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L’HEBDO : Le journal

agenais qui parle aux AgenaisL’HEBDO

Vendredi 25 janvier 2013

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AvIS DE TEMpêTESur ArMANDIE

ce soir à 19h, le sua lg accueille dans son temple d’armandie montpellier, un des cadors du top 14. antépénultième du championnat, le sua lg n’a plus le choix : pour éviter de se retrouver dans l’oeil du cyclone, les Bleus et Blancs doivent absolument l’emporter.

AGEN Vendredi 25 janvier 2013 //2

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La solution centriste

Conseil Municipal //Les élus se sont rassemblés lundi soir à l’Hôtel de ville. Parmi les points abordés, la dénomination du nouveau cinéma d’art et d’essai a fait débat.

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Jean Dionis du Séjour a trouvé « une solution centriste » pour dépar-tager les deux noms

remontés d’une consultation de la population sur internet, concernant la dénomination du nouveau cinéma d’art et

d’essai. Entre «Studio Ga-ronne» et «Le Ferry», le maire a choisi de couper la poire en deux en proposant le patro-nyme « Studio Ferry ». Un compromis qui n’est pas du goût de tout le monde, à commencer par la conseillère municipale Catherine Pitous, que la nouvelle a « scotchée » et mise en colère. Elle, elle aurait donné à ce bâtiment le nom de Michèle Pujos, une des animatrices phares de l’association des Montreurs d’images, décédée en 2011. Selon la conseillère, les Mon-treurs d’images n’en auraient pas fait la demande eux- mêmes « par pudeur ». De-vant cette interprétation des intentions de l’association,

quelques élus font la moue, sceptiques. Enfin, Catherine Pitous n’en démord pas, Stu-dio Ferry, « ça ne veut rien dire ». Une autre élue argote dans son sens, avançant que le nom fleure bon les années cinquante. Le conseiller An-dré Mazière, lui, préfère sou-ligner « l’importance de faire un lien avec les Montreurs d’images » dans le nom de l’établissement.

« La géographie reste, les gens passent »

Réponse de Jean Dionis du Séjour à cette levée de bou-

cliers : « Je suis plutôt pour des noms liés à la géographie d’un lieu que des noms de gens qui ont marqué la vie de la cité. La géographie reste, les gens passent. Qui se sou-vient aujourd’hui qui étaient Alfred Armandie ou Edouard Lacour ? Personne. A l’usage du temps, notre impact sur cette ville est modeste, il faut faire attention à l’empreinte que nous y laissons. » Et de rappeler l’impossibilité de nommer le cinéma « Les montreurs d’images » pour des raisons juridiques : l’as-sociation agissant en délé-gation de service publique, « on aurait pu nous accuser de favoritisme » lors de l’attri-bution du marché.

Certes, Jean Dionis du Sé-jour le reconnait : «Peut-être qu’en faisant la synthèse de Studio Garonne et de Le Ferry, nous n’avons pas été touché par le Saint-Esprit. » Et d’enfoncer le clou en ironi-sant : «Dans un élan d’ingé-niosité profonde, j’avais moi-même proposé de l’appeler le cinéma du Pin ! » Enfin, pour le maire, pas de doute, quel que soit le nom officiel du nouveau cinéma, « je crois que les gens conti-nueront de dire qu’ils vont aux Montreurs d’images. » Le nom Studio Ferry a été adopté, malgré quatre abs-tentions et cinq voix contre.

Anne-Lise Durif

LE FAIT DE LA SEMAINE // 3Vendredi 25 janvier 2013

Quartier Montanou // La municipalité poursuit son processus de modernisation des équipements sportifs. A partir du printemps, un city stade de 1200 m2 va sortir de terre, au niveau de l’ancien terrain de basket du stade Queyreur.

Un city stade pour une pratique multiple é

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Un city stade avec un terrain multi-sport devrait bien-tôt voir le jour sur

l’emplacement de l’ancien terrain de basket, au stade Queyreur. Un terrain de jeux de 28 mètres de large par 45 mètres de long, en revê-tement synthétique, aspect « sablé », « pour un entre-tien plus facile », explique Thierry Hermerel, adjoint aux sports. Autre raison à ce choix du sol synthé-tique : « Il se dégrade plus difficilement qu’un autre type de revêtement ».Ce city stade aura une autre particularité : il sera modu-lable. Au sol, différents tra-cés de couleur matérialise-ront les différents types de

terrain pour jouer au tennis, au foot, au basket-ball, au volley-ball, au badminton, au handball et même au hockey.

Huit sportspraticablesLe terrain sera fermé par des panneaux comprenant les équipements destinés à ce type de sports : paniers de baskets, cages de foot/ hockey/volley, etc. Pour jouer au tennis ou au vol-ley, il ne restera plus qu’à déployer un filet au milieu du terrain. Des piquets sont prévus de chaque côté du city stade pour les accro-cher. « Cela pourra aussi faire office de séparation

si les clubs ou les écoles veulent diviser le terrain en deux pour jouer. », poursuit l’élu. «Il sera même acces-sible aux personnes en fau-teuil roulant au niveau des entrées et de la hauteur des paniers de jeu réglable pour permettre, par exemple, la pratique du handi-basket. »

Un stade tout confortCôté architecture, le city-stade est aussi moderne que son nom. Les bro-chures vantant ce type de structures promettent des « matériaux chaleureux et nobles : aluminium, sol synthétique souple et non blessant », « angles coupés

pour éviter les collisions », « main courante large et so-lide pour attendre son tour de jouer ».

Pour qui?Les appels d’offres viennent juste d’être lancés. Le chan-tier devrait démarrer cou-rant mars/avril, pour une livraison en juin 2013.En théorie, le stade devrait être « en accès libre ». C’est du moins la précision apportée par le rapport du conseil municipal du 21 jan-vier 2013.En premier lieu, le city-stade est conçu pour « répondre aux attentes du Agen foot-ball club , qui compte ac-tuellement 230 licenciés. Les entraînements du club

(essentiellement le soir) se-ront donc prioritaires. Le ci-ty-stade servira également aux scolaires, en journée. Le centre social du Monta-nou pourra aussi profiter de la salle multisports dans le cadre de ses animations.Le projet est aussi à desti-nation des gens du quartier. Cependant, « libre accès »

ne signifie pas libre ser-vice. Pour organiser un pe-tit match hors club et hors centre social, il faudra for-muler une demande d’ac-cès aux services des sports de la mairie.

Anne-Lise Durif

170 000C’est le montant du projet, dont 125 KE au seul titre de l’acquisition et de la pose de l’équipement. La Ville compte solliciter des aides du Conseil général, de la Région, de la Communauté d’agglomération agenaise, du Centre natio-nal pour le développement du sport (CNDS) et de la Caisse d’allocations familiales.

Voilà à quoi devrait ressembler le futur city stade du quartier Montanou. Une estimation visuelle, puisque le marché du city stade n’a pas encore été attribué : les appels d’offres viennent seulement d’être lancées.

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Florent Bénéteau, directeur du Florida, amorce la saison 2013 avec un peu plus de pression que

d’habitude. Car cette année, le Florida se doit de marquer les esprits puisque la structure fête ses vingt ans d’existence : « Il n’était pas question d’aller vers la nostalgie pour cet anni-versaire. L’idée était de mettre en avant les fondamentaux qui ont fondé le Florida ». Et c’est ainsi que l’association, plutôt que de concocter une soirée

concerts classique, a proposé aux artistes qu’elle soutient de-puis de nombreuses années, de partir dans la création et de mêler sur un même projet des groupes qui ne s’étaient jamais croisés : «EzEkiel, Le Chapelier fou, plutôt électros, vont par-tager quatre jours de création avec Hidden Orchestra ou The Processions, qui, eux font du hip-hop. De plus, nous comp-tons mener des actions cultu-relles avec les groupes invités auprès des jeunes de l’agglo-mération ou des quartiers. »

Le Florida compte bien aussi continuer à soutenir la scène locale, en associant sur la même date, des formations agenaises avec des groupes nationaux pour créer de bout en bout un concert unique : « Par exemple, les Los Cu-carayos vont travailler avec Chicha Libre » ajoute Florent Bénéteau. « Nous avons aussi voulu faire revenir des groupes nés dans nos studios de ré-pétition et qui sont toujours vivants sur une seule et même soirée, intitulée « Génération 2000 ».

Des partenariats resserrésFace à une ambiance morose dans le milieu culturel, le Flo-rida resserre les liens non seulement avec les artistes mais également avec d’autres associations comme Staccato à Miramont-de-Guyenne ou Pollen à Monflanquin, lors de programmations communes, de cafés slam et désormais de cafés archis autour de l’art contemporain. Mais surtout, la structure déve-loppe un partenariat amorcé en 2012 avec le théâtre Ducour-neau et la ville d’Agen : « Cette relation a été inaugurée avec la venue d’EzEkiel au théâtre, l’an dernier, qui a fait salle comble » explique Nadège Lauzanna, adjointe à la culture. « Aujourd’hui, nous voulons

aller plus loin que les sub-ventions d’aide. Nous avons l’ambition de créer un réel pro-jet culturel sur l’agglomération et d’y inscrire pleinement le Florida. Face à la baisse de moyens accordés par l’état, nous devons nous mutualiser. Après tout, les publics d’un lieu culturel à l’autre ne sont pas si différents ». Le partenariat a donc été re-nouvelé sur la date de Domi-nique A en février prochain et est appelé à se développer : « C’est important pour l’un et l’autre de faire tomber les cloisons qui existaient encore entre ces deux lieux culturels », ajoute Bruno Rapin directeur du théâtre Ducourneau. « Cha-cun d’entre nous s’enrichit en travaillant avec l’autre. Après tout, nous avons les mêmes objectifs : faire venir le public à nos spectacles. Et nous aurons remporté le pari quand ce sera devenu une évidence pour tous de passer du théâtre au Florida sans se poser d’autre question que celle de choisir quel spectacle aller voir ».Après vingt ans d’existence, le Florida, né de l’initiative de musiciens en mal de scènes pour jouer, est aujourd’hui devenu un lieu de création et de diffusion artistique reconnu pleinement par les instances de l’Etat.

Annabel Perrin

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Vingt ans dans les amplis

Boulevard Carnot //L’association Adem Florida fête cette année ses vingt ans d’existence et a concocté une programmation en adéquation avec cet anniversaire qui réserve de belles surprises.

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L’équipe du Florida entame la saison 2013 avec la ferme intention de fêter comme il se doit les vingt ans de la structure.

Moments forts // + d’infos sur leflorida.org

Dominique A est reconnu comme le fondateur de ce que l’on nomme au-jourd’hui la Nouvelle scène française. Le Florida l’avait d’ailleurs programmé en 1993, à ses débuts, avec Miossec et Katherine sur le même plateau.

Pour marquer l’événement, cinq groupes, portés par le Florida viennent lui offrir une création née de quatre jours en résidence dans les murs. Il s’agit d’ EzEkiel, Le Chapelier fou, Hidden Or-chestra, The Egyptian Pro-ject et The Procussions.

Elle est le nouveau phé-nomène de la scène fran-çaise grâce à une per-sonnalité hors normes. GiédRé aime les mots acides et ose chanter à peu près sur tout. Son tube « Pisser debout » en est la preuve directe.

Le fait est assez rare pour être souligné. Keny Arkana est une femme et fait du rap. Elle tient sa rage de son enfance lorsqu’elle était placée de foyer en foyer. Aujourd’hui elle milite avec les altermondialistes au travers de sa voix.

Ils y avaient mis le feu il y a deux ans et apprécié le lieu. Du coup, Gush a ac-cepté de revenir au Florida avec son nouvel album, qui sera alors tout juste sorti dans les bacs. Ils réservent ainsi le premier concert de leur tournée à Agen.

En l’an 2000, ils étaient agenais et sur scène. Au-jourd’hui, ils existent tou-jours et sont partis dans d’autres contrées. Mongol Rodéo, Peggy Lux, Over-dose TV Neuronauts et Shapeless reviennent faire un tour à la source.

Les Agenais l’ignorent souvent mais le Florida révolutionna en son temps le milieu rock français en créant ce que l’on al-lait ensuite appeler les Smac ou Scène de Musique Actuelle. Une Smac se définit toujours par quelques points essentiels à sa création : elle est dirigée par une association loi 1901, elle contient à la fois, une scène pour diffuser les artistes, des espaces de répétition et de création et se doit d’ac-compagner les musiciens sur des projets artistiques. Ces fondamentaux avaient été élaborés à la création de l’Adem Florida et sous l’impulsion de Marie-Thérèse François Pon-

cet. C’était une idée originale qui a ensuite fait des petits partout en France et dans des grandes agglomérations comme Bordeaux avec la Rock School Barbey, par exemple. Aujourd’hui, il existe 150 lieux à l’image du Florida qui en est donc la génitrice. Le terme de Smac est devenu au fil des années une institution reconnue par l’Etat et les collectivités territoriales et s’est transformé en label en 1996. Les Smac sont reconnues aujourd’hui comme un réseau essentiel à l’existence des musiques amplifiées en France : rock, jazz, rap, reggae, électro...

La première Smac de France

Dominique A le 14 février

Keny Arkanale 29 mars

Les vingt ansle 11 avril

Les vingt ans bis - Gush le 11 avril

GiédRéle 26 avril

Génération 2000le 27 avril

Journal Quidam l’Hebdo GratuitÉdité par la SARL Lot-et-Garonne Presse, au capital souscrit

de 20 900 €.Siège social :

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Journaliste :Durif Anne-Lise

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Allouard Morgane

Mercredi matin, la place du Pin est engorgée de véhicules, alors que le

marché s’est installé face au futur « Studio Ferry ». Véhi-cules garés en double file par manque de place, les clients tournent et retournent autour du quartier à la recherche du précieux sésame, une place pour stationner. En même temps que les travaux, se localisant à l’endroit même où se trouvait il y a encore quelques mois, le parking, une forte contestation est apparue parmi les habitués des étals et ceux qui les tiennent. La construction du nouveau multiplexe d’Agen a amputé une bonne moitié des places disponibles pour les producteurs, commer-çants et clients du marché. Les travaux engendrent de nombreuses critiques que la municipalité n’avait pas for-cément prévues.

