plébiscite allemand ? S CIALISTE Et les communistes...

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ANNEE. N. 11.549 ABONNEMENTS I le MI. 22 te. s mal. 43 fr., I am, 82 ht LES " MEMOIRES " DE M. PALEOLOGUE LES ACCUSATIONS de l'homme de la guerre > le récit du Conseil des gnoment puisé à très pogne sou,. ministres du 0 juin, je me ce 3, Boumer l'attaquera sur l'offre, suis littéralement conformé de l'alliance anglaise nous. au texte de M. Paléologue, avons vu ce qu'était cette préf.- Tele sur-le-champ, d'après la dus offre et concluera à son, relation toute fraiche de son a pa- rejet. Il ajoute en propres termes trou e. Je ne sais si Booster a Bouvier a reçu dernièrement un: .mme Delea.é, des Onfi- émissaire de Butant qui lui a dit,. {dents ou des confidences. Son Pa- si cette alliance est conclue, l'AI-I léologue, je veux dire le coslabo- Mmeoe déclarera immédiatement: gator intime pour qui il ne gar- ta guerre d /a France. Cet émis-, fiait pas de secrets, était, si je ne suies dont j'ignore le nom est un 1 {m'abuse, M. Moreau, le même qui financier dument accrédité par gouvernait la Banque de France il Bulot, n Une heure plus tard, ce: y a quelques mois encore. Peut- nom inconnu lui était révélé et il' Mc, le témoignage de M. Moreau déclarait b M. Paléologue « Je gara-t-il quelque jour rendu Pu- viens d'apprendre le nom de ed Iblic. J'indique d'autre part, pour important baissai/a qui a notifié, rien laisser volontairement dans au chef du gouvernement français' l'ombre, qu'au lendemain de la les ordres de l'Allemagne. Il s'ap-: euerre h la suite d'apologies du pelle Isaac Rite Léon. C'est tint cabinet Rouvier-Delcassé, doux sale petit courtier juif qui bro.I personnes ont recueilli et livré mode je ne sais quoi dans les cotH leurs souvenirs. C'étaient MM. eau- lisses de la Bourse. Ah M. le; ion Thomson et Cloaumié. Je ne comte de Bulots, a bien choisi puis pas en état matériel de retrou- bosmdeur extraordinaire qu'il de-I yer leurs dépositions dans les col- sait accréditer auprès de M. Bon-I lotions de journaux de l'époque. vie, e, th ne crois pas me tromper, ce- Bouvier était tout à l'heure un: pendant, en affirmant qu'elles cor- traître, le voici donc maintenant, jeeberon{ ana seulement mou récit mil reçoit et exécute les ordres de, des événements, mais les ré- l'Allemagne transmis Dieu sait ruions essentielles qui Paccom- par quel émissaire. Mais nous al- pagnent. { MUS trouver mieux encore. Au, Ce ee:{{ n'est eee, mec cours de la séancy du 0 mars, du-. Nain. de cette rencontre histori- mnt le dialogue tragique, Delcassé, flue où Bouvier avait rompu son a donné pour suprême argumentl grand dessein, lui avait arraché la soiddisant offre anglaise. L'AH 2a proie, DelcasZé ne pouvait nt lernagne la connaît, lui a répondu: Contenir sa fureur d{{e{e{ Bouvier, « Alors, dit Delcassé à: haine. Depuis des semaines M. Paléologue, je Pal interrompu., pa d'ailleurs, depuis qu'if Se,ait. Comment l'Allemagne a-t-elle pu' [Bouvier résolu d'exercer sur lui 'moètEm oos offre aossi secrète ? , Car, Londres, il n'y a que trois ton cor.. son autorité légitime, o. se repende, eue te, en p,p 0, personnes att COUrant, le Roi, Bal-, Pn aecusations presque inconee- tnn" sl Lnnsi'dmos. dei le n'en ai' qu'il M. le Présidera Id la. >ables que l'intimité de sa con- pnTlé usons pour M. Paléologue n'excu- liépubl.,ique et el vous-méme... Il a i fait en aucune manière. On s'éton- 'nue, neynnne nol, bien ma Pen- ne même, je dois le dire qu'abo iuchemés " Nous /a devinons sans peine, h. les avoir recueillis de Ei notre tour. DeleasSe accuse nnu- id. Delcassé, M. Paléologue n'ait vice d'avoir livré à l'Allerno. le. pas craint de les reproduire su-. . gOnrd'hui. Il faut bien que je les On-tn Pm..., le Plus grgye deSi secrets d'Etn ne s'agit plus de peproduise à mon tour pour Pédi trahison toute simple, en grossis-. lfication nos canutrades, q.ue j sant le sens du terme dans un Et" °Umm"' Pan ° °nie' n ''. écart de conversatio L'imputa-, des L'im I Pot que de nolve teloPl eimnm lion de haute-trahison est formeullechefs de gouvernement et leurs collaborateurs s'expriment parfois,sur leur compte réciproque, pvec une amitié presque aussi tou- chante. Le 28 avril, Delcassé rompant t« un silence farouche » profère d'une voix stridente, nia- ftaulssnyooe avez lu . hier la Ieonversation de M. Bouvier . avec Tantbassader d'Allemagne? !kin: attelle monstruosité, quelle in fa- Onie 1 Cet homme vendrait la France pour tin coup de boueur! Et. Paléologue transcrit tranquille- {ment ce propos infâme et mons- ltrueux, d'autant plus monstrueux, Mue si l'on se reporte à la page {précédente an y trouve sous la Mate du 27 avril l'analyse du té- Ségremme adressé au chancelier Llulom par l'ambassadeur d'Al- lemagne h Paris pour relater sa {conversation avec Bouvier et que M'aprèu ce déchiffrement, Bouvier temait borna is donner des osso- ronces formelles de paix et à sug- gérer une négociation directe -de Cabinet sur la question marocaine. C'est ce que Delcassé appelait ven- dre la France pour un coup de Bourse. Voyons d'ailleurs ce que cette mémo conversation avec l'ambassadeur d'Allemagne, pria- e devient quelques jours plus tard, le D mai l Le traiter qui a osé dire à l'ambassadeur d'Aile- Imagne o « Je me lm de l'Alsace ;el de la Lorraine m Ah 1 les Bour- ses de Francfort el de Berlin doi- acul Etre contentes de lie Le 22 mai, Delcassé dit h M. Pa- léologue : a Vous n'imaginez pas l'odieuo et perfide campagne que te Président du Conseil mène con- tre moi da. le Parlement. Il va Me groupe en groupe, me dénia- tant comme un maniaque du pa- jtriotisnie, un germanophobe hal- duciné qui a perdis Mut contrôle Pu Se raison et qui Mène le pays un catastrophes. Naturellement Clemenceau le soutient à fond. {Ah I que tout cela est ignoble. Clemenceau arrive à point nom- thé, on en conviendra, et nous ver- rons comment va fairo ce pauvre Boa« pour se prononcer entre ses ideux idoles. Mais roui le bouquet. Vous sommes le 5 juin la veille Me la séance historique où le Con- frit des ministres dut opter entre [Bouvier et De/eassé, entre la paix lOuerre. cass à. Delé expose M. pujejegee ,e /es famcilr) qui vont gonclum au matais du championnat d'Europe om eit:il « cr«i,o; upu.;`t °v lOit if pille a4". 'Me-4 Lire en. Page 4 : LA DOCTRINE FISCALE SOCIALISTE. ' ges. page t :LE PROBLEME CATALAN EN ESPAGNE. L'EGOISME DE 01,4$ SE DE LA BOURGEOISIE Li_AluE. S CIALISTE Rédaction pf Administrait« s 78. Rue Requelnine. TOULOUSE Tél. 0-43 o. C. C. Postaux e 3277 BUREAUX A PARIS t 5, Rite St-Ananastin Téléphones t Gstembeed 78.33 61.22s I mvre 47.26 011.1111 En hauts un ouvrier Neira d ta tete est conduit par use infirmiers dans une rhumeries en bas maison après l'accident. sa"...gaexi uvres de Jaurès La Zébrais. Pouutrire informe les mi- litants ou'elle tient leur ...Plan Pi premier volume des CEisusee de Jaurès r Pour la paix LES ALLIANOLE EUROPEENNER au sr, 50 fr. et 5S fr. 50 franco no '"JeÎeent s pur disposition prémse. Nous I exammerons avec. Les problèmes de la paix plus de sang-froid que nom-, de Lem m. me . la guerre à qui l'on venait. mure arelfeileelûter,J:eiree-à. d'arracher sa proie. 701-05. LEON BLUM CatenemsurmyrwitiineroleArMArenrimeuvr.iney..0731 L'écroulement de la rue Moulletard Irrirée d'un lot d'animaux an Jardin des Plantes Le Muséum et'Hiesoire mature:D a seer hier matin, an tot tort Important as Mmes et outres animons de toutes sortes, parmi tespeets des eues Mmene d'espêces fort rares. On unit, ici, te aiburgueme d'un orang. ,,,sen, g se sent pue dr Vomie désire en gare vacomssion pour POU, , suivre ses erptriertees. Ma. ramions-.ais Menem est prêt d lut faire des offres de service. - eoreromeireutar..irdeàràffsfArseemedourenitior.e..ouzimour»rs.1 Les rameurs du championnat d'Europe d'aviron à l'Hôtel de Ville Misère et prospérité M'André Tardieu n'a pas repris, edevant le Comice agricons de HautesSavole. l'hymne a la yroducticy, dont d faisait récemment en- core le leitmotiv de ses discours, il res pas davantage parlé de la pros. pésité, qu'il annonçait comme certane el qui allait surgir du moins le lais- saitsil entendre des portefeuilles mi. nistériels les plus divers que les hasards des combinaisons lui glissent sous les ugtelles. On a produit beaucoup, en France el dans le monde. On a rationalisé à ou- : plus il y a eu de richesses et plus les producteurs ont connu les privations silo misère. Comprenne qui pourra l Pour comprendre. il faut siMPlemel !étudier d'un peu près b mécanisme Os- :domo. du monde moderne, 555 formes Ide propriété et ses conditions de travaiL Le capitatnne. Propriét«ire do moyens de production, perfectionne sans ,cesse son outillage el augmente sans ar- ait le volume de ses produits. Un jour vient où ces produits dé- passent la capacité humaine d'achat et 'de consommation. Ce jour est Pm,. I Le capitalisme da pus détruit ses usines et 3e3 machines. Il a arrêté le travail, et. devant les portes fermées, une armée de prolétages claque da Amis et crie fa.... Présentement, plus de vingt millions ale salariés et leurs familles, dons le monde, sont dam celle position, à la. quelle on n'aperçoit ni Moue, ni remède L. en dehors du socialisme. I M. André Tardieu, puaqu'il yeeit de ces choses et reconnaisse s'être trom- pé après la guerre, avait une belle occa- sion de se réhabiliter par une analyse des faim el par des propositions pratiques pour arrêter le el elles catastropha. C'est cela qu'on attend des homes TElat. nnseller ecenindeee .discours creux et de for- La surproduction est générale. des foules innombrables hurlent misère dans lesdf eanie uboleargs des capitales el les centres Aucune amélioration en vue. Au contra', C'est le moment pour nos illustres mi nistres de se distinguer. Les vacances parlementaires leur donnent des loisirs. L'heure est vraiment choie pour démolir une fois de plus le marxisme et démontrer que le capitalisme moderne est le dernier ai de la civlisation. enMH.enAiertdr Td se,é irli neu pene t', pus oi6 de publier prochainement une statistique. Il ne mus avait pas habitués à tant de modestie. Mais nous sommes satisfaits, car, par le tempe qui court, la statistique est terriblement révolutionnaire. PAUL FAURE LA FLOTTE AÉRIENNE DES ETATS-UNIS ON CONSTRUIT UN AEROPLANE ULTRA-RAPIDE Hertford (CannecticuOs Id {me Ou procède, en ce moment, aux essais d'un muon du type e Cor- eetes t, aomportant Certaines hiurutinot qui eu feraient /e Plat ra- pide aéroplane esmatruit Jusrlalni recar la -les e'%Is .:le:uêsefrespr v e veqrsi edset capside d'une moyenne de 170 h 175 milles u l'heure MO kilomè- tres environL il offrirait, en Mir& des garanties exerptiOnneilleS de 55a- bilit4 st de montrêles M. LN VAL ATTEND M. bitlAhD Paris, 14 août, Nous avons an- nones hier, dans un grand nombre di nos édifia., que la date du voya- ge de M. Pierre Laval et M. Briand à Berlin pourrait Ore fixé aux 21 et 27 août. Cependant, aucune déci- sion officielle n'a encore été fixee. M. Perm Laval qui Ma voulu don- ner à M. von lices,on aucune reponse définitive avant de connaître le sen- timent de M. Aristide Briand, ne prendre sa décision que daua la soi- es matin, M. Berthelot est allé conférer à ce sujet à Cochera avec le ministre des affaires étrangères. Ce sera probablement an retour du secrétaire général du Quai dorsay qu'un commaniqaé officiel relatif h ce voy4e sera remis par la prési- dence du conseil. Coonne on peut le voir, là1. P.-E. blandin, ministre des Finanoes, ne prendra pas guet à ce voyage, dont Fintérêt sera sans doute essentielle- ment politique, aucune question fi- nancière ne paraissant devoir y être abordée. Il n'est pas sans intérêt de souligner h cet épod la déclaration que M. Aristide Bri.d a faite é un correspondant dis s News Wiener Journal : Je pense, a dit le ministre des affaires étrangères, que je serai ré- tabli au moment de notre visite à Berlin. La conférence de Londres a été paur moi un labeur presque su, humain et j'ai bien sommai craint de ne pouvoir prendre part aux né- golations. Mais j'ai une idée fixe. Sans moi, cela ne marchera pas. L'oeuvre de l'entente franco-alle- mande, dont le suis un des pères spi- rituels responsables, ue sem rassise- nés à bon yod qu'avec snon con- cours. C'est pa.qu.oi je serai là, quand bien même je devrais mourir à. la table des négoiatio. 'Cette déclaration nous dit assez clairement pour quel. rvismià Pierre Laval veut connaître dams de M. Briand a.vant de fixer la date dxacte de su nvoyage. SER.A-CE EN SEPTEMBRE Nous ornons batelais pouvoir dire que M. Pierre Laval a été Saisi, dans la matinée, de la réponse de M. Aristide Briand. Dans cette commu- nion., /e iniOstre des affaires étrangères a fait ...al. au prési- dent du conseil que, bien qu'étant en meilleur etat de santé, lm méde- cins lui interdisaient formellement d'entreprend/y it l'heure actuelle un age aussi fan ant sine le del - cement de Berlin. A la suite de cet avis, nous croyons savolr que le président du conseil a Pris la décision de reparter, en sep- tembre, à l'issue de la session de Ge- nève, le voyage à Berlia. LE COMMUNIQUE Voici d'ailleurs, le communiqué officiel publié par la présidence du conseil h ce sujet On sait que M. Pierre Laval a re- çu hier la visite de M. von Hom., ambassadeur d'Allemagne qui était venu de la part de son gouverne- ment l'inviter officiellement, ai.i que M. Briand, is se rendre h Ber- lin. La date proposée pour ce voya- ge était celle des 26 et 27 août cou- rant. M. Pierre Laval, en remerciant M. von Ileesch de cette invitation et en l'acceptant, lui avait dit qu'il ne pouvait prendre de décision dé- finitive en ce nui con.rne la date, n raison de l'absence de Paris de M. Briand. Le président du conseil a reçu de nouveau cet après-midi, M. von Doesch, il lui a tait connexe que les médecins appelés h egPronelm° sur l'état de santé de M. Aristide Briand, MM, le professeur Vaquez, et le docteur Marx, tout en cons- tatant avec la plus vive satisfaction les progrès chaque jour réalisés vers le rétablissement complet du ministre des affaires étrangères, ont estimé qu'ils ne Pouvaient ao- toriser avant son départ pour Ge- nève, une interruption dans la cure de repos à la campagne qui lui a été prescrite pour la durée d'un mois et dont le bénéfice pourrait être compromis h trop bref délai Pur les fatigues d'un voyage offi- ciel è Berlin. Dans ces conditions, MM. Pierre Laval et von hicesch, constatant que la participation de M. Aristide Briand, ministre des affaires étran- gères, à ceus visite était indispen- sah/e, ont été d'accord pour que soit reporté h une date aussi rap- proches que possible de la fia la session de la Société des Nations le voyage dm ministres français h Berlin. , c'en X... te elle de votre ben. geerIE'ep.. Le mira radical. va publier sa. a Manuel du Hemel.. ss. Il était temps. Ainsi les enfants pourront l'or- Prendre par came sur la boue des écoles comme ils aPnrenaent le ealhe chitine et la grammaire, le précis d'histoire, les règles de la prosodie. Le radicalisme mis ainsi d la por- tée des mioches, c'est une trouvaille de génie. Au surplus, beaucoup de radicaux nouveave, neverguiliers d'hier, m'écu lateurs de demain, y pourront aps prendre ce Qu'ils sont devenus en adhérant au parti des Sarraut. Mais à parler franc, semblable ins. M'estive mérite louange plus que rail lexie, si toutefois nous trouvons doua le manuel tout ce que M. Albert Mi lhaud prétend dusses l'Ers Nouvel le m Qu'on y mettra, d savoir bord« les prineipas asentiele et fou damentauss de la doctrine républi soirss », ensuite se les réalisations du parti radical », enfin le Programme adi I d el i eld e emu 14. Evidenement on y verra avec plai- sir les principes essentiels de la doe Mine républicaine s Mais dams los « manuel du radicalisme ne pour. rait-on pvs glisser atessi les principe, essentiels de la doctrine radicale Cependant noas ne l'y verrons pas. Prudente lacune 1 Les radicaux et M. Milhaud, pro fesseraient-ils que républicanisme et radicalisme s'identifient et se cons fondent 1 Le manuel, le dira, j'imagine, afin d'apprendre d ses lecteurs Que, partant, le socialisme n'a rien de ré- publicain. M. Milhaud et les radicemx ses raient-ils d'aventure embarrassés, pour définir la doctrine radicale Soit parce que le rappel des prinei. pes originels des radicalisme révéle- rait trop la démettons actuelles ; suis parce qu'a vouloir définir es adicalisme d'aprésent ils dmien. riraient tous fous Quoiqu'il en mit, s'il nous faut faire votre deuil de la révélation de la substantifique moelle du radies lisnee nous aurons en revanche Pet- numération des réalisations radicales Quelque chose, me fait croire que cette liste sera curieuse. Et longue. M. Milhaud ne nous dissimule pas qu'il vo.ar.it raie srusss Té- formes votées par les Pmdemmlaives radicaux. Votes devinez dès lors que la simple énumération en style télégraplsiatm des réformes radicales ne contien- dra pas dans un volante in oemno. Eh 1 Quoi 1 nous dit N. Milhaud depuis qu'il y a des miniserre radis raue, rues fait de l'ouvrage. Et de nous rappeler Bourgeois, Herriot et mime Caillaux. Tout re que les radiraux n'ons faire Qu'avec 1 appoint des social.: tes, eue sons Fimpulson socialiste on sa nous ee reser Gemme « réalisas tiens reireele p M. Milhaud a mente envie d'y comprendre la demerere loi réglant produegioss s'indigne Les nati4nalistes sont embêtés du plébiscite allemand ? Et les communistes donc? LA PLUS JOLIE FILLE D'EUROPE Ileddy miester, end sit à Vienne, est, d'oprês /es Comm.', en béasane femMine, la phis moue mens fore d'Emme. Découverte par Reirarard, urne soAson. Oust une artiste Pétée. Elle n'a ove 17 ans et rd avec ses Poo.. n'a Jeme Imams s'est déjd suicidé pour este. Mile EMMY Kleeron ira am m.. MM part d aucun maronne de beauté et ne désire pas quitter Vienne, naurhnré im invitations out tut sant latta Ste cou.es et d'Amé. Moue. Ici, un récent portrait de Mlle Heddy g-tester. On conviendra que c'est une tee Pesa.« Men latte Ir cap .no.ner a. têtes... . LE MANUEL DU RADICALISME »Or one noue camarade Rmandel, la Qualifie de « loi socialiste n 1 ;mis comme l'observe M. 3.1U.. ..tai il ne s'apis pas du pa.é ; si s'aps1 de desman. Que comptent Imre les radie lus crei 1 Je Memel tous apprendra at, fi-rosent MM Milliasse et Janin, Scienzedt qui en eat le rédacteur, principal. Fort ben, doges persuadés OU cette dernière partie sens ; et eus neas l'attendons impurM. Milhaud ne nene te.`ni-uan, aucune clarté à ce sujet, je ne puis préjuger de rien s mais je puis certifier que si un exemplaire de ce manuel nie tombe sous la main, je ne le mettrai pou dédaigneusement au panier ;e5 que j'en ferai la réclame c'est-à-dire l'analyse per nos lecteurs. Léon HUBEI:LE. LE MOUVEMENT INSURRECTIONNEL A CUVA m agamie suautiAtto présent de la Ramadier. de. Cabs, 5n n eghteppt1 4 Musteurs ,alterstota. Pas de crédits pour les sinistrés de Toulon Tosion, ls août. Notre camarade Reneudel avale demandé eu ministère Os la merMe marsala50e de venir sa aide uva sinistrée de la tornade de dls manche matin. M. de Chaupolelaine a répondu que eau département eane dispose dan.. crédit pour les rwatione et. dommes Hes matériels eurvenue a la sate de temPete. a signalé que le min.tre de rin Sérieun obtient n la fin de chaque en- tée l'ouverture de erécnta destinés â la, reooneitat.n des eaulteux der.nu par ealainiUsi publique, Il espère don alio par ees crédits, des Bamum cons- rusa Itre accordée Der le Geusernemedb, acres euquete de l'administra.. MI 12222 priw Yaas. 25 CEN't SAMEDI 15 XOUT Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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ANNEE. N. 11.549

