Portfolio_ Yohann Hubert

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Travaux de Licence_ École Nationale Supérieure d'Architecture de Lyon

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Yohann HUBERTARCHITECTURE

PORTFOLIO

Travaux de Licence

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Yohann HUBERTARCHITECTURE

PORTFOLIO

Travaux de Licence

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Par son nihilisme, le punk est de-venu la norme d’une jeunesse

que seule la vision d’un futur sans avenir parvint à unir.

Nous avons grandi avec la crois-sance et la multiplication des crises, économiques, environ-nementales, sociales, politiques, urbaines, sanitaires, etc. Nous sommes entrés dans une société qui voyait ses symboles s’effon-drer. Le 9-11, Detroit, puis Athènes enflammant l’Europe, nous ren-voyaient les images d’une anar-chitecture du chaos. Ce que l’on pensait immuable s’est éteint, il reste tout à reconstruire.

Profitons des cendres, elles fer-tilisent les sols, réenchantons le monde pas de nouvelles valeurs, de nouveaux modèls.

«FUCK THE SYSTEM but UN-FUCK THE WORLD» est un slogan pour tous ceux qui pensent que la fin d’un monde n’est pas la fin du monde et que quelque chose plus beaux est possible.

Nous sommes persuadés que l’architecture joue un rôle cen-tral dans la révolution culturelle que traverse le monde occiden-tal. Nous devons rêver le futur et nous engager sincèrement à son élaboration, loin du cynisme qui caractérise si bien nos « starchi-tectes » contemporains.

UNFUCK THE WORLD

Par sa capacité à transformer et à façonner le réel, à lui donner du sens, par sa faculté à définir le cadre de vie, par sa transversa-lité, nous percevons le projet ar-chitectural ou urbain comme un projet de société.

Ce Portfolio présente les princi-paux projets et exercices menés pendant ma licence à l’École Na-tionale Supérieure d’Architecture de Lyon.

Puisqu’ils sont menés dans un processus d’apprentissage et de découverte, aucun d’entre eux n’a la prétention d’être abouti. Ils ne sont que la capture d’une réflexion en construction. Il leur manquera toujours l’essentiel: des habitants. Sans doute ont-ils le défaut d’apporter plus de ques-tions que de réponses. Cepen-dant chaque projet s’est révélé être un formidable outil pour ten-ter d’appréhender la complexité du monde qui nous entoure.

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SOMMAIRE

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UNFUCK THE WORLDIntroduction

STAGE STÉPHANE MALKA

BOW-HOUSE architecture/installation

«RANCHITOS» concept

GHOST-HOUSE installation

CENTRE CULTURELProjet d’équipement

BON PASTEURLogements collectifs

EX-SPECTRE D’ESPACEInstallation/ sculpture

VENISSIEUXProjet urbain

Logements collectifs

CONFLUENCEConcept

EXTENTION MUSÉEScénographie

MARCHÉ COUVERTArchitecture / morphologie

SWEET SWEAT

DIALOGUE DE SOURDSInstallation/ sculpture

OFFICE DE TOURISME FLUVIALArchitecture

PAVILLON ITINÉRANTArchitecture éphémère

UNE MAISON ENTRE DEUX MURSLogement individuel

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STAGE assistant à la Conception

Stéphan MalkaArchitecture (SMA)Juin juillet 2014 - Licence 2

BOW-HOUSEAgence SMA

Amélia ChevéeLise Marie Yohann Hubert

« Étudiant sérieux, appliqué, avec une bonne connaissance des logiciels. Il lui à été confié différents projets en assistance à la conception avec lesquels cet étudiant à su trouver rapidement et avec une très bonne intuition les éléments clef à développer.Un étudiant comme on aimerait en avoir plus souvent! »

Stéphane MALKA

La «Bow-House» est une ins-tallation architecturale com-

mandée à l’agence SMA pour le festival City-Liv aux Pays-Bas.

Une maison sans propriétaire, libre d’appropriations, vient étendre l’espace public en pha-gocytant un mûr pignon.

Conçue pour un budget qua-si nul et autoconstruite par les riverains, la « Bow-House» démontre qu’il est possible d’exprimer une architecture contemporaine avec un mini-mum de moyens.

Le système constructif reste très simple, à une ossature en échafaudages vient se super-poser une peau en matériaux de réemplois ce qui, étant don-né la nature éphémère de l’ins-tallation, permit de ne pas gé-nérer de déchets.

Le pavillon était visible du 29 aout au 7 septembre 2014 à Herleen aux Pays-Bas.

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A

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Plan Morenhoek 1, 6411 JX Heerlen, Pays-Bas

Coupe AA’

Coupe BB’

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STAGE assistant à la Conception

Stéphan MalkaArchitecture (SMA)Juin juillet 2014 - Licence 2

BOW-HOUSEAgence SMA

Amélia ChevéeLise Marie Yohann Hubert

« Étudiant sérieux, appliqué, avec une bonne connaissance des logiciels. Il lui à été confié différents projets en assistance à la conception avec lesquels cet étudiant à su trouver rapidement et avec une très bonne intuition les éléments clef à développer.Un étudiant comme on aimerait en avoir plus souvent! »

Stéphane MALKA

La «Bow-House» est une ins-tallation architecturale com-

mandée à l’agence SMA pour le festival City-Liv aux Pays-Bas.

Une maison sans propriétaire, libre d’appropriations, vient étendre l’espace public en pha-gocytant un mûr pignon.

Conçue pour un budget qua-si nul et autoconstruite par les riverains, la « Bow-House» démontre qu’il est possible d’exprimer une architecture contemporaine avec un mini-mum de moyens.

Le système constructif reste très simple, à une ossature en échafaudages vient se super-poser une peau en matériaux de réemplois ce qui, étant don-né la nature éphémère de l’ins-tallation, permit de ne pas gé-nérer de déchets.

Le pavillon était visible du 29 aout au 7 septembre 2014 à Herleen aux Pays-Bas.

