PNL Informatique Travail - secsuisse.ch€¦ · pression des pneus MP3-Player avec ... En bref 4...

20
Postcode 1 SEC Suisse – CP 3072 – 2001 Neuchâtel JAB CH-2001 Neuchâtel PP/Journal Le magazine des employés de commerce 05 2012 PNL Décrypter les bons comportements humains Travail Un coup d’accélérateur à sa carrière Informatique La réforme des filières en cours d’emploi Spécial formation

Transcript of PNL Informatique Travail - secsuisse.ch€¦ · pression des pneus MP3-Player avec ... En bref 4...

Pos

tcod

e 1

SE

C S

uis

se –

CP

307

2 –

2001

Neu

chât

el

JABCH-2001 NeuchâtelPP/Journal

Le magazine des employés de commerce

05 2012

PNLDécrypter les bons comportements humains

TravailUn coup d’accélérateur à sa carrière

InformatiqueLa réforme des filières en cours d’emploi

Spécial

formatio

n

EconomiE Et comptabilité –Coursencomptabilité–Certificatcomptablespécialisé-eoptionfinanceetgestionoufiduciaireedupool.ch/SECSuisse/veb.ch

–Spécialistefinanceetcomptabilitéavecbrevetfédéral

REssouRcEs humainEs–Certificatd’assistant-eengestiondupersonnelSECSuisse–SpécialisteenRessourcesHumainesavecbrevetfédéral

FoRmatEuRs / tRicEs d’appREnti-E-s–Formationpourformateurs/tricesd’apprenti-e-s

FoRmation continuE commERcialE–Diplômedebureautique/decommerce–GéranceimmobilièreCIB(coursbilingue)

languEs–Allemand,Français,Anglais–Centred’examensdel’institutGoethe

BFB I Robert Walser Platz 9 I Place Robert Walser 9 I 2501 Biel-Bienne I Tel. 032 328 30 00 I www.bfb-bielbienne.ch

Nous sommes votre partenaire de formation pour l’économie

Le savoir qui vous fait avancer!Profitez d’un prix préférentiel réservé aux membres de la SEC Suisse.

Livraison à votre adresse personnelle. Les cadeaux seront expédiés dès réception de votre paiement. Une facture par titre.

Bénéfi ciez d’un rabais de 30% sur un abonnement annuel et recevez un cadeau exclusif de bienvenue.En tant qu’abonné, vous avez, en outre, accès gratuitement à l’iPad-App «iKiosk».

Veuillez adresser votre commande à:

KV Schweiz, Marketing-Services, 8027 Zürich Formulaire à télécharger sur www.kvschweiz.ch/hzabo ou par e-mail à : [email protected]

N’oubliez pas d’indiquer le cadeau que vous souhaitez.

iStylo et iEtui pour iPhones/Smartphones

Appareil pratique de mesure de la pression des pneus

MP3-Player avec 2 Go de mémoire

Belle parure de stylos Balmain

La Banque Suisse

Le mensuel leader de la place financière suisse

PME Magazine

Le mensuel leader des managers et entrepreneurs romands

KV Schweiz Insi 2012_F.indd 1 13.02.2012 09:10:37

context 05-2012

Editorial

De A à Z

Sommaire

En bref 4Personnalité au sein de la SEC Suisse: Marc Bigliardi Sidler, responsable de la formation 15de la SEC Lausanne

Justice en marche: La couverture des frais peut être réduite 16lors d’une activité dangereuse

Nouvelles de la centrale 17Nouvelles des sections 18

Un maillon indispensable pour l’apprentissage tout au long de la vie Le développement des nouvelles technologies offre la possibilité à tous d’acquérir des connaissances depuis n’importe quel coin du globe.

Formation en ligne 5

La réforme des filières en cours d’emploi avance Les règlements régissant les examens fédéraux ont été modifiés et vont l’être pour tenir compte des évolutions technologiques.

Informatique 6

Décrypter les bons comportements humains La PNL peut être perçue comme une discipline, ou une technique sur laquelle planent beaucoup de mystères et d’inconnus.

Programmation neurolinguistique 8

Donner un coup d’accélérateur à sa carrière Il n’est pas toujours facile de faire comprendre ses aspirations quand on a l’impression de végéter sur une voie de garage.

Travail 10

Un pied dans les études, l’autre dans la pratique: au début, il n’est pas facile d’avancer d’un pied ferme, en étant tiraillé entre deux mondes qui semblent très éloi-gnés l’un de l’autre! On doit commencer par dompter un savoir. Puis mettre en perspective la théorie à la lumière des ex-périences acquises au fil des jours. Il ne s’agit plus de résoudre des problèmes fic-tifs, mais bien de construire des solutions concrètes, étape par étape et de A à Z, sans se perdre en chemin. Et dans le monde professionnel, la formule de l’à peu près, tellement prisée par les élèves, n’a plus sa place. La rigueur et le travail de qualité sont les clés du succès.Il y a pourtant bien plus. Dans son activité professionnelle, le jeune est confronté à l’importance du travail en équipe. Il doit apprendre l’art de collaborer en assumant sa part de responsabilité. Pour la réussite professionnelle, le savoir et le savoir-faire ne suffisent pas: il faut développer son sa-voir-être.Enviée par nos voisins, la formation pro-fessionnelle duale est la formation initiale la plus prisée: deux tiers des jeunes Suisses la choisissent. Sur les 230 filières d’appren-tissage proposées, la voie commerciale en-registre chaque année le record du nombre d’admissions: près de 12 000 élèves.En sa qualité d’association profession-nelle, la SEC Suisse a contribué à l’élabo-ration de la nouvelle ordonnance sur la  formation commerciale initiale avec CFC, entrée en vigueur le 1er janvier 2012. Elle s’implique également dans la procé-dure de consultation en vue de l’élabora-tion d’un cadre national des certifications (CNC-CH). Cela témoigne de son engage-ment pour la reconnaissance suisse et in-ternationale de nos formations profes-sionnelles et professionnelles supérieures.Nos jeunes y gagneront ainsi en mobilité!

Marie-Line VUILLEUMIERSecrétaire romande de la SEC [email protected]

Portraits d’instituts de formation 12 Panorama d’offres de cours 14

context 05-2012

4

En b

ref

qUoI DE NEUf?Stabilité de l’emploiSelon une étude de Manpower sur les pers-pectives de l’emploi, la majorité des em-ployeurs n’envisagent aucun changement pour le deuxième trimestre de 2012. Cette pré-vision est identique à celle du trimestre pré-cédent, mais en diminution de 1 point en com-paraison annuelle. Ce sont les régions de Zurich et de l’espace Mitteland qui affichent les meilleures perspectives d’emploi. La ré-gion alémanique progresse en comparaison trimestrielle, mais recule par rapport au deu-xième trimestre 2011.

Raréfaction de l’emploi dans la financeEn Suisse, la manque de main-d’œuvre quali-fiée est particulièrement perceptible dans la finance: deux tiers des entreprises ren-contrent des difficultés à trouver du person-nel adapté à leurs besoins dans ce secteur, ré-vèle une enquête réalisée par le cabinet de recrutement Robert Half. Douze pour cent des employeurs helvétiques jugent même la situa-tion actuelle problématique. La plus forte de-mande est observée dans les secteurs de la comptabilité et du controlling.

Les enfants souffrent du chômageLe chômage engendre non seulement des ma-ladies psychiques, mais a aussi des répercus-sions dans le cadre de la famille. C’est ainsi que, selon une récente étude réalisée en Aus-tralie, les filles et surtout les fils des chô-meuses et chômeurs sont affectés par cette si-tuation. La baisse des revenus influence non seulement la confiance en soi et les contacts sociaux des chômeurs, mais aussi ceux de la génération suivante. On peut parler dans ce cas d’un effet domino dans le contexte familial.

Bourses d’étude devant les urnesL’initiative de l’Union des étudiants de Suisse vient d’aboutir et elle a été validée par la chan-cellerie fédérale. Munie de 140 000 signa-tures, elle vise à renforcer l’égalité des chances des étudiants en supprimant les dis-parités entre les cantons.

L’économie numérique en plein essorAu sein des pays du G20, l’économie liée au phénomène Internet va se développer à un rythme de plus de 10% jusqu’en 2016, révèle un récent rapport du Boston Consulting Group. Cette croissance atteindra près de 18% dans les pays développés et culminera à 24% en Ar-gentine et 23% en Inde.

Le projet «Future Learning» mis en place par le centre de formation et de compétences des banques suisses permettra aux étu-diants qui suivent les cours d’accéder à l’en-semble des documents nécessaires à leur formation sous forme numérique. Ceux-ci seront stockés sur une plate-forme informa-tique à laquelle les étudiants accéderont à partir d’une tablette électronique. Celles-ci seront gérées et paramétrées de manière centralisée. Actuellement, plus de 4200 sta-giaires détenteurs d’une maturité et d’ap-prentis employés de commerce provenant de toute la Suisse suivent ces cours de for-mation bancaire. A partir du mois d’août 2012, ils disposeront d’une tablette numé-

Apprendre la banque sur une ardoise électroniquerique qui leur sera mise à disposition pour accéder directement aux documents numé-risés utiles à leur formation. Swisscom met-tra toute l’infrastructure et la logistique à disposition des jeunes en formation.

Le gouvernement neuchâtelois a décidé d’accorder son soutien aux adultes qui se lancent dans une formation initiale débou-chant sur un certificat fédéral de capacité (CFC). Cette décision est motivée par le fait que sur les 7500 adultes bénéficiaires de l’aide sociale, 40% ne possèdent pas de cer-tification professionnelle reconnue et 25% disposent d’une certification inconnue. Cette décision s’inscrit dans le cadre de

Neuchâtel soutient la formationl’objectif que s’est fixé la conférence suisse des directeurs cantonaux de l’instruction publique, à savoir que 95% d’une classe d’âge soit en possession d’une certification reconnue à l’horizon 2015. Ce soutien se fera sous la forme d’une indemnité de 1000 francs par année au minimum à laquelle s’ajoutera un émolument de 3,60 ou 7,20 francs par période de cours calculé en fonction de la classe de revenu imposable.

