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PROCES-VERBAL DE LA SEANCE
DU CONSEIL MUNICIPAL
DU 25 FEVRIER 2016 SA/MB/LA
Étaient présents : M. BUF Jean-Michel, Mmes GUIHOT Nathalie et GUIHO Marie-France, M.
POINTEAU Jean-Luc, Mme DUBOURG Yolande, M. CAILLON Philippe,
Mme LE BORGNE Véronique, MM. FLIPPOT Jacky, RICARD Jean-François
et CODET Stéphane, Mme AUBRY Sylvie, M. BROUTIN Ludovic, Mme
CAMELIN Christine, M. COLIN Arnaud, Mmes GILLET Maryline et
GUINEL Marie-Jeanne, M. MORMANN Nolann, Mmes ORDRONNEAU
Séverine et PELÉ LEGOUX Laurence, MM. PLANTARD Thierry,
PLUMELET Jean-Luc, PONTAC Serge et RICHARDEAU James et Mme
SCHLADT Rita.
Excusés : M. MORMANN Cédrick (pouvoir à M. MORMANN Nolann), Mme
COOREVITS Catherine (pouvoir à M. BROUTIN Ludovic), Mme DENIEL
Brigitte (pouvoir à M. COLIN Arnaud), Mme GUILLAUME Marie-Hélène
(pouvoir à Mme GUIHO Marie-France) et Mme POYER Audrey (pouvoir à
Mme PELE LEGOUX Laurence).
Secrétaires de séance : Mme ORDRONNEAU Séverine et M. COLIN Arnaud.
M. le Maire ouvre la séance à 20H00.
A. DESIGNATION DES SECRETAIRES DE SEANCE
Après avoir procédé à l’appel, M. le Maire désigne ensuite les deux secrétaires de séance (Mme
ORDRONNEAU Séverine et M. COLIN Arnaud) puis il décline l’ordre du jour de la séance.
B. APPROBATION DU COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU
28 Janvier 2016
Le procès-verbal de cette séance est approuvé à l’unanimité.
C. COMPTE RENDU DES DELEGATIONS PRISES
EN APPLICATION DE L’ARTICLE L 2122-22 DU CODE
GENERAL DES COLLECTIVITES TERRITORIALES
Monsieur le Maire de la Commune de Blain rend compte des décisions municipales prises, entre
le 28 Janvier 2016 et le 24 Février 2016, dans le cadre de l’exercice des délégations que le
Conseil Municipal lui a accordées par délibération du 10 Avril 2014, conformément aux
dispositions des articles L 2122-22 et L 2122 -23 du Code Général des Collectivités Territoriales.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
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Numéro Objet Date signature
2016/05
Accepter la proposition d’indemnité faite par
GROUPAMA en règlement du sinistre survenu le 9 Juin
2015 au cours duquel le bâtiment communal sis 2, rue
Bizeul a été victime d’un incendie, savoir :
- un premier versement de 8.416 euros (10.000 euros –
1.584 euros de franchise)
- et un second versement sur présentation des factures,
dans la limite de 74.053 euros.
01/02/2016
2016/06
Accepter l’indemnité de 9.486,53 euros proposée par
GROUPAMA en règlement du sinistre survenu le 25
Octobre 2015 au cours duquel un vol et des dégradations
ont été commis aux ateliers municipaux.
03/02/2016
2016/07
Accepter l’indemnité de 1.512,00 euros proposée par
GROUPAMA en règlement du sinistre survenu le 28
Novembre 2015 au cours duquel un véhicule a
endommagé un candélabre de la Promenade Anne de
Bretagne.
18/02/2016
D. FINANCES – R-H. – INTERCOMMUNALITE – ÉCONOMIE :
1. VOTE DES COMPTES DE GESTION 2015 :
Rapporteur : Monsieur le Maire
Les règles de comptabilité publique, imposent la séparation de l’ordonnateur et du comptable, et
la tenue de deux comptabilités distinctes, celle du maire (compte administratif) et, celle du
comptable (compte de gestion). Le compte de gestion est réalisé par le comptable qui est chargé
en cours d'année d'encaisser les recettes et de payer les dépenses ordonnancées par le maire.
Avant le 1er juin de l'année qui suit la clôture de l'exercice, le trésorier établit un compte de
gestion par budget voté (budget principal et budgets annexes). Le compte de gestion retrace les
opérations budgétaires en dépenses et en recettes, selon une présentation analogue à celle du
compte administratif. Le compte de gestion est soumis au vote de l'assemblée délibérante qui
peut constater ainsi la stricte concordance des deux documents (compte administratif et compte
de gestion). Le vote du Conseil municipal arrêtant les comptes doit intervenir au plus tard le 30
Juin de l'année suivant l'exercice.
M. le Maire excuse Monsieur ROUTARD, Receveur municipal.
Présentation est faite de toute la partie Finances, des comptes de gestions aux votes des budgets
2016.
Cette présentation est la même que celle faite lors du Conseil interne du 4 Février 2016.
Présentation successive :
du budget annexe du port fluvial, qui ne suscite aucune remarque,
du budget annexe assainissement, qui ne suscite pas de question,
du budget général, qui ne suscite pas de question.
Présentation du coût global de l’Ecole du Grand moulin qui comprend la totalité des dépenses
prévisionnelles affectées à l’opération.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
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Le coût des travaux en TTC est de 3.490.173,49 euros, le coût de la maîtrise d’œuvre est à
421.592,45 euros, les programmes et divers 82.010,58 euros, mobilier informatique véhicule
114.000 euros, provisions et avenants 222.057,97 euros.
Le coût total est donc estimé à 4.329.834,50 euros.
En recettes prévisionnelles :
- FCTVA : ........................................................... 682.425,22 €
- DETR notifiée : ................................................. 122.500,00 €
- Réserve parlementaire notifiée : ........................ 20.000,00 €
- Fonds de développement solidaire (CD 44): ... 600.000,00 €
A noter que ce montant n’a pas été notifié à la Commune, mais a fait l’objet d’une information
dans la presse.
Une autre demande a été envoyée au Conseil régional. A ce jour, le montant des subventions
attendues est de 1.424.925,22 euros.
DELIBERATION N° 2016/02/01
OBJET : Vote des comptes de gestion 2015
- Budget général
- Budget Assainissement
- Budget Port fluvial
La règle de la séparation de l’ordonnateur et du comptable impose la tenue de
deux comptabilités : celle de l’ordonnateur (le Maire) et celle du comptable (le
receveur municipal).
En application des dispositions des articles L.1612-12 et L 2121-31 du Code
Général des Collectivités Territoriales (C.G.C.T.), l’assemblée délibérante
entend, débat et arrête le compte de gestion du comptable qui est transmis à
l’exécutif local au plus tard le 1er juin de l’exercice suivant celui auquel il se
rapporte.
Les conseils municipaux ou syndicaux ne peuvent valablement délibérer sur le
compte administratif de l’ordonnateur sans disposer de l’état de situation de
l’exercice clos dressé par le trésorier, c’est-à-dire du compte de gestion.
Après avoir entendu et débattu les comptes de gestion des budgets général, de
l’assainissement, et du port fluvial du comptable pour l’exercice 2015,
VU le Code Général des Collectivités Territoriales, et notamment ses articles
L.1212-12, L.2121-31 et L.2541-13.
VU l'article 20 du décret du 29 décembre 1962 posant le principe de
séparation de l'ordonnateur et du comptable.
VU la note explicative de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers
municipaux à l’appui de leur convocation.
Sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil Municipal, après en avoir
délibéré :
CONSTATE que les écritures de l’ordonnateur sont conformes à celles du
comptable.
APPROUVE les comptes de gestion du trésorier municipal pour l'exercice
2015, pour le budget général, le budget annexe Assainissement et le budget
annexe du port fluvial.
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VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
2. VOTE DES COMPTES ADMINISTRATIFS 2015 :
Rapporteur Monsieur le Maire
Les comptes administratifs représentent les bilans financiers de l’ordonnateur. Ils
constituent l’arrêté des comptes de la collectivité à la clôture de l’exercice et retracent
toutes les recettes et dépenses réalisées au cours de l’année, pour le budget principal de la
Commune, ainsi que pour les budgets annexes.
L’article L.2121-14 du Code Général des Collectivités Territoriales prévoit que dans les
séances où le compte administratif du Maire est débattu, le Conseil municipal élit son
Président. Dans ce cas, le Maire peut, même s'il n'est plus en fonction, assister à la
discussion ; mais il doit se retirer au moment du vote.
M. le Maire précise qu’une petite différence au Compte administratif est visible en
dépenses de fonctionnement par rapport à la présentation faite en Conseil interne et ce pour
des raisons de conformité avec les comptes de gestion. Ces 0,03 euros en moins se
reportent dans l’affectation des résultats.
M. Thierry Plantard : « Quelques remarques sur ces comptes.
Le premier constat est la stabilité, voire la baisse des excédents de fonctionnement par
rapport à 2015. Si on prend les excédents de fonctionnement, hors opération d’ordre, on
était à 2.300.000 euros en 2015 contre 2.100.000 euros cette année, ce n’est pas une pente
ascendante. On n’imagine pas non plus des effets sur les résultats qui permettraient une
amélioration telle qu’elle a pu être communiquée par le passé. On constate des chiffres
inquiétants, sur lesquels nous avons posé des questions en Conseil interne. Par exemple :
l’augmentation massive du recours à la main d’œuvre extérieure pour compenser un
nombre croissant d’arrêts de travail, notamment au niveau du Pôle Education. Cela nous
interroge sur la gestion du personnel et sur les effets auprès des enfants notamment au
niveau de l’encadrement des rythmes scolaires.
Nous sommes également dubitatifs pour l’avenir à l’approche de plusieurs projets
d’investissement conséquents. On retiendra le Château, l’Ecole du Grand moulin, projets
engagés auparavant, la mise en accessibilité et son côté réglementaire, ainsi que le projet
de complexe sportif et culturel qui arrive. Les résultats peu encourageants et l’absence de
lisibilité sur la programmation et l’évolution des résultats à 5 ans nous laissent dubitatifs et
inquiets pour l’avenir. »
M. le Maire : « Trois des quatre projets que vous évoquez ont été effectivement conclus
sous l’ancienne mandature, ce qui veut dire que vous vous seriez trouvés exactement dans
la même situation que celle que nous vivons aujourd’hui.
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Eu égard aux désengagements de l’État sur les dotations, eu égard au fait qu’on fait face à
des transferts de compétences supplémentaires que vous n’avez pas connus à l’époque, on
se retrouve dans une situation qui questionne, ce qu’avait exprimé Rita « Qu’est-ce-que
nous allons laisser à nos successeurs ? Nous aurons à trouver des solutions, avec
imagination, mais surtout pragmatisme pour envisager avec plus de sérénité l’avenir face
aux désengagements de plus en plus nombreux qu’il faudra subir. »
Mme Nathalie GUIHOT prend la présidence du Conseil municipal le temps des votes des
Comptes administratifs.
DELIBERATION N° 2016/02/02
OBJET : Vote des Comptes Administratifs 2015
- Budget général
- Budget Assainissement
- Budget Port fluvial
Conformément à l’article L 2121-14 du Code Général des Collectivités
Territoriales, le Conseil Municipal désigne Mme Nathalie GUIHOT, comme
Président.
Conformément à l’article L.1612-12 du Code Général des Collectivités
Territoriales, l’arrêté des comptes est constitué par le vote du compte
administratif présenté par l’exécutif après transmission au plus tard le 1er juin
de l’année suivant l’exercice du compte de gestion établi par le comptable de
la collectivité.
VU le Code Général des Collectivités Territoriales et notamment ses articles
L.2121-14, L.2121-31 et D.2342-11 du Code Général des Collectivités
Territoriales.
VU la note explicative de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers
municipaux à l’appui de leur convocation.
VU les éléments financiers communiqués aux conseillers municipaux lors du
conseil interne du 4 février 2016.
Après avoir entendu et débattu les comptes administratifs du budget général,
de l’assainissement et du port fluvial de l’ordonnateur pour l’exercice 2015, en
l’absence de Monsieur le Maire, sur proposition du Président de l’assemblée et
après en avoir délibéré, le Conseil municipal :
APPROUVE les comptes administratifs 2015, selon les balances générales
ci-après indiquées :
BALANCE GENERALE DU BUDGET GENERAL
DEPENSES RECETTES
FONCTIONNEMENT 7 643 879,57 € 9 151 211,59 €
INVESTISSEMENT 2 996 473,17 € 3 391 609,21 €
VOTE : Unanimité des 28 votants.
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BALANCE GENERALE DU BUDGET ASSAINISSEMENT
DEPENSES RECETTES
FONCTIONNEMENT 640 076,98 € 710 971,00 €
INVESTISSEMENT 622 124,59 € 697 503,95 €
VOTE : Unanimité des 28 votants.
BALANCE GENERALE DU BUDGET DU PORT FLUVIAL
DEPENSES RECETTES
FONCTIONNEMENT 10 403,00 € 10 866,06
INVESTISSEMENT 4 097,04 14 829,46
VOTE : Unanimité des 28 votants.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
3. AFFECTATION DES RÉSULTATS 2015 :
M. le Maire : « Je signale la différence de 0,03 euros. L’excédent de fonctionnement est
donc de 1.507.332,02 euros. L’affectation au compte 1068 est de 1.224.332,02 euros et au
compte 002 inchangée à 283.000 euros. »
DELIBERATION N° 2016/02/03
OBJET : Budget Général- Affectation du résultat de fonctionnement de
l’exercice 2015
Monsieur le Maire reprend la présidence de la séance
VU les articles L.2311-5 et R.2311-11 et suivants du Code Général des
Collectivités Territoriales fixant les règles de l’affectation des résultats.
VU l’instruction comptable M 14.
VU les éléments financiers communiqués aux conseillers municipaux lors du
conseil interne du 4 février 2016.
Le Conseil Municipal statuant sur l’affectation du résultat de fonctionnement
de l’exercice 2015 constatant que le compte administratif présente :
- un excédent de fonctionnement de 1 507 332,02 €
DECIDE d’affecter ce résultat de fonctionnement ainsi :
1 224 332,02 € au compte 1068 « Excédents de fonctionnement
capitalisés » pour couvrir le besoin de financement dégagé par la
section d’investissement.
283 000,00 € au compte 002 « Excédent reporté ».
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
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DELIBERATION N° 2016/02/04
OBJET : Budget Assainissement - Affectation du résultat de fonctionnement
de l’exercice 2015
Monsieur le Maire reprend la présidence de la séance
VU les articles L.2311-5 et R.2311-11 et suivants du Code Général des
Collectivités Territoriales fixant les règles de l’affectation des résultats.
VU l’instruction comptable M 14.
VU les éléments financiers communiqués aux conseillers municipaux lors du
conseil interne du 4 février 2016.
Le Conseil Municipal statuant sur l’affectation du résultat d’exploitation de
l’exercice 2015 constatant que le compte administratif présente :
- un excédent de fonctionnement de 70 894,02 €
DECIDE d’affecter ce résultat d’exploitation ainsi :
70 894,02 € au compte 1068 « Autres réserves ».
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
DELIBERATION N° 2016/02/05
OBJET : Budget Port fluvial - Affectation du résultat de fonctionnement de
l’exercice 2015
Monsieur le Maire reprend la présidence de la séance
VU les articles L.2311-5 et R.2311-11 et suivants du Code Général des
Collectivités Territoriales fixant les règles de l’affectation des résultats.
VU l’instruction comptable M 14.
VU les éléments financiers communiqués aux conseillers municipaux lors du
conseil interne du 4 février 2016.
Le Conseil Municipal statuant sur l’affectation du résultat d’exploitation de
l’exercice 2015 constatant que le compte administratif présente :
- un excédent de fonctionnement de 463,06 €
DECIDE d’affecter ce résultat d’exploitation ainsi :
463,06 € au compte 002 « Excédent reporté ».
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
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4. VOTE DES SUBVENTIONS AUX ASSOCIATIONS 2016 :
La Ville de Blain compte sur son territoire un nombre important d’associations qui
œuvrent dans des domaines divers.
