Programme Tanzmatten 2013

tanzmatten.fr

La saison 2013- 2014 de la salle culturelle des Tanzmatten s’inscrit dans le droit fil

des précédentes, avec une programmation éclectique et accessible à tous. Cette année

encore, nul doute qu’elle tiendra ses promesses, avec de nombreuses surprises mais aussi

de véritables découvertes !

À venir au programme : du théâtre, du conte, de la danse, de la musique classique ou actuelle,

de la chanson… Sans oublier de l’humour, indispensable pour chasser la morosité, et beaucoup d’autres émotions encore ! C’est à partir de ces ingrédients que les

Tanzmatten entendent favoriser l’accès pour tous à l’ensemble des champs du spectacle vivant.

Parallèlement, la programmation demeure de qualité, elle mobilise des artistes diffusés au

plan régional, national et international, et s’attache à maintenir une ouverture aux

artistes émergents. Bien entendu, les relations avec la pratique artistique

amateur, le milieu scolaire, les jeunes publics, les associations

et les acteurs locaux seront cette saison encore privilégiées.

Le public des Tanzmatten est de plus en plus nombreux : plus de 24 000

personnes se sont rendues aux divers spectacles la saison dernière. Quant au nombre d’abonnés

il affiche un record avec 1391 fidèles. À ce succès il faut aussi ajouter le public

nombreux des manifestations associatives et commerciales.

Alors, venez encore partager en nombre la nouvelle saison, laissez-vous gagner

par la diversité culturelle !

Marcel BauerMaire de Sélestat

Conseiller Général du Bas-Rhin

Édito

Chaque saison, nous cherchons à tisser une programmation équilibrée, avec des spectacles pour la famille et d’autres pour la découverte, pour éveiller l’esprit et la curiosité des spectateurs.

Si des fils rouges guident au choix des spectacles, nous les décelons souvent lorsque le calendrier se met en place. Car loin de vouloir prescrire des thématiques ou des questionnements, nous accueillons surtout des projets, des artistes que nous aimons et défendons. Cette année marque l’engagement

fort des Tanzmatten en faveur de la création. Nous plaçons notre confiance vers plusieurs troupes régionales particulièrement audacieuses, inspirées et ambitieuses. Citons Olivier Chapelet

avec « Bérénice », « No man’s square » des Conspir’acteurs, « De Natura » de Magic Electro, ou « Le colonel oiseau » du Théâtre du Vieux Rempart. La saison sera surtout marquée par deux résidences de création. En septembre-octobre, la King Size Compagnie montera « 2dans ». Puis Viva la Commedia viendra d’Île-de-France parachever sa dernière pièce, l’illustrissime « Un fil à la patte » de Feydeau.

Du clown, de la poésie. Vous retrouverez ces ingrédients en abondance cette saison. Un choix sans doute dicté par notre besoin de prendre du recul par rapport au monde, de retrouver un peu d’innocence, de candeur et de magie dans nos rapports aux autres.Très bonne lecture à tous !

Jean-Paul HumbertDirecteur des Tanzmatten

Marcel lœffler & Beck Jazz BandMAR. 10 SEPTEMBRE à 20h30 tout public / 1h30

Marcel Lœffler, accordéoniste de pre-mier plan en France, s’entoure d’une belle palette de musiciens pour une folle équipée dans le monde du jazz. Accompagné du Beck Jazz Band, il présente un programme éclectique avec quelques compositions originales et des reprises de mor-ceaux mythiques. Depuis le swing de Django Reinhardt jusqu’aux classiques de Duke Ellington, en passant par le funk de Earth Wind & Fire, c’est toute une histoire musicale qu’il retrace.

Originaire de Haguenau, Marcel Lœffler a baigné très tôt dans un bouillon magique, fait de musique manouche et de jazz. Pratiquant l’accordéon depuis l’âge de 5 ans, il a joué avec les plus grands jazzmen, tel Biréli Lagrène. Sa carrière de musicien professionnel, en tant qu’accompagnateur puis soliste, l’a conduit à s’intéresser à toutes les formes du jazz, d’Europe septentrionale, du Maghreb, d’Amérique Latine, jusqu’au jazz rock et expérimental des État-Unis. La collaboration avec le tromboniste et arrangeur Pascal Beck est l’occasion de revenir à ses premières amours et de produire, avec un véritable big band, une musique jazz inspirée et inspirante.

marcel-loeffler.com

Jazz et accordéon,

un accord majeur.

(Alsace) : Accordéon & arrangements : Marcel Lœffler – Trombone & arrangements : Pascal Beck Saxophone baryton & soprano : Franck Wolf – Saxophone ténor : Michael Alizon

Saxophone alto : Laurent Wolf – Trompettes : Serge Hassler & Frédéric Bocquel Basse : Gilles Coquart – Piano : Jean Yves Jung – Batterie : Jean-Marc Robin

noRMAL : 20¤ / RéduiT : 18¤ / ABonné : 14¤ - de 15 AnS, CARTeS CuLTuRe & viTACuLTuRe : 5,50¤ MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR

« L’accordéoniste manouche Marcel Lœffler improvise

avec une maîtrise, une subtilité harmonique et rythmique dignes

des spécialistes américains tels Mat Mathews, Pete Jolly,

et autre Art Van Damme ». Jazz Magazine

Jazz

Dans le cadre du Festival de jazz de Colmar

SPeCTACLe d’ouveRTuRe de LA SAiSon 2013-2014

enTRée eT PLACeMenT LiBReS BiLLeTS à ReTiReR à L’AvAnCe Aux TAnzMATTen

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SPeCTACLe d’ouveRTuRe de LA SAiSon 2013-2014

(Paris) – Textes : Laurent Conoir – Mise en scène : Anne Bourgeois – interprète : Agnes Pat’ Musiques : Mehdi Bourayou – Arrangements et bande-son : Maxime Richelme Chorégraphies : Johan nus – Costumes : Jef Castaing – Lumières et sons : Yvan Bonnin

le one Pat’ ShowPrésentation de saison en 1re partie

VEn. 13 ET SAM. 14 SEPTEMBRE à 20h30 à PARTiR de 8 AnS / 1h45

Agnes Pat’ se livre al dente dans une revue bouillante mêlant rires, chansons, piano, ukulélé, danse et autres bouffonneries enivrantes que son esprit malicieux aime inventer. Elle est blonde, pleine de charme et d’angélisme (c’est du moins ce qu’elle cherche à nous faire croire) et se compare elle-même à une nouille. Mais qu’on ne s’y trompe pas : elle sait tout faire en prétendant le contraire. De sa voix légère et cristalline, elle interprète toute une série de chansons originales, extrêmement drôles, sur des musiques de Mehdi Bourayou. Elle s’accompagne elle-même, et ose quelques

parodies déjantées. Elle mêle chants et sketches, passe de l’un à l’autre avec une faci-lité déconcertante. Son plus grand plaisir, elle ne s’en cache pas, est de jouer avec les mots. Ses numéros sont décapants, explosifs, loin du caractère mutin et innocent qu’elle se donne.

Et si elle déclare avoir adapté son rêve de show à l’américaine aux contraintes d’un budget à la française, on ne voudrait à aucun prix d’une super-production tant son seule-en-scène fait mouche. Bref, elle s’est trouvé une recette sur-mesure pour séduire son public et jouer de tous ses talents. Un spectacle plein d’humour et de glamour qui a une certaine patte, la « pat’ » d’Agnès.

agnespat.fr


« Elle excelle dans la comédie, la chanson et le rire. (...) Une incontestable présence. (…) Un humour décapant ». Le Parisien

Humour musical

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ORchESTRE PhilhARMOniquE dE STRASBOuRg / MuSicA (STRASBOuRg) – direction : Baldur Bronnimann Flûtiste soliste : Mario Caroli

PrograMMe finlandaiSOrchestre Philharmonique de Strasbourg / Festival Musica

VEn. 20 SEPTEMBRE à 20h30 tout public / 1h30

Le Conseil Général du Bas-Rhin et le festival Musica renouvellent la série des concerts décentralisés à travers le département. Le programme concocté pour cette nouvelle édition s’appuie sur la présence de Kaija Saariaho, en résidence musicale à Musica, pour mettre la musique finlandaise à l’honneur. Il est également conçu pour aborder un répertoire contemporain en douceur.

Les œuvres seront introduites au fil du concert par Baldur Bronnimann, chef invité de l’OPS, qui a collaboré avec les compo-siteurs les plus importants de notre époque : Harrison Birtwistle, Unsuk Chin, Thomas Ades, etc. Beaucoup demandé pour un réper-toire plus traditionnel, il s’intéresse plus particulièrement à la musi-que du début du XXe siècle. Il sera donc à son aise aussi bien sur les compositions pour orchestre à cordes de Grieg et Sibelius, dans la grande veine du post-romantisme, que dans les compositions moder-nes pour flûte solo de Saariaho et Lindberg. Elles seront interprétées par Mario Caroli, l’un des principaux solistes de sa génération. Depuis qu’il a remporté le très convoité « Kranichsteiner Musikpreis » de Darmstad à l’âge de 22 ans, il poursuit une carrière couronnée de succès, jetant des passerelles entre les répertoires et les genres avec une aisance qui déconcerte.

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Edvard Grieg « Deux Mélodies élégiaques, opus 34 » (1881)

Kaija Saariaho « L’aile du Songe » (2001)

Jean Sibelius « Rakastava, opus 14 » (1893, remanié 1912)

Magnus Lindberg « Arena 2 » (1996)

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Pour vous permettre de voir

des spectacles de qualité près de chez vous,

LE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN SOUTIENT

LE RELAIS CULTUREL DE

SÉLESTAT / LES TANZMATTEN

LE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHINAU DE VOS VIES

POUR + D’INFOS :www.tanzmatten.frwww.bas-rhin.fr/culture D

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King SizE cOMPAgniE (STRASBOuRg) – Jeu et conception : Stéphane Lafargue et Thomas niessMise en scène : Raquel Silva – Lumières : Sébastien Small – Costumes / Accessoires : Babette Réziciner

2danSJEu. 10 OcTOBRE à 10h ET 20h30 VEn. 11 ET SAM. 12 OcT à 20h30 à PARTiR de 8 AnS / 1h10

Deux clowns cohabitent, se croisent dans une même pièce. Une pièce on ne peut plus banale, avec un mur, une porte, du mobilier, un balai… Une pièce où les gestes les plus insignifiants se trouvent chargés de sens ; où les situations les plus simples comme dormir, boire, se laver, se vêtir, faire le ménage prennent un sens poétique, où l’extraordinaire s’immisce dans le banal. Dans ce cadre familier et rassurant, chacun redécouvre des gestes négligés, expérimente leur puissance, leurs limites, leurs incohérences.

Ces deux personnages vivent dans le même espace mais ne se voient pas. Et pourtant, chacune de leurs actions modifie la réa-lité de l’autre. De gré à gré, les scènes de la vie s’enchaînent ; la routine se trouve transcendée, pour faire place aux rêves et à l’imaginaire. L’espace lui-même se transforme pour suivre la logique et la plasticité d’un songe éveillé. Les petites actions, les conflits, deviennent prétexte à des questionnements existen-tiels, farfelus et philosophiques sur nos habitudes, nos manies. Un spectacle qui revisite le thème du quotidien, sans mora-lité ni défi, juste pour le plaisir de s’échapper de notre ordinaire, rien qu’un instant.

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SPeCTACLe en RéSidenCe de CRéATion

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« L’absurde, c’est la raison lucide qui constate ses limites ».Camus

2dAnS en RéSidenCe de CRéATion

Thomas Niess et Stéphane Lafargue se sont rencontrés à Yole, l’école de cirque de Besançon, et collaborent depuis douze ans. Entourés de leurs metteur en scène, costumier et régisseur, ils sont en résidence de création aux Tanzmatten du 16 septembre au 13 octobre pour finaliser la produc-tion de leur nouveau spectacle. À cette occasion, plusieurs rendez-vous vous sont proposés :

Répétition publique et rencontre avec l’équipeMAR. 24 SEPTEMBRE à 14h30Découvrez le travail de répétition, les réglages préparatoires au spectacle et dialoguez avec les artistes.

Exposition sur l’histoire du cirque et du clowndu 1ER Au 12 OcTOBRE incluS Outre 2dans, la saison culturelle 2013-2014 est particulièrement inspirée par le clown. L’occasion de redécouvrir son histoire, pour mieux com-prendre cet art, ancestral, qui a réellement pris son autonomie et son envol au XIXe siècle.

Conversation autour du clownMER. 2 OcTOBRE à 19h

Comment est né le clown ? Qu’est-ce qui fait son originalité ? Comment s’est-il intégré dans l’histoire du cirque ? Qui, mieux qu’un clown, pouvait répondre à ces grandes questions existentielles ? Luc Fontaine, artiste de cirque strasbourgeois fort prolixe sur son art, va tout vous dévoiler – ou presque. Et la conversation à laquelle vous êtes conviés va prendre une forme pour le moins originale et inattendue ! 11

l’affaire duSSaertMAR. 15 OcTOBRE à 14h30 ET 20h30 à PARTiR de 12 AnS/ 1h25

Imaginez qu’on vous invite au vernissage d’une exposition, et que vous vous trouviez face à une salle entièrement vide. La seule chose concrète qui s’offre à vos yeux est l’imposant catalogue de l’exposition. On n’y trouve bien évidemment au-cune reproduction des œuvres présentées, mais les critiques, commentaires, analyses abondent.

Cela se passe dans les années 1980. Philippe Dussaert, peintre contemporain radical, initiateur du mouvement vacuiste, présente son œuvre la plus aboutie, l’étape ultime de sa démarche artistique. Son projet amène à des controverses terribles. Cependant, le sujet se trouve éclipsé par la guerre du Golfe, qui mobilise alors l’opinion publique et les médias. Trente ans plus tard, Jacques Mougenot revient sur cet épisode.

