poulsid REPUBLIQUE DE HAUTE.VOLTA, (JIF J 1...
Transcript of poulsid REPUBLIQUE DE HAUTE.VOLTA, (JIF J 1...
R E P U B L I Q U E DE HAUTE.VOLTA,
r l I N I S T E R E d e 1 AGRICULTURE e t de 1' ELEVAGE
D I R E C T I O N du DEVELOPPEMENT RURAL
I.R.A.T.
--------------c-
p o u l s i d (JIF J
/
RESULTATS OBTENUS EN R I Z I C U L T U R E DANS Li; REGION
\LI.
9 ANNEES 1968,1969.1970
' j
I N S T I T U T DE RECHERCHES AGRONOMIQUES
TROPICI ' ILES E T DE CULTURES V I V R I E R E S
------------------_
O. R.S.T.O. M. Furius iioçumentaíre
A
S O M M A I R E -...---I.
A - ,LE MIUq
1) Le climat
2) Les sols
3) Les types de riaiculture
B - U S RESULTATS
?I) Sans contrôle de l'eau
2) Avec contrôle partiel de l'eau
3) Avec contrôle t; !-al de l'eau
X
x x
..:
A - L E P 4 I L I E U - ---------e-
. A - 1) LE CLIMAT-
La zone BtudSée, Centre Sud de la Haute - Volta correspond aux ORD de OUAGL'0UGOU e t de KOUDOUGUU, e l l e est comprise entre les isdq-etes 1000 mm au Sud e t 850 mm au Nord. Le clima4 e s t de m e soudanien avec urze longue saison sèche de 6 mois dont 4 absolument secs de Décembre B &rs, e t une saison des pluies de 4 mois, Juin B Septembre.
Eh saison sèche souff le l 'ali$é du Nord Es t : l'harmattan, l'humidit8 re la t ive est toujours inférieure à 50 70, e t l e s températures sont les plus fraîches.
A pa r t i r du mois d'Avril s ' i n s t a l l e progressivement l e rég5me de mousson, entrainant les masses d 'a i r humide du Golfe de Guinde. Les températures e t 2 %umidi t é augmentant .
Le début de l a saison des pluies e s t très variable, du 15 hi au 15 J u i l l e t selon les années, en noyenne debut Juin. La pluviosité est maximum en Aofie. Les pluies s'arr6tent f i n Septembre. Durant ce t te saison des pluies ( ou hivernage ) les températures passent par un douxiP-i,: minimum ( voir diagramme OUAGkKAlvBOIBSE 1970 ).
L'E.T.P. ( évalude à 80 P de l'évaporati,on du bac type A d ' a p i :: les résu l ta t s de NOGTZDO e t SARIA ) est fa ib le pendant la saison des pluies:3 ?i 4 "/jour, en saison sèche e l l e e s t de l 'ordre de 7 mm/jow e t a z t maximum en Mars-Avril, mois l e s plus chauds.
A - 2) LES SOLS - JÆ plateau MOSSI d'alt i tude moyenne de 300 m a un re l ie f t r k s
peu marqué. Le réseau hydrographique est assez dense, mais un seul cows d'eau la Volta Blanche e s t permanent, les autres ne coulent qu'en saison des pluies, de début J u i l l e t à f i n Novembre ou Février suivant l'importcmco du bassin versant e t l a pluviosité de l'année. Les vallébs sont B pente, aussi bien la térales que longitudinales, t r è s f a i b l e 5 B 10
D a n s l a plus grande partie de la région on retrouve au flanc de ces vallées la mgme chaîne de s o l s fermgineux trop ' &Caux.
DESCRIFTION DE W CIS;AIJTE ET SL'HEljiA - - en h u t de pente : sols sqyelettiques - & mi-pente : so l s ferrugineux tropicaux sableux : - s o l s à cuirasse près de l a surface (moins de 50 cm)
- s o l s & cuirasse profonde ( plus de 50 cm) & bonne va lxr B. fa ible valeur agricole.
agricole. LB. cuirasse est de plus en plus profonde au fu r e t 21 r . t X - i r e que l 'on s'approche du marigot e t f in i t par d i spa rdk- - . - en bas de gente : s o l s hydromorphes plus ou moins argileux carac-t;Qlie& par ì e s taches roui l les ou bleutées des pseudogleys e t g l e p .
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- S O N D
AMME OMBROTHERMIQUE DE 0UAGA-K
1970
limite lit moyen
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C m b e If Clrsss I ---
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Chaîne des sols de SARIA
_ _ - - - .
Sals Forruginm~x tropicaux fo~ ,s iuc)s 3 hydro8orphio dm profondeur
PL ATEAU
Sols grauil lonnairos 8ur cuirass.
harizon de surfaca grih at sableux(lO$ d*orgi l ;r ) profondeur 20 CA
mar i got
hiu#n;Eg. on
mn hivarnogo ,
\ horfzon prcfand acka rouge ßB10 30 ;g d'orp5la
utilisera plus loin la nomenc. .ture en cinq cksses (voir croquioj définie pa^ 1'4. BROUTrGiETiS ( pédologue de 1'IIL'T) lors de sa mission de 1970. Dans l a mesure oÙ e l l e e s t basée sur l e régime hydrique du s o l ce t te classification e s t pratique en riziculture.
Ze soue-sol est en general granitique. Dans certaines zones l e sous-sol est cons-titué de roches vertes( schistes du birrimien) sur lesquelles on rencor_tre des so l s e g i l e u x du Qpe ver t i so l ou s o l brun eutrophe ( on trouve aussi ces types de so l s sur granits) H. 'BROUImS l e s classe dans une catégorie III B ou I V e t V, selon leur position topopaphique.
u - 3 ) p S TYPE& DE lUU:CULTURE
Ia r iz icul ture e s t d'introduction assez récente, e t cantonnée dans des bas-fonds (classes I V e t V) en gén6ra.l non amdnagés. I1 s ' a g i t bien é@i.c!ement d'unG culture de saison des pluies (de mousson).
Le semis est direct , réa l i sé dEs que possible qudnd l e s o l du bas-fond est humide ( d4but Juin), avant gue l e marigot a i t un débit permanent. &ant l e narigot est inondé en Août, l e ri5 est déjà assez grand pour ne pas ê-tre nog6 (au centre des bas-fonds on cult ive l e r i z B pa&lles longues, $ype GJJIBIAKA) Fin septembre l'eau se r e t i r e , mais la plante peut s'alimenter & la nappe ;j.k4a- tique gui affleure la surface. La récolte a l ieu plus ou moins tard en Octobï'r? pour les vari6tés .hâtives, e t en Novembre pour l e s vari&& tardives dans le? bas-fonds bien alimentés en eau.
La l u t t e contre les mauvaises herbes dans ces r iz ikres sans contrÔlc: de l'eau, demande aux paysans un éno-me travaj-1 de sarclage tout au long de la culture, sans comptbr l e retournement B l a houe effectué en saison shche, des-tin6 à d6truíre les rauvaises herbes avant semis.
Le risque le plus grave e s t l e manque d'eau en f i n de cycle, s o i t que les p1uies;s'arrêtent très t ô t , s o i t que l e s semis a ient é té exagérément retnrd6s dans l'at-Lente des pluies. Le choix du cycle de la var ié té cultivée es t alors ' "es i q o r t a n t . On l e prendra d'autant plus court que l'aliinentation en eau est; moins assurge. Les variétés vulgarisées sont l e Sintane-Diofor à cycle semis floraison de KI jours , u t i l i s é dans les zones les moins favorables, l e D.52-37 h cycle de 90 jours e t l e GAN3IAIIIL 8. cycle de I 15 j o u r s e t pai :.les longues r d s e i d aux zones 8. inandation polong6e ( e t souvent pofonde )
Un autre risque est celui provoqué pm les crues violentes qui suivent certaines pluies de plus de 50 5 60 m, t r k s intenses (plus de Im B l a minLite). Il y il normalement p!.lusieurs pluies de ce type tous les ans. Ces crues rendent tr8s aléatoire l e repiquage du r i z , car elles risquent d'emporter tout un ckla~p nouvellemnt repiqué ob les plants n'auraient p s eu l e t e m p de s'enraciner.
