RADIESTHÉSIE ET TELLURISME - Editions Trajectoire · Le pendule et la baguette ne sont, en somme,...

Richard Bessière

RADIESTHÉSIE ET

TELLURISME

radiesthØsie-BAT.28072009.qxp 28/07/2009 15:24

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Imprimé en France

ISBN : 978-2-84197-494-8


CHAPITRE I

QU’EST-CE QUE LA RADIESTHÉSIE ?

DOIT-ON Y CROIRE ?

Si, en dépit des soucis de paradoxe, les anciennes croyances onttoujours de fervents adeptes, il est à remarquer que les chercheursactuels ne négligent pas pour autant la radiesthésie, laquelle, commeles sciences exactes, plonge aussi ses racines dans la nuit des temps.

La recherche de la vérité scientifique repose, nul de l’ignore, surl’expérimentation, les phénomènes observés et étudiés ne donnantlieu à aucune contestation, ni à rétraction. Les faits scientifiques bienétablis forment à eux seuls l’ossature de la science, à condition, tou-tefois, d’éviter le risque d’extrapolations erronées.

Il faut encore, en matière de radiesthésie, éviter les fausses défini-tions que l’on trouve dans certains ouvrages, mais ces considérationssuffisent-elles pour débarrasser la radiesthésie du climat de suspicionet d’incrédibilité dans lequel elle baigne ?

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La science des origines

On donne à cette divination le nom de rhabdomancie, ou hydro-scopie, surtout lorsqu’il s’agit de la détection des sources d’eau.

L’existence de la radiesthésie remonte à sept mille ans. Les Égyp-tiens eux-mêmes la pratiquaient pour toutes sortes de recherches,depuis les simples minerais jusqu’aux trésors enfouis, de même queles Chaldéens et les Chinois qui possédaient déjà une « baguette divi-natoire ». Un bas-relief chinois nous présente, en effet, l’empereur Yu(IIe millénaire avant J.-C.) de la dynastie des Hia avec, à la main unebaquette accompagnée de l’inscription : « décèle les objets cachés ».

Les premiers signes de son usage nous sont donnés par une inscrip-tion bretonne datant de près de 5 000 ans, mais la première descrip-tion d’une baguette de sourcier dans la littérature n’apparaîtra queplus tard, c’est-à-dire en 1540, dans une publication de GeorgiusAgricola : De re Metallica. D’autres thèses suivront parmi lesquellescelle, plus célèbre, de J.H. Martius De Virgula Divinitrie.

Mais c’est la Renaissance, plus tard, en Europe, qui permettra, endehors des positions doctrinales, de redécouvrir cette fameusebaguette qui sera utilisée pour la recherche des trésors, mais aussi descorps des victimes d’assassinats et des traces laissées par leurs meur-triers.

Comme toujours, le monde savant est partagé : il y a ceux quicondamnent, et ceux qui révisent ou nuancent leur jugement, tel lepère Kircher qui fut l’un des premiers à constater, en 1631, la « sym-pathie de l’instrument pour le courant d’eau », tandis qu’en 1749 lependule est mentionné pour la première fois par le père Schott quil’utilise dans la recherche de l’or.

La recherche des trésors continue, mais il faudra attendre leCongrès international de psychologie expérimentale, à Hanovre, en1913, pour parler de radiation, de résonance et de syntonie. La guerrede 1914-1918 permettra d’ailleurs une meilleur expérimentation de ceprocédé avec le repérage d’engins explosifs non éclatés et de cavitéssouterraines servant d’abri à des obus et à des caisses de munitions.

Radiesthésie et tellurisme

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L’éternelle question

Où sont les preuves tangibles, palpables, propres à désarmer lesadversaires du grand public et même, dans certains cas, du mondesavant ? Peut-on aussi prouver que la radiesthésie n’existe pas ? C’estl’éternelle question dans le partage des idées, des convictions et desopinions. On parle d’ovnis, d’esprits de l’au-delà, de puissances para-normales. S’il n’existe, selon certains rigoristes, aucune preuve« sérieuse » de leur réalité, peut-on, par contre, prouver que ces chosesn’existent pas ? Et Dieu, s’il existe, quelle preuve encore avons-nousde Son existence, pas plus que nous n’en avons de Sa non-existence ?

Je pense qu’une foi sans preuve peut vivre conjointement avec lavérité scientifique, mais je pense aussi que l’on peut avoir foi dans laradiesthésie, car nous avons la preuve qu’elle existe. Grâce à l’expé-rimentation, nous pouvons la considérer comme une vérité scienti-fique.

Je dirai, tout d’abord, qu’il s’agit d’une sensibilité qui permet àl’homme de détecter la présence de toutes sortes d’éléments. Mais, aurisque de heurter l’enseignement établi, je pense que le terme est malchoisi parce qu’il suppose, a priori, l’existence d’ondes, ou de radia-tions que rien ne prouve, que personne n’a jamais mis en évidenceParlons alors d’hypothèse, mais en admettant une hypothèse de cetordre, on ne comprend pas que le pendule réagisse de la même façonà ces prétendues ondes, qu’il soit de bois, de métal, d’agate ou detoute autre substance. Et encore moins lorsqu’il s’agit de détection surplan.