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Coupe AA’

Coupe BB’

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Plan Morenhoek 1, 6411 JX Heerlen, Pays-Bas

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Laurent Clement Photographer ©

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Laurent Clement Photographer ©Laurent Clement Photographer ©

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Laurent Clement Photographer ©

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À travers le cas du bidonville « Petare » à Carracas nous

avons cherché à développer un système d’extension verticale censé répondre de manière durable aux plus urgentes des lacunes de ces quartiers infor-mels.

L’équipe de conception était ex-traordinaire puisque Stéphane Malka échangeait avec Yona Friedman sur notre travail et au sein de l’équipe Andréa, Véné-zuelienne, effectuait ces études d’architecture à Caracas ce qui nous permettait, malgré la dis-tance, d’avoir un point de vue « local ».

Le projet en lui-même se consti-tue de passerelles surplombant le quartier sur lesquels viennent se greffer toute sorte d’équipe-ments inexistants au sol.

La dimension conceptuelle du projet ne devait pas entraver son réalisme, aussi nous avons commencé par un important travail d’analyse du site et de son contexte. Nous avons étu-dié la structure urbaine du bi-donville et les typologies des fameux «Ranchitos», habitation autoconstruite en matériaux de récupération. Ces quartiers in-formels ne disposant d’aucune cartographie nous nous sommes appuyés sur des images satel-lites.

RANCHITOSProjet théorique.

Agence SMA & Yona Friedman

Yona FriedmanStéphane MalkaAndrea ArenasYohann Hubert

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Page 19: Portfolio_ Yohann Hubert

Première interprétation personnelle du projet.

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À travers le cas du bidonville « Petare » à Carracas nous

avons cherché à développer un système d’extension verticale censé répondre de manière durable aux plus urgentes des lacunes de ces quartiers infor-mels.

L’équipe de conception était ex-traordinaire puisque Stéphane Malka échangeait avec Yona Friedman sur notre travail et au sein de l’équipe Andréa, Véné-zuelienne, effectuait ces études d’architecture à Caracas ce qui nous permettait, malgré la dis-tance, d’avoir un point de vue « local ».

Le projet en lui-même se consti-tue de passerelles surplombant le quartier sur lesquels viennent se greffer toute sorte d’équipe-ments inexistants au sol.

La dimension conceptuelle du projet ne devait pas entraver son réalisme, aussi nous avons commencé par un important travail d’analyse du site et de son contexte. Nous avons étu-dié la structure urbaine du bi-donville et les typologies des fameux «Ranchitos», habitation autoconstruite en matériaux de récupération. Ces quartiers in-formels ne disposant d’aucune cartographie nous nous sommes appuyés sur des images satel-lites.

RANCHITOSProjet théorique.

Agence SMA & Yona Friedman

Yona FriedmanStéphane MalkaAndrea ArenasYohann Hubert

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Première interprétation personnelle du projet.

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Nous avons débuté le projet à partir de dessins que Yona Friedman nous avait envoyé. Le plus difficile était de trouver une cohérence quant à la fai-sabilité économique du projet. Yona Friedman proposa pour cela que seul la structure et les réseaux soient construits « clas-siquement » le reste étant auto-construit par les habitants.

Si ce genre de projets n’ont pour ainsi dire aucune chance de voir le jour, ils n’en sont pas moins importants, car de par leur dimension prospective et leur visibilité médiatique, ils vé-hiculent des idées qui les dé-passent et influenceront l’archi-tecture future.

Mon rôle dans le projet avec Andréa a été de mener une pre-mière analyse se concluant par la modélisation du site de pro-jet, puis de proposer une pre-mière esquisse s’appuyant sur l’analyse, que d’autres équipes approfondiraient par la suite.

Le projet terminé devrait être publié dans un ouvrage coécrit par Stéphane Malka et Yona Friedman.

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Dessin du projet par Yona Friedman

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Esquisse de plan, coupe & perspective du projet.

Maquette numérique, bidonville de « Petare » à Caracas (Venezuela).

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Nous avons débuté le projet à partir de dessins que Yona Friedman nous avait envoyé. Le plus difficile était de trouver une cohérence quant à la fai-sabilité économique du projet. Yona Friedman proposa pour cela que seul la structure et les réseaux soient construits « clas-siquement » le reste étant auto-construit par les habitants.

Si ce genre de projets n’ont pour ainsi dire aucune chance de voir le jour, ils n’en sont pas moins importants, car de par leur dimension prospective et leur visibilité médiatique, ils vé-hiculent des idées qui les dé-passent et influenceront l’archi-tecture future.

Mon rôle dans le projet avec Andréa a été de mener une pre-mière analyse se concluant par la modélisation du site de pro-jet, puis de proposer une pre-mière esquisse s’appuyant sur l’analyse, que d’autres équipes approfondiraient par la suite.

Le projet terminé devrait être publié dans un ouvrage coécrit par Stéphane Malka et Yona Friedman.

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Dessin du projet par Yona Friedman

Maquette numérique, bidonville de « Petare » à Caracas (Venezuela).

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Esquisse de plan, coupe & perspective du projet.

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GHOST-HOUSE

InstallationOctobre 2014Projet personnel

À l’heure de la multiplication des «GPII» (grand projet s

inutiles & imposés) et de leurs opposants «ZADiste». Plus de 80 mille adultes et 30 mille enfants sans domicile fixe vivent dans les rues françaises. Les bidon-villes fleurissent de nouveau la périphérie de nos villes et des milliers de mètres carrés de-meurent incroyablement vides, notamment dans les friches urbaines. Leur réquisition n’est pas à l’ordre du jour.

Le projet « Ghost-House» est une tentative de réappropria-tion de l’un de ces espaces.

Une longue bâche en polyester est déployée et tendue entre la structure métallique de l’usine désaffectée. 180 mètres carrés de bâches se déploient sur une surface de 320 mètres carrés.

La bâche vient, comme un ri-deau, diviser l’immense vide abandonné et recréer de l’es-pace, la matière plastique capte la lumière et la rediffuse d’une manière surprenante, les faibles courants d’air font danser la membrane. Dans ce décor au-paravant violent et détruit, l’am-biance est apaisante, reposante, laiteuse.

