vous

propose un marché gratuit le 10 novembre de 11 h à 17 h.

Le principe est simple. Chaque personne qui possède des objets ou vêtements en bon état ne lui servant plus mais pouvant être réutilisés peut les apporter au marché. Ensuite, n’im-porte qui peut venir se servir gratuitement dans les items en place. Nul besoin d’argent, ni d’avoir à fournir quoi que ce soit pour re-partir avec ses petites trouvailles. Que ce soit des décorations, des objets utilitaires, de la vaisselle ou encore des vêtements, tant qu’ils

sont en bon état, s’ils ne sont plus utiles pour vous, ils feront probablement le bonheur de quelqu’un d’autre. Une bonne façon de faire des économies et d’être écologique!

L’Accorderie fait la promotion d’un marché gratuit, car c’est en accord avec ses valeurs d’entraide et de solidarité. Le concept est déjà bien établi dans d’autres endroits, comme en Argentine et a été expérimenté et bien accueilli dans différentes municipalités au Québec.

Ni troc, ni réciprocitéLes gratiferias sont avant tout une invitation

à se débarrasser de possessions matérielles devenues inutiles ou superflues, afin qu’elles circulent et profitent à d’autres. »

http://www.greenetvert.fr/2012/06/01/les-marches-gratuits-la-nouvelle-tendance-an-ticonso/58756

C’est donc en grand nombre que nous vous attendons le 10 novembre dès 11h avec vos biens!

Pour plus d’information, veuillez communi-quer avec Catherine Bourgault, coordonna-trice de l’Accorderie au 819 780-2867.

Ce 10 novembre, dès 11 h, vous êtes attendus à l’école in-ternationale du Phare pour vivre une extraordinaire expé-

rience sensorielle : le Souk! Des artisans, des restaurateurs, des artistes, des petits commerçants, des organismes, et des gens des communautés culturelles y occuperont un kiosque et/ou anime-ront l’espace avec leurs richesses culturelles d’ici et d’ailleurs.

Le Souk est un événement de rapprochement interculturel coordonné par Ascot en Santé en partenariat avec le Service d’aide aux Néo-Canadiens. Son comité organisateur (photo) est composé de Benoît Dionne (école internationale du Phare), Francine Goupil (CIPO), Linda Desautels (SANC), Sandy Tremblay (Ascot en Santé), Nicolas William (Jeunes musi-ciens du monde), Gérard Pierre Ti-I-Taming (CIPO), Alexan-dre Badibanga (CSSS-IUGS) et Johanne Audet (Ascot en Santé).

Vous êtes attendus au Souk 2013 !

L’Accorderie présentera son marché gratuit au SOUK édition 2013

7N ove m b r e 2 0 1 3

N ove m b r e 2 0 1 38

Inauguration officielle de la nouvelle Maison des grands-parents de Sherbrooke!

Le 17 octobre dernier, la Maison des grands-parents de Sherbrooke inaugurait ses nouveaux locaux du

1265 de la rue Belvédère Sud (dans l’ancien presbytère de l’église Saint-Joseph). Dignitaires, amis et amies de la Maison, et représentants de la presse avaient été conviés pour constater le travail colossal entrepris pour rendre encore plus efficace et dynamique la tâche des employés permanents et des bénévoles de l’organisme dans leur mission d’accueil et d’échanges intergénéra-tionnels entre nos aînés et nos jeunes. Une belle réussite qui ne se dément pas depuis maintenant 15 ans.

On a symboliquement planté un arbre aux abords de la Maison des grands-parents. De gauche à droite : Louise Brisson, directrice, Réjean Hébert, ministre de la Santé et des Services sociaux, ministre responsable des aînés, ministre responsable de l’Estrie et Serge Cardin, député de Sherbrooke, Gilles Noël, curé, le jeune John Peter Musafiri, Bernard Sévigny, maire de Sherbrooke, Soeur Germaine Pouliot, co-fondatrice, Robert Gagné, président, Claude Quintin, président de la Table régionale de concertation des aînés et aînées.

Texte et photo : Daniel St-Onge

9N ove m b r e 2 0 1 3

Native de Farnham, elle unissait sa vie à Serge Godbout le 23 juin 1973. Cette

union leur donna 2 enfants, qu’ils chéris-sent jour après jour : Yanick âgé de 37 ans, propriétaire de la boutique Econo Sport à Sherbrooke, sa fille Mélissa âgée de 35 ans, qui travaille comme agent assurance à Mon-tréal, ainsi que sa belle-fille, Marie-Claude, qui complète la famille. À l’âge de 5 ans, elle reçut une trousse d’infirmière à Noël et, depuis ce jour, elle a toujours fait honneur à ce métier, qu’elle a exercé durant 40 ans. Elle a travaillé au CSSS-IUGS (Youville) durant 35 ans, et pris sa retraite le 21 décem-bre 2006.

Parlez-moi de votre formation d’infirmiè-re? — « J’ai suivi un cours d’infirmière à l’âge de 18 ans à Granby. J’ai poursuivi le cours par la suite au Cégep de Sherbrooke. J’ai fait un certificat en gérontologie, un baccalauréat en soins infirmiers et, à l’âge de 45 ans, j’ai étudié comme bachelière en soins infirmiers. » Vous avez un parcours impressionnant! Quelles sont les qualités d’une bonne infirmière? — « Avant tout, je voudrais vous dire, que j’ai quitté le CHUS où j’ai travaillé durant trois ans aux soins intensifs, pour ensuite me diriger vers les soins de longue durée. Je vous dirais que l’attitude envers les patients est très impor-tante, le respect et surtout être à l’écoute.