Mille institutions de formation sont déjà certifiéesLe label Eduqua constitue une aide utile pour les personnes poursuivant une for-mation continue. Cela leur permet de s’y retrouver dans l’abondance des offres de formation continue proposées sur le mar-ché. Ce label apporte une transparence accrue et garantit que les instituts certi-fiés répondent à des critères de qualité mi-nimaux. La communication auprès de la clientèle, l’enseignement, la qualification des formateurs, le taux de succès des dif-férentes formations, la garantie de qualité ainsi que le développement de la qualité

sont les critères qui sont déterminants pour obtenir ce label qui existe depuis onze ans. Sept organismes sont accrédi-tés pour certifier les institutions de forma-tion continue. En se certifiant, les presta-taires s’engagent à maintenir et développer un niveau qualitatif élevé. Dans plusieurs cantons, cette certifica-tion est une condition indispensable pour obtenir des subventions publiques. La certification est valable durant trois ans. Un audit intermédiaire est mené chaque année.

Le travail à domicile se banaliseLes entreprises sont toujours plus nom-breuses à faire confiance à leurs employés travaillant à domicile, car ils y sont plus efficients. Selon une étude réalisée aux Etats-Unis par la société américaine Wrike, 83% des personnes interrogées tra-vaillent tout au moins partiellement de-puis chez elles. S’ils n’étaient que 43% en 2009, le nombre de salariés travaillant de-puis leur domicile a presque doublé en

2012. Et pas moins de 66% des employés américains sont convaincus que, dans quelques années, ils effectueront la tota-lité de leur travail depuis chez eux. Et 31% de personnes ont reconnu que s’ils pou-vaient travailler depuis leur domicile, ils seraient même prêts à renoncer à leurs va-cances. Un quart d’entre eux seraient même d’accord de renoncer à une part de leur salaire.

Les nouveaux apprentis se verront prêter une tablette Samsung à partir du mois d’août 2012.

5

context 05-2012

Form

atio

n en

lign

e

Un maillon de l’apprentissagetout au long de la vie

Le développement des nouvelles technologies offre la possibilitéà toute une frange de la population d’acquérir des connaissances depuis

n’importe quel coin du globe.Claude Duval

L ’évolution du monde du travail exige que chaque salarié remette ses

connaissances constamment au goût du jour. Comme il est en général pris dans la tourmente de son activité professionnelle, il a souvent de la peine à trouver une plage de temps, à date et heure fixe, pour s’in-vestir dans l’amélioration de ses connais-sances professionnelles. C’est donc pour palier à cette situation que la formation en ligne (ou e-learning dans le jargon consa-cré) se développe pareillement dans le monde.

Attention aux reconnaissancesLes personnes qui sont dans un pays d’une autre culture et d’une autre langue, ou constamment en déplacement à l’étranger peuvent ainsi occuper leur temps libre à améliorer leurs savoirs en se connectant aux meilleurs instituts de for-mation de la planète qui ont déployé un programme de formation idoine. Il faut pourtant ne pas sous-estimer un élément très important de toutes ces formations, à savoir leur reconnaissance.

Le choix de l’institut de formation a distance est donc le principal critère à re-tenir quand on veut s’y lancer. Tous les ef-

forts et investissements consentis dans la formation pourraient être anéantis si les capacités acquises de cette manière ve-naient à ne pas être acceptées par des tiers.

Améliorer ses compétencesou ajouter une corde à son arcLa formation en ligne s’avère particulière-ment utile dans le cadre de programmes de recyclage ou de réorientation de car-rière. En effet, les filières de perfectionne-ment professionnel sont la plupart du temps réservées aux personnes qui sont déjà actives dans un secteur d’activité bien typé.

La formation en ligne présente égale-ment un intérêt indéniable quand on dé-sire étendre son éventail de connais-sances à d’autres disciplines. L’exemple le plus souvent cité est celui qui cherche à

décrocher un MBA en vue de compléter ses compétences professionnelles, par exemple par des connaissances dans la vente, le marketing, la gestion d’entre-prise ou les ressources humaines. Ces exemples ne sont de loin pas exhaustifs. On peut également mentionner les lan-gues ou des compétences extrêmement pointues telles que dans l’informatique, Internet ou les médias sociaux.

Allier formation en ligne et en présentielLe principal inconvénient de la formation purement en ligne est que les participants ne sont pas physiquement en contact avec les autres élèves et les professeurs. Or, pour améliorer l’assimilation des connais-sances par les élèves, il est important d’ajouter ce volet à l’enseignement. C’est

la raison pour laquelle bon nombre de cursus de formation en ligne proposent à leurs élèves d’étayer leur cursus par des sessions de révision en classe et en pré-sence d’enseignants. Ces derniers peuvent ainsi apporter un appui personnalisé à la formation.

Une telle formule est favorable à plus d’un titre dans de nombreux secteurs. C’est le cas pour résoudre des questions auxquelles les élèves n’ont pas pu obte-nir de réponses claires. Et surtout pour créer un climat de groupe qui renforce la motivation des élèves et les stimule à poursuivre et achever leur formation. C’est naturellement plus difficile quand l’organisation à l’origine des cours en ligne n’est pas implantée sur place. Cer-taines ont pourtant passé des accords avec des instituts d’enseignements lo-caux dans lesquels ces sessions en pré-

sentiel peuvent se dérouler à dates fixées à l’avance.

Une plus large ouverture d’espritLa formation en ligne peut aussi faire des merveilles pour tous ceux qui entendent enrichir leur savoir professionnel par des connaissances dans le secteur culturel en vue de s’ouvrir l’esprit à d’autres valeurs. Cela peut être dans le domaine de l’art, de l’archéologie, de la musique, du théâtre, de la danse ou du sport. Dans des disci-plines assez classiques, des formations existent généralement dans la région où l’on habite, mais quand sa curiosité vise des créneaux très particuliers, ce n’est pas toujours le cas et la formation en ligne s’avère donc être une solution de repli par-ticulièrement recherchée.

L’enseignement à distance ouvre des portes à l’acquisition de connaissances pointues dans de multiples domaines.

Ph

oto:

Fu

jits

u

La reconnaissance des formations à distanceest un critère majeur dans le choix de l’institutd’enseignement.

context 05-2012

6

Info

rmat

ique

La réforme des filières en cours d’emploi avance

Dans le domaine de l’informatique, les évolutions technologiques sont rapides et massives. C’est pour en tenir compte que les règlements régissant les examensfédéraux ont été modifiés ou sont en cours de révision.Pierre-Henri Badel

Le système helvétique de formation professionnelle dispensée en cours

d’emploi (formation dite duale) est struc-turé selon trois échelons bien distincts. Le premier est constitué par l’apprentissage, qui s’étend sur quatre ans. Le deuxième niveau en est la suite logique pour les per-sonnes qui en ont la capacité, l’ambition et dont la ténacité ne rebute pas à suivre des cours parfois assez astreignants en dehors de leur journée ordinaire de travail. Ce deuxième niveau permet aux jeunes d’ac-quérir un brevet reconnu sur le plan fédé-ral. Et le troisième niveau (le diplôme) en est le prolongement logique pour ceux qui ont la volonté de se hisser au plus haut de la hiérarchie des informaticiens.

Une plus large spécialisationUne profonde réforme des examens d’in-formaticien vient d’être adoptée sur le

plan fédéral. Les principales modifica-tions touchent les étudiants désireux de se lancer dans une formation ratifiée par un brevet fédéral. Au lieu d’être organisée selon deux spécialisations comme c’était le cas jusqu’ici (en l’occurrence d’une part services et d’autre part développement),

les spécialisations sont désormais au nombre de quatre: techniques des sys-tèmes et réseaux, développement d’appli-cations, informatique de gestion et infor-matique médiatique.

Le principe de base de ces formations reste identique, à savoir un concept modu-laire. Les examens intermodulaires dispa-

raissent avec le nouveau règlement. Ce sera à l’avenir aux écoles de contrôler que les can-didats disposent de connaissances suffi-santes dans ce domaine. Le nouveau règle-ment définissant les modalités des examens vient d’être adopté. Les examens menant au brevet devraient se dérouler en 2013.

Les métiers en constante évolution Pour garantir que ces formations ré-pondent aux attentes des entreprises et de l’économie, l’Office fédéral de la forma-tion et de la technologie adapte constam-ment les exigences posées aux candidats aux examens fédéraux. Une enquête est réalisée en principe tous les cinq ans pour s’assurer que les matières acquises sont toujours celles dont l’économie et le mar-ché de l’informatique ont besoin pour ré-pondre aux défis de la compétitivité des entreprises helvétiques. Cette exigence de l’excellence transparaît aussi dans les programmes de formation. Les profes-sions nouvellement redéfinies par ces bre-vets dans le secteur de l’informatique ré-pondent à des profils plus pointus. Ils sont par ailleurs plus ciblés sur des pratiques en phase avec la réalité quotidienne de la profession. Pour répondre à cette exi-gence, le nombre de modules de forma-tion passe de douze à seize. «Il y a plus de matière et la formation porte sur des ma-tières plus difficiles» admet Jean-Benoit

Fontaine, directeur de l’Institut suisse de l’enseignement de l’informatique de ges-tion (Iseig) à Lausanne.

«Désormais, on a affaire à des profes-sions bien différenciées dans le secteur de l’informatique» souligne-t-il. «Ces spécia-lisations se veulent plus pointues et liées aux besoins réels des entreprises» en-

Ph

oto:

Mon

ster

La réforme du règlement fédéral d’informaticien engendre une spécialisation plus poin-tue des élèves, de manière à ce qu’ils soient directement opérationnels sur le terrain et dans le monde du travail en entreprise.

«Désormais, on a affaire à des professions biendifférenciées dans le secteur de l’informatique.»

7

context 05-2012

Info

rmat

ique

chaîne-t-il. Cette évolution se calque sur celle de l’informatique en général, qui s’ouvre à de nouvelles technologies et à un monde où les innovations explosent au carrefour des télécommunications et des réseaux informatiques.

Les écoles adaptent leur enseignementCet accroissement du niveau de formation «Métier» a aussi obligé l’Iseig à accroître le nombre de journées de formation, qui passent de 45 à 51. Cinq journées de tra-vaux pratiques interdisciplinaires et de préparation aux examens finaux ont par ailleurs été instaurées en vue de rempla-cer les examens intermodulaires organi-sés jusqu’ici par l’organisme en charge de l’organisation des examens. Ces exi-gences accrues sont aussi illustrées par exemple dans la filière des informaticiens en techniques des systèmes et réseaux TIC par des notions de virtualisation des ré-seaux. «Celui qui ne les connaît pas dès le départ grâce à ses connaissances et expé-riences sur le terrain en entreprise ne pourra pas facilement suivre la forma-tion» assure Jean-Benoit Fontaine.