Pour a d l i o r e r l a culture, il es% nécessaire de r6gulariser l e ré&iLc hydrique des r iz ières , surtout en f i n de cycle, il faut rechercher 8. garder. i' ::x l e plus longtemps possible ( gdn6ral).
les variétds B cycle long produisant plus en
La solution classique consi$ te à construire des barrages qui peme-tki:roi,?'c en plus de faire une culture de saison s8ch . E l l e est rarement u t i l i sab le dr'xz cz t t e région car:
- du f a i t de l'absence de relief, l e s sites favorables sont exceptio.-._t-ls, - les pertes par 6vaporation en saison sèche sont énormes - l'importance des crues d'orage oblig8 B l a constrmc-Lion d'ouvragss disproportionnés 8. 1 'im2ortance des retenues réelles.
a)Cette var ié té sera déconseillée en 1970 & cause de sa grande sens ib i l i t é 8. la
b) ce t te remarque n 'es t pas une règle absolue piriculariose ./...
- 1 1 - On peut classer les barrages actuellement construits en deux -kyp:oc :
- ceux qui se vident en saison sèche (évaporation) e t en aval d . x c p í i k une culture de saison sèche e s t impossible e t oÙ l 'habitude e s t prise d' iz, ;$m~i, . les cultures par l e semis d i rec t dès l ' ins ta l la t ion défintive de l a saiscm !?E::
pluies. Le type de r iz icul ture se rattachant à. Qe modèle e s t pratiqu6 à b. Station de IWIBOINSE.
patatique courante du repiquage (modèle Station de IqOGTEDO)..
de r iz icul ture :
- ceux qui ne se vident pas, permettant la double culture avec
Los résul ta ts seront présentés en suivant l e s trois types pr inc ipxc
- rizicul-hne sans contrôle de l'eau - r iz icul ture avec contrôle par t ie l de l'eau - r iz icul ture avec contrôle to t a l de l 'eau.
- 12 - ~
B-LES R E S U L T A T S ------------------
I ) Essais vai.%étzuu
11 - Riz de marais sans. aménagements
12 - Riz de bas-fond mec d a u t u d"m5nagement
a ) Essai comparatif
b ) Coliection de comportement
bl - Variét6s précoces
b2 - Variétés de saison
b3 - Variétés tardives
2 ) Essais de teclmisues culturales e t f e r t i l i s a t i o n
21 - Riz de bas fond sans aménagement -w-
a- essai soustractif NPK
22 - Riz de bas fond -début d'aménagement
a - Essai teclmique culturale b - Effet du phosphore
II - RIZICULTURF: AVEC SEX1 CONTROLE DE L'EAU - I-----_ - ---
1) Essais variétaux
11 - Bilan de l ' essa i inter iut ional
1;2 - Essais compmntifs vnriétr?ux du r i z (IRAE )
a - 1968 b - 1969 c - 1970
2) Essais f e r t i l i s a t ion
21 - Essai de fumure phosihatée
n - commmison des formes peL1 solubles e t solubles b - courbes de réponse icu phosphate NH 4
J.. .
- 13 -.I
2 2 - E s s ~ i i de fumure azotée
a - doses croissnntes cumu b - doses croissantes 1969 c - doses croissantes I970
23 - Autres éléments Ca - K20
III - RIZICULm AVEC COKTROLE TOTAL DE L'au I------_ -- - I.) Essais vasi6taux
1 2 - Hivernage 1969
12 - Scaison sèche
13 - Hivernage1970 1969 - 70
a - var i é t a l SINTAIJE e t mutants
b - vcariétal I R
2) Essai f e r t i l i s a t i o n
21 - Essai régénération
22 - Essai chaulage
ztives 196, - 70
X
X X
" I 4 - B L L E S R E S U L T A T S
----A-- -=-=-=z-
I - RIzfCULTURE SABS CON!ROLE: DE L'EA'J
1) E s s a i s vasiétaux
1 l r Ri5 de marais sans aménagement
Essai de vocation r iz icole des classes de s o l III 8. V . c
Pow tes te r la possibil i tb d'introduire la culture du r i e pluvial, une sér ie d'essais simples a s;&é mise en plabe sur un échaitillos,- nage des s o l s de toute la région. Le protocole en a é té ' é tab l i avec 14. G.IIPLDDAD expert de la SATEC , lors de sa mission début 1970 :
12 variétés sont testées :
- 8 vaxiétés pluviales introduites (no1 à 8) - 4 variétés non pluviales d6jà cultivées en Haute-Volta :
no 12 - le Fossa vulgarisé dans l'Ouest pour les so ls non inondés dans lesquels la nappe phréatique reste t rès près do la surface.
no 11 - Le Sintane vulgarisé dans la zone centre? 8. cycle court adap+d au fa ib le contrôle de l'eau (semis-épiaison: 90 jours)
no 10 - Le C.74 à cycle un peu plus long (semis-Qpiaison : 96 jours ) no 9 - L'IR 8 à cycle long, g u i servira de repère sur l'alimentation ai
eau du milieu.
J
I1 y a 2 répéti t ions par emplacement :
La fumure est de 100 kg de phosphate d'ammoniaque i 50 kg de
Le semis est direct en lignes continues à 40 cm d' Qcarkxnm.t
sulfate de potasse e t 50 lcg d'urée.
(parcelle élémentaire 1 O lignes de 6 mètres ) On peut regrouper les essais en deux zones :
-.I 1 ms l a zone nord B. pluviométrie moyenne de 850 "/an, GUY Ics so ls sableux à capacité de rétention fa ib le ils ont é té syst6matiquenerL-b in s t a l l é en bas de pente : classe V, I V e t limite I V à III, il faut a.lors paxler de r i e de marais e t non de ri5 pluvial.
Remarque : l ' e s sa i sur classe V dans l e bas-fond de SARIA a été implait4 par repiquage e t non par semis direct. - D a n s la zone Sud 8. pluviométrie de l'ordre de IOOOmm/an
les essais ont é t é ins ta l lés en positions plus hautes, on conditions rée l les de r i z pluvial-
*/. . *
I l i5 - Le tableau ci-dessous :
longueur de cycle senis-floraison,hauteur des pail les
C : longueur de cycle : semis - 5 G P floraison , en jours
Ii : b u t e p de la tige , en cn. e t l e tableau de l a page suivnnte, résme les résul ta ts
Its cymle seil3is -floraison s'allonge quand l a plante e s t mise en condition plus sbche, c 'es t B dire au fu r e t B mesure que l 'on s'éloignc! dv. railieu du bas-fond e t les variétés les plus tardives ne fleurissent pas ou l e s f l e w s avortent.
Ia hauteur de pai l le de ri5 pluviaux véritables (OS6, R E 19) c s t n a x i m en bas de pente e t non dans l e bas-fond proprenent d i t . Ce qui indique l a position qui leur convient l e ?&fizux, par contre la hauteur de:; pail les des variétés adaptées àLa cultme en casiers ( I R 8, C 74) de'croit au fu r e t B nesure que l 'on stéloigne de la zone inondée.
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i 1 6 - SATEC 1970
RGSULTATS EN kg d e P A D D Y / H 4 i
i'
,
-63-83 ~
2620 I 5200
t
E I
41 5 R 6
3890 1550
r e p i - Gage
74 1 ..-. __
- V
-- - " ... .. 1.-
3130 . 1840 j 1840
3980 8 4 0
$240 \ lm
2930 I
3340 21 20
21 20
2 240
1430
I790 - 1630 - 2116
724
IIIB
N O R D
370
270
i 1 1
I S U D 1 t
I 1 l i -
V E R T I S O L S
I 3 3 0 81 O
1090
870
1350 2050 1850
1 6 1 0 I
580
620
91 0
L 11,
Les r i z pluviaux véritables : 036, RE 19, 63-83, s ' a d a p s i t 8. toutes les situa- t i o n s : en s o l inondé i ls donnent des résul ta ts convenables e t en conditigns sèches les meilleurs rendements. Par contre les var i&% connues pour leur bonne productivité en r iz icul ture contr81ée: I R 8, C 74. . l 'on s'élève un peu sur l e flanc des bas-fonds. plastique, leur producti.cn chute t rès v i t e e t s 'arrête même
Les deux variétés de type Japonica: T a k m 2 e t Ikong Pa0 se., ?istinguo:i% par leur plast ic i t6 e t leur productivité: mis e l les seraient peu appréciées par les consommateurs locaux.
