Alexis RoyPortfolio d’architecture

Table des matières

06 Maison du collectionneur

10 Logement collectif

04 Curriculum vitae

14 Bibliothèque Saul-Bellow

20 Église Saint-Clément de Viauville

22 Insectarium de Montréal

28 Transprogrammation

RoyAlexis

Éducation

Concours

Étudiant en architecture

Diplôme d’étude secondairePolyvalente Hyacinthe-DelormeProgramme d’éducation internationale

2005-2010

2010-2012

2012-2015

Hiver 2014

Hiver 2015

Diplôme d’étude collégialeCégep de Saint-HyacintheProgramme sciences humaines

Diplôme d’étude au 1er cycle universitaireUniversité de MontréalBaccalauréat en science de l’architecture

Charette interuniversitaire du CCAIntitulé Champs de savoirCe concours invitait les jeunes designers à réfléchir les relations entre le campus uni-versitaire et la ville d’Aujourd’hui.

Charette conservation du patrimoineOrganisé par l’Université de MontréalProposition pour une nouvelle utilisation de l’église Saint-Clément-de-Viauville à Mon-tréal.

Informations personnellesAdresse: 5615 rue Beaucourt , H3W 2T7, Montréal

Logiciels

Photoshop

Illustrator

Indesign

Autocad

MAxwell

Sketchup

Rhino

PREMIERE

Intêrets

Photographie

Lecture

Travail d’équipe

PHILOSOPHIE

MUSIQUE

Langues

Français

Anglais

Espagnol

Téléphone: 450-518-1350

alexis-roy06@hotmail.fr

Production

Lieu

Année

Tuteurs

- individuelle

- village shaughnessy, Montréal

- Goerges Adamczyk- Session 3 - 2013

Maison du Collectionneur

Ce projet de maison de ville a mené à la réflexion sur l’intégration du projet d’architecture dans son environnement bâti. Bien que conscient du contexte d’implantation, ce projet tente de se démarquer et de contraster le plus possible de ce dernier. Il faut être conscient du contexte architectural pour être capable d’aller contre ce sens et de provoquer de nouvelles choses.

On retrouve également une tension à l’intérieur même du pro-jet, où l’on retrouve à la fois un espace domestique et une exposi-tion d’art pour le propriétaire collectionneur. Cette distinction est pré-sente de façon formelle, chromatique et spatiale dans ce projet.

Durée - 2 semaines

Coupe AA 1:100

Plan rdc 1:100 Plan 1er 1:100

Élévation Avant 1:100

Élévation arrière 1:100Plan 2e 1:100

AA

Logements types

Coéquipier

Lieu

Année

Durée

Tuteurs

- Thomas Le Roi

- Côte-des-Neiges, Montréal

- Goerges Adamczyk

- Session 3 - 2013- 5 semaines

Logement Collectif

Le bâtiment, haut de six étages, est constitué de deux blocs qu’un étroit passage semble avoir privé de toute autre jonction que le lien de la terre. Ces deux volumes sont sous-divi-sés en blocs de logements dont chaque type possède sa forme et son matériau. La brique grise qualifie les studios, le béton constitue, avec le verre, l’unique composante des ate-liers d’artistes, et l’on opte pour un matériau plus clair et lumineux pour les logements des-tinés aux familles. L’intégrité de l’ensemble est affirmée par une paroi de verre givré, ap-posée sur les trois façades visibles depuis la rue, mais néanmoins détachée de celles-ci.

Le passage présente un intérêt physique qui sert l’expérience au travers du bâti, un confinement qui trouble la perception de l’intérieur et de l’extérieur; l’emprunt d’un percement aux dimensions de porte menant à un couloir étroit offrant une perspective sur le ciel évoque l’insertion de l’extérieur au sein du bâti. D’autre part, la faille pra-tique une ségrégation des deux masses, ce qui a pour fonction d’inhiber la ségré-gation entre les blocs de logement type. Ainsi l’on peut trouver, de chaque côté de la faille, des logements de même nature.

Le bâtiment, vu en élévation depuis la rue, fait figure, grâce à la paroi de bloc hermétique dans lequel on ne peut pénétrer qu’au tra-vers d’un modeste percement dans la paroi, au franchissement duquel on constate que le premier seuil franchi est, de fait, détaché de la façade structurale, qui montre différents matériaux, plus bruts et chaleureux que la précédente impression suggérait. Cette pa-roi est un élément clé du projet puisqu’elle en exprime les attraits majeurs : le cintrage de verre permet d’atténuer la visibilité du programme, qui, en outre, s’exprime dans le rythme de la fenestration comme dans la dis-continuité des matériaux propres à chaque type de logement. De plus, la partie de vi-trage détaché de la façade effective permet une liberté dans l’expression de chaque bloc de logement par le biais de ses ouvertures.