J’ai même ouvert une friperie à Youville durant dix ans, à l’unité 22-25. Tous les vêtements adaptés étaient gratuits pour les patients. » Vous vous êtes donnée entière-ment pour ces patients et vous continuez en tant que bénévole? — « Oui, j’organise depuis 5 ans, des cafés-rencontres à l’hôpi-tal auprès des patients à raison d’une fois par semaine, le jour. » Dites-moi, madame Godbout, quel genre de bénévolat avez-vous fait par le passé? — « Accompagnatrice dans les sorties pour l’école Jean XXIII, j’ai fait parti du comité d’école avec mon conjoint Serge et j’ai donné des cours parascolaires. Je me suis impliquée au niveau des messes de jeunes, des pièces de théâtre avec les animateurs de la pastorale. J’ai été parent catéchète et j’ai donné la communion aux

gens malades, à leur domicile. Moi et mon conjoint Serge avons été impliqués de 1980 à 1990 pour le Club Optimiste Bellevue. » Vous avez une feuille de route sur laquelle je pourrais écrire des pages et des pages, sans jamais me lasser.

Votre conjoint est complice à travers vos projets. Dites-moi, ce qui fait de lui un homme à la hauteur de vos attentes. — « Il est fiable, il a beaucoup de connaissances qu’il partage avec les gens. Il prend bien soin de moi et de sa famille, malgré une grave maladie, qu’il a vaincue, et je suis fière de lui! » Vous avez des petits-enfants? — « Oui, j’en ai trois : Jérémie, Mathis, Féli. Leur sport préféré, c’est le hockey, même pour le plus jeune. » En souriant, elle me confie : « Je suis abonnée à la Boutique câlins et bisous envers mes petits enfants. Pour nous, leurs grands-parents, c’est être des transmetteurs d’histoires sur la vie de leurs parents. Ce sont des valeurs que nous voulons leur transmettre en héritage. Je désire remercier tous ceux et celles qui croisent mon chemin, qui m’ont inspirée et illuminée par leur présence. J’aimerais men-tionner que je demeure sur la rue Riel depuis 32 ans et si vous me cherchez, je vous donne un indice : la galerie des Gobbout et vous me trouverez! » Merci madame Godbout pour cette entrevue. Vous êtes une femme qui donne inconditionnellement de son amour, de son temps sans jamais baisser les bras, en plus de dégager une énergie incroyable. En terminant, comme dirait madame Godbout, lorsqu’elle rencontre ses amis et amies, il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous!

Hier, c’est de l’histoire; demain, c’est un mystère; et aujourd’hui, c’est un cadeau. Francine Hébert-Godbout côtoie tous les jours ce dicton

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Depuis son lancement, début 2013, l’idée de

doter le quartier d’Ascot d’un réseau de maisonnet-tes bibliothèques a suscité un grand intérêt chez les citoyens. Dès le prin-temps, six maisonnettes seront installées à autant de points stratégiques du quartier. Entre temps, les bricoleurs sont à l’œuvre pour les construire et la collecte de livres va bon train, entre autres, avec la contribution de citoyens et de Collège Frontière, lequel fournit une grande quantité de livres neufs.

Pour en savoir plus sur les maisonnettes bibliothèques ou pour pro-poser votre contribution au projet, contactez Johanne Audet, Ascot en Santé : ascotensante@csrs.qc.ca 819 342-0996.

Voici la suggestion de lecture du mois de novembre du planifica-teur familial pour les petits de 0 à 5 ans. Il est possible de trouver

ce livre à la bibliothèque Éva-Sénécal de Sherbrooke. L’abonnement à la bibliothèque est gratuit pour les résidents de Sherbrooke.

Le plus malin, par Mario Ramos. Illustrations de Mario Ramos / Éditions Pastel l’école des loisirs.

M. Mario Ramos est décédé le dimanche 16 dé-cembre 2012. Voici l’hommage que lui a rendu son équipe : « Mario Ramos aimait tant nous faire rire dans ses livres. Il prenait un soin et une attention passionnée à raconter des his-toires aux enfants : « Leur donner les moyens

pour se défendre face aux plus forts, pour se construire. Mario était curieux de tout, généreux, talentueux et très fidèle. Ses loups, cochons, singes, crocodiles et autres petits lardons sont chargés de toutes les émotions. Chaque rencontre lui tenait à cœur, Faire rire et réfléchir les petits et les grands est la plus belle récompense pour un auteur. M. Ramos nous a quittés le 16 décembre 2012. Il va nous manquer énormément.

Toute l’équipe de Pastel, Bruxelles, et de l’école des loisirs. »

éveil à la lecture et à l’écriture

Hommage à Mario Ramos Les maisonnettes s’en viennent!Johanne Audet d’Ascot en Santé

Johanne Audet

11N ove m b r e 2 0 1 3

Qui ne s’est pas questionné sur le hasard ? Les extraterrestres ? Publi-

book présente un roman de science-fiction qui bouleversera l’œil du lecteur à propos de la vie.

Une lumière, une porte ouverte est l’his-toire de Normand, Benoît et Rachel, dont la vie va être chamboulée par la rencon-tre de Monrand, extraterrestre venu d’une planète lointaine. Celui-ci va peu à peu les initier au sens profond de la vie. À travers différentes épreuves, nos trois amis vont ainsi prendre conscience de leurs forces et de leurs faiblesses. Mais qui est vraiment Monrand, que veut-il au juste ?

« Nous, nous vivons des millénaires et nous assistons à plusieurs changements ou bouleversements. Nous accumulons tellement de connaissances. Je vous sens avides de connaissances et sympathiques. Je vous sentais un peu plus hostiles. Mes

amis, j’ai besoin de refaire un peu d’éner-gie, de me nourrir. Et ceci à l’intérieur de mon vaisseau. Vou-lez-vous me suivre et le visiter ? »

« Nous répondons tous les trois par l’affirmative. Nous précédons Monrand. Cet être que nous connaissons à peine. Nous ne savons pas ce qui nous attend mais nous sommes avides de voir et trau-matisés en même temps. C’est cela qui nous fait le suivre. »

Une lumière, une porte ouverte est écrit par Normand Boisvert de façon poétique; les phrases nous font voyager dans le

monde de l’introspection où se mêlent fantastique et questionnement existentiel.