Sous forme d’une conférence savamment didactique, l’œil malicieux et le verbe haut, il relate les différents soubresauts que connut cette affaire. Diapositives à l’appui, il livre les résultats de son investigation méticuleuse, sur l’artiste, sur son œuvre et le monde de l’art. L’occasion d’aborder avec humour et dérision le thème de l’avant-garde et de ses dérives. Et pour rendre les choses encore plus cocasses, il afflige son personnage des tics, verbiages et affectations de tout bon conférencier qui se respecte. Ce spec-tacle a reçu le prix Philippe Avron au festival d’Avignon Off 2011 et le prix du public au festival de Dax 2007.

« Et c’est avec des mots que rien

devint quelque chose ».

(Paris) – Texte, mise en scène et jeu : Jacques MougenotnoRMAL : 14¤ / RéduiT : 12¤ / ABonné : 9¤ - de 15 AnS, CARTeS CuLTuRe & viTACuLTuRe : 5,50¤ MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR

« Cette pièce est la plus surprenante, la plus malicieuse et la plus drôle que nous ayons

vue depuis longtemps. Vous ne regarderez plus

aucune œuvre contemporaine de la même manière. »

Toute la Culture ».

une co-production Scène et Public et canal 33.

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dAnS Le CAdRe de SéLeST'ART, LA BiennALe d’ART ConTeMPoRAin de SéLeSTAT

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PaScal PariSot

Les pieds dans le plat

VEn. 18 OcTOBRE à 14h30 ET 19h à PARTiR de 6 AnS / 1h10

Les pieds dans le plat, c’est le titre d’un livre- disque, composé par Pascal Parisot et illustré par Anne Laval, aux éditions Milan. Comme l’indique le titre, ce recueil de 14 chansons s’intéresse à la cuisine, à la nourriture, pour qu’on y plonge avec délectation. Sur scène, ces chansons sont encore bien plus drôles. Car si Pascal Parisot, l’auteur, compositeur et interprète ne met pas littéralement « les pieds dans le plat », on peut dire qu’il n’y va pas avec le dos de la cuillère pour nous réjouir avec son humour gratiné et ses mélodies épicées.

Rythmes joyeux et textes pince-sans-rire, il ra-conte une cantinière super sévère, des parents plus « bios » que Bioman, des poissons panés qui ressemblent plus à des paillassons qu’à des

espadons… Pascal Parisot, à la guitare, à la voix et au sampler est accompagné dans ses élucubrations musicales et gastronomiques par son fidèle marmiton Jacques Tellitocci, à la batterie de cuisine et au batteur électrique. Vraiment ! Pléthore d’autres instruments étonnants apparaissent au fil du spectacle : des ballons siffleurs, une gaine de fils électriques qui se prend pour un trombone, un seau d’eau musical, etc. Ça frétille, ça sue, ça cuit à l’étouffée et c’est à déguster sans modération.

Pour les gourmands et les gourmets de la chanson.

(Paris) – Chant / Guitare : Pascal Parisot Batterie / Percussions : Jacques Tellitocci TARiF unique : 5,50¤

MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR

cHanson Jeune public

Photo : Frédérique Dastrevigne

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À l’instar de ces fous pleins de sagesse, donner des ailes à ses rêves...

ThéâTRE du ViEux REMPART (SélESTAT) – Texte : Hristo Boytchev – Adaptation française : iana-Maria dontcheva – Mise en scène : Anny Muller – interprètes : Christian Fruchard, Thierry Losser, Guilhem Borghesi, Laurent Fritschmann, Jean-Yves Chassery, Patrick Losseroy, Fabiola Brock, André Bernhard et Cédric Baechler

Régie : Christophe Kam et Alain Christmann

colonel oiSeauCréation du Théâtre du Vieux Rempart

JEu. 7 ET SAM. 9 nOVEMBRE à 20h30 diM. 10 nOVEMBRE à 17h du MAR. 12 Au JEu. 14 nOVEMBRE à 20h30 à PARTiR de 13 AnS / 1h20

Dans un ancien monastère transformé en asile psychiatrique, isolé de tout, un jeune médecin débarque. Il découvre une petite communauté de fous, inoffensifs, qui tentent de survivre. Sans chauffage mais avec un improbable poste de té-lévision qui les relie au monde. Non loin de cet asile de fortune, la guerre fait rage et, une nuit, une erreur de parachutage leur fournit une aide providentielle avec des vivres et quelques vêtements militaires. Leur vie s’en trouve soudain transformée et pour remercier le monde civilisé de cette manne céleste, ils envoient dans le ciel des centaines d’oiseaux porteurs d’offres de services…

Créée à Sofia en 1997 par l’auteur bulgare Hristo Boytchev, cette fable moderne nous transporte dans un univers plein de poésie, où alternent humour, violence et tendresse. Primée par le British Council, la pièce est jouée dans le monde entier. Elle est reprise avec enthousiasme par la troupe de théâtre de Sélestat (qui, mine de rien, a fêté ses 33 ans), bien décidée à porter avec force ce message d’espoir, de paix et d’humanité.

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« Ni statue du Commandeur Ni ombre tutélaire,

Simplement un compagnonnage fidèle et curieux avec celle qui

porte la nouvelle création ». Pierre Blondé

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À l’instar de ces fous pleins de sagesse, donner des ailes à ses rêves...


la SeMaine de l’huMour

du 16 Au 28 noveMBRe

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Le Grand Tremplin de l’HumourAnimé par Antonia de Rendinger

SAM. 16 nOVEMBRE à 20h30 TouT PuBLiC / 2h

Chevelus, dégarnis, velus, moustachus, rasés, épilés... Les humoristes de tous poils sont les bienvenus à cette 5e édition du Grand Tremplin de l’Humour qui récompense des candidats ama-teurs ou expérimentés. Les premiers concourent en catégorie «1er Saut » ; les plus entraînés se re-trouvent en catégorie « Grand Saut ». Chacun a huit minutes chrono pour présenter son sketch et séduire le jury, composé de professionnels et spécialistes de la scène. Le public vote égale-ment pour son candidat favori, toutes catégories confondues. Les lauréats sont invités à jouer en première partie de l’un des artistes invités de la Semaine de l’Humour.

Aux manettes de cette soirée placée sous le signe du rire : Antonia de Rendinger, humoriste strasbourgeoise révélation de l’émission On n’demande qu’à en rire sur France 2. Dérision, gaudriole, émotion sont toujours au rendez-vous. Venez donc nombreux soutenir les jeunes talents du rire, la qualité du spectacle et l’ambiance dans la salle vous surprendront à coup sûr.

Scène ouverte aux humoristes !

TARiF unique : 5,50¤ MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR

Inscriptions avant le 8 novembreInscrivez-vous en ligne sur le site internet

tanzmatten.fr ou retirez le formulaire d’inscription directement aux Tanzmatten.

SélectionLes artistes qui ont déjà une expérience de la scène sont invités à présenter des vidéos

ou enregistrements de leurs sketches. Les personnes peu expérimentées passeront

une audition ven. 15 novembre à 18h. Les détails pratiques seront transmis

après l’inscription.

Stage de préparation Antonia de Rendinger aiguillera les amateurs dans leurs mises en scène

sam. 16 novembre, à partir de 13h30 aux Tanzmatten.

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Le Capitaine Sprütz en 3D

MAR. 19 nOVEMBRE à 20h30 à PARTiR de 8 AnS / 1h20

Pas besoin de lunettes spéciales pour apprécier l’illustrissime Capitaine Sprütz en 3D. C’est fidèle à lui-même, bedaine en avant, casque spatial sur la tête et en costume de voyageur cosmique qu’il revient. Comme toujours, son retour sur Terre est l’occasion de livrer un certain nombre de ré-flexions inspirées par ses virées à travers le cosmos. Pour le coup, l’espace sans fin n’offrant qu’un piètre étalage de distractions, c’est dans la biblio-thèque de son vaisseau que le Capitaine Sprütz a trompé l’ennui. Il rapporte donc quelques mots

d’auteurs qui l’ont marqué et qui lui semblent propices à retrouver une forme d’équilibre face à l’agitation du monde.

En fouillant dans ses archives, Sprütz ressort de belles pépites et profite de l’occasion pour quelques remarques féroces sur nos habitudes et nos mœurs. Mais cette 3D ? Quel intérêt pour un infatigable voyageur, déjà familier de la quatrième dimension, celle où se croisent la logique de l’Alsacien et la réalité de l’uni-vers ? Ne vous y trompez pas, Sprütz repense la 3D à son image. C’est un Doux Délire Durable, un Défenseur Dynamique Désirable, un Demi-Dieu Désopilant, un Démocrate Dévergondé et Décapant, voire un Dandy Délicieusement Drôle.

Le cyber-héros alsacien a fêté ses 20 ans !

(Strasbourg) — Texte et jeu : Jean-Luc Falbriard Lumières : Christine denis vidéos : Tarcise Schmitt et xio

noRMAL : 14¤ / RéduiT : 12¤ / ABonné : 9¤ - de 15 AnS, CARTeS CuLTuRe & viTACuLTuRe : 5,50¤


la semaine de l’Humour

« C’est le phénomène alsacien du café-théâtre alsacien ! Les aventures du Capitaine Sprütz se suivent sans que son public ne se lasse. Au contraire… » DNA

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Jean-François DerecGérard Bouchard, le retour !

MER. 20 nOVEMBRE à 20h30 à PARTiR de 12 AnS / 1h20

Jean-François Derec est de retour avec son person-nage mythique, Gérard Bouchard, un raté patho-logique et attendrissant. Quel plaisir de retrouver l’humoriste sur les planches avec sa voix à nulle autre pareille et son sempiternel bonnet rouge, qui fait office chez lui de bleu de travail. Il livre une succession de sketches dans lesquels il raconte les tribulations navrantes de ce pauvre hère qui essuie déconvenue sur déconvenue. Pour commencer, sa femme le lâche pour excès de communication, puis il se lie avec une véritable intégriste de l’écologie, avant de se lancer dans une excursion désastreuse en banlieue. De fil en aiguille, on suit ses aventures insolites et hilarantes, dont il nous narre les sou-bresauts avec son air débonnaire et une naïveté exemplaire. Ses maladresses, ses faux-pas agissent finalement comme un révélateur de ce que la vie peut avoir de plus absurde. L’humoriste vous fera à coup sûr oublier vos soucis le temps du spec-tacle. Mais il vous prévient : vous les récupérez à la sortie, il a assez à faire avec les siens.

La « lose attitude » chevillée au corps.

(Paris) — Texte et jeu : Jean-François derec Mise en scène : Roger Louret noRMAL : 17¤ / RéduiT : 15¤ / ABonné : 12¤

- de 15 AnS, CARTeS CuLTuRe & viTACuLTuRe : 5,50¤ MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR

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Claudia Tagbo

Crazy

VEn. 22 nOVEMBRE à 20h30 à PARTiR de 11 AnS / 1h20

Si vous n’avez pas retenu son nom, vous ne pou-vez pas être passés à côté de son rire. Car Claudia Tagbo est une jeune femme pétillante, au bagou immense, qui fait du rire son meilleur ami. Elle le partage cependant avec générosité. Son spectacle est une compilation de moments de vie : elle livre un portrait croustillant de sa famille, raconte leur arrivée en Lozère, son passé de lanceuse de poids, la galère pour laver des cheveux frisés… Quelques

digressions plus tard, la voici en train de singer des actrices ou ath-lètes de haut niveau. Et il y a les hommes, ses meilleurs ennemis, qu’elle aime à mettre gentiment en boîte.

Toujours allègre, à moins qu’il ne lui prenne une velléité aussi soudaine que fugace de s’indigner ou de jouer les femmes autori-taires, elle incarne la femme libérée et indépendante du XXIe siècle. Elle joue avec ses rondeurs et avoue sa fierté à entrer dans du 36… togolais ! Elle roule du popotin, elle roule des yeux, chante, danse… Elle mélange sketches et stand-up et use avec à-propos de ses talents de comédienne. Car la demoiselle possède une maîtrise des Arts du Spectacle, option théâtre, et a déjà une solide expérience sur les planches, au cinéma ou à la télévision. Accrochez-vous à vos sièges, la bourrasque Claudia va sévir !

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Un rire qui éclabousse, qui enveloppe, qui vous entraîne dans son sillage.

(Paris) — Mise en scène : Fabrice éboué — Jeu : Claudia Tagbo Guitare : distribution en coursnoRMAL : 27¤ / RéduiT : 25¤ / ABonné : 21¤


« On dit qu’elle est la pile électrique du Jamel Comedy Club. Réducteur ! Claudia Tagbo, c’est l’énergie renouvelable, le magma en fusion, l’univers en expansion. Sur scène, il ne lui faut pas plus d’une minute pour se mettre le public dans la poche ». 20 minutes

Photo : John Waxxx


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Jonathan LambertPerruques

SAM. 23 nOVEMBRE à 20h30 à PARTiR de 13 AnS / 1h30

« Brad Pitt, on croit que ce sont ses cheveux mais c’est une perruque. David Pujadas, c’est le contraire, on croit que c’est une perruque mais ce sont ses cheveux ». Qu’on se le dise, le nouveau spectacle de Jonathan Lambert, popularisé par ses quatre saisons dans l’émission On n’est pas couché de Laurent Ruquier, met le cheveu à l’honneur. Et pour cause ! Avec pour seuls accessoires une co-horte de perruques, il se glisse dans la peau d’une ribambelle de personnages, tous plus désaxés les uns que les autres. Parmi eux, on retrouve le cé-lèbre Jean-Guy Badiane, animateur de supermarché ou Damien Baïzé, un demeuré assoiffé de sexe. Mais aussi une geisha barbue, une femme cougar, un chirurgien low-cost, etc.

