Poster Educatif Amazigh - Lounes MATOUB

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Pour toi Lounes.Lorsque le la clarté avec la hargne et et que l'on assiste amer l'identité millénaire…Nou greffon ne veut pas pren paix que lorsque nous vivr La négation nous offus tréfonds de notre âme MatoubLounes, tu chante frères ressentent tout bas. L’espérance est incontourn nous et prospère - Bien que difficiles. Si je médis de mo appelle son amour - Je veu frémisse. - Pour que le pav de la Liberté - Il y faut une Que l’Algérien s’y meurtris mémoire - Et la voie de son Ad yuɣal ad yeḥlu ufud, ad as-teslem i wegrud ad yetɣenni ɣef Timmuzɣa Ayen i ɣ-d-yegga Dda Lmulud deg yigenni iban-ed am rrƐud Wiss' ma tḥulfam i tmeqwa... TBONOS !T v Idles nneɣ danagi, dazar-is ara nedfar v Ma ulac tamaziɣt, ulac, ulac, ulac v A leƐmer-iw... d idurar ay d leƐmer- iw ! Les montagnes sont ma vie ! v Menaɣ wi-ḥadren, kersum ad zgaɣ awal Adrar-inu. M A d J' Ra som M es ténèbres engloutissent t la boulimie de la bêtise, au greffage morbide de us refusons de plier. Le ndre … Nous n'aurons de rons avec nous-mêmes … sque à en mourir. Les e en sont martyrisés. es tout haut ce que tes . Tu e outr viva inén atta deb de gon de c les o nable - Qu’elle germe en e les temps soient on frère - Mon être ux seulement qu’il villon se hisse - À l’astre torche ardente sse - Afin de retrouver n identité proscrite. qu s’eff les b dans omb bâill blaso lueu Tout Algé une Xas leḥy Xas Xas Xas Ma tleA se Ur pr pas- Surm isfla nou F lza l’Alg .blogspot.com Loun Un cœ MatoubLounes 1956 - 1998 Aujourd'hui vivant, demain, qui sait ? 'ai dit ce que je sais Et ce que je vois, appelez-vous : si je mbre dans le ruisseau Mon spectre vous interpellera. es un baume au cœur ragé. Une preuve ante de notre narrable achement à rester bout. Le chant vient ton âme et ta voix nflée de rancœur et colère nous réchauffe os. TTT Lounes, même l régénèr meilleur vaincus, d'astres démocra que no Chante- Chante, ue les geôles fondrent, pour que tous bourreaux sombrent s la triste nuit des bres : retirons nos lons, redorons nos ons, accueillons cette ur, présage de bonheur. tes et tous ! Pour une érie meilleure et pour démocratie majeure ! s ḥeṛṛen-iyi ṛebεa yus lfinga a tt-waliɣ slḥif a yi-d-isuḍ s yecceḍ webrid a-wiɣ a nnan-iyi-d s anda ḥḥuḍ en-iniɣ nek d Amaziɣ TTT ruyara Ne pleure - Üebôas i lmehna – monte ta douleur-D an neγli – En sacrifiés us sommes tombésayer uzekka– Pour gérie de demain. Inuzal n ulemmudA nesMATOUB n baume a œur outrag MatubLw 1956 Assagi lliɣ az Nniɣ-da D wayen Cfut di targ D anza-w yessiw , tu nous as rappelé avec bo lorsque l'on perd son sang, l'a re. Y a-t-il loi de la nature plus b rs d’entre-nous ont disparu, , et les médiocres ont pris s scintillants. Chante-leur, Lou atie a été le premier goût dans ous l'avons tétée au sein de -leur notre soif de justice et de , Matoub, chante ! Un poète peut- ..seul le peup un seul homm défier la peu Affiches d’apprentissage au ! wennas 1998 zekka wissen ayen ẓriɣ a ttwaliɣ ga ma ɣliɣ aawen-d- wlen onheur que atavisme se belle ? … les , isolés ou des allures unes, que la nos bouche, nos mères. e réparation. -il mourir ? plecomme me a osé ur

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Pour toi Lounes.Lorsque les ténèbres engloutissentla clarté avec la hargne et la boulimie de la bêtise,et que l'on assiste amer au greffage morbide del'identité millénaire…Nous refusons de plier.greffon ne veut pas prendrepaix que lorsque nous vivrons avec nousLa négation nous offusque à en mourir. Lestréfonds de notre âme en sont martyrisés.MatoubLounes, tu chantes tout haut ce que tesfrères ressentent tout bas.

