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I t t Avisai.— l'I* Année RÊDACTIOM ' èOIlHAII 63, rue tlei Febnctote li>rfcl le p lee, ^ v <lu TrlAoa) T01AC01KC. rue VUTE, 63 Yidge admlnlxlralil Aur .Vulieuafc, 5 / , <i ii«« PRIX DES ABONNEMENTS RObBAUTOVlHOlKU Troie «Mie, 1 fr. 50. - Un en, 18 fr. Avril el dépdrttmenlt timitrcphei fr»le moi., 0 Trente. - tn en, Ï0 fret CINO CENTIMES L'AlTENTm DE ROUBAIX-TOURCOING Journal n^ïs^-tolloetln c*>\zotl<Uexi Onnanme 4A Septembre l t „ „ mx DES UMKtt ANNONCES • a-. » to Mil REÇÛMES . ; . ; . ; . ; « fr. M —""^ FAITS DIVERS # fr. T» -{T LOCALES : . I fr. «t —' Le* i n w e M seront reçue* «m dijqurMl,iPini, à >A ( i.c^ Mi« pli.a 4e le Bourse, Télèpûon© Faute de «rives , on se conleoU merles, dit UQ Tieox proverbe. C'est sans doute a. une considération de 04 genre que le lieutenant-colonel Mar- chand doit d'être sans cesse accabla de Heurs par les journaux de la réaction, On nous parle de lui d'une façon cons- tante. Ouand il ouvre la bouelie pour dire nne baa&UU, tous les ralapoila du bonapar- tisme se piment et les grenouillas mooar- eiiiales cessent de demander un roi pour n'extasier devant l'admirable langage du brav' colonel. Quand il ae tait, les mêmes idiots l*ad- mirent de nouveau et vantent la réserve hautaine de ce soldat esclave de la disci- pline. Il est parti ces jours derniers à Mar- seille. Nous avons appris avec une satis- faction des plus vives que la Compagnie P.-L.-M. lui avait fait lea honneurs d'un wagon réservé. Il a déjeuné en route : On nous a fait connaître 1« menu de son repas et les admirables choses débitées par ce grand homme entre le fromage odoriférant et la succulente poire. Un reporter subtil nous a même reièlè sou état intestinal. Ht .... Quand on assiste à ces puérilités, a ces enthousiasmes ridicules, on se demande h quoi peut bien servir ce cabotinage et ce qu'il cache t On reste perplexe devant celle mise en scène des moindres faits et Restes d'un homme qui n'est en réalité, ni un génie, ni un vainqueur.,, ni même un modeste. Le lieutenant - colonel Marchand est simplement un brave soldat et un'mtelli- fefit oftieier ayant réussi à mener a bien, une mission qui luiavait été confiée. Pour lui manifester sa satisfaction, le gouvernement l'a fait monter en grade avec nne rapidité inconnue a tous les au- tres officiers de l'armée. Ce n'était pas assez. Ou l'a nommé commandeur de la Légion d'honneur à un âge où dans l'armée on eat rarement •fer* aliér. En résumé, la République reconnais- sant les services rendus par M. Marchand, a secoué au-dessus de sa tête, la corne d'abondance. On l'a comblé de faveurs et on a telle- ment exagéré les manifestations à son ey-irU, qu'il eu est à se prendre pour un puai homme et à croire que la France ne ieut plus se passer des services d'nngénie toi que lui. H faut remettre les choses au point. M. Marchand est un brave soldat, soit, mais l'armée fourmille de soldats de ce genre. C'est, a-t-on dit ainsi, un officier intel- ligent, bon ; mais il y en a encore quel- ques autres en France et nous nous de- mandons, quand on chante l'intelligence du* héros de Fa^hoda » , si les thurifé- raires de notre grand boni nia prennent les officiers de notre armée pour une lé- gion d'imbéciles i LA vérité est que M. Marchand, avec de belles fWsMtto mili- taires dont il n'a pas le monopole, » eu les bénéfices d'une chance extraordinaire. 11 s'est trouvé mis en lumière par les circonstances et aussi grâce à une presse bienveillante, ayant le compliment fa- cile et l'enthousiasme persévérant. On en est aujourd'hui à croire a la des- tinée du lieutenant-colonel Marchand Toute la presse réactionnaire échafaude des projets sur les cinq galons de c< lieutenant-colonel. Et M. Drumont va j oaqu'à écrire : Au milieu de l'abaissement général de caractères, du lamentable alTiibhsiemenl de «otontè», de l'universelle prostration de* iole •»« e celui-là k*jr, qu'elle s'intéresse à tout ce qu< ictef inejonu lit tous il y a deux am demande t'ti n'a /m- le êitfue vu. nr>an<*. pour les t/nuuls devins t le» libérateurs et lu ckrft <t> l>»>tpie: (Test clair ! VoiU Marchand concurrent du prinei Victor et deOamclte (Drumont pense qu'il a l'étoile mystérieuse des prédestinés. Le directeur de la Libre Parole a sa.m doute des voix, comme Jeanne d'Arc. Un ange lui a suggéré U pensée que Mar- chand avait au front le signe des conduc- teurs de peuples. Et nous avons un prétendant de plus I L'Eclair, moins emballé que M. Dru- mint, se contente d'exprimer le désir de voir le lieutenant-colonel Marchand placé a la tête d'un* colonie africaine. Voici la nouvelle idée de notre nat lislc confrère : fiiiÛn, tl eit for <p.; i m, pour l'organisa- niîajr;* du Chi ' ir'.t>mnt au min . i tel i kt.>.aiMcapable éorcasiMt lauilaireneut i ...... eoromé, doue d'un dispentsble, le lieutenant-colonel Mar- chand a'impotait. Toat'à-lait enrieux t Il s'imposait tellement que personne n a ;ongé à lai. Mais demain ne doit pas ressembler à hier et U a été décidé, dans les milieux réactionnaires que le nom du lieutenant- colonel Marchand devait être constam- ment placé sous les yeux des lecteurs Aa certains journaux, afin de maintenir dans l'esprit des ma«ses, le souvenir en même temps que 1a popularité du Grand Explo- rateur. Pour bien indiquer quel réle on entend faire jouer au lieutenant-colonel Mar- band, on l'oppose depuis quelque temps, an chef de l'État. On imagine des scènes où M. Loubet est en cause en même temps que le lieu- tenant eolonel Marchand. Voici encore, i ce sujet, un eitrait de Libre Parole d'hier matin. La scène se passe à l'Exposition (Pano- rama Marchand.) Ko armant devant, le dernier tableau, :hand apparait debout sur un mamelon ou floife le drapeau tricolore, une espèce de bous- culade eut lieu : les hommes, les femmes-, les enfanta ae pressèrent DOUT mieux voir... Un cri sortit 'I" lestée les roitrinei : « Voila Fachoda ! Voila Fachoda 1 a * Ce n'eat pas Kachodfl, dit l'employé chargé des explications, c'est le plateau central uu Bangui... Noua avons lu retirer par ordre le tableau qui réorientait Fachoda... i Des protestations s'élevèrent... . 