Jonathan Lambert n’a peur de rien et surtout pas des excès. Depuis ses débuts à la télé dans La grosse émission sur la chaîne Comédie, il a porté l’art du déguisement et de la suren-chère à son apogée. Ses personnages, sous leurs airs ordinaires, naviguent entre l’absurde et le trash, affrontent des situations totalement affreuses et surréalistes. Qu’ils soient odieux, infré-quentables, ridicules ou touchants, on se prend vite d’empathie pour ces individus singuliers qui, mine de rien, nous rappellent toujours quelqu’un. Ils ne sont jamais exemplaires, certes ! Mais ils le sont avec panache.

jonathanlambert.fr

Un spectacle « capillairement » fou,

qui décoiffe.

(Paris) — Texte : Jonathan Lambert, Arnaud Lemort, olivier eloy et olivier Berclaz — Jeu : Jonathan Lambert

Lumières : dimitri vassili — Perruques : Alban Travia


« Entre cynisme, absurde et humour trash, Jonathan

Lambert prouve qu’il a bien un profil à part dans la scène

comique française ». Direct Matin

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Sir JohnSir John is back

MAR. 26 nOVEMBRE à 20h30 à PARTiR de 7 AnS / 1h10

Sir John n’a pas de britannique que le nom, il en a aussi l’allure. Costume noir, chemise blanche, chapeau melon vissé sur la tête, il a la panoplie vestimentaire de tout bon agent secret. Sa nou-velle mission ? Sauver le monde en désamorçant une bombe atomique sur la Lune. Le hic ? Ses com-pétences en tant qu’agent secret rappellent plus celles d’un OSS 117 ou d’un Johnny English qu’un bon James Bond.

Olivier Sir John a créé ce personnage loufoque en 1998, qu’il conti-nue de faire vivre, spectacle après spectacle. As du mime et du bruitage, il raconte cette nouvelle aventure avec un minimum de mots et un maximum d’effets visuels… et auditifs ! Sans décor ni accessoire, avec notre imaginaire pour seul support, il nous emmène d’Europe en Amazonie et vers d’autres contrées tout aussi dépaysantes. Et on rit follement de ce pauvre bougre, lâché par sa voiture, ses gadgets ultra-sophistiqués, et même par une créature de rêve qui s’appelle Paulo… Il y a du Monty Python, du Tex Avery, du Peter Sellers et du Jacques Tati dans ce Sir John, qui plaira à toute la famille.

Une comédie d’aventure et d’action complètement siphonnée, totalement british.

SiR JOhn & cOMPAgniE (PARiS) — Texte : olivier Sir John et Marie-eva Penaranda Mise en scène : Marie-eva Penaranda — Jeu : olivier Sir JohnnoRMAL : 14¤ / RéduiT : 12¤ / ABonné : 9¤


« Un virtuose du visuel et du bruitage ». Télérama


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Eric BouvronAfrika

JEu. 28 nOVEMBRE à 20h30 à PARTiR de 7 AnS / 1h20

« Je m’appelle Éric Bouvron et je suis un Africain. Oui, je suis un homme de couleur, chocolat mais blanc ». Éric Bouvron est un homme multiculturel qui a choisi, dans ce nouveau spectacle, de nous emmener tam tam battant à la découverte de l’Afrique. Avec la complicité du percussionniste et comédien Mathos, il nous présente l’Afrique où il a grandi : colorée, édifiante, émouvante, drôle. Mêlant humour, danse, musique et dessin, il évoque de manière spectaculaire la pensée, la nature, la faune ou la médecine africaine. En quelques postures, avec quelques accessoires faits maison ou détournés de leur fonction première, il imite des oiseaux plus ou moins connus, un singe hurleur, la sangouma — l’homme médecin sorcier. Véritable conteur, c’est avec une drôlerie teintée de tendresse qu’il rend tangible la chaleur du soleil, la fraîcheur du soir… Jusqu’au moustique particulièrement pugnace auquel il faut livrer une guerre acharnée. Et surtout, il y a ces danses ethniques extraordinaires, qu’il reproduit avec une aisance non dissimulée car, en Afrique, « la virilité de l’homme se révèle par sa façon de danser ». Un spectacle complet, fascinant, astu-cieusement mis en scène par Sophie Forte, d’une énergie redoutable, qui nous ouvre aussi bien sur l’Afrique que sur nous-mêmes.

eric-bouvron.com

En Afrique on dit : « Tant qu’on arrive à se moquer de soi-même, on n’est jamais ridicule ».

(Paris) – Texte : éric Bouvron – Jeu : éric Bouvron et Mathos – Mise en scène : Sophie Forte Musiques : éric Bono – Photos : Sabine Trensz – Lumières : edwin Garnier – Costumes : virginie Houdinière

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« éric Bouvron sait nous emmener sur les rives de

l’imaginaire. Il mélange le récit, les traits d’humour, la danse, le visuel, avec un esprit aussi brillant qu’un éclat de lune ».

Pariscope

Joué à l’Opéra Bastille, Gold débarque

aux Tanzmatten !



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En Afrique on dit : « Tant qu’on arrive à se moquer de soi-même, on n’est jamais ridicule ».


Joué à l’Opéra Bastille, Gold débarque

aux Tanzmatten !

cOMPAgniE cAS PuBlic (quéBEc) – Chorégraphie : Hélène Blackburn et Pierre Lecours – interprètes : Alexandre Carlos, Cai Glover, Merryn Kritzinger, daphnée Laurendeau et isabelle Paquette – éclairages : Andréanne deschênes – Scénographie : Martin Bryson, Samuel Thériault – Musique : Jean-Sébastien Bach et Martin Tétreault – Costumes : Hélène Blackburn et daniel Fortin – vidéo : Samuel Thériault

goldVEn. 6 décEMBRE à 14h30 ET 20h30

à PARTiR de 6 AnS / 1h

Gold comme de l’or. Gold comme Goldberg. Jouant sur la sémantique, la compagnie québécoise Cas Public propose une chorégraphie scintillante autour des Variations Goldberg de Jean-Sébastien Bach, interprétées par Glenn Gould. Offrant une belle qualité d’interprétation et de technique, le spectacle allie poésie et une sacrée dose de malice.

Cinq danseurs explorent la partition, son thème musical et ses multiples déclinaisons. Ils imaginent en symétrie une danse qui se construit par leitmotivs et ajustements successifs. Par le détour-nement astucieux d’objets présents dans le quotidien, comme des petites chaises ou des balles, ils apportent fantaisie et ludisme au spectacle. Ils passent des claquettes à la danse hip-hop avec quelques incursions vers les percussions corporelles et la jonglerie, tandis que des jeux de lumières rigoureux valorisent leurs jeux. Duos époustouflants, séquences de groupe rythmées et précises, le quintet a trouvé la formule pour subjuguer les enfants et leurs familles. Car la pièce, qui associe étroitement danse, lumières et musique peut être appréciée quel que soit l’âge du spectateur et res-sentie diversement, selon la sensibilité et l’expérience de chacun.

caspublic.orgnoRMAL : 17¤ / RéduiT : 15¤ / ABonné : 12¤


« Blackburn a respecté l’intelligence des enfants et leur a offert de la qualité et du contenu. Une belle introduction à la danse et à la musique classique ». Df Danse

coproduction de la Maison des Arts de laval et de l’Agora de la danse.

danse

Photo : Dam

ian Siqeiros

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(Montreuil) – Concept et musique : vincent Boisseau – voix, mime, sonoplastie : Pierre Audigier Clarinette, clarinette basse : vincent Boisseau – Saxophone baryton : Philippe Martin

Batterie, percussions : Johann Fiot

leS triBulationS d’haroldMAR. 10 décEMBRE à 20h30 à PARTiR de 7 AnS / 1h15

Prenez la FBI — Fanfare Burlesque d’Inter-vention. Ajoutez deux bons courts-métrages d’Harold Lloyd, le maître du cinéma muet, comédien et réalisateur américain le plus popu-laire des années 1920, devant Chaplin. Pimen-tez par quelques scènes de mime, de théâtre et de clown. Vous obtenez un magnif ique ciné- concert-spectacle.

Quatre musiciens accompagnent, doublent et bruitent en direct et à vue les projections de The non stop kid et Get out and get under / Oh la belle voiture ! La formation instrumentale, alliant notamment saxophones, clarinettes et batterie, produit une musique puisant dans le jazz et les musiques actuelles. Les bruitages, souvent fa-cétieux et discordants, ne sont pas sans évoquer l’univers plus moderne des cartoons. Visant un « spectacle total », les artistes proposent une suite et un nouveau dénouement mimé pour cha-que film. Comme sortis de l’écran, ils réécrivent l’histoire en trois dimensions, jouant sur le burlesque et la pantomime, introduisant parfois des jeux d’ombre hilarants avec l’écran. Lorsque le septième art prend sa place dans une salle de spectacle, c’est pour le plus

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« Les courts-métrages d’Harold Lloyd servent

ici de point de départ à une imagination

en totale ébullition ». La Marseillaise

Production Brouhaha, en coproduction avec le centre culturel Max Juclier à Villeneuve-la-garenne et le Tremplin à Beaumont. Avec le soutien de la dRAc Île-de-France, de l’AdAMi et de la SPEdidAM.

Redonner au cinéma sa dimension de spectacle vivant.

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Redonner au cinéma sa dimension de spectacle vivant.

la ferMe deS aniMauxMAR. 17 décEMBRE à 10h,

14h30 ET 19h à PARTiR de 7 AnS / 50min

La ferme des animaux a été transcrite au cinéma, en dessin animé et a servi d’inspiration à des spec-tacles, des albums musicaux. Elle fait ici l’objet d’une adaptation en théâtre de marionnettes.

Dans un univers de plastique et d’emballages récupérés, voici que s’anime la ferme imaginée par George Orwell. Avec ses couleurs vives, dans une esthétique « pop » faussement naïve, elle semble représenter un petit paradis, et pourtant… Il s’y

joue une révolution ardente, qui verra les cochons supplanter les hommes et prôner un monde nouveau. Mais très vite, le pouvoir des cochons devient à son tour absolu, arbitraire, dictatorial.

Grâce au travail méticuleux de ses plasticiens, la compagnie Fois Rien recrée un corps de ferme magnifique avec sa cohorte d’ani-maux tous plus expressifs les uns que les autres. Des circuits commandés, des caméras, de la vidéo animent cet espace et per-mettent de restituer le fil et les enjeux de l’histoire de manière très visuelle. Sous une légèreté enfantine, une fausse innocence, la pièce séduit les enfants tout en gardant un propos didactique : elle dénonce l’autoritarisme sous toutes ses formes, les dérives de la propagande, de la vidéosurveillance et rappelle l’importance de l’instruction pour y faire obstacle.

« Tous les animaux sont égaux mais certains sont plus égaux que d’autres ».

cOMPAgniE FOiS RiEn (STRASBOuRg) — Texte : George orwell — Régie et jeu : Julien Kowaltschek et quentin Lemaire — Marionnettes, décors, animations : Julien Kowaltschek — Mise en scène, musique, technique : quentin Lemaire — Musique : M. elevator


tHéâtre / marionnettes Jeune public

Avec le soutien de la ville d’Ostwald et de l’Espace culturel le Point d’Eau.

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Un programme festif et parfois dansant !

lA FOlliA, ORchESTRE dE chAMBRE d’AlSAcE – violon solo et direction musicale : Hugues Borsarello

concert du nouvel an diM. 5 JAnViER à 17h tout public / 1h30

Connue et appréciée des habitués du Concert du Nouvel An, la Follia propose une fois encore un programme qui joue la carte de la découverte. Piazzolla, compositeur et bandonéoniste argentin, est le grand maître d’un « nouveau tango ». Inspiré par Ravel, Stra-vinsky et Bartók, il conçoit des rythmes syncopés, complexes et changeants, joue sur les dissonances, et conjugue vivacité à un cer-tain lyrisme nostalgique. S’il rend hommage à Vivaldi, ses Quatre Saisons sont de nature plus urbaine que pastorale et évoquent l’atmosphère de Buenos Aires. Puis on savoure deux pépites, par-faites pour la circonstance : la valse brillante de Kreisler, gracieuse, enlevée, et la pièce de Gustav Holst, qui puise dans les mélodies folk, juxtaposant mouvements dansés à un certain onirisme.

Pour se faire une petite gourmandise musicale, on retrouve les danses roumaines de Bartók. S’affran-chissant du langage classique traditionnel, le génie hongrois fait éclater, dans ces six miniatures, toute l’essence de la musique folklorique. Pour le bon-heur des petits et des grands enfants, La Symphonie des Jouets, attribuée à Leopold Mozart, séduit par sa gaieté et sa fantaisie. L’orchestre utilise plusieurs accessoires originaux, tel un appeau imitant le chant du coucou et du rossignol, ou une crécelle. Un petit clin d’œil aux instruments rares que l’ensemble a eu l’habitude de nous présenter !

la-follia.org

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Astor Piazzolla « Les Quatre Saisons de Buenos Aires » (1970)

Leopold Mozart « La Symphonie des Jouets » ( XVIIIe siècle)

Béla Bartók « Six danses populaires roumaines » (1917)

Fritz Kreisler « Schöner Rosmarin » (1905)

Gustav Holst « Brook Green Suite » (1933)

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Un programme festif et parfois dansant !


coloratureMrs Jenkins et son pianiste

VEn. 24 JAnViER à 20h30 à PARTiR de 9 AnS / 1h20

« Colorature » sert à désigner une voix virtuose. Si Flora Jenkins est virtuose, c’est seulement pour chanter faux. Dans les années 1930, cette riche héritière américaine, certaine de ses talents vocaux, s’improvise soprano. Ses aigus sont faux, ses vocalises apocalyptiques, son sens du rythme, nul. Pourtant, étrangement sourde aux quolibets du public, elle multiplie les récitals et les enre-gistrements. Elle prend à son service le pianiste Cosme McMoon. Des années plus tard, il évoque leur longue et étrange collaboration.