Ces essais devront ê t r e recommencés plusieurs années avant que l'on puisse t i r e r des ,conclusions générales: en Gffet 19a3.i"tation hy&ique os* l e facteur variable dans ces essais, e l l e e s t sous l'étraite dependance de je. pluviosité particu1ièrei::ent i"eguli&re de la région ( l a posi tion topographiq;:;i.c n ' i nhmien t qu'après). A cet égad l'année 1970 a été particulièreï:, I lent déf <... :: 3-
rable dans la'zone Sud, moins par l e déf ic i t tokai de pluviométrie ( de 1'o:dze de 100 mm ) que par l e démarrage t r k s tardif e t irrégulier de la saison, des pluies (un mois de retard) qui a entrainé une mauvaise levée; en zone Nord l e dé f i c i t t o t a l de pluviométrie es t Qgalement de 100 m, mais la réparti t ion est bonne ce qu-i a permis des rendements corrects en condition de culture p luvide sur des s o l s B bonne capacité de rétention,(cas de NaY?dlala) ,,
h s résul ta ts de llanga e t de Tabou classe I V .ndiquent que l a rizicul4.x-b Dluviale s t r i c t e e s t t r è s aléatoire, 11 fau t s'en t e d r B une riziculture de ias-fonds e t répétons l e parler de r i z Be marais plutôt @e de r i z gluvial. Autour de l a partie centrale, lit 'majeur dos marigats d a ~ s e V - , ob la rizicJ2-
ture inondde avec äes variétés à cycle long est possible, l a @ange de s o l conve- nant au r i z e s t t r è s étroi te ; seule l'expérience peut en donner les limites, chaque bas-fonds e s t un cas d'espèce.
'E&ë Eh réswné la riziculture en zone.peut sans aménagement se ramener à
deux cas :
.- une r iz icul ture de type classique avec des variét8s à cycle assez long,
des pluies$classe V de H. BROUWERS.
- une riziculture de bas de pente ( classe I V de PI. BROTTWERS) conduite avec des vsxiét8s de r i z pluvial type OS6, RE 19, 63-63 dont l a p k s t i c i t é leur permettraient de rés i s te r 8. l'inondation en année trks pluvieuse, e t B un
cantonnée dans la zone régulihrement ( d'année en année) inondée en saison
certain manque d'eau en annee sbche.
12- Riz de bas-fond avec d(lbut dlag&rgg~m~& - Les ménagements consistent en pet i ts casiers entourés de diguetLes
de part e t d'autre d'un canal de drainage central qui 8. l ' inverse peut serv:.r 8. la mise en eau des casiers lorsqu ' i l e s t barre pmvisc;::; a m n t (batardeaux)
k s essais ont e te conduits dans l e bas-fond ds SARIA.
Entre 1967 e t 1969 aucune expérimentation vari6tal.e n'a QtQ poursuivie .
?a SBftIB. Seule l 'épmation des variétés vulgarisées = STL'TANL, D52 - C 74 &ait effectués.
*I.. .
B.. un essai comparatif de 4 variétés précoces a Qté m i s sn place .: SAFUA, L W O I & $ 3 e t MOGEEDO.
- Disvos i t i f d 'essai - i.
Essai bloc 2~ 8 répbtitions - surface parcellaire u t i l e 15 m2. minérale = 100 kg de phosph - NH4
100 kg d'urée s o i t 50 u de P205 65u. N~
La variété S1"E DIOFOR est ?i comparer 8. 2 de ses mUtav:hi i r radiés II x 4 - 5, L x 5 - 2 e t 8. un r i z pluvial 63-83.
Semis l e 9 j u i l l e t . Alimentation en eau normale.
Xésultats
: Cycle : Rendment ' 0 semis-ép. %/ha
1 Variété . e Hauteur
' 2 : SINTANE : 82 94 : 33161 :
: 3 , LX5-2 1 82 89 ' 4 : 63-83 : 82
Essai s ignif icat i f à 5 "/;
- Coefficient de variation : I 2 70 - La variétéLx4c5est Qquivalente :.LI. SINTANE ( Test de Duncan 0,05).
9 Collection de comportement
17 introductihns nouvelles ou anciennes ont é t6 observées CE v.
I t e s t de comporte~aent du semis 8. l'épiaison.
Semis le 16 j u i l l e t Fumure = 100 kg de PA.
2 répétitions. Leur cycle varie de 60 B 110 j o w E
100 kg d'urée.
Résultats &.$ Variétés précoces ( 60 à 80 jours )
Variété Origine 1 Hautep ' . Cycìke ' . Rdt kghs
' RIBE ' I t a l i e ' 69 61 ' 1410 ' : ITALFATNA Ttalie ; 77 67 : 2480 ' IUZOTTO I l ' 70 61 ' 1530 I
: MeKALIOKA 1246 : Pladagascar : 80 61 : 1820 . .-.
* / * L.
b2-Variétés de saison
Variété
(80 8. 95 jours )
_uu-
Hautw ~ Cycle ' Rdt IQ/l?a .-
__I--
: Origine . _rr__.- --
3 l x 4 - 5 f Richard T o l l : 111 : 8 6 1 4030 ?I 11 E 91 : 86 :: 3700 : H 7
: I R 2 0 1 I ra 64 : e 8 i 3900 : I l 3 2 2 : 11 ; 63 : 8% 3830
TSIVIW3INA : Nadagascax : 102 : 86 ; 930
: N A K A I L O U 752 : I I . 104 : e 6 : 970~: : ROJOFOTSY 11 : 108 85 2600
Variétés tardives (95 8. 110 jours ) ' 3- - " . Vmi&t& : Okigine t Hauteur : Cycle : &It &/ 2
: I.R.8 IRRI : 64 : 104 5300 1.R 5 11 :: 72 : I10 t 4160
: H 14 1 Richard T o l l . 103 99 1 4770 SOSSOi\T : C.1voire : 93 : 1-10 : 2160
*. - -
: BINTOUBAU : Guinée 102 104 1 4400
SEGADIS : NaSi 2 93 96 : 4300
2 - Essais de Techniaue culturale e t f e r t i l i s a t ion
Riz de bas-fond sass ménapement Effet de fumure soustrscr&f 8-P-K L'essai a et6 a i s en place 8. N A N D I U sur up1 sol de bas"',
de classe V analogue 2 celui de SAFUA. Le piquetage a 6té réalisé :'.' 25 J u i l l e t sur l e champ d'un cultivateur, déjà semé en foule sela? la méthode locale, depuis un no i s (variété GAMBIAKI1) , les engrais ont é-té aussi tôt épandus puis enfouis par binage.
Il y avait 8 répéti t ions . Les tyaitements Qtaient les suivants :
i
- .. I F U M U R E ' REXDEI@ETS 331
1:
---. . " N P K i KG PAD:dY/€h
t I-NPK 1 40 32 50 1 -485 : 2 - I a ? : 40 32 o : 1 *590
3-XK 40 O 50 1.355 4 - P K : o 32 50 : 1.155
i 5 - (Témoin ) " O O
: G - (NP) : 40 32 0 ; o :
1.215 1 -525
N, P e t K 6taient apportés som fome d'urée de supertripls o t de sulfate de potasse, sauf en 6 oÙ l e phosphore était sous forme de @&OS- phate d'ammoniqque. Is traitement 6 correspond iL la. fumure vulgarisée s w céréales sèches : 100 kg dlengraís coton (70 kg de phosphate d'ammmliarpt -t- 50 kg de sulfate d'ammoniaque ) e t 50 kg d'urée .
seul M semble avoir un e f f e t que l'on peut chiffrer 8. 340 kg de paddy poux 40 kg de N s o i t 8,7 k g de paddy/kg de N. Encore ce t effe-t n ' e s t 4 1 pas statistiquement significatif au seu i l de !@ ( avec il est vrai un très mauvais cv 2 5 %)
22 ) Riz de bas-fond avec début draa6nagement - Techniauesculturales
Cet essai a é t é réalis6 dans l e bas-fond ds SABIA SUT SOS argileux dès la surface. 3 traitements étaient compsrés.