15% de baissede clientèle« C’est un véritable enfer pour se garer! », lâche Denis, un ha-bitué du marché. « À l’époque, on avait aucun souci à trouver une place, maintenant on est obligé de tourner une bonne dizaine de minutes pour en trouver une, si on en trouve ! ». D’autres même abandonnent leur quête et repartent chez eux bredouilles ou s’en vont vers d’autres marchés, plus à même de proposer des places pour se garer. « Parfois, on fait

le tour, on ne trouve pas de places, alors on repart ! », se désole Ottoman. Ce manque à gagner au niveau de la clien-tèle est constaté par un cer-tains nombres de producteurs, notamment David, le boulan-ger-pâtissier du marché, « Je perd de la clientèle, environ 15% en moyenne, et surtout des personnes âgées ! ». Pour certains, la situation de-vient même dangereuse, en raison de certains véhicules garés de manière hasardeuse par leur conducteur, au risque de recevoir une contravention, « Même s’il y a une certaine tolérance, il y a beaucoup de verbalisations parce que les gens se garent n’importe où. Et encore, le dimanche c’est pire », constate Mandile, une productrice d’Aubiac.

Le parking dela gare trop loin ?D’autres parkings, que celui de la place du Pin existent à proximité. C’est le cas de celui de la gare, gratuit le dimanche et qui se trouve à une dizaine de minutes à pied du marché. Les commerçants sont encouragés par la mairie à aller s’y garer pour laisser la place aux clients, qui eux, ne restent pas toute la matinée et libèrent les places assez rapi-dement.Mais certains producteurs « ne jouent pas le jeu », af-firme le placier du marché, Alain Charles. « Il peuvent venir sur la marché, déballer et repartir se garer sur le par-king de la gare dans la fou-

lée ! Mais ils préfèrent laisser leurs camions à proximité », poursuit également l’ancien président de l’association des producteurs et des fermiers de la ville d’Agen et maraîcher sur le marché.En revanche, le mercredi, le parking reste payant et il est donc relativement difficile de convaincre les Agenais de payer pour se garer alors que des places gratuites se situent à proximité.Le maire d’Agen, Jean Dio-nis du Séjour, croisé dans les allées du marché, reste serein face aux protesta-tions : « Il suffit que les gens en prennent l’habitude ! D’ici quelques mois, tout cela sera rentré dans l’ordre, avec, en prime, un nouveau quartier flambant neuf, dédié au ciné-ma », se réjouit-il. Mais certains se demandent toujours pourquoi ce site en plein coeur de ville a-t-il été privilégié, alors que l’an-cienne concession Peugeot leur semblait convenir parfai-tement à l’établissement du futur Multiplexe. « Je ne com-prend toujours pas pourquoi ils se sont entêtés à vouloir construire le cinéma ici ! La municipalité affirmait que les gens ne voudraient pas se déplacer en dehors du centre pour aller voir un film, mais les gens ne voulaient pas aussi d’un centre piéton et au final ils s’en sont accommodés ! », lance Raymond, client régu-lier du marché.

Paul Carcenac

Le Multiplexe sème la zizanie au marché

Place du Pin // Les travaux du cinéma multiplexe dans le quartier de la place du Pin ont commencé en septembre dernier et ce pour quatorze mois. Les contestations aussi...

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Les jours de marché, le quartier du Pin, est engorgé de véhicules mal stationnés, depuis le début des travaux du Multiplexe en septembre dernier, rendant la situation compliquée pour les riverains.

On a connu Cédric Moulié au violon avec le « Manège gri-maçant » puis auteur-com-positeur en duo dans « Duo Grim ». Désormais, il mène sa barque seul et exprime

ainsi totalement ses inspirations artistiques. « Eléazi » n’est donc pas un album comme les autres mais le témoignage de l’imagination sans bornes du jeune artiste : « Eléazi est le nom que j’ai donné à un arbre que j’ai rencon-tré au détour d’un chemin et qui m’a boule-versé.» Cédric Moulié a composé et écrit les quatorze titres comme les récits d’un conte : « J’ai d’ailleurs invité le comédien Rémi Boi-ron à venir poser sa voix sur certains titres qui se rapprochent du slam ou du récit mis en musique ». L’artiste devient lui-même la voix du Cèdre, au fil des chansons, pour éla-borer une forme de philosophie où la nature tient une place primordiale. Cédric Moulié construit ainsi un album en totale opposition avec l’industrie musicale actuelle, un album qui se doit d’être écouté de bout en bout sans zapper d’un morceau à l’autre, avec de grandes plages de huit minutes : « J’ai vu cet

objet comme un travail de recherche person-nel, à l’instar d’un peintre qui peint un tableau de douze mètres sans se demander où il va pouvoir l’accrocher ».

En vente à partir du 28 janvier sur lavoieducedre.fr/officiel

Culture //Cédric Moulié sort son nouvel album « Eléazi »

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Population :

1319 habitantssoit 3,7 %

des Agenais

Superficie :

21,7 ha(1,9% de la commune)

Bordé de trois forts axes de circulation, le quartier nu-méro 10 présente plusieurs particularités : côté sud, une forte circulation automobile avec la présence du collège Paul-Dangla et du Centre départemental de documenta-tion pédagogique. Côté nord, se concentrent les habi-tations avec des commerces de proximité. Et, aux deux extrémités du quartier, une activité commerciale qui rend le secteur attractif.

Les chiffresUn quartier commerçant

Mot d’ordre : sécurité //

Les autres projets //

Agen // Chaque semaine, l’Hebdo consacre désormais deux pages à l’un des vingt-trois quartiers d’Agen. Projets en cours de réalisation ou à l’ébauche, figures décisionnaires ou incontournables... La ville préfecture de Lot-et-Garonne est passée à la loupe, rue après rue.

Quartier numéro dix « Les amis de Dangla »

«Ne jamais prendre de d é c i s i o n à la hâte, t o u j o u r s

consulter les autres. » Tel est le credo de Michèle Tixier, la présidente du conseil de quartier numéro 10. « Je dis ça parce certaines personnes m’ont parfois accusé de ne pas prendre mes responsa-bilités, sous prétexte que je refusais de me positionner sans avoir consulté au préa-lable les autres membres du conseil. »

La Liberté en point de mireDes responsabilités, le co-mité en a pourtant pris de nombreuses, depuis sa créa-tion en 2009. La première fut de consulter les riverains à travers un questionnaire distribué dans les boîtes aux lettres du quartier. « Sur les 800 distribués, nous

avons reçu environ 40% de réponses », affirme Jean-Michel Blaizeau, le vice-pré-sident.La deuxième grosse res-ponsabilité du conseil fut de prendre à bras le corps une question de sécurité qui de-venait problématique dans le quartier. « Le boulevard de la Liberté était dangereux depuis des années, aussi bien pour les automobilistes que pour les piétons. Il fal-lait le sécuriser » Le comité a fait poser un radar péda-gogique et demandé une synchronisation des feux, afin que les automobilistes venant des rues perpendicu-laires puissent passer sans encombre, même aux heures de pointe. Depuis cet aménagement, « les accidents ont dimi-nué », assurent les membres du conseil. Dès lors, la sécurisation du quartier est un peu devenu

leur leitmotiv et le conseil a récidivé dans d’autres rues (lire encadré). Leur prochain projet concerne d’ailleurs encore la sécurité. Celle des élèves du collège Langla, cette fois-ci.

Projet Langla« On aimerait créer une deu-xième sortie pour les collé-giens, côté Cassin, vers le gymnase, où ils attendraient le bus. ça éviterait les longues files d’attente qu’ils forment sur les trottoirs et à côté, sur un boulevard aussi fréquenté aux heures de pointe. » Un projet de longue haleine qui mobiliserait à la fois la ville, le collège, le conseil général et le réseau de bus. « On sait bien que ça ne va pas se faire tout de suite, mais on le porte quand même, ça nous tient à coeur ! » Les membres du conseil le savent : patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.

Densité moyenne de la population:

61 hab/ha(moyenne communale : 30 hab./ha)

Quelques membres du conseil de quartier, devant une de leurs premières réalisations Christophe Simonet (vice-président), Marcel Cazasses (trésorier), Jean-Michel Blaizeau (vice-président), Christian Le Pennec

(trésorier adjoint), Claudine Grimaud (secrétaire adjointe), Michèle Tixier (présidente) et Christine Faget (secrétaire).

// Textes et photos Anne-Lise Durif

Les membres du conseil de quartier ne manquent pas d’idées pour l’avenir. « Nous allons participer à la rénova-tion du jardin de Jayan avec un autre

conseil de quartier, mais nous ne savons rien encore du projet », poursuit Michèle Tixier. Autre gros dossier à venir : la réfec-tion de la rue Naissant. Le projet consiste à enfouir les réseaux, refaire la chaussée et les trottoirs, ainsi que l’éclairage, et chan-ger de côté les places de stationnement (actuellement côté gauche de la rue, dans le

sens de circulation). Les travaux devraient débuter en fin d’année.Autre projet, à l’état de réflexion pour le moment : demander un passage plus régu-lier des éboueurs pour les commerçants du boulevard de la Liberté, qui ne bénéficient pas du même service que les commerçants du centre-ville. « Il faudrait aussi des bacs pour les riverains ». Un sujet important pour un quartier appelé à croître démographi-quement ces prochaines années.

Avenue Dr Jean Bru

Bd de la Liberté

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Rue René Cassin

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1// Mise en place de feux tricolores visibles sur potence - Bd Carnot près du jardin Jayan // FAIT2// Déplacement de la place «handicapés» de l’angle de la rue Sully à l’angle de la rue Dayma Boulevard carnot // FAIT3// Signalisation des impasses -Rues René Cas-sin, de Sevin (annulé)*4// Aménagement anti-stationnement des trot-toirs - Carrefour rue de Sevin et av. J. Bru // FAIT5// Marquage au sol d’un tourne à droite - Rue des Cognassiers // FAIT6// Neutralisation de places de stationnement Angle bd de la Liberté et rue des Cognassiers (annulé)*7// Réfection de la chaussée - Portion nord de la rue Chopin // FAIT8// Remise en peinture du transformateur ErDF Rue René Cassin // FAIT9// Entretien du banc existant , installation d’un 2ème banc et d’une corbeille à papier - Rue René Cassin // FAIT10// Aménagement de l’espace vert en aire de jeux pour enfants, clôturée avec réfection du ter-rain de pétanque - Rue chopin // FAIT11// Pose de bancs aux abords de la résidence Pradines - Rue P. Dangla // FAIT12// Amélioration de l’éclairage public existant Rue Naissant // FAIT16// Projet d’aménagement d’arrêts de bus sco-laires avec réfection de trottoirs, déplacement des éclairages publics et dispositif de sécurité Av. M. Luxembourg // FAIT18// Enfouissement des réseaux - Impasse Sully (reporté), rues Naissant (à venir)et Chopin (reporté)20// Installation d’un indicateur enregistreur de vitesse - Bd de la Liberté // FAITParticipation au réaménagement du jardin Jayan (études en cours)

VIE DE quArTIEr // 7

Superficie :

21,7 ha(1,9% de la commune)

Créer du lien intergénérationnel

PROJETS INSCRITS EN 2010, 2011 ET 2012 :240 297,27 €

PROJETS PRÉVUS ENTRE 2013 ET 2014 : 71 703,18 €

Animations //

Chaque semaine, l’Hebdo consacre désormais deux pages à l’un des vingt-trois quartiers d’Agen. Projets en cours de réalisation ou à l’ébauche, figures décisionnaires ou incontournables... La ville préfecture de Lot-et-Garonne est passée à la loupe, rue après rue.

Le conseil de quartier a mis sur pied de véritables rendez-vous annuels.

Quartier numéro dix « Les amis de Dangla »

«Oa voulu créer du lien social et in-tergénérationnel dans notre quar-tier », explique la

présidente Michèle Tixier à propos des animations. Le comité a réussi à mettre en place puis pérenniser quatre rendez-vous annuels, deve-nus des moments de rencontres importants pour les riverains. Une première fête se tient à Pâques avec une chasse aux tré-sors dans le quartier, à destination des enfants. Le conseil des quar-tiers a tenu également à instaurer

sa propre fête des voisins, puis un vide-grenier, en juin, devenu un ren-dez-vous traditionnel de nombreux Agenais. « Quand on a repoussé celui de juin dernier pour raison météorologique, les gens ont tout de suite appelé pour connaître la prochaine date », raconte Michèle Tixier. Autre fête à succès : les re-pas thématiques, chaque hiver, qui affichent rapidement complet. Le prochain aura lieu le 1er février.

Les Amis de Dangla, Contact : 06.36.75.59.45.

13// Réfection des trottoirs - Rues J. Dayma, im-passe Sully, bd Carnot (de l’agence d’intérim à la rue de Strasbourg)14// Réfection de la chaussée et des trottoirs - Rue de Strasbourg (du bd Carnot au bd de la Liberté)15// Réfection de la chaussée, reprise ponctuelle des trottoirs, suppression du stationnement provisoire et optimisation du nombre de panneaux de signalisa-tion - Rue Naissant17// Réfection de la chaussée - Rue Sully (entre bd Carnot et bd de la Liberté)19// Installation d’une caméra de vidéo-protection avec vue sur la rue R. Cassin Boulevard de la Liberté

Provision pour des travaux divers de voirie dans tout le quartier

*Les projets annulés l’ont été après concertation pour des raisons de faisabilité technique ou financière

Densité moyenne de la population:

61 hab/ha(moyenne communale : 30 hab./ha)

Vendredi 25 janvier 2013

La table d’Armandie

par Michel DUSSAU

1350 avenue du midi - 47000 Agen - Tél : 05 53 96 15 15 - www.latabledarmandie.fr

Plaisirs autour de la truffe*

Velouté de poularde au foie grasPomme de terre comme un risotto, à la moelle de Boeuf

Pavé de bar braisé aux endivesRis de veau aux légumes d’hiver

Plateau de fromages ou fromage trufféDélice aux fruits exotiques

Gâteau chocolat-praliné* Le menu change régulièrement

Toute l’info sportiveQU

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ML’HEBDOVendredi 25 janvier 2013 // 9

Véritable pierre angulaire du pack agenais depuis plusieurs saisons, Arsène Nnomo

semble enfin débarrassé de problèmes physiques qui l’avaient tenu éloigné des terrains durant plus de deux mois. De retour dans le groupe suaviste depuis le match de Biarritz, il espère apporter toute sa fraîcheur et son envie à ses camarades.