L’oeuvre se veut écho d’un ima-ginaire collectif fantasmant le lieu.

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GHOST-HOUSE

InstallationOctobre 2014Projet personnel

À l’heure de la multiplication des «GPII» (grand projet s

inutiles & imposés) et de leurs opposants «ZADiste». Plus de 80 mille adultes et 30 mille enfants sans domicile fixe vivent dans les rues françaises. Les bidon-villes fleurissent de nouveau la périphérie de nos villes et des milliers de mètres carrés de-meurent incroyablement vides, notamment dans les friches urbaines. Leur réquisition n’est pas à l’ordre du jour.

Le projet « Ghost-House» est une tentative de réappropria-tion de l’un de ces espaces.

Une longue bâche en polyester est déployée et tendue entre la structure métallique de l’usine désaffectée. 180 mètres carrés de bâches se déploient sur une surface de 320 mètres carrés.

La bâche vient, comme un ri-deau, diviser l’immense vide abandonné et recréer de l’es-pace, la matière plastique capte la lumière et la rediffuse d’une manière surprenante, les faibles courants d’air font danser la membrane. Dans ce décor au-paravant violent et détruit, l’am-biance est apaisante, reposante, laiteuse.

L’oeuvre se veut écho d’un ima-ginaire collectif fantasmant le lieu.

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PÔLECULTURELPROJET D’ÉDIFICE

Projet de fin de LicenceObtenue avec félicitation.

Enseignant: Benoît Crepet Caroline Barres Emmanuel Manger

Le pôle culturel doit comprendre:

Une bibliothèque, des archives, une école de musique, une salle d’exposition type musée, une salle polyvalente avec scène et gradins rétractables, un foyer d’accueil.

‘‘Dans le monde réellement ren-versé, le vrai est un moment du faux’’ Guy Debord

Aussi l’édifice tout entier sera une scène, et la ville son

public. La forme en longueur donne une cohérence à un es-pace aux limites auparavant floue. Comme une agrafe ur-baine, le bâtiment met en rela-tion les différentes zones du site: le vieux village au Sud, quartier d’habitation à l’Est et le nouvel écoquartier à l’Ouest.Les façades en doubles parois de verre dépolies, dissimule tout en montrant l’activité intérieure, comme des organes dans un corps mou les programmes s’éclairent puis palpitent avant de s’éteindre.Pour libérer l’espace des pos-sibles, tous les services tech-niques sont dissimulés dans d’imposants blocs en béton. On reconstitue un sol et un ciel. Les parois sont poreuses, de grands panneaux pivotants. L’espace dépasse son programme, il est réappropriable par les habi-tants.Malgré sa taille imposante (181m de longueurs) le bâtiment s’écrit avec humilité, les matériaux bruts permettent davantage une expérience phénoménolo-gique qu’une image spectacu-laire. Une statue immense dans le patio d’entrée endosse ce rôle.

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PÔLECULTURELPROJET D’ÉDIFICE

Projet de fin de LicenceObtenue avec félicitation.

Enseignant: Benoît Crepet Caroline Barres Emmanuel Manger

Le pôle culturel doit comprendre:

Une bibliothèque, des archives, une école de musique, une salle d’exposition type musée, une salle polyvalente avec scène et gradins rétractables, un foyer d’accueil.

‘‘Dans le monde réellement ren-versé, le vrai est un moment du faux’’ Guy Debord

Aussi l’édifice tout entier sera une scène, et la ville son

public. La forme en longueur donne une cohérence à un es-pace aux limites auparavant floue. Comme une agrafe ur-baine, le bâtiment met en rela-tion les différentes zones du site: le vieux village au Sud, quartier d’habitation à l’Est et le nouvel écoquartier à l’Ouest.Les façades en doubles parois de verre dépolies, dissimule tout en montrant l’activité intérieure, comme des organes dans un corps mou les programmes s’éclairent puis palpitent avant de s’éteindre.Pour libérer l’espace des pos-sibles, tous les services tech-niques sont dissimulés dans d’imposants blocs en béton. On reconstitue un sol et un ciel. Les parois sont poreuses, de grands panneaux pivotants. L’espace dépasse son programme, il est réappropriable par les habi-tants.Malgré sa taille imposante (181m de longueurs) le bâtiment s’écrit avec humilité, les matériaux bruts permettent davantage une expérience phénoménolo-gique qu’une image spectacu-laire. Une statue immense dans le patio d’entrée endosse ce rôle.

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Plan R+21:200

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Plan toiture1:200

Élévation Sud1:200

Élévation Nord1:200

Coupe générale AA’1:200

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Coupe Salle polyvalente

Coupe Salle d’exposition

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«BOX» école de musique

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Coupe Salle polyvalente

Coupe Salle d’exposition

«BOX» école de musique

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Détails façade

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Coupe Salle polyvalente

Coupe Salle d’exposition

«BOX» école de musique

Détails façade

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Détails plafonds

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Coupe Salle polyvalente

Coupe Salle d’exposition

«BOX» école de musique

Détails façadeDétails plafonds

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Détails panneaux et motorisation panneaux

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Perspectives:1 Accueil2 Patio3 Galerie de circulation4 - 5 - 6 Bibliothèques7 école de musique8 Salle d’exposition9 Salle polyvalente.

Maquettes:1 1/1000 insertion urbaine2 1/2003 1/50 zoom sur un espace (accueil salle d’exposition)4 1/50 salle d’exposition5 1/50 accueil6 1/20 Portique7 1/5 Test lumière de la façade8 1/50 test lumière galerie

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BON PASTEUR

PROJET à la Croix Rousse (Lyon)

2ème semestre - Licence 2Enseignant: Jean-Yves Quay

L’exercice divisé en deux temps nous demandait de concevoir

une résidence étudiante et un restaurant puis plus tard un im-meuble d’habitation d’une ving-taine d’appartements.

