Élections municipales des 23 et 30 mars 2014 - Commune de Ciboure

A l’heure du bilan, Ziburu Bizi ne peut que constater les conséquences déplo-rables des politiques menées tant par la droite que par la gauche depuis 60 ans.

Il est clair qu’aujourd’hui encore aucune vision à long terme n’est portée par la majorité en place. Les projets immobi-liers se multiplient sans que les infras-tructures n’évoluent. Sous prétexte de répondre à nos besoins de logement, le bétonnage est de règle à Ziburu. Le remède de l’UMP et du PS pour «  ré-soudre  » le problème a été pire que le mal.

Les décisions sont prises sans réelle concertation des Ziburutar. Avec la voie ouverte aux promoteurs sans prendre en compte les vrais besoins de la popu-lation.

Les représentants cibouriens de l’UMP et du PS sont responsables de cette si-tuation. C’est avec eux que Ziburu est devenue avant tout une station bal-néaire accueillant de plus en plus de gens de l’extérieur fortunés en manque de résidences secondaires. Ce que nous dénoncions il y a déjà 30 ans se réalise. Si on ne prend pas un nouveau cap, Ziburu sera une ville morte, inacces-sible aux locaux.

Ces responsables n’ont pas de projet de ville pour Ziburu, pas plus qu’ils n’en ont pour le Pays Basque. Leur gouvernance sans véritable planifica-tion nous a menée à cette situation, avec des projets démesurés conçus sans penser aux besoins des ziburutar, comme ceux du Casino et du port de plaisance extérieur.

Face à cette situation nous constatons l’état de la classe politique locale : d’une part une dynastie de droite, les Poulou, rois du clientélisme, d’autre part l’ap-pareil du PS nourrissant des ambitions personnelles.

C’est pour rompre avec des pratiques sans avenir que nous présentons notre liste Ziburu Bizi, menée par Eneko AL-DANA-DOUAT, jeune ziburutar.

Contrairement à nos adversaires notre projet n’est en aucun cas un plan de car-rière ou un relais de pouvoirs, mais la transmission de valeurs et d’idées au ser-vice de Ziburu, c’est le choix d’une al-ternative à la perte programmée de tout ce qui fait l’identité et la richesse de Zibu-ru, c’est un choix d’avenir, celui d’une ville populaire, vivante et euskaldun !

Pourquoi nous nous présentons

Jan Battit DIRASSARJournaliste honoraireet écrivain

«Mon soutien à ceux qui sont fondamen-talement attachés à l’identité basque afin que leur voix soit entendue à la mairie. Et que, jour après jour, Ziburu soit de plus en plus euskaldun.»

Florence CRÉPINOrthophoniste à Ziburu

« Pour que Ciboure prenne la voie d’un réel épanouissement de la langue et de la culture basque, pour qu’à Ciboure une voix soucieuse d’équité sociale soit entendue, j’apporterai la mienne à la liste Ziburu Bizi. »

Bixente ELGORRIAGACommerçant à Ziburu

« Pour une vraiepolitique de développe-ment des commerces de proximité et pour que les rues de Ziburu revivent je donne mon soutien à la liste Ziburu Bizi »

Mixel ETCHEVERRYAgent de maintenanceà la retraite

« Mon soutien à un groupe empreint de notre culture et d’esprit d’ouverture privilégiant le «NOUS» du rassem-blement au détriment du «JE» égoïste. »

ziburubizi.ziburubizifacebook.com/

E-mail : ziburu2014@gmail.com

ConstatPendant 13 ans aucun document d’urbanisme, ni POS ni PLU spécifique à Ziburu, pour réguler la loi du marché et, aujourd’hui, un PLU contesté par le préfet. C’est un exploit ! Ainsi arrive-t-on à un prix moyen, record sur la côte, de 4 290 euros au m² !

Bien qu’il y ait quasiment 1 appartement par personne à Ziburu, le problème du logement est criant, les prix étant bien au-dessus des moyens de beaucoup de ziburutar .

L’augmentation des constructions ne résout pas le problème mais gaspille des ressources néces-saires au mieux-vivre des ziburutar : suppression de la ceinture verte (voir observations du préfet pour attaquer le PLU), espaces de maraîchages, zones humides,... Tout le centre se désertifie et les constructions s’étalent sur la périphérie.