Titre : Une lumière, une porte ouvertePrix : 13,95 $82 pages – ISBN : 9782924020500 – SF / Horreur

Normand Boisvert : un romancier d’Ascot

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N ove m b r e 2 0 1 312

Entrevue réalisée par Dureise Jean

Ce mois-ci, Regards rencontre Carmen Gadoury, une figure remarquable à Sher-

brooke. Très attirée par les autres, elle aime partager ses valeurs et sa philosophie de la vie. Sa mission est de favoriser le bien-être des autres à travers le bénévolat.

Regards : Pourriez-vous nous parler de votre implication sociale et communautaire à Sherbrooke? Carmen Gadoury : Je me suis beaucoup im-pliquée dans diverses activités. Le 21 juillet dernier ramenait mes 32 ans de bénévolat à la Fête du Lac des Nations. Je suis la doyenne des bénévoles à cette Fête! Je suis impliquée dans les trois family club : Stincters, Bussières et Place Belvédère, depuis plus de 15 ans. Je suis bénévole dans un centre d’hébergement à Youville depuis 12 ans. J’ai aussi été impli-quée auprès de la Croix-Rouge en Montérégie lors d’une inondation. J’adore faire du béné-volat : « j’en mange un peu à l’occasion »!

Regards : Mais qu’es-ce qui vous attire pour vous impliquer dans ces activités?Carmen Gadoury : Étant jeune, j’aidais ma mère dans des centres communautaires. J’ai débuté le bénévolat avec elle, j’avais dix ans. Cela m’a beaucoup motivée pour emprunter cette voie. J’ai été moi-même dans un foyer d’accueil pour enfants pendant 12 ans. Cela m’a permis de travailler aujourd’hui comme bénévole pour un centre de personnes âgées.

Regards : En quoi consiste votre implica-tion au sein de ces organismes?Carmen Gadoury : J’offrais principale-ment le soutien à l’organisation de l’accueil des visiteurs. Par exemple, lors de la Fête du

Lac des Nations, j’accueille des milliers de personnes. Je les oriente pour leur permettre d’assister aux différents spectacles. C’est une occasion de voir l’unité dans la diversité, où beaucoup de gens se mettent ensemble pour faire de cette fête une activité mémorable.

Regards : Pourriez-vous nous parler un peu de vous pour mieux vous connaitre? Carmen Gadoury : Je suis une personne très simple. J’ai un conjoint charmant qui s’implique avec moi pendant les fêtes pour la cause des maladies du cœur et dans les em-ballages de cadeaux. Cela fait 18 ans qu’il s’implique avec moi comme bénévole à la Place Belvédère. Toutefois, j’ai deux handi-caps : je fais de l’arthrose rhumatoïde dégé-nératrive et je suis asthmatique. Mais cela ne m’empêche pas de fonctionner normalement.

Regards : Les gens comprennent-ils réelle-ment la portée de vos implications sociales et communautaires? Carmen Gadoury : Cela m’importe peu que les gens comprennent ou pas ce que je fais. Je ne veux pas recevoir pour être « une vedette ». Ça arrive des fois que je sois mal

comprise de certaines personnes, mais, je passe au travers de tout cela. Mon sentiment d’aider les autres est trop fort pour m’arrêter sur des situations jugées désagréables.

Regards : Êtes-vous une enfant de Sher-brooke qui décide de contribuer au déve-loppement social de sa ville natale?Carmen Gadoury : Je suis Montréalaise de naissance, mais ma ville d’adoption, c’est Sherbrooke. Je suis arrivée ici toute jeune avec ma mère; je n’avais que trois semaines.

Regards : Mais en grandissant cela ne vous a jamais passé par la tête de laisser Sherbrooke pour aller vivre la vie urbaine à Montréal ? Carmen Gadoury : Je suis tombée en amour avec Sherbrooke en grandissant. Évi-demment, j’y vais de temps à autre à Mon-tréal, mais, cela ne me tente pas du tout de retourner y vivre.

Regards : Comment percevez-vous les ac-tivités sociales et communautaires à Sher-brooke?Carmen Gadoury : Je pense que c’est un moyen essentiel d’aider les gens à travers des services spécialisés. C’est aussi l’oc-casion pour d’autres personnes de partager leurs talents et leur philosophie de la vie. J’ai adopté deux enfants auxquels j’ai transmis mes valeurs pour qu’ils s’impliquent dans le domaine du bénévolat de temps à autre.

Regards : Si vous aviez une définition à donner du bénévolat ce serait quoi?Carmen Gadoury : Le bénévolat, c’est une passion qui valorise beaucoup la personne qui l’exerce. Chacun a un don en soi. Il lui revient de bien l’utiliser en choisissant la tâche qu’elle pense pouvoir exécuter dans un organisme donné.

Regards : Enfin, si vous aviez des conseils à prodiguer à nos lecteurs ce serait quoi?Carmen Gadoury : L’implication au béné-volat est très importante dans la vie. On peut le faire dans plusieurs domaines. Il ne faut pas rester dans son petit coin pour dire que vous ne savez pas par où commencer. Com-mencez d’abord par vous impliquer dans des activités sociales de votre quartier et vous verrez combien de gens seront touchés par votre geste!

Regards : Merci beaucoup Madame Gadoury pour le temps que vous nous avez accordé!

