La Palmeraie de Marrakech Claude Cournoyer

Rapport synthèse

Professeurs encadrants, M. Philippe Poulaouec-Gonidec

M. Stefan Tisher, professeurs

Processus et Design, APA 3200

École d’architecture de paysage

Faculté de l’aménagement Université de Montréal

Le 20 décembre 2004

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Table des Matières

Prologue

Situation actuelle La Palmeraie de Marrakech Système d’irrigation traditionnelle Approche personnelle Démarche Analyse conceptuelle Analyse physique et sensible Plan directeur Projet Mise en Valeur : entrée à la Palmeraie Mise en Valeur : agriculture Mise en Valeur : paysage aride Bibliographie

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La palmeraie de Marrakech est sans aucun doute un écosystème unique. Comme nous en avons déjà beaucoup parlé, ce symbole naturel mais également culturel et économique est malheureusement en danger. Cette palmeraie est en effet la seule oasis occupant la partie nord de la chaîne du Haut-Atlas Marocain. Nous répétions souvent que sans la Palmeraie, Marrakech ne serait rien d’autre qu’Ouarzazate, cette ville déserte bien connue du Maroc. Malheureusement, cet écosystème fait face à une pression foncière croissante. Sa popularité vient de la qualité de ses paysages qui attire jours après jours un nombre croissant de touristes, de résidents étrangers et d’investisseurs dont la venue a pour effet de créer une menace réelle. En effet, la palmeraie se peuple d’étrangers. La valeur des terres étant tellement grande qu’il devient plus payant pour quiconque en possède une, de la vendre à gros prix à une clientèle de luxe plutôt que de la louer à de pauvres cultivateurs. Mais pendant ce temps, la Palmeraie perd de son identité et surtout de ses palmiers. Les touristes en seront bientôt lassés d’une Palmeraie qui se meurt et laisseront alors en héritage aux Marrakéchis un vieux souvenir de ce paradis qui se dressa un jour contre les forces destructrices du désert. Ce présent rapport sera en quelque sorte le cheminement intellectuel de la session. Ce projet fut, et ce depuis même le début de la recherche thématique, abordé comme une continuité. Un processus de recherche qui m’a permis d’en apprendre beaucoup sur la formation d’un «paysage vert» en sol aride. Puis, s’ensuivit une validation de mes lectures sur le terrain pour enfin cerner l’étendu du problème et la portée d’un symbole de verdure comme celui-ci. C’est donc dans cet esprit que je construirai mes propos.

Prologue

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La Palmeraie commence au pied des murs d’enceinte de la Médina et s’étend sur le territoire au nord-est de Marrakech jusqu’aux rives de l’Oued Tensift. Elle occupe une superficie de plus de 6 000 hectares. Ce qu’il faut bien comprendre, c’est que chaque palmier du Maroc y fut introduit. En effet, la Palmeraie, bien qu’on lui accorde un statut particulier, n’est pas naturelle. C’est par le travail de l’homme, par le fruit de son génie et la maîtrise de son irrigation que celui-ci a su faire naître l’oasis sur son territoire. C’est ainsi qu’une fois l’irrigation contrôlée, l’homme réussit à créer un milieu propice pour l’agriculture. Comme le montre le schéma suivant, l’introduction du palmier sur ce territoire n’est pas totalement le fruit du hasard. On cherche ainsi à créer un microclimat propice pour l’agriculture, utilisant sa voûte pour créer de l’ombre et protéger les cultures. Celui-ci, se trouvant dans un climat approprié, s’est multiplié au fur et à mesure des années, devenant peu à peu le symbole culturel de Marrakech. À cette époque, la fragilité de cet écosystème tenait par le système d’irrigation complexe canalisant l’eau des montagnes. Le schéma de la page suivante en explique brièvement le processus. Peu à peu, les pressions de développement sur Marrakech deviennent un enjeu important. L’agriculture augmente au pied du Haut-Atlas, appauvrissant déjà certaines structures agricoles de la Palmeraie. De plus, l’arrivée de complexes hôteliers et de résidences de luxe, sans oublier les terrains de golf, se mettent alors à forcer le pompage intensif de la nappe phréatique. L’eau à la Palmeraie devient alors de moins en moins disponible laissant ainsi plusieurs terres agricoles à l’abandon. Résultat : le système d’irrigation se dégrade et une série de vide est créé. Ces vides sont alors comblés soit par l’urbanisation, soit par le désert. Le palmier ne résiste plus à la pression et s’effondre à une vitesse accélérée. On assiste alors à une métamorphose du couvert végétal, juxtaposée à des problèmes d’ordre culturels et même sociaux. Dans ce sens, le mitage foncier crée une transformation des structures traditionnelles de l’habitat sous forme de douar (habitation non contrôlée) en même temps que le recul et la disparition de cultures traditionnelles, nourricières de la ville. Aujourd’hui, on peut comprendre que l’absence de mesures publiques de mise en valeur de la Palmeraie comme une privatisation d’un paysage d’intérêt patrimonial et emblématique. Ce paysage devient alors peu à peu réservé à une clientèle touristique et étrangère de luxe.

