RAPPORT FINAL -...

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RAPPORT FINAL Le présent rapport est structuré selon le plan global suivant : Introduction : Dire que c’est une étude exploratoire, descriptive. Méthodes: - Espace géographique - Instruments de collecte de données - Echantillons / catégories - Questionnaire autoadministrée (dépôt ou remplissage) Résultats : présenter les résultats selon les objectifs, les questions et dire si la recherche a permis ou non de répondre à telle ou telle préoccupation Conclusion : Il s’agit de donner le résumé de l’enquête - Perspectives d’avenir - A quel public les enquêtes sont destinées - Les zones d’ombre qu’il faudra approfondir - Les futures recherches (nouvelles perspectives) 0. INTRODUCTION 0.1. CADRE GENERAL Les enquêtes que la DMTIC a lancées depuis le 28 septembre 2005 s’inscrivent dans le vaste projet de la réduction de la fracture numérique en République Démocratique du Congo. Elles poursuivent les mêmes visées que la Table ronde multisectorielle sur les TIC organisée à Kinshasa en 2005. Pour rappel, cette table ronde avait permis de dégager des enjeux des TIC en RDC qui se résument en la nécessité d’une mise en œuvre d’une politique nationale en la matière. Quatre domaines avaient été retenus lors de ces assises : a) Infrastructures et accès ; backbone national (dorsale) nationale ; Intranet gouvernemental, centres d’accès communautaires. b) Applications et contenu : administration électronique, commerce électronique, agriculture, santé, enseignement, applications standard d gestion, contenu local.

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RAPPORT FINAL

Le présent rapport est structuré selon le plan global suivant :

Introduction :

Dire que c’est une étude exploratoire, descriptive.

Méthodes:

- Espace géographique- Instruments de collecte de données- Echantillons / catégories- Questionnaire autoadministrée (dépôt ou remplissage)

Résultats :

présenter les résultats selon les objectifs, les questions et dire si la recherche apermis ou non de répondre à telle ou telle préoccupation

Conclusion :

Il s’agit de donner le résumé de l’enquête- Perspectives d’avenir- A quel public les enquêtes sont destinées- Les zones d’ombre qu’il faudra approfondir- Les futures recherches (nouvelles perspectives)

0. INTRODUCTION

0.1. CADRE GENERAL

Les enquêtes que la DMTIC a lancées depuis le 28 septembre 2005 s’inscriventdans le vaste projet de la réduction de la fracture numérique en RépubliqueDémocratique du Congo.Elles poursuivent les mêmes visées que la Table ronde multisectorielle sur les TICorganisée à Kinshasa en 2005. Pour rappel, cette table ronde avait permis dedégager des enjeux des TIC en RDC qui se résument en la nécessité d’une mise enœuvre d’une politique nationale en la matière. Quatre domaines avaient été retenuslors de ces assises :

a) Infrastructures et accès ; backbone national (dorsale) nationale ; Intranetgouvernemental, centres d’accès communautaires.

b) Applications et contenu : administration électronique, commerceélectronique, agriculture, santé, enseignement, applications standard dgestion, contenu local.

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c) Formation et renforcement des capacités ; formation aux TIC dansl’enseignement primaire, secondaire, supérieur et universitaire ; formation desspécialistes tant au niveau académique qu’au niveau professionnel ;formation/perfectionnement des cadres du secteur public et privé ;sensibilisation du grand public.

d) Cadre juridique et institutionnel : toilettage/complément de laréglementation existante en matière des TIC ; participation aux activités deréglementation sur le plan international ; création d’un cadre de concertationdes parties prenantes ; création d’un organe d’exécution de la politiquenationale en matières des TIC.

Appuyé par l’Association pour les communications progressives (APC), leDépartement pour le Développement International (DFID-CATIA) et le Centre derecherches pour le Développement International (CRDI-Canada et Alternatives(R.D.C.), le forum francophone régional sur le plaidoyer en faveur des TIC a eulieu à Kinshasa, du 7 au 10 février 2005. les représentants des cinq paysd’Afrique Francophone (Cameroun, Niger, Sénégal, Maroc, R.D.C.) se sontinterrogés sur les voies et moyens de dynamiser l’accès et l’appropriation des TICdans une vision nouvelle pour le développement de nos communautés.

L’un de ses objectifs était que chaque pays représenté établisse une liste deses propres priorités en matières des TIC et à partir de là, ressortir la priorité despriorités pour l’élaboration d’une ébauche de plaidoyer en faveur de saréalisation.

En ce qui concerne la république Démocratique du Congo, les représentants,en majorité membres de la DMTIC ont relevé que des quatre domaines cités plushaut, l’infrastructure constituait la priorité absolue. Ils entendaient par là troissecteurs clé à savoir : les réseaux urbains, le backbone national et le parcinformatique.

Ce choix ne manque pas de justification. Il a été constaté que :

• Le trafic national entre les villes passe par le satellite, doncl’étranger, et par conséquent, coûte cher ;

• L’intérieur du pays connaît un taux de connectivité trèsfaible ; ce qui constitue un frein au développement des TIC.

• Il existe quelques réseaux fiables mas inexploités ; etpourtant, ils peuvent être utilisés pour accéder à Internet.

Pour accélérer la mise en place d’un backbone national et permettre une bonnegestion, la DMTIC a opté pour une solution ouverte à tous les opérateurs.

Ainsi, pou lancer le plaidoyer sur le backbone national, il a semblé à la DMTICqu’il fallait procéder non seulement à une étude sur son impact technique etéconomique en vue de se constituer des arguments fiables vis-à-vis despartenaires(dont les décideurs) qui sont :

- les services de la Présidence de la République ;- Les services de la Vive-Présidence de la république en charge de la

Reconstruction et du développement ;- Le Ministère des Postes, Téléphones et Télécommunications, en charge

des technologies de l’information et de communication ;

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- Les Ministères impliqués directement dans la procédure de financementdes activités à savoir, le Ministère du Plan, le Ministère du Budget et leMinistère des Finances ;

- Le Ministère de la Presse et Information, qui a en charge la gestion et lapolitique de l’Information écrite et audiovisuelle, et la vente de l’image dupays à l’intérieur comme à l’extérieur.

- Le Ministère de l’Industrie qui peut aider à mettre sur pied des usines demontage des ordinateurs autres périphériques de gestion de l’information ;

- Le Ministère de l’éducation qui a la charge d’élaborer et de faire appliquerun programme nationale qui tienne compte des TIC. Il peut impulser larecherche fondamentale et la recherche appliquée des TIC.

- Le secteur privé qui peut non seulement investir dans le secteur pour desfins commerciales, mais aussi proposer des réformes des lois etpromouvoir l’appropriation des TIC par les citoyens ;

- Les organismes régionaux et internationaux qui peuvent jouer un rôledéterminant comme instance de régulation déterminant la politiqueinternationale en matière des TIC ;

- Les autres associations de la société civile.

Cependant, pour procéder à cette étude et préparer rationnellement lapolitique en matière des TIC, le passage obligé consistait à procéder à un étatde lieu, objet de la présente étude.

0.2. CADRE STATUTAIRE

Les présentes enquêtes sont conformes aux statuts et au Règlement intérieurde la DMTIC : son souci majeur est de :

1. Encourager et prendre toutes initiatives visant la promotion destechnologies de l’information et de la communication enRépublique Démocratique du Congo.

2. Mobiliser les associations de la société civile ayant les mêmesobjectifs pour la réalisation des projets communs.

3. Conscientiser les décideurs politiques sur l’importance et les enjeuxdes technologies de l’information et de la communication, et plaideren faveur des actions concrètes d’utilisation de ces technologiespour le développement du pays et par conséquent l’édification d’uneSociété de l’Information.

4. Collaborer avec le pouvoir public pour la mise en place d’unepolitique nationale sur les technologies de l’information et de lacommunication.

5. Collaborer avec le secteur privé pour la mise en œuvre de cestechnologies et plaider pour une facturation qui favorise lapropagation des TIC et prenne en compte les couches les plusdéfavorisées de la population.

6. Œuvrer en faveur d’une participation quantitative et qualitative auxmanifestations et forums internationaux traitant des TIC.

7. Œuvrer en faveur de la canalisation vers la RépubliqueDémocratique du Congo des moyens humains, matériels et

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financiers mobilisés et en voie de mobilisation sur le planinternational en faveur des TIC.

On ne peut prétendre réduire la fracture numérique, assurer l’accès réel aux TIC ouélaborer une cyberstratégie gouvernementale sans au préalable faire un état deslieux. L’enjeu c’est d’analyser sur terrain avec la rigueur voulue, le degréd’appropriation de ces TIC et en tirer les conclusions en vue de planifier des actionsdurables.

De façon concrète, l’enjeu consiste à établir :

L’accessibilité physique des TICS aux personnes physiques et aux institutions L’adaptabilité de ces outils aux conditions locales et aux besoins réels des

citoyens ; L’abordabilité, en termes de pouvoir d’achat et de revenus ; La compréhension des avantages que les congolais peuvent tirer de ces TIC Le niveau de formation et de compétence, les techniques de base nécessaires

pour utiliser ces TIC ; L’impossibilité d’intégrer ces outils à la vie quotidienne sans pour autant qu’ils

ne deviennent un fardeau ou un ornement ; La détermination des conditions économiques locales pouvant favoriser ou

améliorer le contexte économique ; Le cadre juridique et réglementaire pouvant favoriser l’appropriation et l’usage

généralisé des TIC ; Le contenu local, les applications et services pertinents ; Les conditions macroéconomiques favorables à l’utilisation durable de la

technologie.

0.3. LES QUESTIONNAIRES

C’est dans ce cadre que la DMTIC a établi plusieurs questionnaires adressés aux :

1. institutions et entreprises publiques2. cybercafés3. fournisseurs d’accès4. opérateurs Télécom5. écoles et centres de formation6. cabines téléphoniques7. individus

De façon analytique, voici l’ossature de chacun des questionnaires

I. Les institutions et entreprises :

Ce type de questionnaire est destiné aux organisations et entreprises publiqueset privées. Il tourne autour des 12 rubriques suivantes :

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a) L’équipement informatique, dans sa partie matérielle (hard) et sa partieintellectuelle (soft) ; il nous paraît important de connaître :

• Le type d’ordinateur utilisé ;• Le type des périphériques ;• Les possibilités de connexion en réseau local et les caractéristiques

techniques de ce réseau…

b) Les applications informatiques : il est utile de connaître les domaines degestion ou tâches effectuées au sein de l’institution ainsi que les logicielsspécifiques ou progiciels utilisés. Il est aussi utile de connaître les besoinsinformatiques de chaque institution.

c) L’accès à l’Internet : il est question ici d’obtenir les informations sur lefournisseur d’accès, la vitesse de connexion, les adresses IP routables….

d) L’usage de l’Internet : les données pertinentes ici sont :

Le type et le nombre des serveurs dont disposent lesorganisations ;

Les services Internet les plus sollicités ; L’usage de la vidéo-conférence1

La disponibilité d’un site propre ainsi que les fonctionnalités qui ysont liées (usage, coût, mise à jour, domaine…).

e) Les ressources humaines : il s’agit de connaître le nombre et les compétencesdu personnel utilisé et s’en quérir sur la formation permanente de cepersonnel.

f) Les sécurités informatiques (matérielles ou électroniques) utilisées ;

g) Le budget informatique : le montant alloué à l’informatique par rapport aubudget global. ;

h) L’utilisation du téléphone : ce à quoi il est utilisé ainsi que le coût de cesservices ;

i) Le développement des TICj) La gouvernancek) Les stratégies

II. L’Exploitation des cybercafés

Les questions tournent autour :

- des infrastructures utilisées,- des renseignements sur la nature des clients (nombre, genre, âge)- des sites fréquentés

1 Technologie qui associe la téléphonie vocale et l’échange d’images animées pour unecommunication bidirectionnelle entre deux lieux .

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- des services les plus demandés sur Internet- du coût- de l’exploitation bureautique

III. Les fournisseurs d’accès (24 questions)

Les questions tournent autour de :

1. La couverture géographique2. La clientèle3. La tarification, recettes et taxes4. Les services offerts5. Les infrastructures6. Les ressources humaines utilisées7. L’environnement juridique.

IV. Opérateurs Télécoms

Les rubriques sont :

a) La couvertureb) La clientèlec) La tarification et les recettesd) L’infrastructuree) Les ressources humaines utiliséesf) L’environnement juridiqueg) Les services offertsh) Les rapports avec les distributeurs

V. Les cabines téléphoniques

Les questions tournent autour de :

• La clientèle• Infrastructures• Temps de communication pour le téléphone et le fax en envoi• Tarification, recettes, taxes• Taxes• Services offerts

VI. Les écoles et centres de formation

Les questions tournent autour de :

l) Type d’enseignementm) La qualification des formateursn) Infrastructures et parc informatiqueo) Nombre des personnes formées (répartition par sexe, les débouchés)p) Objectifs éducationnelsq) Coût de la formation

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VII. Les individus

Les rubriques sont les suivantes :

r) L’usage du téléphones) L’usage des ordinateurst) L’usage des postes récepteurs radio et télévision.

Plus tard, la DMTIC entend cibler les institutions d’enseignement primaire,secondaire et universitaire. Elle dispose déjà des données sur l’usage des TICdans les bibliothèques universitaires de la ville de Kinshasa.

II. METHODOLOGIE – PROCEDURES TRAITEMENT ET ANALYSE DESDONNEES

II.1. L’espace géographique

Réaliser une enquête sur un pays aussi vaste que la RépubliqueDémocratique du Congo est une tâche ardue. Les moyens de communicationsont soit défectueux, soit inexistants dans certaines régions. A cela s’ajoutel’insécurité permanente dans certaines contrées, spécialement à l’est.C’est la raison pour laquelle la DMTIC a opté pour une région : la province deKinshasa. Et ce choix s’explique par le fait que cette ville est la plus dotée desTIC par rapport aux autres villes ; d’autre part, elle comprend les institutionstant nationales qu’internationales ainsi que de nombreuses ONG susceptiblesde se doter des TIC. C’est aussi la capitale, la ville où se prennent toutes lesgrandes décisions. Les enquêtes ont été menées dans les 24 communes qui constituent laprovince de Kinshasa, à savoir :

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Les numéros correspondent au code attribué à chaque commune dans lemasque de saisie.

Il faut faire remarquer que les communes peuvent être classées selon lescritères ci-après :

• les communes résidentielles : Gombe, Limete, Ngaliema ;• Les communes planifiées : Lemba, Bandalungwa,

Ngiringiri, Matete ;• Les anciennes cités : Barumbu, Kinshasa, Kintambo…• Les communes d’extension : Mont Ngafula ;• Les cités périphériques : Kinsenso, Kimbanseke, N’sele,

Maluku, Nd’jili.Cette catégorisation n’est pas rigide ; elle permet de donner des indicateurs

socio-économiques pouvant explique le progrès ou le retard dans l’appropriation desTIC.

Nous tenons a préciser d’emblée que les conclusions qui seront tirées de cetravail ne peuvent en aucun cas être extrapolée sur les autres provinces.Chaque région a sa particularité.

1 Bandalungwa

2 Barumbu3 Bumbu4 Gombe5 Kalamu6 Kasavubu7 Kimbanseke8 Kinshasa9 Kinsenso10 Kitambo11 Lemba12 Limete13 Lingwala14 Makala15 Maluku16 Matete17 Masina18 Mont-Ngafula19 Ngaba20 Ngaliema21 Ngiri-Ngiri22 Ndjili23 N’sele24 Selembao

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II.2. Instruments de collecte de données ;

Les données récoltées ont été traitées par ordinateur. Le logiciel utilisé portele nom de EPIINFO 6.4a .

II.2.1. Les étapes de traitement

Les étapes de traitement ont été les suivantes Contrôle physique desquestionnaires :

a) Numérotation des questionnaires 001-999b) Relever les réponses aux questions ouvertes ; les regrouper (attribuer un code) et

élaborer le guide de codification ;c) Préparer le masque de saisie ; d ‘abord manuelle et ensuite en EPED. Le fichier

portera le nom fichier.qes. Chaque variable devait comporter :- Un nom (max 8 caractères)- Une définition- Le type de variable (numérique, alphanumérique, symbole....)- Longueur précise (1 digit, 2 digits.....) ex date = 8 digits : dd/mm/yy coût = 3

digits si les valeurs son comprises entre 100 et 999 ;d) Codifier les réponses sur base du guide de codificatione) Faire la saisie des questionnaires un à un (fichier . rec)f) Lire le fichier REC et faire des fréquences des variables pour déceler les

anomalies (après avoir saisi au moins une dizaine)g) Corriger si nécessaire le QES et continuer la saisie dans RECh) A la fin de la saisie, imprimer les fréquences de toutes les variables et

commencer l ‘analyse approfondie des données selon le plan d’analyse préétabli.i) Rédiger enfin le rapport final.

II.2.2. Du guide de codification

L’étape la plus déterminante a été de constituer avec soin le guide de codification.Voici, par exemple deux types de guide, l’un sur les organisations et l’autre sur lescabines téléphoniques :

1. ORGANISATIONS

1.1. Catégories Organisations

1 = Ministères 2 = Entreprises publiques 3 = Hôtels, Maisons d’accueil 4 = Télécommunications / Voyage / Transport 5 = Audiovisuel 6 = ONG Internationales 7 = Publicité 8 = Eglises / ASBL / ONG Locales 9 =

10

10 = Hôpitaux / Centre de Santé11 = Garages12 = Fondations13 = Institutions Académiques / Formation14 = Petites et Moyennes Entreprises (PME)

* Envisager l’analyse par catégorie si c’est utile :Ex : - Catégories les mieux outillées ? - Catégories non outillées mais qui devraient l’être vue leur mission ?