Ces associations participent au développement du territoire, créent du lien social et des
solidarités. Leur travail de proximité, souvent complémentaire des missions de
l’administration municipale, collabore à la mise en œuvre des orientations municipales et
contribue à dynamiser le territoire. En ce sens, elles sont des partenaires privilégiés pour
la Commune.
Dans le cadre des orientations politiques définies par l’équipe municipale, la Ville de
Blain soutient activement la vie associative en pratiquant une politique dynamique en
termes d’attribution de subvention.
Pour l’année 2016, le calendrier d’examen des dossiers de subventions a été fixé ainsi :
ORIENTATIONS 2016
La Commune de Blain a renouvelé ses orientations concernant les choix qui ont guidé les
attributions de subventions.
Une GARANTIE: Le respect mutuel entre les deux partenaires La Commune s’engage à respecter le projet associatif dans toute sa dimension. Ce temps
d’échange doit être mis à profit pour permettre de rechercher la meilleure combinaison
possible entre le projet associatif présenté et les orientations municipales.
Un SOUTIEN FINANCIER : Un subventionnement des projets associatifs. Il s’agit d’aider à développer les projets associatifs. Ce mode de soutien financier oblige à
présenter un dossier complet de façon à pouvoir anticiper le projet et en y intégrer les
évènements marquants de l’année de subventionnement.
UNE POLITIQUE D’INTERET GENERAL: Éducation et Culture, Social et
Solidarités, Développement Durable. Est d’abord pris en compte l’action traditionnelle menée par l’association qui participe de
fait à l’image de Blain, à son animation et à son développement. A cela s’ajoute la
politique de l’équipe municipale auprès des associations. Cette politique est totalement
intégrée à la politique communale globale dans laquelle s’est engagée l’équipe au bénéfice
du territoire et de ses habitants.
DATES NATURE DE L’OPERATION
Décembre 2015 Mise à disposition du dossier auprès des associations
15 janvier 2016
Date limite de dépôt des dossiers de demande de
subvention.
15 janvier au 15 février
2016
Instruction par les services.
Avis sur les dossiers par les commissions municipales
de référence
Jeudi 25 février 2016 Délibération du Conseil municipal
Mars 2016 Notification des décisions aux associations
Avril 2016 Versement aux associations
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
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Le montant total des subventions municipales (compte 6574) et des adhésions – cotisations
(compte 6281) pour 2015 s’élève à 248.728,40 €.
Pour les associations percevant une subvention supérieure à 23 000€, des conventions
triennales d’objectifs sont passées par chacune d’elle avec la Ville selon les termes de la
loi.
Les élus ont tenu à rappeler dans chaque délibération, le cadre juridique dans lequel
s’inscrit l’attribution de subventions aux associations et les critères qui ont prévalu aux
propositions soumises au vote du Conseil municipal du 25 Février 2016.
M. le Maire : « Je précise au Conseil municipal, qu’auparavant, il était d’usage de voter le
Budget primitif, puis de voter les subventions ultérieurement. Cette année, le vote des
subventions se fait de manière concomitante au vote du Budget.
Le vote des subventions porte sur une masse financière. J’ai demandé aux services de
s’attacher à la valorisation des mises à disposition de matériel, de salles, de moyens
humains, etc …
Certaines associations demandent très peu de subventions mais bénéficient de mises à
disposition importantes et inversement. Il parait important de rendre plus visibles ces
modes de soutien aux associations. »
Mme Rita SCHLADT : « On ne peut que souscrire à l’engagement d’une Commune pour
les associations. Les bénévoles s’engagent et donnent de leur temps. Par contre, ce sont
rarement des professionnels de la gestion. Remplir une demande de subvention, un bilan
financier et un budget prévisionnel, demandent du temps, de la réflexion, de la concertation
entre les membres de l’association. Quand on demande aux associations qui ont l’habitude
de clore leur année au 31 Décembre, de déposer leur demande le 15 Janvier, cela est un
manque de considération et surtout cela peut mettre en difficulté certaines associations. La
Commission Sports l’avait signalé en demandant un report au 31 Janvier. Cette demande
n’a pas été entendue.
La demande de subvention a changé sans qu’il y ait une proposition de formation. Certains
diront que ce n’est pas nécessaire, pour autant, nous avons vu dans presque toutes les
Commissions des bénévoles en difficulté.
L’étude des dossiers dans les Commissions a débuté le 17 Janvier ou le 18 Janvier, la
plupart des dossiers ont été traités une semaine plus tard. Nous ne sommes pas d’accord
avec cette précipitation, nous pensons que ce n’est pas une bonne manière de procéder. Les
services n’ont pas eu le temps d’analyser les dossiers, nous avons fait ce travail là en
Commission. Une très bonne chose était de mettre les dossiers à disposition des
Commissions, en tout cas pour les Commissions Culture-Tourisme-Patrimoine et Sport-
Vie associative. Mais peu de Conseillers avaient étudié ces dossiers de demandes.
Dès lors, comment peut-on assurer une distribution équitable des subventions ? Les
Commissions n’ont pas eu la même approche de l’étude des dossiers. Parfois, l’approche
était très rigoriste et parfois des dossiers très partiellement remplis ont été acceptés.
Parfois, il était exigé que l’association ait un projet. Dans d’autres Commissions, ce n’était
pas nécessaire. Une association, par exemple, qui avait reçu 500 euros de subvention
exceptionnelle en 2015 la reçoit aujourd’hui en subvention de fonctionnement, sans
changement de son projet, nous ne savons pas pourquoi ? Quand on accorde des
subventions, il faut aussi voir l’évolution de la demande, or cela ne se voit pas dans la note
de synthèse.
Nous demandons donc, comme l’an dernier, que cela soit précisé par chaque adjoint qui
présentera les délibérations, pour que l’on voie l’évolution. Cela est important pour les
Conseillers qui n’ont pas assisté aux Commissions, pour le public et la Presse. C’est
pourquoi, nous nous abstenons.»
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
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M. le Maire : « Attention à ne pas confondre le travail en Commissions et le Conseil
municipal. De fait, il n’y a pas le même niveau d’information d’un adjoint à l’autre, c’est
aussi dans l’appréciation du mode de fonctionnement. Notre volonté est d’aller vers une
uniformisation de la méthode, cela prend du temps.
Cela dit, ces associations pour la plupart, ont besoin d’avoir ces fonds assez rapidement.
D’autre part, les subventions accordées aux associations doivent figurer dans le budget.
L’État nous demande de réduire de plus en plus les délais pour le vote du Budget, c’est ce
que nous essayons de faire.
Les Services travaillent pour que tous les dossiers soient bien étudiés en temps et en heure.
Les documents qui vont ont été donnés en Commissions, faisaient état des éléments
évoqués ici. Une différence peut-être, mais pas sur le total qui était bon, dans la répartition
entre subvention de fonctionnement et subvention exceptionnelle. Vous avez reçu les
modifications. »
M. Jacky FLIPPOT reprend le détail des subventions acceptées à l’unanimité dans la
Commission Culture-Tourisme-Patrimoine. Sur la quarantaine de dossiers déposés, une
grande partie était bien remplie, j’en conclu donc que les associations ont su trouver le
temps pour compléter ces dossiers. Les dossiers étaient intéressants et clairs, notamment
sur l’état des finances des associations.
Pour notre Commission, l’aspect projet était primordial. Certaines associations, comme
l’ASPA à St-Omer, n’ont pas déposé de dossier, car n’ayant pas de projet ou n’ayant pas
de besoin financier. Certaines associations ont aussi demandé un peu moins. Le montant
total n’est donc pas à la hausse, il a même été baissé. Et puis, il y a quelques associations
qui n’ont pas de subvention. J’ai reçu par exemple le Président du Comité des Fêtes de St-
Omer, l’association subvient à ses besoins, elle est dans une vraie démarche au bénéfice de
la communauté.
Il détaille ensuite les subventions accordées à chaque association et précise les actions liées
à ces associations. Précision apportée concernant Europ raid dont la subvention a été
évoquée précédemment par Mme Rita SCHLADT. 500 euros en subvention de
fonctionnement pour une association qui fait la promotion de la Ville de Blain. Cette
année, c’est environ 50 équipages qui vont partir, on pourrait même assimiler cela à la
politique de communication de la Ville.
M. le Maire : « Je souhaite revenir sur certaines associations qui ont un rayonnement bien
au-delà de Blain. Par exemple Europ Raid, association blinoise, que nous avions rencontrés
est en évolution importante. En 2014, quatre équipages, en 2015, 14 équipages et cette
année 65 équipages représentants des étudiants de différents types d’école de toute la
France. Faire un départ de Blain est un vecteur de communication important, son ampleur
dépasse les 500 euros de communication que la Commune aurait à dépenser pour assurer le
même niveau de communication. L’association traverse 19 pays et des sites classés par
l’UNESCO et dans un but d’apporter du matériel médical et scolaire. Cette action de
valorisation est essentielle à soutenir. »
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DELIBERATION N° 2016/02/06
OBJET : Subventions 2016 : Commission municipale Culture – Tourisme –
Patrimoine.
Les engagements pris par une Commune dans le cadre du versement des
subventions aux associations, doivent reposer sur des critères permettant de
conforter le contribuable sur la sincérité des dépenses. Les dossiers de
subvention remis sont considérés de fait comme de bonne foi et cette
déclaration engage l’association sur le but et l’objet de la dépense.
CADRE REGLEMENTAIRE D’ATTRIBUTION DES SUBVENTIONS
Les conditions d’attribution des subventions Le versement d’une subvention à une association est soumis à un certain
nombre de conditions d’attribution et d’utilisation. En tout état de cause, la
subvention doit être sollicitée et les collectivités publiques disposent d’un
pouvoir discrétionnaire pour l’accorder ou la refuser. Toute association
légalement déclarée, exerçant une activité d’intérêt général, peut, en principe,
demander des subventions, mais elle doit répondre à certaines conditions :
association déclarée et attestant de sa capacité juridique (récépissé de
déclaration et extrait du Journal officiel) comme le stipule la loi n° 87.571 du
23/07/1987. L’établissement d’une convention peut être rendu obligatoire soit
du fait de l’activité subventionnée, soit en raison de l’importance de l’aide
versée, soit pour éviter la gestion de fait de deniers publics.
Les conditions d’utilisation des subventions Enfin, l’article L.1611-4 du Code Général des Collectivités Territoriales
stipule que « toute association, œuvre ou entreprise ayant reçu une subvention
peut être soumise au contrôle des délégués de la collectivité qui l'a accordée.
Tous groupements, associations, œuvres ou entreprises privées qui ont reçu
dans l'année en cours une ou plusieurs subventions sont tenus de fournir à
l'autorité qui a mandaté la subvention une copie certifiée de leurs budgets et de
leurs comptes de l'exercice écoulé, ainsi que tous documents faisant connaître
les résultats de leur activité.
Il est interdit à tout groupement ou à toute association, œuvre ou entreprise
ayant reçu une subvention d'en employer tout ou partie en subventions à
d'autres associations, œuvres ou entreprises, sauf lorsque cela est
expressément prévu dans la convention conclue entre la collectivité territoriale
et l'organisme subventionné ».
Le contrôle
Le contrôle par la Commune
La loi prévoit que toute association ayant reçu une subvention peut être
soumise au contrôle des délégués de la collectivité (élus ou agent territorial
par délégation) qui l’a accordée. Dans ce cadre, les représentants de la
Commune peuvent demander toute pièce justifiant de l’utilisation des
subventions.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
12
Le contrôle par le Juge administratif
Le contrôle des associations subventionnées est également exercé par le Juge
administratif qui, lorsqu’il est saisi, vérifie la légalité des actions aidées. Le
Juge veille ainsi à ce que l’attribution des subventions ne soit pas contraire
aux grands principes du droit comme le principe de laïcité, le respect des
libertés publiques…
Le contrôle par la Chambre régionale des comptes
Les Chambres régionales des comptes ont quant à elles la possibilité
d’examiner la gestion des associations bénéficiaires d’aides publiques.
CRITERES DE SELECTIONS RETENUS PAR LA MUNICIPALITE
Production du numéro de SIRET.
Dossier complet à date du vote des subventions par le Conseil municipal,
comprenant notamment l’ensemble des éléments financiers conformément
à la règlementation.
Intérêt local : priorité donnée aux associations locales qui ont des projets
sur le territoire, ou aux associations extérieures qui ont une action sur la
Commune.
Pour les nouvelles associations (création ou première demande) : base
forfaitaire de 80 €, justifiée :
- Absence d’antériorité de demande, ou présentation du journal
officiel attestant de sa création.
- Siège social sur la Commune.
- Intérêt local.
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu la note de synthèse adressées aux membres du Conseil municipal à l’appui
de leur convocation.
Vu l’avis de la Commission municipale Culture – Tourisme – Patrimoine en
date du 27 janvier 2016,
Conformément à l’article L.2131-11 du Code Général des Collectivité
Territoriales, les conseillers municipaux exerçant des responsabilités dans une
association susceptible de percevoir une subvention communale, n’ont pris
part, ni au débat ni au vote concernant l’attribution de cette subvention.
Le Conseil Municipal,
DECIDE d’allouer une subvention de démarrage d’un montant forfaitaire de
80 € à toute association blinoise à l’occasion de sa création ou d’une première
demande, selon les conditions visées par la présente délibération.
DECIDE d’allouer aux associations blinoises, les subventions suivantes au
titre de l’année 2016 :
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
13
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions2016
Amagraph 900,00 € 900,00 €
Amis de Blain - Musée (Les) 500,00 € 19 500,00 € 20 000,00 €
Amis du Puits du Chat (Les) 1 400,00 € 1 400,00 €
Artnonyme 9 000,00 € 9 000,00 €
ASPE (St Emilien) 300,00 € 300,00 €
Atelier (L') 1 100,00 € 1 100,00 €
Les Ballets Aldebaran 2 000,00 € 2 000,00 €
Blain Accueil Enfants Sahraouis - €
Cantabile 150,00 € 150,00 €
Chantons entre canal et foret 150,00 € 200,00 € 350,00 €
Château Essor Blinois 10 000,00 € 10 000,00 €
Cinéma St Laurent 6 000,00 € 6 000,00 €
Comité de jumelage 2 000,00 € 1 295,00 € 3 295,00 €
Comité des fêtes et de
bienfaisance de Blain 16 000,00 € 16 000,00 €
Comité des fêtes St Omer - € - €
Compagnie Bulles de Zinc 4 000,00 € 4 000,00 €
Ecole de Musique Blinoise 16 570,00 € 16 570,00 €
Des livres ouverts 80,00 € - € 80,00 €
Envol des Livres (St Emilien) 1 000,00 € 2 100,00 € 3 100,00 €
Etangs du Pont Neuf (Les) 200,00 € 200,00 €
Equi veut le faire - € - €
Patrick et les Blainy's 1 300,00 € 1 300,00 €
Photo-club blinois 500,00 € 500,00 €
Poulpe fiction production 500,00 € 500,00 €
Blain Scrabble 100,00 € 100,00 €
Scrabble pour tous 100,00 € 100,00 € 200,00 €
ISAC Danse 100,00 € 100,00 €
Surcouf (plaisanciers du port) 500,00 € 500,00 €
L'Homme et l'Outil - La Maison
du Rabot 250,00 € 250,00 €
Théâtre La Capsule 1 000,00 € 1 000,00 €
44 Mille et Une danses (Danse
orientale) 400,00 € 400,00 €
Comité du souvenir du Maquis
de Saffré 200,00 € 200,00 €
Europe Raid 500,00 € 500,00 €
Troiata - Compagnie de danse 400,00 € 400,00 €
Amicale Laïque Bouvron
(Théâtre) - €
Echanges et solidarités 44 300,00 € 300,00 €
Culture - Promotion touristique
des canaux bretons918,00 €
918,00 €
TOTAL 70 600,00 € 3 095,00 € 19 500,00 € 7 500,00 € 918,00 € 101 613,00 €
Culture Patrimoine Tourisme
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
14
VOTE : 23 pour – 6 abstentions.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
M. Jean-Luc POINTEAU détaille les différentes subventions accordées en 2016.
Mme Rita SCHLADT : « Blain badminton est passé de 1.100 euros à 300 euros, mais je ne
me souviens plus pourquoi ?