1 - %moia 3 préparé B manière traditionnelle : c'est B m e pioche B - la daba sur quelques centimètres. Pr6paration faite l e 6 Juin.
mesures de 1969, un e f fo r t moyen de 140 kg e t 6 , s $our~Boa. pour labourer 1 ha, pour une paire de bones robustes). Ce labour doi t 8tre nécessairemafi fait en humide pour qm l e s o l ne s o i t pas 'crop dur, e t assea f$t pour qu'il ne sc::Lc pas t rop collant ou boueux. Xe marge de temps est donc fd.b?.e. &bow fait l e 5 Juin.
2 - Xaboux aux bc -fs 3 Profondeur 12 cm ( ce qui exige déjà y d'aprks dea
3 - Labour au kacteur : un tracteur puissant. Ce labour a ét6 fa i t le 11 Avril avec une charrue kridiscpe t i r d e par un ME' 165.
Chaque baitement &tai t subdivise3 en deux :
a - sans engrais
b - avec engrais ( 63-464) apportés en deux foia : 50 kg de phosphate d 'moniaque + 100 kg de sulfata d'ammoniaque avant semis l e 12 Juin. 50 kg de phosphate d B a " i a q u a + 50 d " 6 l e 20 Août
profondwar 20 anr Peut &&re rdalisd en sec avec
( in i t ia t ion f lora le ).
IR semis direct en poqueta B 30 x 30 em , a eu lieu l e 17 Juin avec la variét8 C 74, les poquets ont é t é démar26s B 2 - 3 plants l e 20 Jui1lc.t. Les parcelles ont été sarclées 3 fo i s (30/6 - 10/7 - 8.b 'p"" une fo i s l'eau instal l6e en permaence desherbé 2 fo i s ( 25/8 et 26 9). La récolte a eu l ieu le 7 Novembre.
~
, D -..
T s a i t e m e n t E Sais engrais Avec Enmais -I -
1 - Témoin trzditionnel (5 cm)
2 - h b o u r aux boeufs (12 ca) i 1050
1595 3 - Labour au tracteur (20 era ) I ago
2050
2575 291 O
La fumure 63-46-0 entmine un accroissement de production. do 1 O00 K g de paddyiha.
L'effet du labour 8. 12 cm : e s t de 535 kg de paddy / ha Il II 8. 20 CD t est de 535 3. 285 kg paddy/ha
s o i t €20 kg . Il n'y a pas d'interaction entre la fumure e t l e travail Gin SC)?
i ,J
- 23 " b) Effet du -rhospbore-.
Llessai a 6th in s t a l l é 8. SABIA 8. côté de l'essai de profo-iäar de labour prdcédent. Le senis direct , avec la variété C 74 en poquets ti. 30 cm x 30 cm, a eu l i eu le 22 Juin, sur terrain labour6 à 20 cm (EU tracteur ); repris 8. la daba pour le concassage des mottes. Les engraie ont é t6 Qpandus avant semis , 6 traitements étaient comparés.
-,, .--. Trd te - Début : Hauteur des : Rdt en &/ha. Poids
: ment : ' '2'5 K20 : d'épiaison: pai l les : de paddy :paillet-gm?-i.i E Umm-.".. . ' 6.240 1- T h o h O - O - C.. 21/9 : 65 2.540
* 6 * 2- 11 ' 90 - O - 90: 21/9 : 79 3 8eQ 9 3eo
* ..3- If ' 90 - 27 - 90: 15/9 : 83 3.950 10.29c:
5- I t : 90 - 79 - go: 13/9 : 83 4 390 - 10,860
' 90 - 53 - 90: 14/9 79 3.900 10.526 0 4 11
' 6- If ' 90 -106 - 90: 15/9 : 86 4-.210 o 12.030 . --- La fwause N K entraine un supplément de récolte de I .340 lcc;/:~.,.
de paddy( en supposant que seule l a f m r e N ag i t cela ferait 15 kg de paddy/ha N ).
L'ef€et de la fu" phosphorée est peu sensible sur la production de paddy. Le phosphore é t a i t apport6 sous forme de phospkttc: dtannoniaque ( 0-50-100-150-200 &/ha) l e coaplélent B 90 Zrg de la. f u w ~ azotée étaxt apporté SCES fome d'urée. La potasse a été apportée sous forne de sulfate.
. 0 0
Varrete 6 74 EFFET OU PHOSPHORE'
II - RIZlCULTuRE A V E C W ' "COl!JTROLE DE L'EAU - I ) - Essais variétaux
$1 B i l a n de l 'essai . international du r i z (IRAE )
La Station de KAP/IBOINSr: participe à l ' e ssa i international du. rizí IRAB ( international Rice adaptations expériuents) a u q p l coopèrent 1~;::::
trentaine de stations réparties sw vingt pays s o i t en régions tropicc.1.i.:: s o i t on regions terapéréeu.
Dans l a première phase comencée en 1968 terainée en 1970 il s'cgit-. de tenter l 'adaptabili t6 auz différents milieux de 50 variétds dont e c o ~ e s B toutes les stations du globe e t 25 con."es aux seules sk,; 'a '8 trogicalss
b l i s t e de ces variétés se trouve dans les tableaux ci-après d.om-:.!,-t; les rendements pour chacune des 3 années 19613 8. 1970 s o i t avec funuro (50-50-50) : Fysoit sans funme 90.
On y a adjoint comtie ténoins les 3 vctrietés, 1ocalem.ent vulgaris&.
Les tableaux o en a z e indicatif les résul ta ts pour
76 = D52-37, 77 = SINTANE , 78 = GAI"B1AZCA. d e s ' w s %u4vp@
1970 : HD Date d'épiaison
HRD date de récolte C L lor,gueur de la t ige P L longueur de la panicule P B nombre de panicules H JT nombre de poquets récoltés Y II récolte en grains correspondant à CO EN ( ~ E P )
- poids de p i l l e s correspondant - taux de Pis de cet te paille - nombre de grains dans 1 O g. Ies mhérna 1 e t 2 donnent la répCvtit ion des vmiBtQs pax classes
Les variétés vulgarisées localenent, sont bien parzi les plus
de rendenents (en gFï112)-
adaptées. On reaarque également : l e s variétés 15 = IR8, 51=H4, 52 =U, 59 = agadis , ce sont des vari8tc"s B. cycle long de l'eau.
