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Préface»Comment ? Encore un livre qui parle de l’Aloe Vera ?

Le marché en regorge ! » Oui, il en existe beaucoup. Mais notre présentation, en termes de connaissance et d’expérience, est différente de celle des autres livres. En outre, l’Aloe Vera est une plante connue, mais peu de gens en savent réellement les qualités et la valeur. C’est une cer-titude pour nous  : tout le monde a besoin de l’Aloe Vera, surtout à notre époque.

Dans les pages qui suivent, nous présenterons des aspects inédits et importants de cette plante en vue de l’utilisation optimale de celle qu’on appelle « la reine du désert ». Nous apporterons ici des éléments complémentaires qui corre-spondent à notre époque et ouvrent une perspective en-tièrement nouvelle. L’un de ces points essentiels, qu’on lira avec intérêt, est développé dans le chapitre consacré au code des signatures (page 13), nécessaire à la bonne com-préhension de tous les aspects d’une plante.

Ce livre est donc à la fois une merveilleuse découverte du monde de l’Aloe Vera et une source d’inspiration pour ses

utilisateurs. La taille réduite de l’ouvrage vous en donnera un premier aperçu tout comme l’envie d’en connaitre davantage sur cette « plante de l’immortalité », comme la surnommaient déjà les Égyptiens.

Nous sommes persuadées qu’après la lecture de ce livre, écrit avec passion, vous deviendrez un ami et un utilisa-teur passionné du précieux gel d’Aloe Vera. Tout comme nous !

Avec nos meilleurs vœux pour vous et votre santé.

Gabriele Martine Reichard & Silvia Maria Engl

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Vie

Que ce soit l’aspect « santé » ou l’aspect « beauté » qui vous ait incité à vous procurer ce livre, les deux sont directement liés au thème de la « Vie ». Plus

nous sommes en bonne santé, plus nous sommes beaux.

Notre peau, par exemple, est un merveilleux miroir de not-re état. Si nous dormons suffisamment, si nous mangeons de la nourriture saine, si nous sommes dans une phase émotionnellement équilibrée, notre teint est également plus resplendissant. La fatigue, le stress, l’anxiété ou une alimentation pauvre en vitamines rendent notre teint plutôt gris et pâle. Plus nous nous sentons vivants, plus nous ray-onnons vers l’extérieur. La vitalité est charmante et attire notre entourage comme un aimant.

L’Aloe Vera est une plante de la famille des liliacées, qui est très peu exigeante et qui pousse principalement dans les pays chauds, de préférence en plein désert. Grâce au rayonnement solaire, et en l’espace de trois à quatre ans,

des centaines de micronutriments utiles se forment dans le gel de cette plante. Depuis les temps immémoriaux, les humains utilisent de diverses manières ce mucilage extrê-mement riche en nutriments qui se trouve à l’intérieur des feuilles.

L’Aloe Vera est source de vie. Il est donc d‘un intérêt plus qu’évident pour nous, les humains, d’en absorber la vita-lité, que ce soit en buvant son gel, ou en l’appliquant sur notre peau. La raison pour laquelle elle incarne le don de la vie est évidente lorsque nous examinons les origines de la vie en général, et de la plante elle-même.

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Les cellules germinales

Une nouvelle vie naît de l’union de deux cellules complémentaires (sperme et ovule) qui forment ensemble une nouvelle créature. À partir de trois

germes1 se développe un nouvel être vivant. On reviendra plus tard sur l’ectoderme, la feuille germinale la plus exter-ne. C’est de lui que surgissent la peau et ses phanères ain-si que le système nerveux, ce qui nous donne déjà un petit indice du rapport étroit entre le corps et l’esprit.

Tous les processus de vie sont basés sur l’activité de milli-ards de petites cellules. Malgré leur petitesse, elles doivent faire autant que l’organisme humain dans son ensemble :

• pour s’alimenter et se nourrir correctement afin de pouvoir travailler ;

• pour excréter, pour se purifier et rester en énergie.

