Portfolio Hiver 2015

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PORTFOLIO LANCHANTIN Elina ENSAPB M1 2011-2014

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PORTFOLIO

LANCHANTIN Elina ENSAPB M12011-2014

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SOMMAIRE

I VOLUMES, PARCOURS

II ANALYSE

III LOGEMENTS

IV EQUIPEMENTS

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I

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PREAMBULE

Dans ce portfolio vous trouverez des travaux réalisés au cours des cinq premiers semestres à L’ENSA Paris Belleville, un court résumé des stages effec-tués ainsi qu’un ensemble de clichés photographiés au long de mes voyages, expo-sitions, expériences.

Vous y trouverez des travaux réalisés en première année encadrés par les professeur d’enseignement du projet d’architecture : Gaëlle Breton, François Bru-gel, Raphael Drizard, Estelle Thibault, Fréderic Einaudi, Rémi Fromont, Mathias Gervais, Gaël Huitorel, Saviri Jalais, Nicolas Karmouchkine, Marine Le Roy, Se-bastien Ramseyer, Hervé Roux, Sabine Guth, et Arianne Jouannais.Figurent aussi des travaux de première année d’Arts Plastiques enseignés par Si-mon Vignaud, Morgan Bancon, Chiara Gaggiotti, Julie Lafortune, Jean Denis Schauer, et Jean Baptiste Secheret. En ce qui concerne la deuxième année, il vous sera présenté le travail ré-alisé lors de l’intensif sur la question du site, enseigné par Dominique Hernan-dez. Ainsi que des travaux de studio. Pour le premier semestre j’ai choisi de suivre l’enseignement Guy Desgrandchamps et Nicolas André : «Habiter le logis». Pour le second, mon choix ,s’est tourné vers Béatrice Jullien et David Chambole : Situations de projets et logique d’enquête - Projets sur la petite ceinture à Paris. Sont aussi présents les travaux réalisés en cours de Matériaux des structures Acier : Concevoir et construire enseigné par Arnauld de Bussierre. Ainsi que des travaux d’Arts Plastiques dont l’enseignement fût assuré par Patrick Chaput et Jean Luc Bichaud, Pour l’enseignement du projet d’architecture de troisième année j’ai choisi de suivre le studio de Jean Paul Robert : Un équipement pour la vie d’un quartier. Ainsi que le studio d’Emmanuelle Colboc : De la conception de logements collec-tifs à la recherche de la juste échelle d’un lieu. Pour l’enseignement de la première année de master( réalisée à l’Université de Montréal) j’ai choisi le studio de Maxime Frappier : Pavillon de Canada, Dubai 2020.

Ce portfolio se compose de quatre parties non chronologiques. La première partie regroupe des travaux concernant la première années ainsi que l’intensif de deuxième année. La seconde partie s’intéresse plus aux problématiques de l’analyse tout en mon-trant au fil des années l’évolution de notre mode de pensée et de représentation face à ces questions. La troisième partie évoque le logis et le projet se rapportant à ce thème. La dernière partie traite la thématique de l’équipement. Entre chaque séquence se trouve des travaux plus personnels touchant différents domaines et se rapportant à la séquence précédente.

A la fin du document en index vous trouverez des références photographiques in-diquant le lieu et l’histoire de chaque photo présenté dans ce corpus.

I

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VOLUMES, PARCOURS

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MASSE, SURFACE , LIGNE

Matériau... c’est sur ce mot énigmatique que nous avons fait nos premiers pas dans l’espace architecturale. En effet c’est sous ce nom qu’en première année nous avons abordé les questions de pleins, vides, ombres, lumières... Mais aussi celles de la représentation et notamment de l’axo-nométrie. Le but du jeu était simple : un volume , trois découpes.A nous par la suite de composer cette sculpture/espace architectural.

Matériau... c’est aussi le procédé de création engagé dans la matière. En effet cette séquence nous à plongée au cœur du matériau, de ses questions, ses reflets, sa densité...Notre premier prototype fut dans un maté-riau massif, tout un processus derecherche se noua autour de ce mot.

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Tel un sculpteur nous avons creusé, dompté l’argile, le plâtre, la paraffine recherchant l’effet le plus lisse.A peine fini ce premier volume, d’autres mots firent leur apparition tel filaire ou sur-facique.Ainsi ces volumes achevés la dernière étape fut de les sublimés, les immortalisés sur papier glacé et mine de plomb.