Le quartier de la Croix Rousse à une image très forte à laquelle il est difficile de se mesurer, aus-si paraissait-il évident, tout en gardant une écriture contempo-raine, d’exprimer une forme de « banalité » d’une architecture du quotidien. Les bâtiments d’une volumétrie simple viennent s’in-tégrer dans la continuité du tis-su existant. À l’échelle du quar-tier le projet vient combler un manque programmatique: une salle polyvalente et associative prend place en RDC.

S’opposer à la pente, notam-ment pendant la construction, est un acte courageux, mais techniquement et financière-ment gourmand, aussi a-t-on fait le choix d’optimiser la dis-position des différentes enti-tés pour minimiser la poussée de terre. Seule le restaurant vient se loger dans un terrasse-ment bordant le mur de refend Nord. La résidence étudiante se cale à l’Est pour ne pas nuire aux constructions existantes à l’Ouest, ce qui laisse la bordure Sud à l’immeuble de logements bénéficiant ainsi des meilleures conditions d’ensoleillement et

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Rue du Bon-Pasteur

Église du Bon Pasteur

Montée du

Rue Neyret

Lieutenant

Allouche

Rue de l’Alma

Communauté St. François

Parcelle du

projet.

Plan MASSE

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BON PASTEUR

PROJET à la Croix Rousse (Lyon)

2ème semestre - Licence 2Enseignant: Jean-Yves Quay

L’exercice divisé en deux temps nous demandait de concevoir

une résidence étudiante et un restaurant puis plus tard un im-meuble d’habitation d’une ving-taine d’appartements.

Le quartier de la Croix Rousse à une image très forte à laquelle il est difficile de se mesurer, aus-si paraissait-il évident, tout en gardant une écriture contempo-raine, d’exprimer une forme de « banalité » d’une architecture du quotidien. Les bâtiments d’une volumétrie simple viennent s’in-tégrer dans la continuité du tis-su existant. À l’échelle du quar-tier le projet vient combler un manque programmatique: une salle polyvalente et associative prend place en RDC.

S’opposer à la pente, notam-ment pendant la construction, est un acte courageux, mais techniquement et financière-ment gourmand, aussi a-t-on fait le choix d’optimiser la dis-position des différentes enti-tés pour minimiser la poussée de terre. Seule le restaurant vient se loger dans un terrasse-ment bordant le mur de refend Nord. La résidence étudiante se cale à l’Est pour ne pas nuire aux constructions existantes à l’Ouest, ce qui laisse la bordure Sud à l’immeuble de logements bénéficiant ainsi des meilleures conditions d’ensoleillement et

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Rue du Bon-Pasteur

Église du Bon Pasteur

Montée du

Rue Neyret

Lieutenant

Allouche

Rue de l’Alma

Communauté St. François

Parcelle du

projet.

Plan MASSE

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de vue. Au centre le restaurant et la salle polyvalente animent un jardin ouvert au public.

La simplicité et la rigueur des plans de logement ont permis tout en restant dans les sur-faces exigées de proposer des espaces supplémentaires (de rangement par exemple). De la même façon à l’échelle du bâ-timent nous avons pu proposer des espaces collectifs, foyers pour la résidence étudiante et toit-terrasse équipé pour l’im-meuble de logement.

La façade, en apparence désor-donnée, résultait d’une prise en compte du besoin de luminosi-té et du vis-à-vis, elle évoquait également les cartes perforées des métiers à tisser Jacquard. Avec le recul, je l’aurais sans doute dessiné d’une autre fa-çon , plus « fidèle » à l’esprit du quartier.

Les technologies de la construc-tion devenant à l’architecture ce que l’agroalimentaire est à la gastronomie, nous avons fait le choix, constatant également que la technicité d’un matériau était fonction inverse des sa-voirs faire nécessaires à sa mise en œuvre de n’utiliser, dans la mesure du possible, que des matériaux «bruts».

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Plan niveaux & toit-terrasse.

Plan R+1

Plan RDC

Plan Jardin

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de vue. Au centre le restaurant et la salle polyvalente animent un jardin ouvert au public.

La simplicité et la rigueur des plans de logement ont permis tout en restant dans les sur-faces exigées de proposer des espaces supplémentaires (de rangement par exemple). De la même façon à l’échelle du bâ-timent nous avons pu proposer des espaces collectifs, foyers pour la résidence étudiante et toit-terrasse équipé pour l’im-meuble de logement.

La façade, en apparence désor-donnée, résultait d’une prise en compte du besoin de luminosi-té et du vis-à-vis, elle évoquait également les cartes perforées des métiers à tisser Jacquard. Avec le recul, je l’aurais sans doute dessiné d’une autre fa-çon , plus « fidèle » à l’esprit du quartier.

Les technologies de la construc-tion devenant à l’architecture ce que l’agroalimentaire est à la gastronomie, nous avons fait le choix, constatant également que la technicité d’un matériau était fonction inverse des sa-voirs faire nécessaires à sa mise en œuvre de n’utiliser, dans la mesure du possible, que des matériaux «bruts».

Plan RDC

Plan Jardin

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Coupe AA’

Coupe BB’

10mPlan niveaux & toit-terrasse.

Plan R+1

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PLANCHE DE DÉTAILS

Menuiseries portes

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de vue. Au centre le restaurant et la salle polyvalente animent un jardin ouvert au public.

La simplicité et la rigueur des plans de logement ont permis tout en restant dans les sur-faces exigées de proposer des espaces supplémentaires (de rangement par exemple). De la même façon à l’échelle du bâ-timent nous avons pu proposer des espaces collectifs, foyers pour la résidence étudiante et toit-terrasse équipé pour l’im-meuble de logement.

La façade, en apparence désor-donnée, résultait d’une prise en compte du besoin de luminosi-té et du vis-à-vis, elle évoquait également les cartes perforées des métiers à tisser Jacquard. Avec le recul, je l’aurais sans doute dessiné d’une autre fa-çon , plus « fidèle » à l’esprit du quartier.