L’histoire de Flora Jenkins est vraie et a marqué les annales de la musique. Hergé s’en serait d’ailleurs inspiré pour créer son célèbre personnage de la Castafiore. Le spectacle, sous forme de pièce musicale, retrace son destin à la fois hilarant et bouleversant. Il fait alterner confidences de Cosme McMoon et moments de flash-back. L’accent est mis sur la relation entre les deux protagonistes, la tendresse qui progressivement les unit, dans une atmosphère de douce folie. C’est un portrait intimiste, tout en délicatesse, que dressent les comédiens Grégory Baquet et Agnès Bove. Cette dernière a la tâche délicate d’oublier ses études au Centre de Formation Lyrique de l’Opéra de Paris et chante divine-ment faux. Le tandem atteint une belle harmonie, lui au piano, elle, interprétant ce personnage excentrique et néanmoins fragile, naïf. Créée à Broadway en 2005, la pièce est devenue un immense succès et a été reprise dans le monde entier.

« Vous l’avez, l’oreille absolue ?- Absolument, oui ».

(Paris) — Texte : Stephen Temperley, traduit en français par Stéphane Laporte — Mise en scène : Agnès Boury interprètes : Agnès Bove et Grégory Baquet — Lumières : Laurent Béal — Costumes : eymeric François décors : Claude Plet



tHéâtre musical

« Agnès Bove opère un exploit qui suscite des cascades de rires (…). Grégory Baquet occupe la scène avec brio. Il sait tout faire et enveloppe de dansantes et parfaites harmonies une rencontre consacrée à l’inharmonie ! » Le Point

Photo : Michael Crotto

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Hissez hissez haut les saxophones.

lES déSAxéS (ÎlE-dE-FRAncE) – interprètes : Frédéric Saumagne, Guy Rebreyend, Samuel Maingaud et Michel oberli – Mise en scène : Philippe Martz – Costumes : nicole delicieuse

Sea, Sax & fundiM. 26 JAnViER à 17h à PARTiR de 6 AnS / 1h30

Quatuor improbable, les Désaxés sont des saxophonistes virtuoses qui ont choisi de ne pas se prendre au sérieux et de s’amuser avec leurs instruments. Créé en 1994, le groupe s’est forgé une solide réputation et a parcouru le monde entier. S’inspirant de leurs multiples tournées, les quatre globe-trotteurs nous proposent un incroyable tour du monde musical. Ils nous embarquent pour un voyage totalement dingue, qui nous fait passer au gré des courants par des airs jazz, reggae, classiques, flamenco, pop, gospel, etc. Et si cela ne suffisait pas, on goûte à quelques morceaux tirés des répertoires traditionnels péruviens, irlandais ou russes. Comédiens, danseurs, bruiteurs, chanteurs, ils exploitent tous leurs talents pour faire rire les mélomanes qui sommeillent en nous.

Désaxés, ils ne le sont pas tant que ça. Assurément, leur concert est assez improbable et ils emploient leurs saxophones de manière parfois étrange. Mais chacune de leurs esbroufes est particulièrement travaillée, orchestrée, milli-métrée. Brillants disciples du conservatoire, leurs distinctions ne se comptent plus : prix de la SACEM, prix du public au festival d’humour de Saint-Gervais, etc. Mais leur plus grande récompense leur est accordée par le public, lorsqu’il rit, s’étonne, fredonne et entre dans leurs jeux.

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Avec le soutien de la SPEdidAM.

« Un brin déjantés et franchement talentueux.

Quatre saxophonistes chanteurs, bruiteurs et comédiens,

embarqués sur un voilier-cabaret pour une virée musicale

et jubilatoire. (…) On se laisse surprendre avec délice ».

La Provence.

« Le spectateur ne doit jamais reprendre son souffle ».

Georges Feydeau

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Hissez hissez haut les saxophones.


« Le spectateur ne doit jamais reprendre son souffle ».

Georges Feydeau

un fil à la Patte

VEn. 31 JAnViER à 14h30 ET 20h30 à PARTiR de 12 AnS / 2h

Fernand de Bois d’Enghien s’apprête à épouser une riche héritière. Le contrat de mariage va être signé le soir même. Il doit donc mettre un terme au plus vite à sa relation avec Lucette Gauthier, chanteuse de cabaret renommée. Mais sa lâcheté lui fait rater les différentes occasions de rompre qui s’offrent à lui. À force de vouloir ménager sa maîtresse, sa fiancée, sa belle-mère, il s’enfonce progressivement dans une situation inextricable. Et les personnes qui l’entourent ne font rien pour l’aider. Parmi eux, Bouzin, mi-nable clerc de notaire et compositeur raté qui attire tous les ennuis, le tempétueux général Irrigua, amoureux contrarié de Lucette,

et la future mariée, qui trouve son fiancé trop sage. Le pire intervient lorsque la belle-mère engage Lucette pour chanter au mariage.

Monter un Feydeau est une gageure. Quiproquos, malentendus, rencontres imprévues, sont réglés au millimètre près. Mais cette horlogerie comique parfaitement construite, équilibrée, ne tient que si

les comédiens y mettent une totale sincérité et un intense enga-gement émotionnel. Ils portent des personnages qui se trouvent sans cesse au pied du mur et qui n’ont d’autre choix que de se montrer féroces les uns avec les autres. Dans une mise en scène sobre, inspirée de la Belle Époque, c’est le défi que se lanceront Anthony Magnier et ses acolytes. La première de ce spectacle aura lieu aux Tanzmatten après quelques jours de répétition.



Photo : Anthony M

agnier

SPeCTACLe en RéSidenCe

de CRéATion Plus d’informations

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Avec le soutien du festival du Mois Molière et la Ville de Versailles.

tHéâtre / VaudeVille

cOMPAgniE ViVA lA cOMMEdiA (VERSAillES) – Texte : Georges Feydeau – Mise en scène : Anthony Magnier, assisté de Philippe Beheydt – interprètes : 10 comédiens (distribution en cours) – Lumières : Rémi Cabaret décors : Caroline Mexme – Costumes : Mélissande de Serres – Son : Mathias Castagné Perruques et maquillages : Christine Laurent

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un FiL à LA PATTe en RéSidenCe de CRéATion

La compagnie versaillaise Viva La Commedia achève la création de son nouveau spectacle aux Tanzmatten. À l’issue d’une semaine de répétition, vous pourrez assister aux deux premières représentations du spectacle. Un moment et une ambiance tout à fait particuliers, que vous pourrez goûter avec les artistes et leur équipe.

La compagnie Viva La CommediaCréée en 2002 et dirigée par Anthony Magnier, Viva La Commedia est une vraie troupe, une « famille » d’artistes, d’artisans, de techniciens, d’admi-nistrateurs qui œuvrent ensemble autour du spectacle vivant dans un même élan de créativité. Elle s’est créée dans le giron de la commedia dell’arte, mais ne s’en contente pas : la compagnie se consacre au théâtre populaire en revisitant les grands textes du théâtre français. Elle a à son actif 11 créations.

Elle a noué au fil des ans un partenariat privilégié avec les Tanzmatten puisque 5 de ses pièces y ont été présentées depuis 2004 :

« La princesse folle », d’après Flaminio Scala (2004)

« L’illusion comique », de Corneille (2006)

« Le songe d’une nuit d’été », de Shakespeare (2008)

« Tartuffe », de Molière (2010)

« Cyrano », d’Edmond Rostand (2012)

Anthony MagnierDirecteur artistique, metteur en scène et comédien, Anthony Magnier est un autodidacte affirmé, qui s’est créé un faisceau d’expériences et de compé-tences au fil de ses rencontres. Il intègre d’abord l’école du cirque, étudie la scénographie et l’histoire du théâtre. Sa rencontre avec Carlo Boso (metteur en scène issu du Piccolo Teatro de Milan) marque un tournant décisif dans sa construction artistique. Ce dernier lui fait découvrir l’école Italienne. Ce théâtre de tradition populaire exigeant et polyvalent lui offre enfin une voie d’expression à la hauteur de son énergie. Il y apprend la maîtrise de l’improvisation et du masque, se forme à l’escrime, au chant et à l’acrobatie. Pendant près de dix ans, il joue et collabore aux mises en scène de Carlo Boso avant de monter sa propre troupe en 2002. Depuis, il agrège dans ses créations ses diverses compétences pour créer un pont entre l’univers du théâtre populaire et celui du texte classique.

Une fusion des familles Duraton, Simpson et Adams,

version russe.



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Une fusion des familles Duraton, Simpson et Adams,

version russe.

cOMPAgniE du TEATR licEdEi (SAinT-PéTERSBOuRg) – écriture et interprétation : Alexander Gusarov, olga eliseeva, Marina Makhaeva, Yulia Sergeeva, Kasyan Ryvkin et elena Sadkova Lumières : valery Brusilovskiy – Son : Sergey ivanov – Scénographie : Boris Petrushanskiy effets spéciaux : Ravil Baygeldinov – Habilleuse : Anna Mamontova Régie plateau : nikolay orlov et Murad Kutuev

la faMille SeMianyki MAR. 4 FéVRiER à 20h30

à PARTiR de 6 AnS / 1h40

Ils s’agitent, picolent, se chamaillent. Les Semianyki sont une famille totalement frappadingue, portée par six clowns, tout droit sortis du

prestigieux Teatr Licedei de Saint-Pétersbourg. La famille compte quatre gamins, ingénieux et délurés, qui passent le temps en tentant de trucider leur père. Lequel est un alcoolique invétéré, un peu veule, un peu indifférent, dont l’unique but est d’étancher sa soif. Quant à la mère, enceinte jusqu’aux dents, elle a fort à faire pour tenir ce petit monde en place

tout en gérant une libido débordante.

Toute cette tribu pour le moins folklorique évolue dans un bric-à-brac absolument improbable. Les blagues les plus ignobles éclatent à chaque instant. Mais cette violence outrancière s’avère chaque fois totalement inoffensive. Car finalement, c’est sans doute le moyen qu’a choisi cette famille pour exprimer toute sa tendresse.

Sans un mot, avec leurs grimaces, leurs mimiques, leurs dégaines surréalistes, ces six-là provoquent le rire à chaque instant. Mais ils parviennent aussi à suggérer les émotions les plus fines, les sen-timents les plus délicats, avec une gestuelle et une mise en scène réglées au cordeau. Après plusieurs centaines de représentations à travers le monde, les Semianyki ont su prouver qu’ils parlaient un langage universel, celui du cœur.



« Quelle famille ! Difficile d’imaginer plus frappée, plus déjantée, et plus drôle. Cette création du Teatr Licedei décoiffe avec ces scènes de vie pas ordinaires ». Le Journal du Dimanche

cirque / clown

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roBBen fordVEn. 7 FéVRiER à 20h30 tout public / 1h30

Guitariste renommé, Robben Ford mène depuis quarante ans une carrière exceptionnelle. Né en Californie au sein d’une famille de musiciens, il commence sa carrière en formant un groupe avec ses frères, le Charles Ford Blues Band. Son ins-piration musicale prend ses racines dans le blues rugueux des pionniers pour, peu à peu, évoluer vers le jazz, la fusion et même la pop.

Accompagnateur de Joni Mitchell, George Harrison, Tom Scott, Jimmy Witherspoon, c’est la tournée avec Miles Davis qui le propulse sous le feu des projecteurs en 1986. Parallèlement, dès 1976, il se lance dans une carrière solo pavée d'albums à succès : citons The inside story (1977), Talk to your daughter (1988) — qui lui vaut sa première nomination aux Grammy Awards sur cinq en tout — Handful of blues (1995), Blue moon (2002) et Truth (2007).

Sa voix souple, sa fougue et son inventivité à la guitare lui confè-rent une force expressive hors du commun. En février 2013, il présente un nouvel album, Bringing it back home, composé des reprises de dix mélodies blues qui ont bercé sa carrière. À travers des titres peu connus, il rappelle l’incroyable dynamisme de cette musique, sa force joyeuse, sa convivialité, sa liberté. On ne saurait trouver meilleur passeur que Robben Ford pour propulser dans le XXIe siècle tout ce pan du patrimoine noir américain.

robbenford.com

Reconnu comme l’un des 100 meilleurs guitaristes

du XXe siècle par le magazine américain Musician.

(uSA) — distribution sous réserve — Guitare et voix : Robben Ford — Batterie : Lemar Carter Basse : Brian Allen — orgue électronique : Ricky Peterson noRMAL : 23¤ / RéduiT : 21¤ / ABonné : 17¤


« Le blues dans ce qu’il a de plus rock mais aussi de plus jazz

à travers moult improvisations ». Télérama

blue

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rock

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une vie Sur MeSure

MER. 12 FéVRiER à 20h30 à PARTiR de 8 AnS / 1h20

Adrien Lepage est un personnage pour le moins surprenant. Naïf, candide, pour ne pas dire légè-rement demeuré, il rappelle à la fois Forrest Gump par le tempérament et Billy Elliot par l’histoire. Son talent à lui ne se situe ni dans la course, ni dans la danse, mais dans la batterie. Dès qu’il s’agit d’in-venter des rythmes, sa vivacité et son intelligence ne font plus de doute. De manière à la fois inno-cente et passionnée, il se confie. Enfant solitaire, incompris, nul à l’école, sans ami, avec une famille à problèmes… Sa vie aurait été d’une tristesse

pathétique s’il n’avait connu ce merveilleux dérivatif que sont les bruits qui l’entourent et qu’il transforme en une gigantesque sym-phonie. D’abord sur des barils de lessive, des boîtes à chaussures, ou même sur son petit frère. Lorsqu’il reçoit sa première batterie, la joie vire à la passion puis à l’obsession. Adrien devient prêt à tout pour la conserver.

Sur scène, il évolue entre deux batteries, égrène ses anecdotes sur des rythmes de rock, de jazz, de bossa-nova. L’innocence, l’enthousiasme du personnage font rire, surprennent et émeuvent tour à tour. Avec douceur, il raconte l’histoire d’une passion, qui est l’histoire de toutes les passions. Et rappelle en finesse les vertus de la tolérance et de la différence.