1.2. COMMUNES

1 = Bandalungwa 13 = Lingwala 2 = Barumbu 14 = Makala 3 = Bumbu 15 = Maluku 4 = Gombe 16 = Masina 5 = Kalamu 17 = Matete 6 = Kasa-Vubu 18 = Mont-Ngafula 7 = Kimbanseke 19 = Ndjili 8 = Kinshasa 20 = Ngaba 9 = Kinsenso 21 = Ngaliema10 = Kintambo 22 = Ngiri-Ngiri11 = Lemba 23 = Nsele12 = Limete 24 = Selembao

* Regrouper les communes en : 1- résidentielles (4, 12, 21)2- cités planifiées / anciennes cités3- cités d’extension

* Quelles sont les communes les mieux servies ?

Question 1 b)Les mettre directement dans la table au lieu de les mettre en note de bas de page.Ceci aurait facilité la saisie.

Question 2

Le système d’exploitation :1 = Windows2 = Linux3 = Unix4 = Autre

Question 3 : Spécificités

* Réseau 1 = Réseau Internet2 = Réseau Autre

* Câble interne 3 = Paires torsardées

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4 = Coaxial5 = Fibre optique6 = Radio

* Protocoles 7 = TCP/IP

* Plate-forme 8 = Windows 2000 / XP 9 = Windows NT10 = Lunix11 = Unix

Question 5 : Maintenance assurée par : 1 = Africanus

2 = Maintenancier 3 = Le centre lui-même 4 = Simba Télécom 5 = Technicien 6 = Informaticien 7 = RISYCOM Service 8 = Personne 9 = Direction UBC10 = InterConnect11 = Privé12 = CENAREC13 = Manage System14 = A la recherche

Question 6 a : Système de Gestion de Base des Données (SGBD)1 = Access

2 = SQL3 = GESPR

Question 7 a On doit tout taper, chaque ligne est une variable!!!Donc 14 lignes x 5 colonnes = 70 variables [trop]

On a décidé d’ignorer 3 colonnes (donc 14 x 2 = 28 Variables)Si on avait numéroté les lignes, on aurait par exemple

Q7a 1 Progiciel Q7a Paie ProgicQ7a 1 Développé par Q7a Paie Développé parQ7a 1 Logiciel au lieu de Q7a Paie LogicielQ7a 1 Développé par Q7a Paie Développé parQ7a 1 Autre Q7a Paie AutreP

our

une

seul

e P

aie

Question 7 b

1 = Aller loin en logiciel Avoir plus de connaissances comme en pays développés ;

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évoluer en informatique2 = Programmes sophistiqués (logiciels, …) / Montage vidéo3 = Matériels sophistiqués / Matériel digital en rayon X4 = Avoir Internet5 = Installer un réseau local6 = Programme AutoCad

Question 8 : Fournisseur d’Accès Internet (Provider) 1 = InterConnect

2 = Congo Korea Telecom (CKT)3 = Raganet4 = Africanus5 = MicroCom, MicroNet6 = ELIX.NET7 = Simba Telecom8 = UNIKIN9 = Exodis Corporation

Question 9 : Pourquoi1 = Nous payons très cher, mais la connexion est lente2 = Connexion lente / ça handicape le travail (examen optique par ordinateur)3 = La connexion sur l’Internet

Question 11 :1 = Lente2 = Bonne3 = Exccellente

Question 14 :1 = Manuellement2 = Africanus3 = Recherche4 = Automatique (= ?)5 = De nos fournisseurs6 = Pendant les frais de connexion

Question 15 :3 = Connaît pas c’est quoi ?

Question 16 : Raisons Ne prendre que 21 = On n’en voit pas l’importance2 = Manque de moyens3 = Outils actuels suffisent4 = Responsables s’y opposent6 = Autres raisons. Cela est prévu / En projet7 = Nombre d’ordinateurs très réduit

Question 18 : Type et nombre de serveurs1 = DNS (Domain Name Server)2 = Messagerie3 = Web

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4 = FTP5 = Proxy6 = Communication7 = News

Question 20 : Fréquence1 = Souvent2 = Parfois3 = Jamais

Question 21 :1 = Oui2 = Non3 = Envisagé

Question 23 :1 = Oui2 = Non3 = En projet

Question 24 :1 = Cité2 = Non cité

Question 27 :Si oui,

1 = CD2 = Autres

Question 32 :1 = 1 semaine2 = 1 mois3 = 2 mois4 = 3 mois5 = Autre

Question 35 :1 = Un webmaster interne2 = Un prestataire externe3 = Autre personne en interne

Question 36 :1 = Moins de 500 000 FC2 = Entre 500 000 et 1 000 000 FC3 = Plus de 1 000 000 FC

Question 37 :Si oui,

1 = Sympa2 = Majordomo

14

3 = Autre

Alias 1 = Oui2 = Non3 = Autre

Question 38 :Spécialistes Hommes = ____Spécialistes Femmes = ____

Question 41 : Même observation que Q7a)14 lignes x 3 colonnes = 42 variablesC’est trop pour le temps disponibleIl fallait numéroter – au lieu du contenu de la ligne, on prend seulementson numéro ! On a ignoré la 3ème colonne [des besoins]

Question 42 a :Plusieurs : 888

Question 42 b : Formateurs1 = Sont propres à l’entreprise2 = Viennent d’ailleurs

Centre 1 : taper le nomCentre 2 : taper le nomCentres étrangers : taper le nom du centre

Pays étrangers : taper le nom du pays ; à relever manuellement s’il y en a

Question 42 c : Modules de formation les plus courants1 = Initiation à l’Informatique2 = Matin / Soir ; Stage après-midi ; Réponses vagues3 = Logiciels / Progiciels4 = Bureautique / Programmation5 = Récupération, Maintenance des ordinateurs, Base des Données, Programmation6 = Administration des Réseaux & Comptabilité7 = Networking (Réseaux) & Database (Base des données)8 = Comment installer le logiciel de base des données et l’utilisation

Question 42 d : Besoins en formation 1 = Tout sur les nouvelles technologies 2 = Développeur, Delphi, Studio Visuel 3 = Avec ± 10 PC, on compte ouvrir un centre mais nous sommes limités 4 = Installer PC dans chaque chambre de l’hôtel 5 = Formation sur le Linux & Langage de programmation 6 = Plus de matériels / PC 7 = Cartographie 8 = Access 9 = Technicien maintenance des ordinateurs / technicien Informaticien & Réseaux10 = Former plusieurs agents localement et que la formation soit régulière

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11 = Croissant12 = Ouvrages & Matériels informatiques13 = Besoin de formation dans le domaine de maintenance et réseau14 = Bureautique & Maintenance15 = Certification Windows Server 200316 = Gestion des sites / Création & Design des sites / Infographisme / Animation Flash et Autres

Question 44 : Solutions logicielles1 = Norton Anti-Virus2 = Solo, AmpiCillin3 = Norton Anti-Virus & Solo4 = Onduleur, Climatisation, Stabilisation5 = Bit Defender 8, professionnal Plus6 = McAfee7 = Autres : Fire Wall, Ez Anti-Virus, Avast, Anti-Virus Guard (AVG), Microsoft Neat Suite, Norton8 = Produits maison (conçus par nous-mêmes)

Question 45 : Utilitaires de sauvegarde 1 = Disque dur 2 = Secret 3 = CD-R / CD-RW / Flash Disk 4 = Disquette 5 = Utilitaire par défaut de Microsoft XP Pro 6 = Disquette, Lecteur des cassettes magnétiques, Gravage des CD, oméga, Automatic Back-Up, Streamer 7 = Autres (Système du MP ZEPRO, Utilitaires propres à l’OS/400, Maxtore 8 = Veritas Back-Up Version 9.0 9 = Produits maison (conçus par nous-mêmes)10 = Flash Disk, Disquette11 = Disquette & CD12 = Nullement

Question 46 : Solutions matérielles de sécurité (On s’est limité à une seuleréponse)

1 = Lecteur des cassettes magnétiques 2 = Gravage des CD sauvegarde 3 = Armoire ignifugiée 4 = Serrure électronique 5 = Back-Up distant des supports 6 = Back-Up Ordinateur distant 7 = Autres 8 = Lecteur des cassettes magnétiques, Gravage des CD, Armoire

ignifugiée, Back-Up distant des supports, Back-Up Ordinateur distant 9 = Flash Disk10 = Lecteur des cassettes magnétiques, Gravage des CD de sauvegarde, Armoire ignifugiée11 = Disquette & CD12 = Nullement

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Question 57 c : Services offerts 1 = 2 = 3 = 4 = 5 = 6 = 7 = 8 = 9 =10 =11 =

Question 58 :1 = Oui2 = Peu3 = Pas encore4 = Non5 = Je ne sais pas

Question 59 1) Freins au développement des TICs dans votre Institution 1 = La douane 2 = Les taxes 3 = Manque de technologie 4 = Les moyens / manque d’électricité / Instable 5 = Manque de matériels adéquats pour être excellents 6 = Tout dépend des responsables 7 = Rien, car besoins très limités 8 = Manque d’information sur les TICs 9 = Manque des personnels qualifiés10 = Manque de formation11 = Manque du personnel qualifié, des moyens et l’ignorance des TICs12 = Aucun frein sur le plan interne, car nous nous alignons sur les standards américains (Seaboard)13 = Le coût de prestation

Question 59 2) Freins au développement des TICs dans votre région (province) ? 1 = Les moyens

2 = La majorité trouve que c’est un luxe 3 = Nombre elevé des personnes sans accès à l’information 4 = La vulgarisation des TICs 5 = Manque d’organisation 6 = Chômage des informaticiens, prolifération des logiciels spécifiques et progiciels sur le marché ; ce qui fait qu’on n’a plus besoin d’informaticien 7 = Pas de vision lointaine, manque de moyens financiers / Politique de la région 8 = Manque de personnel qualifié / Intérêt direct sur la population / Matériels coûteux

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Question 59 3) Comment lever ces freins ? 1 = Par l’honnêteté de bos frères

2 = Plus des PC dans les territoires à 50 $ US (réduire le coût) 3 = Vous-mêmes par le travail 4 = Donner des formations gratuites / moins chères à tous 5 = Pas mentionné dans nos objectifs 6 = Formation appropriée & moyens conséquents 7 = Par DMTIC si elle n’est pas une histoire 8 = Etre tout le temps en contact avec l’étranger 9 = Implication des pouvoirs politiques10 = Mise en place d’une meilleure politique de formation / Large utilisation des ordinateurs dans tous les domaines, même dans les Ménages, ce qui va créer le besoin des techniciens pour la maintenance11 = Pas de politique générale sur les TICs / Taxes à l’importation des PC ou Laptop américains (Seaboard)

Question 60 : 1 = Taxes et autres charges

2 = On ne connaît pas son avantage positif 3 = La gestion du pays 4 = Manque d’expérience 5 = Manque des moyens 6 = Pas de textes en rapport avec les TICs

Question 64 : Si oui, Comment ? 1 = Sur un site, CNN, TV 2 = ICANN 3 = 4 = 5 = 6 =

2. MASQUES DES CABINES TELEPHONIQUES

Il a fallu constituer trois fichiers complémentaires dénommés :

CABINE.QES CABINES.REC CABINE.OUT

N° No,s variables Définition des variables Valeurs Codes1 ID Numéro d’ identification 1-9992 CABNAME Nom de cabine3 CABCODE Code DMTIC cabine4 Adresse 1 Adresse cabine5 TEL 1 Téléphone cabine6 FAX 1 Fax cabine7 Email 1 Email cabine8 Contact Personne à contacter

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9 Implant Date implantation10 Effectif 1 Nombre de personnes11 NOMENQ Nom de l ‘enquêteur12 CODEENQ Code enquêteur13 ADRES2 Adresse de l’enquêteur14 TEL2 Téléphone enquêteur15 FAX2 Fax enquêteur16 EMAIL2 E-mail enquêteur17 VILLE Ville concernée Liste numérotée villes 18 CO MMUNE Commune concernée(liste) Numérotée communes19 Effectif2 Nombre de cabines ####20 CLIENTSJ Nbre de clients/jour ###21 CLIENTSM Nbre de clients/mois #### (clientsjx 30)22 CLIENTSA Nombre de clients/an ### (clientsjx365)23 CLFIX Comm locale fixe (prix/min) ###24 CLMOBILE Comm locale mobile ‘’ ###25 CIVOIP Comm locale VOIP’’ ###26 CIFIX Comm internationale fixe ‘’ ###27 CIMOBILE Comm internationale ,mobile ###28 CIVOIP Comm internationale VOIP ###29 FAXLOC Envoi fax local (prix/minute) ###30 FAXINT Envoi fax international ###31 FAXRECEP Réception fax (par page) ###32 TMLJour Durée moyenne appel local/j ##33 TMLmois Durée moyenne appel local/mois ##34 TMLAn Durée moyenne appel local/an ##35 TMLJour Durée moyenne appel inter /jour ##36 TMLMois Durée moyenne appel inter/mois ##37 TMLAn Durée moyenne appel inter/an ##38 TMIJour Durée moyenne appels inter/jour ##39 TMIMois Durée moyenne appels inter/mois ##40 TMIAn Durée moyenne appel inter/an ##41 TMFAXLJ Temps moyen fax local/jour ##42 TMFAXLM Temps moyen fax local/mois ##43 TMFAXLA Temps moyen fax local/an ##44 TMFAXIJ Temps moyen fax international/jour ##45 TMFAXIM Temps moyen fax International/mois ##46 TMFAXIA Temps moyen fax international/an ##47 RESEAUX Réseaux locaux utilisés # alphanumérique48 FACTUREM Abonnement facture par mois ###49 FACTUREA Abonnement facture par an # # # # #50 SATISFAC Satisfait ? 1=OUI 2=NON51 ABEXT Abonnement extérieur 1=VSAT 2=Internet 3 = NON52 ABINTERN Abonnement extérieur Internet 1=OUI 2=NON53 ABAUTRE Abonnement extérieur autre 1=OUI 2=NON54 COUTMOIS Coût par mois ###55 COUTAN Coût par an ###56 TAXES CITES Liste numérotée des taxes (voir liste)57 TAXEP Taxes qui pèsent le plus ###

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Quelques modifications

23 COMLOC Prix communication locale ###24 COMINTER Prix communication internationale ###25 INTERFIXE Appel international pour un fixe ###

26 INTERMOB Appel international pour un mobile ###27 COMVOIP Communication par Internet ###

Il faut préciser ici que touts les variables ne sont pas exploitables. Par exemple, onne peut rien tirer des variables 11 à 16 relatives à l’enquêteur.

II.3. Echantillons / catégories

La répartition des questionnaires se présente comme suit :

II.4. Mode d’adminitration des questionnaires

Certains questionnaires ont été déposés auprès des enquêtés représentantleurs institutions. D’autres ont été remplis directement par les enquêteurs.

III. RESULTATS

Types de questionnaires Nbre enquêtés Nbre de questions

1 Institutions / entreprises 105 672 Cybercafés 95 153 Fournisseurs d’accès 4 244 Opérateurs Télécom 0 265 Ecoles et centres de formation 30 96 Cabines téléphoniques 105 137 Individus 157 3

TOTAL 496 157 questions

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PREMIERE PARTIE :

LES INDIVIDUS

L’enquête a porté sur des individus pris de façon aléatoire, sans précision nide sexe, ni de l’âge, ni de formation, ni de niveau de vie. Au total, 157 individus ontété interrogés. Tous habitent dans la ville de Kinshasa, mais dans des communesdifférentes comme le montre le tableau n° …

Les questions tournent autour de trois axes, à savoir :

• L’usage du téléphone et de ses applications• L’usage des outils informatiques L’usage des appareils audiovisuels.

Concernant l’usage du téléphone, ce qui nous intéresse, c’est :

- Le nombre de personnes qui disposent d’un téléphone (+ le type detéléphone) ;

- La fourchette des dépenses occasionnées par le téléphone ;- L’usage ou non des applications téléphoniques telles que le SMS.

Concernant les outils informatiques :

- Le nombre de personnes qui disposent personnellement d’un outilinformatique (ordinateur) ainsi que le coût consenti pour l’acquérir oul’entretenir ;

- Le niveau de connaissance en informatique ;- Ce à quoi l’individu l’utilise.

Concernant les outils audiovisuels, notamment le téléviseur et les différentspériphériques de lecture et/ou d’écriture des données informatiques, connaître letemps consenti pour leur usage et la nature des émissions préférées.

RESULTATS

A. L’usage du téléphone

A.1. Téléphone fixe

Sur 157 individus interrogés, 4 personnes déclarent posséder un téléphone fixe.

A.2. Téléphone mobile

70,1% des personnes interrogées disposent d’un téléphone mobile ; 8% en ont deux,3,1% en ont trois et plus (entre 3 et 5) et 18% n’en ont pas.

A.3. Téléphone satellitaire

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Personne ne dispose d’un téléphone satellitaire.

A.4. Le prix d’achat du téléphone fixe pour les 4 personnes qui en disposent varie de100 et 250 $.

A.5 Le prix d’achat du téléphone mobile varie entre 20 $ (tél. d’occasion) et 630 $.Selon les bourses, la répartition se présente de la manière suivante :

Prix d’achat FréquenceEntre 20 et 30 $ 11Entre 40 et 59 $ 25Entre 60 et 99 $ 45Entre 100 et 140 $ 30Entre 150 et 290 $ 26Entre 300 et 630 $ 10

11 personnes n’ont pas répondu à la question :Il en ressort que sur 146 personnes interrogées, 30,8% peuvent se permettre untéléphone dont le prix d’achat est compris entre 60 $ et 99 $. Et 6,8% peuvent sepermettre un téléphone luxueux.