Les technologies de la construc-tion devenant à l’architecture ce que l’agroalimentaire est à la gastronomie, nous avons fait le choix, constatant également que la technicité d’un matériau était fonction inverse des sa-voirs faire nécessaires à sa mise en œuvre de n’utiliser, dans la mesure du possible, que des matériaux «bruts».

Plan RDC

Plan Jardin

Plan niveaux & toit-terrasse.

Plan R+1

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PLANCHE DE DÉTAILS

Coupe façades

Menuiseries portes Planchers

Coupe AA’

Coupe BB’

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de vue. Au centre le restaurant et la salle polyvalente animent un jardin ouvert au public.

La simplicité et la rigueur des plans de logement ont permis tout en restant dans les sur-faces exigées de proposer des espaces supplémentaires (de rangement par exemple). De la même façon à l’échelle du bâ-timent nous avons pu proposer des espaces collectifs, foyers pour la résidence étudiante et toit-terrasse équipé pour l’im-meuble de logement.

La façade, en apparence désor-donnée, résultait d’une prise en compte du besoin de luminosi-té et du vis-à-vis, elle évoquait également les cartes perforées des métiers à tisser Jacquard. Avec le recul, je l’aurais sans doute dessiné d’une autre fa-çon , plus « fidèle » à l’esprit du quartier.

Les technologies de la construc-tion devenant à l’architecture ce que l’agroalimentaire est à la gastronomie, nous avons fait le choix, constatant également que la technicité d’un matériau était fonction inverse des sa-voirs faire nécessaires à sa mise en œuvre de n’utiliser, dans la mesure du possible, que des matériaux «bruts».

Plan RDC

Plan Jardin

Plan niveaux & toit-terrasse.

Plan R+1

Coupe AA’

Coupe BB’

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PLANCHE DE DÉTAILS

Menuiseries portes

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PLANCHE DE DÉTAILS

Coupe façades

Menuiseries portes Planchers

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Perspective, Salon.

Perspective, Salle polyvalente.

Perspective, Toit-terrasse.

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EX-SPECTRE D’ESPACE

PROJET d’ART

2ème semestre - Licence 2Enseignant: Marie-Claire Mitout

Mickael AhmadYohann Hubert

Huit blocs pour les huit ni-veaux de l’immeuble. Empi-

lés comme des stèles en attente de livraison, laissées là, dans un couloir d’un immeuble préfabri-qué d’une ZUP de la banlieue lyonnaise, sous la lumière de la cage d’escalier.

Un empilement très simple comme celui des « cages à poules» qui l’entoure, la forme reprend le vide des circulations horizontales qui de par leurs symétries centrales avaient tendance à perdre les visiteurs et même parfois les habitants. L’oeuvre trouve là ça seule fonc-tion, sa seule raison d’être: un repère spatial.

L’immeuble n’est pas géoloca-lisé et de toute façon cela n’a pas d’importance, il est coupé de son environnement, la moi-tié de ses entrées sont condam-nées, les autres protégés par un double digicode. Tout comme la sculpture il est juste posé là.

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VENISSIEUXPROJET URBAIN

1er semestre - Licence Enseignant: Thierry Saunier, Joan Casanelles

Anais JeantilsLaetitia PriemYohann Hubert

Pour ce premier projet ur-bain, nous avons abordé les

notions de densité et de mixité programmatique.

Cherchant un juste milieu entre deux modèles urbains ayant montré leurs limites, le lotisse-ment pavillonnaire et le grand ensemble, nous nous sommes retrouvés à développer une «cité jardin».

La commercialisation des RDC ne nous semblait pas systémati-quement nécessaire, aussi l’ha-bitabilité des RDC était cruciale. Pour cela nous avons créé une distance entre les bâtiments et la voirie aux moyens de jardins privés et d’espaces verts.

Le projet de manière plus géné-rale s’organise autour d’un axe reliant la station de métro à la station de Tram, stations autour desquelles nous trouvons cer-tains équipements comme un centre culturel et un gymnase, mais aussi deux parcs urbains marquant les entrées du quar-tier.

Deux places viennent enrichir la vie du quartier tout en le ratta-chant à son contexte.

Au Nord une bande continue de locaux professionnels et bu-reaux vient créer une protec-tion acoustique et visuelle face

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PLAN MASSE

A

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PLAN MASSE

AA

B

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PLAN MASSE

A

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A

B

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SECTIONS AXONOMÉTRIQUES

Page 83: Portfolio_ Yohann Hubert

SECTION A

SECTION B

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PLAN EXTENSIONT4 DUPLEX 1-200

ISOMÉTRIE EXTENSION. ASSEMBLAGE EN FILIÈRE SÈCHE.

au périphérique qui leur donne également une visibilité com-merciale.

Deux typologies de bâtiments se sont dégagées, l’une com-portant des commerces et ser-vices en RDC (A), situés le long de l’axe central de la parcelle, L’autre acceptant des loge-ments en RDC (B).

La totalité des logements sont au moins traversants, tous les appartements en RDC béné-ficient d’un jardin privatif. La forme particulière « en lanière » du plan général est le résultat d’une orientation contrôlée des bâtiments, ainsi la totalité des pièces de vie sont orientés au SUD.

Nous avions également à coeur de permettre une évolutivité, voir une extensibilité, du bâti. Pour ceci nous avons muni chaque appartement d’une ter-rasse jardin d’hiver au sud et développer un système d’exten-sion verticale de la typologie (B).

À travers la matérialité du bâti nous avons voulu rendre hom-mage à son héritage industriel (brique, acier, etc.), les parcs champêtres quant à eux se ré-fèrent à son passé agricole.

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Plan & élévation typologie A

Façade Sud

Façade Nord

Plan R+3

Plan R+2

Plan R+1

Plan îlots

Page 86: Portfolio_ Yohann Hubert

PLAN EXTENSIONT4 DUPLEX 1-200

ISOMÉTRIE EXTENSION. ASSEMBLAGE EN FILIÈRE SÈCHE.

au périphérique qui leur donne également une visibilité com-merciale.