Plan implantation 1:1000

Plan toiture 1:1000

Parcours vers espace vert

Plan rdc 1:200

AA

COupe AA 1:200

Gestion eau et chaleur double paroie

Mouvement panneaux double paroie

Image conceptuelle à l’ori-gine du projet

Vue avant du projet Vue de l’espace arrière

Bibliothèque Saul Bellow

Production

Lieu

Année

Durée

Tuteurs

- individuelle

- Lachine, Montréal

- Morgane Carter

- Session 5 - 2014

- 1 session

Bibliothèque Saul-Bellow

Ce projet pour la bibliothèque a démarré à partir d’une analyse à l’échelle urbaine du quartier Lachine, situé sur l’île de Montréal. Lors de cette analyse, il a été établi qu’il y avait de grands contrastes aux alen-tours du site de la future bibliothèque. Tout d’abord, il y a au nord du site un grand nombre de manu-factures, de chemins de fer et une grande autoroute. Au sud, il a été possible d’observer des caractéris-tiques plus conviviales, dont un très beau plan d’eau accompagné d’une piste cyclable agréable pour les habitants du quartier. À partir de ce contraste, nous avons décidé de baser notre projet sur cette idée de deux pôles contrastants pour y accueillir au centre une place publique dynamique qui réunit les gens. Ayant noté une forte circulation à travers le parc à l’arrière de la bibliothèque, nous avons placé cette place publique de façon stratégique pour maximiser la circulation et l’achalandage à cet endroit.

Toujours dans cet esprit de pôles distinct, le programme et la forme de la bibliothèque reflètent ces contrastes du quartier. Du côté sud, la section du start up et du fab lab prend place sur deux niveaux alors que du côté nord on retrouve les lieux de lecture pour adultes, enfants et adolescents sur quatre étages. Cette hauteur fournit un signal urbain de qualité aux citoyens de La-chine. Ce projet a donc pour but de créer un signal urbain agréable et rassem-bleur au quartier tout en reflétant ses forts contrastes qui le caractérisent si bien.

analyse des contrates du quartier Lachine

Plan d’implantation 1:1000

Plan niveau 1 1:300

Plan niveau 0 1:300

AA

AA

Coupe de mur 1:20

Coupe AA 1:300

Coéquipier

Lieu

Année

Tuteurs

- Alexis Lemonde

- Hochelaga, Montréal

- Claudine Deom

- 2015

Saint-Clément-de-Viauville

L’objectif de ce concours était de trouver une nouvelle fonction à l’église Saint-Clé-ment de Viauville dans le quartier Hochelaga Maisoneuve. La proposition consiste en un centre d’activité physique communautaire dont l’activité vedette est un par-cours aérien à travers les qualités spatiale uniques des hauteurs de l’église.

Par cette intervention indépendante à la structure existante, nous avons tenter d’exprimer notre respect et sensibilité au patrimoine architectural bâtit tout en le renouvelant. Cette proposition tente de prendre avantage des deux points qui nous semblaient le plus im-portant dans ce context précis. Soit l’historique communautaire des églises et du quar-tier , et les qualités spaciale unique que possèdent l’église Saint-Clément-de-Viauville.

Production

Lieu

Année

Durée

Tuteurs

- individuelle

- Jardins Botannique

- Chevalier/Morales

- Session 5 - 2014

- 1 session

INSECTARIUM DE MONTRÉAL

Dans ce projet de l’insectarium de Montréal, une série de boites de béton d’apparence opaque et renfermé sur elle-même est à la base du projet. L’espace interstitiel entre ces boites, couvert d’un plafond de verre, devient un espace immersif « extérieur ». L’orga-nisation du projet rappelle celle d’une ville : ces multiples blocs de matière brute rap-pellent les bâtisses et édifices alors que l’espace de circulation immersif agit comme rues.