L’HEbDO : Arsène, d’abord un point sur votre état de forme personnel. Après une absence de deux mois, est-ce facile de se plonger de nouveau dans le grand bain de la compétition ?A.N. : Facile, non, mais di-sons que l’envie de jouer vous pousse à oublier les petits tracas liés à votre manque de compétition. Pour tout vous dire, il y a tel-lement urgence de bien figu-rer au vue de notre situation que j’en ai même oublié que j’ai été absent durant deux mois. Je me sens prêt à don-ner le meilleur de moi-même.

L’HEbDO : Vous parliez de l’urgence de la situation. Ce match face à Montpel-lier est-il déjà un tournant décisif dans cette saison très compliquée ?A.N. : Oui, parce que nous

n’avons plus le choix. Il faut absolument gagner aujourd’hui mais aussi les semaines suivantes.

Être au top !

L’HEbDO : Depuis votre retour, avez-vous senti une évolution au sein d’un groupe qui reste sur huit défaites consécutives et qui n’a plus gagné depuis le mois de septembre ?A.N. : Oui, il y a incontesta-blement une grosse diffé-rence, au moins dans l’état d’esprit affiché. Les joueurs connaissent l’urgence de la situation que j’ai évoqué pré-cédemment. Et que, de ce fait, il fallait donner encore plus. On le sait pour s’en sor-tir, il faudra être au top.

L’HEbDO : Les joueurs sont-ils traumatisés par une si longue période sans victoire ?A.N. : Bien sûr, on est acca-blé par ce sevrage. Mais, fort heureusement, les points de bonus décrochés face à Toulon et Biarritz nous ont permis de retrouver de la confiance. On se sait capable de faire de grandes choses. Il nous manque juste ce petit déclic pour enfin enchaîner les belles prestations.

L’HEbDO : La venue d’un cador comme Montpellier peut-elle marquer le début d’une nouvelle ère?A.N. : On l’espère tous ! Mais Montpellier, c’est du costaud, du très costaud. Ils sont euphoriques et sortent de grosses prestations. On s’attend à une opposition très relevée, aussi qualitative que celle que nous avait pro-posé le RC Toulon. A nous d’être à cent pour cent.

L’HEbDO : Vous parliez de l’évolution dans les têtes du groupe agenais dans son ensemble. Qu’en est-il dans le jeu proposé ?A.N. : On est encore pénalisé en mêlée face à Biarritz et ça nous coûte la victoire. On sait que pour s’en sortir dans ce secteur, il faudra être impec-cable, et plus encore, car tout le monde nous piste. Il n’est plus l’heure de pleurer mais bien d’être efficace. Dans le jeu c’est la même chose. On se recentre sur des choses que l’on sait faire et qui nous ont aidés dans le passé. La défense, notamment, est un point essentiel. Et pour le reste, on se connaît tous très bien. Pas besoin d’un dis-cours, un seul regard suffit pour se comprendre.

Cyril Recondo

Top 14 // Agen - Montpellier

«Un seul regard suffit»Interview d’Arsène Nnomo //Le pilier franco-camerounais du SUA LG mesure l’ampleur du défi qui attend les Agenais ce soir à Armandie, face à l’armada héraultaise...

Arsène Nnomo espère apporter toute sa puissance à un pack agenais malmené depuis le début de saison.

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Lorsqu’on leur pose la question s’ils se souviennent dans leur carrière avoir déjà connu une telle

période de disette, les joueurs du SUA LG avouent, pour la plupart, connaître une grande première : « Huit défaites de rang ? Honnêtement, je n’ai pas souvenir d’avoir vécu une telle traversée du désert » commentait hier, un brin laconique, le pilier gauche agenais Arsène N’nomo. Du côté de Junior Pelasasa, le capitaine suaviste, cette ter-rible série est évidemment difficile à avaler : « C’est dur pour le moral de tous mais il faut rebondir » reprenait ce dernier. « On sent, depuis quelques matchs, du mieux dans nos prestations. Que ce soit face à Toulon, Biarritz ou Bath, on aurait pu l’emporter. Ce soir, on accueille une des très belles équipes du Top 14, Montpellier. C’est le moment pour nous de concrétiser tout le travail accompli.»« C’est le moment », comme le dit poliment le flegma-

tique chef de file du SUA LG, c’est plus que certain. Car le Sporting, aujourd’hui antépénultième du SUA LG à égalité de points avec le premier relégable Bordeaux, n’a plus le droit à l’erreur. Et ce quelque soit l’aura de son adversaire et la période déli-cate que semble traverser le club : « C’est un match capital comme le seront tout autant les suivants » tentait hier de dédramatiser David Darricar-rère, l’entraîneur des lignes arrières. « Ce match de Mont-pellier doit être le départ d’un nouveau cycle dans cette seconde moitié de saison. Ensuite il faudra être capable d’enchaîner les résultats.»

Toujours maîtres de leur destinFace à l’urgence de résultats, le staff a soigneusement pré-paré ce rendez-vous héraul-tais. En, préservant les titu-laires du jour lors des deux derniers matchs de Amlin Cup joués ces quinze der-niers jours, le trio Blin-Da-ricarrère-Sella a fait le pari

de la fraîcheur : « On a eu quinze jours de préparation très qualitative » assure le premier nommé en charge des avants. Les organismes sont prêts pour aborder cette dernière ligne droite. On a beaucoup bossé… »Les Agenais devraient donc être à la hauteur du rendez-vous du jour tout comme ils l’avaient été lors de la récep-tion du leader toulonnais, il y a quelques semaines et ce malgré une nouvelle défaite à la clef. Cette fois-ci, le seul point de bonus défensif ne sera pas suffisant. A moins que nos amis bordelais conti-nuent de laisser en route des points qui lors de chacune de leurs sorties leur semblent promis : « N’oubliez pas que nous avons notre destin entre nos mains » souligne à juste titre Mathieu Blin. Histoire de rappeler que la pression est tout autant sur Bordeaux qu’Agen…

Agen/ Montpellier,au stade Armandie, à 19h,ce vendredi pour le compte de la 16ème journée de Top 14, Arbitre central : M. Raynal

SPOrT Vendredi 25 janvier 2013 // 10

SUA LG - Top 14 // Agen - Montpellier

Au pied du mur Le SUA LG accueille ce soir à 19h, dans son antre d’Armandie, le sixième du Top 14 Montpellier. En panne de victoire depuis le mois de septembre, les Bleus et Blancs n’ont d’autre choix que de l’emporter pour sauver leur peau en Top 14.

C’est avec un pack soudé et un Vaka des grands soirs que le SUA LG peut espérer l’emporter ce jour à Armandie.

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La compo // Pour ce match capital, le staff agenais a choisi d’ali-gner pour la première fois de la saison ces deux dernières recrues, l’ailier Tuitavake et l’arrière Seymour, ce dernier n’ayant pas encore trouvé grâce aux yeux de David Darricarrère dans un rôle d’ouvreur. Conrad Barnad débutera donc logiquement. Son talent d’artilleur dans des conditions climatiques annoncées difficiles seront précieuses. Au centre, tou-ché à un doigt, le costaud Miguel Avramovic laisse sa tunique de titulaire à Vincent Roux préféré à Petre. De-vant, Mahtieu Blin n’a eu que l’embarras du choix. Seul cadre absent, Jean Monribot, toujours blessé, qui devrait faire son retour face à Toulouse.

L’équipe : Nnomo, Narjissi, Muller; Skeate, Fa’aoso; Fono, Giraud, Fonua; (m) Lorée; (o)Barnard; Tuitavake, Pelesasa (cap), Roux, Vaka; Seymour.Remplaçants : Schwalger, Telefoni, Afatia, Lozzada, Vaquin, Balès, Tian, Coux,

« On lit la presse et les supputations qui y sont formulées, mais on n’y prête pas attention. Ce qui compte ce n’est pas le futur mais bien le présent. On est concentré uniquement sur notre objectif sportif du moment et notre cerveau n’a pas le temps de se focaliser sur autre chose.» David Darricarrère, vieux routier du rugby professionnel, a mis les formes au moment d’évoquer les rumeurs de départ du président Alain Tingaud à la fin de la présente saison. La montée en régime du duo Jean-François Fontenaud - Gilles Bertrand Diaz alimente, en effet, en ce moment les coulisses du SUA LG. Le premier nommé, ancien président de Marmande-Casteljaloux en Fédérale Une, brillant chef d’entreprise, s’est rapproché ces dernières semaines du secteur sportif. Alain Tingaud lui fait une entière confiance tout comme il s’appuie désormais beaucoup sur Gilles Bertrand Diaz, le directeur de la société Rougeline. Les trois hommes travaillent d’arrache-pieds sur la future saison avec beaucoup d’ambitions. Gilles Bertrand Diaz a ainsi annoncé pouvoir à terme porter, « pourquoi pas le budget du Sporting à 15 millions d’euros » dans les colonnes de notre confrère du Petit Bleu. Alain Tingaud a déclaré, quant à lui toujours chez notre confrère, ce lundi, qu’une augmentation de capital de 1 millions d’euros était programmée. Et surtout que des recrues majeures s’étaient déjà engagées avec le Sporting pour la saison prochaine sans laisser filtrer aucun nom. Contrairement aux autres équipes de Top 14 dont on connaît d’ores et déjà, en majorité, le futur visage, celui d’Agen reste pour le moment top secret. Surprenant quand on connaît le milieu des agents et décevants pour les supporters qui aimeraient voir la colonne arrivées dans la rubrique transfert enfin se remplir….

En coulisses, ça s’ agite…

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Cuisines Mobalpa852 av Mar Leclerc

47000 AGEN05 53 96 22 02

Site : www.agen.mobalpa.fr

1 : Toulon 572 : Clermont 533 : Toulouse 504 : Castres 445 : Grenoble 426 : Montpellier 417 : Biarritz 368 : Perpignan 349 : Racing Métro 3410 : Stade Français 3211 :Bayonne 2612 : Agen 1813 : Bordeaux 1814 :Mont-de-Marsan 8

Classement Top 14«N’oubliez pas que nous avons notre destin entre nos mains»

C’est un secret de polichi-nelle. Si la LNR interdit jusqu’à la date d’ouverture du marché des transferts toute communication sur

ces derniers, tout le monde sait depuis quelques jours que Jean Monribot, le dernier symbole de la formation age-naise, s’en ira bien à l’issue de la pré-sente saison. Arrivé à quinze ans à Agen, originaire de Dordogne, le garçon était devenu la fi-gure de proue du SUA LG de la dernière décennie. Lancé dans le grand bain par Henry Broncan, il fut le plus jeune capi-taine du Sporting lors de la saison 2007-2008. Redevenu simple soldat sous l’ère Lanta-Deylaud, il s’était imposé au sein de la troisième ligne agenaise grâce à son intelligence, son courage et son engagement sans faille. Certains le disaient trop léger pour les joutes du Top 14 à son arrivée dans l’élite en 2010. A l’image de l’ensemble de son équipe à cette période, les six premiers mois auront été effectivement difficiles. Puis les six derniers auront prouvé sa capacité à évoluer au plus haut niveau faisant taire les détracteurs. La fin de l’ère Lanta-Deylaud devait marquer un nouveau départ pour un Jean Monribot promu capitaine par le nouveau staff technique.

Monribot KOsur le terrain…et dans les vestiairesMais l’accumulation de défaites, les ten-sions notamment avec son président, Alain Tingaud, avec lequel une vive altercation aurait eu lieu après le match du Stade Français, les rumeurs de dé-part durant la prochaine intersaison ont conduit le staff à lui retirer le brassard de capitaine. Si l’intéressé ne souhaite pas s’exprimer, ses proches assurent que l’affront a été difficile à avaler tant le garçon se sentait investi d’une mis-sion. Et conduit en grande partie à son départ. Officiellement, ce sont ses KO à répétition et justement son trop plein

d’investissement qui auraient coûté son brassard à Jean Monribot : « Il a dépensé beaucoup d’énergie dans un contexte difficile à travers son rôle de capitaine, nous souhaitons désormais le préserver », déclarait Mathieu Blin, il y a tout juste un mois pour justifier cette décision. Une attention que visiblement, l’ex-capitaine agenais aura peu goûté. Depuis, ce dernier s’est enfermé dans un profond mutisme refusant de répondre à nos questions : «Maintenant il faut sor-tir le SUA LG de cette impasse, l’heure n’est pas aux bavardages.»Malgré une ultime entrevue avec le pré-sident Alain Tingaud et Jean-François Fonteneau, le nouvel homme fort du Sporting en charge du sportif au conseil

d’administration de la SASP, le garçon a décidé de s’en aller. Il l’a annoncé dans l’intimité des vestiaires au groupe durant cette mini trêve européenne. Ironie du sort, ce sont ses anciens entraîneurs Lanta et Deylaud qui l’accueilleront la saison prochaine à l’Aviron Bayonnais. Ceux là même qui dès leur prise de fonc-tion à l’été 2008 lui avaient retiré le bras-sard pour le confier à Adri Bandenhorst. Pisté par une dizaine de clubs de Top 14, Jean Monribot a choisi de rejoindre les berges de l’Adour pour se relancer. Après Dulin et Machenaud la saison dernière, Jean Monribot, le dernier des Mohicans, s’en ira vers d’autres cieux. Une page se tourne, gageons que son futur rempla-çant en écrira d’aussi belles…


SUA LG // Top 14

Jean Monribot,les coulisses de son départ

Depuis quelques temps, Jean Monribot est au coeur de la tourmente.La semaine dernière, il a appris au groupe qu’il ne serait plus agenais la saison prochaine.

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Fédérales //

Une journée tronquée par les reports en tous genres. Les mauvaises

conditions climatiques ont pesé lourd sur les débats quand les matches ont pu se dérouler. En Fédérale 1, dans la poule 3, Marmande a per-du le derby du comité face à Périgueux (6-16). Une nouvelle défaite à domicile qui assom-brit d’autant que l’horizon de l’USM, plus que jamais en-gluée dans les profondeurs du classement. Voilà les hommes du tandem Peso-Gallesio, neuvièmes et donc avant-der-niers de la poule, avec quatre points d’avance sur la lanterne rouge niortaise et un point de retard sur le huitième Saint-Jean d’Angély. Le septième, Hagetmau, a fait le trou.