Les gens ont une merveilleuse chose en commun : ils sont tous différents.

cOMPAgniE ScènES PluRiEllES (hAuTE-gAROnnE) Texte et interprétation : Cédric Chapuis – Mise en scène : Stéphane BattlenoRMAL : 14¤ / RéduiT : 12¤ / ABonné : 9¤


tHéâtre

« On est scotché par le talent de Cédric Chapuis qui réussit à nous émouvoir et à nous faire rire, avec finesse et délicatesse ». Le Point

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axelle redVEn. 14 FéVRiER à 20h30 tout public / 1h30 / PARTeRRe : PLACeMenT deBouT / BALCon : PLACeMenT nuMéRoTé ASSiS

Une chevelure de feu et un tempérament non moins ardent, Axelle Red parcourt les scènes internationales depuis une vingtaine d’années. Très présente en France depuis ses débuts, la chanteuse- auteure-compositrice belge se fait connaître du grand public en 1993 grâce à la chanson Sensua-lité. Albums et tubes s’enchaînent ensuite très vite ; Ma prière, Rester femme, Je t’attends ou le magnifique duo avec Renaud, Manhattan-Kaboul, marquent durablement les esprits. Élevée au son d’Elvis, Stax, Motown, Isaac Hayes et Carole King, elle s’inspire et transpose cette musique américaine qu’elle aime tant. Ses compositions transpirent la soul, mêlent des accents de pop ou de folk rock. Mais sa marque de fabrique demeure incon-testablement sa voix chaleureuse, quelque peu éraillée, identifiable en quelques mesures.

Ses huit albums sont comme des tableaux, centrés chacun autour d’une thématique. Son dernier opus, Rouge ardent, enregistré à Memphis, marque un retour à la soul pop de ses plus grands succès. Après quelques albums engagés, dans le prolongement de son œuvre humanitaire, Axelle Red renoue avec des composi-tions plus romantiques. S’inspirant du film Into the wild de Sean Penn, elle évoque les sentiments d’une femme qui voit partir son amour d’enfance. Ce périple sentimental est d’une beauté et d’une profondeur rares.

axelle-red.com

On aime ses yeux, son visage et surtout

sa voix.


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son

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« Vingt ans tout juste après ses flamboyants débuts, la plus américaine des

chanteuses belges revient à ce qu’elle fait de mieux. Son bien nommé « Rouge

ardent » est un nid de tubes ». Le Parisien

(Belgique) – Chant : Axelle Red 4 musiciens (distribution en cours)

« Sa copine, tu la trouves comment ? Elle est pas

un peu bizarre ? »

noRMAL : 27¤ / RéduiT : 25¤ / ABonné : 21¤ MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR

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« Sa copine, tu la trouves comment ? Elle est pas

un peu bizarre ? »

(Paris) – Texte et mise en scène : Gilles dyrek – interprètes : émilie Colli ou Anne Clarin (en alternance), Séverine debels, xavier Martel ou Gilles dyrek, eric Mariotto ou Laurent Maurel – décors : olivier Prost

veniSe SouS la neige

JEu. 20 FéVRiER à 20h30 à PARTiR de 12 AnS / 1h20

Jean-Luc retrouve par hasard Christophe, son ancien copain de lycée, et l’invite à dîner chez lui. Il lui présente sa fiancée Nathalie, avec laquelle il forme un couple apparemment idyllique. Au contraire, ce n’est pas la panacée pour Christophe qui vient de se disputer avec sa compagne Patricia. Cette dernière fait la tête et semble bien décidée à ne plus ouvrir la bouche. Face à son mutisme, les hôtes de la soirée, d’abord vexés, concluent qu’elle ne parle pas français. Amusée par le malentendu, Patricia entre-tient le quiproquo et s’invente une langue et un pays imaginaires. L’escalade dans le mensonge vire au délire. Le dîner, qui s’annon-

çait ennuyeux, prend une tournure pour le moins inattendue et se révèle finalement plein d’éclats.

Immense succès, la pièce de Gilles Dyrek s’est jouée des centaines de fois en France, et a été adaptée en Allemagne, en Finlande, en Norvège, en République Tchèque, en Slovaquie, en Autriche et au Mexique. Dans ce dîner de dupes éclatent la

naïveté, la bêtise, les bons sentiments et les égoïsmes des bien-pensants. La pièce est grinçante, le regard sans pitié sur les conve-nances sociales. Et tandis que la situation dégénère, le rythme et le rire vont crescendo. Les quatre comédiens s’en donnent à cœur joie et maintiennent le suspense jusqu’à la dernière minute.


Photo : Karine Letellier

« Fort bien rodée, la pièce est servie par quatre comédiens fantastiques qui tiennent leur auditoire en haleine jusqu’à la dernière réplique ». Pariscope

tHéâtre / comédie

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2014, annus remarquabilis

(Alsace) – Mise en scène : daniel Chambet-ithier

la revue Scoutedu JEu. 27 FéVRiER Au SAM. 1ER MARS à 20h30 diM. 2 MARS à 17h

TouT PuBLiC / 2h

2014 ! Année jubilatoire autant que festive pour la Revue Scoute qui fêtera sa trentième édition et son trente-cinquième anniversaire ! Que vont-ils bien pouvoir inventer pour ce millésime exceptionnel ? Pas facile à dire puisque la Revue s’enorgueillit de toujours coller à l’actualité, et même de la prévoir.

Mais diable ! On sait bien ce qui fait le succès d’une Revue ! Quelques bons sujets de société comme le divorce pour tous, une dose de personnages politiques locaux (et il y a gros à parier qu’ils seront démunis, si pâles soient-ils, face à la verve des comédiens), des chansons toujours détournées du droit che-min, des chorégraphies à tutu et à nousnous, des analyses maquereaux économiques et un ou deux cons textes internationaux.

Bref, une fois de plus, ils vont mettre les petits plats dans les grands et les pieds dedans. Car enfin, n’est-ce pas un événement unique en France que cette Revue Scoute qui réunit autour d’elle 45 000 spectateurs de tous âges, de tous bords, de tous sexes, de toutes religions ? Ils sont néanmoins tous unis dans ce comportement réflexe qui se manifeste par un enchaînement de petites expirations sacca-dées, accompagné d’une vocalisation inarticulée, plus ou moins bruyante, et d’une mimique provoquée par la contraction des muscles faciaux, entraînant notamment l’ouverture de la bouche. La rigolade, quoi !

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comédie en alsacien

d’ Jugend–SÉnd

(Péché de jeunesse)

diM. 9 MARS à 17h à PARTiR de 11 AnS / 2h15

Gilbert et René sont amis depuis la plus tendre en-fance. Le moins que l’on puisse dire est que leur vie sentimentale a connu quelques rebondissements. René a caché son premier mariage à Hélène, sa nouvelle épouse. Gilbert, quant à lui, a avoué à Monique, sa seconde femme, qu’il avait une fille issue d’une précédente union. Ce qu’il ne lui a pas dit, c’est qu’il dépense en beuverie tout l’argent qu’il est supposé lui envoyer chaque mois. Lorsque ladite fille débarque en Alsace, les secrets si bien

gardés s’éventent les uns après les autres. Mais Gilbert et René ne sont pas au bout de leurs surprises. Révélations et retournements de situations s’enchaînent impitoyablement.

Créé en 1980 à l’instigation de Pierre Lommele et de quelques jeunes du village de Stutzheim-Offenheim, la troupe « D’Nacht-schwarmer » (les Noctambules) agit pour la sauvegarde de la « Muedersproch » (langue maternelle). Coutumière du théâtre de boulevard, elle manie les intrigues à tiroirs, les quiproquos et les situations extravagantes avec aisance. L’Institut des Arts et Traditions Populaires d’Alsace lui a décerné en octobre 2012 un Bretzel d’Or pour sa participation au rayonnement de l’Alsace dans le monde. Une énième distinction qui récompense son investis-sement et son travail pour le théâtre en alsacien.

Amours, secrets de familles, mensonges, tromperies…

cOMPAgniE d’nAchTSchwARMER (OFFEnhEiM) — Texte : Franz Streicher — Adaptation : Marie et Jean-daniel zeter — interprètes : Jean-daniel zeter, Marie zeter, Pierre Lommele, René Lorentz, Marie–Hélène Lux, Martine Adloff, Patrick Lemmel, Martine Griesbeck et Marie-Claude Knab



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ana PoPovic�VEn. 14 MARS à 20h30 tout public / 1h30

Dans le monde du blues, la belle Ana Popovic s’est fait une place au soleil. Et pourtant, les clichés ne l’auraient pas donnée gagnante. Née à Belgrade, loin des terres originelles du blues, artiste fémi-nine dans un milieu essentiellement masculin, la réussite n’était pas assurée d’avance. Et pourtant, elle a conquis l’Europe comme les États-Unis et a quelques belles récompenses à son palmarès : trois fois nominée aux Music Blues Award 2012, elle est la seule Européenne à avoir été nominée aux W.C. Handy Blues Awards dans la catégorie « Meilleure nouvelle artiste » en 2003.

Tombée dans le blues dès sa plus tendre enfance, stimulée par l’impressionnante discothèque et les concerts de salon de son père, Ana Popovic attrape le virus de la guitare à l’âge de 12 ans. Il ne la lâchera plus. D’abord révélée dans son pays, puis aux Pays-Bas et dans le reste de l’Europe, elle séduit outre-Atlantique avec son premier album Hush en 2001. La suite n’est qu’une série d’as, avec des compositions qui jonglent entre audace créative et allégeance au blues originel. Elle ouvre sa musique au rock, à la soul et au jazz. Son dernier album, Can you stand the heat, intègre une belle section de cuivres et laisse parler un blues-rock illuminé par son jeu virtuose. Sa voix, ses accompa-gnements inspirés, son jeu de scène très sensuel émerveillent à chaque représentation.

anapopovic.com

Du blues rock musclé, une voix soul,

et beaucoup de féminité.

(Pays-Bas) — Guitare et chant : Ana Popovic 3 musiciens (distribution en cours) noRMAL : 20¤ / RéduiT : 18¤ / ABonné : 14¤


« Electrique acoustique ou slide, Ana Popovic joue

avec énergie et fougue ». Jukebox Magazine

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« On n’a guère vu d’homme qui fût plus habile ouvrier de ressorts et d’intrigues ».

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« On n’a guère vu d’homme qui fût plus habile ouvrier de ressorts et d’intrigues ».

Acte I, scène 2

ThéâTRE du KROnOPE (ViEnnE) – Mise en scène et adaptation : Guy Simon – interprètes : Martine Baudry, Loïc Beauché, Fanny Prospéro, Anaïs Richetta, Guy Simon et Jérôme Simon – Scénographie : Guy Simon Création sonore : Fodor – Costumes : Charlotte Margnoux, Laura Martineau, Anaïs Harquevaux, Coralie Pastoret assistées de Lory Labaume, oriane Sanchez, Mégane Bernard – décors : Jacques Brossier, Anaïs Harquevaux, Jérôme Simon – Masques et maquillages : Martine Baudry

leS fourBerieS de ScaPin

lun. 17 MAR. à 14h30 MAR. 18 MARS à 14h30 ET 20h30

à PARTiR de 10 AnS / 1h40

Octave et Léandre, deux jeunes nobles, apprennent le retour de leurs pères respectifs avec angoisse : le premier s’est marié en secret et le second est éperdument amoureux d’une jeune gitane. Qui plus est, leurs pères rentrent avec de grands projets de ma-riages pour eux. Les jeunes gens se tournent alors vers la seule personne suffisamment rusée pour les sortir de ce mauvais pas : le valet Scapin.

Inspirée de la farce et de la comédie italienne, la pièce de Molière continue de faire rire par son esprit de démesure, ses excès, son caractère joyeu-sement frondeur. Mais elle demeure aussi intempo-relle par la fraîcheur et l’authenticité avec lesquelles elle dépeint l’âme humaine. Guy Simon reprend

cette pièce façon commedia dell’arte ; avec ses masques, ses acro-baties, ses lazzi, il mène l’histoire tambour battant. Le décor évoque une zone portuaire, lieu d’effervescence que domine Scapin. À la fois bossu, bancal et borgne, il est plus vif que l’éclair. Boitillant, sautillant, marchant sur les mains, il jongle adroitement avec les tourments et les sentiments de chacun. Un univers baroque, qui mêle le raffinement au grotesque et qui oscille joyeusement entre satire sociale et cartoon. Molière n’a pas pris une ride !



Photo : Anaïs H

arqueveaux

« Une scénographie magnifique, inventive, où tout est prétexte à jeu, une mise en scène qui joue à fond la démesure des personnages, et leurs excès en deviennent touchants. » La Marseillaise

Avec le soutien du conseil Régional PAcA, du conseil général du Vaucluse, l’AdAMi, la Ville d’Avignon, l’Espace noVa de Velaux et la Fabrik’Théâtre d’Avignon.

tHéâtre / commedia dell’arte

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Une quête autobiographique à pédalage déjanté.

cOMPAgniE iMAgiSTOiRES (illE ET VilAinE) – Texte et jeu : Pépito Matéo

PÉPito MatÉoSans les mains et en danseuse

JEu. 20 MARS à 20h30 à PARTiR de 11 AnS / 1h10

« Tout ce qui va suivre est vrai, mis à part un dragon qui risque de surgir en chemin et un accident de voiture que j’ai dû écourter pour des raisons de coût de production ». Pépito Matéo entame ainsi le récit d’une aventure fantaisiste, inspirée de sa propre histoire, qu’il enjolive de quelques adjonctions épiques pour apporter cette part de rêve et de merveilleux propre au conte.