Le pendule et la baguette ne sont, en somme, que des index artifi-ciels servant à objectiver une sensibilité qui, sans eux, ne pourrait êtrevisualisée. Il nous faut donc accepter que l’homme possède, commecertains animaux, une sensibilité particulière, mais cela nous entraîneà une autre question, du fait que le radiesthésiste peut prendre, avecson pendule ou sa baguette, toutes les conventions qu’il désire. Bonnombre de radiesthésistes l’admettent : par exemple, décider qu’unbattement de pendule pourra correspondre à une profondeur de troismètres pour une couche d’eau, ou de quelques centimètres à peine. Envérité, tous les sourciers n’ont pas le même code.

Qu’est-ce que la radiesthésie ?

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Un accessoire particulier mérite l’attention : c’est le témoin

Ce besoin est particulièrement justifié, tout comme l’œil a besoind’un échantillon pour distinguer une couleur par rapport à une gammechromatique. En réalité, cela se passe comme dans toutes les sensibi-lités et lorsqu’il n’y a plus de support matériel cela peut devenir unepure voyance, comme dans le marc de café ou la boule de cristal,autrement dit « voir » à partir des indications données par un témoin.

Mais s’il importe que l’apprentissage dans ce domaine se fasseselon l’enseignement courant, il importe aussi que le radiesthésiste enherbe s’écarte du protocole technique pour conscientiser sa sensibi-lité, au lieu de la soumettre aux automatismes routiniers qui paralysentsouvent toute initiative mentale à partir de sensibilités analogiques.



CHAPITRE II

LA RADIESTHÉSIE,MOYEN DE CONNAISSANCE POUR TOUS

Tous les jours de notre vie, nous « écoutons » des fréquences enportant notre attention sur une personne ou sur quelque chose, enessayant de capter le plus de vibrations possibles. Notre handicap estque nous n’avons que nos cinq sens pour cela et nous avons quelque-fois l’impression d’agir comme des aveugles devant certains faits donton souhaiterait avoir une intuition plus développée lorsqu’il s’agitd’un problème à résoudre.

L’explication ? Il n’y en a pas, nous n’en sommes qu’aux constata-tions et comme le phénomène n’est pas prouvable « scientifique-ment » (il le sera certainement un jour), c’est la raison pour laquellela plupart des scientifiques actuels préfèrent l’ignorer. Cela épargne laréflexion qui, à la longue, fatigue l’esprit.

Et il est regrettable aussi que la radiesthésie soit utilisée par desgens qui prétendent, grâce à cet art, répondre au sujet du travail, del’amour, du mariage, de la mort de parents ou d’amis, exactementcomme le font les voyants, les chiromanciens sans scrupules et autrescharlatans de cet acabit.

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La radiesthésie n’a rien de magique

C’est simplement l’art de capter les ondes émises par les corps visi-bles ou invisibles, de les identifier, d’en donner la nature, leur compo-sition et leur quantité.

Les adversaires de cette recherche nous disent qu’elle n’est passcientifique et qu’elle est, à ce jour, inconnue de l’expérimentation.J’en reviens, parce que très simple à réaliser, aux pyramides modèleréduit et à la théorie de Bovis, selon laquelle il est possible de momi-fier de petits animaux morts, des morceaux de viande et même desfleurs, selon, bien entendu, les indications conseillées (orientation,dimensions, situation, etc.).

Des expériences à la portée de tous

J’ai commencé à m’y intéresser tout jeune, il y a une cinquantained’années, et j’ai conservé les petits morceaux de viande que je m’étaisamusé à momifier. Ils n’ont pas changé ! Est-ce qu’un physicienagréé, bardé de diplômes, peut expliquer « scientifiquement » le phé-nomène de déshydratation qui se produit sous une simple pyramide encarton ? Cette expérience, il peut la réaliser lui-même. Que se passera-t-il, s’il ose ? Il n’en dira mot, préférant rester dans son enseignement,plutôt que d’avoir à réviser ses opinions. Et ces gens parlent depseudo-science !

C’est le comportement qu’aurait pu avoir un physicien duXVIIIe siècle, qui ne connaissait pas, ou qui ne prévoyait pas, les décou-vertes dont nous usons actuellement, comme il existe encore de nosjours des « pseudo-savants » qui refusent d’envisager ce que nos des-cendants découvriront au XXIIe ou au XXIIIe siècle. Ceux-là n’ontjamais compris que l’intelligence humaine est en marche depuis celuiqui a inventé le feu et un tas d’autres qui ont continué avec la roue, leschiffres, la poudre à canon, la radiographie, maintenant la course àl’espace et demain… (?) Cela ne s’arrêtera jamais, à moins quel’homme y mette un terme en faisant péter la planète avec sa dernièretrouvaille ! Mais cela, encore est une autre histoire.