donc ne pouvant être cultivées qu'avec un bon contr6ls
VariBtds d'introduction locale .... C-
1 9 6 8 1 9 6 9 1 9 7 0 E O m E . . . ' Fo F * Fo ' F o . F ' F o F *
: 76 : D52-37 f 5120 : 2870 : 2250 1750 : 3380 i 3300 : 2810 2640 : f 77 SIBTAHE i 2080 3370 1 2500 : 3540 1 4520 E 4550 i 3510 1 3829 1 : 7C : GANBII1Ktl : 2830 : 3120 : 3290 . 2660 : 1220 1 3700 : 4260 : 5.;60 : . . - 3600 : 3540 i 79 c 74 - - -
1 2 0 1 I R 5 - - & a - 4370 : 5150
- 26 -
f Taïchung 176
: TaYchung 176
: Bello Patné Blue Belle
: Calor0
1 Calrose
: Strain 170/15
- I
0 -
: 1410
: 290
i 620
: 660
f 830
- 2 7 -
H 4 fE 7 Bain 12 B'endii E
ivh 1 5
--T
1 9 6 8 1 9 6 9 1 9 7 0 PIoYEmTEi: *
: Fo F : Fo F : Fo F : Fo F : - -_ ---T----a' 3830 4410 3040 4 0 a O 4900 ~ 6230 3920 ~ 4.910
' 2620 : 4330 1790 : 4080 5280 ~ 4120 3230 4180
- 0 - - I160 20EQ ~ 1930 ~ 154.0
N O I ! g S
1790 . 2540 ' 1790 ~ 2000 16EO 2850 1750 o 2460
" mL1 3 * bTC-162-6
R2 - Nmgi
Sigadi 0
SJ, 16 o T 21
r . . 6 Tupa
160 Johna
€'e ta
l%la&.i t ' c 22
Gaxuubalay
Naba tat asner
. 1500
2370
2540
.. 1540
- - o 870 * - 330 o 1910 1910 ~ 1290
2370 o 3460 2040 ~ 24.10
- I I ... - o 2910 3870 ~ 4210
- ~ 1250 2210 2330 - - - - - . 910 o 2870 o 3210
290 o 1710 15ED ~ 1850
1330 . 30.80 1620 , 3000
' 2790 . 3250 ' 2790 2710
o 1120 . 2120 o 1870 o -
o 2270 . 750
2000 o 5 30 ' 3850 ~ 3400 a 3730 ' a 2700
3400 ~ 5@0
- ~ 2120 3270 ~ 2700
' 670 i 430 1670 8780
e 4430 o 3870 - - - I .- 0 - -
., 3980 a I300 o 3850
- - * 2130 3083
1500 ~ 1580
1580 : 3080
* 2180 ~ 2780
2770 o 2700
Koto : I1 y a l ieu de considérer les chiffres de rendements obfenus avec beaucoq de prudence étant donné fdDle dimensiin de 12 p r c e l l e . %utefois l'homogénéité de .k. r iz iè re avec contrôle de l'eau, la' faible superficie de l ' e ssa i e t l e s répéti t ions dms l e temps permettent d'ét?.bliz un classement valable des variétés. Les vwié tés retenues seront alors con&r.- rees dzns des essais lourds B plusieurs répéti t ions , multilocaux e t pluri- annuels qui feront l 'ob je t d'interprétation s ta t is t iques
l'slbsence de répéti t ion dxm l'espace e t la ta?è3
s a n s e n g r a i s
- 2 9 -
sans
1 7 / 1 0 % 68 :
12/10: 48 i 12/10: 56
- 0 I
12/10: 56 :
17/10: 65 i 12/10: 49 12/10: 55 ;
12/10: 59 ;
12/10: 53 :
12/1Gi 55
12/1C: 61
12/10: 52 i
- ,: - 13/11; 90
28/10: 77 i 17/10: 68 :
28/10: 72 i 28/10; 7 6 23/11: 102 i
12/10: 60 i 12/10: 59 ."
12/10: 55 ~
- * - -
A d t 3 2 1 C u l t u r e 340
4 i E 1 3 6
5 1 Su-d-a
6 i Rafae l3-o
1 7 Via l -one nano 1 Pu j i i z i n o r F
To s 11 i hi ka r i X a s a n i s ii i Ic i
R o r i n 41 . N o ï ~ g Kwang
Pa 2.. -i; a II Panb i T a
Z R 8
Xsinchu 56
? 5 / 9 17/10 1 29/8 1 12/10
1 l / S 12/10 -. I - i 7/9 4 1 2 / 1 0
I
TaZc’ ung f i a ,ive 1G/9 3 17 /10 1
i 4 i 2 0 / 9 * 28/10
TaZchung 176 1 26/9 i 28/10
Selle P a t n e %Lue Zelle
i 4/9 j 12/10 - $ -
i 4 Y
d
1 14/9 17/10
i 29/0 12/10
1 /9 12/10 i i I 12/10
2 /9 i 12/10
i - f - 14/10] 23/1 1 1 2 6 / 9 1 28/10
i
2250 4 9 3
? O 50 330 I 1050 92
1 0 1 34 410 1 950 ’ BG
1
i
1 - 1 - .- ! - i - 1
1 9,G i 45 1 8 0 P 1 I650
i 310 1 1100 3 751 i 5 0
5 , 3 i 50 1 345 i 300 5
570 i 1150 555 i 1100
I
3 IC,4 1 49
13 525 d 1250
4-20 .r 950
i
1 109 f
t 7 s I
i 68 3 - ! i
7! i 74
5: 4 .I I f
50 -
50
50
50
50
38
50
50
50
50
i 1 560 j 8350
910 4 1800 i 8 6 5 i 1550 !
I i
1 1 - f - 1
84 88
8 5 88
86
95
8 5
422
475
634 -
530 3 68
325
41 7 402
41 9 455
378 4 37
- 393
403 4 6 I
372
41 6
409 476
477
4 08 -
/l- t I __.
3
EI 4 E 7 Bam12
Kendii . E a i y u 3
12 t u 15
$1 C 1 6 2 . 6
E 2 ELlngi
Sigadis
310 1 6
T - 21
T k i Y - 6
TuTa
1 G O Jhona
P e t a
Na 1. a g k i -t z 2 2
Gar v.nb a 1 a y 1 i
1870 i 6 1 6 0 1 94
i 3250 1 93 1 1 7 0 0 86 j
A ? J
- 1 - I - i - * - - 1 I i; J i 'I J i 8 6 i 1 8 1 lO,n 50
- 83 64
8 3 75
50
50 4.9 50
- . -
325 i 2000
475 j 1200
525 1900
835 ; 11350
1
1 51 1 4
Bar t 1 2 ?
54 4 B g n d i i E
3 H t u 3
5 7 j J\T C 152.6
5 8 R 2 I!Tuogi
15s 60 j S l o 1 6
S i ga d j- s
T 21 6 2 yxN 6
63 Tupa !
1 6 0 Johna
1 65
- 34 - 12 Essais conmyatifs vcariétaux -
a) 1968 - On a comparé au SINTAKE , 4 de ses mutants e t l e C 74 c:i fumu-e foi-te . Les r6sul ta ts sont les suivants :
",*.
i Variété i Date d'Qpiaison i 'la du T i Rdt en I d h a i : c 74 (IRRI) 13/9 1 42 81 25
wII __
: Lx4-5 1 8/9 115 6612 .' a "
a SIDJTJ$jE 13/9 1 O0 571 2
: L X 9 -10 o 13/9 96 : LX5-2 15/9 91 5225
z L X 1 7 - 1 : 13/9 73 421 2
4962
_. -.
S) 1969 - 5 introductions ta,rdi.ves recentes ( IR5 - IR8) ou a n c 5 ~ : ï : ; ; :
GfiBIAXA. Senis direct e t funure uoyenne. ( H 14 - SOSSON - BIIlTTOUBALI1 ) ont é t6 compr6es au t&-:cxi~?
""7*
Variété 1 Origine ~ Cycle ' o Hauteur i IDt en Q/ha
; sossor? Côte d'Iv. 198 105 4790 J I . : I R 8 : I R R I : 92 : 75 :
1 BII'TTOUBALA e GUINEE ." 99 : I 1 0 o
GANEIImi Tézoin(~?ial,i.) i 96 145 ." 4000
3fVO
2350 g ; E: I : Z R 5 : I R R I : 107 : 85 :
: H 13 : Wich.Tol1 : 92 : 125 : -__y
Gw = YG SOSSOTT est supérieu-à toutes l e s autres v a r i d t k . I
c) - Come 8. S-4RI.A , on a conparé au SIiYf'fii deux de ses mutants L x 4 - 5 e t L x 5 - 2 e t un r i z pluvial 67 - Fj Le disposit if d'essai e t l a fmure dont les nêaes. Serxis l e 11 Ju i l le t
Variéte i Cycle i Hauteur i Rdt en &/ha
3130 -8 " x 4 - 5 ." 70 1 o9 - .
r 241 o , L x 5 - 2 1 7 4 99
: 63 - 83 80 91
Coefficient de variation = 11 %
Coime å S m A les variétés 1 e t 2 sont Qquivalentes e t supériwx-b3-. aux v a i é t é s 3 e t 4 . Essai s ignif icat i f à 5 k
./. .
