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Programme d’indicateurs du rendement scolaire ( PIRS) Évaluation en science de 1999 (Élèves de 13 et de 16 ans) Rapport pour l’Ontario Mai 2000

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Programme d’indicateurs

du rendement scolaire (PIRS)Évaluation en science de 1999

(Élèves de 13 et de 16 ans)

Rapport pour l’Ontario

Mai 2000

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L’Office de la qualité et de la responsabilité enéducation (OQRE) est un organisme indépendantétabli en juin 1996 par le gouvernement de l’Ontarioafin d’accroître la responsabilité et d’aider àaméliorer la qualité de l’éducation financée par lesdeniers publics en Ontario.

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 1

Évaluation en science

effectuée en 1999 dans le cadre du PIRS(élèves de 13 et de 16 ans)

D o n n é e s g é n é r a l e s

• Le programme d’indicateurs du rendement scolaire (PIRS) a été créé par le Conseil desministres de l’Éducation du Canada (CMEC) afin de fournir une méthode d’analyse desniveaux de rendement des élèves de 13 et de 16 ans dans l’ensemble du Canada.

• Les évaluations sont administrées chaque année en avril et mai selon le calendrier suivant :

• Les résultats obtenus dans le cadre du PIRS sont publiés pour l’ensemble du Canada et pourchaque province ou territoire. Le cadre de l’échantillonnage ne se prête pas à la diffusion dedonnées au niveau de l’école ou du conseil scolaire. Une copie papier du rapport public duCMEC est disponible sur demande du centre de distribution de l’OQRE au 1 888 327-7377.Une copie électronique de ce document peut être téléchargée au site web du CMEC auwww.cmec.ca/indexe.stm.

• L’équipe chargée de la conception de l’évaluation en science effectuée en 1999 dans le cadredu PIRS comprenait des représentantes et représentants de la Saskatchewan, de l’Ontario, duQuébec, de Terre Neuve et Labrador et de la Nouvelle-Écosse (francophone). Sa tâcheprincipale consistait à améliorer le matériel d’évaluation utilisé en 1996 en tenant comptedes données et des observations recueillies à la suite de l’évaluation précédente. On n’a puapporter qu’un nombre restreint de changements aux instruments de l’évaluation, en raisondu principe important du PIRS voulant que l’on compare les résultats obtenus par les élèvesau fil des années. Pour la composante écrite, on a apporté quelques modifications au niveaudu langage afin de le rendre plus précis. Deux activités ont été modifiées au niveau destâches pratiques afin de stimuler les élèves à manifester un rendement supérieur. Uneactivité a été remplacée puisqu’elle a servi d’exemple dans le rapport livré au public.

• L’évaluation en science effectuée au printemps de 1999 dans le cadre du PIRS a duré deuxheures et demie et comportait deux parties principales. Un échantillon d’élèves choisi defaçon aléatoire a subi une évaluation écrite et un autre échantillon d’élèves, une évaluationselon des tâches pratiques. Les élèves qui ont subi l’épreuve écrite ont répondu à une sériede questions ouvertes ou à choix multiples. Les élèves à qui on a imposé une tâche pratiqueont dû ensuite répondre à des questions reliées à cette activité et aux données recueillies.

MATHÉMATIQUES LECTURE ET ÉCRITURE SCIENCE

1993 1994 1996

1997 1998 1999

2001

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 2

Les élèves qui ont participé à l’évaluation ont aussi rempli un questionnaire sur leursattitudes, où on leur demandait également de fournir des renseignements contextuels.

• Le PIRS utilise cinq niveaux de performance et publie un rapport sur le pourcentage d’élèvesayant acquis les connaissances et les habiletés correspondant à chacun des niveaux. Lescinq niveaux s’appliquent aux élèves de 13 ans comme à ceux de 16 ans. Le rendement d’unélève en lecture et en écriture est mesuré d’après les cinq niveaux de rendement. Lesexemples qui suivent, les descriptions des niveaux 1 et 5, sont tirés du rapport préparé parle CMEC à l’intention du public.

Évaluation écrite• Au niveau 1, l’élève :

•• décrit les propriétés physiques d’un objet;•• fait la distinction entre les organismes vivants et inanimés et leur environnement

respectif;•• comprend que l’énergie se manifeste sous des formes variées;•• comprend que ce qui existe dans l’univers subit des modifications;•• fait preuve de précision et d’attention lors d’une investigation scientifique;•• identifie une variété de technologies utiles à la société.

• Au niveau 5, l’élève :•• peut établir le lien entre les propriétés d’une substance et sa structure moléculaire;•• sait que des facteurs variés peuvent apporter des mutations à l’ADN et que certaines

mutations sont transmissibles aux prochaines générations;•• analyse le mouvement uniforme en deux dimensions;•• évalue les preuves de la théorie des plaques tectoniques;•• explique les conditions utilisées lors de l’évaluation des théories scientifiques;•• démontre l’influence de la vision mondiale sur la science et la technologie.

Évaluation des tâches pratiques• Au niveau 1, l’élève :

•• identifie et pose les questions appropriées;•• suit les procédures établies;•• effectue les observations appropriées.

• Au niveau 5, l’élève :•• effectue des expériences appropriées;•• évalue la fidélité et la précision de données et en explique les lacunes;•• évalue les effets des sources d’erreurs;•• identifie les facteurs qui influencent l’acceptation ou le rejet d’un ensemble de preuves

ou d’une théorie.

• L’évaluation en science de 1999 a été administrée à un échantillon d’élèves choisi de façonaléatoire dans l’ensemble des provinces et territoires du Canada. Environ 31 460 élèves ontparticipé à l’évaluation, dont plus de 4 800 de l’Ontario. L’évaluation a été menée en françaiset en anglais et des mesures ont été prises pour assurer la comparabilité des résultats desdeux groupes linguistiques.

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• Des attentes à l’échelle nationale ont été définies pour l’évaluation en science effectuée en1999 dans le cadre du PIRS afin de pouvoir comparer les résultats obtenus avec les résultatsattendus. Le CMEC a tenu trois réunions avec des éducatrices et éducateurs ainsi qu’avec despersonnes œuvrant dans des domaines autres que l’éducation, dans l’Ouest, le Centre et larégion de l’Atlantique, pour fixer ces attentes en matière de performance et déterminer lespourcentages d’élèves de 13 et de 16 ans qui devraient atteindre ou dépasser chacun desniveaux de performance établis. Les informations qui en ont découlé ont aidé le CMEC àinterpréter les résultats obtenus par les élèves du Canada. On trouvera en annexe lespourcentages fixés lors de ces séances.

• Voir l’annexe pour plus de renseignements sur le PIRS et l’évaluation en science de 1999.

• Le présent rapport fournit un choix de résultats pour le Canada et l’Ontario. Il fautinterpréter les données relatives à l’Ontario à la lumière de l’information sur le contexteontarien présenté ci-dessous.1

1Les statistiques figurant dans le présent rapport sont tirées de l’ébauche du rapport du CMEC sur l’évaluation en science effectuée en1999 dans le cadre du PIRS.

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 4

C o n t e x t e o n t a r i e n

Contexte socialOn trouve en Ontario de grands conseils scolaires qui servent des localités densémentpeuplées, des conseils scolaires de petites villes et de milieux ruraux dont les élèves sont plusdispersés, et des conseils scolaires de district qui, dans le Nord, servent un petit nombred’élèves répartis dans de vastes régions. Le système de conseils scolaires de la province estcomposé de 12 conseils de langue française, 60 conseils de langue anglaise et37 administrations scolaires qui desservent les petites communautés éloignées. L’une desquestions critiques est celle de la prestation des services et des programmes éducatifs, comptetenu de la diversité ethno-culturelle de la population scolaire ontarienne et du grand nombred’enfants et de jeunes en provenance de familles immigrées. L’Ontario accueille 68 pour centdes nouveaux arrivés au Canada, soit par immigration primaire ou secondaire. Dans les grandscentres tout particulièrement, les écoles et les conseils scolaires se voient obligés d’enseignerl’anglais ou le français langue seconde et d’offrir des services d’intégration communautaireafin d’aider les élèves à surmonter les obstacles linguistiques et culturels qui s’érigent entrel’école et la famille et qui risquent de nuire à leur rendement scolaire.

Organisation du système scolaire En Ontario, il existe deux types de conseils scolaires financés par les fonds publics, soit lesconseils d’écoles publiques (anglophones et francophones), que fréquentent 70 pour cent desélèves, et les conseils catholiques (anglophones et francophones), que fréquentent 30 pourcent des élèves. Cinq pour cent de la population totale des élèves sont inscrits auxprogrammes d’études de langue française dont 80 pour cent fréquentent les écolescatholiques.