La Palmeraie en danger

Situation actuelle

Crédits photographiques : Axelle Buriez

Stratification de l’oasis traditionnelle : Tiré de Guides Gallimard, 1994

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Système d’irrigation traditionnelle

Situation actuelle

Crédits photographiques : Axelle Buriez

Système des Khettaras

Système de distribution

Khettaras

Oued

Oued Tensiff

Khettaras

Nappe phréatique

Nappe phréatique

Seguias

Seguias

Bassins

Bassins

Haut-Atlas

Agric

ultu

re

Mar

aîch

age

Schéma d’irrigation traditionnelle

Schéma d’irrigation sur le territoire de la Palmeraie

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Autrefois, à l’intérieur de cette société autarcique, le lien était donc très étroit entre l’homme, sa vie, sa culture, et le dattier. Malheureusement, aujourd’hui, l’accessibilité de la Palmeraie est restreinte. Comme mentionnée plus tôt, la Palmeraie perd de son importance par rapport à la population locale laissant ainsi à l’abandon plusieurs terres agricoles qui seront soit vendues pour le tourisme, soit conquises par le désert. Il faut dire que cette relation entre l’homme et la Palmeraie (l’oasis) m’a intéressée dès le début et c’est pourquoi, lors de la distribution des sujets de recherche, je me suis empressée de choisir le thème de l’imaginaire des paysages arides. Lors de la création de cette recherche, je me suis plus précisément intéressée à la perception du paysage oasien et à son avenir marocain. Comme l’explique si bien Battesti à la fin de son exposé sur les oasis du Sahara :

« Ces conflits de représentations engendrent des incompréhensions. Des incompréhensions des agents de développement qui ne comprennent pas que des mesures, visant à augmenter le rendement de la terre, donc à procurer plus de confort aux agriculteurs, ne soient pas adoptées d’emblée, qui ne comprennent que ces agriculteurs ne veuillent pas en apparence augmenter la productivité de leur travail, mais aussi des incompréhensions de la part des jardiniers qui s’accrochent à leurs petits jardins tout en voulant bien gagner plus d’argent bien sûr mais sans saisir que c’est leur relation à leur oasis, à leur milieu, qui devrait changer. Et quant aux touristes, ils sont encore à la merci des mirages des catalogues d’agences de voyage.»

Battesti, 1996, p.7

À ce moment, je voyageais encore parmi les paysages du Sud, les petites villes à la porte du désert. J’étais encore loin de me douter des relations étroites entre leurs problématiques et celles rencontrées sur le territoire d’étude. En effet, nous faisons ici face à ces mêmes différences de perception sur le territoire de la Palmeraie comme nous avons pu le constater durant notre bref séjour.