Tout comme l’Iseig lausannois, l’Idec de Renens n’entend pas proposer la filière

de formation de médiamaticien. Direc-teur de ce dernier institut, Gildas Clou-quaz estime que le changements prévus par le nouveau règlement, même s’ils s’avèrent assez lourds pour ceux qui éla-borent leurs propres supports de cours comme c’est le cas de l’Idec, constitue une évolution positive, qui tient compte de ce qui se passe dans le quotidien des entre-prises. «Elle reflète le réalité du terrain» admet-il bien volontiers.

Des victimes collatérales«Il faudra que le corps enseignant se forme à ces spécialités, ou encore que nous étoffions notre corps professoral en conséquence» admet Gildas Clouquaz. «Tout n’est cependant pas à revoir entiè-rement». C’est en particulier le cas du test des produits informatiques. «Cela s’ins-crit dans le cadre d’un effort permanent de mise à niveau de l’enseignement. Nous ne pouvons pas rester les bras ballants pendants plusieurs années. Il nous faudra retravailler tant les exercices que les tra-vaux pratiques» souligne-t-il encore.

«Ces changements feront que la forma-tion sera plus en phase avec la réalité» convient-il. Pour ne pas se retrouver en porte-à-faux avec les besoins de l’industrie, certains instituts de formation vont rencon-trer des difficultés. Le Cefti de Carouge n’est par exemple pas certain de déployer les ef-forts qui s’imposent pour remettre à jour sa formation et engager les enseignants spé-cialisés capables de dispenser des connais-sances aussi pointues. Cet institut va encore dispenser cette formation cette année sur la base de l’ancien règlement, mais réserve sa décision pour l’année prochaine.

Le diplôme d’informaticien fondamentalement revuLa réforme de la formation d’informati-cien passe aussi par un remodelage des examens débouchant sur le diplôme. Les premières sessions de ces examens se dé-

rouleront en 2015. «Nous sommes en train de travailler sur ce dossier» note à ce sujet Albin Battista, président du Groupement romand d’informatique (GRI). Il précise qu’à l’origine, il était prévu que le niveau atteint par le diplôme serait assimilé à ce-lui de bachelor. Depuis, la situation s’est envenimée car les milieux académiques refusent que l’on accorde cette appella-tion à l’issue d’une filière de formation en cours d’emploi.

La filière menant au diplôme fédéral prévoit une période d’une année et demie de formation en mode dual après celle menant au brevet fédéral, qui s’étend sur deux ans. «Avec tout le travail que l’étu-diant doit réaliser hors milieu scolaire, cela équivaut largement au nombre d’heures de formation exigées pour un ba-chelor» considère Albin Battista.

Pour ce qui est de la formation menant au diplôme fédéral, le nouveau règlement des examens met plus l’accent sur la ges-tion, en particulier sur la conduite de groupe, la gestion de projets et l’économie. Il n’y aura plus qu’une seule option, qui re-flète bien la nouvelle orientation qui va être donnée à cette formation. Ceux qui auront réussi l’examen final seront en droit de porter le titre d’ICT-Manager diplômé. «Les derniers examens selon l’ancien rè-glement auront lieu en 2012» précise Hans Hofpeter responsable de la formation su-périeure au sein de l’entité ICT Berufsbil-dung, en charge des examens supérieurs en informatique au niveau fédéral.

PoUR EN SAVoIR PLUS

www.gri.chwww.ict-berufsbildung.chwww.iseig.chwww.idec.chwww.cerfi.ch

DES PASSERELLES PoUR LES DétENtEURS DU BREVEtLes détenteurs du brevet fédéral en in-formatique selon l’ancien règlement de 2009 peuvent désormais faire valider leur formation d’informaticien, d’infor-maticien de gestion, de médiamaticien, de développeur d’applications et de spécialiste en réseau informatique en passant un examen complémentaire de 4 heures leur permettant de faire valider leur titre, pour qu’il soit du même niveau que celui obtenu à l’issue des examens basés sur le règlement de 2011.

context 05-2012

8

Prog

ram

mat

ion

neur

olin

guis

tiqu

e

Certains n’hésitent pas à comparer la programmation neurolinguistique

à une science occulte, d’autres l’assi-milent même à une discipline sectaire. Et sa terminologie contribue aussi à faire planer le doute, car elle fait intervenir des maîtres. En l’occurrence la formation des maîtres praticiens pour être plus précise, qui est le troisième niveau de quarante jours d’enseignement de cette technique (ou de cette science?). Créateur de l’insti-tut NVB de Genève, Nicolas von Burg ré-fute cette interprétation d’un revers de manche: «Si l’on disait master au lieu de maître, toute cette ambiguïté disparaî-trait brusquement.»

En réalité, la programmation neuro-linguistique (PNL) découle d’une ap-proche visant à décrypter le fonctionne-ment des êtres humains, et à analyser la raison qui fait que certains réussissent là où d’autres échouent.

Le secret d’une bonne communicationComprendre le mode de fonctionnement des gens implique de s’intéresser en pre-mier lieu à la manière dont ils intera-

Décrypter les bonscomportements humains

La programmation neurolinguistique peut être perçue comme une discipline, ou une technique sur laquelle planent beaucoup de mystères et d’inconnus. Son objectif est pourtant d’améliorer la compréhension entre les humains.Pierre-Henri Badel

gissent avec leurs semblables. S’ils échouent dans leur action, c’est souvent dû à des lacunes dans la manière dont ils communiquent. Ils n’arrivent pas à se faire comprendre ou leurs interlocuteurs n’arrivent pas à interpréter leur message. C’est en tout cas le premier précepte de la programmation neurolinguistique.

Ancien joueur de tennis de niveau in-ternational puis entraîneur, Nicolas von Burg a coaché plusieurs centaines de sportifs au niveau national et internatio-nal. Il a appris à décortiquer ces méca-nismes, et à exploiter les ressorts de la pré-paration mentale, de la communication et finalement du coaching et de la PNL.

Il rappelle une anecdote bien connue dans ce domaine. En observant deux jeunes filles travaillant dans un bar, on a constaté que l’une gagnait 200 francs de pourboire et l’autre moins de 100. Rien que ce fait laisse pantois. Pourquoi deux personnes exerçant exactement la même activité dans un environnement parfaite-ment identique ne pouvaient pas at-

teindre les mêmes résultats? C’est en ana-lysant leur manière d’opérer que l’on trouve la clé du mystère. L’une était plus avenante et dispensait, de manière tout à fait naturelle, une communication ver-bale, comportementale et émotionnelle qui avait une influence directe sur le com-portement des autres, les clients en l’oc-currence. Et ceux-ci lui rendaient large-ment l’intérêt qu’elle leur portait.

tout réside dans l’apprentissage«La recette du succès passe par une haute qualité dans la communication», souligne Nicolas von Burg. Le but de la program-mation neurolinguistique est en fait d’améliorer la communication avec les

êtres humains en leur donnant les moyens d’utiliser un dénominateur et un langage commun pour échanger leurs idées et ré-flexions personnelles. «En effet, enchaîne-t-il, pas un seul être humain ne perçoit les choses de la même manière».

Quand deux personnes n’arrivent pas à se comprendre, il faut commencer par trouver le moyen de modifier le libellé du message qu’ils transmettent. Tout l’art de la PNL est donc de savoir comment adap-ter ce message pour arriver à son objectif. Cela oblige les gens à se demander ce qui se passe en dedans d’eux-mêmes pour comprendre comment opèrent les méca-nismes de la communication.

Pour Nicolas von Burg, tout l’art de la programmation neurolinguistique s’ac-quiert par l’apprentissage. Il s’agit de com-prendre comment ces comportements sont modélisés et de quelle manière on ar-rive à les décoder. «Il s’agit d’apprendre comment l’être humain fonctionne et de pousser les gens à le pratiquer.» Il souligne aussi que si l’on analyse le comportement

des gens, il faut partir du principe qu’il n’existe pas d’échecs ni d’erreurs dans leur cheminement, mais qu’il faut les considérer comme un enseignement qui vient interagir sur le processus de com-munication. Ce «feed-back» est très utile, car il permet de mettre le doigt sur ce qu’il faudrait changer si l’on veut progresser.

Subdiviser les phénomènes complexes en éléments finisTout comme les processus logiques, si l’on veut résoudre les phénomènes et les ac-tions complexes, on y arrive plus facile-ment en le subdivisant en éléments finis. C’est aussi ce qu’enseigne la PNL, avec comme conséquence qu’il serait ainsi

«La réussite ou l’échec dépendent de la qualité de sa communication» convientNicolas von Burg.

Avec le PLN, ceux qui se définissent un objectifarrivent à l’atteindre.

Ph

oto:

Pie

rre-

Hen

ri B

adel

9

context 05-2012

Prog

ram

mat

ion

neur

olin

guis

tiqu

e

théoriquement possible de venir à bout de toute difficulté, quelle qu’elle soit. Cela pourrait même s’appliquer aux guerres, est convaincu Nicolas von Burg. Car selon lui, la parole prévaut sur la violence, mais à condition que tous les interlocuteurs concernés maîtrisent les principes de la PNL. On voit bien qu’il y ait encore beau-coup à faire pour y arriver. Seul un monde idéal pourrait être le siège d’une telle uto-pie, comme nous le rappelle la réalité quo-tidienne.

Nicolas von Burg en est conscient. Il cite Francesco Alberoni, un journaliste et professeur de sociologie italien, qui affir-mait de manière un peu provocatrice dans son ouvrage Vie publique et vie pri-vée: «La solidarité n’est pas, seul existe une coalition d’égoïsmes. Chacun reste avec les autres pour se sauver soi-même.»

Le langage comme un élément créateurLe PNL s’intéresse en fait à la structure du langage. Elle ne cherche pas beaucoup plus qu’établir une approche systémique du discours et peut être assimilée à de la pédagogie du changement. «Elle permet de faire de sa vie ce que l’on veut en faire» souligne Nicolas von Burg. «Ceux qui se définissent un objectif arrivent ainsi sans conteste à l’atteindre.»

Si la PNL s’adresse à tout le monde pour résoudre leurs problèmes quoti-diens, elle est aussi utilisée avec beaucoup de succès dans les cas de reconversion professionnelle, et quand les gens sont confrontés à des difficultés personnelles. Mais dans toutes les autres situations, cela

se concrétise par un travail de développe-ment personnel. Cela améliore surtout la perception que l’on aura de soi. «Elle ne débouche pas sur du savoir-faire, mais sur du savoir-être» conclut Nicolas von Burg.