En 1998-1999, l’Ontario comptait 1 394 701 élèves répartis dans 3 946 écoles élémentaires et697 311 élèves dans 805 écoles secondaires. Il y a environ 117 452 enseignantes et enseignantsà temps plein. Soixante-dix pour cent des conseils scolaires offrent de l’éducation en languefrançaise. Le programme d’études s’étend de la maternelle (enfants de 4 ans) aux cours pré-universitaires de l’Ontario (CPO), ces derniers généralement suivis pendant la dernière annéedu secondaire, en préparation aux études postsecondaires ou au marché du travail. Les élèvesqui sont en 9e année à l’automne de 1999 vont recevoir leur diplôme à la fin de la 12e année.

L’enseignement des sciencesLa province de l’Ontario a élaboré un nouveau curriculum fondé sur les attentes dans toutesles matières, depuis la 1re année jusqu’à la 12e année. Les attentes en ce qui concerne lessciences sont décrites dans le document sciences et technologie pour les élèves de la 1re annéeà la 8e année et dans les documents du curriculum de sciences pour les élèves de la 9e année àla 12e année. À l’exception d’un programme de géologie rarement offert au cycle supérieur, lessciences de la terre et les sciences de l’espace n’occupent pas une grande place dans lesprogrammes de sciences de l’Ontario.

De la 1re année à la 8e année, la science est présentée dans le cadre d’un curriculum intégré descience et de technologie, axé sur des activités, qui favorise l’exploration de divers domainesde la science et de la technologie.

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Le nouveau programme de science de 9e année et de 10e année fournit une vaste vued’ensemble de la science, y compris les sous-disciplines suivantes : la biologie, la chimie, lascience de la terre et de l’espace, et la physique. Ce n’est qu’au niveau de la 9e année que lescours de science sont offerts sous forme de cours appliqués ou de cours théoriques. Les élèvesdoivent suivre des cours de science jusqu’à la fin de la 10e année, c’est-à-dire que deux créditsde science sont requis pour l’obtention du diplôme.

En 11e année et en 12e année, les programmes de science portent sur des domaines plusspécialisés, notamment la chimie, la physique, la biologie, la science de la terre et la science del’espace; ils sont offerts au titre de cours universitaires, collégiaux, universitaires/collégiaux oude préparation au travail.

La majorité des élèves de 13 ans qui ont participé à la présente évaluation sont inscrits soit aucours de science de 9e année, soit au cours de science et de technologie de 8e année, qui sonttous deux des sujets obligatoires. Les antécédents des élèves de 16 ans dans le domaine dessciences sont très variés – certains élèves n’ont suivi aucun cours de science depuis la10e année et d’autres ont terminé un ou deux programmes spécialisés au cycle supérieur.

Évaluation des acquis en sciencesLes enseignantes et les enseignants ont la responsabilité d’évaluer les élèves et de voir s’ilspeuvent être promus. L’Ontario n’administre pas d’examens à l’échelle provinciale à cette fin.On a mis sur pied, en 1996, l’Office de la qualité et de la responsabilité en éducation (OQRE)afin d’assurer une plus grande responsabilité en éducation et d’améliorer la qualité del’éducation en Ontario. En 1997 et 1998, l’OQRE a administré une évaluation pour tous lesélèves de la 3e année en lecture, en écriture et en mathématiques. En 1997, un échantillonaléatoire d’élèves de 6e année ont été évalués en mathématiques; en 1998, une évaluationsemblable a été administrée à un échantillon aléatoire d’élèves de 9e année. Ces évaluationsont donné une vue d’ensemble de la façon dont les élèves de la province apprennent selon lesattentes. L’évaluation de tous les élèves de la 3e année dans les trois matières se fera tous lesans. Le ministère a récemment annoncé un programme annuel d’évaluation dans ces troismatières pour tous les élèves de 6e année. Il a aussi annoncé que, à partir de 2000-2001, lesélèves de 10e année devront passer un test d’habiletés en lecture et écriture. À partir de2001-2002, tous les élèves de 10e année devront passer avec succès le Test d’habiletés enlecture et écriture, 10e année afin d’obtenir leur diplôme d’études secondaires.

En ce qui a trait à l’enseignement des sciences, l’Ontario a participé à des évaluations interna-tionales de l’Association internationale pour l’évaluation du rendement scolaire (IEA) et del’Organisation pour la coopération et le développement économiques (OCDE). En plus,pendant la dernière décennie, l’Ontario a fait une révision provinciale des programmes duniveau supérieur en chimie et en physique.

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R é s u l t a t s p o u r l e C a n a d a

Rendement• Presque 75 pour cent des élèves de 13 ans ont atteint le niveau 2 et plus de 76 pour cent des

élèves de 16 ans ont atteint le niveau 3.

• En 1999, un pourcentage important des élèves de 13 et 16 ans ont atteint les niveaux 3, 4et 5 dans la composante écrite, ce qui est une augmentation marquée par rapport auxrésultats de 1996.

• Au niveau de la composante écrite, il y a peu de différence dans les résultats atteints chezles filles ou chez les garçons. Un petit pourcentage de garçons de 16 ans a atteint plussouvent le niveau 4 que les filles du même âge.

• Au niveau de la composante écrite également, pour les élèves de 13 ans, un pourcentage unpeu plus grand des élèves anglophones a dépassé les élèves francophones aux diversniveaux à l’exception du niveau 3. Un plus grand pourcentage d’élèves francophones de16 ans a atteint les niveaux 1, 2 et 3 tandis qu’aux niveaux 4 et 5, les résultats sontsemblables.

• Quatre-vingt-dix pour cent des élèves de 13 ans ont atteint le niveau 2 pour la composantedes tâches pratiques tandis que 76 pour cent des élèves de 16 ans ont atteint le niveau 3.

• En 1999, un pourcentage important des élèves de 13 et 16 ans a atteint un niveau plus élevéqu’en 1996.

• Beaucoup plus de filles âgées de 13 ans atteignent les niveaux 4 et 5 que les garçons. Il n’y apas de différence notable à relever entre les résultats obtenus pour les autres niveaux tantchez les filles que chez les garçons et ce également chez les élèves de 16 ans.

• Les élèves anglophones de 13 ans ont atteint les niveaux 3, 4, et 5 en beaucoup plus grandnombre que les élèves francophones.

• Dans l’ensemble, chaque groupe d’âge a obtenu les résultats attendus dans la composantedes tâches pratiques mais a obtenu des résultats un peu en dessous des attentes pour lacomposante écrite. Les élèves de 13 ans ont atteint le rendement attendu sauf au niveau 4de la composante écrite. Les élèves de 16 ans ont atteint les attentes fixées sauf au niveau 5de la composante écrite, à la satisfaction des personnes intervenant en éducation et dupublic en général.

Autres résultats pour le Canada• La grande majorité des élèves, au niveau pancanadien, qui s’expriment habituellement dans

la langue de l’évaluation a atteint le niveau 3 ou plus.

• Quarante pour cent des élèves de 13 ans et 57 pour cent des élèves de 16 ans sont d’accordou fortement d’accord qu’il faut un talent naturel pour réussir en science mais 96 pour centdes élèves de 13 ans et 97 pour cent des élèves de 16 ans sont d’accord ou fortementd’accord qu’il faut travailler fort pour réussir en science.

• La médiane de la moyenne des instances du nombre d’élèves par classe est de 24 personnes.Quatre-vingt pour cent du personnel enseignant dit que le nombre moyen d’élèves parclasse est de 29, variant entre 10 et 40 élèves.

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• Quarante-trois pour cent du personnel enseignant rencontrent leurs collègues moins d’unefois par mois afin de planifier l’enseignement. Parfois, il n’y a qu’un membre du personnelpar école qui enseigne les cours de science.

• Presque 90 pour cent des enseignantes et enseignants de science soutiennent que cettematière mérite d’être considérée comme une méthode de procédure au lieu d’un ensemblede connaissances et de concepts et 76 pour cent des élèves au niveau secondaire croientqu’elles et ils devraient être répartis dans les cours selon leurs habiletés.

• Les personnes qui enseignent les sciences font appel à une variété de méthodes et destratégies mais 80 pour cent d’entre elles ne vont jamais à l’extérieur de l’école avec leursélèves ou ne font jamais d’excursions avec eux.

• Soixante-trois pour cent des enseignantes et enseignants accordent beaucoup d’importanceaux projets et aux activités en laboratoire dans l’évaluation de leurs élèves.