'< 33 .. 2) Essais de f e r t i l i s a k 2 - .
2% - Essai de fumure phosphatée En preni.er essai de doses croissantes de phosphore ( s ~ . . ~
forne de Supc3ptripIe)réalisQ en 1962, n'avait montré aucun e f f e t de cwt é lémen t.
Conparaison des formes peu soluble e t soluble - Eh 1365 un nouvel essai de doses croissantes de P20 5
4 apport6 s o i t sous forme soluble (supertriple) s o i t soils fome t r è s p i ; soluble ( phosphate de Taïba) a é té ais en place. Les doses &aient l w suivantes : O - 75 - 150 - 225 - 300 - 375 kg I? 05/ha, en pr6sencc d t m ; f m r e B = 90 , K20 = 48 Ul?ifom1,e, sauf sur u11 $émoili absolu sms cngr..f.s.
n'apportant que la furmm E uniforme (I9 - 90, O = 50 sauf sur le tdaoin absolu ) pour tes te r l e s e f fe t s r é s i d u e l s k s apports de P20,
de 1965.
subdivisé pour les formes de phosphore.
Résultats de 1965 à 1967
En 1966, 1967 e t 1968 , l ' e ssa i a Qté poursuivi en
J
Le disposit if d 'essai é t a i t un cam6 l a t i n (7 x '7 )
k variété cultivée a Qté tous les ans l e SI2ITiiRE.
" 6 ' -I- f 375 5365 i 4452 f 4644 4750 : 4762 4587 1 4920 45OC r, d
Tous les a,ns le témoin absolu, produit 1 t/ha de moins que l e s traiteraents avec NK. - En 1965 l ' e f f e t de l a prerrLkre dose de phosphore a 6 t h posiítif, 1% apports supérieurs 2i 75 kg n'eiitrainant pas de sup3lénent de récolta. La forne soluble supertriple e s t seule efficace.
- En 1966 en, e f fe t résiduel il n'y a pas eu de différence entre tr:-iL-hv, neats recevant des engrais.
- E h 1967 il y a eu un e f fe t résiduel des doses 225 e t 300 par rap.c-c:e-k 2i la dose O, e t du supertriple par rapport au phosphate de T'a3a.
- &-i 1968 avec B 90, K2 O = 50
traitements étaient équivalents avec production noycme de 3520 k&~-
lec
Le ténoin absolu a produit 2820 kg de paddy: ha , tous les rxtrrca
.i. .
- 36 -
; ) m r b e de réponse au Phosphate
L'essai précedent mai t montré 1'inir;ort;uicr d-e 1:~ forme $ 3
E h 1970 on i! mis en place un nouvel essci de doses croisscx'ceo sous forme ce t te f o i s de phosphnte d',unmoninque qui s 'Qat
phosphore.
de P 0 révéfé t r è s ei'ficace dans u n CES analogue ( s o l s 8. g r a n d . pouvoir fixateur de Richard T o l l au Sénégal).
5
Le témoin choisi servait 8. l a multiplication de semences dc;?u?'.s plusieurs années e t ne receveit aucune fumure phosphetée.
Les doses apportées étaient O - 26,5 - 53 - 79,5 - 106 lg/h?* s o i t O - 50 - 100 - 150 - 200 kg de phosphate d'ammoniaque 8. 53 ?J '2'5 '
La fumure azotée &it compléter avec de l 'u rée pow avoir dans chaque traita-" 90 unité de l!T/ha.
Chacjue traitement sauf l e ténoin absolu recevait en outre L ~ O
fumure potassique K O = 90 &ha , uniforme. LF. variété u t i l i s é e é t a i t l e C 7.;.
2
Résul ta ts
i Récolte p&dy f 9 ! N-P20 - K 20
D ! ! ! ? s ! i 9 1 o - o - o 2080 !
go - O - 90 31 ,O ! ! 2 ! ! 1
i Traitement ! en uni?& / ha ! en @/ha 1
i
1 3 ! 90 - 2675 - 90 i 5000 ) 1
F 5 1 90 - 7995 - 90 i 4850 ( (',860 i
( moyenne I
- 90 - 53 - 90 ! f480 ! 1 - 4 t
I I
) ' ! I 6 ! 90 - 106 - 90 5130 i 1 V
L'analyse s t r t i s t i que montre avec un ~v = 20,O % qcc sekle l a première dose de phosphore e s t efficace , mis avec une pro- ductivité extraordimire de 65 kg de pa,ddy/ha P O 2 5 '
22 ) ESSECL de fumure a:\:tée_ - a - Doses croiss,mtes CU. uletives 1964 - ,1970
L'essa,i i? éti. mis en place ai 1964 mec une fumure uniforme de 300 kg/ha de P O sous forme de supertriple e t 48 lcgh-z, ?e K20 : les doses dlazote étaient : 25 - 50 - 75 - 100 - 125 - 15C &-I'& sous forme de sulf tztc d Lmmoniaq.x.
2 5
J.. .
.37 - Les annQes. suivantes de 1965 B 1970 on apportait wie fumure uiìi-
forme de 48 kg/ha de I< O mais pas de pliosphore e t les mêmes doses d'azote qu'en 1964 sous forme $'urée.
];a variété u t i l i s é e a toujours é t6 l e SIBTANE.
- -. - -_U-..... r -., 1964 1965 1966 1967 1966 : 1969 1970 : Mogex7-. :
0 9 O "
I 25 3880 : 4170 5840 3780 : 3370 4190 4130 39.10
Les r6sulta.ts son& remarcluablewnt consttuzt d'une m d e 8. 1 ta,u-krc: I1 n'y a p m de baisse de f e r t i l i t é donc agparemment pas de carence en phcwpliore . .
Ia productivité du kg d'azote e s t de 12 kg paddy dans l ' in tervel lu O - 100 kg ce qui est en accord avec les résul ta ts des essais pr8cedents 857' 2.1:. phosphore oÙ l e témoin traitement NJC ( avec 100 unités de M ) . absolu e s t toujours inférieur de 1 O00 8. 'I 200 kg au.
Au-dessus de 100 kg l 'azote apport4 n 'es t plus u t i l e , son efYot peut ê t re même depressif.
b - Doses croissantes 1969 - Les doses croissantes d'azote : O - 18 - 36 - 54 - 72 lig/k~
2 5 étaient apportées en présencc d'une fmwe phosphatée uniforme 96 kg P O /hc. dont Ïha moitié apportée sous forme de phosphate dlamoniaque.
Variété u t i l i s ée : SINTANE
REL%JI;TATS
1 Traitements : Fumure i? - P O 2 5 Rendement en 1% paddy/ha f . 1 0 - 0 4 240 2 18 - 96 4.910
36 - 96 B 5 390 5.510
3 4 54 - 96
5 72 - 96 5 -730
I, ,-We un témoin (N = O, ";O5 = 96) cependant on peut abe- t t rc qEe la productivit6 du k g d'azoke estimée à, 111 .kg de gr&/& de W d2n.s l ' i r ~ - t r - va l le 1b-72 8. N s o i t la neme ¿tans tout l ' i n i ~ x v a l l e O - 72 u N. Ceci perce;";
I d'6v;ducr l ' e f f e t de la f u " phosphatée entre les traitements 'i B 2 B : ( 4910 - 4240 ) - (18 x 15 ) = 400 Irg de grain,
e t de cow'iraer l ' e f f icac i té d'une fumure phospliatée sous fome soluble. I
I
- 39 - Avec. cet apport de phosphore J'efficacitG de l a fu" azot4e ixxL-ff., neilleure 15 kg de paddy au l i e u de 12 1% /ïY - D'autre par t la p-ki: t i a l i t Q du SIWTA.KE se r6vèle plus dlevée.
- Doses croissantes ljx
Les doses de N étaient : O - 40 - 80 -- 120 - 160 - 2 0 ~ ~ k$ha apportées en une seule f o i s 3 seuai-nes après semis. La f u " PK uniforme &Lait de 90 &'ha de P O sous forne de s u p r t r i p l e (soluble) t 90 kg/ha de K20. 2 5
La varidte u t i l i s ée é t a i t 1'3 R 8.