A.6. Evaluation des dépenses sur l’usage du téléphone

A.6.1. Les 4 personnes qui disposent d’un téléphone fixe affirment dépenser enmoyenne entre 30 et 150 $ mensuellement.

A.6.2. Des dépenses effectuées pour l’usage du téléphone mobile

Coût FréquenceEntre 1 et 8 $ 36Entre 10 et 30 $ 61Entre 35 et 80 $ 15Entre 100 et 300 $ 19

26 personnes sur 157 n’ont pas répondu à la question. Sur 131 personnes qui ontrépondu à la question, 46,5% dépensent une somme qui varie entre 10 et 30 $ parmois. Et 27,4% ne dépense pas une somme qui excède 8 dollars/mois.

A.7. De l’envoi des SMS

Sur 144 personnes interrogées, 106 ont déclaré envoyer régulièrement des sms, soit73,6%. On peut en déduire que l’usage des SMS est bel et bien ancrée dans lapratique des kinois.Quant à la fréquence des sms envoyés journellement, Seuls 125 personnes sesont exprimées. Il en ressort le tableau suivant :

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Nombre des SMS Fréquence %Entre 1 et 3 SMS 60 48%Entre 4 et 7 SMS 16 12,8%Entre 10 et 35 SMS 49 39,2%

Sur 115 personnes interrogées, 74 seulement se sont exprimées sur le nombre desSMS envoyées par semaine

SMS envoyés par semaine :

Nombre desSMS/Sem

Fréquence %

Entre 1 et 8 sms 45 60,8%Entre 10 et 20 sms 15 20,2%Entre 21 et 40 sms 10 13,5%Entre 42 et 70 sms 4 5,4%

SMS envoyés par mois

Sur 115 personnes interrogées, 76 personnes se sont exprimées sur le nombre desSMS qu’elles envoient par mois.

N o m b r e d e sSMS/mois

Fréquence %

Entre 1 et 10 sms 30 39,4%Entre 12 et 30 sms 23 30,2%Entre 35 et 80 sms 14 18,4%Entre 84 et 210 sms 9 11,8%

Quant au transfert d’appels, sur 143 réponses, 14% affirment utiliser la fonctiontransfert d’appel.

B. INFORMATIQUE

B. 1. La possession d’un outil informatique

Sur 147 personnes interrogées, 32 % déclarent posséder un ordinateur. 25personnes disposent d’un ordinateur, 6 personnes possèdent 2 ordinateurs, unepersonne dispose de 6 ordinateurs et une autre dispose de 8 ordinateurs. Pour cesdeux derniers cas, il s’agit probablement d’une personne qui exploite un cybercaféou une maison de formation en informatique.

B2. Le prix d’achat d’un ordinateur

A la question de savoir à quel prix les enquêtés ont acheté leur ordinateur, force estde constater que le prix d’un ordinateur varie entre 150 et 3.000 $.Sur 62 personnes qui ont répondu à la question, 6,5% affirment avoir acheté leurordinateur à 400 $. 4,5% à 400 $. Il n’est pas précisé si les périphériques (comme

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les imprimantes, par ex.) sont inclus dans le prix d’achat pour les ordinateurs dont leprix s’élève dépasse 1.000 $.

B3. Lieu d’achat de l’ordinateur

Sur 53 personnes interrogées, seules 36 personnes ont répondu à la question ;16,6% affirment explicitement avoir acheté leur ordinateur à Kinshasa. Mais,lorsqu’on considère que les magasins cités par d’autres enquêtés se situent àKinshasa, il y a lieu de porter ce chiffre à 19 réponses, soit 52,7%.2 personnes ont acheté leur ordinateur en province et 13 à l’étranger. 2 autrespersonnes parlent d’un don ou d’un arrangement avec un tiers.

6%

52%6%

36%

Autre Kinshasa Province Etranger

B.3. Date d’achat des ordinateurs

Il ressort des enquêtes qu’avant 1999, aucun achat d’ordinateur n’avait étéeffectué. Entre 1999 et 2002, on note à peine l’achat de 4 ordinateurs. Ce n’estqu’en 2003 qu’il y a une augmentation sensible de l’ordre 30,5%. L’année 2005atteint 36,1% . On peut présumer que ce chiffre ira croissant.

B.4. De l’entretien des ordinateurs

B.4.1. Entretien effectif des ordinateurs

63,8% des enquêtés affirment procéder à un entretien régulier de leursordinateurs ? 15,2% affirme y procéder 2 fois par an. 10,5% ne le font qu’une foispar an.

B.4.2. Le coût de l’entretien

Le coût de l’entretien varie entre 10 et 300 $. Sur 16 personnes qui ontrépondu à la question, 25% consentent 10 ù pour l’entretien, 12,5 % parlent de 60 %et 18,75% parlent d’un coût de 100 $.

B.5. Niveau de connaissance en informatique

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Sur 140 personnes interrogées, 17,9% affirment n’avoir aucune connaissance eninformatique, 21,4% affirment avoir des connaissances rudimentaires, près de lamoitié, 47,9 % affirment avoir des connaissances moyennes, 8,6% disent qu’elles ontune connaissance supérieure. 4,3% ne se sont pas exprimé sur la question.

Niveau de connaissance en informatique

18%

21%48%

9% 4%Nulles

Rudimentaires

Moyennes

Supérieures

Sans réponse

B.6. A quoi sert l’ordinateur

Nous étions intéressés à savoir à quoi sert l’ordinateur pour nos enquêtés.Quatre catégories d’applications étaient proposées : la bureautique, l’Internet, lagestion et les jeux. Les réponses sont variées :

Pour la bureautique : 64,4% des personnes interrogées disent utiliser leurordinateur pour la bureautique seulement ; 24,1% affirment le contraire.

Pour Internet : 34,1% affirment utiliser l’ordinateur pour surfer sur Internetpendant que 54,1% n’utilisent jamais leur ordinateur à cette fin, peut être parce qu’ilsne sont pas branchés.

Pour la gestion : 25,9% utilisent l’ordinateur pour la gestion pendant que62,4% ne s’en servent pas.

Pour les jeux : 29,1% affirment jouer à l’ordinateur, tandis que 58,1% ne s’yintéressent pas ou ne le peuvent pas (faute de logiciel, manque d’intérêt…..).

C. L’AUDIOVISUEL

Notre soucis était de connaître non seulement le degré d’appropriation de certainsoutils audiovisuels telles que la radio et la télévision, mais aussi l’usage que nosenquêteurs en font.

C.1. Téléviseur

Sur 154 personnes interrogées, 143 affirment posséder un poste téléviseur. Le tauxde pénétration de cette technologie est de 92,9%. Quant à la configuration de cet

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outil, des 146 personnes qui ont répondu à la question, 90,4% affirment posséder untéléviseur en couleur contre 8,2% qui se contentent d’un téléviseur noir et blanc,devenu de plus en plus rare.

TV connecté

A la question de savoir si le téléviseur est connecté à un magnétoscope ou à deslecteurs optiques tels que les DVD ou le VCD, force est de constater que presque lamoitié des personnes interrogées répondent par l’affirmatif. Seuls 13,5% desenquêtés possèdent un téléviseur muni d’un télétexte: Il faut dire que 4,7% despersonnes interrogées à ce sujet ne savent même pas ce que c’est qu’un télétexte.

Les résultats se présentent comme suit : 46,9% ont un téléviseur couplé avec unmagnétoscope contre 49,7% qui n’allient pas les deux technologies ; 42,4%disposent d’un lecteur DVD contre 54,2%. 45,5% disposent d’un lecteur VCD contre51% qui n’en disposent pas. On peut affirmer que la technologie optique est déjàentrée dans la pratique des kinois ; à en juger le marché florissant des supportsoptiques tels que les DVD, les VCD et autres. Le marché des magnétoscopes (vidéo)est en perte de vitesse. Les prix de ces appareils a sensiblement baissé, de tellesorte qu’il est possible de se procurer un appareil à moins de 100 $, ce qui est le prixd’un lecteur DVD basse gamme.

46,9

42,4

45,5

13,5TVVIDEO

TVDVD

TVVCD

TVTELETEXT

C.2. Récepteur Radio

La configuration de la radio nous intéresse autant que celle de la télévision. 91 %des personnes interrogées affirment posséder un poste récepteur radio. Quant à sa

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configuration physique, la situation se présente grosso modo de la manière

suivante :

8%

35%

24%

14%

13% 6%Radio simple

Radio-cassette

Radio-cd audio

Radio cd-vidéo

Radio-MP3

Radio-réveil

D. Les heures d’écoute journalières

Radio nationale

Combien d’heures par jour, en moyenne, les kinois consacrent à l’écoute de la radio nationale ? Sur 152 personnes interrogées, la majorité passe entre 1 et 3 Heures/jour, soit une proportion de 68,4% ; 15,2% y consacrent plus de 3 heures. 16,4%n’ont pas répondu à la question.

Radios internationales

Quant à l’écoute des radios internationales comme la RFI, la BBC et Africa N°1, LaVOA….., la majorité des personnes interrogées, soit 59,8% affirment y consacrer 1 àdeux heures par jour. 2,6% n’écoutent pas du tout ces radios ; 21,1% n’ont pasrépondu à la question.

E. Durée d’exposition à la télévision

Les heures journalières passées devant la Télévision nationale

Ici, 75,5% affirment passer journellement, en moyenne, entre 1heure et 4 heurespour suivre les chaînes de télévision nationales.

Les heures journalières passées devant les Télévisions internationales

Curieusement, la différence n’est pas marquée entre le nombre de personnes quisuivent les chaînes nationales et celles qui suivent les chaînes internationales. Ainsi,la majorité, soit 79,1% regardent les télévisions étrangères, comme le CFI,l’Euronews et d’autres chaînes disponibles, par abonnement, chez certainsprestataires.

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F. Types d’émissions préférées

Le tableau suivant est explicite :157 personnes ont été soumises à cette question. L’abstention a une moyenne de 2.

Emissions Réponses positives Réponses négativesInformations 134 85,4% 21 13,4%Musique 111 70,7% 44 28,0%Documentaire 108 68,8% 47 29,9%Religion 103 65,6% 52 33,1%Sport 103 65,6% 52 33,1%Cinéma 88 56,1% 67 42,7%Théâtre 78 49,7% 77 49,0%Jeux 60 38,2% 95 60,5%Autres 23 14,6% 131 83,4%

G. L’ordre de préférence des émissions

En premier lieu, les enquêtés ordonnent leur préférence de la manière suivante :

Emissions Réponses positivesInformations 44 28,0%Musique 13 8,3%Cinéma 12 7,6%Sport 8 5,1%Religion 7 4,5%Théâtre 6 3,8%Documentaires 3 1,6%Autres 2 1,3%Jeux 1 0,6%

Ces réponses nous indiquent clairement que, contrairement à ce que les genspensent, les kinois suivent réellement les informations dans les médias audiovisuels.Ce tableau pourrait, en outre, donner des indices utiles aux directeurs desprogrammes radio-TV.

En second lieu, l’ordre de préférence se présente comme suit :

Emissions Réponses positivesSport 21 13,4%Informations 15 9,6%Musique 13 8,3%Cinéma 13 8,3%Documentaires 12 7,6%Religion 11 7,0%Théâtre 7 4,5%Autre 1 0,6%Jeux 1 0,6%

Le sport occupe une place prépondérante, suivi, encore une fois des informations.

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Les jeux n’intéressent pas les kinois. Nous les retrouvons une fois de plus à laqueue.Les données sont nous disposons pourraient nous permettre de prolonger l’ordre depréférence mais cela alourdirait ce rapport.

DEUXIEME PARTIE : LES CYBERCAFES

La ville de Kinshasa dispose d’un certain nombre de cybercafés (95 visités) quipermettent aux Kinois d’accéder aux services de l’Internet. Il est utile de connaître :

Le nombre de cybercafés dans la ville de Kinshasa, par rapport à sapopulation et à ses besoins en information ;

Leurs adresses ; Leur date d’implantation ; Le type d’infrastructures et du personnel mis en place pour offrir ces services ; Les types de services les plus demandés ; Le nombre des clients ainsi que leur statut. Les divers frais qu’occasionnent cette technologie tant au niveau des

propriétaires qu’au niveau des clients.

I. Dénomination

REC NUMFICHE NOM ADRESSE TEL

1 CLARA PHONE KASAI NO1 Q LISALA/KITAMBO 2437602120 2 CYBER KATYS.COM LUBUMBASHI . 3 VIP GRACE BLOC NO 300 0851563019 4 CYBER VISION . . 5 FUSEE TELECOM KIMBONDO . 6 FBI INGA C/BANDAL . 7 TINA CHRIS COM KASA-VUBU . 8 CELPA AMONI GALERIE MAVUZI, MOULARD . 9 SEDAR SENGHOR KASAVUBU . 10 LE GRENIER BANDAL . 11 CONNEXION NET BANDAL . 12 INFOKIN KIMBONDO . 13 CYBER ELDHA INONGO NO47/1 . 14 BONA BANDAL . 15 WORLD NEW VISION KABINDA NO125 C/KINSHASA 0999941999 16 NEW CYBER SHOP AERODROME A12 0997884046 17 LYCEE KABAMBARE KABAMBARE NO999 C/KINSHASA 0819071928 18 ALPHA MDK KABAMBARE NO 157 C/KINSHASA 0998993566 19 AVENIR KALEMBELEMBE NO162 C KINSHASA 0851528063 20 INTERNET PHONE HOTEL PHENIX 0815255027 21 LE SECOURS DE L'ETERNEL OCPT NO 4 0851536444 22 STRONGS MOBUTU NO 23 MASINA PETRO CON 0815001817 23 CYBER TOP@ELECTRONIC BANTANDU Q8 C/NDJILI NO 38 8494949 24 ESPOIR POUR LA JEUNESSE BLD LUMUMBA NO58 MASINA 0998972390 25 CENTRE DE VULGARISATION MAZI Q 12 C/NDJILI 0998444814 26 GM NET Q MUTOTO MATETE 08931329 27 FONDATION KALKHA BATEKE I NO 35 MATETE 0810507479 28 CFI-MATETE Q MPUDI N0 35D BIS MATETE 0815980690 29 EUREKA BAHUMBU I NO 14 MATETE 8928824 30 APHDC/ONG KINZAZI NO 54 C/MATETE 0819071404 31 BUREAUTIQUE EXPRESS Q KINZAZI NO 1 C/ MATETE 08979334 32 LOPY-PRESS Q MBOLOKO C/MATETE 0818107075

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33 LOURD BUREATIQUE Q MBOLOKO NO90 C/MATETE 08966415 34 LOOK .COM Q TOMBA 1B C/MATETE 98193854 35 PLACE VOLTAIRE MONGO 14D C/MATETE 0814927567 36 ADECO Q TOMBA C/MATETE 0811408046 37 BUREAUKIN MANDINA NO 3D C/ MATETE 0810839229 38 ALLIANCE FRANCO CONGOL. BY PASS N0 12 . 39 KASNET Q MUTOTO 1A C/MATETE 0997385089 40 CALVARY BY PASS Q ECHANGEUR N0 1230 0997564280 41 FONDATION KALKHA BATEKE 1 NO35 C MATETE 0810507479 42 BUREAUTIQUE SYSTEMS Q VITAMINE C/MATETE 0998855805 43 EUREKA BAHUMBU I NO14/D C/MATETE 892884 44 GENIE 2000 LUBEFU NO 30 C/LEMBA 08414775 45 SOCADIC . 0998521240 46 EBONY CYBER CAFE RUKOZIZI NO 1334/1 0818134412 47 OMEGA CYBER BOTANGO NO 3 LEMBA SUPER . 48 CTRE VULG.OUTIL INTER MIAO NO2957/34 LEMBA 0816511645 49 CHRISTO SERVICE LEOPARD NO1 SALONGO 099970077 50 LIBROCASE MEDIATEC UBANGI NO1 RIGHINI 0812185636 51 KAS TELECOM KIANZA NO7 NGABA 8441189 52 COOVEF SERVICES MBEE NO177 C/NGABA 0812622809 53 CONGO EXPRESS FOIRE NO1 BIS C/NGABA 98860314 54 . . . 55 MAYNOLF . . 56 SAINT RAPAHAEL ACADEMY . . 57 BAKALU MULTISERVICE REVOLUTION NO637BIS C/LIMETE . 58 LA DECOUVERTE IXORAS NO 282 PLACE COMMERC. 0998158013 59 MONEY GRAM . . 60 KBC . . 61 . . . 62 JOHN BEN . . 63 . MOTEL FIKIN . 64 C F I N A 5,AV. DE LA SCIENCE 851503982 65 GILBERT NET . 0998487006 66 GROUPE . . 67 CYBER NET . . 68 BUREATIQUE ELMI/ISP/GOM PERE BOKA NO 2 098325091 69 IDEIS ACTIONS TOMBALBAYE NO 51 C/GOMBE . 70 BEDECOM . . 71 GUPHY@ BUSINESS . . 72 LA GRECE.COM . . 73 AMITIE FRERE CONGO . . 74 GNS CONCEPT YOLO NO 113 C/NGIRI NGIRI . 75 CYBER AMANI GALERIE MAVUZI NO 1033 NG NG 0816907108 76 CYBER UB YO KASA VUBU NO 7 C/NGIRI NGIRI 0810510530 77 . . . 78 CYBER CAFE AFRIQU'ENFAN POMPAGE . 79 BUREAU NET.COM AV COLONEL MPIA NO 175 C/NGAL 0997011979 80 SOFT HOUSE KASA VUBU NO 14B 0999924113 81 GERATAM COMPUTER TRANSVERSALE NO25 C/KITAMBO 0998671933 82 CYBER CONNEXION KABOLI N O 23 C/NGALIEMA . 83 CYBER SAM UPN C/NGALIEMA 0815219525 84 ALPHA OMEGA KASA VUBU 0998162126 85 CYBER TJM ECOLE NO 11 OZONE 0998641886 86 GENERAL TRADING INTERN KASA-VUBU NO 6 C/NGALIEMA 0999943442 87 CYBER CONGO UPN C/NGALIEMA 0997594934 88 CYBER CAFE DE REFERENCE NYANGWE NO 185 0815179711 89 MEDIA LAND BY NET TELEC KABAMBARE NO 255 0899106 90 BK CONCEPTION NIANGWE NO 185 0812130784 91 PENIEL BUREAUTIQUE ITAGA NO 287 0999983481 92 COLLEGE NDINGA MBOTE KIMWENZA MISSION C/MONT NGAF 0998170972 93 BUSINESS CORPORATION . 0812484161 94 BABAZEN 24 AVRIL NO 9 0815043639 95 MAISON ADDY BY PASS NO 11 0998971305

N.B. Le point signifie absence de données dû à la négligence des enquêteurs ouau silence des enquêtés.

