Psychoses/schiz ophrenies Emmanuel Stip. Psychoses Troubles délirants Trouble schizoaffectif...
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Psychoses/schizophrenies
Emmanuel Stip
Psychoses
Troubles délirants
Trouble schizoaffectif
Trouble schizophréniforme
Premiers épisodes: DUP
Prodromes
Personnalité schizoide, schizotypique
Psychoses toxiques
Sur maladie affective
objectifs
Présentation clinique et enjeux
Approche bio-psycho-sociale films
Évaluations globales PANSS: film SSTICS
Efficience thérapeutique Les approches: psychothérapies Observance Le lien avec médication
approches
Psycho-éducative
Remédiation cognitive , hédonique
TCC
Entrainement aux habilités sociales
IPT
Psychodynamique
Aspects culturels
stigmatisation
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Définition de la schizophrénie
La schizophrénie est une maladie chronique qui perturbe le langage, la pensée, la perception, l’affect et la conscience de soi
Les critères diagnostiques sont définis comme suit :
Présence d’au moins deux symptômes de la phase activependant 1 mois
Persistance des symptômes pendant > 6 mois
Les symptômes comprennent : idées délirantes, hallucinations, discours désorganisé, comportement grossièrement désorganisé ou catatonique, symptômes négatifs
APA. Practice Guideline for the Treatment of Patients With Schizophrenia. 2e éd. Arlington, VA: APA; 2004.US DHHS. Mental Health: A Report of the Surgeon General. Bethesda, MD: DHHS; 1999.
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Épidémiologie de la schizophrénie
~1 % de la population adulte est touchée
La maladie apparaît généralement au début de l’âge adulte
La majorité des patients ont 1 rechute
Taux de rechute dans l’année suivant la fin d’un épisode : ~16 %
Le taux de rechute augmente au fil des années subséquentes
La schizophrénie figure parmi les maladies qui causent le plus d’incapacité dans le monde et qui contribuent le plus au nombre d’années de vie vécues avec une
incapacité
La schizophrénie entraîne environ :
25 % des hospitalisations psychiatriques
50 % des admissions dans les hôpitaux psychiatriques
Au Canada, le coût total de la schizophrénie était estimé à 6,85 milliards de dollars en 2004
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Morbimortalité associée à la schizophrénie
Prévalence accrue : de l’itinérance de la malnutrition de troubles liés à l’utilisation d’une substance alcool, drogues intraveineuses, marijuana,
tabac du diabète de type 2
Risque suicidaire 9 fois plus élevé que dans la population générale*
Près de 30 % des personnes atteintes font une tentative de suicide, et entre 4 et 10 % meurent par suicide
Risque de mortalité toutes causes confondues* 1,6 fois plus élevé que dans la population générale Le risque de mortalité non naturelle est 4,3 fois plus
élevé que dans la population générale* D’après le rapport standardisé de mortalité
Goldman LS. J Clin Psychiatry 1999;60(suppl 21):10-15.Harris EC, Barrclough B. Br J Psychiatry 1998;173:11-53.
APA. Practice Guideline for the Treatment of Patients With Schizophrenia. 2e éd. Arlington, VA: APA; 2004.