• Près de la moitié des personnes qui enseignent les sciences sont diplômées dans cettematière. Trente pour cent des enseignantes et des enseignants ont reçu moins d’une annéeou l’équivalent de formation à l’enseignement.

Remarque : Voir l’annexe pour de plus amples renseignements sur les résultats obtenus en1999 et les attentes nationales visant le rendement en science.

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R e s u l t a t s p o u r l ’ O n t a r i o

Rendement• Les élèves francophones de l’Ontario, dans les deux groupes d’âge, n’ont pas atteint les

résultats pancanadiens pour la composante écrite.

• La performance de 1999 pour les élèves francophones de 13 et 16 ans était nettementmeilleure au niveau 3 pour la composante écrite qu’elle l’était en 1996.

• Les deux groupes d’âge des élèves francophones en Ontario n’ont pas atteint les résultatsattendus pour la composante écrite et ce à tous les niveaux.

• Les résultats des élèves francophones de 13 ans en Ontario étaient semblables à l’ensembledes résultats pancanadiens pour la composante des tâches pratiques. Les élèvesfrancophones de 16 ans en Ontario, dans la composante des tâches pratiques, ont obtenudes résultats en dessous des résultats pancanadiens pour les niveaux 3, 4 et 5.

• En 1999, les élèves francophones de 13 ans de l’Ontario, ont obtenu de meilleurs résultats àtous les niveaux de la composante pratique que ceux de 1996. Les élèves de 16 ans ontbeaucoup mieux réussi aux niveaux 3, 4 et 5 de la composante écrite en 1999 qu’en 1996.

• En ce qui concerne l’évaluation des tâches pratiques, les élèves francophones de 13 ans enOntario ont atteint ou dépassé les niveaux 2 et 5 des résultats pancanadiens.

• Les élèves anglophones de l’Ontario (13 et 16 ans) ont obtenu des résultats comparables àl’ensemble de la population étudiante canadienne.

• Les élèves anglophones de 13 ans de l’Ontario ont atteint le niveau 2 ou plus avec un plusgrand pourcentage en 1999 qu’en 1996. Les élèves de 16 ans de l’Ontario ont atteint lesniveaux 3 et 4 avec un plus grand pourcentage en 1999 qu’en 1996.

• Les élèves des deux groupes d’âge anglophones de l’Ontario ont atteint ou dépassé lesattentes pancanadiennes aux niveaux 1, 2 et 3.

• En 1999, la performance des élèves des deux groupes d’âge anglophones de l’Ontario, dansla composante des tâches pratiques, était nettement supérieure aux niveaux 3, 4 et 5 queleur performance de 1996.

• Les élèves anglophones de 13 ans de l’Ontario ont atteint ou dépassé les attentes desniveaux 2 et 5 dans la composante des tâches pratiques, tandis que les élèves anglophonesde 16 ans, en Ontario, ont atteint ou dépassé toutes les attentes pancanadiennes.

Autres résultats pour l’Ontario• La grande majorité (95 à 99 pour cent) des élèves des deux sexes, langues et groupes d’âge

prévoient de poursuivre leurs études après le secondaire.

• Trente-quatre pour cent des élèves de 13 ans et 48 pour cent des élèves de 16 ans sontd’accord ou fortement d’accord pour dire qu’il faut un talent naturel pour réussir enscience, mais 78 pour cent des élèves de 13 ans et 79 pour cent des élèves de 16 ans sontd’accord ou fortement d’accord pour dire qu’il faut travailler fort pour réussir en science.

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• La taille moyenne des classes de science dans les écoles intermédiaires de langue anglaisede l’Ontario est de 26 élèves, variant entre 1 et 44 élèves. La taille moyenne de ces classesdans les écoles secondaires de langue anglaise de l’Ontario est de 26 élèves, l’effectif variantentre 3 et 36 élèves.

• Dans les écoles intermédiaires de langue française de l’Ontario, la taille moyenne desclasses de science est de 25 élèves, chacune variant entre 1 et 36 élèves. Dans les écolessecondaires de langue française de l’Ontario, la moyenne de ces classes est de 20 élèves,l’effectif variant entre 3 et 36 élèves.

• En Ontario, 90 pour cent du personnel enseignant les sciences rencontrent leurs collèguesau moins une fois par mois afin de planifier l’enseignement.

• Presque 90 pour cent des enseignantes et enseignants ontariens soutiennent que cettematière mérite d’être enseignée comme un processus plutôt que comme un ensemble deconnaissances et de concepts, et près de 92 pour cent croient que les élèves du secondairedevraient être répartis selon leurs capacités.

• Les enseignantes et enseignants déclarent faire appel à une variété de méthodespédagogiques et plus de 55 pour cent d’entre eux disent que leurs élèves font desexpériences au laboratoire au moins plusieurs fois par semaine. Néanmoins, plus de75 pour cent des enseignantes et enseignants disent ne jamais ou rarement faire de sortiesou d’excursions avec les élèves.

• Environ 60 pour cent des enseignantes et enseignants qui ont participé au sondage sontdiplômés en science. Plus de 82 pour cent possèdent au moins l’équivalent d’une année deformation à l’enseignement.

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C o m p a r a i s o n s a v e c l e s a u t r e s i n s t a n c e s

Dans les tableaux qui suivent, les résultats obtenus par les provinces et les territoires en ce quiconcerne le rendement des élèves sont comparés avec ceux de l’ensemble du Canada. On yprésente les pourcentages d’élèves de 13 ans ayant atteint le niveau 2 ou plus et lespourcentages d’élèves de 16 ans ayant atteint le niveau 3 ou plus.

Comparaison entre les provinces/territoires et l’ensemble du Canada(% des élèves de 13 ans, niveau 2 ou plus; % des élèves de 16 ans, niveau 3 ou plus)

C o m p o s a n t e é c r i t e

SUPÉRIEUR AU CANADA ÉQUIVALENT AU CANADA INFÉRIEUR AU CANADA

13 ANS

Alberta 82,5 % (±2,4) Canada 73,3 % (±0,8) Manitoba (F) 61,2 % (±3,7)

Colombie-Britannique 76,1 % (±2,9) Nouveau-Brunswick (F) 60,5 % (±3,1)

Île-du-Prince-Édouard 74,3 % (±2,9) Nouvelle-Écosse (F) 61,8 %(±3,5)

Manitoba (A) 72,8 % (±3,0) Nunavut 17,5 % (±2,5)

Nouveau-Brunswick (A) 69,4 % (±3,2) Ont ar io ( F ) 57,2 % (±3,3)

Nouvelle-Écosse (A) 69,5 % (±3,3) Terre-Neuve 68,0 % (±2,6)

Ont ar io ( A ) 72,1 % (±3,1) Territoires du Nord-Ouest 52,2 % (±2,3)

Québec (A) 69,6 % (±3,0)

Québec (F) 72,8 % (±2,8)

Saskatchewan 75,5 % (±2,9)

Yukon 71,3 % (±2,6)

16 ANS

Alberta 85,8 % (±2,3) Canada 76,1 % (±0,8) Nouveau-Brunswick (F) 69,4 % (±3,1)

Île-du-Prince-Édouard 81,3 % (±3,1) Colombie-Britannique 75,8 % (±3,2) Nunavut 23.8 % (±6,2)

Manitoba (A) 79,8 % (±2,6) Manitoba (F) 76,2 % (±3,3) Ont ar io ( F ) 60,1 % (±4,0)

Québec (F) 80,5 % (±2,4) Nouveau-Brunswick (A) 72,6 % (±3,3) Territoires du Nord-Ouest 67,8 % (±3,7)

Nouvelle-Écosse (A) 74,6 % (±2,4)

Nouvelle-Écosse (F) 73,8 % (±7,6)

Ont ar io ( A ) 72,2 % (±3,4)

Québec (A) 76,7 % (±2,7)

Saskatchewan 77,4 % (±2,9)

Terre-Neuve 72,7 % (±2,8)

Yukon 74,0 % (±3,4)

Remarques :

• Les regroupements ci-dessus tiennent compte des erreursd’échantillonnage et des intervalles de confiance. (Voir l’annexepour une définition de l’erreur d’échantillonnage, de lasignification statistique et des intervalles de confiance.) Pourchaque population, le pourcentage d’élèves ayant atteint leniveau 2 ou plus (13 ans) et le niveau 3 ou plus (16 ans) estaccompagné de l’erreur d’échantillonnage (entre parenthèses).Étant donné que la totalité des élèves francophones de laNouvelle-Écosse ont subi les épreuves, il n’y a pas d’erreurd’échantillonnage.