Le goûtde la victoireMarmande pointe déjà à cinq longueurs. Remarquez il suffit d’une victoire bonifiée pour inverser la tendance. Mais les coéquipiers de Pampouille devront d’abord retrouver le goût de la vic-toire. Samedi, les hommes des deux Philippe, Gallesio et Peso, auraient pu s’imposer à Dartiailh, mais la faillite des buteurs leur fut préjudiciable. Pire, alors qu’ils tenaient les deux points du nul (6-6), ils allaient tout perdre en l’es-pace de trois minutes, cruci-fiés d’abord par une nouvelle pénalité puis par un essai de Lafitte, inscrit après la sirène. L’USM ne prenait pas le moindre point. Une très mauvaise opération comp-table pour le XV marmandais

qui se déplacera dimanche, à Langon. Pour un autre derby. En Fédérale 2, toutes les ren-contres de la poule 8 ont été remises à une date ultérieure. En Fédérale, seul Castelja-loux a pu jouer. Monflanquin (poule 11) et Le RCBB (poule 14) devront patienter. Les Ca-dets de Gascogne n’ont pas perdu leur temps. Après avoir partagé les points, le week-end dernier, à Lajunie (9-9), ils ont cette fois donné la leçon à Lembeye (25-6), pre-nant au passage le point de bonus offensif grâce aux trois essais plantés, dont le dernier « de pénalité ». Un succès à cinq points qui permet aux hommes du président De La Bardonnie de se hisser pro-visoirement sur le podium de cette poule 14, avant de se déplacer, ce dimanche, à Saint-Sulpice, l’avant dernier de la classe. Casteljaloux doit confirmer. Quant au RCBB, il recevra Coarraze Nay, à Lajunie. L’occasion pour les « Marine et Vert » de faire le trou avant la deuxième partie de tableau.

Marmande coince encore,Casteljaloux engrange

Les résultats // Fédérale 1Marmande - Périgueux…....6-16Classement : 1. Tyrosse, 57 pts ; 9. Marmande, 18 ptsCe dimancheLangon - Marmande

Fédérale 2Riberac – Trelissac….. remisLormont-Sarlat……….remisBelvès – Soyaux……remisClassement : 1. Tulle, Lormont, Sarlat, 36 pts ;7. Ribérac, 25 pts ;8. Belvès 15 pts, ;10. Trelissac, 5 ptsCe dimancheTrelissac – FigeacDecazeville – RiberacSarlat – Tulle

Lormont - Belvès

Fédérale 3Poule11 :Pays Médoc – Monflanquin............................................remisClassement : 1. Libourne, 43 pts ; 5. Monflanquin, 27 ptsCe dimancheMonflanquin – Rochefort

Poule 14 :Casteljaloux – Lembeye.… 23-6Saint-Sulpice – RCBB...…remis Classement :1. Saverdun, 44 pts ; 3. Castelja-loux, 39 pts ; 6. RCBB, 28 ptsCe dimancheRCBB – Coarraze NaySaint-Sulpice – Casteljaloux

Caudecoste devrait abandonner son fauteuil de leader, di-manche soir. Et pour cause, les hommes

de Pagotto seront exempts, ce week-end, cette poule comp-tant onze équipes. Trois clubs peuvent profiter de l’aubaine. Castillonnès, d’abord, qui se rendra à Cénac. Mais aussi Le COPO, en déplacement chez la lanterne rouge, Le Buisson et encore Le Port, qui accueillera Issigeac, dimanche. Le XV por-tais aura l’avantage de recevoir à Lamothe. Colayrac, qui est en embuscade, ira défier Vira-zeil, pour espérer conserver son rang dans la première partie de tableau.


Troisième et quatrième série //

Au menu, un périlleux déplacement pour les joueurs de Foulayronnes, qui se rendent dimanche à Puy L’Evêque, le leader invaincu de la poule. Les hommes du plateau s’attendent à une chaude réception sur la pelouse lotoise, véritable bastion imprenable. Pour le reste, l’Alliance Garonne Forêt sera en danger à Monpazier, les deux clubs se suivent au classement. En-fin, Montpon qui n’a toujours pas gagné le moindre match, essayera de débloquer son compteur en recevant Négrondes..

Périgord Agenais //

Le Caoulet chez le leader

Le classement //

Le classement // Le classement //

Le classement // Ce dimanche //

Ce dimanche // Ce dimanche //

Ce dimanche //

Les résultats //

1. Fumel, Nérac, 40 pts ; 3. Tournon, 39 pts ;

4. Layrac, 28 pts ; 5. Le Lardin, 27 pts ; 6. Villeréal, 24 pts ;

7.Villeneuve, 23 pts ; 8. Saint-Cyprien, 18 pts ;

9. Sainte-Bazeille, 8 pts ; 10. Le Bugue, 7 pts

1. Lacapelle, 40 pts ; 2. Le Pas-sage, 35 pts ; 3. Pont-du-Casse, 26 pts ; 5. Penne, Daglan, 24 pts ; 8. Duras, 21 pts ; 9. Excideuil, 20 pts ; 10. Saint-Aubin, 11 pts

1. 1. Caudecoste, 39 pts ; 2. Castillonnès, 36 pts ; 3. COPO, Le Port, 35 pts ; 5.. Colayrac, 33 pts ; 6. Cénac, 31 pts ; 7. Virazeil, 24 pts ; 8. Mézin, 23 pts ; 9. Lanquais, 20 pts ; 10. Issigeac, 19 pts ; 11. Le Buisson, 8 pts

1. Miramont, 46 pts ; 2. Le Queyran, 44 pts ;

3. Payzac, 39 pts ; 4. Laroque, 37 pts ; 5. Neuvic, Vergt,

Montignac, 32pts ; 8. Lavardac, 27 pts ; 9. Castelmoron, 23

pts ; 10. Sainte-Livrade, 21 pts ; 11. Saint-Astier, 20 pts ;

12. Eymet, 9 pts

Fumel – Saint-CyprienLe Bugue – VilleréalVilleneuve – TournonLayrac – NéracSainte-Bazeille – Le Lardin

Le Passage – PenneDuras – DaglanPont-du-casse – LacapellePrigonrieux – AiguillonExcideuil – Saint-Aubin

Le Port – IssigeacLanquais – MézinLe Buisson – COPOVirazeil – Colayrac

Cenac – Castillonnès

Exempt : Caudecoste

Sainte-Livrade – MiramontNeuvic – Saint-AstierEymet – CastelmoronLe Queyran – PayzacVergt – LaroqueMontignac - Lavardac

Ce dimancheMonpazier - AGFPuy L’Evêque – Le CaouletMontpon - NégrondesLe classement : 1. Puy L’Evêque, 17 pts ; 2. AGF, 14pts ; 3. Monpa-zier, 13 pts ; 4. Le Caoulet, 7 pts ; 6. Montpon, 1 pt

Ce dimancheBuzet – CanconSaint-Vite – SalignacVillefranche du P - ThiviersLe classement : 1. Saint-Romain le Noble, 22 pts ; 2. Buzet, 19 pts ; 3. Villefranche du P. 14 pts ; 6. Cancon, 9 pts ; 7. Saint-Vite, -2 pts

Honneur //

Deuxième série //

promotion //

première série //

C’est le trésorier de Layrac qui doit se frotter les mains. Le stade Pénétro devrait faire le plein,

dimanche, pour la venue du co-leader néracais. Les hommes du président Olivier Campan font toujours le plein quand ils se déplacent en terre lot-et-ga-ronnaise. Et ce court voyage à Layrac ne devrait pas échap-per à la règle. Les coéquipiers de Jérôme Garens qui ont frôlé l’exploit, il ya quinze jours, chez l’ancien leader Tournon, ne s’in-clinant que 6-3, auront à cœur, devant leur public, de faire tom-ber le XV néracais. Actuels qua-trièmes de la poule, les joueurs de Patrick Manias peuvent le faire. Ils l’ont déjà fait. Alors pourquoi pas ? Une défaite de l’USN relancerait complète-ment la course devant. Dans le même temps, l’autre leader, Fumel, accueillera Saint-Cyprien, le huitième du classe-ment. Un match qui pourrait être une simple formalité pour les Fumélois à condition d’y mettre les bons ingrédients. At-tention, le terrain lourd pourrait niveler les valeurs. Le troisième, Tournon, sera en danger chez le voisin villeneu-vois. Le RCV, qui reste sur une mauvaise passe, n’a plus le droit à l’erreur à domicile. Le retour de son ancien président Jean-Yves Marchand, promu manager général de l’équipe, provoquera t-il le fameux choc recherché ? A voir.

Acause des intem-péries, tous les matches de la semaine dernière ont été reportés.

Ils se joueront le 3 février prochain. En attendant, le championnat continue. La-roque, qui reste sur deux revers consécutifs, chez les deux premiers, à Miramont puis au Queyran, veut rebon-dir, ce dimanche, à Vergt, où il n’est jamais facile de s’im-poser. L’USR pourra comp-ter sur le « come back » de Patrick Chinette dans le staff technique. Il viendra épau-ler les deux entraineurs en place et redonner un peu de confiance, à une équipe en

perte de vitesse depuis la fin d’année 2012. Toujours quatrièmes, les coéquipiers de Fénié peuvent raisonna-blement viser une qualifica-tion, et plus si affinités, mais à condition de retrouver la forme de l’automne dernier. Ils en ont les moyens. Ce déplacement à Vergt sera forcément instructif.Pour le reste on suivra de près le comportement du lea-der Miramont, ce dimanche à Sainte-Livrade. Sur le papier, il n’y pas photo entre les deux. Mais sur un match…Miramont ne peut pas se lou-per car le Queyran, brillant dauphin, est à l’affût, deux longueurs derrière.

Toutes les équipes ont eu un week-end de repos pour rechar-ger les accus. Ce week-end, tous les

projecteurs seront braqués sur Régadous, où le COP, l’équipe en forme du moment, recevra l’incontestable leader Laca-pelle. Les Cassipontins, qui se sont imposés à Daglan, lors de la dernière journée (15-10), voudront s’offrir la peau du premier de la classe. Les coé-quipiers de Remazeilles ont bien préparé ce rendez-vous. Déjà, ils seront motivés à l’idée de prendre leur revanche et de

marquer les esprits dans la course à la qualification. Re-placé à la troisième place, le club des présidents Meynard et Ghibaudo s’est fixé comme objectif de disputer les phases finales du comité, en attendant forcément mieux. Ce match au sommet devrait attirer la grande foule, dimanche. Le dauphin passageois devra profiter de la venue des Pen-nois pour conforter sa place tandis que le XV aiguillonnais comptera encore beaucoup sur son maitre à jouer Douzon pour réussir un exploit à Pri-gonrieux. C’est pas gagné !

un certain Layrac- Nérac

Caudecoste va perdre sa couronne

Laroque veut rebondir

pont-du-Casseattend le leader

SPOrT Vendredi 25 janvier 2013

Ligue d’Aquitaine //

Coupe Louis Coué // ¼ de finale

Coupe de Lot-et-Garonne // 6ème tour

FO

OT

BA

LL

// 13

Division Honneur - poule unique //

Su Agen - Mérignac Arlac E. //

Samedi 26 janvier à 20h //

Le SU Agen reçoit, samedi en nocturne, l’Entente Mérignac-

Arlac, une équipe que les Sua-vistes avaient châtié à domicile 3-0 en septembre dernier. Pour Williams Vimbouly, tout l’enjeu de cette rencontre sera de l’empor-ter pour recoller avec le groupe de tête auquel appartient juste-ment l’adversaire du jour. Pour cela, le coach agenais disposera de quasiment toutes ses forces et de ses tauliers, du gardien Ma-thieu Casadamont à l’attaquant Danio Gaillac, en passant par Kévin Smolarczyk, Jérôme Ley-marie, Mohamed El-Hassnaoui, Alban Pothet, Guillaume Vélez, Valéry Minled et Jean-François Adami. Ce match devrait marquer le retour de Christophe Virlogeux, le latéral gauche, au terme de sa longue suspension, et en rempla-cement de Ludovic Vasseur, tou-ché à la cheville. Bref, rien que du lourd pour un match sérieux que le SUA se doit de gagner devant son public.

Macau SJ - Colayrac fC //

Agen fC – ES Blanquefort fC 2 //

AS Sainte Livrade 2 (D2) – Agen fC 2 (D1) //

Colayrac fC 2 (D2) – EBBE 2 (D1) //

fC villeneuve sur Lot 2 (D1)Marmande fC 2 (pH) //

Dimanche 27 janvier à 15h //

Dimanche 27 janvier à 15h //

Les Colayracais ne sont pas dans les meilleurs dis-

positions avant de se dépla-cer sur la pelouse des Giron-dins de Macau, une formation au profil similaire (2V, 1N, 6D), occupant l’avant-dernière place ex aequo avec la troupe

de Jean-Jacques Masson. Autant dire que le résultat de cette rencontre revêt un inté-rêt certain, celui qui perdra laissera filer un adversaire di-rect à la descente et sûrement quelques certitudes quant à son maintien.

Le groupe de Nicodème Boucher a laissé passer

l’occasion, il y a quinze jours, de distancer un candidat à l’accession, l’AS Siros, en concédant la parité, 1-1, sur sa pelouse. A la faveur, de la rencontre en retard contre la réserve de Blanquefort,

les co-équipiers d’EL At-lati pourraient se prévaloir d’un matelas confortable de quatre points d’avance sur la meute des poursuivants. Par les temps qui courent, cet avantage pourrait se révéler déterminant lors du sprint final.

Le coach agenais n’en fait pas un secret, il veut

que son équipe s’impose et accède au dernier carré. Les réservistes livradais sont prévenus, eux qui espèrent

secrètement déjouer les pro-nostics et venir jouer un vilain tour à leur hôte du jour. Jabir Lahcen sait à quoi s’en tenir et le sérieux à l’entraînement sera imposé cette semaine.