Approche personnelle

Situation actuelle

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Dans ce sens, il existe encore différentes perceptions entre l’oasis d’abondance et l’oasis comme milieu de production agricole. Les deux perceptions aujourd’hui se confrontent et nous mettent devant une problématique évidente à savoir si la survie des oasis tient encore d’une production autosuffisante ou devient-elle un milieu de production intensive où ingénieurs et touristes sont les grands décideurs. Deux différentes cultures, deux différentes façons de percevoir l’avenir dans un monde de plus en plus exigeant. Ici, et contrairement à la réalité nord-américaine, si les terres sont abandonnées, ce n’est pas la friche que l’on voit apparaître mais plutôt le désert. Cette désertification et cette dégradation du paysage de la Palmeraie tiennent donc sur trois prémisses très fortes. L’agriculture (initiatrice du projet de la Palmeraie), l’oasis (idylle d’abondance où touristes et bourgeoisie viennent toucher à la volupté) et le paysage aride (prenant de plus en plus d’importance au fur et à mesure que le palmier perd de la sienne). Qui sauvera les oasis, devrons-nous compter sur la nouvelle force économique du tourisme? C’est alors que j’abordai le Workshop avec cette première analyse personnelle : confronter les forces ayant traversées l’histoire de la Palmeraie, les mettre en valeur à l’intérieur même du territoire. Trois forces qui se confrontent, sources de conflits socio-économiques mais également culturels, paysagers et techniques. Notre intention était donc claire : redistribuer les ressources touristiques et agricoles sur le territoire. Il fut très rapidement énoncé comme stratégie de faire l’étude des différentes marques du paysage afin de mieux comprendre son organisation et sa forme. L’étude du terrain passait donc par l’étude des traces du système d’irrigation, des traces de l’agriculture et des différentes routes

Analyse conceptuelle

Démarche

Schéma s’évolution de la Palmeraie

Schéma conceptuel

Occupation du sol

+

Zone aride Zone agricole Zone touristique

Zone agricole Zone agricole Zone touristique

Zone touristique Zone touristique

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Comme il fut énoncé plus haut, l’eau de la Palmeraie devient alors de moins en moins disponible. Nous apprenons très rapidement que le manque d’eau n’est pas simplement relié aux changements climatiques et à la sécheresse mais plutôt relié à la mauvaise gestion de celle-ci. Par contre, le résultat en est similaire : le système d’irrigation n’est plus entretenu adéquatement et se dégrade ; il crée ainsi une série de vides à l’intérieur de la Palmeraie. Ces vides sont alors comblés soit par l’urbanisation, soit par le désert qui prennent alors de plus en plus d’espace par rapport au système agricole et aux palmiers. Pour notre part, au tout début du processus d’analyse, une stratégie de recherche fut établie et la décision fut prise d’agir dans les endroits les plus délassés afin de les occuper et de les contrôler. Ainsi, une recherche rigoureuse fut effectuée afin de déterminer l’emplacement exact de ces zones abandonnées sur le territoire de la Palmeraie. Sept zones furent alors choisies comme étant celles où il est encore possible d’agir. S’ensuivit une analyse sensible du territoire pour mieux comprendre quelles en étaient les plus grandes caractéristiques. Premièrement, le paysage agricole, résultat du travail acharné du paysan, se décrit comme suivant une trame particulière marquée par le système d’irrigation toujours visible sous formes de traces très claires sur le paysage. De plus, la richesse de ses textures offre des contrastes intéressants. Deuxièmement, les espaces occupés par les touristes se voient beaucoup plus verts que les autres. En fait, on retrouve ces complexes touristiques aux abords des routes principales. Finalement, certaines portions du paysage se voient complètement désertées. L’immensité, l’uniformité et la simplicité donnent au paysage un horizon infini, un caractère particulier.