• Les niveaux de rendement 2 et 3 sont mis en évidence parce quel’équipe de conception du PIRS a établi comme principe que laplupart des élèves de 13 ans rempliraient les critères fixés pour leniveau 2 et que la plupart des élèves de 16 ans rempliraient lescritères fixés pour le niveau 3.

• « A » et « F » signifient anglophones et francophonesrespectivement.

• On trouvera à l’annexe les données relatives à la lecture et àl’écriture pour les 13 et 16 ans, selon le niveau de rendement etselon la population.

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Comparaison entre les provinces/territoires et l’ensemble du Canada(% des élèves de 13 ans, niveau 2 ou plus; % des élèves de 16 ans, niveau 3 ou plus)

T â c h e s p r a t i q u e s

SUPÉRIEUR AU CANADA ÉQUIVALENT AU CANADA INFÉRIEUR AU CANADA

13 ANS

Canada 90,0 % (±1,0)

Ont ar io ( A ) 86,8 % (±2,5)

On t a r i o ( F ) 87,8 % (±2,9)

Saskatchewan 88,6 % ±(2,2)

Autres 92,1 % (±1,3)

16 ANS

Canada 75,7 % (±1,4) Ont ar io ( F ) 64,7 % (±4,5)

On t a r i o ( A ) 72,2 % (±3,6)

Québec 78,7 % (±2,8)

Saskatchewan 74,6 % (±3,1)

Autres 78,1 % (±2,4)

Remarques :

• Les regroupements ci-dessus tiennent compte des erreursd’échantillonnage et des intervalles de confiance. (Voir l’annexepour une définition de l’erreur d’échantillonnage, de lasignification statistique et des intervalles de confiance.) Pourchaque population, le pourcentage d’élèves ayant atteint leniveau 2 ou plus (13 ans) et le niveau 3 ou plus (16 ans) estaccompagné de l’erreur d’échantillonnage (entre parenthèses).Seulement les instances qui ont échantillonné un nombre suffisantd’élèves pour avoir des résultats provinciaux sont représentés dansce tableau.

• « Autres » signifie les résultats des autres instances qui n’ont queparticipé à l’échantillon pancanadien.

• Les niveaux de rendement 2 et 3 sont mis en évidence parce quel’équipe de conception du PIRS a établi comme principe que laplupart des élèves de 13 ans rempliraient les critères fixés pour leniveau 2 et que la plupart des élèves de 16 ans rempliraient lescritères fixés pour le niveau 3.

• « A » et « F » signifient anglophones et francophonesrespectivement.

• On trouvera à l’annexe les données relatives à la lecture et àl’écriture pour les 13 et 16 ans, selon le niveau de rendement etselon la population.

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C o m p a r a i s o n a v e c l e s a u t r e s i n s t a n c e s

Les tableaux suivants présentent les résultats des élèves pour les provinces et les territoires(et l’ensemble du Canada) par rapport à l’Ontario (anglophone)1. On y présente desregroupements d’instances selon les proportions d’élèves de 13 ans ayant atteint le niveau 2 ouplus et les proportions d’élèves de 16 ans ayant atteint le niveau 3 ou plus, comme l’indiquel’annexe.

Comparaison entre les provinces/territoires et l’Ontario (anglophone)(% des élèves de 13 ans, niveau 2 ou plus; % des élèves de 16 ans, niveau 3 ou plus)

C o m p o s a n t e é c r i t e

SUPÉRIEUR À L’ONTARIO ÉQUIVALENT À L’ONTARIO INFÉRIEUR À L’ONTARIO(ANGLOPHONE) (ANGLOPHONE) (ANGLOPHONE)

13 ANS

Alberta 82,5 % (±2,4) Canada 73,3 % (±0,8) Manitoba (F) 61,2 % (±3,7)

Colombie-Britannique 76,1 % (±2,9) Nouveau-Brunswick (F) 60,5 % (±3,1)

Île-du-Prince-Édouard 74,3 % (±2,9) Nouvelle-Écosse (F) 61,8 %(±3,5)

Manitoba (A) 72,8 % (±3,0) Nunavut 17,5 % (±2,5)

Nouveau-Brunswick (A) 69,4 % (±3,2) Ont ar io ( F ) 57,2 % (±3,3)

Nouvelle-Écosse (A) 69,5 % (±3,3) Territoires du Nord-Ouest 52,2 % (±2,3)

Ont ar io ( A ) 72,1 % (±3,1)

Québec (A) 69,6 % (±3,0)

Québec (F) 72,8 % (±2,8)

Saskatchewan 75,5 % (±2,9)

Terre-Neuve 68,0 % (±2,6)

Yukon 71,3 % (±2,6)

16 ANS

Alberta 85,8 % (±2,3) Canada 76,1 % (±0,8) Nunavut 23,8 % (±6,2)

Île-du-Prince-Édouard 81,3 % (±3,1) Colombie-Britannique 75,8 % (±3,2) Ont ar io ( F ) 60,1 % (±4,0)

Manitoba (A) 79,8 % (±2,6) Manitoba (F) 76,2 % (±3,3)

Québec (F) 80,5 % (±2,4) Nouveau-Brunswick (A) 72,6 % (±3,3)

Nouveau-Brunswick (F) 69,4 % (±3,1)

Nouvelle-Écosse (A) 74,6 % (±2,4)

Nouvelle-Écosse (F) 73,8 % (±7,6)

Ont ar io ( A ) 72,2 % (±3,4)

Québec (A) 76,7 % (±2,7)

Saskatchewan 77,4 % (±2,9)

Terre-Neuve 72,7 % (±2,8)

Territoires du Nord-Ouest 67,8 % (±3,7)

Yukon 74,0 % (±3,4)

1Dans l’absence des résultats pour l’ensemble de l’Ontario, nousavons utilisé les résultats de l’Ontario (anglophone). Le rapportentre la grandeur des deux populations (francophone etanglophone) fait en sorte que les résultats pour l’ensemble del’Ontario sont presque identiques aux résultats pour l’Ontario(anglophone).

Remarques :

• Les regroupements ci-dessus tiennent compte des erreursd’échantillonnage et des intervalles de confiance. Les niveaux de

rendement 2 et 3 sont mis en évidence parce que l’équipe deconception du PIRS a établi comme principe que la plupart desélèves de 13 ans rempliraient les critères fixés pour le niveau 2 etque la plupart des élèves de 16 ans rempliraient les critères fixéspour le niveau 3.

• « A » et « F » signifient anglophones et francophonesrespectivement.

• On trouvera à l’annexe les données relatives à la lecture et àl’écriture pour les 13 et 16 ans, selon le niveau de rendement etselon la population.

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 13

Comparaison entre les provinces/territoires et l’Ontario (anglophone)(% des élèves de 13 ans, niveau 2 ou plus; % des élèves de 16 ans, niveau 3 ou plus)

T â c h e s p r a t i q u e s

SUPÉRIEUR À L’ONTARIO ÉQUIVALENT À L’ONTARIO INFÉRIEUR À L’ONTARIO(ANGLOPHONE) (ANGLOPHONE) (ANGLOPHONE)

13 ANS

Autres 92,1 % (±1,3) Canada 90,0 % (±1,0)

Ont ar io ( A ) 86,8 % (±2,5)

On t a r i o ( F ) 87,8 % (±2,9)

Saskatchewan 88,6 % ±(2,2)

AGE 16

Québec 78,7 % (±2,8) Canada 75,7 % (±1,4)

Ont ar io ( A ) 72,2 % (±3,6)

On t a r i o ( F ) 64,7 % (±4,5)

Saskatchewan 74,6 % (±3,1)

Autres 78,1 % (±2,4)

Remarques :

• Les regroupements ci-dessus tiennent compte des erreursd’échantillonnage et des intervalles de confiance. (Voir l’annexepour une définition de l’erreur d’échantillonnage, de lasignification statistique et des intervalles de confiance.) Pourchaque population, le pourcentage d’élèves ayant atteint leniveau 2 ou plus (13 ans) et le niveau 3 ou plus (16 ans) estaccompagné de l’erreur d’échantillonnage (entre parenthèses).Seulement les instances qui ont échantillonné un nombre suffisantd’élèves pour avoir des résultats provinciaux sont représentés dansce tableau.

• « Autres » signifie les résultats des autres instances qui n’ont queparticipé à l’échantillon pancanadien.

• Les niveaux de rendement 2 et 3 sont mis en évidence parce quel’équipe de conception du PIRS a établi comme principe que laplupart des élèves de 13 ans rempliraient les critères fixés pour leniveau 2 et que la plupart des élèves de 16 ans rempliraient lescritères fixés pour le niveau 3.

• « A » et « F » signifient anglophones et francophonesrespectivement.