L es réservistes colayra-cais, qui ambitionnent

de retrouver la PD1, vont pouvoir se jauger sur la pe-louse du stade Jean-Pierre Séménadisse et savoir si leur potentiel peut se trouver décuplé face à un adversaire plus huppé. Attention, Jean-

Marc Lucerga n’attend pas que sa troupe fasse de la figuration, même si la Coupe ne motive pas forcément du coté de Cancelles. Ce sera pour lui l’occasion de faire confiance, en plus grand nombre, aux jeunes pousses boétiennes.

Difficile de croire en l’exploit pour les réser-

vistes villeneuvois, le deux marmandais étant premier en promotion d’honneur et entend bien retrouver la divi-sion supérieure à la fin de la saison. Un petit espoir per-

siste malgré tout : celui que le coach marmandais laisse souffler quelques cadres de l’équipe pour faire monter quelques éléments méri-tants de la seconde réserve. Ainsi, l’écart se retrouverait un peu comblé.

promotion de ligue - poule C //

poule D //

faire la bonne opérationA ne pas perdre !

victoire attendue

Objectif demi-finale

un bon test

une marche trop haute

Page coordonnée par Franck Albarracin

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Tonneins fC 2 (pD1) – Su Agen 2 (pH) //

fCpf (pL) – fC villeneuve sur Lot (DHr) //

Dimanche 27 janvier à 14h30 //

Dimanche 27 janvier à 14h30 //

Dans ce quart de finale de Coupe des Ré-

serves, le SUA2 de Basila Mokili-Yenga fait claire-ment figure de favori, trois divisions séparant les deux équipes. Au tour pré-cédent (fin octobre 2012), le SUA avait proprement laminé l’OS Agen 2 sur le score sans appel de 8-0. Sur la pelouse de Ton-neins, les Suavistes de-vront donc faire respecter la hiérarchie pour accé-der à la demi-finale. Mais l’entraîneur Mokili-Yenga, en compétiteur qu’il est,

attendra de son équipe qu’elle fasse sérieusement son travail, sans sous-es-timer son adversaire ton-neinquais. Il devrait pour cela s’appuyer sur son ossature habituelle, à sa-voir son portier Benjamin Lardon, sa défense cen-trale Tahraoui-Bidan, le milieu récupérateur Florian Saubagnac ou encore son bloc offensif constitué au-tour de Yassim Djebablah, Adrien Gongora, Gérémy Gimenez, Mathieu Bordin, Riyad El-Kouchni. De quoi voyager serein.

Voilà l’occasion qui est donnée aux deux formations de retrouver un petit peu le sourire dans la grisaille

ambiante. Respectivement battues lors de la journée pré-cédente en championnat, la confrontation de dimanche sera le moyen de se rassurer dans le jeu, en lâchant les chevaux et en retrouvant la joie de jouer. Les garçons de

Fillot, pas en grande réussite depuis le début de saison, espéreront réaliser l’exploit qui pourrait leur donner un sacré coup de « boost » pour s’extirper d’une fin de sai-son difficile. Quant à la formation du président Martin, hiérarchiquement supérieure de deux divisions, le stan-ding lui imposera de ne pas laisser filer la rencontre.

une simple formalité ?

Se rassurer

BA

SKET

SPOrT // 14

Sans pression particulière

Derby au sommet Électrique !

Derbydes extrêmes ?

Toulouse BC ( 2ème 24 pts) - AGS ( 10ème 17 pts)

ABC ( 1er 21 pts) - Val d’Albret ( 2ème 21 pts) BCLA ( 3ème 21pts) - Oloron ( 4ème 21 pts)

Boudy Villeneuve BC ( 5ème 20 pts)Francescas ( 12ème 13 pts )

Entente Sportive du Bruilhois ( 2ème 21 pts) - Mérignac 2 ( 12ème 13 pts)

Nationale 3 masculine - poule C //

pré Nationale Masculine //

La première victoire à la maison contre Gaujacq a mis du baume au coeur à l’ensemble du groupe. Fort de ce succès mérité, les joueurs de Laurent Dulong iront défier dans leur salle les dauphins de la poule, le Toulouse Basket Club. C’est sans aucune pression que les Castelfondais vont faire ce court déplacement. Avec le retour de la confiance et le goût

de la victoire enfin retrouvé, tout est désormais possible dans la ville rose. Au match aller déjà, la rencontre fut des plus équilibrées et les Bleus n’avaient cédé que dans les derniers instants. En étant solides défensivement et en trouvant une alternance jeu extérieur et intérieur, ils pourraient faire douter les Toulousains et ramener une deuxième victoire d’affilée !

Comme nous l’écrivions précédemment dans nos colonnes, cette poule de Pré Nationale

est des plus passionnantes et celui ou celle qui détient la fin du scénario est prié de bien vouloir nous contacter ! L’ABC de Sébastien Boutin occupe toujours la première place mais il la partage avec 3 autres équipes : le BCLA, Oloron et le Val d’Albret… Et ce sont bien ces derniers qui vont se déplacer en terre Agenaise samedi soir ou plutôt en terre Castelfondaise ! Car pour cause d’indisponibilité du Stadium, la rencontre se déroulera sur le parquet de Grandfonds ! Quand on sait l’importance de ce rendez-vous, on imagine que la pilule doit avoir du mal à passer pour les dirigeants du club de la préfecture. Que dire de cette surprenante équipe du Val d’Albret ? C’est assurément la surprise de cette poule. Promue de l’étage infé-rieur, personne à vrai dire ne l’attendait à un tel niveau aussi bien de jeu que dans la hiérarchie de la poule. Mais le mélange entre expérience dans le secteur intérieur et jeunesse dans le secteur extérieur est une totale réussite et les joueurs de l’Albret font désormais figures de sérieux outsiders ! Ils feront le déplacement sans trop se poser de questions et c’est bien là le danger pour le groupe agenais qui lui, de son côté, vient d’enchainer deux défaites d’affilées contre des concurrents directs à la montée, le BCLA et Oloron. En plein doute, l’ABC doit désormais réagir et retrouver l’autorité affichée en début de saison. Samedi soir, seul les deux points de la victoire compteront...

L e chaudron de Layrac s’apprête à recevoir un

des chocs au sommet de la poule ! Avec le même nombre de points au clas-sement, le BCLA et Oloron sont en haut de l’affiche avec l’ABC et le Val d’Albret….Et quand on sait qu’en l’espace de quinze jours, le BCLA va être confronté à deux de ses quatre équipes, Oloron et le Val d’Albert la semaine pro-chaine, pas besoin de sortir de « Maths sup » pour com-prendre que les joueurs de Christophe Mauquié sont à un tournant décisif ! Deux vic-toires et la N3 seraient plus que jamais d’actualité. Dans le cas contraire, ils pourraient bien rentrer dans le rang de cette poule. Le premier obs-tacle dans cette éventuelle passe de deux est redoutable. Oloron vient de faire chuter le leader Agen et se présente avec le plein de confiance dans ses bagages. Equipe ré-putée rugueuse et ne lâchant rien, les Pyrénéens possèdent un effectif assez homogène à tous les postes. Mais le BCLA n’a absolument rien à leur envier et sont sur une dyna-

mique des plus positives avec deux succès de rang à l’exté-rieur (à Agen et à Orthez). En jouant à leur niveau et en étant réguliers dans leurs ef-forts collectifs, les Blacks lot-et-garonnais doivent prendre le dessus sur leur adversaire notamment dans la raquette où les Baros, Lacaze et Ri-card sont des plus compétitifs et ont les moyens de dominer les débats. C’est assurément une des clés du match !

A l’heure actuelle les Unio-nistes sont dans le coup

pour se mêler à la montée en Nationale 3. En effet, ils ne possèdent qu’un petit point de retard sur le quatuor de tête composé de l’ABC, du Val d’Albret, du BCLA et d’Oloron. Les joueurs de Julien Tarozzi sont donc en embuscade et pourraient bien refaire leur retard sur une par-tie des leaders dès samedi soir car les quatre premiers se jouent tous entre eux ! Mais pour cela il faudra battre impérativement Francescas, lanterne rouge de la poule, dans ce qui s’annonce être un derby déséquilibré. Car, si les coéquipiers de Fabio

Sulplice abordent le match avec sérieux et en respectant l’adversaire, ils ne devraient pas être inquiétés par leur adversaire du jour. Attention quand même aux joueurs de Jean-Michel Manaberra qui, certes, n’ont quasiment plus d’espoir de maintien, mais avec quelques joueurs d’ex-périence et une vraie force de caractère, sont tout à fait capable de développer un basket de qualité. Gageons que les locaux, amenés par leurs deux « snipers » Gary et Chevalier, ne gâcheront pas l’occasion de remporter une victoire cruciale et garder ain-si le contact avec le haut de tableau.

Samedi 26 Janvier à 20 h

Samedi 26 Janvier à 20h30 à GrandfondsSamedi 26 janvier à 20h30 à Layrac

Samedi 26 janvier à 20h30 à Layrac

promotion régionale - poule B //Samedi 26 Janvier à 20 h 30

Garder le cap à la maison

Réagir !

JIL Colayrac ( 11ème 15 pts) - Bonnut ( 5ème 20 pts)

Pour rester dans la course au maintien dans cette

poule, les Colayracais de-vront être intraitables dans leur salle jusqu’à la fin de saison. Ce samedi, c’est encore une équipe du top 5 que vont devoir affronter

les « Verts » avec la récep-tion des Béarnais de Bonnut, équipe solide, accrocheuse toujours dans le coup pour accrocher la deuxième place synonyme de montée. Mais les riverains de la Garonne ont prouvé depuis un mois

et demi leur net regain de forme au niveau collectif et ont déjà fait mordre la pous-sière à de grosses écuries de la poule comme Horsarrieu 2 et Le Pian. En gardant leur esprit de groupe et leur en-vie remarquable, ils peuvent

bien sûr décrocher la victoire samedi soir et pourquoi pas revenir à hauteur de Cas-sen et de Cauneille, tous les deux en danger dans leurs matchs respectifs.

On n’attendait pas une pareille déroute des

gars du Bruilhois lors de la journée précédente à Jurançon. En effet, ils ont été corrigés aux pieds des Pyrénées 83 à 58 ! Mal-

gré cette gifle, les gars de Loulou Albisua conservent leur deuxième place mais voient revenir dangereu-sement sur leurs talons le Réal Chalossais, Le Pian et Bonnut. Il leur faudra donc

réagir samedi soir, salle An-dré Petit, avec la réception de la lanterne rouge Méri-gnac 2, ce qui ne devrait pas poser trop de soucis tant les Girondins galèrent dans ce championnat avec

une seule petite victoire ! Retrouver le rythme défensif pour lancer le jeu rapide et leur jeu de transition qu’ils apprécient tant sera une priorité pour les coéquipiers d’Alexis Dufourg.


Renouer avec la victoire Passer la 3ème...

Pour garderespoir…

Beau duel en perspective

US Adour 40 ( 2ème 2 pts)Union Vallée du Lot ( 1ère 2 pts)

Foulayronnes ( 1ère 2 pts)Le Lardin ( 4ème 1 pts)

Entente Pessac Basket ( 4ème 1 pts)ES2BE ( 5ème 1 pts )

ABC 2 ( 7ème 19 pts) - Mazères Uzos ( 10ème 15 pts)

Les Lilas Sérignacais ( 6ème 19 pts) Les Chartrons Bordeaux ( 10ème 16 pts)

BCLA 2 ( 2ème 21 pts)Laguarrigue ( 11ème 15 pts)

AGS ( 4ème 23 pts) - US Orthez ( 3ème 24 pts)

Les réservistes agenais s’attendaient à un déplacement difficile dans les Landes lors de la dernière journée et il le

fut ! Dépassés dans beaucoup de secteurs de jeu, ils n’ont jamais pu inquiéter les joueurs de Basket-Luy-Adour 2 et rentrent avec une défaite logique. Conséquence immédiate, ils dégringolent de trois places au classement, passant de la 4e place à la 7e…. En recevant la modeste équipe de Ma-zères, ce sera l’occasion de renouer avec le succès du côté du Stadium ce dimanche. Mais attention à ces visiteurs qui jouent leur maintien et qui ne lâcheront rien !

En recevant la solide équipe de l’US Orthez, les Castel-

fondaises auront à coeur de renouer avec le succès après le petit couac à Labenne. Autre objectif, reprendre la 3ème place à leurs adversaires du jour qui les précédent d’un petit point au classement. On se souviendra qu’au match aller, les joueuses de Layec n’étaient pas passées loin de la victoire, ne s’inclinant que dans le money time 59 à 54. L’esprit de revanche sera bien donc présent avec une priorité à la victoire... La cerise sur le gâteau serait de s’imposer de plus de 5 points et les « girl’s » repren-draient alors place sur le podium de cette poule B de Nationale 3.

En s’inclinant de très peu sur le parquet de Dax 63 à 60, les Lilas laissent filer le peloton de tête. En recevant les

Bordelais des Chartrons, il leur faudra retrouver une adresse régulière pour pouvoir faire leur trou et se mettre rapidement à l’abri dans cette partie. Une victoire serait déjà synonyme de maintien du côté de Sérignac...Une bonne chose de faite avant d’essayer de viser plus haut ?

En s’imposant largement à Cenon 84 à 48, les Baby’s Black ont repris leur marche en avant et

restent un solide prétendant à l’accession. La salle de Layrac devrait connaître une belle affluence pour ce petit derby du dimanche… Au complet, les gars de Jean-François Toffoli devraient pou-voir mettre rapidement les banlieusards d’Aiguil lon sous pression. La qualité offensive de cette équipe, grâce à son collectif, est un véritable rouleau com-presseur pour ses adversaires. Attention tout de même car i l va falloir maîtriser le feu follet Dralet, auteur de beaux cartons ces derniers temps. Mais l’assurance et l’expérience des Layracais plaident en leur faveur.

Les joueuses de l’Union font figure d’épouvantail

dans cette poule de pro-motion. Solides à tous les postes, alliant l’expérience et la jeunesse, elles sont les grandes favorites pour la montée en Pré Nationale. Mais le chemin est encore long et le déplacement chez les Landaises de l’US Adour 40 ne s’annonce pas comme une balade de santé. En ef-

fet, réputées très rugueuses dans leur salle et dotées d’un effectif homogène, elles auront des qualités à faire valoir. Maîtriser les duels et répondre à l’engagement proposé seront les clefs de la rencontre. Et si en plus les joueuses de Fred Goul ar-rivent à imprimer le rythme à la rencontre, il ne fera aucun doute que la victoire sera à leur portée.