LogementPOUR LA RÉHABILITATION DES LOGEMENTS VACANTS !

STOP AUX NOUVELLES CONSTRUCTIONS !

> Stop au PLU actuel ! moratoire sur les nouvelles constructions !Prendre une année de réflexion collective pour faire un dia-gnostic partagé de la situation de Ziburu afin de construire un véritable projet de ville pour les générations à venir. Soumettre ce nouveau PLU (Plan Local d’Urbanisme) à un référendum d’initiative locale.

> Politique d’incitation à transformer l’immense res-source de logements que sont les résidences secon-daires et vacantes, en résidences principales : •premièrement,appliquerla surtaxe aux rési-dences secondaires (2650 résidences secondaires à Zi-buru!). Pour d’une part dissuader l’acquisition de ce type de résidence, et d’autre part, obtenir une rentrée fiscale importante qui permettra de mener une politique d’habi-tat ambitieuse. • deuxièmement,paruneaide à la réhabili-tation apportée aux propriétaires de logements vacants (300 à Ziburu), afin de les inciter à remettre leur bien sur le marché.

Propositions

10000

9000

8000

7000

6000

5000

4000

3000

2000

1000

0

19681973

19781983

19881993

19982003

20082013

20182023

2028

Où va t-on ?!!

Population

PS UMP

Résidences principales

+ 113 %

Logements Résidences secondaires

ConstatEn tant qu’institution la plus proche de la population, la Mairie a un rôle stratégique de premier plan à jouer dans la normalisation de l’euskara. Jusqu’à ce jour la municipalité de Ziburu n’a mené aucune politique lin-guistique en faveur de l’euskara : malgré la signature de conventions avec l’Office Public de la Langue Basque et la Communauté des Com-munes, le manque de volonté est flagrant à l’heure de les mettre en pratique car, pour ceux qui nous gouvernent la langue de ce pays n’est qu’un gadget folklorique. Et entre temps l’euskara régresse.

Comment ne pas parler des difficultés de l’Ikastola Kaskarotenea, in-dispensable outil pour la récupération de l’euskara, créée par la vo-lonté et l’effort de ziburutar : non seulement elle reçoit des aides bien inférieures aux autres écoles, mais en plus elle n’a pas de terrain pour la rentrée prochaine. Les enfants ziburutar n’auraient-ils pas tous les mêmes droits ?

POUR QUE LE FUTUR PARLE BASQUE

Nous avonspour objectifun Pays Basquecomposé decitoyens plurilingues etdont la languecommune sera l’euskara.

Propositions

> Une délibération reconnaîtra le ca-ractère co-officiel de la langue basque dans la commune. Elle aura pour consé-quences : l’attribution d’un budget annuel dédié à la politique linguistique, l’utilisa-tion de l’euskara dans tous les supports de communication de la municipalité, etc.

> L’utilisation de la langue basque sera garantie et encouragée dans tous les as-pects de la vie publique.

> L’apprentissage de la langue basque sera encouragé et soutenu.

> La commission extra-municipale : Pour mener ce projet, la création d’une commission extra-municipale est néces-saire. Elle sera composée d’un technicien de l’euskara, de représentants d’associa-tions culturelles, de directeurs d’écoles sous la responsabilité d’un adjoint. Cette commission aura en charge l’élaboration et la proposition du plan de normalisation de l’euskara, ainsi que le suivi et l’évalua-tion de sa mise en application.

Pour redonner à notre langue sa place dans notre cité, Ziburu se dotera d’un plan de norma-lisation de l’euskara, éche-lonné dans le temps et doté de moyens conséquents, fruit d’un travail commun entre mu-nicipalité et associations dont la mise en œuvre sera impulsée et coordonnée par un poste de technicien de l’euskara à créer :

Constat

Economie et social

Objectifs> Re-dynamiser le centre-ville> Aides aux bien vivre des Ziburutar> Lutte contre la précarité

Un centre ville quasiment sans vie. Très peu de commerces, ate-liers ou autres, mais surtout, au-cune volonté, aucune politique de la part des équipes munici-pales successives pour chercher à inverser la situation.

Construire a été et est leur seule préoccupation, construire pour construire, sans mener aucune réflexion, sans chercher à re-dy-namiser notre commune.

