Produire et consommer

Problématiques

Produire autrement

Les produits de consommation sont en France responsable de 52 % des rejets de C0

2 dans l’atmosphère, et de bien

d’autres types de pollutions dans les eaux, les terres, les airs. En vue d’améliorer les procédés de fabrication, les in-génieurs ont mis au point un outil analysant avec précision les différentes étapes de fabrication d’un produit.

Cet outil c’est l’ACV pour Analyse du Cycle de Vie.

Cet outil évalue de manière scientifique les quantités de matière et d’énergie nécessaires et rejetées, et leurs im-pacts sur l’environnement

.On peut faire un ACV d’un produit, d’un procédé ou même d’une activité.Les résultats de l’ACV renseignent sur les flux (entrées et sorties) de matières et sur différents indica-teurs environnementaux :

1. La consommation d ‘énergie naturelle avant transformation

2. Le changement climatique

3. La destruction de la couche d’ozone

4. La toxicité humaine

5. L’eutrophisation (manque d’oxygène) des eaux

6. La consommation d’eau

7. La production de déchets.

L’ACV permet de connaître les points forts : les économies de matière ou d’impact écologique, et les points faibles : les gâchis de matière et les lourds rejets de pollution. ...et permettra d’améliorer les processus de fabrication.

Exemple du cycle de vie d’un jean type vendu et utilisé en France :

1. Culture du coton

2. Filage et ennoblissement du coton

3. Fabrication toile et pantalon

4. Utilisation du pantalon

5. Fin de vie

Les résultats de L’ACV :

1. La culture du coton est très gourmande en eau et pesticides ; sans compter le diesel pour les tracteurs ;

2. Utilisation d’électricité et de produits chimiques ;1

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3. Traitements appliqués au jean pour lui donner un aspect délavé et usé ;

4. Consommation d’électricité, de lessive et des emballages qui vont avec ;

5. En moyenne 50% des jeans sont donnés à un second utilisateur, les autres sont jetés.

Vers une nouvelle économie

Aujourd’hui notre économie s’appuie sur la consommation d’objets. Pour rendre l’économie pérenne il faut multiplier les actes d’achat. Les objets conçus pour être souvent remplacés sont peu résistants et s’usent vite.

Imaginez des entreprises dont le chiffre d’affaires ne serait plus lié à la vente d’objets.

Utilisons plus, achetons moins.

L’entreprise reste propriétaire de l’objet.Elle remplace la vente de l’objet par la vente d’un service.

Les objets deviennent :

• solides et pérennes.

• faciles à désassembler afin de pouvoir récupérer et recycler leurs composants.

• réparables.

L’entreprise doit donc faire preuve d’innovation pour fabriquer des objets éco-conçus pour faire des économies et produire moins de déchets, puisqu’elle en assume les coûts.

C’est le concept d’économie de fonctionnalité ou économie de service.

Cela signifie :

• Remplacer la vente d’un objet par la vente de l’usage de cet objet.

• Moins de biens, plus d’usages.

• Moins d ‘extractions de matières première, et moins de déchets.

Un exemple : la vie d’un pneu

Michelin propose aux entreprises de transport routier la gestion de leurs pneumatiques : Michelin loue ses pneus et en assure la maintenance. Ils font l’objet de contrôles réguliers et sont « rechapés « dès que nécessaire.

Résultats :

• Réduction de la consommation et donc moins d’émissions de CO2.

• Des pneus dont la durée de vie a augmenté de deux fois et demi.

• Moins de pneus fabriqués donc moins d’extraction de matière premières.

• Augmentation du chiffre d’affaires.

Pour une économie de service, il faut :

Pour le fabricant :

• accepter plus de responsabilité.

• réinventer son métier.

Pour le consommateur : oublier son instinct de propriété

Et pour l’ensemble de la société : modifier sa vision du bien-être.

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Repenser la croissance

Nos sociétés ont tendance à agir ainsi :1. Pour augmenter notre bien-être ; 2. nous augmentons toujours notre production de biens de consommation ;3. nous augmentons les prélèvements de matière première ;4. nous augmentons notre richesses, en augmentant notre PIB.

L’indicateur de croissance est le plus souvent aujourd’hui le PIB (produit inté-rieur brut). C’est un indicateur de niveau de vie moyen dans le pays et basé sur le calcul de la valeur marchande de tous les biens et services produits dans ce pays.