.. 0
Yraitenents fmwe Rendeaen ts Pai l les : 1 N- P205 - IC 2 0 ; en kg pad.dy/ho. 1 en q/ha
1 - 1
1 : 0 - 9 0 - 9 0 : 4.420 37,21
2 40 - 90 - 90 z 5 .O60 z ~p;, 50 :
3 80 - 90 - 90 o 6.020 56,62 4 120 - go - go e 6.140 z 62,21
5 160 - 90 - 90 5.960 69,22
200 - 30 - 90 2 5 530 75,OO 6 I_-
Economiquepent la dose opti" es t de 20 lsg/ha, l e s doscn suph iewes apportéeß en w e seule f o i s sont inu t i les e t d 6prea;livx. La. variété I R 8 u t i l i s e tr&s bien l 'azote dans l ' in&ervalle O - :,i ' -., - m i . 20 kg de grainslha de N.( Ceci en présence d'une f u " phosphorée sous forne soluble).
2% Autres- 61&ients : C a - K20--
Des nesures de PE e f foc tuk en 1967 sur 1' essai doses cm?ci.:-- santes cuaulds d'azote nontrait une acidification sous l1inf1uencx :: 2 l a funurc azot6e.
1 25 497
3 75 495 G 100 493
Eh 1968 on a ,ris en place un essai de chaulage SUT m o parcelle servant depuis plusieurs a,nnQes 8. l a multiplication das semnces e t ayant r8gulièreinent reçu de l 'azote, Trois traitements Qtaient conpards
1 - ténoin sans engrais
2 - fumure nin6rale ( 90 - 45 - 48 - ) 7 - meme fumure mingrale + chaulage : 1 %/ha de chaux
./...
- 40 - Lo t&oin a produit 3.300 kg do pad&/ha. Les traiteiix.t:z
2 e t 3 ont eu une production statist iquexcnt Qquivalente,de moyenl . 3780 kg.
En 1970 u x ossai de doses croissantes de potasse : 0 -'- ::5 BO - 120 - 160 - 200 1% de &O/ha en prdsence d'une fulrlure N =9G,
I R Ccome plante tes t . Pai- su i t e d'une erreur de rkalisetion l o t4noin. I!' 0 = O n'a Qgalement pas F ~ Ç U d'azote il e s t donc inutiI.ic;.- ble : il a produit 4900 kg/h de paddy; tous l e s traitements a jx i i reçu dc la potasse ( 40 B. 200 @/ha ) en plus d'une Pimm p h o q h s ~ = ~ o e t azot&, sont Qquivaleiits entre eux, avec une production aojrej>r>.c de 7.300 kg/ha de paddy. Cet essai sera repris en 1971 avec les traitenents convenables.
90 ( supertriple ) untforne a 6t6 n i s en place avec l a vari^ L: p2°5 ~ -
-2
III - Riziculture avec contrôle t o t a l de l'es - I ) Esnaia v s r i 6 t W ( PïOGTEDO )
11-Hivernane 1962 - Les 2 introductions rQcentes I R 5 et; ES omsar6es aux 4 variQtés classiques rmltipli6es e t vulgaris&;.: ont é té Q kr! e r P ~ - G % n ~ i yratiqu6 le repiquage e t une fo r t e fumure aaotee a C ~ L
appliqu6e = 11 O -alités.
Dispositif = Bloc à. 8 r6p6titions . Les r4sul ta ts sont l e s suivants :
: Vari6té : Origine : Date Qpiaison : Rdt en kg/ha I_*
I R B f 15/10 ai 70 3
CI1 = 9,5 % Essai s ign i f ica t i f I R 5 e t c 74 sont sup6rieurs au téxoin GAXBIAU ( accident v6g6tatif sur I R 8 )
8. 5 F
112 - Saison secho 1969-1 970
On a coupa& d a s un essai bloc & 8 r8pékitions, '.%
vari&& italiennes prdcoces b, deux variet& adj& cultivdes en H - x k - On a pratiqué Le regiquage e t appliqu6 une fo r t e $mure = 170 u n i t i r . d azo te.
Un allongement dos cycles a Q t G observE, clÛ au raleitissfd-
Voitn..
ment de la croissance par l e froid.
./. . o
. I
- 41 - Ia varidté I R 5 s ' e s t révélée d.orillante e t n'a p entrer dans l'essa-i.
Les résu l ta t s sont les suivavlts : (repiqucge f i n décel3bre ).
1 c 7 4 1 I R B I : 1o/s : RIZOTTO I t a l i e 2/3
r --* : I t a l i e 213 i 491 5280 o !i 2/3 1 ITALPATNA I t a l i e
: RIBE
m- = 12 70 Interpi-étation sur 4 répdtitions. Essai s ign i f ica t i f . C 74 e t E Z O T T O sont équivalents 8. SILSrA,K!El
, g ~ J I i v e r n a ~ e 1970 - a - Un essai de TrariétQs précoces identique à celui
inplanté à SARIA e t ILU@OIf\rCE.
Le dispositif e t la fumure sont l e s nêEes. Serxis l e 12/7
Varié t é : Cycle : Rclt en &/ha
: SIm'aTg 80 3541 1
92 L x 5 - 2 ."
: 70 2716 2478 'I i 63 - 83 - Ch = 26 $0 - Essai s ign i f ica t i f .
Le classement arithmétique e s t l o bene que c e ~ a obtenu 8. SARIA e t KfUBOIITSE.
b - Jks 2 vari&& 1/2 tardives récement introduites I R 5 e t I R 8 sont conparées aux 2 t h o i n s vulgarisées C74 e t D52 - 37.
Dispositif : essai bloc B 8 rgp6titions . Fuclure & G r a l e = 100 k g de PA
100 kg d'urQe RESUL!kTS.
i Rdt en &/ha ..
N
Cycle
z I R 8 115 : c 74 1 o9 : I R 5 121 E D 52-37 121 -
.- -- Vasiét6s
5141 3 3272 3 17331
a-'
Le D52-37 a ét6 d6trui.t par la pirieulariose à laquelle il. s ' e s t montré t r è s sensible en 1970 à WJBOIIUSE e t NOGTEDO.
&r = 1 G 70 . Essai s ignif icat i f . I R 8 2 C74 > 1 K 5
2) Fer t i l isat ion - 2% Essai régén6rakion ( NOGTEDO )
Le programe de l a Station d 1 expérimentation dtl?ydlraulicp.; agricole d.e WOGTBDO ne prévoyait que 1'étud.e des besoins en eau des plantes cultiv6es. Les essais de fmnure n'ont comr?enc6 qu'en 1968 'a. 20 su i te de l a baisse2 nwqu6e e t g6ilérale SUT l a station, des seiicloi-x" AprBs 6 cultures consécutives de r i z (avec une fwnure N-P-K noyeme chaque f o i s ) , à saison de deux cultures par an9 l e s rendeneiits Btai.ci?.k pass& 3rogressiver;lent de 5 toimes/ha en 1965 On a pensé a une dégradation possible de la f e r t i l i t Q que l 'cul pouv.5-t corriges par cles apports inyortants de phosphore ou de matière orgz5-@iLzco
2 tomes/ha en 1367.
Au clébut de l'hivernage 1968 on a n is en place un essai comparant les 4 traitements suivants :
1 - funure N-P-K t6dnoin 80 - 50 - 30 80 -600 -- 30 30 - 50 - 30 -I- 40 t de fui.xkr 130 -600 - 30 -I- 40 t cle furlier
2 - fo r t e Îmure P 3 - fmiure organique 4 - funure organique c P La première culture (test de l ' e f f e t direct) a 6 t 6 réalisde
avec l a variétd Taïchung Native, il n'y a pas eu de diffdrcncc entre t ra i te icn t , l e rendement noycn étant de 1400 kg/ha. La, culhxrc avai t beaucoup souffert du parasitisme: borer, naladics cryp togaxiques ce qui é t a i t g&idral sur la SE3.A.
aLg-Xs
L'effet résiduel CILS apports 1968 a 6tC- test6 ensuite en prssence de la fmure uniforme : IV = 80, P O
en s'appliquant à l u t t e r contre les parasites ( traitements fréquents contre les champignons e t les insectes a insi que contre les algues) asskchemcnts rdguliers de la ri&èrc.