Légendes :

Photos du modèle surfacique en carton Photo du modèle filaire en balsa Photo du modèle massif en paraffine Axonométries des modèles

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PARCOURS

Parcourir un lieu c’est aller d’un point A vers un point B, c’est aussi arpenter, flâner dans un parcours qui nous y invite. Ainsi en première année nous avons abor-dé ces questions par une série de courts exercices avec des énoncés simples : tout d’abord un premier parcours autour d’un arbre, d’un banc, et d’un endroit couvert. Puis l’exercice s’est transformé, puisant sont inspiration dans les piscines de mer d’Alvaro Siza.

Nous avons donc créé un parcours entre terre et mer avec un bassin, un quai et le niveau de l’eau.Nous avons aussi abordé lors de cette sé-quence des questions d’ordre structurel tel les poutres moisée/moisante, les pannes, les chevrons...

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Légendes :

Photos du parcours bassin/banc/couverture/arbre Photo du parcours entre quai et mer Coupe perspective du parcours entre terre et mer

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DE LEDOUX A LEDOUX

De Ledoux à Ledoux... derrière ce titre énigmatique ce cache l’intitulé de notre intensif de paysage (2ème année). Ce-lui ci consistait à nous faire déambuler sans objectifs entre Stalingrad et Bas-tille. Notre parcours fut comme un retour en enfance, nous étions innocents, dans la quête du plus de sensations possibles. Tous nos sens furent éveillés. Une fois de retour nous devions par groupe trouver un sujet, une sensation qui nous avait marqué et l’illustrer.

L’horizon... fut notre ligne directrice. En effet à cause de la forte topographie notre horizon ne cessa de varier. Nous avons retracé notre parcours par une coupe topographique sur laquelle nous avons re-levé des points de vues intéressants.

Il nous est venu l’idée de décomposer ces points de vues comme des plans de cinéma. Ainsi nous avons séparé l’arrière plan du premier, du second...

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Un fois cette étape faite nous les avons dé-coupés dans du carton. Et nous avons recom-posé de nouveaux paysages. Pour cadrer ces nouveaux paysages nous avons crée une sorte de boite dans laquelle nous avons installé un système qui nous permettait de varier l’ouverture et ainsi de faire varier notre perception de ce nouveau paysage imaginaire.

Légendes :

Coupe topographique avec les différents points de vues Installation du système Boite à vue Exemples de paysages recomposés

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L’EPOPEE D’UN CITADIN

Av. de Jenny

Rue de la Garenne

Les Terrasses

Derrière cette épopée se cache le sujet de l’intensif réalisé au deuxième semestre de la troisième année. La visée de cet in-tensif tente de nous rendre compte d’une situations actuelle sur un parcours donné dans l’ouest parisien. Il nous a permis de faire le lien entre différentes dis-ciplines et différentes échelles de temps .Nous avons tenté de capter des moments, des éléments perceptible le long de notre parcours. Nous avons mis en scène le par-cours d’un citadin lambda.

Nous avons retranscrit le parcours de ce citadin principalement à l’aide photogra-phies prises in situ.Le parcours partait du quartier de la Groue et s’achevait sur les terrasses de Nan-terre et la Défense.

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Légendes :

Photographie de la sortie du métro «la Dé-fense» à 20hVues des terrasses depuis la rue de Ga-renne Plan du parcoursPrises de vue la Défense Coupe sur la rue de Garenne

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MATIERE

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II

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III

IV

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V

VI

VII

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ANALYSE

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CANAL SAINT MARTIN

« Atmosphère ! Atmosphère ! Est-ce que j’ai une gueule d’atmosphère ? »Cette citation ainsi que le film deM.Carné fut longtemps l’un des symboles du canal Saint Martin. Lors de notre première année nous nous sommes interrogé sur des questions d’urbanisme de la ville et de ce quartier. Ainsi par groupe nous étions en charge d’un couple de rues perpendiculaire s au canal. Le segment que j’étudiais se trouve près de l’hôpital saint Louis : rue Bichat et rue des Recolets. Tout d’abord

nous avons pris connaissance de ce qu’était un cadastre avant de le reproduire. Cette étude s’est donc traduite par une série de cadastres ainsi que par des séries de maquettes : réalistes, voirie, pleins, vides....Cette enquête a nourri d’autre matières comme l’art plastique et la sociologie qui chacune dans leur domaine nous amènent à nous rendre compte d’une autre facette de ce cours d’eau.

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Légendes :

Plan cadastre rue Bichat rue des RecoletsPhotos du canal Saint Martin et de ses ponts Maquette de site Croquis réalisé en cours d’Arts PlastiquesMaquettes du bâtiment étudié rue des RecoletsPlan RDC du bâtiment rue des RecoletsElévation

Une fois ce travail de groupe achevé tout en restant dans notre cadrage initial nous avons effectué un relevé de deux bâtiments d’habitations face à face. Ce relevé se traduit par une étude des cours intérieurs parisiennes ainsi que par des géométraux et des maquettes.