Ne pas négliger l’aspect éthiqueLa PNL est très largement utilisée par les politiciens car elle leur permet de forma-ter leurs discours pour qu’ils soient plus percutants et en utilisant pour cela des termes bien choisis (appelés nominations dans le vocabulaire de la PNL). Ceux-ci véhiculent des valeurs reconnues comme ayant un impact positif dans leurs mes-sages.

Ceux qui excellent en PNL savent bien comment combiner les trois vecteurs de la communication, à savoir le visuel, l’au-ditif et le kinesthésique (le toucher). Le premier est illustré par la soigneuse mise en scène de leur apparition devant le pu-blic et par leur gestuelle. Le second par les diatribes devant la scène ou les micros des télévisions et des radios, et le troi-sième par les bains de foule et poignées de mains qu’ils accordent à tour de bras. C’est pour cette raison que les spécialistes de la formation à la PNL ont établi des règles éthiques qui devraient empêcher les dérives des utilisateurs de cette mé-thode.

LA PRogRAMMAtIoN NEURoLINgUIStIqUE

Inventée aux Etats-Unis par le psychologue Richard Bandler et le linguiste John Grin-der dans les années 70, la programmation neurolinguistique se veut être une démarche pragmatique orientée sur l’expérience. Elle s’attelle à modéliser le comportement des gens qui réussissent ce qu’ils entreprennent dans la vie personnelle ou profession-nelle. Ce travail de modélisation passe par une analyse descriptive des comportements débouchant sur la réussite dans l’action des être humains. Elle se base aussi sur des présupposés, ainsi que sur un éventail de techniques dont le but est de décrire et d’agir sur la subjectivité.Le but de la PNL est d’obtenir une meilleure communication entre les individus et de s’améliorer personnellement. Elle cherche à tirer parti des aspects les plus positifs de différentes théories.Les bases, outils et objectifs de la PNL s’acquièrent dans le cadre de différents niveaux de formation dédiée.La SEC Lausanne organise en particulier des séminaires de découverte de la program-mation neurolinguistique se déroulant sur une journée, et dispensés par Nicolas von Burg, créateur de l’institut NVB.www.nvbcoaching.chwww.seclausanne.ch

Economiste d’entreprise ES

L’Expérience en plus

Diplôme reconnu par la Confédération

www.eseco.ch [email protected] tél. 021 312 93

Soirée d’information :Informations sur la formation et témoignage d’anciens élèvesJeudi 3 mai à 18h30 - Rue de l’Ale 31 1003 Lausanne

context 05-2012

10

Trav

ail

Donner un coup d’accélérateur à sa carrière

A un moment de sa vie professionnelle, il est bon d’envisager de la faire évoluer si l’on veut s’épanouir dans son entreprise et exploiter toutes ses capacités. Mais il n’est pas toujours facile de faire comprendre ses aspirations quand on a l’impression de végéter sur une voie de garage.Pierre-Henri Badel

On a investi beaucoup de son temps et de son argent pour acquérir des

connaissances pointues dans un do-maine, où l’on maîtrise parfaitement la matière, mais personne, au sein de son entreprise ne semble attentif à tous ces ef-forts. La situation semble désespérée, car ces acquis nous passionnent et corres-pondent exactement à ce que l’on aimerait bien pouvoir exercer concrètement. D’au-tant que l’on est convaincu qu’en partant dans cette voie, l’entreprise serait en me-sure de proposer un «plus» profitable à ses clients. Nombreux sont les employés qui se retrouvent dans une telle situation et qui ne savent pas comment faire com-prendre à leur employeur ou au respon-sable des ressources humaines leur désir de s’épanouir dans le cadre de leur travail.

L’art de se réaliser dans son travailRien ne s’avère plus frustrant que de réa-liser que toutes les opportunités d’avan-cer dans sa carrière professionnelle

semblent bouchées. Différents entretiens avec son supérieur hiérarchique n’ont pas réussi à débloquer la situation. Son em-ployeur semble totalement sourd à ses ap-pels du pied et on se morfond dans son travail à tel point que l’on n’a qu’une idée en tête: changer d’emploi.

La vie dans son entreprise a pourtant ses bons côtés. L’ambiance est sympa-thique avec ses collèges; le salaire et les conditions sociales sont à la hauteur. Mais rien n’y fait et chaque fois que l’on aborde le sujet avec son patron, la discussion tourne court. Il n’y a pas moyen de lui faire comprendre ce qu’il aurait à gagner de mieux exploiter ses ressources.

Qu’est-ce qui fait que la voie dans la-quelle on aimerait se lancer est bouchée? Les réponses sont multiples. Peut-être une mauvaise expérience préalable. Ou une totale méconnaissance du sujet. Le mieux est d’en avoir le cœur net et de po-ser franchement la question. Il faut pour-tant le faire en faisant preuve de beaucoup

de discernement pour ne pas froisser son supérieur. Et surtout de ne pas lui laisser croire qu’il pourrait perdre le contrôle de son entreprise ou que l’on pourrait en ti-rer un avantage qui le mettrait en porte-à-faux.

«Une motivation profonde, une attitude positive, voire optimiste, l’ouverture, la confiance en soi, l’envie de se renouveler et la persévérance représentent des atouts im-portants dans la quête d’un travail plus sa-tisfaisant, tout comme une orientation ga-gnant-gagnant et proactive sont aussi des qualités essentielles si l’on veut réussir» ad-met bien volontiers à ce sujet Marcel Lucien Goldschmid, enseignant spécialisé dans les techniques de management, de training et de coaching à Lausannne.

Analyser froidement la situation«Il existe trois points qu’il faut analyser en premier pour identifier des éléments clé qui pourraient servir d’accélérateur de carrière: à savoir ses compétences métier, ses compétences relationnelles et, finale-ment, son environnement au travail et dans sa vie privée» souligne Marcel Lu-cien Goldschmid. «Il faut étendre ses connaissances techniques afin de pro-gresser sur le plan professionnel, par exemple, par l’avancement dans la hié-rarchie ou par l’élargissement de son po-tentiel à occuper des postes dans d’autres secteurs» résume-t-il au sujet de ses com-pétences métier, son métier et son savoir faire. «Il faut aussi apprendre comment améliorer son intelligence émotionnelle et ses aptitudes à communiquer qui pour-raient également permettre de progresser dans sa carrière» poursuit-il. «C’est un as-pect qui est malheureusement souvent négligé, mais qui est capital pour réussir sa vie professionnelle.»

Il explique enfin qu’il faut soigner ses rapports avec son chef direct, ses collè-gues, ses collaborateurs et bénéficier de leur soutien et celui de ses proches. «Il

Arriver à son but nécessite souvent de trouver aussi le chemin pour y arriver.

11

context 05-2012

Trav

ail

s’agit aussi d’activer tous les ressorts de ses réseaux sociaux» ne manque pas de relever Marcel Lucien Goldschmid. «Un bon équilibre entre la vie professionnelle et personnelle contribue également d’une manière significative à accélérer sa car-rière» poursuit-il.

faire taire les rumeurs et tenir compte de la conjoncture économiqueLa manque de réceptivité de son discours peut aussi provenir de rumeurs qui cir-culent dans l’entreprise à son propre su-jet. Peut-être que son attitude conqué-rante ou arriviste a bousculé les habitudes ou le train-train quotidien de certains qui n’apprécient pas son enthousiasme ou son désir de faire carrière.

Dans un tel cas, mieux vaut laisser passer le temps en démontrant que son engagement n’est pas motivé par son unique égoïsme, mais par le souci d’aider réellement son entreprise à avancer et évoluer. C’est plus facile à dire qu’à faire quand on doit affronter l’animosité ou l’incrédulité de certains. Mais cela vaut la peine d’être tenté si l’on veut garder son emploi dans l’entreprise en espérant que la situation évolue avec le temps. Rien n’est pire conseiller que l’impatience.

Des évolutions conjoncturelles et des secteurs économiques moins prospères que d’autres et sur le plan personnel, la tendance à reporter les décisions au len-demain et la peur du risque sont aussi les principaux motifs qui bloquent l’avance-ment d’une carrière. «Mais la dépendance et une attente erronée que les autres vont nous prendre en charge constitue à n’en pas douter le principal frein à l’avance-ment» admet Marcel Lucien Goldschmid.

trouver la failleArriver à son but nécessite souvent de trou-ver aussi le chemin pour y arriver. Peut-être qu’en cherchant un moyen de diver-sion pour amener son supérieur à

reconsidérer une position qui semble figée et immuable. Cela peut passer par des exemples d’entreprises qui réussissent dans cette voie. Ou la rencontre avec quelqu’un d’autre qui est fermement

convaincu du bien fondé d’une telle dé-marche. Cela peut réussir si la personne est crédible et peut démontrer concrètement l’atout que peut en tirer l’entreprise à se lancer dans ce domaine.

Le blocage peut pourtant provenir du fait que l’entreprise ne peut pas se lancer dans cette direction parce que cela ris-querait de faire concurrence à une filiale de celle-ci ou parce ce qu’elle s’est enga-gée contractuellement à ne pas dévelop-per d’activités dans cette direction. Dans un tel cas, il n’y a plus qu’un choix pos-sible: se résigner ou quitter l’entreprise.

«Si l’on a l’impression que tous les ho-rizons sont bouchés, il faut vraiment s’as-surer qu’on a procédé à une analyse ap-profondie de la situation et entrepris toutes les démarches possibles pour dé-

passer les blocages» conseille Marcel Louis Goldschmid. Par exemple, il ne faut pas se contenter uniquement de recher-cher des solutions dans sa propre unité de travail. Peut-être y a-t-il des ouvertures dans d’autres départements de l’entre-prise ou des possibilités d’explorer des améliorations avec le chef de son chef…

«En dépit des difficultés et des conflits qui peuvent s’exacerber, il ne faut pas voir d’emblée son chef comme un adversaire, mais plutôt tout tenter pour essayer de créer une relation d’alliance avec lui» re-commande Marcel Lucien Goldschmid.