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Aux débutants : quelques conseils utiles

Quoi qu’il en soit, nous conseillons, dans une maison où l’on arelevé des points nocifs, de déplacer les lits et de ne pas trop stationnersur ces points, s’il s’agit d’un salon par exemple, ou alors d’utiliser legenre de solénoïde que nous préconisons, qui sont de petits objetsmétalliques torsadés, que l’on peut confectionner soi-même, et qui ontla propriété de détourner, de repousser, d’éloigner, peut-on dire, lesondes telluriques dangereuses. Si ces ondes existent dans la maisonque vous occupez, il y a d’excellents résultats avec ce procédé.

Le tort que nous avons souvent, c’est de négliger ce danger qui,quoique invisible, est pourtant réel deux fois sur dix. Quelle est lamère qui oserait faire dormir son bébé sur un endroit réputé cancéri-gène, alors qu’un simple pendule, qu’une baguette de coudrier ordi-naire, pourrait éviter ce danger ?

Je conseille toujours, au moment de changer d’habitation, ou del’achat d’un terrain à construire, d’user de ces simples appareils quivous diront si l’endroit est dangereux ou ne l’est pas. C’est un conseilà suivre ou à négliger, selon, bien entendu, le choix de chacun.

Quelques conseils utiles

Si vous débutez dans cette recherche, oubliez tous les aspects tech-niques développés dans les innombrables articles écrits sur se sujet.Vous aurez tout le temps de vous familiariser avec la radiesthésie avecles conseils qui vous sont donnés dans cet ouvrage et qui constituentles acquis de base de cette science, une science dont les éléments lesplus importants sont, incontestablement, la baguette de coudrier et lependule dont nous parlerons plus loin.

La radiesthésie pure n’admet pas l’utilisation des divers accessoiresdont s’encombrent aujourd’hui certains opérateurs. Il est vrai que l’onest souvent tenté de faire appel à des moyens et à des dispositifs propresà vaincre les difficultés et les insuccès inhérents à certaines recherches.

À ce sujet, l’expérience a démontré qu’il s’agissait de pouvoirsautosuggestifs n’ayant jamais amélioré les résultats d’expérience. Et

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La radiesthésie, moyen de connaissance pour tous


ce qui aggrave la question c’est que, avec l’habitude, on finit par neplus être capable de pratiquer la radiesthésie pure. Aussi est-il néces-saire que les débutants sachent que les seuls instruments fiables danscette recherche, restent exclusivement l’usage de la baguette et dupendule, à condition qu’ils soient dépourvus de tout prétendu perfec-tionnement. Ce sont d’ailleurs ces mauvaises habitudes qui, souvent,conduisent l’opérateur à l’échec.

Quelle explication apporter ?

Cela me fait penser aux « scientifiques » d’autrefois qui affir-maient « que le plus lourd que l’air ne pourrait jamais voler ». Et àd’Arsonval, notre célèbre physicien qui, à la fin du XIXe siècle, pré-tendait que l’homme qui atteindrait des vitesses supérieures à100 km/h mourrait asphyxié. Même dans les années 1950, il se trou-vait encore des personnes qui prétendaient que l’homme ne mettraitjamais les pieds sur la lune ! Comme quoi, et selon les paroles de SirJames Jeans : le fleuve de la connaissance est souvent revenu sur lui-même.

La raison ? Elle est simple. Il y a deux sortes de sciences : l’une quireste attachée aux vieux principes et ne progresse pas, et l’autre, quicherche et se dépasse. On ne pourrait pas progresser sans cette der-nière, sinon nous en serions toujours à gratter des bûchettes pour fairedu feu. Rendons hommage à Archimède, à Galilée, à Newton, àKepler, à Einstein, sans eux où en serions-nous ?

La radiesthésie est dans ce cas. En progressant dans l’esprit de cer-tains scientifiques actuels, elle reste l’affirmation de la toute-puis-sance de la raison qu’il est impératif de maîtriser pour rendreintelligibles les mouvements désordonnés du psychisme.

Toutefois, malgré l’intérêt de quelques chercheurs de renom, groupésautour de la mémoire du professeur Yves Rocard (père de Michel,l’homme politique actuel) et qui ont reconnu la réalité de phénomènesjusque-là méprisés par des hommes de science, il est triste d’avouer quela plupart des pays occidentaux, la France la première, continuent àplacer la radiesthésie en marge de la recherche scientifique officielle, en

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faisant figure de conservateur continuant à se raccrocher à des idéesdépassées, alors que les Russes et les Américains, les Russes surtout,emploient des équipes de géologues et de physiologues spécialisés dansla radiesthésie, et qu’ils manient la baguette de sourcier avec une grandedextérité.

Les lieux géopathogènes

Le temps passe, et si, aujourd’hui, nous allons de surprise en sur-prise, il est heureux de constater que le phénomène radiesthésique agagné en popularité au sein des chercheurs. On a vu des institutionsofficielles user de ces techniques dans la construction d’hôpitaux,d’établissements administratifs et de maisons particulières, afind’éviter les champs magnétiques souvent nocifs, ce que les géobiolo-gistes actuels appellent « zones géopathogènes ».