Il relate un voyage absolument extraordinaire qui le propulse de la maison familiale à la capitale : « Quand j’étais jeune, je suis revenu chez mes parents pour y chercher toutes mes affaires, mes bidules, mes choses à moi. Je les ai chargés sur un vélo de facteur acheté à crédit et je suis parti pour Paris. 160 km. Sur le trajet, il m’est arrivé pas mal d’événements ». Ces péripéties sont aussi farfelues que poétiques : il croise des chasseurs enragés, un chauffard gratteur de ticket jackpot, le général de Gaulle, un lézard du hasard, un crocodile pas très malin…

Figure majeure du renouveau du conte, Pépito Matéo joue avec les mots, enchaîne les associations d’idées impro-bables et en profite pour glisser quelques digressions comiques. Et si l’on retient une chose essentielle de cette folle épopée, c’est qu’au final, peu importe où l’on va et si l’on arrive à bon port, l’essentiel est de se laisser porter par les surprises et les rencontres qu’on fait en chemin.

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« Une langue sans jambe de bois et délicieusement mordante ».

Télérama

L’essentiel de la vie sont les êtres que l’on

rencontre sur son chemin.

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L’essentiel de la vie sont les êtres que l’on

rencontre sur son chemin.

cOMPAgniE lES cOnSPiR’AcTEuRS (STRASBOuRg) – Texte : Pierre zeidler – Mise en scène : Christian Hahn interprètes : Christine Wolff, Luc Schillinger et Pierre zeidler

no Man’S Square

Spectacle sur-titré en français

MER. 26 MARS à 20h30 tout public / 1h30

Dans un monde pas loin du nôtre, un homme et une femme se croisent, font connaissance. Ils se retrouvent autour d’un banc, sym-

bole immanent des plus belles rencontres. Ils se parlent, se révèlent, se découvrent. Il s’en faut de peu pour que le destin les unisse. Mais la parole leur joue des tours, les embrouille, les em-pêche de se rejoindre... Quelques mots incompris et tout bascule ! Parfois un troisième personnage les détourne de leur trajectoire, les réunit de nouveau...

Créé pour la saison 2013-2014, ce nouveau spectacle de la compa-gnie les Conspir’acteurs, mis en scène par Christian Hahn, n’est en fait ni tragique, ni très sérieux, nonobstant le sujet apparemment grave de la pièce. Les trois personnages, de ratages en déboires, prêtent à rire plutôt qu’à pleurer. La compagnie, fidèle à l’esprit cabarettiste de ses débuts, met en avant la richesse de l’humour alsacien, indéniablement associé au nonsense anglo-saxon. Irrévérence, légèreté et poésie sont les maîtres mots de cette pièce. Ainsi qu’une bonne dose de sensualité et de subtilité dans le jeu des comédiens, qui incarnent ces personnages à la fois drôles et décalés.



tHéâtre / Humour en alsacien

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Une approche délirante du monde de l’opéra.

cOR dE TEATRE (cATAlOgnE) – dramaturgie et mise en scène : Jordi Purtí – direction musicale : david Costa Arrangements : Pere Mateu xiberta et esteve Palet Mir – interprètes : Cor de Teatre

Scénographie : Montse Baeza et Pablo Paz – Costumes : Rosa Lugo – Lumières : Ramon Rey Son : Joan Carles Ros – Maquillages et coiffures : Montserrat olives

oPerettaSAM. 29 MARS à 20h30 à PARTiR de 7 AnS / 1h15

Operetta est le fruit d’une rencontre aboutie entre le théâtre gestuel et l’opéra. Une chorale délirante de 25 chanteurs catalans interprète en chant a cappella les airs les plus populaires de Verdi, Rossini, Bellini, Mozart, Bizet, Wagner, Saint-Saëns, Offenbach, etc. Ils abordent ces œuvres de manière unique et décomplexée, rendant hommage à l’art lyrique tout en le faisant descendre quelque peu de son piédestal.

Imaginez le peloton du Tour de France s’époumonant sur un air de Wagner ou le Petit Chaperon rouge joué sur le Chœur des Es-claves de Nabucco. Des tableaux bourrés d’humour se succèdent, inventifs, rythmés, à l’énergie très communicative. Histoires d’amour et de désamour, hommage au bel canto… Une pléiade de personnages très surprenants, très modernes, se feront fort de séduire petits et grands, amateurs d’opéra ou non.

Mis en scène par Jordi Purtí, sous la direction musicale de David Costa, Operetta a été l’un des succès remarqués du théâtre catalan la saison dernière et a obtenu de nombreuses récompenses en Espagne. Il s’agit de la seconde grande création de la compagnie Cor de Teatre qui, depuis quinze ans, cherche à renouveler le chant choral en créant des performances originales, mêlant les genres, dans des lieux insolites. Un spectacle musical d’une grande tenue, qui séduit par sa force visuelle.

cordeteatre.com

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une coproduction Somfònics et El canal, centre d’Arts de la Scène à Salt / gérone.

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Une approche délirante du monde de l’opéra.


MAR. 8 AVRil à 14h30 ET 19h à PARTiR de 6 AnS / 50min

Qui a dit que la musique lyrique n’était pas adaptée aux enfants ? Certainement pas la soprano Gaëlle Méchaly et le pianiste Ezequiel Spucches qui se livrent à un joyeux récital-spectacle pour faire suc-comber les enfants aux charmes des mélodies clas-siques. En 50 minutes, 20 mélodies et 10 costumes, ils proposent un programme mettant à l’honneur quelques grands airs de compositeurs du répertoire. Citons pêle-mêle Francis Poulenc, Maurice Ravel, Claude Debussy, Jacques Offenbach,Gioacchino Rossini et Leonard Bernstein. Sans oublier leurs

complices poètes : Maurice Carême, Jean Nohain, Colette, Robert Desnos et bien d’autres. Des artistes qui ont laissé affleurer dans certaines de leurs œuvres leur part d’enfance et de candeur.

L’école, les animaux, la nuit, les contes, les crottes de nez… Tous les thèmes familiers des enfants sont présentés en tableaux successifs, plus drôles et spectaculaires les uns que les autres. Nos deux acolytes endossent à chaque morceau des personnages bien fantaisistes et se parent de costumes et d’accessoires très visuels. Gaëlle Méchaly interprète toutes ces œuvres avec simpli-cité et bonne humeur, assise, couchée par terre, perchée sur une chaise, d’une voix toujours très claire et compréhensible. Une belle découverte à partager en famille.

Une fantaisie lyrique à l’usage des enfants.

(Paris) — Chant : Gaëlle Méchaly — Piano : ezequiel Spucches — Mise en scène, scénographie, lumières : Stephan Grögler — Costumes : véronique Seymat — Chorégraphie : Christiane Casanova TARiF unique : 5,50¤


spectacle musical Jeune public

« Gaëlle Méchaly a choisi la meilleure voie : animer les esprits enfantins sans faire de l’animation scolaire. De la même manière qu’elle sait jouer l’enfant, elle ne doute pas que les enfants puissent se comporter en adultes...» Le Monde

une co-production OperAct et les Jeunesses Musicales de France.

Photo : Christophe Dellieres

SortilègeS & carafonS

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BÉrÉniceCréation de la cie OC&CO

JEu. 10 AVRil à 20h30 à PARTiR de 14 AnS / 1h35

« Toute l’invention consiste à faire quelque chose de rien » écrivait Racine dans sa préface de Bérénice. Le sujet de la pièce qu’il présente en 1670 tient en peu de mots : Titus, nouvel empereur de Rome, aime depuis de nombreuses années Bérénice, reine de Palestine. Mais le peuple romain désapprouve son union avec une reine étrangère. Pour honorer son devoir à la tête de l’Empire, il doit faire le choix de renoncer à l’amour. Il ne lui reste dès lors qu’à l’annoncer à Bérénice. L’entremise d’Antiochus, roi de Comagène, ami fidèle de Titus et amoureux transi de Bérénice, pousse la souffrance amoureuse à un niveau paroxystique.

Le début de la tragédie en est aussi la fin. Ni bataille, ni meurtre, ni vengeance ne viennent en perturber le cours et susciter, comme le veut la tradition aristotélicienne, la crainte ou la terreur. Durant cinq actes s’expriment les conflits passionnels entre le cœur et le devoir, l’amour et la raison, l’espoir et la nécessité.

Ces moments de tension extrêmes, ces combats intérieurs prennent forme par les mots, par la voix des comédiens, par le jeu de leurs corps. C’est sur eux que repose la force émotionnelle de la pièce, par « leur engagement sans partage au service d’un théâtre de l’authentique, [pour] offrir au public l’expérience généreuse d’un temps d’émotion suspendu ». (Olivier Chapelet)

« Vous êtes empereur, Seigneur, et vous

pleurez !»Acte IV, scène 5

cOMPAgniE Oc & cO (STRASBOuRg) — Mise en scène : olivier Chapelet — interprètes : Aude Koegler, Gaël Chaillat, Yann Siptrott, Sandrine Grange, Francis Freyburger et Bruno dreyfürst — Scénographie :

emmanuelle Bischoff — Costumes : Mechthild Freyburger — Lumières : Stéphane Wolffer — Musique : olivier Fuchs — Régie générale : olivier Songy


coproduit avec la Ville de Strasbourg. Avec le soutien de la dRAc Alsace, du Ministère de la culture et de la communication, de l’Agence culturelle d’Alsace (dans le cadre de l’accompagnement de création),

de la Région Alsace, du conseil général du Bas-Rhin, de l’AdAMi et de la SPEdidAM.

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Un concentré d’optimisme et de soleil.

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Un concentré d’optimisme et de soleil.

(Guadeloupe) – voix : Lætitia Bourgeois / FM Laeti – Guitares : François-Marie dru et Ludovic Bruni Claviers : Laurian daire – Basse : Christophe Minck – Batterie : Steve Arguelles

fM lÆtiSAM. 12 AVRil à 20h30

tout public / 1h30

D’un simple glissement sur la bande FM, des univers sonores hétéroclites s’ouvrent aux auditeurs curieux, qui passent du hip-hop, au jazz, à la variété, etc. Ce métissage des musiques, on le retrouve chez Lætitia Bourgeois, nouvelle chanteuse de la scène française. Née en Guadeloupe, la jeune femme s’est inspirée de ses passages aux Caraïbes, aux États-Unis, au Canada, en Europe, pour composer une musique bigarrée, qui oscille entre jazz, rock, soul et musiques africaines. Avec un père batteur chez Kassav, une mère professeure de musique et un beau-père pianiste classique, l’éclectisme est de rigueur dès son plus jeune âge.

FM, ce sont aussi et avant tout les initiales de François- Marie, le complice de Læti, qui l’a épaulée dans l’enregistrement de son premier album en 2010, It will all come around. Ils se rencontrent lors d’un bœuf sur Radio Campus et lancent dans la foulée leurs premières maquettes. Les mélodies puisent lar-gement dans les musiques des années 70, nous plongent dans

une ambiance un peu rétro avec des sons chauds et cuivrés. Quant à la voix de Læti, difficile de la décrire tant elle est modulable. Puissante, vibrante, parfois un peu rauque, elle rappelle Janis Joplin ou Macy Gray. Un second album est en route. À n’en pas douter, la jeune femme, entourée d’une fine équipe de musiciens, a un bel avenir devant elle.

fr.myspace.com/fmlaeti



Photo : Mark Lyon

« Un sourire éclatant, une voix exceptionnelle digne des divas soul des années 70 et une musique solaire, ouverte sur le monde ». Culture Musique

Jazz / soul / Funk / world

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Allegro, andante, freeze, coupole, pas de bourrée…

cOMPAgniE MAgic ElEcTRO (STRASBOuRg) – Chorégraphie : Christophe Roser – interprétation : Christophe Roser, Alice Pinto Maya, Abdou n’Gom et Mélissa Cirillo – Musique : Antonio vivaldi et Giuliano Carmignola

Lumières : Pierre-emmanuel Faure

de naturaCréation chorégraphique pour 4 danseurs

MAR. 15 AVRil à 20h30 tout public / 1h

Créer un ballet hip-hop sur la musique baroque d’Antonio Vivaldi ? Et pourquoi pas… ? Il faut dire que Les Quatre saisons, La Tempesta di mare et La follia peuvent se prêter à toutes les audaces. Tout en nuances, contrastes, avec des moments d’énergie explosive et des mouvements modérés, aériens, ces œuvres semblent presque écrites pour la danse. La compagnie Magic Electro y a vu plus que de simples supports musicaux. Elle en a recherché la substantifique moelle pour trouver les points d’achoppement entre la partition et l’énergie propre au hip-hop.

Les trois compositions sont des hymnes à la nature, à la vie, au passage des saisons, que les interprètes expérimentent dans leur corps. Elles sont aussi synonymes de virtuosité, à travers les envolées spectaculaires des violons solos. Une virtuosité qui suscite en contrepoint la performance du dan-seur, son envie de sublimation, sa rage enjouée de tendre à l’universel. Face au pouvoir des éléments, chacun s’appuie sur le groupe pour tirer son élan de la puissance collective. De la légèreté du printemps à la force de l’orage jusqu’à l’engourdisse-ment provoqué par l’hiver, les quatre danseurs seront à la fois les acteurs et les jouets de cette force du temps qui file. Une création pour la saison 2013-2014 bien alléchante !

magicelectro.fr

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en Mai… chante !…ce kil te PlaÎt

du 6 Au 24 MAi

Allegro, andante, freeze, coupole, pas de bourrée…


OldelafMAR. 6 MAi à 20h30 tout public / 1h30

Derrière le sobriquet énigmatique d’Oldelaf se cache Olivier Delafosse, ex-membre du duo de chanson humoristique formé avec Monsieur D. Les deux compères ont écumé les scènes pendant dix ans, produit trois albums avant de se sépa-rer en beauté en 2010, après un grand concert à l’Olympia. Depuis, Oldelaf a sorti un disque pour enfants, primé par l’Académie Charles Cros, et s’est lancé avec réussite dans une carrière en solo.