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Classés par ordre alphabétique, les cybercafés se présentent comme suit :

ADECOALLIANCE FRANCO CONGOLALPHA MDKALPHA OMEGAAMITIE FRERE CONGOAPHDC/ONGAVENIRBABAZENBAKALU MULTISERVICEBEDECOMBK CONCEPTIONBONABUREATIQUE ELMI/ISP/GOMBUREAU NET.COMBUREAUKINBUREAUTIQUE EXPRESSBUREAUTIQUE SYSTEMSBUSINESS CORPORATIONC F I N ACALVARYCELPA AMONICENTRE DE VULGARISATIONCFI-MATETECHRISTO SERVICECLARA PHONECOLLEGE NDINGA MBOTECONGO EXPRESSCONNEXION NETCOOVEF SERVICESCTRE VULG.OUTIL INTERCYBER AMANICYBER CAFE AFRIQU'ENFANCYBER CAFE DE REFERENCECYBER CONGOCYBER CONNEXIONCYBER ELDHACYBER KATYS.COMCYBER NETCYBER SAMCYBER TJMCYBER TOP@ELECTRONICCYBER UB YOCYBER VISIONEBONY CYBER CAFEESPOIR POUR LA JEUNESSEEUREKAFBIFONDATION KALKHAFUSEE TELECOMGENERAL TRADING INTERNGENIE 2000GERATAM COMPUTERGILBERT NETGM NETGNS CONCEPTGROUPEGUPHY@ BUSINESSIDEIS ACTIONSINFOKININTERNET PHONEJOHN BENKAS TELECOMKASNETKBC

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LA DECOUVERTELA GRECE.COMLE GRENIERLE SECOURS DE L'ETERNELLIBROCASE MEDIATECLOOK .COMLOPY-PRESSLOURD BUREATIQUELYCEE KABAMBAREMAISON ADDYMAYNOLFMEDIA LAND BY NET TELECMONEY GRAMNEW CYBER SHOPOMEGA CYBERPENIEL BUREAUTIQUEPLACE VOLTAIRESAINT RAPAHAEL ACADEMYSEDAR SENGHORSOCADICSOFT HOUSESTRONGSTINA CHRIS COMVIP GRACEWORLD NEW VISION

DATE D’IMPLANTATION

REC DÉNOMINATION ADRESSES COMMUNE DATIMPL.--- ----------------------- ----------------------------- ------- ---------- - 1 CLARA PHONE KASAI NO1 Q LISALA/KITAMBO . 30/03/1998 2 CYBER KATYS.COM LUBUMBASHI . 03/11/2000 3 VIP GRACE BLOC NO 300 . 30/06/2000 4 CYBER VISION . . . 5 FUSEE TELECOM KIMBONDO . 30/06/2000 6 FBI INGA C/BANDAL . . 7 TINA CHRIS COM KASA-VUBU . . 8 CELPA AMONI GALERIE MAVUZI, MOULARD . 04/09/2001 9 SEDAR SENGHOR KASAVUBU . . 10 LE GRENIER BANDAL . . 11 CONNEXION NET BANDAL . . 12 INFOKIN KIMBONDO 1 30/06/2004 13 CYBER ELDHA INONGO NO47/1 . 30/06/1999 14 BONA BANDAL . . 15 WORLD NEW VISION KABINDA NO125 C/KINSHASA . 30/06/2001 16 NEW CYBER SHOP AERODROME A12 2 30/10/2005 17 LYCEE KABAMBARE KABAMBARE NO999 C/KINSHASA . 30/09/2003 18 ALPHA MDK KABAMBARE NO 157 C/KINSHASA . 30/06/2001 19 AVENIR KALEMBELEMBE NO162 C KINSHASA . . 20 INTERNET PHONE HOTEL PHENIX 2 . 21 LE SECOURS DE L'ETERNEL OCPT NO 4 . . 22 STRONGS MOBUTU NO 23 MASINA PETRO CON . 30/07/2005 23 CYBER TOP@ELECTRONIC BANTANDU Q8 C/NDJILI NO 38 . 20/10/2004 24 ESPOIR POUR LA JEUNESSE BLD LUMUMBA NO58 MASINA . 14/06/2003 25 CENTRE DE VULGARISATION MAZI Q 12 C/NDJILI . 30/06/2000 26 GM NET Q MUTOTO MATETE . 30/06/1998 27 FONDATION KALKHA BATEKE I NO 35 MATETE . . 28 CFI-MATETE Q MPUDI N0 35D BIS MATETE . 30/06/2002 29 EUREKA BAHUMBU I NO 14 MATETE . 30/06/2002 30 APHDC/ONG KINZAZI NO 54 C/MATETE . . 31 BUREAUTIQUE EXPRESS Q KINZAZI NO 1 C/ MATETE . . 32 LOPY-PRESS Q MBOLOKO C/MATETE . 30/06/2002 33 LOURD BUREATIQUE Q MBOLOKO NO90 C/MATETE . 30/06/1999 34 LOOK .COM Q TOMBA 1B C/MATETE . 30/06/2005 35 PLACE VOLTAIRE MONGO 14D C/MATETE . .

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36 ADECO Q TOMBA C/MATETE . 30/06/2000 37 BUREAUKIN MANDINA NO 3D C/ MATETE . . 38 ALLIANCE FRANCO CONGOL. BY PASS N0 12 . 30/06/2004 39 KASNET Q MUTOTO 1A C/MATETE . 30/06/2003 40 CALVARY BY PASS Q ECHANGEUR N0 1230 . 30/06/2000 41 FONDATION KALKHA BATEKE 1 NO35 C MATETE . 03/03/2005 42 BUREAUTIQUE SYSTEMS Q VITAMINE C/MATETE . 16/05/2005 43 EUREKA BAHUMBU I NO14/D C/MATETE 16 12/06/2000 44 GENIE 2000 LUBEFU NO 30 C/LEMBA 11 01/01/2002 45 SOCADIC . 11 30/06/2003 46 EBONY CYBER CAFE RUKOZIZI NO 1334/1 11 . 47 OMEGA CYBER BOTANGO NO 3 LEMBA SUPER 11 30/06/2005 48 CTRE VULG.OUTIL INTER MIAO NO2957/34 LEMBA 11 30/06/2002 49 CHRISTO SERVICE LEOPARD NO1 SALONGO 11 30/06/1999 50 LIBROCASE MEDIATEC UBANGI NO1 RIGHINI 11 30/06/2005 51 KAS TELECOM KIANZA NO7 NGABA 19 30/06/2003 52 COOVEF SERVICES MBEE NO177 C/NGABA 19 14/02/2005 53 CONGO EXPRESS FOIRE NO1 BIS C/NGABA 19 30/06/2002 54 . . . . 55 MAYNOLF . 5 . 56 SAINT RAPAHAEL ACADEMY . . . 57 BAKALU MULTISERVICE REVOLUTION NO637BIS C/LIMETE . . 58 LA DECOUVERTE IXORAS NO 282 PLACE COMMERC. . 28/02/2002 59 MONEY GRAM . 5 . 60 KBC . 5 . 61 . . 5 . 62 JOHN BEN . 5 . 63 . MOTEL FIKIN 12 . 64 C F I N A 5,AV. DE LA SCIENCE . . 65 GILBERT NET . . 30/06/2001 66 GROUPE . . 30/06/2003 67 CYBER NET . 4 30/06/2004 68 BUREATIQUE ELMI/ISP/GOM PERE BOKA NO 2 4 30/06/2001 69 IDEIS ACTIONS TOMBALBAYE NO 51 C/GOMBE . . 70 BEDECOM . 4 . 71 GUPHY@ BUSINESS . 6 . 72 LA GRECE.COM . 6 30/04/2004 73 AMITIE FRERE CONGO . 6 . 74 GNS CONCEPT YOLO NO 113 C/NGIRI NGIRI 21 . 75 CYBER AMANI GALERIE MAVUZI NO 1033 NG NG 21 30/06/2005 76 CYBER UB YO KASA VUBU NO 7 C/NGIRI NGIRI 21 30/06/2004 77 . . 6 . 78 CYBER CAFE AFRIQU'ENFAN POMPAGE 20 . 79 BUREAU NET.COM AV COLONEL MPIA NO 175 C/NGAL 6 20/01/2005 80 SOFT HOUSE KASA VUBU NO 14B . 30/12/2003 81 GERATAM COMPUTER TRANSVERSALE NO25 C/KITAMBO 6 30/06/1996 82 CYBER CONNEXION KABOLI N O 23 C/NGALIEMA 6 30/06/2004 83 CYBER SAM UPN C/NGALIEMA 6 30/06/2002 84 ALPHA OMEGA KASA VUBU 6 30/06/2002 85 CYBER TJM ECOLE NO 11 OZONE 6 30/06/2002 86 GENERAL TRADING INTERN KASA-VUBU NO 6 C/NGALIEMA 6 . 87 CYBER CONGO UPN C/NGALIEMA 6 30/06/2003 88 CYBER CAFE DE REFERENCE NYANGWE NO 185 13 15/08/2005 89 MEDIA LAND BY NET TELEC KABAMBARE NO 255 13 30/06/2005 90 BK CONCEPTION NIANGWE NO 185 . 15/06/2005 91 PENIEL BUREAUTIQUE ITAGA NO 287 . 30/06/2002 92 COLLEGE NDINGA MBOTE KIMWENZA MISSION C/MONT NGAF 18 30/09/2005 93 BUSINESS CORPORATION . 18 30/01/2005 94 BABAZEN 24 AVRIL NO 9 18 10/07/2003 95 MAISON ADDY BY PASS NO 11 18 11/04/2005

Il ressort du tableau précédent la synthèse suivante :

Année 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005Nbre 1 0 2 3 6 5 11 9 7 16

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N.B. Le point signifie absence de données dû à la négligence des enquêteurs ou ausilence des enquêtés.

Ce tableau suggère les réflexions suivantes:

1. Avant 1996, il n’existait aucun cybercafé à Kinshasa.2. L’année 1997 est celle de l’entrée de l’AFDL en RDC. Elle est marquée par des

troubles qui ne peuvent favoriser l’éclosion dune initiative ;3. A partir de 1998, c’est la montée est progressive, quoique lente. Elle atteindra en

2002 une certaine apogée pour décroître ensuite et remonter de façonsignificative en 2005. C’est sans doute l’arrivée de plusieurs fournisseurs d’accèsqui explique cette montée. On peut espérer que dans les années avenir, avec laconcurrence, la courbe sera montante.

LE PERSONNEL DES CYBERCAFES

Pour 69 cybercafés considérés, la majorité parle de 2 à 4 agents, soit une moyennede 3 personnes: 33,3% utilisent 2 personnes, 24,6% utilisent 3 personnes et 14,5%utilisent 2 personnes. En fait, le nombre oscille entre un minimum d’une personne etun maximum de 8 personnes par cybercafé.

INFRASTRUCTURES

92% des enquêtés contre 8 % affirment être en possession d’un serveur. Quant autype de serveur, sur 49 personnes interrogées affirment se servir d’un Pentium IV et10,2% d’un proxy. Malgré les explications, les enquêtés confondent aisément type,marque et modèle.Quant aux marques des serveurs en usage, le marché se partage entre DELL(15,1%), Compaq (13,2%) et IBM (11,3%). Une bonne partie se contente desserveurs clonés (3,8%) auxquels on peut associer les 9,4% qui se sont contenté deciter Pentium IV. C’est sans doute parce qu’ils n’ont pas de marque précisée.

En ce qui concerne les 44 modèles cités, Compaq ressort du lot avec 11,4%.Le nombre de postes de travail varient entre 2 et douze par cybercafés. 13,3%déclarent avoir 12 postes, mais la moyenne est de 7 postes par cyber.

FOURNISSEURS D’ACCES INTERNET

Plusieurs fournisseurs se partagent le marché :

AFRICANUS.NETCITRACOCYBERNETELIXELIX ET ROOFFEETELSATEXODUS CORPORATIONINTERCONNECTMICROCOM

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PROVIDERRAGA NETRAGA T.UROOFFERUTELSIMBA TELECOMSOGECOR NET

Sur 73 réponses, n peut relever qu’Interconnect rafle la grosse part du marché avec23, 3% et RAGA (Interconnect, TV, NET) les seconde avec 19,1%. Ils sont suivis parMicrocom (17,8%). Et Africanus et Simba telecom (8,2%).

TEMPS DE CONNECTION PAR JOUR

La moyenne de temps de connexion par jour est de 520 minutes par jour, soitenviron 8 heures. Ceci s’explique par les coupures intempestives du courant et par lefait que les cybercafés ferment tôt.

NOMBRE DE CLIENTS PAR JOUR

Le nombre moyen des clients par jour se situe entre 40 et 5O. Des 70 enquêtés quiont répondu à la question, 7, soit 10% affirment recevoir 40 clients par jour.

QUI FREQUENTENT LE PLUS LES CYBERSCAFES ?

A cette question à laquelle seuls 84 enquêtés ont répondu, il s’en dégage que 76,2% sont constitués des étudiants, 66,7% des élèves et 54,8% sont des cadres etemployers. Il n’et pas tenu compte de leur âge.Les autres catégories de clients ont chacune 15,4% : il s’agit des chercheurs et desprofesseurs.

Les catégorie suivantes ont chacune un pourcentage de 7,7% :

ChômeursEnfantsLes EnseignantsLes HandicapésLes Jeunes FillesLes PassagersLes MécaniciensLes Utilisateurs Ordinaires.

Quant au sexe des gens qui fréquentent les cybercafés, l’enquête révèle que 89,%des hommes contre 7,6% des femmes. L’écart est significatif et interpelle. 2,5% nese sont pas prononcés sur la question.Quant à la stratification selon le critère « âge », les proportions sont les suivantes :

Sur 62 réponses, on peur tirer le tableau suivant :

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Tranches d’âge %15 ans 1,6%Moins de 15 ans 1,6%Entre 15 et 25 ans 22,5%Entre 25 et 40 ans 41,9%Entre 4O ans et + 54,8%

On note de façon particulière que la catégorie des 20 ans, des 30 ans, et des 4O ansconstituent 17,7% chacune.La tranche d’âge comprise entre 4O ans et plus (soit 8oans) ne devrait pas noustromper. En effet, les quinquagénaires et les sexagénaires ont chacun 14,5%.