Il faut s’assurer que l’on a analysé la situation de manière approfondie et entrepris toutes les démarches possibles pour dépasser les blocages.

fAIRE LE gRAND SAUtTrouver un emploi dans une autre entreprise peut aussi s’avérer risqué. Il y a en effet autant de dangers à être incompris dans son désir d’avancer dans sa carrière que chez son employeur précédent. Sauf si le cahier des charges est parfaitement défini.Une réorientation professionnelle et toujours délicate, mais elle peut aussi s’avérer être très profitable à celui que la tente. Elle permet de faire varier ses compétences et de démontrer ses aptitudes au changement. Une qualité qui est souvent très prisée des patrons qui veulent faire avancer ou évoluer leur entreprise. «Il existe des situa-tions où l’on a tout intérêt à aller voir ailleurs» souligne Marcel Lucien Goldchmid. Là où les circonstances, les structures, la hiérarchie bloquent tout dénouement positif, il serait faux de s’accrocher à son poste. «Rien ne sert dès lors de perdre son temps et de continuer de vivre dans la frustration.»Changer d’employeur permet aussi de remettre les compteurs à zéro quand on s’est égaré dans ses relations avec son employeur ou ses collègues. Cela peut provenir d’une maladresse incomprise ou d’une remarque mal interprétée. Il faut pourtant en tirer les leçons en évitant les quiproquos chez son nouveau patron. Il faut cependant éviter, si cela est possible, de donner sa démission d’une façon impulsive. Il est toujours plus aisé de trouver un nouveau poste quand on est encore employé.www.management-training-coaching.ch

context 05-2012

12

Publ

i-por

trai

ts

ESeco(Ecole Supérieure d’économie)

Rue Centrale 61002 LausanneTél. 021 312 93 47Fax 021 320 99 [email protected]

IfAgE

19, place des Augustins1205 GenèveTél. 022 807 30 00Fax 022 807 30 [email protected]

Présentation généraleL’école supérieure d’économie de Lausanne a été créée en 1993 par la Société des employés de com-merce de Lausanne avec le sou-tien de l’Office fédéral de la for-mation professionnelle et de la technologie. Depuis 1997, date de l’obtention de la reconnaissance fédérale, elle est habilitée à dé-livre le titre officiel et reconnu d’Economiste d’entreprise ES.

Offre et durée des coursLa formation a une durée de 3 ans, trois soirs par semaine et/ou des samedi matin.Les matières sont:• Gestion de l’entreprise• Informatique• Marketing• Création de développement

d’organisation• Productionetinnovation• Gestiondeprojet• Approvisionnement et logis-

tique• Economiepolitique• Qualité,environnementetsé-

curité• Statistiques• Gestiondupersonnel• Droitetfiscalité• Financement et investisse-

ment• Communication• Comptabilité• Anglais«business»• Allemand«fürdenBeruf»

Méthode de formationLa méthodologie de la formation s’appuie sur le modèle de mana-gement de St-Gall, qui est basé sur la théorie des systèmes. L’en-treprise est considérée comme un système complexe, formée d’un ensemble ordonné d’élé-ments qui interagissent de mul-tiples manières entre eux.L’ESeco privilégie une approche interdisciplinaire, en traitant les thèmes demandés au travers de plusieurs matières transver-sales. Cette démarche favorise les liens avec la pratique en en-treprise et permet de bénéficier de l’intervention de spécialistes de chaque domaine.

Présentation généraleL’ifage est une fondation dédiée à la formation des adultes à Ge-nève. Il s’agit d’une institution d’utilité publique à but non lu-cratif spécialisée dans la forma-tion et le perfectionnement pro-fessionnel.Partenaire des politiques de formation continue et de l’em-ploi du canton de Genève, elle a pour mission de contribuer à développer les compétences de ses clients, privés ou institu-tionnels tout au long de leur vie.

Offre et durée des cours Depuis plus de 50 ans, cette ins-titution offre des formations et des cours dans les secteurs des langues, de l’informatique et de la bureautique, du commerce et du management, mais aussi de l’industrie, du bâtiment et des arts appliqués.La durée des formations varie de quelques heures pour les cours à la carte à plusieurs années pour certains cursus de formations certifiantes. Les cours sont dis-pensés le jour, le soir, et durant toute l’année. A cette offre s’ajoutent des prestations voisines, comme les centres d’examen de langue tels que le DELF/DALF pour le français, Cambridge pour l’an-glais, Instituto Cervantes pour l’espagnol, Goethe–Institut pour l’allemand, Accademia italiana di lingua pour l’italien, Université de Moscou pour le russe.L’offre peut également se conce-voir sur mesure, en fonction des besoins spécifiques des entre-prises. Les formations pour en-treprises peuvent être soit ciblées, soit transversales, mobi-lisant alors plusieurs domaines de formation comme les lan-gues, le management ou les for-mations techniques.Plus particulièrement, dans le secteur industrie et bâtiment, une formation modulaire a été créée: la formation continue des installateurs électriciens.

Méthode de formation Nous accordons un soin particu-lier à accompagner les étudiant-e-s participant-e-s vers les cours et formations adaptés à leurs be-soins. Des séances d’informa-tion et d’orientation sont organi-sées dans chaque secteur afin de conseiller le public.Certifié ISO 9001 et Eduqa pour la totalité de ses activités, l’ifage offre des formations et des cours à la carte dans le domaine pro-fessionnel avec des brevets et des diplômes reconnus sur le plan international, fédéral et cantonal.De plus, les formatrices et for-mateurs professionnels actifs et expérimentés dans leur secteur d’activité sont également des pé-dagogues qualifié-e-s par le cer-tificat FSEA ou le brevet fédéral de formatrice/formateur.

Spécificités de la formation L’ifage est signataire avec l’office pour l’orientation, la formation professionnelle et continue (DIP) d’un contrat de prestations avec délégation de compé-tences, pour aider les jeunes et les adultes à concevoir et réali-ser leur projet professionnel.L’ifage est également signataire d’un contrat-cadre avec l’office cantonal de l’emploi (DES), dans le but de réinsérer rapidement et durablement les demandeurs d’emploi sur le marché du tra-vail. De ce fait, l’ifage met à dis-position des prestations aux qualités certifiées assurant une maîtrise des coûts et une utilisa-tion optimale des ressources.

PerformPerfectionnement professionnelet formation continue

Rue Roger-de-Guimps 41 Case postale1400 Yverdon-les-BainsTél. 024 426 42 37Fax 024 426 43 [email protected]

Présentation généralePerform est un acteur de réfé-rence de la formation continue ainsi que du perfectionnement professionnel. Le niveau de compétences des collabora-trices et collaborateurs engagés doit rester élevé afin qu’ils (elles) puissent mener à bien toutes leurs missions.

Offre et durée des cours• Langues: anglais (KET, PET,

First, BEC vantage, BEC higher), allemand (Goethe: Start Deutsch, B1, B2, C1), suisse-allemand, espagnol, russe, chinois.

• Informatique:initiationWin-dows; Word/Excel/Power-Point/Access, Internet/Out-look

• Brevets et diplômes: assis-tant(e) de direction avec bre-vet fédéral, logisticien en stoc-kage – formation modulaire avec brevet fédéral, cadre technique d’exploitation ASC (Association Suisse des Cadres)

• Coursd’économie:économie,correspondance, procès-ver-baux

• Courstechniques:électricitépour mécanicien, mécanique (perçage, tournage, freinage), soudage

Méthode de formationLes collaboratrices et collabora-teurs fournissent avec beau-coup d’engagement des presta-tions de qualité, marquées d’innovation, de rigueur et d’humanisme. En conjuguant leurs capacités intellectuelles et créatrices, ils (elles) visent à at-teindre un niveau élevé en ma-tière de formation continue. Ils (elles) favorisent l’établissement de relations basées sur l’écoute, la confiance, la tolérance ainsi que le respect mutuel, dans un climat multiculturel et apoli-tique.

13

context 05-2012

Publ

i-por

trai

ts

Wessex Academy

Rue de Bourg 431003 LausanneTél. 021 323 54 36Fax 21 320 72 [email protected]

Virgile formation

Quai Maria-Belgia 181800 VeveyTél. 021 921 19 62www.virgile.ch

SEC formationfribourgSociété des employésde commerce fribourg

Varis 1, case postale 14161701 FribourgTél. 026 321 29 21Fax 026 321 29 [email protected]

Présentation généraleLa SEC Fribourg a développé des formations dans les domaines commerciaux supérieurs, com-merciaux de base, en ressources humaines, en langues, en infor-matique et bureautique, ainsi que dans le perfectionnement professionnel. Notre centre de formation répond aux exigences de certification et de qualité EduQua.Chaque année, plus de 250 élèves suivent ces formations, encadrés par quelque 80 profes-seurs, en vue d’obtenir un certi-ficat SEC Formation, Edupool ou brevet fédéral.

Offre de cours• Coursdelanguessurlesitede

l’EPB Payerne Allemand, an-glais

• Formationencomptabilité: Mise à niveau CFC Certificat

en comptabilité financière et de gestion Edupool

• Brevet fédéral de spécialisteen finance et comptabilité

• Sachbearbeiter/in Rech-nungswesen Edupool

• Brevetfédérald’assistantededirection

• Certificat d’assistant en ges-tion du personnel

• Brevet fédéral de spécialisteen gestion du personnel

• SecrétairejuridiqueCes cours sont dispensés princi-palement le soir en semaine et le samedi matin. Méthode de formationLa presque totalité des cours pré-parent à des certifications offi-cielles et reconnues. Certaines formations sont dispensées sous forme modulaire. La filière en comptabilité permet, après ac-quisition de très bonnes connais-sances de base, d’obtenir un cer-tificat Edupool de comptable spécialisé. Une deuxième étape permet de décrocher le brevet fé-déral de «Spécialiste en finance et comptabilité». Les formations répondent aux critères d’une for-mation duale, accompagnant une pratique professionnelle.

Présentation généraleFondation agréée par le Service de la Formation Professionnelle du canton de Vaud, l’OFFT et certifiée EduQua, Virgile For-mation est actif depuis 20 ans, dans les domaines de la compta-bilité, du controlling, de l’infor-matique et des langues.

Offre et durée des coursComptabilitéDes formations en comptabilité orientée pratique ou supérieure sont proposées en journée; un cours de comptabilité générale est proposé en emploi. Ces cours s’adressent à des personnes pos-sédant, au minimum, des connaissances de base en comp-tabilité, niveau CFC.