• On trouvera à l’annexe les données relatives à la lecture et àl’écriture pour les 13 et 16 ans, selon le niveau de rendement etselon la population.

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AnnexeQuestions et réponses

Tableaux des données

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 17

Q u e s t i o n s e t r é p o n s e s

Q. En quoi consiste le Programme d’indicateurs du rendement scolaire (PIRS)?R. Les provinces et territoires, par le biais du Conseil des ministres de l’Éducation du Canada

(CMEC), ont institué le Programme d’indicateurs du rendement scolaire (PIRS) dans le butd’évaluer le rendement des élèves de 13 et de 16 ans en mathématiques, en science, et enlecture et écriture. Chaque province peut s’appuyer sur les données recueillies au moyendes évaluations effectuées dans le cadre du PIRS pour établir ses priorités en matièred’éducation et pour planifier les redressements à effectuer dans ses programmes.

Q. Pourquoi évalue-t-on le rendement des élèves de 13 et de 16 ans?R. À 13 ans, les élèves font la transition entre l’école élémentaire et l’école secondaire. L’âge de

16 ans correspond, dans la plupart des provinces, à la dernière année où la loi les oblige àfréquenter l’école. En administrant la même évaluation aux élèves de 13 et de 16 ans, il estpossible d’étudier les différences de rendement entre les deux groupes d’âge.

Q. Quel est le calendrier du PIRS en ce qui concerne les évaluations?R. Les évaluations ont lieu au printemps de chaque année selon le calendrier suivant :

Q. Pourquoi les résultats sont-ils publiés selon le niveau plutôt que selon le pourcentage correct?R. Les évaluations entreprises dans le cadre du PIRS ont comme objet de décrire les

connaissances et les habiletés dont font preuve les élèves de 13 et de 16 ans de chaqueprovince, de chaque territoire et de l’ensemble du Canada. Les cinq niveaux de performanceque nous avons utilisés nous permettent de rendre compte du pourcentage d’élèves ayantacquis les connaissances et les habiletés visées pour chaque niveau et de recueillir desinformations qui éclaireront l’évaluation de l’efficacité des programmes de mathématiques,de lecture et écriture, et de science.

Dès le lancement du PIRS, nous avons convenu d’utiliser les niveaux de performance au lieudu pourcentage correct. Afin de permettre la comparaison du rendement au fil des années,il est important de continuer de présenter les résultats de cette façon.

Les cinq niveaux de performance, qui s’appliquent aux élèves de 13 ans comme à ceux de16 ans, décrivent la capacité des élèves à réussir la composante écrite et la composante destâches pratiques lors d’une évaluation en science. La complexité et le degré de difficulté descritères se rapportant aux niveaux de performance augmentent avec les niveaux. Lescritères visant les cinq niveaux de performance ont été établis séparément pour les épreuvesde lecture et d’écriture de l’évaluation. On trouvera, dans le rapport publié par le CMEC, unesynthèse des critères utilisés pour les deux composantes de l’évaluation.

MATHÉMATIQUES LECTURE ET ÉCRITURE SCIENCE

1993 1994 1996

1997 1998 1999

2001

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 18

Q. Comment publie-t-on les résultats obtenus au moyen du PIRS? On les publie pour l’ensemble du Canada et pour chaque province et territoire séparément.Les responsables du PIRS n’ont jamais eu l’intention de diffuser des données à l’échelle del’école ou du conseil scolaire, les échantillons n’ayant d’ailleurs pas été conçus à cette fin.

Q. Qui a conçu les épreuves de l’évaluation en science effectuée en 1999 dans le cadre du PIRS?R. Elles ont été conçues par des représentantes et représentants qui se sont portés volontaires

pour former un consortium de provinces à savoir la Saskatchewan, l’Ontario, le Québec,Terre-Neuve et le Labrador et la Nouvelle-Écosse (francophone), en collaboration avecl’ensemble des autres provinces et territoires.

Q. Peut-on dire que la démarche d’évaluation était juste pour l’ensemble des élèves du Canada?R. Dans une certaine mesure, les programmes scolaires diffèrent d’une région du pays à une

autre. Comparer les résultats obtenus pour ces divers programmes est une tâche complexe.Toutefois, dans les différents territoires et provinces, on enseigne aux jeunes Canadiennes etCanadiens des habiletés en mathématiques et en science qui se ressemblent.

Tout a été fait pour établir un processus juste pour l’ensemble des élèves du pays. L’équipede conception en science du PIRS était composée de personnes venant de l’Ouest, du Centreet de la région de l’Atlantique. À mesure que le travail de conception du cadre et du matérielde l’évaluation avançait, chaque ministère de l’Éducation ou organisme responsable de cesecteur a procédé à une révision du matériel ébauché pour l’harmoniser avec sonprogramme d’études; ce matériel a ensuite été soumis, dans l’ensemble des provinces etterritoires, à une mise à l’essai et à une étude visant à le rendre conforme aux politiques etaux exigences de chaque province ou territoire. Les observations faites par les enseignanteset enseignants titulaires de classe, qui avaient pris part à la mise à l’essai, ont facilité laproduction d’un matériel aussi juste que possible pour la totalité des élèves du Canada.

Q. Comment s’est déroulée l’évaluation?R. Les élèves de 13 et de 16 ans de toutes les provinces et territoires du Canada ont subi des

tests qui visaient à mesurer leurs habiletés en science.

La composante écrite de l’évaluation comprenait une série de questions à choix multiples etune série de questions ouvertes exigeant de brèves réponses.

La composante des tâches pratiques se déroulait comme suit. Les élèves réalisaient uneexpérience et par la suite elles et ils répondaient à un questionnaire portant sur ledéroulement de la tâche et sur les données obtenues.

Le questionnaire a permis de recueillir des renseignements de base d’ordre démographiqueainsi que des informations sur les attitudes des élèves à l’égard de la science. Les personnesà la direction des écoles et un échantillonnage de personnes qui enseignent les sciences ontégalement répondu à un questionnaire afin de fournir des données supplémentaires.

Chaque élève, choisi de façon aléatoire, participant à l’évaluation, a complété soit lacomposante écrite ou la composante de tâches pratiques. Un maximum de deux heures etdemie a été accordé pour chaque épreuve de l’évaluation.

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 19

Q. Est-ce que toutes les provinces et tous les territoires ont participé à tous les aspects de l’évaluation de rendement en science?

R. L’échantillon national était constitué d’élèves choisis de façon aléatoire dans l’ensemble desprovinces et territoires. Chaque instance a présenté assez d’élèves pour que l’on puisserassembler des données (sur-échantillonnage) à l’échelle provinciale pour la composanteécrite de l’évaluation en science. Quelques provinces ont choisi de sur-échantillonner pourla composante de tâches pratiques.

Q. Qui a participé à l’évaluation du PIRS en science?R. Au printemps de 1999, un échantillon de plus de 16 100 élèves de 13 ans et de près de 15 300

de 16 ans au 31 août 1998, choisi de façon aléatoire dans toutes les provinces et tous lesterritoires du pays, a été soumis à l’évaluation. On a évalué environ 23 000 élèves en anglaiset 8 400 en français. Les élèves de l’Ontario ayant répondu aux questions se répartissentcomme suit :

Nombre total d’élèves ontariens : 4 847

Q. Est-ce que des élèves ont été exemptés de l’évaluation?R. La direction d’une école pouvait exempter une ou un élève d’une évaluation si elle jugeait

qu’il lui était impossible de répondre aux instruments de l’évaluation ou si sa participationpouvait lui nuire d’une façon quelconque. Si la direction d’une école avait exempté une ouun élève de l’évaluation parce qu’elle estimait que ses capacités étaient inférieures auniveau 1, on comptait le rendement de l’élève dans la catégorie inférieure au niveau 1. Parailleurs, il était permis d’offrir aux élèves ayant des besoins particuliers (p. ex., les élèvesaveugles) des adaptations comme demander à quelqu’un de leur lire ou de leur écrire lesquestions et leur fournir des cahiers en braille. S’il était impossible de leur assurer lesadaptations voulues, les élèves se voyaient accorder une exemption.

Q. Comment a-t-on fait pour assigner une ou un élève à un niveau donné?R. L’attribution des niveaux de performance différait d’une composante de l’évaluation à

l’autre.

Pour l’épreuve de la composante écrite, les questions à réponses choisies et les questions àréponses courtes ont été regroupées dans le cahier en sections correspondant à des niveauxde performance déterminés. La notation des questions à réponses choisies s’est faitélectroniquement après l’entrée manuelle des données. Le niveau de performance dechaque élève a été attribué par ordinateur en tenant compte des résultats obtenus pour lesréponses choisies et les réponses courtes.