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MAISON SEYNAVE J.Prouvé et N.Hutchinson 1962

N

Dans le cadre de l’enseignement du pro-jet, nous avons commencé la deuxième année par une analyse de maison en binôme, nous avons choisis la maison Seynave de J.Prouvé et N.Hutchinson La maison Seynave est située dans le sud de la France , tout près de Saint-Tropez, dans la ville de Grimaud . Le commanditaire de cette maison d’été, Monsieur Seynave, est un industriel lorrain de la papeterie. Elle se situe dans une pinède, composée essentiellement de hauts pins.

Au premier abord elle apparait comme une masse horizontale flottant au dessus du sol .Cette horizontalité est augmenter par l’avancement du plancher et de la toiture vers l’extérieure.Cette maison est utilisée pour les va-cances d’été, elle est donc très ouverte vers l’extérieure. Ainsi elle dispose d’une grande terrasse extérieure couverte qui entoure toute la maison . Le jardin et la terrasse sont des lieux de vie tout comme l’intérieur de la maison.

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La circulation à l’intérieur est libre et fluide. Seul des cloisons pliantes per-mettent une intimité temporaire représentant des obstacles. La maison selon les heures de la journée est donc plus ou moins ouverte, mais jamais fermée strictement.Pour concevoir cette maison J.Prouvé utilise le système alba: maison facilement démon-table et remontable. C’est ainsi que le chan-tier fut simple et rapide, tout les éléments étaient préfabriqués. Il a juste suffit de les boulonnés sur place .

Légendes :

Coupes PlanSchémas montrant les différents extérieurs espaces de la maisonSchémas sur la luminosité a différentes heures de la journée Croquis de l’entrée et de l’intérieur Axonométrie montrant tout les éléments de fabrication et l’ordre d’assemblage

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MAISON SEYNAVE J.Prouvé et N.Hutchinson 1962

Cette analyse c’est aussi traduite sous forme de maquettes. Une maquette «réaliste» en carton bois blanc, une conceptuelle qui illustre le système alba et la préfabrica-tion ainsi que les étapes d’assemblages. D’autre part nous avons aussi réalisé deux maquettes illustrant des détails construc-tifs : un écorché de paroi extérieure ain-si qu’un bloc d’habitation intérieur.

La maquette conceptuelle est accompa-gnée d’un flip-book reconstituant en quelques secondes les différentes étapes de construction du chantier.

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Légendes:

Photo de la maquette conceptFlip-bookPhoto regroupant l’ensemble des maquettes produitesPhotos de la maquette au 1/100 en carton bois blanc

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CONSERVATOIRE DU XVII Basalt 2013L’étude du conservatoire du XV11 arrondis-sement de Paris a été réalisé dans le cadre d’une matière «climat et enveloppe». Ce cours vise étudier de plus près un bâti-ment tant au niveau du système structurel qu’au niveau de l’enveloppe.

Cet édifice dessine des volumes francs, il est habillé d’une robe de cuivre perforée pour laisser pénétrer la lumière . En ef-fet toutes les salles sont orientées tel qu’elles reçoivent toutes un éclairage na-turel et une ouverture vers l’extérieure.

Tous ces dispositifs sont mis en oeuvre pour limiter l’éclairage artificiel et donc l’utilisation abusive de néon.Au nord on trouve les salles de danse, ce sont les salles les plus vitrées du bâti-ment car c’est un art qui a besoin d’une lumière constante et permanente. Au sud et sur le boulevard de Courcelles la peau de cuivre sert de part soleil que l’on re-lève a son grès. Elle s’utilise comme un filtre lumineux. Afin de respecter toutes les pratiques artistiques, une attention

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particulière a été don- née à l’isolation acoustique de chaque salle.

Légendes :

Murs porteurs et non porteurs et report des chargesDétail du plancher acoustique de la salle de danse Croquis axonométrique du système de fixa-tion de l’enveloppePlan détaillé de l’enveloppePhotos de chantier Modélisation 3D

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CONSERVATOIRE DU XVII Basalt 2013L’étude du conservatoire du XV11 arrondis-sement de Paris a été réalisé dans le cadre d’une matière «climat et enveloppe». Ce cours vise a étudier de plus près un bâti-ment tant au niveau du système structurel qu’au niveau de l’enveloppe.