DES SERVICES DE L’INTERNET

a) Service e-mail :

96,3% des clients, affirment les responsables des cybercafés, envoient souvent dese-mails. 3,7 % n’ont pas répondu à la question.On peut en déduire qu’Internet est un outil utilisé presqu’ exclusivement pour ceservice.

b) Recherche des informations

40,7% affirment rechercher souvent les informations sur Internet ; 50,6% lesrecherchent parfois, 1,2% ne les recherchent jamais et 7,4% n’ont pas répondu à laquestion ;Cette situation confirme les résultats antérieurs selon lesquels, l’information occupeune place de choix chez les kinois.

c) Recherche du personnel

10,3% affirment chercher souvent du personnel sur le net. 28,2% parfois et 33,3%jamais. 28,2% n’ont pas répondu à la question.

d) Echanger des fichiers

Des 79 personnes interrogées, 24,1% recourent souvent à l’Internet pour échangerdes fichiers avec des tiers, tandis que 39,2% affirment le faire parfois. 17,7% ne lefont jamais. 15 personnes, soit un taux de 19% . n’ont pas répondu à la question, soitqu’ils ne savent pas le faire, ou n’en connaissent pas l’importance.

e) Télécharger des fichiers ou des logiciels

Des 79 personnes interrogées, 26,6% seulement procèdent souvent autéléchargement des fichiers tandis que près de la moitié, c.à.d. 49,4% affirment lefaire parfois, et 8,9% ne recourent jamais au téléchargement. Cette dernière situationpeut s’expliquer de diverses manières :

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Soit qu’ils ignorent ce qu’est un téléchargement, et donc ne seposent pas la question ;

soit qu’ils ne connaissent pas les sites où les logiciels peuventêtre téléchargés,

soit que le temps du téléchargement alourdirait leur facture deconsultation au cybercafé,

soit qu’ils ne disposent pas d’un ordinateur personnel quipourrait s’enrichir avec ces logiciels téléchargés.

f) Usage de la téléphonie VOIP

Sur 20 personnes qui ont répondu à la question, seuls 7,6% déclarent utilisersouvent le téléphone par Internet ; sans doute savent-ils que le coût y est réduit etque cela leur procure un certain confort et une confidentialité qu’on ne trouve pasdans les cabines publiques. 16,5% affirment y recourir parfois, tandis que la moitié,50,6% n’y recourt jamais. Il faut préciser ici que 25% n’ont pas répondu à la question,peut-être parce qu’ils ignorent que l’Internet offre cette possibilité de téléphoner.

g) Participer aux forums ou aux news groups

Des 78 personnes interrogées, 10,3% affirment participer souvent aux forums dediscussion. 28,2% y participent parfois et 38,5% n’y ont jamais participé. Il faut noterle taux important de ceux qui n’ont pas répondu à la question : 23,1%. Ces chiffrentmontrent clairement que ce service n’est pas encore solidement implanté àKinshasa.

h) Service Messenger

Des 79 personnes interrogées, plus de la moitié (57%) disent qu’ils recourentsouvent au service Messenger. 25,3% déclarent y recourir parfois. 2,5% n’yrecourent jamais, et 15,2% n’ont pas répondu à la question.Il serait intéressant de savoir pourquoi cet engouement.

i) Ecoute de la radio sur Internet

Des 76 personnes qui ont répondu à la question, seuls 3,9% affirment écoutersouvent la radio sur le net. Il s’agit probablement de la radio Okapi et de la radioCongonet. 25,3% disent qu’ils écoutent parfois la radio. 2,5% ne l’écoutentjamais. L taux de ceux qui n’ont pas répondu à la question est de 15,2% ; suivrela télévision sur le net est un luxe au regard des frais, comme nous le verronsdans les pages qui suivent. En fait, ceux qui le font disposent généralement d’uneconnexion gratuite, soit au lieu de leur travail ou, pour les religieux encommunauté, soit à domicile s’ils peuvent supporter le coût d’abonnement.On peut expliquer aussi ce faible taux par le fait que Kinshasa dispose d’unevingtaine de chaînes de radio et qu’il devient inutile de les suivre avec unetechnologie qui n’est pas à la portée de tout le monde. Dns tous les cas, le kinoismoyen peut se procurer un simple récepteur radio et se passer des TIC. Nousl’avons dit plus haut au point C.2, 91% de kinois disposent d’un récepteur radio.

j) Ecoute des chansons sur Internet

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Des 9 personnes interrogées, 29,1% affirment écouter souvent des chansons surInternet. Il serait intéressant de connaître les types de chanson et savoir si lesutilisateurs recourent au téléchargement ou à l’enregistrement de ces chansons.Ce taux est élevé par rapport à celui de l’écoute de la radio et se justifie par le faitque le kinois aime naturellement la musique. 38% écoutent parfois les chansonsmais 17,7% déclarent ne jamais les écouter. Le taux de ceux qui n’ont pasrépondu avoisine le précédent taux, soit 15,2%. Les raisons de cette abstentionsont à chercher du côté « coût « excessive du service Internet, plus que du côtéignorance.

k) Regarder la télévision sur Internet

Comme pour la radio, regarder la télévision sur le net est un luxe. Bien plus, le débitlent de nos réseaux n’offre pas le confort voulu. C’est ainsi que seuls 3 personnessur 78 soit 3,8% affirment regarder souvent la télévision sur Internet. Cespersonnes peuvent se situer dans la catégorie des ceux qui ne dépensent rien pouraccéder à Internet ou qui sont exposés au net par la profession. Il se pourrait aussiqu’ils soient nantis et disposent d’une connexion personnelle a domicile.Ce qui est piquant c’est que 33,3% affirment regarder la télévision sur le net pendantque 41% déclarent de l’avoir jamais regardé. Le taux de ceux qui n’ont pas réponduà la question est significatif : 21,8%. La raison principale est sans doute l’ignoranceou la saturation. On ne perdra pas de vue ici que, comme pour la radio, Kinshasacompte une bonne dizaine des chaînes de télévision. Les chaînes favoris sont alorsdes doublons dont on peut se passer.

l) Autre services

Parmi les autres services qu’offre l’Internet et que les enquêtés les plus hardiscitent, nous retrouvons :

1) L’envoi des photos à des tiers ;2) La consultation des PMU3) La consultation des images sur le Katch4) La consultation des sites pornographiques.

Les sites les plus visités par nos enquêtés

Dur les 81 personnes qui ont répondu à la question, les sites les plusvisités sont :

Sites citées Sites non citéesFréquence Pourcentage Fréquence Pourcentage

Yahoo 68 84,0% 13 16%Hotmail 51 63,0% 30 37%Google 48 59,3% 33 40,7%Caramel 13 16% 67 82,7%

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Voila 11 13,6% 69 85,2%Amour 6 7,4% 74 91,4%MSN 2 2,5% 78 96,3%Total 81

Ce tableau est clair : Yahoo est le site le plus visité. MSN, suivi deCaramel, Voilà et Amour sont les sites les moins connus.Il reste intéressant de voir les autres sites que nos enquêtés ont cité et quipeuvent avoir une valeur indicative :

AltavistaAmitie.Fr CatchChoix CliCongo NetCoucou.OrFifa.ComInfo Gene Infolit (ou Infolutte?)La PosteMessengerMusiquesNoir.ComRfiRtl9TchatcheWww2doigtWwwrfi.FrWwwsim.Co

De tous ces sites, TCHACHE est le plus cité (6 personnes sur trente). Il est suivid’ALVISTA, de CATCH et de Infolutte(2 personnes sur trente).

Les serveurs de messagerie

Les serveurs les plus utilisés parmi ceux que le questionnaire suggéraient sont :

Serveurs PourcentageYahoo 91,4%Hotmail 79,0%Voila 27,2%Caramel 25,9%

D’autres serveurs de messagerie ont été cités :

a. Bonjourb. Gmailc. Poste netd. Skypee. WWLaposte

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Google se place en première place avec 36,3%, Il est suivi de Gmail ; lesautres voix se partageant entre les autres serveurs cités plus haut.

Les sites interdits93,6% des responsables des cybercafés affirment qu’ils interdisent à leursclients certains sites. 100% des personnes interrogés disent qu’il s’agit dessites à caractère pornographique. Et lorsqu’on leur demande de les citer, ilsbredouillent, peut-être à cause de la pudeur: la plupart parle de Isabella.fr

Coût de la navigation et des services y afférent

DMTIC était intéressé à connaître le coût de la navigation, de l’abonnementmensuel, de la vérification d’une disquette, du téléchargement des fichiers etle coût de l’impression d’une page. Les 39 cybercafés qui ont répondu à laquestion donnent des indications suivantes :

Le coût de la navigation

Ce coût varie entre 0,01 $ et 1,40 $ par minute. Lorsqu’on connaît laprécarité des revenus de la moyenne de la population, on peut dire que ceprix est prohibitif.

Les abonnements

• Nombre et type d’abonnement

Il existe deux types d’abonnement : abonnement hebdomadaire etabonnement mensuel. 97% des personnes interrogées affirment offrir desabonnements mensuels.Le nombre des abonnés varie entre 1 et 30 par cybercafé. Une bonne partse situe entre 2 et 5 abonnés seulement.

• Coût de l’abonnement

Le coût de l’abonnement mensuel varie entre 0,05 $ et 35 $.14,5% des personnes interrogées affirment que la moyenne est de 10$.

La vérification de la disquette

Pour ne pas infecter les ordinateurs des cybercafés avec des disquettesprovenant des clients, les cybercafés ont institué une taxe spéciale pourtout client qui se servirait de ce support pendant sa navigation. Certains lefont gratuitement, d’autres font taxer entre 0,11$ et même 10 $ : unevéritable escroquerie. L’opération de vérification se fait exclusivement parl’opérateur.

Le téléchargement des fichiers

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Le téléchargement n’est pas gratuit ; il ne fait pas partie des opérations« normales » de navigation. Bien que les opérateurs ne demandent pas lanature des fichiers à télécharger ni son volume, il n’en demeure pas moinsqu’ils font taxer entre 0,02$ et 10$. En fait, le prix moyen detéléchargement par minute oscille entre 1 et 2$.

L’impression par page

L’impression ‘une page d’un document saisi ou non sur les machines ducybercafé a un coût qui varie entre 0,02$ et 2,5$ selon que l’impression sefait en couleur ou en noir et blanc. La majorité (19,5%) estime le coût à0,22 $/ page imprimée.

Le coût des autres services

Le questionnaire fait état des autres services que les cybercafés offrent,notamment ceux relatifs à la bureautiqueCes services sont les suivants :

• Ouverture d’une boîte e-mail ;• Consultation sites de déverrouillage SIM ;• Consultation Loterie Américaine ;• Scannage des documents (écrits et photographiques)• Gravure des disque-compacts.

C’est ce dernier service qui est le plus demandé.Le coût de ces services varie entre 0,10$ et 2,5 $.

Les autres services, outre ceux qui sont cités plus haut se présentent de lamanière suivante :

Les taxes imposés aux cybercafés

Services $ USSaisie (d’une page) 0,44$Impression (d’une page) 0,22$Photocopie (d’une page) 0,04$Scanner (une page) 0,44$Dupliquer ou (Graver) un CD audio 2$Dupliquer ou (Graver) un CD des données 2$Dupliquer ou (Graver) un DVD, VCD 2 $

Fixe 0,22$Mobile 0,22$Téléphone (par minute)Via Internet (VoIP)

Envoyer un fax (coût par minute) 1 $Recevoir un fax (coût par page) 0,44$

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Les taxes mensuels varient entre 15 $ et 500 $ selon les catégories descybercafés. Il est vraisemblable que les taxes se situent majoritairement entre50 $ et 400 $. En effet, 8,6% des 35 cybercafés qui ont répondu à la questionavancent le chiffre de 150 $, 14,3% parlent de 300$ tandis que 11,4% parlentde 350$. La limite significative est d 400$ pour 8,6% des cybercafés. Nouspouvons donc situer la moyenne à 250 $.

TROISIEME PARTIE : LES ORGANISATIONS

Notion d’organisation

Par organisations, il faut entendre les catégories ci-après :

1 = Ministères 2 = Entreprises publiques 3 = Hôtels, Maisons d’accueil 4 = Télécommunications / Voyage / Transport 5 = Audio-Visuels 6 = ONG Internationales 7 = Publicité 8 = Eglises / ASBL / ONG Locales 9 =10 = Hôpitaux / Centre de Santé11 = Garages12 = Fondations13 = Institutions Académiques / Formation14 = Petites et Moyennes Entreprises (PME)

Il nous faut rechercher les catégories les mieux outillées en TIC et de signalercelles qui devraient l’être.

Dénominations, adresses des organisations et nombre de machines

REC ID NOM NUMERO RUE COMMUNE Nbre MACHINES--- --- -------------------- ------ ---------- ------- ------- 1 001 TRACTAFRIC CONGO . . 4 . 2 002 RAGATV . . 4 6 3 003 CENTRE NGANDA 01 BENSEKE 21 28 4 004 PERES THERESIANUM 1 NOIRREAUX 10 3 5 005 PHOTO MENDEL NUMERIQ . . 1 . 6 006 HOTEL PAPANUS 01 KASA VUBU 1 3 7 007 AMIS DU WEB . CHRETIEN 10 . 8 008 AGENCE DE PUBLICITE . TOMBALBAYE 4 . 9 009 HOTEL DE LA GOMBE . . 4 2 10 010 MICHAEL COSMETIQUE 3417 KASA VUBU 1 2 11 011 FONICOF . . 1 1 12 012 LUNETTERIE OPTIMO . 24 NOV 13 2 13 013 SATELECOM . YOLO SUD 5 7 14 014 INFO POUR TOUS . . 10 . 15 015 AWA MAGASINE . . 10 10 16 016 INST SAINT ERIC . . 11 11 17 017 KALKHA FOUNDATION . Q. BATEKE 17 10 18 018 BNM 112 LUAPULA 8 2

42

19 019 FONDATION MGR KATALI 57 KIBATI 8 3 20 020 AFRICAN EXPRESS 174 KABAMBARE 8 4 21 021 MINIST COND FEMININE 54 COL EBEYA 4 4 22 022 MINIST.DROIT HUMAIN 33/C BLD 30JUIN 4 17 23 023 CEF ARCHE DE L'ALLIA 22 MOBUTU 16 3 24 024 STUDIO DAVID . Q2 NDJILI 19 3 25 025 APROMET ASBL 21 MOBUTU 16 2 26 026 CEPROMET ASBL 10 ABATOIR 16 2 27 027 ECC . MOBUTU 18 2 28 028 . . CONGO 16 2 29 029 WINNER PERFECT ALLIA 10 BISEMBO 16 . 30 030 . . BAHUMBU 17 1 31 031 CENADEP 120 NGAMALI 19 1 32 032 DER FINANCE . . 16 2 33 033 ORG IDEOL ENC PROF J 55B Q BATANDU 17 4 34 034 CEDEST/ONG 39D Q MALANDI 17 4 35 035 EVS/ONG 2/D Q VITAMINE 11 3 36 036 URBANISME/CABINET 30 LUKUSA 4 10 37 037 DIRECTION D'ETUDES P 39 JUSTICE 4 . 38 38 RENATELSAT . . 13 3 39 039 HEWA BORA 1928 KABAMBARE 2 48 40 040 SONAS AGENCE LEMBA . . 11 . 41 041 CUK/UNIKIN . . 11 11 42 042 UNIKIN RECTORAT . . 11 10 43 043 CNPP/UNIKIN . . 11 . 44 044 REGIDESO/SUD 93 BASANGA 11 5 45 045 WESTERN UNION . . 11 1 46 046 ISTM . . 11 1 47 047 FONDEF . MAWANGA 20 . 48 048 AREJER ONGD 1446 PAKA 11 3 49 049 ELMA DIESEL SERVICE 1862 KILUBU 11 1 50 050 CEPPIDJED/ONG 2 LUKULA 11 4 51 051 AJECORE/ONGD/ASBL 25 LITSHATSHA 11 5 52 052 ASSEV 154 MBANDAKA 20 3 53 053 AFRIMA TOYATA/CFAO 17 POIDS LOUR 4 41 54 054 FOSHA 82 KIANZA 20 2 55 055 DUI-KIN/DGI . . . 9 56 056 MINISTERE AGRICULTUR . . . . 57 057 . . . . . 58 058 IMPACT ENTREPRISES 162 12EME RUE 12 8 59 059 LA DECOUVERTE . . . 8 60 060 SONAS . . 12 6 61 061 . . . . 1 62 062 MIDEMA 13 MONGALA 4 8 63 063 MINISTERE DE L'ECONO . . 4 7 64 064 SOFICOM . BLD 30JUIN 4 15 65 065 AFRINET . BLD 30JUIN 4 . 66 066 AFRICA TRAVEL 9 AV DU PORT 4 5 67 067 CENTRE LOKOLE . BLD 30J 4 20 68 068 LAC 4 AV DU PORT 4 12 69 069 . . ENSEIGNEME 6 5 70 070 CELTEL SHOP . . 22 4 71 071 NTOTO TRANSPORT . . . . 72 072 SINAI CONTRACTOR 128 MULELE 22 . 73 073 UNION FEMMES DEVEL 2241 KASA VUBU 6 . 74 074 SECRETARIAT GEN JEUN . . 6 7 75 075 ASSOC DES BOULANGER 181 ENSEIGNEME 6 . 76 076 MULTI SERVICES PDU J 74 YAHUMA 6 . 77 077 MLC 196 ENSEIGNEM 6 . 78 078 SERKAS AND SONS . ENSEIGNEM 6 4 79 079 MINISTERE AFF SOCIAL . BLD 30JUIN 4 .

43

80 080 ETS ETANA 181 ENSEIGNEM 6 1 81 081 CENTRE D'ENTRAIDE CH 2219 ASSOSSA 6 10 82 082 ASSOC NAT EDUCAT SCE . BANGALA 6 13 83 083 REMIFICO 4 ISTK 21 . 84 084 PROMO SANTE 39 MFUTI 21 . 85 085 MINISTRE TRANSPORT . BLD 30JUIN 4 4 86 086 MINISTERE TR PUBLIC . COL TSHATS 4 4 87 087 MINISTERE DES PTT 4484 DEMOCRATIE 4 10 88 088 BATIPONT 145 COL MONDJI 21 7 89 089 PROCOKI S.A 1 OUA . 17 90 090 UHURU 374 COL MODJIB 21 6 91 091 HEALTH NET INTERNAT 1 OUA 21 3 92 092 CARE INTERNATIONAL 1527 MONDJIBA 21 13 93 093 MEDECIN DU MONDE 1 OUA 21 12 94 094 CALI . . 04 10 95 095 ONG/ALISEI 15 ALLEE VERT 21 6 96 096 TIERS MONDE 15 BASOKO 21 5 97 097 GARAGE STATION SERV 1148 KASA VUBU 21 . 98 098 JOLI PARC ATTRACTION 25 MAPENZA 21 . 99 099 FONDATION HERI 10 ECURIES 21 .100 100 FNFP BETHSAIDA 17 REGIDESO 21 1101 101 CONSULT COLLECTIVE N 13 KASA VUBU 21 .102 102 SUN GRAPHIC . . 4 2103 103 MAYUMBE CONNECTION 295 LUISA 13 2104 104 CSPD AGAPAO 292 KASONGO L 13 9105 105 MINISTERE FINANCES . . . 26106 106 MINISTERE DU PLAN 4155 COTONS 4 .107 107 ACTA ASBL 293 MBOMU 13 .108 108 NEW VISION 20A Q LOKOLE 17 3109 109 BANQUE INTER DU CONG . BLD 30JUIN 4 6

a. EQUIPEMENT INFORMATIQUE

a.1. Nombre d’ordinateurs

Il ressort du tableau qui précède que :

95,4% des organisations disposent des ordinateurs dont le nombre varie entre1 et 48 machines. La plupart (soit 14,8%) dispose des deux machines aumoins.

a.2. Types d’ordinateurs

Il s’agit ici du type de processeur ou de famille d’ordinateur. Les enquêtesrévèlent que :

20% des organisations utilisent le Pentium II ;17,4% utilisent le Pentium IV13% utilisent le Pentium III12% utilisent le Pentium I4,4% utilisent des laptop dont le type n’a pas été spécifié.

a.3. Marques d’ordinateurs et leur répartition

44

Les marques utilisées sont les suivantes :

Marques Fréquence en %ACER 2,2ACTION 1,1BENQ 1,1CELERON 1,1CFARA 1,1COMPAQ 22,8CROWN 1,1CTX 1,1DELL 18,6FUJITSU 1,1GATEWA 2,2HEWLETT PACKARD 8,7IBM 10,9LG 2,2MICROS 1,1MULT4O 1,1OASIS 1,1OLIVETTI 2,2PHILIPS 5,4PROXY 1,1SEMPRE 1,1SIEMENS 4,3TOSHIBA 3,3VENTURA 1,1VL701 1,1ZENITH 1,1

Il ressort de ce tableau que COMPAQ en tête avec 22,8% , DELL (18,6%) etIBM (10,9%) sont les marques les plus représentées.

