pour oreilles curieuses et esprits voyageurs… · 2016. 3. 1. · pour oreilles curieuses et...
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La Cie Mnémosyne Théâtre-poursuite
présente
Histoires musiciennes pour oreilles curieuses et esprits voyageurs…
Contes du Japon
Contes de Charles Perrault
et Jacques Prévert Contes du monde
Christian Locussol guitare Benjamin Lauber
percussions et autres instruments
Nobuko Matsumiya koto et chant
Nelly Pezelet narration jeu et mise en scène
TRIPTYQUE
Cie Mnémosyne Théâtre-poursuite : BP 37 – 92502 Rueil-Malmaison cedex - Tél. 06 63 45 21 95 - 01 80 87 63 44
[email protected] - http://mnemosynetheatre.blog.free.fr
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Nos Histoires musiciennes
puisent leurs récits dans le répertoire des contes d’ici et d’ailleurs, d’hier et d’aujourd’hui…
Elles constituent un cycle de 3 spectacles
où mots et musique s’associent
pour offrir des moments privilégiés
d’écoute et de voyage
Chaque spectacle est joué
par une comédienne et un musicien
Pensées comme un itinéraire de découverte
Les Histoires musiciennes sont 3 rendez-vous
programmables dans une saison
permettant au public de tisser des liens entre les spectacles
d’échanger avec les artistes et les autres spectateurs
Ces spectacles s’adressent à tous les publics (…à partir de 7 ans !)
Le dispositif scénique est simple et adaptable aux espaces peu équipés
La durée d’un spectacle est de 1 heure maximum
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Note d’intention et description du projet
La musique, comme les contes, accompagne la vie et les récits des hommes,
elle traverse les temps et voyage à travers le monde…
L’écoute, le rêve, le partage
Notre approche scénique et musicale de ces contes propose au spectateur, et particulièrement
au jeune spectateur, d’exercer son écoute, d’imaginer, de construire ses propres images,
d’éprouver des émotions au plus proches du récit. Le dispositif scénique est volontairement
minimaliste, pas de décors ni de projections d’images vidéos (!) afin de permettre une libre
circulation des rêves...
Le triptyque Histoires musiciennes s’adresse à tous. Proposé au jeune public dans les écoles,
dans les conservatoires, il peut intéresser les aînés des clubs seniors, ainsi que les familles dans
le cadre des programmations de centres socioculturels ou de médiathèques. Son contenu et sa
forme offrent la possibilité de réunir un public inter – générationnel et sont propices à
l’échange après le spectacle.
Le choix du répertoire des contes
Le conte est un précieux creuset où abondent figures et symboles, où la nature, l’homme et le
monde de l’invisible partagent des aventures initiatiques. De l’oralité à l’écriture et de
l’écriture à l’oralité, fonds commun de nos cultures, les contes sont à partager, à prolonger, à
transmettre... Ils offrent le plaisir de la découverte et celui de la reconnaissance, le plaisir de
réentendre une nouvelle fois « Il était une fois…».
D’un pays à un autre, les contes nous permettent de nous étonner des résonances ou des
récurrences, celles des parcours des personnages, des quêtes, des peurs, des révélations, des
joies, des sagesses et des interrogations des hommes sur l’existence.
Les contes nous rendent curieux des différences cultuelles, de la singularité des peuples, des
espaces, des climats, de la faune et la flore, qui interagissent dans la vie de chacun.
Le choix de la forme selon le répertoire
Jouer à raconter : pour les contes du monde nous respectons la tradition orale, le texte écrit
n’est pas présent sur scène et la musique accompagne la quasi totalité du récit.
Jouer à lire : pour les contes de Perrault et Prévert nous rendons hommage à la lecture à haute
voix et à une musique écrite complice d’une littérature orale française incontournable.
Lire et jouer de la musique côte à côte, faire danser les rêves des contes du Japon…
Donner voix, souffle, rythme et musicalité, couleurs et vie au texte. Etre « passeur », ouvrir un
chemin d’écoute et de divagation.