ABONNEMENTS I

le MI. 22 te. s mal. 43 fr., I am, 82 ht

LES " MEMOIRES " DE M. PALEOLOGUE

LES ACCUSATIONSde l'homme de la guerre

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le récit du Conseil des gnoment puisé à très pogne sou,.ministres du 0 juin, je me ce 3, Boumer l'attaquera sur l'offre,suis littéralement conformé de l'alliance anglaise nous.au texte de M. Paléologue, avons vu ce qu'était cette préf.-

Tele sur-le-champ, d'après la dus offre et concluera à son,relation toute fraiche de son a pa- rejet. Il ajoute en propres termestrou e. Je ne sais si Booster a Bouvier a reçu dernièrement un:

.mme Delea.é, des Onfi- émissaire de Butant qui lui a dit,.{dents ou des confidences. Son Pa- si cette alliance est conclue, l'AI-Iléologue, je veux dire le coslabo- Mmeoe déclarera immédiatement:gator intime pour qui il ne gar- ta guerre d /a France. Cet émis-,fiait pas de secrets, était, si je ne suies dont j'ignore le nom est un 1

{m'abuse, M. Moreau, le même qui financier dument accrédité pargouvernait la Banque de France il Bulot, n Une heure plus tard, ce:y a quelques mois encore. Peut- nom inconnu lui était révélé et il'Mc, le témoignage de M. Moreau déclarait b M. Paléologue « Jegara-t-il quelque jour rendu Pu- viens d'apprendre le nom de edIblic. J'indique d'autre part, pour important baissai/a qui a notifié,

rien laisser volontairement dans au chef du gouvernement français'l'ombre, qu'au lendemain de la les ordres de l'Allemagne. Il s'ap-:euerre h la suite d'apologies du pelle Isaac Rite Léon. C'est tintcabinet Rouvier-Delcassé, doux sale petit courtier juif qui bro.Ipersonnes ont recueilli et livré mode je ne sais quoi dans les cotHleurs souvenirs. C'étaient MM. eau- lisses de la Bourse. Ah M. le;ion Thomson et Cloaumié. Je ne comte de Bulots, a bien choisipuis pas en état matériel de retrou- bosmdeur extraordinaire qu'il de-Iyer leurs dépositions dans les col- sait accréditer auprès de M. Bon-Ilotions de journaux de l'époque. vie, e,th ne crois pas me tromper, ce- Bouvier était tout à l'heure un:pendant, en affirmant qu'elles cor- traître, le voici donc maintenant,jeeberon{ ana seulement mou récit mil reçoit et exécute les ordres de,des événements, mais les ré- l'Allemagne transmis Dieu saitruions essentielles qui Paccom- par quel émissaire. Mais nous al-pagnent.

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MUS trouver mieux encore. Au,Ce ee:{{ n'est eee, mec cours de la séancy du 0 mars, du-.

Nain. de cette rencontre histori- mnt le dialogue tragique, Delcassé,flue où Bouvier avait rompu son a donné pour suprême argumentlgrand dessein, lui avait arraché la soiddisant offre anglaise. L'AH2a proie, DelcasZé ne pouvait nt lernagne la connaît, lui a répondu:Contenir sa fureur d{{e{e{ Bouvier, « Alors, dit Delcassé à:

haine. Depuis des semaines M. Paléologue, je Pal interrompu.,pad'ailleurs, depuis qu'if Se,ait. Comment l'Allemagne a-t-elle pu'[Bouvier résolu d'exercer sur lui 'moètEm oos offre aossi secrète ? ,

Car, Londres, il n'y a que troiston cor.. son autorité légitime,o. se repende, eue te, en p,p 0, personnes att COUrant, le Roi, Bal-,

Pn aecusations presque inconee- tnn" sl Lnnsi'dmos. dei le n'en ai'qu'il M. le Présidera Id la.>ables que l'intimité de sa con- pnTlé

usons pour M. Paléologue n'excu- liépubl.,ique et el vous-méme... Il ai

fait en aucune manière. On s'éton- 'nue, neynnne nol, bien ma Pen-ne même, je dois le dire qu'abo iuchemés "Nous /a devinons sans peine, h.les avoir recueillis de Ei notre tour. DeleasSe accuse nnu-id. Delcassé, M. Paléologue n'ait vice d'avoir livré à l'Allerno. le.pas craint de les reproduire su-. .gOnrd'hui. Il faut bien que je les On-tn Pm..., le Plus grgye deSi

secrets d'Etn ne s'agit plus depeproduise à mon tour pour Pédi trahison toute simple, en grossis-.lfication nos canutrades, q.ue j sant le sens du terme dans

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L'im I

Pot que de nolve teloPl eimnm lion de haute-trahison est formeullechefsde gouvernement et

leurs collaborateurs s'exprimentparfois,sur leur compte réciproque,pvec une amitié presque aussi tou-chante.

Le 28 avril, Delcassé rompantt« un silence farouche » profère

d'une voix stridente, nia-ftaulssnyooe avez lu . hier laIeonversation de M. Bouvier . avecTantbassader d'Allemagne? !kin:attelle monstruosité, quelle in fa-Onie 1 Cet homme vendrait laFrance pour tin coup de boueur!Et. Paléologue transcrit tranquille-{ment ce propos infâme et mons-ltrueux, d'autant plus monstrueux,Mue si l'on se reporte à la page{précédente an y trouve sous laMate du 27 avril l'analyse du té-Ségremme adressé au chancelierLlulom par l'ambassadeur d'Al-lemagne h Paris pour relater sa{conversation avec Bouvier et queM'aprèu ce déchiffrement, Bouviertemait borna is donner des osso-ronces formelles de paix et à sug-gérer une négociation directe -deCabinet sur la question marocaine.C'est ce que Delcassé appelait ven-dre la France pour un coup deBourse. Voyons d'ailleurs ce quecette mémo conversation avecl'ambassadeur d'Allemagne, pria-

e devient quelques joursplus tard, le D mai l Le traiter quia osé dire à l'ambassadeur d'Aile-Imagne o « Je me lm de l'Alsace;el de la Lorraine m Ah 1 les Bour-ses de Francfort el de Berlin doi-acul Etre contentes de lie

Le 22 mai, Delcassé dit h M. Pa-léologue : a Vous n'imaginez pasl'odieuo et perfide campagne quete Président du Conseil mène con-tre moi da. le Parlement. Il vaMe groupe en groupe, me dénia-tant comme un maniaque du pa-jtriotisnie, un germanophobe hal-duciné qui a perdis Mut contrôlePu Se raison et qui Mène le pays

un catastrophes. NaturellementClemenceau le soutient à fond.{Ah I que tout cela est ignoble.Clemenceau arrive à point nom-thé, on en conviendra, et nous ver-rons comment va fairo ce pauvreBoa« pour se prononcer entre sesideux idoles. Mais roui le bouquet.Vous sommes le 5 juin la veilleMe la séance historique où le Con-frit des ministres dut opter entre[Bouvier et De/eassé, entre la paix

lOuerre. cass à.Delé expose M.pujejegee ,e /es famcilr) qui vont gonclum au matais du championnat d'Europe om

eit:il « cr«i,o; upu.;`t °vlOit

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Lire en. Page 4 : LA DOCTRINE FISCALE SOCIALISTE.' ges. page t :LE PROBLEME CATALAN EN ESPAGNE.

L'EGOISME DE 01,4$ SE DE LA BOURGEOISIE Li_AluE.

S CIALISTERédaction pf Administrait« s 78. Rue Requelnine. TOULOUSE Tél. 0-43 o. C. C. Postaux e 3277BUREAUX A PARIS t 5, Rite St-Ananastin Téléphones t Gstembeed 78.33 61.22s I mvre 47.26

011.1111En hauts un ouvrier Neira d ta teteest conduit par use infirmiers dansune rhumeries en bas maison

après l'accident.sa"...gaexi

uvres de JaurèsLa Zébrais. Pouutrire informe les mi-

litants ou'elle tient leur ...Plan Pipremier volume des CEisusee de Jaurès r

Pour la paixLES ALLIANOLE EUROPEENNER

au sr, 50 fr. et 5S fr. 50 franco no'"JeÎeent s pur disposition

prémse. Nous I exammerons avec. Les problèmes de la paixplus de sang-froid que nom-, de Lem m.me . la guerre à qui l'on venait. mure arelfeileelûter,J:eiree-à.d'arracher sa proie. 701-05.LEON BLUM

CatenemsurmyrwitiineroleArMArenrimeuvr.iney..0731

L'écroulement de la rue Moulletard

Irrirée d'un lot d'animaux

an Jardin des Plantes

Le Muséum et'Hiesoire mature:D a seer hier matin, an tot tort Importantas Mmes et outres animons de toutes sortes, parmi tespeets des euesMmene d'espêces fort rares. On unit, ici, te aiburgueme d'un orang.,,,sen, g se sent pue dr Vomie désire en gare vacomssion pour POU, ,suivre ses erptriertees. Ma. ramions-.ais Menem est prêt d lut faire

des offres de service. -

eoreromeireutar..irdeàràffsfArseemedourenitior.e..ouzimour»rs.1

Les rameurs du championnat d'Europed'aviron à l'Hôtel de Ville

Misère

et prospérité

M'AndréTardieu n'a pas repris,

edevant le Comice agricons de

HautesSavole. l'hymne a layroducticy, dont d faisait récemment en-core le leitmotiv de ses discours,

il res pas davantage parlé de la pros.pésité, qu'il annonçait comme certane elqui allait surgir du moins le lais-saitsil entendre des portefeuilles mi.nistériels les plus divers que les hasardsdes combinaisons lui glissent sous lesugtelles.

On a produit beaucoup, en Franceel dans le monde. On a rationalisé à ou-

: plus il y a eu de richesseset plus les producteurs ont connu lesprivations silo misère.

Comprenne qui pourral Pour comprendre. il faut siMPlemel!étudier d'un peu près b mécanisme Os-:domo. du monde moderne, 555 formesIde propriété et ses conditions de travaiLF Le capitatnne. Propriét«ire domoyens de production, perfectionne sans,cesse son outillage el augmente sans ar-ait le volume de ses produits.

Un jour vient où ces produits dé-passent la capacité humaine d'achat et'de consommation. Ce jour est Pm,.I Le capitalisme da pus détruit ses

usines et 3e3 machines. Il a arrêté letravail, et. devant les portes fermées,une armée de prolétages claque daAmis et crie fa....

Présentement, plus de vingt millionsale salariés et leurs familles, dons lemonde, sont dam celle position, à la.quelle on n'aperçoit ni Moue, ni remèdeL. en dehors du socialisme.

I M. André Tardieu, puaqu'il yeeitde ces choses et reconnaisse s'être trom-pé après la guerre, avait une belle occa-sion de se réhabiliter par une analysedes faim el par des propositions pratiquespour arrêter le el elles catastropha.

C'est cela qu'on attend des homesTElat.nnseller ecenindeee .discours creux et de for-

La surproduction est générale. des

foules innombrables hurlent misère danslesdf eanieuboleargs des capitales el les centres

Aucune amélioration en vue. Aucontra',

C'est le moment pour nos illustres ministres de se distinguer. Les vacancesparlementaires leur donnent des loisirs.

L'heure est vraiment choie pourdémolir une fois de plus le marxismeet démontrer que le capitalisme moderneest le dernier ai de la civlisation.enMH.enAiertdr Tdse,é irli neu pene t', pus oi6

de publier prochainement une statistique.Il ne mus avait pas habitués à tant demodestie.

Mais nous sommes satisfaits, car, parle tempe qui court, la statistique est

terriblement révolutionnaire.PAUL FAURE

LA FLOTTE AÉRIENNE

DES ETATS-UNIS

ON CONSTRUIT UN AEROPLANEULTRA-RAPIDE

Hertford (CannecticuOs Id {meOu procède, en ce moment, aux

essais d'un muon du type e Cor-eetes t, aomportant Certaineshiurutinot qui eu feraient /e Plat ra-pide aéroplane esmatruit Jusrlalni

recarla

-les

e'%Is .:le:uêsefrespr ve veqrsiedset capside d'une moyenne de 170h 175 milles u l'heure MO kilomè-tres environL il offrirait, en Mir&des garanties exerptiOnneilleS de 55a-bilit4 st de montrêles

M. LN VAL ATTEND

M. bitlAhDParis, 14 août, Nous avons an-

nones hier, dans un grand nombredi nos édifia., que la date du voya-ge de M. Pierre Laval et M. Briandà Berlin pourrait Ore fixé aux 21et 27 août. Cependant, aucune déci-sion officielle n'a encore été fixee.

M. Perm Laval qui Ma voulu don-ner à M. von lices,on aucune reponsedéfinitive avant de connaître le sen-timent de M. Aristide Briand, neprendre sa décision que daua la soi-

es matin, M. Berthelot est alléconférer à ce sujet à Cochera avecle ministre des affaires étrangères.Ce sera probablement an retour dusecrétaire général du Quai dorsayqu'un commaniqaé officiel relatif hce voy4e sera remis par la prési-dence du conseil.

Coonne on peut le voir, là1. P.-E.blandin, ministre des Finanoes, neprendra pas guet à ce voyage, dontFintérêt sera sans doute essentielle-ment politique, aucune question fi-nancière ne paraissant devoir y êtreabordée. Il n'est pas sans intérêt desouligner h cet épod la déclarationque M. Aristide Bri.d a faite é uncorrespondant dis s News WienerJournal :

Je pense, a dit le ministre desaffaires étrangères, que je serai ré-tabli au moment de notre visite àBerlin. La conférence de Londres aété paur moi un labeur presque su,humain et j'ai bien sommai craintde ne pouvoir prendre part aux né-golations. Mais j'ai une idée fixe.Sans moi, cela ne marchera pas.L'oeuvre de l'entente franco-alle-mande, dont le suis un des pères spi-rituels responsables, ue sem rassise-nés à bon yod qu'avec snon con-cours. C'est pa.qu.oi je serai là,quand bien même je devrais mourirà. la table des négoiatio.

'Cette déclaration nous dit assezclairement pour quel. rvismiàPierre Laval veut connaître dams deM. Briand a.vant de fixer la datedxacte de su nvoyage.

SER.A-CE EN SEPTEMBRENous ornons batelais pouvoir

dire que M. Pierre Laval a été Saisi,dans la matinée, de la réponse de M.Aristide Briand. Dans cette commu-nion., /e iniOstre des affairesétrangères a fait ...al. au prési-dent du conseil que, bien qu'étanten meilleur etat de santé, lm méde-cins lui interdisaient formellementd'entreprend/y it l'heure actuelle un

age aussi fan ant sine le del -cement de Berlin.

A la suite de cet avis, nous croyonssavolr que le président du conseil aPris la décision de

reparter,en sep-

tembre, à l'issue de la session de Ge-nève, le voyage à Berlia.