0«' a pu donner un le) ordre } infci.-o geail-on, C'est I.oihel ! fit quelquVi iniplement : Loubet ttt <tn -aUaid ! a L'homme cordial et sincère, nous a 'air d'être surtout un goujat, mais l'inci- dent est de peu d'importance. Ce qu'il convient de retenir; ce qui fiappe les yeux, c'est que les partis réac- tionnaire!?, las d'avoir mis leurs espé- rances en des prétondanU sans prestige et sans énergie, sont en train de couver ''oeuf Marchand.. Ils révent d'en faire un nouveau Bou- langer. Et il n'est plus douteux pour personne que le lieutenant-colonel Marchand se prête à la manoeuvre. Nous nons en tiendrons, pour aujour- d'hui, à cette con-datation. E LAGR1LL1ÈRE-BE AUCLERC. La, grève des corps élus M. Vigne d'ûcloo, député de Lodéve, viei ilimttkM électeurs une circulaire dar laquelle il rappelé aue, sur sa nroposition, confrè* ritïasUda fVstaae, avait voie une r toluiion eu vue d'obtenir du gouvernemoi brobiilion du d'crei «JelKfi me U délai quence, nt et vice-pre«ueni nu I-.OIUI« ra- dttaf socialiste éa bodève, iui a louienu ta |W, une leKre par laquelle il deoose eatre leur* tmtus uae déini»- sion de déuuie. lt déclare, en outre, dans cette lettre qu'il faut faire la greva genéraie des corps élue : criri«eila miieieiDtux, conseils d'arrondisse- ments, conseils généraux, déuutés, sénatcuri. M. Vigne d'Oc'.on va un peu loin, et ai on .'écoulait il serait peut être le premier a regr.t- La grève générale dos corps de métiers est une arme économique puissante pour les ou- vriers, mais celle que nropos': M. Vigne d'Uot-m osa le meini ;otjt d'abord-il a aie, ce ne serait i régionale. appeler ffrève quu ÉCHOS & HOUVEkliES m •eatttr antiot da plaça que la •*.!•• LA notivilla hQ»cUa csi décoré» da anneau, dj Serra*. Dans toot luiicnrirt er»nd-r>rii de Rome d uni r-v iinmiBI de lt villa Medif CM qaatra panneam repréui ;'ea'r,ien iiijilique uoar un aud t ntaX, . pro'aïqua qa« la qaatra grauda aijiuiri-, d..»t,i- !.l- i! Z E i«rf» da kras faible**» ipfcial*. ptrea qaa laar* mtu •• i n*t a««i largts pour lai (iireicaa qa't» leur posa. L* «ODfiei a discuta la qiaRlion «ta savoir »'i (allait MI «anitrairs dti piaaoi po«r la jaua» daat les toacba» aaraïaat MOIDI larj*• qaa catlai fjtaaoa ardi—tita. x M. R.var éait faaiar qatl vasdiait aaltu iBppn- ci, paratt-il, la saison des canarda. Je ne ici ni dt) volaillea. ni de gibier . il t'ugit aaa palmipèdes BtùonalUtei qui prennent leur vui dans lea journaux du parti. CM aur le mi- nistère qu'on travaille : oa nous donne deux «relies qui ne sont pas positivement d'accord 'Belles. D'après l'une, ie gouvernement se- nt si désireux de rester, qu'il retarderait convocation jusqu'au 7 novembre, alla d'ajourner le plus longtemps ses chances de Bien entendu, ce sont les mêmes qui lancent es deux informations, bien qu'c.lcï soici/. èreoeent contradictoires. On comprendra sans peine pourquoi je n'ad- u ta majorité lui fait défaut ? e !<r, iteroandi qu'une chose; c'est de vj mauquer a lui-même ; c'eat de reste fidtde à son programme et h sa ti"he, Tunte les foia qu'il a «ngoge la lutte avec son drapet '" srtr de la victoire. Il n'a jamais «te cora . es dôWllances, il donc également inintelligible qu'il promis que par i "1 serait donc le projet d'ndaoter l'u formidables Ces interpeltatioi blet qu'on le dit f 11 l'atlendcn aussi formrda- is d'en douler. surtout M. Decraii qu'il (.'agirait meut plus que fraternel, s'inmioleraicnt pour lui épargner U peine de répondre a des accusa- tions accablantes. J'clime, nour ma part, que M. Décrois doit être beùuco'jp raoiui oj.ouïauiê -l'on ne le prétend. Doux interpelhlions surfont toat annoncées, une, de notre ami Vijrné d'Oclon, aura un s^- ;iix intérêt et peut révéler des kits Irea gr«- a, des abus odieux nnquela il est urgent de mettre un ter#e, de crimittcllea vialenc^.î qu'ii faut réprimer et arrêter. Bill nombre de ces faits sont antérieur* au ministère actue': *, et le :tuel n'est pis suspect, de sympathie La Candidature Hax Régis U gf» dwva te i l'atrle, lesjifir.THuiqui ont p.ib:ie le manifeste il: départ d" M. It^is n'en ayani souilla mot. -Nous voila lises ofacietiement. Qui v* {'ire ln>m .iirun» de ajstl résolution ibite du maire d'Aiger f fout d'abord Isa prs- tUH> ces braves antiaennies algériens, que iiir chef aosodonne pour ies Parisiens .«le h •Meeicoort. Atf^r sttes Mit K^gis, ceii pour les abus militaire qu'il les déleste i les a-t avec l'énergie nécessaire ? Tume'la qu' là. L'interpellation Vian' - lui don- ie la force contre les infl- quelles il a narfois reculé. Je n'affirmerai pas qu'il (a désire ; mais s'il Ht bien inspiré, il en profilera ; et il ae félici- tera plus tara d'en avoir profité. Le militarisme colonial a pria de* mesures DIUS intolérables encore que le militarisme mètroDOhtain fl s'est sanglantes brutalités, grâce aux légendes chai lepiei Voulet- de bonnes raisons de pen- pent fort, s'ils imïgini-nt que le gouverne mont craint lea implications sur ce sujet. Tous les hommes de bon sens ont déjà re- iirqiié l'absurdité du roman lancé oer la presse îiiitaristc. On s'en rapoelle tes éléments . le ministre envoyant a, la Fièvre Jaune lea instruc- tions les plus précises, pour qu'eile supprime lusvile les témoins qui pourraient le gêner: :1a pour conclure que les faits attestés de la façon la plue probante sont de pure imagina- ; et que jamais Voulel ni Chanoine n'ont fait de mal au lieutenant-colonel Kiob. Tout cela est si ridicule (dans une question qui n'est ible) qu'on voit mai le \.