Le choix de trois spectacles
Proposer 3 « rendez-vous spectacle » c’est offrir un parcours, un voyage, qui se prolonge de
rencontre en rencontre, nourri d’histoires originales, de sons, d’images et de souvenirs… C’est
un parcours au cours duquel des liens se tissent entre les spectateurs-voyageurs eux-mêmes,
qui se retrouvent au fil de la saison, mais aussi avec les artistes.
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Contes du monde 4 histoires…issues de la tradition orale
La comédienne et le musicien multi - instrumentiste associent leur langage pour offrir
un récit voyageur créateur d’images, aux nombreuses péripéties sonores
Un conte africain : « frapper la peau du tambour... »
serait la première tentation du premier homme
envoyé sur terre par le créateur… Celle qui donna naissance
au premier son du monde, ce son lointain des origines
que les hommes cherchent en vain à retrouver…
Un conte tzigane où l’on découvre
comment le violon a été donné aux tziganes
et pourquoi son chant
fait venir tour à tour les larmes et le rire,
fait naître dans le cœur une flamme qui ne s’éteint pas..
Un conte inuit étrange et émouvant,
qui nous entraîne sur la banquise
pour découvrir l’histoire… de la femme squelette
Un conte du Kazakhstan
où, sous les doigts du musicien, l’instrument se fait récitant
pour conter ce que les mots ne peuvent exprimer.
Ce conte exprime avec justesse toutes les vertus de la musique, sa capacité à
apaiser les tourments et à procurer du plaisir.
Musiques et instruments du monde
Ces contes proposent la découverte d’un univers musical propre à chaque peuple. Chaque récit
est accompagné par différents instruments (percussions, vents et cordes), choisis comme
éléments dramatiques (ponctuant ou soutenant l’action), ou pour leur propre rôle dans
l’histoire, ou encore pour leur couleur et appartenance culturelle.
Tambours, bukarabou et autres percussions,
santour, zarb, boubouk, gomi (sorte de kora), sansula,
flûte saxo bambou....
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Contes de Perrault et Prévert 4 histoires… sorties d’un livre de contes
La comédienne et le guitariste jouent ensemble à lire et raconter, à découvrir,
redécouvrir et faire résonner ces contes traditionnels français
Le petit chaperon rouge
La Barbe Bleue
Le petit Poucet
Trois « Contes de ma mère l’Oye » de Charles Perrault (texte original)
Un des « Contes pour enfants pas sages » de Jacques Prévert : L’Autruche
ou l’histoire revisitée du Petit Poucet
Musiques…
- celtiques du barde Irlandais O’Carolan en guise de « tourne page »
- baroques de Robert de Visée en guise « d’imageries musicales »
- ambiances sonores composées en guise « d’illustrations complices »
… jouées à la guitare
Turlough O’Carolan (1670-1738) : Harpistes et compositeur, dernier barde Irlandais, il est
considéré comme le compositeur national Irlandais.
Robert de Visée (v. 1650-1725) : guitariste, théorbiste, luthiste et compositeur baroque
français, il fut guitariste pour Louis XIV et le maître de guitare du Dauphin.
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Contes du Japon 4 histoires… émergeant du répertoire traditionnel et inventé
La comédienne et la musicienne, côte à côte, donnent à entendre les contes,
font chanter les rêves et danser les fantômes du Japon
3 contes
initiatiques et poétiques, troublants d’étrangeté,
où animaux, créatures et fantômes,
viennent croiser le chemin des humains…
- Urashima Taro, le généreux pêcheur, qui sauva une tortue, épousa la princesse de l’océan, et
à qui fut confié un coffret à ne pas ouvrir…
- Le destin exceptionnel de L’enfant qui dessinait des chats…
- La métamorphose de La grue qui voulait tisser le bonheur d’un vieux couple
Et 1 conte revigorant
où l’expérience et l’inventivité
d’une grand-mère sauvera tout un royaume
et aura raison de la plus grande peur du roi : vieillir !
