Portfolio Arlette Schneider Architectes

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arlette schneiders

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1Portfolio réalisé par Archiduc ©

Mike Koedinger Editions S.A. et © ARLETTE SCHNEIDERS ARCHITECTES.www.archiduc.lu www.arlette-schneiders.lu

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aXentOIMMEUBLE COMMERCIAL ET ADMINISTRATIF SITÚE SUR L’AVENUE J.F.KENNEDY AU KIRCHBERG.

Maître de l’ouvrage : CIP Luxembourg SASituation du projet : 44, bd. J.F.Kennedy à Luxembourg-KirchbergSurface hors sol : 12,200m2Surface en sous-sol : 6,445m2Construction : 2007-2009

C’est en 2006 que le bureau ARLETTE SCH-NEIDERS ARCHITECTES a gagné, ensemble avec le développeur CIP Luxembourg SA, le concours architecte-promoteur organisé par le Fonds Kirchberg sur le terrain face aux magasins Auchan. En juillet de cette année, les premiers locataires ont déjà ouvert leurs commerces dans la galerie commerciale du rez-de-chaussée.

Le terrain du bâtiment AXENTO profite d’un emplacement unique au Plateau du Kir-chberg, étant donné son emplacement face au Centre Commercial Auchan et donc au Centre du Kirchberg. Le parti architectural du bâti-ment en tient fortement compte.

La conception du bâtiment veut conférer une forte identité à cet édifice tout en renforçant ses liens avec les constructions avoisinantes et sur-tout avec le Centre Commercial afin de renfor-cer la destination de CENTRE VIVANT DU KIR-CHBERG de part et d’autre de l’avenue au droit de l’Auchan et du cinéma existant.

Le bâtiment est composé par différents espaces :

- L’espace commercial : La galerie commer-ciale est un espace couvert et ouvert sur toute la hauteur du bâtiment avec un éclai-rage naturel zénithal. Les commerces cou-vrent la majeure partie du rez-de-chaussée et ont leurs vitrines aussi bien côté rue que côté galerie commerciale.

- Les espaces administratifs : Les bureaux se trouvent aux étages. La surface des deux halls d’entrées avec leurs circulations verti-cales est réduite au minimum nécessaire afin de laisser un maximum de surface pour les surfaces commerciales. La façade côté avenue est formée par un

cadre reprenant les dimensions du gabarit

urbanistique prescrit, à l’intérieur duquel se définit un espace urbain et un volume construit. Elle se définit également par une grande toiture sous laquelle se glissent les dif-férents volumes formant l’ensemble du bâti-ment et englobant les différentes fonctions commerciales et administratives.

La Façade côté avenue est largement ouverte sur Auchan invitant ainsi les consommateurs de visiter également la nouvelle galerie com-merciale située de l’autre côté de l’avenue.

Ce nouveau Centre Commercial relie - par une rue couverte - l’avenue aux deux rues latérales, ainsi que les deux rues latérales entre elles. Ainsi un nouvel espace urbain cou-vert se développe au Sud-Est de l’avenue J.F. Kennedy et en continuité avec Auchan.

Le bâtiment est composé par deux volumes : le volume principal –se développant sur six étages- côté avenue, avec sa forte présence et son espace urbain extérieur sous le débordement de la toiture, et le volume secondaire –moins haut- qui se glisse sous cette grande toiture. Il en résulte une imbrication de volumes, laquelle permet de réaliser le passage des six niveaux exigés côté avenue J.F. Kennedy vers les cinq niveaux permis côté arrière.

L’imbrication des volumes avec le marquage de la toiture du volume secondaire à l’inté-rieur du volume principal confère une autre échelle humaine au bâtiment. L’effet de « bâti-ment bloc» est évité pour laisser la place à l’ef-fet « îlot urbain ».

Les matériaux en façade : béton vu – vitrage – aluminium d’aspect doré bronze :

- Le béton vu est utilisé pour toutes les parois pleines extérieures. La modulation du coffrage est basée sur la trame construc-tive de 125cm du bâtiment, ainsi le module des panneaux de coffrage a été de 125 sur 250cm.Les façades côté N-E et S-E ont des meneaux en béton vu préfabriqué qui ryth-ment les bandeaux vitrés.