M. Jean-Luc POINTEAU : « La direction du Club a changé, le Club de Blain badminton
n'est plus adhérent à la Fédération, il est passé en Club Loisir. »
DELIBERATION N° 2016/02/07
OBJET : Subventions 2016 : Commission municipale Sport – Vie
associative.
Les engagements pris par une Commune dans le cadre du versement des
subventions aux associations, doivent reposer sur des critères permettant de
conforter le contribuable sur la sincérité des dépenses. Les dossiers de
subvention remis sont considérés de fait comme de bonne foi et cette
déclaration engage l’association sur le but et l’objet de la dépense.
CADRE REGLEMENTAIRE D’ATTRIBUTION DES SUBVENTIONS
Les conditions d’attribution des subventions Le versement d’une subvention à une association est soumis à un certain
nombre de conditions d’attribution et d’utilisation. En tout état de cause, la
subvention doit être sollicitée et les collectivités publiques disposent d’un
pouvoir discrétionnaire pour l’accorder ou la refuser. Toute association
légalement déclarée, exerçant une activité d’intérêt général, peut, en principe,
demander des subventions, mais elle doit répondre à certaines conditions :
association déclarée et attestant de sa capacité juridique (récépissé de
déclaration et extrait du Journal officiel) comme le stipule la loi n° 87.571 du
23/07/1987. L’établissement d’une convention peut être rendu obligatoire soit
du fait de l’activité subventionnée, soit en raison de l’importance de l’aide
versée, soit pour éviter la gestion de fait de deniers publics.
Les conditions d’utilisation des subventions
Enfin, l’article L.1611-4 du Code Général des Collectivités Territoriales
stipule que « toute association, œuvre ou entreprise ayant reçu une subvention
peut être soumise au contrôle des délégués de la collectivité qui l'a accordée.
Tous groupements, associations, œuvres ou entreprises privées qui ont reçu
dans l'année en cours une ou plusieurs subventions sont tenus de fournir à
l'autorité qui a mandaté la subvention une copie certifiée de leurs budgets et de
leurs comptes de l'exercice écoulé, ainsi que tous documents faisant connaître
les résultats de leur activité.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
15
Il est interdit à tout groupement ou à toute association, œuvre ou entreprise
ayant reçu une subvention d'en employer tout ou partie en subventions à
d'autres associations, œuvres ou entreprises, sauf lorsque cela est
expressément prévu dans la convention conclue entre la collectivité territoriale
et l'organisme subventionné ».
Le contrôle
Le contrôle par la Commune
La loi prévoit que toute association ayant reçu une subvention peut être
soumise au contrôle des délégués de la collectivité (élus ou agent territorial
par délégation) qui l’a accordée. Dans ce cadre, les représentants de la
Commune peuvent demander toute pièce justifiant de l’utilisation des
subventions.
Le contrôle par le Juge administratif
Le contrôle des associations subventionnées est également exercé par le Juge
administratif qui, lorsqu’il est saisi, vérifie la légalité des actions aidées. Le
Juge veille ainsi à ce que l’attribution des subventions ne soit pas contraire
aux grands principes du droit comme le principe de laïcité, le respect des
libertés publiques…
Le contrôle par la Chambre régionale des comptes
Les Chambres régionales des comptes ont quant à elles la possibilité
d’examiner la gestion des associations bénéficiaires d’aides publiques.
CRITERES DE SELECTIONS RETENUS PAR LA MUNICIPALITE
Production du numéro de SIRET.
Dossier complet à date du vote des subventions par le Conseil municipal,
comprenant notamment l’ensemble des éléments financiers conformément
à la règlementation.
Intérêt local : priorité donnée aux associations locales qui ont des projets
sur le territoire, ou aux associations extérieures qui ont une action sur la
Commune.
Pour les nouvelles associations (création ou première demande) : base
forfaitaire de 80 €, justifiée :
- Absence d’antériorité de demande, ou présentation du journal
officiel attestant de sa création.
- Siège social sur la Commune
- Intérêt local
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu la note de synthèse adressées aux membres du Conseil municipal à l’appui
de leur convocation.
Vu l’avis de la Commission municipale Sport – Vie associative en date du 26
janvier 2016,
Conformément à l’article L.2131-11 du Code Général des Collectivité
Territoriales, les conseillers municipaux exerçant des responsabilités dans une
association susceptible de percevoir une subvention communale, n’ont pris
part, ni au débat ni au vote concernant l’attribution de cette subvention, soit :
Association Blain Volley Ball : Madame Yolande DUBOURG
Le Conseil Municipal,
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
16
DECIDE d’allouer une subvention de démarrage d’un montant forfaitaire de
80 € à toute association blinoise à l’occasion de sa création ou d’une première
demande, selon les conditions visées par la présente délibération.
DECIDE d’allouer aux associations blinoises, les subventions suivantes au
titre de l’année 2016 :
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions
Total
2016
ABEP - Entretien Physique 300,00 € 200,00 € 500,00 €
ANDB - Natation 2 000,00 € 2 000,00 €
Association Sportive du Collège Le Galinet 600,00 € 600,00 €
Association sportive Lycée Camille Claudel 450,00 € 450,00 €
Blain Badminton Club 300,00 € 300,00 €
Blain Chemin Faisant 450,00 € 450,00 €
Blain Rink-Hockey 750,00 € 750,00 €
Compet' Chiens de traîneaux - € - €
GV Ensemble Blain 400,00 € 400,00 €
Entente Nord Loire 44 - Athlétisme 1 900,00 € 1 900,00 €
Entente Sportive de Blain - Football 2 800,00 € 2 800,00 €
CIME - Club Isac Montagne Escalade 500,00 € 500,00 €
Football St Emilien Espérance - € - €
Gaule Blinoise (La) 400,00 € 400,00 €
Gazelles Blinoises 2 000,00 € 2 000,00 €
Handball Club Blinois 1 700,00 € 1 700,00 €
Judo Club de Blain 900,00 € 900,00 €
Amicale Karaté Blinoise 1 100,00 € 1 100,00 €
Roller Plaisir à Blain 80,00 € 80,00 €
Pétanque Blinoise 500,00 € 500,00 €
Blain Volley Ball 400,00 € 400,00 €
Ecole de Pétanque la Chaussée Blain - € - €
Sabots de Montvallon (Les) - € - €
Tennis Club de Blain 900,00 € 900,00 €
Tennis de table Club de Blain 1 000,00 € 1 000,00 €
Société Blinoise de Tir 475,00 € 475,00 €
Blain Triathlon 400,00 € 400,00 €
Vélo Club Blinois 1 600,00 € 1 600,00 €
Yoga Blain 150,00 € 150,00 €
Zelaform (musculation - gym) 500,00 € 500,00 €
St Sauveur Bouvron - Section Gymnastique 300,00 € 300,00 €
TOTAL 22 855,00 € 200,00 € - € - € - € 23 055,00 €
Sport et Vie Associative
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
17
VOTE : 22 pour – 6 abstentions sur 28 votants.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
M. Philippe CAILLON informe le Conseil municipal d’une demande de subvention du
Comice agricole. Le format de demande ne correspondait à aucun document, ni critère
retenu. Nous n’avons pas souhaité donner suite.
DELIBERATION N° 2016/02/08
OBJET : Subventions 2016 : Commission municipale Urbanisme –
Agriculture – Travaux.
Les engagements pris par une Commune dans le cadre du versement des
subventions aux associations, doivent reposer sur des critères permettant de
conforter le contribuable sur la sincérité des dépenses. Les dossiers de
subvention remis sont considérés de fait comme de bonne foi et cette
déclaration engage l’association sur le but et l’objet de la dépense.
CADRE REGLEMENTAIRE D’ATTRIBUTION DES SUBVENTIONS
Les conditions d’attribution des subventions Le versement d’une subvention à une association est soumis à un certain
nombre de conditions d’attribution et d’utilisation. En tout état de cause, la
subvention doit être sollicitée et les collectivités publiques disposent d’un
pouvoir discrétionnaire pour l’accorder ou la refuser. Toute association
légalement déclarée, exerçant une activité d’intérêt général, peut, en principe,
demander des subventions, mais elle doit répondre à certaines conditions :
association déclarée et attestant de sa capacité juridique (récépissé de
déclaration et extrait du Journal officiel) comme le stipule la loi n° 87.571 du
23/07/1987. L’établissement d’une convention peut être rendu obligatoire soit
du fait de l’activité subventionnée, soit en raison de l’importance de l’aide
versée, soit pour éviter la gestion de fait de deniers publics.
Les conditions d’utilisation des subventions Enfin, l’article L.1611-4 du Code Général des Collectivités Territoriales
stipule que « toute association, œuvre ou entreprise ayant reçu une subvention
peut être soumise au contrôle des délégués de la collectivité qui l'a accordée.
Tous groupements, associations, œuvres ou entreprises privées qui ont reçu
dans l'année en cours une ou plusieurs subventions sont tenus de fournir à
l'autorité qui a mandaté la subvention une copie certifiée de leurs budgets et de
leurs comptes de l'exercice écoulé, ainsi que tous documents faisant connaître
les résultats de leur activité.
Il est interdit à tout groupement ou à toute association, œuvre ou entreprise
ayant reçu une subvention d'en employer tout ou partie en subventions à
d'autres associations, œuvres ou entreprises, sauf lorsque cela est
expressément prévu dans la convention conclue entre la collectivité territoriale
et l'organisme subventionné ».
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
18
Le contrôle
Le contrôle par la Commune
La loi prévoit que toute association ayant reçu une subvention peut être
soumise au contrôle des délégués de la collectivité (élus ou agent territorial
par délégation) qui l’a accordée. Dans ce cadre, les représentants de la
Commune peuvent demander toute pièce justifiant de l’utilisation des
subventions.
Le contrôle par le Juge administratif
Le contrôle des associations subventionnées est également exercé par le juge
administratif qui, lorsqu’il est saisi, vérifie la légalité des actions aidées. Le
juge veille ainsi à ce que l’attribution des subventions ne soit pas contraire aux
grands principes du droit comme le principe de laïcité, le respect des libertés
publiques…
Le contrôle par la Chambre régionale des comptes
Les Chambres régionales des comptes ont quant à elles la possibilité
d’examiner la gestion des associations bénéficiaires d’aides publiques.
CRITERES DE SELECTIONS RETENUS PAR LA MUNICIPALITE
Production du numéro de SIRET.
Dossier complet à date du vote des subventions par le Conseil municipal,
comprenant notamment l’ensemble des éléments financiers conformément
à la règlementation.
Intérêt local : priorité donnée aux associations locales qui ont des projets
sur le territoire, ou aux associations extérieures qui ont une action sur la
Commune.
Pour les nouvelles associations (création ou première demande) : base
forfaitaire de 80 €, justifiée :
- Absence d’antériorité de demande, ou présentation du journal
officiel attestant de sa création.
- Siège social sur la Commune
- Intérêt local
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu la note de synthèse adressées aux membres du Conseil municipal à l’appui
de leur convocation,
Vu l’avis de la Commission municipale Urbanisme – Agriculture – Travaux en
date du 20 janvier 2016.
Conformément à l’article L.2131-11 du Code Général des Collectivité
Territoriales, les conseillers municipaux exerçant des responsabilités dans une
association susceptible de percevoir une subvention communale, n’ont pris
part, ni au débat ni au vote concernant l’attribution de cette subvention.
Le Conseil Municipal,
DECIDE d’allouer une subvention de démarrage d’un montant forfaitaire de
80 € à toute association blinoise à l’occasion de sa création ou d’une première
demande, selon les conditions visées par la présente délibération.
DECIDE d’allouer aux associations blinoises, les subventions suivantes au
titre de l’année 2016 :
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
19
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions
Total
2016
Sté de Chasse (St Omer) 150,00 € 150,00 €
CAUE - cotisation 320,00 € 320,00 €
TOTAL 150,00 € - € - € - € 320,00 € 470,00 €
Urbanisme, Agriculture et Travaux
VOTE : 23 pour – 6 abstentions.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
M. le Maire informe le Conseil municipal de la fin de partenariat avec l’ADICLA.
ADICLA est une association départementale de formation des élus locaux de Loire-
Atlantique. Il se trouve qu’aujourd’hui l’AMF fait aussi des formations pour un
montant d’inscription beaucoup plus intéressant.
Mme Rita SCHLADT intervient au sujet de la Maison des adolescents qui ne semble
pas avoir de subventions. Est-ce définitif sur 2016 ?
Mme Marie-France GUIHO : « 26 jeunes suivis en 2015, dont 10 de la CCRB et 16
hors CCRB. Nous avons demandé combien de jeunes de Blain sur les 10 ont été suivis
et la MDA n’a pas donné de réponse. La demande de subvention était quand même de
2.340,30 euros pour un nombre incertain de Blinois. »
Mme Rita SCHLADT : « Il y a des établissements scolaires sur Blain et c’est
indispensable d’avoir cette maison et je pense qu’il faut la soutenir. Le travail qui y est
fait est très important, également auprès des jeunes de Blain. C’est un réel besoin. »
M. le Maire : « J’ajoute qu’il y a une mise à disposition des locaux. Cette
problématique de centralité de Blain, on la retrouve avec bon nombre d’associations.
De fait, le périmètre peut concerner une vingtaine de Communes. Or, ces Communes
ne participent pas au fonctionnement de ces associations. C’est le cas du Centre Henry
Wallon, 26 Communes concernées, un courrier a été adressé à toutes les Communes, on
a eu une fin de non-recevoir. La question se pose du portage financier par la Ville de
Blain uniquement.
Concernant la MDA, il y a une réflexion en cours au niveau intercommunal, le
financement pourrait à terme, devenir communautaire. »
Mme Laurence PELÉ-LEGOUX : « Certes des chiffres manquaient sur quelques jeunes
accueillis, est-ce si important ? Je pense que c’est principalement une question de
volonté. Je note que des jeunes vivent ici, des jeunes vivent en Europe, je pense qu’il
faut aider les jeunes qui vivent ici et prendre les moyens avec les autres Communes le
cas échéant, et de faire en sorte que cette association puisse travailler. Cela reste avant
tout une question de choix politique. L’image de Blain ne sera pas ternie si la MDA a
les moyens de fonctionner sur le territoire. »
M. le Maire : « La réflexion peut s’élargir au niveau de TEMPO et de la CCRB eu
égard au territoire concerné. »
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
20
DELIBERATION N° 2016/02/09
OBJET : Subventions 2016 : Inter Commissions municipales : Centre Ville-
Commerce – Artisanat – Professions Libérales / Développement Durable /
Sécurité- Prévention- Handicap – Mobilité / Finances –Ressources
Humaines – Intercommunalité –Economie / Cadre de Vie/ Vie sociale –
Santé.
Les engagements pris par une Commune dans le cadre du versement des
subventions aux associations, doivent reposer sur des critères permettant de
conforter le contribuable sur la sincérité des dépenses. Les dossiers de
subvention remis sont considérés de fait comme de bonne foi et cette
déclaration engage l’association sur le but et l’objet de la dépense.
CADRE REGLEMENTAIRE D’ATTRIBUTION DES SUBVENTIONS
Les conditions d’attribution des subventions Le versement d’une subvention à une association est soumis à un certain
nombre de conditions d’attribution et d’utilisation. En tout état de cause, la
subvention doit être sollicitée et les collectivités publiques disposent d’un
pouvoir discrétionnaire pour l’accorder ou la refuser.
Toute association légalement déclarée, exerçant une activité d’intérêt général,
peut, en principe, demander des subventions, mais elle doit répondre à
certaines conditions : association déclarée et attestant de sa capacité juridique
(récépissé de déclaration et extrait du Journal officiel) comme le stipule la loi
n° 87.571 du 23/07/1987. L’établissement d’une convention peut être rendu
obligatoire soit du fait de l’activité subventionnée, soit en raison de
l’importance de l’aide versée, soit pour éviter la gestion de fait de deniers
publics.
Les conditions d’utilisation des subventions Enfin, l’article L.1611-4 du Code Général des Collectivités Territoriales
stipule que « toute association, œuvre ou entreprise ayant reçu une subvention
peut être soumise au contrôle des délégués de la collectivité qui l'a accordée.
