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HONNEUR NANCYSEICHAMPS RATE LE COCHE Quartino (à g.) et ses coéquipiers ont craqué en fin de match. Photo d’archives P. ROLIN Yutz. Deux styles s’opposent en début de match : d’un côté la puissance locale, de l’autre la vélocité visiteuse. Ces deux styles se neutralisent en début de partie. De bonnes actions sont avortées par des en-avant de part et d’autre. Toutefois à la 9’, en bonne position, l’arrière Couchena des Tygres rate le cadre sur pénalité. Enfin, à la demi-heure de jeu, la rencontre se débride. La partie se cantonne alors dans le camp mosellan. À la suite d’une série de pénaltouch, Nancy-Seichamps inscrit un essai en force (32’) conclu par Loth et transformé par Quartino. La réaction est immédiate des locaux et, sur une action collective marquée du sceau de la force, Graff conclut (5-7, 35’). La deuxième mi-temps est spectaculaire. Tout d’abord une action collective des visiteurs est avortée par un en-avant, mais Quartino, sur pénalité, donne un peu de large à sa formation (56’). Les dernières vingt minutes sont favorables aux Mosellans qui se heurtent à la défense acharnée des « Loups ». Ceux-ci cèdent en toute fin de partie, tout d’abord sur une pénalité de Cleyet Merle (67’) et par un drop superbement inscrit par Vilbois (88’). Rien ne sera plus marqué. Thionville/Yutz bat Nancy/Seichamps : 11-10 Yutz. Mi-temps : 5-7. Arbitre : M. Florent Karczewski. YUTZ : 1 essai de Graff (35’) ;1 pénalité de Cleyet Merle (67’) ; 1 drop de Vilbois (88’). NANCY-SEICHAMPS : 1 essai de Loth (32’) transformé par Quartino (32’) ; 1 pénalité de Quartino (56’)

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HONNEUR NANCY-­‐SEICHAMPS  RATE  LE  COCHE  

Quartino (à g.) et ses coéquipiers ont craqué en fin de match. Photo

d’archives  P.  ROLIN  Yutz. Deux styles s’opposent en début de match : d’un côté la puissance locale, de l’autre la vélocité visiteuse. Ces deux styles se neutralisent en début de partie. De bonnes actions sont avortées par des en-avant de part et d’autre. Toutefois à la 9’, en bonne position, l’arrière Couchena des Tygres rate le cadre sur pénalité. Enfin, à la demi-heure de jeu, la rencontre se débride. La partie se cantonne alors dans le camp mosellan. À la suite d’une série de pénaltouch, Nancy-Seichamps inscrit un essai en force (32’) conclu par Loth et transformé par Quartino. La réaction est immédiate des locaux et, sur une action collective marquée du sceau de la force, Graff conclut (5-7, 35’). La deuxième mi-temps est spectaculaire. Tout d’abord une action collective des visiteurs est avortée par un en-avant, mais Quartino, sur pénalité, donne un peu de large à sa formation (56’). Les dernières vingt minutes sont favorables aux Mosellans qui se heurtent à la défense acharnée des « Loups ». Ceux-ci cèdent en toute fin de partie, tout d’abord sur une pénalité de Cleyet Merle (67’) et par un drop superbement inscrit par Vilbois (88’). Rien ne sera plus marqué. Thionville/Yutz bat Nancy/Seichamps : 11-10 Yutz. Mi-temps : 5-7. Arbitre : M. Florent Karczewski. YUTZ : 1 essai de Graff (35’) ;1 pénalité de Cleyet Merle (67’) ; 1 drop de Vilbois (88’). NANCY-SEICHAMPS : 1 essai de Loth (32’) transformé par Quartino (32’) ; 1 pénalité de Quartino (56’)

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Avec  les  Honneurs  Haguenau bat Pont-à-Mousson : 24-17

Haguenau. Mi-temps : 12-0. 150 spectateurs. Arbitre : M. Chapelle.

HAGUENAU : 4 essais de Bitz (21’), Haubensack (32’), Gony (50’), Englender (61’); 2 transformations de Breton (32’, 50’).

PONT-À-MOUSSON : 2 essais de Tachousin (15’), Vidrequin (56’); 2 transformations de Tachousin ; 1 pénalité de Tachousin (4’).Haguenau. La saison est lancée et bien lancée. Au cours d’une partie animée, riche en rebondissements et de bonne facture, Pont-à-Mousson a donné du fil à retordre au FC Haguenau. Ce dernier y a mis tous les éléments nécessaires pour s’imposer avec quatre essais à la clé.