LE COMMUNIQUEVoici d'ailleurs, le communiqué

officiel publié par la présidence duconseil h ce sujet

On sait que M. Pierre Laval a re-çu hier la visite de M. von Hom.,ambassadeur d'Allemagne qui étaitvenu de la part de son gouverne-ment l'inviter officiellement, ai.ique M. Briand, is se rendre h Ber-lin. La date proposée pour ce voya-ge était celle des 26 et 27 août cou-rant. M. Pierre Laval, en remerciantM. von Ileesch de cette invitationet en l'acceptant, lui avait dit qu'ilne pouvait prendre de décision dé-finitive en ce nui con.rne la date,n raison de l'absence de Paris de

M. Briand.Le président du conseil a reçu

de nouveau cet après-midi, M. vonDoesch, il lui a tait connexe queles médecins appelés h egPronelm°sur l'état de santé de M. AristideBriand, MM, le professeur Vaquez,et le docteur Marx, tout en cons-tatant avec la plus vive satisfactionles progrès chaque jour réalisésvers le rétablissement complet duministre des affaires étrangères,ont estimé qu'ils ne Pouvaient ao-toriser avant son départ pour Ge-nève, une interruption dans la curede repos à la campagne qui lui aété prescrite pour la durée d'unmois et dont le bénéfice pourraitêtre compromis h trop bref délaiPur les fatigues d'un voyage offi-ciel è Berlin.

Dans ces conditions, MM. PierreLaval et von hicesch, constatantque la participation de M. AristideBriand, ministre des affaires étran-gères, à ceus visite était indispen-sah/e, ont été d'accord pour quesoit reporté h une date aussi rap-proches que possible de la fiala session de la Société des Nationsle voyage dm ministres français hBerlin.

,

c'en X... te elle de votre ben.

geerIE'ep..

Le mira radical. va publier sa.a Manuel du Hemel.. ss.

Il était temps.Ainsi les enfants pourront l'or-

Prendre par came sur la boue desécoles comme ils aPnrenaent le ealhechitine et la grammaire, le précisd'histoire, les règles de la prosodie.

Le radicalisme mis ainsi d la por-tée des mioches, c'est une trouvaillede génie.

Au surplus, beaucoup de radicauxnouveave, neverguiliers d'hier, m'éculateurs de demain, y pourront apsprendre ce Qu'ils sont devenus enadhérant au parti des Sarraut.

Mais à parler franc, semblable ins.M'estive mérite louange plus que raillexie, si toutefois nous trouvons douale manuel tout ce que M. Albert Milhaud prétend dusses l'Ers Nouvelle m Qu'on y mettra, d savoirbord« les prineipas asentiele et foudamentauss de la doctrine républisoirss », ensuite se les réalisations duparti radical », enfin le Programmeadi I d el ield e emu 14.

Evidenement on y verra avec plai-sir les principes essentiels de la doeMine républicaine s Mais dams los« manuel du radicalisme ne pour.rait-on pvs glisser atessi les principe,essentiels de la doctrine radicale

Cependant noas ne l'y verrons pas.Prudente lacune 1Les radicaux et M. Milhaud, pro

fesseraient-ils que républicanisme etradicalisme s'identifient et se consfondent 1

Le manuel, le dira, j'imagine,afin d'apprendre d ses lecteurs Que,partant, le socialisme n'a rien de ré-publicain.

M. Milhaud et les radicemx sesraient-ils d'aventure embarrassés,pour définir la doctrine radicaleSoit parce que le rappel des prinei.pes originels des radicalisme révéle-rait trop la démettons actuelles ;suis parce qu'a vouloir définires adicalisme d'aprésent ils dmien.riraient tous fous

Quoiqu'il en mit, s'il nous fautfaire votre deuil de la révélation dela substantifique moelle du radieslisnee nous aurons en revanche Pet-

numération des réalisations radicalesQuelque chose, me fait croire que

cette liste sera curieuse.Et longue.M. Milhaud ne nous dissimule pas

qu'il vo.ar.it raie srusss Té-formes votées par les Pmdemmlaivesradicaux.

Votes devinez dès lors que la simpleénumération en style télégraplsiatmdes réformes radicales ne contien-dra pas dans un volante in oemno.

Eh 1 Quoi 1 nous dit N. Milhauddepuis qu'il y a des miniserre radisraue, rues fait de l'ouvrage. Etde nous rappeler Bourgeois,Herriot et mime Caillaux.

Tout re que les radiraux n'onsfaire Qu'avec 1 appoint des social.:tes, eue sons Fimpulson socialisteon sa nous ee reser Gemme « réalisastiens reireele p

M. Milhaud a mente envie d'ycomprendre la demerere loi réglant

produegioss s'indigne

Les nati4nalistes sont embêtés duplébiscite allemand ?

Et les communistes donc?

LA PLUS JOLIE FILLE D'EUROPE

Ileddy miester, end sit à Vienne, est, d'oprês /es Comm.', en béasanefemMine, la phis moue mens fore d'Emme. Découverte par Reirarard, urnesoAson. Oust une artiste Pétée. Elle n'a ove 17 ans et rd avec ses Poo..n'a Jeme Imams s'est déjd suicidé pour este. Mile EMMY Kleeron ira amm.. MM part d aucun maronne de beauté et ne désire pas quitterVienne, naurhnré im invitations out tut sant latta Ste cou.es et d'Amé.Moue. Ici, un récent portrait de Mlle Heddy g-tester. On conviendra que

c'est une tee Pesa.« Men latte Ir cap .no.ner a. têtes... .

LE MANUEL DU RADICALISME»Or

one noue camarade Rmandel, laQualifie de « loi socialiste n 1

;mis comme l'observe M. 3.1U....taiil ne s'apis pas du pa.é ; si s'aps1de desman.

Que comptent Imre les radie luscrei 1

Je Memel tous apprendra at,fi-rosent MM Milliasse et Janin,Scienzedt qui en eat le rédacteur,principal.

Fort ben, doges persuadés OUcette dernière partie sens

; et eus neas l'attendons

impurM.Milhaud ne nene te.`ni-uan,aucune clarté à ce sujet, je ne puispréjuger de rien s mais je puiscertifier que si un exemplaire de cemanuel nie tombe sous la main, je nele mettrai pou dédaigneusement aupanier ;e5 que j'en ferai la réclame

c'est-à-dire l'analyse per noslecteurs.

Léon HUBEI:LE.

LE MOUVEMENT INSURRECTIONNEL

A CUVA

m agamie suautiAttoprésent de la Ramadier. de. Cabs,5n n eghteppt1 4 Musteurs ,alterstota.

Pas de crédits pour les sinistrés

de Toulon

Tosion, ls août. Notre camaradeReneudel avale demandé eu ministèreOs la merMe marsala50e de venir saaide uva sinistrée de la tornade de dlsmanche matin.

M. de Chaupolelaine a répondu queeau département eane dispose dan..crédit pour les rwatione et. dommesHes matériels eurvenue a la sate detemPete.a signalé que le min.tre de rinSérieun obtient n la fin de chaque en-tée l'ouverture de erécnta destinés â la,reooneitat.n des eaulteux der.nu par

ealainiUsi publique, Il espère donalio par ees crédits, des Bamum cons-rusa Itre accordée Der le Geusernemedb,acres euquete de l'administra.. MI12222 priw Yaas.

25 CEN'tSAMEDI 15 XOUT

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Page 2: plébiscite allemand ? S CIALISTE Et les communistes donc?images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1931/B315556101_MIDSOC_1931_08_15.pdfplébiscite allemand ? S CIALISTE Et les communistes

2

Nouvelles InternationalesLA CRISE BUDGETAIRE EN ANGLETERRE

L'égoïsme de classede la bourgeoisie anglaise

Tandis que la .itraaeir.r llemandr ral.un. eau mumart nu. l'an vIt luecurrrnron sut cucactèro d'actualité gra-ve, Une autre arIse cnmmrsrce attirert'utreotrinn de l'upicinra publique. C'estenlie de l'Aug!otnrre,

Cancan en Altrorager, la cries prendle dunble ospeot financier et budgettaire. Carnier en Atieruagne Ira tranLtd rat oeil auued dent le budget et,dcc capitoua étrangers e'évadaat, aceIrémorengir affaiblit l'organisme ban.nuira, bIais l'rurulogie carat te ici, bLurent antérieur. Les cuueeu en suat'ditffrerrrna.

L o arise fioartaièro est la réparcue.alun rie ta ratnnteuplre allemande elleest ia carreéqcence diracte dueeturdgrue les grandie puiraneuru ont appueté.....etappartnttteocuro-àlamraeefleppliration d'un plan d'araiatancean'Reiclr. La urina borlgéteire sol duepeincipalomeot non dépeosna sociales.L'rrae et l'autre plongeur Irars rucine,eaiuue lerauraame duos auoff te l'Angle.terre dopait lu goeren et qui cal uggra-Dé ruer in arise murrdiale.

l'aur le momana, c'est le déficitttudgituirr qui dumine lasitantioru.tdccDonuld et Ire pniucipaua miniatranaouioct intorrompu loura nacraceapont reeutrrie' à Loadres nù lisanteiégd ru pormunacce portrirrtr 3Lur bunqons itttoroiecrrtnt poursalua d'enrrree leur pression ror legcunnrnemoar. Lu panne boarguninesi'Arrgintnrre or dra aulnes pairu pan-sùigua eue tourailliaree dut canrorlo.

li t'agis de cumbleo ou défiait qn'artfouina à au mutinas de lincea nlerling(05 mtlliards de fraere). hua cumuria.alun purinaranrairo, connue entra le nomdo la nuaooiearna Muy, cou est occu-gréa. Elle a préeo,tiaé des écuonerinepane encorne 95 mnlltuev de lrvroe (saCatll,unrls de faaane). Malt il p o fun-lIcence et éeanomiae. Narurnllenoeat,La majorird Irnurgeoire do la unounis-sinir an nais in pnreibilité ria rédorreIre dépenses que cor Ion ohapitran riasserorooces sociales es des appointe.gnaule dua fonctionnaires, en preorierLieu rIen iartitureutn. s L'écusrumioCnn tee atlmatinrre de nhômnge et d'ua.

iataacroocinle donruit donner 65 mii.iuee de livres (eaoirnn 8 milliaurlu de

fruncr). L'écc,rrornirsnoa 1m traite.Dinars nepré.eeoteeatt racers une vtog.gain, de million, dn bures (rnulrnrr.3na.aaa.nOO t'aaeru).

Les nruliruu industriola et ficuacietsQ'Angloterre not trouvé une panpoei.éinea si enuellanue, qa'ila noanmnut leonnrnnenrent travailliste dv lei sa-eepteruoo.le-chasop. trI. Montagu Nur-

au, diroctrur de Is Bauqne d'Arr.grinteere, nea'anrtte e,ynto pas de.Cour lechactage. Lui elle groupe deaprincipales l,unqurs sa dfnlnaeot pehts

saunprnr en b onutenie le prnjat fou.rte,nemental do costonution de la doueIseténirere--ne qui doit dnnnee aceé.nrrrrnariv irrnlgétuine de or b pe mil.If.nrrs ds haros - b eaodition qoo leplan du, Comiaé des économiru s suitClIn en a1tpltnahon.

occoIl y s plus. Aind quels tappnaté e

gaulle, qu'un ne peur pst elnosar par.Cal tes alétnarteaes des gruupca bar-snionnr M. Muotng u tlonaun, offirmo.ban, s s'a pas gré autrement haché deLa nénnutn alerte procaqade pur bugtrntt bsoaqnt da la liens, go'tt seuilIra muyana srrhuigaas d'ompérdre. Iles. saoula pur unlrareeet aontonrié d'aurssnue,rtls slaetesembl.sble gal, relcutari, drerul arecie d'aoaetlusrmesl à Inumr sa gaasrnererroel ri ne ppau.

Ln prorédé ara clausiqoo. Il rappelle,a'y saéprendra, l'anuiuu trio s pa.

triutupon s dan nupirahistrs et dru fi-saancinr, trouçeis au cusurs dru uenénsIsnuu.aysf. Lu poernion, lechaatngn,Doêane la déruiciurion noloarnire da laCanonne rsanivnain, tant cli hua, posteCes penrrutea do untfne.fart. C'ear uiaoique la t,oargmiaie nppisuhisan a al'unrv rira Fretin Cessteryatesr st Lilsrienllecurrstmbrm.L'eutparlemèmc Luauass,usataa._.ajurrqo'uglelrgrnuédé qu'elle oaeaye d'nbattro lv guu. araru atucluuour,t u rsfn, rare au hou.ernrnoureal teuruilliste en Anglotecro. rst, 15M. B&lg,e,u et auntaeiurn arec

P cuurhl - r ara ég Inranot I5 an u t

Ce Matit qui le rappelle - M. Mua, rue ara uevitart enrouaI nul. sasaga Nueman eut un des prinuipnun tant la raratltnsaursot ranotea us ra.

aPtes de la aise qun traunrae 5ÀnYd n000asr soaUnts la 'ttanetiun dv'Atnrtv depuis ta gnnnrs. Il est

l'anal llrrfoal. Suaadna ntala aotteuu'

Le Conseil géaéeal les Teade.U,ajo,buonui,e de la Grande-Bn'erugoe ne,aaiutnttuct te tIan de la lions sterling.lb ceint palitique, il a sacrifié Inmorne al l'iudustrie du paye, en pour.aunt naguère M. ttaldele à effraies,seul or en dehors de tnutn l'Eurnpe, ledur ancnsd des ttoltou smérioniaeu,.

ouroC'ostlemueaamefcarvnmiqae-en

gravAs purrie dû à la politique muni.Cuire de M Sfnntugrr Oformua - quirit In caote ds l'énacmn cloimuee quiséurt ce Angletonre. Muis mIn anar.pfnhe pas me basse de la Flaranuekl'oaigor du gnuoenremcnt tnauuilliatedru aoeorrrev qui fnraioor ruppnrret aunahômrurs ce b la aluner ounrière lesfrais de la munnaise geotiun tinna.mure depnis aIle atrt.

On dine néunnunins que M. M'rrrraga'tdnunau est pénétré de s lerprir ara.ginnrl s, rendis que le guueoreernerrtgranailliare qui ne or nonurattes pussnrn,nrutiaos dru nuplralisust, ras prianu.rie, de., formules élraitoe dolient marri, resets fil dans I. scie

e l'abjaoe égulome de alesae sOn le dit féris. L'huratus Séuatur

mnil doue l'draai,l'aur l'flnunrrturuh l'rmpeaaenos erra

poestus mats. fu araire sieur nus lvunr,oun nnveaerr's Cl le eaamrut, et

le dfelsta Ireuhehls asears nerra aanutd'naelran nIa ntrrt,us fa lIvras, seratas l'arasera. de rattltsrdu. L. nnolrt.busr,Is sttme senne trIeras ls alatreudo sas aennussseo. Ausst les salueraLa

es màrn b

Crtos. Que 4u53 suhuagéjhes golfe 00m

un aird rua ur'saasdte'as, ni asti ruant'

L'antrun de mena parus eérultas,eene ev rrud un,tuiorment pru corapre del'appui qu'il opparte ainsi b la propa.gsade snrislisle. Pore lui se pour touequi le palerte, des bananes qui ne de.mu,rderrt que de puaanie teneailler,ouais 500qaale la saniélé enpitalieaeinhumainn relues os druit eatuerl, nesaut pus dea aintimen innncnateo du té-flac d'anarnlrir. ranis des parseitess rurrrrenuo s. Panna eéduire le s teuinde maieou.il on pnnpoae pas un pré.lènunretour In auperélu des uupita.histet. Il demande froide000ut rto'nnarrnclreeuchfmoceioaulootairn temrigm moroeso alv pain quo, gcico àl'nction du paré aooaailliete, l'Etalcupirulirre sent aoe aane.traeuil,

Et dito que hturtssionroté sl'napoit rie oleare I la lutte de nlneve I

Ouro5h en de mi quo le fnucereeruoor

travoillista ne puai pus nnrruplrn la pnmgratrone nl'éconumioa, tri qtte In pana.mira un Mup l'a élubnté. II cabocheuan auluniun dana 00v uotnl diner,niou.

En drhnre dc, réductiuns de niépert-ses des mielelirou et don boroane, enria l'em1trunt rIa coovortiou pan Scan.den pvfunniso, il rapèro puovule ni-utS-ruer dan écocnru'es imper tantes nur Iraarmements trnnertreu, ornole rI aériens,éruou,oirt que la (ineff,nrce ria nIé.000ntrm,at puurruit verriro puaaibles.

Mais il ne nana pas facile, au rue.binel MacDrervld, de rootenie la lutteencore Ion druv l'avril buargenit mali.trIo et ululé- b la Pi tueur rr ovo indue.

Tartre le pnis000cr écunnmiquo etpolitiquo do uapiteLtme sogiais faitpetonian sur le l'alune Puoly.

Le pnolétneiut arros à snntonie aldeumntiqae corps b corps ocra la au.pilaI àtitaonniquv.

0. ICIOSENF'Et.D,

MacDonald délibèreavec ses collègues

Lnourua, ut auna. - 1,5 ganunre ml.utnieearattai, us metin, à Ouwuru'uStonet, 000 nulllgrroa an gantier useunnaomles auanden nul fluba aomsun't

Irvncuroa anrart, blar loto 5 étd 15

rdacnocend,p50 enfla mol aovtntt TIrauns, Hou-

dleruo an cirahura.5,1 srus.nrultd mtatattelel dos Ira-

anmteu 0 land se sa-ure à 10 b. 0f,aenas asuie iatitfeu genlena tanna d'unshisarslldrmls.

aloi eOunttn dv anvnsau tonal,Iurodoraoa,Trnumue etasalran,nnat

oseantle curIe Isa dtnnr'ras loauuirds auIls an luuauutsaO roafsntlermrol au cil.igulonuon.

os nnc rIra lv ersraloe mtchnnre vramcanna na sole l'arome.