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SchizophrénieImpact des symptômes sur le fonctionnement global
SymptômesSymptômescognitifs :cognitifs :
attentionmémoire
fonctions exécutives
Symptômes Symptômes positifs :positifs :
idées déliranteshallucinations
comportement catatonique
pensée/discours/comportement désorganisés
EmploiEmploi
Relations inter-Relations inter-personnellespersonnelles
SoinsSoinspersonnelspersonnels
VieVie sociale sociale
Sphère Sphère professionnelleprofessionnelle
Symptômes négatifs :
émoussement affectifalogie
perte de volonté
SymptômesSymptômesthymiques :thymiques :
dépressionanxiété
irritabilitécolère
anhédonie
Patient dysfonctionnelPatient dysfonctionnel
Observance Risque de suicide diminué
Surmonte les événements stressants de la vieTraite la toxicomanie
Améliore l’adaptation du pt ds la communautéDonne un soutienRéduit le stress
Favorise le processus de rétablissement Réduit de façon continue les Sx
Améliore le niveau de fonctionnement
Améliore la qualité de vieAssure la rémission des Sx
Temps
Atteinte du Atteinte du potentiel potentiel individuelindividuel
Schizophrénie : évolution des défis thérapeutiques et objectifs de Tx
Évite les efftes indésirables des Mxs
Améliore l’observanceRéduit au minimum le risque de
rechute
Prévient les blessures Maîtrise les comportements
Réduit la gravité des SxS’attaque aux facteurs
déclenchants de perturbation du comportement
Retour rapide au fonct. optimalAlliance thérapeutique
Phase aiguëPhase aiguë
Phase de stabilisationPhase de stabilisationPhase d’entretienPhase d’entretien
Fo
nc
tio
nn
em
ent
Prend en charge les troubles concomitants
Réduit au minimum le risque de rechute
Prévoit le potentiel d’augmentation des Sx
Évite les effets indésirables des Mxs
Lehman AF, et al. Am J Psychiatry 2004;161(suppl 2):1-56.
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Symptômes cibles
Psychose active/symptômes positifs principal motif d’hospitalisation symptômes qui répondent le mieux aux médicaments
Symptômes négatifs évolution la plus rapide lors des phases aiguës des schizophrénies
débutantes piètre réponse aux médicaments – les ASG et les ATG montrent toutefois
une certaine efficacité délai plus long de réponse au traitement et de survenue d’une amélioration
Symptômes cognitifs possibilité d’atténuation ou d’aggravation par le traitement médicamenteux des données indiquent que les nouveaux antipsychotiques seraient à cet
égard plus efficaces que les APG
Incapacité fonctionnelle fortement corrélée avec les symptômes cognitifs modérément corrélée avec les symptômes négatifs observée surtout durant les épisodes aigus, que l’on peut prévenir par le
traitement médicamenteux
D’après Bezchlibynk-Butler K, Phillips L. Schizophrenia Resource Guide.
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La rechute exacerbe la progression de la maladie
Après chaque rechute : le rétablissement est plus lent et moins complet il est plus difficile de recouvrer la capacité fonctionnelle antérieure
la maladie devient plus résistante au traitement les hospitalisations sont plus fréquentes et durent plus longtemps
Il en résulte : une baisse de l’estime de soi du patient une perturbation importante de son fonctionnement sur les plans social, scolaire et professionnel
La rechute alourdit en outre le fardeau émotionnel, psychologique et financier pour la famille, les aidants et le système de santé Misdrahi D et al. Encephale 2002;26:266-72.
Lieberman J et al. Neuropsychopharmacol 1996;14:13-21.Watt DC et al. Psychol Med 1983;12:663-70.
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Objectifs thérapeutiques généraux
Atténuer ou supprimer les symptômes
Maximiser la qualité de vie et la capacité d’adaptation du patient
Favoriser et maintenir un rétablissement optimal du patient à l’égard des effets débilitants de la maladie
Favoriser l’adhésion du patient au traitement et prévenir ainsi le développement d’une résistance biologique de la maladie au traitement
APA. Practice Guideline for the Treatment of Patients With Schizophrenia. 2e éd. Arlington, VA: APA; 2004.
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Objectifs thérapeutiques en phase aiguë*
Prévenir les gestes d’auto ou d’hétéro-agression
Maîtriser les troubles comportementaux
Atténuer la sévérité de la psychose
Rechercher les facteurs déclenchants
Favoriser un retour rapide au meilleur niveau de fonctionnement possible
Instaurer une alliance avec le patient et sa famille;étendre la psychoéducation à la famille afin de favoriser l’adhésion au traitement
Élaborer un plan de traitement à court et à long terme
Faciliter le suivi et favoriser la continuité des soins
APA. Practice Guideline for the Treatment of Patients With Schizophrenia. 2e éd. Arlington, VA: APA; 2004.