>inisiére M. Wal- deck Housseau ie déplacement du farouche M. Lutaud. De projets d'avenir parlemeniaira, il nullement question, " " ut du ininiatn préfet- Les aigerieus, là-bas, tendent. (Je pauvre M. Lutaud t Ali I il n'a «s «u'a faire tet malles o.i-ind Max va tt- Ilelaa ! c'est M. Lutaud qui restera tt M. Mai U-'gis qui parfira. Son rêve est d'être d*nute de Paris. Alger n'a puis aaa préfer effrayé d'avoir dage decalomn , pour raa t>art, qu'il pas attendre, et de > de détromper jus- isble à admettre qu'il ne compte pas confondre Je; Il faut ae faire une étrange idée des n duels pour croire qti ils puissent avoii tion ie quitter leur xfosti " actuels estiment que l'oe binet a été institué est t convient dp reoasterla m? 'êfre exatiqués sur ton ce qu'on leur reoroche. Il seraientbten ennemis d'eux-mêmes s'ila fai- aienl à leurs adversaires le plaisir de sembler t DIUS de même? Voi o-itrçmtaaff qu'il ou' que LtW politique produire des ine' L t L heure à laqueli majorité des - écrasant nfestntion écrasante que v sorte de plébiscita municipal parable. D* tous cô.és, les élus des coi crient : « Nous ne vouions connaître invitation que cel!» du youverneuism fense rcpublicaine ». Assurément, ce n'est pa* dans un ment que le cibiuet awrt se coflitderer vaincu d'avance, et né voir de reloge q une sorte de déroute avant la bataii.e. ! sa lâche terminée, et si le anjarilé est I sentiment, c'est la tête imite, en prcl représentants du o«ys qu'il doit reiOi de bien imiràen ùde. Quant à retarder, au-delà de la mesu sonnable, la date de la convocation des bt-es, et aérait un<i fente toute gratuit' aurait d'abord, pour la politique répubi les olus graves conséquences ai elle devait actes de fai des deui Chambres ei'tt probablement épargnés an eebt. net. D'une la<;on générale, la cause que repre )p mollement) le miniatere n'a qu'a la discussion. L'expérience l'a prouvé 1 sérieusement contester que la réac- t perdu, par c*a attaques Camille PELLETAI». t-t-ile lia ! Alger ? certes p i celle-là. les Lt?» P u i s s a n c e s L'ALLEMAGNE Cologne, 14 septembre. — La Gaself de eiogrte reçoit de Berlin une commuait n date du 13 dans laquelle on s'attache futer les opinions fausses exposées à l'étranger concernait la politique de lAllemagaa Chine. On s'est déjà efforcé, '.e de Cologne, Yang Tké-kniiig, < cette région t Au point de vue interaaliont platement d'accord avec lea puis déclaré que la politique de la porte o •rnant la »alle0 que relativemet E >' un grand nombre de navires de guerre allemands se sont rassemblés à l'embouchure Yang-Tje Kiang, et ai l'Allemagne, suivant autres puissances, a débarqué, a Î compagnie du 1er .lSêri .„,,!• Nos Dépêches Par Fil Téléphonique soéciîl EN CHINE en sont les négociations V iici une importante dépé-.us que le Dail Mail dit lui être adressé par son correspondais fixe point ou en sont bu m bi eiii! r^f'ise les prouosittons. i L'AuUiche et ilialie n'ont pas idu d'une ftçon oflicielie, car eilei :n.m de i'Angltterre et de i'Allemi . l.'Vllemntjn", qui a été la prern idre, dit qu: i'«.-.ceptationds ces p a impossible'' i v t-r. Les massue •s de atatteiM icr«tent alors à re ! Ea même lemus, l'Aiemsgne qu'elle ne s'oppose pas a l'envoi de »< Ma^r-: c i Pckiti Sa Maieitê !?' i plan diploi :iueni a'«*t Duiietnent a'at st il 7 aura betacoup a Il Itratffictoé par la vois i i leal liomnio nour l'aceon BiDar lea«lraa«iri. praitqie da ta* poHr<. dùmoatré com'i>i tu. prâfeot. aaeatia des puissant asien de Urrito.ru. a» idant ajoute quî Li-Uang Ching question concernant les respon- par l'impératrice au sujet détourné bilitêa des édita ordonnant l'exterminati Shanghai, fanterie d'Kitrême-Orient, ces mesures étaient "remeni justifiées par les graves inquiétudes mèea à Shanghai par lea nationaux de de-vjnerre à Uan-Keou. X^es EItctt»-TJrHai New-Vork, Us i publie hier eoir hingîon : - Les membres du eib-r, préoccupés qu'autrefois par le conflit d'intérêts qu'a fait naître et se développer la question de la politique du gouvernement en Chine. Toutefois, i. n'est pas invraisemblable que représentations diplomatiques seront taitea puissances, faisant ressortir que les opéra- tions contre Pao-Ting Fou impliquent la pro- longation de la guerre, a Un groupe considérable d'exportateurs emé- icains, qui ont de grants intérêts dans les ffaires chinoises, ont adressé un appel près* aot à l'administration pour quelle ne fasse entions déjà formulées de maintenir la porti •uverte en Chine et l'intégrité d% l'empire. prépondérante et r les .' 