Dans les cellules, dans les plus petites unités vivantes, nous trouvons déjà les fonctions clés d’une vie saine : alimenta-tion, respiration, purification et excrétion. Les médiateurs et vecteurs de tous ces processus sont nos fluides corpo-rels tels que le sang, la lymphe et la substance aqueuse interstitielle dans tout l’organisme. En fonction du sexe, de l’âge, des mesures corporelles et de la masse graisseuse, nous sommes composés d’eau à raison de 50 % (personnes âgées) ou 70 % (enfants).

À cet égard, nous devrions de temps à autre nous poser les questions suivantes :

• Qu’est-ce qui, dans mon alimentati-on, fournit à mes cellules l’ap-port nécessaire pour pouvoir se nourrir et fonctionner ?

• Mes cellules sont-elles suffisamment récepti-ves et perméables à tous les micronutri-ments vitaux ?

• Est-ce que je veille à un apport suffisant en eau permettant à tous mes fluides corporels de couler et de garantir ainsi la communication entre mes cellules et le net-toyage continu de mon corps ?

Au cours des dernières décennies, la médecine ortho-molé-culaire a fait d’énormes progrès dans la compréhension de la santé au niveau cellulaire et a mis en lumière beau-coup d’aspects que l’on ne connaissait tout simplement pas auparavant. En particulier la position centrale de l’intestin et du microbiote (l’ensemble des bactéries de notre systè-me digestif) : ce n’est que depuis quelques années que l’on décrypte l’absorption des nutriments et tous les mécanis-mes de régulation de l’organisme.

1. On appelle cotylédons une première différenciation d’un embryon en différentes couches cellulaires, à partir desquelles se développent ensuite différentes structu-res, tissus et organes.

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En examinant l’homme dans son ensemble et ses circuits de contrôles, il a été constaté que des parties essentielles du système immunitaire, du système nerveux et du systè-me hormonal sont situées dans l’intestin. En outre, ce n’est qu’au cours des dernières décennies que des recherches plus approfondies ont été menées sur les carences en vita-mines et minéraux, notamment en vitamine D. Aujourd’hui, on connaît les conséquences dramatiques que cela peut avoir sur notre santé. Inversement, on a démontré qu’un apport ciblé de certaines substances (traitement de substi-tution) résout certains problèmes.

Une plante, une signature

Comment les gens connaissaient-ils autrefois les ef-fets d’une plante, d’une pierre, d’une substance sur l’être humain, avant la médecine de laboratoire

actuelle, avant le décryptage et les analyses détaillées  ? L’explication est très simple : ils réfléchissaient de maniè-re créative et holistique avec un sens aigu de l’observa-tion. Ils ont ainsi rassemblé toutes leurs connaissances, tous leurs ressentis, tous les phénomènes observables et tout ce qu’ils avaient encore à leur disposition. C’était la seule façon d’approcher la sagesse des forces de guérison naturelles.

Aujourd’hui encore, par exemple, la médecine anthropo-sophique fonctionne sur cette base lorsque de nouveaux médicaments sont en phase de recherche.

Un petit exemple. Si l’on vous dit : « Il existe des plantes su-sceptibles de vous offrir plus d’énergie, plus de vigueur et plus de force en cas de faiblesse : souhaiteriez-vous utili-ser pour cela plutôt une essence de marguerite ou une es-sence de tournesol ? Choisissez intuitivement ! » La plupart

La somme de toutes les caractéristiques, compor-tements, conditions d’implantation des plantes ou des minéraux nous a donné, depuis les temps immémoriaux, la connaissance de leurs effets sur l’homme.

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des réponses sont très spontanées et claires  : « L’essence de tournesol. »Les tournesols représentent le soleil, la lumière, la vie, la force et la majesté. Ils donnent des graines nutritives rem-plies d’huile source d’énergie. C’est de l’énergie pure. La simple vue des tournesols et les connaissances succinctes que nous en avons nous donnent intuitivement cette im-pression. C’est une considération de signature appliquée.