Deux typologies de bâtiments se sont dégagées, l’une com-portant des commerces et ser-vices en RDC (A), situés le long de l’axe central de la parcelle, L’autre acceptant des loge-ments en RDC (B).

La totalité des logements sont au moins traversants, tous les appartements en RDC béné-ficient d’un jardin privatif. La forme particulière « en lanière » du plan général est le résultat d’une orientation contrôlée des bâtiments, ainsi la totalité des pièces de vie sont orientés au SUD.

Nous avions également à coeur de permettre une évolutivité, voir une extensibilité, du bâti. Pour ceci nous avons muni chaque appartement d’une ter-rasse jardin d’hiver au sud et développer un système d’exten-sion verticale de la typologie (B).

À travers la matérialité du bâti nous avons voulu rendre hom-mage à son héritage industriel (brique, acier, etc.), les parcs champêtres quant à eux se ré-fèrent à son passé agricole.

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Plan & élévation typologie B

Façade Sud

Façade Nord

Toit-terrasse& extensions.

PLAN RDC

PLAN Courant

Plan & élévation typologie A

Façade Sud

Façade Nord

Plan R+3

Plan R+2

Plan R+1

Page 88: Portfolio_ Yohann Hubert

PLAN EXTENSIONT4 DUPLEX 1-200

ISOMÉTRIE EXTENSION. ASSEMBLAGE EN FILIÈRE SÈCHE.

au périphérique qui leur donne également une visibilité com-merciale.

Deux typologies de bâtiments se sont dégagées, l’une com-portant des commerces et ser-vices en RDC (A), situés le long de l’axe central de la parcelle, L’autre acceptant des loge-ments en RDC (B).

La totalité des logements sont au moins traversants, tous les appartements en RDC béné-ficient d’un jardin privatif. La forme particulière « en lanière » du plan général est le résultat d’une orientation contrôlée des bâtiments, ainsi la totalité des pièces de vie sont orientés au SUD.

Nous avions également à coeur de permettre une évolutivité, voir une extensibilité, du bâti. Pour ceci nous avons muni chaque appartement d’une ter-rasse jardin d’hiver au sud et développer un système d’exten-sion verticale de la typologie (B).

À travers la matérialité du bâti nous avons voulu rendre hom-mage à son héritage industriel (brique, acier, etc.), les parcs champêtres quant à eux se ré-fèrent à son passé agricole.

71 | 76 Plan îlotsPlan & élévation typologie A

Façade Sud

Façade Nord

Plan R+3

Plan R+2

Plan R+1

Page 89: Portfolio_ Yohann Hubert

PERSPECTIVE typologie B façade Nord

PERSPECTIVE typologie B façade Sud

10

Plan & élévation typologie B

Façade Sud

Façade Nord

Toit-terrasse& extensions.

PLAN RDC

PLAN Courant

Page 90: Portfolio_ Yohann Hubert

PLAN EXTENSIONT4 DUPLEX 1-200

ISOMÉTRIE EXTENSION. ASSEMBLAGE EN FILIÈRE SÈCHE.

au périphérique qui leur donne également une visibilité com-merciale.

Deux typologies de bâtiments se sont dégagées, l’une com-portant des commerces et ser-vices en RDC (A), situés le long de l’axe central de la parcelle, L’autre acceptant des loge-ments en RDC (B).

La totalité des logements sont au moins traversants, tous les appartements en RDC béné-ficient d’un jardin privatif. La forme particulière « en lanière » du plan général est le résultat d’une orientation contrôlée des bâtiments, ainsi la totalité des pièces de vie sont orientés au SUD.

Nous avions également à coeur de permettre une évolutivité, voir une extensibilité, du bâti. Pour ceci nous avons muni chaque appartement d’une ter-rasse jardin d’hiver au sud et développer un système d’exten-sion verticale de la typologie (B).

À travers la matérialité du bâti nous avons voulu rendre hom-mage à son héritage industriel (brique, acier, etc.), les parcs champêtres quant à eux se ré-fèrent à son passé agricole.

71 | 76 Plan îlotsPlan & élévation typologie A

Façade Sud

Façade Nord

Plan R+3

Plan R+2

Plan R+1

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Plan & élévation typologie B

Façade Sud

Façade Nord

Toit-terrasse& extensions.

PLAN RDC

PLAN Courant

Page 91: Portfolio_ Yohann Hubert

PERSPECTIVE typologie B façade Nord

PERSPECTIVE typologie B façade Sud

Page 92: Portfolio_ Yohann Hubert

CONFLUENCE

CONCEPT

1ème semestre - Licence 2Enseignant: Gilles Desevdalvy

Il nous fallait à partir d’une cri-tique du site d’implantation

formuler un concept qui se ma-térialiserait sous forme d’archi-tecture. Nous suivions ainsi une démarche Langage/Concept/Forme.

Partant du constat qu’à Confluence le développement durable était un échec, dans les objectifs du moins que celui-ci prétendait atteindre. Nous avons tenté d’avoir une approche non pas technologique de l’écologie, mais culturelle. Nous avons peu à peu élaboré le concept d’ar-chitecture bleue, nous inspirant de « l’économie bleue » de Gün-ter Paoli.

Nous avons regardé ce qui se passait dans pays émergent en matière d’alimentation, de pro-duction et de logements. Par-tant du constat que dans la diffi-culté quotidienne que rencontre la population celle-ci développe des solutions dans l’urgence, mais qui se traduisent par une grande intelligence et une éco-nomie de moyens. Aussi nous nous sommes appuyés sur Kool-haas désignant le bidonville de Lagos comme un « modèle d’au-to-organisation ».

Il en résulte un quartier organi-sé autour de trois pôles : L’agri-culture urbaine, le réemploi ou Re-design et l’habitat évolutif.

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Page 93: Portfolio_ Yohann Hubert

Esquisse, plan, coupe & élévation, aquarelle.

PLAN D’ENSEMBLE, aquarelle.