13 ANS 16 ANSANGLOPHONES FRANCOPHONES ANGLOPHONES FRANCOPHONES

Composante écrite 779 760 650 529

Composante pratique 704 444 579 402

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 20

Pour la composante pratique de l’évaluation, des personnes enseignant les sciences,spécialement formées pour exécuter cette tâche, ont comparé les réponses des élèves à desexemples choisis parmi des réponses réelles d’élèves. Un code a été attribué à chaquequestion selon le guide de correction et des copies types.

Q. Est-il possible de comparer les résultats de l’Ontario francophone à ceux de l’Ontario anglophone?

R. Des mesures ont été prises pour favoriser la comparabilité des évaluations en français et enanglais. Une seule équipe a produit les composantes écrite et pratique ce qui assure uneplus grande comparabilité pour les deux langues officielles. De plus, un système devérification rigoureux, lors de la correction, a assuré que les attentes fixées ont étérespectées dans les deux groupes linguistiques. Beaucoup de prudence s’impose si l’oncompare les résultats en français et en anglais. De même, en ce qui concerne l’évaluation enscience, même si les tâches étaient les mêmes en français et en anglais, les différences entreles langues rendent les comparaisons difficiles.

Q. Qu’entend-on par « différence significative » et par « intervalle de confiance »?R. Tout comme ce qui se passe lors d’un sondage, les résultats obtenus en science dans le

cadre du PIRS constituent une estimation de ce que serait la performance d’une province,d’un territoire ou du pays si l’on soumettait la totalité des élèves de 13 et de 16 ans àl’évaluation. Cela signifie que chaque résultat comporte une marge d’erreur publiée dontnous tenons compte en disant que les résultats d’une province, d’un territoire sontsupérieurs, inférieurs ou équivalents à ceux de l’ensemble du Canada ou de l’Ontario.

Dans le cas de la présente évaluation, les pourcentages calculés, qui s’appuient sur deséchantillons d’élèves, ne constituent qu’une estimation du rendement réel que l’on auraitobtenu si l’on avait soumis la totalité des élèves à l’évaluation. Comme les estimations sontrarement exactes, on établit d’habitude un écart de pourcentages à l’intérieur duquelpeuvent se situer les résultats réels. Appelé intervalle de confiance, cet écart représente lespoints extrêmes entre lesquels les résultats réels devraient se situer dans 95 pour cent dutemps. Ces points extrêmes se calculent en multipliant l’erreur de mesure normalisée pourchaque donnée par 1,96. Ces erreurs d’échantillonnage statistiques dans l’évaluation enscience effectuée dans le cadre du programme d’indicateurs du rendement scolaire,administré par le CMEC, figurent près des cotes de rendement.

On peut avoir confiance que les chiffres relatifs au niveau de performance réel des élèves sesitueraient 19 fois sur 20 quelque part à l’intérieur de l’écart établi si on devait entreprendreune nouvelle évaluation en se servant d’un autre échantillon d’élèves. Dans les tableauxfigurant dans le rapport du CMEC, les intervalles de confiance sont représentés par lesymbole . Si les intervalles de confiance se chevauchent, les différences ne sont passignificatives sur le plan statistique.

Le terme « différence statistique » signifie dans le présent rapport toute différenceprobablement « réelle » qui n’est pas le fruit du hasard.

I

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 21

Q. Est-ce que le PIRS établit des attentes touchant la performance des élèves?R. L’équipe de conception du PIRS a établi comme principe que la plupart des élèves de 13 ans

répondraient aux critères du niveau 2, et la plupart de ceux de 16 ans, aux critères du niveau 3.

Pour les premières évaluations en mathématiques, en science, on n’avait pas établid’attentes à l’échelle nationale. Après la tenue de ces évaluations, il était donc impossible dedire si le rendement des élèves était assez bon. Pour éviter qu’un tel état de choses sereproduise, les ministres de l’Éducation ont décidé que pour l’évaluation en science prévuepour 1996 et pour toutes celles qui se dérouleraient par la suite, on définirait des attentes àl’échelle nationale.

Les attentes nationales fixées pour l’évaluation en science effectuée en 1999 dans le cadredu PIRS, exprimées en pourcentage d’élèves de 13 et de 16 ans qui devraient atteindrechacun des niveaux de performance retenu ou le niveau supérieur, sont exposéesci-dessous.

Q. Comment s’est-on pris pour définir les attentes nationales en science?R. Le CMEC a réuni un jury de 85 membres œuvrant en éducation et dans d’autres secteurs.

Chacune de ces personnes a assisté à l’une des trois séances d’établissement des attentesqui se sont déroulées dans l’Ouest, le Centre et la région de l’Atlantique pendant les moisd’octobre et de novembre 1998. Il s’agissait d’enseignantes et d’enseignants en science, detitulaires de classe, de parents, d’étudiantes et d’étudiants, d’universitaires, dereprésentantes et représentants du commerce et de l’industrie, de chefs de filecommunautaires et de membres d’associations nationales ayant un intérêt pour la science.

Ce jury s’est penché sur l’ensemble des processus d’évaluation, du matériel et des résultatsréellement obtenus par les élèves avant de se prononcer sur le pourcentage d’élèves de 13 etde 16 ans qui devraient atteindre ou dépasser chacun des cinq niveaux de performancepour l’évaluation en science. Le rapport du PIRS sur la science préparé à l’intention dupublic comporte plus de précisions sur la démarche d’établissement d’attentes à l’échellenationale.

C o m p o s a n t e t â c h e s p r a t i q u e s

NIVEAU 1 NIVEAU 2 NIVEAU 3 NIVEAU 4NIVEAU 5

OU PLUS OU PLUS OU PLUS OU PLUS

13 ans 95,0 % 85,0 % 50,0 % 15,0 % 5,0 %

16 ans 95,0 % 92,5 % 75,0 % 40,0 % 20,0 %

C o m p o s a n t e é c r i t e

NIVEAU 1 NIVEAU 2 NIVEAU 3 NIVEAU 4NIVEAU 5

OU PLUS OU PLUS OU PLUS OU PLUS

13 ans 85,0 % 70,0 % 40,0 % 10,0 % 2,5 %

16 ans 95,0 % 85,0 % 70,0 % 35,0 % 10,0 %

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 22

Q. Peut-on comparer les résultats obtenus lors de l’évaluation en science effectuée en 1999 dansle cadre du PIRS avec ceux de 1996?

R. Bien que l’évaluation en science effectuée en 1999 dans le cadre du PIRS ait été administréede façon quelque peu différente que celle de 1996, des dispositions ont été prises pourgarantir la comparabilité de certaines portions de l’évaluation.

En ce qui a trait à la composante écrite, quelques questions ont été légèrement modifiéesafin d’en améliorer la formulation. Deux tâches de la composante pratique ont étémodifiées afin de stimuler l’élève à atteindre une attente supérieure; une tâche a étéremplacée puisqu’elle avait été rendue publique dans un rapport et certaines autresquestions ont été modifiées afin de les rendre plus compréhensibles pour l’élève.

Le niveau de performance de l’élève a été déterminé par un algorithme établi selon lenombre de réponses correctes de l’élève à chaque niveau (1 à 5). Les différences entre lesrésultats de 1996 et de 1999 peuvent être dûes à des différences dans la méthodologieutilisée lors de la correction des tâches en 1999 par rapport à la méthodologie en 1996. Lesscores plus élevés peuvent refléter la plus grande place qu’occupe les sciences en salle declasse.

Q. Comment peut-on obtenir une copie du rapport public du CMEC?R. Une copie papier du rapport public du CMEC est disponible sur demande du centre de

distribution de l’OQRE au 1 888 327-7377. Une copie électronique de ce document peut êtretéléchargée au site web du CMEC au www.cmec.ca/indexe.stm.