Tous groupements, associations, œuvres ou entreprises privées qui ont reçu
dans l'année en cours une ou plusieurs subventions sont tenus de fournir à
l'autorité qui a mandaté la subvention une copie certifiée de leurs budgets et de
leurs comptes de l'exercice écoulé, ainsi que tous documents faisant connaître
les résultats de leur activité.
Il est interdit à tout groupement ou à toute association, œuvre ou entreprise
ayant reçu une subvention d'en employer tout ou partie en subventions à
d'autres associations, œuvres ou entreprises, sauf lorsque cela est
expressément prévu dans la convention conclue entre la collectivité territoriale
et l'organisme subventionné ».
Le contrôle
Le contrôle par la Commune
La loi prévoit que toute association ayant reçu une subvention peut être
soumise au contrôle des délégués de la collectivité (élus ou agent territorial
par délégation) qui l’a accordée. Dans ce cadre, les représentants de la
Commune peuvent demander toute pièce justifiant de l’utilisation des
subventions.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
21
Le contrôle par le Juge administratif
Le contrôle des associations subventionnées est également exercé par le Juge
administratif qui, lorsqu’il est saisi, vérifie la légalité des actions aidées. Le
Juge veille ainsi à ce que l’attribution des subventions ne soit pas contraire
aux grands principes du droit comme le principe de laïcité, le respect des
libertés publiques…
Le contrôle par la Chambre régionale des comptes
Les Chambres régionales des comptes ont quant à elles la possibilité
d’examiner la gestion des associations bénéficiaires d’aides publiques.
CRITERES DE SELECTIONS RETENUS PAR LA MUNICIPALITE
Production du numéro de SIRET.
Dossier complet à date du vote des subventions par le Conseil municipal,
comprenant notamment l’ensemble des éléments financiers conformément
à la règlementation.
Intérêt local : priorité donnée aux associations locales qui ont des projets
sur le territoire, ou aux associations extérieures qui ont une action sur la
Commune.
Pour les nouvelles associations (création ou première demande) : base
forfaitaire de 80 €, justifiée :
- Absence d’antériorité de demande, ou présentation du journal
officiel attestant de sa création.
- Siège social sur la Commune
- Intérêt local
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales,
Vu la note de synthèse adressées aux membres du Conseil municipal à l’appui
de leur convocation,
Vu l’avis de l’Inter commission en date du 18 janvier 2016,
Vu l’avis de la Commission Vie sociale – Santé du 16 Février 2016,
Conformément à l’article L.2131-11 du Code Général des Collectivité
Territoriales, les conseillers municipaux exerçant des responsabilités dans une
association susceptible de percevoir une subvention communale, n’ont pris
part, ni au débat ni au vote concernant l’attribution de cette subvention.
Le Conseil Municipal,
DECIDE d’allouer une subvention de démarrage d’un montant forfaitaire de
80 € à toute association blinoise à l’occasion de sa création ou d’une première
demande, selon les conditions visées par la présente délibération.
DECIDE d’allouer aux associations blinoises, les subventions suivantes au
titre de l’année 2016 :
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions
Total
2016
Le Ministère des Bons Cœurs
et des Bons Gens1 600,00 € 1 600,00 €
TOTAL - € - € 1 600,00 € - € - € 1 600,00 €
Centre Ville Commerce -
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
22
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions
Total
2016
CPN - Chemins d'avenir 60,00 € 60,00 €
TOTAL 60,00 € - € - € - € - € 60,00 €
Développement durable
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions
Total
2016
Adapei 44 600,00 € 600,00 €
Amicale des Sapeurs
Pompiers2 200,00 € 2 200,00 €
Association des Paralysés de
France - APF600,00 € 600,00 €
TOTAL 2 800,00 € 600,00 € - € - € - € 3 400,00 €
Sécurité, Prévention , Handicap et Mobilité
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions
Total
2016
Amicale personnel Mairie et
CCRB1 516,00 € 1 516,00 €
ADICLA - € - €
AMF 44 - AFDM 44 2 496,92 € 2 496,92 €
TOTAL 1 516,00 € - € - € - € 2 496,92 € 4 012,92 €
Finances Ressources Humaines
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions
Total
2016
ADIL (cotisation) 2 401,22 € 2 401,22 €
Service Conseil Logement -
SCL- € - €
TOTAL - € - € - € - € 2 401,22 € 2 401,22 €
Cadre de Vie
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions
Total
2016
AVILOIRE 100,00 € 250,00 € 350,00 €
AVF 450,00 € 125,00 € 575,00 €
Club des Emilianais 200,00 € 200,00 €
Alcool assistance 44 360,00 € 360,00 €
Vie Libre - € - €
La Main ouverte - € - €
La bulle d'air 250,00 € 250,00 €
Maison des adolescents - € - €
TOTAL 1 110,00 625,00 0,00 0,00 0,00 1 735,00
Vie Sociale et Santé
VOTE : 23 pour – 6 abstentions.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
23
DELIBERATION N° 2016/02/10
OBJET : Subventions 2016 : Commission municipale Éducation – Enfance –
Jeunesse - Formation.
Les engagements pris par une Commune dans le cadre du versement des
subventions aux associations, doivent reposer sur des critères permettant de
conforter le contribuable sur la sincérité des dépenses. Les dossiers de
subvention remis sont considérés de fait comme de bonne foi et cette
déclaration engage l’association sur le but et l’objet de la dépense.
CADRE REGLEMENTAIRE D’ATTRIBUTION DES SUBVENTIONS
Les conditions d’attribution des subventions Le versement d’une subvention à une association est soumis à un certain
nombre de conditions d’attribution et d’utilisation. En tout état de cause, la
subvention doit être sollicitée et les collectivités publiques disposent d’un
pouvoir discrétionnaire pour l’accorder ou la refuser. Toute association
légalement déclarée, exerçant une activité d’intérêt général, peut, en principe,
demander des subventions, mais elle doit répondre à certaines conditions :
association déclarée et attestant de sa capacité juridique (récépissé de
déclaration et extrait du Journal officiel) comme le stipule la loi n° 87.571 du
23/07/1987. L’établissement d’une convention peut être rendu obligatoire soit
du fait de l’activité subventionnée, soit en raison de l’importance de l’aide
versée, soit pour éviter la gestion de fait de deniers publics.
Les conditions d’utilisation des subventions
Enfin, l’article L.1611-4 du Code Général des Collectivités Territoriales
stipule que « toute association, œuvre ou entreprise ayant reçu une subvention
peut être soumise au contrôle des délégués de la collectivité qui l'a accordée.
Tous groupements, associations, œuvres ou entreprises privées qui ont reçu
dans l'année en cours une ou plusieurs subventions sont tenus de fournir à
l'autorité qui a mandaté la subvention une copie certifiée de leurs budgets et de
leurs comptes de l'exercice écoulé, ainsi que tous documents faisant connaître
les résultats de leur activité.
Il est interdit à tout groupement ou à toute association, œuvre ou entreprise
ayant reçu une subvention d'en employer tout ou partie en subventions à
d'autres associations, œuvres ou entreprises, sauf lorsque cela est
expressément prévu dans la convention conclue entre la collectivité territoriale
et l'organisme subventionné ».
Le contrôle
Le contrôle par la Commune
La loi prévoit que toute association ayant reçu une subvention peut être
soumise au contrôle des délégués de la collectivité (élus ou agent territorial
par délégation) qui l’a accordée. Dans ce cadre, les représentants de la
Commune peuvent demander toute pièce justifiant de l’utilisation des
subventions.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
24
Le contrôle par le Juge administratif
Le contrôle des associations subventionnées est également exercé par le Juge
administratif qui, lorsqu’il est saisi, vérifie la légalité des actions aidées. Le
Juge veille ainsi à ce que l’attribution des subventions ne soit pas contraire
aux grands principes du droit comme le principe de laïcité, le respect des
libertés publiques…
Le contrôle par la Chambre régionale des comptes
Les Chambres régionales des comptes ont quant à elles la possibilité
d’examiner la gestion des associations bénéficiaires d’aides publiques.
CRITERES DE SELECTIONS RETENUS PAR LA MUNICIPALITE
Production du numéro de SIRET.
Dossier complet à date du vote des subventions par le Conseil municipal,
comprenant notamment l’ensemble des éléments financiers conformément
à la règlementation.
Intérêt local : priorité donnée aux associations locales qui ont des projets
sur le territoire, ou aux associations extérieures qui ont une action sur la
Commune.
Pour les nouvelles associations (création ou première demande) : base
forfaitaire de 80 €, justifiée :
- Absence d’antériorité de demande, ou présentation du journal
officiel attestant de sa création.
- Siège social sur la Commune
- Intérêt local
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu la note de synthèse adressées aux membres du Conseil municipal à l’appui
de leur convocation.
Vu l’avis la Commission municipale Éducation – Enfance – Jeunesse –
Formation en date 18 janvier 2016,
Conformément à l’article L.2131-11 du Code Général des Collectivité
Territoriales, les conseillers municipaux exerçant des responsabilités dans une
association susceptible de percevoir une subvention communale, n’ont pris
part, ni au débat ni au vote concernant l’attribution de cette subvention.
Le Conseil Municipal,
DECIDE d’allouer une subvention de démarrage d’un montant forfaitaire de
80 € à toute association blinoise à l’occasion de sa création ou d’une première
demande, selon les conditions visées par la présente délibération.
DECIDE d’allouer aux associations blinoises, les subventions suivantes au
titre de l’année 2016 :
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
25
Nom de l'association Fonct Excep Salaires ConventionCotisations
Adhésions
Total
2016
Anatole France - Amicale
Laïque de Blain600,00 € 600,00 €
CEV 54 000,00 € 26 000,00 € 80 000,00 €
Saint omer ecole 500,00 € 500,00 €
Musique et Danse - Adhésion 15,24 € 15,24 €
Musique et Danse - Cotisation 12 596,76 € 12 596,76 €
TOTAL 1 100,00 € - € 54 000,00 € 26 000,00 € 12 612,00 € 93 712,00 €
Education Enfance Jeunesse et Formation
VOTE : 23 pour – 6 abstentions.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
5. AUTORISATION DE PROGRAMME ET CREDIT DE PAIEMENT
– ECOLE DU GRAND MOULIN :
Rapporteur : Monsieur le Maire
Les dotations budgétaires affectées aux dépenses d’investissement peuvent comprendre
des autorisations de programme et des crédits de paiement (AP/CP) (art. L. 2311-3-I,
CGCT).
Les autorisations de programme (AP) correspondent à des dépenses à caractère
pluriannuel se rapportant à une immobilisation ou à un ensemble d’immobilisations
déterminées, acquises ou réalisées par la commune. Cette procédure formalise et visualise
une dépense dont le paiement s’étendra sur plusieurs exercices sans en faire supporter
l’intégralité à son budget en risquant de devoir mobiliser ou prévoir la mobilisation
d’emprunts par anticipation. Les AP sont définies comme la limite supérieure des
dépenses pouvant être engagées pour financer les investissements. Elles demeurent
valables sans limitation de durée jusqu’à ce qu’il soit procédé à leur annulation. Elles
peuvent être révisées en volume global mais aussi au niveau des crédits de paiement pour
coller plus étroitement à la réalité de l’avancement du projet et des dépenses y afférentes.
Les crédits de paiement (CP) correspondent à la limite supérieure des dépenses pouvant
être mandatées durant l’exercice, pour la couverture des engagements contractés dans le
cadre des AP correspondantes.
L’équilibre budgétaire de la section d’investissement s’apprécie en tenant compte des
seuls crédits de paiement.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
26
DELIBERATION N° 2016/02/11
Objet : Construction du futur Groupe scolaire du Grand Moulin – vote d’une
Autorisation de Programme / Crédits de paiement.
Par délibération du 30 janvier 2014, le Conseil Municipal a approuvé
l’ouverture d’une autorisation de programme/crédit de paiement pour les
travaux de construction du futur groupe scolaire, conformément aux termes ci-
dessous :
« Le budget d’investissement de la Ville de Blain peut intégrer des opérations
d’investissement qui ont un impact financier pluriannuel. Une gestion de ces
opérations dans un cadre budgétaire pluriannuel AP/CP est une évolution
normale et adaptée en complément des opérations annuelles.
La procédure d’AP/CP vise à planifier la mise en œuvre d’investissements sur
le plan financier mais aussi organisationnel et logistique. Elle favorise la
gestion pluriannuelle des investissements et permet d’améliorer la visibilité
financière des engagements financiers à moyen terme.
Le vote de l’autorisation de programme est accompagné d’une répartition
prévisionnelle par exercice des crédits de paiement et d’une évaluation des
ressources envisagées pour y faire face. Chaque année, le projet de budget est
accompagné d’une situation au 1er Janvier de l’exercice considéré des
autorisations de programme votées antérieurement et de l’état de
consommation des crédits correspondants. De même, au moment du vote du
compte administratif, une annexe supplémentaire comporte la situation,
arrêtée au 31 Décembre de l’année, des autorisations de programme et de
leurs crédits de paiement.
Le suivi des AP/CP se fera par opérations budgétaires au sens de l’instruction
comptable M14. Les dépenses seront équilibrées par les recettes suivantes :
− Subventions,
− FCTVA à N+1,
− Autofinancement,
− Emprunt. »
Il convient de modifier par délibération du Conseil Municipal, l’autorisation
de programme/crédits de paiement pour les travaux de construction du futur
Groupe scolaire du Grand Moulin, opération ayant un caractère pluriannuel.
En effet, le montant de l’opération globale a été affiné pour s’élever à
4 329 850 €.
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu la délibération du 30 janvier 2014
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers à l’appui de leur
convocation.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
27
Sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil Municipal,
DECIDE de modifier l’autorisation de programme / crédits de paiement dans
le cadre des travaux de construction du futur Groupe scolaire du Grand
Moulin dans les conditions évoquées ci-dessous.
Programme d'investissement - Groupe scolaire Grand Moulin
Imputation : 2313-115-21
Montant de l'Autorisation de Programme : 4 329 850 €
Dépenses - CP 2014 2015 2016 2017 2018 TOTAL
TOTAL 82 000 165 000 2 707 850 1 375 000 4 329 850
Maîtrise d'œuvre/études 82 000 165 000 177 850 91 000 515 850
Travaux 2 530 000 1 170 000 3 700 000
Equipements 114 000 114 000
Recettes 2014 2015 2016 2017 2018 TOTAL
TOTAL 82 000 165 000 2 707 850 1 375 000 0 4 329 850
FDS - CG 44 400 000 200 000 600 000
DETR - Etat 122 500 122 500
FCTVA - Etat 12 924 26 006 426 784 216 714 682 428
Réserve parlementaire - Etat 20 000 20 000
Autofinancement 82 000 152 076 389 344 498 216 -216 714 904 922
Emprunt 1 750 000 250 000 2 000 000
AUTORISATION DE PROGRAMME
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
6. VOTE DES BUDGETS PRIMITIFS 2016 :
Rapporteur : Monsieur le Maire
La loi du 6 Février 1992 relative à l’Administration Territoriale de la République a étendu
aux Communes de 3 500 habitants et plus l’obligation d’organiser un débat sur les
orientations générales du budget dans un délai de deux mois précédant l’examen de celui-
ci.
Le Débat d’Orientation Budgétaire a ainsi été débattu à l’occasion de la séance du Conseil
Municipal qui s’est tenue le 28 janvier 2016.
Lors du Conseil interne du 4 février 2016 les projets de Budgets Primitifs 2016 et de
Comptes Administratifs 2015 ont été présentés et discutés.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
28
M. Thierry PLANTARD : Le projet de Budget primitif a été présenté en Conseil interne du
4 Février, on y voit les projets conséquents qui s’annoncent, l’École du Grand moulin
notamment. On voit aussi arriver les études sur le complexe sportif, culturel et festif.