Cet édifice dessine des volumes francs, il est habillé d’une robe de cuivre perforée pour laisser pénétrer la lumière . En ef-fet toutes les salles sont orientées tel qu’elles reçoivent toutes un éclairage na-turel et une ouverture vers l’extérieure.

Tous ces dispositifs sont mis en oeuvre pour limiter l’éclairage artificiel et donc l’utilisation abusive de néon.Au nord on trouve les salles de danse, ce sont les salles les plus vitrées du bâti-ment car c’est un art qui a besoin d’une lumière constante et permanente. Au sud et sur le boulevard de Courcelles la peau de cuivre sert de part soleil que l’on re-lève a son grès. Elle s’utilise comme un filtre lumineux. Afin de respecter toutes les pratiques artistiques, une attention

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Légendes :

Photographie générales de la maquettePhotographie de détails structurel de la façadePhotographie de détails de la salle de danse

particulière a été don- née à l’isolation acoustique de chaque salle.

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HOPITAL ROYAL VICTORIA Relevé photographique de l’hôpital Royal Victoria dans la cadre du cours de photo suivi à l’université de Montréal. Première série portant sur le pavillon F des femmes. Photographie mettant le bâti-ment en relation avec la végétation envi-ronnante. Photographie de détails de fa-çade.Un deuxième partie du semestre consistait en une interprétation personnel du site selon un sujet au choix. Ainsi j’ai choisi de traiter la limite entre l’ombre et la lumière.

Pour cette deuxième série je le suis en effet concentré sur des photographie de détails.

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Légendes :

Photographies du pavillon F des FemmesPhotographies interprétation personnelle

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REVE

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VIII IX

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X XI XII

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LOGEMENTS

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MAISONS PARTAGEES

Le but de cet exercice était dans une parcelle imposée d’organiser trois logements et un local commun pour leshabitants.

J’ai choisi la parcelle la plus en long: 8*20m. Dès mes premières hypothèses, je suis partie sur une figure de deux verticales sur une horizontale. Aprèsplusieurs semaines et plusieurs tests ,com-portant un travail avec des biais, voici la proposition arrêtée pour le jury .

J’ai pris le parti d’organiser meslogements dans la hauteur créant ainsi un duplex (logement pour deux personnes) et un triplex (logement pour une personne). Un grand escalier fait face à l’entrée et mène à un balcon urbain. Le local commun est divisé en deux et s’ouvre entièrement en fonction des occasions. Le logement familiale se trouve au rez-de-chaussé et est de pleins pied. Il possède deux courettes/jardins privatifs.

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Légendes :

Plans successivement du RDC au 3ème étageCoupe située à l’arrière de la parcelleÉlévations Photos de maquettes Volumique au 1/500 montrant l’évolution du projet au fils du semestre.

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MAISONS PARTAGEES

Le but de cet exercice était dans une parcelle imposée d’organiser trois logements et un local commun pour leshabitants.

J’ai choisi la parcelle la plus en long: 8*20m. Dès mes premières hypothèses, je suis partie sur une figure de deux verticales sur une horizontale. Apresplusieurs semaines et plusieurs tests ,com-portant un travail avec des biais, voici la proposition arrêtée pour le jury .

J’ai pris le parti d’organiser meslogements dans la hauteur créant ainsi un duplex (logement pour deux personnes) et un triplex (logement pour une personne). Un grand escalier fait face à l’entrée et mène à un balcon urbain. Le local commun est divisé en deux et s’ouvre entièrement en fonction des occasions. Le logement familiale se trouve au rez-de-chaussé et est de pleins pied. Il possède deux courettes/jardins privatifs.

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Légendes :

Coupe dans l’escalier extérieur Plan détaillé du rez-de-chausséPhotos de la maquette en carton bois blanc échelle 1/50

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LA JUSTE ÉCHELLE D’UN LIEUIl s’agit de concevoir un ensemble de lo-gements et transformer l’échelle d’un lieu existant. Cette densification s’est accom-pagnée d’une analyse rigoureuse du péri-mètre d’accueil, afin de dégager une posi-tion urbaine qui deviendra l’assiette de l’exercice. Le projet consiste à organiser 70 logements en formant une venelle et en venant insérer un programme public utile aux habitants des nouveaux logements ainsi que les usagers du quartier. Tout d’abord une grande importance fut donnée aux in-tentions d’implantation. Ces intentions

furent traduites à l’aide maquettes mini-malistes. Ce projet s’inspire des théma-tiques de l’art cinétique. Les bâtiments de se perçoivent pas de la même façon que l’on soit d’un coté ou de l’autre de la venelle. Chaque logement à été travaillé individuellement en optimisant toutes les qualités et en offrant à chaque habitant un espace extérieur privé. Les bâtiments sont implantés en éventail pour offrir un meilleur apport lumineux au logement. De plus cette implantation permet de créer des espaces de rencontre au rez de chaussé

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REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF

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L’équipement installé dans la venelle consiste en une cuisine collective. Le site étant dans un quartier multiculturel les différentes nationalités qui se côtoient se retrouvent autour de la commensalité. Créant ainsi un lien social fort dans la venelle.