Musiques jouées au Koto et chansons populaires et enfantines
Le koto est une longue cithare à cordes pincées.
Il est originaire de Chine et fut importé au Japon vers le VIIe
siècle. Depuis plus de mille ans qu'il est utilisé dans la
musique profane, le koto demeure la marque de
l'appartenance à l'élite sociale japonaise et d'une éducation
raffinée, en particulier pour une femme.
La musique de koto s'appelle « sōkyoku ».
Chacune des treize cordes tendues au-dessus de la caisse est soulevée par un chevalet mobile
qu'on déplace pour modifier la longueur vibrante de la corde. Le musicien pince les cordes avec
des onglets ajustés aux doigts de la main droite. Les possibilités qu'offre l'instrument sont
nombreuses et variées : possibles fonctions de pseudo-xylophone et d'instrument à percussion
en frappant la caisse de résonance avec la main gauche.
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L’équipe artistique
Nelly Pezelet est comédienne et metteur en scène.
Elle aime associer théâtre et musique dans ses mises en scène. Elle joue
actuellement « De tant d’hommes que je suis… », un spectacle poétique et
musical sur l’œuvre et la vie de Pablo Neruda. Elle a joué des textes de
divers auteurs tels Genet, Arrabal, Ribes, Minyana, Brecht… Elle a mis en
scène L’Ogrelet de S. Lebeau, des pièces de S. Levey, F. Garcia Lorca, B-M
Koltès… ainsi que plusieurs lectures musicalisées. Elle conçoit et développe
régulièrement des projets artistiques pour la Cie MTP, apporte aussi son
regard de metteur en scène à d’autres productions, et enseigne le théâtre.
Benjamin Lauber est percussionniste, de formation orientale, mais de
culture européenne. Elève du musicien indien Shyam Bihari Pathak, il s’est
perfectionné auprès de virtuoses tels que D. et K. Chemirani, L. Subramaniam,
H. Agnel, M. Akatay et L. Khan. Il a accompagné de nombreux musiciens dans
divers répertoires d'influence méditerranéenne, balkanique, orientale ou jazz,
et travaillé en immersion avec des artistes grecs, cubains, tunisiens, turcs,
guatémaltèques. Il s’est produit dans de nombreux festivals de musiques, a
participé à de nombreux spectacles de théâtre et de danse. Improvisations
composées et compositions improvisées forment la clef de voûte de son travail
qu’il développe aussi pour l’image, le film documentaire et le cinéma.
Christian Locussol est guitariste de formation classique. Il a interprété de
nombreuses œuvres classiques et contemporaines, en soliste, duo de guitares,
musique de chambre, ensemble vocal. Particulièrement sensibilisé à la littérature
musicale espagnole du XXe par le maître Alberto Ponce, il s’intéresse aussi aux
répertoires traditionnels et folkloriques. Il a joué les chansons populaires espagnoles
de Lorca, Falla, Sor, Rodrigo, M.G. Morante (duo avec Nuria Mampel, CD Canciones
Populares Espanolas - Barcelone), la musique latino-américaine, le tango et la
musique argentine traditionnelle (duo Tango Mio avec la chanteuse Yolanda
Fresedo). Il a joué dans les spectacles Lorca, poète musicien et De tant d’hommes
que je suis… Pablo Neruda.
Nobuko Mastumya est kotoïste et chanteuse. Elle est originaire de Kyōto et
réside en France depuis 1988. Ses récitals offrent un vaste panorama de la musique
japonaise : oeuvres chantées (jiuta) et instrumentales (danmono, tegotomono du XVIIe),
chants populaires traditionnels (minyô et shin minyô), chants de l'ère d'Edo (XVIIe au
XIXe), musique instrumentale contemporaine. Elle s’est produite dans de nombreux
concerts et festivals en Europe, Afrique, et dans plusieurs émissions : France Musique,
France Culture, France Inter, France 3, M6, KBS. Elle a joué à la résidence de
l’ambassadeur du Japon en France, à l’Unesco, à l’Assemblée nationale, au Sénat, à
l’Auditorium du Musée Guimet, à l’Opéra de Lyon... Elle a fondé l’Ensemble Sakura ( CD
Minyo du Japon - Musique et chants populaires traditionnels, Japon - Rondes, comptines
et berceuses. Elle joue aussi des lectures-concerts, spectacles de contes et de Haïku.