1 J d"; <• - T 1 gouvernement ne expression dans P»' <: elle ques.Celte OD ette formais*: iricaines ne doivent oas rest a que le temp ait reinarquei n des troupes si 1* l'opinion se manifeste a fond dans « Les trou- maintenant, qui la i Pékin. qui prévaut en e n'exige le Amérique vec force, même parmi ULTIMATUM DE U RUSSIE fa l ïHiiiÉ^-t:iii*ii*i Li Daify éfXf/rmt publie la dépêcha sui' le Berlin : « La Ligue navale allemande nia ipprend que Li-fliinR-Ciang a reçu du goi . et au'enfarnaés tdttt leur inac- tivité sereine, lea chers d'Etat, lea gouvariav itient», les Parlements n'écoutent p*$ le voie sttV peuples de l'ancien et do nouveau monde déffe acquis aux Boira tt reclamant poor eux justice. KKliiFK IIXBOIIIA Le OaiOj Mail publie une dépêche de «M correspondant particulier de Leorenço Marquez ainsi conçue : a J'apprends que le «résident Krûger vient da i rien de p rendent de la Kepa- blique du Tranavaal, mais qu'if raaU aeman du Comité Exicutif, et c'est» cette qualité) qu'il a reç i un congé de an meie. M. Kmger a visiie au>ourd'had lee fooetion- ei portugais de Lourenço-alarquM. Pendant le trajet du Transvaal à Lourtnao- Marquet, en chemin de fer, la préaideot n'a quitté son wagon-aaloa qu'à deux milles de lat nli la reste du voyage en ba- ville. Il a Le général B-n Viljon le remplat il en qualité de commandant auprème. » Le Central JVttos, data awe éapeche de Cape- qaex. Proclamation de lord Roberts Londres, l\ sentembre. — Le ministère de i guerre vient de' recevoir une r ,i - x -' laneé dépêche de lont i-oclnma-" •le départ dot mi- laquelle il déclara «ui président Krûger prouve que la lutte est déset- -'-^- et qu'il ne-peut se produire atterro- intar- •<'* avoir enumér- le nombre des Boera i.-i son niera, lord Rofcerte termine sa pta- tioa en disant que la campagne a d>g«- m opération irrégulière. y Mm M mm Paria, le septembre. - Certaines difficonuiei de lottementa peuvent se pradnlre peur les K),00t) maires qui arriveront, la plupart, avec leur famille, sait 50 à 60,000 personnes. Lu pré- sident du syndicat des hôtelière de Paris, If. •a(z, se met t la disposition des maires peur iliter la découverte de chambres et d'hoiese. illeurs, la plupart de ceux qui doivent venir banquet ont déjà pris leurs précautions «C i trouve encore asses aisément à ae lofer, t sont nombreux lee habitants de Paris ejof , ouvert dea appartements meublés. de régler soit lea divers détesta H -• peux points, i lefflOQvemoBtpréfectoral ET LE PREFET DU MORD. Paris, 10 aeplembre. L'Agence ftttoa* immunique, sur le prochain mouvement ad- imatratif, la note suivante, dans laquelle il eet it à nouveau allusion au départ de H. Via» ml, orefet du Nord : « mouvement administratif actueUeosent i preparatisn au miniaière de l'intérieur sa ra définitivement arrêté que vers ta fin de ra Ce mouvement qui sera très important, irfera sur un grand nombre de préfecture!. » On sait qu'il y a lieu tout d'abord de dési- gner ie titulaire de la préfecture des Boucfaes- Bbone, vacant depuis quelque temps déifc , : suite de ta nomination de M. Fioret à d'as- tres fonctions. lutres préfets doivent quitter l'adaai- préfectorale, à savoir . H. Boudier. préfet de la Haute-Vienne, qui va êire pourvu ste dtj trésorier-payeur géoéral ; H. Re- préfet de l'Aube, qui i et N. Leroux, préfet du Rhône* de Chine reprendra le goi de l'empire. Le prince Tuan et tes des Boxers seront mis en prison et punie. » L'influence de l'imperairice sera en outre entièrement exclue ». » Si cette information est exacte, la Russie aurait donc l'intention d abandonner, du moins en princioe, sa tentative d'évacuation et cber- errer la pré- qui sera appelé à d'autres fonctions. a M. Watdeck-Rousseau ne compte pas limi- ter le mouvement a ces quatre postes. » Il se pourrait qu'un cinquième préfet qait- ttt l'administration : M. Vincent, préfet da Nord, parait devoir être nommé dans un autre département. Une lettre du docteur Eenric septembre. — Le docteur tienne, n Voiilet-Cuanoine, arrivé i-i Séod- t'auban, vient d'adresser au Petit tre suivante, datée du laxaret pas pressées du budget, ' ut incompréhensible que t uniquement pour te plais a risquât de i mlie misent élaboration des reforme: tendue*. Le début de li été brillant à eei égard la* réfléchit que la Chambre, I aiaaplainsat t elle, latUfe acce; en t...-clin-ut les ûroposilions. » Hier, le geuveraem'ml bii'.anniqie s'est cidt à rïponire, en disant iiuil lui «4*il iuti sii.ie de retirer ses troupes a «mit que l'eni. toit eomplètcmeul elsblie avec le gouveroe» » Celle réponse diffère tin tant soit, M » Je ii 'use que la Russie et la Franc dans une position quelqui et qu'elles ne seront cens i nhindonner la cil* en ni a Le prince Ching a été delinitivemeat ac- eeptl comme négociateur de pais. L'Allemagne ' opposées à Li-llung-Cliang; cuent IVkm, les autres puiaaaaceay resteront. » Hal-IXVLXX#£«Ol3L£iri4X Le Daiiu Express publie une dépèche de eo& corresapndaut partiealitr de Shanghai, aiaei Li-Haag-Chang e d*- » .„,i, La Guerre _au TransYaal La flilttiA-tlaorL Le jTeiident Krûger, dont nojsavo.'jsannona 1" pr-x-uiiu départ pour l'Europe, vient, parait il. de donner sa démission de Président de 11 République du Tranvaal ; le général H6>;ha, dé' irage par l'attitude sans énergie de s> ' i l'echo lufSt d'aill i garde. Oa ae saurait oui ins ont encore pour deux s lart qn'il qaillsrait Sbaagh; Piia-Tiia, IM«MI, as pns - U prise* Ck.af «i Mi, dit-il, sass SVMI «M | d* ton pesple ii loianaa avw tieias pesvetoi par l'amcaresr ' " Quant Krsger, c ..nglai^ considèrent ce voyage te m acte de desespoir, U plue vulgaire Mr.liment e générosité commanderait alors de respecter n vieillarl exilé et proscrH. En vérité, il ne drierte pas *an poste, il chol- it un autre terrain d'action . il vient au nos ot une dernière* baïaiila devant . Ateti le* sHssonaes «alsar- du Frioui, 12 septsmbre : TSS& ISS F i Seaégit t dMJda M m*. . sais abialumciu décid «*•! jof» des rseaste Dacltmr Haamin. LE PROCÈS DS L'ABBE SAlfTOX Parie, li sçpteaibre- — A midi, l'andleoeaT ne , fe déûii dci léffloias coalinue. ire, igé oe K> ans. v ent d*el*- qu'il a élé, i Le je'il aitouchemenu i hareèr* questions emnarrM*asise,ea de l'ahbe Sanlol. M' Henri •cènet de ta s arrivée à Î3