Avec la raréfaction des ressources, beaucoup raisonnent en termes d’accrois-sement de l’efficacité :

1. Pour augmenter notre bien-être ;

2. nous augmentons toujours notre production de produits ;

3. mais nous les rendons moins impactant sur l’environnement en inventant des technologies plus propres ;

4. nous continuons donc à augmenter notre richesse. Tout en préservant l’envi-ronnement.

D’autres pensent que cela est erroné : l’efficacité ne change pas fondamentalement les données du problème :

1. Pour augmenter notre bien-être,

2. Nous consommons davantage de produits « verts »;

3. Les gains en efficacité sont annulés par la hausse de la consommation; c’est « l’effet rebond »;

4. Les destructions écologiques sont ralenties mais pas inversées. Le problème reste entier.

Alors certains mouvements préconisent de changer notre conception du « bien être » :

Moins de biens, plus de liens :

• plus de démocratie

• réduire les inégalités

• limiter la consommation

• assurer une meilleure répartition

Instaurer un rapport harmonieux avec la nature :

• énergies renouvelables

• matériaux sains

• re-localiser l’économie

• respecter les écosystèmes et les autres êtres vivants

Et de reconsidérer notre richesse à l’aune de la biodiversité et de l’égalité entre les hommes et non plus du PIB, qui ne sauvegarde ni les hommes, ni la planète.

La décroissance est un concept politique fondé sur les théories de Nicholas Georgescu-Roegen, qui est le premier à parler de « décroissance économique ».Selon lui la croissance perpétuelle n’est pas possible et conduira à l’effon-drement du monde ; il faut donc changer.

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La simplicité volontaire est un mouvement de société qui propose à chacun de réduire sa dépendance à l’argent et à la vitesse, de favoriser les comportements citoyens. Elle donne priorité à l’ETRE sur l’AVOIR en se référant notam-

ment à Gandhi.

L’altermondialisation désigne un mouvement de la société civile, qui regroupe de nombreux courants, syndicats, associations contestant le modèle libéral de la mondialisation.

Projets étudiants

Workshops étudiants 2005Ces projets ont été conçus pour l’exposition «Changer d’ère» par des étudiants en design. Dans le cadre d’ateliers spécifiques, ils ont réfléchit à des alternatives de produits, de services ou de matériaux et se sont sensibilisés au dé-veloppement durable et à l’éco-conception. Portant sur trois thématiques : l’habitat, l’alimentation, la mobilité, leurs propositions prospectives ou de simple bon sens, ont en commun d’imaginer un nouveau scénario de vie, pour une planète plus légère.Quatre écoles et quarante étudiants de Paris, Nantes, Valenciennes et Saint-Etienne ont participé

à ces ateliers.

Ecoscope

Ecoscope : mesurer l’impact écologique de ses achats via un ser-

vice bancaire.

Romain ThevenetHabitat : Ecole nationale supérieure de création industrielle Ensci-Les Ateliers, ParisEnseignants : Bernard Moise, Claire Lesage, Anne Sabine Henriau, Lic-

cia Bottura

Comment connaître nos impacts ?

Chaque fois que nous dépensons de l’argent, nous générons des im-pacts sur l’environnement.L’enjeu de ce projet est de nous fournir une

information précise quand à la pollution générée par notre consommation.

Comment gérer nos impacts ?

L’intention de ce projet est de créer un service bancaire permettant à la fois de faire nos comptes financiers, et à la fois nos comptes en termes d’impacts sur l’environnement. Ainsi, nous pourrons faire faire des économies à notre planète en même temps qu’à notre portefeuille.

Ecoscope, comptez vos unités de pollution

Ecoscope est un service bancaire permettant de faire le bilan de ses achats, de leurs prixet de leur impacts, grâce à une unité de pollution. L’adhérent peut ainsi s’engager dans une démarche d’amélioration et de contrôle de sa con-sommation.

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Tzit-TzitTzit-Tzit : j’écoute les murs, interface sonore-musicale sur sa consom-mation

Mathilde Chevallier

Habitat : Ecole nationale supérieure de création industrielle Ensci-Les Ate-liers, Paris

Enseignants : Bernard Moise, Claire Lesage, Anne Sabine Henriau, Liccia

Bottura

Réduire sa consommation....

Il est important d’être sensibilisé à sa consommation domestique et de pren-

dre conscience des impacts que cela entraîne sur l’environnement.

Comment sensibiliser ?

Proposer une interface sonore qui nous donne une lecture de notre consommation et de son impact sur l’environne-ment.