En recevant les Dordo-gnotes du Lardin , les

joueuses de Cédric Vinas devraient confirmer leur bonne forme du moment. Adversaires bien connues qu’elles ont déjà battues à deux reprises en première phase, elles ne devraient pas connaître trop de diffi-cultés à aller décrocher leur deuxième victoire d’affilée dans cette poule honneur. Méfiance tout de même car cette équipe du Lardin pro-gresse de match en match et jouera certainement sa chance à fond.

En se déplaçant en ban-lieue bordelaise, les

joueuses de Boucaud au-ront certes fort à faire face à une équipe jeune et pleine de qualités. Mais les Boé-tiennes n’ont pas à avoir de complexe et devront jouer libérées sans se poser la moindre question. Le coup sera alors assurément jouable! Maîtriser le jeu rapide des locales qui est

leur grande force, par un bon repli défensif et savoir gérer au mieux les posses-sions de balles seront les clefs de la rencontre! Mes-demoiselles lâchez vous !

Nationale 3 féminine - poule B //

promotion honneur féminine poule B //

Honneur féminine - poule C //

Honneur Masculin - poule B

poule C

Premiergros test

Confirmer ! En terre connue

Mesdemoiselles lâchez-vous !

Dimanche 27 Janvier 15 h

Samedi 26 Janvier à 20h30

Dimanche 27 Janvier à 20 h 30

Dimanche 27 Janvier à 15 h30

Dimanche 27 Janvier à 15 h

Dimanche 27 Janvier à 15 h

Réal Chalossais ( 1ère 2 pts) AL Passage Basket( 4ème 1 pts)

Les Passageoises se dé-placent ce dimanche au

Réal Chalossais qui sera assurément la grosse équipe de la poule. Les deux forma-tions se connaissent main-tenant par coeur pour s’être joué en poule de brassage. Deux larges victoires pour les Landaises…. Les filles de Benoît Derusseau devront rester sur leurs valeurs re-trouvées et les progrès entre-vus pour exploiter la moindre baisse de régime de leur ad-versaire.

poule D // Dimanche 27 Janvier à 15 h

Page coordonnée par DERUSSEAU Benoît

Envoyez lui vos réactions sur benoit.derusseau @club.fr

Assis dans sa bi-jouterie du boule-vard de la Répu-blique, Patrice Inigo, a accepté

de dévoiler son parcours, an-cré à Agen, sous l’œil attentif de sa femme Cathy.Gérant de la bijouterie Ri-gal, commerce historique du centre-ville, Patrice est un Agenais d’adoption. Né à Bayonne, basque pur jus, c’est là-bas qu’il passe ses jeunes années jusqu’à ce qu’il rencontre Cathy, age-naise et fille de la famille Ri-gal, avec laquelle il se marie voilà trente ans. Installé dans sa ville natale, son début de carrière n’a rien à voir avec son activité actuelle. « Après avoir été formé à l’école Das-sault, j’ai été engagé comme technicien dans l’entreprise et j’y suis resté trois ans ». Mais en 1988, Patrice va pas-ser des bords de l’Atlantique aux berges de la Garonne pour reprendre l’affaire fami-liale de ses beaux-parents. Il n’en bougera plus.

Son parcours professionnelEn 1993, le couple Inigo prend seul les rênes de la boutique et réalise des pre-miers travaux. Rien ne bouge jusqu’en 2008 : la boutique est devenue trop étroite. Il ra-chète le pas-de-porte voisin et transforme la bijouterie Ri-gal, devenue entre temps, La Guilde des Orfèvres. « Tout le magasin a été refait, et la surface de vente a été consi-dérablement agrandie. Ces transformations nous ont permis d’attirer des grandes

marques de joailleries, celles-ci étant très attentives au cadre de vente. » Après ce tournant profes-sionnel, le couple ne s’ar-rête pas en si bon chemin. Au cours de l’année 2012, il ouvre un deuxième magasin sur le boulevard de la Répu-blique, dans la partie pié-tonne. « Julien d’Orcel est un concept de magasin axé sur les premiers prix mais pas au sens péjoratif du terme. C’est de la qualité mais à des prix accessibles ». Patrice se félicite d’avoir réussi cette implantation. « Le concept Julien d’Orcel est conçu pour les centres commer-ciaux, nous sommes parmi les premiers à l’implanter en

centre-ville ». Cela a surtout été l’occasion pour Patrice de bloquer la concurrence et éviter l’installation d’une grande marque nationale. Pari réussi. Les chiffres de la nouvelle boutique sont même un peu au-dessus des prévisions. Mais au-delà de l’aspect financier, Patrice fier de Romain, son fils, devenu responsable de la boutique. « C’est une grande fierté pour nous, parents, de voir que notre fils se débrouille très bien et dans le même do-maine d’activités que nous ».

Patrice Inigo, l’hommeLorsqu’on aborde l’homme et qu’on lui demande ce qui le définirait, Patrice botte en touche. C’est Cathy qui prend les devants : « Il est toujours à l’écoute et prêt à aider ceux qui en ont besoin. C’est quelqu’un de très géné-reux ». Installé à Agen depuis maintenant plus de vingt ans,

Patrice s’est très bien adapté à la vie locale et l’apprécie énormément, si bien qu’il revient peu dans son Pays Basque natal. Il est aussi un passionné de sport et notam-ment de cyclisme, qu’il pra-tique toutes les semaines. « Pour faire du vélo, le Lot-et-Garonne et le Gers offrent de superbes circuits. Moi qui suis bayonnais, c’est ce qui m’a permis de découvrir la région. Mais je fais aussi du rugby ! », ajoute-t-il. Avec une équipe d’anciens, le Big Bang, fondée en 1990, il joue tous les vendredis soirs et y prend du plaisir. Véritable Agenais désormais, Patrice a fait sans regret le chemin du Pays Basque vers la préfec-ture Lot-et-Garonnaise. Il a trouvé ici un équilibre et une vie qui lui sied à merveille. Aujourd’hui, il ne quitterait Agen pour rien au monde.

Damien Bourdeilh

MOI ET MA VILLE Vendredi 25 janvier 2013 //17

Patrice Inigo,du Pays Basque à Agen

Boulevard de la République //Chaque semaine, L’Hebdo vous fait découvrir une personnalité Agenaise sous un angle original. Cette semaine, focus sur …

PO

RT

RA

IT

1. Votre lieu favori ?Le marché couvert.2. Un resto pour dîner en amoureux ?Je n’en ai pas un en particulier. Avec Cathy, on aime bien changer. Il y a une très bonne restauration à Agen.3. Le bar ou café ou vous aimez passer du temps ?Chez M&Moi mais aussi Le Bureau ou le Colonial.4. L’endroit que vous aimez faire découvrir aux gens ?Le boulevard de la République. C’est pour moi le véritable centre de la ville.5. La promenade que vous préférez ?Le bord du canal sans hésiter.6. Une qualité des Agenais ?Les gens sont gentils et accueillants.7. Un défaut des Agenais ?Ils râlent trop après l’arbitre (rires).8. La plus belle rencontre que vous ayez faite à Agen ?Tous mes copains actuels. On s’est rencontrés il y a 20 ans et nous sommes toujours très liés. 9. Agen, réveillée ou endormie ?Réveillée, Agen a toujours été une ville dynamique. Pour un Bayonnais de naissance, Agen a toujours était un exemple, notamment à travers le rugby. 10. Ce qu’il manque à la ville ?La plage (rires).11. Le pire endroit en voiture ?Se rendre à l’autoroute vers 17h. Le Pont de Beauregard est complètement bouché. 12. Pourquoi Agen et pas ailleurs ?C’était l’opportunité. Et puis ma femme est agenaise.13. Un homme célèbre agenais qui vous marque ?Francis Cabrel, je l’écoute de temps en temps. 14. La vue d’Agen que vous préférez ?Celle que l’on a depuis le Coteau de l’Ermitage. 15. Le sujet qui fait parler le plus dans la ville ?Le rugby. 16. Ce qui a changé à Agen et qui vous plaît ?La rénovation de la ville en général, c’était indispensable.17. Ce que les gens pensent d’Agen et qui est faux ?Que l’on ne peut pas se garer en ville. Moi, en une minute, j’y arrive !18. Ce qui fait qu’Agen est unique ?C’est une petite ville qui a tout d’une grande.19. Un adjectif pour qualifier Agen ?Tranquille. Il y a une certaine douceur de vivre ici.20. L’endroit pour faire du sport ?Partout ! Et même autour d’Agen. C’est une ville sportive qui est un grand terrain de sport. Vélo, course à pied, foot, rugby… Tous les sports sont représentés ! 21. La première chose que vous évoquez quand on vous parle d’Agen ?Le pruneau ! C’est le plus vieux symbole de la ville et c’est la première chose dont les gens me parlent. En ce qui me concerne, j’offre toujours des pruneaux : pour les vœux, en cadeau à mes fournisseurs. Les gens apprécient beau-coup et y sont très sensibles. Je trouve d’ailleurs que le pruneau occupe trop peu de place dans la ville.

Questions //

« Il est toujours à l’écoute et prêt à aider

ceux qui en ont besoin. »

Un père de famille combléPère de trois enfants, Vincent, Sébastien et Romain, Patrice est fier de leurs parcours au cours duquel le rugby occupe une place importante. « Vincent est sous contrat avec la Fédération de rugby à VII, il joue en équipe de France, et nous espérons donc qu’un Agenais ira aux JO de Rio en 2016 ! ». « Sébastien, lui, est professionnel à Colomiers en Pro D2 depuis 7 ans et Romain tient donc Julien d’Orcel et joue aussi au rugby à Layrac ». Ses trois enfants sont pas-sés par le SUA au cours de leur formation. A cette famille déjà nombreuse, une petite dernière s’est ajoutée. Patrice est grand-père d’une petite Ainhoa, fille de Sébastien, dont le prénom rappelle les racines basques de la famille.

AILLEurS DANS L’AGGLO Vendredi 25 janvier 2013 //18

2012 avait été marquée par l’inauguration de la nouvelle bibliothèque, 2013 sera consa-crée au réemploi de la surface désormais vacante. Les locaux

de l’ancienne bibliothèque seront trans-formés en salles de classe. Et quatre autres verront le jour dans une exten-sion de bâtiment. Autre amélioration : la cour de récréation sera agrandie d’envi-ron un quart de sa surface et un préau sera construit. L’école Marc-Castenerac accueillera à moyen terme (rentrée 2013) l’ensemble des onze classes du groupe-ment scolaire. L’autre école sera à son tour réaménagée pour le centre de loi-sirs.Un autre changement attend les élèves en 2013 : la cantine. Le service de res-tauration scolaire, qui assure 420 repas par jour, « est aujourd’hui aux limites de ses possibilités », selon le maire Jean-

Michel Drapé. Le conseil municipal a donc décidé de faire appel à un pres-tataire extérieur. « En adhérant le même groupement de commande qu’Agen, Le Passage ou Bon-Encontre, nous pou-vons répondre aux objectifs de traça-bilité imposés par la loi et évitons d’im-portants travaux de réaménagement de notre cuisine. »

Développerla zone du RougeAprès avoir bénéficié par l’Agglomé-ration d’un investissement de 500.000 euros dans la voirie, la municipalité compte poursuivre son aménagement de la zone du Rouge. Un garage, un ate-lier de contrôle technique automobile, un carrossier et un plombier se sont déjà implantés. Le syndicat interhospitalier a récemment acquis 15.000 m2 de terrain,

dans le but d’y construire une blanchis-serie qui traitera plus de 15 tonnes de linge par jour. L’établissement devrait employer une soixantaine de personnes.

Aménagements urbainsD’importants travaux de voirie seront également entrepris cette année : amé-nagement de l’avenue de la Candé-lie (éclairage, changement du mobilier urbain, refonte des places de station-nement), réfection de la route menant à l’église Saint-Martin, aménagement de la route du Payrastre depuis le pont de Ségonne. « La réfection des trottoirs par tranches se poursuivra aussi dès que le temps sera plus clément », assure le maire. En revanche, l’aménagement de la traversée d’Artigues, prévue initiale-ment pour 2013, ne se fera pas avant l’an prochain.

Anne-Lise Durif Jean-Michel Drapé a présenté ses voeux à ses administrés mercredi soir à l’espace culturel du Galion.

Une année de grands aménagements

Foulayronnes //Quelques grands chantiers attendent la commune en 2013 : l’aménagement de l’école, le développement de la zone du Rouge ou encore la réfection de l’avenue de la Candélie.

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l’Environnement, d’une contribution liée aux coûts d’élimination des éléments d’ameublement non connus à la date d’impression de ce document.

Avec l’arrivée du CD, puis du télécharge-ment via internet, on le croyait enterré

définitivement. La galette noire aux sillons si fragiles commençait à prendre la poussière dans les placards familiaux quand il est sou-dain devenu un objet de collection avec ses propres codes de valeur.

Un objet d’artPour preuve de cet en-gouement, les artistes d’aujourd’hui se remettent à sortir, aux côtés du CD classique et des albums pré-sents sur les plateformes de téléchargement, leur album en vinyle présenté quasi comme un objet d’art. C’est sur ce nouveau phé-nomène de mode que surfe

depuis bientôt sept ans la foire aux disques organi-sée par David Dewolf sur la commune du Passage. C’est une véritable foire à l’occa-sion qui s’ouvre aux férus de disques qui cherchent la perle rare à faire tourner sur leurs platines et ainsi retrou-ver le grain inimitable du diamant grattant le plastique gravé... Ils seront une vingtaine d’exposants à se partager quelques 110m2 de linéaires. Ils viennent d’un peu partout dans le Sud-Ouest pour ce rendez-vous qui attire de plus en plus d’amateurs ou de collectionneurs.

Dimanche 27 janvier de 10 heures à 18 heures. Entrée : 2 euros.

AILLEurS DANS L’AGGLO // 19Vendredi 25 janvier 2013

Les vinyles ont la côteProjection

Le Passage // Centre culturel Brève //Ce dimanche, la commune du Passage et le site Sortir47 organisent la foire aux disques qui connaît un succès grandissant d’année en année.