Le professeur Hartman a été l’un des pionniers de cette recherche,en prenant pour témoin la ville de Moulins où, dans son quadrillage,étaient indiquées les « maisons à cancer ». Ces maisons sont généra-lement transmises par héritage et il se trouve que les familles qui sesuccèdent sont aussi des « familles à cancer ». Ce qui confirme bienle phénomène par lui-même, quand on sait que le cancer n’est pas unemaladie transmissible, et encore moins héréditaire, simplement desprédispositions et cela suffit pour que la maladie se déclenche aucontact de ces lieux pathogènes.

Effectivement, il est reconnu, aujourd’hui, et selon cette méthode,que les champs magnétiques causés par les rivières souterraines, leseaux stagnantes et les forces telluriques, peuvent, à la longue, provo-quer des cancers ou des maladies cardiaques aux personnes quiséjournent à la verticale de ces points. Des chercheurs, des médecinsspécialisés dans ces recherches se sont aperçus que dans des immeu-bles à plusieurs étages se trouvaient des personnes atteintes de cancerspour avoir séjourné, effectivement, à la verticale de zones pathogènes.

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La radiesthésie, moyen de connaissance pour tous


Dans une maison isolée

Il y a quelques années, j’ai eu l’occasion, avec des amis sourciers,de m’intéresser à une maison où les occupants couraient un réeldanger. Eux-mêmes en avaient conscience du fait qu’ils déprimaientau point de perdre goût à la vie. Ils étaient angoissés, dormaient trèsmal, rien n’allait.

Dès que je suis entré dans cette maison, j’ai éprouvé un réelmalaise. Je suis, en effet, d’une très grande sensibilité et je n’ai nulbesoin d’instrument pour détecter si le lieu où je me trouve est sein oudangereux. Dangereux, celui dont je parle, l’était au 3e degré !

Les points telluriques ont été relevés avec les magnétomètres, flux-mètres, et autres appareils de détection que nous possédions, et il s’esttrouvé que ces forces qui, s’élevant à la verticale, passaient justementdans la chambre et à la hauteur du lit ! Le pire du pire ! Ces gens rece-vaient, pendant leur sommeil, ces forces nocives, ce qui expliquaitl’état dépressif dans lequel ils se trouvaient.

En revanche, le chien se portait bien, pour la bonne raison qu’unchien ne se couche jamais sur un point tellurique. S’il y a une zone deradiation quelque part, il s’en éloignera le plus possible. Le contrairedu chat !



CHAPITRE III

DÉBUTER EN RADIESTHÉSIE

Pour affiner ses recherches, le radiesthésiste utilise un certainnombre d’outils, que nous appellerons « supports ».

Les supports

Comme nous le disions au début de cet exposé, la radiesthésie estune étude des vibrations qui, captées par le pendule, sont interprétéespar vous-même, en utilisant un protocole que vous aurez choisi.

Force est de constater qu’avec un pendule, les choix restent limitésen terme de protocole, car après le OUI et le NON, on aura sans doute,avec beaucoup d’expérience, appris à déterminer un OUI PEUT-ÊTRE, ouun OUI MAIS. Pour pallier cet inconvénient, le radiesthésiste utiliseraun cadran, sur lequel figure en principe la totalité des choix possiblesen réponse à sa question.

Ces « cadrans » comportent diverses configurations. On en trouvedes circulaires, semi-circulaires, ou bien sous forme de réglettes gra-duées. Ils proposent des choix, ou bien des mesures.

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Exemple

Vous décidez d’étudier la nature du sol de votre propriété et, pourcela, vous allez utiliser un cadran (cf. figure 1) contenant un certainnombre de choix le plus exhaustif possible pour avoir une idée la plusprécise :

Grâce à ce cadran, on n’est plus prisonnier du mode « binaire » deréponse d’un pendule. Pour l’utiliser, il suffit de le positionner aucentre du cadran, puis d’imprimer un premier mouvement le long ducadran le plus à gauche (RYOLITES) et ensuite, de laisser le pendulesuivre successivement chaque cadran, de la gauche vers la droite.Vous constaterez que le pendule commence à osciller dans un mouve-ment giratoire allant dans le sens des aiguilles d’une montre, en mêmetemps qu’il se décale le long des radians du cadran.

Dès lors que le pendule sera positionné sur le radian du cadran quicorrespond à la réponse, sa giration commencera à s’inverser et saprogression vers la droite stoppera. À ce moment précis, vous pouvezredonner une petite impulsion vers la gauche et la droite du radianchoisi par le pendule pour « encadrer la valeur » et faire une ultimevérification.

Ce procédé est sans limite. On peut absolument tout mettre dans uncadran, toutes sortes de choix correspondant à une vibration présenteou passée. (J’insiste sur le fait que, pour les vibrations n’existant pasencore, il s’agit de DIVINATION et non plus de radiesthésie.)

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Bien sûr, en pratique, on essaiera d’éviter les cadrans surchargés encréant des cadrans de « présélection » regroupant un certain nombrede familles de choix, puis des cadrans de plus en plus précis. D’unemanière générale, on considère qu’un cadran de 20 possibilités resteun maximum confortable. J’ai vu dans des ouvrages des cadrans de 40ou même 50 possibilités qui sont complètement inexploitables !