Quand on voit l’évolution des résultats, l’évolution des dotations à la baisse, on se pose la
question de savoir si la Commune de Blain est capable de faire face à ces investissements,
notamment le complexe. On manque de lisibilité quant à l’évolution de la programmation
sur les cinq années à venir et comment ce budget s’inscrit dans les projets à venir. Nous
sommes dubitatifs, non pas sur le budget de l’année, mais sur les projets à venir et sur
l’ensemble des projets sur les cinq prochaines années. »
M. le Maire : « Je vous invite à revenir sur un précédent Conseil municipal où vous teniez
le discours inverse, à savoir que la Commune de Blain n’investissait pas assez ! »
M. Jean-Luc PLUMELET : « C’est un choix politique, il s’agit de votre politique. Nous
avons toujours dit qu’on ne peut pas « raser gratis ». Donc, ne pas faire de fiscalité pose
des questions, Ce n’est pas facile d’en faire, mais à condition de l’expliquer, il faut se
donner les moyens de sa politique. »
M. Thierry PLANTARD : « On a toujours mis en doute la capacité de la Commune à faire
face à tous les investissements programmés. Lors du dernier Conseil municipal, on a eu un
élément de réponse puisque fin 2014, on avait une programmation de 22 millions en
investissement et lors du dernier Conseil interne, on était descendu à 17 millions. On
s’interroge toujours, compte tenu de la baisse progressive des excédents, sur la capacité de
tenir tous ces engagements. »
M. le Maire : « C’est entendu comme tel. Nous avons une gestion quotidienne qui nous
permet d’envisager l’avenir avec sérénité, à condition que notre principal financier ne se
désengage pas. Nous n’avons pas toutes les données financières en main. Donc à minima,
nous allons travailler sur une programmation du complexe sportif, culturel et festif et
dimensionner le projet dans nos capacités raisonnées. »
Mme Laurence PELÉ-LEGOUX : « En recette d’investissement, il n’y a rien sur la ligne
21 au Budget primitif 2016 ? Ce sont les immobilisations corporelles. »
M. le Maire : « Ce sont les cessions d’actifs, on ne les inscrit pas au Budget primitif, elles
apparaissent au Compte administratif. »
Mme Laurence PELÉ-LEGOUX : « En opération d’investissement, l’aménagement
« Aires de jeux » : 31.000 euros au compte administratif. Il s’agit de quel aménagement ? »
M. le Maire : « Il s’agit de la réinstallation de l’aire de jeux de St-Emilien, déplacée en
2015. »
DELIBERATION N° 2016/02/12
OBJET : Vote du Budget Primitif 2016 : Budget général.
Le budget primitif, acte de prévision et d’autorisation des dépenses et recettes
de l’année, est voté avant le 31 Mars de l’année en cours puis transmis au
contrôle de légalité.
VU les articles L.2311-11 et suivants du Code Général des Collectivités
Territoriales.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
29
VU les instructions comptables M 14 et M49.
VU le débat d'orientation budgétaire du 28 janvier 2016.
VU le Conseil Interne du 4 février 2016.
VU les projets de budgets primitifs 2016, adressés aux conseillers municipaux
lors du conseil interne du 4 février 2016.
VU la note explicative de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers
municipaux à l’appui de leur convocation.
Après avoir entendu et débattu les budgets primitifs de l’ordonnateur pour
l’exercice 2016, et après en avoir délibéré, le Conseil Municipal :
ADOPTE les budgets primitifs, après une présentation et un vote par
chapitre budgétaire :
BUDGET PRINCIPAL
Budget Principal – Section de fonctionnement – Recettes
ARTICLE
M 14 INTITULE COMPTES M14 BP 16
70 PRODUITS DES SERVICES 326 300,00
ET VENTES
73 IMPOTS ET TAXES 4 814 524,84
74 DOTATIONS, SUBVENTIONS 3 030 100,00
ET PARTICIPATIONS
75 AUTRES PRODUITS 113 000,00
DE GESTION COURANTE
76 PRODUITS 7 500,00
FINANCIERS
77 PRODUITS 6 000,00
EXCEPTIONNELS
013 ATTENUATION 55 000,00
DE CHARGES
042 OPERATIONS D'ORDRE 6 500,00
002 RESULTAT DE 283 000,00
FONCTIONNEMENT REPORTE
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 8 635 424,84
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE 6 500,00
TOTAL DES RECETTES DE FONCTIONNEMENT 8 641 924,84
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
30
Budget Principal – Section de fonctionnement – Dépenses
ARTICLE
M 14 INTITULE COMPTES M14 BP 16
011 CHARGES A CARACTERE 1 794 760,00
GENERAL
012 CHARGES DE PERSONNEL 4 534 650,00
ET FRAIS ASSIMILES
65 AUTRES CHARGES 967 010,00
DE GESTION COURANTE
66 CHARGES FINANCIERES 231 500,00
67 CHARGES EXCEPTIONNELLES 4 300,00
014 ATTENUATION DE PRODUITS 5 000,00
042 OPERATIONS D'ORDRE 506 120,00
022 DEPENSES IMPREVUES 60 000,00
023 VIREMENT A LA SECTION 538 584,84
D'INVESTISSEMENT
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 7 597 220,00
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE 1 044 704,84
TOTAL DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT 8 641 924,84
Budget Principal – Section d’investissement- Recettes ARTICLE
M 14 INTITULES COMPTES M14 BP 16
10 DOTATIONS, FONDS DIVERS - 1 521 032,02
ET RESERVES
13 SUBVENTIONS 282 100,00 114 744,00
D'INVESTISSEMENT
16 EMPRUNTS ET DETTES - 3 139 296,03
ASSIMILES
19 DIFFERENCES SUR -
REALISATION
20 IMMOBILISATIONS
INCORPORELLES
21 IMMOBILISATIONS - -
CORPORELLES
23 IMMOBILISATIONS - -
EN-COURS
28 AMORTISSEMENTS 506 120,00
DES IMMOBILISATIONS
001 EXCEDENT D'INVEST. 395 136,04
REPORTE
024 PRODUITS DES CESSIONS 5 000,00
D'IMMOBILISATIONS
021 PRELEVEMENT 538 584,84
SECTION FONCTIONNEMENT
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 282 100,00 5 175 208,09
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE - 1 044 704,84
TOTAL DES RECETTES D'INVESTISSEMENT 282 100,00 6 219 912,93
6 502 012,93
Restes
à réaliser
au 31/12
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
31
Budget Principal – Section d’investissement- Dépenses
ARTICLE
M 14 INTITULES COMPTES M14 BP 16
001 DEFICIT D'INVEST.REPORTE
020 DEPENSES IMPREVUES 50 000,00
16 EMPRUNTS ET DETTES - 1 011 000,00
ASSIMILEES
19 DIFFERENCES SUR
REALISATION
20 IMMOBILISATIONS 3 170,40 67 000,00
INCORPORELLES
204 SUBVENTIONS D'EQUIP. VERSEES 14 411,11 50 000,00
21 IMMOBILISATIONS 245 872,53 338 850,00
CORPORELLES
23 IMMOBILISATIONS 701 908,89 3 998 200,00
EN COURS
27 AUTRES IMMOBILISATIONS - -
FINANCIERES
13 SUBVENTIONS - -
D'INVESTISSEMENT
040 OPERATIONS D'ORDRE - 21 600,00
DE TRANSFERT
TOTAL DES DEPENSES D'INVESTISSEMENT 965 362,93 5 536 650,00
6 502 012,93
Restes
à réaliser
au 31/12
VOTE : 23 pour – 6 abstentions.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
DELIBERATION N° 2016/02/13
OBJET : Vote du Budget Primitif 2016 : Budget Assainissement.
BUDGET ANNEXE ASSAINISSEMENT
Budget Assainissement – Section de fonctionnement – Recettes
ARTICLE
M 49 INTITULE COMPTES M49 BP 16
70 PRODUITS DES SERVICES 704 500,00
ET VENTES
74 DOTATIONS, SUBVENTIONS 0,00
ET PARTICIPATIONS
77 PRODUITS 200,00
EXCEPTIONNELS
042 OPERATIONS D'ORDRE DE 26 300,83
TRANSFERT
OO2 RESULTAT DE 0,00
FONCTIONNEMENT REPORTE
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 704 700,00
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE 26 300,83
TOTAL DES RECETTES DE FONCTIONNEMENT 731 000,83
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
32
Budget Assainissement – Section de fonctionnement – Dépenses
ARTICLE
M 49 INTITULE COMPTES M49 BP 16
011 CHARGES A CARACTERE 220 350,00
GENERAL
012 CHARGES DE PERSONNEL 128 008,00
ET FRAIS ASSIMILES
65 AUTRES CHARGES 0,00
DE GESTION COURANTE
66 CHARGES FINANCIERES 112 000,00
67 CHARGES EXCEPTIONNELLES 1 000,00
68 DOTATIONS AMORT ET PROVISIONS 228 820,00
022 DEPENSES IMPREVUES 15 000,00
023 VIREMENT A LA SECTION 25 822,83
D'INVESTISSEMENT
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 476 358,00
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE 254 642,83
TOTAL DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT 731 000,83
Budget Assainissement – Section d’investissement – Recettes
ARTICLE
M 49 INTITULE COMPTES M49 BP 16
001 EXCEDENT D'INVESTISSEMENT 75 379,36
REPORTE
10 DOTATIONS FONDS DIVERS 97 194,02
ET RESERVES
13 SUBVENTIONS 20 140,58
D'INVESTISSEMENT
16 EMPRUNTS ET DETTES 247 327,91
ASSIMILES
21 IMMOBILISATIONS CORPORELLES
23 IMMOBILISATIONS EN COURS
28 AMORTISSEMENT DES 228 820,00
IMMOBILISATIONS
021 PRELEVEMENT 25 822,83
SECTION FONCTIONNEMENT
040 OPERATIONS PATRIMONIALES 0,00
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 440 041,87
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE 254 642,83
TOTAL DES RECETTES D'INVESTISSEMENT 694 684,70
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
33
Budget Assainissement – Section d’investissement – Dépenses
ARTICLE
M 49 INTITULE COMPTES M49 BP 16
001 DEFICIT D'INVESTISSEMENT 0,00
REPORTE
020 DEPENSES IMPREVUES 40 000,00
13 SUBVENTIONS D'INVESTISSEMENT 0,00 26 300,83
TRANSFEREES
16 EMPRUNTS ET DETTES ASSIMILEES 0,00 133 500,00
20 IMMOBILISATIONS INCORPORELLES 39 258,00 0,00
21 IMMOBILISATIONS CORPORELLES 3 208,56 71 000,00
23 IMMOBILISATIONS EN COURS 141 417,31 240 000,00
040 OPERATIONS D'ORDRE
DE TRANSFERT
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 183 883,87 484 500,00
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE 0,00 26 300,83
TOTAL DES DEPENSES D'INVESTISSEMENT 183 883,87 510 800,83
Restes
à réaliser
au 31/12
694 684,70
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
DELIBERATION N° 2016/02/14
OBJET : Vote du Budget Primitif 2016 : Budget Port fluvial.
BUDGET ANNEXE DU PORT
Budget Port Fluvial – Section de fonctionnement – Recettes
COMPTE
NATURE INTITULES COMPTES M14 BP 16
M 14
70 VENTES ET PRESTAT° SERVICES 9 724,60
75 AUTRES PRODUITS DE GESTION COURANTE 0,00
76 PRODUITS FINANCIERS 0,00
79 TRANSFERTS DE CHARGES 0,00
002 EXCEDENT REPORTE 463,06
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 10 187,66
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE
TOTAL DES RECETTES DE FONCTIONNEMENT 10 187,66
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
34
Budget Port Fluvial – Section de fonctionnement – Dépenses
COMPTE
NATURE INTITULES COMPTES M14 BP 16
M 14
011 ACHATS ET CHARGES EXTERNES 6 250,00
65 SUBVENTIONS ET PARTICIPATIONS 0,00
66 CHARGES FINANCIERES 0,00
67 CHARGES EXCEPTIONNELLES 0,00
68 DOTATIONS AMORT ET PROVISIONS 3 937,66
022 DEPENSES IMPREVUES
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 6 250,00
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE 3 937,66
TOTAL DES DEPENSES DE FONCTIONNEMENT 10 187,66
Budget Port Fluvial – Section d’investissement- Recettes
COMPTE
NATURE INTITULES COMPTES M14 BP 16
M 14
001 EXCEDENT REPORTE 10 732,42
10 DOTATIONS, FONDS DIVERS ET RESERVES 0,00
28 AMORTISSEMENT DES IMMOBILISATIONS 3 937,66
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 10 732,42
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE 3 937,66
TOTAL DES RECETTES D'INVESTISSEMENT 14 670,08
Budget Port Fluvial – Section d’investissement- Dépenses
COMPTE
NATURE INTITULES COMPTES M14 BP 16
M 14
001 DEFICIT REPORTE
020 DEPENSES IMPREVUES
16 EMPRUNTS 0,00
20 IMMOBILISATIONS INCORPORELLES 0,00
21 IMMOBILISATIONS CORPORELLES 14 670,08
24 IMMOBILISATIONS AFFECTEES 0,00
TOTAL DES OPERATIONS REELLES 14 670,08
TOTAL DES OPERATIONS D'ORDRE
TOTAL DES DEPENSES D'INVESTISSEMENT 14 670,08
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
35
7. DEMANDE DE SUBVENTION AU TITRE DU PRODUIT DES
AMENDES DE POLICE 2015
Rapporteur : Monsieur le Maire
Le produit des amendes de police relatives à la circulation routière fait l'objet d'un
prélèvement sur les recettes de l'État au profit des collectivités locales.
Les sommes mises en répartition à ce titre et versées annuellement aux collectivités locales
correspondent au produit effectivement recouvré au cours de chaque exercice.
La répartition est proportionnelle au nombre de contraventions à la police de la circulation
constatées l'année précédente sur le territoire de chacune des collectivités bénéficiaires.
Les sommes correspondant aux Communes et groupements de Communes de moins de 10
000 habitants sont réparties par les Conseils départementaux qui établissent la liste des
bénéficiaires et fixent le montant des attributions selon l'urgence et le coût des travaux à
réaliser.
Aussi, chaque année, un recensement des projets éligibles est effectué au sein de chaque
Commune.
Afin de préparer la répartition de cette dotation, le Conseil Départemental interroge les
Communes sur les opérations qu’elles peuvent mener et qui contribuent à « l’amélioration
des transports en commun et des conditions générales de la circulation et de la sécurité
routière», énumérées au décret n°2009-115 du 30 janvier 2009.
M. le Maire précise qu’une ligne a été ajoutée pour intégrer la mise en place d’une résine
de couleur sur le passage piétons dont le montant est estimé à 1.975 euros H.T. Ce montant
s’ajoute au montant de l’assiette subventionnable qui est portée à 30.303,40 euros H.T.
Mme Laurence PELÉ-LEGOUX : « Les vélos peuvent emprunter ce passage sans poser le
pied à terre ? Ce n’est pas un enrobé particulier ? »
M. Philippe CAILLON : « Il s’agit de mettre en évidence le passage dangereux pour les
piétons et de signaler aux voitures qu’il y a le feu et qu’il y a danger. »
DELIBERATION N° 2016/02/15
OBJET : Demande de subvention au titre du produit des amendes de police
2015
La RN 171 qui traverse Blain est un axe important entre Saint-Nazaire et Laval
(12.700 véhicules/jour dont 17% de poids lourds – chiffres AURAN d’après les
comptages 2012).
La Commune de Blain est soucieuse de la sécurité, notamment de celle des
piétons. Dans le cadre de la liaison douce entre le Centre-ville et le port, la
municipalité souhaiterait améliorer la traversée du Boulevard de la Résistance
(RN171).
La Direction Interdépartementale des Routes Ouest (DIRO) a effectué à
l’automne 2015 une réfection des enrobés à cet endroit. A notre demande, l’ilot
central situé au niveau du passage piéton a été retiré et la largeur de la
chaussée a été réduite. En effet, cet aménagement était accidentogène pour les
véhicules (plusieurs accidents par an) et l’était pour les piétons.
Le projet consiste à sécuriser au maximum la traversée des piétons, sans pour
autant perturber le flux important de véhicules.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
36
La Commune de Blain opterait pour des feux avec caméras de détection.
L’objectif est double :
Les automobilistes qui respectent la vitesse prescrite (50 km/h) ne
marquent pas d’arrêt car le feu reste au vert. En revanche, ceux qui
roulent à une vitesse excessive, provoque le passage du feu au rouge.