Dénomination, effectifs et numéros de téléphone

REC NOM COMMUNE EFFECTIF PHONE--- -------------------- ------- -------- ---------- 1 TRACTAFRIC CONGO 4 99 . 2 RAGATV 4 . . 3 CENTRE NGANDA 21 . . 4 PERES THERESIANUM 10 . . 5 PHOTO MENDEL NUMERIQ 1 . . 6 HOTEL PAPANUS 1 . . 7 AMIS DU WEB 10 42 . 8 AGENCE DE PUBLICITE 4 . . 9 HOTEL DE LA GOMBE 4 . . 10 MICHAEL COSMETIQUE 1 14 . 11 FONICOF 1 . 8937479

45

12 LUNETTERIE OPTIMO 13 3 . 13 SATELECOM 5 . . 14 INFO POUR TOUS 10 . . 15 AWA MAGASINE 10 2 . 16 INST SAINT ERIC 11 31 . 17 KALKHA FOUNDATION 17 32 . 18 BNM 8 2 0999999408 19 FONDATION MGR KATALI 8 60 0998121081 20 AFRICAN EXPRESS 8 10 0812694871 21 MINIST COND FEMININE 4 31 0813127650 22 MINIST.DROIT HUMAIN 4 34 0998321200 23 CEF ARCHE DE L'ALLIA 16 30 . 24 STUDIO DAVID 19 . 0010320421 25 APROMET ASBL 16 5 0098187808 26 CEPROMET ASBL 16 10 0810681020 27 ECC 18 . 0998849862 28 . 16 . 0810682804 29 WINNER PERFECT ALLIA 16 10 0810742476 30 . 17 20 0998959464 31 CENADEP 19 12 0998453210 32 DER FINANCE 16 . 0814934921 33 ORG IDEOL ENC PROF J 17 63 0818109897 34 CEDEST/ONG 17 7 . 35 EVS/ONG 11 . 0998885580 36 URBANISME/CABINET 4 . 0810855822 37 DIRECTION D'ETUDES P 4 23 0817005479 38 RENATELSAT 13 395 2431261336 39 HEWA BORA 2 . 0817008870 40 SONAS AGENCE LEMBA 11 35 0999929370 41 CUK/UNIKIN 11 1476 0998415034 42 UNIKIN RECTORAT 11 5000 . 43 CNPP/UNIKIN 11 420 0616514663 44 REGIDESO/SUD 11 . . 45 WESTERN UNION 11 8 0814523308 46 ISTM 11 . 0815095098 47 FONDEF 20 16 0999842753 48 AREJER ONGD 11 . 0818116490 49 ELMA DIESEL SERVICE 11 . . 50 CEPPIDJED/ONG 11 5 099937885 51 AJECORE/ONGD/ASBL 11 13 0810611272 52 ASSEV 20 . 0817770611 53 AFRIMA TOYATA/CFAO 4 . 0818864782 54 FOSHA 20 7 0998278388 55 DUI-KIN/DGI . . . 56 MINISTERE AGRICULTUR . . . 57 . . . . 58 IMPACT ENTREPRISES 12 3 08923309 59 LA DECOUVERTE . . . 60 SONAS 12 . 0998856803 61 . . . . 62 MIDEMA 4 300 . 63 MINISTERE DE L'ECONO 4 . 0815007478 64 SOFICOM 4 . . 65 AFRINET 4 25 . 66 AFRICA TRAVEL 4 5 0815550604 67 CENTRE LOKOLE 4 . 0817005829 68 LAC 4 1900 . 69 . 6 . 0818111300 70 CELTEL SHOP 22 . . 71 NTOTO TRANSPORT . . 0997915282 72 SINAI CONTRACTOR 22 12 0819999904

46

73 UNION FEMMES DEVEL 6 . 0817777225 74 SECRETARIAT GEN JEUN 6 . . 75 ASSOC DES BOULANGER 6 . . 76 MULTI SERVICES PDU J 6 . 0998524670 77 MLC 6 13 0998593382 78 SERKAS AND SONS 6 13 . 79 MINISTERE AFF SOCIAL 4 . . 80 ETS ETANA 6 . 0819918084 81 CENTRE D'ENTRAIDE CH 6 . 0810748965 82 ASSOC NAT EDUCAT SCE 6 . 0998858797 83 REMIFICO 21 . 0810390403 84 PROMO SANTE 21 . 0998106691 85 MINISTRE TRANSPORT 4 . . 86 MINISTERE TR PUBLIC 4 . . 87 MINISTERE DES PTT 4 . . 88 BATIPONT 21 . 0098278622 89 PROCOKI S.A . . 0818946434 90 UHURU 21 . . 91 HEALTH NET INTERNAT 21 2 0997840936 92 CARE INTERNATIONAL 21 . 0816859866 93 MEDECIN DU MONDE 21 50 . 94 CALI 04 . . 95 ONG/ALISEI 21 12 0817007889 96 TIERS MONDE 21 12 0998414536 97 GARAGE STATION SERV 21 21 0999952471 98 JOLI PARC ATTRACTION 21 1500 0810128377 99 FONDATION HERI 21 . 099990145100 FNFP BETHSAIDA 21 64 0816565047101 CONSULT COLLECTIVE N 21 6 0999935577102 SUN GRAPHIC 4 . 0998134842103 MAYUMBE CONNECTION 13 2 0851530577104 CSPD AGAPAO 13 . 0812493515105 MINISTERE FINANCES . 207 .106 MINISTERE DU PLAN 4 540 .107 ACTA ASBL 13 . .108 NEW VISION 17 7 0851513217109 BANQUE INTER DU CONG 4 . 0817004000

Types des périphériques et leur fréquence

(i ) Imprimantes

(i).1. Imprimantes à LASER

50,5% des organisations utilisent plusieurs marques d’imprimante au LASERdont la répartition se présente comme suit :

Marques Fréquence en %Brother 2,1Canon 4,3Epson 6,4Fijitsu 2,1HP 61,7IBM 2,1Kyora 2,1Lexmark 6,4

47

Okidata 2,1Philips 2,1Proxy 2,1Samsung 2,1Shult 2,1XP 4,3

Il ressort de ce tableau que la marque Hewlett Packard (sans distinction desmodèles) se situe en tête avec 61,7% suivi de très loin par Epson (6,4%) etLexmark (6,4%).La majorité des organisations dispose d’une imprimante à LASER, soit 63,8%.

(i).2. Imprimantes à jet d’encre

28,3% des organisations déclarent utiliser l’imprimante à jet d’encre.Les marques et la fréquence de ces imprimantes sont :

1. CANON :2. DESKJET3. EPSON4. LASERJET5. HEWLETT PACKARD6. LEXMARK7. XEROX

Ici encore, Hewlett Packard se situe en tête avec 54,1%, suivi de EPSON (16,6%).Quant au nombre d’imprimante à jet d’encre, il va de 1 à 10 imprimantes. 48% desorganisations disposent d’une imprimante à jet d’encre, et 24% disposent de deuximprimantes, toutes marques confondues.

(i).3. Scanner

24,2% des organisations disposent d’un scanner dont les marques et les fréquencesse répartissent comme suit :

Marques Fréquence en %Benq 5,3Canon 5,3Epson 26,3Hewlett Packard 52,6Lexmark 5,3Master 5,3Microt 5,3Trust 5,3

Une fois de plus, Hewlett Packard se place en tête avec 52,6% suivi d’Epson(15,8%).Le nombre des scanners par organisation varie de 1 à 4. La majorité, soit 85,7%dispose d’un seul scanner.

48

(i).4 Routeurs

3% des organisations disposent d’un seul routeur. L’unique marque est ALVARI.

d. Modem

6,1% des organisations utilisent un seul modem (par organisation) dont les marquessont soit CORESE soit MOTORO.

(i).5 Onduleurs

26,3% seulement déclarent protéger leurs équipements par un onduleur. 1% nedispose pas d’un onduleur. Le nombre d’onduleurs par organisation varie entre 1 et30. La majorité, soit .63,6% n’a qu’un onduleur. 9,1% emploient deux onduleurs.Une seule organisation dispose de 30 onduleurs.Les marques des onduleurs sont variées :

Marques Fréquence en %APC 18,8CELLGU 6,3ELLISE 6,3HP 6,3MGE 6,3PCSTAR 25PCTEC 6,3PRO100 6,3UPC 12,5XP 6,3

On le voit, les marques PCSTAR (25%), APC (18,8%) et UPC (12,5%) sont les plussignificatives.

(i).6 Fax

Deux organisations seulement disposent d’un fax dont l’unique marque est FAX821.

(i).7 Photocopieuse

11 organisations seulement ont répondu à la question. Il en ressort que 15,2%d’entre elles disposent d’une photocopieuse. Les marques sont les suivantes :

Marques Fréquence en %CANON 45,4IBM 9,1IR1600 9,1PCD340 9,1SHARP 9,1WP7161 9,1XEROX 9,1

Dix d’entre ces organisations, soit 90,9% ne disposent que d’une seulephotocopieuse et une seule dispose de 3 photocopieuses.

49

(i).8 Camera numérique

8,1% disposent d’une seule caméra numérique attachée à leurs équipementsinformatiques. 3 organisations ont opté pour la marque SONY et une pour la marqueCANON.

(i).9 Microphone multimédia

2% des organisations ont branché un microphone numérique de marque SUPER surleur ordinateur.

SYNTHESE SUR LES PERIPHERIQUES

Il ressort de tous ces tableau que le taux de pénétration des périphériques estvraiment faible. Le tableau suivant fait une récapitulation qui permet se fixer surl’essentiel :

Périphériques Marque en vue FréquenceImprimante à LASER HP 61,7%Imprimante à Jet d’encre Epson 16,6%Scanner HP

Epson52,6%26,3%

Routeur Alvari 3%Onduleur Pcstar

APCUPC

25%18,8%12,5%

Fax Fax821 2%Photocopieur Canon 45,4Caméra numérique Sony

Canon75%25%

Microphone multimédia Super 2%

LE SYSTEME D’EXPLOITATION UTILISES

A la question de savoir sous quel système d’exploitation fonctionnent les ordinateursen usage dans 102 organisations, les résultats se présentent comme suit :

Système FréquenceWindows 95 10,8%Windows98 46,1%Windows 2000 39,2%Windows XP (professionnel ou familial) 76,5%Lunix 0%Unix 0%

On peut en déduire que la majorité des organisations travaille sous un systèmed’exploitation récent (le Win XP) et donc bénéficie de toutes les fonctionnalités tellsque les réseaux.

50

Il faut préciser ici qu’au sein d’une organisation qui dispose de plusieurs machines,plusieurs systèmes d’exploitation peuvent être en usage.

Réseau informatique local (LAN)

Sur 92 organisations qui ont répondu à la question, 40,2% déclarent détenir un LANQuant au type de câblage utilisé, la situation est la suivante :

Câblage interne Fréquence Echantillon %Paires torsadées catégorie 5 13 36 36,1%Coaxial 11 36 30,6%Fibre optique 6 36 16,7%Radio 3 36 8,3%

Ainsi, le câblage le plus utilisé est la paire torsade et le coaxial. La fibre optique, unetechnologie de pointe et le wireless ont un taux de pénétration modeste.Quant au protocole utilisé, le TCPIC l’emporte avec 61,1%La plate forme se distribue entre le Windows 2000/XP (80,6%), le Windows NT(2,8%) et le LUNIX (5,6%) et l’UNIX (5,6%).54 organisations, soit 61,1%, disposent d’une imprimante réseau

La maintenance

84 organisations affirme procéder à une maintenance. Les noms des maintenanciersles plus courants sont : Africanlux et Simbatelecom.Quant au coût, il varie entre 6 et 500 $ par mois : 15% déboursent 100 $, 10%, 50 $et 12,5%, 30 $.

Système de gestion de bases de données

47,4% affirment avoir un système de gestion de bases de données.

Des 32 organisations qui ont répondu à la question, 53,1% affirment utiliser commesystème ACCESS. Les autres utilisent Dbase (9,3%) , Gespro, Interfac, Sig,Systeme 4.

b. APPLICATIONS INFORMATIQUES

Les organisations utilisent l’ordinateur pour gérer différentes tâches. Nous avonsvoulu connaître ces tâches ainsi que les logiciels ou progiciels qu’elles utilisent.Les résultats se présentent de la manière suivante :

ProgicielLogiciel spécifique

Domaine de gestionDénomination % Dénomination %

La paie Access 50% SQL 28,6%La gestion du personnel Access 42,8% - -La comptabilité Acess

Excell46,15%72,7%

AgrisSaga

9,1%9,1%

La trésorerie Excell 40% DefiGescola

33,3%33,3%

51

AgrisSQL

20%20%

L’analyse financière ExcellAnael

80%20%

- -

La gestion des stocks ExcellAccess

25%38,4%

- -

Le traitement de texte Word 96,9% - -La gestion des archives Words 85,7% Archiplan 14,3%La gestion des dossiersadministratifs

AccessExcell

57,1%28,5%

La gestion de la production Excell 75% Defi 25%L’échange électronique desdonnées internes

OutlookWinworkInternet

33,3%16,7%33,3%

- -

L’échange électronique destextes juridiques,procédures et bilans avecles partenaires

Pas de données Pas dedonnées

Pas dedonnées

Pas dedonnées

La coordination des tâchesà accomplir (workflow)

Pas de données Pas dedonnées

Pas dedonnées

Pas dedonnées

Quant aux besoins en informatique, ils se présentent comme suit :

Besoins en informatiqueAller loin en logiciel et atteindre une connaissanceégale à celle des pays développés

64,2%

Faire des montages vidéo et accéder auxprogrammes sophistiqués

5,7%

Acquérir un matériel sophistiqué 13,2%Etre branché sur Internet 13,2%Installer un réseau local 1,9%Maîtriser AUTOCAD 1,9%

ACCES A INTERNET

48,1% des organisations sont connectés à Internet. Leurs fournisseurs sont lessuivants :

- Interconnect- Congo Korea Télecom (CKT)- Raganet- Africanus- Microcom –Micronet- Elix.net- Simba Télecom.- Unikin ( ?)- Exodis Corporation

73,1% disent que ces connections correspondent à leurs besoins. En ce quiconcerne la vitesse de leur connexion, 52,6% ne savent pas répondre à la question.Les autres, 47,4 la situent entre 10 et 750 kbs. La limite supérieur estinvraisemblable.25% d’entre eux estiment que la vitesse est lente ; 65,9% la trouve bonne et 9,1% latrouve excellente.

52

Pour 25% des organisations, la liaison connaît un dérangement au moins une fois lasemaine.Les adresses IP routables vont de 1 à 9 selon les enquêtes. 38,9% en disposent,27,8% compte deux adresses et 2 organisations déclarent disposer de 9 adresses.

A la question se savoir comme,t elles ont obtenu ces adresses, les réponses varient.Pour les uns, elles l’ont obtenue par leurs fournisseurs. D’autres déclarent l’avoirobtenu par une recherche personnelle.

47,2% des 36 organisations qui ont répondu à la question déclarent avoir un firewall.

Les enquêteurs ont voulu savoir pourquoi certaines entreprises ou organisations ne sont pasconnectées à Internet. Les réponses varient :

7,1% disent qu’elles n’en voient pas l’importance ;75% disent que c’est par manque de moyens ;3,6% disent que leurs outils actuels sont suffisants pour gérer leur organisation ;3,6% disent que les responsables s’y opposent ;10,7% donnent d’autres raisons mais ne savent pas clairement les exprimer.

UTILISATION DE L’INTERNET

Les serveurs

Nous avons voulu connaître le type des serveurs qu’utilisent les 35 organisationsqui ont répondu à la question : la situation se présente comme suit, par ordrecroissant :

Types de serveursDSN 44,1%Web 42,9%Messagerie 40%Proxy 37,1%Communication 28%FTP 22,9%News 22,9%

Il faut comprendre ici que les pourcentages, c’est par rapport au nombre desorganisations qui utilisent tel type de serveur.

Adresses e-mail

54,5% déclarent avoir une adresse e-mail. Sur 11 organisations qui ont répondu àla question, 54,5% déclarent avoir une adresse cd et 18,2% disent qu’elles n’endisposent pas. 27,3% ont deux adresses COM . Le nombre d’adresses varieentre 1 et 72.

Les services de l’Internet

53

A quoi sert Internet pour les organisations ?