Page 94: Portfolio_ Yohann Hubert

CONFLUENCE

CONCEPT

1ème semestre - Licence 2Enseignant: Gilles Desevdalvy

Il nous fallait à partir d’une cri-tique du site d’implantation

formuler un concept qui se ma-térialiserait sous forme d’archi-tecture. Nous suivions ainsi une démarche Langage/Concept/Forme.

Partant du constat qu’à Confluence le développement durable était un échec, dans les objectifs du moins que celui-ci prétendait atteindre. Nous avons tenté d’avoir une approche non pas technologique de l’écologie, mais culturelle. Nous avons peu à peu élaboré le concept d’ar-chitecture bleue, nous inspirant de « l’économie bleue » de Gün-ter Paoli.

Nous avons regardé ce qui se passait dans pays émergent en matière d’alimentation, de pro-duction et de logements. Par-tant du constat que dans la diffi-culté quotidienne que rencontre la population celle-ci développe des solutions dans l’urgence, mais qui se traduisent par une grande intelligence et une éco-nomie de moyens. Aussi nous nous sommes appuyés sur Kool-haas désignant le bidonville de Lagos comme un « modèle d’au-to-organisation ».

Il en résulte un quartier organi-sé autour de trois pôles : L’agri-culture urbaine, le réemploi ou Re-design et l’habitat évolutif.

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PLAN D’ENSEMBLE, aquarelle.

Page 95: Portfolio_ Yohann Hubert

Esquisse, plan, coupe & élévation, aquarelle.

Page 96: Portfolio_ Yohann Hubert

EXTENSION MUSÉALE

PROJET SCÉNOGRAPHIQUE

2ème semestre - licence 1Enseignant: Marc Barraness

L’extension, pour les besoins de l’exercice, est située sur le

toit d’un musée fictif composé structurellement d’une trame de cinq mètres carrés.

Elle est dédiée aux arts mar-tiaux japonais et doit montrer leurs évolutions et transforma-tions de l’époque féodale à au-jourd’hui et comment ils sont passés d’un code guerrier (le «bushido») à des pratiques qui transmettent certaines valeurs morales et de paix (les «budo»). La scénographie et l’espace s’organiseront donc autour de ces concepts, le passage du « sang » à la « lumière ».

Nous devions nous concentrer avant tout sur le parcours scé-nographique plus que sur l’as-pect extérieur de l’architecture, c’est pourquoi toute ouverture vers l’extérieur était interdite. Le choix cependant fut d’en-velopper l’extension dans une membrane translucide préfé-rant à l’intérieur une bonne lu-minosité diffuse et de l’extérieur jouer avec le flou de la profon-deur de la structure en bois.

Le parcours s’organise à travers deux natures d’espace, l’un dans l’ombre et dans le « déconstruc-tivisme » l’autre dans la lumière et davantage de rigueur.

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Page 97: Portfolio_ Yohann Hubert

COUPE BB’

COUPE AA’

PLAN

Page 98: Portfolio_ Yohann Hubert

EXTENSION MUSÉALE

PROJET SCÉNOGRAPHIQUE

2ème semestre - licence 1Enseignant: Marc Barraness

L’extension, pour les besoins de l’exercice, est située sur le

toit d’un musée fictif composé structurellement d’une trame de cinq mètres carrés.

Elle est dédiée aux arts mar-tiaux japonais et doit montrer leurs évolutions et transforma-tions de l’époque féodale à au-jourd’hui et comment ils sont passés d’un code guerrier (le «bushido») à des pratiques qui transmettent certaines valeurs morales et de paix (les «budo»). La scénographie et l’espace s’organiseront donc autour de ces concepts, le passage du « sang » à la « lumière ».

Nous devions nous concentrer avant tout sur le parcours scé-nographique plus que sur l’as-pect extérieur de l’architecture, c’est pourquoi toute ouverture vers l’extérieur était interdite. Le choix cependant fut d’en-velopper l’extension dans une membrane translucide préfé-rant à l’intérieur une bonne lu-minosité diffuse et de l’extérieur jouer avec le flou de la profon-deur de la structure en bois.

Le parcours s’organise à travers deux natures d’espace, l’un dans l’ombre et dans le « déconstruc-tivisme » l’autre dans la lumière et davantage de rigueur.

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PLAN

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COUPE BB’

COUPE AA’

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Page 102: Portfolio_ Yohann Hubert

MARCHÉ COUVERTPROJET MORPHOLOGIE

1er semestre - licence 3Enseignant: Serge Monnot

Brice Franquesa-Naas Victor DidierYohann Hubert

Au pied du Vercors, éclairé de l’intérieur, recouvert de

neige, le marché nous laisse voir son antre . Le jeu de l’éclairage sur la charpente produit une at-mosphère surprenante que la maquette commençait déjà à nous faire ressentir.

Nous avons travaillé exclusive-ment en volume, avec du carton, de l’argile puis du bois, suivant une démarche empirique, en es-sayant de nous concentrer non pas sur un concept initial, mais en laissant une place à ce que l’aléatoire avait à nous offrir.

Un certain nombre d’intentions se sont quand même main-tenues, à travers l’expression d’oxymores architecturaux:

Masse et ossature, opacité et transparence, etc.

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PLAN

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Page 104: Portfolio_ Yohann Hubert

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SWEETSWEAT

Concours Nouveau sweat de l’ENSAL:1ere place

Dream the world . ENSALDream the world . ENSAL

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Dream the world . ENSAL

Page 108: Portfolio_ Yohann Hubert

DIALOGUE DE SOURDSInstallation artistique

Brice Franquesa-NaasYohann Hubert

Grand prix de la couleur Vachon Sikkens.1er prix

Initialement prévue pour la fête des Lumières, mais rapidement

éliminée pour des raisons de sé-curité, l’œuvre s’est alors mé-tamorphosée, fracturée, auto-détruite pour exprimer un rêve brisé.

Cette violence fut du goût du jury du « grand prix de la cou-leur Sikkens » puisqu’il nous at-tribua le premier prix, malgré une forte dominance de noir...

Le projet d’origine venait dispo-ser une série de chaises/inter-rupteurs autour d’un arbre. Une fois activée celles-ci déclen-chaient des spots de différentes couleurs qui, par additivité de la lumière, dessinaient et ani-maient un « dialogue boréal ».