*Définie comme un épisode psychotique aigu
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Objectifs du traitement d’entretien
Phase de stabilisationPhase de stabilisation
Diminuer le stress imposé au patient
Réduire le risque de rechute au minimum
Améliorer l’adaptation à la vie en société
Faciliter la diminution continue des symptômes et la consolidation de la rémission
Favoriser le rétablissement
Phase stablePhase stable
Maintenir la rémission ou la maîtrise des symptômes
Veiller à ce que le patient conserve ou améliore sa capacité fonctionnelle et sa qualité de vie
Instaurer un traitement en cas d’exacerbation des symptômes ou de rechute
Surveiller les effets indésirables du traitement
APA. Practice Guideline for the Treatment of Patients With Schizophrenia. 2e éd. Arlington, VA: APA; 2004.
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Quel membre de l’équipe soignante est responsable de la coordination des soins que reçoit ce patient?
Gestionnaire de cas
Agent de soutien communautaire
Ergothérapeute ou récréothérapeute
Infirmière
PsychologueMédecin de famille
Psychiatre
Services de crises
Pharmacien
L’équipe soignante multidisciplinaire
Patient
Famille
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BienveillanceBienveillance
CompétenceCompétence
AcceptationAcceptation
Connaissance des Connaissance des besoins du patientbesoins du patient
SouplesseSouplesse Optimisme et réalismeOptimisme et réalisme
Talent pour la Talent pour la négociationnégociation
Aptitude à inspirer la Aptitude à inspirer la confiance et à susciter confiance et à susciter l’espoirl’espoir ChaleurChaleur
Qualités de l’équipe soignante
À votre avis, quelles qualités contribuent le À votre avis, quelles qualités contribuent le plus à l’efficacité d’une équipe?plus à l’efficacité d’une équipe?
EmpathieEmpathie
Expérience et Expérience et savoir-fairesavoir-faire
Aptitude à rallier Aptitude à rallier le patientle patient
Aptitude à communiquerAptitude à communiquer
Bleuler Doctorat de médecine en 1881
Assistant à la Waldau
1884: Angleterre, France (Charcot), Munich
1885: Burghölzli (Auguste Forel),
1886-1888: Rheinau
Hypnotisé par von Speyr et Forel: Psychologie de l’hypnose
1889-1927: directeur Burghölzli, professeur de psychiatrie Zurich
Ses assistants: Jung (1900-1909), Abraham (04-07), Rorschach.
Freud (1904-1906), SPI 1910
Bleuler
- 1911: il récuse le terme de démence précoce d’Emil Kraepelin
- La démence précoce et le groupe des schizophrénies
- Fragmentation de l’esprit
- Discordance
- Délire paranoide
- autisme
Démence précoce
Gross: la dementia sejunctiva,
Zweig: la dementia dissecans
Rapoport et al 1999 COS, gray matter volume reductions, ventricular volume
Gogtay et al In Press increases, associated variably associated with outcome
Etude longitudinale: PE & morphologie
Mathalon et al 2001 Chr. Scz gray matter volume reductions, ventricular Davis et al 1998 volume increases, associated with poor outcome
Pantellis et al 2002 Prodromal pts who convert to psychosis have gray
matter volume reductions which are progressive
DeLisi et al 1997 Gur et al 1998 Hirayasu et al 1999 First episode pts, gray matter volume Lieberman et al 2001 reductions, ventricular volume increases, associated Wood et al 2001 with poor outcome and/or increased Rx exposure Cahn et al 2002 Ho et al 2004
Le groupe des schizophrénies
Spaltung
Dislocation
Rupture
Dysconnection
#discordance
Chaslin
Distortion de la réalitéDélire
Hallucinations
Altération des mécanismes de contrôle et d’évaluation des activités volontaires
Hyperactivité: cortex médian temporal, cortex frontal, striatum ventral.
Hypoactivité: cingulum postérieur
DésorganisationTrouble du cours de la pensée
Affect inapproprié
Altération du mécanisme de sélection et inhibition des réactions
Hyperactivité : cortex médian frontal, cingulum antérieur, thalamus.