Goutte à goutte...

L’interface se trouve á l’entrée de la maison.Elles nous indiquent :- Les appareils branchés ou en veille.- La compa-raison de ma consommation par rapport à une moyenne fixée par le WWF.- l’évolution de ma consommation sur un

mois.

Zélire

Zélire : mise en commun de journaux

Aude Messager

Habitat : Ecole nationale supérieure de création industrielle Ensci-Les Ateliers, Paris

Enseignants : Bernard Moise, Claire Lesage, Anne Sabine Henriau, Liccia

Une deuxième chance ?

Tous les objets devraient avoir une deuxième chance...Dépasser la simple récupéra-tion, et valoriser un objet pour qu’il puisse être considéré comme un nouveau produit

par un autre habitat.

Vous allez être FACTEUR !

On peut être acteur d’un monde plus léger en prenant le relais de la vie d’un objet. Les journaux et les magazines à la

maison sont des objets auxquels on peut offrir une seconde chance.

Soyons Zélés !

Zélire est un ensemble de boîtes aux lettres pour immeuble. Chaque boîte a une partie frontale bombée dans laquelle je peux glisser les journaux que je souhaite proposer à mes voisins et inversement, je peux reprendre le magazine d’un de mes voisins.`

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IndustrieVers une industrie écologique...

L’écologie industrielle s’inspire des écosystèmes naturels : ce que les uns produisent ou rejettent profitent aux autres.Cela demande de repenser l’ensemble des cycles de production, d’échange et de consommation, d’utiliser un minimum de ressources premières, de valoriser au maximum les déchets générés...Le tout entre de multiples acteurs. Depuis 15 ans, des sites éco-industriels se développent aux USA, en Asie, au Canada, au Pays-bas ou au Danemark. Au Danemark à Kalundborg, un réseau de symbiose s’est initié il y a près de 30 ans. Il regroupe une usine de production d’électricité au charbon, une raffinerie, une fabrique de matériaux de construction, une société de biotechnologie et la ville comme prestataire de servi-ces et fournisseur d’électricité et d’eau. Récemment deux entreprises ont rejoint le réseau.

Démarches d’entreprises

Réduire, réutiliser, recycler, relocaliser...autant de stratégies qui ont d’ores et déjà été adoptées par des entreprises engagées dans une démarche respectueuse de l’environnement.

De la bâche à la bâche :

80 % des produits de consommation ne donnent lieu qu’à un seul usage. Le recyclage permet de limiter la production de matière et d’économiser ainsi les ressources de la planète. L’association de deux entreprises peut être une solution pour permettre un recyclage « en

boucle « de la matière.

Texyloop® (Groupe Ferrari®)

permet de recycler les bâches et textiles enduits polyester / PVC sous différentes formes : chutes de confection, re-tours de toile en fin de vie (même imprimées), publicités soudées, etc.

Emballages sur mesure :

La réduction de la quantité de matière utilisée est une voie importante en terme de diminution des besoins en ressour-ces naturelles.Les produits sont parfois mal ou trop emballés. Repenser l’emballage permet de tendre vers un opti-

mum conciliant sécurité de l’objet et quantité minimale de matière pour l’emballage.

Parisot Sièges, société familiale de 650 salariés spécialisée dans les sièges rembourrés. Elle a développé un pro-cédé innovant d’emballage plus efficace, générant moins de gaspillage et respectant l’environnement. Résultats d’une simulation sur 12 mois de production : 408 tonnes de carton économisées, soit 57% du tonnage de départ, et 25% de camions en moins sur les routes.

Un pull en deux étapes :

Le coton ici, le bouton là-bas, les couturiers ailleurs... : il faut souvent plus de kilomètres pour fabriquer un jean que pour faire un tour du monde.Comment diminuer les émissions de gaz à effet de serre au cours de la production ?La relocalisation consiste à éviter de multiplier les lieux de production et permet ainsi de réduire le nombre de kilomètres à parcourir entre les étapes de fabrication.

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Consomm’acteur

Du Co2 compensé !

Chaque acte de consommation est l’expression d’un choix.Il est ainsi possible de s’engager dans une démarche environnementale ou soli-daire à travers certains de ces achats.

Il existe des systèmes de compensation volontaire des émissions de CO

2 générées par les déplacements et proposés aux particuliers, aux

entreprises et aux collectivités. Ces systèmes, tel Co2 Solidaire ou

Climat Mundi permettent de financer des projets de développement économes en CO

2.