Nous avons récupéré les chaises et les avons détruites puis sus-pendu leurs éclats que des liens colorés semblaient venir arra-cher, le temps semblait s’être figé autour de cette «explosion».

Nous pouvions aussi interpréter l’œuvre de manière plus mé-taphorique, la chaise noire re-présentant les dogmes et idées préconçues et bien « assises » dans notre société que quelques nouvelles idées colorées ve-naient faire voler en éclats.

L’œuvre est exposée à l’agence SUD architectes.

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OFFICE DE TOURISME FLUVIALPROJET

1er semestre - licence 1Enseignant: Marc Barraness

Fraîchement aménagées, les berges du Rhône ont été

choisies pour accueillir un nou-vel office de tourisme.

Comme une péniche elle vient s’amarrer au quai et ne gêne ainsi pas les flux sur la berge. À proximité de la passerelle du collège, elle est observable sous tous les angles et sa forme po-lygonale, polie par le courant, vient refléter le paysage qui l’entoure.

La coque en plaques cuivre inoxydable perforé (nous n’avions pas encore conscience de la problématique écono-mique liée au projet) donne un aspect très opaque à l’ensemble et un caractère très mono-lithique repérable de loin.

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PAVILLONITINÉRANT

ARCHITECTURE ÉPHÉMÈRE

1er semestre - licence 1Enseignant: Marc Barraness

Anais JeantilsSahra CognataYohann Hubert

Nous avons voulu exprimer le paradoxe contemporain

de la mobilité, perçue depuis longtemps comme une forme de vagabondage, d’instabilité, en France les gens du voyage et forain ont toujours été mal perçus. Aujourd’hui pourtant, sans avoir abandonné nos vieilles idées reçues, la mobilité est perçue comme une qualité pour le travailleur qui ne doit plus avoir d’attaches, mais dans un esprit de mondialisation, suivre les fluctuations écono-miques.

Le pavillon exprime cette ten-sion et ces paradoxes qui dé-finissent la mobilité. Une cage ouverte d’éléments fins et li-néaires sous-tendus en bam-bous vient suspendre une toile de jonque recyclée, portant encore la mémoire de ses tra-versées océaniques, tourbillon-nant comme pour s’échapper de cette enveloppe emprison-nante.

Abritant une exposition sur l’ar-chitecture le pavillon itinérant devait pouvoir rapidement se monter, se démonter, se trans-porter. Nous avons dû rédiger une notice de montage ainsi qu’un certain nombre de détails techniques appuyant notre pro-pos.

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Détail -manchon de liaisonbambou/bambou.

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UNE MAISON ENTRE DEUX MURSPROJET

1er semestre - licence 1Enseignants: Marc Barraness Walter Piccoli

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À vouloir toujours comprendre l’origine de toute chose, nous

nous sommes retrouvés dans la caverne de l’homme préhis-torique. L’architecture sembla alors se définir par l’acte d’ha-biter avant celui de bâtir.

Le terrain ne présentait que des contraintes qu’il a fallu retourner en avantages. Long de quarante mètres, large de six, suivant une pente de 5 % et bordé de deux grands murs de six mètres, il fal-lait alors y insérer une maison pour un couple et leurs deux enfants à laquelle s’a joutait un cabinet de psychologue pour la mère.

Auparavant anxiogène les deux murs deviennent réflecteurs pour éclairer le séjour, orienté Nord/Sud la parcelle nous laisse disposer les pièces de manière naturelle, du plus public au plus privé depuis son entrée. La ca-verne contemporaine, par ces jeux de lumière sur les parois de béton brut, revêt une ambiance platonicienne.

Formes épurées, matériaux bruts, lumière réfléchie, sans être une architecture de la contemplation la maison apaise les esprits qui l’habitent.

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UNE MAISON ENTRE DEUX MURSPROJET

1er semestre - licence 1Enseignants: Marc Barraness Walter Piccoli

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À vouloir toujours comprendre l’origine de toute chose, nous

nous sommes retrouvés dans la caverne de l’homme préhis-torique. L’architecture sembla alors se définir par l’acte d’ha-biter avant celui de bâtir.

Le terrain ne présentait que des contraintes qu’il a fallu retourner en avantages. Long de quarante mètres, large de six, suivant une pente de 5 % et bordé de deux grands murs de six mètres, il fal-lait alors y insérer une maison pour un couple et leurs deux enfants à laquelle s’a joutait un cabinet de psychologue pour la mère.

Auparavant anxiogène les deux murs deviennent réflecteurs pour éclairer le séjour, orienté Nord/Sud la parcelle nous laisse disposer les pièces de manière naturelle, du plus public au plus privé depuis son entrée. La ca-verne contemporaine, par ces jeux de lumière sur les parois de béton brut, revêt une ambiance platonicienne.

Formes épurées, matériaux bruts, lumière réfléchie, sans être une architecture de la contemplation la maison apaise les esprits qui l’habitent.

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PLAN R+1

PLAN RDC

PLAN Cabinet & entrée

COUPE AA’

COUPE BB’

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MAQUETTE

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Page 127: Portfolio_ Yohann Hubert

Portfolio imprimé le XX/XX/XXXX

Sauf contre indication l’ensemble des documents et projets présentés sont la propriété de Yohann Hubert© Étudiant ENSAL.

Police utilisée: «Quicksand» par Andrew Paglinawan, distribuée gratuitement sur le site: http://www.typophile.com/node/50437

MERCI DEVOTRE ATTENTION.

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Yohann Hubertétudiant en architecture

[email protected](+33)7 88 22 16 80

ÉCOLENATIONALE SUPÉRIEURED’ARCHITECTUREDE LYON

Page 129: Portfolio_ Yohann Hubert
Page 130: Portfolio_ Yohann Hubert

Yohann [email protected](+33)7 88 22 16 80

ÉCOLENATIONALE SUPÉRIEURED’ARCHITECTUREDE LYON