Le Monde est beau, son premier album, rencontre un franc succès. Il écrit des chansons entraînantes, et pare ses mélodies de textes grinçants, pleins d’humour et d’ironie. S’il sème quelques touches de l’humour potache et des calembours qui firent son succès avec Monsieur D, il se dirige vers des compositions plus personnelles, émaillées de réflexions décalées ou douces-amères. Il chante la vie quotidienne, use de son sens aigu de l’observation pour dépeindre ses contemporains avec lucidité et impertinence. Michel Drucker, séduit par son single La Tristitude, l’embauche comme chroniqueur dans Faites entrer l’invité sur Europe 1. Il y chante La Tristitude du mois, en se basant sur l’actualité. Il fait également des apparitions à la télévision dans Vivement dimanche. En 2012, Oldelaf a rempli l’Olympia et la Cigale en un tournemain, par le bouche-à-oreille. Gageons que son deuxième album, prévu pour l’automne 2013, rencontrera une fortune identique.

oldelaf.com

De la chanson qui fait rire, taper des pieds

et des mains.

(Paris) – Musiciens : olivier delafosse, Julien Breton, Alexandre zapata, victor Paillet et Fabrice Lemoine noRMAL : 20¤ / RéduiT : 18¤ / ABonné : 14¤

- de 15 AnS, CARTeS CuLTuRe & viTACuLTuRe : 5,50¤ MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR PASS chAnSOn (oldelaf + norig + les sea girls) : 32¤

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La musique tzigane portée avec fougue, charisme,

émotion et sensualité.

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noRMAL : 20¤ / RéduiT : 18¤ / ABonné : 14¤ - de 15 AnS, CARTeS CuLTuRe & viTACuLTuRe : 5,50¤ MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR PASS chAnSOn (oldelaf + norig + les sea girls) : 32¤

La musique tzigane portée avec fougue, charisme,

émotion et sensualité.

(Paris) – Chant : norig – Guitare solo, violon : Mathias Levy – Piano : Manuel Peskine Guitare : Joris viquesnel – Contrebasse : Jérémie Arranger & olivier Lorang Batterie : Fabien Rimbaud

Norig + Ottilie [B] en première partie

JEu. 15 MAi à 20h30 TouT PuBLiC / 2h15

Norig, un joli prénom celte, porté par une Grenobloise d’origine catalane, qui s’est lancée à corps perdu dans les musiques tzi-ganes. Le coup de foudre s’opère grâce au film Le temps des gitans, du cinéaste serbe Emir Kusturica. Elle suit alors des cours de chant avec Martina Catella, ethnomusicologue renommée, et fait sienne la musique de Roumanie et des Balkans. Remarquée par Tony Gatlif, elle enregistre en 2003 la bande originale de son film Exil et

est enrôlée dans le spectacle Django Drom. Dès lors, son chemin est tout tracé : elle multiplie les albums et les tournées, fait résonner partout cette musique extraordinaire, qui allie joie et mélancolie. Sa voix, saisissante, sensuelle, à l’aise dans les timbres pro-fonds comme dans les aigus les plus légers, raconte les amours heureux ou malheureux, la tendresse,

les drames, les révoltes. Elle chante en roumain, en romani, la langue des Tziganes, et en français. Au fil de ses rencontres, elle s’est constitué un large répertoire, mêlant chansons traditionnelles et compositions originales. Et sa musique s’est enrichie de mul-tiples couleurs, présentant ça et là quelques touches de tango, de classique ou de baroque. Sur scène, le port altier, elle envoûte son auditoire et le transporte au-delà du temps et des frontières.

norig.fr


MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR PASS chAnSOn

(oldelaf + norig + les sea girls) : 32¤

« Entre puissance et douceur, Norig joue de sa voix, comme de sa sensualité, pour chanter la joie et la souffrance propres à la musique tzigane ». Le Parisien

en mai… cHante !

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Les Sea GirlsJEu. 22 MAi à 20h30 tout public / 1h30

Quatre donzelles dans le vent déjouent la morosité à coup de chansons délicieusement déjantées et savamment croquignolesques. Les Sea Girls sont comme des poissons dans l’eau dès lors qu’il s’agit de s’improviser meneuses de revue, avec strass, paillettes et plumes à la clé. L’ironie grinçante et la dérision en plus. Coiffures exubérantes, costumes chatoyants, elles ressuscitent l’ambiance du mu-sic-hall et naviguent entre chant, magie, numéros absurdes, sketches grinçants ou coquins.

La chanson est bien sûr le cœur de leur spectacle et elles se délectent sur des compositions taillées sur mesure de Jean-Marc Rivière, Sophie Forte, Marie Desgranges, Nicolas Ducron, Gildas Thomas, etc. Elles revisitent éga-lement des textes remarquables de Georges Brassens, Juliette Gréco, Sacha Guitry, Henri Salvador. Un guitariste et un percussionniste les accompagnent dans leurs folies et virevoltent avec elles sur des styles swing, rock, flamenco, cha-cha-cha, etc. Et lorsqu’elles jouent sur les harmonies vocales façon Andrews Sisters, il n’y a plus aucun doute : bien qu’elles s’auto-proclament « absurdes, déraisonnables, démentes et détraquées », ce sont surtout des chanteuses émérites. Tantôt cow-girls, tantôt danseuses de saloon, pin-up, etc., elles assurent une cure de vitamines et d’antidépres-seurs en 1h30… seulement.

les-seagirls.com

« Ce n’est pas parce qu’on est cinglé qu’on ne peut pas

trouver plus fou ».

(paris) — texte et interprétation : Judith Rémy, Prunella Rivière, élise Roche et delphine Simon Mise en scène : Patrick Haudecoeur — Guitare : dan Panama ou Benoît Simon — Percussions : Guillaume

Lantonnet — Arrangements : Fred Pallem — Arrangements vocaux : Lucrèce Sassella — Costumes : Carole Gérard — décors : Christel Lebfèvre — Son : Jean-François Thomelin — Lumières : Jean-Luc Chanonat

coproduction les Sea girls, le Théâtre ducourneau à Agen et le Théâtre des quartiers d’ivry. Avec le soutien de TOP à Boulogne, du Théâtre des Bergeries à noisy-le-Sec, des Trois Baudets,

de l’AdAMi, du cnV, de la SPEdidAM et de la SAcEM.

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noRMAL : 23¤ / RéduiT : 21¤ / ABonné : 17¤ - de 15 AnS, CARTeS CuLTuRe & viTACuLTuRe : 5,50¤ MAJoRATion de 2¤ en CAiSSe du SoiR PASS chAnSOn (oldelaf + norig + les sea girls) : 32¤

« Rien n’arrête les Sea Girls dans ce spectacle tout en couleurs et fanfreluches. On garde le sourire aux lèvres de bout en bout »

L’Express

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en mai… cHante !

JulietteSAM. 24 MAi à 20h30

tout public / 1h30

C’est l’événement de la saison : Juliette présente un nouvel album studio et inaugure une grande tournée. Il faut dire que « la Patronne », comme aiment l’appeler ses musiciens, est une personna-lité incontournable de la scène française, dont les créations sont particulièrement attendues.

Près de 30 ans de scène, 8 albums publiés, 2 vic-toires de la musique — en catégorie « Révélation » et « Artiste interprète féminine » —, une pléiade de décorations et de récompenses couronnent la carrière de cette auteure-compositrice-interprète exceptionnelle, qui a su affirmer sa personnalité et ses différences. C’est dans les années 90, à l’heure des girl-bands, que Juliette conquiert massivement son public. Elle ne joue pas de sa plastique, reste très discrète dans les médias, mais séduit avec ses chansons à texte, sa gouaille, son humour, son

naturel. Elle éclate les rythmes, syncope et caracole allègrement sur ses morceaux et présente des textes poétiques, drôles, prodigues d’émotions, d’images et de sentiments, dans la lignée de Léo Ferré, Barbara ou Georges Brassens. Pour autant, échappant aux normes et aux classifications, il faut l’écouter et l’apprécier en concert pour saisir la finesse du personnage, hors-mode et hors-norme. Entourée d’une petite bande de musiciens complices, elle démontre que Juliette est un prénom qui se suffit à lui-même, sans Roméo ou adjonction superfétatoire.

« Permettez à votre JulietteDe ne point mûrir en minetteMais en Colette, En Mistinguett...Ou pourquoi pas Madame de Lafayette ».Rimes féminines

(Paris) — Chant : Juliette 6 musiciens (distribution en cours) noRMAL : 30¤ / RéduiT : 28¤ / ABonné : 24¤


« Avec son tempérament de diva du music-hall, Juliette réveille la chanson française ». L’Humanité.

Photo : Eric Vernazobres

en mai… cHante !

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L’enfance, le passé, la mémoire, la famille.

ThéâTRE dES zygOMARS (BElgiquE) – Texte : vincent zabus et Pierre Richards – Mise en scène : Pierre Richards – Mouvement marionnettes : Monica varela Couto – interprètes : Simon Wauters et Samuel Laurant

Scénographie, costumes et marionnettes : Coline vergez assistée par Karine Cusson – Création lumière et technique : Julie Bekkari – Musiques et vidéos : Michaël Bridoux et Samuel Laurant – Accompagnement

philosophique : Gilles Abel

MacaroniMAR. 27 MAi à 10h ET 14h30 MER. 28 MAi à 15h

à PARTiR de 8 AnS / 55min

François, jeune garçon de 10 ans, doit aller passer les vacances chez son grand-père, un ancien mineur italien immigré en Belgique. Cette perspective ne le réjouit guère car il trouve son aïeul grincheux et ennuyeux. Dès son arrivée, il apparaît évident qu’entre ces deux-là, la sauce risque de ne pas prendre. Mais ces vacances seront sans doute l’occasion pour le grand-père et son petit-fils de s’apprivoiser. Et peut-être François découvrira-t-il ce qui se cache derrière le masque de mauvaise humeur affiché par son grand-père.

Né d’un projet de bande dessinée de Vincent Zabus, le spectacle mêle marionnettes, théâtre, images et musique. Il s’inspire de faits réels : nombreux ont été les Italiens à émigrer en Belgique dans les années 1950 et 1960 pour travailler dans les mines de charbon. À travers les conversations entre le grand-père et son petit-fils, on redécouvre toute cette histoire, la rigueur d’un métier pénible, le déracinement, la nécessité de s’intégrer. Et on éprouve l’impor-tance de la transmission intergénérationnelle, de la mémoire.

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Avec le soutien de la Fédération wallonie-Bruxelles.

« Le théâtre, c’est du présent

mis en bouteille ». Georges Perros

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L’enfance, le passé, la mémoire, la famille.


« Le théâtre, c’est du présent

mis en bouteille ». Georges Perros

SPectacleS deS atelierS

thÉâtredu MER. 11 Au SAM. 14 Juin à 20h30

tout public / 1h30

Les spectacles de fin d’année sont l’aboutissement d’une année de travail et l’enjeu d’une préparation intense pendant des mois.

Côté jeunes, les 12-16 ans présentent une pièce de leur cru. Ils choisissent ensemble une théma-tique en début de saison, sélectionnent un certain nombre de textes et les mettent en scène, sous

la houlette de Clarisse Hagenmuller, comédienne professionnelle encadrant ces ateliers.

Les adultes de l’atelier d’improvisation théâtrale sautent sans filet dans l’inconnu. Car en impro, rien n’est écrit à l’avance et tout s’invente en cours de route. On leur donne un thème, ils font le reste. Galéjades, humour et franche rigolade sont déjà annoncés !

SPeCTACLeS deS JeuneS LeS 12 & 13 Juin

SPeCTACLe d’iMPRo LeS 11 & 14 Juin

TARiF unique : 5,50¤ * gRATuiT POuR lES ABOnnéS


* Pour une place achetée au spectacle des jeunes, une 2e place est offerte pour le spectacle d’improvisation et inversement.

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infoSPratiqueS

TouT Ce qu’iL FAuT SAvoiR

leS atelierS thÉâtre

« Tout est langage au théâtre, les mots, les gestes, les objets. Il n’y a pas que la parole », disait Eugène Ionesco. Les ateliers théâtre vont vous démontrer à quel point le théâtre est un art complet, qui a besoin, pour créer l’illusion, d’un investissement total de la part du comédien. Au-delà de la voix, il doit apprendre à maîtriser son corps, à saisir des émotions profondes pour les transmettre au public. Par l’improvisation ou le travail sur des textes, c’est l’objectif des ateliers théâtre des Tanzmatten.

L’atelier d’improvisation théâtraleAnimé par Flavien Reppert, fondateur et directeur artistique du Théâtre de l’Oignon à Strasbourg, l’atelier s’adresse aux personnes de plus de 16 ans.

Cet atelier d’improvisation théâtrale vise à offrir aux adultes un moment de convivialité et de détente tout en apprenant les règles de l’art dramatique et du jeu sur scène. L’improvisation permet de développer la créativité, l’écoute, l’échange et place le comédien au cœur d’une création collective. Un excellent moyen d’apprendre à se rire de l’imprévu, à faire preuve d’imagination et à prendre confiance en soi.

lES lundiS dE 20h30 à 22h30 (hORS VAcAncES ScOlAiRES)

PRéSEnTATiOn dE l’ATEliER : MeRCRedi 11 SePTeMBRe à 19h 1RE SéAncE dE l’ATEliER : Lundi 23 SePTeMBRe FRAiS d’inScRiPTiOn : 200 ¤

L’atelier théâtre jeune Il s’adresse aux jeunes de 12 à 16 ans. Il est encadré par Clarisse Hagenmuller, comédienne professionnelle.

Les élèves expérimentent le travail de comédien au travers d’exercices individuels et collectifs. Ils travaillent sur différents textes et participent à l’élaboration du spectacle de fin d’année à partir de plusieurs saynètes qu’ils auront étudiées.