En présence d’un piéton, sa traversée devient possible sur simple appel
(bouton poussoir).
Coût de l’opération :
Désignation Qté Montant (HT) Montant (TTC)
Ensemble de deux tricolores avec boucles virtuelles
(Traficam)1 22 708,40 € 27 250,00 €
Pose et raccordement des feux 1 1 700,00 € 2 000,00 €
Réalisation de jardinières et reprise d'enrobés (VRD) 45m² 3 500,00 € 4 000,00 €
Plantations diverses 1 420,00 € 500,00 €
Résine de couleur pour distinguer le passage piéton
(4m en amont et en aval du passage), y compris
passage piéton en résine blanche
79m² 1 975,00 € 2 375,00 €
30 303,40 € 36 125,00 €TOTAL
VU le Code Général des Collectivités Territoriales
VU le budget primitif 2016 approuvé par délibération du 25 février 2016.
VU la note explicative de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers
municipaux à l’appui de leur convocation.
Sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil Municipal, après en avoir
délibéré :
APPROUVE le projet présenté dont la réalisation est prévue en 2016.
SOLLICITE le Conseil Départemental pour l'attribution d'une subvention au
titre de la répartition du produit des amendes de police 2015.
DONNE tous pouvoirs à Monsieur le Maire pour la réalisation de ces
opérations et pour la signature des pièces qui s'y rapportent.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 3 Mars 2016
8. SIGNATURE D’UN PROTOCOLE TRANSACTIONNEL DE
RESOLUTION DE MARCHE AVEC LA SOCIETE PROSELIS :
Rapporteur : Monsieur le Maire
A l'issue d'une procédure de publicité et de mise en concurrence, la Commune a signé le 3
juillet 2015 le marché n° 2015-005 avec la société PROSELIS afin de lui confier la
fourniture, l'installation et la maintenance de serveurs et logiciels pour les services
municipaux.
Suite à un contrôle de légalité effectué par ses services, Madame la Sous-Préfète de
Châteaubriant a indiqué, par courrier du 23 décembre 2015 qu'une erreur affectait l'analyse
des offres et, par suite, la légalité de la décision d'attribution.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
37
Elle a, en conséquence, demandé à la commune de procéder à la résolution du marché au
moyen d’un protocole transactionnel.
A cet effet, la Commune et la société PROSELIS se sont rapprochées afin de préparer la
résolution du marché et d'en régler les conséquences financières.
M. le Maire : « Les prestations exécutées ont été payées par la Commune et ne sont pas
remises en cause. Sur la poursuite du marché engagé, il reste 1.166,40 euros, qui resteront
à régler au 30 Avril 2016. C’est donc une nouvelle consultation qui va être relancée pour la
partie maintenance serveur. »
M. Jean-Luc PLUMELET : « Ne sachant pas de quelle erreur il s’agissait, nous nous
sommes rapprochés des services pour en savoir plus. Ayant déjà eu à gérer des marchés, on
a vu souvent des entreprises non retenues, mais il est très rare qu’on puisse redonner, par le
contrôle de légalité, à celle qui n’a pas été retenue, la possibilité de candidater à nouveau.
Il y a peut-être eu une petite erreur et ça peut se reproduire. C’est sans doute une erreur
technique car il s’agissait d’une erreur réglementaire, l’entreprise non retenue ne serait pas
admise pour faire la deuxième partie. »
M. le Maire : « L’entreprise non retenue n’est pas admise à faire la deuxième partie, elle
peut candidater à un nouvel appel. C’est un petit marché, nous serons pour autant très
vigilants, même si ce sont des dossiers très techniques. »
M. Jean-Luc PLUMELET : « Quand je vois l’article 7 sur la confidentialité, je me
demande si elle est bien respectée après notre délibération publique de ce soir ! »
DELIBERATION N° 2016/02/16
OBJET : Protocole de Résolution de Marché – Infrastructure Informatique
et Serveurs
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu le Code des Marchés Publics
Vu les articles 2044 et suivants, et 2052 du Code Civil,
Vu le marché signé le 03 juillet 2015 entre la commune et la société
PROSELIS,
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers à l’appui de leur
convocation.
Considérant le courrier de Mme la Sous-Préfète du 23/12/2015 demandant à la
Commune de prononcer la résolution du marché,
Considérant qu’une erreur d’analyse a affecté la légalité de la décision
d’attribution, et qu’il convient de prononcer la résolution du marché
conformément à la demande de Mme la Sous-Préfète
Considérant l’accord commun de la Commune et de la société PROSELIS de
prononcer la résolution du marché et d’en régler les conséquences financières
Le Conseil Municipal, après en avoir débattu,
APPROUVE la résolution du marché n°2015-005 du 03 juillet 2015 relatif la
fourniture, l'installation et la maintenance de serveurs et logiciels pour les
services municipaux
AUTORISE Monsieur le Maire à signer le protocole
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
38
DONNE POUVOIR à Monsieur le Maire pour faire le nécessaire en la
circonstance et à signer toute pièce administrative et comptable.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
PROTOCOLE D’ACCORD TRANSACTIONNEL
RESOLUTION DU MARCHE N° 2015-005
Entre d’une part la commune de Blain, représentée par son maire M. Jean-Michel BUF, dûment
autorisé par délibération du Conseil Municipal en date du ……………..
Ci après dénommée « la commune »,
Et d’autre part,
La société PROSELIS, titulaire du marché n° 2015-005, représentée par M. DUPONT-HUIN,
dûment habilité à conclure la présente transaction
Ci après dénommée « la société »
Ci-après désignées ensemble "les Parties"
Exposé préalable :
A l'issue d'une procédure de publicité et de mise en concurrence, la Commune de BLAIN a signé
le 3 juillet 2015 un marché avec la société PROSELIS afin de lui confier la fourniture,
l'installation et la maintenance de serveurs et logiciels pour les services municipaux.
Par courrier du 19 août 2015 adressé à la commune, Madame la Sous-Préfète de Châteaubriant a
sollicité des informations afin d’apprécier la légalité dudit marché.
Sur la base des pièces et précisions apportées par la commune, par courriers des 3 septembre et
23 octobre 2015, Madame la Sous-Préfète a indiqué, par une lettre du 23 décembre 2015, qu'une
erreur affectait l'analyse des offres et, par suite, la légalité de la décision d'attribution et a, en
conséquence, demandé au maire de Blain de procéder à la résolution du marché.
Par courrier du 02 février 2016, Monsieur le Maire a indiqué à Mme la Sous-Préfète que la
commune consentait à se rapprocher de la société PROSELIS pour procéder à la résolution du
marché avec effet différé au 1er mai 2016 et, ce, afin d'assurer la continuité du service public
pendant la période nécessaire à la consultation et la passation d'un nouveau marché public.
Prenant acte de la nécessaire résolution du marché, les Parties se sont rapprochées afin de tirer
toutes les conséquences résultant de la disparition rétroactive du marché.
Après discussions et concessions réciproques, la commune de Blain et la société ont décidé, par
le présent protocole, de formaliser la résolution du marché et d'en régler les conséquences
financières.
Il est ainsi convenu ce qui suit :
Article 1 – Objet du protocole
Le présent protocole a pour objet :
- d'une part, de prononcer la résolution du marché n°2015-005 signé le 03 juillet 2015
entre la commune de Blain et la Société PROSELIS avec effet au 1er mai 2016.
- d'autre part, de régler les conditions indemnitaires de la résolution du marché.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
39
Article 2 – Effets du protocole
De convention expresse entre les parties, le présent protocole de résolution vaut transaction au
sens des dispositions des articles 2044 et suivants du Code Civil et est soumis aux dispositions
contenues dans le titre 15 du Code Civil, et en particulier, à l'article 2052 dudit code, aux termes
duquel " les transactions ont entre les parties l'autorité de la chose jugée en dernier ressort.
Elles ne peuvent être attaquées pour cause d'erreur de droit, ni pour cause de lésion."
En conséquence, il règle entre elles définitivement et sans réserve tout litige né ou à naître relatif
à l'exécution et la résolution du marché.
Article 3 – Concessions réciproques
Après concertation et négociations, les parties conviennent que les prestations qui ont déjà été
exécutées par la société à la date de signature du protocole et celles qui seront exécutées jusqu'au
1er mai 2016, date de résolution du marché, seront indemnisées selon les modalités suivantes.
3.1 – Sur les prestations déjà exécutées
Les prestations déjà exécutées, à la date de signature du présent protocole, représentent un
montant total de 99 464,12 euros suivant le décompte provisoire figurant en annexe 1.
La société reconnait être entièrement réglée des prestations exécutées à la date de signature du
présent protocole.
3.2 – Sur les prestations restant à exécuter jusqu'au 1er mai 2016
La résolution ne prenant effet qu'au 1er mai 2016, la société PROSELIS s’engage sur les
prestations restant à exécuter aux conditions du marché, reprises ci-après :
Nature de la prestation Prix unitaire Quantité Montant HT
Module 5 – Maintenance
du 01/01/2016 au 30/04/2016
4 mois à 3 heures par mois soit 12 heures 81,00 12 972,00
TOTAL HT 972,00
TVA 20,00% 194,40
TOTAL TTC 1 166,40
Soit un montant de mille cent soixante six euros quarante.
Toute prestation supplémentaire sera réglée conformément aux dispositions du marché au taux
horaire de 81,00 € HT.
3.3 – Sur les conséquences financières de la résolution
La résolution du marché impose les restitutions réciproques suivantes :
- la commune est fondée à réclamer le reversement de l'intégralité des sommes payées en
application du marché, au titre de la répétition de l'indu ;
- la société est fondée à solliciter le remboursement des dépenses qui ont été utiles à la
commune au titre de l'exécution du marché, sur le fondement de l'enrichissement sans
cause.
Les parties conviennent de la compensation de ces deux chefs d'indemnisation réciproques.
En conséquence, la société PROSELIS se déclare intégralement indemnisée par la commune de
Blain au titre des prestations réalisées dans le cadre du marché cité en référence.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
40
Le décompte provisoire joint au présent protocole (annexe 1) sera annulé et remplacé par un
décompte définitif, établi à la date d'effet de la résolution du marché en fonction des prestations
effectuées.
Article 4 – Clauses de non recours
Les parties reconnaissent être pleinement et parfaitement satisfaites de leurs droits, sans aucune
exception ni réserve. En conséquence, elles renoncent à toute action ou prétention de quelque
nature que ce soit ainsi qu’à toute contestation pouvant trouver son origine dans les causes de
l’établissement du présent protocole et, d’une manière générale, en lien avec le marché en cause
ou sa résolution.
Article 5 – Prise d’effet
Le présent protocole prendra effet à compter de sa notification à la société PROSELIS par la
commune de Blain, qui ne pourra intervenir qu’après transmission et visa du contrôle de légalité
de la Préfecture de Loire-Atlantique, conformément à la réglementation.
Article 6 – Dispositions diverses
Le présent protocole est établi en deux exemplaires dont un reviendra à chacune des parties,
après avoir été signé et paraphé par chacune d'elles.
Article 7 – Confidentialité
Les parties au présent protocole conviennent de lui conserver un caractère strictement
confidentiel et s’interdisent de le porter à la connaissance d’un tiers, sauf :
- à répondre à toute demande émanant des autorités habilitées, et notamment autorités
judiciaires, administration publique ou organisme social ;
- pour les besoins d'une production en justice en cas de non-respect par l’autre partie des
stipulations du présent protocole.
Article 8 – Annexes
Annexe 1 : Décompte provisoire au 03 février 2016
Pour la Commune de Blain Pour la Société PROSELIS
A , le A , le
Annexe 1
Décompte au 03 février 2016
Prestations exécutées :
Nature de la prestation Montant TTC
Module 1 – Virtualisation des postes de travail avec fusion des 3
domaines
64.784,17
Module 2 – Changement de messagerie 30 427,15
Module 3 – Gestion du site Web 2 989,20
Module 5 – Maintenance 4ème trimestre 2015 1 263,60
TOTAL 99 464,12
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
41
Montants déjà payés par la commune Montant TTC
Acompte n° 1 19 640,11
Acompte n° 2 39 280,18
Acompte n° 3 9 820,06
Acompte n° 4 9 820,06
Acompte n° 5 9 820,06
Acompte n° 6 9 820,06
Facture n° FC152502 1 263,60
TOTAL 99 464,13
Solde : - 0,01 €
Arrondi à : 0,00 €
9. RECOURS A DES AGENTS NON TITULAIRES :
Rapporteur : Monsieur le Maire
Par dérogation au principe énoncé à l'article 3 de la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 portant
droits et obligations des fonctionnaires et pour répondre à des besoins temporaires, les
emplois permanents des collectivités peuvent être occupés par des agents contractuels pour
assurer le remplacement temporaire de fonctionnaires ou d'agents contractuels autorisés à
exercer leurs fonctions à temps partiel ou indisponibles en raison d'un congé annuel, d'un
congé de maladie, de grave ou de longue maladie, d'un congé de longue durée, d'un congé
de maternité ou pour adoption, d'un congé parental ou d'un congé de présence parentale,
d'un congé de solidarité familiale ou de l'accomplissement du service civil ou national, du
rappel ou du maintien sous les drapeaux ou de leur participation à des activités dans le
cadre des réserves opérationnelle, de sécurité civile ou sanitaire ou en raison de tout autre
congé régulièrement octroyé en application des dispositions réglementaires applicables aux
agents contractuels de la fonction publique territoriale.
Les contrats établis sur le fondement du premier alinéa sont conclus pour une durée
déterminée et renouvelés, par décision expresse, dans la limite de la durée de l'absence du
fonctionnaire ou de l'agent contractuel à remplacer. Ils peuvent prendre effet avant le
départ de cet agent.
M. le Maire : « Cette délibération obligatoire n’a jamais été prise auparavant. Elle est prise
ce soir pour la durée du mandat. »
Mme Rita SCHLADT s’interroge sur le terme Service national.
M. le Maire précise qu’il s’agit du corps de l’article.
DELIBERATION N° 2016/02/17
OBJET : Délibération de principe autorisant le recrutement d’agents
contractuels de remplacement.
Conformément à l’article 3-1 de la loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 modifiée
portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale, il
appartient au Conseil Municipal d’autoriser Monsieur le Maire à recruter du
personnel pour remplacer les fonctionnaires et agents non titulaires
momentanément indisponibles.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
42
Il est proposé d’autoriser Monsieur le Maire à recruter, en tant que de besoin,
des agents contractuels pour remplacer des agents momentanément
indisponibles.
Monsieur le Maire fixera le traitement de l’agent contractuel en fonction du
niveau de recrutement, de la nature des fonctions concernées, de l’expérience
professionnelle antérieure des futurs remplaçants et de leur profil, dans la
limite de l’indice terminal du grade maxi correspondant à l’emploi concerné
par le remplacement.
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers municipaux à
l’appui de leur convocation.
Sur proposition de Monsieur le Maire, le Conseil Municipal, après en avoir
délibéré,
AUTORISE Monsieur le Maire à recruter du personnel pour remplacer les
fonctionnaires et agents non titulaires momentanément indisponibles, dans les
conditions fixées par la présente délibération.
DECIDE d’inscrire au budget les crédits correspondants.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
10. MODIFICATION DU TABLEAU DES EFFECTIFS
Rapporteur : Monsieur le Maire
Les effectifs municipaux tels qu’ils figuraient au dernier tableau, demandent à être
modifiés pour prendre en compte l’évolution de carrière de sept agents pouvant
prétendre à un avancement de grade à effet du 1er Mars 2016, par suppression des
postes précédemment détenus.
M. le Maire précise que l’impact est de 45 euros par mois et par agent.
Mme Rita SCHLADT : « Je crois que c’est la troisième délibération ce soir qui n’a pas
été vue en Commission ! »
M. le Maire : « Les avancements de grades sont du ressort de l’autorité territoriale et
non de la Commission. »
Mme Rita SCHLADT : « Et les deux précédentes ? »
M. le Maire : « C’est la même chose. »
DELIBERATION N° 2016/02/18
OBJET : Modification du tableau des effectifs au 01/03/2016
Monsieur le Maire informe l’assemblée que conformément à l’article 34 de la
loi du 26 Janvier 1984, les emplois de chaque collectivité ou établissement sont
créés par l’organe délibérant de la collectivité ou de l’établissement.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
43
Il appartient donc au Conseil municipal de fixer l’effectif des emplois
nécessaires au fonctionnement des services.