Légendes :

Coupes longitudinalesPlan du rez de chausséCoupe transversale Élévation

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LA JUSTE ECHELLE D’UN LIEUIl s’agit de concevoir un ensemble de lo-gements et transformer l’échelle d’un lieu existant. Cette densification s’est accom-pagnée d’une analyse rigoureuse du péri-mètre d’accueil, afin de dégager une posi-tion urbaine qui deviendra l’assiette de l’exercice. Le projet consiste à organiser 70 logements en formant une venelle et en venant insérer un programme public utile aux habitants des nouveaux logements ainsi que les usagers du quartier. Tout d’abord une grande importance fut donnée aux in-tentions d’implantation. Ces intentions

furent traduites à l’aide maquettes mini-malistes. Ce projet s’inspire des théma-tiques de l’art cinétique. Les bâtiments de se perçoivent pas de la même façon que l’on soit d’un coté ou de l’autre de la venelle. Chaque logement à été travaillé individuellement en optimisant toutes les qualités et en offrant à chaque habitant un espace extérieur privé. Les bâtiments sont implantés en éventail pour offrir un meilleur apport lumineux au logement. De plus cette implantation permet de créer des espaces de rencontre au rez de chaussé

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L’équipement installé dans la venelle consiste en une cuisine collective. Le site étant dans un quartier multiculturel les différentes nationalités qui se côtoient se retrouvent autour de la commensalité. Créant ainsi un lien social fort dans la venelle.

Légendes :

Photographie des maquettes conceptuellesPhotographie de la maquette finale

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STAGE DE CHANTIER

Durant un mois j’ai réalisé mon stage de chantier en tant qu’ouvrier. C’était sur un chantier de logements en gros œuvre réalisé par Vinci Construction, dont l’ar-chitecte est Anne Demians. Le projet est composé de trois bâtiments. Durant ce stage j’ai énormément appris tant dans l’organisation du chantier que dans les étapes de fabrication,les matériaux et les mises en œuvre. Ainsi j’ai appris à monter une banche, à la placer sur des repères que j’avais préalablement

tracé au fil bleu, à couler le béton à l’intérieure et à le vibrer. J’ai aussi appris à coffrer et à ferrailler un plan-cher, à poser un escalier préfabriqué, à placer des rupteurs de ponts thermiques dans un garde corps, ainsi qu’à venir pla-cer le mannequin de porte dans la banche avant de venir la refermer. Le tout suivant les règles techniques de productivité et de sécurité développées par l’entreprise.

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STAGE DE CHANTIER

Légendes :

Image du projet de Anne Demians Photos du coffrage, des aciers sur le plancher, des banches, des rupteurs de ponts thermiques, des escaliers, du plan de chantier

Cette expérience de gros œuvre m’a permis de voir la vie du chantier au quotidien sur plusieurs cycles de construction : du R-1 au R+2.Elle m’a aussi permis de conforter ma volon-té de travailler dans le milieu du bâtiment en maitrise d’œuvre tant en montage d’opérations conception qu’en suivis de chantier.

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CORPS

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XIV

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EQUIPEMENTS

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UNE FRICHE SUSPENDUE

Parcelle «contructible»

Acces à l’autre cote de la parcelle en passant sous les voutes

Acces à l’autre cote de la parcelle en passant sur la petite ceinture

Avenue Jean

Jaures

Rue

de

L’Ourcq

Avenue Jean Jaurès

centre de karaté Logements r+6 datant des années1920

Logements/Bureaudatant des années 1980

Logements datant des années 1980

Rue

de

L’Ourcq

Avenue Jean Jaurès

Zone de chantier de logement

Logements récemment rénovés

Logements encore en chantier faisant parti de la zac d’ourcq

Logements type hlm

Latitude : 2° 23' 02.0" ELongitude :

© IGN 2012 – www.geoportail.gouv.fr/mentions-legales 48° 53' 05.0" N

Dans le cadre de l’enseignement du pro-jet au deuxième semestre de deuxième an-née, j’ai travaillé sur un site bien par-ticulier : la petite ceinture. L’exercice consiste à organiser sur une des sur-lar-geur de la petite ceinture de Paris ,un programme sportif et un programme asso-ciatif.Une première partie du semestre fut consacré à la découverte de ce site et à une traduction de notre impression.