Les imperfections et l’indiscipline ont plombé le début de match des Haguenoviens. Les Mussipontains en ont profité par l’intermédiaire de leur ouvreur, l’entreprenant Tachousin. Après une pénalité, ce dernier enfonçait le clou au quart d’heure après une interception de Gérard. Le véloce pilier poussait son action sur 40m et parvenait à servir le caviar à Tachousin (0-10).

Les Haguenoviens répliquaient sur une pénaltouche à 5m, muée en irrésistible groupé pénétrant, conclu par le pilier droit Bitz (5-10).

Pas à rougir Collectivement, le FCH mettait la main sur les débats. Individuellement, les ex-Strasbourgeois concrétisaient. Hervé Heitz perçait à mi-terrain avant de donner à un Martin Haubensack qui, lancé comme une balle, déchirait le rideau visiteur. La transformation du prometteur Hippolyte Breton permettait même aux siens de basculer en tête (12-10).

Avec l’interception suivie d’une course de 50m entrecoupée par un raffut décisif de l’ailier Gony, les Haguenoviens pensaient avoir fait l’essentiel (19-10, 50’). Mais les enchaînements de temps de jeu mussipontains avaient déjà fait mal juste après la reprise. Avant l’heure de jeu, la défense locale cédait logiquement.

À 19-17, tout restait possible pour les Lorrains. Un mauvais renvoi aux 22m devait hélas leur être fatal. Derrière sa mêlée face aux perches, le demi Rosenstiehl s’échappait puis fixait intelligemment avant d’envoyer le flanker Englender en terre promise (24-17).

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Les Lorrains voyaient de surcroît doublement jaune. Les Haguenoviens ne parvenaient à exploiter la situation mais le temps passait et les derniers assauts visiteurs devaient ensuite rester vains. Les Mussipontains n’ont pas à rougir et auront forcément leur mot à dire, cette saison encore.

 Metz  apprend  dans  la  douleur  

 Dominés  en  touche,  les  Messins  ont  perdu  trop  de  ballons  pour  espérer  inquiéter  l’UMB.  Photo  Julien  LEDUC    BORDS-­‐DE-­‐MARNE  -­‐  METZ  :  39-­‐12  (22-­‐3)  Stade Octave Lapize. 80 spectateurs. Arbitre : M. Daisvissat (Comité Bourgogne). BORDS-DE-MARNE : 5 essais de Loobuyck (22e ), Alessendri

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(34e ), Ojouba (40e ), Morel (74e ), Fritsch (80e +2) ; 4 transformations de Jeantet (35e , 40e +1), François (74e , 80e ) ; 2 pénalités de Jeantet (37e , 64e ). METZ : 4 pénalités de G. Philippe (18e ), Perrin (48e , 56e , 62e ). Carton blanc à Metz : Kremer (70e ). Cartons jaune à Bord-de-Marne : Alessendri (17e ) ; à Metz : Nedjai (7e ). BORDS-DE-MARNE. Pola – Ojouba, Mohgrani, Morel, Jeantet – (o) François, (m) Alessendri, Cano, Leguellec, Chavaneau – Pascual, Picardi – Chargui, Loobuyck, Petiphar. Sont entrés en jeu : Lachef, Durbet, Nugeyre, Diacar, Fritsch, Scalabrino. METZ. Roure – Virapin, M.Schoentgen, Perrin, Marsal – (o) G.Philippe, (m) J. Schoentgen – Combes, Nedjai, Kremer – Ronchi, Festor – Chevalier, Nardo (cap), Gavray. Sont entrés en jeu : Haboudane, Kiefer, D.Philippe, Mignan, Bruder, Pichaureau Pour son retour en Fédérale 3, le RCMetz-Moselle n’a pas pesé lourd face à l’Union Bords-de-Marne (39-12). Mais les Messins ont proposé du jeu. Rassurant pour la suite. Pour son retour en Fédérale 3 après quatre ans d’absence, le Rugby Club Metz Moselle n’a pas pesé lourd face à l’Union Bords de Marne (39-12). Néanmoins les Messins proposèrent du jeu et peuvent se montrer confiants pour la suite. Quatre années après sa dernière apparition en Fédérale 3, le Rugby Club de Metz-Moselle faisait son retour à ce niveau de la compétition. Avec un peu d’appréhension et une grande dose d’inconnue. À quelle sauce les Lorrains allaient-ils se faire manger face à des Parisiens plus habitués à ce niveau du championnat ? La réponse finale du tableau d’affichage (39-12), cache une réalité un peu moins alarmiste puisque l’écart entre les deux formations n’était pas aussi grand. Quatre-vingts minutes durant, les Messins tentèrent de produire du jeu en allant constamment de l’avant. Les premières minutes étaient à leur avantage avec au bout une pénalité de Philippe (0-3, 18e ). Une avance qui était vite réduite à néant suite à un maul au bout du quel Loobuyck passait en force (5-3, 22e ). Dans les cinq dernières minutes, le rideau défensif lorrain se voyait transpercé à deux reprises. La première fois lorsqu’Alessendrini jouait rapidement une pénalité à la main pour aplatir sous l’en-but (12-3, 35e ). Puis une seconde fois sur une interception victorieuse de Ojouba (22-3, 40e ). La courte pause donnait l’illusion d’avoir remis Metz dans le sens de la marche. Conquérant, le promu lorrain campait dans la moitié de terrain des