Finance et informatiqueLa formation en cours d’emploi conduisant au Brevet Fédéral de Spécialiste en finance et comp-tabilité est proposée sur 2 ou 3 ans à Vevey, Lausanne, Genève et Sierre. Avec plus de 500 parti-cipants aux cours, Virgile For-mation est le plus grand centre de formation de Suisse dans cette filière! L’année 2011 a vu la mise en place d’une validation d’acquis, unique en Suisse ro-mande, pour l’obtention d’un DAS-HES in Accounting.Une formation professionnelle supérieure permet de se présenter aux examens du diplôme fédéral d’expert en finance et controlling. Depuis 2009, les diplômés ont également accès à une passerelle pour l’obtention d’un MAS-HES in controlling, titre reconnu au ni-veau international.Virgile Formation va proposer des formations préparant aux quatre nouveaux brevets fédé-raux et au nouveau diplôme fé-déral d’ICT-Manager.

LanguesVirgile Formation propose des cours de français, anglais, alle-mand, espagnol et, dès sep-tembre 2012, de russe et de chinois. L’offre de cours est conçue en fonction des besoins des participants.

Présentation généraleWessex Academy offre des cours à tous les niveaux, dans 11 lan-gues différentes, et propose une vaste gamme de séjours linguis-tiques sur les 5 continents. Son existence depuis près de 40 ans lui confère une grande expé-rience. L’école jouit d’une dis-tinction de marque grâce à l’ob-tention du certificat EduQua.

Offre et durée des coursWessex Academy offre des pro-grammes de cours adaptés aux besoins de chacun.• Languesenseignées:anglais,

français, allemand, italien, es-pagnol, portugais, russe, chinois, japonais, tchèque et roumain

• Formulepersonnalisée:coursintensifs, semi-intensifs, lunch, soir, privés «à la carte» et immersion totale

• Touslesniveaux:deA1àC2• Préparationefficaceàtousles

certificats officiels et recon-nus (Cambridge, TOEFL, IELTS, Goethe Institut, DELF, DALF, etc.) Wessex Academy organise également des sé-jours linguistiques, des cours en entreprises et propose un service de traduction profes-sionnelle.

Méthode de formationLes méthodes de formation s’ins-crivent dans une logique de péda-gogie active. Wessex Academy met un point d’honneur à garantir des cours de haut niveau. Pour ce faire, elle recrute des professeurs expérimentés qui enseignent dans leur langue maternelle et qui poursuivent des formations conti-nues, afin de garantir une grande qualité de cours.

Spécificités de la formationLa formation privilégie un cadre agréable, dans des locaux qui as-surent les meilleures conditions d’étude, de développement per-sonnel et d’épanouissement. Une ambiance sympathique et plai-sante est favorisée par un nombre limité d’étudiants par classe.

Ne

man

quez

pas

not

re p

roch

ain

num

éro

spéc

ial d

e context

cons

acré

à la

form

atio

n co

ntin

ue e

t ges

tion

de c

arriè

re p

rofe

ssio

nnel

le.

Paru

tion:

4 s

epte

mbr

e 20

12Dé

lai d

e re

mis

e de

vos

ann

once

s: 6

aoû

t 201

2

context 05-2012

14

Pano

ram

a Résumé des formations indiquées dans les portraits publicitaires des pages 12 et 13

COURS DISPENSES ESeco Ifage Perform SEC Fribourg Virgile WessexAcademy

Banque/Commerce/Vente

Assistant de direction X X X

Employé de commerce X

Gestionnaire du commerce de détail X

Marketing X X

Logisticien en stockage X

Economie/Assurances/Finance

Comptable X X

Comptabilité niveau CFC X X

Economiste d’entreprise X

Expert en finance et controlling X X X

Spécialiste en finance et comptabilité X X X

Informatique

Bureautique X X

ECDL X

Informaticien X X

Informaticien de gestion X

Ingénieur réseau X

Internet/Outlook X X

Spécialiste Java X

Spécialiste réseau et télécommunications X

Systèmes d’exploitation X

Technicien réseau X

Webdesigner X

Langues

Allemand X X X X X X

Anglais X X X X X X

Français X X X

Espagnol X X X X

Italien X X X

Suisse-allemand X

Management/RH/Droit

Assistant en gestion du personnel X X

Assurances sociales X

Droit du travail X

Management X

Responsable en ressources humaines X

Secrétaire juridique X X X

Spécialiste en gestion du personnel X X

Technique

Cadre technique d’exploitation X

Soudage, mécanique, électricité X

15

context 05-2012

Pers

onna

lité

au s

ein

de la

SEC

Sui

sse

Agé de 43 ans, Marc Bibliardi Si-dler est entré dans la vie profes-sionnelle après avoir suivi les cours de l’Ecole de commerce de Montreux. Il a ensuite tra-vaillé dans le commerce jusque dans les années 2000 puis géré la succursale genevoise et vau-doise d’une agence de place-ment en personnel.En parallèle il a créé une agence de conseil et de formation à Nyon. «Après un début dans le commerce, l’industrie et les res-sources humaines, j’ai décidé de m’investir dans la formation et d’en faire mon métier» ex-plique-t-il.

Donner un sens à sa vie«Par ce moyen, j’ai pu mettre en œuvre le sens que j’ai donné à ma vie, à savoir participer à l’évolution des compétences des personnes. La formation constitue un vecteur idéal» poursuit-il en l’occurrence.

Marc Bigliardi SidlerResponsable du service de la formation au sein de la SEC Lausanne

Il a en particulier travaillé comme consultant indépendant, chargé de cours et coach pédagogique en parallèle à son activité principale depuis 1999. «Mon action s’est portée sur des apprenants, des formateurs ou des entreprises qui avaient comme objectif de réus-sir, créer ou améliorer leurs for-mations» insiste-t-il.Il a également étayé ses compé-tences formelles avec un brevet fédéral de formateur d’adultes. Happé par le désir d’améliorer ses connaissances, cela ne lui suffit pourtant pas et il a décidé de les étayer en s’inscrivant à un cursus de formation d’adulte – dispensé dans le cadre de l’Université de Genève – qui commence cette an-née et qui débouche sur un di-ploma of advanced studies (DAS).

Une incontestable soif d’apprendreSa soif d’apprendre l’amena aussi à suivre une formation de

médiateur commercial à la chambre de médiation et d’ar-bitre de Paris, ainsi que d’une formation en analyse transac-tionnelle se soldant par une re-connaissance suisse en conseil et éducation. «En tant que for-mateur, mon style andrago-gique est orienté vers les mé-thodes actives basées sur la gestion de projet, avec une ap-proche centrée sur la personne avec des outils d’analyse tran-sactionnelle» explique Marc Bi-gliardi Sidler.

trouver sa place dans le monde du travailS’il a postulé comme respon-sable de la formation au sein de la SEC Lausanne, c’est que cette dernière a une vision qui est très proche de la sienne, avoue-t-il. «Je suis convaincu que les filières de formation professionnelle et profession-nelle supérieure constituent une excellente voie pour trou-ver sa place dans le monde du travail» souligne Marc Bi-gliardi Sidler.A ce poste, il apprécie tout par-ticulièrement la diversité des tâches où se croisent de mul-tiples fonctions. «La collabora-tion intercantonale qui s’est instaurée dans le cadre de la formation en comptabilité m’a enthousiasmé» note-t-il. Et au sujet de la formation qu’il suit parallèlement à son emploi, il se

réjouit car elle est complémen-taire aux tâches qu’il a dans sa fonction actuelle.

Savoir gérerson emploi du tempsSon emploi du temps est donc chargé et ses journées bien rem-plies. «C’est la gestion du temps qui n’est pas toujours évidente. Mais à part cela, ce n’est que du bonheur» avoue-t-il. Et quand on lui demande ce qu’il en est de ses loisirs, il répond que c’est la formation. «J’ai vraiment l’impression qu’il s’agit-là pour moi d’un véritable agrément.» Il admet cependant volontiers qu’il reste malgré tout très at-tentif à sa femme et à sa fille, même si cette dernière se trouve actuellement à l’étranger.

Grâce à son expérience dans le commerce, la gestiondes ressources humaines et de la formation, le nouveau patron de ce dernier secteur dans la capitale vaudoiseapporte un nouveau dynamisme en faveur des employés de commerce.

Fondée en 1986 Membre de AVDEP, FSEP et GEC Certifiée et

e

Ecole Alphalif www.alphalif.ch Rue Pichard 20 CP 6032 1002 Lausanne Tél. 021 312 98 07

Centre d’enseignement et de préparation aux examens aux examens

Classes secondaires 8ème, 9ème et raccordements Diplôme de commerce GEC, classe préprofessionnelle, 10ème PRÉPARATION AUX EXAMENS D’ADMISSION AUX GYMNASES MATURITÉ SUISSE ET BAC FRANÇAIS Soutien scolaire hebdomadaire et assistance aux devoirs Cours de prérentrée du 13 au 24 août 2012

Marc Bigliardi Sidler

Just

ice

en m

arch

e

16

context 05-2012

Dès lors qu’une occupation est considérée comme téméraire, l’assurance accident est en droit de réduire ses prestations en espèces. Une assurée en a fait l’expérience à ses dépends.

En tant que vendeuse, Cathy est obligatoi-rement assurée contre les risques d’accident professionnel et non professionnel. Pas-sionnée de motocyclisme, elle est titulaire d’une licence l’autorisant à participer à des entraînements sur des circuits. En mars 2009, alors qu’elle participait à une séance de pilotage libre, elle a chuté. Un autre mo-tard l’a heurté de plein fouet au moment où elle se relevait et elle a été blessée. L’assu-rance a réduit de 50% ses prestations en es-pèces au motif du caractère téméraire de l’entreprise à l’origine de l’accident.

Différents degrés de dangerositéUne entreprise téméraire est celle par la-quelle l’assuré s’expose à un danger parti-culièrement grave sans prendre de mesures destinées à ramener celui-ci à des propor-tions raisonnables, ou sans pouvoir prendre de telles mesures. La jurisprudence consi-dère comme entreprises téméraires abso-lues celles qui comportent des risques par-ticulièrement importants, et qu’on ne peut pas diminuer. C’est le cas en l’occurrence pour les courses automobiles de côte ou en circuit, les compétitions de motocross et les combats de boxe ou de boxe thaïe.Les activités qui comportent des risques élevés, mais qui peuvent toutefois être limi-tés si l’assuré remplit certaines exigences de sécurité, sont désignées comme entreprises téméraires relatives (c’est le cas par exemple du canyoning, de la plongée, de l’alpinisme, de la varappe et du vol delta). Selon le degré de difficulté et le niveau de risque pris dans un cas particulier, il n’est pas exclu de qua-lifier l’une ou l’autre de ces activités d’entre-prise téméraire absolue.La commission ad hoc des sinistres LAA a établi à l’intention des assureurs-accidents une recommandation qui contient une liste des entreprises considérées comme témé-raires. Ces recommandations ne lient tou-tefois pas le juge. Celui-ci doit par consé-quent apprécier dans chaque cas les circonstances spécifiques.