Hypoactivité : cortex frontal ventral. insula, cortex pariétal
PauvretépsychomotricePauvreté du discours
Affect abrasé, avolition
Altération du mécanisme de planification des activités volontaires, processus mental au ralenti
Hyperactivité : noyaux gris centraux
Hypoactivité : cortex frontal; cortex pariétal
Symptômes présents dans population non clinique, analyse taxométrique sur 660 patients: positifs, negatifs et désorganisation ---- » pas de taxons
2 syndromes: un syndrome affectif général et un syndrome psychotique
4 dimensions: positifs, négatifs, dépressifs,maniaques
Plus tard: désordre de la salience
L’hypothèse d’un “contrôle génétique de l’environnement” postule que les gènes confèrent une vulnérabilité à l’effet pathogène de l’environnement (effet indirect, par lequel les sujets deviennent plus sensibles à un risque environnemental, par opposition à un effet direct de la génétique).
Dans la schizophrénie, plusieurs facteurs environnementaux ayant un impact important sur le déclenchement de la maladie ont d’ores et déjà été identifiés : migrations, vie dans les grands centres urbains, consommation de cannabis et traumatismes précoces (abus sexuels ou non).
Est-il possible actuellement de comprendre l’interaction entre déterminisme génétique et déterminisme environnemental, et son rôle dans la genèse des psychoses ?
Dopamine = Médiateur de signification (Dopamine = Médiateur de signification (SaillanceSaillance) - Kapur 2003) - Kapur 2003
Facteurs génétiques, environnementauxFacteurs génétiques, environnementauxPrédispositionPrédisposition
Décharge anormale de DA Décharge anormale de DA sans égard au contextesans égard au contexte
Assignation de Assignation de signification aberrante signification aberrante
à des objets externes ou des à des objets externes ou des représentations internesreprésentations internes
Induction d’un état de perplexité,Induction d’un état de perplexité,de confusion entraînant unede confusion entraînant une
importance exagérée de certainesimportance exagérée de certainesperceptions ou idéesperceptions ou idées
Lors d’un arrêt de laLors d’un arrêt de lamédication antipsychotique,médication antipsychotique,
d’une prise de drogue, d’un stressd’une prise de drogue, d’un stress
La diminution de la significationLa diminution de la significationpréoccupante (saillance) permetpréoccupante (saillance) permet
une diminution des symptômes par une diminution des symptômes par extinction ou reformulation cognitiveextinction ou reformulation cognitive
Les antipsychotiques Les antipsychotiques bloquent la transmission DA bloquent la transmission DA
et diminuent et diminuent la signification préoccupantela signification préoccupantedes symptômes psychotiques,des symptômes psychotiques,
mais aussi la motivationmais aussi la motivation
Les délires sont des schémas cognitifsLes délires sont des schémas cognitifsbasés sur leur culture et leurs expériences,basés sur leur culture et leurs expériences,
que les patients développent pourque les patients développent pourcomprendre leur nouvelle expériencecomprendre leur nouvelle expérience
de signification altéréede signification altérée
Quand la psychose altèreQuand la psychose altèrele comportement,le comportement,
le patient arrive en psychiatriele patient arrive en psychiatrie
Les hallucinations sont des erreurs Les hallucinations sont des erreurs d’attribution des perceptionsd’attribution des perceptions
psychoses
Psychoses aiguës
trouble schizo-affectif
Relations avec la personnalité Boschen & Warner: troubles de
personnalité 1971-2005: Borderline: 1656; antisociale: 314;
schizotypique 186; paranoia 20 et schizoide 41.
Traits et troubles paranoiaques
schizotypie
Contexte du questionnement
DSM 2…3…..4……..5
Garder schizophrénie ?
Psychose générale ?
Maladie de la salience
Phénotype
Dimensions
Prodromes: « état mental à risque »
Symptômes prodromiques
Yung et McGorry
Isolement social
Détérioration des fonctions liées au rôle
Baisse de l’hygiène
Perte d’entrain/d’intérêt
Hafner Baisse de la concentration et de l’attention Anxiété
Perte d’entrain/de motivation Retrait social
Baisse d’énergie Méfiance Humeur dépressive Détérioration des fonctions liées au rôle
Troubles du sommeil Irritabilité
© 2008 Association des psychiatres du Canada. Tous droits réservés.