Aucune reconversion écono-mique n’a été envisagée ! Tout reste à faire ! Quelques initiatives privées cependant que l’on ne

peut qu’encourager (AMAP, li-brairie, boucherie, etc)

Pour ce qui est du social, on constate une augmentation de la précarité et du chô-mage.

Jusqu’à présent les aides appor-tées aux structures travaillant en faveur des plus démunis sont restées vraiment minimes (quasi inexistantes !).

Par ailleurs, le projet de résidence senior est à l’écart du centre et surtout, pas à la portée de tout le monde.

POUR UNEREDYNAMISATIONDU CENTRE VILLE!

Aide a l’installation au centre-ville :Inventaire des logements et autres lo-caux qui pourraient être disponibles. Attirer et faciliter l’installation de nouvelles familles, petits commer-çants, artisans, artistes ou autres. Ré-server les pas-de-portes à cet usage. Mise en place de loyers abordables, système d’exonération de charges, politique de coopération entre com-merçants, etc…

Développer le secteur primaire :Faire travailler les producteurs locaux. Intégrer par exemple leurs produits dans les cantines. Préserver, revalori-ser, voire étendre les dernières zones agricoles. Promouvoir les activités liées à la mer en créant, entre autres, une relation entre les différents éta-blissements scolaires et le lycée ma-ritime, etc.

Maintenir la populationsur Ziburu :Développer les aires de loisirs et de détente ainsi que les liaisons douces qui faciliteront l’accès aux différents sites. L’aménagement de la plaine des sports peut par exemple être complétée par une aire de pique-nique, un mur à gauche, une piste de skate, roller ou vélo, etc…Aux cibourien(ne)s de faire connaitre leurs idées !

Lutte contre la précarité :La municipalité se doit de combattre plus activement la précarité. Il faut trouver des locaux adaptés aux dif-férentes structures. Cela doit être une priorité  ! De même que la mise en place d’une véritable politique de réintégration sociale.

Il faut travailler sur un nouveau modèle de société privilégiant le mélange des générations, l’en-traide, la complémentarité. Des exemples existent  !

Propositions

ConstatDurant 12 ans, la ville de Ziburu a été dirigée de façon autocratique, avec le minimum légal de concertation. Il semblerait que la municipalité craigne la réaction des ziburutar, les projets ne sont connus que lorsqu’ils sont engagés de fa-çon irréversible.

Lors des réunions de quartiers il n’est jamais question d’aborder les sujets importants tels que : impôts, taxes, projets... Le bulletin muni-cipal est un moyen de propagande en faveur de la politique menée par le maire actuel et, curieusement, sa parution est plus fréquente à l’approche des élections (2007/2011 annuelle, 2013 trimestrielle).

Nous voulonsune gestionparticipativeet transparente.

Les projets supérieurs à20% du budgetseront soumis à l’approbation par un référendum.

Gestionmunicipale

Des budgets participatifs10% du budget municipal sera directement géré par les administrés. Pour cela, nous créerons une commission, ouverte à tous les ziburutar afin de débattre et de décider des différents projets et des financements qui leurs seront octroyés. De plus, chaque projet communal supérieur à 20% du budget fera l’objet d’un référendum.

Commissions municipales participativesElles intégreront des ziburutar qui ont un lien direct avec le sujet traité par chaque commission. Exemple  : les commerçants pourront intégrer la commission économie.

Donner la priorité aux entreprisesde CiboureLorsque la mairie sera amenée à sous-trai-ter, elle privilégiera à conditions égales des entreprises de Ziburu. D’autre part, elle in-tégrera une “clause sociale” qui devra être respectée par la-dite entreprise, et ce afin de garantir les bonnes conditions de travail et la sécurité des employés et d’empêcher la concurrence déloyale entres les diverses entreprises.

Priorité aux ziburutarLorsque la mairie embauchera de nouveaux employés elle donnera priorité aux ziburu-tar et privilégiera, à compétences égales, les bascophones notamment dans les postes en relation avec le public. De plus, nous met-trons fin au système de “piston” trop répan-du dans les mairies, système clientéliste qui crée des postes inutiles et plombe le budget.

Propositions

Environnement

On assiste depuis peuà une utilisation massive de la notion de dévelop-pement durable, pour certains c’est un sujet à la mode, pour beaucoup un élément de marke-ting... pour nous c’est un défi de société majeur avec en toile de fond l’avenir de la planète.