Une fois l’étape de découverte achevé nous sommes allés à la recherche d’un site pour y implanter notre projet. Le site que j’ai choisi se situe près du canal de l’Ourcq et de l’avenue Jean Jaures. Au niveau du pro-gramme, j’ai décidé de réaliser une salle de Hockey en salle. C’est un choix qui me tenait a cœur car c’est un sport que j’ai longtemps pratiqué. Je trouvais le site intéressant car il se situe de part et d’autre de la voie de chemin de fer et offre une géométrie peu commune.

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Légendes :

Plans cadastre du sitePlans montrant l’architecture des bâtiments alentours Coupes de site schématiquePlan montrant l’état actuel du site Coupes exprimant le projetPlan du projet

De plus le programme que j’ai choisi néces-site une place assez conséquente, le ter-rain étant juste de la taille requise je trouvais intéressant de travailler ce rap-port. Le terrain à l’heure actuelle est une friche où la végétation a pris le dessus, ainsi j’ai travaillé la forme de la toiture pour faire renaître ce sentiment de nature depuis le petite ceinture comme depuis la rue. Cette toiture est comme une invitation vers un paysage qui émerge et éveil notre curiosité.

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UNE FRICHE SUSPENDUE

Dans le cadre de l’enseignement du pro-jet au deuxième semestre de deuxième an-née, j’ai travaillé sur un site bien par-ticulier : la petite ceinture. L’exercice consiste à organiser sur une des sur-lar-geur de la petite ceinture de Paris ,un programme sportif et un programme asso-ciatif.Une première partie du semestre fut consacré à la découverte de ce site et à une traduction de notre impression.

Une fois l’étape de découverte achevé nous sommes allés à la recherche d’un site pour y implanter notre projet. Le site que j’ai choisi se situe près du canal de l’Ourcq et de l’avenue Jean Jaures. Au niveau du pro-gramme, j’ai décidé de réaliser une salle de Hockey en salle. C’est un choix qui me tenait a cœur car c’est un sport que j’ai longtemps pratiqué. Je trouvais le site intéressant car il se situe de part et d’autre de la voie de chemin de fer et offre une géométrie peu commune.

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Légendes :

Photos de la maquette au 1/500 Croquis de vue depuis la petite ceinture Photos de la maquette de 1/100Croquis de vue de l’intérieur montrant la structure Photos de la maquette de détail au 1/50

De plus le programme que j’ai choisi néces-site une place assez conséquente, le ter-rain étant juste de la taille requise je trouvais intéressant de travailler ce rap-port. Le terrain à l’heure actuelle est une friche où la végétation a pris le dessus, ainsi j’ai travaillé la forme de la toiture pour faire renaître ce sentiment de nature depuis le petite ceinture comme depuis la rue. Cette toiture est comme une invitation vers un paysage qui émerge et éveil notre curiosité.

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UNE MAISON COMMUNE A GENTILLY

Dans le cadre de l’enseignement du projet du premier semestre de troisième année, nous avons arpenté les villes à la périphérie de Paris à la recherche d’un bâtiment désaffecté ou mal affecté. Le but étant de le réaffecter à un autre pro-gramme. Le projet ne se fit pas indivi-duellement mais par groupe de 5. Nous avons choisi de travailler sur les Bains/Lavoirs de la ville de Gentilly. Cet édifice fut construit dans les années 1920 dans un phénomène d’hygienisation des villes.

Ce bâtiment de deux étages possède une fa-çade principale très significative. Il est composé de deux corps de bâtiments et a une distribution intérieure très particulière. L’ancien lavoir se situe au rez-de-chaus-sé, les cabines de douches au premier et au dernier étage se trouve le séchoire.Après une analyse urbaine et sociologique non sans rapport avec la mémoire que véhi-cule ce bâtiment nous avons formulé deux objectifs projectuels pour cette transfor-mation: La traversée (indiquée par la

1922 Achat du terrain par la Mairie

1925 Construction du bâtiment

1939-1944 Occupation des bains-douches pendant la guerre

1944 Réouverture partielle

1944-48 Rénovations

1948 Grand projet de rénovation

Nov 1948 Fermeture des bains-douches

1923 Exposition d’hygiène de Strasbourg

1998 Le Lavoir de Gentilly est classé On décide la pré-servation du Lavoir et son programme d’équipement pu-

2015 Futur projet : Maison du son et de l’image de Gen-tilly

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Légendes :