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Banlieusards. Faute de marquer un essai, ils revenaient petit à petit grâce à la botte de Perrin (22-12, 62e ). Un manque de jus dans le final Et alors que l’impensable retour semblait de nouveau d’actualité, tous les efforts lorrains volaient en éclat. Sur une énième faute, François offrait trois points de plus aux siens (25-12, 64e ), avant que Kremer n’écope d’un carton blanc discutable (70e ). C’en était trop pour les valeureux Mosellans qui baissaient pavillon au moment de l’emballage final. Suite à une combinaison entre François et Morel à cinq mètres de l’en-but, ce dernier alourdissait le score (32-12, 75e ). Le moral dans les chaussettes, Metz ne répliquait plus, encaissant les coups sans rien faire. Un régal pour Fritsch qui en bout de ligne, côté gauche, clôturait le bal d’essais avec une cinquième réalisation (39-12). Déçus, blessés, les joueurs se réunissaient au bord du terrain pour déjà parler de Rueil dimanche prochain. Un véritable test face à un club lui aussi promu… et vainqueur de Vincennes 10-6. Julien LEDUC.

Hagondange  cartonne  

Stade  de  la  Piscine.  Arbitre  :  M.  Borissov  (Strasbourg).  THANN  :  1  essai  de  Vasseur  (70e  ).  HAGONDANGE  :  9  essais  de  Cabarret  (6e  ),  collectif  (16e  ),  Gauthier  (47e  ),  Calloud  (53e  ),  Agnes  (56e  ),  Germain  (64e  ,  75e  ),  Muller  (78e  ),  Pierre  (80e  )  ;  4  trans  formations  d’Agnes  (16e  ,  47e  ,  53e  ,  78e  ).    Hagondange est venu s’imposer avec la manière sur le terrain de timides Thannois, qui ont souffert face au rythme imposé par les Mosellans. Le début de rencontre était à l’avantage des Hagondangeois, qui n’hésitaient pas à envoyer rapidement le ballon au large et le tonique ailier Cabarret aplatissait une première fois (0-5, 6e ). Après plusieurs actions qui auraient pu faire mouche, la domination territoriale des visiteurs était logiquement récompensée par un essai des avants, qui s’écroulaient sous les poteaux. Avec la transformation d’Agnes, les Lorrains faisaient le break (0-12, 16e ). Grâce à un début de révolte et une domination en mêlée les Alsaciens se créaient quelques brèches et provoquaient des pénalités. Mais le buteur Quentin Wagner voyait son coup de pied heurter le poteau.

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À la reprise, le jeu était plus équilibré, mais les Lorrains étaient plus efficaces à l’image de Gauthier qui bénéficiait de plusieurs plaquages ratés pour terminer sa course sous les poteaux (0-19, 47e ). La rentrée de Maxime Rassat redonnait du tonus au RCT qui se créait quelques occasions, mais un ballon perdu dans un ruck était converti en essai par Calloud (0-26, 53e ). La seconde partie de cette mi-temps était décousue, Thann jouant son va-tout et Hagondange se faisant plaisir en enchaînant quatre nouveaux essais par Agnes (56e ), Germain (64e , 75e ), Muller (78e ) et Pierre (80e ). Les Thannois sauvaient toutefois l’honneur en marquant un essai par Florent Vasseu