La technique qui consiste à travailler sur des réglettes et cadrans senomme communément RADIESTHÉSIE OSCILLATOIRE.

Autres applications

Pouvant à peu près tout mesurer, l’homme s’est très tôt intéressé àla radiesthésie pour effectuer des diagnostics de santé. Avant d’allerplus loin, je souhaite rappeler ici que, seul un médecin est habilité àformuler un diagnostic médical, ainsi que la médication appropriée.Nous parlerons donc, dans notre exposé, de « tests » scientifiquesdevant être obligatoirement confirmés par un médecin.

Pour ces « tests », la première chose que l’on peut mesurer, est laVITALITÉ globale d’un individu… Pour ce faire, on utilise ce que l’onappelle une règle de Bovis (du nom du radiesthésiste qui l’a créé).Cette règle propose une mesure d’intensité (en bovis) d’une personne,ou bien simplement d’un objet ; tout a une intensité, car tout est vibra-tion comme je le disais plus haut ( voir la figure 2 ci-dessous).

FIGURE 2. RÈGLE DE BOVIS

On remarque que cette règle indique un point d’équilibre pour lecorps humain, situé à environ 6 500 unités Bovis. En deçà de 6 500,on pourra déduire que la personne est souffrante, et si nous sommestrès en deçà, dans des valeurs inférieures à 5 000 ou 4 500, on peutdire que la vitalité est extrêmement faible et laisse présager une

Débuter en radiesthésie

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maladie grave. En revanche, si la mesure est supérieure à 6 500, lesujet est en parfaite santé.

Pour mesurer une personne, on pourra simplement poser sa maingauche sur la partie gauche de la réglette au début de la mesure. Onpeut également utiliser une photo, car les photos conservent un lienmagnétique et servent de témoin. Pour le reste, tout est une questionde protocole comme nous le disions en première partie.

On pourra donc, par la suite, créer toutes sortes de cadrans pouraffiner ce diagnostic de « tests » et rechercher la cause de la baisse devitalité de la personne, avec, par exemple, une série de choix sur lacatégorie du problème supposé. Une autre série de cadrans pourra êtreutilisée pour donner, à titre indicatif, une série de remèdes naturelspouvant soulager le malade.

Il existe un grand nombre d’ouvrages dans le commerce, proposantdes cadrans prêts à l’emploi dans différents domaines, pour effectuerdes mesures et faire des recherches. Ils constituent des supports indis-pensables pour tout radiesthésiste désirant dépasser le simple stadedes conventions mentales donnant des choix limités.

Un nombre et un type de supports quasi illimités

Vous pourrez vous-même en imaginer de nouveaux, tel, parexemple, un objet longtemps porté par un individu pouvant servir detémoin, tout comme une photo, un cadran ou un simple galet de plagesur lequel vous aurez établi une convention de type OUI/NON. Demême, s’il s’agit de votre animal de compagnie, sur lequel vous effec-tuez des mesures ou des recherches. Notez que, dans ce dernier cas,cette représentation peut être beaucoup plus efficace si le galet estresté par exemple dans le panier ou la niche du chien pendant uncertain temps, pour s’imprégner de la vibration de celui-ci.



CHAPITRE IV

RADIESTHÉSIE PHYSIQUE ET RADIESTHÉSIEMENTALE

La radiesthésie et l’instinct humain

Comme nous venons de le voir, la radiesthésie est l’art de capter lesondes et les radiations venant du sol ou de la matière, de les discri-miner et de les mesurer. Mais pourquoi vouloir différencier les deuxécoles, l’une portant sur la radiesthésie physiciste, l’autre sur laradiesthésie mentale, comme certains le pensent encore ?

Certes, un enseignement uniforme et rationnel ne nous pousse àsoutenir l’une ou l’autre des deux thèses en présence, mais gardons-nous aussi des fausses définitions propres à dénaturer leur véritablecaractère car, quelle que soit la nature de l’objet de la recherche, laradiesthésie est avant tout une opération de perception mentale, qu’ils’agisse d’eau, de minerais, de métaux, de personnes et ce, indépen-damment de la distance.

La radiesthésie est basée sur une manifestation de l’instinct humain,de l’inconscient de l’opérateur, qui peut prendre la forme d’un intui-tion agissant à la fois sur les réflexes neuromusculaires et les réflexes

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de vision intérieure, une réaction qui peut quelquefois aussi posséderun puissant pouvoir suggestif sur l’inconscient. Même les gens quiutilisent le pendule ou la baguette font de la radiesthésie mentale,qu’ils le veuillent ou non.

La radiesthésie, malgré l’inconnu foncier du phénomène, et les épi-phénomènes de nature psychologique qui s’y greffent, n’est jamais, àproprement parler, une opération physique. Comme je l’ai dit, l’actemental est produit par l’intention « suggestionnée » de l’opérateursans l’intermédiaire d’aucun artifice, en ne faisant appel qu’aux pro-priétés de l’esprit, un travail mental qui remonte aux plus anciennescivilisations.