Frise chronologique Coupe et plans de la distribution existante Axonométrie montrant le système constructif Schéma montrant les deux volumes Elevation de la façade de réceptionOrganigramme général et placé dans le plan Organigramme détaillant chaque temporalité dans une activité Intentions projectuelles pour la traverséeSchéma de distribution

forme du bâtiment et l’étude urbaine) et la Maison Commune. Cette dernière partie du programme consisterait à venir instal-ler différents ateliers: arts plastiques, culinaire, corporel, musical. Ces ateliers se décomposent en trois temporalités celle de la préparation, celle de la pratique et celle de la représentation. Ce principe donna lieu à une représentation sous forme d’organigrammes. C’est à partir de l’orga-nisation claire et structurée de l’organi-gramme que découle un plan hypothétique.

PASSAGE

ESPACES TAMPONS

SALON

ACTIVITES CORPORELLES

ATELIER MUSICAL

ATELIER CULINAIRE

ATELIER CREATIF

ESCALIER

ASCENSEUR

MONTE-CHARGE

SE LAVERSTOCKER

DANSER FAIRE DU THEÂTRE

FAIRE DU YOGAFAIRE DE LA GYMARTS MARTIAUX

SPECTACLESREPRESENTATION

STOCKERJOUER

ECOUTERCOMPOSER

STOCKERLAVER

DEBARASSER

PREPARERRECHAUFFER

CUIRE

MANGER

DESSINERPEINDRE

BRICOLERCONFECTIONNER

STOCKERNETTOYER

AFFICHERPRESENTER

ENTRERSE REPOSER

REGARDERTRAVERSERDECOUVRIR

LIRETRAVAILLERECHANGER

REGARDERTRAVERSERDECOUVRIR

ENTRERSE REPOSER

ENTRERSE REPOSER

ENTRERSE REPOSER

LEGENDE

PASSAGE

ESPACES TAMPONS

SALON

ACTIVITES CORPORELLES

ATELIER MUSICAL

ATELIER CULINAIRE

ATELIER CREATIF

ESCALIER

ASCENSEUR

MONTE-CHARGE

ESCALIER DE SECOURS

ACTEUR

SPECTATEUR

USAGE COURTE DUREE

USAGE LONGUE DUREE

DISTRIBUTION

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UNE MAISON COMMUNE A GENTILLY

Le bâtiment ne pouvant pas accueillir l’en-semble de notre programme il a fallu venir ajouter des extensions. Ainsi nous avons pris la liberté d’adjoindre deux petites bandes. La traversée qui fut un de nos ob-jectif se trouve au rez-de-chaussé. Pour la signifier depuis l’extérieure il nous fallait deux façades fortes. La première était toute trouvée. Quand à la deuxième nous avons pris le partis de décaler la façade des deux extensions nous permettant ainsi de mettre en avant l’autre côte

de la traversée. De plus en gardant la structure existante de portique cela per-mettait une lisibilité du bâtiment exis-tant.Au premier étage nous y avons installé l’atelier culinaire et au second l’atelier corporel ainsi que l’atelier musical.Nous avons de plus différencié deux types de distribution : une pour les acteurs (ceux qui participent aux activités) et une pour les spectateurs (ceux qui as-sistent aux représentations des ateliers).

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Légendes :

Croquis du projetPlans et coupes du projet en différenciant ce que l’on modifie ( orangé ) de qu’il reste de l’ancien bâtiment

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STAGE DE PREMIERE PRATIQUE : SCAU

Durant un mois j’ai réalisé mon stage de première pratique dans une cabinet d’ar-chitecture parisien : SCAU. Scau est une agence notamment reconnue pour ses réali-sations d’édifices publics, tel le stade de France, le stade de Marseille celui du Havre, l’hôpital George Pompidou....Pendant ce stage, j’ai eu l’occasion de travailler sur plusieurs projets et notam-ment sur un concours pour un hôtel près de la porte dorée. Pour ce concours j’ai du réaliser une maquette de site finale pour

présenter le projet ainsi que des schémas d’analyse et un relevé des façades de la cité de l’immigration. Participer de façon active à ce rendu m’a permis de voir l’ap-plication réel de ce que nous apprenons à l’école. Ce fût pour moi une très bonne expérience .

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Légendes :

Photos de la maquette de siteVues perspectives du projet Schémas d’analyse de site Plan du RDCPlan du 1er étage plan des niveaux 2 à 3 Elévation coté avenue Daumesnil

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COUVRIR LE BON MARCHE

Dans le cadre de notre cours de structure acier nous avons présenté un projet de couverture d’un édifice de grande taille. Le Bon Marché fût notre bâtiment de ré-férence. Nous avons décidé de le couvrir d’une structure ondulée en s’inspirant d’un projet de Zaha Hadid .