ConstatL’éclairage public représente en moyenne 20% du budget “énergie” de la commune et près de 50 % de la consommation d’électricité.

La pollution des eaux est alarmante. Force est de constater la fréquence à la-quelle les plages ont été fermées cet été.

Le système de recyclage reste peu effi-cace. Les containers à verre manquent.

Malheureusement, le projet de la LGV n’est pas enterré ! Au contraire, il reste un projet phare du PS  !! Ce projet pharaonique, très couteux et écologi-quement désastreux ne répond ni à la demande, ni aux besoins des locaux  ! De plus, il entraînerait la disparition de la gare de Donibane-Ziburu pour les grandes lignes.

Autre projet non enterré, qui serait aussi très couteux et inutile pour les zi-burutar : le port de plaisance à Zokoa...

> Réaliser un audit énergétique de la ville afin d’arriver à une consommation plus raisonnée.

> Mettre en place un programme de développement d’installations de production d’énergies renou-velables ou de traitement de dé-chets (micro méthanisation, pan-neau solaire, micro-centrale,…) pouvant amener, durablement, une certaine autonomie à la commune.

> Changer de fournisseur d’élec-tricité et porter le choix de la commune sur un opérateur du type coopératif ENERCOOP, qui s’approvisionne à 100 % auprès

de producteurs d’énergies renou-velables.

> Renforcer le travail de sensibili-sation au tri sélectif et à la revalo-risation des déchets.

> Augmenter le nombre de containers à verre.

> Se positionner sans ambiguïté contre le projet de la LGV et pour le développement du Topo Hen-daia-Baiona.

> Se positionner sans ambiguïté contre le projet de port de plai-sance et le maintien en l’état du port de Zokoa. Protéger la ré-serve naturelle maritime.

> Défendre les zones humides mises en péril par l’extension du PLU.

Propositions

ConstatNous assistons à une folklorisation de notre culture, culture réduite à être une attraction tou-ristique.

L’insvestissement le plus important de la période Poulou a été la construction coûteuse et inutile de la place Lannes ; place uniquement destinée aux touristes l’été ! Alors que la place du fron-ton reste inanimée et totalement méprisée ! Elle doit retrouver son rôle d’antan dans le cadre d’un ré-aménagement du centre-ville au service des ziburutar toute l’année ! Heureusement, dif-férentes associations donnent vie à notre ville par leur dynamisme et leur dévouement.

CultureObjectifs> Mettre en place une politique culturelle ambitieuse en concerta-tion avec les différentes associa-tions. Le potentiel matériel de Zi-buru le permet.

> Préserver, sauvegarder et trans-mettre le patrimoine matériel asso-cié au patrimoine culturel vivant.

> Repenser et ré-investir la place originelle de Ziburu.

> Concilier patrimoine matériel etpatrimoine culturel vivant.Les Récollets doivent être réhabilités et amé-nagés en centre culturel proposant spectacles, concerts, expositions et autres... Le projet Ci-boure ville d’art doit être un outil au service du développement culturel de la ville.La place de Ziburu et son fronton doivent ac-cueillir davantage d’animations pour tous les âges tout au long de l’année. Nous devons gar-der des liens inter-générationnels.

> Intégrer les représentants desassociations dans une commissionculture ayant un pouvoir décisionnel.

> Transmission du patrimoine culturelCréer un centre de ressources et de documen-tation afin de collecter, archiver et diffuser la mémoire collective, en particulier des gens de mer de Ziburu.

Propositions

POUR UNE OFFRECULTURELLE DE QUALITÉ DESTINÉE AUX ZIBURUTAR.

Nos objectifs

Dans le secteur primaire, en soutien à la pêche et à l’agriculture locale pour leur assurer à la fois des conditions d’instal-lations et d’activités viables mais aussi des débouchés pérennes de commercia-lisation de leurs produits.

Dans le secteur secondaire, l’orientation des productions vers des intérêts écono-miques locaux privilégiant une écono-mie sociale et solidaire. Accompagner et faciliter l’implantation d’activités pro-ductives.

Dans le secteur tertiaire, fonder la po-litique touristique vers des logiques moins mercantiles et plus respectueuses des réalités culturelles et sociales du ter-ritoire et de ses habitant-e-s.