Les mroluorao sua urtuot anen sua lesmIaules nleumual loura dtlibûruttuau,etro d'aurrntundio anar alunAI Ire roula-anns noria net disarrmdau ranummun,

M. Bnldonia et Clsamlnerlaintant éplemeet renteés à Lontires

Lnndem, ru nuOl. - M. Balunrtia, uurfIaIt rn nllluntatuan U Aln.lss.B011s, aIlenntvé 15 mstia & l.nnurns. -

Ils'notraarnuaaserannuuuesdaulara'slunàia grseaoanr ltsaiuulnsdosuu

D'orntos cIeL M. tgvcllla gaamrrerlalosua araiel la erualu à galures, osouald'nrrsae ru Il fruno au Irllnglatoen,

Il u dgnlunl à uni luueaallots 000 seneet000 arutoini nnall au à va uu'll uraitiearnls set des mllrsua autarlsas do tucioa nus sa cdsauua 4 Lradnae uval'natl Ours nuls dan., 15 noue ocoruslls,nais unit airaIt nallsomianarurautd'oua orouondus uausursnuaraivaruus.

or o ejuunl lan 15 retuur do al. uamd.Vin mn mtutt donna on qu'il 5501100guoncla se mettre lmmlniralsmrau au

Manøgnsld s reçu les chefs

se rétn'ira jeudiLrodrsa, ne utnh - Le Cuonrla des

0050 ararlahua dv gusoam'ilus duCuaavua via anti arasa ana u Ueatal

male gronhutu. si s 5M deards 55nouvmnurv prue luadl nerebalu à Leu.auna uns etua,'au suentele du masalleSiral 5es Tesds.ni'oiuus m do 155dm.rIe lv PartI traontllrsts nrae dtnusteeus In sttuuthua raueuettra aullunats,

L'insurrection à Cubagagne du terrain

-Muaiuucs' hnllM0

nuaaelmuti est rrt à tslsn'moate s In'naMlitomaot gaur la arnimtlon desUtnnu al feu rias s,u,terrutoes à Cula s,mmmv, a'attlroes, 15 Canstlt'atrrn eu.stalas lus en unnus te vrurr.

IlIon t, narrrs,na,neut mbala, trm.elunsoaalelln',s .blsutdso. an muas us rasdaeotnos boss.

D'atsrn asrt. le eeroeeOvudsas f5Nseo.Yvra rima, u L. tfhraas SonarsOnt Ira 500eaIlss soetndes tan à Iratau, ru courtois mastenat nus luuO 'nu.taIront do l'Ire esl trouble et nia rIo-

aalllla,s as llroununt lot, dllà,sels les snmna vuarns In g0005raonusat,

ET AT s-a N s tne. osons, ssnottstes ,'Eese par 5015-

sedsrrr dansote sas eanrsts as a'I,rcruves

tenir entrston, dsOrutssee la CaaedJ f0nnrsulet t'osedtg g S°fltéllueVs -. -

EN ESPAGNE

M. Zamora escompte

une solution rapide

du problème catalan

dta,de'od, 1g anas, 105g. Rasss.t -Le .g,usiaaut an 0000arcamsnt u de.1100g qua iglous go Ovuisi as Cvaeantuitun élava tels ananas. ies Cue'gOa nnurmoa amabasdamoeo un 0051'

u sanmlane la moauvu sur la edmorme05051e0 lot iruo 55m gratemsun ara.snnrlf.1

roua, s ail le. AIrais Zumres,M, Vlaaemal.Aurimr, tuaI lenosl l'al evuae naaesr000tau iras lutdeaOraoun. IIm'a anaurtu la Salut do 500ual'uirusIvaugale, 500051 l'ai vaguodu 001m ara'utaude et n,uultnu.

s Le gasalsaat st ouates msmorasde la Ctmmlesloo rhannut de lu ru'treme-aaeatvssnnt cloua me rendrsnisite.

O M. Marri, l'al ds mea ilnuuaneiosrs dsmara ou ma Ismettes douala naunuot go l'apmtv'aaidi le ganisidv statut do In Calalogol. Ove In gnouOg,ud mut'vtt,,nv ahI Carlam ot une 10eunmeitmai h la dlummius',uurhanolsdv pIolet de L'aOst,tutlru, aCta nusrenne dae,tlnee sa tiu,uus ruIlais Inca.lustra nsdllsvu cIa eeapret, Js aerattrIa heorsnu de ouvroir arun100me anarIre utautia gars_ans Oui 1 en,omeouoe'roua. Nous pnnrnaus aronoldo servIle'manu des dlennnsomnn d'aaluiru evrls

tauto du atatot es i, mgrvuel musli-uncan,ontumrste. me 15 evud ev'

slltist dv mnuhlume lot in murdiutrml.Le 050nluanm aa esut ooiuord'hui evmluadamscr usuamatrsu 5115 né-i ailetore en uremucnilrf tnutro uaoitns'tuinit sou anIvol 0001000 00 atrunl,m'mOuanvi aneati tuogtsnttrs, renoIr nuremuutnut u In n-norme un l'Inuuevu'bars, an mues an tsnvetla la retntr-

as nrautsrsla ducs sa.onu ncnarsnrv, no ria otonoissals mIrs,

La Enustiturrea si 1m smauore ouaIs,enua surmoi 00000uuts In l'aveurrrusnene don luhea ds 111e 01 dilroilc,5

ansourla aeuurranreaams a nuamnder mnmue in mcoienae ra elnepticn lecnhnle,bIo nov ara eu'ternIe alnuvluroe la un serin dnnorso. s

Un ,téjsuseeeel'hanesaeris Visasat Aseini

Utadrtd, 55 amnt, - Lau nmols mtsnle.tess atrloltOtsv r lalalsuIn Prinro, mn.etenve dia Fiueucaet de 5,05 nnue, dllu avoues no 5,5,10 caballeno, du Tort'

de Vreeeom Aunai.aestsOaiana anaiemoor a no rusvs

thovuvimu. eesaidauu di la ElraroIror, On.rbm 101010. divartnuo au miolatlus duTrsnall, suIvi 000 Mura .°rarIaI au P0-

Ers sets de l'Usina Gérstertedes Tsoea'dlases

Malnid,nl aunt.-t,aiuovoel Cru Vvtp001111 00v noIr slalate mar 'Cama ai'oteola fIn aeenutiirrres aaaelamvt ucola sI000tlrn svlusltnmml le plut 50m.111000 atnv Inhgrnmrrs, 51' non sI ver

as EnnuI 100 prIons, 1m 0mb-115150 e, Oer0000 voltais do carmantson m,ruv000laiue à l'onde dru ernst eus

La sitoafua à CendoneCueduos. ta arrOI. - uo maode dv

la luualril de Pveodae 001, luesnna luaoltns o pnes Ions de I'egalumleaOloanuudrr'àann sue la ouste, les oaradlestio-mes oreIlle à Curdm, ou 0000ea dia-amrlrirr,, oui e'atslsua snubauntuns, a mItaeso mue Ils Oundlt vintls. Cre bornionsmcm rluuvtd, En veston, al Sou ansaucalssurt ahi dli rote. L'ootnmuniladona rotuneus as I000nulent les peiuou-

suoranrtni sa eoutv.La enlias cenit uua Ion rueimusrtetrl

altos epnlinallnlss ont lonra uns eluotunrelis auii, moie rus l'a ers un ennuieaueiloonata eu Ilsu. 5,05 scadluatisrmet 15g ronnmvaisies smcossut les avIna'lIerre dv las anvie d0000,vv,

grima ,rvOeloe esnertaosramots va'Cueillis 1150 10m 000vvrile. lenul a duhoul à Euedms dannil ruinai.

dut eoueuonfs anus tes graoloves lIon'

nndeln, la dbeda ainEs & omouadtes omrdmluv num mntIoianIt aua ninanresado nue mes Sianuenro dvolana,u'ottrvua

togomovousd'aise, la leoeq'atlltId n'a ans lissa dobanne. OnIt avvrolulions rat tif ngd-bOss, Les flrenue, Ininna & emnn loi5mars01 fIl aruafuemmsnni a-te sa avIonssnnlennons&Cumd000,

Lev 010101e 01,0 avarie 15 munIt,Ecos la efarnu. ra lé-nos Os Castel

del min. rmnrea les iacsuneai nul s'a-lereort mises en 005cr nul cornets sotuar-

A Podme radrad, nos edualue fa mm-s 610 marcher, Lsa rnotnnn-

Oaule ml 01f lorette, mn ta ncosens eusauts al0 leu ma vouannlubvhut teemgs.

!sssestatioa.lrsdetd. 13 sont, - s_s miattlen de

ddntnot OIS de, slrmsnranradatgnes et malulane s'tlaiant enclosdeam la basIn mlnisv S'Oatddo rI lviialult nedlnnf leur aensltunnun. 1,05 dfts,ole adeaul mudoite 't lennrid 00 vu eu-talonne, Ii 511001f lys la Initie snuiirare' duae 55 01mai05 S'dettdv, aillaen 0151515,55, 5.000 cloulnlen, Des000ltasalmnlsnaanstuantànnlbaosluLoeenlu,

H partouttts, ut o u s

mer'nosda 0 35,0,01, es. Orrrunnlaucaill,

Pool ItaunO antmummsos, nIa es sols

Incas

tans as ta mIels, 5 l'aIma «an nommaCaolvnuuretma 01m, on sots dresmtse, orrsn0000 05 tmrlsul nonlun,sn 0150eurr,nnrta, es a,naian,lns In ,dvel,vOma,n enaln ors auldamns alan 0 amIe mIls55 s,résns,

Le choléra en PerseTthfeae, 13 toua.-- 110 f515,0 de

I'geldlmts de melba lOI. fols IssvolalouraIs n-110f, O (lIt dtu.lall elmrlmastnsssersl,asss,esuras de lentos-ttons soua erlses C la sooldIrs, tauros10. rIons, glas eseanees, & t'sOOlpttnude eseis f5 Molnaomeraro, sa 500e IlsOOaageogS eat etis Cg laontelelge.

E5E 0(101 LOCIALTOTE

LES EVENEMENTS DE L'ALLEMAGNE

Rudoif Breitscheid s'élèveavec force conire l'élargissementdu Gouvernement vers la droiteBorIlu, 15 1011. - floue In dsr'otre unI salis Il 50 tIent une a',eeublfs

dl PruIne OouiaIlsIe, Iladoit ueviOnnhsld rmmmurnr001, Polo dirlo nnluvimuutst'Iltne Ioules I'Iaamltlna gai amatI ata tuesma aeeglia mi vIsa-ails & la grltno0,15055 50f le gsaslro de CulmIne au lIre da sonna nuou socardlor Sauroluanrelior noucins d'fbarall san sou' ldsolil'i,esraamnnt naIs la dm115. Perqaisitios sine, su eateanags

L. 0115f smlauala. anIse seule nova'tans nus dlv turnes aentuenirnl,snnacou. ermtonaoaste

onnL-a.aanlraed.Thsars numsaea, feraoodS ou chanrelisa d'-sa teoaa r rua la btvnsles on-d'etnotnenlaivamlaa sol alaas. morniats nu lIs 51mb, taantiaanuieua

e 011115 dnlrmé, 011.11, tus srlstloaa do ParOi sainuinul les courede la amrlal.uarnu,mltm annl Is sconse. Quues.ols'dnuu gscmaual. doul III

ueme,tadnûtaleh,aooaa'tnouagasls lnutnsoeoe,nitgnlaeeaireosruel'in'dmnladepreeoeieaàne demnlee ana aulaaninadsge000rat000aldaiuoltlltrliodr aulttllrne, anis la soviet-de' 011111501 5.

l'aaorrna cmIid.pIemnrndsonv'nU Saspsasisa ria josemuon

mon tiare lan euleun000nne de, etaol- nnelln, 11 noUs. - Le Ingalbelt dolets du gltblsvlOe gaie I, m,uo nn'un la anraulurs groomlmns dl llblu s 10'lUI graie, lavdit mIne la duele do uuanlvse 11011

Il semait àIel 01110110e. amIe os es, la cnilmmnnalion An

smnlovau 01 10100 tanna, duo la maul. (i','OilL,°',Oiuitb,m Ç'jIn ehdua'weelehs'purIns' dl hIles ds us. 00I 5o»t5,boeetnua aonanonau

sa ratrmnlnsa 010 ta paoliainnibon de nrt. u u suer,na mOnt Huomnbmeu li lu eullahnoadtoa n"""" ra ,,.vmllrada 00mbaulithoas Inos le ueidh, eaa ltvtïuO iumri'aa 15 aOOt la

O.'cenuussudlallatslmnlot ua'aaae golltrotlun bubtumedalmo Le Lt00emurd,e'tmoeuoitàaeruultsee,uossmlt Adoulep,dePvnlfoalla.sur le dos dv la 511510 000nites mao La nrlrsl dv In Idaots.Faaamcbt sI'loubiisasmssll d'an sleunvaume tom tateedll, de eao r501, unur nOltivOdhmmlune nol eoetvrall atreluta las 105. 10010, I'urgurnn laillItul sarlomltou dlaiulluns oontalne., Cl'Ooorn,

l,,Iout,(la mess rn.illsur mouInosorrlsS, Llelteatait Csessll est Cern's sa liàaett'tri, t,r0_;z 15000 10 onnOt - L'irlandala Con

mmo,. 0, I, mmi ,ludIou,,,flc 00 eOlt. leestt bise soom I'iurulgatimucamllmullem, lu araummouloirvi,mnutloi 'iroduij lois lama & l'ullsubat clouedo nalch. aIra isa onotallnise 05 5001 Iv mgaide pegloluet'Bsvlia, s 110 son'Ils SaIsons an eulunrae, ulrmoeovleoia000s ou 0000 50101 loIr 55 0105 menu-

avdloe ue 15 Promos.AbolIe las 011100100 ulllmucle en

os siroltls cIa alarnla drusouallllov, vola ailcitba en se momnutnaIne lue lu dm0100 01 la 50,11110'

00 raounrmvaoull pal denlulelas sonsutuge.nss d'oua tslls mInima.

Lsa dsttes O natet teemnsavers réetenger

1110111. ttt aval. - L'annr,tie do 15Holeheiulok 00e la mnoluau dos dollusallemundne à ,uoml Mous sovIlo II'

luouolarr, Div mIllo5001001, ennnoy-da 05v Isa IoOirIieli,001 010 ddIt011lfs.,

S'uruonailauu avlrnute 55115050 lemunrovi mIel Os la drIll latfnlaunsavnootla,o,eàtmmthlnrdvbnnorhs,il eambls Mao osa ara dmslvstiomasllsun nuellro Il on mllliu,d al dnmoiO flua millilrtu nI muohu nrrvlmlndm000e de lavaelrtu

Nsueelle asoaar'oe fa biSsaBrolbn, 15 anar, - Omet la bol dv en

011110e lv vsl,ts av dItuil 10 miollI000dseslnarrrmla domnbvbaItocnulalnIeal'dl ds glpmsr du loalos etoncin,.

An Crssdl de Rsiah115db. 01 suIt, lump. 110110.1 - LO

e010mliso U000Icv t lait soInoed'hul,su 000tali f'OmlimI. ou Inum rav,ilmrose II entortIlla nolltinus alodeuleelnue le mduolmat de ans ofanvialtuosof-castes soma let b000rns d'aiea IraI'0511. moulaIs, omnvlcaino or loulreus.

1,5 Cr05511 o ddllrblnl Insulta sotmsaunea lioalnrllrae son ItIes 010 donsbgeatomoamnole Oat,nmarclormlt'surrch. Il s'mol nncogs 005st dv In sItua'1101 nilul,laes de, voniuiooSr

Uaenoeeellr sedsseaenm au sajetoit teoFac des dsvisrs

es010, os sono, - Le erlolmlve duonmosarlos, M. 010001,1, sI la seuvSlgilsdotas à l'lnumtIonio arOtl005la, lia, Tort'dolc0001, nul stOof nue radunosors ountise les mrdalltds d'aenlrnamulo du ou.5105 dm001.101 00v la arable les fIni'

LnOo,rnrlrs leloanlaoaaompnrleuometsi,n aImOns d'allinnmahla douars

Psar I'doiahomsat de la etaoltsBerlin, ou Ilun, 101110.111000,1 - Oeol

Id tut do saylmtnmc l'tmloltmoul de lusaillis, le suvnl000mvna do BsIrh & dl.nldt as mallvo à 10 dInaraltiOn de luo llvoismhs tlrntuolon,nls mnodminastala511100e mobIle naIn l'aneivaluovsl 155

morale timaomilms aol lannirluenol àreS dOoblbasamana do a,ddln darsdOrea50 0f à e n. tua le olus as I'eoImroeOe,emlIsvO 50v 15m tmailsa u010aaa as 000v'mort pour rachat Ive aludulla,

Caunelduronvu de roua dl l'msnml-5501 e'uomllnOalr- na'uOO 1,uitea duell'fnnlaum on diasualea gos ara ssmal-555 sO oui 000aadrnsnl Iso ne005unmlrlecnn soroni lIeu scIes iv 16 snOb al lu60 s050mobet neunlala,

Le Oltilr500lullve Ils lOilO 551104 0. 111 mIna 050000005b5 aol oebolslroade bIC, ae101s nu 10es, 50e neOssOSu'liaI du emnminimal Stand 100 l'Snbttnur01 le vnndou'e al nlabul000ul nIaIs

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Ls eéossmeetaos des Boa,sssn'est pas essaIe finis

BaeIlm. 15 aulL (DIa. 15500e,) - Au

hIle lotes 1m untul500e dv mmmnrnm

allmmuodna al eurord s rv 11es alu'055 1mo o ouvrmeormuro dIS In000ses

LIS oedmallnne eu mn,ouoalt asvout

0mo, vaulobisa al à vlurea irolaurfItqorrOnla loure clos tael,

Pu, alnlmm, 15 Iluuluonina les non-nsrnsnls 110110015 dtnvu erra 001115

Ira riéamalmds pmrtinxasmes Sasheulou Onooas,

La dots S, adon'nuelova ave 00110505t'a eau sonuos bal 51101. Olis assola

fonte, O la ovlta du eo,,cmArl 0000moe

lissas, Sbon à BreieBavIla, 15 unIe. - Le mlolotra bd-

tuuoIOvO ds ra 0050ev, TOmbe aooe,lista mIe paeaans O neello ealovrd'hol,

Aprts ts dstr1rts coiliilulsies

n Iiil000llPornlr, 10.0005, - Dm55 elDn000lO-

tas apavt nela aus con 101105 aux Il-sordess Oui se durluiamaaa ra la analsue In Oulue P1015, OUI euh avents,

OU sIIOSIa, 0v nulmO, 15 ulula d'unomnuseonot hs,ldouia soi Dol bIssaIau mues des t000blms do Slmsnebm. nauuO IOrIS la onmnea des moIns 55 55115eon'boabdurols& nacres.