2 gROuPES, lES lundiS dE 17h30 à 19h ET dE 19h à 20h30

PRéSEnTATiOn dE l’ATEliER : MeRCRedi 11 SePTeMBRe à 18h 1RE SéAncE dE l’ATEliER : Lundi 23 SePTeMBRe FRAiS d’inSCRiPTion : 150 ¤

Renseignements & inscriptions à partir du 3 septembre :Les Tanzmatten 03 88 58 45 [email protected]

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en PluS deS SPectacleS…

Rencontres avec les artistesAfin de prolonger la discussion autour des spectacles, nous proposons régulièrement au public de rencontrer les artistes à la fin des représentations. Les rencontres ont lieu dix minutes après la fermeture des rideaux, en bas des gradins dans la salle de spectacle.

Ateliers - ConférencesDes ateliers et conférences sont régulièrement organisés aux Tanzmatten, à la médiathèque de Sélestat, au CRMA, etc. qui entrent en résonance avec la thématique des spectacles. Ils sont animés directement par les artistes ou par des conférenciers expérimentés.

Visites du théâtreCollégiens, lycéens, membres d’associations, comités d’entreprise, groupes d’amis, etc., nous vous proposons une visite gratuite du théâtre, afin de connaître son fonctionnement, voir l’envers du décor. La visite se fait par groupes, sur rendez-vous.

Des actions en milieu scolaire, associatifLes Tanzmatten organisent, régulièrement, des actions de médiation culturelle en partenariat avec des enseignants, animateurs, écoles d’enseignements artistiques, etc. Ces actions peuvent prendre la forme de conférences, d’ateliers, d’interventions dans des classes (animations, rencontres avec les comédiens, metteurs en scène, danseurs, musiciens…) afin de mieux préparer les élèves aux spectacles.

Renseignements, inscriptions : 03 88 58 45 45 / [email protected]

Une résidence musicale de créationLes Tanzmatten soutiennent régulièrement les groupes de musique de la région. Une résidence sera donc organisée courant 2014 ; l’occasion pour les spectateurs de les découvrir dans leur travail de création. La résidence choisie sera affichée sur notre site internet au cours de la saison.Pour les groupes qui souhaitent postuler, n’hésitez pas à déposer votre candidature :

[email protected]

Pour prolonger le plaisir du spectacle, plusieurs actions vous sont proposées. Vous trouverez la liste à jour sur notre site internet.

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infoS Billetterie

Facilitez vos démarches avec la réservation en ligne ! Les abonnements et les réservations des spectacles peuvent dorénavant être effectués directement sur internet, via notre site : tanzmatten.fr à partir du 15 juillet 2013.

• Vous pouvez souscrire à un abonnement ou gérer vos réservations individuelles.

• Les tarifs appliqués sont les mêmes qu’à la billetterie des Tanzmatten.

• Vous pouvez choisir votre / vos places dans la salle.

• Le paiement s’effectue directement en ligne, via une plate-forme totalement sécurisée.

• Une fois votre commande finalisée, vous recevez un mail de confirmation de votre commande.

• Vous récupérez vos billets aux Tanzmatten, aux heures d’ouverture de la billetterie, quand vous le souhaitez.

Horaires d’ouverture :

MARdi de 10h à 12h eT de 14h à 18h30

du MeRCRedi Au SAMedi de 14h à 18h30OuVERTuRE dE lA BillETTERiE Au PuBlic : MARdi 27 AOûT à 10h

Vous pouvez vous rendre à la billetterie 30 min. avant chaque spectacle (caisse du soir uniquement) et 30 min. après, pour toutes demandes concernant d’autres événements.

enTRe Le 27 eT Le 31 AoûT, LA BiLLeTTeRie SeRA ouveRTe du MARdi Au SAMedi de 10h à 12h & de 14h à 18h30.

tanzmatten.fr 59

Réservation & paiement des billets• Les places sont numérotées (sauf pour les spectacles

annoncés en placement libre).

• Les réservations peuvent se faire par internet, par téléphone, par mail, ou directement sur place.

• Le règlement des billets doit être enregistré dans les 5 jours suivant la réservation. Au-delà de ce délai, les billets sont remis en vente.

• Une semaine avant le spectacle, toute réservation par téléphone doit obligatoirement être accompagnée d’un télépaiement par carte bancaire.

• Le règlement peut s’effectuer à distance sur notre site de réservation en ligne (tanzmatten.fr), par espèces, carte bancaire (sur place ou à distance par téléphone en accès sécurisé), ou par chèque libellé à l’ordre des Tanzmatten. Les chèques vacances sont également acceptés.

• Les billets émis ne sont ni repris, ni échangés, ni remboursés.

• Les billets ne sont pas envoyés à domicile, ils sont à retirer à la billetterie.

• Les abonnements et les cartes VitaCulture ne sont pas délivrés en caisse du soir.

• Afin de minimiser les attentes en billetterie les soirs de spectacle, les tarifs appliqués en caisse sont majorés de 2 €, que les billets aient été réservés au préalable ou non.

• Les places non retirées 5 min. avant le début du spectacle sont remises en vente.

Autres points de vente• Réseau FNAC

(frais de location en sus) : Magasins FNAC, Carrefour, Intermarché, Géant, Hyper U fnac.com 0 892 683 622 (0.34€/min)

• Réseau Ticketnet (frais de location en sus) : Magasins Auchan, Cora, Cultura, E. Leclerc, Virgin Megastore ticketnet.fr 0 892 390 100 (0.34 € TTC/min)

Dans ces points de vente, le tarif abonné n’est pas disponible.

Plan de salle

BALCON

PARTERRE

SCÈNE

HGFEDCBA

QPONMLKJI

QPONMLKJI

HGFEDCBA1 4

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1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27

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Les tarifs particuliersLe tarif réduit s’applique sur présentation d’un justificatif dans les cas suivants :

• Cartes CEZAM – IRCOS ~ Alsace CE ~ Canal CE ~ Demandeurs d’emploi ~ Familles nombreuses ~ Abonnés du Théâtre Municipal de Colmar ~ Étudiants sans carte Culture ou VitaCulture ~ Groupes à partir de 10 personnes ~ Cartes Senior.

• Le tarif abonné s’obtient après souscription d’un abonnement (renseignements page 60).

• Le tarif jeune à 5,50 € s’applique à tous les spectateurs de moins de 15 ans

• Les tarifs à 5,50 € sont applicables sur tous les spectacles de la saison sauf « Venise sous la neige », « Operetta » et « Juliette ».

La carte Culture :La carte Culture est réservée à tous les étudiants de l’espace EUCOR (Bâle, Fribourg, Karlsruhe, Mulhouse et Strasbourg), mais aussi des villes d’Offenbourg et Kehl. Elle permet de bénéficier de tarifs avantageux auprès de 70 partenaires culturels et s’obtient directement auprès des universités. Plus d’informations sur : carte-culture.org

La carte VitaCulture :La carte VitaCulture est gratuite et destinée à tous les jeunes de 15 à 28 ans résidant en Alsace. Elle offre des tarifs préférentiels de 4 € la place de cinéma et 5,50 € la place de spectacle. Elle peut être délivrée directement à la billetterie des Tanzmatten, ou en ligne sur le site internet : vitaculture.com

AccueiL des personnes hAndicApéesLes personnes à mobilité réduite sont invitées à se faire connaître au moment de la réservation afin d’être accueillies dans les meilleures conditions.Les Tanzmatten sont équipés d’une rampe d’accès, de toilettes aménagées et d’un ascenseur pour accéder au balcon.Pour les personnes souffrant d’autres types de handicaps, il est recommandé de réserver les places très tôt dans la saison afin de pouvoir bénéficier des emplacements les plus adaptés à la situation de chacun.

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Comment s’abonner ?Pour bénéficier du tarif abonné, il vous suffit de choisir au minimum 5 spectacles dans la saison. Pour vous abonner, 3 possibilités :

• Vous réservez vous-même vos spectacles en ligne, sur notre site internet tanzmatten.fr, à partir du 15 juillet 2013 ;

• Vous remplissez le formulaire joint en pages 61 et 62 (vous pouvez le photocopier ou le télécharger depuis notre site internet pour des abonnements multiples) et vous le renvoyez, accompagné de votre règlement (par chèque bancaire, à l’ordre des Tanzmatten, ou en chèques vacances) ;

• Vous pouvez également vous abonner directement à la billetterie des Tanzmatten, à partir du 27 août 2013.

l’aBonneMent

Les avantages de l’abonnement :• Vous réalisez jusqu’à 40 % d’économie.• Vous bénéficiez du tarif abonné sur tous les spectacles de la saison.• Vous choisissez vos spectacles en début ou en cours de saison selon vos envies.• Vous recevez chez vous les publications des Tanzmatten.

Nous vous invitons à souscrire votre abonnement en ligne ou par correspondance, avant l’ouverture de la billetterie le 27 août 2013. En effet, les courriers sont traités en amont, le cachet de la Poste faisant foi.

L’abonnement est nominatif, incessible et valable toute la saison jusqu’à juin 2014. Le « tarif abonné » est valable pour tous les spectacles de la saison, sans limitation de nombre.

Pour connaître le prix de votre abonnement, il vous suffit d’additionner les prix de chaque spectacle, en tarif abonné. Les tarifs sont indiqués en bas de chaque page spectacle.

exemple :

SPEcTAclES RETEnuS dATE TARiF ABOnné

1 Spectacle 1 9/11 14 €

2 Spectacle 2 25/11 21 €3 Spectacle 3 9/02 12 €4 Spectacle 4 17/03 9 €5 Spectacle 5 18/02 17 €

total (multiplié par le nombre d’abonnés) 73 €

62

Formulaire d’abonnementà RenvoYeR ou à déPoSeR :Les Tanzmatten - Quai de l’Ill BP 40188 - 67604 Sélestat CedexdûMenT CoMPLéTé, ACCoMPAGné de voTRe RèGLeMenT PAR CHèque LiBeLLé à L’oRdRe deS TAnzMATTen.

Vous avez la possibilité de photocopier ce formulaire recto-verso pour des abonnements multiples, ou de nous renvoyer les informations sur papier libre.

nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

PRénoM : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

AdReSSe : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Code PoSTAL : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

viLLe : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

TéLéPHone : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

e-MAiL : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Merci de cocher cette case si vous souhaitez recevoir la lettre d’information électronique (la « newsletter ») des Tanzmatten tous les mois.

Ces informations sont confidentielles. Vous disposez d’un droit d’accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent (art. 34 de la loi « Informatique et Libertés » du 6 janvier 1978).

N’oubliez pas de tourner la page et de remplir la liste des spectacles retenus !

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Pour bénéficier du tarif abonné, choisissez un minimum de 5 spectacles.

Nombre de personnes souhaitant s’abonner selon la liste de spectacles retenus ci-dessous : ……

SPEcTAclES RETEnuS dATE TARiF ABOnné

1 €

2 €

3 €

4 €

5 €

SPEcTAclES RETEnuS SuPPléMEnTAiRES (SAnS LiMiTATion de noMBRe) dATE TARiF ABOnné

6 €

7 €

8 €

9 €

10 €

11 €

12 €

13 €

14 €

15 €

total (multiplié par le nombre d’abonnés) €

Ci-joint un chèque bancaire / des chèques vacances d’un montant de ………. € libellé à l’ordre des Tanzmatten

À …................….................……. le …................…….

Signature :

L’abonnement par courrier est traité avant l’ouverture du guichet le 27 août 2013.Les places sont attribuées au mieux, en fonction de l’ordre

chronologique des demandes, le cachet de la poste faisant foi.

Formulaire d’abonnement

64

l’équiPE dES TAnzMATTEn Jean-paul humbert direction, programmationAlice caspard Accueil, billetterieBenjamin Gaudré Accueil, billetteriehélène Gavalet Locations de salles, planningCarmen Kauffmann Administration, programmation jeune publicYannick Le Lann Responsable techniqueolivier Luchin Accueil salle festive, entretien et travauxAstrid Maineult Communication, médiation culturellevirgile patès Régie son & lumièreAndré pavet Régie son & lumière

Ainsi que tous les bénévoles qui offrent leur aide précieuse les jours de spectacles.

création du visuel & plaquette : Jean Wollenschneider - jean-w.fr

infoS utileSLes soirs de spectacle :• Les portes des Tanzmatten ouvrent 30 min.

avant le début du spectacle. • Le bar vous accueille une demi-heure avant et 1h après

la représentation, et s’il y a lieu lors des entractes.• Les consommations sont interdites à l’intérieur

de la salle de spectacle.• La salle est ouverte 20 minutes avant le début du spectacle.• Les spectacles débutent à l’heure dite, sauf en cas de retard

involontaire pour des raisons techniques. Les Tanzmatten se réservent le droit d’autoriser ou non l’entrée en salle après le début de la représentation.

• La durée des spectacles est donnée à titre indicatif.• Tout changement de distribution est indépendant

de notre volonté.• L es photographies et enregistrements ne sont pas autorisés.• Les téléphones portables doivent être impérativement coupés.• L’accès à la salle n’est pas permis aux enfants de moins

de 3 ans.

LesTanzmatten

Strasbourg

Centre ville

St-Dié

Châteaud’eau

Gare

Av. de la Liberté

Av. du Pdt Poincaré

Bld

Thie

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Quai de l’Ill

L’ILL

Cinéma

MédiathèqueFRAC

& ACA PColmar

Muttersholtz

Marckolsheim

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FéVRiER 2014MARS 2014

AVRil 2014MAi 2014

Juin 20141

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SLa Revue Scoute

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FÊTE du TRAVAil1

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JSpectacle des ateliers théâtre

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Spectacle des ateliers théâtre

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Axelle Red

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Ana Popovic

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Spectacle des ateliers théâtre

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Calendrier Tanzmatten saison 2013-2014


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SEPTEMBRE 2013OcTOBRE 2013

nOVEMBRE 2013dEcEMBRE 2013

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Colonel Oiseau

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L’affaire Dussaert

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Colorature

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Éric Bouvron28

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leS tanzMattenQuai de l’Ill / BP 40188 / 67604 Sélestat Cedex

Tél : 03 88 58 45 45 / Fax : 03 88 82 83 34

[email protected]

tanzmatten.fr

LES PARTENAIRES :

Programme Tanzmatten 2013

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