CARMEN GADOURY : symbole d’un patrimoine vivant à Sherbrooke !

Réparationde moustiquaires,fenêtres et portes(même en bois)Coupe de vitres

et miroirsPeinture de très grande qualité

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13N ove m b r e 2 0 1 3

Il y a presqu’un an jour pour jour, Québec en forme lançait sa nouvelle campagne de

promotion et de sensibilisation WIXX, visant à encourager les loisirs et les déplacements actifs chez les jeunes de 9 à 13 ans. À l’inté-rieur de cette campagne, s’inscrit le magazine électronique aujourd’hui appelé WIXXMAG s’adressant aux parents de ces jeunes ciblés et aux adultes qui les côtoient (enseignants, in-tervenants, animateurs, entraîneurs, etc.).

Ce web magazine souhaite aider les adultes à donner le goût aux jeunes de bouger et de faire des activités physiques quotidiennes di-versifiées. Pas toujours facile comme adulte d’être écouté et d’être un modèle positif aux yeux d’un préadolescent! Ce média électroni-que est donc là pour donner plein d’idées aux

parents pour faire bouger leurs jeunes plus souvent adeptes de la manette plutôt que de la ra-quette!

Rejoindre les parents

WIXXMAG encourage aussi tous les adultes à adopter un mode de vie physiquement actif et, ainsi, à devenir des modèles positifs pour les jeunes. Carrefour d’idées et lieu d’échanges, ce magazine électronique propose notamment des activités physiques et une série d’idées pour simplement faire bouger les jeunes ados. Dans une autre rubrique, des conseils de pa-rents sont partagés en trucs et astuces pragma-tiques pour aider à stimuler la motivation des jeunes à se grouiller le popotin!

Finalement, la section « mieux vivre » propo-se divers articles pour mieux comprendre les enjeux et réalités reliés à la santé, à la société et au milieu scolaire, à agir au quotidien pour renverser la tendance à la sédentarité. Ces textes sont plutôt intéressants pour en savoir

davantage, par exemple, sur un programme déployé dans les écoles ou encore sur une étude de faisabilité menée pour fa-voriser les déplacements actifs dans une municipalité.

Magazine convivial

WIXXMAG a bien fait dans la forme de son web magazine : les onglets sont facilement repérables et distincts, le contenu des articles est rédigé dans un langage commun et acces-sible, en plus de proposer des pages de lec-ture dégagées de toutes publicités et de textes surchargés, mais plutôt munies d’images et de photos égayées.

Bref, il est agréable et pratique de consulter ce magazine pour favoriser un mode de vie sain et actif dans une famille ou un milieu com-posé de préadolescents. Allez y, jetez un oeil, vous voudrez certainement vous y abonner, car en plus, c’est gratuit! wixxmag.ca

WIXXMAG.ca : pour être des modèles positifsPar Evelyne LapierrecoordonnatriceAction Santé Mont-Bellevue

bouger c’est la santé

Dans son mémoire à la Commission sur les enjeux énergétiques, l’Association

coopérative d’économie familiale de l’Es-trie (ACEF) déplore que les difficultés des ménages à revenu modeste soient complète-ment absentes du document de consultation. « Les coûts de l’énergie augmentent et un nombre important de personnes peinent à payer leur facture d’énergie, comme nous le montre notre expérience terrain ainsi que les statistiques » explique Sylvie Bonin, coor-donnatrice de l’organisme. Nous souhaitons que la précarité énergétique de nombreux ménages soient prise en compte dans la future politique énergétique, comme elle l’était dans celle de 2006-2015.

L’ACEF rappelle que tous les consommateurs paient pour les programmes d’efficacité éner-gétique via leur facture d’énergie, y compris

les ménages à petit revenu. Elle insiste pour que les ménages à faible revenu, dont un grand nombre sont locataires, ne soient pas oubliés dans l’offre de programmes résiden-tiels d’efficacité énergétique.

En plus des programmes d’efficacité éner-gétique destinés aux ménages à revenu modeste, l’organisme propose quelques pistes de solution. La solution idéale est le développement du logement social qui permet d’offrir des logements mieux isolés avec des systèmes de chauffage adéquats, et qui tient compte de la capacité de payer des gens. La pertinence et les modalités d’une allocation énergie seraient aussi à explorer, ainsi que des programmes pour aider les ménages moins nantis à changer leur vieilles fournaises au mazout très inef-ficaces.

Selon l’organisme, il est prioritaire de cesser d’utiliser les tarifs d’électricité comme moyen de taxation déguisée. En effet, cette taxation très inéquitable a un impact encore plus grand sur les ménages à faible revenu qui consacrent 9 % de leur revenu à l’élec-tricité, alors que les mieux nantis n’y consa-crent que 2 %. Si les demandes de hausses présentées par Hydro-Québec sont accep-tées, la situation sera intenable pour plu-sieurs selon Mme Bonin. La hausse deman-dée est trois fois plus importante que le taux d’inflation. « Les revenus, eux, n’augmente-ront pas à ce rythme, il faudra donc couper dans l’essentiel » s’indigne-t-elle.

L’organisme salue la volonté de réduire les gaz à effet de serre ainsi que notre dépendance au pétrole et celle d’accélérer l’électrification des transports tant individuels que collectifs.

Commission sur les enjeux énergétiquesNe pas oublier les consommateurs à revenu modeste

consommation

N ove m b r e 2 0 1 314

Les ventes en vrac de fruits et de légu-mes de saison sont en cours ou tirent

à leur fin. Une belle opportunité pour faire des provisions pour l’hiver et faire le plein de bonnes vitamines. Savez-vous que la congélation est une méthode de conserva-tion à long terme efficace et peu coûteuse?