511500,, uss faux rIlunInila as brimatués sIse las euolouusietna aanall 1155tsadl arumhetln,,fsesststbos ris fana ssat, enmmsaistes

0501,1er, le toIt, - 5115e 515e, nuelir do ululrslon.fstl hgnIlaIISQ 500_5

5,118 VICTIMESOn oc pros enroue Tioro dual Su-

- u y gua uuptaime Se bdom do cm tca'eiàlvO I t s, ucrd I L'oon, M ou,' 1 1511

10 la llI0lal 00001 51111 0 1111mb- uulnoSId pae b000tn-ta'Oia Iomaldu000,tas, abhnemouf 100 ooiolni. taon dmeolnr

Colos aualennmutlna 50011 505 Visa' neflanilnenueto, i'imntmmnrltivn'v'mrrattlino, Carnusil u 105 tomIl 50 1110111. rluteOu qne olegl.lruis iaen'tolros,

Le lIvoiro,as,onm t noanmsmhrrlhf Vniei 1m livla ries moela retirés dosra 01 lu li I d la O rtlonsntr ev M lIes! 105m A dé

lia, iIi ortasolce- 011m C ri 1(011

'la nI, s Eommoll l'oct 05' 00 sOit 11 ortIe 000ueesuoe les dérurtiloresma lue rnaoolsom,ons as vo deeolmr, Ses rorianran de III. PmIleS, dc MnmmL'svOuOIs 10 lan dual 5 imsau'loI ua Bluma et de 11111e Sovme, soit euvnaulndl nIable, marbra la coIns pvumo 10111 htril muslI.dm 111.111 r,nnmo oe,ovs nav le sien De nombreux l010sléu unI fIé f5-ml lare lot EbomIls as 55e alUnIes. 011él al dirigés sue 0011e rI-Dine.

Le Comité financier de Bêle,arrête le plan d'assistance

à lAllemagne

nain, le avnL fIan. 511105.) - Lsnumuil a'mlvdsoonsmol de l'vanmes dela suiaalion OlaonvIère 50 AhlSiaascot etnuuordOl 05 mlllo 501 taanuva taOao 5100m. III 0 durs o h. lu, Lutddtiblintbmniluauuolias 105 mImtroSav En000ellura 110101 10 muilOisu dIa0110115 o'soonlmuiaot nss, 501001 pIonsurels mu aunle'mldl,

nioa 5010000 0000ulaal005 amlulea0011 III 6015f sur us muons dl 50vnbgvciutlnlns, no munI uiuomnius ai-nomme 0011 allouesIl as OrIris eu adosuuulabla nue l'usouioisoemoaO uns lof-mils nv Allonuoglo e. mena ru Iruls 810-eus. Le negnitana 111mo 51101 1,510 & lapeol000nhOo de, soOdils à aouot noms100111011 lan500 ao mmlouna des mol-dus) u dune lu dud01iols flops, aus000ru dl la 000nliOn as moelant do000IOaOO nmndlis o unira 51 b mmelUlInOn, vscdlO nus la ormisiame 010mo,0150 lololalos, notlus00005, aaefa no. inmnoallsobun loua III rlsclvie, 1011000duo lmanmiuht n000nOt h lOng 15cm..

01151 srlsnes 515ss5,

N5,rOYIrB, 10 autO, - do mandad'AaOlrOSaers lOtulibI na'vaavlobvaerulatrs u bd dvslt 0000110510. VlnnavoIlaIs a01000nlant à Ils tuIltOSe sU'110155e lIon 500 birssla,

Sup 0O'ALIE

Un dépôt de sulfurede carbone saute

Semis, 11 soOt. - Ils 5d015 ds sut,fort as boulas s soeluss, 11001 mOt'

se sont dncoollss. Cas feromsIII Iode si Idole onesan., nul OIt bIs,-ers.

4E onai

UN AUTOCAR SCOLAIRE£CRASE PAR UN TRAIN

Un mesS, tee'ls bSsssts

DANS L'INDE -

GANDHI N'IRA PAS

A LONDRES

THIOI5UILE CATASTROPHEA LYON

Deux maisons s'écroulent

Nombreuses victimesAISTEuNTuIT OU ACCIS)111501 T

I.yoii, 14 0001, - 1,1 alidillO, 00002 Ol510ul, Ouiu mpgil010vnl mdnoldlaaiO

iaoiinsrac lboullrbuu 'j, Lmour.Bmniuiop Ils uduIn'tumouo, pooplllcs pal

le Opuma, Ococcurummuut 0mb mu rma,La illdi000 OuIual mmd nruanrpa Id 1moin pan alois anuonamllrsl 0_mIroite cl,0111001 ars d,ualmnbmus, dus appuis 01dus gamoaoedluuosslemaluoenlosde-bIb la 5100011e mnullo'eiolt do 00010-

l,a Ocra dr l'ébuolciomo'I boul tif0011m lue las bim'a dn suumpu 0011111

tu fuguAI ris I'iromaaàlemmloadu 110111e blé da impolIs I'sd'sieal

O,A lraveea leo noonnvuarm d'mhsulia,

les Iuataalres soi ftsimntluul000imv,ultotns, a'osloy,ii'tvt sa 1011v liila,Les oupl000-porapiul'e, irl,elPs dop-arIen, uauuopo'ranl aol las lieua,traIn 010 Iodles do u0000aoduat 1100-siguol, qui 10015 polo in àieentiln desuPel'llI011S do SOlOIlIIfI,

A Os 11100m dcv pboovo et dao pou-jeolerr'ot, les pnueieal secours branSuPfnniaéo. On détllodit les promiortlImonés, qo'uroe rod,ub010rel000einitos1iidooieo,5 nées l'laltol-Diou,

F00,0 I'iuntoot, 1000 leu ollumts dIesovuPill.b et des enqvll0000 te bue-maIl 15 toaner 0es molàvoeuerlls 11m'Sinret, sacs g000d mnpoio, Les sa-paorrt-ponuirieeoi'yeimosrluo'ootsuti-vemont al s'alfnruemo't, d'matev 10001,du muenotldna Ios ri con iolrnonslmlesdm100 dc la msiauo arluinlrée quimanIionS do O'éeOunloelloup (100,et moItent ou dm0100 Iv 'oie des Sols.

LES CAUSESDE LA CATASTROPHE

D'opuès dIs téosoianadas ioueptaloedrs OOiviut rS roue l'ogmmoéIa da005muulrdbee, l'smuiolnoa oseoit été p,'0-lIgné par 00e cialrutn anpl-usi000quo or oaPnat peodsitn no dtlmorcdnd'un 0101010e àatoilmiil l'inaamtmlslr

la qui det001it dal eroloIloiSs.Le pa'ueoonoo de 1mo Stap010linion

0051 raldmi mm malin sue le Ecu déO'noplosiau et o rolmodo duir_irs té'110loL Ceolsinu d'unIon a110 "lui oui nlleslotiao. Csj,modi,nL 00 ne saIllItropporlf 0es P001100 d'ion Aoubs 0500m, snosatImmm 100. ins 000losmuuose leI'eonm.gbrtiéd'nomi f0005 qu'il ncuopuit, oruIos P1011111 de 010uObioaa Solétole pePti, bio,-, as peoléroot desmavaral, Mdi, 01m 0 0,01005 de00010e orIloumi à O'es,pinaitn qui s'oulproduite.

L'Aoobn, qososlut,o.é, n'a ri'uilevost000 éaf 'onr mo lys Siauru al oo leotroent pas 'eov séetruo 5°hypmihtsolouiS pvureai't troc 10111mo dlv sI-

Fol 500500es, Se Sa150010ias' 511-almeor, rions il s 1515 queslionm, ratshartot de Lynx la nIvale pco'nmmaldo mi,pposve quO painum élon pourqool000 ehvum daso le topn'Ihlv deal'delL

flo derlière snolyse, les moglo-trots ris PortIonS eslimont, es aIs!00011 'sets des OSbïO)aps des oaimeo-oe-pumpiepe, qso la alSOtlOoIniml s IIIprodotte 000 1cc eoplosiuv dc pue,bruIr, uomlrto.l.il, lv riéfiogesliuvd'l,ne toto gPor,de qtmonttté rIe gosrI'éoleirmgn, omulimosé, 000 ruemele.dans sec pièèen, enplio5nmemis le, itualt, énoereres lui 5e cIel Irrorinils,A 00 eviel, piùsieorn-s voleiite torIl-vuerll voile Ont mpv005, OIS mnmeulde l'fconeshemrrt, nme 1000e Intreor,lIraI hmmrrresle senhe fIl 500votoltr psrSe nombo,vliuu du gss.

ERP'ODLxPORT

oulement o Fort érion

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& h. 15, louloovs,Cueoluluuns.Pasmosre n n,Pesos n 152 bIibai Moasosoéos r 255 lIt.

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li 5m. lb, Cusabnéun.Toeto00o,Psma ds Csmldu,mo r 14 oeIl. 041,. 95,Pssmsnrsr 5.l°ostn r 1111 brins1 Masounrina', 255 bi.

inddoorre r

TooIrvss.Espuao,,Mvrro r Qosodisn. g5h

CAP VBRN-los-BAII1tS

IV DUPLAN

EXPOSITIONCOLON IALEINTERNATIONALEPAPIS MM'NOVEMBPE 103n -Une démonstration

de solidaritéinternationaleen Hollande

NoIrs emlurloc, nue II FIltentIvOlatomoall005lo dan lOoci000s sutioitobsslneosoivl 00 bI su 11 eellnOoinrs, asaImnIlo d'01todve, unI ee,0 ru mtmslInos lOI mooilsalstiuo dl 50110511lulmmaOldOcule, O unolnsld, plia d'AIn015

010 le reoe005imr 00115111due nmneai'ecsms et udusla l'aIl ObI rIacoca bien 600111, d'orsI mi AIR làamlinlf 0010v d'Alhooln llItllandst,

L0000li SF000151, rfbpisIOii (11110mo'non), poutalslnb0, 0,0010 (AmIIrtomvolml 5500eS,

00000sld mat clouS I errulmntl On1500010m, à qoninons aIIvmeleso lalaolnom,L loIre 01155 do lu 510e 55Noua. CemIs 1,11111 nilIs 50160e ss ml.11,0 dIs 00000, labo uo 1111 0000001'1100, 1001011001 caa,onl, LIs bandisarouucloruutm Itrllanlnls se amol 00050es.m,mnuO mis à il dltruartiou gma ose-IlsIruota élue leu 0100000 dora bu,loi 11mo Délia db0105tIiornl OlsllOe, 515smoiuO 11051 lu ruanlbrllln us se 000.Ores Amatsedsro, tS001drdobo, Lu seuls.emo_

0015 dU saloon sel eaieorllmsstmoornos n 11 1100110 5,10 110 sebone1501100, mmml suonsolmbls 11h01 05.f1110 O tag 5111v,, si is nom-ho, dsspsoltunmurnls sonebol 11, oc loi somalalaOmsOO le vas, D'nmmurllobas eS'41011005 pove0000 roIs vbreouvo sur lesobsmlsv de for, orale Sas bOlimOs moL1010155 (in 1,11 000loalea sut de 000fr5110 A. 01 OLI.

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: plébiscite allemand ? S CIALISTE Et les communistes donc?images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1931/B315556101_MIDSOC_1931_08_15.pdfplébiscite allemand ? S CIALISTE Et les communistes

4C IHI 11.4:11% (MEoie imbu ILALWMIE

GRAND BAL POPULAIRE,-

Le Prix du Pain ÇA ET LALe Préfet de la Haute-Garonne,

gimes acoard avec les syndicats dela minoterie et de la boulangerie, afixé le prix de la farine à deux centvingt fr.. les 100 kilos nus, gare&PanLe prix maximum du Pain de con-sommation courante sera abaissé de2 fr. 25 à 2 fr. 20 /e kilo, à partirAn mercredi 19 août 1931.

La vie sociestefins, 124 franoleu 80rens- 40 fûmes lm kdosi

Avoine muse, 37 bancs 1.8 50 kilos; Fm,PARTI SOCIALISTE S. F. I. O. se, 22 °francs las 100 hulas: RePEam. 60Fédération de la Haute-oui.oe han. les 190 leil.; Son, 60 hun. les

OS kil..

Désignation des candidatsPHARMACIES DE GARDE

idimonche 16 Août 19511

Les adhérents au Parti Socialiste SM, bereièm d. Rodai Dom, boulevarddes Cantosis désignés ci-après m. Cerne, 2; Dupl., sue de Rémusat, 9;invités à assister à l'assemblée can- Edhemiep allias lem-Jaurès, 96e Gaies.taupe (Hep, der ri briire ri_rprâr.altée Frédérie.Mianal; LavGlle, place 011.Indiqués). chargée de procéder â vise. 17: Lesbie.. Place des Carme, 22,l'élection du candidat du Parti aux éons. faubourg Bonnefoy, 48 ter.élections du 18 octobre. X1

CANTON DE GRENADE QU'EST DEVENU LE CYCLISTEL'essembiée se réunira au local Une bicyclette po.rient une pta-

du citoyen Housses, a Grenade, le me: s CYCLES TOLOSA-NOUBELdimanche 10 août, à 17 heures (heu- a été trouvée, abandonnée d.eus lace légale). Quartier des Trois-Cocus et remisée

CANTON DE MURET à TOULOUSE, .,19 bis, Boulzard deL'assai/lutée se réunira à Muret Strasbourg, AUX CYCLES TOLOSA-, au NOUBEL.

siège de la section, le saunedi 22août, à 21 heures (heure légale). SI VOUS VOLIEZ ACHETER une

voiture d'occasion ou une voitureCANTON DE SAINT-LYSL'assemblée se réunira â Saint-

Lys, salle du citoyen Boxas, secré-taire de la Section, le dimanehe 23août, à 15 hettres (bEire légale).

CANTON. DE CHSTEGABELEEL'assemblée Se réunira le diman-

che 30 août, à 15 heures (heure lé-gale), it Grazac.

Toutes ces assemblées seront pré-sidées par tan dt,'ne- de la Fédéra-tion. Le Sd7rétaire té-tira],

J. MASQUERE

Ulve jeune fiite ehut!oede trois coups de 111,0ver

Hier soir, à 23 heur., trois coupsde revolver mettaient . émoi lespaisible.s promeneurs qui se trou-vaient dans l'enceinte du Grand-Rond. A la sortie de ce jardin quidonne sur la Grande Allée (Frédéric.Mistral), un Individu venait de tirEPar trois fois sur une jeune fille etavait pris la fuite.

Mlle Paulette Audi. 18 .s, ne-.inparinée rte Mlle Geurgette Du-bras, se promenaient en galante com-pagnie.

L'heure de la fermeture venait desonner et lere deux couples sortaientdu jardin.

La victime gisait h terre, dons lae, groveuoeni atteinte. Les eux

Jaunes gens et Mlle Dubras s'éloi-gnèrent rapidement.

M. le commissaire de police Sacs.5e, de service it la permanence, serendit me les lieux mec Peuribulan.ce municipale.

La victime avait deux balles dansla tempe droite et une troisièmedans la région occipitale. Elle futtransportée h l'Hôtel-Dieu, ou ellea 440 admise d'urgence, dans onétat désespéré.en L'enquêtendi mb sut, mb mb run

L'enquête ouverte immédiatementa démontré que sitôt le crime con-somme un des de. jeunes gens, uem.-officier d'infanterie, celui quiétait avec la victime, s'enfuit et nerevint pas. Au enntraire, l'autre mi-litaire avec Poutre jeune fille revintsur les lieux. Ils ont été interrogeslonguement dans les locaux de lasûreté.

Ils prétendent qu'un individu s'estavanca vers la malheureuse, senschapeau et habillé de noir et, écar-tant ses compagnons a fait feu surelle, unis s'est enfui dans la dire,tion des allées Saint-Mien

La sûreté s'efforcera d'éclaircir lemastère qui entoure cette affaire.

Cortains indices semblent 'donnerraison h cette explication et J'auteurdu rriou, ii s'est enfui par les Al-Pées ornt-Miehel,e dan cemilitaire fuyait pahrAllée

pe

FrédéricMistral, est activement r.berché. Ilserait identifié.

Il aurait tiré sur son amie qu'il',rait au bras d'un autre. Et ce se-rait encore un drame de la jalousie.

OURRIER ARTISTICUE

ROMUALD JOUERET D'ARTAGNAN

A TOULOUSE

L'est aujourd'hui h 16 heuresqu'aura lieu au théâtre de la Na-ture du Pero Toulousain, la ospré-iientation tant attendue de D'Arta-

rzav le concours de Romuald

L'oljxrrluee des portns aura lieuou res et la location restera

te de 9 h 12 heureS au théâtre9e %Mole.

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Avant-hMr. vers 14 heures, 114. Lamer-ai, Léon, 19 ans, électricien, demeurantEnns. SainbMicihel, a pcné son vestonSA,,, un .bines de toileuus du deuxièmeamas da numéro 19 rie la tue d'Anhui/s-aura pendant qu'il effectuaiv des travauxde',, las appartements attenants.

Vers 18 heure., li s repris mn vestonPou e rentrai .hez lui.

a dès lors constaté la disparition dedem billets de 100 francs qui ...valentdans un pou-Am:11e, dans le Iambe Mt,.rieme venin,

Sm clam., une ennuem eet ouverte aushième arroudissoment.

ARRESTATIONSLe Sous-/nspeeteue Dhers et l'a-

gent MEM, de /a sûreté, ont con-duit au service le nommé T... Or-coté André, 19 ans, phototypiste de-meurant û Toulouse.

Après enquête de IL te Chef dela Sûreté, le susnommé a été cou-vainrto du vol de 150 francs et Al-téré 00 Porxunl_

Le 'brigadier chef de la sû-reté Delieux 8 conduit au serviu.a lenommé R... Gaston Marius, In ans,vendeur, demeurant rue de la Go-cm. ette, SB. -

Après enquête de M. le ehef dela sûreté, le susnommé a été m'utvaincu de vol et laisse en libertéprovisoire.

. AUTO ET CYCLISTEJeudi vers 12 h. 10, l'automobile

conduite par M. Lagarde Fernand,demeurant h St-Clair (Lot) a ren-versé sur la Place du fier à Che-val, â hauteur du Restaurant Gan-ebrt, le cycliste 13ernadet Baptiste,31 ans, menuisier.

Dans sa chute, le sieur BortiadetS cltd légèrement blessé h '5 00010droite et h la cuisse.

Sa machine est hors d'Image./Jne enquête est ouverte su 7e

arrondissement

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LE COQUELICOT

Tous les élèves sont priés de se trouveren tenue aujourd'hui. à midi trente. talledu dgymnase, en vue effietuer la sortieS, Villefranche.

La, BOULE SPORTIVERéunion générale, aujourd'hui II août

14h 30. Concoure da 16 août.