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Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 23

Ta b l e a u x d e s d o n n é e s

PIRS 1999 – Composante écrite(Pourcentage d’élèves de 13 ans selon le niveau de rendement et selon la population)

PROVINCE/TERRITOIRE SOUS NIVEAU 1 NIVEAU 1 NIVEAU 2 NIVEAU 3 NIVEAU 4 NIVEAU 5

Colombie-Britannique 8,9 (2,0) 14,9 (2,4) 18,2 (2,6) 47,5 (3,4) 9,1 (2,0) 1,3 (0,8)91,1 (2,0) 76,1 (2,9) 57,9 (3,4) 10,4 (2,1) 1,3 (0,8)

Alberta 9,3 (1,8) 8,2 (1,7) 17,6 (2,4) 50,2 (3,2) 12,0 (2,1) 2,7 (1,0)90,7 (1,8) 82,5 (2,4) 64,9 (3,0) 14,7 (2,3) 2,7 (1,0)

Saskatchewan 9,2 (1,9) 15,3 (2,4) 23,4 (2,8) 44,3 (3,3) 6,7 (1,7) 1,2 (0,7)90,8 (1,9) 75,5 (2,9) 52,1 (3,3) 7,8 (1,8) 1,2 (0,7)

Manitoba (A) 13,4 (2,3) 13,9 (2,4) 19,1 (2,7) 45,2 (3,4) 8,0 (1,9) 0,5 (0,5)86,6 (2,3) 72,8 (3,0) 53,7 (3,4) 8,5 (1,9) 0,5 (0,5)

Manitoba (F) 29,3 (3,5) 9,5 (2,2) 20,9 (3,1) 37,7 (3,7) 2,4 (1,2) 0,2 (0,4)70,7 (3,5) 61,2 (3,7) 40,3 (3,7) 2,6 (1,2) 0,2 (0,4)

Ontar io ( A ) 11,6 (2,2) 16,3 (2,6) 23,7 (3,0) 41,1 (3,5) 6,8 (1,8) 0,5 (0,5)88,4 (2,2) 72,1 (3,1) 48,4 (3,5) 7,3 (1,8) 0,5 (0,5)

On ta r i o ( F ) 25,3 (2,9) 17,5 (2,5) 21,8 (2,7) 32,0 (3,1) 3,4 (1,2) 0,0 (0,0)74,7 (2,9) 57,2 (3,3) 35,4 (3,2) 3,4 (1,2) 0,0 (0,0)

Québec (A) 14,1 (2,3) 16,2 (2,4) 19,1 (2,6) 42,4 (3,2) 7,3 (1,7) 0,8 (0,6)85,9 (2,3) 69,6 (3,0) 50,5 (3,3) 8,1 (1,8) 0,8 (0,6)

Québec (F) 13,5 (2,1) 13,7 (2,1) 15,4 (2,3) 49,7 (3,1) 7,3 (1,6) 0,3 (0,3)86,5 (2,1) 72,8 (2,8) 57,3 (3,1) 7,6 (1,7) 0,3 (0,3)

Nouveau-Brunswick (A) 10,3 (2,1) 20,3 (2,8) 19,7 (2,8) 44,1 (3,5) 5,4 (1,6) 0,1 (0,2)89,7 (2,1) 69,4 (3,2) 49,7 (3,5) 5,5 (1,6) 0,1 (0,2)

Nouveau-Brunswick (F) 22,5 (2,6) 17,0 (2,4) 22,0 (2,6) 34,2 (3,0) 3,9 (1,2) 0,4 (0,4)77,5 (2,6) 60,5 (3,1) 38,5 (3,1) 4,3 (1,3) 0,4 (0,4)

Nouvelle-Écosse (A) 10,5 (2,2) 19,9 (2,9) 21,3 (3,0) 41,0 (3,6) 7,1 (1,9) 0,1 (0,3)89,5 (2,2) 69,5 (3,3) 48,2 (3,6) 7,2 (1,9) 0,1 (0,3)

Nouvelle-Écosse (F) 25,0 (3,1) 13,2 (2,4) 21,6 (2,9) 36,3 (3,4) 3,9 (1,4) 0,0 (0,0)75,0 (3,1) 61,8 (3,5) 40,2 (3,5) 3,9 (1,4) 0,0 (0,0)

Île-du-Prince-Édouard 9,8 (2,0) 15,9 (2,4) 21,4 (2,7) 45,6 (3,3) 7,2 (1,7) 0,2 (0,3)90,2 (2,0) 74,3 (2,9) 52,9 (3,3) 7,3 (1,7) 0,2 (0,3)

Terre-Neuve et Labrador 16,4 (2,1) 15,5 (2,0) 21,1 (2,3) 41,7 (2,7) 4,5 (1,2) 0,7 (0,5)83,6 (2,1) 68,0 (2,6) 46,9 (2,8) 5,2 (1,2) 0,7 (0,5)

Nunavut 71,0 (2,9) 11,5 (2,1) 5,4 (1,5) 10,3 (2,0) 0,9 (0,6) 0,9 (0,6)29,0 (2,9) 17,5 (2,5) 12,1 (2,1) 1,8 (0,9) 0,9 (0,6)

Territoires du Nord-Ouest 32,6 (2,2) 15,2 (1,7) 16,2 (1,7) 32,4 (2,2) 3,2 (0,8) 0,4 (0,3)67,4 (2,2) 52,2 (2,3) 36,0 (2,2) 3,6 (0,9) 0,4 (0,3)

Yukon 17,1 (2,2) 11,6 (1,9) 16,2 (2,2) 45,3 (2,9) 8,3 (1,6) 1,5 (0,7)82,9 (2,2) 71,3 (2,6) 55,0 (2,9) 9,8 (1,7) 1,5 (0,7)

Canada 11,9 (0,6) 14,7 (0,6) 20,0 (0,7) 44,9 (0,9) 7,7 (0,5) 0,8 (0,2)88,1 (0,6) 73,3 (0,8) 53,3 (0,9) 8,5 (0,5) 0,8 (0,2)

Remarque :

• Pour chaque province/territoire, la première rangée montre lespourcentages d’élèves selon le plus haut niveau atteint; ladeuxième rangée montre, les pourcentages cumulatifs d’élèvesayant atteint ou dépassé le niveau indiqué. Les intervalles de

confiance (±1,96 fois les erreurs normalisées) des pourcentagessont donnés entre parenthèses. Les résultats sont pondérés demanière à représenter chaque population correctement. Étantdonné que la totalité des élèves francophones de laNouvelle-Écosse ont subi les épreuves, il n’y a pas d’erreurd’échantillonnage.

Page 24: Programme d’indicateurs du rendement scolaire (PIRS · du principe important du PIRSvoulant que l’on compare les résultats obtenus par les élèves au fil des années. Pour

Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 24

PIRS 1999 – Composante écrite(Pourcentage d’élèves de 16 ans selon le niveau de rendement et selon la population)

PROVINCE/TERRITOIRE SOUS NIVEAU 1 NIVEAU 1 NIVEAU 2 NIVEAU 3 NIVEAU 4 NIVEAU 5

Colombie-Britannique 6,8 (1,9) 5,6 (1,7) 11,7 (2,4) 46,3 (3,7) 25,6 (3,3) 3,9 (1,4)93,2 (1,9) 87,6 (2,5) 75,8 (3,2) 29,5 (3,4) 3,9 (1,4)

Alberta 3,1 (1,1) 3,6 (1,2) 7,5 (1,7) 36,0 (3,1) 38,0 (3,1) 11,8 (2,1)96,9 (1,1) 93,3 (1,6) 85,8 (2,3) 49,8 (3,2) 11,8 (2,1)

Saskatchewan 5,7 (1,6) 6,5 (1,7) 10,4 (2,1) 48,7 (3,4) 23,9 (2,9) 4,9 (1,5)94,3 (1,6) 87,8 (2,2) 77,4 (2,9) 28,8 (3,1) 4,9 (1,5)

Manitoba (A) 4,8 (1,4) 4,9 (1,4) 10,4 (2,0) 44,3 (3,3) 29,1 (3,0) 6,4 (1,6)95,2 (1,4) 90,2 (1,9) 79,8 (2,6) 35,5 (3,1) 6,4 (1,6)

Manitoba (F) 7,5 (2,0) 3,1 (1,3) 13,2 (2,6) 54,3 (3,8) 19,2 (3,0) 2,6 (1,2)92,5 (2,0) 89,4 (2,4) 76,2 (3,3) 21,9 (3,2) 2,6 (1,2)

Ontar io ( A ) 7,5 (2,0) 7,7 (2,0) 12,6 (2,6) 44,2 (3,8) 23,1 (3,2) 4,9 (1,7)92,5 (2,0) 84,8 (2,8) 72,2 (3,4) 28,0 (3,5) 4,9 (1,7)

On ta r i o ( F ) 13,4 (2,8) 10,6 (2,5) 15,9 (3,0) 42,0 (4,0) 15,5 (2,9) 2,6 (1,3)86,6 (2,8) 76,0 (3,5) 60,1 (4,0) 18,1 (3,1) 2,6 (1,3)

Québec (A) 7,3 (1,7) 6,4 (1,6) 9,6 (1,9) 44,3 (3,2) 25,4 (2,8) 7,0 (1,6)92,7 (1,7) 86,3 (2,2) 76,7 (2,7) 32,4 (3,0) 7,0 (1,6)