Epargne solidaire

Il est possible d’épargner tout en aidant le financement d’opérations telles l’insertion par l’emploi, le commerce équitable, le tourisme équitable, les micro-crédits ou le développement Nord-Sud. Cette forme d’épargne est appelée épargne solidaire.La SIDI, Solidarité Internationale pour le développement et l’Investis-sement, est spécialisée dans l’aide économique aux associations de pays en développement.

Tourisme écologique

700 millions de personnes voyagent à travers le monde. En 2020, elles seraient 1.6 milliard. La concentration du tourisme dans certains lieux a engendré des désordres écologiques et souvent l’augmenta-tion de la délinquance et de la prostitution.L’ONU, les ministères et les professionnels ont alors développé l’idée d’un tourisme respectueux

des hommes et de l’environnement.

Envolons-nous...Qui n’a pas rêvé de contempler la terre d’en haut, de vivre dans le ciel, de retrouver le temps du voyage ?

Airship est un projet poétique d’écotourisme alternatif proposé par Jean-Marie Massaud. Airship est un hotel volant autonome permettant de découvrir le monde sans laisser de trace : pas de rejet ni d’infras-tructure touristique. Airship recycle et traite l’eau, produit son électricité par récupération des énergies solaires et des courants aériens, dispose d’un moteur électrique hybride. Paris-Rome 8h45 5000 km en 72 heures40 passagers design : Jean-Marie Massaud

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Objets du quotidien

Commerce équitable

Pour contribuer à diminuer les inégalités et à rééquilibrer les échan-ges Nord-Sud. Les acheteurs et fabricants s’engagent à payer par une juste rémunération le travail des artisans, des ouvriers ou des agricul-teurs producteurs. Grâce à ce partenariat, ils peuvent initier ensemble des procédés plus écologiques. Ainsi les T-shirts Idéo sont en coton

biologique. T-shirt idéo

Radio sans pile

Cette radio fonctionne sans pile grâce à l’utilisation d’énergie alter-native. 30 secondes de charge manuelle suffisent pour assurer 35 minutes d’écoute. Rechargée avec son panneau solaire, elle fonction-nera durant 25 heures. Ces alternatives permettent d’assurer l’accès à la communication dans les régions dépourvues d’électricité. Radio

Freeplay

Recyclage de pub

Donner une seconde vie à des matériaux qui partiraient à la poubelle. Ces sacs sont confectionnés à partir de bâches publicitaires géantes. D’autre part, l’entreprise s’engage à les faire fabriquer par des person-

nes en réinsertion sociale. Sac bilum

Recyclage des déchets et création d’emplois

Les sacs plastique représentent une pollution importante à New Delhi en Inde. Une petite ONG, Conserve, transforme ces sacs en feuilles de plastique, façonnées à leur tour en... sacs, ceintures, bijoux et chaussures, vendus dans les grandes capitales européennes. Ce pro-cédé a permis de créer de nombreux emplois. Ceinture et chaussure

conserve

Chargeur portable

Emmenez-le partout ou restez chez vous. Ce petit panneau solaire flexible et étanche vous permettra de recharger vos batteries de téléphones portables, de baladeurs numériques ou de consoles de jeux portatives. Tout cela grâce à l’énergie du soleil. Panneau solaire

FLEX

Jean en coton bio

L’impact d’un jean usuel se répartit environ pour moitié entre la matière et pour moitié à travers l’usage du consomma-teur. Ce jean en coton bio, au délavage sans chlore et aux éléments accessoires réduits s’accompagne d’une étiquet-

te invitant le consommateur à limiter l’impact sur l’environnement lors de l’entretien. JEAN UTAH ECO - OBER

Le grand ménage

À l’initiative de ce petit livret, un groupe d’internautes qui fabriquent leur nettoyant ménager de façon écologique. Vous y trouvez des recettes pour laver votre maison de fond en comble, en n’utilisant que des produits non toxiques. Ce document est téléchargeable gratuitement.

Eléments indispensables permettant de fabriquer les recettes du livret :

Bicarbonate de soude / Cristaux de soude / Huiles essentielles / Vinaigre d’alcool / Savon liquide végétal / Eau

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Liens :

> http://www.o2france.com

L’agence O2 France, fondée par Thierry Kazazian, propose aux entreprises d’analyser le cycle de vie de leurs pro-duits et d’intégrer l’écologie dans leurs processus de production.Français.