En effet, congeler nos aliments permet de limiter les pertes alimentaires et d’optimi-ser leur rentabilité. Les fruits et légumes se congèlent jusqu’à 12 mois, tout en conser-vant la majorité des vitamines et minéraux.

Afin d’en faire une utilisation judicieuse et sécuritaire, voici quelques règles à res-pecter afin de conserver la qualité des ali-

ments. Contrairement à la croyance populaire, la congélation ne détruit pas les microorganismes qui peu-vent être présents sur vos aliments. En effet, ce procédé ne fait que les mettre en dormance. C’est pourquoi il est important de choisir des fruits ou légu-mes de qualité sans signes de détérioration et de bien les manipuler avant de les congeler.

La préparation des légumes

Il est important de blanchir les légumes, c’est-à-dire de les plonger dans l’eau bouillante d’une à deux minutes. L’ob-jectif de cette pratique est d’enlever les microorganismes de surface et d’arrêter l’activité enzymatique qui pourrait dété-riorer vos légumes durant la congélation.

La préparation des fruits

Concernant les fruits pâles de saison comme les pommes et les poires, tran-

chez-les et faites-les tremper dans de l’eau citronnée (10 ml de jus de citron pour 50 ml) afin d’éviter leur brunissement.

Une fois cette étape préalable ac-complie, assécher les légumes ou les fruits avec un papier absorbant. Portionnez en petites quantités ou en fonction de vos ha-bitudes de consommation.

Utilisez des emballages étanches et de qualité conçus pour la congélation soit des contenants rigides ou souples (sacs à congélation). À noter que les pots à mar-garine ou yogourt sont à éviter, puisqu’ils sont conçus pour un usage unique et leur composition n’est pas faite pour résister à la congélation ni aux nettoyages fréquents.

Enfin, identifier le contenant et inscrire la date afin de faciliter la rotation des ali-ments. Alors voilà, faites vos provisions de vitamines!

La congélation des fruits et des légumesMarilou PERRON-TESSIERCuisine collective Le Blé d’Or

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Planifier ses repas pour mieux souper en famille, c’est possible!

Des recherches démontrent plusieurs bénéfices de souper en famille pour les jeunes : • Meilleurs résultats scolaires• Plus grande estime de soi• Meilleure alimentation• Moins de symptômes de dépression• Moins d’usage d’alcool, de tabac et de drogue

Le souper en famille procure plusieurs bénéfices, puisqu’il est un bon moment pour parler, éduquer et être un modèle pour ses enfants. Pour plus de trucs et d’information sur la planification des repas et le souper en famille, téléchargez la trousse de Planifier des repas, j’en mange! disponi-ble sur le site Internet : www.bougerjenmange.ca

15N ove m b r e 2 0 1 3

Valide jusqu’au 30 novembre 2013

Nous sommes tous fatigués de temps à autre. Mais, nous nous posons rare-

ment la question d’où cela vient? Est-ce de la fatigue physique ou mentale?

À la fin de la journée, la fatigue est souvent de nature mentale plus que phy-sique, car nos habitudes de vie ne sont plus ce qu’elles étaient. Pour la majorité d’entre nous, on passe la journée devant un bureau à pousser un crayon ou nos doigts sur un clavier d’ordinateur : rien de très épuisant. Pourtant, on arrive à la fin de la journée épuisé! La solution est assez simple : prendre une marche. En

étant assis toute la journée, notre corps manque de mouvement. Les toxines s’ac-cumulent et nous ressentons de la fatigue et de la léthargie. Donc, c’est exactement au moment où nous n’avons pas envie de bouger que notre corps et notre esprit en ont le plus besoin.

Si vous n’aimez pas la marche, alors allez courir, faire du sport, ou tout autre activité physique qui vous convient. Cela va augmenter votre rythme cardiaque et faire circuler le sang dans tous vos organes. Ainsi, une plus grande quan-tité d’oxygène dans votre sang vous permettra d’évacuer les déchets par vos poumons et la sueur éliminera les toxines par les pores de la peau.

N’oublions pas la production d’en-dorphine, ce petit neurotransmetteur du bonheur et du bien-être qui est, par ailleurs, 300 fois plus puissant que la morphine. On peut augmenter jusqu’à 5 fois notre niveau d’endorphine avec de l’exercice régulier. C’est pourquoi l’exer-cice est le meilleur antidépresseur.

Ainsi avec un corps en mouvement, nous avons l’esprit plus clair, plus vif, plus éveillé.

FatigueDr Martin BEAUREGARDChiropraticien

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Le mois du piéton est révolu puisque octobre est terminé. Durant tout le mois,

des pancartes fluorescentes étaient affichées sur la plupart des traverses piétonnières et la SPS a notamment sensibilisé la population à l’importance de traverser la rue aux passa-ges pour piétons. C’est avant tout une ques-tion de sécurité.

Cependant, plusieurs d’entre nous ne res-pectent pas certaines des consignes de sécu-rité et, avec les nombreux blessés qu’il y a chaque année, les autorités n’ont eu d’autres

choix que d’imposer des contraventions parfois salées. Après une telle facture, il est certainement plus facile de comprendre.

Attention piétons

Assurez-vous de respecter ces simples consignes de sécurité pour éviter des contra-ventions :- Traversez à un passage piétonnier;- Aux feux de circulation, attendez le signal clignotant;- Traversez sans risque, s’il n’y a ni traverse, ni feux de circulation;- Cédez le passage aux bicyclettes qui circulent sur le chemin public.

Ne pas respecter ces simples consignes en-traînera une contravention entre 15 $ et 20 $, sans compter les frais de 12 $ qui s’y ajoutent.

Attention vélos

Les vélos aussi doivent respecter certaines consignes simples pour leur sécurité :- Respectez les feux de circulation et les arrêts comme si vous étiez en voiture;- Cédez le passage aux véhicules;- Ne circulez pas sur le trottoir.