Les quatre types de radiesthésie

1/ La radiesthésie corporelle.

2/ La radiesthésie visuelle.

3/ La radiesthésie mentale.

4/ La téléradiesthésie.

La radiesthésie corporelle

Plus de 80 % de personnes normales possèdent les qualités natu-relles pour pratiquer la radiesthésie physique. Mais environ 10 %,les plus douées, peuvent obtenir de bons résultats dans un état dedéconcentration mentale. Tous les chercheurs d’eau utilisent cetteméthode.

La radiesthésie visuelle

Il n’est possible de pratiquer la radiesthésie visuelle que si l’on estcapable de pratiquer la radiesthésie physique.

La radiesthésie visuelle consiste à examiner un objet avec les yeuxafin d’y déceler une zone de radiation (rangées d’arbres, groupes demaisons, etc.). Mais on peut également la pratiquer en suivant unobjet en mouvement et en « écoutant » ce qui se passe lorsque l’objetentre dans la zone de radiation. La méthode consiste à suivre du

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regard un autre chercheur qui se promène sur un terrain, avec unsignal convenu, lorsqu’on ressent l’entrée du promeneur dans unezone irradiée. Le promeneur se comporte alors comme une antenneplus ou moins sensible et sans être nécessairement un excellentradiesthésiste.

La radiesthésie mentale

Le cerveau doit entrer dans une concentration profonde, ce quidemande beaucoup d’énergie. À l’encontre de la radiesthésie phy-sique, il ne faut pas être décontracté.

Ce procédé est utilisé pour déterminer la profondeur, le débit dessources d’eau, la recherche des objets perdus, et aussi pour la radies-thésie médicale et celle concernant des choses plus abstraites. Chezles animaux qui s’en servent, le meilleur exemple est celui du pigeonvoyageur. Celui-ci, en prenant de la hauteur et en volant en cercles,émet des impulsions radars vers son pigeonnier, et c’est en captant cessignaux qu’il s’oriente dans la direction à prendre. Mais cela ne l’em-pêche pas d’émettre d’autres impulsions lorsqu’il se sent dériver àcause du vent ou des rafales de pluie. Il corrige ainsi, immédiatement,sa direction de vol.

La téléradiesthésie

Le phénomène reste inexpliqué, quoique faisant partie de la radies-thésie mentale. On ne comprend pas que certains radiesthésistes, sur unplan à l’échelle 1/100, soient capables de découvrir mentalement dessources d’eau, des rayons telluriques, des objets perdus, comme s’ilsétaient réellement sur place et peu importe la distance et le temps. Onignore pour quelle raison un bon radiesthésiste n’est pas forcément unbon téléradiesthésiste, à moins qu’il s’agisse d’un talent supplémentaire.

Quoi qu’il en soit, essayons de cerner le problème, Disons toutd’abord qu’un sourcier peut opérer de deux façons : en se rendant surle terrain à prospecter, ou a partir d’un point fixe où il projettera sapensée dans l’espace, le bras gauche mis en antenne. C’est la prospec-tion à distance, ou ce que l’on appelle plus communément la téléra-diesthésie, méthode basée sur la recherche sur plan.

Radiesthésie physique et radiesthésie mentale

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Cette méthode remonte à 1835 avec l’abbé Paramelle qui avaitcommencé les recherches sur cartes, et que l’abbé Mermet, les frèresPadey et d’autres célèbres radiesthésistes, comme Treyve et le com-mandant de Bastide, entre autres, ont mis en valeur et vulgarisé depuis1910. Il ne s’agit pas de divination, mais de la physique des ondes.

La loi des semblables

À ce propos, il y a lieu de retenir les accords de forme qui existentdans la loi des semblables, à commencer par le point qui s’accordeavec le point, le trait avec le trait identique, les carrés et les cerclesentre eux, comme les cubes avec les cubes, les autres plans avec desplans semblables et tous les objets semblables entre eux.

Des expériences faciles vous aideront à mieux comprendre. Parexemple : coupez en même temps, et de la même façon, deux mor-ceaux de papier, vous verrez immédiatement qu’ils s’accordent entreeux, et si l’on trace des dessins semblables sur chacun d’eux, oninscrit deux figures identiques qui continuent de radier l’une versl’autre. Par contre, ces figures ne radieront plus si elles sont dissem-blables, car l’accord de forme n’existera plus.

C’est ce qui explique, pour les cartes, l’accord existant entre desformes à l’échelle et à l’original : tout ce qui se trouve sur ce dernierradiant dans l’espace avec la même figure que l’original. Tout simple-ment parce qu’il s’adapte au plan qui lui est semblable. C’est ce quiexplique encore que, si on place un objet quelconque sur un plan, onretrouve son image sur le lieu ou l’original. C’est une loi universellebasée sur les ondes : loi des semblables, des formes, des images etdes accords d’espèces, d’ondes et de formes.