SERVICES SOUVENT PARFOIS JAMAISEnvoyer/recevoir des e-mails 76,3% 12,5% *Rechercher des informationsponctuelles

58,8% 22,5% 5%

Rechercher du personnel 11,3% 13,8% 35%Echanger des fichiers 36,3% 21,3% 8,8%Télécharger des fichiers ou des logiciels 26,3% 37,5% 8,8%Téléphoner (VoIP) 17,5% 15% 25%Participer aux forums ou aux news-groups

8,9% 24,1% 29,1%

Dialoguer (Messenger) 36,3% 20% 11,3%Ecouter la radio 13,9% 25,3% 19%Ecouter des chansons 22,5% 22,5% 13,8%Regarder des chaînes TV 12,5% 21,3% 26,3%

Messagerie interne et intranet

• Messagerie : 27,7% déclarent posséder une messagerie contre 52,2%.24,6% envisagent se doter d’une messagerie

• Intranet : 28,1% déclarent posséder un intranet contre 49,1 qui d’endisposent pas. 17,5% des organisations envisagent se doter d’unintranet.

Visio ou vidéoconférence

14,6% utilisent une visiophonie utilisant Internet.

Site d’entreprise

25,6% des 86 organisations qui ont répondu à la question disposent d’un site.Les fonctionnalités de ces sites se présentent comme suit pour 39organisations qui ont répondu à la question:

FonctionnalitésUne présentation générale del’organisation/entreprise

82,1%

Une présentation des activitésrelatives au secteur

76,9%

Forum FAQ(Foire aux questions) 17,9%Web dynamique (interfaçageavec des bases de données)

23,1%

Quant à l’année d’implantation de ces sites, elle commence en 1988 :

Année d’implantation N o m b r e d e s i t e simplantées

1998 21999 12000 22001 12002 52003 2

54

2004 42005 1

Les adresses des sites récoltées sont les suivantes :

www.midema.cdwww.secret.cdwww.Unikin.cdwww.traficafricwww.afrinet.cdwww.archealliancecdwww.care.orgwww.celtel.comwww.centrelokole.orgwww.cepromet.cdwww.healthnet.orgwww.ipt.ctwww.kalkha.comwww.medecindumonde.bewww.ministeresante.cdwww.sofocom.comwww.uhuruwetu.comwww.westernunion.comwww.winnerperfectalliance.com

57,1% des organisations ont un nom de domaine et 90,9% de ces noms sontenregistrés sous cd. Pour 45,5% des 11 organisations qui ont répondu à laquestion, ce domaine est visible sur Internet.

Pour développer le site, 46,4% des organisations recourent aux prestatairesextérieurs, soit INFORMATIC, soit SECRET. 48,3% affirment que leur site estrelié au système d’information de leur organisation.

Pour promouvoir leur site, 47,6% s’adressent aux prestataires extérieurs pourpromouvoir leur site. 52,4% le font en interne.

La question d’indexation du site sur des annuaires ou moteurs de recherche n’aintéressé que 24 organisations. 37,5% d’entre elles procèdent à l’indexationcontre 62,5%.

L’actualisation des informations du site se fait en moyenne 1 fois la semaine pour44,4% des 9 organisations qui ont répondu à la question. 44,4% le font une foisle mois et 11,1% le font trimestriellement.

65% des 20 entreprises interrogées hébergent leur site en interne contre 35% quirecourent à des prestataires.

55

42,1% disposent d’un site miroir mise à jour par un webmaster pour 41,2%, parun prestataire extérieur pour 29,4% et par une autre personne en interne pour29,4%.

Quant au coût du site, 25% des 8 organisations disent avoir dépensé moins de1.000 $. 50% situent ces frais entre 1.000 $ et 2000 $ et 25% autres affirmentavoir dépensé plus de 2.000 $.

Quatre organisations seulement ont répondu à la question des listes de diffusion.La plupart utilisent le type sympa et majodormo.

RESSOURCES HUMAINES

Le nombre des spécialistes en TIC (informatique et télécommunication) dans lesentreprises varie entre 0 et 30 personnes. La moyenne est de 3 personnesrépartis comme suit, suivant le paramètre sexe:

28,9% des 76 entreprises ayant répondu à la question utilisent 1 homme19,7% utilisent 2 hommes14% utilisent 3 hommes6% n’utilisent pas d’hommes.

Quant au nombre de femmes spécialistes en TIC, 52,1% n’ont pas de femmes,21,1% utilisent une femme, 12,7 utilisent deux femmes.Cette question de gender est si importante que le nous reproduisons ici lesrésultats complets :

Nbre spécialistes en TIC Nbre organisations %0 37 52,1%1 15 21,1%2 9 12,7%3 1 1,4%4 2 2,8%5 3 4,2%7 1 1,4%9 1 1,4%

10 1 1,4%20 1 1,4%

A la question de savoir si à compétence égales, l’organisation recruterait unefemme pour un poste quelconque, 87,9% des organisations ont réponduaffirmativement. 81,1% estiment qu’à un poste décisionnel, à compétenceségales, elles peuvent recruter une femme.

Nous avons voulu connaître le nombre et la qualité du personnel qualifié enTIC dans les organisations.

La situation est la suivante :

56

Effectif actuelFonctions

Aucun Un DeuxAdministrateur réseau 56,1% 29,8% 8,8%Admin. de bases de données 66,7 22 ,8% 7%Ingénieur électronicien 64,9% 26,3% 5,3%Concepteur 66,7% 21,1% 8,8%Analyste programmeur 54,3% 31% 12,1%

Développeur 77,2% 15,8% 5,3%WebmasterDesigner 82,5% 10,5% 5,3%

Chargé de formation 57,9% 28,1% 10,5%Mathématicien 77,6% 15,5% 6,9%Statisticien 80,7% 12,2% 7%Technicien de maintenance 36,8% 47,4% 7%Technicien électronicien 70,2% 21,1% 7%Technicien informaticien 43,9% 45,6% 7%

Au regard du tableau, la première ligne se lit comme suit :

56,1% des organisations ne disposent pas d’aucun administrateur réseau. 29,8%disposent d’un administrateur réseau et 8,8% emploient deux administrateursréseau. Comme on peut le voir, le taux de carence pour pratiquement tous les postes,dépasse 43,9%. Le taux d’affectation est très faible. Elle nage entre 10,5% et47,4%. Il va de soi que disposer des deux personnes pour le même poste resteun luxe. Le faible taux allant de 5,3% à 12,1% est assez illustratif.

Quant à la répartition de ces fonctions par sexe, la situation est alarmante :Les femmes ne sont pas représentées dans le corps des métiers. Le taux decarence varie entre 87,7% et 94,7%. Pour certaines technicités, elles ne sontmême pas représentées : par exemple ingénieur électronicienne,mathématicienne. Les peu qui sont disponibles ont un taux d’insertion (en raisonde deux unités) allant de 3,5% à 7,1%.

Effectif actuelFonctions

Aucune Une DeuxAdministrateur réseau 87,7% 5,3% 7%Admin. de bases de données 87,7% 5,3% 7%Ingénieur électronicienne 94,7% - 5,3%Concepteur 91,2% 3,5% 5,3%Analyste programmeur 87,7% 7% 5,3%

Développeuse 91,2% 5,3% 3,5%WebmasterDesigner 89,5% 3,5% 7%

Chargée de formation 87,7% 5,3% 7%Mathématicienne 94,7% - 5,3%Statisticienne 93% 1,8% 5,3%Technicienne de maintenance 93% 1,8% 5,3%Technicienne électronicienne 93% 3,5% 3,5%Technicienne informaticienne 85,7% 7,1% 7,1%

57

Le stage en informatique est prévu pour 57,9% des 95 organisations. 1,1% n’apas répondu à la question. Pour celles qui organisent ce stage, le nombre despersonnes formées varie entre 1 et 98 personnes La moyenne est de 4personnes par an.

Les centres les plus cités qui procèdent à cette formation sont :

ASYSTUNIKINCONGO TICIFASICMINISTERE (?)CAMPUS NUMERIQUE

Les modules de formation les plus courants sont:

Initiation à l’Informatique Logiciels / Progiciels Bureautique / Programmation Maintenance des ordinateurs, Base des Données, Programmation Administration des Réseaux Comptabilité assistée par ordinateur Networking (Réseaux)

Selon les organisations, les besoins en formation sont les suivants :

Tout sur les nouvelles technologies ; Développeur, Delphi, Studio Audiovisuel ; Avec ± 10 PC, pour ouvrir un centre de formation ; Installer des ordinateurs dans chaque chambre de l’hôtel ; Acquérir une formation sur le Linux et le langage de

programmation ; Cartographie numérique ; Maîtrise du logiciel Access ; Avoir une formation pour devenir Technicien de maintenance des

Ordinateurs ; technicien Informaticien & Réseaux Former plusieurs agents localement et que la formation soit régulière Acquérir des ouvrages & Matériels informatiques Formation en Bureautique Certification Windows Server 2003 Gestion des sites / Création & Design des sites / Infographisme / Animation Flash

Les besoins en gras sont les plus exprimés.

58

SECURITE

Sur 92 organisations, 56,5% disposent d’un plan de sécurité informatique.La plupart, 71,4% utilisent les solutions logiciels Norton Antivirus. 17,1% recourentaux autres antivirus comme Firewall, EZ antivirus, Avast, AVG(Antivirus Guard,Microsoft Neat Suite. Une seule organisation utilise son propre produit maison.

73,1% des 78 organisations affirment avoir une politique de sauvegarde de données.Les utilitaires utilisées à cet effet se répartissent comme suit :

Les solutions matérielles de sécurité utilisées par 57 organisations sont lessuivantes :

Type de solution matérielle FréquenceLecteurs de cassettes magnétiques 38,6%Gravage des CD de sauvegarde 80,7%Armoire ignifiée 8,8%Serrure électronique 3,5%Backup distant des supports 17,5%Backup ordinateur distant 19,5%Flashdisk 1%

Les disquettes magnétiques tendent de plus en plus à disparaître au profit desdisques compacts.

LE BUDGET

Le budget alloué à l’informatique varie entre 100$ et 1.000 $. Le pourcentage dece budget par rapport au budget global de l’institution est de 10% pour 31,8%.

TELEPHONE

Téléphones fixes

45,5% des organisations disposent d’un des téléphones fixes dont le nombrevarie entre 1 et 36.

Téléphones mobiles

85,6% des organisations disposent des téléphones mobiles. Dont le nombre varieentre 1 et 44 .

A la question de savoir à quoi servent ces téléphones, la situation se présentecomme suit :

59

Appeler/recevoir des appels 95,6%Envoyer/recevoir des SMS 73,3%Consulter les nouvelles du serveur de votreprestataire

11,1%

Calculer 35,3%Agenda 41,2%Réveil 38,8%Prendre des photos numériques 24,7%

Le coût mensuel du téléphone de l’organisation est évalué entre 5$ et 840 $ ;18,9% l’évaluent à 100 $. Ce qui est une moyenne plus près de la réalité.

32,6% des organisations affirment utiliser les services téléphoniques d’unopérateur. 9% seulement a recours à des conférences téléphoniques et 8,9%recourt à un couplage téléphone/informatique.11,8% dispose d’un PABX dont les lignes varient entre 1 et 8 lignes. Le nombrede postes internes servis par le PABX varie entre 2 et 11.Les enquêtés ne se sont pas prononcé sur les services offerts.

FAX

24,1% seulement des organisations disposent d’un fax dont le flux journalier desenvois varie entre 1 et 20. La moyenne est de deux fax par jour. Quant aux fax reçus journellement, le flux varie entre 1 et 30. la moyenne restede 2 fax reçus par jour.

LE DEVELOPPEMENT DES TIC

Nous avons voulu savoir la nature des effets que les TIC ont sur 66 organisationsen les interrogeant elles-mêmes. Les résultats sont les suivants :

Les freins au développement des TIC sont, selon nos organisations de plusieursordres :

Les freins internes aux organisations :

1 . Les frais excessifs des douanes 2 . Les taxes

EFFETS OUI PEU PASENCORE

NON Ne saitpas

Diminuer les factures téléphoniques 48,5% 6,1% 10,6% 12,1% 22,7%Gagner du temps 83,6% 3% 3% 1,5% 9%Gagner du papier 49,3% 13,4% 9% 4,5% 23,9%La vente de l’image de marque del’institution

45,5% 9,1% 10,6% 6,1% 28,8%

La bonne organisation de l’institution 67,2% 13,4% 6% 1,5% 11,9%Le recrutement 21,2% 9,1% 16,7% 19,7% 33,3%La maîtrise de la gestion financièreet des ressources humaines

40,3% 10,4 11,9% 6% 31,3%

Permettre des prises de décisionscohérentes et opportunes

29,9% 4,5% 10,4% 20,9% 34,3%

60

3 . Carence des technologies 4 . Les moyens / manque d’électricité / Instable 5 . Manque de matériels adéquats pour être excellents 6 . Tout dépend des responsables 7 . Rien, car besoins très limités 8 . Manque d’information sur les TICs 9 . Manque des personnels qualifiés10 . Manque de formation11 . Manque du personnel qualifié, des moyens et l’ignorance des TICs12 . Aucun frein sur le plan interne, car nous nous alignons sur les standards américains (Seaboard)13 . Le coût de prestation

Freins au niveau régional :

1. Les moyens 2 . La majorité trouve que c’est un luxe 3. Nombre elevé des personnes sans accès à l’information 4. La vulgarisation des TICs 5. Manque d’organisation ; 6. Chômage des informaticiens, prolifération des logiciels spécifiques et progiciels sur le marché ; ce qui fait qu’on n’a plus besoin d’informaticien 7. Pas de vision lointaine, manque de moyens financiers ni de Politique

régionale 8. Manque de personnel qualifié / Intérêt direct sur la population / Matériels coûteux

Comment lever ces freins ?

Les réponses se résument en ceci :

1 = Par l’honnêteté de nos frères 2 = Plus des PC dans les territoires à 50 $ US (réduire le coût) 3 = Vous-mêmes par le travail 4 = Donner des formations gratuites / moins chères à tous 5 = Pas mentionné dans nos objectifs 6 = Formation appropriée & moyens conséquents 7 = Par DMTIC si elle n’est pas une histoire 8 = Etre tout le temps en contact avec l’étranger 9 = Implication des pouvoirs politiques10 = Mise en place d’une meilleure politique de formation / Large utilisation des ordinateurs dans tous les domaines, même dans les Ménages, ce qui va créer le besoin des techniciens pour la maintenance11 = Pas de politique générale sur les TICs / Taxes à l’importation des PC ou Laptop américains (Seaboard)

GOUVERNANCE

62,8% pensent que la législation actuelle encourage l’usage des TIC dans leurinstitution.

61

37,2% pensent le contraire et avancent les raisons suivantes :

30,8% pensent que ce sont les taxes et autres charges qui asphyxient lesentreprises ou les organisations.15,4% estime qu’on ne connaît pas davantage cette loi.23,1% pensent que ce problème doit être situé dans le cadre de la mégestion dupays à laquelle notre pays est confronté ;7,7% pense que notre pays n’a pas une tradition en la matière ;15,4% pensent que c’est le manque de moyens qui est la raison principale ;7,7% pensent que le pays devrait se doter d’une vraie loi sur les TIC.

Quant à l’existence des dispositions de protection des données privées au seindes organisations, 46,1% affirment qu’elles existent.25% disent que leur institution ne recourt pas au cryptage pour protéger lesdonnées et 23,8% dit que sn institution est satisfaite des services du gestionnairedu domaine national cd.

11,4% a déjà entendu parler de l’ICANN.

STRATEGIES

10,6% déclarent quelles disposent d’un plan directeur informatique. 10,3%affirment qu’il existe une structure chargée de l’exécution de ce plan directeur.Trimestriel37,2% estiment qu’il existe une production des rapports de suivi-évaluation.

QUATRIEME PARTIE : LES ECOLESDMTIC a voulu identifier les écoles et centres de formation en informatique sur toutel’étendue de la Vcille de Kinshasa.Les données relevantes concernent :

• Les domination et adresses de ces écoles• L’année d’implantation en RDC• Les effectifs et leur qualification• L’exploitation de la formation, ou plus précisément les modules de formation et

les logiciels utilisés pour chacune d’elles• La répartition des diplômés par sexe• Les objectifs éducationnels et débouchés• Le coût de la formation• Les sources de financement de ces écoles et centres.

RESULTATS

Les résultats obtenus pour les écoles et centres de formations ne sont pas trèsbonnes. Beaucoup de vides ne se justifient pas.