Encore une fois, le non respect des règles entraînera une contravention de 15 $, plus les frais de 12 $. Prenez note que l’omis-sion de s’arrêter à un feu rouge ou un panneau d’arrêt à vélo entraîne aussi une pénalité de 3 points sur votre permis de conduire.

Informez-vous auprès de la SPS de toutes les règles applicables à vous. Soyez avertis, c’est une question de loi!

Opération Bon pied, bon œilGuillaume CORRIVEAUNotaire fiscaliste etmédiateur familial

La Clinique juridique Juripop de l’Estrie connaît une croissance impressionnante

depuis son ouverture, il y a un an. L’organis-me fait une réelle différence dans l’accès à la justice dans la région. Les résultats dépassent les attentes. Juripop Estrie peut désormais compter sur une équipe de 45 personnes, dont 3 avocats salariés, 2 juristes bénévoles et 25 étudiants bénévoles.

Au cours des derniers mois, Juripop Estrie a mené à bien plusieurs projets spéciaux, no-tamment en mettant sur pied une clinique temporaire à Lac-Mégantic pour répondre aux préoccupations des résidents touchés par la tragédie. Pas moins de 120 consultations ont été dispensées dans ce cadre.

Juripop a également proposé différents scé-narios pour encadrer et baliser le droit de grève des étudiants, dans l’espoir d’éviter une répétition des dérives judiciaires du conflit étudiant de 2012. Ce qui figure dans une étude pilotée par Me Guillaume Rous-seau, conseiller stratégique de Juripop Estrie et professeur à la Faculté de droit de l’Univer-sité de Sherbrooke.

Juripop Estrie contribue aussi à sa mission par des activités de sensibilisation qui ont déjà permis de rejoindre des centaines de personnes. Jusqu’à présent, une vingtaine de conférences ont entre autres été données dans

des écoles. Des présentations ont été aussi offertes en collaboration avec Pro-Gestion Estrie sur les enjeux juridiques du démarrage d’une entreprise.

Plusieurs nouveautés s’ajouteront au cours des prochains mois : services complets en droit criminel et pénal; information juridique pour répondre aux besoins particuliers des immigrants et des jeunes, grâce à l’appui de la Conférence régionale des élus de l’Estrie et du Forum jeunesse de l’Estrie.

Rappelons que Juripop Estrie s’est démarqué au Concours québécois en entrepreneuriat, en remportant le titre d’entreprise d’économie sociale de l’année à l’échelon régional, en plus d’être finaliste pour le prix du public à l’échelle du Québec.

La Clinique juridique Juripop de l’Estrie fait la promotion d’un accès à la justice pour tous et y contribue activement en offrant des ser-vices juridiques à coût modique et en menant des activités d’information juridique et de sensibilisation.

Les services juridiques sont offerts aux per-sonnes à faible revenu exclues de l’aide ju-ridique, ainsi qu’aux organismes à but non lucratif, aux très petites entreprises et aux travailleurs autonomes. Renseignements : 514 758-3213 (Source : Juripop)

Aide juridiqueHausses de plus de 30 % du seuil

d’admissibilité pour le volet gratuit

Un nouveau règlement entraînera, sur une période d’un an et demi, une

hausse de plus de 30 % des seuils d’admis-sibilité à l’aide juridique gratuite pour une personne seule. Ce seuil passera d’abord de 14 140 $ actuellement à 16 306 $ le 1er janvier 2014 – 15,3 % d’augmentation – avant d’être fixé le 1er juin 2015 au montant correspon-dant au revenu annuel d’une personne tra-vaillant alors au salaire minimum à raison de 35 heures par semaine. Pour un couple avec deux enfants, les seuils du volet gratuit passe-ront de 23 184 $ actuellement à 26 737 $ au 1er janvier 2014, puis à plus de 30 000 $ au 1er juin 2015. Avec ce rehaussement, ce sont plus de 500 000 personnes supplémentaires qui auront bientôt accès au volet gratuit de ce régime. De plus, le seuil d’admissibilité à l’aide juridique sera dorénavant automa-tiquement rajusté en fonction du salaire minimum.

L’aide juridique vise les services prévus à la Loi sur l’aide juridique. Notamment, elle peut être accordée pour des affaires qui relèvent du droit civil, familial, admi-nistratif, criminel, de la santé mentale, de l’immigration et de la jeunesse. (Source : Eve Bonin, attachée politique de Serge Cardin)

Juripop : un an déjà !

17N ove m b r e 2 0 1 3

Les changements climatiques viennent changer nos habitudes de vie. Nous

n’avons plus de tempête de neige au début d’octobre. Les patinoires extérieures ouvrent plus tard et ferment plus tôt. Les magasins commencent à vendre les choses de Noël en octobre. Tout est bouleversé.

Cependant, une chose demeure : la pruden-ce est toujours de mise. Même si la saison de ski commence plus tard, les mêmes consi-gnes de sécurité se répètent à chaque saison. Il faut être vigilant avec ses équipements quand on va au centre de ski. Même chose quand les enfants vont à la patinoire.

La prudence doit nous habiter tout le temps. Et nous devons transmettre nos consignes aux enfants. Les membres de la Surveillance

de quartier peuvent vous guider dans les moyens à prendre pour sécuriser votre milieu. Plusieurs d’entre vous vont aller magasiner pour l’achat des cadeaux des Fêtes. Soyez vigilants.

Les policiers doivent souvent rappeler aux gens de barrer les portes de leur véhicule aux centres d’achat. Ils recommandent également de ne pas laisser les emplettes et les sacs remplis à la vue de tout le monde sur les sièges de l’auto. Les voleurs sont très actifs durant cette période. Encore trop de gens « offrent » des cadeaux aux voleurs.