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Page 1: RÊDACTIOM ' L'AlTENTm...d'hui, à cette con-datation. E LAGR1LL1ÈRE-BE AU CLERC. La, grève des corps élus M. Vign e d'ûcloo , député d Lodéve viei ilimttkM électeurs une circulaire

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RÊDACTIOM ' èOIlHAII 63, rue tlei Febnctote li>rfcl le p lee, ^ v <lu TrlAoa)

T01AC01KC. rue VUTE, 63

Y i d g e a d m l n l x l r a l i l Aur .Vulieuafc, 5 / , <i i i««

PRIX DES ABONNEMENTS

RObBAUTOVlHOlKU

Troie «Mie, 1 fr. 50. - Un en, 18 fr.

Avril el dépdrttmenlt timitrcphei fr»le moi., 0 Trente. - tn en, Ï0 fret

CINO CENTIMES

L'AlTENTm DE ROUBAIX-TOURCOING J o u r n a l n ^ ï s ^ - t o l l o e t l n c*>\zotl<Uexi

Onnanme 4A Septembre l t „ „

mx DES U M K t t ANNONCES • a-. » to M i l

REÇÛMES . ; . ; . ; . ; « fr. M — " " ^

FAITS DIVERS # fr. T» -{T

LOCALES : . I fr. «t — '

Le* i n w e M seront reçue* « m d i j q u r M l , i P i n i , à > A ( i . c ^ M i « pli.a 4e le Bourse, 1»

T é l è p û o n ©

Faute de «rives , on se conleoU d« merles, dit UQ Tieox proverbe.

C'est sans doute a. une considération de 04 genre que le lieutenant-colonel Mar­chand doit d'être sans cesse accabla de Heurs par les journaux de la réaction,

On nous parle de lui d'une façon cons­tante.

Ouand il ouvre la bouelie pour dire nne baa&UU, tous les ralapoila du bonapar­tisme se piment et les grenouillas mooar-eiiiales cessent de demander un roi pour n'extasier devant l'admirable langage du brav' colonel.

Quand il ae tait, les mêmes idiots l*ad-mirent de nouveau et vantent la réserve hautaine de ce soldat esclave de la disci­pline.

Il est parti ces jours derniers à Mar­seille. Nous avons appris avec une satis­faction des plus vives que la Compagnie P.-L.-M. lui avait fait lea honneurs d'un wagon réservé.

Il a déjeuné en route : On nous a fait connaître 1« menu de son repas et les admirables choses débitées par ce grand homme entre le fromage odoriférant et la succulente poire.

Un reporter subtil nous a même reièlè sou état intestinal.

H t . . . . Quand on assiste à ces puérilités, a ces

enthousiasmes ridicules, on se demande h quoi peut bien servir ce cabotinage et ce qu'il cache t

On reste perplexe devant celle mise en scène des moindres faits et Restes d'un homme qui n'est en réalité, ni un génie, ni un vainqueur.,, ni même un modeste.

Le lieutenant - colonel Marchand est simplement un brave soldat et un'mtelli-fefit oftieier ayant réussi à mener a bien, une mission qui luiavait été confiée.

Pour lui manifester sa satisfaction, le gouvernement l'a fait monter en grade avec nne rapidité inconnue a tous les au­tres officiers de l'armée.

Ce n'était pas assez. Ou l'a nommé commandeur de la Légion d'honneur à un âge où dans l'armée on eat rarement •fer* aliér.

En résumé, la République reconnais­sant les services rendus par M. Marchand, a secoué au-dessus de sa tête, la corne d'abondance.

On l'a comblé de faveurs et on a telle­ment exagéré les manifestations à son ey-irU, qu'il eu est à se prendre pour un p u a i homme et à croire que la France ne ieut plus se passer des services d'nngénie toi que lui.

H faut remettre les choses au point. M. Marchand est un brave soldat, soit,

mais l'armée fourmille de soldats de ce genre.

C'est, a-t-on dit ainsi, un officier intel­ligent, bon ; mais il y en a encore quel­ques autres en France et nous nous de­mandons, quand on chante l'intelligence du* héros de Fa^hoda » , si les thurifé­raires de notre grand boni nia prennent les officiers de notre armée pour une lé­gion d'imbéciles i LA vérité est que M. Marchand, avec de belles fWsMtto mili­taires dont il n'a pas le monopole, » eu les bénéfices d'une chance extraordinaire.

11 s'est trouvé mis en lumière par les circonstances et aussi grâce à une presse bienveillante, ayant le compliment fa­cile et l'enthousiasme persévérant.

On en est aujourd'hui à croire a la des­tinée du lieutenant-colonel Marchand

Toute la presse réactionnaire échafaude des projets sur les cinq galons de c< lieutenant-colonel.

Et M. Drumont va j oaqu'à écrire :

• Au milieu de l'abaissement général de caractères, du lamentable alTiibhsiemenl de «otontè», de l'universelle prostration de* iole

•»«

e celui-là

k*jr, qu'elle s'intéresse à tout ce qu< ictef inejonu lit tous il y a deux am demande t'ti n'a /m- le êitfue vu. nr>an<*. pour les t/nuuls devins t

le» libérateurs et lu ckrft <t> l>»>tpie:

(Test clair ! VoiU Marchand concurrent du prinei

Victor et deOamclte (Drumont pense qu'il a l'étoile mystérieuse des prédestinés.

Le directeur de la Libre Parole a sa.m doute des voix, comme Jeanne d'Arc. Un ange lui a suggéré U pensée que Mar­chand avait au front le signe des conduc­teurs de peuples.

Et nous avons un prétendant de plus I L'Eclair, moins emballé que M. Dru-

mint, se contente d'exprimer le désir de voir le lieutenant-colonel Marchand placé a la tête d'un* colonie africaine.

Voici la nouvelle idée de notre nat lislc confrère :

fiiiÛn, tl eit for <p.; i m, pour l'organisa-niîajr;* du Chi ' ir'.t>mnt au min .

i tel i

kt.>.aiMcapable éorcasiMt lauilaireneut i

...... eoromé, doue d'un dispentsble, le lieutenant-colonel Mar­

chand a'impotait.

Toat'à-lait enrieux t Il s'imposait tellement que personne n a

;ongé à lai. Mais demain ne doit pas ressembler à

hier et U a été décidé, dans les milieux réactionnaires que le nom du lieutenant-colonel Marchand devait être constam­ment placé sous les yeux des lecteurs Aa certains journaux, afin de maintenir dans l'esprit des ma«ses, le souvenir en même temps que 1a popularité du Grand Explo­rateur.

Pour bien indiquer quel réle on entend faire jouer au lieutenant-colonel Mar-band, on l'oppose depuis quelque temps,

an chef de l'État. On imagine des scènes où M. Loubet

est en cause en même temps que le lieu­tenant eolonel Marchand.