PAM  n’a  pas  à  rougir  

Parc  des  sports.  Arbitre  :  M.  Chapelle.  HAGUENAU  :  4  essais  de  Bitz  (21e  ),  Haubensack  (32e  ),  Gony  (50e  ),  Englender  (61e  )  ;  2  transformations  de  Breton  (32e  ,  50e  ).  Carton  jaune  à  Florentin  (14e  ).  PONT-­‐À-­‐MOUSSON  :  2  essais  de  Tachousin  (15e  ),  Vidrequin  (56e  )  ;  2  transformations  de  Tachousin  ;  1  pénalité  de  Tachousin  (4e  ).  Carton  blanc  à  Leroy  (27e  )  ;  cartons  jaunes  à  Tachousin  et  Pasqualini  (67e  ).    Pont-à-Mousson a donné du fil à retordre à Haguenau qui est finalement parvenu à mettre les éléments nécessaires pour s’imposer avec quatre essais à la clé. Même si les imperfections et l’indiscipline ont plombé le début de match des Haguenoviens. Les Mussipontains en ont profité par l’intermédiaire de leur ouvreur, l’entreprenant Tachousin, auteur d’une pénalité (4e ) puis d’un essai (0-10, 15e ). Les Haguenoviens répliquaient sur un irrésistible groupé pénétrant, conclu par le pilier droit Bitz (5-10). Collectivement, le FCH mettait la main sur les débats et Haubensack déchirait le rideau visiteur (12-10, 32e ), imité par l’ailier Gony (19-10, 50e ). Mais face aux enchaînements de temps de jeu mussipontains, la défense locale cédait logiquement. À 19-17, tout restait possible pour les Lorrains mais un mauvais renvoi aux 22 m devait hélas leur être fatal lorsque Englender s’en allait en terre promise (24-17).  

Yutz  sur  le  fil  YUTZ  –  NANCY-­‐SEICHAMPS  :  11-­‐10  (5-­‐7)    Stade  de  la  Moselle  (Yutz).  Arbitre  :  M.  Karczewski  (Comité  d’Alsace).  YUTZ  :  1  essai  de  Graff  (35e  ),  1  pénalité  de  Cleyet  Merle  (67e  ),  1  drop  de  Vilbois  (88e  ).  NANCY-­‐

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SEICHAMPS  :  1  essai  de  Loth  (32e  )  transformé  par  Quartino  (32e  ),  1  pénalité  de  Quartino  (56e  ).    Deux styles s’opposent : d’un côté la puissance mosellane, de l’autre la vélocité visiteuse. Ces deux styles se neutralisent en début de partie. De bonnes actions sont avortées par des en-avants de part et d’autre. Toutefois à la 9e minute, en bonne position, l’arrière Couchena du Tygre rate le cadre sur pénalité. Enfin, à la demi-heure de jeu, la rencontre se débride. La partie se cantonne alors dans le camp mosellan. À la suite d’une série de pénaltouches, Nancy-Seichamps inscrit un essai en force (32e ) conclu par Loth et transformé par Quartino. Réaction immédiate des locaux et, l’action collective marquée du sceau de la force, se termine par Graff (5-7, 35e ). La seconde période est spectaculaire. Tout d’abord une action collective des Meurthe-et-Mosellans est avortée par un en-avant, mais Quartino, sur pénalité, donne un peu de large à sa formation (56e ). Les dernières vingt minutes sont favorables aux Mosellans qui se heurtent à la défense acharnée des Loups. Ceux-ci cèdent en toute fin de partie, tout d’abord sur une pénalité de Cleyet Merle (67e ) et par un drop superbement inscrit par Vilbois (88e ).  

RÉACTION  Antonio Parra (entraîneur du RC Metz) «  Nous  avons  eu  des  temps  forts  sans  parvenir  à  conclure.  Cette  défaite  est  sévère  car  nous  ne  méritions  pas  de  perdre  par  un  tel  écart  (  27  points  ).  Dans  le  jeu,  nous  avons  réalisé  de  belles  choses.  Maintenant,  en  face  c’était  costaud  avec  deux  ou  trois  joueurs  très  rapides.  Il  y  a  encore  pas  mal  de  boulot  pour  être  au  niveau.  Le  déplacement  de  dimanche  prochain  à  Rueil  sera  un  test  plus  important  face  à  un  autre  promu.  Si  on  peut  ramener  des  points,  il  ne  faudra  manquer  l’occasion.  »      

   