Prenons encore un exemple

Si vous voulez rechercher de l’eau sur un plan, vous devez procédercomme suit : d’abord se procurer le plan du lotissement, de la rue, duterrain, le plus précis possible. Se munir d’une antenne de Lecher(voir le chapitre consacré à l’antenne de Lecher) et d’un pendule touten ayant conscience que le risque d’erreur peut être décuplé par

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rapport à la mesure sur le terrain. La prudence s’impose car cetteanalyse peut entraîner de mauvaises surprises d’ordre physique. Il fautdonc travailler sur une table de bois placée en zone neutre et orienterle plan dans le nord géographique.

À partir de là, vous devez, dans l’ordre, rechercher : les courantsd’eau, les failles, et le maillage Hartmann, de façon à représenter surle plan le ou les emplacements. Vous effectuez ensuite un contrôleavec votre pendule. Vous placez votre main (gauche ou droite) sur leplan, l’autre tenant le pendule. Normalement, vous devez « sentir »l’endroit représenté sur le plan. Déplacez lentement votre doigt le longdes limites du terrain, vous suivez toute sa périphérie et vous noteztous les endroits où le pendule vous donne un signal. Vous faites unedétection en cherchant la direction du courant, cela fait, vous devezautomatiquement retomber sur l’un des points trouvés en vis-à-vis ;mais comme le dit l’abbé Mermet :

Il est bien entendu que, pour réussir une étude sur plan, il est indis-pensable que le plan soit bien fait. Un torchon de papier n’est pas unplan. On peut résumer les conditions en deux lignes : il faut que lesplans soient tellement détaillés, côtes d’altitude, aux forêts, haies,maisons, etc., que le téléprospecteur se croie sur le terrain. Des lignesnoires ou blanches, dont on ne peut pas dire si elles signifient routes,sentiers, ruisseaux, canalisations ou tunnels, ne sont pas des indica-tions suffisantes. Au surplus, chose tout aussi essentielle, il fautchoisir pour travailler un jour et une heure favorables.

La radiesthésie dans l’agriculture

Pour exploiter un terrain dans de bonnes conditions, et en plus destechniques agricoles courantes, il est conseillé de faire appel à unradiesthésiste qui peut définir le type de plantation qui correspond lemieux à ce genre de terrain, de même que la composition des engraisles plus appropriés.

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Radiesthésie physique et radiesthésie mentale


La radiesthésie dans le domaine médical

Il faut d’abord que le radiesthésiste possède de solides connais-sances en anatomie, afin de repérer le plus petit dysfonctionnementdans les os et les organes, et découvrir les causes de la maladie et l’or-gane qui en est responsable. On peut ainsi choisir la thérapie la mieuxadaptée et la plus efficace, et pour les médicaments, mieux connaîtrela fréquence et les heures de prises les plus favorables.

Pour l’alimentation, elle peut donner de précieux renseignementssur les excès et les carences en vitamines ou en minéraux dans l’utili-sation, par exemple, d’oligoéléments et la présence de produits toxi-ques.

Des tables d’anatomie facilitent cette étude pour évaluer la vitalitéphysique d’un patient. Sur ces tables, une personne en bonne santéobtiendra entre 120 et 140 degrés. Une maladie ou une intense fatiguepeut donner entre 40 et 60 et une personnes très âgée et fatiguée entre10 et 40.



CHAPITRE V

MÉTHODES DE RECHERCHES SUR PLAN

Recherches sur plan d’objets perdus

Voici trois méthodes que je conseille, parmi les plus simples :

1. Vous prenez un témoin dans la main gauche (ou dans la droite,peu importe). Vous placez la main d’un côté du plan, en haut, etl’autre, qui tient le pendule, sur le côté opposé. Vous mettez le penduleen mouvement de haut en bas et, lentement, vous descendez vos deuxmains placées à la même hauteur et à la même distance. C’est tout.Lorsque votre pendule arrivera à la hauteur de l’objet recherché, ils’orientera automatiquement dans sa direction. L’opération est àrecommencer à partir de chacun des côtés. Ainsi les droites tracées serecouperont sur l’endroit où se trouve l’objet.

2. Avec le témoin dans la main gauche et le pendule dans la maindroite (celle-ci placée en dehors du plan), vous mettez votre penduleen mouvements longitudinaux et vous prospectez votre plan avec uncrayon ou un stylet. À ce moment, vous verrez votre pendule se mettreen rotation avec une réelle sensation de pesanteur lorsque la

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pointe-antenne se fixera sur l’endroit occupé par l’objet recherché.Mais, comme l’a indiqué l’abbé Mermet, les recherches peuvent aussise prolonger hors du plan, du fait que les lignes, les formes, lesimages, les radiations, de même que le champ électromagnétique descorps, débordent et se prolongent hors du plan. De longs et minutieuxtravaux ont démontré qu’en prolongeant un plan de plusieurs mètres,suivant l’échelle et sur papier blanc vierge, on peut déceler de mêmeles corps et les courants sous-terrains.

3. Plus simple encore. Témoin dans la main gauche et pendule dansla main droite, vous déplacez le pendule de haut en bas et de droite àgauche sur toute la surface du plan (environ 2 à 3 cm). Immédiatement,le pendule se mettra en rotation au-dessus du lieu occupé par l’objet.