L’espérance est incontournablenous et prospère - Bien quedifficiles. Si je médis de mon frèreappelle son amour - Je veux seulement qu’ilfrémisse. - Pour que le pavillonde la Liberté - Il y faut une torche ardenteQue l’Algérien s’y meurtrissemémoire - Et la voie de son identité proscrite

TBONOS !T

v Idles nneɣ danagi, dazar-is ara nedfar

v Ma ulac tamaziɣt, ulac, ulac, ulac

v A leƐmer-iw... d idurar ay d leƐmer-iw ! Les montagnessont ma vie !

v Menaɣ wi-ḥadren, kersum ad zgaɣ awal

Adrar-inu.blogspot.com

so

Lorsque les ténèbres engloutissentla clarté avec la hargne et la boulimie de la bêtise,et que l'on assiste amer au greffage morbide de

Nous refusons de plier. Legreffon ne veut pas prendre … Nous n'aurons depaix que lorsque nous vivrons avec nous-mêmes …La négation nous offusque à en mourir. Lestréfonds de notre âme en sont martyrisés.MatoubLounes, tu chantes tout haut ce que tesfrères ressentent tout bas.

les os.

tournable - Qu’elle germe enBien que les temps soient

. Si je médis de mon frère - Mon êtreJe veux seulement qu’il

Pour que le pavillon se hisse - À l’astreIl y faut une torche ardente –

Que l’Algérien s’y meurtrisse - Afin de retrouverla voie de son identité proscrite.

…que les geôless’effondrent, pour que tousles bourreaux sombrentdans la triste nuit desombres : retirons nosbâillons, redoronsblasons, accueillons cettelueur, présage de bonheur.Toutes et tous ! Pour uneAlgérie meilleure et pour

une démocratie

Ur pruyarapas-

Surmonte ta douleurisflannous sommes tombésF lzayerl’Algérie de demain.

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Lounes

Un baume aucœur outragé

so

interpellera.

les os. TTT

que les geôless’effondrent, pour que tousles bourreaux sombrentdans la triste nuit desombres : retirons nosbâillons, redorons nosblasons, accueillons cettelueur, présage de bonheur.Toutes et tous ! Pour uneAlgérie meilleure et pour

une démocratie majeure !

TTT

ruyara – Ne pleure- Üebôas i lmehna –

Surmonte ta douleur- Disflan neγli – En sacrifiésnous sommes tombés–F lzayer uzekka– Pourl’Algérie de demain.

Inuzal n ulemmud– Affiches d’apprentissa

LounesMATOUB

Un baume aucœur outragé

A

Un poète peut-

..seul le peuplecomme

un seul homme a osé

défier la peur

Affiches d’apprentissa

Un baume aucœur outragé !

-il mourir ?

eul le peuplecomme

un seul homme a osé

défier la peur…

MatubLw1956 –

ssagi lliɣ azekkaNniɣ-d ayen

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MatubLwennas– 1998

azekka wissend ayen ẓriɣ

D wayen a ttwaliɣ targa ma ɣliɣ w aawen-d-

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MatoubLounes

Audemain, qui sait ?

J'ai dit ce que je sais

Rappelezmbre dansMon spectre vous

MatoubLounes1956 - 1998

Aujourd'hui vivant,demain, qui sait ?

J'ai dit ce que je saisEt ce que je vois,

Rappelez-vous : si jembre dans le ruisseauMon spectre vous

Tu es un baume au cœuroutragé.vivante de notreinénarrableattachement à resterdebout. Le chant vientde ton âme et ta voixgonflée de rancœur etde colère nous réchauf

Tu es un baume au cœuroutragé. Une preuvevivante de notreinénarrableattachement à resterdebout. Le chant vientde ton âme et ta voixgonflée de rancœur etde colère nous réchauffe

Lounes, tu nous as rappelémême lorsque l'on perd son sang, l'atavisme serégénère. Y ameilleursvaincus, et les médiocres ont pris des alluresd'astres scintillants. Chantedémocratie a été le premier goût dans nos bouche,que nous l'avons tétée au sein de nos mères.Chante-Chante, Matoub, chante !

Lounes, tu nous as rappelé avec bonheur quemême lorsque l'on perd son sang, l'atavisme serégénère. Y a-t-il loi de la nature plus belle ?meilleurs d’entre-nous ont disparu, isolés ouvaincus, et les médiocres ont pris des alluresd'astres scintillants. Chante-leur, Lounes, que ladémocratie a été le premier goût dans nos bouche,que nous l'avons tétée au sein de nos mères.

-leur notre soif de justice et deChante, Matoub, chante !

avec bonheur quemême lorsque l'on perd son sang, l'atavisme se

il loi de la nature plus belle ? … lesont disparu, isolés ou

vaincus, et les médiocres ont pris des alluresleur, Lounes, que la

démocratie a été le premier goût dans nos bouche,que nous l'avons tétée au sein de nos mères.

leur notre soif de justice et de réparation.

XasleḥyuXasXas lXasMa nnantleḥḥA sen

Xas ḥeṛṛen-iyi ṛebεa yuḍ

Xas lfinga a tt-waliɣ Xas lḥif a yi-d-isuḍ Xas yecceḍ webrid a-wiɣ Ma nnan-iyi-d s anda

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Ad yuɣal ad yeḥlu ufud,ad as-teslem i wegrudad yetɣenni ɣefTimmuzɣa Ayen i ɣ-d-yegga DdaLmulud deg yigenniiban-ed am rrƐudWiss' ma tḥulfam itmeqwa...

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