Fédérale 2 Strasbourg  bien  lancé  

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Paris UC - RC Strasbourg 6-19. Mi-temps : 3-0. Arbitrage de M. Cochez (Normandie) Les points : 2 pénalités (Simonet 16e et 52e ) au PUC ; 1 essai (collectif 43e) ; 1 transformation (44e ) et 4 pénalités (Pujo 48e , 61e , 63e et 66e ). Cartons. Bancs : Pena (8e ) au PUC ; Wavrin (16e ), Fourie (76e ) au RCS. Jaunes : Pena (66e ) au PUC ; Wakanivuga (52e ) au RCS. PUC : Simonet – Chenut, Laurence, Bournac, Jayle – (o) : Thro, (m) : Kaiser – Doustalet, Doursat, Montaudon – Oger, Lannelongue – Laurent, Arnaud, Vachieri. Sont entrés en jeu : Falck, Sabarthes, Rey-Orange, Pena, Loiseau, Bouthier, Lolom. RCS : Zambelli – Degasquet, Wakanivuga, Bonjean, Bertro – (o) : Pujo, (m) : Darleux – Wavrin, Herbin, Loth – Allard, Tisane – Bronquard, Tyumenev, Bourhis. Sont entrés en jeu : Kapseu, Tskitishvili, Michel, Fourie, Sylvestre, Kaiser, L. Moussa. Grâce à leur belle victoire (6-19) au Paris UC, les Strasbourgeoisn’ont pas raté leurs débuts en Fédérale 2. Malgré une bonne domination, les Bas-Rhinois n’ont pu tromper le bloc défensif bien regroupé des Parisiens lors de la première période. Les Franciliens profitaient du carton reçu par Wavrin pour inscrire les premiers points du match sur pénalité de Simonet (3-0, 16e ). En 2e période, le RCS retrouvait son rugby. Pujo trouvait le montant gauche sur une pénalité des 40 mètres (42e ). La domination visiteuse en conquête allait être récompensée de ses efforts. Suite à une récupération en touche et à un maul bien organisé autour de Sylvestre, les avants visiteurs poussaient en force Fourie derrière la ligne, en coin. Malgré la transformation délicate, Pujo ne tremblait pas (3-7, 43e ). C’était sans doute le tournant du match. Car dans la foulée, le pack alsacien forçait les Franciliens à la faute sur un nouveau maul aux 22 mètres. L’ouvreur strasbourgeois ajoutait trois nouveaux points (3-10, 48e ). Wakanivuga écopait d’un carton jaune (52e ) et Simonet en profitait pour réussir sa deuxième pénalité (6-10, 52e ). Le travail d’usure des avants strasbourgeois devait porter ses fruits : Pujo réussissait trois pénalités, peu après l’heure de jeu. Le PUC tentait bien jusqu’au bout d’inscrire un essai synonyme de bonus défensif mais la défense alsacienne bien organisée, tenait bon. Cette victoire est de bon augure et d’autres bons résultats devraient suivre. Julien Chastanet, le coach, pouvait se montrer satisfait : « Nous nous sommes rassurés après la pause. Sans être au top, nous avons pris les quatre points au PUC qui en fera souffrir plus d’un ! »

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Mulhouse  gagne  à  l’envie  le  derby  face  à  Colmar  

l Le Mulhousien Dubois (à gauche) exulte, il vient d’inscrire un essai pour montrer la voie aux siens face à Colmar. Photo Darek Szuster

RC MULHOUSE 11 COLMAR RC 8 MULHOUSE. Stade Pierre de Coubertin. Mi-temps : 5-8. Arbitre : M. Marcou (Lorraine). 200 spectateurs. Les points : 1 essai (Dubois 27e ), 2 pénalités (Dartiguelongue 73e et 80e ) pour Mulhouse ; 1 essai (Smit 40e ), 1 pénalité (Pic 33e ) pour Colmar Cartons. Blanc : Maillot (33e ) à Mulhouse. Jaunes : Higelin (69e ) à Mulhouse ; Benoist (40e +6), Gilg (59e ), Brech (69e ) à Colmar. RCM : Chognard (Agnes 23e ), Fesseler, Higelin, Bimouk (cap.), Lamberti, Lagmange (Faesch 40e ), Oswald (Perrinet 33e , Maillot 77e ), Carbonnier, Weigel (Alcasena 30e , Dartiguelongue 63e ), Hestin, Maillot (Grangladen 41e ), Berges (Giberti 41e ), Holtz, Blumert, Dubois. Entraîneurs : Brigand et Sartori. CRC : Alkhafi, Compagnat, Schmit, CHampion, Benoist, Uhmann (Gilg 59e ), Kempf, Lanzillotti, Brech (cap.), K. Munschi, Stoll, Zinave, V. Cordon, Pic, Deleglise. Entraîneur : Sousa C’est avec une belle abnégation entretenue par son banc de touche que le RCM, promu en Honneur, a pris le dessus (11-8) avec une pénalité de Dartiguelongue à la dernière minute sur le Colmar RC, relégué de Fédérale 3, hier à Mulhouse. Le silence autour du botteur mulhousien Dartiguelongue a laissé place à une explosion de joie à la hauteur de l’exploit réalisé par le RC Mulhouse. L’arbitre siffle la fin du derby face au Colmar RC ce dimanche au stade mulhousien Pierre de Coubertin, aussitôt après que sa pénalité est transformée. Le RCM vient de réaliser la prouesse de renverser un derby (11-8), qui ne laissait