Ce type d’étude des dons potentiels d’une plante médici-nale est appelé « Code signature ».2 Se pose alors la ques-tion suivante : «  Comment puis-je lire les apports béné-fiques d’une plante ? » Examinons la signature de l’Aloe Vera. Sa localisation, sa structure et la somme de ses caractéristiques nous permet-

tent de déterminer dans quel(s) domai-ne(s) elle a un effet bienfaisant et utile.

L’Aloe Vera est une plante du dé-sert. Elle fait partie de la famille botanique des liliacées, comme l’ail, traditionnellement réputé pour son pouvoir immunitaire,

et les asperges, pour leur effet détoxifiant.

2. Définition : Le code de signature (lat.signare = appeler, caractériser) est l’enseigne-ment des conditions naturelles (similitudes, affinités et liens internes) qui existent entre la nature et les humains. Qu’il s’agisse de plantes, de minéraux ou d’animaux, il y a des analogies entre la forme, la couleur, le caractère, l’odeur, le goût, l’emplace-ment, le moment de la naissance, les couleurs et les affectations astrologiques hu-morales et traditionnelles.

L’Aloe Vera a besoin de chaleur et de soleil et ce, de pré-férence 360 jours par an. Grâce à sa racine longue et dure et aux propriétés du tissu de stockage de ses feuilles, elle retient l’eau des profondeurs de la terre et l’humidité de l’air dans la pulpe. De plus, grâce à l’exposition permanen-te au soleil dans son biotope naturel, elle fabrique plus de 270 composants vitaux à partir des minéraux du sol déser-tique. Pour cela, trois à quatre ans environ lui sont néces-saires. Ce n’est qu’à ce moment-là que les feuilles les plus externes doivent être récoltées pour la première fois.

Résistante aux parasites, virus, bactéries et champignons, elle n’a pas besoin d’être fertilisée. L’aloïne amère, présen-te entre son écorce et la pulpe des feuilles, éloigne les ani-maux qui, de ce fait, ne la consomment pas. Lorsque l’Aloe Vera est blessée, chaque blessure se referme miraculeuse-ment en un temps record. En effet, grâce à certains polysa-ccarides, elle est capable de produire une sorte de panse-ment en quelques minutes. Elle régénère ses propres tissus très rapidement et est extrêmement prolifique, formant de

nombreuses ramifications. Toutes les tentatives visant à la manipuler ou à la modifier génétiquement, de quelque façon que ce soit, ont échoué.

Nous avons donc affaire à une plante robuste, résistante et hautement immunitaire qui réussit un exploit extraordinai-re : malgré les conditions extérieures difficiles auxquelles elle est confrontée, elle conserve d’une manière tendre et riche ses couches internes. Nous, les êtres humains, pou-vons en profiter et en prendre exemple. L’Aloe Vera nous permet de nous défendre, de ne craindre rien, ni person-ne. Elle nous permet également, grâce à son abondance, d’apprécier notre vie et de l’exprimer de manière créative et inventive.Sa peau foliaire très bien conçue absorbe et stocke aussi bien l’humidité que la lumière.

Pour comprendre pleinement le fonctionnement et l’action de l’Aloe Vera dans nos couches internes, approfondissons notre réflexion et observons le lien étroit entre la peau et

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les différentes muqueuses. Nous constatons la présence de nombreuses muqueuses dans notre corps, comme la mu-queuse du tractus gastro-intestinal, celle de la cavité buc-cale, de la vessie, de l’utérus, des muqueuses bronchiques, etc. Il s’agit d’une peau repliée vers l’intérieur autour d’un long tube interne avec une entrée par le haut et une sortie par le bas.