- Les stores solaires en panneaux pliants entourant le bloc central sous la toiture haute sont réalisés en tôle aluminium déployée anodisée teinte bronze. Les proportions ver-ticales de ces stores et la continuité du maté-riau sur la hauteur de quatre étages du bloc central confèrent une élégance particulière à ce volume qui apparait comme un joyau pro-tégé par une coquille en béton.

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l’ecOle PrescOlaire et PriMaire a eich-MUehlenBach a lUXeMBOUrGMaître de l’ouvrage : Ville de LuxembourgSituation du projet 151, rue de Muehlenbach à LuxembourgSurface hors sol : 5,330m2

Construction : 2001-2003

Le site de l’école de Eich-Mühlenbach se situe entre le quartier de Eich et le nouveau lotissement du Fonds du Logement à coût modéré lequel se développe le long de la rue de Mühlenbach située au sud-est du site. Entre ces deux quartiers, un parc avec des arbres centenaires permet aux habitants d’y passe leurs heures de loisir.

Côté nord le terrain monte vers la rue Emile Metz.

Le parti architectural du bâtiment scolaire se base sur une adaptation du volume bâti à la pente du terrain naturel et à une ouverture maximale vers la nature. La constante recher-che de dialogue avec l’environnement naturel aboutit à la symbiose entre la nature et le lieu de l’étude.

Le bâtiment scolaire est conçu en forme de U largement ouvert vers le parc situé au sud-ouest, entourant ainsi la cour de récréation et la protégeant du trafic et des vents froids.

Le long de la route, la façade du bâtiment est très fermée et se développe sur deux niveaux, elle fait ainsi écran au bruit de la circulation. La cour de récréation se situant à un plateau intermédiaire entre le niveau rue et les terras-ses à l’arrière du site, est ainsi bordée côté sud par un volume d’un étage et côté nord par un volume à deux étages. Outre le bon ensoleille-ment de la cour ainsi obtenu, l’implantation des bâtiments en terrasse permet de relier de façon optimale le tissu bâti le long de la rue Emile Metz à l’ensemble des bâtiments situés le long de la rue de Mühlenbach.

Les matériaux de façade ont été adaptés sui-vant leur situation. Le long de la rue –zone public– nous avons opté pour l’utilisation d’un granit massif à surface irrégulière, côté école un enduit de chaux teinté en rouge crée une atmosphère chaude.

L’intérieur du bâtiment a été conçu sur base de la transparence et semi-transparence. Chaque local, chaque couloir intérieur donne des vues sur l’extérieur et sur la nature environnante. A aucun moment les élèves ou enseignants ne doi-vent se sentir enfermés dans le bâtiment. Pen-dant la journée l’éclairage naturel permet de donner la lumière suffisante, ce qui engendrera une faible consommation en énergie.

Le bâtiment scolaire a une surface brute de 5.400m2 et un volume de 26.000m3. Il est composé par :

4 salles de classes préscolaires10 salles de classes primaires1 salle polyvalente divisible en deux salles

indépendantes1 salle de sport avec annexes vestiaires et

sanitaires1 bibliothèque2 salles de conférences2 locaux d’infirmerie1 parloir 1 logement concierge1 préau pour le primaire1 préau pour le préscolaire

Le projet a été voté le 10 juillet 2000 par le Conseil Communal. Les travaux ont com-mencé en juillet 2001 et ont été terminés pour la rentrée en septembre 2003.