Prestation réduite en cas d’entreprisetéméraireEn cas d’accident non professionnel dû à une entreprise téméraire, les prestations en

espèces sont réduites de moitié et peuvent être refusées dans les cas particulièrement graves. En cas d’activité relativement témé-raire, le refus ou la réduction des presta-tions d’assurance dépend de l’aptitude de l’assuré à exercer l’activité et s’il a pris les précautions qui s’imposaient. Le sauvetage de la personne est toutefois couvert par l’as-surance dans tous les cas. Le jour de l’accident de Cathy, il y avait un nombre limité de participants et il n’y a pas eu de départ en masse. Par ailleurs, la vi-tesse n’était pas mesurée et la journée se dé-roulait sous la surveillance d’instructeurs appelés à vérifier si les participants maîtri-saient leur engin. Les mesures destinées à limiter les risques ont été prises dans le cas d’espèce. Le Tribunal fédéral a toutefois estimé que ce genre de séances de pilotage donne au pi-lote la possibilité de rouler bien au-delà des limitations de vitesse qu’impose la conduite sur route. Le risque de chute n’est pas négli-geable et le danger particulièrement grand, du moment que plusieurs motos roulent à des distances très rapprochées et à des vi-tesses élevées. Ainsi l’accident survenu dans de telles conditions résulte de la réali-sation d’un risque inhérent - et particuliè-rement important – à ce genre de manifes-tation à laquelle Cathy participait. C’est pour cette raison que la réduction de la prise en charge des frais est acceptable au yeux de la loi.

La couverture des frais peut être réduite lors d’une activité dangereuse

Nicole de Cerjat,juriste, responsabledu service juridiqueau secrétariat romandde la SEC Suisse,Neuchâtel

SEC Suisseservice juridiqueCase postale 30722001 NeuchâtelTél. 0848 810 910 (membres)Tél. 0901 555 717(non-membres Fr. 2.50/min)

17

context 05-2012

Nou

velle

s de

la c

entr

aleLa sérénité grâce à une couverture

d’assurance exclusive

Le voyage en cabriolet a été mer-veilleux, et vous regardez à pré-sent le soleil se coucher sur la mer. Mais en regagnant votre voi-ture, vous remarquez tout de suite que le précieux sac que vous aviez caché sous le siège n’est plus là – et tout son contenu non plus. Heureusement que l’assu-rance inventaire de ménage prend en charge le dommage! Mais est-ce vraiment le cas?Tout naturellement, vous aidez vos amis à déménager. Mais en déchargeant du camion le télé-viseur dernier cri, celui-ci vous échappe des mains. Heureuse-ment que l’assurance responsa-bilité civile privée prend en charge tous les coûts! Mais est-ce vraiment le cas?Comment êtes-vous réellement assuré? Seriez-vous obligé d’assu-mer vous-même les coûts de ces dommages, s’ils se produisaient?En effet, les assurances peuvent, d’après la loi, réduire leurs presta-

tions – par exemple en cas de né-gligence grave ou de complai-sance, c’est-à-dire lorsqu’on vous reproche, en cas de sinistre, d’avoir enfreint les obligations usuelles de diligence; ou encore lorsque l’inci-dent s’est produit dans le cadre d’un service à un ami.C’est vite arrivé! Il peut arriver à tout le monde d’être imprudent – mais ça peut coûter cher.Pas chez Zurich Connect: elle offre une couverture optionnelle exclu-sive contre la négligence grave et les cas de complaisance, aux membres de la SEC Suisse et de leur famille. Contre un supplé-ment modique, elle renonce alors à réduire ses prestations, et l’on est encore mieux assuré!Offre sans engagement pour les membres de SEC Suisse, au nu-méro exclusif 0848 234 567. Le centre clientèle de Zurich Connect est ouvert sans inter-ruption du lundi au vendredi, de 8h00 à 17h30.

Dans certains cas, les prestations d’assurance peuvent vous être refusées. C’est pourquoi Zurich Connect, partenaire d’assurance de longue date de SEC Suisse, propose en exclusivité à tous les membres une assurance ménage offrant une couverture complète même en cas de négligence grave ou de complaisance.

Ces dernières semaines, plu-sieurs employées et employés de Lidl Suisse se sont exprimés dans la presse au sujet des condi-tions de travail qui leur étaient imposées. Le syndicat Syna et la SEC Suisse ont réagi à ces ar-ticles et ont ouvert une perma-nence téléphonique destinée au personnel du distributeur. La description des conditions de travail de Lidl telles qu’elles ont été publiées par l’hebdomadaire suisse alémanique «Sonntag» ont retenu toute l’attention du grand public. Signataires d’une convention collective de travail (CCT) avec Lidl, le syndicat in-terprofessionnel Syna et la SEC Suisse ont tenu compte de cette situation en mettant en place une hotline. Les employées et

Syna et la SEC Suisse mettent en place une permanence téléphonique

employés de Lidl peuvent relater les expériences qu’ils ont vécues chez Lidl Suisse. Syna et la SEC Suisse garantissent une discré-tion absolue aux personnes qui accepteront de s’exprimer.Des centaines de personnes em-ployées par Lidl dans ses filiales et son centre de distribution à Weinfelden TG ont été inter-viewées depuis la conclusion de la CCT. Aucun abus systéma-tique n’a été détecté lors de ces entretiens. Syna et la SEC Suisse espèrent que la nouvelle perma-nence d’écoute permettra de clarifier la situation.Hotline de Syna et SEC Suisse pour le personnel de Lidl: tél. 044 279 71 36 (du lundi au ven-dredi, de 8 h 00 à 17 h 00)Courriel: [email protected]

Les conditions de travail chez Lidl pourront désormais être dénon-cées anonymement par ses employés.

Ph

oto:

Pie

rre-

Hen

ri B

adel

Spécialiste en ressources humaines

Soirée d’information :Informations sur la formationLundi 21 mai à 18h30 - Rue de l’Ale 31 1003 Lausanne

Brevet fédéral, option Gestion ou Conseil

www.seclausanne.ch [email protected] 021 312 93 47

context 05-2012

18

Nou

velle

s de

s se

ctio

ns

Editeur

SEC SuisseSociété suissedes employés de commerceHans-Huber-Strasse 4case postale8027 ZurichTél. 044 283 45 45

Secrétariat romand

SEC SuisseSociété suissedes employés de commerce3, rue Saint-Honorécase postale 30722001 NeuchâtelTél. 032 721 21 37Fax 032 721 21 [email protected]

Directrice de la publication

Marie-Line Vuilleumier

Rédaction

Les Editions du Couchant SA44, rte de Divonne, 1260 NyonTél. 022 361 90 25Fax 022 362 05 13Pierre-Henri Badel, rédacteur en [email protected] BieriFlorence Déruaz

Publicité

JMB PublicitéJean-Maurice Bloch8, ch. de Crève-Cœur1290 VersoixTél. 022 755 39 [email protected]

Parution

Mensuelle (9 numéros par an)6 500 exemplairesTirage vendu selon REMP:4140 exemplaires

Conception graphique

Partner & Partner AGwww.partner-partner.com

Réalisation et impression

Imprimerie Saint-Paul, FribourgISDN 026 429 06 26ISSN 1424 – 5353

Abonnements

Suisse: 12 mois Fr. 46.–

Site Internet

www.context.ch/fr

éDItIoN fRANçAISE

gENèVE

tél. 022 310 35 [email protected]

Assemblée générale

Réservez la date du 19 juin à 18h00.

LAUSANNE

tél. 021 312 93 [email protected]

Assemblée générale

C’est le jeudi 24 mai prochain qu’aura lieu l’Assemblée générale de la section, à 18h30 dans nos lo-caux de la rue de l’Ale. Tous les membres passifs ou actifs sont les bienvenus!

Salon des métiers 2012

Du 2 au 7 octobre 2012, l’associa-tion y sera présente dans le but de faire connaître le métier d’employé de commerce et d’assistant de bu-reau. D’autres informations émane-ront durant ces prochains mois.

Journée des oRP

Le jeudi 29 mars 2012, la section a participé à un forum d’une journée dans le but de présenter l’associa-tion et les différentes offres de for-mation aux conseillers-ères ORP qui pourront mieux guider leurs deman-deurs d’emploi. En effet, certaines mesures qui leur sont proposés font partie de nos différentes gammes de formation.

Nous félicitons les lauréat-e-s des cours de diplôme SEC Lausanne de force de vente:

Yvan Talenti, Nathalie Boulouard, Selim Ibraimi, Caroline Lamacchia, Steven Lambelet, Thierry Lepinette, Olivier Monnier, Laurent Moret, Va-lon Osdautaj, Nuno Pinto.

A noter que pour la première fois, toute la classe a obtenu le diplôme. Un grand bravo!

Prochains cours

Gestion de projet pour manager: 19 mai 2012

Initiation à la programmation neu-rolinguistique (PNL): mai 2012

Diplôme d’économiste d’entreprise ES: août 2012

Assistant-e en gestion du person-nel: septembre 2012

Spécialiste en recrutement & sélec-tion de personnel: septembre 2012

Base d’organisation pour manager: septembre 2012

SIoN VALAIS/WALLIS

tél. 027 203 55 [email protected]

Secrétariat

Notre secrétariat est ouvert les mar-dis et jeudis après-midi de 14h à 17h30.

Assemblée générale

Notre assemblée générale a eu lieu le jeudi 8 mars 2012 dans le cadre du Salon des métiers et des forma-tions au CERM à Martigny. Les membres présents ont pris connais-sance des activités, des projets de la section et ont ratifié l’adhésion de 35 nouveaux membres.

Ils ont pris officiellement congé de notre secrétaire Nicole Morard qui a quitté ses fonctions en novembre dernier.

L’assemblée a élu deux nouveaux membres dans le comité qui se

compose désormais de Renato De Palma, président; Gérard Fournier, vice-président et nouveau membre; Stéphane Jordan, caissier; Eric Fat-tebert, secrétaire; Ozturk Orgut, responsable de l’EPC 13 Etoiles; Vir-ginie Pastore, nouvelle membre du comité et Sonia Zahni, membre. Il est également à relever que Gérard Fournier, nouveau membre au comi-té est remplacé en tant que vérifica-teur des comptes par Guy Papilloud.