L’hiver peut geler les doigts et les mains, mais, il ne faut pas que ça gèle la prudence. Suivez les règles élémentaires de sécurité et vous passerez un bel hiver. À la prochaine.

Surveillance de quartier de l’arrondisse-ment du Mont-Bellevueinfo@surveillancedequartier.org www.surveillancedequartier.org

Prudence, l’hiver est à nos portes Jn-Guy SAINT-GELAISSurveillant de quartierArr. du Mont-Bellevue

Ce cours d’eau de 2,5 km de longueur prend sa source sur le flanc sud du mont

John-S.-Bourque près du chemin Dunant. Ce ruisseau naturel, redressé seulement à l’ouest du chemin de Sainte-Catherine, draine la partie sud de la propriété de l’Uni-versité de Sherbrooke et se jette dans le ruis-seau Paré à mi-distance entre le chemin de Sainte-Catherine et le boulevard de l’Uni-versité. Son bassin est agricole jusqu’à la fermeture de l’école d’agriculture Noé-Pon-ton, détruite par un incendie en 1964. De 1967 à 1982, le Département de géographie de l’Université de Sherbrooke installe, sur une partie de l’ancienne zone cultivée, une station d’étude de l’érosion des sols agri-

coles. En plus d’un bâtiment de service et d’une station météorologique, on aménage deux parcelles expérimentales, l’une en sol nu et l’autre enherbée pour simuler un pâ-turage (voir la photo). Cette station se situe sur le versant nord d’un ruisseau, qu’on nomme alors le ruisseau des Parcelles, et qu’on équipe avec un instrument permet-

tant d’étudier la charge de sédiments et le débit. C’était la seule station de ce genre au Québec à l’époque et plusieurs professeurs et étudiants y ont travaillé. De nombreuses publications scientifiques ont découlé de ces travaux. En 2003, le Département de géo-graphie et télédétection construit près de cet endroit, dans le bassin, une autre station expérimentale, SIRENE (Site interdiscipli-naire de recherche en environnement exté-rieur), unique au Québec. La station com-prend un grand bâtiment-laboratoire équipé d’instruments de télédétection et des parcel-les de sol dont on peut contrôler les diffé-rents paramètres biophysiques. Le bassin en amont du chemin de Sainte-Catherine est maintenant entièrement boisé et la partie en aval sert principalement aux sports.

Le toponyme est officialisé par la Commis-sion de toponymie du Québec le 11 septem-bre 2013 à la suite d’une recommandation du Conseil municipal de la Ville de Sher-brooke lors de sa réunion du 4 février 2013.

LE RUISSEAU DES PARCELLES : souvenir d’une station d’étude sur l’érosion des sols

Jean-Marie DUBOIS etGérard COTÉmembres du Comitéde toponymie de laVille de Sherbrooke

Parcelles d’érosion en 1969 (Archives du Dépar-tement de géomatique appliquée de l’Université de Sherbrooke)

solutiondu

sudoku de la

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N ove m b r e 2 0 1 318

CLUB DES COPAINS DE L’ÂGE D’OR PRÉCIEUX-SANGProgrammation 2013-2014Début des activités : 13 h à 16 h. Cartes, dards, baseball poches, dominos et crible. Chaque 1er jeudi du mois : bingo de 10 h à 11 h 30, suivi d’un repas. 7 novembre : Dîner léger.Cordiale invitation à tous nos membres et à toutes les personnes désireuses de se joindre à notre groupe et de passer un bon moment.Informations : Madeleine Côté : 819 346-7829

TDA/H ESTRIETDA/H Estrie est un organisme communautaire qui a pour but d’informer, d’outiller et de soutenir les personnes concernées par le TDA/H afin de contribuer à l’amélioration de leur qualité de vie ainsi qu’au développement de leur plein potentiel. Nous sensibilisons également la population à la réalité vécue par les personnes ayant un TDA/H et par leurs proches. Le service s’adresse a toute personne ayant à vivre avec le TDA/H. Pour connaître l’ensemble des services offerts, consultez notre site Internet ou appelez-nous : 819 565-7131 Sans frais : 1 888 392-2993 / www.tdahestrie.org

FAMILLE ESPOIR ET CARREFOUR COMMUNAUTAIRE D’ASCOTActivités adultes/familleGroupe d’achats économiquesCoopérons pour faire des économies. Coût d’adhésion 5 $. Les jeudis 14 et 21 novembre de 13 h à 15 h. Café-causerie familialParents, enfants et aînés sont bienvenus! Un lieu de rencontre pour échanger, faire du bricolage ou du tricot autour d’un bon café! Tous les jeudis matin, à partir de 9 h. Dîner-rencontre Dès 12 h, une soupe est servie, suivie d’une séance de formation, d’une activité de groupe ou d’une sortie. C’est l’occasion de s’enrichir et de partager en groupe. Le jeudi 7 novembre le sujet de la rencontre, c’est la fabrication de crème naturelle (visage et corps) et le jeudi 21 novembre, le sujet est le rejet en amour.Chorale Harmonie des peuplesLe vendredi de 18 h 45 à 20 h 45 à l’église Précieux-Sang.Activités occasionnelles- Sorties Culture du Cœur - Soirées cinéma familiales- Soirées Interculturelles - Sorties familialesInformez-vous!