Au moyen de l’index

Le témoin dans la main gauche, penchez-vous sur un plan orienté. Vousdéplacez votre doigt à environ 1 cm 1/2 d’est en ouest dans le sens desparallèles et ensuite dans celui des méridiens du sud au nord. Votre indexréagira automatiquement dès qu’il se trouvera au-dessus de l’endroit oùse trouve l’élément recherché, et le pendule se mettra en rotation avec destours dont le nombre correspondra aux séries du corps en question.

La recherche de personnes disparues

Tout le monde sait que, lorsqu’une personne disparaît, un enfantsurtout, les radiesthésistes proposent souvent leurs services à lapolice. On connaît d’ailleurs d’excellents résultats obtenus par cetteméthode au cours des dernières années. Il y a déjà quelques bonnesdécennies, l’abbé Mermet, un des pionniers de la radiesthésie dontnous avons parlé plus haut, avait fait d’extraordinaires recherches quiont été vérifiées et confirmées.

Voici ce que nous dit l’abbé Mermet dans son ouvrage Commentj’opère pour découvrir de près ou à distance : sources, métaux,corps cachés et maladies :

Quand on vous demande une prospection, commencez par une étudede la carte ou du plan représentant les lieux ; si vous ne trouvez rien,ne faites pas le voyage, si vous sentez quelque chose, allez si possible,

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vérifier sur le terrain. Au retour, contrôlez encore sur plan, cartes ouphotographies que vous aurez prises ou qui auront été prises.

Posséder un témoin ayant appartenu à la personnerecherchée : un élément incontournable.

Pour déterminer la piste suivie, le témoin en main, et si on connaîtle point de départ, le pendule s’orientera dans la direction prise par lapersonne jusqu’au lieu où elle a séjourné et au-dessus duquel il com-mencera sa rotation avec un nombre de tours égal à sa bifurcation, sonou ses lieux de stationnement prolongé. J’ai eu l’occasion, personnel-lement, et à plusieurs reprises, de vérifier la valeur de ce procédé : lespersonnes recherchées ont toujours été retrouvées !

Existe-t-il une transmission de pensée de l’opérateur àl’objet ou au lieu ?

Deux cas sont à considérer.

– Dans le premier, l’opérateur n’a aucune connaissance du lieu, del’objet ou du corps recherché, mais il possède un témoin qui permet uncourant d’échange entre lui, l’objet et le lieu. Si l’opérateur évolue autourdu témoin avec ses instruments, il détecte le courant qui s’établit entrel’objet cherché et le témoin ainsi que la direction à suivre, une directionqu’il ne connaissait pas. Nous avons là une recherche purement phy-sique .

– Dans le second cas l’opérateur connaît le lieu, l’objet ou le corpsrecherché. La volonté sélectionnée s’accorde alors avec l’image dulieu connu de l’objet et du corps qui existe à la fois dans l’espace etdans la mémoire de l’opérateur. Le courant qui existait déjà, soit anni-hilé, soit étouffé par d’autres ondes ou courants, est alors sélectionné,renforcé de façon à le rendre évident. Automatiquement, grâce à sonpendule ou à sa baguette, l’opérateur décèlera la direction du corpsrecherché : le pendule s’agitera dans la direction de l’objet tandis quela baguette se relèvera brusquement. Cette fois encore cette détectionne sera pas mentale mais physique.

Ce qui vient d’être dit est très schématique dans l’enseignement dela radiesthésie, car il nous faut tenir compte des interprétations

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Méthodes de recherches sur plan


TABLE DES MATIÈRES

CHAPITRE I . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3Qu’est-ce que la radiesthésie ? Doit-on y croire ?

CHAPITRE II . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7La radiesthésie, moyen de connaissance pour tous

CHAPITRE III . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13Débuter en radiesthésie

CHAPITRE IV . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17Radiesthésie physique et radiesthésie mentale

CHAPITRE V . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23Méthodes de recherches sur plan

CHAPITRE VI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29Réaction du vivant aux ondes telluriques

CHAPITRE VII . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 39Végétaux, autres aliments et radiations

CHAPITRE VIII . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 45La baguette divinatoire

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CHAPITRE IX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51Il s’agit d’un phénomène physiologique

CHAPITRE X . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57Le mystère demeure

CHAPITRE XI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61Le tellurisme

CHAPITRE XII . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 69Comment savoir si une maison (ou une propriété) est sous l’influence de rayons telluriques

CHAPITRE XIII . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 77Et si nous parlions des plantes ?

CHAPITRE XIV . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 81Pour votre santé : le silicium organique

CHAPITRE XV . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 85L’aura

CHAPITRE XVI . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93Quand le pendule entre en jeu

CHAPITRE XVII . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99Autour du pendule

CHAPITRE XVIII . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109Sourcellerie et haute magie

CHAPITRE XIX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113Quelques exercices faciles à réaliser

CHAPITRE XX . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119Voulez-vous tenter d’autres expériences ?

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