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présager une telle issue en début de rencontre. Forts de leur vécu en Fédérale 3, les relégués en Honneur s’installent dans le camp mulhousien. Les Colmariens n’arrivent pas à concrétiser leur domination territoriale à cause de mouvements gâchés par des fautes de main (7e , 15e et 18e ). La défense mulhousienne provoque ces fautes, comme elle arrête un maul à cinq mètres de sa ligne d’en-but (22e ). Premier éclair Et un premier éclair traverse la pelouse mulhousienne, du moins sur 40 mètres. Quasiment sur la première occasion locale, Dubois longe la ligne de touche pour s’envoler dans l’en-but colmarien. Le contre parfait (5-0, 27e ). Les Colmariens reprennent la main sur le jeu. Et Pic apporte enfin les trois premiers points sur une pénalité, 30 mètres à droite des poteaux (5-3, 33e ). Un gros temps fort (36e ) ne trouve toujours pas l’essai, comme Pic stoppé par Blumert (39e ). C’est finalement par Smit, que le Colmar RC touche au but après avoir récupéré un ballon (5-8, 40e ). Lles Colmariens partent toutefois à la faute avec Benoist, qui écope d’un carton jaune juste avant la pause. Les entraîneurs mulhousiens Sartori et Brigand galvanisent leurs troupes par leurs discours et des changements. Chaque camp rate une pénalité, alors que Hestin use toujours de son pied à bon escient pour évacuer le danger. Les débats sont engagés et un plaquage haut de Gilg apporte un deuxième carton jaune à Colmar (59e ). La lutte est à son apogée, la guerre des nerfs débouche sur une bagarre et un averti dans chaque camp (69e ). Avec un banc de touche mis à profit côté mulhousien et un bel état d’esprit, le vent commence à tourner. Le tout frais Dartiguelongue assure une première pénalité (8-8, 73e ). L’esprit de conquête est bien mulhousien, la fébrilité colmarienne se traduisant par un en-avant pour endiguer un mouvement (77e ). Dartiguelongue, lui, est bien lucide, pour que le promu de Promotion enlève le derby haut-rhinois. Avec un public tout à sa joie. Gilles Legear

Thann  a  souffert  

Thann – Hagondange 5 -53. Thann, stade de la Piscine. Mi-temps 0-12. Arbitre : M. Borissov (Strasbourg) Les points pour Thann : 1 essai (Vasseur 70e ) Les points pour Hagondange : 9 essais (Cabarret 6e , collectif 16e , Gauthier

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47e , Calloud 53e , Agnes 56e , Germain 64e et 75e , Muller 78e et Pierre 80e ) ; 4 transformations (Agnes 16e , 47e , 53e , 78e ) Il n’y a pas eu vraiment de suspense ce dimanche à Thann pour cette reprise du championnat Honneur. Hagondange est venu s’imposer avec la manière face à de timides Thannois, qui ont souffert face au rythme adverse. Le début de rencontre est à l’avantage des visiteurs, qui n’hésitent pas à envoyer rapidement le ballon au large. Les locaux essaient de réagir en relançant depuis leur camp, mais sans créer de danger. Dès la 6e minute, le tonique ailier Cabarret va aplatir le 1er essai de la rencontre en s’échappant côté fermé (0-5). Les attaques des Noir et Blanc manquent un peu de conviction. Après plusieurs actions qui auraient pu faire mouche, la domination territoriale des visiteurs est logiquement récompensée par un essai des avants, qui s’écroulent sous les poteaux. Avec la transformation d’Agnes, les Lorrains font le break (0-12). Après cette entrée en matière canon des Mosellans et dans le sillage de leur percutant capitaine Florian Scherrer, les avants Thannois sonnent la rébellion et donnent de bons ballons à leurs arrières, Zoltan Carrat se montrant à son avantage à plusieurs occasions. La mêlée des Alsaciens domine, permettant à Xavier Egler de créer des brèches et provoquer des pénalités. Mais le buteur Quentin Wagner voit son coup de pied heurter le poteau. Après la pause, le jeu est équilibré. Et ce sont les Lorrains qui sont les plus efficaces. Après une longue action de jeu, Gauthier bénéficie de plusieurs plaquages ratés pour terminer sa course sous les poteaux (0-19). La rentrée de Maxime Rassat redonne du tonus au RCT qui se créent quelques occasions d’essais, mais un ballon perdu dans un ruck est converti en essai par l’intermédiaire de Calloud qui file dans l’en-but, créant un écart au score définitif (0-26). La seconde partie de cette mi-temps est décousue, Thann jouant son va-tout et Hagondange se faisant plaisir en enchaînant quatre nouveaux essais. Les Thannois sauvent l’honneur en marquant un essai par Florent Vasseur. Haguenau - Pont-à-Mousson 24-17. Parc des sports. Mi-temps: 12-10. Arbitre: M. L.Chapelle (CD57). Les points: 4 essais (Haubensack 30e , Bretons 36e , Gony 53e et Englender 74e ); 2 transformations de Bretons (37e , 54e ) pour Haguenau ; 2 essais (Tachoussin 15e et Pasqualini 50e ); 2 transformations (16e , 51e ) et 1 pénalité (10e ) de Tachoussin pour Pont-à-Mousson. Cartons. Blanc à Tachoussin à Pont-à-Mousson. Jaunes : Florentin (55e ) à Haguenau; Laurent (38e ) et Pasqualini (52e ) à Pont-à-Mousson.