Activités jeunesse!Samedi JeunesseAteliers de peintures à l’eau, sports, bricolages pour les enfants de 4 ans à 13 ans. Activités spéciales pour les jeunes de 9 à 13 ans. Tous les samedis de 10 h à 11 h 30 et de 13 h à 14 h 45.Une place pour moi!Activités pour les jeunes de 9 à 13 ans à tous les mercredis, de 18 h à 20 h.Halte-garderieRépit parental pour enfant de 6 mois à 5 ans le mercredi de 9 h à 16 h et le vendredi de 9 h à 12 h. Places limitées. Informez-vous.Famille Espoir est situé au 1520, rue Dunant à Sherbrooke.Tél. : 819 569-7923 / info@familleespoir.ca/www.familleespoir.ca

FAMILLE PLUSPour les familles ayant des enfants entre 0 et 5 ans.• Lundis animés : les lundis de 9 h à 11 h (Parent-Enfant)• Matinées Parents : les jeudis de 9 h à 11 h (Halte-Garderie gratuite disponible pendant l’activité)• Halte-Garderie : mercredi, jeudi et vendredi de 8 h à 16 h 30 (Réservations le lundi matin entre 9 h et midi)• Activités Familiales• Divers programmes les mardis (Halte-Garderie gratuite disponible pendant les divers programmes)• Cotisation familiale annuelle : 10 $Pour informations : 991, rue Kingston Sherbrooke, (Québec) J1H 3S2Tél. : 819 822-0835 / Téléc. : 819 822-0835 / familleplus@qc.aira.comBlog : www.famille-plus-sherbrooke.blogspot.com

CENTRE D’INTÉGRATION AU MARCHÉ DE L’EMPLOI Clientèle visée par le CIME :• Femmes ayant un besoin d’accompagnement en recherche d’emploi, en maintien en emploi ou dans une démarche d’orientation dans les secteurs traditionnels et non traditionnels. Nos services : • Explorer et voir la possibilité d’œuvrer dans une avenue non traditionnelle et connaître la réalité de ce qu’est le non-traditionnel • Identifier et consolider ses motivations, intérêts, valeurs et compétences transférables afin de faire un choix professionnel • Visites d’entreprise et de centres de formation • Accès privilégié au réseau d’employeurs du CIME Nous joindre : Téléphone : 819 564.0202 Courriel : info@cime-emploi.com / http://cime-emploi.com

Circonscription

Jean Rousseau Député

Compton—Stanstead

5142, boul Bourque Sherbrooke (Québec)

J1N 2K7 Tél. : 819-347-2598

Téléc. : 819-347-3583

CHAMBRE DES COMMUNES

19N ove m b r e 2 0 1 3

CLUB TOASTMASTERSS’exprimer en public. Votre objectif : vaincre la peur de parler en public? Apprendre à vous exprimer en public? Améliorer vos habiletés en communication et en leadership? Joignez-vous à notre club Toastmasters Louis St-Laurent de l’Estrie. Nos rencontres hebdomadaires ont lieu tous les mardis soirs à 19 h. Pour plus d’informations, veuillez communiquer avec Louise au 819 846-1083; courriel : lprov@videotron.ca ou Lise au 819 346-0737; courriel : lise.thompson@videotron.ca

COMMUN’ACTION STE-JEANNE D’ARCCommun’ Action Ste-Jeanne d’Arc Inc. est un organisme sans but lucratif qui œuvre depuis plus de 13 ans dans la communauté. Notre objectif : briser l’isolement et favoriser la prise en charge des besoins par la communauté.Activités et services proposés :Repas-dépannage : Repas complet pour aussi peu que 2 $ personne. Les mercredis et jeudis entre 11 h et 12 h. Réservation nécessaire.Partici-bouffe : Pour préparer, cuisiner et manger en bonne compagnie, à coût modique. Les mardis de 13 h à 18 h. Inscription obligatoire 819 239-9444.L’intergénération : Pour ceux qui aiment créer de leurs mains; tricot, artisanat, etc. Tous les lundis de 13 h à 16 h. Activité gratuite.Dépannage vestimentaire : Vêtements et accessoires à prix très modiques. Ouvert du lundi au jeudi de 13 h à 15 h. Toutes nos activités ont lieu au sous-sol de l’église Sainte-Jeanne-d’Arc, 1000, rue Galt Ouest (accès via la porte de coté sous la passerelle). Activités à venir : Dîner spaghetti : dimanche le 17 novembre, au profit de Commun’Action. Venez nous encourager !

Dîner de Noel : Mercredi le 25 décembre, de 11 h à 16 h. Bienvenue aux personnes seules et aux familles à revenus modestes. Repas traditionnel, animation, prix de présence. Repas servis de 11 h 30 à 13 h. ENTRÉE GRATUITE. Informations : 819 239-9444.

INTERVENTION DE QUARTIER ASCOT (CLSC)Local : 1945, rue des Grands-Monts, app. 9 et 10Intervenantes de quartier Ascot :Marie-Pier : 819 570-4000 / Marie-Claude : 819 212-1997 /Arzemina (819 829-8098)DEMANDE D’AIDE : sans rendez-vousTous les MARDIS de 13 h à 16 h. Tous les JEUDIS de 9 h à 12 hLOCAL OUVERT : échanges, loisirs et invitésTous les MARDIS entre 16 h et 19 h (pour adultes).5 novembre 2013: ASCOT EN SANTÉ 12 novembre 2013: COMMUNICATION DANS LE COUPLE 19 novembre 2013: LES APPARTEMENTS À PRIX MODIQUE 26 novembre 2013: DÉPRESSION ET ANXIÉTÉ 3 décembre 2013 : L’AIDE SOCIALE FRIPERIE GRATUITE ET CAFÉ-RENCONTRETous les VENDREDIS entre 9 h et 12 h BÉBÉ TRUC ASCOTLes DERNIERS jeudis du mois de 13 h à 15 hInfirmière, éducatrice et travailleuse sociale sur place.SERVICES DE PÉDIATRIE SOCIALEDre G. Beaulieu et Dr F. Livernoche : 819 570-4000Local fermé le lundi

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