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PrOJet laUreat dU cOncOUrs d’architectes POUr Un BatiMent adMinistratiFORGANISE PAR LE FONDS DE COMPENSATION AU KIRCHBERG EN 2009

Maître de l’ouvrage : Fonds de CompensationSituation du projet : rue Alcide de Gasperi / rue A. Wehrer / rue A de St. ExupérySurface hors sol : 22,332m2

Surface en sous-sol : 11,360m2

Construction prévue pour: 2012-2014

PArtI ArCHIteCtUrAL – UrBAnIstI-QUe – enVIrOnneMentAL

Le terrain sur lequel le projet du bâtiment du Fonds de Compensation sera réalisé pro-fite d’une situation centrale entre la Cour de Justice Européenne, la Chambre de Com-merce, le futur Bâtiment Jean Monnet 2 et la future place publique. Notre démarche vise à renforcer cette situation et à intervenir en continuité avec le projet urbain du Fonds Kir-chberg. Cette approche a été l’élément de base de notre projet, dans lequel nous avons mis l’accent sur le dialogue entre le bâti et l’espace public, avec pour objectif d’offrir un visage humain au quartier Européen, dans lequel pié-tons, cyclistes, employés et habitants sont invités et encouragés à parcourir cette partie de la ville, à la traverser, à s’y arrêter. Ce sera donc un site perméable aux cheminements publics des piétons, favorisant lews parcours entre l’avenue J.F. Kennedy, les développe-ments futurs projetés sur le plateau, et l’an-cien village du Kirchberg (schéma 8).

Notre volonté est d’offrir une volumétrie claire, bien présente dans la rue, afin de renforcer l’im-pression d’ «urbanité». Cette présence forte, presque massive, des bâtiments vus depuis la rue, est atténuée par la réalisation des volumes en porte-à-faux (schéma 5), offrant une réalité beaucoup plus ouverte et perméable dès que l’on se rapproche de I’ îlot. Ceci permet de libérer de façon importante le champ visuel du piéton vers les endroits clefs de l’îlot. Cette volumétrie à double échelle de lecture a pour objectif de répondre aux enjeux, presque contradictoires, de la création d’un îlot dense mais qui reste per-méable et fragmenté.

Les entrées prennent place naturellement au-dessous des porte-à-faux, profitant alors de leur visibilité claire et de leur protection (schéma 6)

Le restaurant d’entreprise est prévu au rez-de-chaussée du bâtiment Sud (schéma 7), à l’angle de la place avec la rue A. De Gasperi. Il permet de dynamiser et activer la place. La partie restaurant s’ouvre par une terrasse sur le cœur de l’îlot, la partie cafétéria, ouverte sur

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la place, peut facilement accueillir le public et ainsi contribuer à l’ambiance sur la place.

Nous proposons une composition de 4 entités bien distinctes d’un point de vue volumétrique, mais présentant une expression architecturale similaire. Les matériaux sont les mêmes pour les 4 bâtiments, mais le rythme des ouvertures de fenêtres et la largeur des fenêtres varient en fonction des orientations (schémas 9).

Adaptabilité de l’ouvrage dans le tempsLes plateaux de bureaux ont été conçus en

permettant une flexibilité maximale de l’agen-cement des espaces intérieurs du bâtiment. La trame du bâtiment est de 1,35mètres, chaque

module de la façade dispose d’une ouverture ce qui laisse beaucoup de possibilités pour les cloisonnements futurs.

Qualité environnementaleLa recherche de la qualité environnementale

a fortement influencé le concept de ce projet. Le point de départ est le concept du Trias

Energetica, qui est une approche pour la qua-lité environnementale en trois étapes

1. La limitation des besoins en énergie au départ.

Celle-ci dépend de la forme, de l’orientation et de l’isolation thermique. Notre projet est donc constitué par des volumes compacts,

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d’une profondeur de 16mètres. Les parois extérieures sont munies d’une isolation très performante. Les toi-tures seront recouvertes de sedum. Ce type de végéta-tion augmente les capacités d’isolation du toit, réduit l’accumulation de chaleur dans les zones urbaines et protège le toit contre les dangers des rayonnements infrarouges du soleil, prolongeant ainsi sa durée de vie. Les toits en sedum demandent relativement peu d’en-tretien et absorbent une partie des eaux pluviales.

Dans le dessin des façades, il a été tenu compte de leur orientation, les percements passant d’un maxi-mum de 40% d’ouverture en façade Sud-ouest jusqu’à un minimum de 54% d’ouverture en façade Nord-est. Ces dispositions seront complétées par la mise en place d’installations techniques très performantes.