Vu le Code général des collectivités territoriales,
Vu la loi n° 83-634 du 13 Juillet 1983 modifiée, portant droits et obligations
des fonctionnaires,
Vu la loi n° 84-53 du 26 Janvier 1984 modifiée, portant dispositions statutaires
relatives à la Fonction publique territoriale,
Vu le tableau des effectifs au 1er Janvier 2016,
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers municipaux à
l’appui de leur convocation.
Considérant que sept agents peuvent prétendre à un avancement de grade au
titre de l’année 2016 et qu’il convient de créer les nouveaux postes par
suppression de ceux détenus précédemment,
Monsieur le Maire propose au Conseil municipal :
- la création de deux postes d’adjoint administratif principal 2e classe à temps
complet par suppression de deux postes d’adjoint administratif 1e classe à
temps complet,
- la création d’un poste d’adjoint technique principal 1e classe à temps
complet par suppression d’un poste d’adjoint technique principal 2e classe à
temps complet,
- la création de trois postes d’adjoint technique principal 2e classe à temps
complet par suppression de trois postes d’adjoint technique 1e classe à temps
complet,
- la création d’un poste d’adjoint du patrimoine principal 2e classe à temps
complet par suppression d’un poste d’adjoint du patrimoine 1e classe à temps
complet,
Le Conseil Municipal, après en avoir délibéré, décide :
- d’adopter la proposition du Maire,
- d’approuver le nouveau tableau des effectifs,
- d’inscrire au budget les crédits correspondants.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
44
EFFECTIFS POURVUS SUR
EMPLOIS BUDGETAIRES EN ETPT
(4)
EMPLOIS PERMANENTS A
TEMPS COMPLET
EMPLOIS PERMANENTS A
TEMPS NON COMPLETTOTAL AGENTS TITULAIRES OU EN CDI
EMPLOIS FONCTIONNELS (a) 1,00 1,00 1,00
Directeur général des services A 1,00 1,00 1,00
FILIERE ADMINISTRATIVE (b) 22,00 2,00 24,00 17,50
Attaché Principal A 1,00 1,00 0,00
Attaché A 3,00 3,00 2,80
Rédacteur Principal 1e classe B 1,00 1,00 1,00
Rédacteur Principal 2e classe B 3,00 3,00 1,00
Rédacteur B 3,00 3,00 1,80
Adjoint Administratif Principal 1e
classe
C 2,00 2,00 1,50
Adjoint Administratif Principal 2e
classe
C 3,00 3,00 1,80
Adjoint Administratif 1e classe C 4,00 1,00 5,00 4,80
Adjoint Administratif 2e classe C 2,00 1,00 3,00 2,80
FILIERE TECHNIQUE ( c ) 52,00 18,00 70,00 63,27
Ingénieur A 1,00 1,00 1,00
Technicien Principal 1e classe B 2,00 2,00 2,00
Technicien Principal 2e classe B 1,00 1,00 0,00
Technicien B 3,00 3,00 3,00
Agent de Maîtrise Principal C 1,00 1,00 2,00 0,74
Agent de Maîtrise C 3,00 3,00 3,00
Adjoint Technique Principal 1e classe C 13,00 13,00 12,80
Adjoint Technique Principal 2e classe C 12,00 12,00 12,00
Adjoint Technique 1e classe C 3,00 2,00 5,00 4,51
Adjoint Technique 2e classe C 13,00 15,00 28,00 24,22
FILIERE MEDICO-SOCIALE ( e ) 8,00 0,00 8,00 7,60
Assistant Socio-Educatif Principal B 1,00 1,00 1,00
ATSEM Principal 1e classe C 1,00 1,00 1,00
ATSEM Principal 2e classe C 5,00 5,00 4,80
ATSEM 1e classe C 1,00 1,00 0,80
FILIERE CULTURELLE ( h ) 6,00 1,00 7,00 5,65
Assistant de Conservation Pal 1e
classe
B 2,00 2,00 1,80
Adjoint du Patrimoine Principal 2e
classe
C 1,00 1,00 0,00
Adjoint du Patrimoine 1e classe C 1,00 1,00 2,00 1,85
Adjoint du Patrimoine 2e classe C 2,00 2,00 2,00
FILIERE ANIMATION ( i ) 1,00 6,00 7,00 5,85
Adjoint d'Animation 2e classe C 1,00 6,00 7,00 5,85
FILIERE POLICE ( j ) 2,00 0,00 2,00 1,00
Brigadier Chef Principal C 1,00 1,00 1,00
Gardien de Police Municipale C 1,00 1,00 0,00
TOTAL 92,00 27,00 119,00 101,87
COLLABORATEUR DE CABINET 1,00 1,00 1,00
Collaborateur de cabinet 1,00 1,00 1,00
TOTAL GENERAL 90,00 28,00 118,00 102,87
EFFECTIFS POURVUS SUR
EMPLOIS BUDGETAIRES EN ETPT
(4)
EMPLOIS PERMANENTS A
TEMPS COMPLET
EMPLOIS PERMANENTS A
TEMPS NON COMPLETTOTAL AGENTS TITULAIRES
FILIERE TECHNIQUE 3,00 0,00 3,00 3,00
Technicien B 1,00 1,00 1,00
Agent de Maîtrise C 1,00 1,00 1,00
Adjoint Technique Principal 2e classe C 1,00 1,00 1,00
GRADES OU EMPLOIS (1)
CATE
GORI
ES (2)
EMPLOIS BUDGETAIRES (3)
BUDGET ASSAINISSEMENT
GRADES OU EMPLOIS (1) CAT.
EMPLOIS BUDGETAIRES (3)
BUDGET COMMUNE
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
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E. URBANISME - ECONOMIE - TRAVAUX
1. DON D’UN TERRAIN A LA COMMUNE :
Rapporteur : Monsieur Philippe CAILLON
La Commune a été destinataire d’un courrier envoyé par un particulier, concernant une
proposition de don de terrain agricole à la Commune.
Madame Janine PEROLO demeurant 25, Avenue Bosquet à PARIS (75007) nous a fait
savoir dans un courrier du 24 Novembre 2015 :
■ que Madame Jacqueline BIDET, sa sœur, lui avait légué un terrain :
- cadastré section YK numéro 73 d’une superficie de 4720 m2,
- situé en bordure du Chemin Rural n° 29 dit de la Baconnière à Saint Emilien de
Blain,
- classé en zone A agricole au Plan Local d’Urbanisme,
■ qu’elle souhaite faire DON de ce bien à la Commune de BLAIN.
La Commission Urbanisme – Agriculture – Travaux, réunie le 20 Janvier dernier, a
donné un avis favorable à ce DON sachant que les frais inhérents à cette transaction
devront être pris en charge par la Commune de BLAIN.
DELIBERATION N° 2016/02/19
OBJET : Don d’une terre agricole à la Commune
Madame Janine PEROLO a fait parvenir un courrier à la ville de BLAIN
l’informant de sa volonté de lui donner un terrain que lui avait légué Madame
Jacqueline BIDET sa sœur,
Ce don porte sur un terrain agricole cadastré section YK numéro 73 d’une
superficie de 4.720 m², situé en bordure du Chemin Rural n° 29 dit de la
Baconnière à Saint Emilien de Blain et classé en zone A agricole au Plan
Local d’Urbanisme de la Commune de BLAIN,
Conformément à l’article L 2242-1 du Code Général des Collectivités
Territoriales, le Conseil Municipal est compétent pour statuer sur les dons et
legs faits à la Commune et doit se prononcer sur l’acceptation de ce don,
Considérant qu’il y a lieu, dans l’intérêt de la Commune, d’accepter ce don en
l’absence de conditions contraignantes,
Considérant que ce terrain agricole pourra dans l’avenir servir d’échange
avec des terrains intéressants dans un autre secteur de la Commune.
Considérant qu’à l’issue de la donation, il sera nécessaire que l’acte établi
par un notaire soit publié à la conservation des hypothèques. Cet acte en
vertu de l’article 794 du Code Général des impôts sera exonéré des droits
d’enregistrement mais pas des frais de notaire.
Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu l’avis favorable de la Commission Urbanisme – Agriculture – Travaux
réunie le 20 Janvier 2016.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
46
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers municipaux à
l’appui de leur convocation.
Après en avoir délibéré,
Le Conseil Municipal :
ACCEPTE le don d’un terrain agricole cadastré section YK numéro 73 d’une
superficie de 4.720 m², situé en bordure du Chemin Rural n° 29 dit de la
Baconnière à Saint Emilien de Blain, évalué à 700 euros (sept cents Euros).
PRECISE que l’acte notarié sera rédigé en l’Etude de Maîtres POISSON,
GROSSE et DUMONT, Notaires associés à Paris.
AUTORISE Monsieur le Maire ou son représentant à signer tous actes,
documents et pièces se rapportant à ce don.
PREND ACTE que les frais liés à l’acte notarié correspondant seront à la charge de la
Commune.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
47
.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
48
2. CONVENTION AVEC LE CAUE – PROJET DE SALLE
MULTIFONCTIONS :
Rapporteur : Monsieur le Maire
Dans le cadre de la réflexion menée pour la réalisation d’un complexe culturel, festif et
sportif, un groupe de travail a été constitué.
Il est composé :
Elus : Jean-Luc POINTEAU pour la Commission Sports et Vie Associative, Philippe
CAILLON, pour la Commission Urbanisme, Travaux, Agriculture et Jacky FLIPPOT pour
la Commission Culture, Tourisme, Patrimoine.
Techniciens : Maryse BRIAND – DGS, David RICHARD – Responsable du Pôle
Développement et Jean-Philippe BENDEL - Responsable du Pôle Technique.
Cabinet du Maire : Véronique de BOYSSON.
Chaque élu référent rendra compte dans sa Commission de l’avancement du projet et les
visites de sites pourront être élargies aux membres de ces trois Commissions.
Ce groupe de travail s’est réuni 2 fois en présence de Monsieur le Maire. Au cours des
échanges, il est apparu opportun de se faire accompagner par des professionnels.
Un contact a été pris avec l’organisme et une première rencontre a été organisée le 20
Janvier 2016.
Le Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement (CAUE 44) conseille et
accompagne les collectivités locales de Loire-Atlantique (Communes,
Intercommunalités…) :
• dans leurs choix en matière d’urbanisme, d’aménagement et de développement (projets
urbains, Z.A.C, lotissements, espaces publics, zones d’activités…),
• dans la faisabilité, l’aide à la définition d’un programme et le recours à la maîtrise
d’œuvre d’une opération de construction (mairie, école, équipement de la petite enfance,
équipement culturel…),
• dans l’animation du débat public,
• dans la mise en place de réflexions et d’actions en faveur de l’amélioration durable du
cadre de vie communal et intercommunal.
Le Conseil peut prendre différente forme :
• le conseil du CAUE peut être ponctuel et limité dans le temps (jusqu’à 4 jours) et est
alors gratuit.
• il peut être élargi et continu dans le temps, le CAUE passe alors avec la collectivité une
« convention d’accompagnement de la maîtrise d’ouvrage ».
Le CAUE apporte le savoir-faire d’une équipe pluridisciplinaire et l’ensemble de son
expérience de conseil et d’aide à la décision.
A ce titre, Il propose son concours technique et pédagogique à l’animation des réflexions
suivantes :
- Analyse urbaine et paysagère du site d’implantation.
- Prise en compte des données foncières, topographiques et réglementaires.
- Visites des équipements communaux existants, (locaux de réunions, associatifs et
sportifs …).
- Visites de salles dans d’autres communes et présentation de références.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
49
- Définition des besoins et analyse des enjeux.
- Concertation des associations et partenaires du projet.
- Elaboration du document de programmation de l’équipement.
- Assistance au recours à la maîtrise d’œuvre (concours d’architecture).
La participation de la Commune à cette prestation, serait de 7.400 € au titre d’une
contribution générale à l’activité du CAUE.
M. Jean-Luc PLUMELET : « J’apprécie ce choix de travailler avec le CAUE, avec qui le
partenariat n’a laissé que de bons souvenirs et de bonnes collaborations. Compte tenu des
menaces qu’il pourrait y avoir sur le CAUE, c’est comme ça que nous valorisons le savoir-
faire et les compétences. »
M. le Maire : « Nous comptons beaucoup sur eux et sur leurs compétences. »
DELIBERATION N° 2016/02/20
OBJET : Signature d’une Convention de mission d’accompagnement à la
maîtrise d’ouvrage pour la réalisation d’un complexe sportif,
culturel et festif, avec le Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de
l’Environnement (CAUE 44)
Monsieur le Maire informe le Conseil municipal de l’engagement de la
réflexion pour la réalisation d’un complexe culturel, festif et sportif.
Compte tenu de l’envergure du projet et de la variété des problématiques
qu’une salle à caractère polyvalent implique, il est apparu opportun de se faire
accompagner par des professionnels pluridisciplinaires.
Un contact a été pris avec le Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de
l’Environnement (CAUE 44) et une première rencontre a été organisée le 20
Janvier 2016.
Une proposition de « convention d’accompagnement de la maîtrise
d’ouvrage » a été adressée à la Mairie, pour formaliser ce partenariat.
Le CAUE apporte le savoir-faire d’une équipe pluridisciplinaire et l’ensemble
de son expérience de conseil et d’aide à la décision.
A ce titre, Il propose son concours technique et pédagogique à l’animation des
réflexions suivantes :
- Analyse urbaine et paysagère du site d’implantation.
- Prise en compte des données foncières, topographiques et réglementaires.
- Visites des équipements communaux existants, (locaux de réunions,
associatifs et sportifs …).
- Visites de salles dans d’autres communes et présentation de références.
- Définition des besoins et analyse des enjeux.
- Concertation des associations et partenaires du projet.
- Elaboration du document de programmation de l’équipement.
- Assistance au recours à la maîtrise d’œuvre (concours d’architecture).
La participation de la Commune à cette prestation, serait de 7.400 € au titre
d’une contribution générale à l’activité du CAUE.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
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Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu la note de synthèse et le projet de convention adressés aux conseillers
municipaux à l’appui de leur convocation.
Le Conseil Municipal
APPROUVE les termes de la convention à intervenir entre la Commune et le
CAUE 44, pour une mission d’accompagnement du maître d’ouvrage pour la
réalisation du projet de complexe sportif, culturel et festif.
AUTORISE le Maire à signer la convention avec le CAUE et tout avenant
portant sur le même objet.
DIT que les crédits nécessaires au paiement de cette prestation, sont inscrits
au BP 2016.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
CONVENTION
“ACCOMPAGNEMENT DE LA MAÎTRISE D’OUVRAGE PUBLIQUE”
entre
le Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement de Loire-Atlantique
(ci-après dénommé CAUE)
représenté par son Président, Monsieur Bernard GAGNET,
et
la commune de BLAIN
représentée par son Maire, Monsieur Jean-Michel BUF
Préambule
“L’architecture est une expression de la culture. La création architecturale, la
qualité des constructions, leur insertion harmonieuse dans le milieu environnant, le
respect des paysages naturels ou urbains ainsi que du patrimoine sont d’intérêt
public”. Loi du 3 Janvier 1977 dite loi sur l’architecture, article premier.
Le Conseil d’Architecture, d’Urbanisme et de l’Environnement est un organisme
d’utilité publique. Créé par la loi et mis en place à l’initiative du Conseil
départemental, il est notamment chargé de promouvoir les actions en faveur de la
qualité de l’architecture, des paysages et du cadre de vie, en particulier dans le cadre
de l’exercice de sa mission d’accompagnement de la Maîtrise d’ouvrage Publique.
Il est à la disposition des communes et de leurs groupements ainsi que de tout
organisme ou institution faisant appel à lui.