Yung AR et al. Schizophr Res. 2006 May; 84(1):57-66.Hafner , H. et al. Schizophr Res. 1992; 6: 209-223.
Starification clinique: McGorry 2010 CJP
Van Os, am J Psy 2010
Is it normal to be
psychotic ?Emmanuel Stip
« N’est pas psychotique , qui veut »
Jacques Lacan
Sigmund Freud
“During the days when I was living alone in a foreign city..I quite often heard my name suddenly called by an unmistakable and beloved voice”.
“It’s wrong to turn this into a shameful problem that people either feel they have to deny or to take medication to suppress.”
Marius Romme
objectifs
Psychose en continuum avec la normalité vs rupture
Catégorie vs dimension
Normal/pathologique
Place de cette question dans la pensée psychiatrique
In Review CPA
Patient clozapine
Muffin empoisonné COMT: val/val vs met/met Robin Murray
Homosexualité & DSM
Hallucinés célèbres: case report vs EBM
Ouverture d’esprit et censure
Moyens
Fréquence des symptômes psychotiques dans la population normale
Est-ce que entendre des voix symptôme d’une maladie ou variété de l’expérience humaine ?
Emergence des groupes non-cliniques d’entendeurs de voix
Dimension vs catégorie
Contexte DSM Nosographie Classification Psychose générale
Pharmacologie A quoi sert un diagnostic si 80 % des
patients ressortent avec la même prescription
Quetiapine: antipsychotique, antidépresseur, anti PTSD, anxiolytique, craving, normothymique, somnifère, OH,
Psychanalyse Structuraliste Verwerfung
Continuum normal pathologique
Si on demande étudiants: « n’avez vous jamais entendu votre nom appellé de nulle part »? 60-70% oui je marchais dans la rue
je me suis retourné…
10-40% population générale
Visuelle ou auditive
Epidémiologie
Auto-questionnaire
Chapman’s positive scale
Peter’s delusion inventory (PDI)
Auteurs: Van Os; Verdoux
Epidémiologie
7000 population générale
18-64 ans
4.2% hallucinations ou délire attesté par psychiatre
17.5% élément psychotique 2% diagnostique 50 fois phénotype large que
schizophrénie (0.4%)
Van Os
Epidémiologie
Questionnaire salle d’attente généraliste
Omni: 1.2% diagnostique
Parmi les autres 25% persécuté 21% particulièrement proche de
Dieu 18% sont regardés de façon étrange 5% entendu des voix parlant d’eux
Verdoux
Epidémiologie
Endeuillés (Gallois, Rees) N=293 14%: hallucinations visuelles 13.3% auditives 46.7% resente la présence
Maison de retraite 61% hexpérience hallucinatoire 86% bienfait 54% jamais parlé de cela
Surveys of several thousand people in Britain, the United States and elsewhere have found that rates of paranoia are slowly rising, although researchers' estimates of how many of us have paranoid thoughts vary widely, from 5 percent to 50 percent.
A British survey of more than 8,500 adults found that 21 percent of people thought there had been times when others were acting against them. Another survey of about 1,000 adults in New York found that nearly 11 percent thought other people were following or spying on them.
Dennis Combs,
an assistant professor of psychology at the University of Texas at Tyler,
paranoïa
Étudiants college
5% paranoid thoughts.
10 ans après: 15%
Personnages
Personnages
- "I've always had a little voice in my head, particularly when I was younger and less assured", … "While onstage, during classical theatre the voice would suddenly say, "Oh, you think you can do Shakespeare, do you?” … "Recently, I was being interviewed on television and the voice inside my head said to me, "Who the hell do you think you are. You're just an actor, what the hell do you know about anything”…. "I've always had a little voice in my head pulling me down, particularly when I was younger and less grounded...My school days were not always happy and I wanted to get away from Wales and be someone else. I was stupid at school, I just didn't know what was going on. I thought I was on Mars, I didn't know what they were talking about." (1993, interview in the News of the World, Anthony Hopkins)