Voici encore, i ce sujet, un eitrait de

Libre Parole d'hier matin. La scène se passe à l'Exposition (Pano­

rama Marchand.) Ko armant devant, le dernier tableau, où :hand apparait debout sur un mamelon ou

floife le drapeau tricolore, une espèce de bous­culade eut lieu : les hommes, les femmes-, les enfanta ae pressèrent DOUT mieux voir... Un cri sortit 'I" lestée les roitrinei : « Voila Fachoda ! Voila Fachoda 1 a

* Ce n'eat pas Kachodfl, dit l'employé chargé des explications, c'est le plateau central uu Bangui... Noua avons lu retirer par ordre le tableau qui réorientait Fachoda... i

Des protestations s'élevèrent... . — 0«' a pu donner un le) ordre } infci.-o

geail-on, — C'est I.oihel ! fit quelquVi

iniplement : • Loubet ttt <tn -aUaid ! a

L'homme cordial et sincère, nous a 'air d'être surtout un goujat, mais l'inci­

dent est de peu d'importance. Ce qu'il convient de retenir; ce qui

fiappe les yeux, c'est que les partis réac­tionnaire!?, las d'avoir mis leurs espé­rances en des prétondanU sans prestige et sans énergie, sont en train de couver ''œuf Marchand..

Ils révent d'en faire un nouveau Bou­langer.

Et il n'est plus douteux pour personne que le lieutenant-colonel Marchand se prête à la manœuvre.

Nous nons en tiendrons, pour aujour­d'hui, à cette con-datation.

E LAGR1LL1ÈRE-BE AU CLERC.

La, grève des corps élus M. Vigne d'ûcloo, député de Lodéve, viei

i l i m t t k M électeurs une circulaire dar laquelle il rappelé aue, sur sa nroposition, confrè* ritïasUda fVstaae, avait voie une r toluiion eu vue d'obtenir du gouvernemoi

brobiilion du d'crei «JelKfi me U délai

quence, nt et vice-pre«ueni nu I-.OIUI« ra-

dttaf socialiste éa bodève, iui a louienu ta | W , une leKre par

laquelle il deoose eatre leur* tmtus uae déini»-sion de déuuie.

lt déclare, en outre, dans cette lettre qu'il faut faire la greva genéraie des corps élue : criri«eila miieieiDtux, conseils d'arrondisse­ments, conseils généraux, déuutés, sénatcuri.

M. Vigne d'Oc'.on va un peu loin, et ai on .'écoulait il serait peut être le premier a regr.t-

La grève générale dos corps de métiers est une arme économique puissante pour les ou­vriers, mais celle que nropos': M. Vigne d'Uot-m

osa le meini ;otjt d'abord-il a aie, ce ne serait i régionale.

appeler ffrève quu

ÉCHOS & HOUVEkliES

m •eatttr antiot da plaça que la •*.!••

LA notivilla hQ»cUa csi décoré» da anneau, dj Serra*. Dans toot

luiicnrirt er»nd-r>rii de Rome d uni r-v iinmiBI de lt villa Medif

CM qaatra panneam repréui ;'ea'r,ien iiijilique uoar un aud t ntaX, . pro'aïqua qa« la

qaatra grauda

aijiuiri-,

d..»t,i-

!.l-i!Z

E

i«rf» da kras

faible**» ipfcial*. ptrea qaa laar* m t u •• i n*t a««i largts pour lai (iireicaa qa't» leur posa.

L* «ODfiei a discuta la qiaRlion «ta savoir »'i (allait MI «anitrairs dti piaaoi po«r la jaua» daat les toacba» aaraïaat MOIDI larj*• qaa catlai fjtaaoa ardi—tita. x

M. R.var éait faaiar qatl vasdiait aaltu iBppn-

ci, paratt-il, la saison des canarda. Je ne ici ni dt) volaillea. ni de gibier . il t'ugit

aaa palmipèdes BtùonalUtei qui prennent leur vui dans lea journaux du parti. CM aur le mi­nistère qu'on travaille : oa nous donne deux

«relies qui ne sont pas positivement d'accord 'Belles. D'après l'une, ie gouvernement se­

nt si désireux de rester, qu'il retarderait convocation jusqu'au 7 novembre, alla

d'ajourner le plus longtemps ses chances de

Bien entendu, ce sont les mêmes qui lancent es deux informations, bien qu'c.lcï soici/. lô èreœent contradictoires. On comprendra sans peine pourquoi je n'ad-

u ta majorité lui fait défaut ?

e !<r, iteroandi qu'une chose; c'est de vj mauquer a lui-même ; c'eat de reste

fidtde à son programme et h sa ti"he, Tunte les foia qu'il a «ngoge la lutte avec son drapet

' " srtr de la victoire. Il n'a jamais «te cora . es dôWllances,

il donc également inintelligible qu'il promis que par i

"1 serait donc le projet d'ndaoter l'u

formidables Ces interpeltatioi

blet qu'on le dit f 11

l'atlendcn aussi formrda-

is d'en douler. surtout M. Decraii qu'il (.'agirait

meut plus que fraternel, s'inmioleraicnt pour lui épargner U peine de répondre a des accusa­tions accablantes. J'clime, nour ma part, que M. Décrois doit être beùuco'jp raoiui oj.ouïauiê -l'on ne le prétend.

Doux interpelhlions surfont toat annoncées, une, de notre ami Vijrné d'Oclon, aura un s -;iix intérêt et peut révéler des kits Irea gr«-a, des abus odieux nnquela il est urgent de

mettre un ter#e, de crimittcllea vialenc .î qu'ii faut réprimer et arrêter. Bill nombre de ces faits sont antérieur* au ministère actue': *, et le

:tuel n'est pis suspect, de sympathie

La Candidature Hax Régis

U gf» dwva te i

l'atrle, lesjifir.THuiqui ont p.ib:ie le manifeste il: départ d" M. It^is n'en ayani souilla mot. -Nous voila lises ofacietiement.

Qui v* {'ire ln>m .iirun» de ajstl résolution ibite du maire d'Aiger f fout d'abord Isa prs-tUH> ces braves antiaennies algériens, que iiir chef aosodonne pour ies Parisiens .«le h

•Meeicoort. Atf^r sttes Mit K^gis, ceii

pour les abus militaire qu'il les déleste i les a-t avec l'énergie nécessaire ? Tume'la qu' là. L'interpellation Vian' -

lui don-ie la force contre les infl-

quelles il a narfois reculé. Je n'affirmerai pas qu'il (a désire ; mais s'il

Ht bien inspiré, il en profilera ; et il ae félici­tera plus tara d'en avoir profité. Le militarisme colonial a pria de* mesures DIUS intolérables encore que le militarisme mètroDOhtain fl s'est

sanglantes brutalités, grâce aux légendes chai lepiei

Voulet-de bonnes raisons de pen-

pent fort, s'ils imïgini-nt que le gouverne mont craint lea implications sur ce sujet. Tous les hommes de bon sens ont déjà re-

iirqiié l'absurdité du roman lancé oer la presse îiiitaristc. On s'en rapoelle tes éléments . le

ministre envoyant a, la Fièvre Jaune lea instruc­tions les plus précises, pour qu'eile supprime

lusvile les témoins qui pourraient le gêner: :1a pour conclure que les faits attestés de

la façon la plue probante sont de pure imagina-; et que jamais Voulel ni Chanoine n'ont

fait de mal au lieutenant-colonel Kiob. Tout cela est si ridicule (dans une question qui n'est

ible) qu'on voit mai le \.>inisiére

M. Wal-deck Housseau ie déplacement du farouche M. Lutaud. De projets d'avenir parlemeniaira, il

nullement question, " " ut du ininiatn

préfet- Les aigerieus, là-bas, tendent. (Je pauvre M. Lutaud t Ali I il n'a «s «u'a faire tet malles o.i-ind Max va tt-