Afin de minimiser la consommation du système de chauffage nous avons opté pour l’utilisation maximale de l’inertie du bâtiment, notamment en été. Ainsi l’inertie des dalles en béton agit comme tampon vis-à-vis des apports calorifiques internes et externes. Pour permettre à la dalle d’assurer son rôle de tampon ther-mique, il est nécessaire d’évacuer pendant la nuit les calories emmagasinées en journée. Pour cela elle est équipée d’un réseau de tuyauteries véhiculant du chaud et du froid. Ce système est complété par une aération des locaux en période nocturne.

2. Energies renouvelables : Le bâtiment sera muni de différentes installations

telles que récupération des eaux pluviales, panneaux photovoltaïques…

3. La source d’énergie de chauffage propre: Le bâtiment est raccordé au chauffage urbain.

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renOVatiOn de l’ilOt Bconcours d’architecte gagné en 1997

Maître de l’ouvrage : Fonds de Rénovation de la Vieille VilleSituation du projet : rue de la boucherie/rue de la monnaie/rue du Palais de JusticeSurface hors sol : 5,000m2


Le projet est situé dans une des parties les plus anciennes et les plus denses de la ville de Luxem-bourg. En 1994 la vieille ville de Luxembourg fut élevée au rang de patrimoine mondial de l’UNESCO. Cette partie de la ville est à considé-rer – en tant qu’ensemble de bâtiments aussi bien modestes que de prestige – comme un monument historique. La Charte Internatio-nale de Venise a donc servi de référence aux interventions de restauration, de rénovation et de réalisation de nouveaux bâtiments.

Le plan de Boitard représentant la situation des bâtiments en 1802 a fortement influencé notre recherche de réorganisation du tissu

urbain. Avant la restructuration la rue du Palais de Justice était une ruelle sombre et peu accueillante, le grand volume du dépôt du musée (construit dans les années 60) bloquant tout rayon de soleil.

Le projet de la rénovation de l’îlot au marché aux poissons est en premier lieu un projet urba-nistique, dans le but de restructurer un tissu urbain historique.

Le défi était l’intégration de bâtiments d’archi-tecture contemporaine à l’intérieur d’un tissu bâti du centre historique de la Vieille Ville. Il s’agissait de mettre en valeur les qualités d’un tel tissu, d’en améliorer ses défauts et d’y inté-

grer la qualité de vie que chacun d’entre nous espère trouver dans son quartier aujourd’hui.

Le quartier entre la rue du Palais de Justice et la rue de la boucherie était en 1996 un des quar-tiers les plus denses de la ville. Les espaces exté-rieurs étaient tristes et sans soleil.

L’intervention principale dans cet îlot concerne l’ouverture vers la rue du Palais de Justice située en contrebas. Cette intervention a permis de créer une cour plantée intérieure, un bel espace vert et calme au centre de l’îlot, bordé par des anciennes demeures, mais aussi par de nouvel-les réalisations, toutes destinées à l’habitation. Les nouveaux bâtiments ayant été placés de

façon à laisser une ouverture vers la rue du Palais de Justice située en contrebas, l’espace de la cour a ainsi été visuellement agrandie. Cette ouverture permet aussi de faire pénétrer le soleil dans la rue du Palais de Justice et change ainsi radicalement la perception de cette ruelle.

Les maisons historiques dont l’origine remonte au XVIème et XVIIème siècle ont été transfor-mées avec soin, en maintenant et stabilisant les planchers en bois, les charpentes en bois et les façades parfois en très mauvais état. Les inter-ventions à l’intérieur de ces demeures histori-ques sont toutes contemporaines et clairement lisibles en tant qu’intervention de notre temps,

aussi bien du point de vue langage architectural, que du point de vue technique.

Les nouvelles constructions présentent une architecture contemporaine cherchant plutôt l’intégration que l’opposition à l’ancien. Ainsi la construction de ces bâtiments reste une techni-que traditionnelle mais d’expression contempo-raine. Les façades sont des parois massives trouées, les toitures plates sont présentes uni-quement sous forme de toiture terrasse, les façades sont revêtues d’un enduit de façade à base de chaux hydraulique.