Cet aspect formel du projet est apparu en lien avec l’analyse du site de l’espace pour la vie. En effet, nous avons remarqué une forte dichotomie entre le Jardin botanique et le Parc olym-pique. Séparés de façon drastique par la rue Sherbrooke, ces deux espaces comportent plu-sieurs caractéristiques opposées. D’un côté, il y a le Parc olympique, densément construit avec une certaine unité à travers l’aménagement du site et comportant peu de végétation, alors que de l’autre côté, on retrouve le jardin fortement végétalisé avec une logique de construction pa-villonnaire sans lien entre eux. Le projet répond de façon forte à ces aspects du Jardin bota-nique par des constructions radicalement similaires les unes aux autres et densément assemblée à l’intérieure du projet. Il s’agit donc d’une ville abandonnée et réappropriée par les insectes.

Cette organisation labyrinthique de l’insectarium de Montréal fournit une multitude de schémas de circulation possible dans le projet. Il est donc possible de suivre un trajet dans le musée se-lon nos intérêts tout comme il est possible de se laisser guider par la multitude d’options pro-posées par la complexité des différentes expositions. Un groupe d’enfants amené par l’école peut donc suivre un parcours les guidant vers les expositions plus interactives et amusantes de façon à les intéresser au monde des insectes. Ces expositions à caractères interactifs se re-trouvent à l’intérieur des blocs de béton qui agissent comme portail. En effet, bien que tous les espaces construits d’exposition possèdent un aspect extérieur identique, ceux-ci proposent, cha-cun à leur façon, une expérience spatiale et sensorielle différente. Pensons par exemple au bloc sous la terre qui nous permet d’observer de haut les insectes dans leur habitat naturel qu’est la terre. Ceci vient raffiner et ajouter au traitement du projet de la dichotomie intérieure extérieure.

Plan Rdc 1: 200

Plan 1er 1: 200

AA

BB

Coupe AA 1: 200

Coupe BB 1: 200

Schémas d’expérience spatiale et sensoriel des expositions

« En aucun cas, il ne faut s’attendre à un résultat unique; les univers de monde aus-si bien que les mondes eux-mêmes peuvent être construits de bien des manières»

Nelson Goodman

L’objectif de cet exercice fut de remettre en ques-tion le programme à l’intérieur du projet d’archi-tecture. Les différents programmes peuvent-ils être en relation par leur simple proximité spa-tiale? Hypothèse : il semble superficiel et naïf de penser que les gens interagissent simplement grâce à la proximité de leurs espaces respectifs.

Ma réflexion sur le sujet du programme a débu-té lors de la lecture d’un texte de Nelson Goo-dman, « Manières de faire des mondes ». Philo-sophe du courant analytique, Goodman affirme qu’il existe plusieurs mondes et qu’un objet peut se retrouver dans plusieurs mondes à la fois. Ces mondes sont définis par le cadre de ré-férence avec lequel nous observons les choses. Par exemple, au niveau sociologique, l’humain est un être d’interactions, tandis que pour les chimistes ce dernier est un assemblage de mo-lécules. Une entité peut donc être plusieurs choses, et ce dans plusieurs mondes à la fois. Si l’on considère les différents programmes

Production

Lieu

Année

Durée

Tuteurs

- individuelle

- Plateau Mont-Royal

- Goerges Adamczyk

- Session 6 - 2015

- 1 Session

Transprogrammation

- Cuisine

- Livraison

- Salle de bain

- Bureaux

- Salon

- Entreposage

- Gymnase d’entrainement

- remonte charge

- Salle de réunion

- Espace travail artistique

Chambre à coucher

Bureau d’architecte

Salle spectacle

Stationnement

Café

Vision et hypothèse conceptuelle du programme

architecturaux comme étant des mondes, un espace peut donc appartenir à diffé-rents programmes ou monde, à la fois. On tente donc ici de relier les usagers des dif-férents programmes de façon plus effi-cace que la simple connexion visuelle ou la proximité physique des différents espaces. Concrètement, le projet est constitué de trois parties. Le rez-de-chaussée comprend tous les usages à caractère public : l’atelier d’archi-tecture, les salles de danse, le café et la salle d’exposition. Au premier étage, on retrouve l’espace transprogrammatique, où les lieux sont partagés par les différents usagers. Au dernier étage, on retrouve les appartements propres à chacun. Chaque appartement pos-sède son propre escalier qui est accessible à partir de l’espace transprogrammatique. C’est donc l’individu, par l’affirmation de son indivi-dualité, qui gère et distribue l’espace public.

Plan Rdc 1: 200

Plan 1er 1: 200

AA

Plan 2e 1: 200

Coupe AA 1: 300

Élévation sud 1: 300

Élévation Nord 1: 300Élévation est 1: 300