Ilelaa ! c'est M. Lutaud qui restera tt M. Mai U-'gis qui parfira. Son rêve est d'être d*nute de Paris. Alger n'a puis aaa préfer

effrayé d'avoir dage decalomn , pour raa t>art, qu'il

pas attendre, et de > de détromper jus-

isble à admettre qu'il ne compte pas confondre Je;

Il faut ae faire une étrange idée des n • duels pour croire qti ils puissent avoii

tion ie quitter leur xfosti "

actuels estiment que l'œ binet a été institué est t

convient dp reoasterla m?

'êfre exatiqués sur ton ce qu'on leur reoroche. Il seraientbten ennemis d'eux-mêmes s'ila fai-aienl à leurs adversaires le plaisir de sembler

t DIUS de même? Voi o-itrçmtaaff qu'il ou' que LtW politique

B« produire des ine' L t L heure à laqueli

majorité des • - écrasant nfestntion écrasante que v

sorte de plébiscita municipal parable. D* tous cô.és, les élus des coi crient : « Nous ne vouions connaître invitation que cel!» du youverneuism fense rcpublicaine ».

— Assurément, ce n'est pa* dans un ment que le cibiuet awrt se coflitderer vaincu d'avance, et né voir de reloge q une sorte de déroute avant la bataii.e. ! sa lâche terminée, et si le anjarilé est I sentiment, c'est la tête imite, en prcl représentants du o«ys qu'il doit reiOi

de bien imiràen

ùde. Quant à retarder, au-delà de la mesu

sonnable, la date de la convocation des bt-es, et aérait un<i fente toute gratuit' aurait d'abord, pour la politique répubi les olus graves conséquences ai elle devait

actes de fai des deui

Chambres ei'tt probablement épargnés an eebt. net. D'une la<;on générale, la cause que repre

)p mollement) le miniatere n'a qu'a la discussion. L'expérience l'a prouvé

1 sérieusement contester que la réac-t perdu, par c*a attaques

Camille PELLETAI».

t-t-ile l ia

! Alger ? certes p i celle-là. les

Lt?» Puissances L'ALLEMAGNE

Cologne, 14 septembre. — La Gaself de eiogrte reçoit de Berlin une commuait n date du 13 dans laquelle on s'attache

futer les opinions fausses exposées à l'étranger concernait la politique de lAllemagaa Chine.

On s'est déjà efforcé,

'.e de Cologne,

Yang Tké-kniiig, <

cette région t Au point de vue interaaliont

platement d'accord avec lea puis déclaré que la politique de la porte o

•rnant la »alle0

que relativemet E >' un grand nombre de navires de guerre

allemands se sont rassemblés à l'embouchure Yang-Tje Kiang, et ai l'Allemagne, suivant

autres puissances, a débarqué, a Î compagnie du 1er

.lSêri . „ , , ! •

Nos Dépêches Par Fil Téléphonique soéciîl

EN CHINE Où en sont les négociations

V iici une importante dépé-.us que le Dail Mail dit lui être adressé par son correspondais

fixe i« point ou en sont bu m

bi eiii! r f'ise les prouosittons. i L'AuUiche et ilialie n'ont pas idu d'une ftçon oflicielie, car eilei :n.m de i'Angltterre et de i'Allemi . l.'Vllemntjn", qui a été la prern idre, dit qu: i'«.-.ceptationds ces p

a impossible'' i v t-r. Les massue •s de atatteiM icr«tent alors à re ! Ea même lemus, l'Aiemsgne

qu'elle ne s'oppose pas a l'envoi de »<

• Ma^r-: c i Pckiti

Sa Maieitê !?'

i plan diploi :iueni a'«*t Duiietnent a'at

st il 7 aura betacoup a

Il Itratffictoé par la vois i i leal liomnio nour l'aceon

BiDar lea«lraa«iri. praitqie da ta* poHr<.

dùmoatré com'i>i tu. prâfeot. aaeatia des puissant

asien de Urrito.ru. a» idant ajoute quî Li-Uang Ching question concernant les respon-

par l'impératrice au sujet

détourné bilitêa

des édita ordonnant l'exterminati

Shanghai, fanterie d'Kitrême-Orient, ces mesures étaient

"remeni justifiées par les graves inquiétudes mèea à Shanghai par lea nationaux de

de-vjnerre à Uan-Keou.

X^es EItctt»-TJrHai New-Vork, U s

i publie hier eoir hingîon :

- Les membres du eib-r,

préoccupés qu'autrefois par le conflit d'intérêts qu'a fait naître et se développer la question de la politique du gouvernement en Chine.

Toutefois, i. n'est pas invraisemblable que représentations diplomatiques seront taitea puissances, faisant ressortir que les opéra­

tions contre Pao-Ting Fou impliquent la pro­longation de la guerre,

a Un groupe considérable d'exportateurs emé-icains, qui ont de grants intérêts dans les ffaires chinoises, ont adressé un appel près* aot à l'administration pour quelle ne fasse

entions déjà formulées de maintenir la porti •uverte en Chine et l'intégrité d% l'empire.

prépondérante et

r les .' 1 J d " ;

<•

-T

1

gouvernement ne

expression dans

P»'

<: elle

ques.Celte OD ette formais*:

iricaines ne doivent oas rest a que le temp ait reinarquei

n des troupes si 1* l'opinion se manifeste a

fond dans

« Les trou-

maintenant, qui la

i Pékin. qui prévaut en

e n'exige le

Amérique vec force, même parmi

ULTIMATUM DE U RUSSIE fa l ï H i i i É ^ - t : i i i * i i * i

Li Daify éfXf/rmt publie la dépêcha sui' le Berlin :

« La Ligue navale allemande nia ipprend que Li-fliinR-Ciang a reçu du goi

. et au'enfarnaés tdttt leur inac­tivité sereine, lea chers d'Etat, lea gouvariav itient», les Parlements n'écoutent p*$ le voie sttV peuples de l'ancien et do nouveau monde déffe acquis aux Boira tt reclamant poor eux justice. K K l i i F K I I X B O I I I A

Le OaiOj Mail publie une dépêche de «M correspondant particulier de Leorenço Marquez ainsi conçue :

a J'apprends que le «résident Krûger vient da i rien de p rendent de la Kepa-

blique du Tranavaal, mais qu'if raaU a e m a n du Comité Exicutif, et c 'es t» cette qualité) qu'il a reç i un congé de an meie.