Analyses physiques et sensibles

Démarche

Zones à potentiel d’intervention

Analyse sensible

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Par la suite, une analyse des interrelations entre les différents systèmes de force fut amorcée et juxtaposée aux zones d’intervention nous donnant ainsi des moyens et des pistes d’action pour le projet. Dans ce sens, chaque système fut étudié dans sa forme et sa valeur. Malheureusement, cette analyse des interrelations fut un peu délaissée au profit de l’analyse physique de chacun des secteurs ciblés. Tout ceci est bien dommage puisque je suis persuadée qu’une analyse plus approfondie de ces systèmes au niveau de leurs interrelations paysagères nous aurait sûrement permis une bien meilleure stratégie d’intervention sur le terrain. Par contre, comme le montre le plan directeur ci-dessous, nous avons dégagé de cette analyse une stratégie d’intervention permettant justement une mise en valeur de ces forces proposées plus haut. C’est ainsi que certaines zones furent jugées meilleures à la valorisation de l’agriculture tandis que d’autres, situées le long des axes routiers, furent choisies pour la création d’espace touristique. Pour les fins d’étude du Workshop, trois zones furent étudiées plus étroitement afin de mieux saisir la valeur de ces espaces et de créer une articulation répondant aux critères que nous avions jugés primordiaux. Nous nous sommes donc lancés dans le design des trois zones susceptibles de soulever chez nous le questionnement d’une mise en valeur des espaces agricoles, désertiques et touristiques.

Plan directeur

Démarche

Schémas d’analyse des relations inter-forces

Plan directeur

Aridité Zone agricole Zone touristique

Agriculture Zone agricole Zone touristique

Tourisme Zone touristique

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Cet espace fut sélectionné pour sa valeur en tant que point de convergence important à l’intérieur de la Palmeraie. Celui-ci est donc stratégique afin de créer un repère visuel qui sera facilement accessible des différentes routes qui le traverse. Ainsi, celui-ci pourrait être le point de rencontre des touristes et des paysans, ces derniers pouvant offrir le produit de leurs récoltes. De ce fait, nous avons imaginé la création d’une structure de toit inspirée de la forme des Atlas que l’on aperçoit au loin. Cette structure permet alors l’implantation d’éléments touristiques tels que kiosques d’informations, marchés de produits locaux, restaurants, centre d’interprétation, etc. Derrière cette immense structure, la forêt d’eucalyptus est percée, permettant ainsi de créer une relation visuelle directe avec l’espace agricole.

Mise en valeur : entrée à la Palmeraie

Projet

Plan de localisation

Croquis conceptuel

Plan directeur

Maraîchage

Forêt d’eucalyptus à conserver Zone agricole Zone touristique Ouverture Zone agricole Zone touristique

Production agricole (verger) Zone touristique Végétation spontanée Zone touristique Structure surélevée Zone touristique

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Mise en valeur : agriculture

Projet

Ce deuxième espace s’est avéré particulièrement intéressant par la présence de son grand potentiel agricole encore existant. C’est alors que dans ce secteur naît une immense promenade linéaire qui emprunte le chemin d’une ancienne khettara. Tout au long de cet itinéraire où la végétation spontanée est encouragée, l’observateur sera mis en contact avec les différentes cultures présentes sur le territoire de la Palmeraie. Dans ce sens, une analyse particulière du sol et de son potentiel fut effectuée afin de permettre la restructuration du système agricole à cet endroit. À travers cet axe linéaire se nichent déjà quelques douars tirant profit de cette nouvelle organisation agricole. On compte donc dans ce lieu des terres réservées pour la culture d’olivier, d’oranger, de luzerne et même de dattes. Finalement, et ce fut pour moi une découverte enrichissante, le cactus fut mis de l’avant par son implantation le long des différents douars afin de mieux contrôler leur expansion. Plante importante dans la culture marocaine, elle est souvent utilisée pour marquer le territoire ; on l’utilise également pour la récolte de ses fruits.