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Schéma montrant les poutres transversales principales les poutres transversales secondaires

Schéma montrant l’emplacement des poteaux en arborescence

Géométral des poutres utilisées dans le pro-jet de Z.Hadid

Croquis d’un poteau arborescent

Légendes :

Cartes postales du milieu du Xème Photo d’une maquette du bon marché exposée pour les 160ans de la maison Maquette de notre projet Schémas de structures

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PAVILLON DU CANADA, DUBAI 2020Le sujet de ce projet réalisé lors de mon année à l’université de Montréal fût la réalisation du pavillon du Canada pour l’exposition universelle de Dubai 2020.Penser le pavillon du Canada pour l’ex-position universelle de Dubai 2020 c’est dans un premier temps entamer une obser-vation sur l’identité et la représenta-tion du Canada. Cette réflexion doit faire échos au thème général de l’exposition qui est «Connecter les esprits, Construire le futur».

Le pavillon du Canada pour cette exposition développe un angle social, il tente d’ex-primer la mixité sociale et culturelle re-présentative de la population canadienne.Le pavillon du Canada propose au visiteur un parcours personnel et évolutif, une re-connexion avec soi-meme pour permettre de mieux envisager le futur et le monde exté-rieur. Le pavillon offre une déambulation libre entres des éléments imposants et mo-nolithiques. Il est possible de rentrer et de découvrir chaque alcôve pré- sente sur le site. Chaque bulles intimes est

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Légendes :

Coupe transversale Perspective du pavillonPerspective de nuit du pavillon Plan Photographie de la maquette

l’occasion de vivre une nouvelle expérience, face a l’œuvre d’un artiste Canadien contem-porain. La deuxième partie du parcours se compose d’un grand espace libre, où sont représentés des éléments primaire pour la vie de l’homme : l’eau et la lumière. Ainsi ces deux élé-ments jouent le rôle de connecteurs entre les populations. C’est un retour au vernaculaire aux passé qui nous permet de nous rendre compte de notre place dans la société.

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MOUVEMENT

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MOUVEMENT

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XI

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XVI

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INDEX PHOTOGRAPHIQUE

I Photo prise à Venise en 2013 au Guardini lors de la biennale d’art contemporain au pavillon belge.

II Photo prise à Londres en 2O13 à la Saatchi galerie. Œuvre faite par un artiste Bri-tannique composée de pétrole.

III Photo prise lors de mon stage de chantier. Elle représente le zoom de l’intérieur d’une banche.

IV Photo prise à Venise en 2011 à l’arsenal lors de la biennale d’art contemporain.

V Zoom sur un lavis réalisé en première année lors d’un cours d’Arts Plastiques.

VI Pliage dessiné à l’encre de chine et à la plume réalisé en première année lors d’un cours d’Arts Plastiques.

VII Photo d’un travail de moulage réalisé en deuxième année lors d’un cours d’Arts Plastiques.

VIII Photo d’un tag/vitrail présenté dans la tour 13 à Paris en 2013. Cette tour avait été squattée légalement par des artistes d’une galerie avant d’être détruite.

IX Photo prise en Espagne en 2012 dans le parc régional de bardenas reales.

X Photo prise au Brésil en 2013 . Point de vue depuis les montagnes du pin de sucre.

XI Photo prise à Londres en 2O13 à la Saatchi galerie. Installation faite d’une infi-nité de petits cerf-volants en papier de soie.

XII Photo prise au Brésil en 2013 dans un marché de pigments.

XIII Photo prise sur la petite ceinture en 2013. Elle représente un amas de ferrailles qui servait a protéger les gaines électriques.

XIV Série du nus réalisés avec une technique de lavis et de plume à l’encre de Chine

XV Photo prise à Venise lors de la biennale d’art contemporain en 2013. Cette série de photos à été prise dans une des galeries près des douanes. L’artiste avait mis en scène un chemin de lumière pour rejoindre les œuvres. Trouvant ce chemin très graphique j’ai donc demandé à mon frère de faire des mouvements amples tel une chorégraphie de Preljo-caj.

XVI Photo prise en Espagne en 2011 dans un musée d’art graphique dans la rioja. L’ar-tiste faisait défiler à toute vitesse sur un tapis des chiffres, des codes. De la même façon que la photo précédente j’ai demandé à mon frère de marcher, danser pour réaliser des photographies.

XVII Photo prise à Venise en 2012 lors de la biennale d’Architecture. Dans le pavillon Russe au Guardini .

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