A. IDENTIFICATION

62

Trente écoles ont été identifiées

REC ECOLE ADRESS COMMUNE ANNEE--- -------------------- -------------------- ------- ----- 1 LASALIENNE EC. ALIGBA . 2000 2 CEFORCEL INONGO 10 2005 3 ISC . 4 2005 4 IMPACT ENTREPRI 6EME RUE LIMETE 12 1999 5 BAKALI MULTI SERVICE REVOLUTION N°637 12 2005 6 C.FORMATION EN INFOR AV DE LA SCIENCE 4 . 7 CFP ENCEINTE INST.BOBOTO 4 2000 8 ENGINEER CONSUL COMP . . . 9 . . . 2003 10 FAC CATHOLIQUE KIN AV UNIVERSITE NO2 12 . 11 CENTRE D'ENCAD.PROF UPN 21 . 12 CFIM . . 2005 13 CAFES AV KASA-VUBU 21 1987 14 NSM MAKANDA KABOBI 21 2004 15 MICA BUSINESS ET HUG KABAMBARE NO179 13 2002 16 JTM AFRICA NYANGHUE 11 2005 17 C;MAINTENANCE INFORM RUE AKETI NO216 13 2005 18 MERJEO SERVICE TSHELA NO13 18 2003 19 BUSINESS CORPORATION MASANGA MBILA 18 2005 20 MAISON ADDY BY PASS NO 11 18 2005 21 GEN. INFORMATIQUE TOMBE Q 7 NO 27 8 2004 22 ENCADREMENT ET DEV PLACE DU MARCHE Q7 19 2000 23 CENTRE INFOR; CEPROM AV MONGO . 2005 24 CEDESURK AV HUILERIES 4 2002 25 FOSHA KIANZA NO82 20 2002 26 ALLIANCE FRANCO CONG BY PASS NO 24 11 2001 27 THE NEW TECHNOLOGY BAHUMBU NO14/D 17 2004 28 CFI MATETE MPUDI NO35 17 . 29 LYCEE KABAMBARE KABAMBARE 999 8 2003 30 ALPHA MDK KABAMBARE 157 8 2001

1. Répartition par commune

4% 8%

12%

8%

8%12%4%4%

12%

16%

12%

Kintambo Lemba Limete Lingwala

Masina Mont Ngafula Ngaba Ngaliema

Ngiri Ngiri Gombe Kinshasa

63

2. Année d’implantation

Année d’implantation Nombre d’écolesimplantées

1987 119881989199019911992199319941995199619971998

AUCUNE

1999 12000 32001 22002 32003 32004 32005 7

Commentaire

La plus vieille école a été implantée en 1987. Il s’agit de l’école CAFES situéedans la commune de Ngaliema. Et cela s’explique : la loi sur l’Enseignement datede 1986 ;

Entre 1989 et 1998, il n’y a pas eu d’implantation d’écoles d’informatique. Celapourrait s’expliquer par le fait que la RDC. Traversait une époque caractérisée parune longue transition parsemées d’instabilité socio-politique marquée et uneconjoncture économique délabrée. C’est en sortant de la guerre de 1998 qu’unetimide initiative voit le jour en 1999. Cette remontée se stabilisera 5 ans durantavec une moyenne de 3 écoles par an. L’année 2005 est la plus riche et ont peurespérer que les années qui suivent seront encore plus riches.

PERSONNEL ACADEMIQUE

Le nombre de professeurs à thèse varie entre 1 et 8 :

23,3% déclarent avoir un professeur ; 10% ont deux professeurs. La majorité,16,7% ont 5 professeurs d’université. 10% ont 4 professeurs ; 3,3% ont ont 6professeurs et 6,7% ont 8 professeurs.

64

PERSONNEL SCIENTIFIQUE

Il s’agit ici des Assistants et chefs de Travaux. 20% utilisent 2 Assistants, 10% ontun seul assistant ou Chef de Travaux. 6,7% en ont 3. une école emploie 4assistants. L’Institut Supérieur de Commerce dispose à elle seule de 24assistants et une autre, le CAFES, de 30 assistants.

PERSONNEL ADMINISTRATIF

La majorité 26,7% a un seul administratif et 16,7% dispose de deux administratifs.Certaines ont 3,4, 5 et même 8 chacune pendant que le CAFES a elle seulecompte 11 administratifs et l’Institut Supérieur de Commerce (I.S.C.) 12.

PERSONNEL TECHNIQUE

Le nombre d’ouvrier varie entre 1 et 8. La majorité compte au moins untechnicien, soit 26,7%. 10% ont 2 technicien ; 13,3% ont 3 techniciens, 10% ont 4techniciens. Et une seule école en a 8.

PERSONNEL OUVRIER

Le nombre d’ouvriers varie entre 0 et 5.

Des 30 écoles, 16,7% déclarent ne pas avoir d’ouvriers. 16,7% autres en ont aumoins un. 10% en ont 2 ; 6,7% en ont 3. Une seule école en a 4 et une autre 5.

B. EXPLOITATION DE LA FORMATION

Les modules dispensés :

a) Initiation à l’informatique

63,3% dispensent un module d’initiation à l’informatique. La durée de cetteformation est en moyenne d’un mois selon la déclaration de la moitié des écoles(73,3%)La moyenne mensuelle des apprenants (hommes) se présent de la manièresuivante :

Nbre apprennants Fréquence %Entre 2 et 9 10 45,4%Entre 10 et 30 9 40,9%

La majorité (18,2%) compte 4 apprenants.Il faut signaler ici deux cas exceptionnels : une école déclare avoir 82 étudiants :c’est l’ISC. Les Facultés Catholiques qui ont les cours d’informatique dans toutesses Facultés dispensent ce module. C’est ce qui explique qu’au moins 400apprenants le suivent.

65

Le nombre de femmes qui suivent ce module varie entre 1 et 180., mais 5 écolesa au moins une apprenante (soit 22,7%).

Nbre de femmes Fréquence %Entre 1 et 8 13 59%Entre 10 et 99 7 31,8%

L’ISC compte 180 femmes tandis que les Facultés Catholiques alignent 847femmes.

b) Le système d’exploitation

Les deux systèmes d’exploitation les plus répandus sont le MS-DOS et leWindows . Il n’est pas tenu compte de la version.

b.1. Le MSDOS

60% des écoles enseignent encore le MS-DOS ! La durée de formation varieentre 1 et 2 mois. Sur 14 écoles qui ont répondu à la question, la majorité, soit64,3% y consacre un mois.Le nombre d’apprenants des 13 écoles varie entre 1 et30 mais un bon nombre (23,1%) a 4 apprenants. Lenombre de femmes qui suivent ce module varie de 0 à13. 3 écoles a une femme inscrite, 2 ont 2femmes, deux autres en ont 4.

b.2. Le Windows

76,6% dispensent une formation sur l’interface Windows pendant une durée quivarie entre 1 et 2 mois. La majorité (64,3%) y consacre 1 mois.Le nombre d’apprenant varie entre 1 et 30 avec une valeur exceptionnelle de 400aux Facultés Catholiques. Deux écoles ont 10 apprenants.Le nombre de femmes qui suivent ce module varie entre 1 et 13 en ne tenant pascompte des 180 femmes des FCK qui constituent une exception.

C.Traitement de texte

Le logiciel WORD est le plus répandu. 93,3% des écoles le mettent auprogramme. La durée de formation pour 18 écoles est en moyenne d’un mois. Lenombre d’apprenants pour 21 écoles varie entre 1 et 22, exception faite auxFacultés Catholiques où le nombre atteint 400 pour les 4 Facultés.Pour 19 écoles consultées, le nombre de femmes qui apprennent le Word, lenombre varie entre 1 et 11, sauf les FCK qui compte 180 femmes.

D. Tableur

90% des écoles ont mis sur leur programme Excel. La durée d’apprentissagevarie pour 15 écoles qui ont répondu à la question:

1 mois 53%2 mois 20%3 mois 13,3%Sans réponse 13,3%Total 100%

66

Le nombre d’apprenants pour 16 écoles varie entre 1 et 22, exception faite pourles FCK où l’on dénombre 400 étudiants.Le nombre de femmes varie entre 0 et 70, exception faite pour l’ISC qui compte180 femmes.

E. Bases de données

Access est le logiciel choisi pour 46,6% des écoles. La durée varie entre 1 et 3mois selon les écoles.Le nombre des apprenants varient entre 1 et 10. La moyenne de femmesapprenantes est d’une femme.

F. Microsoft Power Point

Ce logiciel de présentation figure sur le programme des 33,3% des écoles et ladurée est d’un mois.Le nombre d’apprenants varie entre 1 et 10. Seul l’Institut Supérieur decommerce compte 325 individus contre 400 pour les Facultés Catholiques.Lune à 18 femmes apprennent ce logiciel excepté les Facultés Catholiques quicomptent 180 femmes.

G. SQL

16,6% des écoles alignent ce module. La durée d’apprentissage se situe entre 2et 3 mois. Seul l’ISC alignent 387 apprenants. Le nombre de femmes n’est passignalé.

H. L’implantation des réseaux n’est pas dispensé.

L’administration des réseaux

C’est un module qui est inscrit dans 3,3% des écoles. Nous n’avons pas purecueillir des données sur la répartition des apprenants par sexe.

J. L’utilisation des réseaux

Ce module est aussi inscrit au programme des 3,3% des écoles. Et la formationdure 1 mois. Aucune donnée non plus sur la répartition selon les sexes.

K. Création des sites Internet

Seules deux écoles dispensent ce module pour une durée d’un mois.

67

CINQUIEME PARTIE : LES CABINESDMTIC a identifié 105 cabines téléphoniques.Les données qui a intéressé DMTIC sur les cabines téléphoniques sont lessuivantes :

1. Identification2. Date d’implantation3. Effectifs du personnel utilisé4. Nombre de clients par jour5. Tarification, recettes, taxes6. Infrastructures7. Temps de communication pour le téléphone et le fax en envoi8. Services offerts

a) Identification

REC CABNAME ADRES1 COMMUNE IMPLANT--- --------------- -------------------------------------- ------- ---------- 1 TOUT BANDAL BATETELA NO9 1 02/02/2001 2 CESAR TELEPHONE EPERVIER 1 10 01/01/2003 3 KATIS COM LUSAMBU 14 BIS 10 11/02/1998 4 DE.JE.COM INONGO NO 62 C/KITAMBO 10 30/04/2001 5 Y'EKA COM COMORICO NO1/C Q ITIMBIRI, C/KITAMBO 10 30/06/2002 6 GRACE TELECOM LUBAKI NO310 1 02/03/2001 7 VIP.COM NZOBA 10 03/02/2002 8 KANINO SERVICE 79 AV BATETELA 10 25/09/2004 9 DE 4 COM KIMVULA NO36 Q/WENZE 10 28/10/1998 10 Y'EKA COM COMORICO NO1/C Q ITIMBIRI 10 30/06/2000 11 REMY TELECOM KONGOLO NO 145 C/KINSHASA 8 06/06/2002 12 THE BEST KABAMBARE NO 67 C/KINSHASA 2 30/06/2002 13 DONTELECOM KABAMBARE NO 141 C/KINSHASA 8 20/09/2005 14 H RUTH. COM KABINDA B4 C/BARUMBU 2 30/06/2002 15 COMM SERVICES FLAMBEAU NO 261 C/BARUMBU 8 . 16 AL MOUSTAPHACOM KONGOLO A14 C/BARUMBU 8 30/06/2003 17 IZACOM KALEMBELEMBE NO 53 C/BARUMBU 2 16/11/2002 18 MONTE CARLOTELC KABINDA NO 151 C/KINSHASA 8 20/06/2005 19 DANNY TELECOM KABINDA NO 138 BIS 8 30/06/2004 20 NOWA TELECOMS KABALO NO 110 C/KINSHASA 8 05/03/2004 21 YOSHUA TELECOM DIANGA NO 40 22 30/06/2004 22 BEAU GARCONS KIPANDA NO 1 22 07/06/2002 23 TOCHA COM KIMOWA NO 18 22 08/12/2002 24 MONTECARLO TELE COMMERCIALE N O 187 22 12/08/2003 25 AXL COM SONGOLOLO NO 3 C/NDJILI 22 12/12/2002 26 REFERENCE COM LUKUNGA NO 10 22 30/10/2003 27 VESSO TELECOM SONGOLOLO NO 12 22 21/08/2004 28 STRONG TELECOM MOBUTU NO 17 BIS 17 23/12/2001 29 FRED COM ORIENTATION NO 36 17 30/10/2004 30 HERICOM MOBUTU NO 20 17 24/04/2003 31 EXTRA TELECOM MATOTA C/KISENSO 9 30/06/2001 32 EX MULTISERVICE MATOTA Q 14 MAI C/KISENSO 9 30/06/2005 33 NK TELECOM MPUDI 7/A C/MATETE 16 22/01/1999 34 SAVY COM VITAMINE 15/B 16 30/06/2004 35 NEW PHONE KIMAYALA NO 36 C/KISENSO 16 03/10/2005 36 BLANI TELECOM VITAMINE1 NO 43A 16 01/09/2005 37 JM @ TELECOM BATEKE1 NO34 C/MATETE 16 30/08/2004 38 VICTOR COM DONDO Q/MPUDI C/MATETE 16 30/06/2003 39 DADA COM VITAMINE 2 16 28/02/2005 40 GER COM VANGA NO32 Q 17 MAI C/KISENSO 9 05/07/2003 41 CLINIC PHONE SE MONZI N0 12 C/LEMBA 11 14/02/2003 42 CONGO TELECOM LUNGUFU NO 2 11 30/06/1994 43 EBEN EZER BANDUNDU NO 2 19 30/06/2004 44 LENDA COM KIANZA NO 19 19 30/06/2001

68

45 DOUG TELECOM NO 1213 11 30/06/2004 46 GENESE PHONE SE KILIDJA NO 2699 C/LEMBA 11 30/06/1999 47 LISA COM SALONGO NO 38 11 30/06/1993 48 GLOIRE TELECOM LIVULU NO 128 11 30/06/2002 49 BISHOP TELECOM KIANZA NO 58 C/NGABA 19 30/06/2005 50 LEYLA TELECOM KIANZA NO 120 C/NGABA 19 30/06/2003 51 IBUCOM BONGINDA NO 6 Q. 20 MAI . 24/08/2005 52 . . . . 53 GLORIA . 5 28/09/2005 54 SP TELECOM . 12 30/06/2003 55 RECTO INFO . 5 30/06/2004 56 GUY NSUNSA . 12 30/06/2000 57 BUROCOM . 5 30/06/2000 58 RECTO INFORMATI . 5 30/06/2004 59 IVENET . 12 30/06/2005 60 . . 12 . 61 . . . . 62 . . . . 63 EVOLUTION COM . . . 64 . . 4 . 65 MERDI COM TOMBALBAYE 1 . 66 . . 4 . 67 DANNY COM PLACE DE L'INDEPENDANCE 4 . 68 NAZARETH COM BATETELA NO4 C/GOMBE 4 . 69 GLADIS.COM . 4 30/06/2003 70 HERVECOM . 4 . 71 GOLGE COM . 6 . 72 JEAN TELECOM AV NGIRI NGIRI NO 120 21 . 73 JUPER TELECOM SANDOA NO 116 C/KASA-VUBU 6 30/06/1997 74 W.COM KIPEMBA NO2 C/KASA-VUBU 5 30/06/2004 75 . LOKOLAMA 6 . 76 LUC PERRY TELEC DIBAYA NO 7 C/KASA-VUBU 6 30/06/2004 77 LAM TELECOM . 6 . 78 GUREKE KENGE NO 100 21 30/06/2002 79 DIEU DE L'ALLIA . 6 . 80 LE TRIOMPHAL ENSEIGNEMENT NO 181 C/KASA-VUBU 6 30/06/2003 81 LA PROSPERITE MACAMPAGNE NO 4 C/NGALIEMA 10 30/06/2001 82 BERTIN BOUTIQ/C NGUMA N0 17 C/NGALIEMA 10 30/06/2000 83 BUALU BUA DITUN UPN/BINZA C/NGALIEMA 10 12/11/2002 84 CHRITEVIE KWANGO NO 11 C/NGALIEMA 10 30/01/2005 85 GRACE COM ROUTE DE MATADI N09999 C/NGALIEMA 10 05/01/2003 86 STAFF TEDDY COM AV YUMBU NO 15 C/NGALIEMA 10 30/06/2000 87 DOLLY TELECOM QUARTIER BCAC NO 26 10 20/04/2004 88 WWW.UPN.COM TSHELA NO 23 C/NGALIEMA 10 30/06/2004 89 BB COMMUNICATIO FORET NO 2 C/NGALIEMA 10 30/06/2005 90 SEBRONZO.COM KWANGO NO 8 C/NGALIEMA 20 30/06/2003 91 MEDIA LAND BY KABAMBARE NO 255 13 . 92 JOME TELECOM AV ITAGA 13 30/06/2004 93 GENIAL ITAGA NO 269 13 26/12/2002 94 GRADICOM ITAGA NO 235 13 30/06/2003 95 HASSAN SAAS TEL ITAGA NO 262 C/LINGWALA 13 23/10/2004 96 DOUGLAS TELECOM MAFUTA NO 1 14 30/08/2004 97 ERIC IMAGE COM LOYA NO 1 14 26/07/2005 98 PT COM KITOMESA NO 1 14 30/06/2003 99 MUCOLAR COM Q. PINZI NO 257 14 30/06/2001100 2 PAC BUSINESS LUBAKI NO 53 14 30/06/2004101 FRESSA COM MFIDI NO 18 14 30/09/2005102 LUMBAKI TELECOM AV MBAYA NO 19 14 30/08/2000103 F.TONTON NGUNDU CONGODIETU NO 39 14 30/04/2004104 VISITATION DIV MANYANGA NO 2 14 03/01/2005105 WAGENIA TELECOM WAGENIA NO 28 14 30/06/2003

La répartition par commune

Commune Nombre de cabinesBandalungwa 2Barumbu 3Kalamu 6Kasavubu 7Kinshasa 7Kisenso 3Kintambo 17

69

Lemba 6Limete 4Lingwala 5Makala 10Matete 7Masina 3Ngaba 4Ngaliema 1Ngiringiri 2Ndjili 7Total 94

Les adresses des communes des cabines ne sont pas mentionnées.

Date d’implantation

Année d’implantation Nombres cabines1993 11994 11995 -1996 -1997 11998 11999 22000 62001 82002 132003 172004 202005 13

L’implantation des cabines téléphoniques dans la ville de Kinshasa ne commenceque vers l’année 1993 avec un faible taux qui s’étend jusqu’en 1999, année deguerre. La croissance s’observe seulement à partir de l’année 1999. C’est en 2004qu’on observe un taux important : 20 cabines. Cela correspond aussi à la présencede plusieurs opérateurs télécommunication ; une période de forte concurrence qui vacroissant jusqu’à nos jours.