La peau et les muqueuses sont d’importants points de con-tact avec l’extérieur. Responsables du bon équilibre entre les apports externes et internes ainsi que du principe d’ab-sorption et d’élimination, elles doivent être en mesure de trier les éléments bienfaisants et vitaux. Elles transforment les substances ingérées par les parties extérieures (comme les crèmes) ou les aliments pour les intégrer ensuite dans le corps. Pour nous, il s’agit clairement d’une des aptitu-des principales de l’Aloe Vera, réputée pour être la « plan-te de la jeunesse éternelle », confirmant ainsi l’utilisation millénaire de son gel pour les soins de la peau. Une digestion complexe

L’intestin, dans toute sa complexité, fait aujourd’hui l’objet d’une grande attention de la part de la scien-ce et des médias. Et ce n’est certainement pas un ha-

sard si, dans un monde où il est de plus en plus difficile de « digérer», notre regard se concentre précisément sur cet organe qui ne veut plus fonctionner correctement chez tant de personnes. Ces dernières se sont éloignées d’une vie basée sur l’expérience et les sens pour subir une vie vir-tuelle rythmée au quotidien par la cadence effrénée des nombreuses innovations et changements.

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Très vite, l’intestin et l’esprit sont surchargés par les exi-gences de l’homme moderne, ce qui entraîne des signes de blocage. Ils refusent de bien fonctionner dans des con-textes vidés de leur sens. De plus en plus souvent, des err-eurs sont commises au niveau de l’intestin. Il assimile les contenus ingérés (nourriture), sonde et pré-digère pour dé-cider au final avec l’aide du système immunitaire et des cellules intestinales de nos besoins et de nos rejets. À tous les niveaux, nous éprouvons des difficultés à trier les ap-ports extérieurs qui seront acceptés et ceux qui seront transformés en une partie intégrante de notre organisme. Notre thérapeute parlera peut-être « d’intolérance alimen-taire » ou « d’hypersensibilité » au niveau corporel et d’une « peau trop fine » au niveau psychique. Mais le cœur du problème est que nous avons perdu de vue une instance interne capitale : un EGO sain, fort, focalisé et arbitre déci-deur de nos besoins vitaux.

Comme le corps et l’esprit sont inséparables et que le psy-chisme s’exprime à travers le corps et inversement, c’est grâce aux propriétés hautement digestives de l’Aloe Vera que nous parvenons à nouveau à nous concentrer intérieu-rement, au sens le plus large du terme, avec plus de clarté.

Panta rhei – Flux de vie

L’eau est le composant principal de toutes les formes de vie et l’élément essentiel de nos cellules. En tant qu’eau de gonflement pour les protéines, elle forme

avec elles la substance de base de nos cellules, dans la-quelle tous les autres éléments de construction sont dis-sous ou façonnés. Cela signifie que toutes les cellules du corps, qu’il s’agisse de la peau, des glandes, des muscles, des neurones, etc. sont opérationnelles lorsqu’elles sont gorgées d’eau. L’eau est aussi un moyen de transport im-portant  : les nutriments, les substances endogènes et les métabolites pénètrent dans le plasma sanguin, composé de 90 % d’eau et sont entraînés vers leur destination.

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Paradoxalement, malgré l’environnement fondamentale-ment hostile de sa zone climatique, l’Aloe Vera est devenue le symbole de l’humidité, de l’abondance et d’une végétati-on luxuriante. Le gel pur symbolise depuis les temps immé-moriaux l’eau, la mère, la vie et par extension la jeunesse éternelle.3 Dans le sud de l’Inde, il existe un temple dédié à Ghrita Kumari (en sanskrit, langue indo-européenne  : « Aloe Vera », «jeune femme», «née de la mousse, sortant des flots») et consacré à toutes les qualités de la maternité.

Le gel d’Aloe Vera est la meilleure substance symbolique du flux de vie. Dans l’Égypte antique, les plantes d’Aloe Véra ont même poussé le long des voies d’accès aux py-ramides pour protéger et accompagner les défunts sur le chemin de la vie éternelle.