> http://www.ensci.com

Des étudiants de l’Ecole nationale supérieure de création industrielle ont conçu en lien avec l’exposition trois propo-sitions d’écoconsommation : Ecoscope, Tzit-Tzit et Zelire. Ce site présente leur école et ses programmes.Français, anglais, espagnol.

> http://www.decroissance.org

Le site de l’Institut d’études économiques et sociales pour la décroissance soutenable milite contre la notion de dé-veloppement durable, jugée paradoxale et soutient que croissance et développement ne sont plus possibles sur une planète aux ressources limitées.Français.

> http://www.ladecroissance.net

Le site de l’organisation Casseurs de pub présente ici son magazine La Décroissance. On peut commander les an-ciens numéros.Français.

> http://www.negawatt.org

L’association Negawatt milite pour une réduction importante de la consommation d’énergie. Elle présente sur le site son actualité et ses initiatives.Français.

> http://www.texyloop.com

La société Texyloop récupère et recycle les bâches usagées. Le site détaille son activité et propose aux entreprises de devenir ses fournisseurs.Français, anglais, espagnol.

> http://www.prorecyclage.com

L’association Prorecyclage propose ses services aux entreprises pour améliorer leur gestion des déchets. Le site leur offre une information très détaillée sur la législation, les normes ; les filières de recyclage et l’écoconception. Français.

> http://www.bourse-des-dechets.fr

Parce que les déchets des uns peuvent devenir les matières premières des autres, la Chambre de commerce et d’in-dustrie de Paris a ouvert cette bourse où les industriels peuvent passer une annonce, pour vendre des matériaux ou en acheter.Français

> http://www.durabilis.com

Durabilis est une méthode d’analyse du cycle de vie des produits et d’écoconception adaptée aux PME et proposée par Arist Limousin Poitou Charentes, un service spécialisé de la Chambre de commerce et d’industrie.Français, an-glais.

> http://www.produits-recycles.com

Sous l’égide de l’ADEME et du Centre national du recyclage, ce site publie l’Annuaire des produits recyclés : maté-riaux, produits, entreprises et informations légales.Français.

> http://www.fne.asso.fr/preventiondechets

Ce site attrayant de l’association France nature environnement offre une large et complète information : campagnes visant à diminuer la quantité de déchets, initiatives, dossiers, documents officiels, bonnes pratiques, etc.Français.

> http://www.eco-label.com

Le site concerne les produits qui portent l’écolabel de l’Union européenne. Un catalogue interactif permet d’obtenir références et informations.Français, anglais, espagnol.

http://www.ideo-wear.com

Ideo présente ici sa collection de vêtements bioéquitables. La marque respecte les règles du commerce équitable et éthique depuis la matière première (coton de culture biologique) jusqu’au magasin : conditions de travail décentes, pas de travail des enfants, développement de projets sociaux, limitation des transports.Français.

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> http://www.bilum.fr

Bilum est une marque française de sacs et d’accessoires de mode éthiques et écologiques. Site en constructionFran-çais.

> http://www.conserveindia.org

L’ONG Conserve propose ici sa gamme de maroquinerie et accessoires de mode fabriqués en Inde à partir de sacs en plastique usagés récoltés par des chiffonniers. Cette activité fait vivre 300 personnes.Anglais.

> http://www.abm.fr

L’association Aventure du bout du monde (ABM) veut favoriser les voyages individuels respectueux des pays visités. Elle ne vend pas de voyages, mais offre aux voyageurs d’échanger bons plans, photos, récits, projets, etc. Le site donne aussi une foule de conseils et d’infos aux voyageurs moins chevronnés.Français.

> http://ecotourisme-magazine.hautetfort.com/

Le site présente le sommaire des numéros parus de la revue Ecotourisme, des offres de stages et autres annonces.Français.

> http://www.tourisme-solidaire.org

Le site est dévolu au tourisme solidaire et équitable. On y trouve notamment des dossiers téléchargeables sur les pro-jets en cours. La rubrique organismes ressources propose une lite importante de liens commentés.Français, anglais, espagnol.

> http://www.lemarchecitoyen.net/

Le marché citoyen a référencé plus de 280 commerçants d’Ile-de-France engagés dans une démarche citoyenne, écologique ou sociale.Français.

> http://www.lemarchecitoyen.net/

Société coopérative de commerce éthique. Une sélection de produits qui respectent l’homme et l’environnement. Des informations pour comprendre, échanger, apprendre et prendre conscience de l’impact écologique et social de nos achats.Français.

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