REFORMES ET MUTILESD'APRESGUERRE

CYCLISME

venant a. prises a lento., sur lapiste cendrée du Stade iloulo.ain,eunenagée tout spécialement pour lamrionsianee

anordisse/tient.die/tient. un tour dx rou en 1.19.- pied à Toulouse et c'est ce qui ex- qu'un .e pla dans la Wel,rom, à M. Terrime, chauffeur de tema.1. plique l'enthousiasme des sportif. perte sera vivement ressentieimpacc. Rachel Wb 494 (49199rei 4 91 de notre ville, dés que la nouvelle tour reg ramermier qui /IliMen, 94, avenue dm Minimes, un lasate-

ssait

.t tenu à mettre A la portée de gip cimetière, notre camaradetous les prix des entrées pour cette purrup, rerrgruire de Einion ean-el de

qu'ils nr prévu "'LU; ece'e't P9a:9'4"." Ir La enescétird'u ald oto 0de

leaufrpersi rt rta a;rsa'n% e Ird-e nas 'e/Verre:- pe duil% 9 adariever "a r vr.Sermon,

dermgrulnet 'u-ser vé es à 20 francs.

On prévoit dune une grande af-fluence entour des guichets du Sta-de Ton/01min dimanche après-midbL'intérêt exceptionnel de la réunionqui sera donnée l'explique suffise.meut

Les régionaux sent convoqués poursamedi soir, au Stade Toul.sain.

II est peu probable que DI P..sout présent demain h Toulouse,car il vient de faire une chute trêsgrave sur /a ciment Jr. vErpoosuodu NOrd.

Sion du prolétariat, h la Libre-Pen-sée 11 comptait RU.. parmi /es plusdévoués et les Eus assidus.

par ses ramarades de l'uns et Pauire sections.

En leur nom h tous, je m'inclinedevant cette tombe trop tôt ouverteet j'adresse à sa Mune Veuve etaux siens l'expression émue de notoesympathie attristée.

Camarade Redonnet gui nous a sibrusquement quitté eu affirirmntjusqu'à la mort la fidélité et la sin-cérité de tes convictions, reçois no-

de rudes empoignades entre /es di-00e fraternelsalut.vemvpsmarquas a ées Adieu, ami, adieu 1

On annonce. pour aujourd'hui Par-rivée de l'équipe Alfa-Romeo, dantle leader est - on le sait -fer Etaneelin et pour demain ma-

Ma-Bu-

vett-oinsMo-

oune-t-et-pla-

oins,en vue de la grande compétition,

1110tOs aura lieu le samedi 15 août,

puhlirtne de Saint-Gaudens.Permanence de /a commissionosprtive de l'A. C. M. et de PU. M. M.

h Saint-Gaudens, à l'Hate/ de Ville,où les coneurrants peurro.nt denan.der. partir de vendredi, toue ren-seignements utiles.

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Les tournées V. 1.111maso et René Fo.

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abusadi 8 avec la méat.. du MM dO., m.

SAINT-GAUDENS Maire de Revel et Dussed, conUeilleY.;al de Toutous,

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ee.nombreux entoyens ont répondu a

nA l'occasion des grands prix auto-

l'appel de la Fédération et ont suivi

anoblisd Esiaaingea Es aida._ an. intérêt l'exposé des orateurs.

Dussol, parlant le premier, traitevertes au public, pendant toute la liste et la Situation internationalegeries de Saint-Gaudens resteront ou- un sujet d'actualité le Parti Soc.journée du dimanche 16 août courant p

.etPar dérogation à Pesage, les 00% ,:aaai

Invii,meze".`f`"" 1"di

luiteeez?tGRANDS PRIX DU COMMIN- sant du eapitalsme et de l'emprise

GES. - Le maire de Saint-Gaude. p, toujours plus tourd° des o,,,,Eaira l'honneur d'informer ses adminis- financières sua. la EDAM ouvrière ettrés qu'en raison des grande prix au- p,unr.tomobile du Comming., la collecte II prouve que la guerre est nee es1des immondices n'ana0 pas lieu di- conflits économiques qui ont encore.maneho prochain, la courant. En on, été exhaltes par la politique nationa-séquence ; Inc habitants met PriéS liste et égoïste des gouvernementsde ne rien déposer sur la ohauss e et d'après-guerre.

Les camarades de la cluse 1919 et au- de conserver les ordures ménager. Rappelant tes .noeptions du Partidam. qui ont cormacté dee mahaies, des jusqu'an lundi s.ia.liste en ce qui concerne le pro-biessures ou des infirmités pendant le coure blème des réparations et des dettesda >ai sou. Menem sont in. Villefranche-de-Lauragais iiitaraliiiiaa, il montre que l'attitude

Fins duBouif avec Tramel. Attractions.

formée qu'II rame. à Tunis., un prou, PUTE LOCALE. - L'embrasement du groupe parlementaire en votantment murmel ils ont tout Mtérét d'adhérer, ...al du clocher fortifié, bâti en ia ProP.iticn Lfooéer, était ...hafin d'obtenir le drott à pension en vertu tif a, Jeanne Cemteme de Tou- ment conforme à,n,otre pané Politi-

que e nos r .

Dans sa conclusion, Onega', insistasur la nécessité du désarmement to-tal seul moyen d'obtenir la Paix sidésirée par tous les travailleurs.

Ensuite le ame étage en rouge, Seul dit-il, le n Soeialihme est capa-u mo .en de feux pyroholiniques ble d'apporter la Paix et la Justice

Ce es nom' p tuantsadresses, au sièe soda/ 15place du Canitote. à Tout. 3.1 La mise h 'feue du hm étage con- Audoup lui succède et se félicite°Menem g

dont te déport sera donné le 16août,S (heures du matin.'Rappelons que lepesage pour Ire

à partir de 14 heures, la bascule

La aaaraiiiiwdormense

a ui aie.a. " 'me eeeeade 9, <di? Peur' ;re Pr'e ,j'ilir7"

"raltv':ntle"Ife'i'èfeil7ezet batt._coerrler toua les rirm.

Ponte,lancées successivement et serviront

' d l Ft et

Poile,,. de jeludsu . uuus pond laré ries

annonce. 4"de chandelles Romames seront Prémuiatioa ri ublioaine.

41051108, 25. rue de Remus« Le meilleur point pour jouir de ro.u

le prélude des élections légiste-

airestiv. de 1939 et de la .nférence si

août une réunion publique, av. te Hertiette Minlont MM. /Armand Brain,re de nue Camarades Aude. Pi N D Eh R DOVa, e arn,e, 0e. 1.10,

's.

Il essuste sur importance des illec-

Spectacles de Toulouse

Saule, Mmes Renée Lomàs e10 Marcelle

Voici un vrai gala peur lequel il estprudent de louer.

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Dons cantonales Prochaines sa-

Coronnes mortu l'effet est la place Se onassele ehemin latéral la voie ferrée, en- importante sur le désarmement qui

La Vtre la Gare et la Barmen d'Enfer, dott se réunir au début de 1950.

ïe sportive tiLelpublio est hpri deo uartsne paa staépublicaieAudo précise P.tion nettment .

on er de 20 euréstre àey

neide de certains che

du Parti SocialiSte et21 heures trois-quarts, dans la rue de stigmatise 1attitu

i.

la Halle et la rue de la République, radieaux qui trompent chaque jourface à l'Un. les sincère. républicain qui Mur

AU STADE TOU AINLOUS.Il est recommandé également aux Sont restés fidèles Il rappelle que If . du bal j.qu'à Mn heure avancée de an.d nombre d'athlètes qui ont très

IDimanche 16 août, au yiii. conducteurs de tous véhicules, de ne mot d'ordre du Parti Socialiste a la nuit.gepur vr su paduie i pavariaa pipi.. esetionad7relaalnuj'aelfae, zt.rem.912

lilio Réturs.lttittonle,me. me ; « Faire &hoc

Onni

ldeur accueil est réservé KIX

9Jere Di Peeone iiY.fei l.. -eiu, vfi7o, efoic,e; ieoiïimer

miNost

cades ont été vigoureusPet les reste... MELLES

r th. d ..,,,,,,,,, 9il, iiipui gi, rts reis â ,,,p.,,Lie :7 t ê tr. e e'ee e ' 6e t 'Ur e'e'êê liste d'ePe Cr

mara

diam'an : a été constituée : juillet, notre maire a engagé uniOn nous communique :

APrès la réunion, la section soda- PETIT ESPRIT. - Le jour du 14

cmunicipaux sous peine d. contrevenu

du cyan.. internanonat se trou- PORTE x sureront reapectivement M reorita- la comm. nationaie,.., am camarades Savignac et Iseut, as- groupe de 4 musiciens pour fêter

int et la Désererie Nos camer.. c L'Interruptio.ie a fut jouée auChmemeni

. .afflifflefflongonviewilmn 'nous ont assuré oueiles jeunes repu- Café Fourglay, Les musiciens, aimés gênerai ; ler,. Gulb

AVIS D DÉCÈS blicains de Caramani comprendront avoir termine leur tournée, s'arrêté- Athlétique de /a Colo.e, 51 points;E leur devoir et n'ils viendraient gras- rent devant le Café Despiau, siège 2e, White Deuils Touaousains, 111

Charles Pélissier a tétée-. hiO au- Meeciem CAN, Reni Madame CNN' sir demain lesrangs de notre mune de laSection Scmalmte. pEnis et demi; 3e, Coq Léguevinois,

Quand In voudras donner lm Gen.ee le Muidam Urine HAMM,/

11111011111Me11101111111MMIIMME1119W

LuSITS, 25, rue de RémusatPar.. de marié.

nettement démontré leur reelle va-leur et auxquels on doit adresser,sans distinction, les plus viv. lé-licitations pour l'ardeur et le coeurqu'ils ont apporté à dee... 1.conteurt de leurs Entes et dont lepublie les a tres chaleureusementapplaudis ainsi que tous les diri-es...ta d. Sociétés .11agées Po. le

jeurdeuip uns , ,Ja l Jean leurs fils Bernerai et Joaerfir le. Ie. section qui comptera bientôt par. Les membres de Seohon se 220 poulE et demi; 4e, Uni. Slim,.

Laut ie,Itzu I po use, tianoi:LiL ,e'eaut Ia duale.. ICS estive. de J'arrondissement trouvaient au grand comptel sur la live PU:menais°, 227 points et demi;

mn do la per. entelle de Villedranche.de sou, lobaPonti. arriveront dans all.â Ynaj : y" CARBONNt ternation.ale s. Ceux-e4 répandirent Le Chrb celthiétique de la Colonne

réu

.

terra.e de cet établissement dentan- 5e, L'Avenir de Colomiers, 228 p.

samedi â dintanche.edécent aux musiciens de jour « l'In- et demi.

Mec de semblab dEles vetes, ,94 40 à

MadamPrie.

e Veuve CANS JEUNESSE SPORTIVE GARE°, quzn,1! détiênt /e Challenge Jean Dareas.1

nion cycliste de demain présen- 444 rase de 71 eins, et vous NAISE. - Les jeunes gens, dehrant -14'74 ;or-- r___ eté g_agné le dimanche IIIaoût

te un intérêt tout à fait ex. ...pti d'am, à sa. obsèques qui auront lies rugby 5000mEre atme pas . soci list.. 1930 par le COq Léguevinois.

nel, d'autant, si nous en croyons les .i9ujeufd19, 3 leu, 9 14 '. 3'4' hem' eum de la Jeunesse Sportive Car- hous étions oin reesnodft de iellstete bal manifestationdespntirvé

donnsenterit le caractère d'un a Petit énorme affluence accompagnait â

:

fournis que clmeune d'enm tient à' ' e. contre nous par

1Groupe de Sa-l e Pare. es i sa aa un i. eu ie

meut de remporter une victoire à' Pie(Je'el 97": 47 ef49n'il;090`9'' i'''''' kToulouse.

armes'mebvuuS?.g.,e' CudéputuraCucuudruleueuifi iajirii,eae Olneeles - 1.10, .%..s. p,e,sientdeni,p% g

as mront aux prises. C.

aule tiat griani vu

cie l'Hôtel Azéma et qui fut des

naes oit tous les coup/.b jeunes' etCes grands assanumusuneassmassnalissuess s

èvie., venus trés nomreux sen

Autrement dit, la .mpétition pré. IVECROLOGIE. - Hier matin unee lanu.itu.

A côte d'eux, nous aurons à juger lent camarade l'ierre Redonnet,

qui apportera à la .urse un intérêt /ut un de ses militante Ma Plus 9 9- quelle ils appartiennent.

!,,urs.IPC,4,,ue',...,? pour l'avenir, elle peint le plus uni-ans. Le p,,l, rripirto

upi,ulegraotd%b se.em,vsi, un que nein a'

._ Président de la goeiêté sportive à 197 79 "e 9497'4', 4P744"is"`"9 al Pate"' Portant à signale c'est de voir le- galerie de Valoisha-Roy- - -

ris-11/e, avait org.isé sur sui; ter-

"

rposa repa s,. d gépvbp REVEIL-8PORT- CARBONNAIS rain du la C Le o' t

satunette,coeur et rentrai°

r,et la camaraderie

avecclassement taus les 12 i01118. LUCHON miné-Anaeux

réussies et des plus adou-sur une distancede 50 kilomètres,

renseignements qui nous DE éta P"'16,611-Corelalobonnaise soM invités à se faire ins- 'lu le muui 'te ut- j :te ainfteerf:r kf".ikan Dar-

PREPARATION 51/LITAIRE. -

Le, ineole::,a'Rtaur'entedefullieU-eau ,

douardelu e que ques in m na- prématurément cédéi

mheineore. arszi:aZ 1aeditTour de France. s sa demeure derilière notre erre/- En résume, jourg,,,,

lités régionates ile. premier pian, ce 33 j teuant, retirer l'ours eldree eh9e le''' 'el'née sportive des

Le Fousseret, C.E. et Salies dueSte deat; 13.dS°.a, ten"rufl?eItedBerbliern,

185. E.

'donnés qu'Es ipenvent dès main-

idp pis r p ve - Les membres actifs de la Société sous I. rglnts et accikle :e; 'que': ajernekl?rètrui:aru'lessal'ter!,.s ii,aé'buli

PIBRACUNION SPORTIVE PIDRAGAE.IS

- Loutple-reneu de la grande jour-005 010,0000 Ix Ui3O00moil 0,x1

se, centre régional ue la FédérationHeu bec ut d

tue, sans .ntesienion sur iste 6

la phis bette réa-'I été (clique, adultes pupilles), sont prié èemears la F. F. A. OB. p la Ligue réglo- %%tas kjd7ud-igean e Cela enton-

venant Faccompa

a de se rendue au gymnase, amour-d'hui 15 août, à 16 heures urémie..

c,,7, Tenue de gymnastique en vue de la-7 participation la e e fign.

Ds"' "'tu eut " 4.9rouvé en

ee, nombreux, combien jouitrop I. féliciter, les organisateurs d11 cuM

à fêt d Laf Oc-

aiNie;

VigurdanhMOLAS

FETE LOCALE. - La coquette01f) /1101;1.1000e célébrera cette an-née sa fète patrenale de Saint-Rochle dimanche et lundi 18 et 17 mat.

A cet effet, le Comité des Fêtes,d aemurd mec la nui p

Citoyennes, cutoyens 1 assuré le concours d'un orchestreDepuis queteme temps PhorrM

"merde feu"' d"u rune 9 d " tt""- fcoups redoublés, hier c'était Ver- tee, e

e9i9uei"""" "ekure"a,ldier aniourd'hui c'est notre eama-rade Pierre Redormet, dent le do-

eu'ullPreV'i'daatn'Sla peeoCoLreln'sollealatiSite e"t

dans la Ltbre-Pens e. vers et départ nn mem,Notre brmn Pierre comptait par- menhir, monté par /e capitaine Res-

mi les militants /es plus dévoués de tanba.la section, modeste mais veinant, A 16 h. 30 ; Ouverture du ;

son concours nous était acquis en 21 heures, brillant feu d'artificetoutes circonstances, l'émancipa- Embrasem.t de la pla. et reprise

. .

nale d. Pyrène., une gtande ma-nif.tatiou sportive dotée du chai-lenge Jeux Darlas président de ro.S. P. et de nombreux autres Pria aldiplea.s offerts par la Fédérationdes Sociétés de culture physique, detir et de sports, par de nombreuxcommerçants, par PU. S. P. et l'U.les « Amis de Raynal et la presse

colle fête le plus créche, nomible, sous une pluie intense, tdules lesannoncent la tête.

. . .

Samedi soir. sonnerie de cloches épreuves ont été faites et les socid-Ide suivitoteS nui Prie port r

Din'n'i"' Il beurra' - Club Athlétimte de la Colonne ;White Devils T.lousains; Ce° Lé-gnevinath L'Avenir dé ColomiersL'Union S.nortive Pibracaise.

L'ensemble des épreuves ont Hechaudement distante. Per as tas

Os',me très netteent la parfaite orge-nisatian de l'Union Sportive Pibrameaice à Inquelle bloom/mit cette E-che. - Le Secrétaire General, Délé-gué Régional René Latrille.

L'ISLE-EN-DODONCONCERT. - Nous apprenons

locale de Toit/case, asme ou vif plaisir qu'un gala Dit,.Nombreuses ont été les Sociétés que mea donné da. nef° ai:91.4444

qui ont rependu à l'appel qui leur cité, le dimanche 23 août, par uneit été a.dresse troupe composée des meilleurs inter-

Excusée, l'Amicale Fabre n'a paspu prendre part aux épreuves en de-hors du 'challenge, quoique

1510015rendues. les lieux, l'Union Spor-tive a Les Amis de Raynal 4,

'

sads.suessàossassassas

.

piètes de nos soènes méridiunalas.Nous aurons la satisfaction d'ap-plaudir tes artistes du Théâtre deCapitole et du grand Théâtre deMarseille, qui interprèteront la« Fille du Régiment a, opeira-comi-que de Donibetti. Nous adressons noschaleureuses félicitations au. orge-nikateurs de cette eplendide manifehtation artistique, sasos précédent dansles annales de notre ville, dont Vint«tiative hardie à mis sur pied un pro,gramme de choix et nous souluaitonSqu'un frano succès vienne couranneeleura eflosta

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: plébiscite allemand ? S CIALISTE Et les communistes donc?images.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1931/B315556101_MIDSOC_1931_08_15.pdfplébiscite allemand ? S CIALISTE Et les communistes

Je grilL'ART POLDÈVE-Las pont fret qui se laissèrent

prendre a. histoires du précurseur Hégé-sippe Simon a des souffrances du Pm°pie poldéve, avaient des excuse,.