Depuis le 1er juillet 2013, le CAUE de Loire-Atlantique exerce ses missions de
conseil et d’accompagnement des collectivités territoriales au sein du groupement
départemental “Loire-Atlantique développement”. Il participe ainsi, dans ses rôles et
missions spécifiques, aux côtés d’une Société d’Economie Mixte et d’une Société
Publique Locale, à une offre globale de services à l’intention des territoires de Loire-
Atlantique.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
51
Il est donc convenu ce qui suit :
Article I - OBJET DE LA CONVENTION
Considérant que le CAUE a été créé par le législateur, mis en place par le Conseil
départemental pour offrir aux collectivités un outil professionnel de conseil en faveur
du déploiement harmonieux du cadre de vie, que la commune de BLAIN est
adhérente à l’association CAUE, et enfin, que les élus souhaitent être assistés dans
leur reflexion sur le projet de construction d’une salle multifonctionnelle.
Au vu de la mission “Accompagnement de la Maîtrise d’Ouvrage Publique” mise en
place par le CAUE, et des orientations arrêtées par son Conseil d’Administration et
son Assemblée Générale, il est signé une convention prévoyant la mise en œuvre de
moyens communs susceptibles d’aider la commune de BLAIN à mieux définir et
réaliser ses objectifs.
Article II – ENGAGEMENTS DES PARTIES
II - 1 - Apports du CAUE.
Le CAUE apporte le savoir-faire d’une équipe pluridisciplinaire et l’ensemble de son
expérience de conseil et d’aide à la décision. Il proposera son concours technique et
pédagogique à l’animation des réflexions suivantes :
- Analyse urbaine et paysagère du site d’implantation.
- Prise en compte des données foncières, topographiques et réglementaires.
- Visites des équipements communaux existants, (locaux de réunions, associatifs et sportifs
…).
- Visites de salles dans d’autres communes et présentation de références.
- Définition des besoins et analyse des enjeux.
- Concertation des associations et partenaires du projet.
- Elaboration du document de programmation de l’équipement.
- Assistance au recours à la maîtrise d’œuvre (concours d’architecture).
Le CAUE assume, sur ses fonds propres, l’ensemble des dépenses prévisionnelles à
engager et nécessaires au bon déroulement des objectifs de la présente convention.
II - 2 - Apports de la commune de BLAIN
-> la fourniture de tous les éléments d’information et de connaissance utiles au bon
déroulement du travail du CAUE.
-> une participation volontaire de 7 400 € au titre d’une contribution générale à
l’activité du CAUE.
* les frais exceptionnels occasionnés par l’opération, engagés à sa demande expresse
et déterminés selon mémoire (relevés, annonces légales, exposition, reprographie
supplémentaire de documents, etc...) seront pris en charge par la commune.
II - 3 - Règlement de la participation volontaire
La participation volontaire prévue à l’article II-2 sera réglée comme suit :
-> 50 % à la signature de la convention.
-> 50% à l’échéance de la convention.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
52
II - 4 - Régime fiscal des moyens affectés à la convention
Compte tenu des dispositions prises par instruction de l’administration fiscale en date
du 15 septembre 1998 et du fait que la gestion du CAUE est désintéressée d’une part,
et que son activité spécifique le situe hors du champ de la concurrence avec le secteur
commercial d’autre part, le CAUE, association à but non lucratif, n’est pas soumis
aux impôts commerciaux. La contribution financière de la commune de BLAIN n’est
donc notamment pas assujettie à la TVA.
II - 5 - Durée de la convention
La présente convention est conclue pour une durée d’un an à compter de la date de sa
signature.
II - 6 – Planning et bilan
Un planning d’intervention sera conjointement établi entre le CAUE et la commune
de BLAIN.
A l’issue de l’opération, un bilan du déroulement de l’action sera proposé par le
CAUE sous forme de questionnaire à retourner.
III - DISPOSITIONS JURIDIQUES
III - 1 - La propriété intellectuelle.
III - 1 - 1 - Les prestations issues de la présente convention resteront propriété
intellectuelle du CAUE.
III - 1 - 2 - La commune de BLAIN pourra utiliser librement les documents issus de
la convention. Elle s’engage toutefois à citer, dans toutes les publications ou
diffusions écrites ou audiovisuelles à quelque niveau que ce soit, son partenariat avec
le CAUE.
III - 2 - Règlement des litiges.
Pour tout litige concernant l’application de la présente convention, le CAUE et la
commune de BLAIN conviennent de privilégier la solution amiable à la voie
contentieuse.
III - 2 - 1 - En cas de litige et avant tout recours contentieux, il sera demandé un avis
et une tentative de médiation à un conciliateur librement choisi par les parties.
III - 2 - 2 - A défaut de conciliation, le Tribunal Administratif de NANTES est
compétent.
Fait à Nantes, le
Jean-Michel BUF Bernard GAGNET Maire de BLAIN Président du CAUE de Loire-Atlantique
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
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F. VIE SOCIALE - SANTE :
1. AVENANT N°1 A LA CONVENTION DE MISE A DISPOSITION
D’UN LOGEMENT A VOCATION « LOGEMENT D’URGENCE » A
L’ASSOCIATION LES EAUX VIVES :
Rapporteur : Marie-France GUIHO
Le 22 Décembre 2008, la Commune a passé une convention avec l’association « Les Eaux
Vives » pour une mise à disposition d’un logement d’urgence situé au 2 rue Bizeul à Blain.
Un sinistre en date du 9 Juin 2015 ayant frappé le logement temporaire anciennement situé
rue Bizeul, a rendu impraticable le logement et a amené les élus à s’interroger sur la mise à
disposition d’un autre logement.
Les travaux de rénovation du logement type 3 situé 2 avenue de la République permettent
aujourd’hui une mise à disposition par la Commune de Blain d’un nouveau logement
destiné à accueillir des personnes confrontées de manière brutale à une absence de
logement momentanée, dans l’attente d’une solution de logement durable ou d’insertion.
Le présent avenant porte sur la modification du logement mis à disposition (adresse et
caractéristiques), telle que stipulée dans l’article 1 de la convention d’une part, et apporte
des précisions aux articles 2 et 8 de la convention.
M. le Maire : « Les Eaux vives font un travail remarquable. L’État se désengage des
logements temporaires qui, pour certains, bénéficient du caractère « logement d’urgence ».
Aujourd’hui les aides de l’État sont réduites aux logements existants et non aux nouveaux
logements. Ce nouveau logement sera disponible au 1er Mars. »
DELIBERATION N° 2016/02/21
OBJET : Avenant n°1 à la convention de mise à disposition d’un logement à
vocation « logement d’urgence » à l’association Les Eaux Vives
Le 22 Décembre 2008, la Commune a passé une convention avec l’association
« Les Eaux Vives » pour une mise à disposition du logement d’urgence situé au
2, rue Bizeul à Blain.
Considérant l’incendie du 9 Juin 2015 qui a détruit le logement mis à
disposition de l’Association Les Eaux Vives.
Considérant la volonté des élus de mettre à disposition un logement temporaire
destiné à accueillir des familles en situation d’urgence sociale, en gestion de
l’association « Les eaux vives ».
Il est proposé de passer un avenant n°1 à la convention.
Cet avenant modifie l’article 1 de la convention en remplaçant l’ancien
logement par la mise à disposition d’un logement type 3 situé 2, avenue de la
République.
Il précise par ailleurs l’article 2 concernant l’engagement des parties et
indique notamment le paiement d’une redevance mensuelle d’un montant de 33
euros et l’article 8 portant sur la durée d’hébergement.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
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Vu le Code Général des Collectivités Territoriales
Vu la convention en date du 22 Décembre 2008.
Vu l’avis favorable de la Commission Vie sociale – Santé du 16 Février 2016,
Vu la note de synthèse adressée à l’ensemble des conseillers municipaux à
l’appui de leur convocation.
Le Conseil Municipal
APPROUVE l’avenant n°1 à la convention du 22 Décembre 2008 qui lie la
Commune de Blain avec l’Association les Eaux Vives pour la mise à
disposition d’un logement sis au 2, avenue de la République à Blain, en
remplacement du précédent logement.
AUTORISE Monsieur le Maire signer cet avenant.
VOTE : Unanimité.
PUBLICATION : Date de publication en Mairie : 29 Février 2016
Date de télétransmission en Préfecture : 29 Février 2016
Entre les soussignés:
LA COMMUNE DE BLAIN
située, 2 rue Charles de Gaulle, 44130 BLAIN, représentée par M. BUF, le Maire en exercice,
dûment autorisé par délibération du Conseil Municipal en date du 28/01/2016,
ET L'ASSOCIATION «LES EAUX VIVES »,
dont le siège social est situé 8 avenue des Thébaudières, 17ème étage - aile C à SAINT-
HERBLAIN (44800), représentée par M. Denis AFTALION, Président du Conseil
d’Administration, et intervenant par l’intermédiaire de son Pôle Hébergement-Logement, situé 2
route de Pontchâteau à SAVENAY (44260), dénommée ci-après « le Gestionnaire ».
Vu la convention du 22 Décembre 2008,
Considérant la nécessité de remplacer le logement temporaire 2 rue de Bizeul par un nouveau
logement temporaire,
Le présent avenant porte sur la modification du logement mis à disposition (adresse et
caractéristiques), telle que stipulée dans l’article 1 de la convention d’une part, et apporte
des précisions aux articles 2 et 8 de la convention.
ARTICLE 1 : OBJET DE LA CONVENTION
Dans le cadre de la lutte contre l’exclusion et selon l’article 1er de la loi N° 90-449 du 31 mai
1990 garantissant le droit au logement pour toute personne ou famille dont la difficulté d’accès
ou de maintien dans un logement provient de difficultés financières ou de cumul de difficultés
financières et de difficultés d’insertion sociale, la commune de BLAIN prend acte que la
mission d’organiser et de suivre les personnes accueillies dans leur démarche vers un relogement
sera menée en partie par l’association dénommée « LES EAUX VIVES ».
LOGEMENT TEMPORAIRE AVENANT n° 1
A LA CONVENTION ENTRE La COMMUNE DE BLAIN et l’Association LES EAUX VIVES
DU 22 Décembre 2008
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
55
La convention est modifiée comme suit :
Dans ce cadre, l’Association « Les Eaux Vives », assurera la gestion à partir du 01/03/2016 d’un
logement de type 3 situé 2 avenue de la République mis à disposition par la commune de Blain,
d’une surface de 64 m2, comprenant au rez-de-chaussée, un séjour, une cuisine équipée, une
salle d’eau, un wc et au 1er étage, 2 chambres.
ARTICLE 2 : CONDITIONS FINANCIERES - ASSURANCE
La convention est complétée comme suit :
Engagement du gestionnaire :
Ce logement est mis à disposition moyennant le paiement à la Mairie de Blain d’un loyer
mensuel de 33 €.
« Le Gestionnaire » s'engage à jouir de ces logements en « bon père de famille » et à le restituer
à ses propriétaires en bon état à l'issue de la convention.
Un état des lieux sera dressé contradictoirement entre les propriétaires et « le Gestionnaire »
lors de la remise des clefs.
Engagement de la commune de Blain :
« La commune » s’engage à assurer l’équilibre financier de fonctionnement lié à la gestion des
logements, et ce par voie de subvention au « Gestionnaire » si nécessaire.
ARTICLE 8 : DUREE DE L’HEBERGEMENT
La convention est modifiée comme suit :
Engagement du gestionnaire :
Le gestionnaire s’engage à attribuer le logement d’urgence à la population visée à l’article 4 de la
convention pour une durée d’un mois renouvelable, sans pouvoir excéder 10 mois.
Les autres articles de la convention du 22 décembre 2008 restent inchangés.
Le présent avenant prend effet à compter du 1er mars 2016.
Fait à BLAIN, le
Pour la Mairie de BLAIN : Pour l'Association « LES EAUX VIVES »
Monsieur BUF Denis AFTALION
Maire de Blain Président
G - INFORMATIONS DIVERSES :
1. Pays de Blain :
Pas d’information ce jour, mais une restitution prochainement du travail réalisé sur le Projet
Culturel de Territoire.
2. Agenda :
- Mercredi 16 Mars à 19H30 : Conseil communautaire au Gâvre.
- Mardi 22 Mars à 10H00 en Mairie : Accueil de jeunes allemands d’Oldenburg (échange
scolaire Collège St-Laurent)
- Vendredi 25 Mars à 14H00 en Mairie : Accueil de jeunes portugais d’Alcoutim (échange
scolaire Collège St-Laurent)
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
56
- Samedi 2 Avril à 11H00 en Mairie : Accueil d’une délégation de Royal Wootton Bassett.
- Mardi 5 Avril : Visite du Sénat proposée aux membres du CMJ, de l’Assemblée des Sages,
des Conseils de village et du Conseil municipal.
H – QUESTIONS DIVERSES :
Questions du Groupe minoritaire :
1. Que devient l'Office des Sports ?
Réponse de M. le Maire et de Jean-Luc POINTEAU : « Elus au Conseil municipal lors des
élections de Mars 2014, Stéphane Codet et Jean-Luc Pointeau respectivement secrétaire et
Président de l’Office des sports ont démissionné naturellement de leur fonction au sein de cette
instance début 2015. Jean-Louis Savary et Laurent Loubry leur ont succédés. Le 11 Janvier
dernier, nous avons reçu Jean-Louis Savary et Pierre Pyron (trésorier de l’association) pour
s’entretenir de la gestion de l’Office des sports et de son devenir. Après la démission de Laurent
Loubry et devant l’absence de bénévoles pour une reprise des fonctions, il a été décidé
conjointement de dissoudre l’association. Celle-ci sera prononcée lors de l’AG extraordinaire du
27 Février, si bien sûr le quorum est atteint. Dans le cas contraire une nouvelle assemblée
générale extraordinaire sera proposée le 19 Mars prochain.
En conséquence, et seulement à l’issue de cette dissolution, les missions de l’ancien Office des
Sports reviendront à la Municipalité au sein du Pôle Développement qui est en charge du Sport.
Notre ambition est de mettre en cohérence tous les acteurs du milieu associatif quel qu’il soit,
ceci dans le cadre de notre politique de développement durable et de renforcer notre visibilité
identitaire du panel sportif blinois. Ce que nous avons déjà engagé en obtenant le label vie
sportive.
A la prochaine Commission Sport et Vie associative sera abordée une nouvelle configuration de
service municipal des sports avec un nouveau site pour l’amélioration à la fois de la
communication envers les associations, mais également du système de réservation et
planification des salles. Date prévue de cette Commission le 24 Mars, celle-ci restera à confirmer
(date finalement non retenue – la Commission se déroulera le 22 Mars).
2. Nous sommes inquiets au sujet de la circulation et des stationnements aux abords du bar-tabac
situé 12, route de l'Isac (sorties de voitures, stationnements sur les trottoirs, risque de
détérioration des revêtements fraîchement réalisés ...).
Quelles solutions envisagez-vous pour assurer la sécurité des riverains et des usagers
(automobilistes, cyclistes et piétons) de cette route très fréquentée ?
Réponse de M. le Maire et de Philippe CAILLON : « Cette préoccupation est aussi la nôtre, une
inspection a été réalisée sur place début décembre par les Services et moi-même. Nous avons
pour projet immédiat :
- de mettre des potelets ou équivalent coté Bellerin, (en cours de consultation) pour éviter le
stationnement des véhicules sur le trottoir.
- de déplacer de quelques mètres le passage piéton.
- la possibilité de mettre une ligne continue entre les deux ronds point est en cours de discussion
avec le Conseil départemental, car nous sommes certes en agglomération, mais soumis à la
réglementation d'une départementale.
- les potelets coté commerce peuvent aussi être envisagé rapidement, nous avons aussi regardé
cet aspect. »
Fin de la séance à 22h15.
Procès-verbal de la séance du Conseil municipal du
25 Février 2016
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J-M. BUF N. GUIHOT M-F. GUIHO
J-L. POINTEAU Y. DUBOURG P. CAILLON
V. LE BORGNE J. FLIPPOT J-F. RICARD
S. CODET S. AUBRY L. BROUTIN
C. CAMELIN A. COLIN M. GILLET
M-J. GUINEL N. MORMANN S. ORDRONNEAU
L. PELÉ LEGOUX T. PLANTARD J-L. PLUMELET
S. PONTAC J. RICHARDEAU R. SCHLADT