K O = 30, 2 5 = 50, 2
Résultats en kg de paddg/ha :
i 1968 1968/69 i 1969 .1969/70 1 1970 TOTAL ." 7 I
1 - O 1430 i 3050 ; 2830 3220 ." 4150 14680 100
3 - F i 1400 i 3020 i 2990 i 3020 ' 4410 14840 101 ' 2 - P ' 1460 i 2920 ' 268) ' 3080 ; 4110 14250 o '37
- 4.3 -
MGGT2D.O - Essai r6a6iiQratioii r i z i h r e . 1 O ) Analyse panulon6triqy.e e t PH ( prélèvement f i n H a i 1968)
1 2
T - 3 4
Iï
- - .L i I
5.6@ 5.55 5.75 5.75 i
I .83 1.77 i .46 1 . 3 4
5.6@ I .83 5.55 1.77 5.75 ! 1.46 5.75 1 . 3 4
1 1 5.80 I -49 2 i 5.85 j 1 .30
II 3 i 5.70 1 .62 1.77 1
1 053 1.25
I 15.80
i'r! 5.6O
2 i 5.85 j
3 1 5.70 1 1 B
I -49 1 .30 1 .62 1.77
1.52 1 053 1.25
1.52 2 i 5 - 6 5 1 1.58
1.52
1 .31
IV 3 3 5.75 Ar 15.50
i 1 i 5.85 y 3 i 5.70 I .76
,J1- 1 5 . 5 0 1.35
li
2 j 3 . 6 0 1.49
t
-- 3.15
2.51 2.30
2.56 2.30 2.73 3.05
2.48 2.61 2 6 2.17
3.05
2.61 2.72 2 .n,@ 2.6'1
2.25 2.55 2-77 2.73
1.19 ! 15 1.01 14 0.98 1 1 4
1.15 { 15
j Y
1 .c5 ; 14 0.92 15 1.30 j 13 1.39 1 19
1 .O6 1 .18 1.12- 1 .o2
1.12 1 . I 6 1 .o4 1 .O5
0.91 0.98 1 .o4 1..12
13 13 1 4 12
1 4 1 4 13 I 4.
14 15 1 7 12
12.6 i 6.75 11.6 f 6.20 10.01 5.20 10.4 i 5.87
11.6; G.?5 11.2; 6.84 12.91 6.84 Il o 6.f 6.51
i I
I I ?
11.2 1 6.79 1 I .2 6.41 1 1 .6 i 6.41 10.4; 5.54
0.56 0225 3 20.16 0,54 I 0.24 0.46 I 0.26 0.43 1 0.29
I 0.55 I 0.30 I 113.4
0.52 1 0.29 1 18.85 0.56 4 0.26; 19.66 0.58 i 0.24- 18.53 I - I
1 0.59 i 0.23 j 18.77 0.65 I 0.22 i 18.48 0.51 1 0.17i l8.6.? 0..46 f 0.231 16.63
i I t I I I i I 1 1 r'
11.8 I 6.84 0.66 1 0.244 19.55 12.01 6.851 0.66 ! 0.22: 19.73 1 1 .6 i 6.30 I 0.$8 i O.%$ - 18.62 12.2; 6.85 10.58 f 0.291 19.92
i I I I I
i I I i
1 1 .,*{ I 6.53 0 .~ :8 0.20 18.61 11.6; 6.33 i 0.67 I 0.2 18.87 1 1 .O I 5.77 i 0.51 ! 0 . 2 3 f 17.51 11.-$f 6.16; 0.9;; 0.331 18.83
I l I ! ? I I I
26.65 1 76 27.35 ; 68 23.07 i 67 23.2 1 73
1' 4
1 ;: 27*75 I 68
24.6
27.5 1 72 24.3
1 26.4 i 71 25.5 f 73 .27.35 30 22.8 1 73
a
i 22.6 f 86 26.8 .i 74
27.65 72
4
25.05 i 74
i 4
23.5 i 7s 25.0 i 75 23.25 76
7 1
I R , I 17 1
7 1
7 1
I
i I I
10 J 10
I I I
1 1 i
7 1 17 i I 1 1
i
16 -1 183 i 419 39 i 292 I 6 6 8 34 1 294 I 673
15 i 275 i 630 23 275 i 670 -. 2 3 i 238 545 16 i 169 387
d I c
i 1 I i 6
25 3 261 f 598 25 1 285 ! 655 16 j 178 i 408 39 i 222 1 508
I I
- I 1 I 1 I 1 I 1 !
! Mat I C / N ! ! !
! ! Pl$f ! c $ ! ! ! ! ! !
S a u n d e r . ! ! ! V " ! !
! ! ! ! !
! P i P 2 0 5 : F : P 205 ! ! ! ! ! ! ! !
! ! ! ! ! ! ! ! ! !
! ! ! ! ! ! ! !
ßase é c h a n g e a b l e e n 1 Somme i C a p a c i . ; D é g r é P h o s p h o r e a s s i m i l a b l e ! meq. P o u r 1 0 0 9 0 base; t é éche' s h t u r . 1 e n mq/kq ! N % ! o r g a n ;
I ! Ca i Mg K ' Na! S ! T ! . s$T! Trumg, $ !
! I
!
- 46 - I1 n'y a p~ts de différences signifie‘ tives entre traitenents,
gr.?ce 8. une meilleure conduite , l e s rendements ont augmenté e t soi i t h crL niveau convenable , compte tenu de la. fumure azotée ( remarque : en ?.?':, on a apporté 150 kg/ha d'azote au l ieu de 80 ) .
&Essai de chaulage
Les résul ta ts des analyses du sal de l ' e s sa i prkédcnt (SLW
prélèvements eff eclkQs en P h i 1968) indiquaient une acidi té marquée correspondcant 8. un complexe absorbant saturé seulement à 75 p 9 t r è s r i ch2 en magnesium miis relativement pauvre en calcium ( voir analyse page précédente ) .
Un essai de doses croissantes de chaux n &té mis en plzce pendant l'hivernage 1969 sur r i z ( deux v.zzi8tés :GkIVBIAIU e t STJ~'.-LQE 1 e t poursuivi pendant la saison skche 1969 - 1970 avec l e Niébé (vsri6t6 no 50) come plante tes t , puis pendant l'hivernage 1970 avec l e riz C 7 -).
En 1969 l a chaux a é t é apportée avmt labour ; tous l e s tr?, i tc- nents rscevaient en outre une fumure uniforme P O N = 110 kg /h ( 50 au repiquage , 30 au tallage: 30 8. l a montaison ) . = 50, K O = 30, 2
R.ksultats : en kg de paddy/ha
! I 1 I
! 1 Doses de chaux 1 GAf'4BIr'JIA - ! SINTAXE
O
! 2 t/ha ! 5110 4390 I
I
f /!; ' 1 6,650 !
r
4600 9 4450 I ! D 8 1'
! o ! 10 'I ! 521 O ! 4550 f
! ! ! !
Les rendements moyens 4370 kg/hn pour l e Sintone e t 4810 kg/k pour l e GAPBILK&, sont bons. I1 n'y a pas de différences significatives en tre t r a i tenen ts .
Le Niébk (variété 50) cult ivé pendant la saison &che 1969-1 57C avec une fumure uniformo de 100 k g / h de phosphate d 'moniaque, a doixid un rendement moyen de 2150 kg de grains/ha sansqu'il y a i t de diff6rences significatives entre traiteneats
Le r i z C 74 cultrhvé pend-mt l'hivernage 1970 a dom6 un rmc7,c- ment moyen de 4-000 @/ha toujours sans qu ' i l y ait de différences elvtrrc traitements. I1 avai t reçu une fumure uniforme = B =I70 ; P O = 90 ;
2 5 150 = go .
!
4390 1
4540 t
l
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