D'abord le courrier innombrable que laplegsert reçoivent et qui lm condamnt. àparcourir leurs lettres plutôt qu à les Ire.

nsuite l'obligation dans laquelle certainsintaginen.nt fè,17de.,,ze Lts 1,%isd,,,,rép e 1io::drpr.

abraclabrantes. Eut in quand on a vu lesuccès fait par tant de journalistes avers.Et.a âneries sentencieuse dont M.Paul Doumer truffa le Livre de mes fil&somment s'étonner que nase candide d'undéputé de la gauche ait admiré que t Lors-

que le soleil paraît, les ténèbres s'Ove.

potrissentMais M. Camille Mauclair, lui, n'est

pas, que l'on sache, une agence de et°.rations, ni un bureau de placement. Ces,un critique d'art toi juge trop péremdetoirenent pour qu'en pat le soupçonnerde ne ptt se renseigner prealab omets .Badernett cet ancien unarcho chu dansle nationalisme, se hérisse devant le mé-tèque. Da peintres ou sculpteurs, qui top.pelaient Bibine, Sabin, Putrid, Bahia., nepouvaisnt dire que sans talent 1 Qiir nes'appelaient-ils comme tout le monde,Durand ou Mauclair (comme la lune t).

On parierait volontims que la pressebien pensante fera peu d'écho à la farcedont vient d'être victime M. Mauclair.Il faut oeil reste acquis que les ndif s nesont qu à gauche. Pourtant que ce mo-dtrne Cmnille retienne ses imprécations,il a eu, de son bord, des précurseurs.

Queinay de Beaorepaire qui affirmaitpoaéder des prasenu décisives, de laculpabilité de Dreyfus, reçut un howune histoire mirobolante qu'il s'empressadé' servir toute chaude aux lecteurs deMei. de Palis. L'auteur n'eut pas depeine, deux jours après, à montrer qu'ils'était eut, garnie de pesa, la tête del'ancien procureur et que les tiroirs decehd-ci étaient vides.

Personne n'a oublié, non plus, que Inpauvre Rochefort fui transformé un jouren marquis de Vascaga par de joyeuxMarseillais Personne, sauf Pnui4lra M.Meudon, qui est capable de croire que/e marquisat de l'ancien Lunternier se trou-vait bel et bien à &retourne.

Ce critique d'art, en effet, ansteignorait esses l'art potelé", Mais ce géo.graphe el ce politique eavait que la Pol.dévie, pays situé quelque port entre laVolga et le Danube, avait eu des vicissi,ndes politiques et sociales t

Il était bide:riment trop iion Fran,pais pour etre allé se rendre compte sut

IPlace

000Une berme

Voici /a p.sentation de l'aa P.-dem p. m. con,. Mené., queicorn.. a rem... damés le Ona-...mol et que commente notre anal

e Une normede exposAlon étran-aère

On annonce qu'une . la,rue La Boétie nous offrira. sous peurescision d'étudier, sinon d'admirer,une imporente sauner d'oeuvresmues d'un pays qui, jusqu'id, ne roue«vat point encore demandé sa corsé- '

cration ertetique et a pourtant deedroits Se notre sympoune.

e II s'agit, en effet, de Part poldéve.e.alt peu que le nom., ma.te

ses viceeitud. politiques et soMalee,eût un art. Nous verrons des tableaux

1111. Mine, Saltip, Idaroso, Perid,Polyp. Parades°, Anschovis,

des sculptures de Mil. Sobaba et Ro-auMe ui sontarast-ii eotn,ienrang de ravant-ger. artistique poli,

I. feue alio...esse.a Cette exp.ition e.Mdern à elle

du elpu,lentizpo.,..z se mi-

1,. peut-être sern-t-elle. envie decelle du peintre paseEds. Le Pirée,hien connu Athènes 1

Confédération Pans son numéro du trot./dème trimestre 1931.

«I compaa par va< ("aise da... avadieaéa Noue y reviendrons proohainement.4« aér.t , DAFIFIICAU. , I R. OUDONTIER. e

I ee. Société. Méridionale d'Impression -:-,

SOÇIAlLISTE

ï L'IDOLEAUX MAINS BLANCHES

Par André LORMEAU

Sur...

La décimation de Ginette me la-sera le cur.

- Oh I quo vous êtes cruel/e, ré-pondis - je en accentuant monétreinte. Je vous adore trop pourvous gronder, mais Voue le mérite-riez. Je connais cette Jeune fille,c'est exact. Elle est la niêce du pro-Suceur de Nontron. Le hasard seulnous a mis face à face toutl'heure...

« Je l'ai vue deux fois le moisdernier, en Dordogne. Déjà. je vousavais rencontrée. Jamais elle n'a étémon amie. Elle a eu tort de s'achar-ner après moi, net après-midi, maisje voua jure que je n'aime que vaut.Je ne veux pas que la présence decette gamine vous tourmente. Plu-tôt nous quitterons Luchon de-main. »

Ginette me crut Elle releva safigure chiffonnée.

Je l'entendis articuler î

- Pardon, mon chéri,Dans 'Pombre du salOn, nos lèvres

A traversla Presseouvrière

Le syndicalisme, les fonctionnaireset l'Etat

L'Euregistreur, organe de agents derenregistremenh reproduit dent sondernier numéro un article signé JacquesLEROPOE et paru dans kt Pesait. pos-tale,

L'auteur, après y avoir souligné I.ridee respectifs et l'influ.ce des mi-netree et du Parlement d'une part, desbureaux d'autre part, sur l'administra.tien de l'Etat et la gestion det grandsservices publics arrive b. cette conclu-sion qui, pour ne pas étre a...mentvraie, contient réarmeloe une part devérité:

Ainsi, te nest pas exagéré de dire quel'eut, c'est la bureaucratie mine..Melle, t'ensemble des t fo.tionned-ras » qui sont tes véritables maitre de

rance.Partant de cette .nolusion première,na en tirer une seconde conclusion,

.15,-M h.... Pl. critiquable:Done oes eonditi.s, dit-il, comment

PenSon supposer que ces fonottonnaoespuissent an Jour être gagne d l'espritsynateml. L'espérer est vain, y moireest absurde. Comme je l'ai montré, lesYmiteadients e pour but de détruirel'Etat pOur se sostistituer d lui. L'Etatc'est pratiquement l'ensemble des o jonc.tionealres », Conimmt les fonettonnai.res pourraient-iln vouloir leur propredestructian t

Il pu id un gros &loger pour ie stamdicatisme révoiutionnaire. Le syndics,tions de, fonctionnaires s'éloigne dePlus en p. du syndicelisme ouvrier.

Et 11 accentue quelques lignnt p/usloin:

ri semble dont tOet que le ettniticeBene ouvrier commet lote erreur gros.cirre lorsqu'if compte sur te «PriamiriziLd,.hrrni=naires, pour l'aider d

LOrsque les ouvriers tenteront latransi °amati. sociale, ils n'auront pas

leurs prérogatives et leur pouvoir.Je ne connais pas l'auteur de cet ar-

ticle et J'ignore sa conception du syn-dicalisme.

Sa conclusion pourtant ne me paraîtp. exacte.

Certes, la présenm dans notre me.verne. syndical d'un trop grand nom-Cet de ions...aires roue avide nuebutaide non daot t'importance du nombredes tonotionnaires syndiqués, mais dansri.uffisanee du nombre dee syndiquésouvriers, et surtout dent La .n.ptionque les nue et les autres ont du Km-dicalisme

Et el Lerouge arrive O une citron-

me dut fuuotloonutree, t'eai ens '<lieeleeen raison du but qu'li assigne au symdicatieme en général et du caractèretrop absolu de sa définition de l'EMt1".Pbree,t4 5ros lui uatintement par les

n en arrive h cette con.otiondu tyndieelisme des fonctionnaires:

. vu rots pour but, comme ce dennier (te syndicalisme ouvrier), la de-i...ion de d'End, c'est-d-dire de la bioreaucnatle, mais, du contraire, le ren-forcement de cotte bureaucratie quitend de plus en plue Oen substituer dla démocratie. Le syndicalisme desfonctionnaires c'est la dictatere bureau.MM.., c'est en tait le rOinee ripasuninel, Ont cet roue oPPdont riment tee m-ais et purs sysdiem

Con.ption qui serait vraie st le ton'

vrier, mais e0Mbien Inexacte lorsqu'ilpetireult non .ulement en ac.rd

avec cehil-cl, main 31 l'intérieur mêmede colubsi.

Les travailleurs intellectuelset la classe ouvrière

La Confédération des travail/aune In-tellectuels a tenu derniMement no irmPortant congrès au cours duquel desrapports extrêmement intéressants ontCil tttuelu

Lentemene ° .anse: nettement, testravailleurs inteilectuelse'orientent versle syndicalisme ouvrier. Cert., il y a/1":eorir tesstirtea.Usu toue â laNéanmoins, l'étude des conditions diaMlles au milieu desquelle,s se débattentcia prof..., la reMerche des musntde ose difficultés les amênent à des

o co.tetati.s hien mes d'être sembla=ales b nos propres constatations.

La place noue manque aujmrciltuf

rr neeb's"C.71. d,t,t'Ziene 'dru'

FEUILLETON DU t MIDI e (52)

se joignirent et son baiser msprouva bien qu'elle regrettait sacolère.

Comme si rien ne s'était passé,nous assistâmes au feu d'artifice surIn niur den Piqur.

Et il ne fut plus question de dé-part

Le lendemain, je cheminais seulsur le boulevard Lézat, quand jecroisai l'omnibus de l'hôtel Riche-lieu, Pliant vers la gare.

Instinctivement, je retournai latête.

Pres de la portière, je distinguaiDenise en toilette de voyage, h côtéd'une dame, sa mère.

La jeune fille me vit et agita samain, comme pour me dire ss Aurevoir. Je m'en vals. »

Je levai simplement mon cherpeau.

En arrivant à « La Fougère »,j'appelai ma fiancée.

- Une bonne nouvelle I la /h-cheuse nièce vient de partir.

COURS SUR LES DOCTRINESFISCALES DU SOCIALISME

par Etienne ANTONELLIPl nous teste à expliquer, dit le con-

férenci. quelle est la doctrine Osesle du Socialisme dans le °fr./tata!,ses actuelles et nous pouvons dire qu'aest égard, nom serons déterminés parnotre conception générale de la pollthque seialete.

Conceptions différentesA Annemasse eu O avait traité ce

n réunion publique, le mn..efuet Interrompu par un communis-

.te qui lui Jeta n's a qu'un seul enmède o la Révolution sociale.

Sans ètre déterminée par une affinmelon aussi absolue, nous pouvons di-re que toute action socialiste doit être«Minée par l'idée de la transformationsociale. Mats cette action elle-même estconçue différemment. Les uns disentnoca devons seulement développer notee propagande, faire du recrutement,attirer à l'organisation les masses qui,l'heure venue, participeront à l'actionrévolutionnaire

Les autres pensent que l'Ete socle.liste se -dégagera des formes soda]oepreeentes et qUe les militants dolvmfh.d.r par une astiin inceemte l'évo.lution interne du capitalisme.

Entre ces deux positions extraime,nous trouvons toute la gamme duen.nces saielistes, noua pouvons direque nom avons résumé le conflit inter-ne du socialisme, conflit mil n'est gv.ve que de l'extérieur et qui s'explique

"rldUeltlelyrarlea'suoeclaretsienst assezfort Peur revendiquer le pouvoir pourMI seul, ni a.te faible pour ne passonger. L'action socialiste eera dater--minée par I. circomiances.

Ce conflit Morne peut être encoreexpiiqua par le tempérament mêmedu militant, qui agit sur son jugement./do. pouvom dire que les deux métro-d. ont leurs avant.en et leurs In-convénients.

L'attitude purement négative risquede lasser /es espérances ; les hommeMi SOUffreut peuvent penser quo legrand soir ne vient pas vue et qu'ilest préférable d'utiliser les réformesinimédiotes.

D'autre part, à se mêler trop ft l'antion quotidienne, on risque eue devie.lions, de perdre de vue le but de l'anfion, de tom.r.dans le réformisme pur.d'user l'élan des travailleurs, a.de fmaser le doute et a scepticisme.

Entre ces deux tendunces. noue chobsirons suivms notre tempérament, no-tre milieu l la vie e'épanonit dans lereel, et peut être prisonnière desformules.

Ici nous pouvons déclarer qu'il n'yPas entre ces deux method. de

./Eérarchre s.latete I l'une n'est pueplus, l'autre moins ntfle au socialisme-le militants ont même comr, mêmeame, même ..r.ce, mais les tempé-raments influencent les as...

Lorsque je réfléchis sur cette action.&Joute le conférencier, je ne puis m'etn.pêcher de la comparer O celle qui amaraud le paslage de l'antiquité paie.

au christianisme et qui a ail uneVéritable ravollition s.iale. Cette ré-volution emmu ses propagandistesau lire Mû., les chrétiens étaient unvrai parti, une véritable internationaleet dans cette immense armée les mé.mes différences se produisaient I tesune avalent .if du martyr et pensaientque le eang chrétien répandu étaitde la semence de chrêteu I les autresvoyaient le monde déjà conquistomltu sait que les deux Stem d.pritont cooperê û la victoire finale.

La fiscalitéCes conceptions posa, ums dem.

d'abord consteter que le socialismen'est .oas dans les formes ; c'est un étatgénérai, Il n'est ou il n'est pas. Le ea-Pitalisme n'est pas un assemblage deconditions données c'est un organis-me qui tient.

Le eocielisme ne nom pas réalisé aumilieu du régime caeltelisma maisnoue devons par une acteOlt speténnati-que, coordonnée, tenace, orienter leshommes et les choses vers le ...e-rre. L'esprit socialiste doit être présentpartout et toujours pou, introd..dans les institutions, dans mail, quo-tidienne, le tous possibe de conceptions

Cetut méthode doit être appilquedans la fiscalité.

Pions pouvons dire que théorique-ment, la conception de la fiscalité estla même que celle du socialisme, maisPratiquement elle est faussée par lesforces de conservation sociale.

Le rdm des sociatistee doit être deréclamer le peinait, ds la p,opu,lloe'nallit da

,l;C:aenCal;a%met mie

ed'ut'fa...11M le Pliissanc. d'opor.sion

Examinons .1a politique financière

Ginette me sauta au cou, toute 11

heureuse.- Alors, nous restons 7 soupira- d

t-elle, tant mieux.J'étais soulagé moi aussi. Ifluin, P

malgré moi, tout le jour, ma pensée dsuive /a blondinette vers une dem âtination inconnue.

V

011 FLEURIT L'ORANGER

Nous séjournâmes b Luchon jus-qu'au 28 août, sans qu'aucun nou-vel incident ne vint agiter le coursrégulier de nos vacances.

Les excursions à Superbagnères,à la tour de Castelvieil, aux gorgesd'Enfer, au lac d'Oô, â Viella, alter-nèrent avec les fêtes mondaines auxQuinconces ou au Casino, auxquelsGinette commença h prendre goût,ear les estivants ne pouvaient êtreplou aimables, sans obséquiositéagaçante.

Uns période de mauvais tempeMassa la plupart des baigneurs.

M. Dompierre, empêché de sortir,devint fort grintheux et le comprisqu'il en avait assez de sa vi/Mbia-tura.

Nous noue préparâmes et, Par uneclaire matinée, no. prîmes te che-min d uretour vers Clerp, Loures- pBarousse et Contréjean. Le soir, Inous conehlons à Agen.

Une deuxième étape nous amena P

d'après.guerre, elle se tre.pose InnmIO'eueeinutanri,eleteluelalPeut formuler ainsi a Qui va payerlet fraie 7 et nous pouvons dire quelu Politique financière de la bourse.tin a tendu Memeltt b re1eter les change budgétaires sur d'autres One eueles grands capiteletes.

Les données du problèmeEn 1913, le revenu national était de

3v milliards et la charge de la detteétait annuellement de 1 milliard 300millions.

En 1930 le revenu national n'a paachangé, male la dette est huit foiepl. forte et les ...te 15 fois plusélevés. Comment faire supporter /acharge de 20 milliards d'intéréta an.fluets à un revenu total de 35 mil-liards. Dans tee ...Rio., il .t évi.dent qu'il faut ou diminuer la dette ouaugmenter le revenu.

En 1920, les socialistes déposaient despropositions tendant a créer de non.vel..Marrece.ttues

éor leation de l'impôt sur lerevenU.

b) impôt .mplémentaire sur luta'Pital.

-

n) création de nouvelles dispositionsconcernant les droits sur 1./Mritage.

d) organisation de monopoles.C. diversue sources de revenu an--

reit augmenté les ressource budgéta,me d'environ dix milliards, sent unepartie aurait été SUPOOrMe Perche.e admise. Cette solution fut rele.

C'est alors qu'on commence à devalo.riser le capital .tional isnaia sane ledire ; on raft du déficit

En 1915 le déficit était leur milliards191e - et-1917 - 381918 -scie -1920 - 381921 -1922 - 26 -

17 -Pour te combler, en fit de l'Inflation

en 1914, il y avait le milliards de bil-lets ; en 1919, le totat de 17 mit-liards 800 millions h XX milliards 850millions en 1921, on attelômit 39 mil-liard.

En face des nouvelles propositionsd'emprunt, les sociellstot fment denouvellea propositions I Iellee d'uninatévers.t sur la rich.se acquts&eu vue d'une Mi/arion massive et deProcéder b des amortissemeints. Cette

Ilm.ure eut arrètê la hausse d. Pria°Pa len' lare; eh:. dl'. lhahvi:,

f).04.el.i. O, Mlle., on crève le rela-

tait emeinders Vora »;r'ee Jernenoq011ilue. 100010e des prix de gros étaitde 018 ; t'indice des prix de détailDl, l'indice nes salaires de 58.1 parannport à 1914 ; ce résultat avait Stéaccompagné de perturbations proromd., notamment en ce qui cd... lavie Oct anciene petits rentiers.

Alors commence une nouvelle périnde ; soue l'Influmns du même souci,faire retomber les chargm sur lesclasses laborieuses, on poursuit la coimere de revaloriser le fr.o et de ré.Mire le chemin imerse par le prél.veinent de 8 h 9 millier. annuels surle revenu national eu vue de cr.r lanéflation et de revenir acur conditionsde MIL Théorie...ment omait itrèsbim, mals pratiquement c'était impos.gilde ; c'est une opération de Imiguehaleine - claquante ennfes pendaublesquelles laquilitme fait UMM, car ilne peut et retrouver eh rectiertnm fi'nate.

Pendent la période d'inflation, FAtut des créations seul AMIS mauvais,ciels l'industrie s'était développée etle niveau général de la vie avait mon-té ; pendant la période d'amortie..mciii, 1000

dg etorieered' a=sgoriee Sest endraVé.