Mathieu Enderlin est …complice (!) de ce triptyque. De son œil critique et bienveillant, usant
de sa créativité et de son expérience de comédien marionnettiste, il accompagne la mise en jeu de
ces Histoires musiciennes. Mathieu à jouer de nombreux spectacles de théâtre et de marionnettes
en France et à l’étranger dont dernièrement La Nuit de Pierre Blaise. Il a participé à plusieurs
projets et spectacles de la Cie Mnémosyne et animé également ses ateliers théâtre. Il enseigne
depuis 2 ans à l’école de marionnette Théâtre aux Mains Nues.
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Eléments techniques
Durée : 50 minutes à 1 heure / + 30 minutes d’échanges avec le public
Espace scénique minimum : 4m d’ouverture et 4 m de profondeur
Jauge : nous recherchons un rapport de proximité avec le public et préférons les petites jauges
Lumières : un éclairage de scène fixe et sans régie peut convenir. Si le lieu d’accueil du
spectacle n’est pas équipé, un dispositif mobile d’éclairages simples reste souhaitable
Sonorisation : micro HF (matériel de la Cie) ; console son et enceintes (du lieu ou apportées par la Cie)
Eléments de décors : tapis - tabourets et pupitres (matériel de la Cie)
Installation dans le lieu - Répétition : 1 service de répétition dans le lieu est nécessaire
Tarif spécial pour les établissements scolaires : nous contacter
La Cie Mnémosyne Théâtre-poursuite
La Cie Mnémosyne Théâtre-poursuite existe depuis 2005, en Ile-de-France. Elle crée des spectacles
vivants et mène des actions artistiques en direction de tous les publics. Elle propose actuellement à la
programmation le spectacle poétique et musical « De tant d’hommes que je suis…» Pablo Neruda, les
Histoires musiciennes et L’Ogrelet de Suzanne Lebeau. Depuis 2013, elle élabore un projet intitulé A
voix Hautes, programmes de lectures thématiques à une ou plusieurs voix, parfois accompagnées par
des musiciens. Quatre « Lectures partagées » ont été jouées dans ce cadre pour un public senior à
Lognes. La Cie a produit les pièces Les Bonnes de J. Genet, Fando et Lis de F. Arrabal, et consacré une
saison entière à [Auteur complice : Sylvain Levey] - ateliers d’écriture, de création, mises en scène des
textes de l’auteur. Elle a mené autour de Fando et Lis des actions de sensibilisation auprès de lycéens et
organisé à Rueil la Semaine de prévention contre les violences familiales (spectacle, débats,
conférences, films, expos). Elle propose chaque année des ateliers et stages de théâtre dans des centres
culturels mais aussi des interventions en milieu scolaire.
Soutiens et partenaires
La Cie reçoit le soutien du Conseil Général des Hauts-de-Seine et de la Ville de Rueil-Malmaison (92)
(subvention annuelle de fonctionnement)
Elle est adhérente du réseau RAVIV ! et a bénéficié du dispositif « Partage d’espaces de travail et de
répétitions » pour recherches et expérimentations, mise en chantier de ce projet (Eté 2014)
Autres partenaires du projet :
- Le Théâtre de la Noue à Montreuil (mise à disposition du plateau pour des répétitions)
- Le Raiq-Villages à Rueil (mise à disposition d’espace pour répétitions)
- Le Service Education de la Ville de Rueil (accompagnement et soutien technique aux écoles)
- La Médiathèque de Rueil (accueil de représentations pour les classes de l’Ecole Les Trianons)
Recherche de financement en cours :
- SPEDIDAM : aide à la création et à la diffusion