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BatiMent adMinistratiF PlaZaSITUE AU BOULEVARD GRANDE-DUCHESSE CHARLOTTE A LUXEMBOURG-VILLE

Maître de l’ouvrage : CIP Luxembourg SASituation du projet : 65, bd. Grande-Duchesse Charlotte à LuxembourgSurface hors sol : 4,850m2



Le maître de l’ouvrage souhaitait construire un bâtiment qui s’intègre de façon harmonieuse dans le contexte urbain. Il voulait une architec-ture contemporaine à caractère intemporel. Il voulait un bâtiment d’une grande élégance et avec une forte présence sur le boulevard.

Afin de réussir l’intégration chromatique du nouveau bâtimen,t le choix des matériaux a été influencé par les tonalités des matériaux pré-sents sur les bâtiments avoisinants – le ton jau-ne-beige du grès et le ton beige clair des enduits de façade .

Le tissu urbain du quartier étant marqué par une division parcellaire en terrains de petites dimensions, il fallait à tout prix éviter de placer un bâtiment trop massif à cet endroit.

Le tissu urbain est composé en grande partie par un parcellaire orthogonal, traversé par la courbe du boulevard Grande-Duchesse Char-lotte. Cette situation contraignante a influencé l’agencement des volumes du nouveau bâti-

ment. Le volume central s’intègre dans le sys-tème orthogonal du parcellaire et n’est pas parallèle au boulevard. Il est entouré de volu-mes de hauteur plus réduite qui eux s’implan-tent parallèlement au boulevard et à le rue Bertholet.

Afin de satisfaire le souhait du maître de l’ouvrage de réaliser un bâtiment original, élé-gant et ayant une forte présence, la première idée était de réaliser un monolithe lumineux en pierre, lequel conférerait cette expression au bâtiment en soirée. Ce bloc central devait être massif et léger à la fois.

Les lamelles en terre cuite sont visibles de tou-tes les parties communes intérieures et créent un claustra entre l’extérieur et l’intérieur.

Dans le hall d’entrée, la couleur des lamelles en chêne du bardage mural rappelle celle des lamel-les en terre cuite. Les lamelles en bois sont de profondeurs différentes afin d’accrocher la lumière et les ombres.

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À propos

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BatiMent adMinistratiF l’UnicOMaître de l’ouvrage : CIP Luxembourg SASituation du projet : 13, rue Edward Steichen à Luxembourg-KirchbergSurface hors sol : 8,928m2



Le bâtiment L’UNICO situé rue Ed. Steichen au Kirchberg présente, de par sa situation dans le tissu urbain deux façades principales : celle qui se situe le long de la rue Ed. Steichen face au parc de la BGL BNP Paribas et celle face au quartier d’habitation.

Le parti architectural du bâtiment a été déter-miné par cette caractéristique. Ainsi le bâtiment présente une façade compacte avec une forte pré-sence face au parc de la banque. Du côté place publique le volume s’ouvre sur un espace exté-rieur généreux situé dans le prolongement de l’espace public.

Un bloc central regroupe les locaux communs et de service (locaux techniques, gaines techniques, sanitaires, circulations). Ce bloc central est mis en évidence par sa surhauteur par rapport au reste du bâtiment, par son matériau et par son traitement de façade. Des panneaux rotatifs en bois devant les vitrages des circulations intérieu-res créent une façade rythmée alternant les par-

ties pleines avec les parties semi-ouvertes ou ouvertes. Ce bloc central se continue en toiture et constitue l’enclos des techniques.

Ainsi les installations techniques en toiture font partie intégrante du parti architectural.

Les MAterIAUX en FACADe: 1. La pierre naturelle utilisée pour le revête-

ment des façades est une pierre calcaire d’ori-gine espagnole C’est une pierre de teinte beige très claire de finition adoucie, de texture mate, donc non brillante.

2. Le bois est présent sous forme de pan-neau dans chacune des niches de fenêtre et sous forme de revêtement de façade du bloc central. De par les matériaux mis en œuvre pour la

réalisation des façades et de l’entrée principale, le bâtiment a une expression très chaleureuse. Le soleil sur la pierre naturelle adoucie et sur le bois met en évidence les propriétés naturelles de ces matériaux. ph

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