Eneoro foubil remarquer que pour ancertain nombre de ...hes ce m'EsPerdaient comme rentiers. Us le rntrouvaient comme producteurs, alomque depuis 1926, tee les producteurssouffrent. En outre, Indiquons que de1918 u 1926, la période de dévaluationfut courte, alors que rentre stade estPréall pour cinquante ans. Daus la péi-Mode d'inflation, les phénernéne et,teig.ieni tout le monde et tom lesproduits augmentaient ensemble, alorsMe dans le .cond stade, les Phérnreines sont suocessifs. Avec un amor-tissement de 10 milliards, on ne porteson action que sur /es intérêts, la°harde qui Pèse sur la production r.teà peu prés la même et il faudra quecette production en tienne comptelee exportations vont diminuer, les im-per... vent augmenter, l'Industrie

Berlusac, orS Anars, prévenue,nous reçut avec ruse touchante cor-

101M.Le

savandevanttfut un p2.0 enê de

araltre nue cuisinière etevant mes métayeiq qui avaient cru

spie trépas darre les flammes duavillon.Mais plus de deux mois s'étaient

U goutta.En revenant de Paris, Anais etétait

ernpressee de détruire la légendeOn M. Formigol,

Pnrnonnena 15 de réflexion ensa/uant M. Dompierre et on eutsurtout h cur de féliciter Ginette,dont les épiques exploits avaientsoulevé l'adnuration générale.

Nous étions saturés de manifes-tations et nous Mitaines de descen-dre à Nontron,

Pet arbres de mon pare nousoffraient, dans le jour, une ombrepropice. Noue attendions le crépus-cule, et quelquefois /a /une, pouraller errer, Omette et moi, sur lebucolique chemin de la source, té-moi', de mot,, première rencontre.

Septembre S'éCOUla... Les pluieshde Saint-Michel nous décidèrent àrentrer à Paris.

itvler. importait d'organiser notre

Mon désir eût été d'épouser Di-nette à fin octobre, puis de partirDor NI., où nous eusslons passe

a « saison » seuls ou avec M. Dom-ferre, mais sans retourner aualais.

et le comener.seront touchés ; Ois tesont dé* et déjà on a recours au grandmoyen des das.set poseédantes I ladimInuten dmb salaires, amenant Unecelle de sons-conimmmation.

Politique des impôtsEn 1926, on a créné 9 milliards 199

milliom d'impôts nouveaux.Sur ne chiffre 1 milliard 697 mil.

Dons .ulement portent eux la riches-se acquise alors que 7 milliards 496millions portent sur la richesse en foi'mati. (travail productif). Cette lmeportion est dein. «normale et pèse loundament sur la production ; mais lorsdes dégrèvements de 1930, la richesseacquise bénéficie encore d'un eue-veinent diummortiouné.

Enfin, dernière easstatutIon que nanapourrions appeler le bouquet ; tandiequ'en /92o. 0e eugmenle les chargesfiscales de pl. de 9 millier., on dl-grêve les personnes qui ont plue de100.000 Manot de revenus.

Contre cette politique, les socialisteeont essayé, de réagir, de dénoncer laspoliation des classes travaillenees aubénéfice du grand eapitelism&

Puisque le capitalisme utilise la fie.muid dant l'intérêt ees classes possé-der., il noue faut b notre tour créercertainae institutions pour préparer teevol. au socialisme, utiliser les plu.values d'impôt et surtout leeI. fiscaux

SI nous exeniinons ce qut s'est Pesteau Mar., nous voyons qu'on Y a eiTéCa Règle chérift.ne des phosPhateequi a coûté 27 millions, en rapporte200 et pourrait rapporter daven...

On s'arrête pas la 1 le création dubureau minet de Mat chérifien défendles UMMte de l'Etat qui et associépour 33 p. cent I toute entreprise mi-Mère.

Il en est de même pour le pétrole ontintai est bgarem.t associé pour as P.cent et l'office netionel Oct romhustl-hm liquides pour un pourcentageégal. on voit qu'il est dea cas na la col-lectivité a eu Organiser ses intérêts :Il est temps qu'en France aussi ons'organise pour l'étude et ta réalisa-tion d'une fiscalité d'intérét généralou, .mme dma le budget anglais, unepart importante soit prérae pour lesbudgets d'utilité publique comme ceuxde l'hYgiêne, de rassie.rt et la lut.mette M'Inn... BUISSON

CHANGEMENTS D'ADRESSESil ne peut être tenu compte

que des demandes de change-ment d'adresse qui seront ac-compagnées de l'ancienne bandeon de l'indication de l'ancienneadre.e et de 'la somme de0 fr. 75 pour frais.

EILEOTRICITECHAUFFAGE

ECLAIRAGE - FORCE MOTRICEPROPRET& - HYMENS

ECONOMIE - COMME/TEOtimprête la fisdres reAspaple

as StExplesios,

redresser à

SOGIttéonn su. seree - vilmomns

Mes rentes me permettaient devivre désormais largement.

Au surplus, la douceur de monfong congé et /e charme d'une pré-sence féminine m'avaient rendu Menpareemux.

Cesser cette existence indolenteet douillette pour retrouver lapoussière dos dossiers ardus, lesformules ingrates des cales me fai-saient, h l'avance, l'effet d'uneépouvantable corvée.

Je repoussais cette perspectivecomme le rappel d'un vieux cau-chemar et je songeais h de plussuaves événements.

Ginette était entièrement de monavis. Mais il manquait encore l'as-sentiment de son père.

Un soir où je Muais chez eux, jeportai tout t coup la conversationsur en délicat sujet

Le savant faillit lâcher son verreet il me toisa avec raideur

- Etienne (car il m'appelait fa-milièrement par mon prénom de-puis le raid de sa fille), pourquoi mefaire mettre en colore ? Avez-vousoublié ce que je voue ai dit h Ber-lus. en Juin, après le départ de(finette pour l'Allier f Elle n'a pas21 ans. 'bous êtes des enfants. Quandelle sera majeure, si vous n'avezpas changé d'idée tons les deux,on reparlera de vos rêves ardents.Je mus obligé de vous répéter la

Jemême chose.

thchai de raisonner le vieil-lard.

Chronique de la 11.S.L La Tugendweihe

RADIO-T005013heures, - Concert offert par leRadio-Club de Dax.. 13 h, 15. - Musique de dense.

13 h. 30. - Informations de der-nière heure. Bulletin météorologi-que.

13 te. 45. - ErniSsion téldlE10/0-graphique par le Belinographo (deuxphotos d'actualitéS

Cl heures - Emissim téléphoto-graphique Irae le Belinographe (unephoto d'actualité).

17 h. f5. - Mélodies.17 h. 30. - Premier bulletin d'in-

formations.17 h, 40. - Orchestre, opéras.18 heures. - Musique de danse.18 h. 00, - TrOliiièree bulletin

d'informations. Nouvelles commu-niquées par l'Agence Fournier.

18 h. 45. - Accordéon.19 heures. - Mélodies.19 h. 15. - Orchestre synophoni-

11. t Petite musique du tom »

(Mozart) .

19 h, 30. - Troisiême bulletind'informations. 3

19 h. 00. - Orchestre de danse.20 heures. - Orchestre divers.20 h. 15. - Monologues corniques.110 h. 30. - Soli divers,20 h, 00. - Orchestre viennois.2/ heures. - Concert. Quelques

airs d'opéras-comiques.21 h. 40. - Orchestre symphoni-

que.22 heures. - Concert radio-dis-

ques offert par le jouMal « LeHaut-Parleur », 22, avenue de laRépublique, h Paria.

22 h. 30. - Quatrième bulletind'informations. Nouvelles commu-niquées par l'Agence Fournier.

22 h 45. - Orchestre viennois.23 heures. - Heure des auditeurs.21 h. 15. - Cinquième bulMm

d'informations. Le journal sans pa-pier de l'Afrique du Nord. Suite del'heure des auditeurs.

24 heures. - Bulletin météorolo-gique. Pression atmosphérique.

TOULOUSE-PYRENEES12 h. 45. - Concert symphonique

organisé par la Commission artisti-que de l'Association radiophonique« Toulouse-Pyrénées », avec le con-cours de l'orchestre de la statmn,sous la direction do M. Henry Cois-baux, professeur au Conservatoirede Toulouse. - Programme î « Hamders », marche (Riocardo); « Aphro-dite » valse (Filipucci); « Jeux dePouPles », valse (Looderer-Venin-ger); « Danse espagnole » (Chi-chils); « Véronique » fantaisie (Mes-sager-Tavani ; « hiadame Butter-RY », Sélection (Pmcini-Tavan);« Salut aux vainqueurs », marche(Menehettil.

17 heures. - Comert de nrusiqueenregistrée.18 h. 15, - Relais de l'Emle su-périeure des P. T. T. « Radio-Jour-nal de Fran. ».

00 Pleures. - Programme desspectacles de Toulouse (lendemain,

20 h. 05. - Bulletin météorologi-que. Changes. Cours officiel des va-leurs locales. Communiqués divers.

20 h. 10. - t8le émission ds Journal parlé de huit heures dsoir », présenté par M. Louis Lee-pine.

20 h. 30. - Revue de la pressehumoristique. Communiqués divers.

21 heures. - Soirée artistiqueorganisée par la Commission artis-tique de l'Association radiophoni-que « Toulouse-Pyrénées », aveo leconcours de l'orchestre du Grisbi-Palace, sous la direction de MmeCharmeroy, violon solo, premierprix du Conservatoire de Paris.

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- Ginette atteindra sa majoritéaux environs de la Noël. Ge ne sontpas quelques semaines de Phis oude moins.

« Doutez-vous de la sincérité oude la profondeur de notre affec-tions f Alors dans quel but nousfaire souffrir inutriement 7...M. Dompierre ricana I

- Souffrir I Ditesmartyrise'uili-sqUe vous y êtes. Peut-on trouver un papa plus bienveillant f ALuchon, il me semble que je ne

puursai.npa.sMode. Voue sortiez lm-

fiance en vous.'Et

tu" J'ai eue-« Je sais que vous Vous adorezTant mieux. Mais n'insistez pas.Patientez jusqu'au printemps, etalors je ne ferai aucune objection. »Ginette avait baissé la tête. Jen'osai plus répliquer et on pariad'autre chose.Après le repas, ma fiancée me spé-cifia- Ne contrarions plus PPM Unpe eznsetrroesera vite passé. Nous mi-

meras notre bonheurd'autant que l'attente aura étê pluslongue.

Je l'embrassai en acquiesçant î- Vous avez raison, chérie. L'es-

sentiel est que vous m'aimiez bien.Après la Toussaint, Je fus

obligé d'aller h Nice pour confier àmon ami M. Péret toutes les effetr. de mon cabinet en suspens.

J'abandonnai c.- momentanément

Wienell.».31,11021101ellileMil.MI.MUMILMMEIMMMIlleilleill-IMMIMILUMMIMMErfeelblUMMMBEnartiff

RECI AMEZ earrette ROM de:c Serisailegs I, ÉPARGNE 1:81:cesd L ÉPARGNE C

.iren quelconque y et fartes inscrire c. y

Lee Idindestsmoide

e'mi'O.dirt la d'aeb---'m'in:eme.r,

tiv.'.'el ;n 'Ir Un': rt.eilife"delt=te:deoutour ans procédés

des se édés *Id;indéniable sur ce nouve. "renn'9.,

cesedensPournaOne, nu'

eulad,1, eiinlea; .11

au.li1hl être considérée

répque.

& la confirmation'

e,tzezez=:.'0:;1'sous une forme symboli.vieux ritue.bleu .telvdn, aremntpar l'Idéal sociale. Tma de la fûte est ortels 0001e Îfjueuu'nets'Au'en atteviennentles devoirs d'homme

mnh"Zs.!'a,,r.":'`àfor,Le.J,e''e tplaIn , iZtotalsetcn.''':,

0100 m50ee,et due précède une etradd.sos et les dem., unmenne lance vers le pi..d'argent. Chaque auditeurna noleue se aloIs les peUx" ose,,

Assmlet ehmubnloeim

Participera activement, La

Au sus e'd'es'a::o:npure's:,''''''-''enfan'rte. tee sleur entrée dans la salle. tes fane."'

éclatent. Ont .nuent tont sitrimere,aHym. au eoleil », dans le

Gpa'retierp"ants' dur. Mleuvueur'itureetklieeTeeeT4taaecompagnot par l'orgue, chantent

tr'"couplets de leur chanson I Neue, ie..

ele" qju'l nne'es' tOpsesantreeit'e °leu tveerfr"e d"e

jeueendie:g chantent les ébattra se

mer.. (le « récitant », al 1 vedu haut de la tribune d. orgue ', aveet solennellem.t les ennemis us

min. Une d,ernière fois, Ils ppm.:ehanter leurs chmeone et Jouer leaii

charmantes Jeunes Eliot. s'avancentsur li.trade et damiers su Milet Msdes ihletec, depuis la balle Mme% ycorde baauten, La chorale dasRte Amis des Enfeuts ê

nis.'cre rire'vrZe'ine

smin., dont les enfants grandissentet vont entrer dans la Vie. On entendalose te obeeur des Mères, qui chaule/a douleur et la résignation.

N.velle érvomtion Ou récitant zc'est le chur de la Jeunene ouvrièremaintenant qui appelle et naemille ledenfants. Un chur parlé, d'ailleurs,trie heureux effet, volitgeent d'aboOs bouche en ,bou,nhe et fineseat dna

titceoa, Cale te teams de ha mienpots le (mOnoe des -epe,s et lic.

une puissante et virile Invocation

Cham d'orgue. La Porte laidiateses dans la salle. Fanfares. La draPmetOs l'Internationale apparaît, PQM Pasle Schutsbund, mil .1 fait une garded'hOnneur. La garde se range Mie lascène, la salle et debout Dest alessUne Se placent quelque] brefs dieseuva

it la cinemtance,renee ceux dee citoyennes Marion Phi)IIPPs. Lucie Oniardin et du camaradeLmsbtt Président du Reichetag. Quandles orateurs ont termine, te chmtmcomplet, fait entendre une strophe del'Internatimmie, dont le reirsin tut re.Prie par tous les «Matants debout. Ilscamarade s'avance a.re prés du denPeau et prononce le discours de measécration, coupé par deux boites strephes chantées par le Coeur et amancrée à la définition de la traie gran-deur.

C'est la fin I au son des orgues, mules

ne national des socialiste autrichiens,Ce aoherna rapide ne vous livre tas

Fermeture de la fêt& non ratm.P.m.A aucun moment cela ne tombe .dira., ni ne retrait forcé, dispropovtIonne, artifictei. Voilà enfin une feleauthentiquement, prinfondêment dal>Mate.

MERVEILLES De MODES

norois veuf ce nui ta mer Fm MON

KODULS 0£3 COUttnifitl

kgeoetee ezeet..am PRATIO,,»Secte» ...Tek tee RO« strowas

PM nef weela. Poe Leaes

ee Ir Of es verse parade

missameenreetes

au moins - le barreau. Il ne feuePas que mes clients souffrissent Ut

cette retraite anticipée.J'avais laGsé Ginette en pariciir

santé.QU'elle ne fut pas ma sm'Pri».1

recevant ie 8 novembre, Vers alioune dépêche de M. Dampierre

6..nte gravement Mele.Toue attend avec impatieme. »

Gteljere eirle7 pl'eurta-elte. h nenie I... Pourquoi si peu de détailsDeFris quand était-elle malade teAccident ?... Fluxion de poittilie

Quel/e angoisse Quel dosepoir / Arriverais-je h teMps f I

Je passai chez mon MMmettre au courant de l'affreuse novvelte. Je bouclai ma valise eh1.1 heures, je pris le rapide »Paris.

Quel voyage et que/le anxiété d'rad t la nuit interminable Imo,),

Eq ddharquant â la gare de.,le lendemain matin, je sauter dit"un taxi.

Vingt minutes plus tard, Pei'au chevet de Ginette.

Un coup de froid, la flèvre,commencement de congestion It"monaire, heureusement ermaYéeim

Quand j'arrivai mimes de lamalade, tout danger était Miriiii,s4

Mais /a fièvre accablad 40ma fiancée.

Elle me reeonnut d/Molle/1,M'(A suisrad

4119»firriampiesig

arnet de Boni

à -MIDI BOOIALÎSTit4

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La Flèche et la Cible - Cellules Communistes Combattantes

La Flèche et la Cible - Cellules Communistes Combattantes

Henri Barbusse - Staline - Archives communistes

Henri Barbusse - Staline - Archives communistes

ALLEMAND DÉBUTANT

ALLEMAND DÉBUTANT

Hebdomadaire des communistes landais, N° 1890

Hebdomadaire des communistes landais, N° 1890

Sp cialiste des_copeaux

Sp cialiste des_copeaux

1. Les communistes

1. Les communistes

LE JOURNAL DES COMMUNISTES DE MOSELLE #01 / OCTOBRE ...

LE JOURNAL DES COMMUNISTES DE MOSELLE #01 / OCTOBRE ...

Hebdomadaire des communistes landais, N° 1892

Hebdomadaire des communistes landais, N° 1892

Annale Allemand

Annale Allemand

Hebdomadaire des communistes landais, N° 1894

Hebdomadaire des communistes landais, N° 1894

allemand juridique lexiquewillkommenindeutschland.i.w.f.unblog.fr/files/2010/01/allemand... · FREELANG - Dictionnaire gratuit Allemand juridique 6 of 29 10/01/2010 20:25.

allemand juridique lexiquewillkommenindeutschland.i.w.f.unblog.fr/files/2010/01/allemand... · FREELANG - Dictionnaire gratuit Allemand juridique 6 of 29 10/01/2010 20:25.

Communistes en Algérie française 1 partie les années 1920

Communistes en Algérie française 1 partie les années 1920

Bled Allemand

Bled Allemand

Echange franco-allemand d’Enseignants du Premier …cache.media.eduscol.education.fr/.../2/...allemand-brochure_655862.pdf · L’OFAJ L'Office franco-allemand pour la Jeunesse,

Echange franco-allemand d’Enseignants du Premier …cache.media.eduscol.education.fr/.../2/...allemand-brochure_655862.pdf · L’OFAJ L'Office franco-allemand pour la Jeunesse,

SEANCE DECOUVERTE « ALLEMAND ». L'Allemagne ? Dans quels autres pays parle-t-on allemand ?

SEANCE DECOUVERTE « ALLEMAND ». L'Allemagne ? Dans quels autres pays parle-t-on allemand ?

- Allemand.3500loc

- Allemand.3500loc

allemand lv3

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Communistes n° 389- 21 avril 2010

Communistes n° 389- 21 avril 2010

238 NEW Communistes

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Les partis communistes en France et en Europe

Les partis communistes en France et en Europe