Plan de localisation

Croquis conceptuel

Plan directeur

Cactus Végétation spontanée Maraîchage

Culture de grenadier Zone agricole Zone touristique

Culture maraîchère Zone agricole Zone touristique

Culture de palmiers dattiers Zone touristique Produit de raisin

Zone touristique Vergers divers (orangers, oliviers)

Zone touristique

Culture de luzerne Zone touristique Zone ouverte, sans culture Zone touristique Forme des douars (ceinturés de cactus) Zone touristique

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Finalement, ce troisième espace fut réservé à des fins de valorisation du sable et du désert. Libre de toute végétation, mise à part la présence d’une plante fourragère très basse appelée Anabis aphylla, cet espace se caractérise par une ligne d’horizon brisée par un fort alignement de palmiers, celui-ci suivant le tracé des anciens systèmes d’irrigation. De plus, les petites routes secondaires traversant le secteur seront suivies d’une légère structure offrant un peu d’ombre aux passants. Les abords de l’Oued seront réservés pour la mise en place de bassins de rétention qui formeront des réservoirs pouvant irriguer une certaine partie du territoire de la Palmeraie. Une barrière plantée de cactus est également prévue pour ceinturer les douars périphériques, permettant encore une fois d’offrir un meilleur contrôle sur l’expansion de ceux-ci.

Mise en valeur : paysage aride

Projet

Coupe conceptuelle

Plan de localisation

Croquis conceptuel

Plan directeur (la légende est disponible en annexe)

Plante fourragère

Cactus

Forme des douars Zone agricole Zone touristique Bassin de rétention des eaux Zone agricole Zone touristique Barrière formée d’un alignement de cactus Zone touristique

Palmiers Zone touristique

Espace ouvert (planté d’anabasis) Zone touristique

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BARRÉ, Hervé (2003) Le Sahara : des cultures et des peuples, http://fmacu.wfucca.free.fr/broch_info_cult.htm#sah BATTESTI, Vincent (1996) La conception du travail et appréciation du paysage dans l’oasis saharienne. http://anthropoasis.anotherlight.com/ BOISVIEUX, Christophe et Wilmes, Jaqueline (2002) Maroc. Paris, Éditions EDL, collection GÉO Partance DOMAGE, Simone (1993) Le Clézio, ou la quête du désert. Paris, Éditions Imago, 139 p. CLÉMENT, Jean-François (1990) Maroc, le signe de l’invisible. Paris, Éditions Autrement, 220 p. DUBRANA, Didier (1989) Oasis en éprouvettes, Sciences & Vie, n°867, décembre, p.94-97. DURAND, Jacques H. (1988) Arrêter le désert. Paris, Presses Universitaires de France, 416 p. DUROU, Jean-Marc (2003) Au Sahara, seule l’humilité triomphé, Grands Reportages, n° 252, janvier, p. 36-91. GHANAM, Mohamed (2002) La désertification au Maroc – Quelle stratégie de lutte? www.fig.net/pub/morocco/proceedings/TS4/TS4_5_ghanam.pdf GODART, Jean (1954) L’oasis moderne. Alger, La maison des livres, 221 p. Guides Gallimard (1954) Tunisie. Éditions Nouveaux-Loisirs, Paris, 376 p. HERVÉ, Alain (1992) Une couronne de palmes, Grands Reportages, n° 120, janvier, p.32-34 JOLIAT, Bernard (1970). Maroc, Algérie, Tunisie. Merveilles des cinq continents, Nathan/Panoramic, Genève, Suisse, 198 p. LAURENT, Alain (2000) Désirs de désert. Paris, Éditions Autrement, 187 p. LEMARCHAND, Fabienne et Mainguet, Monique (1998) Les déserts, La recherche, n°314, novembre, p. 88-81 MICHON, Jean-Louis (1997) Un ksar à flanc de colline dans l’Atlas, Sciences & vie, Hors Série, n° 201, décembre, p. 46-52. NORBERG-SCHULZ, Christian (1981) Genius Loci. Hayen, Éditions Pierre Mardaga, 213 p. PRÉAU, Louis-Marie (2004) Maroc, vivre aux portes du Sahara, Terre Sauvage, n°199, octobre, p. 14-36 ST-EXUPÉRY, Antoine (1999) Le petit Prince. Collection Folio, Éditions Gallimard, 99 p. VÉRITÉ, Monique (1999) Le Sahara. Lausanne, Éditions Favre, collection Nomade, 185 p. WIilliams, Lawrence et (1989) Vaincre le désert. Bruxelles, Éditions Aritis-Historia, 44 p.

Bibliographie

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Bibliographie