Québec (F) 4,4 (1,3) 4,9 (1,3) 10,1 (1,9) 47,7 (3,1) 27,1 (2,7) 5,7 (1,4)95,6 (1,3) 90,6 (1,8) 80,5 (2,4) 32,8 (2,9) 5,7 (1,4)

Nouveau-Brunswick (A) 9,1 (2,2) 7,2 (1,9) 11,1 (2,4) 44,4 (3,7) 24,7 (3,2) 3,5 (1,4)90,9 (2,2) 83,7 (2,8) 72,6 (3,3) 28,3 (3,4) 3,5 (1,4)

Nouveau-Brunswick (F) 10,3 (2,0) 9,1 (1,9) 11,3 (2,1) 50,0 (3,3) 16,8 (2,5) 2,6 (1,1)89,7 (2,0) 80,6 (2,6) 69,4 (3,1) 19,4 (2,6) 2,6 (1,1)

Nouvelle-Écosse (A) 7,2 (1,5) 6,2 (1,4) 12,0 (1,8) 45,1 (2,8) 25,7 (2,5) 3,8 (1,1)92,8 (1,5) 86,5 (1,9) 74,6 (2,4) 29,5 (2,6) 3,8 (1,1)

Nouvelle-Écosse (F) 10,7 (5,3) 6,0 (4,1) 9,5 (5,1) 35,7 (8,3) 35,7 (8,3) 2,4 (2,6)89,3 (5,3) 83,3 (6,4) 73,8 (7,6) 38,1 (8,4) 2,4 (2,6)

Île-du-Prince-Édouard 4,1 (1,6) 3,9 (1,5) 10,8 (2,4) 45,4 (3,9) 29,2 (3,6) 6,7 (2,0)95,9 (1,6) 92,0 (2,1) 81,3 (3,1) 35,9 (3,8) 6,7 (2,0)

Terre-Neuve et Labrador 10,6 (1,9) 7,3 (1,6) 9,4 (1,8) 42,3 (3,1) 24,7 (2,7) 5,6 (1,4)89,4 (1,9) 82,0 (2,4) 72,7 (2,8) 30,4 (2,9) 5,6 (1,4)

Nunavut 48,4 (7,2) 18,3 (5,6) 9,5 (4,2) 16,7 (5,4) 5,6 (3,3) 1,6 (1,8)51,6 (7,2) 33,3 (6,8) 23,8 (6,2) 7,1 (3,7) 1,6 (1,8)

Territoires du Nord-Ouest 11,5 (2,5) 8,7 (2,2) 12,1 (2,6) 38,4 (3,8) 25,4 (3,4) 4,0 (1,5)88,5 (2,5) 79,9 (3,1) 67,8 (3,7) 29,4 (3,6) 4,0 (1,5)

Yukon 9,1 (2,2) 4,7 (1,7) 12,2 (2,6) 35,8 (3,7) 30,7 (3,6) 7,5 (2,1)90,9 (2,2) 86,2 (2,7) 74,0 (3,4) 38,2 (3,8) 7,5 (2,1)

Canada 6,4 (0,4) 6,3 (0,4) 11,2 (0,6) 44,5 (0,9) 26,0 (0,8) 5,6 (0,4)93,6 (0,4) 87,3 (0,6) 76,1 (0,8) 31,6 (0,8) 5,6 (0,4)

Remarque :

• Pour chaque province/territoire, la première rangée montre lespourcentages d’élèves selon le plus haut niveau atteint; ladeuxième rangée montre les pourcentages cumulatifs d’élèvesayant atteint ou dépassé le niveau indiqué. Les intervalles de

confiance (±1,96 fois les erreurs normalisées) des pourcentagessont donnés entre parenthèses. Les résultats sont pondérés demanière à représenter chaque population correctement. Étantdonné que la totalité des élèves francophones de laNouvelle-Écosse ont subi les épreuves, il n’y a pas d’erreurd’échantillonnage.

Page 25: Programme d’indicateurs du rendement scolaire (PIRS · du principe important du PIRSvoulant que l’on compare les résultats obtenus par les élèves au fil des années. Pour

Évaluation en science PIRS 1999 : Rapport pour l’Ontario 25

PIRS 1999 – Composante tâches pratiques(Pourcentage d’élèves de 13 ans selon le niveau de rendement et selon la population)

PIRS 1999 – Composante tâches pratiques(Pourcentage d’élèves de 13 ans selon le niveau de rendement et selon la population)

PROVINCE/TERRITOIRE SOUS NIVEAU 1 NIVEAU 1 NIVEAU 2 NIVEAU 3 NIVEAU 4 NIVEAU 5

Saskatchewan 1,6 (0,9) 2,5 (1,1) 21,4 (2,9) 39,5 (3,5) 17,3 (2,7) 17,7 (2,7)98,4 (0,9) 96,0 (1,4) 74,6 (3,1) 35,1 (3,4) 17,7 (2,7)

Ontar io ( A ) 3,1 (1,4) 2,6 (1,3) 22,1 (3,4) 32,8 (3,8) 18,8 (3,2) 20,6 (3,3)96,9 (1,4) 94,3 (1,9) 72,2 (3,6) 39,4 (4,0) 20,6 (3,3)

On ta r i o ( F ) 3,0 (1,6) 2,7 (1,5) 29,6 (4,3) 35,3 (4,5) 15,4 (3,4) 13,9 (3,3)97,0 (1,6) 94,3 (2,2) 64,7 (4,5) 29,4 (4,3) 13,9 (3,3)

Québec 1,7 (0,9) 1,0 (0,7) 18,5 (2,7) 36,8 (3,3) 23,7 (2,9) 18,2 (2,6)98,3 (0,9) 97,3 (1,1) 78,7 (2,8) 41,9 (3,4) 18,2 (2,6)

Autres 2,7 (0,9) 1,2 (0,6) 17,8 (2,2) 33,7 (2,7) 21,2 (2,4) 23,3 (2,4)97,2 (1,0) 96,0 (1,1) 78,1 (2,4) 44,5 (2,9) 23,3 (2,4)

Canada 2,6 (0,5) 1,8 (0,4) 19,9 (1,3) 34,4 (1,5) 20,7 (1,3) 20,7 (1,3)97,4 (0,5) 95,6 (0,7) 75,7 (1,4) 41,4 (1,6) 20,7 (1,3)

PROVINCE/TERRITOIRE SOUS NIVEAU 1 NIVEAU 1 NIVEAU 2 NIVEAU 3 NIVEAU 4 NIVEAU 5

Saskatchewan 4,0 (1,4) 7,4 (1,8) 41,8 (3,4) 37,8 (3,3) 5,2 (1,5) 3,8 (1,3)96,0 (1,4) 88,6 (2,2) 46,7 (3,4) 9,0 (2,0) 3,8 (1,3)

Ontar io ( A ) 3,8 (1,4) 9,4 (2,2) 43,8 (3,7) 31,8 (3,4) 5,4 (1,7) 5,8 (1,7)96,2 (1,4) 86,8 (2,5) 43,0 (3,7) 11,2 (2,3) 5,8 (1,7)

On ta r i o ( F ) 5,2 (2,0) 7,0 (2,3) 44,1 (4,4) 31,1 (4,1) 8,1 (2,4) 4,5 (1,9)94,8 (2,0) 87,8 (2,9) 43,7 (4,4) 12,6 (3,0) 4,5 (1,9)

Autres 3,2 (0,8) 4,4 (1,0) 40,5 (2,4) 37,4 (2,3) 7,9 (1,3) 6,3 (1,2)96,5 (0,9) 92,1 (1,3) 51,6 (2,4) 14,2 (1,7) 6,3 (1,2)

Canada 3,7 (0,6) 6,3 (0,8) 41,7 (1,6) 35,4 (1,6) 6,9 (0,8) 6,0 (0,8)96,3 (0,6) 90,0 (1,0) 48,3 (1,6) 13,0 (1,1) 6,0 (0,8)

Remarque :

• Les regroupements ci-dessus tiennent compte des erreursd’échantillonnage et des intervalles de confiance. (Voir l’annexepour une définition de l’erreur d’échantillonnage, de lasignification statistique et des intervalles de confiance.) Pourchaque population, le pourcentage d’élèves ayant atteint leniveau 2 ou plus (13 ans) et le niveau 3 ou plus (16 ans) est

accompagné de l’erreur d’échantillonnage (entre parenthèses).Seulement les instances qui ont échantillonné un nombre suffisantd’élèves pour avoir des résultats provinciaux sont représentés dansce tableau.

• « Autres » signifie les résultats des autres instances qui n’ont queparticipé qu’à l’échantillon pancanadien.

• « A » et « F » signifient anglophones et francophones respectivement.