Aménagementde l’espace Nos objectifs

Consacrer les priorités budgétaires à la récupération puis à la conservation de la maîtrise foncière, et à la destination de ce foncier au logement social d’une part, et au développement économique d’autre part, dans une logique de vie et travail au pays.

Mise en place d’un Plan de Déplace-ments Urbains pour des transports col-lectifs performants, capables d’être une alternative à la logique du tout-voiture 

L’intercommunalité Sud Pays Basque regroupant 12 communes est devenue communauté d’agglomération au 1er Janvier 2013 et s’est vu transférer des compétences supplémentaires.

Cette Agglomération est dirigée par le Conseil Communautaire composé de 37 élus issus des 12 conseils munici-paux de l’agglomération (majorité et opposition).

Susceptibles d’être élus au conseil communautaire, les membres des listes abertzale des communes concernées, ont jugé important de proposer leur vision de la politique communautaire qui occupera une place de plus en plus significative dans la vie publique locale.

Cette politique s’appuiera sur l’inser-tion dans la transition écologique, intégration des logiques de démocra-tie participative et généralisation de l’usage de l’Euskara.

Développementéconomique

Equilibre social de l’habi-tat et politique de la ville Nos objectifs

Actualiser le Programme Local de l’Ha-bitat en imposant dans tout programme privé des seuils supérieurs à la législa-tion en vigueur en matière de logements sociaux.

Affirmer l’attachement au principe d’une modification législative permettant de taxer ou imposer spécifiquement les ré-sidences secondaires.

Eau et Assainissement Nos objectifs

La gestion des besoins vitaux doit rele-ver du service public et non du secteur marchand.

Reconquête de la qualité de l’eau par un programme ambitieux d’assainissement

Politique linguistiqueet Animationculturelle du territoireNos objectifs

Développement d’une politique linguis-tique publique audacieuse adaptée aux réalités du terrain.

Démocratiser l’action culturelle en l’étendant aux quartiers périphériques des centres et des bourgs et en renfor-çant la place de la culture basque.

Coopérationtransfrontalière Accentuer la coopération dans tous les domaines de compétences de l’agglo-mération avec le Gipuzkoa, Nafarroa et intégrer UDALBILTZA.

Claudine DupainOuvrièreMARIÑELA

Bruno IrribarenMarin pêcheurZOKOA

Ana MartinettiAssistante maternelle retraitéeGURUTZE GORRIA

Maialen TapiaConseillère municipale sortanteERROTA ZAHAR

Christian JaureguyFormateur pour adultesGOLFA

Christophe BillioteChef d’entrepriseGOLFA

M. Eugénie LarreguyArtiste peintreGURUTZE GORRIA

Izarne Molina DupainEducatrice spécialiséeMARIÑELA

Ladix LanouguèreEnseignantMARIÑELA

Xabier MartiarenaPatron pêcheurZENTROA

1

18 19 20

8

21

9

22

10

23

11

Eneko ALDANA DOUATCoordinateur d’un institut de formation

ZENTROA

Graziella IrigoyenHôtesse de caisseGURUTZE TXURIA

Yvette SempeInstitutrice retraitéeMARIÑELA

Jone TrementAncienne conseillère municipaleGURUTZE GORRIA

Jean-Michel DirassarOuvrier - Représentant syndicalMARIÑELA

Kepa OlaizolaIngénieur retraité etécrivain historienBORDAGAIN

Juanos MarguiraultOuvrier - Représentant syndicalZOKOA

Leire LarrasaDirectrice d’accueilcollectif de mineursGURUTZE TXURIA

Laurence EsnalFemme au foyerGOLFA

Leire EcheverriaKinésithérapeuteKEXILOA

Ramuntxo MintegiConseiller municipal sortantGURUTZE GORRI

Alexis EtcheberryOuvrierZUBIBURU

Sébastien BoscEmployéMARIÑELA

Maddi ZubeldiaInstitutriceERROTA ZAHAR

Mertxe ColinaEducatrice spcialiséeUNTXIN

Fanni LascubeAuxiliaire de vie scolaireGURUTZE GORRIA

Periko ArrietaArtisanGURUTZE GORRIA

Mikel DalbretOfficier retraité de la marine marchande et artisteMARIÑELA

Jonathan LeroyAnimateur socioculturelZENTROA

2

12

24

3

13

25

4

14

26

5

15

27

6

16

28

7

17

29