En considérant le pourcentage d’eau dans le corps de l’homme au cours de sa vie, une chose est frappante  : lorsque notre corps est jeune, il contient de l’eau à satiété avec, pour particularité, un stockage suffisant. En règle générale, notre peau est alors rose et ferme. Nous enten-dons et voyons correctement, nous avons de l’appétit et une digestion régulière. Nous sommes souples, aimons bouger et vivons pleinement avec les privilèges exubérants de la jeunesse. Cependant, au fil des ans, la capacité du corps à stocker et à organiser le circuit de l’eau diminue

Le processus de vieillissement physique commence à la fin de la vingtaine d’années. À partir de cette période, nous constatons une baisse insidieuse mais significative de la production interne de toutes les substances chargées de la fixation de l’eau, à commencer par l’acide hyaluronique et les collagènes.

La déshydratation signifie une diminution de l’apport san-guin, du transport des nutriments, de l’élasticité de tous les tissus, des opérations de nettoyage dans les tissus conjon-ctifs, sans oublier une diminution de l’élimination des aci-des. Pour résumer, vous avez des organes qui fonctionnent moins bien, qui sont moins performants et vous risquez par ailleurs une augmentation de symptômes divers et variés.

Tous ces effets se manifestent sous forme de tensions dues à l’acidification, de perte d’appétit et d’absence de soif ou en-core sous forme de rides bien visibles. Il en résulte que : les articulations craquent légèrement, la rigidité grandit, les membranes dans l’oreille sont moins élastiques ou encore l’œil perd ses facultés à cause d’une diminution de l’apport en nutriments ou en oxygène. Oui, nous pouvons même y voir une corrélation avec le vieillissement de la pensée et les comportements séniles. Après tout, notre cerveau est un organe composé de près de 95 % d’eau avec une

3. Selon le mode de pensée analogique, l’eau est à l’origine de toute vie, tandis que la mère donne naissance à la vie humaine, ce qui fait la synthèse de tous ces aspects.

Nous pouvons dès lors risquer l’affirmation suivante :

LE VIELLISSEMENT EST AVANT TOUT UNE DÉSHYDRATATION

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dépendance extrême à un approvisionnement suffisant en eau. Il réagit très rapidement et intensément aux moindres signes de carence, notamment par des troubles de la con-centration et une perte de mémoire. La sensation de soif est déjà un signal fort du manque de 2 % de fluide corporel et de la nécessité de le réapprovisionner d’urgence.

Les troubles quotidiens décrits ci-dessus sont de peti-ts signes de déshydratation que nous acceptons en tou-te connaissance de cause, car il en est ainsi… «  nous vieillissons… »

Ce moment-là est propice à une entrée spectaculaire et salutaire de l’Aloe Vera « plante de la jeunesse éternelle » dans notre vie afin d’opérer une régénération miraculeuse de notre sang, au sens le plus complet et profond du terme, grâce à la signature de cette plante.

Le gel a la capacité exclusive, d’une part de nous fournir une multitude d’éléments de base (vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides aminés etc.) qui favorisent notre pu-rification interne et d’autre part, d’atténuer de nombreux signes de vieillissement qui sont alors repoussés dans le temps.

PowerAus der Mitte kommt die Kraft

Wenn wir die Pole »Zuviel« und »Zuwenig« als zwei Elemente einer Dreiheit verstehen, deren Mitte »Ausgleich«, »Harmonie« heißt, kommen

wir der Hauptaufgabe von Aloe Vera in unserem Körper sehr nahe: genau dieses möglichst enge Pendeln um eine gesunde Mitte wiederherzustellen. Pendeln deswegen, weil die exakte Mitte Stillstand bedeuten würde und somit den Tod. Das Bemühen um Ausgleich, um Regulation von Extremen ist das, was unsere Gesundheit erhält oder sie uns wiedererlangen lässt. Nicht umsonst gilt Aloe Vera als adaptogene1 Pflanze, die immer unsere Mitte im Blick hat.

Im alchemistischen Weltbild begegnen uns die Begriffe »Sulfur«, »Merkur« und »Sal« in Form der sogenannten Tria Principia: Die Polarität von kalt und warm, von Salz und

1 Adaptogen« ist eine alternativmedizinische Bezeichnung für biologisch aktive Pflanzenstoffe, die dem Organismus helfen sollen, sich erhöhten körperlichen und emotionalen Stresssituationen anzupassen.