CU

LTU

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L’espace cultu-rel François-Mit-terrand projette mercredi à 20h30,

le dernier film du boétien René Dreuil, intitulé « Re-gards pyrénéens ». Un film à valeur documentaire, qui traverse les pyréneés, du pays basque jusqu’au Rousillon, en passant par les sites les plus emblé-matiques de la chaîne (pic d’Orry, Balaïtous). Les regards de René Dreuil se portent aussi bien sur les paysages que sur les gens : quelques monta-gnards, spécialistes de la chaîne pyrénéenne, apportent leurs témoi-gnages et leurs connais-sances du terrain.

Mercredi 30 janvier à partir de 20h30, à

l’espace culturel Fran-çois-Mitterand.Entrée : 5 euros.

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4246

AGEN 15, quai du Dr Calabet et 1, rue des Cornières l FUMEL 36, av. de l’usine I MARMANDE 2, petite place du marché l NERAC 20, cours de Romas I VILLENEUVE-SUR-LOT 10, bd Pallissy

1) Se diriger vers la place Pédoussat. Laisser la D 245 de Sainte-Livrade-sur-Lot, à droite et suivre la voie sans issue vers le cimetière. Des-cendre sur un chemin em-pierré en direction de Côte de Castillou. Aux maisons, prendre le chemin herbeux en contrebas. 2) Au croisement de trois chemins, bifurquer à gauche sur un chemin de terre om-bragé. A la maison de Serre(pigeonnier), tourner à gauche en suivant le che-min le plus bas. Au stop, traverser la D 13 en direction de Pébré. Dans la montée, s’engager à gauche dans un bois. Passer au-dessus d’un verger et monter à gauche. A la maison, en haut, aller en face. Traverser la D 245. Pas-ser à gauche de la maison, descendre entre un mur de pierre et une clôture. Franchir un pont en béton. S’engager sous les arbres et grimper au milieu d’un champ.

3) Au sommet (GR® 652), s’engager dans le bois à gauche. Continuer en bor-dure de celui-ci. Couper un chemin parallèle et dévaler le bois en face. Après une plan-tation de sapins, traverser un champ. Descendre à gauche

sur une route. Après la ferme de Bourran, quitter la route dans un virage. Prendre un chemin herbeux tout droit. Au bout d’un chemin creux, traverser et emprunter la D 13 à droite sur environ 80 m (prudence). Tourner à gauche sous un couvert de chênes. Variante vers le point 8, circuit de 7,8 km. Descendre tout droit dans le chemin herbeux.

4) Au sommet, s’engager à droite sur un étroit sentier bordé de haies. Passer au pied d’u château d’eau.

5) FAu cédez le passage, au bout de l’allée de Mar-sac, traverser la D 113 avec prudence. Laisser la route de Laroque à droite. Tourner à gauche et passer entre un hangar et un pigeonnier. Tra-verser l’allée castinée etaller en face sur un chemin herbeux. Longer un bois puis se diriger vers la maison de Lacastagnal. Suivre la che-min bitumé. Au croisement de quatre routes, suivre celle de gauche vers Laugnac.

Vous allez faire 14,3 km. Vous devez compter 5 h 15 de marche, 3 h 20 à cheval, 2 h 30 à VTT, Vous êtes à 15 km au nord d’Agen par la N 21 et la D 13. Vous stationnez

devant la mairie. Vous partez de cet endroit. Vous emportez une gourde et des jumelles. Le balisage est jaune. Difficulté : difficile. Dénivelée cumulée : 375 m. De nombreux pigeonniers bornent cet itinéraire vallonné, offrant de nombreux points de vue sur les coteaux de Serres, à travers bois et forêts, vergers de pommiers ou de pruniers d’Ente et prairies.

Road book //

Le bourg situé sur un pla-teau, est entouré de

hautes plaines et de coteaux. Laugnac a connu une riche histoire dont té-moigne la tour toujours visible. Prieuré dépen-dant de Moirax puis château et

bourg fortifiés, Laugnac a été inté-

gré aux baronnies de Montpezat et de Madail-

lan, au grès des héritages et des alliances. François de Mont-

pezat, sénéchal d’Agenais et lieutenant géné-ral du roi en Guyenne, défenseur de l’autorité royale, ne réussit pas à empêcher le massacre des protestants à Bordeaux en 1572 (Saint Barthélémy provinciale). Il défendit la cause d’Henri III contre les ligueurs catholiques.

ZOOM SUR // Le Baron de Laugnac

LOISIrSAgenais //Toutes les semaines retrouvez une randonnée à faire à pied ou en VTT.

Laugnac, un sentier nature dans les SerresRA

nD

OVendredi 25 janvier 2013 // 20

Les conseils de Ludovic Massé //

Le canton de Prayssas, dont fait partie Laugnac regorge de chemins qui font le bonheur de tout randonneur. Le gros avantage de ce site est le balisage de mul-tiples circuits. De couleurs bleu, jaune, ou bien des balisages de type FFC (Fédéra-tion Française de Cyclisme) représentés par un triangle et deux ronds. Même avec un mauvais sens de l’orientation il est diffi-cile de se perdre !

Pour revenir sur cette randonnée, le parcours est assez physique. 375m de dénivelé et quelques montées sèches, des faux plats… pour arriver sur de très beaux points de vue : en particulier au châ-teau d’eau de Laugnac mais aussi entre les points 5 et 6. Si vous regarder bien, vous pouvez apercevoir le château d’Arasse ! En cette période de l’année, il faut être préparé pour emprunter ces chemins. La terre humide est très « amoureuse ». De ce fait, prévoyez chaus-sures à crampons et guêtres pour les pédestres, pneus à crampons fin pour débourrer plus facilement pour les vététistes.

Responsable de la boutique Accro Vélo6) Laisser le GR® et la sor-tie de Locataire à droite. Au cédez le passage, emprunter la D 113 à droite (soyez très vigilants). Prendre le chemin empierré de Goujou. Traverser le hameau entre deux clôtures électriques. Bien refermer les barrières et suivre la lisière d’un bois avant de traverser un champ. Suivre un sentier parallèle à une large piste en terre. Remonter la route de Ninotte sur quelques mètres à gauche. Tourner à droite et suivre la bordure d’un champ au-dessus d’un bois escarpé. Traverser un nouveau champ tout droit. Bifurquer à droite sous des chênes. Plus loin,

descendre dans un bois. Em-prunter la D 245 à gauche sur environ 70 m.

7) Après le pont, tourner à gauche sur une piste her-beuse. Quitter rapidement cette direction pour monterà droite le long d’un fossé. Poursuivre la montée au milieu d’un champ. Pas-ser à droite des maisons du hameau de Guillemon Bas. Grimper à droite par la route ombragée. Au sommet aller en face vers Tuque.

8) Prendre le chemin her-beux à droite et suivre la route à gauche qui ramène vers la mairie de Laugnac.

WEEK-END

Ecrit par Gérald Sibleyras et Jean DellMise en scène de Marianne ValéryAvec Marianne Valéry et Gilbert PascalL’histoire : Pierre et Laurence sont invités à dîner. Mais au moment du départ, Laurence a besoin de parler... Tous deux viennent de partir à la retraite et Laurence est bien décidée à dire ce qu’elle a sur le coeur. Pierre lui laisse dix minutes... ça ne sera pas suffisant. Trente ans de vie commune, ça vaut bien une heure et demie de retard...

Les Baladins fêtent leurs quarante ans d’existence cette an-née et comptent bien marquer l’évènement

tout au long des mois pro-chains. Les premiers à se lan-

cer dans cette saison un peu particulière sont Marianne Va-léry et Gilbert Pascal, fidèles parmi les fidèles, puisque l’une était déjà présente à la naissance de la compagnie en 1973, tandis que l’autre intégrait les Baladins six ans ans après : « Marianne fut mon professeur » explique Gilbert Pascal. « Aujourd’hui, je joue son mari » ajoute-t-il en souriant. « Cela me semblait naturel que Marianne, mon associée dans les Baladis de-puis le début et mon premier employeur, et Gilbert Pascal, resté fidèle à la compagnie, amorcent cet anniversaire » remarque Roger Louret, direc-teur artistique des Baladins. Les deux comédiens ont choi-si de jouer une carte sûre en se mettant en scène dans une pièce de Jean Dell et Gérald Sibleyras, deux auteurs de

comédies contemporaines récompensées par de nom-breux Molières : « Nous vou-lions jouer ensemble » ex-plique Marianne Valéry. « Et chez moi, j’ai les murs remplis de livres et pièces de théâtre dans lesquels je pioche tous les jours pour lire quelques heures. Je me suis souvenue de « Une heure et demie de retard ». C’était la pièce idéale pour nous deux puisqu’elle parle d’un couple qui se re-trouve à la retraite, des gens dans notre tranche d’âge ». Pour Gilbert Pascal, le pro-pos de Jean Dell et Gérald Sibleyras va bien au-delà de la crise des 60 ans : « Cette comédie soulève également les problèmes du couple et de sa longévité tout en restant une comédie avec un jeu très cinématographique ». Déjà présentée en décembre dernier au théâtre de Marianne Valéry, les deux comédiens ont pu constater que toutes les générations étaient tou-chées par le duo de person-nages : « Les gens éprouvent ensuite le besoin d’en parler, même s’ils en ont ri. C’est un sujet d’actualité.» ponctue Marianne Valéry.

A partir du vendredi 25 janvier au samedi 2 mars.

A 21 heures les jeudis, vendredis et samedis.

A 15 heures, les dimanches. A 17 heures les samedis.

Tarif plein : 18 euros.Les jeudis, une place

achetée, une place offerte.

Infos et résas au 05 53 01 05 58

ou au 05 53 36 76 29

Vendredi 25 janvier 2013 //21

Monclar // Théâtre Huguette Pommier

« Une heure et demie de retard »

paquita de Los ColoresSpectacle jeune public par le théâtre Au VentD’après la pièce de Juan Radriguas RojasMise en scène de et avec Ana Maria Venegas Uteau

L’histoire : Paquita s’est mis en tête qu’elle était investie d’une mission essentielle pour l’humanité.Il se pourrait qu’elle délaisse un moment la vente de ses bouquins, pour y consacrer toute son éner-gie. Deux musiciens l’accompagnent sur scène, où le théâtre côtoie le chant, une musique passant des rythmes de danses sud-américaines aux riffs débridés de la guitare électrique.

Ana Maria Venegas s’est emparée du personnage de Paquita qu’elle a rencontré à la lecture du livre de Juan Radriguas Rojas « El desaparacido ». Elle en a fait un clown, Paquita, qui invite des musiciens espagnols et chiliens à la suivre dans ses actes militants. Cette nouvelle pièce de la Cie theâtre Au Vent est bilingue et inspirée d’un auteur chilien connu pour l’installation d’un nouvel ordre social et économique.

Samedi 26 janvier à 20h30. Tarifs de 7 à 14 euros. Infos et résas au 05 53 66 26 60.

Bon-Encontre // Centre culturel Jacques prévert

bojan Zulfikarpa-sic a rendu ses parents heu-reux. Lorsque ce couple de

mélomanes mettent leur rejeton de cinq ans der-rière un clavier de piano, c’est plus par habitude familiale que dans l’es-poir qu’il fasse carrière. Si au départ, sa mère et son père le bercent aux rythmes du patrimoine musical yougoslave et brésilien, ses professeurs au conservatoire l’initient ensuite aux composi-teurs classiques tels que Debussy ou Ravel tandis que ses amis de lycée lui font découvrir le rock et la pop anglaise. En 1986, le jeune bo-jan est déjà considéré comme l’un des meilleurs jazzmen de son pays. Il passe alors trois mois aux Etats-Unis auprès des plus grands, puis, après un passage à l’ar-mée dans son pays natal, il tombe amoureux des musiques balkaniques. Inspiré par ces sons tra-ditionnels, bojan Z s’ins-talle en France, pays plus ouvert à la world music, en 1988, où très vite, il

s’impose comme l’un des meilleurs dans le milieu du jazz français. De club en club, il croise les mu-siciens de son âge, puis intègre des formations de renom aux côtés de Michel Portal ou Henri Texier... Ce qui fait son petit plus ? Ses influences balka-niques qui lui donne un son inimitable. Il enre-gistre un premier album sous son nom en 1993, puis tente l’expérience du groupe Korandi dans lequel il réunit huit musi-ciens aux origines eth-niques différentes. En 2001, il connaît la consé-cration internationale

avec son album « Solob-session » et est nommé Chevalier de l’Ordre des arts et des lettres en 2002. Il reçoit le prix Djan-go Reinhardt... En 2007, son sixième disque reçoit la Victoire de la musique. Il vient tout juste de sortir dans les bacs « Humus » et c’est avec cette nouvelle oeuvre qu’il vient occu-per la scène du Florida ce dimanche.

Dimanche 27 janvier à 17 heures.

Tarifs de 16 à 12 euros. Infos et résas sur www.leflorida.org

Agen // Le florida

Bojan Z

« Les folles aventures de Don Quichotte »Spectacle jeune publicPar la Cie boîte à jouerD’après CervantèsMis en scène par Patrick LodeAvec Martin bortolin, Sté-phane Dufau et J.P. Pitto

La compagnie « La boîte à jouer » s’est attelée à un gros morceau théâtral en voulant mettre en scène « Don Quichotte ». Alors plutôt que de mettre en place des décors et les mul-tiples personnages imaginés par Cervantès, Patrick Lode et Stéphane Dufau ont préféré se concentrer sur le valet du héros, alias Sancho Panza. Un Sancho Panza, désormais à la fin de sa vie et qui se replonge avec nostalgie dans ses aventures avec Don Qui-chotte. Ils sont donc seulement trois sur scène, dans une unité de lieu, à interpréter l’ensemble des épisodes épiques de Don Quichotte, reconnu pour s’être battu contre les moulins à vent. Sancho Panza semble en-fermé dans une chambre d’hôpital aux murs blancs. Seule son imagination lui permet encore de s’évader. Entre apparitions fantomatiques et serpillière trans-formée en Rosalinde, « Les folles aventures de Don Quichotte » rendent justice au grain de folie présent dans le roman de Cervantès.