M. Kmger a visiie au>ourd'had lee fooetion-ei portugais de Lourenço-alarquM. Pendant le trajet du Transvaal à Lourtnao-

Marquet, en chemin de fer, la préaideot n'a quitté son wagon-aaloa qu'à deux milles de lat

nli la reste du voyage en ba-ville. Il a

Le général B-n Viljon le remplat il en qualité de commandant auprème. »

Le Central JVttos, data awe éapeche de Cape-

qaex.

Proclamation de lord Roberts Londres, l \ sentembre. — Le ministère de

i guerre vient de' recevoir une r , i-x-' laneé

dépêche de lont i-oclnma-"

•le départ dot mi- laquelle il déclara «ui président Krûger prouve que la lutte est déset--'-^- et qu'il ne-peut se produire atterro- intar-

•<'* avoir enumér- le nombre des Boera i.-i son niera, lord Rofcerte termine sa pta-tioa en disant que la campagne a d>g«-m opération irrégulière.

y M m M mm Paria, le septembre. - Certaines difficonuiei

de lottementa peuvent se pradnlre peur les K),00t) maires qui arriveront, la plupart, avec leur famille, sait 50 à 60,000 personnes. Lu pré­sident du syndicat des hôtelière de Paris, If.

•a(z, se met t la disposition des maires peur iliter la découverte de chambres et d'hoiese. illeurs, la plupart de ceux qui doivent venir banquet ont déjà pris leurs précautions «C i trouve encore asses aisément à ae lofer, t sont nombreux lee habitants de Paris ejof , ouvert dea appartements meublés.

de régler soit lea divers détesta H - •

peux points, i

le fflOQvemoBt préfectoral ET LE PREFET DU MORD.

Paris, 10 aeplembre. — L'Agence ftttoa* immunique, sur le prochain mouvement ad-imatratif, la note suivante, dans laquelle il eet it à nouveau allusion au départ de H. Via» ml, orefet du Nord : « Lé mouvement administratif actueUeosent i preparatisn au miniaière de l'intérieur s a ra définitivement arrêté que vers ta fin de ra

• Ce mouvement qui sera très important, irfera sur un grand nombre de préfecture!. » On sait qu'il y a lieu tout d'abord de dési­

gner ie titulaire de la préfecture des Boucfaes-Bbone, vacant depuis quelque temps déifc

, : suite de ta nomination de M. Fioret à d'as­tres fonctions.

lutres préfets doivent quitter l'adaai-préfectorale, à savoir . H. Boudier.

préfet de la Haute-Vienne, qui va êire pourvu ste dtj trésorier-payeur géoéral ; H. Re-préfet de l'Aube, qui i

et N. Leroux, préfet du Rhône*

de Chine reprendra le goi de l'empire. Le prince Tuan et tes

des Boxers seront mis en prison et punie. » L'influence de l'imperairice sera en outre

entièrement exclue ». » Si cette information est exacte, la Russie

aurait donc l'intention d abandonner, du moins en princioe, sa tentative d'évacuation et cber-

errer la pré-

qui sera appelé à d'autres fonctions. a M. Watdeck-Rousseau ne compte pas limi­

ter le mouvement a ces quatre postes. » Il se pourrait qu'un cinquième préfet qait-

ttt l'administration : M. Vincent, préfet da Nord, parait devoir être nommé dans un autre département.

Une lettre du docteur Eenric septembre. — Le docteur tienne, n Voiilet-Cuanoine, arrivé i-i Séod-t'auban, vient d'adresser au Petit

tre suivante, datée du laxaret

pas pressées

du budget, '

ut incompréhensible que t uniquement pour te plais

a risquât de

i m pê lie misent élaboration des reforme: tendue*. Le début de li été brillant à eei égard

la* réfléchit que la Chambre,

I aiaaplainsat t

elle, latUfe acce; en t...-clin-ut les ûroposilions.

» Hier, le geuveraem'ml bii'.anniqie s'est cidt à rïponire, en disant iiuil lui «4*il iuti sii.ie de retirer ses troupes a «mit que l'eni. toit eomplètcmeul elsblie avec le gouveroe»

» Celle réponse diffère tin tant soit, M

» Je ii 'use que la Russie et la Franc dans une position quelqui et qu'elles ne seront cens • i nhindonner la cil* en ni

a Le prince Ching a été delinitivemeat ac-eeptl comme négociateur de pais. L'Allemagne

' opposées à Li-llung-Cliang;

cuent IVkm, les autres puiaaaaceay resteront. »

Hal-IXVLXX#£«Ol3L£iri4X Le Daiiu Express publie une dépèche de eo&

corresapndaut partiealitr de Shanghai, aiaei

Li-Haag-Chang e d*-

» .„ , i ,

La Guerre _au TransYaal L a flilttiA-tlaorL

Le jTeiident Krûger, dont nojsavo.'jsannona 1" pr-x-uiiu départ pour l'Europe, vient, parait il. de donner sa démission de Président de 11 République du Tranvaal ; le général H6>;ha, dé'

irage par l'attitude sans énergie de s> '

i l'echo lufSt d'aill i garde. Oa ae saurait oui ins ont encore pour deux s

lart qn'il qaillsrait Sbaagh; Piia-Tiia, I M « M I , as pns

- U prise* Ck.af «i Mi, dit-il, sass SVMI «M | d* ton pesple ii loianaa avw tieias pesvetoi par l'amcaresr ' "

Quant Krsger, c

— ..nglai^ considèrent ce voyage te m acte de desespoir, U plue vulgaire Mr.liment e générosité commanderait alors de respecter n vieillarl exilé et proscrH. En vérité, il ne drierte pas *an poste, il chol-

it un autre terrain d'action . il vient au nos ot une dernière* baïaiila devant . A teti le* sHssonaes «alsar-

du Frioui, 12 septsmbre :

TSS& ISS F

i Seaégit t dMJda M

m*. . j« sais abialumciu décid

«*•! jof» des rseaste

Dacltmr Haamin.

LE PROCÈS DS L'ABBE SAlfTOX Parie, l i sçpteaibre- — A midi, l'andleoeaT

ne , fe déûii dci léffloias coalinue. ire, igé oe K> ans. v ent d*el*-qu'il a élé, i

Le je'il

aitouchemenu i

hareèr* questions emnarrM*asise,ea

de l'ahbe Sanlol. M' Henri

•cènet de ta

s arrivée à •

Î3