Enfin les membres présents ont eu le plaisir de faire connaissance de Marie-Line Vuilleumier, secrétaire romande depuis septembre 2011 et de notre nouveau président de la SEC Suisse Daniel Jositsch qui nous ont fait l’honneur de leurs pré-sences et de leurs messages.

C’est par un apéritif dînatoire que se sont poursuivis les échanges et la convivialité en ouverture de cette année du 110e anniversaire de la section.

Nicole Morard, ancienne secrétaire, fleurie par Renato De Palma,président de la section.

SE

C C

hx-F

ds

• N

e

SE

C F

rib

our

g

SE

C L

ausa

nne

SE

C J

ura

SE

C G

enèv

e

SE

C S

ion

MANAGEMENT, GESTION ET ADMINISTRATION

Brevet fédéral de cadre (Formation en Management et Leadership) ✔ ✔

ESeco – Ecole supérieure d’économie ✔ ✔

Brevet fédéral d’assistant-e de direction ✔ ✔

Diplôme SECSuisse de secrétaire juridique ✔ ✔ ✔

Gestion de projet ✔ ✔ ✔

RESSOURCES HUMAINES

Brevet fédéral de spécialiste en ressources humaines ✔ ✔ ✔

Certificat d’assistant-e en gestion du personnel ✔ ✔ ✔

Recrutement et sélection du personnel ✔ ✔

Brevet fédéral de spécialiste en assurances sociales ✔

Généraliste en assurances sociales ✔

Gestion des ressources humaines pour manager ✔ ✔

Notions générales en ressources humaines ✔ ✔

FINANCE ET COMPTABILITÉ

Brevet fédéral de spécialiste en finance et comptabilité ✔ ✔ ✔ ✔

Certificat SECSuisse Edupool.ch Veb.ch-Swisco.ch de comptable spécialisé ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Cours de fiscalité pour généraliste ✔

Comptabilité et finance pour manager ✔ ✔

Notions générales de TQG ✔ ✔ ✔ ✔

VENTE ET MARKETING

Brevet fédéral de technicien de vente ✔

Diplôme professionnel de force de vente ✔

Le marketing pour manager ✔ ✔

Généraliste en marketing et communication - MARKOM ✔ ✔

Les spécialistes romands de la formationprofessionnelle commerciale supérieure

SEC LausanneRue Centrale 6Case postle 74761002 LausanneTél. 021 312 93 [email protected]

SEC Chaux-de-Fonds • NeuchâtelRue Neuve 162300 La Chaux-de-FondsTél. 032 968 56 [email protected]

SEC FribourgCase postale 14161701 FribourgTél. 026 321 29 [email protected]

SEC JuraRue du 23 Juin2900 PorrentruyTél. 032 465 81 [email protected]

SEC GenèveCase postale 3301211 Genève 4Tél. 022 328 06 [email protected]

SEC SionPlace de la Gare 2case postale 12501951 SionTél. - FAX : 027 203 55 65 [email protected]

Plus d’infos sur:www.secformation.ch

MéMENTO 20129 jUIN, SCHAFFHOUSEAssemblée des délégués de la SEC SuisseRenseignements: www.secsuisse.ch

13 jUIN, NEUCHâTEL Mieux gérer son stress et augmenter son efficacitéRenseignements et inscriptions: www.fsrm.ch

20 jUIN, LAUSANNEJournée de la femmeLes femmes et le managementRenseignements: www.seclausanne.ch

3 jUILLET, PAUDExLes «3S», savoir, savoir-faire, savoir-êtreRenseignements: www.romandieformation.ch

2 AU 7 OCTOBRE, LAUSANNESalon des métiers et de la formationRenseignement: www.metiersformation.ch

SE

C C

hx-F

ds

• N

e

SE

C F

rib

our

g

SE

C L

ausa

nne

SE

C J

ura

SE

C G

enèv

e

SE

C S

ion

MANAGEMENT, GESTION ET ADMINISTRATION

Brevet fédéral de cadre (Formation en Management et Leadership) ✔ ✔

ESeco – Ecole supérieure d’économie ✔ ✔

Brevet fédéral d’assistant-e de direction ✔ ✔

Diplôme SECSuisse de secrétaire juridique ✔ ✔ ✔

Gestion de projet ✔ ✔ ✔

RESSOURCES HUMAINES

Brevet fédéral de spécialiste en ressources humaines ✔ ✔ ✔

Certificat d’assistant-e en gestion du personnel ✔ ✔ ✔

Recrutement et sélection du personnel ✔ ✔

Brevet fédéral de spécialiste en assurances sociales ✔

Généraliste en assurances sociales ✔

Gestion des ressources humaines pour manager ✔ ✔

Notions générales en ressources humaines ✔ ✔

FINANCE ET COMPTABILITÉ

Brevet fédéral de spécialiste en finance et comptabilité ✔ ✔ ✔ ✔

Certificat SECSuisse Edupool.ch Veb.ch-Swisco.ch de comptable spécialisé ✔ ✔ ✔ ✔ ✔ ✔

Cours de fiscalité pour généraliste ✔

Comptabilité et finance pour manager ✔ ✔

Notions générales de TQG ✔ ✔ ✔ ✔

VENTE ET MARKETING

Brevet fédéral de technicien de vente ✔

Diplôme professionnel de force de vente ✔

Le marketing pour manager ✔ ✔

Généraliste en marketing et communication - MARKOM ✔ ✔

Les spécialistes romands de la formationprofessionnelle commerciale supérieure

SEC LausanneRue Centrale 6Case postle 74761002 LausanneTél. 021 312 93 [email protected]

SEC Chaux-de-Fonds • NeuchâtelRue Neuve 162300 La Chaux-de-FondsTél. 032 968 56 [email protected]

SEC FribourgCase postale 14161701 FribourgTél. 026 321 29 [email protected]

SEC JuraRue du 23 Juin2900 PorrentruyTél. 032 465 81 [email protected]

SEC GenèveCase postale 3301211 Genève 4Tél. 022 328 06 [email protected]

SEC SionPlace de la Gare 2case postale 12501951 SionTél. - FAX : 027 203 55 65 [email protected]

Plus d’infos sur:www.secformation.ch

Comptant quelque 55000 adhérents, la Société suisse des employés de commerce est la plus importante association de défense des intérêts des employés de bureau et de la vente. Elle s’engage en faveur de conditions de travail équitables, pour la formation et le perfectionnement et apporte son appui à ses membres pour tout ce qui touche à leur profession et à leur carrière.

Conseils juridiques gratuitsAvez-vous une question au sujet de votre certificat de travail? Cherchez-vous un éclaircissement en ce qui concerne votre délai de congé? La SEC Suisse dispose de juristes compétents qui offrent d’aider ses membres de manière discrète et gratuitement. La cotisation englobe une protection juridique. Vous trouverez des informations complémentaires dans le règlement de l’association.

Des conseils et des informations sur votre professionVotre salaire est-il adapté à votre travail et à vos compétences? Changer d’emploi vous ferait-il avancer? Les conseillers de la SEC Suisse vous aideront à mieux connaître votre environnement professionnel. Si vous avez des questions au sujet de votre profes-sion ou carrière, ils vous conseillent de manière objective et compétente.

PerfectionnementRessources humaines, comptabilité, langues: l’éventail des possibilités de perfectionnement est large. La SEC Suisse vous aide à sélectionner la filière de perfectionnement qui vous convient. Et ne perdez jamais de vue le plus important: en tant que membre, vous bénéficiez de rabais substantiels auprès de certains centres de formation!

Vous avez trois bonnes raisons d’adhérer à la SEC Suisse

Je désire progresser dans ma profession et adhérer à la SEC Suisse:

Madame Monsieur

*Prénom/Nom :

*Rue/n°: *NPA/localité:

Tél. (durant la journée): Tél. privé:

Adresse e-mail: *Date de naissance:

Fonction: Employeur/lieu:

Pour les apprentis: Profession:

Date de fin d’apprentissage: Ecole/localité:

Section désirée:

*Lieu/Date: *Signature:

*Mention obligatoire

A renvoyer à: SEC Suisse, Rue St-Honoré 3, case postale 3072, 2001 NeuchâtelLes adhésions peuvent aussi être transmises par Internet à l’adresse: www.secsuisse.ch

123

creativ collection

Comptant quelque 55000 adhérents, la Société suisse des employés de commerce est la plus importante association de défense des intérêts des employés de bureau et de la vente. Elle s’engage en faveur de conditions de travail équitables, pour la formation et le perfectionnement et apporte son appui à ses membres pour tout ce qui touche à leur profession et à leur carrière.

Conseils juridiques gratuitsAvez-vous une question au sujet de votre certi cat de travail? Cherchez-vous un éclaircissement en ce qui concerne votre délai de congé? La SEC Suisse dispose de juristes compétents qui offrent d’aider ses membres de manière discrète et gratuitement. La cotisa-tion englobe une protection juridique. Vous trouverez des informations complémentaires dans le règlement de l’association.

Des conseils et des informations sur votre professionVotre salaire est-il adapté à votre travail et à vos compétences? Changer d’emploi vous ferait-il avancer? Les conseillers de la SEC Suisse vous aideront à mieux connaître votre environnement professionnel. Si vous avez des questions au sujet de votre profession ou carrière, ils vous conseillent de manière objective et compétente.

PerfectionnementRessources humaines, comptabilité, langues: l’éventail des possibilités de perfectionnement est large. La SEC Suisse vous aide à sélectionner la lière de perfectionnement qui vous convient. Et ne perdez jamais de vue le plus important: en tant que membre, vous béné ciez de rabais substantiels auprès de certains centres de formation!

Vous avez trois bonnes raisons d’adhérer à la SEC Suisse

Je désire progresser dans ma profession et adhérer à la SEC Suisse:

Madame Monsieur

*Prénom/Nom :

*Rue/n°: *NPA/localité:

Tél. (durant la journée): Tél. privé:

Adresse e-mail: *Date de naissance:

Fonction: Employeur/lieu:

Pour les apprentis: Profession:

Date de n d’apprentissage: Ecole/localité:

Section désirée:

*Lieu/Date: *Signature:

*Mention obligatoire

A renvoyer à: SEC Suisse, Rue St-Honoré 3, case postale 3072, 2001 NeuchâtelLes adhésions peuvent aussi être transmises par Internet à l’adresse: www.secsuisse.ch

123

creativ collection