Vendredi 25 janvier à 20h30.Infos et résas au 05 53 65 77 46 (Office du tourisme)

Mézin // Théâtre

« Hispanidad » mêle la mu-sique aux plus beaux mots des poètes espagnols. A l’origine du projet, on trouve bastien Saez, derrière son piano qui récite des textes choisis avec soin. Il se fait accompagner par le violon-celle de Laurence Lacombe. bastien Saez s’était déjà frotté à cet exercice de style avec les poèmes de Frede-ric Garcia Lorca en 2011, en compagnie d’un orchestre. Pour « Hispanidad », il a choisi une formation des plus intimistes, en duo... Vendredi 25 janvier à 21h.Tarifs de 8 à 12 euros.Infos et résas au 05 53 68 04 04

Agen // La Tannerie

Hispanidad

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red

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WEEK-END

Réalisé par Kathryn Bige-lowAvec Jessica Chastain, Chris Pratt, Joel EdgertonHoraires : vendredi, same-di et lundi à 13h30, 19h30, et 22h, dimanche et mardi à 13h30 et 19h30.

La traque d’Oussama ben Laden a préoccupé le monde et deux admi-nistrations présidentielles américaines durant plus d’une décennie. Mais au final, on doit sa capture à la résolution et au dévoue-ment d’une petite équipe d’agents de la CIA.

Réalisé par Idit CébulaAvec Sandrine Kiberlain, Richard Berry, Emmanuelle Devos Horaires : vendredi et mar-di à 13h45 et 20h, samedi, dimanche et lundi à 13h45, 16h et 20h.

À l’occasion des funérailles de leur mère, Charles, Ro-semonde et Emma se réu-nissent pour la première fois depuis longtemps ! Drôles de retrouvailles char-gées en émotion pour cette famille qui ne sait comment exprimer son affection et son amour réciproque.

Réalisé par Stéphanie MuratAvec Joeystarr, Mathilde Seigner, François BerléandHoraires : Vendredi à 13h45, 17h45, 20h et 22h15, samedi et lundi à 13h45, 16h, 20h et 22h15, dimanche à 13h45, 16h, 20h, mardi à 13h45, 17h45, et 20h.

Max a 6 ans. Elle vit avec son père Toni, un petit voyou au grand cours. Pour Noël, Max décide de lui offrir Rose, une fille de joie rencontrée dans la rue et qu’ elle a prise en affection.

Réalisé par Kim Ji WoonAvec Arnold Schwarzeneg-ger, Forest WhitakerHoraires : vendredi à 13h45, 17h50, 20h15 et 22h15, samedi et lundi à 13h45, 16h, 20h et 22h15, dimanche à 13h45, 16h, 20h.

Suite à une évasion spec-taculaire, le chef de cartel le plus recherché d’Amé-rique fonce vers la frontière mexicaine. Sur son chemin, la bourgade de Sommer-ton Junction dont le shérif, n’est pas prêt à laisser gril-ler les feux rouges...

Réalisé par Stéphan Ar-chinard, François Prévôt-leygonieAvec Jean-Hugues An-glade, Gérard Lanvin, Wla-dimir Yordanoff, Zabou BreitmanEn avant-première : lundi à 20h.

Walter aime la pêche, la cuisine et les bons vins. Il aime Paul et Jacques, ses amis. Il aime surtout Clé-mence, sa fille de 20 ans. Mais il n’aime pas le men-songe, mais alors pas du tout. Mais il est bien seul à respecter ce principe...

Réalisé par Steven Spiel-bergAvec Daniel Day-lewis, Sally Field, David Strathairn, Joseph Gordon-levittEn avant-première : mardi à 20 heures

Dans une nation déchirée par la guerre civile et se-couée par le vent du chan-gement, Abraham Lincoln met tout en oeuvre pour résoudre le conflit, unifier le pays et abolir l’esclavage. L’homme va devoir faire des choix qui bouleverse-ront le destin des généra-tions à venir...S

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E Agen // Cap ciné

Vendredi 25 janvier 2013 // 22

Coup de Cœur !

Réalisé par Andrea ArnoldAvec Kaya Scodelario, James Howson, Solo-mon Glave

L’histoire : Angleterre – XIXe siècle. Heath-cliff, un enfant vagabond, est recueilli par M. Earnshaw qui vit seul avec ses deux enfants, Hindley et Cathy, dans une ferme isolée. Heathcliff est bientôt confronté aux violences de Hindley, jaloux de l’at-tention de son père pour cet étranger. Le jeune garçon devient le protégé de Cathy. A la mort de M. Earnshaw, Cathy est courtisée par le fils de riches voisins, laissant peu à peu Heathcliff à la merci de Hindley. A l’annonce du prochain mariage de Cathy, Heathcliff s’enfuit.

Andrea Arnold n’est pas la première à s’attaquer cinématographiquement aux « Hauts de hurlevent ». Ce ro-man, seule et unique oeuvre d’Emily

Brönté, paru en 1847, a connu une dizaine d’adaptations dont la première date de 1920.

Mais Andrea Arnold était agacée par les ver-sions antécédentes qui révélaient surtout le côté romanesque de l’histoire d’amour. Elle a ainsi voulu, quant à elle, accentuer le côté sombre qu’Emily Brönté a glissé dans son roman. Tournée en Angleterre du Nord, cette version 2013 des « Hauts de Hurlevents » a connu les méandres d’une météo houleuse. La réalisatrice s’est attachée autant à la son-rité du film qu’à l’image. Grâce à cette touche originale, le film a été récompensé par le prix technique à la Mostra de Venise. Pour autant, les distributeurs français ont plutôt été frileux envers ce quatrième long-métrage de Andrea Arnold, attendant plu-sieurs mois avant de se décider à sortir le film dans les salles de l’Hexagone, alors que les Britanniques avaient depuis longtemps salué le travail de leur compatriote.

Projections vendredi, samedi et lundi à 21 heures. Infos sur

lesmontreursdimages.com

Montreurs d’images // rue Ledru-Rollin

Précédé du court-métrage « La douce » d’Anne LaricqDocumentaire réalisé par Naomi Kawase

L’histoire : Le Dr Yoshimura, âgé de 78 ans, est à la tête d’une clinique qui accueille de futures mères souhaitant un accouchement naturel. Elles viennent pour cela de tout le Japon. En rupture avec les dictats médicaux, il prône pourles femmes enceintes une activité physique soutenue et un accouchement non médicalisé. De réunions préparatoires en confidences transparaît la place des femmes dans la société japonaise contemporaine, la réappropriation de leur corps et de leur histoire… La naissance est un thème récurrent dans la filmographie de Naomi Kawase. En effet, en 2004, la réalisatrice proposait « Naissance et maternité », pour lequel elle s’était inspirée de sa propre expérience de l’accouchement naturel.

Projection vendredi à 21 heures et samedi à 18h15.

Genpin« Les hauts de Hurlevent »

Dans le cadre du festival Ciné-mémoires - version restauréeRéalisé par Marcel CarnéAvec Jean Gabin, Michel Simon, Michèle Morgan

L’histoire : Par une nuit ténébreuse, un déserteur du nom de Jean arrive au Havre dans l’espoir de quitter la France. En attendant un bateau, il trouve refuge au bout des quais, dans une baraque autour de laquelle gravitent plusieurs marginaux. Il y fait la rencontre de Nelly, une belle et mystérieuse jeune femme dont le regard le bouleverse. Cette dernière vit dans la terreur de son tuteur, le misérable Zabel, lui-même rac-ketté par une bande de voyous. Par amour, Jean se mêle aux affaires de Nelly et met les pieds dans un engrenage périlleux…

Marcel Carné n’a que 29 ans lorsqu’il réalise en tandem avec Prévert, ce film de-venu un chef d’oeuvre du cinéma français. Jean Gabin était alors déjà une grande vedette mais voulait absolument tourner avec les deux prodiges qui s’étaient fait remarquer dans un premier film.

Projection vendredi et lundi à 21 heures, samedi à 16 heures et lundi à 18h15.

Quai des brumes

WEEK-END

Jean-Claude Dreyfuss est seul sur scène pour rendre hommage au talent inégalé de

Raymond Devos. Celui qui se plaisait à jouer avec les mots et prenait son pianiste pour souffre-douleur, a ins-piré le comédien de théâtre et de cinéma qu’est Dreyfuss. Bien sûr, on ne peut s’empê-cher de voir entre ces deux-là une ressemblance physique accentuée sur scène par le port d’une veste à carreaux et d’un grelot par Jean-Claude... L’idée est née après une céré-monie des Molières. Nominé, Jean-Claude Dreyfuss a re-mercié ses pairs en utilisant les bons mots de Devos. Le public avait été enthousiaste. Amoureux depuis longtemps de son célèbre aîné, Dreyfuss

a facilement imaginé l’incar-ner le temps d’un spectacle, lui qui était allé le voir plu-sieurs fois sur scène. Inspiré par ces souvenirs, il s’est attelé à remettre sur les planches l’âme de l’humo-riste disparu il y a cinq ans. Il s’est alors mis à choisir des textes qui l’ont touché sur l’ensemble de la carrière de Devos et a confié sa sélection à Christophe Correira pour les mettre en scène. Certains de ses écrits sont inédits ou rare-ment interprétés du vivant de Devos. Jean-Claude Dreyfuss se fait accompagner par Tho-mas Février au piano.

Jeudi 31 janvier à 20h30Tarif de 27 à 16 euros

Infos et résas au 05 53 66 26 60

Jean-Claude Dreyfuss rend hommage au talent d’humoriste d’un monument du genre : Raymond Devos.

Vendredi 25 janvier 2013 //23

Agen // Théâtre Ducourneau

« D’hommages sans interdits »

Café archi avec Béranger LaymondEn partenariat avec l’association Pollen à Monflanquin, Le CAUE 47, le Musée des beaux Arts d’Agen et la Ville d’Agen

Le café archi a pour objectif de mieux faire connaître au grand public l’art de l’architecture. Pour une pre-mière fois, il s’installe dans les murs du Florida à Agen et invite à cette occasion, béranger Laymond, gra-phiste et créateur d’œuvres sur ordinateurs. Il vient ici parler de son projet artistique lié à la vidéo-surveil-lance en milieu urbain et notamment dans l’Agenais. Il a ainsi développé une ville peuplée de fantômes numériques et à coups de pixellisation. Peu à peu, les êtres s’y désincarnent jusqu’à disparaître pour laisser un cité vide et apocalyptique. béranger Laymond vient expliquer sa démarche artistique et de quelle manière il parvient, par l’outil numérique, à exprimer ses idées créatrices.

Jeudi 31 janvier à l’espace bar à 18h30. Entrée libre.

Soirée jazzTous les jeudis, le bar El Toro donne rendez-vous aux amoureux de jazz pour une soirée 100% impro. Les Récicidivistes et Scruffy D assurent l’ambiance.

Jeudi 31 janvier à partir de 20h30. Entrée libre. Possibilité de restauration sur place.

Agen // Le florida

Pastora Galvan n’a eu aucun complexe à se lancer dans l’art du flamenco. Pourtant,

elle avait sur ses épaules le poids d’un père et d’un frère reconnus internationnale-ment dans ce domaine. Mais plutôt que de se faire toute petite, Pastora a préféré prendre exemple et devenir l’une des plus grandes dan-seuses de Flamenco en Eu-rope. Résultat : elle exporte désormais cet art particulier vers le Japon et les Etats-Unis avec succès. Car Pastora Galvan a su moderniser le style familial. Sa danse respire la liberté et la sensualité bien loin des carcans du genre. Elle a éga-lement su s’entourer de mu-siciens et de chanteurs por-teurs du même état d’esprit, tel José Valencia dont la voix rehausse encore la beauté des gestes de Pastora. Pour preuve de son assu-rance, il lui est arrivé de dan-ser en tablier de cuisine, se séparant ainsi de l’artifice des jupons et frous-frous des robes de flamenco. Osant même mêler sévillane et flamencos, quitte à heurter les puristes, la danseuse se délecte à faire sauter un à un les verrous d’une danse si codifiée.

Jeudi 31 janvier à 20h30. Tarifs de 13 à 25 euros. Infos au 05 53 70 37 24.

Villeneuve-sur-lot //Théâtre Georges-Leygues

Pastora danse Flamenca

Agen // Théâtre du Jour

penthésilée Tragédie de Heinrich von KleistMise en scène d’Agnès FrançoisL’histoire : Au beau milieu de la guerre de Troie, menées par leur jeune reine, Penthé-silée, les Amazones se doivent d’affronter celui qui assurera leur descendance. Pen-thésilée va rompre les lois de sa tribu car elle en tombe amoureuse de celui qu’elle doit vaincre : Achille, le Héros aux multiples exploits… Heinrich von Kleist apparaît aujourd’hui comme le génie dramatique le plus original de son époque. Il a fallu attendre de nombreuses années pour que ses tragédies soient vraiment reconnues. « Penthésilée » n’a été représentée pour la première fois que 65 ans après la mort de Kleist, le 25 avril 1876 à berlin.

Du vendredi 18 janvier samedi 2 février. Jeudi, vendredi et samedi à 20h30. Dimanche à 16 heures. Infos et résas au 05 53 47 82 08.

Agen // Théâtre Ducourneau

La mécanique des papasSpectacle jeune pubiic dès 9 moisEcrit, mis en scène et interprété par Jean-Louis BuecherDurée : 30 minutes

Sur scène, un jeu de mécano, une grue géante, ue carte-mère d’ordinateur, un cadre doré, une scie... Autant d’objets détournés par Jean-Louis Buecher pour évoquer le père et son rôle de protecteur dans la famille. « La mécanique de papa » explique pourquoi papa est absent de la maison et qu’est ce qu’il fait quand il est pas là. Le décor est un assemblage bien huilé pour dérouler cette histoire destinée aux enfants un peu angoissés par le départ de leurs parents. Jean-Louis Buecher s’adresse ici aux tout petits dans cette nouvelle création. Ce comédien s’est fait une spécialité des spectacles jeune public avec la compagnie paloise Smala.

Mardi 29 janvier à 18h30. Tarif 5 eurosInfos et résas au 05 53 66 26 60

villeneuve-sur-Lot // Bar El Toro

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Quidam L'Hebdo

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