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Fédérale 2 Débuts victorieux mais poussifs du RC Strasbourg En  attendant  mieux  

Ce ne fut pas si simple pour le Fidjien Vinaya Wakanivuga, qui a vu jaune, et pour les Strasbourgeois, qui ont néanmoins assuré l’essentiel. Photo archives DNA - Michel Frison En venant s’imposer dans l’antre chargé d’histoire du PUC, les ambitieux Alsaciens n’ont pas raté leur entrée dans la compétition. Le manager sportif Julien Chastanet n’est pas dupe. La victoire en poche, il n’a pas hésité a émettre quelques réserves. «On est encore en rodage et on a été trop approximatifs en première période!» Malgré un potentiel et des intentions de jeu bien réelles, les Bas-Rhinois n’ont pu franchir le rideau défensif bien organisé des Parisiens lors des 40 minutes initiales. Suite à la faute et au carton écopé par Wavrin, Simonet inscrivit les premiers points du match (3-0, 16e ’).

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La tendance et le score ne tardèrent pas à s’inverser Lâchant trop vite les ballons, les Strasbourgeois ne réussirent rien de bon avant les citrons. Après ceux-ci, le RCS revint de suite aux fondamentaux. La tendance et le score ne tardèrent pas à s’inverser. Pujo expédia d’abord une pénalité des 40 m sur le montant gauche (42e ’), avant que la domination visiteuse en conquête ne commence à porter ses fruits.

Le ballon récupéré en touche et le maul bien cornaqué par Sylvestre sur une vingtaine de mètres permirent aux avants de propulser le Sud-Africain Louis Fourie derrière la ligne, à droite en coin. Malgré la position, Frédéric Pujo bonifiait (3-7, 43e ’).

Le plus dur venait sans doute d’être fait. Dans la continuité, le pack alsacien poussera les Franciliens à la faute sur un nouveau maul aux 22 m. L’ouvreur strasbourgeois ne se fit pas faute d’ajouter trois points (3-10, 48e ’).

Pour un placage jugé trop haut, Wakanivuga passera dix minutes sans conséquences hors du terrain et Simonet sa deuxième pénalité (6-10, 52e ’).

Poursuivant son travail de sape, le pack bas-rhinois devait permettre ensuite à l’ex-Montluçonnais Pujo de faire apprécier à trois reprises l’efficacité de sa botte, peu après l’heure de jeu. Le PUC qui n’aura jamais baissé les bras tentera jusqu’au bout d’inscrire l’essai synonyme de bonus défensif mais la défense alsacienne sut rendre sa ligne infranchissable.

Cette victoire devrait en appeler d’autres. «On s’est rassuré sur du classique après la pause résumait, Julien Chastanet. Sans être trop performant, on a su prendre les quatre points chez une bonne équipe du PUC qui en fera souffrir plus d’un!»

Dans une semaine, le public strasbourgeois découvrira les recrues qui, parmi la quinzaine, seront alignées devant le promu Antony. Battu... 99-0 sur sa pelouse devant le relégué Dijon, celui-ci a douloureusement découvert le niveau Fédérale 2 hier...

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Un séduisant FC Haguenau De  haute  lutte  

Martin Haubensack, servi par Hervé Heitz, en route pour le deuxième essai haguenovien. PHOTO DNA – Franck Kobi La saison est lancée et bien lancée. Au cours d’une partie animée, riche en rebondissements et de bonne facture, Pont-à-Mousson a donné du fil à retordre au FC Haguenau. Ce dernier y a mis tous les éléments nécessaires pour s’imposer avec quatre essais à la clé. Haguenau 24 vs Pont-à-Mousson 17 Mi-temps : 12-0; 150 spectateurs. Arbitre: L. Chapelle.

HAGUENAU : 4E Bitz (21e ’), Haubensack (32e ’), Gony (50e ’), Englender (61e ’); 2T Breton (32e ’, 50e ’). Carton jaune à Florentin (14e ’).

PONT-à-MOUSSON : 2E Tachousin (15e ’), Vidrequin (56e ’); 2T Tachousin; 1P Tachousin (4e ’). Carton blanc à Leroy (27e ’), cartons jaunes à Tachousin et Pasqualini (67e ’).

Dans le vif du sujet ! Quelle ouverture de championnat ! On a eu droit à tout, chamailleries sur le pré et florilège de noms d’oiseau dans les travées compris. Mais surtout à un bon match de rugby. Certes entaché de déchets largement excusables à ce stade, mais aussi marqué par de belles intentions.

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Les imperfections et l’indiscipline ont plombé le début de match des Haguenoviens que l’on sentait pourtant supérieurs. Les Mussipontains en ont profité par l’intermédiaire de leur ouvreur, l’entreprenant Tachousin.

Après une pénalité, ce dernier enfonçait le clou au quart d’heure après une interception de Gérard. Le véloce pilier poussait son action sur 40m et parvenait à servir le caviar à Tachousin (0-10).

Les Haguenoviens ont eu le mérite de ne pas paniquer et, au contraire, d’insister en jouant plus juste. Illustration, cette pénaltouche à 5m, muée en irrésistible groupé pénétrant, conclu par le pilier droit Bitz (5-10).

De belles promesses Collectivement, le FCH mettait la main sur les débats. Individuellement, les ex-Strasbourgeois concrétisaient. Hervé Heitz perçait à mi-terrain avant de donner à un Martin Haubensack qui, lancé comme une balle, déchirait le rideau visiteur. La transformation du prometteur Hippolyte Breton permettait même aux siens de basculer en tête (12-10).

Avec l’interception suivie d’une course de 50m entrecoupée par un raffut décisif de l’ailier Gony, les Haguenoviens pensaient avoir fait l’essentiel (19-10, 50e ’).

Mais après avoir vaillamment défendu juste après la reprise face aux enchaînements de temps de jeu mussipontains, la défense allait céder avant l’heure de jeu. A 19-17, tout ou presque était à refaire.

Le FCH s’y attelait, profitant d’un mauvais renvoi aux 22m. Derrière sa mêlée face aux perches, le demi Rosenstiehl s’échappait puis fixait intelligemment avant d’envoyer le flanker Englender en terre promise (24-17).

Les Lorrains voyaient ensuite doublement jaune. Les Haguenoviens ne parvenaient à exploiter la situation mais résistaient ensuite aux ultimes assauts visiteurs. Leur explosion de joie en disait long sur l’enjeu – déjà – de ce premier rendez-vous. La défaite de la saison écoulée est oubliée et un concurrent supposé relégué à quatre points pour l’heure.

Le coach Jean-Jacques Bos lui-même, ne cachait pas son enthousiasme : « Avec tous nos blessés, tous les trois-quarts qui nous manquent, il

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fallait le faire. On a à chaque fois su remettre un coup de collier. Cela faisait longtemps que nous n’avions été costauds de la sorte devant. Tout en se conformant au projet de jeu, les gars ont manifesté beaucoup d’envie, d’humilité, d’abnégation ».

En fait, tous les ingrédients pour réussir cette saison du renouveau. Championnat d’Alsace-Lorraine Le derby au RCM! Une  divine  surprise  

Colmar pris dans le tenaille noire et jaune. Les Mulhousiens y ont mis tout leur cœur Photo DNA – Cathy KOHLER Voilà bien longtemps que le RC Mulhouse n’avait plus débuté son championnat avec une victoire.

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Mais les Mulhousiens ont déjoué les pronostics en faisant tomber les Colmariens, anciens pensionnaires de Fédérale 3. David Brigand, le coach maison, ne trouve pas les mots tant l’émotion est forte. Mulhouse vient de faire tomber Colmar. Plus que le résultat, c’est la manière qui a été belle. «À Mulhouse, notre groupe est composé de pleins de jeunes, souligne Olivier Sartori, le deuxième entraîneur du groupe. En face, il y a la technique et le métier, chez nous, c’est le cœur qui a compté…» Colmar semble pourtant dominer les débats dès l’entame de la partie. Les occasions d’essai sont nombreuses mais Mulhouse s’accroche et s’en sort in extremis.

La patience des hommes de David Brigand et Olivier Sartori se voit récompensée à la 26e ’. Dubois ouvre le compteur mulhousien avec le premier essai de la saison.

Mais la réplique colmarienne ne se fait pas attendre. Après une pénalité signée Pic, l’essai du capitaine Brech permet au CRC de prendre les devants au repos: 5-8.

Les esprits s’échauffent en deuxième période. Colmar est à deux doigts de son deuxième essai. Mais une passe manquée laisse l’opportunité à Mulhouse d’éloigner le danger.

Les Colmariens continuent de mettre la pression. À quelques minutes de la fin, les visiteurs frôlent l’essai. Une faute de main met fin à l’action.

À l’inverse, les Mulhousiens égalisent (74e ’) et, sur une dernière pénalité, arrachent même une victoire inespérée. Celle-ci fait du bien avant un périlleux déplacement à Pont-à-Mousson qui a démontré un réel potentiel malgré sa défaite à Haguenau.